Country in Southeast Asia
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Ce qui fait la Une de l'actualité, ce sont les premiers pourparlers de paix depuis plus de trois ans entre Russes et Ukrainiens. Cette rencontre vient d'avoir lieu à Istanbul. Il a été question d'un cessez-le-feu, d'une rencontre Zelensky-Poutine et d'un échange de 1.000 prisonniers de chaque camp. Avec - Pisey mam de la rédaction cambodgienne pour les exercices militaires conjoints entre la Chine et le Cambodge, les plus importants de l'histoire - Cristina Teaca pour la rédaction roumaine pour le second tour de l'élection présidentielle en Roumanie - Marcia Bechara de la rédaction brésilienne à propos des évènements organisés dans le cadre de la saison culturelle Brésil-France.
Pour la première fois à Paris est exposé un morceau du Vishnou couché du Mébon occidental. Une statue de plus de cinq mètres de longueur ainsi que certains de ses morceaux. Des pièces qui ont été longtemps séparées et qui sont rassemblées pour l'exposition «Bronzes Royaux d'Angkor, un art du divin». Cet événement rassemble aussi plus de 200 artéfacts de l'art Khmer. À la veille de la nuit européenne des Musées, on a choisi de pousser la porte du musée Guimet, le musée national des arts asiatiques qui proposera demain une programmation spéciale tournée vers l'art et la sculpture du Cambodge. Et pour cause : Guimet abrite depuis quelques semaines l'exposition Bronzes royaux d'Angkor, un art du divin avec en vedette -s'il est permis de parler ainsi d'une divinité - le grand Vishnou du Mebone. Un bronze monumental qui a fait le voyage de Pnom Penh à Paris il y a un an pour y être analysé, restauré et donc aujourd'hui présenté au public. Certains parlent de lui comme de la «Joconde du Cambodge» pour attester de son importance dans la statuaire khmère. Il a en tout cas le même sourire –doux et énigmatique- que la Mona Lisa du Louvre. Pierre Baptiste et David Bourgarit, commissaires de l'exposition, sont les invités de Sur le pont des arts. L'exposition Bronzes Royaux d'Angkor, un art du divin est à voir au musée Guimet à Paris jusqu'au 8 septembre 2025. Au programme de l'émission :► Reportage En direct du festival de Cannes, Isabelle Chenu nous fait un point sur les premiers films projetés durant les trois premiers jours. ► Chronique Histoire de rireDamien Roucou nous fait découvrir l'humoriste Jordan Rotella. Avec « perruques, gloss et folie », le comédien imite à tour de rôle des vedettes internationales ou françaises comme Afida Turner, Kris Jenner, Natasha St-Pier ou encore Cristina Cordula. ► Playlist du jourVictor Solf - Que le coeurOriginal Koffee - Koffee.
Pour la première fois à Paris est exposé un morceau du Vishnou couché du Mébon occidental. Une statue de plus de cinq mètres de longueur ainsi que certains de ses morceaux. Des pièces qui ont été longtemps séparées et qui sont rassemblées pour l'exposition «Bronzes Royaux d'Angkor, un art du divin». Cet événement rassemble aussi plus de 200 artéfacts de l'art Khmer. À la veille de la nuit européenne des Musées, on a choisi de pousser la porte du musée Guimet, le musée national des arts asiatiques qui proposera demain une programmation spéciale tournée vers l'art et la sculpture du Cambodge. Et pour cause : Guimet abrite depuis quelques semaines l'exposition Bronzes royaux d'Angkor, un art du divin avec en vedette -s'il est permis de parler ainsi d'une divinité - le grand Vishnou du Mebone. Un bronze monumental qui a fait le voyage de Pnom Penh à Paris il y a un an pour y être analysé, restauré et donc aujourd'hui présenté au public. Certains parlent de lui comme de la «Joconde du Cambodge» pour attester de son importance dans la statuaire khmère. Il a en tout cas le même sourire –doux et énigmatique- que la Mona Lisa du Louvre. Pierre Baptiste et David Bourgarit, commissaires de l'exposition, sont les invités de Sur le pont des arts. L'exposition Bronzes Royaux d'Angkor, un art du divin est à voir au musée Guimet à Paris jusqu'au 8 septembre 2025. Au programme de l'émission :► Reportage En direct du festival de Cannes, Isabelle Chenu nous fait un point sur les premiers films projetés durant les trois premiers jours. ► Chronique Histoire de rireDamien Roucou nous fait découvrir l'humoriste Jordan Rotella. Avec « perruques, gloss et folie », le comédien imite à tour de rôle des vedettes internationales ou françaises comme Afida Turner, Kris Jenner, Natasha St-Pier ou encore Cristina Cordula. ► Playlist du jourVictor Solf - Que le coeurOriginal Koffee - Koffee.
Ce qui fait la Une de l'actualité, ce sont les premiers pourparlers de paix depuis plus de trois ans entre Russes et Ukrainiens. Cette rencontre vient d'avoir lieu à Istanbul. Il a été question d'un cessez-le-feu, d'une rencontre Zelensky-Poutine et d'un échange de 1.000 prisonniers de chaque camp. Avec - Pisey mam de la rédaction cambodgienne pour les exercices militaires conjoints entre la Chine et le Cambodge, les plus importants de l'histoire - Cristina Teaca pour la rédaction roumaine pour le second tour de l'élection présidentielle en Roumanie - Marcia Bechara de la rédaction brésilienne à propos des évènements organisés dans le cadre de la saison culturelle Brésil-France.
Ce soir, on revient sur les 50 ans du génocide des Khmers Rouges au Cambodge. Et on sera accompagnés d'Anne-Yvonne Guillou, anthropologue au Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative de l'Université Paris-Nanterre, directrice de recherche au CNRS et autrice de Puissance des lieux, présence des morts. Sur les traces du génocide khmer rouge au Cambodge, paru chez Société d'ethnologie de Nanterre. En deuxième partie d'émission, le zoom ; où Hugo reçoit Christina Rosmini, qui vient nous parler de son nouvel album Inti. Juste avant on écoutera le flash-info de Fabien puis la chronique de Léa qui anticipe la fête des mères. Et Delilah, qui en plus de réaliser cette émission au moment où je vous parle, a aussi la lourde tache de conclure cette heure passée avec les meilleures blagues de son répertoire ! Présentation : Simon Marry / Interview : Bahia Bricaud / Zoom : Hugo Traversié / Chroniques : Léa Tissier & Delilah Escherich / Réalisation : Delilah Escherich / Coordination : Maïwenn Filiol
你最想一个人前往的海滩是哪里?Where is your ideal solo beach destination?这一集,我和你分享来自法国的 Marion 的回答。In this episode, I'm sharing a heartfelt answer from Marion, a traveler from France.她说的不是阳光普照的天堂岛,Her answer wasn't a sunny paradise island,而是一个经常下雨、有点冷,但充满爱的地方——布列塔尼。but a rainy, chilly place full of love and childhood memories — Brittany, in France.这集特别适合英语初学者收听,This episode is perfect for English beginners,你可以一边学习听力,一边思考:and it will also get you thinking:� “What makes a place truly special to you?”� “什么样的地方,对你来说才是真正特别的?”Marion和Agusti的旅行IG:@travel_ma.pDon't forget to subscribe, share your thoughts, and join Fly with Lily's event to grow with us.别忘了订阅、留言,赶快到 flywiithlily.com 下载我们的离开舒适圈中英语挑战手册,和Lily一起进行华丽变身、成长、冒险!�Marion 法语回答逐字稿(中法对照 + 解说)段落 1|这个问题好难!Du coup, pour moi, cette question était assez difficile.对我来说,这个问题还挺难的。学习:assez difficile = 相当困难,适合用来表达犹豫、挣扎的感觉。C'est assez étrange de trouver une question si simple, si difficile,这么简单的问题竟然会变得这么难,感觉有点奇怪。学习:étrange = 奇怪的,si simple, si difficile 则是一种反差式修辞。段落 2|理想中的独旅海滩?Parce qu'au final, quelle est la plage où tu irais toute seule ?因为说到底,你会想一个人去的海滩是哪里呢?学习:au final = 最终,toute seule = 一个人(女性用法)。Au début, je me suis dit, on est en train de voyager en Asie avec mon copain pour plusieurs mois.我一开始想,我现在和男友正在亚洲旅行几个月。学习:en train de = 正在进行中,pour plusieurs mois = 为期好几个月。段落 3|想到了柬埔寨的 Koh RongQuelle a été la plage paradisiaque que tu as préférée, où tu devrais aller toute seule ?我就想,哪个天堂海滩是我最喜欢、也可能会想自己去的?学习:plage paradisiaque = 天堂般的海滩。J'ai pensé à Koh Rong, au Cambodge, qui était une plage de sable fin, paradisiaque, super belle.我想到的是柬埔寨的 Koh Rong,那里有细致的沙滩,是超美的天堂海滩。学习:sable fin = 细沙,super belle = 超美!Mais au bout de quelques jours, je ne voudrais plus être sur cette plage-là.但几天之后,我其实就不想继续待在那里了。学习:au bout de = 经过…之后,表达时间感受。段落 4|天堂海滩让她想起布列塔尼À chaque fois que je me retrouve sur une plage incroyable en Asie ou dans des endroits merveilleux, je repense à la Bretagne.每次我来到亚洲的美丽海滩或其他迷人地点,我都会想起布列塔尼。学习:je repense à = 我再次想起,endroits merveilleux = 奇妙地方。L'endroit où je passais tous mes étés avec ma famille, où mes grands-parents et mes cousins vivent.那是我小时候与家人一起度过夏天的地方,我的祖父母和表亲都住在那里。学习:passer mes étés = 度过我的夏天。段落 5|布列塔尼不是完美的海滩,但…En Bretagne, il ne fait pas spécialement beau. Souvent, il pleut.在布列塔尼,天气并不是特别好,常常下雨。学习:il pleut = 正在下雨,spécialement beau = 特别好(天气)。Du coup, aller à la plage, là-bas, j'avais du mal parce qu'il fait froid.所以去海滩时常常有点辛苦,因为很冷。学习:j'avais du mal = 我有困难(形容不舒服或难以做到的事)。段落 6|真正的心之海滩Mais à chaque fois que je suis sur une plage paradisiaque, je repense à la Bretagne.但每次在天堂海滩时,我还是会想起布列塔尼。学习:je suis sur une plage = 我在一个海滩上。Pour moi, le meilleur endroit pour être toute seule, ce serait sur une plage de Bretagne,对我来说,最适合独处的地方,是布列塔尼的某个海滩,et apprendre à savourer cet endroit-là, qui compte beaucoup plus pour moi学会好好品味这个地方,这对我来说比其他海滩更有意义,qu'une plage en Asie, même si elle est si belle et qu'il fait si chaud.比起亚洲那些再美再温暖的海滩都来得重要。学习:savourer = 细细品味,compte beaucoup pour moi = 对我很重要。
Cette femme aurait pu monter un empire, mais elle a préféré dédier sa vie aux femmes de demain… Chaque année, Tina lève plus de 4 millions d'euros pour assurer la scolarisation de 1700 filles cambodgiennes.Dans cet épisode, elle nous raconte ses débuts dans la presse écrite à l'âge de 18 ans, sa période télé dans la célèbre émission "Froufrou", son passage chez TF1, la création du magazine DS… Puis Marie-Claire, dont Tina sera la directrice de la rédaction pendant 10 ans…En décembre 2004, lors d'un voyage en famille au Cambodge, en visite dans un orphelinat, Tina se prend d'amour pour une petite fille de 3 ans… alors qu'elle est déjà maman de 4 enfants, six mois plus tard, elle retourne au Cambodge pour venir chercher cette petite Chandara qu'elle adoptera par la suite ! Mais sauver une seule petite fille, pour Tina, ce n'est pas suffisant.Elle profite de son poste prestigieux chez Marie-Claire pour lever des fonds et ouvrir une école pour les petites filles des rues. Le 7 novembre 2006, l'école Happy Chandara voit le jour. Aujourd'hui, 18 ans plus tard, le campus accueille 1700 filles des rues avec 100 % de réussite au bac et de nombreux parcours supérieurs prestigieux.Tina fait partie des femmes qui déplacent des montagnes, font bouger les lignes, et participent activement à la construction du monde de demain. Un monde plus juste et plus mixte, avec des femmes qui auront un véritable impact et qui contribueront probablement à faire en sorte que notre monde tourne plus rond.https://www.toutes-a-l-ecole.org/fr/Livre : Une déflagration d'amour de Tina KiefferRetrouvez l'épisode complet Dimanche soir. Musique : Stolen Heart - Henry and the WaiterHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:01 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Le journaliste Arnaud Vaulerin rentre du Cambodge, où l'on commémore les 50 ans du génocide perpétré par les hommes de Pol Pot. Il y raconte les souvenirs douloureux des survivants mais aussi l'impunité dont bénéficient encore la majorité des anciens Khmers rouges. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Arnaud Vaulerin Journaliste pour Libération
durée : 00:58:15 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Arnaud Vaulerin qui rentre du Cambodge ; suivi d'une table-ronde sur les relations entre l'Inde et le Pakistan. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Arnaud Vaulerin Journaliste pour Libération; Isabelle Saint-Mézard Professeur des universités à l'Institut français de géopolitique à Paris 8 et chercheuse associée à l'Ifri; Laurent Gayer Chercheur au Centre d'études et de recherches internationales (CERI/Sciences Po, Paris)
Imaginez un pays où, du jour au lendemain, les villes sont vidées de force, les montres confisquées, l'argent aboli, et où posséder des lunettes peut vous conduire à la mort. Un pays où près de 2 millions de personnes, soit un quart de la population totale, périssent en moins de quatre ans.C'est la réalité qu'a connue le Cambodge entre 1975 et 1979, sous le régime des Khmers rouges. Un génocide d'une brutalité sans nom, perpétré au nom d'une utopie révolutionnaire radicale, et qui reste pourtant l'un des épisodes les moins connus des grandes tragédies du XXe siècle.#Terminale #HGGSPMerci à "Cobra effect" (@Cobra_FX_ sur Twitter) pour son Thread qui m'a donné l'idée et des éléments pour cet épisode ; retrouvez-le ici : https://x.com/Cobra_FX_/status/1528223568424730625 ***T'as qui en Histoire ? * : le podcast qui te fait aimer l'Histoire ?Pour rafraîchir ses connaissances, réviser le brevet, le bac, ses leçons, apprendre et découvrir des sujets d'Histoire (collège, lycée, université)***✉️ Contact: tasquienhistoire@gmail.com*** Sur les réseaux sociaux ***Facebook : https://www.facebook.com/TasQuiEnHistoireTwitter : @AsHistoire Instagram : @tasquienhistoireTiktok : @tasquienhistoire *** Crédits sonores ***Sons : sunoChum Mey, rescapé de S2119 20 Edition nationale - 17.02.2009 - 01:31 - vidéohttps://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i20246799/chum-mey-rescape-de-s21 Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a cinquante ans, entre 1975 et 1979, le Cambodge sombrait dans l'un des épisodes les plus tragiques du XXe siècle : le génocide perpétré par les combattants communistes cambodgiens, les Khmers rouges, sous la direction de Pol Pot, soutenus par leurs alliés vietnamiens, et pas seulement eux. En moins de quatre ans que dura cette révolution maoïste devenue totalitaire, génocidaire et ultranationaliste, près de deux millions de personnes – un quart de la population – ont péri, victimes d'exécutions, de famine, de travaux forcés ou de purges idéologiques. Le 17 avril, c'est la date choisie par le président chinois Xi pour fouler le sol cambodgien dans le cadre de sa toute récente tournée en Asie du Sud-Est. Le 17 avril marquant le jour anniversaire de l'entrée des Khmers rouges dans Phnom Penh et le début de leur campagne agraire de terreur appuyée par le Parti communiste chinois.L'étape cambodgienne du président chinois a été l'occasion de la signature de 37 accords, couvrant des domaines tels que les infrastructures, la santé et la finance. La coopération militaire a par ailleurs été renforcée, notamment avec l'expansion des infrastructures de la base navale de Ream, suscitant des interrogations quant à une éventuelle utilisation militaire chinoise. Plus grand partenaire commercial du Cambodge, la Chine est le premier investisseur étranger dans le pays et détient plus du tiers de la dette extérieure cambodgienne, soit 11 milliards de dollars. Phnom Penh compte aussi parmi les soutiens les plus fiables de Pékin en Asie.Pays très dépendant de l'aide étrangère, le Cambodge a vécu comme un très rude choc la fermeture par Donald Trump des programmes de l'USAID sans compter l'impact des barrières douanières. Les États-Unis étant le plus grand marché pour les exportations cambodgiennes. Regard sur les défis de ce petit État de 17 millions d'habitants pris en tenaille entre ses deux grands voisins vietnamien et thaïlandais, surplombé par le géant chinois.Invités : Marie-Sybille de Vienne, professeure émérite à l'Inalco, membre de l'Académie des sciences d'Outre-Mer, directrice de la revue Péninsule. Anne-Yvonne Guillou, anthropologue, directrice de recherche au CNRS, en poste au Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative à l'Université Paris Nanterre. Auteure de Puissance des lieux, présence des morts. Sur les traces du génocide khmer rouge au Cambodge, éd. Société d'ethnologie. Co-rédactrice en chef de la revue Mousson. Raul-Marc Jennar, docteur en science politique et en études khmères de l'Inalco, conseiller diplomatique du ministre cambodgien des Affaires étrangères, auteur de La Politique étrangère du Cambodge, éditions Yu Feng.À lire aussiIl y a 50 ans, la chute de Phnom Penh et l'ascension des Khmers rouges
La cuisine a le pouvoir singulier d'incarner ce qui n'est plus, les lieux, les moments, les histoires, les êtres aimés. Les goûts et les parfums abolissent le temps et l'espace, ils transportent et résonnent. La cuisine est un arbre contre lequel s'appuyer quand les silences ont pris toute la place et qu'il faut bien une béquille, un goût, un geste, doublé d'une grande et ample respiration pour raconter et transmettre. L'évocation de la cueillette des liserons d'eau, d'une bouillie de riz, du parfum du galanga camphré, de la feuille de kaffir, des buissons de citronnelle juste là, à portée de main, dans le jardin à Phnom Penh, les parfums des cuisines des voisins de notre quartier, la petite louche de maman, la rondelle crantée pour gratter l'intérieur des noix de coco, les graines de papaye. Bopha avait 11 ans quand elle fuit le Cambodge avec sa famille, ses parents et quatre de ses frères et sœurs, à l'arrivée des Khmers rouges, le 17 avril 1975. Elle était la plus petite, « préservée par sa famille », raconte-t-elle, mais de l'exode, elle se souvient de la peur, de la longue marche, de la mort, de la survie, de sa mère s'acharnant à trouver de quoi nourrir ses enfants, de la cuisine de sa mère. D'origine vietnamienne, née au Cambodge, c'est d'abord de l'autre côté de la frontière, à Sadec, le village maternel, que la famille s'est réfugiée avant d'arriver en France, trois années plus tard. Le lien de Bopha à la France, toujours là, y compris dans l'enfance ; son père travaillait à l'ambassade à Phnom Penh, et c'est en poste au ministère des Affaires étrangères à Paris qu'il a terminé sa vie professionnelle. Bopha Deshaye raconte la vie là-bas, le chemin, sa vie ici. Au-delà du delta du Mékong, une histoire de vie au parfum doux amer du citron kaffir.► Instagram Bopha DeshayeCette émission est dédiée aux enfants de Bopha, à ses frères et sœurs, à sa famille de sang, à celle de cœur, à ceux qui ne sont plus, à la transmission, à la mémoire.Mon enfant, notre enfance est restée dans la maison de Phnom Penh, les photos dans les boites rondes, les souvenirs, je n'ai rien de tangible. Ce qu'il me reste, c'est tout ce que j'ai en mémoire.Pour aller plus loin Niam baï, par la cuisine, la voix des absents, le goût de la transmission Malika Nguon est cuisinière, franco-khmer, autrice de Cuisine et fermentation aux éditions Ulmer, sœur et nièce de cœur. ► Instagram RFI au Cambodge Films et livres de Rithy Panh : le documentaire L'image manquante , adaptation du récit L'élimination, le livre La paix avec les morts, ainsi que les films Les gens de la rizière et S21. Le village flottant de Long Xuyên au Vietnam et la ville Sadec sur le Mekong Le projet Fragments KH50 : « Au gré de l'histoire du Cambodge, la population s'est fragmentée pour fuir la guerre civile puis le régime de Pol Pot entre avril 1975 et janvier 1979. Seuls des bribes de vie restent, conséquence d'un exil forcé et de la disparition d'environ deux millions de parents, grands-parents, enfants, oncles, tantes, cousins, nièces et neveux. Muet de douleur, la transmission auprès de la deuxième génération et les suivantes ne se fait pas ou filtre peu. Fragments KH50 a donc pour objectif de rassembler et récolter les fragments d'histoires personnelles pour reconstituer une mémoire collective. » Charles Calvino est cuisinier et photographe, son compte est une plongée au Cambodge, dans la culture et les goûts khmers. ► InstagramÀ lire aussiIl y a 50 ans, la chute de Phnom Penh et l'ascension des Khmers rougesProgrammation musicale « If Nothing is Real » de Piers Faccini et Balaké Sissoko« You've Got a Friend » de Pou Vannary issue de l'album Don't think I've Forgotten : Cambodia's Lost Rock and Roll
La cuisine a le pouvoir singulier d'incarner ce qui n'est plus, les lieux, les moments, les histoires, les êtres aimés. Les goûts et les parfums abolissent le temps et l'espace, ils transportent et résonnent. La cuisine est un arbre contre lequel s'appuyer quand les silences ont pris toute la place et qu'il faut bien une béquille, un goût, un geste, doublé d'une grande et ample respiration pour raconter et transmettre. L'évocation de la cueillette des liserons d'eau, d'une bouillie de riz, du parfum du galanga camphré, de la feuille de kaffir, des buissons de citronnelle juste là, à portée de main, dans le jardin à Phnom Penh, les parfums des cuisines des voisins de notre quartier, la petite louche de maman, la rondelle crantée pour gratter l'intérieur des noix de coco, les graines de papaye. Bopha avait 11 ans quand elle fuit le Cambodge avec sa famille, ses parents et quatre de ses frères et sœurs, à l'arrivée des Khmers rouges, le 17 avril 1975. Elle était la plus petite, « préservée par sa famille », raconte-t-elle, mais de l'exode, elle se souvient de la peur, de la longue marche, de la mort, de la survie, de sa mère s'acharnant à trouver de quoi nourrir ses enfants, de la cuisine de sa mère. D'origine vietnamienne, née au Cambodge, c'est d'abord de l'autre côté de la frontière, à Sadec, le village maternel, que la famille s'est réfugiée avant d'arriver en France, trois années plus tard. Le lien de Bopha à la France, toujours là, y compris dans l'enfance ; son père travaillait à l'ambassade à Phnom Penh, et c'est en poste au ministère des Affaires étrangères à Paris qu'il a terminé sa vie professionnelle. Bopha Deshaye raconte la vie là-bas, le chemin, sa vie ici. Au-delà du delta du Mékong, une histoire de vie au parfum doux amer du citron kaffir.► Instagram Bopha DeshayeCette émission est dédiée aux enfants de Bopha, à ses frères et sœurs, à sa famille de sang, à celle de cœur, à ceux qui ne sont plus, à la transmission, à la mémoire.Mon enfant, notre enfance est restée dans la maison de Phnom Penh, les photos dans les boites rondes, les souvenirs, je n'ai rien de tangible. Ce qu'il me reste, c'est tout ce que j'ai en mémoire.Pour aller plus loin Niam baï, par la cuisine, la voix des absents, le goût de la transmission Malika Nguon est cuisinière, franco-khmer, autrice de Cuisine et fermentation aux éditions Ulmer, sœur et nièce de cœur. ► Instagram RFI au Cambodge Films et livres de Rithy Panh : le documentaire L'image manquante , adaptation du récit L'élimination, le livre La paix avec les morts, ainsi que les films Les gens de la rizière et S21. Le village flottant de Long Xuyên au Vietnam et la ville Sadec sur le Mekong Le projet Fragments KH50 : « Au gré de l'histoire du Cambodge, la population s'est fragmentée pour fuir la guerre civile puis le régime de Pol Pot entre avril 1975 et janvier 1979. Seuls des bribes de vie restent, conséquence d'un exil forcé et de la disparition d'environ deux millions de parents, grands-parents, enfants, oncles, tantes, cousins, nièces et neveux. Muet de douleur, la transmission auprès de la deuxième génération et les suivantes ne se fait pas ou filtre peu. Fragments KH50 a donc pour objectif de rassembler et récolter les fragments d'histoires personnelles pour reconstituer une mémoire collective. » Charles Calvino est cuisinier et photographe, son compte est une plongée au Cambodge, dans la culture et les goûts khmers. ► InstagramÀ lire aussiIl y a 50 ans, la chute de Phnom Penh et l'ascension des Khmers rougesProgrammation musicale « If Nothing is Real » de Piers Faccini et Balaké Sissoko« You've Got a Friend » de Pou Vannary issue de l'album Don't think I've Forgotten : Cambodia's Lost Rock and Roll
Dans cet épisode exceptionnel, le père Will Conquer, missionnaire au Cambodge et auteur du livre Carlo Acutis, un geek au paradis, revient sur le report inattendu de la canonisation de Carlo Acutis, initialement prévue pour le 27 avril 2025 lors du Jubilé des adolescents. Cette cérémonie a été suspendue suite au décès du pape François le 21 avril 2025. Le père Conquer a rappelé l'histoire du bienheureux Carlo Acutis, ce jeune italien, surnommé le "geek de Dieu" passionné d'informatique et profondément dévoué à l'Eucharistie et apporté une relique de ce jeune futur saint pendant l'émission. Au-delà du report de la cérémonie de canonisation, cet épisode invite à réfléchir sur la sainteté contemporaine et le rôle des jeunes dans l'Église d'aujourd'hui. Une occasion de redécouvrir l'exemple inspirant de Carlo Acutis et de nourrir notre espérance chrétienne. L'Église d'aujourd'hui est une émission qui invite à découvrir les mille visages des chrétiens de nos jours. Elle est présentée par son auteur, Matteo Ghisalberti, et proposée par le diocèse de Monaco. L'émission est diffusée sur RMC le samedi à minuit, après l'After Foot (20h-minuit).
durée : 00:58:42 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - À partir de 1860, l'art khmer fascine les voyageurs et fonctionnaires occidentaux. Des sculptures aux bas-reliefs des temples, la France s'érige en principale figure de restauration des œuvres. À l'encontre du discours colonial, l'art khmer n'a pourtant jamais été oublié des populations locales. - réalisation : Thomas Beau - invités : Gabrielle Abbe Docteure en histoire contemporaine; Pierre Baptiste directeur de la conservation et des collections du musée Guimet, conservateur général de la section Asie du Sud-Est
durée : 00:58:52 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Le 17 avril 1975, au Cambodge, les membres du Parti communiste du Kampuchéa, dits "Khmers rouges", instaurent le Kampuchéa démocratique. Ils mettent en œuvre une politique autoritaire d'une extrême violence. Entre 1975 et 1979, près d'un Cambodgien sur quatre meurt des violences génocidaires. - réalisation : Thomas Beau - invités : Anne Yvonne Guillou anthropologue, directrice de recherche au CNRS; Anne-Laure Porée docteure en anthropologie, chercheuse à l'EHESS
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée !Olivier Delacroix part à la rencontre de Nathalie. Alors qu'elle venait tout juste de perdre son mari et sa sœur, son avocat a profité de sa vulnérabilité pour l'arnaquer. Il lui a soutiré des biens précieux et a tenté de lui faire signer des documents frauduleux. Après avoir subi des violences physiques, Nathalie a porté plainte. L'avocat a été condamné pour abus de faiblesse, abus de confiance et escroquerie, et radié du barreau. Aujourd'hui, Nathalie se reconstruit et souhaite aider les enfants au Cambodge. Elle a accepté de confier son histoire dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:17 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Protectorat vietnamien au début du 19ᵉ siècle, puis quasiment autonome avant de passer sous domination française en 1863, le Cambodge acquiert définitivement son indépendance en 1953. Durant plus d'un siècle, comment la population cambodgienne vit-elle l'ingérence étrangère et la colonisation ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Marie Aberdam historienne, maîtresse de conférences à l'EHESS, spécialiste du Cambodge colonial; Mathieu Guérin professeur à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco); Francine Lajournade-Bosc doctorante en histoire à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
durée : 00:58:55 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Entre le 9ᵉ et le 13ᵉ siècle, les rois khmers imposent leur pouvoir sur un espace bien plus large que le Cambodge actuel. Des temples-montagnes aux canaux fluviaux, les souverains khmers font progressivement du site d'Angkor le centre de leur pouvoir et le symbole sur terre de la cité céleste. - réalisation : Thomas Beau - invités : Hedwige Multzer O'Naghten docteure en langues, civilisations et sociétés orientales; Christophe Pottier architecte et archéologue, maître de conférences à l'École française d'Extrême-Orient; Thierry Zéphir ingénieur de recherche au musée Guimet, chargé des collections de la section "Monde himalayen"
De 1975 à 1979, les Khmers rouges ont exterminé deux millions de femmes, d'hommes et d'enfants. Mais 50 ans après, qui s'en souvient ? Prétextant un futur bombardement américain, les Khmers rouges ordonnent d'évacuer Phnom Penh lorsqu'ils entrent dans la capitale du Cambodge le 17 Avril 1975. En réalité, la ville est vidée, et sa population déportée vers les campagnes devenues camps de travail et de rééducation. C'est le début du génocide cambodgien dans le nouveau Kampuchéa Démocratique où les mots de la langue khmère sont revus et corrigés. Kamtech ne signifie plus seulement tuer, mais détruire ou réduire en poussière sans laisser de trace.Alors comment faire pour se souvenir du passé et apaiser les morts ? Avec le témoignage du cinéaste Rithy Panh dont les films sont projetés dans le cycle « Qui se souvient du génocide cambodgien ? » au Forum des images à Paris.« Qui se souvient du génocide cambodgien ? » : la bande annonce.Et la participation de :- Soko Phay, professeure en Histoire et théorie de l'art à l'Université Paris 8, dont le livre, Cambodge, l'art devant l'extrême est à paraître aux éditions Naïma.Au Cambodge, environ deux millions de personnes – soit près du quart de la population – ont péri entre 1975 et 1979, à la suite de déportations, de meurtres de masse et de famines. Face au génocide perpétré par les Khmers rouges, l'art est un défi que les artistes doivent surmonter. Rithy Panh, Vann Nath, Séra, Svay Sareth ou encore, dans la seconde génération, Davy Chou, Vandy Rattana, Guillaume Suon, Jenny Teng n'ont eu de cesse de faire œuvre de mémoire, pour s'élever contre le déni et l'effacement des morts sans sépulture.Cinquante ans après le début des massacres dans son pays, Soko Phay revisite les relations entre le témoignage et la fiction et montre comment les œuvres mémorielles donnent à penser les séquelles profondes au sein de la société cambodgienne. La création, par ses ressources symboliques, permet de dévoiler ce qui a été dérobé au regard, tout en assurant le travail de transmission des événements non-inscrits dans l'histoire officielle.- Jean-Baptiste Phou, écrivain, metteur en scène, auteur du livre « 80 mots du Cambodge », à L'asiathèque. 80 mots qui sont autant d'histoires qui racontent le Cambodge et qui, en plus des racines des mots et de leur résonance dans le coeur des femmes et des hommes qui les utilisent, évoquent le lien particulier qu'entretient l'auteur avec le Cambodge, ses habitants et leur langue. La famille de Jean-Baptiste Phou est d'origine chinoise de l'ethnie Teochew, et a émigré au Cambodge. Les attaches chinoises de la mère restent fortes et Jean-Baptiste, qui a choisi de pratiquer la danse khmère et de s'installer au Cambodge, s'attache à approfondir les traditions du pays auquel il a décidé d'appartenir et en même temps nous fait part des difficultés qu'il rencontre pour comprendre le mode de vie et les réactions des gens et pour s'acclimater et s'insérer. Les mots sont souvent choisis en référence à son histoire personnelle. - Anne-Laure Porée, journaliste, anthropologue, pour son livre « La langue de l'Angkar, leçons khmères rouges d'anéantissement », aux éditions La Découverte. Comment bien torturer pour réussir un interrogatoire en bon révolutionnaire ? Comment présenter un dossier d'aveux qui satisfasse les dirigeants ? Voilà ce qu'enseigne Duch, le chef khmer rouge du centre de mise à mort S-21, aux interrogateurs qu'il forme de 1975 à 1978 à Phnom Penh. Ses leçons, qui dictent comment penser et agir au service du Parti communiste du Kampuchéa, ont été consignées avec soin dans un cahier noir à petits carreaux d'une cinquantaine de pages.Anne-Laure Porée décrypte ce document capital, plongeant le lecteur dans le quotidien des génocidaires cambodgiens. Elle identifie trois mots d'ordre au service de l'anéantissement : cultiver – la volonté révolutionnaire, l'esprit guerrier et la chasse aux « ennemis » –, trier – les « ennemis » à travers diverses méthodes, de la rédaction d'une biographie sommaire à la torture physique, en passant par la réécriture de l'histoire – et purifier – les révolutionnaires comme le corps social.Ces notions reflètent la politique meurtrière orchestrée par le régime de Pol Pot, au pouvoir à partir du 17 avril 1975, qui, en moins de quatre ans, a conduit un quart de la population cambodgienne à la mort. En prenant les Khmers rouges au(x) mot(s), La Langue de l'Angkar rend plus sensibles la logique organisatrice et les singularités d'un régime longtemps resté en marge des études sur les génocides.« En partenariat avec RFI, le numéro hors-série Historia retrace toute l'histoire du Cambodge, des rois bâtisseurs d'Angkor au régime de terreur de Pol Pot, en passant par le protectorat français et la déclaration d'indépendance.Pour en savoir plus : Cambodge : de la grandeur d'Angkor à la terreur khmère rouge ».
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Le numéro un chinois a profité de sa tournée au Vietnam, en Malaisie et au Cambodge pour vanter son pays comme pôle de stabilité face aux incertitudes économiques provoquées par son homologue états-unien. Si Donald Trump n'a jamais été nommé, il était dans tous les esprits. Un article de François Bougon et Romaric Godin publié jeudi 17 avril 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:30:17 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Adila Bennedjaï-Zou - En 1992, Guillaume Ancel, alors jeune officier déployé avec les Casques bleus au Cambodge, consigne dans son logbook l'avancée de son travail de négociation avec les Khmers rouges. - réalisation : Clémence Gross - invités : Guillaume Ancel Ancien officier et chroniqueur de guerre.
durée : 00:07:03 - franceinfo junior - Le 17 avril 1975, les Khmers rouges prenaient la capitale du Cambodge. Les enfants de franceinfo junior, scolarisés à Phnom Penh, parlent de ce sujet avec Séra, auteur illustrateur franco-cambodgien, qui a raconté cette histoire en bande dessinée.
Leakhena, une enfant abandonnée au Cambodge et contrainte de survivre dans un environnement cruel, a vu sa vie radicalement transformée grâce à la rencontre providentielle avec Christian Des Pallières, un Français engagé dans l'aide aux enfants. Aujourd'hui, elle est directrice générale de l'association "Pour un sourire d'enfant", que son père adoptif a fondée pour sauver des générations entières d'enfants cambodgiens. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de "Héros" : . Franck et sa famille ont été harcelés pendant neuf mois par un érotomane qui s'inventait une relation avec sa femme, envoyant lettres et cadeaux, jusqu'à des tentatives d'intrusion. Bien que plusieurs plaintes aient été déposées, l'homme a été interné mais demeure non jugé en raison de sa maladie mentale... . Leakhena, abandonnée à l'âge de 6 ans au Cambodge, a vécu une enfance marquée par la souffrance et la survie. Sa vie a pris un tournant décisif grâce à sa rencontre avec Christian Des Pallières, un Français engagé dans l'aide aux enfants, qui l'a adoptée et a transformé son destin. Aujourd'hui, elle est directrice de l'association fondée par son père adoptif- "Pour un sourire d'enfant". Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:05 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Il y a cinquante ans, Phnom Penh, la capitale du Cambodge, était prise par les Khmers rouges. Un régime totalitaire et génocidaire se met alors en place, faisant 1,7 million de morts, victimes de torture, de travail forcé ou encore de famine. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Anne Yvonne Guillou Anthropologue française
Il y a 50 ans, l'armée des khmers rouges entre dans Phnom Penh, et s'empare du pouvoir au Cambodge. Ils sont accueillis avec ferveur par la population exténuée par des années de guerre. Le conflit au Vietnam déborde sur ce territoire voisin depuis des années. Mais le tournant est effroyable ; ce 17 avril 1975, les khmers rouges et leur organisation communiste de l'Angkar lancent une nouvelle guerre interne contre ce qu'ils appellent le peuple ancien, ces intellectuels que l'on doit éliminer pour laisser émerger le peuple dit « nouveau », khmer, rural, censé être plus pur. C'est une épuration sociale qui commence, un génocide, comme le reconnaitra en 2018 le tribunal international spécial. En moins de 4 ans, plus de 1,7 millions de Cambodgiens seront affamés, torturés, massacrés. Soit 1/4 de la population.50 ans après, ces crimes continuent à hanter les Cambodgiens, surtout que seulement trois dirigeants ont été condamnés. Des milliers de petits chefs locaux, ceux qui ont terrorisé la population, n'ont pas été inquiétés. Et continuent, parfois, à vivre auprès de leurs victimes. Alors, comment juger un génocide ? Peut-on y arriver, et jusqu'où aller pour éviter que cela se reproduise ? et par-delà la justice, comment guérir ses traumatismes ? C'est ce que nous allons voir, ce soir dans le décryptage.► Avec : Arnaud Vaulerin, journaliste à Libé, a coordonné le dossier sur le Cambodge. Anne Yvonne Guillou, Anthropologue, Directrice de recherche, CNRS, laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative (CNRS-Université Paris Nanterre).
Le président chinois a réagi aux droits de douane des États-Unis en imposant des taxes sur les produits américains, mais Xi Jingping veut aussi renforcer ses liens avec ses alliés du continent asiatique. Le président chinois fait une grande tournée en Asie du Sud-est : Vietnam, Malaisie et Cambodge. Pour lui, "une guerre commerciale ne produit aucun gagnant". Chine et Vietnam ont exprimé leur soutien à l'OMC. Les deux pays se sont également opposés à l'hégémonie, à la politique de puissance et à l'unilatéralisme, dans une déclaration commune.
Les accords de Genève du 20-21 juillet 1954 mettent fin à la première guerre d'Indochine. Le Vietnam est divisé en deux : au Nord, un État communiste dirigé par Ho Chi Minh ; au Sud, le régime de Bao Dai, puis une république soutenue par les États-Unis. L'indépendance du Cambodge, acquise en 1953, est officiellement reconnue. Norodom Sihanouk, roi devenu premier ministre, domine la scène politique pendant 25 ans, naviguant entre alliances et mésalliances dans le contexte de la guerre froide. Le Cambodge aspire à devenir la "Suisse de l'Asie", mais peine à réaliser sa neutralité. Laurence Monnais, professeure d'histoire à l'Université de Lausanne et spécialiste de l'histoire coloniale française, analyse cette période complexe.
Le 17 avril 1975, après 5 ans de guerre civile, les Khmers rouges prennent Phnom Penh. La capitale est vidée, ses habitants forcés de travailler dans les campagnes. Le Cambodge devient le Kampuchéa démocratique. En moins de 4 ans, le régime fait 1,8 million de victimes par exécutions, torture, maladies et famine. Anne-Laure Porée, anthropologue et auteure de "La Langue de l'Angkar" aux éditions La Découverte, explique l'idéologie de ces nouveaux maîtres, forgée depuis la fin des années 1940. Les témoignages de Proeu Un Mao et Su Chenda Chanmongkon apportent un éclairage supplémentaire sur cette période sombre de l'histoire cambodgienne.
La libération de Phnom Penh le 7 janvier 1979 marque la fin du régime khmer rouge, après 4 ans de terreur et 1,8 million de morts. Les combats se poursuivent alors que des centaines de milliers de Cambodgiens fuient vers des camps en Thaïlande, où se cachent aussi des soldats khmers rouges. Su Chenda, 14 ans, ancienne enfant soldat, rejoint sa famille et prend le chemin de l'exil jusqu'en Suisse. Anne-Laure Porée, anthropologue et autrice de "La langue de l'Angkar", analyse cette période, enrichie par les témoignages de Proeu Un Mao et Su Chenda Chanmongkon, offrant un éclairage personnel sur cet exode massif.
Les nouvelles taxes douanières américaines sont entrés en vigueur avec des conséquences très lourdes pour beaucoup de petits pays comme BOTSWANA, BENGLADESH, BIRMANIE, CAMBODGE... Certains pays sont parmi les plus pauvres du monde et ils vont subir de plein fouet ces droits de douanes. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 09 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec Julie de la Brosse, journaliste environnement pour La Croix.Avec Oudom Heng, du service cambodgien pour la pollution de l'air au Cambodge, qui est devenu un problème sensible depuis ces derniers mois, particulièrement pendant cette saison sèche (au Cambodge), et qui a fait l'objet de nombreux débats au sein de la société.Simon Rozé sur la mer d'Arral.EtIgor Strauss du service environnement de RFI reviendra sur les inondations qui ont touché Kinshasa.Chronique ePOP (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Juniace Tshiyuka pour son film La rivière des larmes.Chronique culture de Caroline Filliette sur le livre de photographies Océan, une merveilleuse odyssée photographique d'Alexis Rosenfeld (photographe et explorateur).Musiques diffusées pendant l'émission :- Cat Power – Salty Dog- Gyedu-Blay Ambolley – Wake Up Afrika
Le 2 avril 2025 restera dans l'Histoire de l'économie mondiale le jour où Donald Trump aura décrété «l'indépendance économique» des États-Unis. En imposant des droits de douane sévères et différenciés selon ses partenaires commerciaux, le président américain a envoyé un signal de rupture avec la quasi-totalité de la planète et d'affaiblissement d'une mondialisation dominante depuis la Seconde Guerre mondiale. Va-t-on vers une récession mondiale et une nouvelle grande dépression aux États-Unis ? Est-ce la fin de la mondialisation telle qu'elle était organisée depuis quelques décennies sous la supervision américaine ? Quelle peut être la réaction des pays asiatiques et européens et quels sont les scenarii possibles ? Quelles sont les conséquences en Afrique et les réponses possibles ? Quelles sont les racines historiques de ce patriotisme économique exacerbé par Donald Trump ?NOS INVITÉS :- Véronique Riches-Flores, économiste indépendante, fondatrice de Riches Flores Research- Kenneth Bertrams, professeur d'Histoire économique à l'Université libre de Bruxelles (Belgique)- Arnaud Darc, PDG du groupe d'hôtellerie et de restauration Thalias à Phnom-Penh (Cambodge)- Bamba Gaye, expert en relations internationales et en politiques publiques.En fin d'émission, extrait de l'entretien accordé par Abbas Mahamat Tolli, ancien gouverneur de la Banque des États de l'Afrique centrale (BEAC) et candidat à la présidence de la Banque africaine de développement (BAD).L'entretien en intégral et en vidéo est à retrouver via ce lien. NOTRE CHOIX MUSICAL :Sankara - Samira Brahmia.
Hier Wall Street, la bourse donc, s'est pris une claque monumentale, une vraie ! Pas une petite oscillation technique, non, un véritable revers en pleine figure, à la Trump. C'est la pire séance depuis le Covid, ou presque. Donald Trump a en effet décidé de taxer massivement tout ce qui vient d'Asie (Chine, Vietnam, Cambodge, Taïwan, Inde). Aucun passe-droit, aucune exception, même pas pour "ses amis de la Silicon Valley". Mais les premières victimes de ce grand retour du protectionnisme, ce sont les barons de la tech américaine, ceux-là mêmes qui avaient soutenu Trump. Ceux qui misaient sur une présidence business friendly, comme on dit. Résultats : Apple -8%. Amazon -7%. Meta -6%. Nvidia -6%. Tesla -5%. Microsoft -2% et, en cadeau bonus, Nike perd 10%, soit 9 milliards de capitalisation boursière envolés. Et tout ça en une seule journée. La raison est simple : tous ces groupes dépendent massivement de l'Asie pour produire leurs iPhones, leurs puces, leurs baskets, leurs batteries. Et maintenant, chaque produit va se prendre un supplément de 20 à 50% à la douane. Même Taiwan, pourtant un partenaire stratégique pour les Etats-Unis, voit ses exportations de composants visées. Le plus ironique dans tout ça, c'est que ce grand coup de massue tarifaire pourrait profiter à la Chine. Car pendant que les Américains taxent leurs propres champions, les concurrents chinois se frottent les mains. Tous sont prêts à occuper l'espace en Europe, en Afrique, en Asie du Sud. C'est donc une double gifle. A la fois pour les chefs d'entreprise de la tech, qui pensaient avoir Trump dans leur poche, et pour l'idée même de suprématie américaine dans le numérique. Trump, en voulant soi-disant libérer son économie, est peut-être en train de libérer les parts de marché de la Chine. Mots clés : Gifle, stratégique, stratégie, Wall Street, bourse, claque, oscillation, technique, revers, pleine figure, Trump, S&P500, Nasdaq, indice, valeurs technologiques, Amérique, Dow Jones, pire, séance, Covid, déclencheur, guerre commerciale, 2018, taxer, massivement, taxation, Asie, Chine, Vietnam, Cambodge, Taïwan, Inde, Passe-droit, exception, Silicon Valley, victimes, retour, protectionnisme, barons, tech, technologie, américaine, soutient, Trump, investiture, financement, présidence, business friendly, Apple, Amazon, Meta, Nvidia, Tesla, Microsoft, Nike, perte, milliards, dollars, capitalisation boursière, baskets. Raison, groupes, iPhones, puces, batteries, produit, supplément, douane, dirigeants, boîtes, choix, choisir, réduire, réduction, marges, augmenter, augmentation, prix, consommateur, épargnant, Chaîne, approvisionnement, mondial, vacille, Taiwan, partenaire, Etats-Unis, exportations, composants, intelligence artificielle, menace, profit, bénéfice, bénéficiaire, massue, tarifaire, concurrents, chinois, Xiaomi, BYD, Alibaba, Taimu, Lenovo, Afrique, Asie du Sud, Europe, gifle, chefs, entreprise, poche, suprématie américaine, numérique, parts, marché, économie, libérer, libération, douanier, crédibilité --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 2 avril 2025 restera dans l'Histoire de l'économie mondiale le jour où Donald Trump aura décrété «l'indépendance économique» des États-Unis. En imposant des droits de douane sévères et différenciés selon ses partenaires commerciaux, le président américain a envoyé un signal de rupture avec la quasi-totalité de la planète et d'affaiblissement d'une mondialisation dominante depuis la Seconde Guerre mondiale. Va-t-on vers une récession mondiale et une nouvelle grande dépression aux États-Unis ? Est-ce la fin de la mondialisation telle qu'elle était organisée depuis quelques décennies sous la supervision américaine ? Quelle peut être la réaction des pays asiatiques et européens et quels sont les scenarii possibles ? Quelles sont les conséquences en Afrique et les réponses possibles ? Quelles sont les racines historiques de ce patriotisme économique exacerbé par Donald Trump ?NOS INVITÉS :- Véronique Riches-Flores, économiste indépendante, fondatrice de Riches Flores Research- Kenneth Bertrams, professeur d'Histoire économique à l'Université libre de Bruxelles (Belgique)- Arnaud Darc, PDG du groupe d'hôtellerie et de restauration Thalias à Phnom-Penh (Cambodge)- Bamba Gaye, expert en relations internationales et en politiques publiques.En fin d'émission, extrait de l'entretien accordé par Abbas Mahamat Tolli, ancien gouverneur de la Banque des États de l'Afrique centrale (BEAC) et candidat à la présidence de la Banque africaine de développement (BAD).L'entretien en intégral et en vidéo est à retrouver via ce lien. NOTRE CHOIX MUSICAL :Sankara - Samira Brahmia.
Donald Trump a donc déclaré une guerre commerciale au monde entier. Le président américain a lancé son offensive ce mercredi 2 avril et personne n'est épargné, amis comme ennemis. Dix pour cent minimum et parfois plus pour certains, comme la Chine, le Vietnam, le Cambodge. Le Brésil fait partie des « chanceux », concerné que par une hausse de 10%. Décryptage. Avant toute chose, il convient de rappeler que le Brésil et les États-Unis sont économiquement liés. Les États-Unis sont les premiers investisseurs dans la plus grande économie d'Amérique latine. Le Brésil est d'ailleurs l'un des grands exportateurs de la région. On peut citer notamment le soja, le bœuf, le poulet ou l'acier. Les Américains en importent d'ailleurs beaucoup. Mais la balance commerciale entre les deux pays est excédentaire côté Américains, ce qui est un atout pour Brasilia. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump déclare la guerre commerciale au mondePas dans la ligne de mire de Donald Trump En effet, Donald Trump vise en priorité les pays qui exportent vers les États-Unis plus qu'ils n'importent. Le Brésil peut donc profiter de cette situation. Le président Lula l'a d'ailleurs parfaitement intégré. Il ne veut pas mettre un terme au dialogue avec Washington. Preuve en est, la semaine dernière, une mission brésilienne était dans la capitale américaine pour échanger avec l'administration Trump. Cela n'empêche pas le Brésil pour autant de répondre avec le vote il y a quelques heures par le Parlement d'une loi de riposte aux mesures américaines. Mais le gouvernement brésilien a su nouer aussi d'autres partenariats qui lui permettent précisément de ne pas trop en souffrir. Aller voir ailleurs ! Parmi ces nouvelles relations, la Chine. Pékin est d'ailleurs devenue le premier partenaire commercial du Brésil. Les deux échangent beaucoup. Les entreprises brésiliennes exportent du soja, du poulet, du bœuf notamment. Et c'est là que ça devient intéressant, puisque ça ne vous a pas échappé, la Chine est particulièrement visée par les États-Unis. Pékin justement a répondu en augmentant les taxes sur les produits agricoles américains stratégiques comme le soja et la viande. La Chine peut donc trouver dans le Brésil une alternative viable pour ses besoins de biens de consommation courante. Les entreprises chinoises, et c'est la contrepartie évidemment, sont présentes sur le sol brésilien et y investissent beaucoup dans la construction d'infrastructures essentielles à l'activité économique comme des routes, des voies ferrées ou des ports. Une opportunité avec des risques Si on ne s'en tient qu'au poulet et aux œufs brésiliens, les exportations de ces deux produits vers la Chine explosent. Entre 9% et 20% de hausse par rapport à l'an passé. Preuve que la confiance est là, l'indice boursier brésilien, basé principalement sur les matières premières, a progressé de 9% ces dernières semaines, cela alors que les principaux cours mondiaux sont dans le rouge. Mais si cette conjoncture semble bénéfique à court terme, sur un temps plus long, elle expose le Brésil à une forte dépendance de la Chine. Et si les relations sino-américaines s'améliorent, c'est tout l'équilibre qu'on vient d'évoquer qui deviendrait instable. Les autorités brésiliennes jouent ainsi sur plusieurs tableaux. Récemment, elles ont signé de nouveaux accords avec le Japon ou encore avec les Européens dans le cadre de l'accord Mercosur. Une situation qui permet au pays de renforcer sa position sur la scène commerciale internationale et de stimuler sa croissance économique ! À lire aussiLe coût des mesures douanières de Donald Trump à l'échelle mondiale
En janvier 1860, un jeune explorateur français, Henri Mouhot, redécouvre au Cambodge les temples d'Angkor. Ses carnets de voyage vont faire connaître à ses compatriotes une cité envahie par la jungle. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lorsque Marion rejoint sa fille au Cambodge, elle découvre une Malou grandie et pleine de cette même lumière qu'elle découvre dans le pays. Les retrouvailles sont pleines d'émotion, mais aussi d'adaptation à un rythme de vie différent. De Phnom Penh à Kep, les paysages défilent, et chaque nouvelle vue est accolée de découvertes et d'enchantements.Pour écouter l'épisode en entierLe Cambodge en famille, de la blague au voyage sacré-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
Une autre découverte inattendue du voyage fut l'île de Koh Preah où Marion et sa famille ont séjourné parmi les villageois, s'imprégnant de l'authenticité d'une communauté qui vit au rythme du Mékong. Un retour à l'essentiel, loin des sentiers touristiques battus.Pour écouter l'épisode en entierLe Cambodge en famille, de la blague au voyage sacré-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
Un moment marquant est certainement la dégustation du fameux crabe au poivre vert à Kep. Marion trouve dans ce plat la parfaite métaphore de sa propre lutte contre le cancer, vécue comme une revanche gourmande sur la maladie. Sur l'île du Lapin, l'eau chaude du Golfe de Thaïlande permet à Marion de réapprendre à accepter son corps, marqué par la maladie. Et, au Mondol Kiri, Marion réalise un de ses rêves en visitant un sanctuaire pour éléphants. Pour écouter l'épisode en entierLe Cambodge en famille, de la blague au voyage sacré-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
L'histoire prend un tournant inattendu lorsque le frère de Marion, basé au Cambodge pour un volontariat, propose d'accueillir Malou pendant que Marion suit ses traitements. Une suggestion qui, à la surprise générale, séduit la jeune fille. Pour Malou, c'est le début d'une aventure inoubliable.Malou passe plusieurs semaines au Cambodge. Avec son oncle, ils vivent dans un foyer d'accueil avec d'autres enfants de tout âge. Elle s'adapte, apprend quelques rudiments du khmer et s'épanouit dans ce nouvel environnement. Malou explore le pays avec son oncle et découvre les temples d'Angkor, participe aux activités locales et s'immerge dans un univers riche. Elle décrit avec excitation sa visite de la grotte de chauve-souris à Batong-Bung et une superbe expérience dans un village flottant.Pour écouter l'épisode en entierLe Cambodge en famille, de la blague au voyage sacré-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
À l'occasion du Podcasthon 2025, j'ai interviewé Duc Ha Duong, président de l'association Passerelles Numériques. Il présente les actions de l'association pour aider les familles du Cambodge, des Philippines, du Vietnam et de Madagascar à sortir de la pauvreté en mettant à disposition des programmes pédagogiques qui s'appuient sur le numérique.
Il suffit parfois d'une blague pour embarquer dans une aventure extraordinaire !C'est ce que vont nous raconter Marion et sa fille Malou aujourd'hui. Cette aventure avait pourtant bien mal commencé avec l'annonce du cancer du sein de Marion. La maladie a évidemment bouleversé leur quotidien jusqu'au jour où son frère lui a proposé de s'occuper de Malou. La blague, c'est qu'il est en mission humanitaire au Cambodge. Marion a bien ri, mais Malou est emballée et elle rejoint son oncle dans un foyer d'accueil, découvrant un pays, une culture, ses premiers mots en khmer et plusieurs merveilles locales. À la demande de sa fille, Marion s'envole à son tour quelques semaines plus tard. Ensemble, ils explorent Kampot, Koh Tunsaï, Koh Preah et surtout Kep, la ville du crabe, qui va donner à Marion l'occasion de se venger de cette satanée maladie.J'ai été impressionnée par la maturité de Malou et profondément touchée par la force, la résilience et la détermination de Marion. On a bien rigolé aussi. Enfin, en cette semaine du Podcasthon, Marion met en lumière l'association Bivouac & Moi, qui offre des escapades en montagne à des personnes en rémission ou en post-traitement du cancer. Une belle manière de prolonger cette force de la nature qu'elle a su capter.Allez, c'est parti pour le voyage de la résilience de Marion et Malou au Cambodge.-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
Il suffit parfois d'une blague pour embarquer dans une aventure extraordinaire !C'est ce que vont nous raconter Marion et sa fille Malou demain. Cette aventure avait pourtant bien mal commencé avec l'annonce du cancer du sein de Marion. La maladie a évidemment bouleversé leur quotidien jusqu'au jour où son frère lui a proposé de s'occuper de Malou. La blague, c'est qu'il est en mission humanitaire au Cambodge...À demain pour ce merveilleux épisode qui s'inscrit en plus dans le Podcasthon...-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
La Chine est dans le viseur de Donald Trump. Le président américain a imposé 20 % de droits de douane sur tout produit chinois importé sur le sol américain. Son ambition, c'est de mettre en difficulté l'économie chinoise tout en relançant la production aux États-Unis. Mais paradoxalement, Pékin pourrait sortir gagnante de cette guerre commerciale. Décryptage. L'idée fait son chemin: Pékin peut tirer profit des lourdes sanctions américaines dont elle fait l'objet. Plusieurs analystes et observateurs l'affirment, à l'image il y a quelques jours de la cheffe de la diplomatie européenne.Dans une interview accordée à Bloomberg, Kaja Kallas explique que la Chine a tout à gagner des guerres commerciales menées par Washington. On le rappelle, pour le moment, les États-Unis imposent les produits chinois à hauteur de 20 %. Car les Américains importent beaucoup plus qu'ils n'exportent vers la Chine ! En 2024, cet excédent commercial était d'environ 300 milliards de dollars. Ce qui agace Donald Trump ! La riposte de Pékin Pékin n'a pas attendu pour répondre aux mesures du président américain, en imposant des taxes de 10 à 15 % sur les produits agricoles américains, notamment le soja, le maïs, le blé ou le bœuf. Cette stratégie cible directement la base électorale de Trump, principalement située dans les États agricoles. Et puis les autorités chinoises ont aussi adopté des mesures plus strictes sur les entreprises américaines qui opèrent en Chine, stratégie qui réduit ainsi les exportations américaines vers leur marché. Pékin a donc riposté, mais tout de même avec une certaine prudence et en frappant de manière précise car, difficile de ne pas l'évoquer, l'économie chinoise traverse une zone de turbulences. Le pays est très dépendant des exportations d'autant que sa consommation interne est faible. Il faut donc trouver un équilibre et laisser la porte ouverte à de possibles négociations entre les deux pays. À lire aussiLa Chine sur une ligne de crête face à la politique douanière de Donald TrumpUne nouvelle stratégie Mais la Chine peut tirer profit de cette situation qui de prime abord n'a pas l'air bonne. Déjà, de nombreuses entreprises chinoises ont déplacé ou déplacent leur production vers des pays qui ne sont pas concernés par les sanctions américaines comme le Cambodge, le Vietnam ou le Maroc pour contourner les droits de douane appliqués par les États-Unis. Et puis surtout, Pékin est en train de sortir de sa dépendance américaine. La Chine a tout simplement développé de nouveaux marchés comme en Amérique du Sud, au Moyen-Orient ou en Afrique. En diversifiant ses partenaires commerciaux, on prend moins de risques quand le principal vous tourne le dos. L'Union européenne, objet des convoitises L'Union européenne pourrait être l'alliée idéale de Pékin, d'autant qu'elle est la cible de menaces et de sanctions très lourdes par Donald Trump. En torpillant les accords avec les Européens, le président américain les pousse irrémédiablement à trouver d'autres partenaires. La Chine fait figure de candidate puisqu'on le disait, elle aussi se cherche des nouvelles alliances. L'Union européenne qui par la force des choses est poussée dans les bras de Pékin. À lire aussiLa Chine se prépare à la politique économique de Donald TrumpCette solution, Pékin envisage sérieusement. Le mois dernier, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a affirmé que la Chine attachait "une grande importance à sa relation avec l'UE en la considérant comme un partenaire stratégique global”. Le message est clair et tout sauf innocent. Car finalement, sur le long terme, Donald Trump pourrait bien être l'ouvrier d'une hégémonie chinoise, et pas seulement économique !
Aujourd'hui, Kelly tend le micro à Marie-Neige, actuellement en road trip à moto dans le nord de la Thaïlande.Ce qu'elle aime particulièrement en Asie ? La notion du temps : ralentir, prendre le temps, l'apprécier et s'ancrer.Mais avant d'en arriver là, revenons un peu en arrière pour découvrir son parcours en Asie du Sud-Est.Après des études en commerce international et plusieurs postes dans de grandes entreprises en France, Marie-Neige a été confrontée à des problèmes de santé. Ce fut un véritable déclic : elle a décidé d'écouter son envie profonde et de partir vivre à l'étranger. Son premier pas ? Un PVT en Australie.De retour en France, elle a été sélectionnée pour rejoindre l'association Enfants du Mékong, une opportunité qui lui a permis de donner du sens à son engagement et d'être au plus près des populations locales.Elle a ainsi découvert le statut de Volontaire de Solidarité Internationale (VSI), un programme destiné aux personnes : ✅ Âgées de 20 à 35 ans ✅ En césure étudiante ou professionnelle pour un an
Des centres d'escroquerie en Asie du Sud-Est, notamment en Birmanie, au Cambodge et au Laos, exploitent des milliers de personnes pour mener des arnaques en ligne, générant des milliards de dollars. Après l'enlèvement d'un acteur chinois en Thaïlande, une coopération entre la Thaïlande, la Chine et la Birmanie vise à démanteler ces réseaux, qui utilisent les plateformes sociales pour piéger leurs victimes, notamment via des fraudes aux cryptomonnaies. Xu, l'un des rescapés, attiré sous un faux prétexte près de la frontière birmane puis emmené de force dans un centre d'escroquerie, raconte. Xu débute son récit en racontant qu'il a été attiré, avec trois autres personnes, à la frontière, sous un faux prétexte pour du travail. Mais une nuit, plus d'une douzaine de personnes en uniforme de camouflage, avec des couteaux à la taille, les ont forcés à escalader la montagne qui les séparait de la Birmanie. À ce moment-là, dit-il, il était trop tard pour partir, et c'est là qu'il a compris que quelque chose n'allait pas :« Pendant 48 heures, nous avons traversé de nombreux endroits en Birmanie, mais je ne me souviens plus de quels villages il s'agissait. À chaque poste de péage, il y avait des fonctionnaires birmans en service. Ils comprenaient et parlaient chinois. Ils étaient tous complices. Tant que vous leur donniez des yuans, ils vous laissaient passer. »À lire aussiEscroqueries en ligne: la Thaïlande intensifie ses actions contre les réseaux criminels frontaliersOrdinateur, plusieurs téléphones, outils de traduction « pour communiquer »...Une fois arrivé dans le centre, Xu explique qu'il travaillait sans arrêt tous les jours de 10h30 à 2h00 le lendemain, et que tout était étroitement contrôlé. « Chaque personne recevait un ordinateur et quatre téléphones Apple équipés de cartes SIM birmanes avec des numéros commençant par +95, tous d'occasion. Là, on créait des comptes Gmail, puis Facebook, Instagram. On gérait 20 comptes chacun », se souvient-il.Il poursuit : « Parfois, les clients voulaient discuter. Il était essentiel de créer un lien émotionnel. Au début, on utilisait l'anglais, mais si le client parlait une autre langue comme le thaï ou le malais, on se tournait vers des outils de traduction pour communiquer dans la langue du client. L'objectif ultime restait de guider le client dans son investissement. Il n'y avait pas de script fixe, juste quelques tactiques générales. »« Le lien menait à un faux site web d'imitation très réaliste »Xu reprend son récit : « Le centre s'étendait sur sept étages, chacun travaillant sur des projets de fraude différents, à chaque étage. Au total, il y avait 14 équipes et projets de fraude. L'équipe dont je faisais partie se concentrait sur la cryptomonnaie, en particulier l'USDT.Plus tard, j'ai appris que des personnes de nombreux pays pouvaient transférer leur monnaie locale sur la plateforme d'échange OKX, qui est reconnue internationalement, sauf en Chine continentale où elle n'est pas autorisée. Après avoir transféré de l'argent, elles pouvaient utiliser des dollars américains pour acheter des cryptomonnaies.Une fois que quelqu'un avait acheté de la cryptomonnaie, même pour une valeur de seulement 500$, il recevait un lien qui semblait être une plateforme de trading légitime, comme un site de bourse. Cependant, le lien menait à un faux site web d'imitation très réaliste. La première fois, l'équipe d'escrocs manipulait le backend pour s'assurer que la victime ''gagnait''. Tout était contrôlé par les chefs de l'équipe d'escrocs en coulisses, et la victime gagnait inévitablement au début pour gagner sa confiance. »À lire aussiAsie: la lutte s'intensifie contre les centres d'arnaques en ligneUne exploitation humaine jusqu'au bout Xu raconte que de nombreux Chinois étaient enfermés dans ces camps, et que le flot d'arrivées ne cessait jamais. Tous les jours, dit-il, on venait sélectionner certains individus : « Nous devions porter des menottes et ils nous donnaient deux repas par jour, juste des restes de nourriture dans des boîtes en papier. »La violence était omniprésente : « Ils frappaient ceux qui résistaient, car beaucoup de gardiens étaient des mercenaires armés de fusils et de matraques électriques. Toute résistance était vaine, et ceux qui essayaient mais qui échouaient étaient enchaînés.Si vous n'étiez pas choisi dans les 30 jours, ils vous emmenaient dehors dans un véhicule, à Myawaddy ou à la frontière thaïlandaise, pour se faire prélever les organes. Deux reins pouvaient se vendre 500 000 yuans (plus de 63 000 euros). Si vous étiez jugé ''qualifié'', ils vous exploitaient au maximum.Si vous n'étiez pas sélectionné, ils vous forçaient à déverrouiller votre téléphone en scannant votre visage. Ils chargeaient votre téléphone, le connectaient au Wi-Fi et utilisaient votre visage pour accéder à des applications chinoises telles que WeChat, Alipay et des cartes bancaires, pour transférer le plus d'argent possible. »Des méthodes d'intimidation à la punition physiqueCeux qui résistaient étaient sévèrement punis, raconte-t-il. « Le premier jour, les gardes ont tiré sur 11 personnes dans la cour. Quatre sont mortes sur le coup. Sept d'entre elles étaient encore en vie. Là, ils ont trouvé une autre victime qui prétendait être vétérinaire en Chine continentale et lui ont demandé de déterrer les balles sur leurs corps. Le processus était diffusé en direct sur Telegram.Ils nous montraient aussi des vidéos d'autres centres d'escroquerie pour nous montrer des gens se faire punir. Ils utilisaient de l'eau bouillante pour la verser sur les orteils de quelqu'un, puis pliaient les articulations en arrière, et tout était diffusé en direct via des comptes Telegram et WeChat.Ils utilisaient cela comme une forme d'intimidation, en particulier sur ceux qui venaient d'être vendus. C'était une façon de donner l'exemple, à la fois pour les personnes sur place et pour les autres qui participaient à différentes opérations frauduleuses et qui regardaient la diffusion en direct. C'est ce genre de choses qui fait que les gens craquent complètement après y avoir passé un certain temps. »La famille de Xu a réussi à négocier son retour en Chine, après avoir en tout payé, en plusieurs étapes. Une liberté recouvrée pour un montant de près d'un million de yuans, soit près de 130 000 euros.À lire aussiDes centaines de «cyberesclaves» libérés d'un centre d'escroquerie en Birmanie
Aujourd'hui nous avons l'immense privilège de recevoir Édith Lemay @pleinleursyeux. Édith et Sébastien ont quatre enfants. Ceux-ci sont encore petits lorsqu'un diagnostic vient tout changer : trois d'entre eux sont atteints de rétinite pigmentaire, une maladie génétique dégénérative de la rétine. Ils perdront graduellement la vue. Pronostic sans appel. À défaut de pouvoir leur offrir un traitement ou des solutions aux défis à venir, les spécialistes suggèrent aux parents de remplir la mémoire visuelle de leurs enfants. Il n'en fallait pas plus pour les mettre en mouvement. Avant que la noirceur s'installe, ils devaient montrer toute la beauté du monde à Mia, Léo, Colin et Laurent. Ensemble, la famille entreprend un périple un peu fou autour du globe : Namibie, Zambie, Tanzanie, Turquie, Mongolie, Indonésie, Malaisie, Thaïlande, Cambodge, Laos, Népal, Égypte, Colombie, Amazonie... De la Namibie aux vastes steppes de Mongolie, des plages paradisiaques de Bali aux sommets majestueux du Népal, Edith nous emmène dans une odyssée qui dépasse le simple périple autour du monde. C'est l'histoire d'une mère qui refuse l'inaction face à l'inévitable, d'un père qui accompagne ses enfants dans cette aventure unique, et surtout de quatre jeunes explorateurs qui nous donnent une incroyable leçon de vie.Cette pétillante canadienne nous raconte, avec beaucoup d'émotions, comment ils ont réussi à transformer cette épreuve en une expérience qui les a unit plus que jamais. Pendant plus d'un an, l'aventure se mélange au grandiose, aux paysages et aux sourires. Tout pour en mettre plein leurs yeux !De ce voyage extraordinaire est né un livre, un documentaire, et surtout, une leçon universelle sur la façon dont nous pouvons tous choisir de faire face à l'adversité.On a adoré ce moment avec Edith, on espère qu'il vous plaira tout autant !Bonne écoute !Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:12:22 - Les Enjeux internationaux - par : Jean Leymarie - Mardi 18 février, le Rotsaphea, l'Assemblée nationale cambodgienne, a adopté une loi mémorielle renforçant les peines encourues en cas de négation du génocide perpétré par les Khmers rouges entre 1975 et 1979. - réalisation : Daphné Leblond - invités : Anne-Laure Porée Anthropologue, post-doctorante à l'EHESS.