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Les agents intelligents, commencent à transformer les processus métiers dans les entreprises. Nicolas Gaudilliere, directeur Technologie et Innovation chez Capgemini Invent, explique comment les architectures multi-agents ouvrent la voie à une nouvelle ère de collaboration homme-machine. En partenariat avec CapgeminiAutomatisation, adaptabilité, interaction avec des systèmes externes : leur potentiel est immense, mais les défis sont tout aussi importants. De la banque aux télécoms, en passant par le support client, il détaille les cas d'usage les plus prometteurs, les gains déjà observés et les conditions pour réussir un passage à l'échelle.Nous évoquons également les enjeux cruciaux de sécurité et de gouvernance, sans lesquels cette révolution ne pourra s'ancrer durablement dans les organisations.Au programme :Qu'est-ce qu'un agent intelligent et en quoi diffère-t-il d'un simple chatbot ?Automatisation des processus métiers : exemples concrets dans la banque (KYC), les télécoms et le support client.Les architectures multi-agents : spécialisation, orchestration et collaboration avec l'humain.Les promesses de productivité (jusqu'à 30% de gain) et leurs limites actuelles.Les défis à relever : sécurité, intégration native, passage à l'échelle.L'adoption progressive par toutes les entreprises, des grands groupes aux PME.
L'intelligence artificielle connaît-elle une bulle financière sur le point d'éclater, à l'image de celle d'Internet en 2000 ? Pour Luc Julia, figure majeure de l'IA installé dans la Silicon Valley depuis vingt ans, la réponse est claire : oui, car l'excitation autour des IA génératives a atteint des sommets irrationnels. Contenu de l'interview :L'excitation autour des IA génératives rappelle la bulle Internet des années 2000.Les dangers de survalorisations insoutenables pour certaines startups.L'émergence d'une IA plus frugale et spécialisée : les « IA agentiques ».Et aussi : Nouvelle taxe à 100 000 dollars sur les visas H-1B des travailleurs étrangers aux Etats-Unis : quelles conséquences pour les entreprises de la tech ?
Plongez dans l'épisode de notre podcast Horizons Tech by ENI avec Jérôme Danrée, responsable technique chez Almeria Solutions Informatiques ! Découvrez pourquoi l'alternance est un pilier essentiel dans le monde de l'informatique. Jérôme partage son expérience personnelle et explique comment l'alternance a transformé sa carrière. Il nous révèle aussi pourquoi embaucher des alternants est bénéfique pour les entreprises et comment cela favorise l'innovation et la croissance. Un épisode essentiel pour comprendre l'importance de l'alternance dans le secteur technologique !LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/j%C3%A9r%C3%B4me-danree-2b7124111/Site web : http://www.almeria.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode spécial Debrief Transat, direction Montréal, où Bruno Guglielminetti couvre l'événement All In, grand rassemblement canadien dédié à l'intelligence artificielle.Au programme : un mélange de conférences, de démonstrations et de rencontres entre acteurs publics et privés. Dans les allées du salon, plus de 6 000 participants, une présence remarquée des Émirats arabes unis — ultra-numérisés — et des échanges nourris sur l'avenir de l'IA au Canada.Parmi les sujets qui dominent :La souveraineté numérique, désormais au cœur des discours politiques. Le Canada veut se doter de ses propres infrastructures technologiques, avec à la clé crédits d'impôt et milliards d'investissements annoncés.L'IA responsable, défendue avec conviction par le chercheur Yoshua Bengio et sa “Loi Zéro”, une initiative pour encadrer le développement éthique de l'intelligence artificielle.L'innovation concrète, notamment dans le domaine de la santé, avec une technologie impressionnante développée à Montréal : un dispositif capable d'analyser en temps réel des tissus cancéreux pendant une opération.On y croise aussi des investisseurs à l'affût, des start-ups en pleine démonstration et… une forte présence française !
Au programme : nouveaux iPhone, analyse du bras de fer Apple vs Commission européenne et lunettes connectées Met. Un épisode dense, passionné et sans langue de bois.Avec François Sorel, Bruno Guglielminetti et Emmanuel Torregano.iPhone Air : un virage stratégique pour Apple ?Le iPhone Air ultra-fin d'Apple est séduisant. Léger, élégant, bien pensé… mais aussi plus limité ? Entre prouesse technologique et compromis sur les specs, on débat à propos de cette nouvelle déclinaison de l'iPhone et de ce qu'elle annonce pour l'avenir de la gamme. Est-ce le nouveau standard ou une simple vitrine avant le futur iPhone pliant ?Traduction instantanée, DMA et AirPods 3 : Apple contre l'EuropeC'est le bras de fer du moment : certaines fonctionnalités des nouveaux produits Apple, comme la traduction en temps réel avec les AirPods 3, ne seront pas disponibles en Europe. La cause ? Le DMA. Apple hausse le ton contre de règlement européen sur les marchés numériques que la firme juge trop contraignant. La Commission européenne répond fermement. Que cache ce conflit ? Simple posture politique ou véritable clash transatlantique à venir ? Analyse détaillée d'un sujet explosif.Lunettes Meta : gadgets ou nouvelle ère numérique ?Les lunettes connectées Meta Ray-Ban Display mêlent réalité augmentée et intelligence artificielle. Gadget ou rupture technologique ? Design encore massif, autonomie perfectible, usage social incertain : tout est encore à inventer. Ce nouveau device va-t-il changer notre quotidien… ou finir au fond d'un tiroir ?Journalisme + IA : l'expérience Electron LibreEmmanuel Torregano dévoile les coulisses de son projet d'intelligence artificielle intégrée à son média Electron Libre. Codée avec l'aide de ChatGPT, cette IA permet de dialoguer avec l'ensemble des archives du site. Un projet pionnier qui ouvre de nouvelles perspectives pour l'information, entre assistant personnel et moteur de recherche intelligent. La promesse d'un nouveau canal pour le journalisme numérique.
Cette semaine : Apple vs DMA, cyberattaque SIM, salon All In à Montréal, Mistral au Canada, IA qui ment, fin des cookies, bulle IA et visas H-1B, agents intelligents, finances avec Qonto.
Alors qu'OpenAI annonce un film d'animation pour 2026, co-réalisé avec l'intelligence artificielle, la profession s'alarme : et si Critterz annonçait l'ère d'un cinéma sans humains ?En 2023, un court-métrage mystérieux apparaît sur YouTube : Critterz, des créatures poilues et mignonnes dans une forêt stylisée façon Pixar. Mais ce n'est pas Pixar : c'est OpenAI. Et ce n'est qu'un début.Un long-métrage est annoncé pour 2026, avec l'ambition de concourir dans les festivals. Réalisé à partir d'images générées par DALL·E, puis animées de manière classique, Critterz n'est pas un film "100% IA". L'écriture a été assistée par ChatGPT, mais ce sont encore des humains qui tiennent les manettes.Pourtant, la polémique enfle. Des professionnels dénoncent une menace pour la création et les emplois. Faut-il avoir peur ? Ce n'est pas la première fois que la technologie bouleverse l'industrie du cinéma — on l'a vu avec le montage numérique, les effets spéciaux ou encore l'arrivée du son.La véritable rupture ? Critterz coûtera cinq à dix fois moins cher qu'un film d'animation traditionnel… et pourra être produit en moins d'un an. C'est peut-être là que le bât blesse.Dans cet édito, je reviens sur ce cas emblématique qui cristallise toutes les inquiétudes autour de l'intelligence artificielle dans la création artistique.
Deepfake vidéo, phishing sur-mesure, vishing vocal… Les cybercriminels ne reculent devant rien pour piéger les collaborateurs d'entreprise. Et avec l'explosion de l'intelligence artificielle, ces attaques deviennent de plus en plus crédibles, ciblées, et dévastatrices. Arnaud Loubatière, directeur Europe du Sud de SoSafe, revient dans cet épisode sur les nouvelles formes d'ingénierie sociale.En partenariat avec SoSafeLoin d'être une simple question de pare-feu ou d'antivirus, la cybersécurité est aujourd'hui un enjeu humain. Dans cet entretien, Arnaud Loubatière explique pourquoi les hackers visent désormais directement les individus, à travers des attaques contextuelles, multicanales et psychologiquement bien ficelées. Il revient aussi sur les failles exploitées dans plusieurs affaires récentes : l'attaque contre Marks & Spencer via un sous-traitant, le vol massif de données chez les opérateurs télécoms, ou encore les détournements bancaires par simple changement d'IBAN.Face à cette menace invisible mais omniprésente, la solution passe par la sensibilisation, la formation continue et l'accompagnement intelligent des collaborateurs. Arnaud Loubatière décrit les outils que SoSafe déploie pour renforcer la vigilance et la posture cyber dans les entreprises, avec notamment un assistant IA intégré à la messagerie. L'enjeu est clair : transformer l'humain, souvent perçu comme le maillon faible, en première ligne de défense contre les cyberattaques de demain.Savoir plus : Tendances en cybercriminalité 2025
Aujourd'hui, épisode spécial de DSI et des Hommes.Pas d'invité humain… mais cinq intelligences artificielles : ChatGPT, Claude, Perplexity, Gemini et Le Chat.Je leur ai posé trois questions simples mais essentielles :Quelle sera la plus grande transformation de l'IA dans les entreprises d'ici 5 ans ?Si vous étiez DSI aujourd'hui, quel serait votre premier chantier prioritaire avec l'aide d'un LLM ?Quel est le plus grand risque lié à l'usage massif des IA génératives, et comment s'en prémunir ?Leurs réponses sont aussi diverses que révélatrices.Dans cet épisode, je vous propose de les écouter, de les comparer et d'analyser ce que cela dit de nos organisations, de nos métiers, et de notre capacité à garder l'esprit critique face aux promesses de l'IA.----------------------------------DSI et des Hommes est un podcast animé par Nicolas BARD, qui explore comment le numérique peut être mis au service des humains, et pas l'inverse. Avec pour mission de rendre le numérique accessible à tous, chaque épisode plonge dans les expériences de leaders, d'entrepreneurs, et d'experts pour comprendre comment la transformation digitale impacte nos façons de diriger, collaborer, et évoluer. Abonnez-vous pour découvrir des discussions inspirantes et des conseils pratiques pour naviguer dans un monde toujours plus digital.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:36 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour dans le Puy-de-Dôme : une entreprise qui propose des kits en bois pour apprendre le codage informatique sans écran, et une association qui organise notamment du covoiturage solidaire dans le Livradois-Forez. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, on va parler d'une étude du média Future qui met en lumière les différences d'adoption de l'intelligence artificielle entre générations de professionnels.Et attention, il y a une petite surprise.Sur un point précis, les millennials battent la génération Z.Ce sont les plus jeunes qui utilisent le plus l'IA générativeLe premier point c'est que sans surprise, ce sont les plus jeunes qui utilisent le plus l'IA générative.Les 18-40 ans, donc les membres de la génération Z et les millennials, explorent davantage d'usages, que ce soit pour créer des images, générer du texte ou encore produire de la musique.Dans l'ensemble, plus on est jeune, plus on expérimente.Les millennials tirent leur épingle du jeu dans le commerce en ligneLe second point, c'est que là où les millennials tirent leur épingle du jeu, c'est dans le commerce en ligne.Ils sont légèrement plus nombreux que ceux de la génération Z à utiliser l'IA pour chercher des recommandations de produits. Et surtout, ils affichent une plus forte propension à acheter des technologies estampillées "IA".Et un tiers des millennials se disent prêts à investir, contre seulement un quart des Gen Z.Une partie de la génération Z dit tout simplement être "heureuse sans IA"Enfin le troisième point c'est que l'étude met aussi en avant les freins à l'adoption.Les baby-boomers restent préoccupés par la confidentialité, quand une partie de la génération Z dit tout simplement être "heureuse sans IA".Mais le chiffre marquant, c'est la hausse de ceux qui déclarent être opposés philosophiquement à l'IA. Et cela est tout simplement le signe d'un débat de société qui s'intensifie.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le portefeuille électronique européen Wero fête son premier anniversaire avec plus de 43 millions d'utilisateurs. Ludovic Francesconi, responsable du développement de Wero, revient sur le lancement, les ambitions et les particularités de ce nouveau service de paiement mobile pensé par les banques européennes.Pensé comme une alternative souveraine aux géants américains du paiement, Wero mise sur l'intégration directe dans les applications bancaires, un système de transfert d'argent instantané de compte à compte, et un fort soutien des institutions publiques. Une stratégie qui semble porter ses fruits, avec une adoption rapide notamment en France et en Allemagne.L'application, née de la transformation de Paylib, est déjà utilisée quotidiennement pour les paiements de particulier à particulier (P2P), via mobile, email ou QR code. Le service est intégré dans les principales applications bancaires (sauf à ce jour la Banque Postale), ce qui facilite grandement son accès pour les clients.Dès 2026, Wero vise l'extension de ses usages au commerce en ligne (e-commerce), avec des partenaires de poids comme Leclerc, Air France ou encore des administrations publiques. L'ambition est aussi d'arriver en point de vente physique, d'abord via QR code, puis via NFC.Si la souveraineté européenne est un enjeu important, Ludovic Francesconi insiste sur l'expérience utilisateur, la simplicité, la gratuité pour les consommateurs et un coût réduit pour les commerçants. L'objectif est de faire de Wero une solution moderne, fluide et compétitive.Aujourd'hui disponible en France, Allemagne et Belgique, Wero prévoit de s'étendre aux Pays-Bas et au Luxembourg en 2026, représentant ainsi 75 % des paiements de la zone euro. L'international n'est pas exclu à long terme, mais la priorité reste le marché européen.
Aujourd'hui, on parle médecine et intelligence artificielle, avec une étude qui soulève un sujet plutôt inattendu.L'IA pourrait, paradoxalement, réduire les compétences des médecins lors de certaines procédures.D'abord commençons par le contexte.La détection du cancer par l'IALe cancer colorectal est l'un des plus fréquents dans le monde, et la coloscopie reste l'examen de référence pour détecter les polypes précancéreux.Et ces dernières années, des systèmes d'IA ont été introduits pour aider les gastro-entérologues à repérer plus facilement ces lésions. Et en effet, avec l'IA, le taux de détection augmente.Mais comme souvent, existe le revers de la médaille.Un effet inattendu appelé « deskilling »Une équipe polonaise a publié dans The Lancet Gastroenterology & Hepatology une étude qui met en lumière un effet inattendu appelé « deskilling », autrement dit une perte de compétence des professionnels de santé qui utilisent des outils d'intelligence artificielle.En comparant les performances de 19 médecins avant et après l'introduction de l'IA, les chercheurs ont constaté que le taux de détection lors des coloscopies réalisées sans assistance avait baissé de 6 points en moyenne.Autrement dit, l'IA améliore les résultats quand elle est utilisée, mais semble réduire l'attention et la vigilance des médecins lorsqu'elle n'est pas là.La sur-confiance dans les outils automatisésAlors quelles sont les implications de cette découverte dérangeante. Ce phénomène pourrait refléter un biais humain bien connu, qui est la sur-confiance dans les outils automatisés.Si les médecins s'habituent trop à l'aide de l'IA, ils risquent d'être moins concentrés et moins performants seuls. Les chercheurs appellent donc à la prudence.Ces résultats doivent être confirmés, mais ils posent déjà un défi majeur pour l'intégration de l'IA en médecine, à savoir comment profiter de ses bénéfices sans fragiliser les compétences humaines ?Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si les réseaux sociaux cessaient d'exploiter notre attention pour favoriser des échanges authentiques et respectueux ? C'est le pari audacieux de Republike, une nouvelle plateforme imaginée par Étienne de Sainte Marie, entrepreneur et philosophe de formation, lancé ce 23 septembre 2025. Republike entend proposer une alternative radicale à l'économie de l'attention. Fini les contenus polarisants mis en avant pour maximiser les clics : la plateforme récompense au contraire les comportements vertueux, basés sur le respect et la contribution. Les utilisateurs gagnent en visibilité (et bientôt en rémunération) selon un score de réputation mis à jour en temps réel, influencé par la modération participative et le ton des échanges.
Aujourd'hui, parlons service client et intelligence artificielle.Selon le dernier rapport State of Service publié par Salesforce, dans seulement deux ans, la moitié des cas de service client pourraient être résolus par des agents d'IA.Il s'agit donc d'une véritable révolution pour un secteur en pleine mutation.Quelle adoption de l'IA dans le secteur du service client ?D'abord, faisons un point sur l'adoption de l'IA dans le secteur du service client. Les entreprises de services font face à une double pression. D'une part, les clients sont de plus exigeants. Et les équipes des services client sont sous tension à cause du manque de talents et de la charge administrative.L'étude révèle que 82 % des professionnels constatent des attentes clients plus élevées, alors même que les conseillers passent moins de la moitié de leur temps avec eux.Résultat, l'IA apparaît comme une solution incontournable pour libérer du temps, automatiser les tâches répétitives et redonner aux équipes le rôle relationnel à forte valeur ajoutée. Et c'est là qu'il faut souligner l'importance des agents d'IA.Pourquoi l'IA agentique attire particulièrement l'attentionSalesforce distingue trois formes d'IA dans le service support. Il distingue :L'IA prédictiveL'IA générativeEt enfin l'IA agentiqueEt c'est cette dernière, l'IA agentique, qui attire particulièrement l'attention.Déjà près de 40 % des organisations l'utilisent. Et d'ici 5 ans, seules 6 % disent ne pas vouloir y recourir. Pourquoi ? Parce que ces agents autonomes réduisent les coûts de service client, accélèrent la résolution des demandes et améliorent la satisfaction client. On estime même qu'ils pourraient réduire de 20 % les délais moyens de traitement.Un futur hybride entre l'homme et l'IAEnfin, le secteur du service client s'achemine peu à peu vers un futur hybride entre l'homme et l'IA.Loin de remplacer les conseillers, l'IA va compléter leur travail. Plus de 80 % des professionnels interrogés affirment que l'IA améliore leurs perspectives de carrière, en rendant leur travail plus productif et moins stressant.Les cas simples sont pris en charge automatiquement, tandis que les agents humains se concentrent sur les situations complexes. Cette collaboration redéfinit le service client, le rendant à la fois plus efficace et plus humain.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Meta frappe fort avec ses nouvelles lunettes Ray-Ban Display, qui combinent réalité augmentée et intelligence artificielle, et s'accompagnent d'un étonnant bracelet neuronal. Mark Zuckerberg n'abandonne pas son rêve de metavers.Avec Bruno Guglielminetti (Mon Carnet).
Aujourd'hui, on parle d'une avancée scientifique venue de l'université de Harvard aux Etats-Unis.Un outil d'intelligence artificielle gratuit créé là bas pourrait révolutionner la découverte de médicaments contre des maladies très complexes, comme le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer.Les limites des méthodes actuellesD'abord, il convient de noter les limites des méthodes actuelles.Traditionnellement, la recherche pharmaceutique s'attaque à une protéine à la fois. Et cette technique marche pour certaines thérapies ciblées, comme les inhibiteurs de kinases contre certains cancers.Mais quand une maladie implique des dizaines de gènes et de voies biologiques, cette approche devient vite trop limitée.Et on en vient à ce que fait l'outil de l'université de Harvard, qui se nomme PDGrapher.25 fois plus vite que d'autres modèlesLe modèle conçu par Harvard Medical School analyse les interactions entre gènes, protéines et signaux dans les cellules.Et plutôt que de tester des milliers de combinaisons au hasard, il propose directement les associations de traitements les plus prometteuses pour rétablir l'état sain d'une cellule.Dans les essais, cet outil a non seulement retrouvé des cibles déjà connues, mais il en a aussi identifié de nouvelles, appuyées par des données cliniques. Et surtout, il le fait 25 fois plus vite que d'autres modèles.PDGrapher est testé sur 11 types de cancersEnfin parlons des applications concrètes.Aujourd'hui, PDGrapher (dispo ici) est testé sur 11 types de cancers. Mais les chercheurs l'appliquent déjà à des maladies neurodégénératives comme Parkinson et Alzheimer.L'idée, c'est de réduire le temps et le coût de la recherche pharmaceutique, et surtout de mieux cibler les maladies multifactorielles, c'est à dire celles qui résistent aux traitements classiques.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine : fin de Windows 10, sortie de iOS26, utilisations de ChatGPT, nouvelles lunettes Meta avec écran, Avatars dans Zoom, Republike réseau social éthique, porte-monnaie électronique européen Wero, cybercriminalité et manipulation mentale.
Meta franchit un cap avec ses nouvelles Ray-Ban Meta Display, premières lunettes grand public combinant intelligence artificielle et réalité augmentée, à l'aide d'un mini écran intégré qui projette des images directement devant vos yeux. Mark Zuckerberg poursuit son rêve de metavers.Présentées par Mark Zuckerberg, le patron de Meta, le 17 septembre 2025, les Ray-Ban Meta Display inaugurent une nouvelle ère pour l'informatique personnelle, avec un écran couleur intégré dans le verre, un assistant IA et un bracelet connecté pour interagir du bout des doigts.Un écran devant les yeuxLes Ray-Ban Meta Display embarquent un écran couleur invisible pour l'entourage, qui permet d'afficher messages, photos, appels vidéo ou itinéraires. L'assistant IA intégré permet de piloter les fonctions à la voix ou par gestes, notamment via un bracelet “neural band” détectant les mouvements de la main. Un véritable saut technologique pour Meta, qui parvient à miniaturiser des fonctionnalités de smartphone dans une paire de lunettes.Une alliance stratégique avec EssilorLuxotticaLe partenariat avec le géant de l'optique EssilorLuxottica s'impose comme un avantage décisif : maîtrise de la fabrication, distribution, design… Meta a trouvé le bon partenaire pour s'implanter durablement sur le marché de la tech portable. Un mariage audacieux mais désormais gagnant, entre la Silicon Valley et la lunetterie italienne.Le métavers n'est pas mortCe lancement s'inscrit dans la continuité du projet Orion, futur produit emblématique mêlant réalité augmentée et IA. Loin d'avoir enterré son rêve de métavers, Mark Zuckerberg le nourrit désormais à travers ces objets connectés. Comme la montre connectée hier, les lunettes pourraient bien devenir demain le cœur de notre vie numérique.
Aujourd'hui, on parle de la fin annoncée du SMS en France et de la montée en puissance de son grand remplaçant, le RCS.La bascule entre le SMS et le RCS déjà bien engagée en FranceD'abord il faut noter que la bascule entre le SMS et le RCS est déjà bien engagée en France.Selon l'AF2M, l'association qui regroupe opérateurs et acteurs du numérique dans l'hexagone, 80 % du parc de smartphones en France est désormais compatible avec le protocole RCS.Concrètement, cela représente plus de 48 millions d'appareils. Et bien sûr l'arrivée d'Apple dans la danse début 2025 a été un véritable accélérateur. Désormais, les iPhone comme les Android récents intègrent cette technologie par défaut.Le RCS est plus performantEnsuite, il faut comprendre que si le RCS remplace le SMS, c'est parce que ce dernier est bien moins performant.Oui, le RCS, c'est un SMS en beaucoup mieux. Là où le SMS se limite à du texte et quelques caractères, le RCS permet d'envoyer des photos et vidéos en haute qualité, des messages illimités, des conversations de groupe, des accusés de réception, voire du chiffrement de bout en bout.Bref, le RCS permet une expérience proche de ce que proposent les applications de messageries instantanées telles que WhatsApp ou Messenger, mais directement intégrée à l'application de messagerie native du smartphone.Pour les entreprises, le RCS est une petite révolutionEnfin le troisième point c'est que pour les entreprises, le RCS est une petite révolution.Le RCS ouvre en effet la voie à un business messaging enrichi et mesurable, notamment sur les taux de clics, les conversions, ou encore les interactions.En clair, les marques peuvent créer de vraies campagnes interactives sans passer par des applications mobiles tierces.L'AF2M estime même qu'en 2026, le RCS sera devenu le standard incontournable des communications professionnelles.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre albanais a promu une IA baptisée Diella au poste de ministre des Marchés publics. Si elle était déjà utilisée sous forme de chatbot pour simplifier les démarches administratives, Diella devient désormais un visage politique officiel – virtuel, certes, mais au cœur du pouvoir.Derrière cette nomination, une promesse : celle d'une gouvernance plus transparente, débarrassée de la corruption qui gangrène les appels d'offres dans de nombreux pays. Une IA, par définition, n'a pas d'intérêts personnels, pas de tentation de s'enrichir. Voilà un argument séduisant pour un pays comme l'Albanie, en quête de respectabilité sur la scène européenne. Mais suffit-il d'être une machine pour être incorruptible ?Car très vite, les questions s'enchaînent. Quelles seront les prérogatives réelles de cette IA ? Prendra-t-elle seule des décisions ? Sur quels critères attribuera-t-elle les marchés publics ? Et surtout, pourra-t-elle être manipulée à l'insu de tous ? On le sait, une IA n'est jamais neutre : elle dépend de la qualité de ses données, de ses concepteurs, et peut très bien reproduire des biais humains… voire amplifier certaines dérives.
Et si l'intelligence artificielle devenait votre meilleure alliée pour réussir vos examens ? Jérémy Lambert, cofondateur de Koro AI, présente une plateforme innovante pensée pour aider les collégiens, lycéens et étudiants à mieux apprendre grâce à l'IA.Alors que ChatGPT est déjà largement utilisé – parfois de manière anarchique – par les élèves, Koro AI propose une alternative structurée et pédagogique, encadrée par des enseignants et pensée pour maximiser l'efficacité des révisions. Fiches de synthèse, quiz personnalisés, flashcards, chatbot cantonné aux cours… l'outil se présente comme un véritable assistant scolaire intelligent.
Et si la fiction permettait de mieux comprendre les enjeux du monde réel ? C'est le pari du recueil Haute Tension, une œuvre collective de science-fiction qui propose neuf récits se déroulant dans un monde post-transition énergétique. EDF a collaboré à ce projet éditorial en apportant son expertise en innovation et en prospectiveEn partenariat avec EDFDans cet épisode, Julien Villeret, directeur de l'innovation d'EDF, raconte comment est née cette initiative inédite mêlant rigueur scientifique et imagination littéraire. Une autre manière de penser l'avenir de l'énergie, de l'hydrogène blanc à la fusion nucléaire, en passant par la souveraineté énergétique ou les ambitions dévorantes des géants du numérique.
Apple lance un iPhone plus fin que jamais ainsi qu'une nouvelle Watch et de nouveaux Airpods mais... derrière les annonces, plusieurs déceptions.Avec Bruno Guglielminetti (Mon Carnet)
Cette semaine : couvre-feu numérique pour les mineurs, annonces d'Apple, ministre virtuel en Albanie, Mistral AI et ASML, un protocole Web "anti-scraping", IA à l'école et futur de l'énergie.
L'été a été noir sur le front de la cybersécurité. Benoît Grunemwald, expert cybersécurité, fait le point sur les dernières cybermenaces. Au programme : des attaques de grande ampleur, une nouvelle technique de piratage via de faux captchas, et l'émergence d'un ransomware boosté à l'intelligence artificielle.En partenariat avec ESETDerrière les fuites de données qui ont touché France Travail, Air France-KLM, Orange ou Bouygues Télécom, des techniques toujours plus sournoises : hameçonnage, infostealers, ingénierie sociale et compromission de comptes employés. Benoît Grunemwald lève le voile sur ces méthodes redoutables — y compris une arnaque inédite qui détourne les captchas pour pousser l'utilisateur à installer lui-même un logiciel malveillant via une simple ligne de commande.Nous parlons également de PromptLock, un ransomware de nouvelle génération capable de s'adapter en temps réel grâce à l'intelligence artificielle, rendant la détection et la prévention encore plus difficiles.
L'intelligence artificielle (IA) ne se contente pas de bousculer les technologies. Pour beaucoup d'États africains, cette technologie devrait redessiner le futur du continent africain. L'IA pourrait permettre de répondre efficacement à certains des maux les plus pressants, en compensant les lacunes des systèmes éducatifs et de santé, en améliorant les rendements agricoles ou en facilitant l'accès aux services financiers pour une population encore largement exclue du système bancaire. Pour autant, plusieurs questions demeurent, le continent peut-il prendre part à la révolution en cours, tout en partant avec un certain temps de retard ? L'IA peut-elle devenir un facteur de développement pour l'Afrique ou, au contraire, représente-t-elle un obstacle à son indépendance économique ? Avec : • Thomas Melonio, chef économiste, directeur exécutif de l'Innovation, de la stratégie et de la recherche, Agence française de développement (AFD) • Paulin Melatagia Yonta, enseignant-chercheur en Informatique à l'Université de Yaoundé 1 • Ismaïla Seck, ingénieur et docteur en informatique. Enseignant chercheur en Intelligence artificielle à Dakar American University of Science & Technology et entrepreneur. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, Thibault tâchera de comprendre comment l'IA peut nous aider à bien nous organiser ? Programmation musicale : ► No.1 - Tyla Ft. Tems ► Katam - Diamond Platnumz.
Jean-Paul Krivine, rédacteur en chef de la revue Science et Pseudo-Science, publiée par l'Association Française pour l'Information Scientifique, conteste les explications sur l'IA du dernier livre de Luc Julia. Querelle d'experts ou procès d'une certaine vulgarisation ?Jean-Paul Krivine adhère à la thèse de Luc Julia qui déconstruit les mythes autour de l'intelligence artificielle, mais il estime que le dernier livre de Luc Julia ("IA génératives, pas créatives") contient de nombreuses inexactitudes scientifiques. Dans cet entretien approfondi, mon invité explique :La différence entre IA symbolique et IA connexionniste, et pourquoi cette distinction est essentielle pour comprendre les outils actuels comme ChatGPT ;Pourquoi les hallucinations des IA génératives sont structurelles et non dues à une simple mauvaise qualité des données ;Comment Luc Julia confond, selon lui, paramètres et bases de données, et multiplie approximations et erreurs dans ses explications techniques ;Pourquoi il estime que ces confusions peuvent nuire au débat public, surtout lorsqu'elles sont reprises dans les médias ou au Sénat.Jean-Paul Krivine appelle à une plus grande rigueur dans la vulgarisation scientifique, surtout lorsqu'il s'agit d'alimenter les réflexions politiques sur l'intelligence artificielle.
L'intelligence artificielle (IA) ne se contente pas de bousculer les technologies. Pour beaucoup d'États africains, cette technologie devrait redessiner le futur du continent africain. L'IA pourrait permettre de répondre efficacement à certains des maux les plus pressants, en compensant les lacunes des systèmes éducatifs et de santé, en améliorant les rendements agricoles ou en facilitant l'accès aux services financiers pour une population encore largement exclue du système bancaire. Pour autant, plusieurs questions demeurent, le continent peut-il prendre part à la révolution en cours, tout en partant avec un certain temps de retard ? L'IA peut-elle devenir un facteur de développement pour l'Afrique ou, au contraire, représente-t-elle un obstacle à son indépendance économique ? Avec : • Thomas Melonio, chef économiste, directeur exécutif de l'Innovation, de la stratégie et de la recherche, Agence française de développement (AFD) • Paulin Melatagia Yonta, enseignant-chercheur en Informatique à l'Université de Yaoundé 1 • Ismaïla Seck, ingénieur et docteur en informatique. Enseignant chercheur en Intelligence artificielle à Dakar American University of Science & Technology et entrepreneur. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, Thibault tâchera de comprendre comment l'IA peut nous aider à bien nous organiser ? Programmation musicale : ► No.1 - Tyla Ft. Tems ► Katam - Diamond Platnumz.
Apple a dévoilé ce 9 septembre 2025 une salve de nouveautés lors de sa keynote annuelle. Au programme : un iPhone Air inédit au design ultra fin, des Apple Watch orientées santé avec tensiomètre, et des AirPods Pro capables de traduire en temps réel. Voici l'essentiel à retenir.iPhone Air : le choc visuelC'est la star du jour. L'iPhone Air affiche une épaisseur de seulement 5,6 mm et un poids plume de 145 grammes. Presque une feuille de papier. Apple revendique un bond technologique inédit, avec une puce A19 Pro, un écran 6,5 pouces et un châssis en titane. Malgré sa finesse extrême, l'autonomie atteindrait une journée complète. Il interroge sur sa robustesse (on se souvient du Bendgate de 2014). Ce modèle est proposé à partir de 1230 €. iPhone 17 : continuité haut de gammeLe reste de la gamme évolue sans surprise. L'iPhone 17 reprend le design précédent avec un écran 6,3 pouces plus lumineux et la technologie ProMotion 120 Hz généralisée. Recharge plus rapide, meilleure autonomie, nouveaux matériaux plus solides (Ceramic Shield 3). Côté Pro et Pro Max, on passe à un châssis en aluminium (meilleure dissipation thermique), un double capteur photo de 28 et 12 MP, et jusqu'à 2 To de stockage. L'autonomie atteint 39 heures. Mais le prix aussi s'envole : 2479 € pour le modèle maxé.Apple Watch : la santé en prioritéLa Series 7 introduit une fonctionnalité rare : la mesure de la tension artérielle, en plus de l'ECG, du suivi du sommeil et de l'apnée. L'Apple Watch Ultra 3 pousse encore plus loin : grand écran, 42 heures d'autonomie, connexion satellite pour les appels d'urgence. Un vrai accessoire médicalisé, toujours présenté à travers des témoignages de vie réelle, devenus la marque de fabrique d'Apple. Disponibilité annoncée : 19 septembre 2025.AirPods Pro 3 : les écouteurs deviennent intelligentsPas de changement de design, mais des évolutions marquantes. La traduction simultanée débarque enfin dans les AirPods. Une fonctionnalité longtemps fantasmée, difficile à concrétiser, mais désormais au programme. Les AirPods Pro 3 gagnent aussi en autonomie (8 heures), en qualité sonore (réduction de bruit améliorée) et intègrent des capteurs de fréquence cardiaque et de mouvement. Pour Apple, les écouteurs deviennent de véritables accessoires de suivi sportif et de bien-être. De quoi les rapprocher un peu plus… d'un assistant personnel intelligent.Et l'intelligence artificielle ?Étonnamment, peu de choses sur Apple Intelligence dans cette keynote. Le géant semble encore discret sur le sujet, même si toutes les nouveautés hardware pourraient, à terme, prendre tout leur sens grâce à une IA embarquée efficace.-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Qui a influencé réellement le mouvement du 10 septembre sur les réseaux sociaux ? Aurélie David, vice-présidente de Bloom, révèle les dessous d'une mobilisation en partie façonnée par des dynamiques invisibles.Récupération politique par les extrêmes, amplification artificielle des messages, fragmentation des revendications, bulles cognitives : les ressorts numériques du mouvement sont loin d'être spontanés. L'étude menée par Bloom met aussi en lumière le rôle croissant de l'intelligence artificielle, notamment via Grok sur X, devenu un acteur central dans la diffusion d'informations — ou de récits — autour de cette journée de mobilisation.Telegram, TikTok, influence des jeunes créateurs et montée d'un militantisme anti-système : cet épisode est une plongée dans les nouvelles formes d'action politique à l'ère des algorithmes. Une interview indispensable pour comprendre ce qui se joue en ligne… pendant que la rue gronde.-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Seules 10% des entreprises françaises ont déployé des solutions d'IA. Pour Salime Nassur, fondateur de Maars, elles ont pourtant tout à y gagner mais à condition de savoir s'y prendre. En partenariat avec l'évènement One to One IA & Experience client 2025Au sommaire de l'interview :Pourquoi toutes les entreprises peuvent tirer parti de l'IA, à commencer par des usages simples (comptes-rendus de réunion automatisés, tâches récurrentes, back-office).L'étude du MIT sur le faible ROI de l'IA est souvent mal interprétée : c'est surtout un problème d'exécution et d'accompagnement, pas d'outil.L'erreur classique : acheter des licences (ChatGPT, Claude, etc.) sans former ni expliquer les bénéfices — donc pas d'usage, pas de ROI.Le Shadow AI comme signal positif : les collaborateurs y trouvent de la valeur quand l'IT tarde ; comment canaliser ces usages « pirates ».Souveraineté numérique : idéal respectable, mais pragmatisme opérationnel oblige—les géants US gardent une avance (sécurité, fonctionnalités, cadence d'innovation).Plan de formation massif : l'IA générative n'est plus réservée aux ingénieurs ; former tous les pros devient stratégique (acculturation → compétences → usages).Compétences clés à développer : growth mindset, esprit critique, communication avec l'IA, adaptabilité.Impact social : automatisation des tâches, pression sur les postes (d'abord juniors), nécessité de cartographier les compétences et d'anticiper les trajectoires métiers.-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Dans cet épisode, nous revenons sur les tragiques suicides de plusieurs personnes après des échanges avec ChatGPT. OpenAI annonce des mesures de sécurité. Seront-elles efficaces ?Avec Bruno Guglielminetti, du podcast Mon Carnet de Montréal
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.
Cette semaine : sanctions records pour Google, innovations à l'IFA, IA dans l'éducation, classement des chatbots menteurs, suicides liés à ChatGPT, psys assistés par IA, retard des entreprises françaises en IA, cyberattaques en hausse et manipulation sur les réseaux sociaux.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Alexander McCartney. Cet homme nord-irlandais qui a abusé de plus de 70 mineures en ligne, provoquant le suicide d'une Etats-unienne de 12 ans. Nous aimerions creuser un aspect de cette affaire. Le coupable trouvait ses victimes sur les réseaux sociaux et surtout sur Snapchat particulièrement prisé des jeunes. alors, le réseau social préféré des adolescents les met-il en danger de grooming ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Elon Musk veut faire de Grok, son chatbot dopé à l'IA, un instrument d'influence idéologique. Mais lui-même a du mal à le contrôler.Dans cet édito, je reviens sur les mésaventures d'Elon Musk avec Grok, l'intelligence artificielle développée par sa société xAI et intégrée au réseau social X. Présenté comme un concurrent à ChatGPT, Grok est censé être politiquement neutre. Pourtant, malgré des ajustements répétés, il dérape régulièrement, alternant les biais politiques et allant jusqu'à encenser Adolf Hitler.Un article du New York Times révèle comment Musk tente désespérément de "recadrer" son chatbot à coups de mises à jour et d'instructions secrètes. Mais peut-on vraiment modeler une IA à son image ? Et surtout, que révèle cette quête de contrôle sur la vision idéologique d'Elon Musk ?-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Le ton du juge O'Hara est grave, catégorique. La salle d'audience est suspendue à ses lèvres. « Ce que nous avons vu ici dépasse l'entendement. Les mots peinent à décrire l'ampleur du mal. […] Dans certains cas, des enfants de trois ou cinq ans ont été impliqués. » Le juge insiste sur un point essentiel : l'absence totale d'empathie. « Plusieurs enfants lui ont dit vouloir se suicider. L'une d'elles s'est tailladée en direct. D'autres ont envoyé des vidéos de leur détresse. McCartney a répondu, je cite : “Je m'en fiche.” »
Le verdict est tombé à Washington : Google conservera son intégrité. Le juge fédéral Amit Mehta, chargé du procès antitrust historique engagé contre la firme en 2020, a décidé de ne pas imposer le démantèlement du géant technologique. Chrome, Android et le reste de l'écosystème restent entre les mains de la maison mère. Une décision qui soulève autant de soulagement chez les investisseurs que d'interrogations sur la capacité des autorités à réguler les GAFAM.Tout en reconnaissant que Google est en situation de monopole et qu'il a abusé de cette position, le juge a choisi une approche pragmatique. Imposer la cession de produits stratégiques aurait, selon lui, désorganisé profondément le marché numérique, affaibli la qualité des services et créé un risque de chaos technologique. En toile de fond, c'est tout un écosystème — incluant Apple, Samsung ou encore Mozilla — qui dépend des accords commerciaux noués avec Google, notamment pour l'installation par défaut de son moteur de recherche.Mais cette décision n'est pas sans conséquences. Google devra désormais partager certaines données, notamment sur les requêtes de recherche, avec des concurrents comme Bing ou DuckDuckGo. Il lui sera également interdit de signer des contrats d'exclusivité empêchant l'installation d'autres moteurs de recherche sur les appareils et navigateurs.-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Certaines victimes vivent à quelques pas de chez lui, d'autres à plus de 15 000 kilomètres. Le mode opératoire reste le même : Snapchat, Instagram, faux profil, séduction, menace, soumission, extorsion. Dans le monde entier, des adolescentes pensent discuter avec une autre fille. Et partout, c'est la même voix, le même piège. Derrière chaque profil : Alexander McCartney, seul dans sa chambre à Newry.
Peut-on réconcilier l'écriture manuscrite et la productivité numérique ? C'est le défi relevé par PaperSlate, une jeune entreprise française qui lance un tout nouveau bloc-notes numérique, à la croisée du papier et de l'intelligence artificielle. Dans cet épisode, je reçois Ruben Dahan, cofondateur de PaperSlate, qui nous présente ce produit innovant conçu pour les professionnels.Pensé comme un outil de travail à part entière, ce bloc-notes repose sur un écran e-ink, un stylet passif, et une interface minimaliste, le tout propulsé par un système Android ouvert. L'objectif ? Offrir un appareil sans distraction, capable de retranscrire automatiquement le texte manuscrit, mais aussi les formules mathématiques, diagrammes, et schémas, grâce à une couche d'intelligence artificielle.Dans cette interview, Ruben Dahan revient sur :La genèse du projet et son héritage familial issu de la liseuse française Bookeen.Les cas d'usage visés : professionnels nomades, avocats, notaires, architectes, enseignants…Les choix technologiques : écran e-ink rétroéclairé, compatibilité Google Play Store, stylet sans batterie.Les différences entre les deux modèles (standard et Pro), avec un positionnement tarifaire agressif.L'importance de concevoir un produit sans distraction, axé sur la productivité pure.Les fonctionnalités phares : export automatique vers le cloud, configuration personnalisée, service client réactif en français.-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Nous sommes un an plus tard, le 18 mars 2019, la police perquisition pour la troisième fois le domicile d'Alexander McCartney. C'est depuis cette chambre d'enfant, dans une maison familiale sans surveillance particulière, qu'il a construit l'un des systèmes d'exploitation pédocriminels les plus vastes jamais découverts au Royaume-Uni.
Dans cet épisode du Debrief Transat, nous abordons les dérives tragiques de l'intelligence artificielle lorsqu'elle est utilisée sans garde-fous. À travers plusieurs cas récents, dont celui d'un adolescent californien incité au suicide par ChatGPT, nous questionnons la responsabilité des plateformes face à des utilisateurs vulnérables.Nous évoquons également un accord inédit entre l'entreprise Anthropic et des auteurs américains, qui marque un tournant dans la reconnaissance des droits d'auteur à l'ère de l'IA générative. Et enfin, retour sur l'émergence de l'IA “agentique” avec l'arrivée de Claude, le chatbot d'Anthropic, directement intégré dans Chrome.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.10 mai 2018. Il est 19 h 27 à Bruceton Mills, petite ville encaissée de Virginie-Occidentale. Le soleil s'éteint lentement derrière la forêt épaisse, les oiseaux se taisent. Dans une maison familiale, les volets sont à demi baissés, les murs ornés de cadres. Sur l'un d'eux, une préadolescente tout sourire en robe blanche, taches de rousseur et regard franc. Derrière sa porte entrouverte, la lumière du téléphone éclaire faiblement son visage. Cimarron a douze ans. Ce soir, elle ne sourit pas, elle fixe l'écran, les mains moites. Elle tape frénétiquement, les larmes aux yeux. Elle supplie. Supplie qu'on la laisse tranquille. Mais il en veut plus. Plus de photos, plus d'humiliation.
Après une violente polémique née d'une vidéo virale remettant en cause son parcours, ses compétences et son rôle dans la création de Siri, Luc Julia, spécialiste de l'intelligence artificielle, répond point par point aux accusations. Dans cet entretien exclusif, il revient sans détour sur les éléments de controverse, sa vision de l'IA, et sur ce qu'il considère comme les limites de la vulgarisation scientifique.Contenu de l'entretien :Retour sur la controverse : Luc Julia clarifie son rôle dans la genèse de Siri et sa relation avec les fondateurs de la start-up rachetée par Apple.Accusations et bad buzz : il répond aux critiques sur son CV, ses prises de parole, ses approximations supposées et sa manière de vulgariser.IA générative, LLM et vérité des chiffres : Luc Julia explique pourquoi certains propos ont été mal interprétés, notamment autour du fameux taux de « 64 % ».La voiture autonome n'existera pas (niveau 5) : pourquoi il reste convaincu que certaines promesses technologiques resteront des fantasmes.Une question de style : entre franc-parler, arrogance perçue et rigueur scientifique, il assume son ton tranché et revendique son indépendance de pensée.Un épisode sans filtre pour comprendre les dessous d'une tempête médiatique et les tensions au sein du monde de l'IA.-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Que penser de la polémique qui a visé Luc Julia, figure bien connue de l'intelligence artificielle et directeur scientifique de Renault ? Dans ce Grand Débrief de rentrée, nous analysons les rouages de cette « tempête numérique », entre réseaux sociaux, journalisme et querelle d'experts.Avec François Sorel (BFM B / Tech & Co) et Bruno Guglielminetti (Mon Carnet).En partenariat avec Free Pro - Le meilleur de Free pour les entreprises
Au sommaire cette semaine : suicide assisté par intelligence artificielle, Google lance la traduction vocale en temps réel, Musk attaque OpenAI et Apple, GPT-5 repousse les limites des mathématiques, Luc Julia se défend, Paperslate sort son premier bloc-note numérique.
Retour sur les origines de la plaie des parents et du plus grand bonheur des enfants et ados : les jeux vidéos ! De son invention dans les années 50 à aujourd'hui, l'industrie vidéo-ludique a transformé le visage du loisir et du divertissement. Tetris, Pac-Man, rchivesune histoire du pixel devenu roi. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La musique générée par intelligence artificielle envahit les plateformes de streaming. Chez Deezer, 10 % des morceaux reçus chaque jour seraient produits par IA. Pour préserver les artistes et l'équité du système, la plateforme a développé un outil de détection inédit. Aurélien Hérault, directeur de l'innovation chez Deezer, explique comment l'entreprise française réagit face à l'afflux massif de morceaux produits par des IA(Rediffusion du 7 mars 2025)