People of southern Mexico and northern Central America
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En la cuarta conferencia del ciclo “Mayas y mexicas en la construcción de la civilización mesoamericana”, Leonardo López Luján, investigador, arqueólogo y director del Proyecto Templo Mayor en la Ciudad de México, describe el recinto sagrado de Tenochtitlan, centro ceremonial y político del Imperio mexica, así como las excavaciones arqueológicas en el centro histórico de la Ciudad de México, que revelan la estrecha relación entre la política, el arte y la religión en la civilización mexica.Más información de este acto
En la tercera conferencia del ciclo “Mayas y mexicas en la construcción de la civilización mesoamericana”, Leonardo López Luján, investigador, arqueólogo y director del Proyecto Templo Mayor en la Ciudad de México, trata el rápido desarrollo –económico, social, político y cultural– de la civilización mexica entre los siglos XIV y XVI, en el centro de México, desde sus orígenes míticos e inicios como una sociedad pequeña hasta convertirse en un poderoso imperio. Más información de este acto
What happens when a philanthropist shows up differently? In this episode, Maya Ghosh Bichara joins host Lars Peter Nissen to reflect on what it means to fund, partner, and build trust with integrity.Maya isn't running a billion-dollar foundation - she gives small but catalytic grants, drawing on her experience from the Chan Zuckerberg Initiative to reimagine what money can do.They explore trust-based philanthropy, the need for humility, and how to move beyond extractive funding models. What would it take to let go of control, trust leaders on the ground, and how could we try to decolonize funding flows?Mayas biggest advice for change is to start implementing it yourself. This episode is a must for anyone curious about what a new generation of philanthropy might look like.
En la segunda conferencia del ciclo “Mayas y mexicas en la construcción de la civilización mesoamericana” el catedrático de Historia de América de la Universidad Complutense de Madrid, Andrés Ciudad Ruiz, analiza la estructura social y política de la sociedad maya en la época prehispánica dirigida por una élite aristocrática hereditaria, así como las formas en que sus gobernantes consolidaban su poder y sus funciones sirviéndose de la religión y de los rituales de carácter estatal.Más información de este acto
INSCRIPCIONES E INFO: https://www.historiaenpodcast.com.ar/ Nuevo Curso en HISTORIA EN PODCAST ACADEMIA. Desde las primeras sociedades agrícolas hasta los majestuosos imperios de Mayas, Aztecas e Incas, cada pueblo dejó huellas profundas en la historia del continente. En estas cuatro clases exploraremos sus orígenes, sus grandes logros, sus tensiones internas y su inesperado final. Al terminar, no solo conocerás sus historias: comprenderás por qué su legado sigue vivo en la América actual. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
En la primera conferencia del ciclo “Mayas y mexicas en la construcción de la civilización mesoamericana” el catedrático de Historia de América de la Universidad Complutense de Madrid, Andrés Ciudad Ruiz, aborda el desarrollo histórico, político y religioso de la civilización maya durante la etapa prehispánica, caracterizada por sus grandes centros urbanos y su identidad única en el arte y la arquitectura de sus palacios y edificios religiosos, así como su organización y sus estructuras de poder. Más información de este acto
* ¿Operan agentes de Estados Unidos en México?* Partidos le quieren meter mano a la elección judicial* La polémica por el video de Mr Beast en ruinas mayas
durée : 00:35:08 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans son ouvrage « Les Mayas n'ont pas disparu » paru fin mars chez Allary éditions, Chloé Andrieu décrypte la fascination créée par l'occident pour la disparition des mayas, et tord le cou aux croyances qui entourent cette civilisation. - réalisé par : Jérôme BOULET
Lʹattachement chez les chimpanzés de Côte dʹIvoire Les brèves du jour Tout sur les lochies, ces saignements qui surviennent au tout début du post-partum Notre urine est-elle vraiment stérile? "Les Mayas nʹont pas disparu", signé lʹarchéologue Chloé Andrieu
Un capítulo especial dedicado a este evento tan importante para los corredores, en la voz de Adriana Calvo y Jorge Basiricó, que se acercaron a #MejorCorrer.
I dagens avsnitt är det Maya som håller låda i 40 min för att ta er igenom hennes möhippa. Detta vill ni inte missa!!
Die deutsche Improvisationsmusikerin und Komponistin Magda Mayas sitzt selten auf dem Klavierstuhl und spielt auf den Tasten ihres Pianos, wie man es gewohnt ist. Viel öfter steht sie beim Spielen und greift mit den Händen in den Flügel hinein. Mit diversen Präparationen und Spieltechniken entlockt sie dem Instrument Klänge, die man oft gar nicht mit dem traditionellen Klang eines Klaviers in Verbindung bringt. Was sie antreibt, immer neue Klänge zu suchen und diese auch akribisch zu katalogisieren, erfahren wir im ersten Teil von «Musik unserer Zeit», bevor es dann auf die Livebühne geht: Ans vergangenen Jazzfestival Willisau, wo Magda Mayas mit ihrem Ensemble «Filamental» aufgetreten ist.
Saviez-vous que le cacao, bien avant d'être transformé en chocolat, occupait une place sacrée chez les Aztèques et les Mayas ? Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Alexandre Jouan de la chaîne @danstonassiette3254 Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: De la fève de cacao à la tablette : l'histoire captivante du chocolat, 28 janvier 2024, Nathalie Picard https://www.caminteresse.fr/societe/de-la-feve-de-cacao-a-la-tablette-lhistoire-captivante-du-chocolat-11192138/ Les Dieux et le Chocolat : Une Histoire de Divinité et de Délices, Alexandre Tano Kan Koffi, juillet 2024 https://cacao.ci/les-dieux-et-le-chocolat-une-histoire-de-divinite-et-de-delices/ Bonne fête la Suisse ! 5 jeux sur le chocolat pour célébrer le pays, août 2023 https://gusandco.net/2023/08/01/suisse-premier-aout-jeux-chocolat-selection/ Coe, Sophie D. & Coe, Michael D. – La véritable histoire du chocolat, Éditions Tallandier, 2018. Gruzinski, Serge – La Pensée métisse, Fayard, 1999. La symbolique du cacao chez les Mayas https://escales.ponant.com/symbolique-cacao-mayas/ https://www.researchgate.net/publication/252588751_Archaeology_Cacao_usage_by_the_earliest_Maya_civilization https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_maya?utm_source=chatgpt.com Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #cacao #chocolat #chocolate
Palenque se trouve au cœur de la jungle de lʹÉtat mexicain du Chiapas. Ce site archéologique compte de nombreux vestiges dont le temple des inscriptions dans lequel une crypte a été découverte en 1952. Pour en savoir plus sur cette cité maya, Johanne Dussez accueille Chloé Andrieux, chercheuse au CNRS et autrice du livre " Les Mayas nʹont pas disparu " Allary éditions Sujets traités : cité, Mayas, Palenque, Mexique, jungle, Chiapas, temple, crypte Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Joanna har blivit omnämnd i Sveriges största podcast och Mayas bröllopsbudget skenar iväg... I dagens avsnitt pratar vi om snöflingorna på TikTok, skillnaden mellan disciplin och att avstå från träning när kroppen säger ifrån, träningsmål, Robinson och MASSA MER! Det är uuuuunzdaaaag!!
durée : 00:28:20 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - L'effondrement de la civilisation Maya est un cliché archéologique et historique à la peau aussi dure que les pierres des temples qui surgissent de la végétation tropicale. D'où vient cette fascination créée par l'Occident pour la disparition des Mayas ? Et comment s'est construit ce mythe ? - réalisation : Olivier Bétard - invités : Chloé Andrieu Archéologue, chercheuse CNRS au sein de l'unité Archéologie des Amériques de l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
En América Latina hay 560 lenguas indígenas, según datos del Banco Mundial, la mitad de ellas se concentran en Brasil, seguido de México y Colombia. La región es única por tener la mayor riqueza del mundo en familias lingüísticas con casi 100. Pero esta riqueza está amenazada. Casi una quinta parte de los pueblos indígenas de la región ha dejado de hablar su lengua, según la Unesco. Esta semana hablamos de la salud de las lenguas indígenas y originarias de Latinoamérica. Trazamos una radiografía oficial y los desafíos de su transmisión con nuestros invitados.Nos acompañan: -Paola Martínez Infante, periodista independiente chilena y profesora de español.-Ricardo Eyzaguirre, músico originario de Ayacucho, fundador y director del coro quechua de París, que posteriormente se constituyó en la asociación "Voces Quechua de París".-Sonia Blas Hervias, periodista peruana con maestría en antropología de rituales en la Universidad Sorbonne, integrante del coro "Voces Quechua de París".-Camille Aguilar Reinat, profesorade cultura maya en instituto INALCO. Lleva ocho años trabajando en lenguas y culturas mesoamericanas. En Primera Plana también está en las redes sociales.Coordinación editorial: Florencia Valdés. Realización: Souheil Khedir, Lauren Nemasat, Yann Bordelas
Yihjan, la voz mágica detrás de Los Entes Bajo la Cama, nos comparte su historia personal con lo sobrenatural. Desde su infancia, una serie de sucesos inexplicables despertaron en ella una profunda curiosidad por lo oculto. Criada en un entorno que le permitió explorar y decidir su propio camino espiritual, poco a poco fue formando un criterio, encontrando en los lugares menos esperados historias que desafían nuestro entendimiento. Sin embargo, una presencia la ha acompañado desde siempre. Un ente misterioso aparece cada noche al pie de su cama. No se mueve. No habla. Solo la observa fijamente, como si esperara algo... En su búsqueda de respuestas, Yi se adentra en los conocimientos ancestrales y la cosmogonía de civilizaciones antiguas. Lo que descubre cambia su percepción de la realidad: aquellos entes que la acechaban en la oscuridad no eran simples espectros… sino deidades con un propósito. Mensajes ocultos, señales del más allá y revelaciones impactantes marcarán su destino.
Platicamos con Mario Alfredo Mercado, el jaguarcillo viajero, sobre la economía de la civilización maya prehispánica, el significado de la arqueología, y muchos temas más!Síguenos! En Instagram: https://www.instagram.com/moneytalkslatam/En LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/money-talks-el-podcast/ En Twitter: https://www.twitter.com/walterbuchananc https://www.twitter.com/luizgonzali https://www.twitter.com/fravazah Distribuido por Genuina Media
En #LoncheraInformativa te invitamos a escuchar lo que fue el Taller de Locución que realizamos con los niñitos del Cole Fe y Alegría Las Mayas en el Centro San Ignacio en conjunto con nuestros hermanos de @LAMEGA107.
La curiosidad natural del ser humano nos ha llevado a explorar cada rincón de nuestro planeta y sus profundidades. Pero... ¿habías escuchado del continente perdido de La Atlántida? Descúbrelo con nosotros en este enigmático recorrido.Una de las leyendas más antiguas y más conocidas a nivel mundial es la del continente perdido de La Atlántida. Abordada desde la investigación científica hasta la magia de Disney, la supuesta existencia de esta sociedad utópica sigue siendo un misterio.¿Leyenda o realidad? Averígualo en este nuevo episodio.
“To be a Jew is to know that because of who we are, because of our historical experience, we care for the other. This is really one of the great tensions of our moment. Of how to be eyes wide open to Israel's need for self-defense, and at the same time recognize the real suffering that's going on in Gaza and to know that we need to find a way to hold both of those together.” Rabbi Elliot Cosgrove, spiritual leader of Park Avenue Synagogue in New York, explores the complexities of Jewish identity in a post-October 7th world in his new book, For Such a Time As This: On Being Jewish Today. In this conversation, he unpacks the tension between Israel's need for self-defense and the suffering experienced by Gazans and Israelis and the challenge of balancing empathy with vigilance. He also shares his personal journey to the rabbinate and what it means to live as a Jew in this pivotal moment. *The views and opinions expressed by guests do not necessarily reflect the views or position of AJC. Sign up for AJC Global Forum: Register at AJC.org/GlobalForum2025 for the premier global Jewish advocacy conference of the year, in New York City, April 27-29 2025 Listen – AJC Podcasts: The Forgotten Exodus: with Hen Mazzig, Einat Admony, and more. People of the Pod: The Oldest Holocaust Survivor Siblings: A Tale of Family, Survival, and Hope Israeli Hostages Freed: Inside the Emotional Reunions, High-Stakes Negotiations, and What's Next Bring Them Home: Understanding the Israel-Hamas Hostage Deal and Its Impact Pack One Bag: Stanley Tucci and David Modigliani Uncover His Jewish Family's Escape from Fascism and Antisemitism in 1930s Italy Follow People of the Pod on your favorite podcast app, and learn more at AJC.org/PeopleofthePod You can reach us at: peopleofthepod@ajc.org If you've appreciated this episode, please be sure to tell your friends, and rate and review us on Apple Podcasts or Spotify. __ Transcript of Conversation with Rabbi Elliot Cosgrove: Josh Kramer: AJC Global Forum is returning to New York City, April 27 to 29th 2025. I'm Josh Kramer. AJC New York Regional Director, and I hope to see you there. You won't want to miss this opportunity to join with more than 2000 other activists and engage in thought provoking discussions on the future of the Jewish people, Israel, America, and the world. Our program will feature large plenary sessions with headline speakers, smaller breakout sessions designed to explore the key political, strategic and social concerns affecting the global Jewish community, and exclusive opportunities to engage with diplomats, decision makers, interfaith partners, community leaders and more. Will you be in the room? Register today at AJC.org/GlobalForum2025 to take part in the premier global Jewish advocacy conference of the year. Now is the time to join AJC in shaping a new future. Head to AJC.org/GlobalForum2025. Manya Brachear Pashman: I've done quite a bit of soul searching in the 15 months since October 7. How do I grapple with the tragedy in Israel and Gaza and the hatred Jews face on American soil without scaring my children away from Judaism? Then came our Temple's Purim spiel last spring. That story of Queen Esther's bravery, in some ways, helped. It was about that same time that Rabbi Elliot Cosgrove, the spiritual leader at Park Avenue Synagogue in New York, picked up his pen and began to write his latest book, named for a line in Queen Esther's tale – For Such a Time As This: On Being Jewish Today. Rabbi Cosgrove is with us now. Rabbi, welcome to People of the Pod. Elliot Cosgrove: Thank you. It's great to be here. Manya Brachear Pashman: So I have to tell you, rehearsals began for this year's Purim spiel as I was reading this book, which made it all the more powerful. What inspired you to write this? Elliot Cosgrove: Well, for me, I draw wisdom from text, and I was trying to think of what would be an analogous moment for what we were going through as American Jews from the ancient text. And for me, as you say, this is now on the cusp of Purim 2025, it was the story of Esther that we read. And in many of our synagogues, we have Purim spiels, where we act out the story, which is basically the story of a Jewish community of ancient Shushan who believed themselves to have it good, that they were comfortable in the diaspora. And the wicked decree of Haman came down and Esther, whose name actually means to hide, she hid herself, her Jewish identity in the king's palace, and believed that she was comfortable there. When the decree came down, Mordechai, her uncle, by way of an emissary, sent a message to her. “Don't think yourself to be safe from Haman's decree. Who knows, if it was not for such a time as this that you've arrived at your station.” And I saw this as really the calling card of our moment that we all felt ourselves in the wake of October 7, Esther-like called to action. The trauma of October 7, but also the call to action, to step up to the moment, the needs of our people. Manya Brachear Pashman: Tell us about your writing process. Elliot Cosgrove: I buried myself in my writing from before dawn until mid-morning, and then I would hit a wall. And I didn't take a sabbatical. I actually went into my day job as a congregational rabbi. It was a very intense writing process and then in the course of about three to four months sent the manuscript off to the publisher. Manya, the thing about the book is it was very disorienting to write as the events were playing out, both in Israel and in the States. And one of the worries that I had that I spoke to the publisher about was, well, what if this becomes dated? You know, it was not journalism, but I was writing as the news was happening, and the good news and the bad news is that the themes that I pick up on: the trauma of Israel, the blurred line between anti-Zionism and antisemitism, how we balance empathy and vigilance, the question of the hostages, of thinking about a day after for Israel and the Palestinians, these questions are not only still relevant, but they're actually more pressing than ever. So unfortunately, the themes that I hit on in the book, very much present right now. Manya Brachear Pashman: How did that writing process help you personally process what you were witnessing and experiencing as a Jew in America? Elliot Cosgrove: I'll say this, that as a rabbi, I often see my job–someone calls, they've just gotten bad news in the hospital, a loved one has passed away. Or a happy thing, that their child has just gotten engaged, or they themselves have just become new parents. And people turn to clergy to get the first line of constructing the narrative of what it is they are experiencing. And for me, there is something deeply personal and deeply pastoral about this book, because I feel like it's seeking, hopefully, to give the language to American Jews as to how to construct this new reality of a post October 7 existence, the jumble of emotions, of trauma, but also the emergence of Jewish identity, the likes of which we've never seen before, the argument for continued defense of Israel's right to self determination, as well as an assurance that the traumas of October 7 never happen again. And in the same breath to think actively about what does the day after look like. I think we're all searching for language for these and other tensions of our moment, and I'm hoping that the book is sort of a vocabulary builder for our time. Manya Brachear Pashman: One word that you used many times in the book, and it stuck with me, just because maybe it's one of my favorite words, and that is empathy. And you used it in different chapters, different contexts. And I'm curious if you could share with the audience the role of empathy and how it is a guiding force, how it has been a guiding force since October 7. Elliot Cosgrove: Empathy, both its presence and its absence, has been a subplot of this moment, because I think empathy is ingrained into the Jewish DNA. You open up the Passover Haggadah, and on the one hand, we know that we are vigilant against every generation a pharaoh arises to destroy us. We are guards up. We are a people who knows the importance of ancient hatreds, of being vigilant against them, and also the ring of fire that Israel sits in by way of Iran and its proxies. I mean, Israel's in a very tight spot, and American Jewry is in a very tight spot. And at the same time, empathy is who we are. You were once a stranger in a strange land. Therefore you should know the heart of a stranger. To be a Jew is to know that because of who we are, because of our historical experience, we care for the other. And I think that this is really one of the great tensions of our moment of how to, you know, be eyes wide open to Israel's need to self defense, and at the same time recognize the real suffering that's going on in Gaza and and to know that we need to find a way to hold both of those together. That Israel needs to fight this war as if there's no tomorrow, and Israel has to fight this war with an eye to tomorrow, with the same ferocity that it prosecutes this war, it has to pursue a day after plan. And I think that somewhere along the way, it's the voices on the extremes who are speaking with the loudest megaphones. And the goal of this moment is to realize that we need to find a way to embrace both. I think it was Fitzgerald who said the test of a great mind is the ability to hold two opposing ideas and retain the ability to function. I think the test of the Jewish community right now is the ability to hold both vigilance and empathy at the same time and retain the ability to move forward with hope. Manya Brachear Pashman: And how can empathy help here on American soil, where we're facing protesters, we're facing all kinds of opposition and questions and hatred because of what's happening overseas. How do we use empathy here on American soil? Elliot Cosgrove: First of all, it's hard. It's hard. When you are under attack, the last thing anyone wants to do is feel someone else's pain. When someone is calling me a colonialist oppressor, when someone is calling for the destruction of the Jewish state, something which is part and parcel to my identity, core to my very being – my initial instinct is not to inquire into how they feel and have empathy. My initial instinct is to have shields of self-defense, prioritize the needs of my people over anyone else's. I think that's a human thing to do. And as long as the hostages are hostages, as long as Israel stands in a vulnerable position, I think we need to be eyes wide open to that, and then we need to breathe, and we need to remember what it means to be a Jew. And we need to remember that it takes two to tango, and that if we are going to create a future whereby Jews and Palestinians can live side by side in safety and self determination, then we need to realize that there are two peoples worthy of realizing that dream, and that requires empathy, Manya. Manya Brachear Pashman: You were not always that religious or observant of your religious tradition. Can you tell our audience how you became a rabbi? Elliot Cosgrove: How long do we have? This is a big question, but, look as with any way we construct our realities and tell our origin stories, there are a million ways to tell it. The truth of the matter is, I am the grandson of a congregational rabbi, an orthodox rabbi. So to say that I had somehow strayed from the path is a little bit of an overstatement. But I will say that I grew up in a traditional Jewish background. I'm very proud of the home I grew up in, but when I went off to college, it was very much something I did, Judaism was something I did at home. And I can't say that my first few years at my alma mater at University of Michigan were known by way of my religious affiliations and commitments. And then I got a phone call my junior year of college, that a figure from my youth, a grandfather figure I never really knew. My grandparents had passed away, and he was a guy who used to sit next to us in synagogue and slip me up peppermint candy as the rabbi was about to start the sermon or come over for Passover Seders or Shabbat dinner, Mr. Gendun, and he had passed away. And I got the phone call. I said, What would Mr. Gendun want me to do? And I thought, maybe I'll say Kaddish. So I called one of my Jewishy friends. I had never been inside the Hillel building up until that moment. And I called up one of my Jewishy friends and I said, What's, where's the Hillel? And they said, you're an idiot, Elliot. It's this huge building right on campus at Michigan. And I went in and I said my Kaddish, and I was getting up like it was the end of an airplane ride just to run back out to whatever my evening plans were. And a man stood between me and the door, boxing me out, and I was trying to shimmy one way and the other. And he said, I notice you've never been here before. And he said, Well, I'm wondering if you'd like to come to Shabbat dinner. And I lied, truth be told, because I figure he didn't want to know about dollar pitcher night. And I said, I already have Shabbat plans. And he said, Well, do you have Shabbat plans next week? And I was caught in my tracks, and I said, No, and before I could say another word, he said, Good, then you'll come over for Shabbat dinner. And that man was Michael Brooks, who was the Hillel Director of the Michigan Hillel. I went over to Shabbat dinner. I got involved in the Israel group. I was an editor of the student journal. I sat on the Hillel governing board. One thing led to the other, and I became a rabbi. But important [as] that story is obviously in my own religious formation and choice of vocation, is how it informs my own life and my own rabbinate. It's that ability to look around the room when you're in a class, a Jewish event, a service, and who's the person who looks a little out of place like they might have been there for the very first time, and just do that small human act of reaching out to them, and whether you're going to invite them to Shabbat dinner or not, but just to acknowledge their humanity, that has been the north star of my rabbinate ever since. We're all just human beings looking for a place to hang our hats. Manya Brachear Pashman: You talk about empathy. I think empathy caught my attention every time you mentioned it in the book, because I think it's so key to journalism. It's such an important component of it. And then I think hospitality is such an important component to Judaism and to congregational life, Elliot Cosgrove: Absolutely. Hospitality is something that is key to our text at the beginning of the Passover Seder. But hospitality is also a spiritual demeanor that we welcome people into our souls, into our presence, into our life. Hachnasat Orchim in Hebrew, this idea that there's always space within our souls, within our hearts. Manya Brachear Pashman: Having had such an important turning point on a university campus, how did you interact with, council, university students during this time, as they were facing such pressures and such opposition, crushing opposition during this past year and a half? Elliot Cosgrove: So there's a chapter about that in the book. It's really the part of the book that I think has struck a nerve, and appropriately so, because I'm the father of four college age or thereabouts children. And that story I tell about Maya, and Maya is a young woman who, I joke, shares half a brain with my own college age daughter. She's grown up in my household, and she is what you or I might identify as a non Zionist Gen zer, and she approached me and perhaps reproached me for having a Israeli flag on the pulpit, for doing the prayer for the State of Israel in the midst of the service, and said, you know, and she grew up in the Jewish Day School. She grew up going to Jewish summer camp. She did gap year programs in Israel. Not a small amount of money has been invested in the Mayas of the world, and she herself is asking whether or not her liberal, American Jewish self can be simpatico with the policies of this or that Israeli government, because they don't speak for her sensibility. And to this question of empathy, I think the first move one makes in any such situation is to try to understand where the other person is coming from. And I think a 21, 22, 23 year old is coming of age in a moment of time where the only Prime Minister they know of is Bibi Netanyahu, who either is or is beholden to the most right-wing elements of Israeli society. The only policies they know of the Israeli government are an expansionist policy in the West Bank, which has precluded the possibility of a two state solution. The only paradigm they have is an Israel which is a Goliath to the Palestinian David, this is their reality. You can't blame someone for the time into which they are born. I can pick apart and engage in a dialog on what's true and what's not true. But to tell someone that their reality is not, their reality is is not, you know, a move that one can make. And by the way, if they're during the time of the judicial reform, and to this day, there are 1000s of Israelis marching on the streets on a Saturday night protesting the Israeli government as an expression of their love of country. To tell the Mayas of the world, a college age student today, that they are treif, they are beyond the bounds of Jewish discourse, for doing the exact same thing is just an argument that doesn't hold water anymore. And so the the the goal here, Manya, is to engage with their questions, to listen intently, to prompt that young mind to come up with their own answers for the defense and the well being of the Jewish people, given the harsh realities that Israel faces, and also to make room for their very real question. So I look long on the Maya generation. It's actually a controversial moment within the organized Jewish community –do we write them off, do we not write them off? I think they're our future, and I think we do terrible damage to ourselves if we write them off. Manya Brachear Pashman: Because it is such a time as this. We have to pay attention to the context, right, and to where we are in history, without losing sight of history. Elliot Cosgrove: Look, it's very easy to take pot shots from the left and from the right. You know where this brave space is. The brave space is standing in the middle and dignifying the claims and counterclaims of both sides, and knowing that real leadership is trying to keep our people together. Manya Brachear Pashman: Your book does such a beautiful job of inspiring that sense, sparking those, those right emotions in my head. So thank you so much for writing it. And I encourage all of our listeners to pick up a copy of Rabbi Cosgrove's book–For Such a Time as This: On Being Jewish Today. It is full of challenges, and I think that the challenge is worth facing and taking on. Thank you. Elliot Cosgrove: Thank you so much, Manya.
Minnesota Ryan puts together his first ever personal rewatchable. He puts together 5 of his favorite acts from AGT. We play an over/under game with Ryan's scores, he has to defend why he chose these, and Ryan does blind rankings Avery Dixon - Season 17 V.Unbeatable - Season 14 Brent Street - Season 19 Mayyas - Season 17 Roni and Rhythm - Season 19 Summary In this episode, the hosts discuss Ryan's first personal rewatchable selections from America's Got Talent, exploring the thought process behind choosing specific acts and performances. They delve into the diversity of the selected acts, their backgrounds, and the impact of these performances on the AGT landscape. The conversation highlights the entertainment value of the acts and the personal connections the hosts have with them, culminating in a wrap-up of their insights and reflections on the episode. In this segment, the hosts discuss the performances from America's Got Talent, focusing on Avery Dixon's emotional journey and saxophone performance, the reactions from the judges, and the overall impact of the show on both the performers and the audience. They reflect on the changes in the show's format and their personal experiences while watching the performances, leading to a deeper understanding of the talent showcased. In this segment, the conversation delves into the performances of V.Unbeatable and Brent Street, exploring the nuances of dance and acrobatics. The hosts discuss the judges' insights, memorable moments, and the storytelling aspect of dance. They critique the performances, share their scoring, and reflect on the impact of these acts on the audience and the competition. In this segment, the conversation delves into the judging and scoring of performances on America's Got Talent, focusing on the Mayas and their unique act, as well as the dog act Roni and Rhythm. The hosts discuss their impressions of the performances, the judges' comments, and the overall impact of these acts on the competition. The Mayyas' performance is highlighted for its creativity and cultural significance, while Ronnie and Rhythm's act is analyzed for its execution and charm. The discussion reflects on the nature of talent shows and the subjective experience of judging performances. In this segment of the conversation, the hosts discuss the final rankings and predictions for the AGT performances, analyze the results night, and rate various performances, particularly focusing on animal acts. They delve into the most rewatchable performances and engage in a courtroom-style segment where Minnesota Ryan is put on trial for his choices. The discussion wraps up with an exploration of which era would best suit each act. In this episode, the hosts discuss various AGT acts across different eras, focusing on their performances and potential success in earlier seasons. They engage in a fun quiz about AGT acts, particularly Australian performers, and analyze the stage production of recent acts. The conversation also touches on the historical context of these performances and speculates on the future of AGT, including rumors about cast changes. Keywords AGT, America's Got Talent, rewatchable, performances, Ryan, Cody, commentary, entertainment, diversity, talent show, AGT, America's Got Talent, Avery Dixon, performances, judge cuts, emotional moments, saxophone, talent show, reactions, golden buzzer, V Unbeatable, Acro Army, dance performances, America's Got Talent, judges comments, storytelling in dance, Brent Street, modern dance, scoring performances, Dwayne Wade, AGT, America's Got Talent, performances, judging, The Mayas, Ronnie and Rhythm, quarterfinals, semifinals, talent show, entertainment, AGT, America's Got Talent, performance rankings, results night, animal acts, rewatchable performances, courtroom segment, entertainment, judging, eras tour, AGT, America's Got Talent, Brent Street, The Mayyas, Avery Dixon, Roni and Rhythm, Australian acts, stage production, historical context, AGT rumors Contact Information Facebook | Twitter | Instagram | Threads | Bluesky | Email About AGT Time Podcast AGT Time Podcast is a weekly podcast covering the hit NBC talent competition America's Got Talent. The hosts, Cody Patterson & Jay Bock recap each episode during the regular season. We do rewatch older seasons during the offseason, have guest interviews, or review movies. AGT Commenter makes a frequent appearance on the podcast and gives his deep insight into America's Got Talent. The podcast is typically recorded on Thursday nights and released on Fridays. Riverside.fm We are in the affiliate program for Riverside.fm. If you sign up using this link, then we receive a percentage from your subscription. This really helps us support this podcast. #AGT #AmericasGotTalent
The girls find an old note of Mayas that leads them to the Kahn Cabin. While they are there Hanna slices open her thigh and they call our fav character, Wren to help out
Mes chers camarades, bien le bonjour !Quand on parle des empires amérindiens, très souvent on pense à des nations très anciennes, comme les Mayas ou les Aztèques, qui étaient là bien avant l'arrivée des conquistadors comme Cortés. Mais en fait, certains de ces empires sont apparus très tard, alors que les États-Unis étaient déjà indépendants, et se lançaient à la Conquête de l'Ouest ! Aujourd'hui, nous allons partir vers les grandes plaines, pour vous parler d'un empire. Un vaste territoire, qui s'étire au cœur d'un continent, et qui a été conquis par des guerriers redoutables, cavaliers remarquables et archers d'exception. On pourrait presque croire que c'est l'empire mongol, mais non : en route pour l'Amérique du Nord du 19e siècle, à la découverte de la Comancheria !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Uno de los grandes misterios de la historia es cómo los antiguos mayas construyeron una sociedad tan increíble en una selva tropical durante dos mil años, y luego desaparecieron. ¿Cómo? ¿Por qué? Gracias a los nuevos descubrimientos y a la ciencia moderna, la caída de los antiguos reyes mayas es contada por los propios antiguos mayas. Expertos nos llevan a las profundidades de las cuevas sagradas, al lugar donde se hicieron cada vez más ofrendas, sacrificios humanos y, en la desesperación final, sacrificios de niños. En la densa jungla, sitios clave revelan enigmáticas acumulaciones de bienes y cuerpos enterrados en escombros de palacios, mientras el caos y la desesperación crecían, hasta llegar al fin de su mundo.
Estos sitios, como templos, cenotes y montañas, eran escenarios clave para ceremonias religiosas, astronomía y la vida comunitaria. Cada rincón refleja la cosmovisión maya, un sistema complejo que integra lo celestial, lo terrenal y lo inframundo, mostrando una cultura profundamente arraigada en su entorno. Producción: Informa Radio. Dirección: Blanca Martín. Director: Antonio Sanz. Colaboradores: Fermín Mayorga, Jaime Barrientos, David Gaitero con la colaboración especial del Profesor D. Miguel Rivera Dorado y Javier Hernández Sinde.
Comment un peuple de millions d'habitants a pu être conquis par une centaine d'hommes ? Montage: Martin Bérubé de la chaîne @proposmontreal Sa chaîne est ici: https://www.youtube.com/@proposmontreal Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira 00:00:00 - Introduction 00:01:04 - Nouvelle perspective historique 00:02:00 - Le livre 'Fifth Sun, A New History of the Aztecs' 00:02:38 - Comprendre l'outillage mental des Aztecs 00:03:13 - Terminologie 00:04:48 - Mythologie Aztèque 00:07:07 - Sacrifices humains 00:10:58 - Fondation de Tenochtitlan 00:11:53 - Société Aztèque 00:13:16 - Résistance à la domination Aztèque 00:13:51 - Guerres fleuries 00:14:24 - Arrivée des étrangers 00:15:05 - Sources pour comprendre la perspective aztèque 00:15:39 - La distorsion de l'image des Aztèque 00:16:40 - L'existence des sources aztèques 00:17:57 - L'arrivée des étrangers en 1517 00:18:16 - L'année 1518 et les premiers conflits 00:19:07 - L'année 1519 et l'arrivée de Cortés 00:21:52 - L'importance de Marina dans la conquête 00:25:57 - Le rôle de Marina dans les négociations 00:26:24 - La stratégie de Cortés 00:26:53 - L'arrivée à Tlaxcala 00:27:19 - La rencontre avec Moctezuma 00:27:49 - La position de Moctezuma face aux étrangers 00:29:15 - Le massacre de Cholula 00:29:46 - L'arrivée à Tenochtitlan 00:30:11 - L'arrivée des Espagnols à Tenochtitlan et la rencontre avec Moctezuma 00:31:54 - La stratégie de Cortés et l'emprisonnement de Moctezuma 00:32:52 - L'arrivée de renforts étrangers en 1520 00:35:04 - La victoire de Cortés 00:36:03 - Le massacre de Tenochtitlan et la révolte des Mexicas 00:38:34 - La mort de Moctezuma et la fuite des Espagnols 00:38:50 - La Noche Triste et la défaite des Espagnols 00:40:17 - L'arrivée de l'épidémie de variole à Tenochtitlan 00:43:44 - Le siège de Tenochtitlan et la victoire finale des Espagnols 00:44:43 - La capture de Cuauhtémetoc et la fin de l'Empire Mexicas 00:45:07 - Conclusion et recommandations de lecture Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Camilla Townsend, Fifth Sun: A New History of the Aztecs, Oxford, Oxford University Press, 2019. Camilla Townsend, Le Cinquième soleil : une autre histoire des Aztèques, traduction de Sylvie Taussig, Paris, Albin Michel, 2024. Stefan Rinke, Conquistadors and Aztecs: A History of the Fall of Tenochtitlan, Oxford University Press, 2023. « The Aztecs: We Should Change Our Minds About the World's Villains | Camilla Townsend | TEDxRutgers », TEDx Talks, 7 juillet 2022. https://youtu.be/21rPpdKlLZA?si=6u-ejbkdaWF_Nxs4 Karl Taube, Mythes Aztèques et Mayas, Paris, Seuil, 1995. Dominique Raby, L'épreuve fleurie: Symboliques du genre dans la littérature des Nahua du Mexique préhispanique, Paris, L'Harmattan, 2004, Nathan Wachtel, La vision des vaincus. Les Indiens du Pérou devant la Conquête espagnole (1530-1570), Paris, Gallimard, 1971. « Aztèques », Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Aztèques# « Pourquoi l'Empire aztèque s'est-il effondré si rapidement ? [QdH#12] », Questions d'Histoire, 18 septembre 2018. « Mythologie Aztèque - Mythes et Légendes #4 », Nota Bene, 20 juin 2016. « 40 000 Aztèques VS 500 Espagnols : Noche Triste et bataille d'Otumba », Nota Bene, 14 octobre 2019. « La Mésoamérique des Mayas aux Aztèques (de 550 à 1524) », HerodoteVideos, 8 mars 2023. https://youtu.be/8B-FvvzC-i4?si=7-itQrW42N8IzvLn « Comment les Aztèques ont dominé la Mésoamérique avant de s'effondrer ? », Épisodes d'Histoire, 4 juillet 2023. « The Aztecs: All You Need to Know », Captivating History, 8 septembre 2020. « What Eeryday Life Was Like for the Aztecs », Weird History, 8 décembre 2019. « The Rise And Fall Of The Aztec Empire », History Scope, 28 octobre 2019. https://youtu.be/KWmo9r0hnM8?si=tryMHunjBpbhiBSd Serge Gruzinski, Le destin brisé de l'empire aztèque, Gallimard, 2010, Jacqueline Durand-Forest, Les aztèques, Velles Lettres, 2008. Jacque Soustelle, L'univers des aztèques, Hermann, 1997. Christian Duverger, Cortès, Fayard, 2001. https://www.universalis.fr/encyclopedie/fondation-de-mexico-tenochtitlan/ Le choc microbien, Anne-Marie Moulin dans L'Histoire mensuel 146, juillet-août 1991 https://www.lhistoire.fr/le-choc-microbien#:~:text=Les%20Européens%20qui%20ont%20débarqué,amenaient%20la%20syphilis%20en%20Europe. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2250/evolution-de-linterpretation-de-la-conquete-espagn/ Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #aztec #azteque #mexico
durée : 00:11:57 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de La Terre Au Carré, la Lutte enchantée de Camille Crosnier, la Une des médias par Hervé Poirier du magazine Epsiloon et vos messages laissés sur le répondeur de l'émission. - réalisé par : Jérôme BOULET
Nuestro Insolito Universo 'Cuevas Mayas'. En los cinco minutos de duración que tiene este programa se narran historias asombrosas referentes a cualquier tema.La primera transmisión de este programa se realizó por la RadioNacional de Venezuela el 4 de agosto de 1969 y su éxito fue tal que, posteriormente, fue transmitido también por Radio Capital y, actualmente, se mantiene en la Radio Nacional (AM) y en los circuitos Éxitos y Onda, de Unión Radio (FM), lo cual le otorga una tribuna de red AM y FM que cubren todo el país, uno de los programas radiales más premiados y de mayor duración en la historia de la radio de Venezuela. --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/luis-guzman03/support
Ep. #102 In this week's episode the beautiful Eliza & Maya from Souls In Sync chat with Lil about all things menstrual cycle. Eliza and Maya are amazing Menstrual Health Educators, who have helped changed the lives of thousands of women worldwide. Topics The evolution of Souls In Sync What is the menstrual cycle? What are the 4 phases? What should women expect in each phase? Why does the luteal phase get a bad wrap? The power of your thoughts and beliefs around your menstrual cycle Things to help with PMS and painful periods & what can contribute to these symptoms The importance of creating body awareness Why we should opt for organic and low toxic options The girls personal opinion on common health trends (cold plunges, if it fits your macros, beef liver, skipping breakfast, cycle syncing & more!) Mayas personal journey on incorporating animals products back into her life after being vegan/vegetarian for years How to not feel overwhelmed in the nutrition space Connect with the girls on Instagram here Shop their favourite products and access to the cycle tracker here Shop Block Blue Light https://www.blockbluelight.com.au/?ref=WWSK and use the code WWSK at the checkout for $$$ off! Start caring about your light environment now for healthier hormones. Work with Lil here Follow the WWSK on Instagram here and TikTok here Disclaimer - This podcast is for educational and entertainment purposes only and does not substitute for professional medical advice. Please always consult with a medical professional or healthcare provider when seeking medical advice.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Buenas a todos y bienvenidos a un nuevo episodio de la Biblioteca de Alejandría, hoy en el Bibliotecario Podcast os hemos reído un podcast sobre un un cristiano que luchó con los Mayas contra los españoles cuyo su nombre era Gonzalo Guerrero, aunque entre los españoles se le conoció como El Renegado. Dentro de una de las expediciones que se crearon con el objeto de ampliar y explorar el continente americano por parte de la Corona Española, hubo una ocasión en que todo salió mal, y unos poco hombres fueron abandonados a su suerte en una tierra en la que nadie hablaba su lengua, conocía sus costumbres o les importaba el destino que pudieran tener. Solo dos de aquellos hombres perdidos sobrevivieron, cada uno con una vida y un final completamente diferente. Uno de ellos, Gonzalo Guerrero, se integró con las poblaciones que entre las que se perdió, y tras años azarosos y complejos, llegó a ser un caudillo y tener que batallar contra los hombres entre los que nació. Si queréis conocer la historia de este Renegado, este es vuestro podcast. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 3e épisode (sur 4 prévus), nous plongeons au cœur de la civilisation des Mayas, avec ses temples imposants, ses fresques colorées, et son architecture monumentale. Derrière ces œuvres d'art, se cache un univers profondément spirituel, où la religion imprégnait chaque aspect de la vie et façonnait l'esthétique et la symbolique de leur art.Pour les Mayas, les dieux étaient omniprésents. Ils résidaient dans les astres, dans les montagnes, dans la pluie bienfaitrice et même dans les profondeurs de la terre. L'art maya est donc bien plus qu'un simple ornement : c'est une langue visuelle sacrée, à travers laquelle ils cherchaient à honorer, communiquer et apaiser ces forces divines. Leurs fresques murales racontaient des récits mythologiques et des rituels complexes ; leurs sculptures, souvent de grande taille, représentaient des divinités et des figures puissantes. Les temples, eux, étaient des ponts entre les mondes – des lieux où les prêtres, au sommet de ces édifices vertigineux, entraient en contact avec le cosmos pour lire dans les étoiles ou offrir des sacrifices.Dans cette émission, nous explorerons ensemble comment la religion inspirait l'art des Mayas et guidait la vie de leur civilisation. Comment ces œuvres que nous découvrons encore aujourd'hui sont en fait des messages intemporels, des fenêtres ouvertes sur leurs croyances, leurs rites et leur vision complexe de l'univers. Que nous révèlent ces fresques et ces sculptures sur les pratiques rituelles ? Comment les couleurs, les formes et les symboles servaient-ils à canaliser des messages sacrés ? Et quels liens les Mayas voyaient-ils entre leurs dieux, leurs dirigeants, et le cosmos ? Préparez-vous pour un 3e voyage fascinant dans le passé, au croisement de l'art et du sacré, là où chaque trait de pinceau, chaque pierre sculptée, racontait une histoire divine.Bonus : Le calendrier MayaLes Mayas possèdent un calendrier de 52 années, héritage des Olmèques, et partagé par toutes les civilisations méso-américaines. Mais ils développent un système de plus longue durée, appelé le compte long. En réalité, ce calendrier se compose de 2 calendriers, l'un liturgique, et l'autre pratique. Le calendrier rituel, le Tzolkin, compte 260 jours. Il est constitué de 20 noms de jours, qui se combinent avec les chiffres de 1 à 13. Un même jour réapparaît au terme d'un cycle complet de 13 fois 20 jours, soit tous les 260 jours. Ce système ressemble à notre propre désignation : le lundi premier de tel mois, le mardi 2, le mercredi 3, etc. Le calendrier rituel préside au destin des individus. A côté du Tzolkin, les Mayas utilisent le Haab, un calendrier qui se divise en 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s'ajoute une période de 5 jours, souvent considérés comme néfastes, les uayeb. L'année complète compte donc 365 jours, ce qui s'approche le plus possible de l'année solaire réelle, en l'absence de fraction ou d'années bissextiles. Chaque mois porte un nom, et on désigne les jours par la combinaison des chiffres de 1 à 20 et du nom du mois ; combinaison du Tzolkin et Haab fait que le même jour ne peut réapparaître simultanément dans les deux cycles qu'une fois écoulés 18 980 jours, soit à peu près 52 ans. On obtient une durée, appelée un « siècle » ou une « vieillesse ». Et le cycle recommence, à l'infini. Ces calendriers ont pour principal but d'enregistrer les évènements, de conserver la mémoire du temps passé. Il est nécessaire de noter chaque évènement de l'année en cours, prévoir l'avenir et le destin des hommes autant que des cités. Toutefois, les prêtres, qui sont des hommes de sciences autant que des hommes de religion, sont conscients des imperfections de leur système, et qu'il occasionne un petit décalage, entraînant l'usage de l'année vague. La date des origines est notée 0. Les nombres et les chiffres sont transcrits à l'aide de symboles. Les Mayas comptent de 20 en 20, ce qui correspond au nombre total des doigts et des orteils. Le compte long permet d'évaluer le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la date originelle. Il se compose de 5 éléments : le jour, le kin ; le uinal, qui correspond à 20 jours ; le tun, constitué de 18 uinal donc de 360 jours ; le katun, qui correspond à 20 tun, donc à 7 200 jours, qui se termine toujours par un jour ahau du calendrier rituel ; enfin, le baktun, qui comprend 20 katun, soit 144 000 jours, ce qui correspond à 400 ans. La fascination des Mayas pour le temps les conduit à concevoir des unités encore supérieures, comme le pictun, qui compte 20 baktun, soit près de 7 885 ans. On peut faire mieux encore : 8 000 pictun, unité appelée l'alautun, correspond à 23 040 000 000 jours !
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 3e épisode (sur 4 prévus), nous plongeons au cœur de la civilisation des Mayas, avec ses temples imposants, ses fresques colorées, et son architecture monumentale. Derrière ces œuvres d'art, se cache un univers profondément spirituel, où la religion imprégnait chaque aspect de la vie et façonnait l'esthétique et la symbolique de leur art.Pour les Mayas, les dieux étaient omniprésents. Ils résidaient dans les astres, dans les montagnes, dans la pluie bienfaitrice et même dans les profondeurs de la terre. L'art maya est donc bien plus qu'un simple ornement : c'est une langue visuelle sacrée, à travers laquelle ils cherchaient à honorer, communiquer et apaiser ces forces divines. Leurs fresques murales racontaient des récits mythologiques et des rituels complexes ; leurs sculptures, souvent de grande taille, représentaient des divinités et des figures puissantes. Les temples, eux, étaient des ponts entre les mondes – des lieux où les prêtres, au sommet de ces édifices vertigineux, entraient en contact avec le cosmos pour lire dans les étoiles ou offrir des sacrifices.Dans cette émission, nous explorerons ensemble comment la religion inspirait l'art des Mayas et guidait la vie de leur civilisation. Comment ces œuvres que nous découvrons encore aujourd'hui sont en fait des messages intemporels, des fenêtres ouvertes sur leurs croyances, leurs rites et leur vision complexe de l'univers. Que nous révèlent ces fresques et ces sculptures sur les pratiques rituelles ? Comment les couleurs, les formes et les symboles servaient-ils à canaliser des messages sacrés ? Et quels liens les Mayas voyaient-ils entre leurs dieux, leurs dirigeants, et le cosmos ? Préparez-vous pour un 3e voyage fascinant dans le passé, au croisement de l'art et du sacré, là où chaque trait de pinceau, chaque pierre sculptée, racontait une histoire divine.Bonus : Le calendrier MayaLes Mayas possèdent un calendrier de 52 années, héritage des Olmèques, et partagé par toutes les civilisations méso-américaines. Mais ils développent un système de plus longue durée, appelé le compte long. En réalité, ce calendrier se compose de 2 calendriers, l'un liturgique, et l'autre pratique. Le calendrier rituel, le Tzolkin, compte 260 jours. Il est constitué de 20 noms de jours, qui se combinent avec les chiffres de 1 à 13. Un même jour réapparaît au terme d'un cycle complet de 13 fois 20 jours, soit tous les 260 jours. Ce système ressemble à notre propre désignation : le lundi premier de tel mois, le mardi 2, le mercredi 3, etc. Le calendrier rituel préside au destin des individus. A côté du Tzolkin, les Mayas utilisent le Haab, un calendrier qui se divise en 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s'ajoute une période de 5 jours, souvent considérés comme néfastes, les uayeb. L'année complète compte donc 365 jours, ce qui s'approche le plus possible de l'année solaire réelle, en l'absence de fraction ou d'années bissextiles. Chaque mois porte un nom, et on désigne les jours par la combinaison des chiffres de 1 à 20 et du nom du mois ; combinaison du Tzolkin et Haab fait que le même jour ne peut réapparaître simultanément dans les deux cycles qu'une fois écoulés 18 980 jours, soit à peu près 52 ans. On obtient une durée, appelée un « siècle » ou une « vieillesse ». Et le cycle recommence, à l'infini. Ces calendriers ont pour principal but d'enregistrer les évènements, de conserver la mémoire du temps passé. Il est nécessaire de noter chaque évènement de l'année en cours, prévoir l'avenir et le destin des hommes autant que des cités. Toutefois, les prêtres, qui sont des hommes de sciences autant que des hommes de religion, sont conscients des imperfections de leur système, et qu'il occasionne un petit décalage, entraînant l'usage de l'année vague. La date des origines est notée 0. Les nombres et les chiffres sont transcrits à l'aide de symboles. Les Mayas comptent de 20 en 20, ce qui correspond au nombre total des doigts et des orteils. Le compte long permet d'évaluer le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la date originelle. Il se compose de 5 éléments : le jour, le kin ; le uinal, qui correspond à 20 jours ; le tun, constitué de 18 uinal donc de 360 jours ; le katun, qui correspond à 20 tun, donc à 7 200 jours, qui se termine toujours par un jour ahau du calendrier rituel ; enfin, le baktun, qui comprend 20 katun, soit 144 000 jours, ce qui correspond à 400 ans. La fascination des Mayas pour le temps les conduit à concevoir des unités encore supérieures, comme le pictun, qui compte 20 baktun, soit près de 7 885 ans. On peut faire mieux encore : 8 000 pictun, unité appelée l'alautun, correspond à 23 040 000 000 jours !
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 3e épisode (sur 4 prévus), nous plongeons au cœur de la civilisation des Mayas, avec ses temples imposants, ses fresques colorées, et son architecture monumentale. Derrière ces œuvres d'art, se cache un univers profondément spirituel, où la religion imprégnait chaque aspect de la vie et façonnait l'esthétique et la symbolique de leur art.Pour les Mayas, les dieux étaient omniprésents. Ils résidaient dans les astres, dans les montagnes, dans la pluie bienfaitrice et même dans les profondeurs de la terre. L'art maya est donc bien plus qu'un simple ornement : c'est une langue visuelle sacrée, à travers laquelle ils cherchaient à honorer, communiquer et apaiser ces forces divines. Leurs fresques murales racontaient des récits mythologiques et des rituels complexes ; leurs sculptures, souvent de grande taille, représentaient des divinités et des figures puissantes. Les temples, eux, étaient des ponts entre les mondes – des lieux où les prêtres, au sommet de ces édifices vertigineux, entraient en contact avec le cosmos pour lire dans les étoiles ou offrir des sacrifices.Dans cette émission, nous explorerons ensemble comment la religion inspirait l'art des Mayas et guidait la vie de leur civilisation. Comment ces œuvres que nous découvrons encore aujourd'hui sont en fait des messages intemporels, des fenêtres ouvertes sur leurs croyances, leurs rites et leur vision complexe de l'univers. Que nous révèlent ces fresques et ces sculptures sur les pratiques rituelles ? Comment les couleurs, les formes et les symboles servaient-ils à canaliser des messages sacrés ? Et quels liens les Mayas voyaient-ils entre leurs dieux, leurs dirigeants, et le cosmos ? Préparez-vous pour un 3e voyage fascinant dans le passé, au croisement de l'art et du sacré, là où chaque trait de pinceau, chaque pierre sculptée, racontait une histoire divine.Bonus : Le calendrier MayaLes Mayas possèdent un calendrier de 52 années, héritage des Olmèques, et partagé par toutes les civilisations méso-américaines. Mais ils développent un système de plus longue durée, appelé le compte long. En réalité, ce calendrier se compose de 2 calendriers, l'un liturgique, et l'autre pratique. Le calendrier rituel, le Tzolkin, compte 260 jours. Il est constitué de 20 noms de jours, qui se combinent avec les chiffres de 1 à 13. Un même jour réapparaît au terme d'un cycle complet de 13 fois 20 jours, soit tous les 260 jours. Ce système ressemble à notre propre désignation : le lundi premier de tel mois, le mardi 2, le mercredi 3, etc. Le calendrier rituel préside au destin des individus. A côté du Tzolkin, les Mayas utilisent le Haab, un calendrier qui se divise en 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s'ajoute une période de 5 jours, souvent considérés comme néfastes, les uayeb. L'année complète compte donc 365 jours, ce qui s'approche le plus possible de l'année solaire réelle, en l'absence de fraction ou d'années bissextiles. Chaque mois porte un nom, et on désigne les jours par la combinaison des chiffres de 1 à 20 et du nom du mois ; combinaison du Tzolkin et Haab fait que le même jour ne peut réapparaître simultanément dans les deux cycles qu'une fois écoulés 18 980 jours, soit à peu près 52 ans. On obtient une durée, appelée un « siècle » ou une « vieillesse ». Et le cycle recommence, à l'infini. Ces calendriers ont pour principal but d'enregistrer les évènements, de conserver la mémoire du temps passé. Il est nécessaire de noter chaque évènement de l'année en cours, prévoir l'avenir et le destin des hommes autant que des cités. Toutefois, les prêtres, qui sont des hommes de sciences autant que des hommes de religion, sont conscients des imperfections de leur système, et qu'il occasionne un petit décalage, entraînant l'usage de l'année vague. La date des origines est notée 0. Les nombres et les chiffres sont transcrits à l'aide de symboles. Les Mayas comptent de 20 en 20, ce qui correspond au nombre total des doigts et des orteils. Le compte long permet d'évaluer le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la date originelle. Il se compose de 5 éléments : le jour, le kin ; le uinal, qui correspond à 20 jours ; le tun, constitué de 18 uinal donc de 360 jours ; le katun, qui correspond à 20 tun, donc à 7 200 jours, qui se termine toujours par un jour ahau du calendrier rituel ; enfin, le baktun, qui comprend 20 katun, soit 144 000 jours, ce qui correspond à 400 ans. La fascination des Mayas pour le temps les conduit à concevoir des unités encore supérieures, comme le pictun, qui compte 20 baktun, soit près de 7 885 ans. On peut faire mieux encore : 8 000 pictun, unité appelée l'alautun, correspond à 23 040 000 000 jours !
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Esta semana podría concluir en Guatemala, el juicio por genocidio del pueblo maya ixil, del que se acusa al general retirado Benedicto Lucas García, exjefe del Estado Mayor del Ejército durante la dictadura militar de su hermano, Romeo Lucas García (1978-1982). El general retirado Benedicto Lucas García, presuntamente participó en el genocidio de 1.771 indígenas del norte del país entre agosto de 1981 y marzo de 1982, durante el conflicto armado interno (1960-1996).El ministerio Público de Guatemala considera que el exmilitar de 92 años, planificó y ordenó a estrategia de contrainsurgencia militar en regiones consideradas como "amenaza guerrillera", principalmente en municipios maya Ixil de Santa María Nebaj, San Gaspar Chajul y San Juan Cotzal. Provocando un intento de exterminio de esta comunidad al arrasar con 23 aldeas. "No era una guerra convencional, eliminaron a la población civil"Francisco Vivas, abogado de la asociación de víctimas, explica que según los análisis de los expertos, los militares llegaron a acabar hasta con el 56 % de la población de algunas aldeas. Además, para el abogado, el uso de armas de gran calibre y la destrucción de cosechas determina la intención que tuvo el ejército de acabar con la población maya de Ixil.No era una guerra convencional, sino que era población civil no combatiente a la que eliminaron, entre ellos mujeres y niñosFrancisco Vivas, abogado de la asociación de víctimasEl entonces jefe del Estado Mayor del Ejército de Guatemala, desplazó a las fuerzas armadas principalmente en la región de Quiché, cuyas tierras fueron disputadas durante el conflicto armado interno por sus zonas de interés petrolero, agrícola y comercial. Leer tambiénUn general enfrenta juicio por genocidio de indígenas en Guatemala"No era una guerra convencional, sino que era población civil no combatiente a la que eliminaron, entre ellos mujeres y niños", aclara Vivas.Una herida de todo el pueblo de GuatemalaUnas 50 familias indígenas que habrían sido diezmadas en las 34 masacres documentadas, están representadas por la Asociación Justicia y Reconciliación (AJR). La justicia no solo le debe mucho a las víctimas, sino a un pueblo enteroFrancisco Vivas, abogado de la asociación de víctimas"Para nosotros es una cuestión muy difícil porque se han muerto varios testigos", confiesa el abogado.A pesar de ello, este afirma que todavía hay víctimas que siguen vivas y que, con toda la fuerza que las caracteriza, "siguen en pie esperando que los criminales reciban una sentencia condenatoria". Leer tambiénIndígenas sobrevivientes relatan horrores en un juicio por genocidio en Guatemala"La justicia no solo le debe mucho a las víctimas, sino a un pueblo entero, ya que estos delitos son catalogados como de trascendencia internacional. No solo afectan a la población Ixil, afectan todo el pueblo de Guatemala", declara Francisco Vivas. Actualmente, Benedicto Lucas García, cumple una pena de 58 años de cárcel porque en mayo de 2018, junto a otros cuatro altos militares, fue condenado por los delitos de falta a los deberes de la humanidad, violación agravada de una estudiante y la desaparición forzada del niño Marco Antonio Molina Theissen, en octubre de 1981.
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Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne.Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine.Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux.La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse.Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne.Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine.Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux.La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse.Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.
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Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique.Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible.Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.
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Mesoamérica es cuna de culturas asombrosas que surgieron en medio de una de las geografías más hermosas del planeta. Allí, los mitos mayas y aztecas (mexicas) representan una entrada fascinante a la rica historia y las creencias de estas poderosas civilizaciones que influyeron profundamente en el centro y norte del continente americano. Notas del episodio: Este episodio fue pautado por la escuela negocios Berlin School of Business and Innovation (BSBI). BSBI te ofrece una educación de primer nivel con programas depregrado, maestría y doctorado en cuatro vibrantes ciudades: Berlín, Hamburgo, París y Barcelona. Todos los programas son impartidos en inglés y con la opción de estudiar en español en el campus de Barcelona. ¡Ofertas especiales disponibles! Para más información, contáctanos aquí. El maravilloso mundo mesoamericano Ixchel: la diosa maya de la luna La diosa mexica de todas las aguas: Chalchiuhtlicue Por qué los mayas consideran que el alma y el corazón de los seres humanos están hechos de maíz Las flores y la belleza, atributos de la joven Xochiquetzal El mito de la peregrinación de Aztlán, origen de los mexicas ¡Síguenos en nuestras Redes Sociales! Facebook: / dianauribe.fm Instagram:https://www.instagram.com/dianauribe.fm/?hl=es Twitter: https://twitter.com/dianauribefm?lang=es Pagina web: https://www.dianauribe.fm