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durée : 00:04:36 - Le Reportage de la rédaction - Cette incroyable demeure édifiée entre 1902 et 1908, hommage à la Grèce antique, est ouverte ponctuellement à des artistes et toute l'année à des publics très variés. Des jeunes de l'école de la 2e chance viennent ainsi d'y échanger avec le plasticien Gabriel Leger lors d'une visite et d'un atelier. - invités : Gabriel Leger Artiste plasticien
Episode 475 / Banks VioletteBanks Violette is an artist born in Ithaca, NY who lives and works in Ithaca, NY. He recieved his BFA from the School of Visual Arts and an MFA from Columbia University. He's had numerous solo shows including ones at MoCa, Connecticut, Gladstone Gallery, Blum & Poe, Thaddeus Ropac, Maureen Paley, Team Gallery, Rodolphe Janssen, and the Whitney Museum to name just a few. He's had scores of group shows all over the globe from the Museum of Modern Art to the Warhol Museum and his work is in the collections of The Coppel Foundation, MexicoThe Ellipse Foundation, Portugal, The Centre Pompidou, Paris, France, Frank Cohen Collection, Manchester, England The Jumex Foundation, Mexico, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Migros Museum für Gegenwartskunst, Zurich, Switzerland Musée d'Art Moderne et Contemporain, Geneva, Switzerland Museum of Contemporary Art, Los Angeles, Museum of Modern Art, New York, The OverHolland Collection, Amsterdam, The Netherlands The Saatchi Collection, London, UK, The Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Frederick R. Weisman Art Foundation, Los Angeles and the Whitney Museum of American Art, New York.
durée : 00:08:00 - Les Midis de Culture - par : Lucile Commeaux - Les critiques discutent du nouveau film du réalisateur iranien Jafar Panahi en lice pour la Palme d'Or, "Un simple accident". - réalisation : Laurence Malonda, Anne-Laure Chanel - invités : Antoine Guillot Journaliste, critique de cinéma et de bandes dessinées, producteur de l'émission "Plan large" sur France Culture; Josué Morel Rédacteur en chef de la revue Critikat
Caroline Djuric et Mirco Tardio ont créé l'agence Djuric-Tardio en 2004, après avoir tous deux travaillé dans l'agence Chaix et Morel et les Ateliers Jean Nouvel. C'est à partir de leur bagage originel et de ces deux expériences solidement ancrées qu'il définissent leur propre philosphie architecturale ; basée sur la recherche et le développement, l'accent est mis sur l'utilisation de dispositifs bioclimatiques et de matériaux biosourcés issus de circuits courts, ce qui constitue le fil rouge de leur démarche. Ces efforts visent à promouvoir une ville frugale grâce à une « charte évolutive » qu'ils appliquent à l'échelle de leurs projets architecturaux et urbains. Cette charte permet de proposer des constructions à haute performance énergétique, tout en étant évolutives dans le temps et dans leur usage.Dans ce numéro de Com d'Archi Podcast, Caroline et Mirco évoquent les origines de leur pratique, révèlent leur goût pour la cuisine, expliquent comment s'est articulée la génèse de leur ADN architectural liant patrimoine et contemporanéité au delà des strates, révèlent leurs projets emblématiques dont la réhabilitation bas-carbone de la résidence Einbeck de Thiais (94) construite avec et grâce aux savoir-faire de l'entreprise SYbois, partenaire essentiel à cette réalisation.Ingénierie son : Ali ZogheibImage teaser © Com d'Archi Podcast : Caroline Djuric et Mirco Tardio au coeur du MCenter du Groupe Millet à Paris 14e, épisode réalisé en partenariat avec Sybois.Sybois, la solution constructive bas carbone murs et façades Ossature bois. Le concept SYbois est un art de penser un mur autour de son ouverture : la Menuiserie, qu'il intègre. A retrouver sur www.sybois.com.____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:43:18 - En pistes, contemporains ! du dimanche 04 mai 2025 - par : Emilie Munera - Cette semaine, découvrez dans votre émission d'actualité de la musiques contemporaines Georges Lentz sublimé par Arabella Steinbacher ou encore Gerard Pesson sous la baguette de Guillaume Bourgogne. En pistes, Contemporain ! - réalisé par : Céline Parfenoff
durée : 00:43:18 - En pistes, contemporains ! du dimanche 04 mai 2025 - par : Emilie Munera - Cette semaine, découvrez dans votre émission d'actualité de la musiques contemporaines Georges Lentz sublimé par Arabella Steinbacher ou encore Gerard Pesson sous la baguette de Guillaume Bourgogne. En pistes, Contemporain ! - réalisé par : Céline Parfenoff
durée : 00:43:18 - En pistes, contemporains ! du dimanche 04 mai 2025 - par : Emilie Munera - Cette semaine, découvrez dans votre émission d'actualité de la musiques contemporaines Georges Lentz sublimé par Arabella Steinbacher ou encore Gerard Pesson sous la baguette de Guillaume Bourgogne. En pistes, Contemporain ! - réalisé par : Céline Parfenoff
durée : 00:14:26 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Dans cette petite commune de l'Hérault, une association organise une nuit blanche entièrement gratuite, dans différents lieux, pour démocratiser l'accès à la création contemporaine. Egalement au programme : une ferme qui vise l'autonomie alimentaire.
Alain Defremont chroniqueur cinématographique de l'UFAL vous présente les films :« Rosetta », « Tori et Lokita », « Kes », « Le vent se lève », « Les neiges du Kilimandjaro », « Twist à Bamako ».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:02 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Les critiques discutent de "Je suis fan" de Sheena Patel, un premier roman qui nous plonge dans l'obsession amoureuse maladive de sa narratrice et questionne notre rapport aux réseaux sociaux. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.; Virginie Bloch-Lainé Productrice à France Culture, critique littéraire, romancière.
Nathalie Obadia « L'art contemporain ; Des esprits conquérants » (Le cavalier Bleu)L'art contemporain, tel qu'il est apparu depuis la fin des années 60, est indissociable des logiques de mondialisation et de softpower qui fédèrent de multiples acteurs et autant de figures majeures au service de la création et de sa diffusion.En premier lieu, les artistes avec des figures comme Gerhard Richter, Louise Bourgeois, Damien Hirst ou Yayoi Kusama, mais aussi les curators dont Harald Szeemann est un précurseur et la Cheikha Hoor Al Qasimi une incarnation des sensibilités du Sud Global, les galeristes avec Larry Gagosian et Marian Goodman, les foires dont l'emblématique Art Basel incarnée par Marc Spiegler, des collectionneurs comme François Pinault ou Uli Sigg, sans oublier celles et ceux qui ont œuvré à la muséification de l'art contemporain comme Suzanne Pagé ou Renzo Piano qui lui a créé ses plus lumineux écrins.Partant de sa double expertise de galeriste et d'enseignante, Nathalie Obadia nous présente ici les figures majeures de l'art contemporain et nous permet de saisir leur étroite imbrication et interdépendance.Musique: "Hymne à l'amour" Edith Piaf Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:16:05 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Écrivain mondialement reconnu, Etgar Keret explore avec humour et nuance la vie en Israël, offrant un regard à la fois grave et léger sur les complexités de cette société singulière. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Etgar Keret Ecrivain, scénariste et réalisateur
Retrouvez notre dernier entretien indécent où Fred et Aranitha reçoivent Mehdi Sahmi et Marc Clément, auteurs sur la nouvelle itération de Chroniques Oubliées Contemporain V2 chez Black Book Editions.Au menu, tout sur la V1, Cthulhu Origines et bien sur cette nouvelle édition avec sa nouvelle philosophie de jeu et ce qui est prévu.Bonne écoute !
Luxe, impact, matières premières, environnement, crypto ... Chaque jour, une nouvelle thématique d'investissement !
durée : 00:04:59 - L'art contemporain vient vers vous à Quimper avec un espace d'expo tiré par un vélo : "la Galerie remorquée"
durée : 00:12:25 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Les critiques discutent de "La Nuit sur commande" de Christine Angot, un livre qui déjoue le principe de la collection chez Stock qui propose aux écrivains de passer une nuit dans un musée de leur choix. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.; Virginie Bloch-Lainé Productrice à France Culture, critique littéraire, romancière.
L'immeuble haussmannien a-t-il un bel avenir devant lui ? C'est l'architecte Augustin Rosenstiehl qui a répondu à la question en s'appuyant sur l'exemple de l'un de ses projets emblématiques situés dans le 18ème arrondissement de Paris. Au cœur d'un quadruple îlot haussmannien, il était en effet un bâtiment appartenant à Emmaüs et une dent creuse qui a donné à cet architecte la possibilité d'imaginer un futur à l'immeuble haussmannien, contemporain et frugal. Une belle histoire parisienne, tout en cohérence avec le travail d'une équipe dont le travail « interroge la place de la nature dans l'urbain et explore la potentialité de ses formes dans le renouvellement de l'habitat, des équipements et de l'espace public ». Une émission animée par Anne-Sandrine Di Girolamo.
Dans cet épisode de Ta Face B, Alexandre nous parle d'un sport qu'il a suivi avec passion, d'un film à l'univers onirique qui l'a marqué et d'un dessert familial incontournable. Il partage aussi un voyage qui a changé son regard sur le monde et son anecdote qui l'a amenée à participer à un concours prestigieux.Support the showListen to all the episodes, rate and review us wherever you listen to your podcasts!--Écoute tous les épisodes, laisse nous une note et un commentaire partout où tu écoutes tes podcasts!Contact: Instagram (EN) Instagram (FR) TwitterLinkedinFacebookEmail: your.bside.podcast@gmail.com Credits: Jazzy Abstract, by BeatComa-Media
Le sujet :Investir dans l'art contemporain lorsqu'on ne fait pas partie du top 1 % des plus riches de la planète : est-ce vraiment possible ? Si oui, comment sélectionner les meilleures œuvres ?L'invité du jour :Arnaud Dubois est le cofondateur de Matis, un club deals d'art contemporain. Au micro de Matthieu Stefani, il nous dévoile les coulisses du marché de l'art :Où se situe le marché de l'art contemporain aujourd'hui ?Comment investir dans un Picasso sans être millionnaire ?Pourquoi le marché de l'art n'est-il pas spéculatif ?Quels sont les artistes à suivre de près ?Quel est le problème avec les NFT d'art ?Ainsi que d'anciens épisodes de La Martingale :#25 - Comment investir dans l'art ? - Arnaud Dubois#52 – Investir dans l'art sans se tromper – Paul Nyzam#100 - Tout comprendre des NFTs d'art#147 – Investir dans la photographie d'art – Samantha McCoy#227 - Investir dans l'art moderne et contemporain en 2024Merci à notre partenaire Louve Invest : Louve Invest vous propose jusqu'à 3,5 % de cashback sur les frais de souscription sur les SCPI éligibles (jusqu'à 350 € pour 10 000 € investis !)Cliquez sur ce lien pour bénéficier des offres avec cashback boosté :)Retrouvez leur dernière étude sur le classement 2025 des SCPI: la synthèse ou l'étude complète.On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.
Transmettre l'art contemporain aux enfants, offrir aux artistes la possibilité de créer sur le continent africain, c'est l'histoire pionnière incarnée par Marie-Cécile Zinsou et toute l'équipe de la Fondation devenue Musée à Ouidah au Bénin. L'amazone de l'art a été la première à exposer Romuald Hazoumé ou Cyprien Tokoudagba inconnus dans leur propre pays, la première aussi à montrer les œuvres d'artistes internationaux comme Jean-Michel Basquiat ou Joël Andrianomarisoa. Et c'est justement avec Joël Andrianomarisoa, son complice de toujours, que l'exposition Promesse célèbre 20 ans d'engagement et de restitution. Restitution des trésors royaux du Dahomey mais surtout restitution de l'histoire et de l'identité des Béninois, sans faire abstraction de leurs émotions. Esprit libre, Marie-Cécile Zinsou reste fidèle à la promesse faite à son grand-oncle le Président Zinsou : Changer le monde ! À découvrir :- Le site de la Fondation- L'histoire de la Fondation- L'exposition Promesse pour les 20 ans de la Fondation- Les publications de la Fondation- Le studio Joël Andrianomarisoa Album de famille de la Fondation (Diaporama)Du fond du cœur, je remercie toutes les équipes de la Fondation Zinsou :Marie-Cécile Zinsou, présidente ; Halima Moumouni-Jeanjean, directrice générale ; Choubine Houngbo, responsable production ; Josué Agbo, adjoint technique ; Laura Fagbohoun, manager cafétéria-boutique et Claude Akotome, responsable site Ouidah sans oublier toute l'équipe des guides culturels du Lab de Cotonou et du Musée de Ouidah.Je tiens également à remercier l'artiste Joël Andrianomarisoa pour avoir accepté ma présence pendant l'accrochage de son exposition, et toute son équipe du studio Joël Andrianomarisoa.Spéciale dédicace à Sophie Douay, directrice de l'association Contemporary A, responsable de la médiation culturelle, commissariat, éditions, gestion de la collection de la Fondation Zinsou.Sans oublier tous les artistes rencontrés sans lesquels je n'aurais pu réaliser ce documentaire : Ishola AkpoJérémy Demester ou l'oeuvre de Cyprien Tokoudagba. Pour aller plus loin, le podcast.Le podcast « Le mystère du 27è trésor », signé Pierre Firtion, revient sur le trésor qui manque à l'appel quand la France restitue au Bénin le 10 Novembre 2021, 26 œuvres pillées dans les palais royaux d'Abomey par le colonel Dodds en 1892. La mémoire de cet objet manquant, un tabouret sacré qu'on appelle « kataklé », s'est en fait perdue au fil des années. L'historienne de l'art Marie-Cécile Zinsou est à l'origine de cette découverte.
durée : 01:30:02 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Connaître le cinéma : 1- Le cinéma ouest-allemand : "Die Parallelstrasse" de Ferdinand Khittl, 2- Le cinéma allemand contemporain en RDA : "Etoiles" de Konrad Wolf (1ère diffusion : 20/02/1965 et 06/03/1965) - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:02:24 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Cyril Hanouna, ex-animateur de la défunte chaîne de télévision C8, incarne les contradictions de notre époque, partagée entre reconnaissance des anonymes et obsession de la notoriété. - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:02:24 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Cyril Hanouna, ex-animateur de la défunte chaîne de télévision C8, incarne les contradictions de notre époque, partagée entre reconnaissance des anonymes et obsession de la notoriété. - réalisation : Félicie Faugère
Pas facile de représenter un animal aussi grand que la baleine ! Un défi que les artistes d'aujourd'hui se plaisent pourtant à relever ! L'une d'elle, Sandra Guilbot, sous le pseudonyme de Sandrot, a réalisé sa plus grande fresque en 2021 : une baleine de 25 m de long et 7 m de haut, à l'aéroport de La Rochelle.Souvent ces performances véhiculent un message écologique fort. Ce cachalot sur les bords de Seine, c'est un vrai ? Non, c'est de l'art. En 2017, les Parisiens ont découvert avec stupeur le corps du cétacé échoué. On doit cette sculpture très réaliste au collectif Captain Boomer. Son but ? Sensibiliser au changement climatique. Et l'œuvre est tristement prémonitoire puisqu'en 2022, une orque puis un béluga s'égarent dans la Seine avant d'y mourir.En 2018, à Bruges, c'est une baleine de 11,5 m de haut qui s'élance hors de l'eau dans un saut impressionnant ! Elle est constituée de 5 tonnes de déchets plastiques qui symbolisent les 150 millions de tonnes qui flottent aujourd'hui dans nos océans.Vous vous souvenez de cette croyance vietnamienne qui dit que les baleines soutiennent les navires pour les empêcher de chavirer pendant les tempêtes (épisode 10/12) ? Eh bien, figurez-vous qu'il s'est passé à peu près la même chose à Spijkenisse près de Rotterdam aux Pays-Bas. Alors qu'un conducteur de métro ramène seul son engin, celui-ci déraille et est arrêté in extremis par la queue d'une sculpture de baleine construite au bout des rails de la station. Cette œuvre représentant deux queues de baleine en polyester, créée par l'artiste néerlandais Maarten Struijs, avait longtemps été décriée. Mais là, elle a sauvé la vie d'un homme. Ne jamais sous-estimer le pouvoir de l'art !______ La série "Tout un Art !" 12x10') raconte le Vivant dans la (pop) culture, l'Art et l'Histoire, au-delà des aspects biologiques et comportementaux. Et aussi de connecter deux mondes qui se nourrissent l'un l'autre. Oscar Wilde ne disait-il pas que "la nature imite l'art" ?Il est temps que chacun.e se cultive, soigne et réenchante son lien avec nos colocataires non-humains et ressente le besoin de faire ce qu'il peut, ce qu'il doit.Après tout, chaque espèce n'est-elle pas aussi précieuse qu'une cathédrale Notre Dame, qu'une Joconde ? _______Cette émission a été conçue et préparée par deux grands curieux. Sylvia Roustant est professeure, agrégée de lettres et créatrice du site Le secret derrière le tableau.Marc Mortelmans est créateur de podcasts, conférencier et auteur d'En finir avec les idées fausses sur le monde Vivant (Éditions de l'atelier 2024) et de Nomen, l'origine des noms des espèces (Ulmer 2024). contact@baleinesousgravillon.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:08 - Une semaine dans leurs vies - Deuxième épisode de notre plongée dans la préparation du Salon de Montrouge, qui accueille cette année 40 artistes contemporains. Parmi ces artistes, Lou Motin, qui a commencé dans l'artisanat et la taille de pierre, et présente une installation aux allures de site archéologique.
durée : 00:14:18 - Le disque contemporain de la semaine du dimanche 12 janvier 2025 -
C'est sous le titre : Rien de trop beau pour les dieux que sont réunies, à la Fondation Opale, au cœur des Alpes Suisses, des œuvres contemporaines de tous les continents, imprégnées de spiritualité et de croyances. Si la religion et la foi font partie de l'art classique occidental, l'art contemporain lui s'est décrété laïque. Jean-Hubert Martin, le commissaire de l'exposition, a voulu contrer cette règle. Celui qui s'est déjà fait connaître il y a 35 ans avec l'exposition Les Magiciens de la terre au centre Pompidou, faisant entrer des artistes non occidentaux dans le sacro-saint temple de l'art contemporain parisien, se démarque une fois de plus.
En République démocratique du Congo, pourquoi l'art contemporain congolais s'impose de plus en plus sur les marchés internationaux. Des artistes comme Freddy Nsimba, Vitshois ou encore Ndolé et Chéri Samba sont aujourd'hui exposés dans les plus galeries les plus prestigieuses du monde… Mais comment expliquer cet essor ? Pour le comprendre, il faut se rendre à l'Académie des Beaux-Arts, où ont été formés la majorité des artistes congolais. L'institution publique fête ses 80 ans et jouit d'une solide réputation à l'échelle mondiale. (Rediffusion) Après avoir été sous l'influence du pouvoir de Mobutu, l'Académie s'efforce depuis plusieurs décennies de se détacher des stéréotypes d'un art « exotique » ou « africain », pour inventer un langage artistique congolais à part entière.«L'art contemporain en République Démocratique du Congo : affirmer son identité pour mieux s'exporter», un Grand reportage d'Aurélie Bazzara-Kibangula.
durée : 00:42:15 - En pistes, contemporains ! du dimanche 01 décembre 2024 - par : Emilie Munera - L'accord et la dissonance musicale, telle est la formule magique que nos artistes du jour utilisent pour faire résonner des mélodies envoûtantes, pleines de charmes et de sons. En pistes, Contemporain ! de la douceur sous toutes ses formes. - réalisé par : Philippe Petit
Un tunnel long comme la carlingue d'un avion, des photos de clés de Gaza, un mur recouvert de pages d'un livre, la 17e Biennale de Lyon multiforme, réunit sur neuf sites 78 artistes français et étrangers, confirmés et émergents. Aux Grandes Locos, le cœur battant de l'événement, l'artiste franco-marocaine Chourouk Hriech présente ses dessins au crayonné fantastique dans une immense tente khaïma, abritant un monde libre comme les oiseaux.► Biennale d'art contemporain de Lyon jusqu'au 5 janvier 2025
Il y a deux mois, Israël lançait une intense campagne de bombardements sur le Liban voisin, accompagnée d'une offensive terrestre. 900 000 personnes ont été poussées sur les routes et des centaines sont mortes selon les Nations unies. Dans ce contexte, deux correspondantes françaises, Sophie Guignon et Chloé Domat, et le dessinateur libanais Kamal Hakim nous invitent à voyager à Beyrouth pour découvrir l'histoire du Liban contemporain. RFI: Sophie Guignon, vous êtes journaliste correspondante au Liban. Comment vous est venue cette idée de bande dessinée ?Sophie Guignon : C'est un projet qui est né après l'explosion du port de Beyrouth, le 4 août 2020. L'idée s'est assez vite imposée, en tant que journaliste, de suivre des médecins dont les hôpitaux ont été détruits à cause de l'explosion. Et c'est comme ça qu'on a rencontré le docteur Sacy dans les ruines de son hôpital. Il avait construit quelques années auparavant le premier service de pédiatrie d'urgence de pointe dans un hôpital public. Et donc ça permettait d'accueillir tout le monde, les réfugiés syriens, les Palestiniens, les travailleurs migrants et, de plus en plus, récemment, avec la crise économique aussi, des Libanais de la classe moyenneÀ travers l'histoire du docteur Sacy, vous relevez le défi de raconter la complexe histoire contemporaine du Liban en bande dessinée.C'est vrai que raconter le Liban en tant que journaliste et à travers le format d'une bande dessinée, c'est toujours un challenge, parce que le Liban est un pays assez complexe. La figure du docteur Sacy, c'est une figure intéressante parce que c'est une figure qui a aussi évolué avec le pays au fil des années. C'est quelqu'un qui, quand il a commencé sa carrière, notamment pendant la guerre civile, s'est engagé aux côtés des milices chrétiennes. Il était ambulancier, ce n'était pas un combattant. Mais voilà, c'était quand même un engagement à une époque où les Libanais étaient très divisés, on était en plein conflit de guerre civile, conflit interconfessionnel. C'est quelqu'un qui était un homme de son temps, mais qui au fur et à mesure de la reconstruction a aussi évolué jusqu'à devenir le pédiatre de nombreux Libanais, mais aussi des réfugiés syriens, des réfugiés palestiniens et des plus pauvres au Liban. Donc, c'est quelqu'un qui, au fur et à mesure du temps, s'est aussi engagé pour les plus déshérités.Dans cette BD, on vous voit aussi évoluer, vous et votre collègue Chloé Domat. Vous êtes toutes les deux correspondantes pour des médias francophones. Quel regard portez-vous sur cette expérience ?C'est vrai que c'est une actualité très difficile. On vit au Liban, donc toutes les catastrophes qui arrivent, on les vit aussi avec les Libanais. C'est quand même un pays où il y a aussi une grande solidarité qui se manifeste. Aujourd'hui, avec la guerre, il y a énormément de gens qui sont engagés pour préparer des repas pour les déplacés, qui ont ouvert des écoles, qui ont ouvert aussi leur maison pour accueillir plus de 1 400 000 déplacés au Liban. C'est plus d'un habitant sur quatre. Donc, c'est évidemment une actualité difficile. Mais je dirais aussi qu'en tant que journaliste, on essaye de montrer ce qu'il peut y avoir de positif, ou en tout cas un message d'espoir pour l'avenir. Et le docteur Sacy, c'était quelqu'un qui avait un message de solidarité et d'espoir pour l'avenir du Liban. Et à travers cette BD, on essaye de faire aussi perdurer son message.L'un des personnages de votre BD revient justement sur l'emploi fréquent du mot résilient pour décrire les Libanais. C'est une erreur, d'après vous ?C'est quelque chose qui peut aussi finir par être agaçant, de considérer que les Libanais sont résilients face aux guerres, à la crise économique, qui a quand même fait plonger plus de 80 % de la population sous le seuil de pauvreté. On ne peut pas effectivement rester intact après toutes ces crises, c'est aussi ça qu'on voulait raconter et un peu démystifier cette tendance qu'effectivement beaucoup de gens ont à décrire le Liban et les Libanais comme des gens résilients. En fait, non, les gens, la population, les Libanais ne sont pas résilients. Ils font ce qu'ils peuvent au milieu des crises, avec le plus de dignité possible. Mais ceux qui sont réellement les plus résilients, c'est en fait la classe politique. Parce que c'est eux qui n'ont pas bougé depuis la guerre civile, depuis 40 ans, 50 ans même.À écouter dans Grand reportageLiban : les civils pris au piège de l'offensive israélienne
À la 17ᵉ Biennale d'art contemporain de Lyon, Au cas où, de l'artiste palestinien Taysir Batniji, est la seule création sur la guerre à Gaza. La Biennale d'art contemporain de Lyon est riche de 280 œuvres de 78 artistes internationaux présentés dans neuf lieux de l'agglomération lyonnaise. Le plasticien de 57 ans, Taysir Batniji, réalise pour le Musée d'art contemporain de la ville un récit sans détours, l'expression d'une sidération. Il a récolté, depuis le début de la guerre à Gaza le 8 octobre 2023, les clés de maisons détruites de Gazaouis. Deux cents photos montrent cet objet devenu symbolique pour les Palestiniens, depuis la dépossession de leurs terres en 1948. La Biennale d'art contemporain de Lyon se tient jusqu'au 5 janvier 2025. À lire aussiBande de Gaza: 365 km² anéantis par Israël en 365 jours, «une volonté de détruire une mémoire»
durée : 00:32:56 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - . - réalisation : Alexandra Malka
Chants provenant de grottes, marmites enragées, tapisserie monumentale, journal de bord d'un Iranien queer : la Biennale d'art contemporain de Lyon et met plein les yeux et les oreilles. Sa 17e édition, forte de 280 œuvres, réunit dans neuf lieux de la métropole lyonnaise 78 artistes français et étrangers. Parmi eux, Oliver Beer. L'artiste et compositeur britannique crée l'événement avec sa création visuelle et musicale spectaculaire, « The Resonance Project : The Cave ». Oliver Beer, créateur pluridisciplinaire à l'extrême, réalise pour les « Grandes Locos » – centre névralgique de l'événement – un projet inédit avec huit chanteurs de haut niveau, de Rufus Wainwright à Woodkid et Mélissa Laveaux. Chacun interprète son premier souvenir musical d'enfance dans un cadre unique : une grotte paléolithique de Dordogne.Cet exploit est l'aboutissement d'un travail amorcé par ce visionnaire il y a plus de 15 ans sur le son propre à chaque endroit. Oliver Beer a déjà a tendu ses micros dans les immenses tuyaux d'air du centre Pompidou à Paris, entre autres. Mais pour la Biennale de Lyon, le Britannique de 39 ans pousse plus loin ses recherches et imagine faire bouger l'art par le son. À l'aide d'un haut-parleur, il fait vibrer des pigments sur ses toiles à l'intérieur de ce site préhistorique connu pour abriter certaines des premières œuvres d'art de l'humanité. La 17e Biennale de Lyon jusqu'au 25 janvier 2025.
durée : 00:27:55 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Audrey Bonnet et Stanislas Nordey, le duo d'interprètes de “Clôture de l'amour” de Pascal Rambert, pièce mythique du théâtre contemporain, rejoue toujours, treize ans après, la même rupture. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Audrey Bonnet; Stanislas Nordey Comédien et metteur en scène français, directeur du Théâtre National de Strasbourg (TNS)
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Patrick Delat a été le directeur du Centre d'art contemporain photographique – Villa Pérochon depuis sa création jusqu'à 2024 et dans cet épisode on est revenu sur les projets photographiques qu'il a menés à Niort depuis les années 80. Il nous a expliqué l'histoire des Rencontres de la jeune photographie internationale menée par une équipe de bénévoles et de passionnés depuis trente ans. On a parlé des enjeux et de l'importance de fédérer le collectif autour d'un projet qui doit faire sens et garder le cap sur son projet pour durer dans le temps, mais aussi des difficultés qu'il a pu rencontrer en tant qu'association à financement public. Merci à lui, longue vie au CACP-Villa Pérochon et bonne écoute !Villa Perochon : https://www.cacp-villaperochon.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:27:34 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, littérature irlandaise : "Intermezzo" de Sally Rooney et "Long Island" de Colm Toibin. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Élise Lépine Journaliste littéraire au Point; Céline du Chéné Productrice à France Culture
durée : 00:58:45 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - A la découverte de Dubaï, plaque tournante de la finance, du commerce, du tourisme, de la criminalité mondialisés. En somme, une véritable "ville-monde" de notre temps ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Carlos Moreno Professeur des Universités, chercheur, auteur, expert international villes, territoires de demain; Sébastien Jean Professeur d'économie au Conservatoire National des Arts et Métiers et directeur associé de l'initiative Géoéconomie-géofinance de l'Ifri (Institut français des relations internationales); Camille Ammoun Écrivain et politologue, chercheur associé en environnement urbain et économie du changement climatique à l'Université Américaine de Beyrouth
En RD Congo, pourquoi l'art contemporain congolais s'impose de plus en plus sur les marchés internationaux. Des artistes comme Freddy Nsimba, Vitshois ou encore Ndolé et Chéri Samba sont aujourd'hui exposés dans les plus galeries les plus prestigieuses du monde… Mais comment expliquer cet essor ? Pour le comprendre, il faut se rendre à l'Académie des Beaux-Arts, où ont été formés la majorité des artistes congolais. L'institution publique fête ses 80 ans et jouit d'une solide réputation à l'échelle mondiale. Après avoir été sous l'influence du pouvoir de Mobutu, l'Académie s'efforce depuis plusieurs décennies de se détacher des stéréotypes d'un art « exotique » ou « africain », pour inventer un langage artistique congolais à part entière.«L'art contemporain en République Démocratique du Congo : affirmer son identité pour mieux s'exporter», un Grand reportage d'Aurélie Bazzara-Kibangula.
Patrick Delat a été le directeur du Centre d'art contemporain photographique – Villa Pérochon depuis sa création jusqu'à 2024 et dans cet épisode on est revenu sur les projets photographiques qu'il a menés à Niort depuis les années 80. Il nous a expliqué l'histoire des Rencontres de la jeune photographie internationale menée par une équipe de bénévoles et de passionnés depuis trente ans. On a parlé des enjeux et de l'importance de fédérer le collectif autour d'un projet qui doit faire sens et garder le cap sur son projet pour durer dans le temps, mais aussi des difficultés qu'il a pu rencontrer en tant qu'association à financement public. Merci à lui, longue vie aux Rencontres de la jeune photographie internationale et bonne écoute !2'35 - Son parcours en tant qu'animateur puis directeur de centre socioculturel et sa rencontre avec la photographie.7'50 – Animateur d'un atelier photo et sa participation avec la création d'un collectif à L'Europe D'art d'Art en 1989 pendant quelques années.12' – Envie de continuer son projet autour d'un collectif avec le soutien de la ville et la création d'une association en 1994, Pour l'Instant.13' – La résidence comme période protégée pour s'interroger sur sa pratique avec 8 résidents autour d'une personnalité de la photographie.14'- Un format qui évolue sur la période et la durée et la création de la Villa Perochon, un centre d'art dédié à la photo en 2013 puis premier centre photo d'intérêt national en 2018.17'30 – Un financement public de la ville, de la Drac et de la région 20' – Importance de la médiation avec le premier emploi de l'association dédié à un médiateur culturel. 23'50 – Durant les 15 ans premières années uniquement des bénévoles dont lui et il est salarié à mi-temps en 2012. Avant l'ouverture de la Villa Perrochon, il avait deux vies : directeur de centre socioculturel et bénévole de l'association Pour l'Instant. 27- Les étapes de création d'une association comme la sienne : _ proposer une idée et aller vers les gens qui sont intéressés de tous niveaux sociaux et professionnels pour créer un collectif et fédérer les énergies. _ l'animer en gardant des contacts fréquents et construire le projet ensemble. _ structurer petit à petit et se donner des objectifs sans contrainte de temps. 32' – L'ancrage territorial l'a protégé des changements de municipalités. 34'20 – Les résidences des Rencontres de la jeune photographie internationale. 41'20 – Son conseil pour les photographes qui postulent aux résidences : être sincère dans ce que l'on propose et ne pas suivre les tendances. Oser présenter ce que l'on est, ce qu'on veut être et ce qu'on veut dire.44'30 – Il a des projets après la Villa Perochon, mais c'est trop tôt pour en parler.46' – Ses conseils pour des personnes qui souhaitent créer une association comme la sienne : l'attention doit être portée au projet, car le projet fait le lien entre tout ce qu'on peut mettre en place. Il est important de mesurer le projet et les moyens que l'on dispose au quotidien. Aujourd'hui plein de dispositifs financiers peuvent détourner le projet. Il est important de se tenir à son projet politique et sincère, mais ce n'est pas la chose la plus simple à faire. 48'30 - Il a été tenté de faire une carrière de photo, mais il a fait le choix de travailler sur un projet photo collectif. On doit faire des choix douloureux en se demandant où on veut aller et pourquoi.Villa Perochon : https://www.cacp-villaperochon.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:33:16 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Quelles sont les racines de l'éco-anxiété ? Comment a évolué ce concept et à quelle réalité correspond-il sur le terrain? Est-elle un frein ou un moteur ? Comment y répondre ? - réalisé par : Jérôme BOULET
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durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Les grandes conférences - Les origines du mysticisme contemporain : Charles Péguy (1ère diffusion : 19/09/1949 Chaîne Nationale) - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:27:40 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme d'aujourd'hui : la 17e Biennale d'Art contemporain de Lyon. Les critiques s'y sont rendus et vous en font une visite radiophonique. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art
durée : 01:40:59 - Les Nuits de France Culture - Conférence de Karlheinz Stockhausen aux Rencontres internationales d'art contemporain de la Rochelle, diffusée la première fois le 27 août 1974 sur France Culture. - invités : Karlheinz Stockhausen Compositeur allemand ( Mödrath, Allemagne, 1928 - Kürten,Allemagne 2007 )
Le sujet : Franchir les portes d'une galerie d'art pour acheter une œuvre d'art contemporain… on doit le reconnaître, ça peut être assez intimidant. Pourtant, les amoureux de l'art le reconnaîtront : collectionner est un excellent moyen de concilier investissement et passion. L'invité du jour : Claire Halconruy est la CEO d'Artsper, une marketplace qui souhaite rendre le marché de l'art plus accessible et transparent. Au micro de Matthieu Stefani, cofondateur d'Orso Média, Claire nous explique comment investir dans l'art moderne et contemporain. Comment se porte le marché de l'art en 2024 ? Y a-t-il des tendances sur l'art contemporain ? Quels sont les artistes à suivre ? Art génératif et NFT : est-ce toujours d'actualité ? À partir de quel prix peut-on investir dans une œuvre ? Comment concrètement se lancer ? Avantage : Nous avons négocié pour vous une réduction de 10% sur votre premier achat chez Artsper, valable pendant un an (jusqu'au 22 août 2025) sur toutes les œuvres référencées. Il suffit de rentrer le code MARTINGALE au moment du paiement. Profitez-en pour vous lancer. Ils citent les références suivantes : Le site Art Price L'épisode 89 de GDIY avec Emmanuel Perrotin L'épisode 156 de GDIY avec Richard Orlinski Ainsi que d'anciens épisodes de La Martingale : #25 - Comment investir dans l'art ? - Arnaud Dubois #52 - Investir dans l'art sans se tromper - Paul Nyzam #147 - Investir dans la photographie d'art - Samantha McCoy On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify. Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici. La Martingale est un podcast du label Orso Media. Merci à notre partenaire Sapians de soutenir le podcast. Réalisez votre bilan patrimonial et recentrez vos possibilités d'investissement avec Sapians.
durée : 00:03:14 - Histoire des préjugés - par : Jeanne Guérout, Xavier Mauduit - Qui, devant une œuvre d'art contemporain, n'a jamais entendu, dit ou pensé tout bas : "Un enfant de 3 ans pourrait en faire autant !", "C'est moche !", ou encore "Cela n'a aucun sens" ? Comment est née cette méfiance à l'encontre du geste artistique ? Et surtout, à qui profite-t-elle ?
durée : 00:03:14 - Histoire des préjugés - par : Jeanne Guérout, Xavier Mauduit - Qui, devant une œuvre d'art contemporain, n'a jamais entendu, dit ou pensé tout bas : "Un enfant de 3 ans pourrait en faire autant !", "C'est moche !", ou encore "Cela n'a aucun sens" ? Comment est née cette méfiance à l'encontre du geste artistique ? Et surtout, à qui profite-t-elle ?
durée : 00:07:04 - Le Masque et la Plume - Le directeur du Festival d'Avignon Tiago Rodrigues mêle la tragédie grecque d'Euripide et le récit contemporain pour mieux interroger les aspérités de notre vie, autour d'une femme, d'une comédienne et d'une troupe, celle de la Comédie-Française. Une superposition laborieuse, selon Le masque.