POPULARITY
Young, Wild & Freelance | Le podcast pour ta vie d'indépendant
durée : 02:29:31 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:39:10 - Questions du soir : le débat - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve - Fin octobre 2025, plus de 700 personnalités dont des pontes de l'IA, ont signé une tribune pour que les travaux concernant la superintelligence artificielle - qui serait capable de dépasser les capacités humaines - cessent. - invités : Eric Sadin Philosophe, spécialiste des technologies numériques; Aymeric Roucher ingénieur en intelligence artificielle
durée : 00:39:10 - Questions du soir : le débat - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve - Fin octobre 2025, plus de 700 personnalités dont des pontes de l'IA, ont signé une tribune pour que les travaux concernant la superintelligence artificielle - qui serait capable de dépasser les capacités humaines - cessent. - invités : Eric Sadin Philosophe, spécialiste des technologies numériques; Aymeric Roucher ingénieur en intelligence artificielle
durée : 00:06:03 - Caroline au pays des 27 - par : Caroline Gillet - Les grands sommets G7 ou G20, c'est des tapis rouges, des chefs d'Etats qui essaient de se mettre d'accord, mais aussi des personnes comme Fabian Delcros, qui négocient en amont pendant des mois derrière leurs ordinateurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Et Sam Altman, c'est devenu le Matchmaker : il swipe à droite sur Microsoft, Amazon, Nvidia, AMD, Oracle, Intel, TSMC… et tout le monde dit oui. Chaque semaine, un nouveau deal à plusieurs milliards, une nouvelle romance financière… et à chaque fois, les marchés s'enflamment comme des ados devant un premier “match”. Le problème ? Personne ne sait ce que tout ça rapporte vraiment. Mais ce n'est pas grave : tant qu'on prononce “IA”, “cloud” et “milliards” dans la même phrase, les traders perdent la tête et les actions décollent. Pendant ce temps, l'économie réelle ? Toujours en shutdown. Powell rame. Palantir découvre que la gravité existe encore. Et les investisseurs sont convaincus que la croissance se mesure désormais en téraflops plutôt qu'en PIB. Bienvenue dans le monde absurde de 2025, où la Bourse est devenue un jeu de séduction entre l'Intelligence Artificielle et Wall Street. Un épisode à ne pas manquer, entre ironie, analyse et pur délire technologique.
L’intelligence artificielle et le transport en commun: tour des différentes initiatives à travers le globe. Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:11 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Des caméras intelligentes en test dans deux camions poubelles du Syndicat du bois de l'aumône qui collecte une partie des déchets du Puy-de-Dôme. Un système innovant pour traquer les erreurs de tri. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cette semaine, Nvidia, qui vend les puces électroniques qui font tourner l'IA a dépassé la barre jamais atteinte par aucune entreprise de 5.000 milliards de dollars de capitalisation boursière. C'est énorme et c'est surtout 50% de plus depuis le début de l'annéeMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouvel épisode de Contact. Andrew déchu de son titre de prince? Xi Jinping et Mark Carney. La rencontre Bureau-Dumont avec Stéphan Bureau et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
NOUVEL ÉPISODE, Les 5 outils d'IA qui ont changé ma façon de travaillerLa semaine passée, j'étais en avance à un meeting… alors j'ai décidé d'enregistrer un épisode improvisé.Résultat : un épisode hyper concret où je te partage mes 5 outils d'intelligence artificielle préférés, ceux que j'utilise tous les jours pour créer du contenu, structurer mes idées et booster ma productivité.ChatGPT (et mes GPT identitaires et fonctionnels)NotebookLM (pour transformer mes livres et podcasts en contenu)Opus.pro (pour générer mes clips à partir de longues vidéos)Make + Airtable (pour automatiser mes publications sur toutes les plateformes)Fyxer.ai (pour gérer ma boîte de courriels comme un pro)
Scientifique et entrepreneure, Selwa Rafi, Ph.D. est la fondatrice et cheffe de la direction de KEPLR Intelligence, une entreprise montréalaise spécialisée en science des données et en intelligence artificielle appliquée à la compréhension du comportement humain dans des environnements complexes — de l'aviation à l'aérospatiale.Dans cet épisode, Selwa revient sur son parcours exceptionnel : de ses débuts en recherche jusqu'à la création de sa propre entreprise technologique. Elle partage avec authenticité les défis rencontrés dans un domaine encore très masculin, les moments qui ont façonné sa vision du leadership, et l'importance de bâtir une innovation plus éthique, inclusive et humaine.Une conversation inspirante avec une pionnière qui redéfinit le rôle des femmes dans la science et la technologie.Cet épisode fait partie de notre mini-série portant sur le parcours de femmes inspirantes qui ont du génie, et qui vous est offerte par Gestion FÉRIQUE et Services d'investissement FÉRIQUE. Gestion FÉRIQUE est un gestionnaire de fonds communs de placement qui sont offerts exclusivement aux professionnels en génie, ainsi qu'à leurs familles et leurs entreprises, par le biais de Services d'investissement FÉRIQUE. Visitez ferique.com.This episode is airing in French.Follow us on Instagram: instagram.com/thebrandisfemale
Comment l’intelligence artificielle peut-elle aider à choisir pour qui voter aux élections municipales ? Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Croyez-vous aux fantômes? | Un petit message pour les humoristes… | Pourquoi Alexandre Barrette et Marianna Mazza n’ont jamais parlé de leur relation à l’époque? | Un métier en santé dont on ne parle pas assez… | Les Blue Jays ont-ils perdu leur série? Dans cet épisode intégral du 28 octobre, en entrevue : Dr. Philippe Bégin, immunologue et allergologue à l’hôpital Sainte-Justine. Alexandre Barrette, humoriste, animateur du Pas Pire Show. Prêtre du ministère de l’exorciste. Yannick Pinard, président de l’Association des perfusionnistes cliniques du Québec. Une production QUB Octobre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Une pétition internationale relance le débat sur les dangers d'une super-intelligence artificielle. Faut-il vraiment appuyer sur le frein ?Des centaines de personnalités — scientifiques, politiques, mais aussi célébrités — réclament un moratoire sur le développement des systèmes d'IA les plus avancés. Mais Dans cet édito, je reviens sur les arguments avancés par les signataires et j'examine, point par point, les menaces réelles ou supposées :L'hypothèse d'une IA « à la Terminator » capable de dominer l'humanité.Les usages malveillants ou déviants : désinformation, cybercriminalité, surveillance massive.Les biais, les dérives psychologiques et la perte d'esprit critique.L'impact environnemental et social d'un déploiement massif de l'IA.Face à ces inquiétudes, la question centrale demeure : faut-il ralentir la recherche ou au contraire accélérer pour mieux comprendre et maîtriser ces outils ?-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
durée : 00:02:08 - Bientôt chez vous - L'avantage est évident : moins de temps passé sur la paperasse, c'est plus de temps à patrouiller. Pour autant, quelles précautions prendre par rapport aux "hallucinations" de l'IA ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:24 - Orchestre et IA au Forum des orchestres - par : Flore Caron - Cela fait quelques années que l'intelligence artificielle a fait une irruption massive dans nos vies. Mais a-t-elle atteint le monde des orchestres ? Reportage au 6e Forum des orchestres, qui avait lieu mercredi 15 et jeudi 16 octobre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Microsoft affirme que l’intelligence artificielle rend les courriels d'hameçonnage beaucoup plus difficiles à détecter. Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
C'est en tant que non experts , comme toujours , citoyens lambdas , que les Darons débattent de l'Intelligence Artificielle .
Microsoft affirme que l’intelligence artificielle rend les courriels d’hameçonnage beaucoup plus difficiles à détecter. Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Bénéficiez de 2 mois gratuits chez mon partenaire Waalaxy pour transformer Linkedin en machine à leads.L'intelligence artificielle a bouleversé le monde du digital… et les relations presse n'y échappent pas.Faut-il craindre que l'IA rende les RP obsolètes, ou au contraire y voir une opportunité de renforcer la visibilité des marques et dirigeants?Dans cet épisode, j'échange avec Clara Armand-Lille, fondatrice de l'agence Third Eye Media, experte en communication internationale et en relations presse.Clara accompagne startups, scale-ups et fonds d'investissement à fort potentiel sur plusieurs marchés, en Europe comme aux États-Unis. Ensemble, nous explorons comment l'IA transforme la manière de faire des RP, de gérer la visibilité d'une marque et d'interagir avec les médias.
On a décidé de se faire peur cette semaine dans Silicon Carne et on a demandé à Maxime Fournes de venir nous foutre les boules. Maxime c'est un ingénieur et chercheur en IA, il est le cofondateur du mouvement Pause IA et il fait partie de ceux qui pensent qu'il faut lever le pied avant que l'IA ne nous échappe. On a passé avec lui en revue toutes les grandes angoisses que les gens ont quand on parle de l'Intelligence Artificielle : la perte de contrôle, les dérives militaires, la fin du travail, la consommation énergétique…Alors est-ce que Maxime nous a convaincu que c'était le moment d'appuyer sur pause, la réponse dans cet épisode…===============================
durée : 00:59:04 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Initiée en 1984 par le dirigeant libyen, la Grande rivière artificielle devait "faire fleurir le désert" et approvisionner les villes en eau. Depuis la chute du régime en 2011, cette infrastructure, terminée à 60%, est régulièrement la cible de milices qui s'en servent comme moyen de pression. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Virginie Collombier Professeure à l'université Luiss Guido Carli de Rome; Sébastien Palluault géographe, il a fait sa thèse sur le développement de l'irrigation dans la Jeffara tuniso-libyenne ; Aude-Nuscia Taïbi Professeure de géographie à l'université d'Angers, membre du laboratoire Espaces et Sociétés (ESO) du CNRS, membre senior de l'Institut universitaire de France
Portée par des investissements colossaux, l'intelligence artificielle (IA) fait aujourd'hui tourner la machine économique américaine. Mais cette frénésie, comparable à une bulle spéculative, pourrait bien n'être qu'un souffle artificiel sur la croissance des États-Unis. L'intelligence artificielle, dont on parle presque chaque jour, attire des investissements absolument colossaux et des valorisations d'entreprises hors normes. Mais le revers de la médaille, c'est que cette effervescence fait planer le spectre d'une bulle spéculative sur l'économie américaine. Même les géants du secteur s'en inquiètent. Sam Altman, patron d'OpenAI, et Jeff Bezos, fondateur d'Amazon, reconnaissent tous deux que le marché de l'IA est probablement entré dans une phase d'excès. Selon la banque Morgan Stanley, 3 000 milliards de dollars seront investis dans des centres de données d'ici à 2029. Et la dynamique est déjà bien lancée. Les « Sept Magnifiques » – Microsoft, Amazon, Google, Meta, Apple, Nvidia et Tesla – ont dépensé plus de 350 milliards de dollars cette année pour des projets liés à l'IA sur le sol américain. Ces sommes gigantesques soutiennent clairement la croissance du pays. D'après la Deutsche Bank, sans ces investissements technologiques, les États-Unis seraient déjà en récession. En clair, ce sont aujourd'hui les chantiers d'infrastructures de l'IA – data centers, réseaux et serveurs – qui maintiennent la croissance américaine à flot. À lire aussiL'intelligence artificielle, moteur ou frein de l'activité boursière? Des promesses de productivité encore très théoriques Mais une fois ces gigantesques sites sortis de terre, une question se pose : d'où viendra la croissance ? Les économistes et les grands patrons comptent sur les gains de productivité promis par les outils d'IA comme ChatGPT, Copilot ou Perplexity. L'idée est simple : un salarié aidé par l'intelligence artificielle serait plus efficace, accomplirait davantage de tâches et, finalement, générerait plus de valeur pour son entreprise – donc pour l'économie. Mais pour l'heure, cela reste largement théorique. Une étude récente du MIT menée sur 300 entreprises ayant intégré des outils d'IA montre que 95 % d'entre elles n'ont observé aucun retour sur investissement. Oui, il y a des gains de productivité individuelle, mais aucun effet réel sur les bénéfices. Les entreprises veulent croire à un effet différé, sur le long terme, mais l'attente crée de l'incertitude – et donc de la fragilité pour la croissance américaine. À lire aussiL'intelligence artificielle, nouvel atout caché des salariés Une économie sous perfusion technologique Car aujourd'hui, l'économie américaine repose largement sur l'investissement technologique. Les marchés boursiers sont dopés par la promesse de l'IA, tandis que la dette des entreprises gonfle pour suivre la cadence. Et la question demeure : jusqu'à quand ce rythme peut-il tenir ? Si le cycle d'investissement venait à s'interrompre, c'est tout l'édifice bâti autour de l'intelligence artificielle qui risquerait de vaciller. Pour l'instant, beaucoup d'argent est dépensé sans retour immédiat, et l'IA n'a pas encore prouvé qu'elle pouvait devenir un moteur durable de croissance. Reste donc à savoir si l'intelligence artificielle sera le nouvel élan économique des États-Unis ou simplement une bulle technologique de plus. Une chose est sûre : avec une technologie fondée sur la rapidité et l'immédiateté, il faudra paradoxalement faire preuve de patience.
L'intelligence artificielle (IA) est désormais au cœur de nos sociétés. Mais de quoi s'agit-il exactement ? D'abord, qu'est-ce que notre propre intelligence ? Les connaissances en sciences cognitives humaines et animales permettent de mieux comprendre les points forts et faibles des technologies de l'IA. En s'appuyant sur les applications robotiques actuelles, Philippe Gaussier, professeur des universités à CY1 et chercheur au laboratoire ETIS2, mettra en évidence l'importance de connaître nos propres mécanismes cognitifs si l'on veut espérer, un jour, comprendre ce qu'est notre intelligence et créer des IA capables d'interagir réellement avec nous. en IA.
GESTIONNAIRES EN ACTION. On lit à gauche et à droite, depuis quelques mois, que les marchés boursiers sont entrés dans une bulle de l’intelligence artificielle. Marc L’Écuyer, gestionnaire de portefeuille à Cote 100, soutient qu’il est très difficile d’affirmer que c’est bel et bien le cas. «Quand on regarde les performances des géants américains de la technologie, leur rentabilité ne provient pas actuellement de l'intelligence artificielle (IA). Chaque entreprise a des créneaux dans lesquels elle génère une rentabilité très élevée. Peut-être à l'exception de Nvidia (NVDA, 192,57$US) dont la performance est étroitement liée à l’IA», dit-il. Il ajoute que les investissements massifs dans les centres de données ne signifient pas nécessairement que le secteur de l’IA est dans une bulle, à condition que leur capacité soit utilisée rapidement. «Une chose est certaine, c'est qu’on parle de dizaines, voire de centaines de milliards de dollars en investissements. On peut se demander s’il y a un peu trop d'investissements dans le secteur en ce moment. De là à parler de bulle, quand on regarde les géants technologiques, j'ai des doutes», analyse-t-il. Toutefois, le gestionnaire de portefeuille constate que des entreprises qui sont moins développées ou qui sont à un stade plus précoce de leur existence arrivent à obtenir des financements très importants. « Là, on peut avoir un doute sur la rentabilité future de ces entreprises, considérant peut-être l'incertitude quant à leur modèle d'affaires», dit-il. Une comparaison qui n’est pas exagérée Certains experts comparent aussi l'appétit actuel des investisseurs pour les titres d’IA avec celui qui a prévalu pour les titres d’Internet avant l’éclatement de la bulle techno en 2000. Cette comparaison n’est pas exagérée. «Il y a un peu un parallèle qui peut être fait avec ce qui s'est passé en 1999-2000. Tous les investissements à l'époque qui avaient été faits dans la fibre optique pour l'arrivée de l'Internet, c'est un peu la même chose aujourd'hui avec les centres de données. On voit apparaître des signes depuis quelques temps», raconte Marc L’Écuyer. Il cite entre autres les exemples de Nvidia et d’AMD (AMD, 232,89$US) qui financent les clients qui souhaitent acheter leurs produits. «On a vu ces choses-là en 1999 et en 2000, lorsque des sociétés comme Nortel finançaient leurs clients. Ça s'est mal terminé à l'époque. Est-ce que ça va être la même chose aujourd'hui? C'est difficile à dire. Mais disons qu'on peut être craintif par rapport à ce qui se passe actuellement», dit-il. Il soutient que pour l’investisseur moyen, un fonds négocié en Bourse indiciel répliquant le rendement du S&P 500 offre une exposition suffisante à l’intelligence artificielle. «En ce moment, les géants technologiques représentent un pourcentage très important de l'indice. Si le but, c'est d'être exposé à l’IA, oui, le S&P 500 est un bon véhicule. Cependant, ça vient aussi avec des risques. Il y a peu de gens qui remettent en question le fait que l'intelligence artificielle va complètement changer nos façons de travailler dans le futur. Cependant, on pensait la même chose en 1999-2000 avec l'arrivée de l'Internet», explique-t-il. La montée en puissance d’Internet n’a pas empêché le Nasdaq de péricliter d’environ 80% entre son sommet de 2000 et le creux d’octobre 2002. *Le balado «Gestionnaires en action» a reçu un honneur, étant reconnu en juin dernier dans le Top 100 des meilleurs balados sur les marchés financiers en ligne par la société américaine Million Podcasts.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cadeau Bonus : téléchargez la check-list anti IA-washing : 15 questions pour tester la crédibilité d'une promesse IAL'intelligence artificielle est devenue le nouvel argument phare des campagnes marketing. Des start-ups aux grandes entreprises, tout le monde veut afficher un produit ou un service « boosté par l'IA ». Mais derrière cette promesse, la réalité est parfois bien différente : peu d'innovation, beaucoup de communication. C'est ce que l'on appelle l'IA-washing.Dans cet épisode, nous décryptons ensemble ce phénomène. Vous découvrirez pourquoi les marques surfent sur la vague de l'IA, quels mécanismes marketing alimentent cette tendance et quels dangers se cachent derrière cette pratique. Nous verrons également comment différencier un usage réel d'un simple effet d'annonce et quelles sont les bonnes pratiques pour communiquer de manière transparente et crédible autour de l'IA.Au programme :Comprendre l'IA-washing et son parallèle avec le greenwashingPourquoi les entreprises s'empressent d'utiliser le mot « IA »L'effet de halo technologique et la pression médiatiqueLes risques : perte de confiance et brouillage de l'écosystèmeComment reconnaître une vraie innovation IALes bonnes pratiques pour une communication honnête et efficace---------------
Cette semaine, Thierry Weber nous emmène en Suisse, où se tient un rendez-vous inédit autour de l'IA et de la société civile. Un événement qui ne s'adresse pas seulement aux experts, mais qui veut ouvrir le dialogue avec le grand public, à travers conférences, ateliers et hackathons. Thierry nous invite à réfléchir à une question simple mais essentielle : quelle place voulons-nous donner à l'intelligence artificielle dans notre vie collective ? Une réflexion qui dépasse la technique pour toucher directement à nos valeurs démocratiques.
Alan Turing était un scientifique unique en son genre. Un visionnaire dont le talent et la force ont notamment permis d'écourter la Seconde Guerre mondiale d'au moins 2 ans ! Pourtant considéré comme le père de l'informatique et de l'intelligence artificielle, ce savant n'a eu une aucune récompense de son vivant. Pire, personne ne connaît son nom, ce qui est le revers de la médaille des agents secrets. Turing a travaillé une bonne partie de sa vie dans la plus complète confidentialité au sein du MI6, les services secrets anglais... Venez découvrir l'histoire de ce héros, geek visionnaire, qui a pensé le 21ème siècle avant tout le monde. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Combien de temps va-t-on continuer à taper des mots-clés dans des moteurs de recherche comme Google alors que ChatGPT, Perplexity ou encore Claude peuvent répondre instantanément à la question que l'on se pose ? Ces dernières années, l'avènement de ces intelligences artificielles (IA) génératives a peu à peu ringardisé le fait de rechercher une information sur un moteur, avant de consulter une page Internet puis une autre, jusqu'à dénicher la plus adaptée.Les IA sont-elles devenues irremplaçables, au point de menacer l'existence du Web ? Inventé en 1989, le World Wide Web est constitué de millions de pages reliées entre elles par des liens hypertexte. Or, non seulement les IA aspirent leur contenu, mais elles rendent également leur consultation superflue puisqu'elles génèrent, en quelques secondes, les réponses à toutes nos requêtes.Le Web pourrait-il donc finir par disparaître ? Quelles en seraient les conséquences, notamment économiques ? Faut-il s'en inquiéter ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Morgane Tual, journaliste au Monde et spécialiste des questions numériques, nous explique comment l'IA a peu à peu bouleversé nos usages numériques.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation : Florentin Baume. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extraits d'une interview de Francesca Musiani interrogée par Morgane Tual, d'un sujet télévisé diffusé par France 24 le 6 décembre 2024, d'une vidéo diffusée sur YouTube par France Culture le 7 décembre 2024 et d'un reportage diffusé sur RTL le 5 juin 2025.Cet épisode a été publié le 1er octobre 2025.---Assistez au cours du soir de notre chroniqueuse judiciaire Pascale Robert Diard sur les coulisses des grands procès qu'elle a couverts et les mécanismes de la justice Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:16 - Le vrai ou faux - L'Internet Watch Foundation alerte sur l'usage de l'intelligence artificielle pour générer des contenus pédocriminels, exposant un vide juridique sur les images fictives impliquant des enfants. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Libération évoque ce matin cet étrange phénomène dans le monde de la musique : des albums créés grâce à l'IA, mais qui portent le nom d'artistes bien réels ! Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 29 septembre, Antoine Larigaudrie a reçu Gustav Sonden, cofondateur de Colbr, et Matthias Baccino, directeur Europe Trade Republic, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'intelligence artificielle s'impose aujourd'hui comme une rupture technologique majeure. Des voitures autonomes aux assistants numériques, elle transforme nos sociétés. Mais elle révolutionne aussi la guerre. Car l'usage de l'IA aux fins de défense progresse à une cadence qui s'accélère, de l'analyse de données en masse à l'IA «embarquée» dans les systèmes d'armes, de la détection et l'identification de cibles à la gestion des ressources humaines en passant par les drones ou la cyberdéfense. Sur les champs de bataille, les conflits en Ukraine et à Gaza témoignent d'une intensification des usages. Intégrée dans les arsenaux, l'IA bouleverse la manière de concevoir, de planifier et de conduire les opérations militaires. Elle est au cœur d'une nouvelle course aux armements, qu'on qualifie parfois d'«hyperguerre», où la vitesse, l'autonomie et la dimension cognitive prennent une place centrale. Dans ce domaine, le civil et le militaire connaissent un rapprochement sans précédent, particulièrement aux USA. Les acteurs les plus puissants de l'IA sont des entreprises privées civiles et les développements de ces dernières années rebattent les cartes de l'industrie de défense. Exemple parmi d'autres, Google qui s'était engagé en 2018 à ce que ses technologies d'IA ne soient pas utilisées à des fins militaires ou de surveillance a supprimé, début 2025, cette promesse de sa charte publique. Quels enjeux stratégiques, politiques et éthiques ? Quels acteurs dominent ce champ ? Quelles régulations internationales sont possibles ? Et jusqu'où cette révolution peut-elle aller ? Invités : Laure de Roucy-Rochegonde, chercheuse à l'IFRI où elle dirige le Centre Géopolitique des Technologies, et chercheuse associée au CERI de Sciences Po. «La guerre à l'ère de l'Intelligence Artificielle», aux Presses Universitaires de France Jean-Michel Valantin, spécialiste en études stratégiques et chercheur en géopolitique. «Hyperguerre comme l'IA révolutionne la guerre», éditions Nouveau Monde.
L'intelligence artificielle fait des merveilles ! Et Laurent Ruquier a décidé de s'en servir pour en savoir un peu plus sur les Grosses Têtes... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée : - Raphaëlle Taub, Cofondatrice de Matricis.ai Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans son dernier livre en date, «De la bêtise artificielle» (Allia) notre invitée, Anne Alombert, s'inquiète. Selon elle, «la notion d'«intelligence artificielle» recouvre une nouvelle révolution industrielle, qui implique le risque de l'automatisation et de la prolétarisation de la pensée». Elle est l'invitée de ce numéro du magazine IDÉES. Spécialiste de la pensée de Bernard Stiegler qu'elle est venue expliquer dans l'émission, professeure de Philosophie, spécialiste des nouvelles technologies et de leur impact anthropologique, Anne Alombert analyse à sa façon, claire et précise, notre servitude volontaire face à l'IA. Selon elle, ce qui caractérisait notre époque, ce serait la naissance d'une forme de bêtise artificielle née de la prolétarisation de nos capacités expressives (écrire, parler, créer) par les machines. Le risque est l'appauvrissement de nos capacités intellectuelles. En nous laissant croire à l'existence de «machines pensantes», le terme d'intelligence artificielle nous empêche de penser véritablement. Il dissimule l'idéologie des grandes entreprises qui se sont approprié ces technologies, leurs infrastructures et leurs modèles économiques. L'usage massif des IA génératives entraîne une disruption des relations humaines et une délégation de l'expression à des systèmes algorithmiques. Cela conduit à une uniformisation et une perte de singularité dans nos échanges. Plutôt que d'opposer machines et humains, la jeune chercheuse propose d'interroger leur évolution afin de comprendre les effets des automates sur nos esprits, nos cultures et nos sociétés. Malgré ce constat critique, Anne Alombert ne fait pas montre de pessimisme. Elle affirme qu'il est possible de réorienter ces technologies pour les mettre au service de l'intelligence collective et de la démocratisation de l'espace médiatique, à condition de les concevoir comme des outils de contribution, et non d'imitation ou d'automatisation. Cet essai est à la fois lucide et stimulant. Il invite à repenser notre rapport aux technologies et à préserver notre capacité à penser, créer et dialoguer en tant qu'êtres singuliers sous peine de devenir les esclaves consentants de la machine. Ses explications au micro de Pierre-Édouard Deldique sont une forme d'avertissement. À nous de l'écouter. Programmation musicale Angel Brothers - Lost In The Loop.
Dans son dernier livre en date, «De la bêtise artificielle» (Allia) notre invitée, Anne Alombert, s'inquiète. Selon elle, «la notion d'«intelligence artificielle» recouvre une nouvelle révolution industrielle, qui implique le risque de l'automatisation et de la prolétarisation de la pensée». Elle est l'invitée de ce numéro du magazine IDÉES. Spécialiste de la pensée de Bernard Stiegler qu'elle est venue expliquer dans l'émission, professeure de Philosophie, spécialiste des nouvelles technologies et de leur impact anthropologique, Anne Alombert analyse à sa façon, claire et précise, notre servitude volontaire face à l'IA. Selon elle, ce qui caractérisait notre époque, ce serait la naissance d'une forme de bêtise artificielle née de la prolétarisation de nos capacités expressives (écrire, parler, créer) par les machines. Le risque est l'appauvrissement de nos capacités intellectuelles. En nous laissant croire à l'existence de «machines pensantes», le terme d'intelligence artificielle nous empêche de penser véritablement. Il dissimule l'idéologie des grandes entreprises qui se sont approprié ces technologies, leurs infrastructures et leurs modèles économiques. L'usage massif des IA génératives entraîne une disruption des relations humaines et une délégation de l'expression à des systèmes algorithmiques. Cela conduit à une uniformisation et une perte de singularité dans nos échanges. Plutôt que d'opposer machines et humains, la jeune chercheuse propose d'interroger leur évolution afin de comprendre les effets des automates sur nos esprits, nos cultures et nos sociétés. Malgré ce constat critique, Anne Alombert ne fait pas montre de pessimisme. Elle affirme qu'il est possible de réorienter ces technologies pour les mettre au service de l'intelligence collective et de la démocratisation de l'espace médiatique, à condition de les concevoir comme des outils de contribution, et non d'imitation ou d'automatisation. Cet essai est à la fois lucide et stimulant. Il invite à repenser notre rapport aux technologies et à préserver notre capacité à penser, créer et dialoguer en tant qu'êtres singuliers sous peine de devenir les esclaves consentants de la machine. Ses explications au micro de Pierre-Édouard Deldique sont une forme d'avertissement. À nous de l'écouter. Programmation musicale Angel Brothers - Lost In The Loop.
Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 16 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:36 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - La 39e édition du Salon international de l'élevage, qui s'ouvre ce mardi à Rennes, a pour thème l'intelligence artificielle. Anne-Marie Quémener, commissaire générale du SPACE, est notre invitée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 11 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 11 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
4 modèles d'IA ont été sollicités pour résoudre l'équation du moment. Surprise ! Les mesures de redressement soufflées par l'IA sont moins ambitieuses que celles de François Bayrou.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:51 - L'invité d'un jour dans le monde - Étude MIT, confession de Sam Altman, le patron d'OpenAI, lassitude des entreprises : les signaux s'accumulent autour d'une possible bulle de l'IA. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis le lancement de Chat GPT en novembre 2022, l'intelligence artificielle a révolutionné le quotidien de beaucoup d'employés. Mais le Fonds Monétaire international met en garde en janvier 2024, 60% de nos métiers seront impactés par l'IA à court terme. Les métiers de l'écriture figureraient parmi les plus à risques. Parmi eux, les rédacteurs web, secrétaires, traducteurs, correcteurs et même les journalistes. Ils ne sont pas les seuls, les enseignants, graphiste et même les chauffeurs seraient menacés par ces avancées. Quels sont les métiers concernés ? Quels problèmes ce remplacement pourrait engendrer ? Sommes-nous impuissants face à ce changement ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter aussi : Qu'est-ce que l'IA générative ? Qu'est-ce que le nouveau secrétariat d'Etat à l'Intelligence Artificielle ? Quels sont les 3 cold cases les plus mystérieux de France ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 04/10/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Des chatbots qui dérapent aux algorithmes de justice, des IA qui reconnaissent des visages… ou se trompent lourdement : l'intelligence artificielle n'est plus un scénario de science-fiction, mais un outil bien réel, déjà utilisé dans des secteurs sensibles comme la police, la justice, le recrutement ou la santé.(Rediffusion du 27 août 2022)
durée : 00:02:30 - Le vrai ou faux - Cette arnaque qui existe depuis une quinzaine d'années est amplifiée par l'IA. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:14 - Le vrai ou faux - D'après les chiffres obtenus par franceinfo, près de 9 000 plaintes ont été déposées en France depuis trois ans. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
REDIFF - Michel Chevalet fait une démonstration avec l'intelligence artificielle sud-coréenne Deepbrain AI. Pour l'occasion, il fait revivre Jean-Paul Belmondo et Alain Delon. Cet été, retrouvez tous les jours le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:52:25 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - L'intelligence artificielle, révolution technologique inéluctable : pour le meilleur ou pour le pire ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Eric Sadin Philosophe, spécialiste du monde numérique.; Raphaël Doan Agrégé de Lettres classiques, enseignant à Sciences Po Paris, essayiste