Nous sommes des spécialistes en intelligence artificielle (IA) et nous souhaitons partager notre passion avec vous. Avec ce podcast Roberta, en hommage à Roberta Wohlstetter, pionnière du renseignement moderne, nous nous sommes intéressés aux parcours de celles et ceux qui ont influencé ou ont été influencés par l'IA. Ce podcast mensuel retrace les histoires de scientifiques, cinéastes, romanciers, politiques et décrypte leur lien avec l'IA. Bonne écoute !Â
In 1884, he completed his first major composition, Une baignade à Asnières, which was a great success in the contemporary art community. George Seurat had just developed the pictorial technique of "divisionism", also commonly known as pointillism. This technique consists of juxtaposing small touches of colour on the canvas. Seen up close, the work seems to be composed of disordered dots of colour, but seen as a whole it gives life to more elaborate portraits or scenes. The dots take on their full meaning. The computer vision technique known as segmentation is very similar in spirit to Seurat's divisionist art. Find out more in this podcast! ROBERTA, the podcast: We are specialists in artificial intelligence (AI) and we want to share our passion with you. With this podcast Roberta, in honour of Roberta Wohlstetter, a pioneer of modern intelligence, we looked at the stories of those who have influenced or been influenced by AI. This monthly podcast traces the stories of scientists, filmmakers, novelists, politicians and deciphers their connection to AI. Listen to previous episodes: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3 : Jules Verne Episode #4 : Hannah Arendt et Hans Jonas Episode #5 : Elizabeth McIntosh Episode #6 : Eric Tabarly Episode #7 : Alan Turing Episode #8 : Ada Lovelace Music credits : Boogie Belgique - Once Have I
En 1884, il achève sa première grande composition, Une baignade à Asnières, qui connaît un franc succès dans la communauté artistique contemporaine. George Seurat vient de mettre au point la technique picturale du “divisionnisme”, aussi communément appelée : le pointillisme. Cette technique consiste à juxtaposer de petites touches de couleur sur la toile. Vue de près, l'œuvre semble se composer de points de couleurs désordonnés, mais vue dans son ensemble celle-ci donne vie à des portraits ou des scènes plus élaborées. Les points prennent tout leur sens. La technique de vision par ordinateur nommée segmentation se rapproche nettement dans son esprit à l'art divisionniste de Seurat. Découvrez-en davantage dans ce Podcast! ROBERTA, le podcast : Nous sommes des spécialistes en intelligence artificielle (IA) et nous souhaitons partager notre passion avec vous. Avec ce podcast Roberta, en hommage à Roberta Wohlstetter, pionnière du renseignement moderne, nous nous sommes intéressés aux parcours de celles et ceux qui ont influencé ou ont été influencés par l'IA. Ce podcast mensuel retrace les histoires de scientifiques, cinéastes, romanciers, politiques et décrypte leur lien avec l'IA. Ecoutez les épisodes précédents: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3 : Jules Verne Episode #4 : Hannah Arendt et Hans Jonas Episode #5 : Elizabeth McIntosh Episode #6 : Eric Tabarly Episode #7 : Alan Turing Episode #8 : Ada Lovelace Crédit Musique : Boogie Belgique - Once Have I
The three-quarter face, the hair tied in an elegant bun at the nape of the neck, the refined finery. These are the typical depictions of Ada Lovelace. All of her rank as a countess but nothing of her skills. If we had sifted through these paintings with our computer vision solutions, chances are that even artificial intelligence would not have detected the genius hidden within. And yet, Ada Lovelace is the first programmer and thus another figure at the origins of AI! ROBERTA, the podcast: We are specialists in artificial intelligence (AI) and we want to share our passion with you. With this podcast Roberta, in honour of Roberta Wohlstetter, a pioneer of modern intelligence, we looked at the stories of those who have influenced or been influenced by AI. This monthly podcast traces the stories of scientists, filmmakers, novelists, politicians and deciphers their connection to AI. Listen to previous episodes: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3 : Jules Verne Episode #4 : Hannah Arendt et Hans Jonas Episode #5 : Elizabeth McIntosh Episode #6 : Eric Tabarly Episode #7 : Alan Turing Music credits : Boogie Belgique - Once Have I
Le visage de trois quarts, les cheveux noués en un élégant chignon élançant la nuque, des parures raffinées, les représentations d'Ada Lovelace indiquent tout de son rang de comtesse. Mais, soyez en sûrs, si nous avions passé ces tableaux au crible de nos solutions de vision par ordinateur, il y a fort à parier que même l'intelligence artificielle n'aurait pas détecté le génie qui s'y cache. Et pourtant, Ada Lovelace est bien la première programmeuse et de ce fait une autre figure aux origines de l'IA ! ROBERTA, le podcast : Nous sommes des spécialistes en intelligence artificielle (IA) et nous souhaitons partager notre passion avec vous. Avec ce podcast Roberta, en hommage à Roberta Wohlstetter, pionnière du renseignement moderne, nous nous sommes intéressés aux parcours de celles et ceux qui ont influencé ou ont été influencés par l'IA. Ce podcast mensuel retrace les histoires de scientifiques, cinéastes, romanciers, politiques et décrypte leur lien avec l'IA. Ecoutez les épisodes précédents: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3 : Jules Verne Episode #4 : Hannah Arendt et Hans Jonas Episode #5 : Elizabeth McIntosh Episode #6 : Eric Tabarly Episode #7 : Alan Turing Crédit Musique : Boogie Belgique - Once Have I
Alan Mathison Turing is much more than the protagonist of Morten Tyldum's American blockbuster The Imitation Game. While Turing is the mathematician best known for cracking the code of the German Enigma machine that the Wehrmacht used to send and receive encrypted messages during World War II, he is also considered by many to be the father of the computer and artificial intelligence. ROBERTA, the podcast: We are specialists in artificial intelligence (AI) and we want to share our passion with you. With this podcast Roberta, in honour of Roberta Wohlstetter, a pioneer of modern intelligence, we looked at the stories of those who have influenced or been influenced by AI. This monthly podcast traces the stories of scientists, filmmakers, novelists, politicians and deciphers their connection to AI. Listen to previous episodes: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3 : Jules Verne Episode #4 : Hannah Arendt et Hans Jonas Episode #5 : Elizabeth McIntosh Episode #6 : Eric Tabarly Music credits : Boogie Belgique - Once Have I
Alan Mathison Turing est bien plus que le protagoniste du blockbuster américain The Imitation Game de Morten Tyldum. Si Turing est le mathématicien connu pour avoir craqué le code de la machine allemande Enigma dont la Wehrmacht se servait pour envoyer et recevoir des messages chiffrés pendant la Seconde guerre mondiale, il est également considéré par beaucoup comme le père de l'ordinateur et de l'intelligence artificielle. ROBERTA, le podcast : Nous sommes des spécialistes en intelligence artificielle (IA) et nous souhaitons partager notre passion avec vous. Avec ce podcast Roberta, en hommage à Roberta Wohlstetter, pionnière du renseignement moderne, nous nous sommes intéressés aux parcours de celles et ceux qui ont influencé ou ont été influencés par l'IA. Ce podcast mensuel retrace les histoires de scientifiques, cinéastes, romanciers, politiques et décrypte leur lien avec l'IA. Ecoutez les épisodes précédents: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3 : Jules Verne Episode #4 : Hannah Arendt et Hans Jonas Episode #5 : Elizabeth McIntosh Episode #6 : Eric Tabarly Crédit Musique : Boogie Belgique - Once Have I
On June 15, 2021, 400 years after the "Pilgrim Fathers" crossed the Atlantic, the Mayflower left Plymouth in England to cross the ocean. A feeling of déjà vu, but this new homonymous ship, 4 centuries later, is an autonomous vessel. Its full name being: the Mayflower Autonomous Ship. Unfortunately, the attempt to cross the Atlantic without any sailors was a failure. Nevertheless, this project succeeded in proving to the general public that the race for innovation in the maritime world is still going strong. What would Eric Tabarly, one of the greatest sailors, have thought of this autonomous vessel? This is the question we will try to answer with Coralie Trigano, Export Sales Manager at Preligens. Listen to the previous Episodes : Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3 : Jules Verne Episode #4 : Hannah Arendt et Hans Jonas Episode #5 : Elizabeth McIntosh Music : Boogie Belgique - Once Have I
Le 15 juin 2021, soit 400 ans après la traversée de l'Atlantique par les “pères pèlerins", le Mayflower est parti de Plymouth en Angleterre avec pour but de traverser l'océan. Une impression de déjà vu, mais ce nouveau navire homonyme, 4 siècles plus tard, est un navire autonome, le Mayflower Autonomous Ship. [1] Malheureusement la tentative de traversée de l'Atlantique de ce nouveau voilier est un échec. Néanmoins ce projet réussit à démontrer une chose au grand public: que la course à l'innovation dans le milieu maritime continue à battre son plein. Qu'aurait pensé Éric Tabarly, un des plus grands navigateurs français, de ce navire autonome ? C'est la question à laquelle nous allons tenter de répondre aujourd'hui avec Coralie Trigano, responsable commerciale export chez Preligens. Ecoutez les épisodes précédents: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3 : Jules Verne Episode #4 : Hannah Arendt et Hans Jonas Episode #5 : Elizabeth McIntosh Crédit Musique : Boogie Belgique - Once Have I
D'après une étude du MIT de 2018, une fausse information a 70% plus de chances d'être propagée qu'une information fiable[1]. Aujourd'hui ces fausses informations appelées couramment fake news s'immiscent dans les campagnes politiques, les débats privés du fait notamment de leur recrudescence sur les réseaux sociaux. La divulgation consciente et organisée de fausses informations n'est pas aussi récente qu'on pourrait le croire. Dès le 6ème siècle avant JC, dans son ouvrage L'Art de la guerre, le célèbre général et stratège chinois Sun Tzu mettait en évidence l'importance de la tromperie dans les conflits armés. Il insistait sur la nécessité de trouver un compromis entre vérité et mensonge afin de rendre les fake news aussi crédibles et efficaces que possible. L'objectif était de tromper l'ennemi pour le battre plus facilement, les fake news étant déjà considérées comme une véritable arme de guerre. C'est cette arme qu'a également utilisée Elizabeth McIntosh, une espionne de l'OSS, ancêtre de la CIA, durant ses missions dans le Pacifique pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est l'histoire d'Elizabeth McIntosh que nous raconte aujourd'hui Zoé Delaforge, responsable de la formation chez Preligens. Elizabeth McIntosh n'a que 26 ans lorsque le 7 décembre 1941, le ciel s'abat sur les habitants de Honolulu et de Hawaï. L'attaque de Pearl Harbour vient d'avoir lieu. Pour la jeune journaliste qui a grandi et travaille sur l'île, le choc est effroyable. Son devoir d'information prend néanmoins le pas sur son émoi. Celle qui était à l'époque une correspondante pour le Honolulu Star Bulletin s'empresse d'écrire un article sur cet événement historique dont elle vient d'être le témoin[3]. Pour cette fille de deux journalistes, le devoir d'informer est primordial. Malheureusement son article ne passe pas la censure militaire. Un coup dur qui ne l'empêche pas de continuer dans le journalisme. En 1943, elle s'envole pour Washington et devient la correspondante du Scripps Howard News à la Maison Blanche. Au printemps de la même année, un commandant proche de sa famille lui propose un poste de correspondant Asie à l'OSS (Office of Strategic Services). Sans en savoir trop mais aimant voyager, Elizabeth s'engage dans cette nouvelle aventure [4]. Elle rejoint l'équipe “Morale Operation” en Extrême Orient sous les ordres du fameux William Joseph Donovan, dans la toute nouvelle OSS, créée en juin 1942 par le président Roosevelt pour coordonner les ressources du renseignement militaire américain. Ecoutez les épisodes précédents: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3: Jules Verne Episode #4: Hannah Arendt et Hans Jonas Crédit Musique : Boogie Belgique - Once Have I
According to a 2018 MIT study, "fake information is 70% more likely to be spread" [1]. What we now call "fake news" is creeping into political campaigns and private debates. The inexorable rise of social networks is accelerating the spread of such fake information. The conscious and organised dissemination of fake information is not as recent as one might think. As early as the 6th century BC, Sun Tzu, a Chinese general and strategist, studied in The Art of War [2] the importance of trickery in armed conflict. He insisted on the need of finding a trade-off between truth and deception to make fake news as credible and effective as possible. The aim was to deceive the enemy in order to defeat him more easily. Fake news was already considered a genuine instrument of war. This weapon was also used by Elizabeth McIntosh, a spy during her missions in the Pacific during World War II. In this 5th episode of Roberta's Podcast, we look back at the extraordinary life of the pioneer of modern disinformation: Elizabeth McIntosh. A story told by Zoe Delaforge, Learning and Development manager at Preligens. Elizabeth McIntosh was only 26 years old when on December the 7th, 1941, chaos descended upon the people of Honolulu and Hawaii. The attack on Pearl Harbour had just taken place. For the young journalist who had grown up and worked on the island, the shock was particularly appalling. Nevertheless, her duty to inform overcame her emotion. Elizabeth, who was at the time a correspondent for the Honolulu Star Bulletin, rushed to write an article on what she had just witnessed [3]. The duty to inform lived in the heart of this daughter of two journalists, but unfortunately her article was censored. This was a hard blow but did not prevent her from continuing in journalism. In 1943 Elizabeth McIntosh flew to Washington to become the White House correspondent for the Scripps Howard News. In the spring of the same year, a commander close to her family, offered her a job as an Asia correspondent for the OSS (Office of Strategic Services). Without knowing too much about it but loving to travel, Elizabeth embarked on this new adventure [4]. She joined the "Morale Operation" team in the Far East reporting to the famous William Joseph Donovan, in the newly founded OSS, created in June 1942 by President Roosevelt to coordinate American military intelligence resources. Listen to the previous Episodes : Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3: Jules Verne Episode #4: Hannah Arendt et Hans Jonas Crédit Musique : Boogie Belgique - Once Have I
Hannah Arendt et Hans Jonas - deux intellectuels éminents du 20e siècle, deux Juifs, deux Allemands poussés sur les routes de l'exil par l'arrivée au pouvoir d'Hitler en 1933; des amis, des amants de quelques jours même dans leur prime jeunesse, mais surtout l'un des dialogues philosophiques les plus féconds de l'histoire. Sur les questions scientifiques, Arendt avoue ses craintes, sa peur d'un déclin de la pensée et de la morale face à la puissance des nouvelles techniques; Jonas comprend ses doutes et parvient à modéliser une nouvelle éthique des pratiques technologiques dans un livre qui fera date à la fin des années 70 - “Le Principe responsabilité”. Essayons de percer ce duo à jour avec Leslie Westfall, en charge des partenariats chez Preligens. Hans Jonas décrit la jeune Hannah Arendt avec émotion à l'éloge funèbre de cette dernière en 1975 : “... timide et réservée, avec des traits d'une étonnante beauté et des yeux esseulés, elle apparaissait d'emblée comme quelqu'un d'exceptionnel, d'unique… il y avait en elle une intensité, une direction intérieure, une façon d'aller au fond des choses qui répandaient une aura magique autour de sa personne. On ressentait une détermination absolue à être elle-même,” continue-t-il, ”une volonté tenace qui n'avait d'égale que sa grande vulnérabilité…” Difficile de ne pas comprendre cette vulnérabilité : les nazis arrivent au pouvoir au début des années 30 - liquidations d'opposants et de minorités commencent de manière systématique - et Hannah et Hans comprennent tout de suite qu'il faut fuir leur propre pays avant l'irréparable. Hannah ira à Paris où elle organisera des associations sionistes avant d'émigrer sur la côte Est des Etats-Unis après la défaite française de juin 40. Hans, lui, partira à Londres puis en Palestine avant de devenir combattant sur les fronts italiens et allemands pendant la guerre, d'enseigner au Canada et d'arriver enfin à sa destination finale, New York. C'est dans cette ville que les deux amis se retrouvent - vivants - et ils sont désormais incapables de détacher leur métier de philosophe des réalités contemporaines. Avec leur grille humaniste, ils vont chercher à comprendre la dernière guerre mondiale - la chronologie historique qui y aboutit, les idéologies meurtrières qui l'ont animée et le rapport de ses acteurs à l'innovation. Ecoutez les épisodes précédents: Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3: Jules Verne Crédit Musique : Boogie Belgique - Once Have I
Hannah Arendt (1906-1975) and Hans Jonas (1903-1993) - were two eminent intellectuals of the 20th century, two Jews, two Germans driven into exile by Hitler's rise to power in 1933; friends, lovers for a few days in their early youth, but above all one of the most fruitful philosophical dialogues in history. On scientific issues, Arendt confessed her fears of a decline in thought and morality in the face of the power of new techniques; Jonas understood her doubts and succeeded in modelling a new ethics of tech practices in a book that was to become a landmark at the end of the 1970s - "The Imperative of Responsibility". Let's try to get to the bottom of this duo with Leslie Westfall, in charge of partnerships and alliances at Preligens. Listen to the previous episodes about : Episode #1 : Roberta Wohlstetter Episode #2 : Stanley Kubrick Episode #3: Jules Verne Music : Boogie Belgique - Once Have I
When Jules Verne was born in 1828 in Nantes, France, Napoleon had just died on Saint Helena, humanity was still writing with quill pens, and was travelling on foot or by carriage - cars and trains did not exist on the European continent, which remained 80% rural back then. So how did Jules Verne manage to predict the future and democratize science several generations ahead of time? Where did he get these intuitions that anticipated the potential and risks of the machines we use today, such as videoconferencing platforms, submarines or even the trans-oceanic tube from which Elon Musk seems to have borrowed the concept for his Hyperloop tunnel ?
Lorsque Jules Verne naît en 1828 à Nantes, en France, Napoléon Bonaparte vient de s'éteindre sur l'île de Sainte Hélène, l'humanité écrit encore avec des plumes d'oie et les déplacements se font à pied ou en calèche - voitures et trains n'existant pas dans cette France à 80% rurale et paysanne. Alors comment Verne réussit-il à prédire l'avenir et démocratiser la science avec plusieurs générations d'avance ? D'où lui viennent ces intuitions qui anticipent le potentiel et les risques des machines que nous utilisons aujourd'hui - vidéoconférence, sous-marin ou tube transocéanique dont Elon Musk semble avoir emprunté le concept pour son tunnel Hyperloop ? C'est ce que Nathan Juglard, Responsable commercial chez Preligens, va essayer d'éclairer pour nous aujourd'hui.
Il est souvent dit que Stanley Kubrick (1928-1999) est le cinéaste de tous les genres – film d'horreur avec «Shining», récit de guerre, avec «Full Metal Jacket» ou «Les Sentiers de la Gloire», drame historique avec «Barry Lyndon», introspection dans la vie de couple avec «Eyes Wide Shut» et science fiction avec « 2001 : l' Odyssée de l'Espace », mais certains thèmes reviennent en fil rouge dans sa filmographie ; et parmi ces thèmes celui de la volonté humaine qui est le sujet de cet épisode. Music by Boogie Belgique - Once Have I
It is often said that Stanley Kubrick (1928-1999) is the filmmaker of all genres - horror (with "The Shining"), war (with "Full Metal Jacket" or "Paths of Glory"), historical drama (with "Barry Lyndon"), relationship troubles (who can forget "Eyes Wide Shut"?..). Yet, certain themes recur frequently in his filmography; among them, the notion of human will is of particular interest to Michael Benhamou, director of public affairs at Preligens. Music by Boogie Belgique - Once Have I
"December 7, 1941, a date which will live in infamy!" exclaimed President Roosevelt after the Japanese attack on Pearl Harbor. Two battleships at the bottom of the sea, 2400 Americans killed or missing, the entry of the United States into the Second World War, and, for the young Roberta Wohlstetter, a painful mystery: why couldn't the signals of such a catastrophe have been anticipated? How could Intelligence be better prepared and thought through after World War II? Music by Boogie Belgique - Once Have I
“Le 7 décembre 1941, un jour marqué par l'infamie” s'était exclamé le Président Roosevelt après l'attaque japonaise de Pearl Harbour. Deux cuirassés au fond des mers, 2400 Américains tués ou disparus, l'entrée de plain-pied des Etats-Unis dans la Seconde Guerre mondiale et pour la jeune Roberta Wohlstetter, un mystère douloureux : comment a-t-on pu ne pas anticiper les signaux d'une telle catastrophe? Comment mieux préparer, mieux penser le Renseignement après la guerre 39-45? Une des carrières les plus influentes de la seconde moitié du 20e siècle commence alors. Voyons pourquoi les travaux de Roberta Wohlstetter influencent encore aujourd'hui le Renseignement moderne. Crédit Musique : Boogie Belgique - Once Have I