Podcast appearances and mentions of simon johannin

Pour célébrer le 200ème épisode de Mediarama, j'ai invité des entrepreneur•eures des médias : Sophie Benamon, fondatrice de la newsletter Intervistar, Kendrys Legenty, cofondateur du média associatif vidéo (Instagram, Twitch) La Fabrique des Soignants et Morgane Effroy, fondatrice de la plateforme féministe en ligne, la ReF media. En écoutant l'épisode, vous en apprendrez plus sur : # Le lancement de leur média : Sophie a lancé Intervistar seule, avec l'option de trouver un partenaire Kendrys et ses amis internes en médecine ont fondé La Fabrique des Soignants Morgane a été soutenue par des bénévoles et deux stagiaires pour créer ReF Media # Les incubateurs médias : Sophie et Kendrys évoquent l'incubateur médias de l'Essec et l'Hotel 71 à la Gaité Lyrique qui leur ont permis de développer un réseau Morgane parle de son expérience dans un incubateur généraliste, qui ne prenait pas en compte la spécificité de son média # La newsletter Intervistar, sur les coulisses du cinéma, les rencontres dans le monde du cinéma, des séries et des événements, créée pour se différencier des critiques culturelles traditionnelles # La Fabrique des soignants : un média vidéo sur Twitch visant les jeunes soignants et patients, né de la crise dans le secteur de la santé et en réaction à l'offre éditoriale BtoB traditionnelle # La ReF Media : initialement “ressourcerie féministe”, devenue un média proposant une vulgarisation sur le féminisme, grâce aux bénévoles et aux retours de l'audience # Leur modèle économique : Intervistar, newsletter sponsorisée avec des annonceurs culturels, souhaite évoluer vers un modèle de membership et proposer une offre de formations payantes La Fabrique des soignants proposera en 2025 une offre de formation payante pour monétiser son contenu, et répondra à des appels à projets pour atteindre la rentabilité La Ref Media utilise le crowdfunding sur Tipee pour rémunérer ses contributeur•ices. # “La fresque de l'équité” pour sensibiliser entreprises et équipes sur l'égalité de genre et proposer des actions concrètes. Morgane travaille notamment sur un projet de conférences : Comment retenir les talents féminins dans le monde de la tech (où les femmes ne représentent que 15% des start-up) ? # Sophie est tutrice à l'association La Chance, qui aide les boursiers à se préparer aux concours des écoles de journalisme. Pour en aller plus loin : # Les épisodes préférés de mes invité•es : Sophie : Le Drenche, KissKissBankBank, le Spiil, CLIMAX ou encore Snowball Kendrys : Welcome to the Jungle, Le Crayon et Streetpress Morgane : Vert et Gloria Media. # Leurs trucs cools : Morgane : “La Fièvre”, la série de Canal+ de Eric Benzekri Sophie : La Chance pour accompagner les jeunes boursiers et Klaam (podcast) Kendrys : les poésies de Simon Johannin. # La campagne de financement participatif de La Fabrique des Soignants # La campagne de financement participatif de La ReF Media # La Fresque de l'équité # Le Meilleur d'ailleurs de frères Meyer (newsletter) # La chance pour la diversité dans les médias (association) # Rejoignez la communauté WhatsApp juste ici. # Abonnez-vous à la chaîne YouTube ici. Pour découvrir tout ça, c'est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Deezer ou encore là si vous préférez Spotify. Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles et un commentaire sympa sur Apple Podcast si l'épisode vous a plu. Mediarama est un podcast du label Orso Media produit par CosaVostra. Retrouvez Mediarama sur : Apple Podcasts | Spotify |Deezer

Simon Johannin, écrivain L'incessant renouveau, la porosité des univers artistiques et les passerelles entre les lieux de création. Celui qui se définit comme un créateur avant d'être écrivain nous ouvre les portes de sa pratique artistique, tous médiums confondus. En conversation avec Félicie le Dragon et Boris Pierre, il évoque, avec générosité et authenticité, l'intensité de sa vie intérieure. Il confie sa fascination pour le processus de mort et de renouveau, ses allers-retours entre les univers artistiques et la question cruciale de la diversité des lieux où voir la création artistique. Une incursion toute en nuances et en profondeur dans l'imaginaire d'un jeune artiste à l'œuvre déjà iconique.

durée : 00:56:26 - Le Masque et la Plume - par : Rebecca Manzoni - Nos critiques ont lu "Les règles du Mikado" d'Erri de Luca, "Terrasses ou notre baiser si longtemps retardé" de Laurent Gaudé, "Journal d'Arizona" de Chantal Thomas, "Ici commence un amour" de Simon Johannin et "Hot Milk" de Deborah Levy, qu'en ont-ils pensé ? - invités : Arnaud Viviant, Nelly KAPRIELIAN, Elisabeth Philippe, Jean-Marc Proust - Arnaud Viviant : Critique littéraire (Revue Regards), Nelly Kaprielian : Journaliste et critique littéraire chez Les Inrocks, Elisabeth Philippe : Critique littéraire (L'Obs), Jean-Marc Proust : Auteur et critique (Slate) - réalisé par : Audrey RIPOULL

durée : 00:50:16 - des livres et delires - Ici commence un amour de Simon Johannin aux éditions allia

durée : 01:03:37 - Club Jazzafip - Le jeune romancier qui fait danser les mots et impressionne à chaque nouveau livre, prend les rênes de notre programmation musicale.

durée : 00:28:45 - L'Entretien littéraire de Mathias Enard - par : Mathias Énard - Un récit d'apprentissage du vide et de soi, une multitude de personnages pris dans le tourbillon d'un monde survolté, une écriture furieuse et sensuelle... Mathias Enard reçoit l'écrivain Simon Johannin pour son roman "Ici commence un amour" qui paraît aux éditions Allia. - invités : Simon Johannin Écrivain et poète

Il est la voix de Feu! Chatterton : Arthur Teboul est aussi poète. L'an dernier, pendant une semaine, il a ouvert à Paris un cabinet de consultations poétiques éphémère. Pour chaque patient, il a écrit un poème. Arthur Teboul vient nous raconter son expérience et nous dire pourquoi la poésie devrait prendre plus de place dans nos vies. Il a réuni les 236 poèmes issus de ses consultations dans le livre « L'Adresse » (Editions Seghers). Lui aussi, il écrit de la poésie. Mais en ce printemps 2024, Simon Johannin est de retour avec un nouveau roman (« Ici commence un amour », Allia). C'est l'histoire d'un jeune écrivain au cœur brisé et embourbé dans un monde abîmé. Serait-il le reflet d'une génération désenchantée ? Arthur Teboul et Simon Johannin sont nos invités, cette semaine. Dans « En toutes lettres ! », Blandine Rinkel, écrivaine et membre du groupe Catastrophe écrit à la rumeur. Choix culturels : - « Shuggie Bain » de Douglas Stuart (Pocket). - « Le crime en toute humanité » de Thierry Lévy (Grasset). - La programmation du Cabaret de Poussière à Paris. - Le film « La Salle des profs » réalisé par İlker Çatak. Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Cette semaine, dans La Grande Librairie, on parle d'amour et de liberté… Qui d'autre que des romanciers, penseurs et artistes pour nous éclairer et répondre à cette question qu'on s'est toutes et tous un jour posée : comment mieux aimer ? Réponse avec Nicolas Mathieu, Abnousse Shalmani, Golshifteh Farahani, Sophie Divry et Simon Johannin.

durée : 00:16:30 - Une histoire et... Oli - Pour se glisser dans la peau d'Idriss, il faut imaginer l'animation qu'offre le Vieux-Port de Marseille un jour de marché sous le regard bienveillant de Notre-Dame-de-la-Garde, et replonger dans ses souvenirs d'enfance.

Dans sa première bande dessinée d'une grande beauté graphique, Sylvain Bordesoules raconte une adolescence âpre et intense, au cœur de la France des invisibles. C'est un album que l'on prend comme une claque. Des mots crus qui dérangent, un graphisme saisissant, des couleurs sur-expressives au service d'un récit âpre et brutal, raconté à hauteur d'enfant. Une plongée - pleine d'odeurs pestilentielles, de bruits et de fureurs - dans la violence quotidienne d'anti-héros à la dérive, mais qui n'en restent pas moins humains, terriblement humains. Pour son premier album de bande dessinée, Sylvain Bordesoules s'est attaqué à forte partie, en adaptant avec ses feutres à alcool le roman de Simon Johannin L'été des charognes. Un récit à la fois sombre et tout en couleurs, un album brut de décoffrage et qui se révèle parfois poétique, une lecture qui prend aux tripes et dont personne ne sortira indemne. L'été des charognes, de Sylvain Bordesoules, d'après le roman de Simon Johannin, est paru chez Gallimard Bande Dessinée.Reportage : Laxmi Lota a rencontré le rappeur belgo-congolais de la scène hip hop bruxelloise : Badi, qui vient de sortir son 3ème album « Moyi »

Dans le 153e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente L'été des charognes, L'été des charognes, roman de Simon Johannin qu'adapte Sylvain Bordesoules et qui est édité chez Gallimard. Cette semaine aussi, on revient sur l'actualité de la bande dessinée et des sorties avec : - La sortie de l'album Les jeux vidéo et nos enfants que l'on doit à Cookie Kalkair et aux éditions Steinkis - La sortie de l'album La petite lumière, roman d'Antonio Moresco qu'adapte Grégory Panaccione, un album édité chez Delcourt dans la collection Mirages - La sortie de L'héritage Wagner que l'on doit au scénario de Stephen Desberg, au dessin d'Émilio Van der Zuiden et c'est édité chez Grand angle - La sortie de l'album La fabrique des français que l'on doit au scénario conjoint de Françoise Davisse et Carl Aderhold, au dessin de Sébastien Vassant et c'est édité chez Futuropolis - La sortie de l'album La vengeance de Zaroff, titre que l'on doit au scénario de Sylvain Runberg, au dessin de François Miville-Deschênes et c'est édité chez Le lombard dans la collection Signé - La réédition de l'album Le bleu est une couleur chaude de Jul Maroh, un album édité chez Glénat

durée : 00:17:34 - Et maintenant ? L'Invité(e) des matins du samedi - par : Quentin Lafay - Dans un texte de fiction court, original et fort, le jeune auteur montant de la littérature française se demande : la langue suffit-elle seulement à traduire les sentiments et les affects ? Peut-on toucher une vérité amoureuse ? Comment concilier désir d'individuation et d'unité ? - invités : Simon Johannin Écrivain

Avec douze écrivains de l'Anthologie Avec Anne Le Pape (violon) & Johanne Mathaly (violoncelle) Avec Anna Ayanoglou, Jean d'Amérique, Camille Bloomfield & Maïss Alrim Karfou, Cyril Dion, Pierre Guénard, Lisette Lombé, Antoine Mouton, Arthur Navellou, Suzanne Rault-Balet, Jacques Rebotier, Stéphanie Vovor, Laurence Vielle. Cette anthologie du Printemps des Poètes 2023 proposent 111 poètes contemporains et des textes pour la plupart inédits. La plus jeune a 20 ans à peine, le plus âgé était centenaire. Tous partagent notre quotidien autour de la thématique corrosive des frontières. Leurs écrits sont d'une diversité et d'une richesse stimulantes. Ils offrent un large panorama de la poésie de notre époque. Avec notamment des textes de Dominique Ané, Olivier Barbarant, Rim Battal, Tahar Ben Jelloun, Zéno Bianu, William Cliff, Cécile Coulon, Charlélie Couture, Jean D'amérique, Michel Deguy, Pauline Delabroy-Allard, Guy Goffette, Michelle Grangaud, Simon Johannin, Charles Juliet, Abdellatif Laâbi, Hervé Le Tellier, Jean Portante, Jacques Roubaud, Eugène Savitzkaya, Laura Vazquez, Jean-Pierre Verheggen, Antoine Wauters… Mesure du temps La fenêtre qui donne sur les quais n'arrête pas le cours de l'eau pas plus que la lumière n'arrête la main qui ferme les rideaux Tout juste si parfois du mur un peu de plâtre se détache un pétale touche le guéridon Il arrive aussi qu'un homme laisse tomber son corps sans réveiller personne Guy Goffette – Ces mots traversent les frontières, 111 poètes d'aujourd'hui

Le festival Extra! aura lieu du 8 au 18 septembre 2022, et met à l'honneur création sonore, radio, performances, speed-datings littéraire. Simon Johannin, auteur et poète, il est l'un des grands invités de cette nouvelle édition du festival. Son dernier recueil La dernière saison du monde est paru aux éditions Allia. Avec les reportages d'Amélie Beaucour.  Et la chronique Ailleurs à Brazzaville avec la 6è édition du Festival Mboté Hip Hop, le 17 septembre 2022, à l'Institut français du Congo de Brazzaville !

Le festival Extra! aura lieu du 8 au 18 septembre 2022, et met à l'honneur création sonore, radio, performances, speed-datings littéraire. Simon Johannin, auteur et poète, il est l'un des grands invités de cette nouvelle édition du festival. Son dernier recueil La dernière saison du monde est paru aux éditions Allia. Avec les reportages d'Amélie Beaucour.  Et la chronique Ailleurs à Brazzaville avec la 6è édition du Festival Mboté Hip Hop, le 17 septembre 2022, à l'Institut français du Congo de Brazzaville !

Simon Johannin est auteur et poète. "Brûler dans la ville" - spectacle de Simon Johannin et Jardin - c'est deux voix profondes, deux écritures viscérales, deux artistes incandescent·es ancré·es dans ce foutu contemporain, dans ce présent aux odeurs de soufre et où l'intime se tague sur les murs de la ville. Une ville en fumée pleine de crasse, d'amours perdues, de courses dans la nuit, de violences policières et que l'on a envie de brûler. Simon Johannin publie également aux éditions Allia "La Dernière saison du monde", recueil de poésie comme autant d'amulettes pour conjurer nos démons modernes. A voir: "Brûler dans la ville" au Belluard Bollwerk à Fribourg samedi 25 juin 2022. Simon Johannin est l'invité d'Anne Laure Gannac.

Bienvenue dans ce nouvel épisode de L'invitation. Mon invitée aujourd'hui est Elise Camurat qui exerce le métier de scripte pour le cinéma et la télévision. Un métier méconnu et pourtant essentiel au bon déroulement d'un tournage. Elise m'a raconté son parcours et ses débuts dans le monde du cinéma, elle m'a expliqué les rouages de son métier, ce qui la passionne et ce qui est plus difficile dans les multiples casquettes qu'elle endosse. Un épisode extrêmement intéressant et très sincère, qui m'en a beaucoup appris sur les coulisses du cinéma. Bonne écoute !  Quelques films sur lesquels Elise a travaillé :  - Un homme idéal - Yann Gozlan -  - Elle - Paul Verhoeven  - Ce qui nous lie - Cédric Klapisch  - Deux moi - Cédric Klapisch  - En corps - Cédric Klapisch  - I love Greece - Nafsika Guerry-Karamaounas  Autres références :  - La nuit américaine - François Truffaut  - Maison Simple   - Nino dans la nuit de Capucine et Simon Johannin  #cinema #scripte #elisecamurat #cedricklapisch #paulverhoeven Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Capucine Johannin est autrice et photographe. Elle a écrit à quatre mains avec son mari Simon Johannin, Nino dans la nuit. Un portrait de ces jeunes qui galèrent à trouver leur place dans une société qui ne veut pas d’eux. Dans cet épisode du Book Club, Capucine Johannin présente un livre d’horreur, le tout premier roman de Stephen King, Carrie : “Cet attrait pour la peur est très féminin. J’ai l’impression que c’est parce que quand on naît femme, on est très vite au courant que la vie est dangereuse pour nous”. C’est l’histoire d’une jeune fille, victime de harcèlement à l’école et du fantasme religieux de sa mère, qui va retourner sa haine contre les autres : “Je trouve que c’est intéressant de se pencher sur l’origine de la violence. Pour soigner quelque chose ou l’empêcher, il faut réussir à le comprendre”.Le Book Club est un podcast présenté par Agathe Le Taillandier. Capucine Johannin répond aux questions d’Oriane Olivier. Soukaïna Qabbal est à l’édition et à la coordination du Book Club. Florence Epandi a fait le montage de cet épisode et Jean-Baptiste Aubonnet le mixage. Cet épisode est également rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale, Marion Girard, responsable de production, Charlotte Pudlowski, directrice éditoriale et Mélissa Bounoua, directrice des productions. La retranscription de cet épisode est en cours et bientôt disponible. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

durée : 01:00:01 - Tous en scène - par : Aurélie Charon - Nathalie Béasse met en scène le rire, des chutes, des corps à corps dans son spectacle "Aux éclats..." au Théâtre de la Bastille. David Grabli, neurologue, et Sophy Clair David, comédienne, font partie de la Troupe de l'Imaginaire du Théâtre de la Ville. LIVE : Simon Johannin et Jardin pour ActOral - réalisation : Delphine Lemer - invités : Nathalie Béasse Metteur en scène; Simon Johannin romancier; David Grabli Neurologue, membre collectif Inter-hôpitaux; Sophy Clair David comédienne

3 juin 2020. Addictions.- Zyed, Bouna, Théo, et Adama... (microson gazée par Tyb)- Il y a 20 ans je buvais (rencontre par Joe)- Nina dans la nuit, d'après "Nino dans la nuit" de Capucine et Simon Johannin (lecture & créa par Namé & Luigi)- Réduire ses risques (rencontre par Sissi)- le Juke box, les addictions de Mayday (par Boscop, Sissi, Jiji, Zéon, Tyb, le Frigo)- Mes désirs font écran (rencontre par Luigi)- Luc fume (rencontre par le Frigo)- Le présent (récit bouclé par Namé)Musiques- Juliette - Le diable dans la bouteille- Nitta Joe - Cocaïne- Jonathan Fitoussi - Orion

Emission du 27 Mai 2020, Mayday monte, vole et triche !- Radio d'Ici, attaquée par des néo-nazis (rencontre par Luigi)- Une amende dans le bus d'après "Nino dans la nuit" de Capucine et Simon Johannin- Tout le monde triche(reportage et billet de Luigi)- Le mythe décomplexé (adaptation de la BD de Karibou par Tyb et Le Frigo)- Le plaisir de l'illusion (rencontre de Sissi avec un magicien)- Vacciné contre le vol (histoire de Zéon Litrone)- Allez les verts ! (Olive et Tom par Luigi)- "J'm'en vais saigner Carrefour" d'après "Nino dans la nuit" de Capucine et Simon Johannin (par Namé et Luigi)- Du montage à MeToo (rencontre de Jiji avec Paola)Musiques :- Marché noir de La Rumeur- La nuit je mens d'Alain Bashung- Pressure - DVS1- Dunkel deutsch disco de Bumcelloavec des extraits des films "Marius", "le voleur" et "la cité de la peur"

Chantal Pattyn ontvangt in deze podcast Barbara Baert en Berlinde De Bruyckere die het hebben over het nieuwe boek ‘De uil in de grot’ en Christophe Vekeman las voor ons ‘De zomer van het aas’ van Simon Johannin.

durée : 00:58:56 - Capucine et Simon Johannin et Joseph Ponthus : se libérer par le style - par : Christophe ONO DIT BIOT - Cette semaine, place à l'électricité de la jeunesse, aux oiseaux de nuits et aux poètes des usines, on pourrait permuter d'ailleurs, place aux oiseaux des usines et aux poètes de la nuit ! Nous sommes avec trois écrivains en train d'éclore et de se révéler, ils ont la rage et le ciel dans le cour, ils nous emmènent respirer le parfum des bulots et lécher le macadam, affronter la violence sociale et la précarité de l'existence par tous les moyens possibles, dont la littérature qui est peut-être le plus immersif des véhicules. Trois écrivains, mais deux romans puisque l'un d'eux a été écrit. à deux ! Bienvenue à Capucine et Simon Johannin, et à Joseph Ponthus ! * Danser pour se sauver la vie. A quatre mains comme on dit, Capucine et Simon Johannin publient « Nino dans la nuit » (Allia). Un livre jeune et fort qui nous fait entendre la complainte, au sens de chanson, chanson de geste, même, d'un François Villon du XXIe s siècle, un François Villon qui prendrait des trucs pour ne pas devenir dingue, et qui danserait comme un fou dans la nuit, et qui vivrait dans un appartement au plancher crevé en regardant de l'autre côté du périph Paris, « cette grande crevarde ». Un François Villon du XXIe siècle qui ferait des petits boulots, qui serait amoureux fou d'une fille qui vient de Turquie et qui s'appellerait Lale, et dont on suivrait les aventures dans une ville hostile qui ne devient vivable que quand les lumières du jour s'éteignent et que la nuit en allume d'autres. « Nino dans la nuit » est une déambulation underground racontée dans une langue âpre et énergique qui nous donne des coups de poing, une langue dont les héros sont des laissés pour compte très contemporains dont le lot est peut-être celui de toute une jeunesse qui essaie d'oublier ses souffrances hélas banales mais bien réelles, et insupportables - manque d'argent, difficultés à trouver sa place dans une société trop dure - dans les excès nocturnes. Nino, son père croit qu'il est en train de vivre comme étudiant à paris, alors qu'il n'est en train que d'étudier la meilleure manière de. survivre. Il dit, Nino : **« - Il y peut rien mon daron, il sait même pas tout ça, il croit que ça roule, que je m'éclate dans une école et que je pourrai faire un truc qui me plaît vraiment. ** - Pourquoi tu lui dis pas, il pourrait t'aider non ? -       **Parce que je veux pas qu'il sache, il s'est cassé le cul pour moi et je veux pas qu'il pense que ça mène à rien, qu'il voie comment je me démerde pour tout ruiner.  » ** Nous avions reçu, ici même, Simon Johannin pour son premier roman, « l'été des charognes », lauréat du Prix de la vocation en 2017. Il était temps de faire connaissance avec son épouse Capucine, qui était déjà dans l'ombre de ce premier roman. Mais pourquoi nous l'avoir cachée ?  Avec eux, Joseph Ponthus, qui publie son premier livre « A la ligne » (La table Ronde), sous titré « feuillets d'usine ». Un livre étonnant qui ressemble, de loin, à un recueil de poésie en prose, et qui fait écho à « Nino dans la nuit » dans la façon qu'il a de dire, au plus près, au plus rugueux, au plus poétique aussi, une violence sociale que l'auteur a connu de près.  Ne pas crever « à la ligne » Dans ce livre, où les mots reviennent souvent à la ligne, la ponctuation a disparu pour mieux raconter le quotidien de l'ouvrier que fut Joseph Ponthus, après une hypokhâgne, une khâgne et des années comme travailleur social avant de décider de cingler vers la Bretagne et de se retrouver à l'usine comme ouvrier intérimaire dans l'agroalimentaire, mais pas pour vivre l'expérience des établis comme on disait à la grande époque de la lutte révolutionnaire. «J'écris comme je pense sur ma ligne de production divaguant dans mes pensées seul déterminé/ J'écris comme je travaille/ A la chaîne/ A la ligne », écrit Joseph Ponthus sur ces « feuillets d'usine » qui semblent arrachés à l'épuisement mais qui luisent de références littéraires, Apollinaire, Aragon, Cendrars, comme si seule la littérature - invités : Capucine et Simon Johannin, Joseph Ponthus - Capucine et Simon Johannin : Romanciers Joseph Ponthus : écrivain, Grand Prix RTL-Lire 2019, Prix Régine Desforges 2019 - réalisé par : Jean-Christophe Francis

durée : 00:58:56 - Capucine et Simon Johannin et Joseph Ponthus : se libérer par le style - par : Christophe ONO DIT BIOT - Cette semaine, place à l'électricité de la jeunesse, aux oiseaux de nuits et aux poètes des usines, on pourrait permuter d'ailleurs, place aux oiseaux des usines et aux poètes de la nuit ! Nous sommes avec trois écrivains en train d'éclore et de se révéler, ils ont la rage et le ciel dans le cour, ils nous emmènent respirer le parfum des bulots et lécher le macadam, affronter la violence sociale et la précarité de l'existence par tous les moyens possibles, dont la littérature qui est peut-être le plus immersif des véhicules. Trois écrivains, mais deux romans puisque l'un d'eux a été écrit. à deux ! Bienvenue à Capucine et Simon Johannin, et à Joseph Ponthus ! * Danser pour se sauver la vie. A quatre mains comme on dit, Capucine et Simon Johannin publient « Nino dans la nuit » (Allia). Un livre jeune et fort qui nous fait entendre la complainte, au sens de chanson, chanson de geste, même, d'un François Villon du XXIe s siècle, un François Villon qui prendrait des trucs pour ne pas devenir dingue, et qui danserait comme un fou dans la nuit, et qui vivrait dans un appartement au plancher crevé en regardant de l'autre côté du périph Paris, « cette grande crevarde ». Un François Villon du XXIe siècle qui ferait des petits boulots, qui serait amoureux fou d'une fille qui vient de Turquie et qui s'appellerait Lale, et dont on suivrait les aventures dans une ville hostile qui ne devient vivable que quand les lumières du jour s'éteignent et que la nuit en allume d'autres. « Nino dans la nuit » est une déambulation underground racontée dans une langue âpre et énergique qui nous donne des coups de poing, une langue dont les héros sont des laissés pour compte très contemporains dont le lot est peut-être celui de toute une jeunesse qui essaie d'oublier ses souffrances hélas banales mais bien réelles, et insupportables - manque d'argent, difficultés à trouver sa place dans une société trop dure - dans les excès nocturnes. Nino, son père croit qu'il est en train de vivre comme étudiant à paris, alors qu'il n'est en train que d'étudier la meilleure manière de. survivre. Il dit, Nino : **« - Il y peut rien mon daron, il sait même pas tout ça, il croit que ça roule, que je m'éclate dans une école et que je pourrai faire un truc qui me plaît vraiment. ** - Pourquoi tu lui dis pas, il pourrait t'aider non ? -       **Parce que je veux pas qu'il sache, il s'est cassé le cul pour moi et je veux pas qu'il pense que ça mène à rien, qu'il voie comment je me démerde pour tout ruiner.  » ** Nous avions reçu, ici même, Simon Johannin pour son premier roman, « l'été des charognes », lauréat du Prix de la vocation en 2017. Il était temps de faire connaissance avec son épouse Capucine, qui était déjà dans l'ombre de ce premier roman. Mais pourquoi nous l'avoir cachée ?  Avec eux, Joseph Ponthus, qui publie son premier livre « A la ligne » (La table Ronde), sous titré « feuillets d'usine ». Un livre étonnant qui ressemble, de loin, à un recueil de poésie en prose, et qui fait écho à « Nino dans la nuit » dans la façon qu'il a de dire, au plus près, au plus rugueux, au plus poétique aussi, une violence sociale que l'auteur a connu de près.  Ne pas crever « à la ligne » Dans ce livre, où les mots reviennent souvent à la ligne, la ponctuation a disparu pour mieux raconter le quotidien de l'ouvrier que fut Joseph Ponthus, après une hypokhâgne, une khâgne et des années comme travailleur social avant de décider de cingler vers la Bretagne et de se retrouver à l'usine comme ouvrier intérimaire dans l'agroalimentaire, mais pas pour vivre l'expérience des établis comme on disait à la grande époque de la lutte révolutionnaire. «J'écris comme je pense sur ma ligne de production divaguant dans mes pensées seul déterminé/ J'écris comme je travaille/ A la chaîne/ A la ligne », écrit Joseph Ponthus sur ces « feuillets d'usine » qui semblent arrachés à l'épuisement mais qui luisent de références littéraires, Apollinaire, Aragon, Cendrars, comme si seule la littérature - invités : Capucine et Simon Johannin, Joseph Ponthus - Capucine et Simon Johannin : Romanciers Joseph Ponthus : écrivain, Grand Prix RTL-Lire 2019, Prix Régine Desforges 2019 - réalisé par : Jean-Christophe Francis

L'actualité vue par les livres avec Nicolas Tittley; les Ouïghours. L'actualité culturelle à New York avec Emmanuel Kattan. Marin Bilodeau et Jean-François Chassay ont vu pour nous I Am the Night. Le mot à définir avec Philippe Bernier Arcand; fonds publics. Une entrevue avec Fanie Demeule pour son roman Roux clair naturel. Que lisent les Allemands? Le club de lecture avec Ludmila Proujanskaïa qui a lu Le marabout, de Ayavi Lake, Sophie Lorain avec Une affaire de famille, d'Hirokazu Kode-Eda et Luis Clavis avec Nino dans la nuit, de Capucine et Simon Johannin.