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En 5 minutes chrono, découvrez comment Airtable, Bubble, Glide, Zapier, ou Power Apps permettent à des équipes marketing, finance ou RH de lancer un prototype d'application en un week-end, sans ligne de code. Avantages, limites, coûts et cas concrets pour tout comprendre.Sources citées & liens :1. Stack Overflow Dev Survey 2024 – Pénurie de développeurs (+ 20 % postes non pourvus)https://insights.stackoverflow.com/survey/20242. Airtable – Templates & cas d'usage, formulaires , bases relationnelleshttps://airtable.com/templates3. Bubble – Templates no-code, marketplace, exemples d'appshttps://bubble.io/templates4. Glide – Créez une appli mobile à partir de Google Sheethttps://glideapps.com5. Zapier – Automatisations entre plus de 5 000 appshttps://zapier.com6. Make (ex-Integromat) – Automatisation avancée en low-codehttps://www.make.com7. Microsoft Power Apps – Low-code pour entreprise, connecteurs natifshttps://docs.microsoft.com/powerapps8. OutSystems Customers – Témoignages d'entreprises (ERP, CRM)https://www.outsystems.com/customers/9. Forrester 2023 – “The Total Economic Impact of Low-Code Platforms” – + 80 % rapiditéhttps://go.forrester.com/blogs/low-code-platforms-2023/10. Stack Overflow Talent – « Tech Talent Shortage » 2024https://insights.stackoverflow.com/talent11. McKinsey 2022 – “No-Code/Low-Code: The Rise of Citizen Developers”https://www.mckinsey.com/industries/technology/our-insights/citizen-developers-no-code-low-code----------------------------------DSI et des Hommes est un podcast animé par Nicolas BARD, qui explore comment le numérique peut être mis au service des humains, et pas l'inverse. Avec pour mission de rendre le numérique accessible à tous, chaque épisode plonge dans les expériences de leaders, d'entrepreneurs, et d'experts pour comprendre comment la transformation digitale impacte nos façons de diriger, collaborer, et évoluer. Abonnez-vous pour découvrir des discussions inspirantes et des conseils pratiques pour naviguer dans un monde toujours plus digital.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parfois les menaces portent leurs fruits.C'est en tout cas avec cette arme qu'Elon Musk semble avoir pour l'heure convaincu certains annonceurs de revenir sur le réseau social X.Une tactique musclée qui commence à porter ses fruitsD'abord, voyons comment cette tactique musclée commence à porter ses fruits.Elon Musk a mis en œuvre une stratégie jusque ici inédite. Il a directement menacé d'engager des poursuites judiciaires contre les annonceurs qui ont décidé de boycotter X, anciennement Twitter.Selon le Wall Street Journal, des entreprises comme Verizon et Ralph Lauren, entre autres, ont cédé et se sont engagés à dépenser plusieurs millions de dollars en publicités pour éviter d'être poursuivis.Chez Verizon, l'engagement initial de 10 millions de dollars pourrait même grimper à 25 millions si les campagnes performent et restent à l'écart de contenus non conformes à leurs critères de marque.Mais tout le monde ne se plie pas aux injonctions de Musk.Lego et Pinterest, les résistantsLego et Pinterest par exemple ont refusé de plier et en conséquence leurs noms ont été ajoutés à une plainte déposée en février aux Etats-Unis par le réseau social.X exigeait de Pinterest de maintenir ses dépenses publicitaires pré-rachat pendant deux ans, sous peine de poursuites.Pinterest a jugé les performances publicitaires sur d'autres plateformes plus convaincantes et a donc choisi de ne pas céder.Cela souligne les limites d'une stratégie fondée sur la contrainte, surtout face à des annonceurs qui disposent de solutions alternatives efficaces.Un des derniers leviersReste que la stratégie de la menace portée désormais par Elon Musk est peut être un des derniers leviers que peut activer le milliardaire.Car sur le plan financier, les revenus publicitaires de X sont passés de d'un peu plus de 4,5 milliards de dollars en 2022 à un peu plus de 2,5 milliards en 2024.D'après les cabinets d'analyse, une première hausse des revenus est enfin attendue cette année, sans toutefois retrouver les niveaux d'avant-rachat.Mais la pression légale et réglementaire s'intensifie également. Une enquête des autorités américaines cherche à démontrer de possibles ententes illicites entre annonceurs dans le cadre du boycott.Enfin, l'évolution des relations politiques de Musk, notamment avec l'administration américaine, pourrait modifier la donne.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce Debrief Transat exceptionnel, enregistré à Vivatech, on vous livre notre analyse de l'édition 2025 du salon européen de la tech : le Canada à l'honneur, l'intelligence artificielle en vedette, la souveraineté numérique face à une certaine "schizophrénie" française. Avec Bruno Guglielminetti.------Canada à l'honneur : une présence inédite avec 600 représentants et plus de 200 entreprises, dans un pavillon d'envergure jamais vue. Le Canada en profite pour resserrer ses liens avec la France et l'Europe dans un contexte géopolitique tendu.Souveraineté numérique : entre discours politiques et réalité du marché, le paradoxe européen. Malgré la volonté de créer un cloud souverain, les partenariats (comme celui entre Mistral et NVIDIA) montrent à quel point l'Europe dépend encore des technologies américaines.Les ambitions du monde arabe : forte présence des Émirats, de l'Arabie Saoudite et du Maghreb, avec des stratégies offensives pour recruter des talents européens et devenir des puissances de l'IA.L'innovation robotique : arrivée prochaine en France des robots humanoïdes chinois Unitree, adaptés au marché local par une startup française.Présence politique forte : Macron omniprésent, symbole d'une tech française encore très politisée, tandis que le Canada introduit un ministre dédié à l'IA.Diversité internationale : de la startup libanaise à la délégation africaine, Vivatech affirme son ouverture au monde et son rôle de carrefour de l'innovation.-----------
Aujourd'hui, une défaite inattendue… et franchement cocasse : ChatGPT, le célèbre chatbot d'OpenAI, s'est fait battre aux échecs. Pas par un grand maître. Ni même par un autre modèle d'intelligence artificielle. Non, par… une console Atari 2600 datant de 1977.C'est l'ingénieur Robert Caruso, de chez Citrix, qui a orchestré cette expérience. Il a utilisé un émulateur pour faire tourner un jeu d'échecs développé en 1979 pour la mythique console Atari. Le but ? Voir comment ChatGPT, censé incarner le futur de l'intelligence artificielle, se débrouille face à un moteur de jeu aussi basique. Et je vous explique tout ça en trois points.La partie ne s'est pas bien passée pour ChatGPTPremier point à retenir, la partie ne s'est pas bien passée pour ChatGPT.Il a confondu les pièces, prenant des tours pour des fous, manqué des opportunités stratégiques simples et perdu le fil de la partie à plusieurs reprises.Il a même accusé les graphismes Atari d'être trop abstraits, avant de faire les mêmes erreurs… en notation d'échecs classique.Cette défaite s'explique techniquementDeuxième point, cette défaite s'explique techniquement.ChatGPT est un modèle de langage. Il est conçu pour comprendre et générer du texte, pas pour analyser des positions sur un échiquier en temps réel.À l'inverse, le jeu d'Atari, aussi vieux soit-il, a été programmé exclusivement pour ça. Même avec une mémoire ridicule, 128 octets, il est plus performant que l'IA d'OpenAI dans ce contexte précis.Une leçon importanteTroisième point enfin, cette expérience nous rappelle une leçon importante.Tous les outils d'IA ne se valent pas pour toutes les tâches. Ce n'est pas parce qu'un modèle peut briller dans des conversations ou expliquer des concepts complexes qu'il saura jouer aux échecs comme un pro.Il existe d'ailleurs des extensions spécialisées comme ChessGPT ou des moteurs comme Stockfish, bien plus adaptés à ce genre de défi.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaleur, IA, datas centers, robots… Le salon VivaTech 2025 à Paris (11-14 juin 2025) a été marqué par l'intervention de l'américain Jensen Huang, patron de Nvidia, et par l'annonce de plusieurs partenariats dans le domaine de l'intelligence artificielle.-----------L'ACTU DE LA SEMAINE- Jensen Huang, le patron de Nvidia, a brillé en tant qu'invité d'honneur, annonçant des innovations majeures dans l'IA et des partenariats stratégiques.- Mistral AI, la startup française, prévoit d'ouvrir de nouveaux data centers, renforçant ainsi la souveraineté numérique européenne.- En début de semaine, Apple a dévoilé sa refonte d'interface lors de la WWDC, engendrant un débat sur l'impact de ces changements sur les utilisateurs.- Emmanuel Macron a évoqué des mesures pour interdire l'accès aux réseaux sociaux pour les mineurs dans la foulée d'événements tragiques récents.LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE- Avec Bruno Guglielminetti, présent à Paris, on débriefe cette édition 2025 de Vivatech, notamment la présence en force du Canada à VivaTech et la question omniprésente de la souveraineté numérique. LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE- Extrait de l'émission spéciale Vivatech avec Patrice Duboé, Matthieu Deboeuf-Rouchon et Nicolas Gaudillière, directeurs de l'innovation chez Capgemini [PARTENARIAT]- Stéphane Bohbot présente les robots quadrupèdes Unitree, conçus pour des usages domestiques, industriels et sécuritaires, prochainement commercialisés en France. - Rodolphe Hasselvander dévoile les dernières avancées du robot Buddy, compagnon domestique interactif. Plus expressif et intelligent, Buddy veut s'imposer comme une aide au quotidien pour les familles et les personnes isolées.- Thierry Menou présente Buddyo, sorte de labo personnel connecté pour les établissements de santé ou les établissements de santé. - Alexis Tamas, de F2R2, revient sur l'évolution du protocole Frogans, qui propose une nouvelle forme de navigation en ligne et présente le site Frogans de Monde Numérique. [PARTENARIAT]- Julien Villeret, directeur de l'innovation d'EDF, présente le modèle réduit de flamme olympique exposé à Vivatech et un met en lumière des jeunes pousses qui développent des solutions bas carbone. [PARTENARIAT]-----------
Send us a textDans cet épisode exceptionnel, El Ibrahima Diago reçoit Serigne Falilou Mbacké Cissé, Directeur des Relations Publiques et de la Presse de Wave Sénégal, pour une plongée sans filtre dans les coulisses de la révolution mobile money au Sénégal.
Chaque mois, Luc Julia, co-inventeur de Siri et directeur scientifique de Renault, partage son analyse sans filtre de l'actualité tech dans Monde Numérique.À l'occasion de la sortie de son nouveau livre « IA générative, pas créative » (Éd. Cherche Midi), Luc revient sur les confusions sémantiques qui entourent l'intelligence artificielle. Pour lui, parler d'« IA créative » est une erreur fondamentale : ces outils ne font que régurgiter des données passées, sans jamais sortir du modèle qui les encadre. « Une IA ne crée pas, elle remâche ».Deuxième mise au point : le mythe de l'intelligence artificielle générale (AGI), que certains annoncent comme imminente. Luc Julia n'y croit pas une seconde. Reproduire une intelligence humaine alors qu'on en ignore encore la définition ? Un pur fantasme selon lui, alimenté par le storytelling de la Silicon Valley.Enfin, Luc alerte sur ce qu'il considère comme le vrai danger des IA : leur impact environnemental. Une requête ChatGPT, c'est l'équivalent de centaines de requêtes classiques, avec une consommation énergétique et hydrique vertigineuse. Il plaide pour une prise de conscience collective… et l'abandon progressif des modèles géants au profit d'outils plus légers, plus spécialisés, et donc plus sobres.-----------
Dans cet épisode exceptionnel enregistré à VivaTech 2025, je reçois trois directeurs de l'innovation du groupe Capgemini – Patrice Duboé, Matthieu Deboeuf-Rouchon et Nicolas Gaudillière – pour décrypter les grandes tendances technologiques observées cette année.En partenariat avec Capgemini-------------IA générative, robots humanoïdes, simulation numérique, deep tech, hologrammes interactifs, exosquelettes... Ensemble, nous explorons ce que ces innovations disent du futur des entreprises, des startups et des usages. Les experts de Capgemini reviennent notamment sur la keynote marquante de Jensen Huang (NVIDIA), la montée en puissance de la robotique augmentée par l'IA, et l'explosion des agents intelligents multi-domaines.Au fil de l'échange, ils partagent aussi leurs coups de cœur : des prothèses robotisées imprimables en 3D à l'avatar de Léonard de Vinci, en passant par des innovations durables à base de cheveux ou de mycélium. Le tout avec un regard lucide sur les enjeux d'adoption, de souveraineté technologique et de transformation en entreprise.Un grand tour d'horizon à ne pas manquer pour comprendre où va l'innovation technologique en 2025... et au-delà.-----------
Jean-Louis Constanza, cofondateur de la société française Wondercraft, dévoile Calvin40, un nouveau robot humanoïde développé en seulement quarante jours. Héritier direct des exosquelettes conçus par l'entreprise depuis plus de dix ans, ce robot marque une avancée majeure pour la robotique européenne. Doté d'une intelligence artificielle capable de comprendre son environnement (Vision-Langage-Action), Calvin40 vise à effectuer des tâches concrètes aussi bien dans l'industrie que dans l'assistance à domicile.Avec une plateforme technique déjà largement éprouvée – plus de 10 000 utilisateurs d'exosquelettes et des millions de pas enregistrés –, Wondercraft s'attaque désormais au défi de l'industrialisation. Un partenariat stratégique avec Renault vient renforcer cette ambition : le constructeur automobile apportera son expertise en production de masse pour fabriquer des robots à des coûts compétitifs, tout en devenant le premier client pour des robots dédiés aux chaînes de montage.Ce rapprochement entre robotique et automobile ouvre aussi des perspectives plus larges. Dans un contexte de transition démographique et de pénurie de main-d'œuvre, les robots humanoïdes pourraient permettre d'automatiser des tâches pénibles ou complexes, tout en contribuant à une relocalisation industrielle. La volonté affirmée est de faire émerger une filière souveraine en Europe, capable de rivaliser avec les géants américains et chinois, en proposant des robots accessibles et opérationnels pour répondre aux enjeux sociétaux et économiques de demain.-----------
Caramba ! Encore raté ! Il a renommé son entreprise Meta il y a quelques années, pensant le temps du metaverse venu. Mais le metaverse n'est jamais venu. Puis il a tout misé sur l'intelligence artificielle, comme l'ensemble de ses petits copains des Gafam. Mais à ce jour, Mark Zuckerberg n'est toujours pas satisfait de la manière dont son entreprise oriente ses recherches dans ce domaine.Et il prend les choses en main personnellement pour faire de Meta un champion de l'intelligence artificielle générale. Je vous explique tout cela en trois points.Frustré par les performances de Llama 4D'abord, Zuckerberg est surtout frustré par les performances qu'il juge décevantes de Llama 4, le dernier grand modèle de langage de Meta.Il a donc décidé de créer une équipe secrète qui travaille sur le concept de « superintelligence ».Son objectif est rien de moins que de développer une intelligence artificielle aussi performante que l'humain, tout au moins sur une large gamme de tâches. Pour cela, il recrute personnellement et à sa main une cinquantaine d'experts en IA.Une flopée de dollars pour le financementReste que repose sur cette petite équipe une ambition industrielle colossale. Avec une flopée de dollars pour le financement.Meta prévoit en effet de dépenser des dizaines de milliards de dollars pour cette initiative, avec l'appui d'un partenariat massif avec Scale AI. Cette entreprise fournit des données pour entraîner les modèles et crée des applications personnalisées pour le secteur public et privé.Le fondateur de Scale AI, Alexandr Wang, devrait même intégrer la nouvelle équipe une fois l'accord finalisé.Un repositionnement stratégique de la part de ZuckerbergEnfin, il faut bien voir dans cette initiative un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg. Ce nouveau « groupe de superintelligence » pourrait en effet redéfinir la place de Meta dans la course à l'IA face à Google, OpenAI ou Anthropic.L'ambition est claire. Il s'agit de dépasser la concurrence et intégrer ces avancées dans les produits maison, du chatbot Meta aux fameuses lunettes Ray-Ban connectées.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
100% LIFESTYLE - Tous les jeudis : - De 19H à 20H sur RDL 103.5 FM en Centre Alsace - A l'écoute partout à cette heure sur le direct live sur www.rdl68.fr / rdl68.fr/playlist/100-lifestyle/ - En PODCAST sur SOUNDCLOUD chaque JEUDI à 21H - FACEBOOK : https://www.facebook.com/people/100-Lifestyle/61565011947886/ Dans ce numéro, Anne-Claire & Yann vous proposent : - En route pour l'aventure (voyage/Yann): Bogota, Medellin, Carthagène des Indes: en route pour la Colombie ! - La minute soignante (santé & bien-être/Anne-Claire): L'épilation laser - Chanson Story (histoire d'un tube/Yann): "L'aigle noir", Barbara, 1970 - La question des auditeurs: Comment refroidir une boisson... sans frigo ? - Mode & Beauté (Anne-Claire): Qu'est-ce que le no bra ? MUSIQUES: "Paso Paso", Eda Diaz, 2017 "L'aigle noir", Barbara, 1970 "Non", Gaumar, 2025 EXTRAITS: "Wherever, whenever", Shakira, 2001 "Summer Body", Héléna, 2024 "Déconnectés", DJ Hamida feat Kanya Samet, Lartiste, Rimk du 113, 2014 "Sans contrefaçon", Mylène Farmer, 1987 "La grenade", Clara Luciani, 2018 Important: Je ne touche aucun droits d'auteur sur ces chansons. Les droits reviennent intégralement aux auteurs/compositeurs/interprètes. Diffusion: Jeudi 19H - 20H en direct sur RDL (103.5 FM dans le Centre Alsace) ecouterradioenligne.com/rdl-colmar/ Une production RDL 103.5 FM Tous droits réservés
L'intelligence artificielle sera encore une fois la grande vedette de VivaTech 2025. Florent Roulier, responsable innovation chez Niji, décrypte les grandes tendances de cette 9e édition du salon, où l'Europe affirme sa vision de l'innovation, entre IA souveraine, cybersécurité et French Tech en transition.Dans cet épisode, nous abordons les points clés du salon VivaTech 2025 (11-14 juin), à travers le regard d'un expert habitué des grands rendez-vous tech mondiaux :L'intelligence artificielle omniprésente : comme au CES ou au Gitex, l'IA s'impose comme le thème central de l'innovation numérique. Elle s'accompagne de nouveaux enjeux en cybersécurité et de cas d'usages de plus en plus concrets dans les entreprises.Une vitrine de l'innovation européenne : VivaTech reste modeste comparé au CES, mais se distingue par sa forte représentation de l'écosystème européen (60% des exposants), avec une approche unique mêlant startups et grands groupes.Des usages grand public visibles : lunettes et bagues connectées, robotique de terrain, IA embarquée… de nombreuses innovations visent désormais des applications concrètes et accessibles.La souveraineté numérique en ligne de mire : alors que les géants américains dominent, l'Europe cherche des solutions, entre IA souveraine (Mistral AI, solutions de confidentialité) et régulations contraignantes (AI Act).Une French Tech résiliente mais sous tension : malgré une crise de financement sévère, 53% des exposants sont français. Le dynamisme reste réel mais fragilisé.Le virage numérique des entreprises françaises : les projets d'IA se multiplient mais peinent encore à passer à l'échelle. Pourtant, les bénéfices sont là, avec des gains opérationnels parfois spectaculaires.-----------
Pour la deuxième fois de son histoire, Apple change le design des interfaces de ses produits. Lors de la WWDC 2025, la marque à la pomme a dévoilé un tout nouveau design baptisé Liquid Glass, qui s'imposera dès l'automne prochain sur tous les appareils de l'écosystème : iPhone, iPad, Mac, Apple Watch et même Vision Pro. Une refonte esthétique majeure qui marque la fin d'une époque.Bye-bye le flat design, que l'on connaît depuis 2013. Hello Liquid design ! A la rentrée prochaine, les appareils Apple auront un nouveau style quand on les allumera, avec des icones minimalistes semblant être posées sur une plaque de verre. Plus élégant, plus sobre, plus pratique ? Le design a toujours été important chez Apple. Liquid design uniformisera aussi encore plus tous les appareils de la marque. Autre nouveauté notable : Apple abandonne la numérotation confuse de ses systèmes d'exploitation. Place à des versions millésimées (ex. iOS 26, macOS 26 Tahoe) pour plus de lisibilité.Mais derrière ce vernis translucide, Apple peine à cacher un certain essoufflement. Peu d'annonces véritablement marquantes, si ce n'est quelques nouvelles fonctionnalités liées à Apple Intelligence, comme le tri intelligent des appels téléphonique, la traduction en temps réel dans les apps de communication ou encore l'intégration d'un framework IA pour les développeurs, etc.Enfin, quelques fonctionnalités pratiques ont été présentées, notamment :Un nouveau multitâche plus souple sur iPadUne recherche Spotlight améliorée sur MacDes options de jeu vidéo enrichies sur toutes les plateformesDes outils collaboratifs dans l'app Messages-----------
En 5 minutes chrono, plongez au cœur de la smart city :• Définition et composantes (capteurs urbains, gestion intelligente, participation citoyenne, durabilité).• Exemples concrets : Barcelone (éclairage connecté), Singapour (déchets), Paris (compteurs d'eau), Copenhague (stationnement).• Chiffres clés (70 % des villes d'ici 2025, IoT urbain 200 milliards $ en 2024, – 25 % CO₂).• Enjeux (données personnelles, fracture numérique, coûts, interopérabilité).Sources citées :1. Éclairage connecté :https://smartcity.bcn.cat/2. Gestion des déchets :https://www.smartnation.gov.sg/3. Compteurs intelligents :https://www.eau-de-paris.fr/4. Stationnements connectés Copenhague :https://www.c40.org/5. “Worldwide Smart Cities Spending Guide” :https://www.idc.com/getdoc.jsp?containerId=IDC_P336016. “IoT Consumer Spending in Smart Cities” 2024 : https://www.statista.com/statistics/377919/global-iot-spending-smart-cities/7. “Smart Cities: Digital Solutions for a More Livable Future” :https://www.mckinsey.com/business-functions/sustainability/our-insights/smart-cities-digital-solutions-for-a-more-livable-future8. “Rapport sur le haut débit fixe” :https://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/rapport_hf2023.pdf9. “India Suspend Delhi Facial Recognition Cameras” 2023 :https://privacyinternational.org/examples/india-delhi-face-recognition-suspension10. 2022 Budget Revisions :https://www.dublinsmartdistrict.ie/2022-updates11. Normes open-source : https://www.fiware.org/----------------------------------DSI et des Hommes est un podcast animé par Nicolas BARD, qui explore comment le numérique peut être mis au service des humains, et pas l'inverse. Avec pour mission de rendre le numérique accessible à tous, chaque épisode plonge dans les expériences de leaders, d'entrepreneurs, et d'experts pour comprendre comment la transformation digitale impacte nos façons de diriger, collaborer, et évoluer. Abonnez-vous pour découvrir des discussions inspirantes et des conseils pratiques pour naviguer dans un monde toujours plus digital.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Découvrez l'épisode inspirant du podcast "Horizons Tech by ENI" avec Jean-François Garreau, GDG Nantes Community Manager et Directeur Engineering de Sfeir Nantes. Explorez les avantages puissants d'appartenir à une communauté tech, l'impact transformateur de l'engagement bénévole et les joies enrichissantes de contribuer à l'open source. Ne manquez pas ce récit passionnant sur l'innovation et la passion au sein de l'écosystème tech. LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/jean-francois-garreau/Site : http://www.sfeir.comhttps://devfest2025.gdgnantes.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on se penche sur une question bien intrigante.Les grands modèles de langage, ou LLM, sont-ils en train de devenir les nouveaux influenceurs ?Une récente étude d'Accenture apporte des éléments de réponse fascinants. Et je vous explique tout cela en trois points.Une relation émotionnelle avec l'IAD'abord, de plus en plus de personnes développent une relation émotionnelle avec l'IA. Selon l'enquête menée auprès de 18 000 personnes dans 14 pays, plus de 35 % des utilisateurs de l'IA générative considèrent cette technologie comme, je cite, "un bon ami".En conséquence, près de 95 % d'entre eux ont déjà sollicité ou envisageraient de solliciter l'IA pour les aider à atteindre leurs objectifs personnels. Et l'on parle ici de conseils relationnels ou sociaux.Cette connexion émotionnelle est si forte que près de 35 % des utilisateurs déclarent qu'ils changeraient de chatbot si un autre leur faisait se sentir plus spéciaux.Un conseiller d'achat de confianceEt c'est là où le commerce en ligne pointe le bout de son nez. Car l'IA dans ce contexte pourrait tout à fait être un conseiller d'achat de confiance.Vous me suivez, l'IA générative devient une source majeure de recommandations d'achat, chiffres à l'appui.Près de la moitié des consommateurs interrogés ont pris une décision d'achat basée sur les suggestions de l'IA. Et 75 % seraient ouverts à l'utilisation d'un "personal shopper" alimenté par l'IA. Pour les répondants de l'étude, l'IA est désormais la deuxième source de recommandations d'achat, juste après les magasins physiques.L'IA pourrait au final prendre des décisions pour son utilisateurMais comment ce personnal shopper va t-il muter dans les mois qui viennent ? Et bien l'IA pourrait au final prendre des décisions pour son utilisateur.Oui, Accenture explique que l'IA évolue en ce moment d'un simple outil de recommandation vers une entité capable de prendre des décisions de manière autonome.Et cela touche des tâches en ligne telles que la comparaison des produits, le paiement et l'assistance après l'achat.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine dans le Debrief Transat, focus sur deux sujets brûlants de part et d'autre de l'Atlantique : en France, le gouvernement tape du poing sur la table face aux géants du porno en ligne, tandis qu'au Canada, Yoshua Bengio concrétise sa vision d'une intelligence artificielle éthique avec le lancement officiel de son organisation LawZero.
Cette semaine, on parle de robots humanoïdes français, de la console Switch 2, de sites porno en grève, de régulation de l'IA, du salon VivaTech à Paris et on s'interroge sur le sens de l'IA avec Luc Julia. Découvrez et testez Frogans au salon Vivatech 2025 [Partenariat]-------------L'ACTU DE LA SEMAINE- Wandercraft et Renault : l'entreprise française de robotique signe un partenariat avec le groupe automobile et lance son premier robot humanoïde, Calvin-40.- Amazon teste de nouveaux robots humanoïdes pour la livraison à domicile.- Nintendo Switch 2 : Le lancement de la nouvelle console de Nintendo suscite un engouement considérable, tandis que son positionnement tarifaire et son marché de jeux s'avèrent cruciaux pour son succès.- Agents IA à la française : les startup Mistral et H lancent des agents IA, dont certains gratuits destinés au grand public. - Quand l'IA se rebelle : des LLM auraient refusé de s'éteindre. Info ou intox ? DEBRIEF TRANSATLANTIQUE- Avec Bruno Guglielminetti, on revient sur la fermeture de plusieurs sites pornographiques en France, sur fond le bras de fer avec le gouvernement français. - On évoque aussi l'initiative "LawZero" du scientifique Yoshua Bengio en faveur de la sécurisation des IA qui vise à encadrer le développement responsable de ces technologies..LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE- Jean-Louis Constanza de Wandercraft présente sont robot humanoïde Calvin et commente son partenariat avec Renault en dévoilant les ambitions de l'entreprise dans le domaine des robots humanoïdes.- Florian Roulier de Niji fait le point sur les tendances 2025 attendues au salon Vivatech. En vedette notamment : l'intelligence artificielle et la cybersécurité.- Luc Julia, co-inventeur de Siri, partage son expertise sur les IA génératives et les distinctions entre créativité humaine et capacités des machines, à l'occasion de la sortie de son dernier livre "IA génératives, pas créatives" (Cherche Midi).-----------
Alors que les projecteurs s'éteignent sur le Festival de Cannes, une autre révolution se joue loin des tapis rouges : celle de la génération vidéo par intelligence artificielle. Avec VO3, son nouvel outil bluffant, Google pousse encore plus loin les limites de la création automatisée. Vidéos réalistes, sons d'ambiance, dialogues… on peut désormais produire une séquence complète, seul devant son ordinateur, sans caméras, sans acteurs, sans décor.Dans cet édito, je reviens sur l'évolution fulgurante de ces technologies, leurs implications concrètes pour les métiers du cinéma et de l'audiovisuel, mais aussi sur les dérives potentielles, entre fausses vidéos virales et manipulation de l'opinion. L'IA ne va pas tuer le cinéma — du moins pas tout de suite — mais elle va sûrement le transformer en profondeur.-----------
L'écosystème de la technologie est régulièrement secoué par des scandales, et en voici un nouveau. Il s'agit de la faillite retentissante de Builder.ai, une start-up britannique autrefois valorisée à plus d'un milliard de dollars.Cette prétendue licorne a littéralement berné Microsoft comme le turc mécanique avait en 1809 berné Napoléon.Et en guise d'automate féru de jeu d'échecs, ici, c'est une armée de développeurs indiens qui ont été déguisés en intelligence artificielle.La promesse était très séduisanteBuilder.ai s'était fait connaître grâce à Natasha, une plateforme soi-disant pilotée par IA, qui permettait de créer des applications sur mesure « aussi facilement que commander une pizza » promettait la société.Microsoft y a cru, au point d'intégrer Natasha à Azure en 2023. Et plusieurs fonds de pays du Golfe persique ont également misé sur cette pépite britannique.Mais derrière cette belle façade technologique, la réalité était bien plus artisanale.Cette IA était en réalité très humaineCar oui, cette IA était en réalité très humaine.Car ce n'est pas l'IA qui produisait le code, mais environ 700 développeurs basés en Inde. Des employés qui travaillaient jour et nuit pour livrer les projets informatiques vendus comme des prouesses d'intelligence artificielle par leurs dirigeants.Dans le détail, l'interface de Natasha servait à générer un cahier des charges, qui était ensuite envoyé à des équipes basées dans les villes indiennes de Gurugram et de Bengalore. Résultat, une production manuelle, camouflée sous le label de l'intelligence artificielle. Et c'est une audit interne qui a révélé que seule la gestion des tickets était automatisée.La société s'est effondréeLa supercherie n'a toutefois pas duré. Et la société s'est effondrée.Les incohérences techniques et les retards de livraison ont alerté les clients dès 2024.Et en juin 2025, tout s'écroule. Un créancier important gèle 37 millions d'euros d'actifs après avoir découvert que les revenus réels de l'entreprise étaient quatre fois inférieurs à ceux annoncés.Builder.ai ne disposait plus que de 5 millions sur ses comptes, avec une procédure d'insolvabilité enclenchée et des centaines de licenciements à venir.Ce naufrage rappelle une vérité brutale. Dans la course effrénée à l'IA, certaines start-up n'hésitent pas à maquiller leurs limites techniques pour capter des fonds.Les investisseurs, eux, commencent à réclamer plus de transparence. Et cela passe par la documentation du code, la traçabilité des données, ou encore la vérification des flux financiers.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis son apparition en 2014, l'USB-C était censé simplifier nos vies numériques : une seule prise pour tout faire — transférer des données, afficher de la vidéo, recharger un appareil. Mais en réalité, toutes les prises USB-C ne se valent pas, et cela crée une confusion généralisée. Simple en apparence, l'USB-C est devenu un casse-tête technologique. Entre vitesses variables (de 5 à 80 Gbit/s), rechargement inégal et normes obscures (USB 3, USB 4, Thunderbolt…), difficile pour l'utilisateur moyen de s'y retrouver et de savoir ce que permet réellement son câble ou son port USB-C sur ordinateur. Face à cette situation, Microsoft a décidé de réagir. Une prochaine mise à jour de Windows 11 imposera de nouvelles règles aux fabricants via le Windows Hardware Compatibility Program. L'objectif est clair : faire en sorte que chaque port USB-C tienne enfin ses promesses. Les ordinateurs certifiés devront garantir un minimum de fonctionnalités, comme la recharge, le transfert de données et la connexion à un écran — voire à deux écrans 4K pour les ports 40 Gbit/s.Une bonne nouvelle pour les utilisateurs, qui pourraient enfin profiter d'un port véritablement universel… après dix ans de galère.Lien : https://techcommunity.microsoft.com/blog/microsoftusbblog/ending-usb-c%C2%AE-port-confusion/4410479-----------
100% LIFESTYLE - Tous les jeudis : - De 19H à 20H sur RDL 103.5 FM en Centre Alsace - A l'écoute partout à cette heure sur le direct live sur www.rdl68.fr / rdl68.fr/playlist/100-lifestyle/ - En PODCAST sur SOUNDCLOUD chaque JEUDI à 21H : on.soundcloud.com/QPEjqQJ7u51dxPjv6 Dans ce numéro, Anne-Claire & Yann vous proposent : - En route pour l'aventure (voyage/Yann): 10 impairs à ne pas commettre en voyage dans certains pays du monde - La minute soignante (santé & bien-être/Anne-Claire): Les bienfaits de l'air marin - Chanson Story (histoire d'un tube/Yann): "Made in Normandie", Stone et Charden, 1973 - La question des auditeurs: Pourquoi le mot "balcon" : origine, provenance, utilisation ? - Trucs & Astuces (Anne-Claire): Comment préserver la batterie de son téléphone portable ? MUSIQUES: "Ecoute mon cœur", Lola Bai, 2025 "Made in Normandie", Stone et Charden, 1973 "Sur mon tel", Rever, 2025 EXTRAITS: "Sous l'océan", La Petite Sirène, 1989 "Dès que le vent soufflera", Renaud, 1983 "L'avventura", Stone & Charden, 1971 "Aimer", Roméo & Juliette, 2000 "Le téléphone pleure", Claude François, 1972 Important: Je ne touche aucun droits d'auteur sur ces chansons. Les droits reviennent intégralement aux auteurs/compositeurs/interprètes. Diffusion: Jeudi 19H - 20H en direct sur RDL (103.5 FM dans le Centre Alsace) www.rdl68.fr Une production RDL 103.5 FM Tous droits réservés
Aldebaran Robotics, la société française qui a créé les célèbres robots Nao et Pepper, a été placée en liquidation judiciaire.Voici trois points pour comprendre cette annonce tonitruante.Une liquidation inévitablePremier point donc, cette liquidation semble bien inévitable.Le tribunal de commerce de Paris a prononcé en début de semaine la fin d'Aldebaran.Fondée en 2005, la société a longtemps été considérée comme une pépite de la French Tech.Son petit robot Nao, apparu en 2006, avait fait le tour du monde et même salué Emmanuel Macron ou la reine d'Angleterre !Mais faute d'un modèle économique pérenne et de financements suffisants, la société a été placée en redressement judiciaire en février. Deux offres de reprise ont été examinées, mais aucune n'a offert de garanties sur l'emploi.Les projets de reprise jugés insuffisantsLà aussi c'est très surprenant, mais les projets de reprise de l'activité ont été jugés insuffisants par le tribunal.Un entrepreneur canadien et un homme d'affaires suisse avaient manifesté leur intérêt. Le premier a jeté l'éponge, et le second, bien qu'appuyé par des fonds émiratis, n'a pas su convaincre. Le tribunal a jugé son projet insuffisant, d'autant plus qu'il ne prévoyait pas de reprendre les 106 salariés restants en France.Conséquence : tous les employés vont être licenciés et les actifs de l'entreprise mis aux enchères.Comment comprendre cette débandade ?Alors comment comprendre cette débandade et alors que jamais la robotique n'a été aussi à la mode ?Aldebaran, rachetée en 2014 par le géant japonais SoftBank, puis revendue en 2022 à United Robotics Group, n'a pas su retrouver son éclat.En cause, une succession d'échecs, notamment le robot Plato destiné à la logistique. À l'été 2024, les équipes françaises ont accusé leur actionnaire URG de les avoir « lâchées », faute de nouveaux financements.Cette liquidation, à quelques jours du salon VivaTech, assombrit un peu plus l'horizon d'une French Tech déjà sous pression.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec l'explosion de l'intelligence artificielle générative, la falsification de documents administratifs devient plus facile, plus fréquente... et plus difficile à détecter. Marc de Beaucorps, fondateur de Finovox, explique comment son entreprise lutte contre cette nouvelle forme de fraude documentaire qui coûte des milliards chaque année.Avec l'essor de l'intelligence artificielle générative, falsifier des documents officiels n'a jamais été aussi simple. Fiches de paie truquées, relevés bancaires modifiés, factures créées par IA… Les fraudeurs redoublent d'inventivité, et les conséquences économiques sont colossales : jusqu'à 17 milliards d'euros de pertes estimées dans les services publics français.Grâce à une technologie d'analyse du contenu et du contenant des fichiers, Finovox aide déjà des banques, assureurs et organismes publics à identifier 8 à 9 faux documents sur 10. L'occasion de plonger dans les rouages d'une fraude en pleine mutation, entre manipulations numériques, circuits souterrains sur Telegram et retard de la justice.-----------
Plongez au cœur du premier secteur stratégique du Groupe avec Hélène Doumerc, Directrice du Développement, et Bertrand Ivarnez, Global Account Manager Aerospace Defense.« Les forces de SII ? Une combinaison unique de proximité, parfaite connaissance des enjeux clients, expertises métiers pointues et coordination internationale pour relever les défis du secteur. »Dans cet épisode, découvrez concrètement ce que nos clients attendent de SII, comment nous y répondons grâce à nos innovations en ingénierie et IA, et pourquoi notre présence au Salon du Bourget est un rendez-vous stratégique incontournable pour le Groupe.#ParisAirShow #Podcast #Innovation #IA #Aéronautique #Défense #SIAE2025 #Engineering #Expertise #SII-------------
Aujourd'hui, nous allons parler des dix téléphones les plus vendus dans le monde depuis le début de l'année 2025. Selon le cabinet de recherche Counterpoint Research, sans surprise, Apple domine le classement. Mais quelques bouleversements méritent notre attention.Tout d'abord, donc, c'est vrai, Apple règne en maître, mais Samsung maintient sa position de challenger.Apple règne en maîtreLa marque à la pomme occupe les quatre premières places du classement mondial, avec l'iPhone 16, l'iPhone 16 Pro Max, l'iPhone 16 Pro et enfin l'iPhone 15.C'est la première fois depuis deux ans que le modèle de base de l'iPhone prend la tête des ventes. Mais les modèles Pro continuent de représenter près de la moitié des ventes d'Apple.Samsung place aussi quatre modèles dans le top 10, avec les modèles Galaxy A16, Galaxy A06, Galaxy S25 Ultra et enfin le Galaxy A15.Le Galaxy A16 se distingue particulièrement, avec une croissance des ventes de 17 % par rapport à l'année précédente, et ce grâce à sa popularité en Amérique et en Asie-Pacifique.Xiaomi s'invite dans le classementMais la petite nouveauté de ce classement, c'est que Xiaomi s'invite dans le classement.Le Redmi 14C est même le seul modèle non Apple ou Samsung à figurer dans le top 10, occupant la huitième place. Ce téléphone abordable connaît un succès notable au Moyen-Orient et en Amérique latine.Surtout, ce smartphone est la tête de proue des smartphones d'entrée de gamme, un segment qui est en plein développement.Le segment des smartphones à moins de 100 euros a de fait connu la plus forte croissance au premier trimestre 2025, représentant près de 20 % des ventes mondiales.Pourquoi ? Et bien cette tendance s'explique par le fait que les clients recherchent des modèles plus économiques dans un contexte économique incertain.L'iPhone 16e connaît un démarrage surprenantEnfin, pour souligner cette tendance, il faut noter que le dernier modèle d'Apple, l'iPhone 16e, connaît un démarrage surprenant, même s'il coûte bien plus que 100 euros.Lancé fin février 2025, ce smartphone a rapidement atteint la sixième place des ventes mondiales en mars. Bien que ses ventes soient inférieures à celles des précédents modèles SE en Europe, il représente 8 % des ventes d'Apple et 2 % des ventes totales de smartphones dans la région.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme :Microsoft a bloqué le mail de Karim Khan de la CPIiOS 26 en approche: les prévisions pour la WWDCLa Switch 2 arrive: tout savoir !Le reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par Jérôme Keinborg (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode 621 – L'autonomie informatique n'est plus une option Microsoft vs CPI, WWDC & iOS 26, Switch 2---Liens :
Un chercheur américain vient d'inventer un dispositif étonnant : un e-tatouage capable de détecter la surcharge cognitive en temps réel (extrait de L'Hebdo du 31/05/25). Léger, flexible et jetable, ce capteur nouvelle génération pourrait révolutionner le quotidien de certains professionnels... et pourquoi pas, celui de tout un chacun. Signée Nanshu Lu, professeur à l'Université du Texas à Austin, il s'agit d'un patch électronique ultra-fin à coller sur le front, capable de mesurer l'activité cérébrale et les mouvements des sourcils et des yeux pour évaluer notre niveau de concentration. L'objectif : prévenir les situations de fatigue mentale ou de stress excessif, en particulier pour les métiers à haute responsabilité comme les pilotes ou les chirurgiens. Fonctionnant grâce à un circuit imprimé flexible, ce dispositif connecté permettrait de visualiser en temps réel l'état cognitif d'un individu et de déclencher, le cas échéant, une assistance humaine ou automatisée. Une sorte de “décodeur de charge mentale”, simple à utiliser, bien plus accessible qu'un électroencéphalogramme classique. Ce e-tatouage pourrait-il un jour trouver sa place dans un cadre domestique pour aider à mieux répartir la fameuse charge mentale des entre conjoints ? Source : https://www.cell.com/device/fulltext/S2666-9986(25)00094-8-----------
Le mode vocal des intelligences artificielles s'impose comme la tendance du moment, une étrange histoire d'IA vengeresse, bientôt un système de paiement sur X et un raté embarrassant de l'IA au sommet de l'État français.
Les IA vont-elles devenir nos meilleures amie ? En tout cas, les chatbots donnent de la voix les unes après les autres et concurrencent de plus en plus les moteurs de recherche…Découvrez Frogans, l'innovation française qui veut réinventer le Web [Partenariat].-----------L'ACTU DE LA SEMAINE- Les chatbots d'intelligence artificielle continuent de donner de la voix, avec Claude en tête d'affiche.- Une étude révèle que ces IA pourraient petit à petit remplacer les moteurs de recherche (source).- Opera Neo, le nouveau navigateur Web "agentique" (lien).- Zoom sur la startup Builder.ai, qui fait face à des accusations de fraude suite à des promesses non tenues sur l'utilisation de l'IA.- Apple sous pression : une amende record de 500 millions d'euros et des enjeux importants pour la fabrication sur le sol américain.LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE- Avec Bruno Guglielminetti, retour sur les dernières avancées des chatbots comme Claude et Gemini, et leurs implications dans notre quotidien.- Discussion sur la menace supposée de l'IA face à l'humanité, notamment à travers des exemples de réactions inattendues d'IA comme Opus 4 face à des menaces.- Une vidéo historique générée par IA sur instruction d'un service gouvernemental bourrée de bugs anachroniques (oups, la boulette !) (ici).L'INNOVATION DE LA SEMAINE- Un tatouage connecté innovant, capable de détecter la charge mentale. Une révolution dans la mesure du stress et son application dans des milieux critiques tels que l'aviation et la médecine (source).LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE- La fraude documentaire avec Marc de Beaucorps, fondateur de Finovox. Il aborde l'ampleur du phénomène en France, les types de documents falsifiés, et comment une technologie innovante peut aider à combattre ce fléau.-----------
Les chatbots comme ChatGPT ou Perplexity risquent-ils de supplanter les moteurs de recherche traditionnels ? Une étude répond en partie à cette interrogation.Dans cet épisode, je décrypte une étude approfondie menée par One Little Web, qui analyse deux années de données de trafic web mondial (2023-2025) pour comparer l'usage des moteurs de recherche classiques (Google, Bing...) et des chatbots (ChatGPT, Gemini, Copilot…). Résultat : le trafic des chatbots explose (+80 à +90 % de croissance annuelle), mais, pour autant, ils restent encore très loin derrière les moteurs traditionnels qui génèrent encore 34 fois plus de trafic.On découvre aussi dans cette étude que Google demeure ultra-dominant (près de 88 % de parts de marché), tout comme ChatGPT côté IA (66 %). Et pendant que certains acteurs historiques comme Yahoo peinent à suivre, d'autres comme DeepSeek ou Grok connaissent une croissance fulgurante.Plus qu'un remplacement, c'est donc une coexistence qui semble s'installer. On comprend mieux pourquoi les moteurs, Google en tête, cherchent à intégrer au maximum l'IA. Les utilisateurs mixent recherche traditionnelle et réponse directe. Voilà qui modifie progressivement notre rapport à la connaissance.
Chaque mois, on débriefe les grands sujets tech du moment. Au sommaire : l'objet mystère d'OpenAI, les nouveautés IA décoiffantes de Google et Apple sous pression.Avec Free Pro, le meilleur de Free pour les entreprises.----------
En partenariat avec CapgeminiL'intelligence artificielle est en train de transformer en profondeur la médecine et la recherche clinique. Matthieu Deboeuf-Rouchon, responsable de l'innovation chez Capgemini Engineering France, décrypte les bouleversements à l'œuvre dans le domaine de la santé, portés par les technologies d'IA générative, les données de santé et, demain, l'ordinateur quantique.Il explore comment l'IA permet déjà de personnaliser les traitements, d'optimiser les essais cliniques ou encore de prédire les effets secondaires grâce à l'analyse automatisée de données massives. Un focus particulier est donné au projet Endoscore, dédié au diagnostic de l'endométriose, ainsi qu'à la promesse de la médecine décentralisée, rendue possible par l'IA et les données synthétiques.-----------
L'IA décisionnelle arrive à grande vitesse… Sommes-nous prêts à l'affronter sans dépendre de technologies étrangères ? Christophe Grosbost, directeur stratégie de l'Innovation Makers Alliance (IMA), alerte sur l'urgence de renforcer l'autonomie stratégique de l'Europe face à l'essor des intelligences artificielles capables de prendre des décisions.Christophe Grosbost explore les dangers d'une dépendance excessive aux solutions américaines, les moyens concrets pour favoriser l'émergence de champions technologiques européens, et les freins persistants à une adoption massive des solutions souveraines dans les grandes entreprises. Il évoque aussi la nécessité d'une meilleure articulation entre les startups innovantes et les grands groupes, et la création d'un "bonus souveraineté" pour encourager l'achat de solutions européennes.-----------
L'arrivée d'OpenAI en France marque un tournant stratégique pour le géant de l'intelligence artificielle. Arnaud Fournier, responsable du tout nouveau bureau parisien d'OpenAI, revient sur les raisons de cette implantation, la mission de l'entreprise et sa vision du futur de l'IA.De ChatGPT aux agents intelligents, en passant par les partenariats avec Sanofi, Orange ou Pigment, Arnaud Fournier détaille la manière dont OpenAI travaille au plus près des entreprises françaises et du grand public. Il aborde aussi les grands enjeux technologiques actuels : hallucinations, AGI, automatisation, robotique et évolution du moteur de recherche.-----------
La keynote Google I/O 2025 a marqué un tournant décisif : Gemini est partout, Android quasiment absent, et l'intelligence artificielle prend le contrôle. ------ Cette semaine dans le Debrief Transat, on revient avec Bruno Guglielminetti sur les annonces majeures de Google, du moteur de recherche boosté à l'IA (AI Overviews) aux lunettes connectées nouvelle génération, en passant par des traductions en temps réel bluffantes sur Google Meet et de l'IA Veo 3 capable de générer des séquences vidéo et audio d'un réalisme époustouflant.Nous évoquons aussi les inquiétudes liées à la captation des contenus par l'IA, l'absence de certaines fonctionnalités en France pour des raisons réglementaires, et l'avenir du journalisme à l'heure des vidéos générées par IA à partir d'un simple prompt. Bien sûr, on s'intéresse aussi à l'étonnante alliance entre Sam Altman et Jony Ive en vue d'inventer un nouveau « iPhone sans écran ». Pourquoi cet objet mystère ?En deuxième partie d'émission, tour d'horizon des sujets traités cette semaine dans nos podcasts respectifs : IA dans l'éducation, design conversationnel, Facebook comme nouveau média, souveraineté numérique européenne, IA et santé… et arrivée d'OpenAI à Paris.-----------
OpenAI s'allie à l'ex-designer star d'Apple, Johnny Ive, pour créer un mystérieux objet connecté sans écran, censé réinventer notre rapport à la technologie — un projet à 6,5 milliards de dollars qui affole déjà la planète tech.Découvrez Frogans, l'innovation française qui veut réinventer le Web [Partenariat]------------L'ACTU DE LA SEMAINE- OpenAI, sous la direction de Sam Altman, annonce une collaboration avec Jonathan Ive, ancien designer d'Apple, pour développer un mystérieux appareil connecté sans écran boosté à l'intelligence artificielle.- Google présente sa stratégie ambitieuse de déploiement de l'IA avec son système Gemini, à l'occasion de la conférence Google I/O.- A Taïwan, Nvidia et son PDG Jensen Huang fait le show au salon Computex.- Quantique : la start-up française Qandela fait met au point avec un ordinateur quantique photonique ultra-puissant- Une Tesla impressionne en circulant en mode autopiloté dans le centre de Paris.LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE- Avec Bruno Guglielminetti, on revient sur les annonces de Google les plus spectaculaires et on s'interroge sur le futur objet mystère promis par Sam Altman et Jonhatan Ive. LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE- Arnaud Fournier, directeur d'OpenAI en France, est l'invité de Monde Numérique ! Il présente la vision d'OpenAI dans l'hexagone et son projet de rendre l'IA accessible à tous, y compris à travers de nouveaux agents autonomes.- Christophe Grosbost de l'Innovation Makers Alliance présente 33 recommandations pour renforcer la souveraineté numérique en France, évoquant les risques liés à la dépendance technologique.- Mathieu Deboeuf-Rouchon, de Capgemini, évoque l'apport de l'IA dans le secteur de la santé, notamment dans les essais cliniques, illustrant comment l'IA peut accélérer les recherches en santé [PARTENARIAT].-----------
Faut-il interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans ? C'est le souhait de la secrétaire d'État au Numérique, Clara Chappaz, qui relance le débat sur la protection des mineurs en ligne. Mais malgré les lois déjà en vigueur, l'application concrète de cette interdiction se heurte à d'importants obstacles techniques, juridiques et éthiques.RGPD, majorité numérique, contrôle parental, vérification d'âge par IA ou carte bancaire… rien ne semble vraiment fonctionner. L'ARCOM propose bien la piste du “double anonymat”, mais sa mise en œuvre reste complexe.Les plateformes comme TikTok ou Instagram s'en remettent aux opérateurs ou aux stores pour prendre la responsabilité. Et pendant ce temps, la France tente de faire bouger les lignes au niveau européen, via le DSA. Un feuilleton numérique aux airs de patate chaude.-----------
Quel est le quotidien d'un ingénieur français chez Meta à New York ? Jeune ingénieur au parcours international, Tommy Tran partage son expérience dans l'univers ultra-compétitif de la tech américaine, entre réalité augmentée, intelligence artificielle et culture d'entreprise.Passé par Dauphine, Polytechnique et HEC, Tommy a d'abord rejoint Meta à Londres, avant de poser ses valises à New York. Il revient sur son parcours, ses missions chez Meta – de Reality Labs à l'infrastructure IA – et sa brève incursion dans une startup en hypercroissance, Ramp. Il évoque également la vie à New York, la dynamique entre ingénieurs français expatriés, et ce que la culture tech américaine permet qu'on ne trouve pas (encore) en France.-----------
Julien Villeret, directeur de l'innovation chez EDF, détaille les avancées majeures de l'impression 3D métallique à grande échelle, une technologie qui transforme les processus de production industrielle. En partenariat avec EDFContrairement aux imprimantes 3D grand public, ces systèmes permettent de fabriquer des pièces complexes en métal avec une grande précision, directement à partir de modèles numériques.Dans le secteur nucléaire, EDF utilise déjà cette méthode de fabrication additive pour produire des composants critiques, comme une roue de pompe certifiée et installée en centrale. Les bénéfices sont multiples : réduction des déchets, production à la demande, délais raccourcis, absence de moules, et géométries complexes impossibles à obtenir avec les méthodes traditionnelles.-----------
Cet épisode spécial et expérimental a été entièrement généré par l'application NotebookLM de Google. Il résume les annonces faites lors de sa conférence I/O 2025. ——————Gemini, la famille de modèles d'IA maison, s'infiltre désormais dans l'ensemble des produits du géant américain avec une promesse : rendre l'IA plus « agentique », plus contextuelle et plus personnelle.Parmi les nouveautés phares : un moteur de recherche repensé avec des capacités d'analyse multi-étapes (Curie Fanout, Deep Search), une interface « Search Live » inspirée du projet Astra pour interagir avec le monde réel, ou encore des agents capables d'agir en notre nom, comme le fameux « Project Mariner ». Du côté de la création de contenu, Google muscle ses outils avec VO3 (génération vidéo + audio) et Imagen 4 (images de haute qualité, texte intégré), sans oublier Flow, un assistant de storyboarding narratif, et Iria 2 pour la musique.Le tout accompagné d'un effort de transparence avec le marquage SynthID et un détecteur d'IA générative. Google pousse aussi les limites de la communication avec Beam, une visio en 3D immersive, et la traduction simultanée dans Meet.Ces innovations montrent une IA plus puissante, mais aussi plus intrusive. Attention : cet épisode généré par IA peut comporter des imprécisions ou des lacunes.Pour en savoir plus sur Google NotebookLM, écoutez l'épisode spécial de Monde Numérique : https://audmns.com/nDfxBNl-----------
Face au raz-de-marée de désinformation, une IA française veut remettre de l'ordre dans la jungle des fake news. Florian Gauthier, cofondateur de l'ONG Vera, a développé "Ask Vera", une intelligence artificielle dédiée exclusivement à la vérification des faits. Contrairement aux IA généralistes, Vera s'appuie uniquement sur un corpus de sources fiables, sélectionnées par un comité d'experts, et ne répond que lorsqu'elle trouve des preuves tangibles.Disponible via WhatsApp, téléphone ou Instagram, Vera s'inscrit dans une logique de simplicité et d'accessibilité, permettant à chacun de vérifier une information rapidement, sans application à télécharger. Résultat : plus de 150 000 questions posées en quelques mois, un taux de rétention impressionnant… et une vraie demande du public pour un espace de confiance en ligne.-----------
Cette semaine, Bruno Guglielminetti nous parle depuis Maranello, en Italie, où il s'intéresse à l'utilisation de l'intelligence artificielle dans les compétitions sportives, notamment la Formule 1. Grâce à AWS, Ferrari et d'autres écuries exploitent désormais des millions de données par seconde pour optimiser les performances en course… mais aussi pour améliorer la réalisation télévisuelle et même les commentaires en direct. Une plongée fascinante dans un futur où la production audiovisuelle sportive pourrait être totalement automatisée.De mon côté, je reviens sur l'offensive technologique de Huawei. Malgré les sanctions américaines, le géant chinois dévoile son propre système d'exploitation pour PC, Harmony OS Next, poursuivant sa stratégie d'indépendance face aux GAFAM. Une initiative qui pourrait rebattre les cartes dans certains marchés, notamment en Afrique.Et comme chaque semaine, d'autres sujets au programme :Un rectificatif à propos de l'accord entre Google et Apple ;Le boom de l'impression 3D métal dans l'industrie, avec EDF ;Un entretien exclusif avec un jeune ingénieur français chez Meta à New York ;L'arrivée du service d'autopartage lyonnais Léo à Montréal ;Une innovation québécoise : des feux de circulation intelligents grâce à l'IA. 00:00:08 Introduction à l'Italie 00:01:14 Intelligence Artificielle et Formule 1 00:08:03 Retour sur Google et Apple 00:13:42 Léo et l'Autopartage à Montréal 00:15:17 La Société des Lumières et l'IA 00:15:25 Désinformation et Vérification des Faits 00:18:37 Vie des Ingénieurs Français à New York-----------
Trump et les grands patrons de la tech en tournée dans les pays du Golfe. Paris prépare Choose France 2025. La Chine innove pour s'affranchir des Etats-Unis. La tech plus géopolitique que jamais. Découvrez Frogans, l'innovation française qui souhaite réinventer le Web tout en restant accessible et sécurisée [Partenariat]-----------L'ACTU DE LA SEMAINE :- Donald Trump et le swing du business tech aux Émirats, avec un objectif de 1 000 milliards de contrats dans le secteur de la défense et de la tech.- Emmanuel Macron organise l'édition 2025 de "Choose France" pour attirer des investissements internationaux.- La Chine dévoile une puce fonctionnelle sans silicium, une vraie rupture technologique et des promesses de rapidité et d'efficacité d'un nouveau genre.- Samsung lance son nouveau smartphone ultra-fin, le Galaxy S25 Edge.LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE :- Bruno Guglielminetti en Italie parle de l'IA dans le sport automobile, en mettant l'accent sur les données générées par les véhicules de Formule 1.- On évoque le lancement prochain d'un système d'exploitation pour ordinateur d'un nouveau genre signé Huawei.LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE :- Florian Gauthier, cofondateur de Vera, présente le service Ask Vera de lutte contre les fake news.- Julien Villeret, d'EDF, nous présente une technologie révolutionnaire d'impression 3D de pièces métalliques, utilisés notamment l'énergie et l'aéronautique [PARTENARIAT].- Tommy Tran, jeune ingénieur français chez Meta, nous parle de son expérience en tant qu'expatrié et des projets innovants sur lesquels il travaille, notamment la réalité augmentée et l'intelligence artificielle.-----------
D'abord présentées comme dangereuses, des IA se révèlent au contraire très utiles dans la lutte contre la désinformation sur les réseaux sociaux. C'est la cas, notamment, de Grok, le chatbot d'Elon Musk intégré au réseau social X, pourtant très décrié au début.De nombreux utilisateurs de X ont pris l'habitude d'interroger directement Grok pour vérifier des informations et "débunker" des fake news. Intox politiques ou vidéos manipulées... Le résultat est souvent satisfaisant. Le chatbot de X se montre particulièrement efficace et pertinent. Plus étonnant encore, il ne semble pas particulièrement prisionnier de l'idéologie de son créateur et se montre capable de nuance, voire d'esprit critique.Comment une IA née dans l'écosystème toxique de X peut-elle devenir un instrument de modération ? Est-ce la preuve que l'IA générative peut, parfois, servir la vérité plutôt que la désinformation ? Et que penser de l'arrivée d'un autre acteur sur ce terrain : le robot Perplexity ?Dans cet épisode, je reviens sur le rôle inattendu des IA dans la lutte contre les fake news, sur leurs forces… mais aussi sur leurs limites.-----------
Google donne un coup de neuf à son univers numérique avec une série d'annonces avant sa grande conférence Google I/O. Au programme : Android 16, nouvelle esthétique Material 3 Expressive, interface personnalisable, arrière-plans dynamiques et une fonction Live Updates pour suivre des événements en temps réel, même écran verrouillé.La firme américaine en profite aussi pour retoucher son logo emblématique avec des couleurs dégradées plus douces. Et ce n'est qu'un début : Google se prépare à dévoiler ses véritables cartouches lors du Google I/O du 20 mai 2025. Lunettes connectées, assistant IA pour développeurs, intégration renforcée de l'intelligence artificielle dans son moteur de recherche avec un bouton dédié — la marque veut reprendre l'avantage face à la concurrence, notamment Apple, qui intègre désormais ChatGPT et Perplexity à Safari.-----------
À l'occasion des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, Yani Khezzar, journaliste à TF1, a conçu un format vidéo exceptionnel mêlant technologie immersive et rigueur historique. Il revient sur les coulisses de cette réalisation innovante diffusée dans le JT de TF1 : une reconstitution des derniers mois de la guerre grâce à la vidéo volumétrique, aux décors virtuels, aux voix multilingues, et à une dizaine d'outils d'intelligence artificielle.Ce projet ambitieux de huit minutes, à mi-chemin entre le reportage et le documentaire, propose une immersion saisissante dans l'Histoire, en incarnant l'actualité passée comme si elle se déroulait aujourd'hui. Yani Khezzar raconte comment les technologies les plus avancées ont permis de reconstituer les champs de bataille, les visages des grands dirigeants, et même les ambiances sonores de l'époque, tout en conservant un objectif journalistique clair : mieux informer et mieux transmettre.-----------
Dans les coulisses d'Amazon, une nouvelle génération de robots est en marche. Leur nom : Vulcan. Capables de manipuler des objets avec une étonnante finesse grâce à un « sens du toucher » artificiel, ces bras robotisés sont en train de transformer le travail dans les centres de distribution. En Allemagne, Johannes Kulick, ingénieur en charge de ces machines chez Amazon Robotics, explique comment Vulcan fonctionne, ce qui rend sa technologie unique, et surtout, quel est son impact sur les conditions de travail… et sur l'emploi. Loin du fantasme d'une automatisation totale, c'est une nouvelle forme de collaboration entre humains et robots qui se dessine.-----------
Cette semaine, la France et le Québec sont sur la même longueur d'onde : à la rentrée prochaine, les téléphones portables seront interdits dans les établissements scolaires. Une mesure radicale qui soulève un débat de société. De l'autre côté de l'Atlantique, une fronde s'organise, notamment sur TikTok, où des élèves québécois contestent cette interdiction. Bruno Guglielminetti nous raconte la mobilisation inédite des jeunes et les réactions contrastées des parents et enseignants.Autre sujet brûlant : l'intelligence artificielle pourrait bientôt bouleverser la recherche sur Safari, dans l'écosystème iPhone. Apple envisagerait d'intégrer Perplexity et d'autres moteurs IA pour concurrencer Google. Un mouvement stratégique lourd de conséquences pour l'équilibre du Web.Enfin, on parle jeux vidéo avec l'ouverture d'un nouveau studio montréalais dédié à l'adaptation de la série La Roue du Temps et les 25 ans du studio Gameloft à Montréal.