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Alors que vous êtes de plus en plus nombreux à vous racheter une conduite en misant tout sur le sans alcool, vous n'êtes pas sans savoir que quelques industriels se frottent les mains. Car derrière l'argument santé se cachent en réalité une cohorte de petites bombes sucrées. Commençons par la plus évidente des bombes de sucre en embuscade : les smoothies industriels. Présentés comme la quintessence de la santé en bouteille, à grands renforts d'ajouts de super-aliments tels que gingembre et graines de chia, on ignore souvent qu'ils peuvent contenir jusqu'à 40 grammes de sucre par portions, soit l'équivalent de non moins de 8 morceaux. En cause, des fibres de fruits détruites au cours du processus de transformation, qui ne laissent derrière elles qu'un pauvre liquide outrageusement sucré, et une glycémie portée à son plus haut niveau. Un conseil, si vous êtes amateur du genre : faites-le vous-même, et de grâce, sans avoir la main lourde sur l'ajout de glucose.Dans cet épisode de Parlons vin, la journaliste Alicia Dorey vous dévoile ce qui se cache réellement derrière ces boissons perçues comme saines et vertueuses. Cet épisode a été initialement publié en janvier 2025.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter Parlons Vin sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes. Si cet épisode vous a plu, n'hésite pas à vous abonner et à donner votre avis.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode estival de Eau-de-Vie, Louis-Marie reçoit Lucie, Brand Ambassadrice pour Fever Tree France. Découvrez le parcours passionnant de Lucie, pure produit de la restauration qui a gravi tous les échelons : du Bac Pro service en salle à la mention complémentaire barman, en passant par des établissements emblématiques parisiens, avant de devenir ambassadrice pour Saint-Germain puis Fever Tree.Lucie nous dévoile les coulisses du métier de brand ambassadrice : formations, événements, création de moments de convivialité pour les professionnels du bar, et promotion des produits dans les établissements. Elle présente également Fever Tree, marque anglaise incontournable de mixeurs créée au début des années 2000, pionnière dans la premiumisation des tonics et sodas.L'épisode se termine sur des idées rafraîchissantes avec des recettes de cocktails originaux à base de feuilles de figues infusées, parfaits pour accompagner l'été.Cocktail 1 : Gin Tonic à la feuille de figuePréparation : Faire infuser des feuilles de figues dans du gin pendant 48h, puis retirer les feuillesRecette :4-5 cl de gin infusé aux feuilles de figuesTop de Mediterranean Tonic Water (ou Indian Tonic Water)Servir sur glace dans un grand verreCocktail 2 : Paloma revisitée à la feuille de figuePréparation : Faire infuser des feuilles de figues dans la tequila pendant 48h, puis retirer les feuillesRecette :4 cl de tequila infusée aux feuilles de figuesTop de Sparkling Pink Grapefruit Fever TreeServir sur glaceNote : L'infusion de feuilles de figues développe des arômes surprenants de coco et d'amande !Retrouvez Fever Tree dans de nombreux bars et restaurants, ainsi qu'en grande surface pour vos créations maison.Pour retrouver Fever Tree France sur Instagram
C'est l'été votre ado fait peut-être ses premières sorties et donc ses premières expériences. Comment repérer si un usage devient problématique ? Qu'est-ce qui peut le/la protéger ? Et quels sont les signes qui doivent vous alerter ? Pour en parler, j'accueille Margaux Smadja, coordinatrice en prévention et promotion de la santé au Pôle inter établissement d'addictologie du CH Charles Perrens et du CHU de Bordeaux. Ressources : Compétences psychosociales : Tout savoir sur les compétences psychosociales en santéLes consultations jeunes consommateurs : Les Consultations jeunes consommateurs (CJC), une aide aux jeunes et à leur entourage - Drogues Info ServiceLe CRIPS : Parents - Ado - les conseils du CRIPS | Crips Île-de-FranceLa réduction des risque et des dommages liés à l'usage de substances psychoactives est une politique de santé publique (article L.3411-8 du code de la santé publique définissant la politique de réduction des risques) . Elle n'incite pas à la consommation. Elle a pour objectif d'aider les personnes à réduire les risques liés à leurs consommations pour éviter l'apparition de complications. Elle s'adresse à des personnes faisant usage ou ayant l'intention de faire usage du substance psychoactives, pour leur permettre de prendre soin de leur santé si elles décident de consommer : Alcool cannabis, comment parler de la réduction des risques ?
Imaginez : on vous sert deux verres de vin. Même robe, même nez, même texture. L'un coûte 9 euros. L'autre, 89. Devinez lequel vous préférez ? Spoiler : vous préférez le deuxième. Pas parce qu'il est meilleur… mais parce qu'il est plus cher ! Et que votre cerveau adore se faire avoir. Déjà, commençons par ce que l'on appelle le biais de prix, ou quand le cerveau boit avec le portefeuille. En 2008, des chercheurs de Stanford et Caltech ont scanné le cerveau de 20 personnes pendant qu'elles goûtaient le même vin – sauf qu'on leur faisait croire que certains coûtaient 5 dollars, d'autres 45 dollars. Résultat ? Les zones du plaisir s'activaient davantage pour les vins prétendument plus chers, même s'il s'agissait exactement du même flacon. Moralité : ce n'est pas votre palais qui juge, mais bien votre banquier imaginaire.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle d'illusions sensorielles, de biais cognitifs et de cette petite voix intérieure qui vous pousse à aimer ce que vous avez payé trop cher.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : François DuvalProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:29 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Prendre de la hauteur au dessus des volcans d'Auvergne…Au lac de la Godivelle, pour découvrir les eaux-de-vie de malt de la Distillerie volcanique.C'est l'instant intemporel que vous propose de vivre Quentin Sicard au micro d'Eau-de-vie.Fondateur de la Distillerie, Quentin nous fait vivre le portrait chinois de ses spiritueux maltés, pour un instant d'apaisement et de convivialité, hors du temps.Attention, en fin d'année la distillerie sortira ses premiers whiskies ! Une dégustation à ne pas manquer.---Dans cet épisode, Constance et Quentin Sicard explorent l'univers des spiritueux, en mettant l'accent sur le parcours de Quentin, son engagement envers la distillation durable, et l'importance de la qualité des matières premières. Ils discutent également des défis de la production artisanale, de la réglementation, et de la diversification des produits dans le secteur des spiritueux. Cette conversation explore les défis financiers et stratégiques auxquels font face les marques artisanales de spiritueux, ainsi que les innovations dans leurs gammes de produits. Les intervenants discutent des techniques de distillation, des alambics utilisés, et de l'importance de la consommation responsable. Ils partagent également des informations sur les visites et initiations à la distillation, soulignant l'importance de la transparence et de la générosité dans leur approche.Pour en savoir plus sur la Distillerie Volcanique
Faire la fête oui, mais le matin, et sans alcool, mais plutôt avec du café, ou du thé. C'est la nouvelle tendance qui fait fureur en Australie.
Faire la fête oui, mais le matin, et sans alcool, mais plutôt avec du café, ou du thé. C'est la nouvelle tendance qui fait fureur en Australie.
“C'est ma victoire quand le vigneron reconnaît sa parcelle et reconnaît la typicité de son vin à travers le marc que je lui ai distillé. Je suis absolument aux anges."Julien Ducruet est venu nous parler de sa passion pour l'oenologie et la distillation au micro d'Eau-de-vie. À travers un regard de chercheur scientifique, au sein de la distillerie qu'il a co- fondé : Esprit Distillation.Quand la curiosité se mêle à la technique, ça donne des produits exceptionnels.Pas étonnant qu'autant de producteurs de Côtes-du-Rhône et de Châteauneuf-du-Pape confient leurs marcs à Esprit Distillation !Ecoutez cet épisode pour découvrir un parcours passionnant et passionné.---Pour en savoir plus sur Esprit Distillation
On parle beaucoup du vieillissement du vin. De ses tannins qui se fondent, de son nez qui s'ouvre, de sa robe qui se tuile… Mais on parle assez peu de l'autre vieillissement : le nôtre, à savoir celui du buveur. Est-ce que notre goût évolue avec les années ? Est-ce qu'on aime les mêmes choses à 25 et à 55 ans ? Et si non… est-ce grave ?Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle de papilles fatiguées, de tanins domptés et d'anciens buveurs de Châteauneuf qui ne jurent plus que par le poulsard jurassien.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : François DuvalProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez La Traque, le podcast Bababam Originals ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir A la folie pas du tout, le podcast qui vous plonge dans les crimes familiaux les plus terribles. C'est une histoire de chanson française, de passion amoureuse, mais aussi d'excès et d'alcool. Le couple Serge Gainsbourg et Jane Birkin ont marqué le monde de la musique avec leurs nombreuses collaborations. Mais derrière la belle histoire, qu'y a-t-il vraiment ? Plongez dans les plus beaux moments du duo Gainsbourg Birkin… comme dans les pires. n podcast Bababam Originals Ecriture : Anaïs Koopman Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Réalisation : Romain Redon Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Bière sans alcool: à choisir ou à bannir? 2. Peut-on confier l'amour à lʹIA? 3. Série "au quotidien dans un autre temps" (5/5): allumer un feu à la manière paléolithique 4. Best-of guichet: viva la pasta! Avec Luca Santoro et Stefanie Antelmi
Tu veux garder un bon corps sans dire adieu aux apéros ? Dans cet épisode, on démonte les idées reçues sur l'alcool et la muscu, et je te donne des stratégies concrètes pour concilier vie sociale et progression physique. Pas de blabla, que du concret.Au delà de ça, on va parler testostérone, optimisation et supplémentation, ça va te plaire. Liens utiles:Plateforme de coaching Jimmy Coach: https://jimmycoach.com/La protéine Sync: https://syncprotein.com/Rejoins mon programme hybride fonctionnel sur ma nouvelle app iOS & Android (challenge 8 semaines, mais objectif long terme hey!): https://hybridpump.app/Muscle Republic: https://musclerepublic.com/ code QUENTIN10Lien de ma gourde filtrante brevetée par la NASA: https://okoeurope.com/products/gourde-filtrante?referral_code=Py7BBAq7upj6Wl6KaPose une question sur le podcast:https://www.speakpipe.com/msg/s/349098/6/mdlbzhcfckgsw7vi
Marie est confrontée à la gestion quotidienne de son ex-compagnon atteint du syndrome de Korsakoff, une maladie neurodégénérative liée à l'alcoolisme. Elle se sent dépassée par la situation, car il refuse de se faire hospitaliser et elle n'a pas les ressources pour l'aider correctement. Marie envisage de passer la main aux professionnels de santé pour qu'il reçoive les soins nécessaires. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ricardo Castro, ator de 46 anos, mais conhecido por protagonizar “O Prédio do Vasco” é o convidado de Daniel Oliveira, no Alta Definição. O ator recorda a infância atribulada, com o alcoolismo do pai e a fragilidade da mãe, num contexto de violência em que teve de crescer mais depressa. “O alcoolismo é uma adição terrível, torna as pessoas más, afasta as famílias. Adoeceu a minha mãe, ficou a depender de antidepressivos”, reforça. Ricardo Castro aborda ainda a transformação que fez na sua vida, após ter sido pai. Decidiu perder peso para poder estar presente na vida da filha o mais possível. “Ser gordo custa, não é fácil. A sociedade acha que não trabalhas, que só queres comer pão com marmelada. Há bullying na escola e na televisão, acham que só podes ter o papel de motorista, aqueles estereótipos. Isso tem de mudar”, explica. Ouça aqui o Alta Definição em podcast, emitido na SIC a 5 de julho.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 3 juillet 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent du sujet du jour : "Vente d'alcool aux mineurs : les supermarchés hors-la-loi".
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
À l'approche de l'été, une question cruciale pour tous ceux qui comptent les calories d'un œil distrait entre deux gorgées de Bandol : le vin rosé est-il vraiment moins calorique que le rouge…? Ou simplement plus malin pour se faufiler dans nos régimes d'été sans faire son âge – ni son poids ? Depuis quelques années, la légende s'est installée : le rosé serait le vin de la légèreté. Moins corsé, moins sucré, moins calorique… Une sorte de vin allégé qui ne dit pas franchement son nom. Il suffit de feuilleter quelques magazines ou d'écouter les conversations sur la plage : tout concourt à faire du rosé le vin minceur par excellence. Mais est-ce vraiment le cas ?Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous explique pourquoi le vin rosé n'est pas un vin de régime.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ça démarre toujours comme ça Par une bonne intention.Alors, on veut sauver les hommes de l'alcool, protéger les familles, ramener l'ordre moral.On veut guérir l'Amérique.Mais ce que les États-Unis vont vivre, à partir de 1920, n'a rien d'une convalescence. C'est une descente. Une décennie de violence, de double discours, d'hypocrisie politique et de criminalité organisée à une échelle jamais vue.Pendant treize ans, la fabrication, la vente et le transport d'alcool deviennent illégaux sur l'ensemble du territoire américain. Officiellement, l'alcool est banni pour préserver la nation, encourager la tempérance, rendre les citoyens meilleurs. En réalité, il ne disparaît jamais. Il change de visage. Il entre en clandestinité. Et l'Amérique avec lui.Derrière les façades closes des speakeasies (les bars clandestins), on danse sur du jazz, on trinque en cachette, on négocie des pots-de-vin. La police détourne les yeux, parfois la loi aussi. La boisson coule à flot dans les villes, les caves, les arrière-salles. Et dans les veines du pays.L'État croyait contrôler une habitude. Il découvre qu'il a réveillé un monstre.Car interdire, ce n'est pas empêcher.Et ce que la Prohibition interdit, elle va surtout le rendre rentable.Elle consacre des figures nouvelles.Des avocats devenus millionnaires, dont certains dissimulent leurs distilleries derrière des pharmacies.Des criminels qui deviennent des icônes, comme Al Capone, qui transforme Chicago en capitale du crime, finance des soupes populaires avec l'argent du trafic, tout en faisant exécuter ses rivaux à la mitraillette.Mais la Prohibition, ce n'est pas seulement l'histoire des gangsters. C'est aussi celle des échecs du pouvoir, des contradictions d'une société, et du poids des idéaux mal appliqués.C'est l'histoire d'une croisade morale détournée par l'argent. D'un État qui perd la main.D'un peuple qui se rit des lois… et qui en meurt parfois.Car à force de distiller dans l'illégalité, on fabrique des alcools frelatés, toxiques, dangereux. On mélange, on coupe, on triche. Et on enterre.Et puis il y a l'autre scène : celle des bureaux, des couloirs du Congrès, des caves du Sénat pleines de bouteilles, pendant que les rues se remplissent de cadavres.La Prohibition devait moraliser l'Amérique. Elle l'a fracturée. Elle a sapé la confiance dans les institutions. Elle a légitimé la corruption comme mode de gouvernement. Elle a semé les bases du crime organisé moderne.Et pourtant, cette période est aussi fascinante que trouble. Car elle interroge :Pourquoi une société décide-t-elle de bannir quelque chose d'aussi ancré que l'alcool ?Pourquoi une loi, votée à une écrasante majorité, devient-elle si vite une mascarade ?Et pourquoi, malgré ses effets désastreux, certains rêvent-ils encore, aujourd'hui, de moraliser la société par la contrainte ?Ce que nous allons explorer, ce n'est pas seulement une période de l'histoire américaine.C'est un miroir tendu à notre époque.Car derrière les barils de whisky cachés dans les caves, derrière les gangsters en costume et les descentes de police, il y a une question essentielle : que se passe-t-il quand la loi s'attaque à la culture ? Et que reste-t-il, une fois la tempérance oubliée, mais que la violence, elle, est restée ?Mon invitée, l'historienne et spécialiste des Etats-Unis, Annick Foucrier, qui vient de sortir son dernier ouvrage, excellent, au nom évident "La Prohibition", chez Armand Colin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ça démarre toujours comme ça Par une bonne intention.Alors, on veut sauver les hommes de l'alcool, protéger les familles, ramener l'ordre moral.On veut guérir l'Amérique.Mais ce que les États-Unis vont vivre, à partir de 1920, n'a rien d'une convalescence. C'est une descente. Une décennie de violence, de double discours, d'hypocrisie politique et de criminalité organisée à une échelle jamais vue.Pendant treize ans, la fabrication, la vente et le transport d'alcool deviennent illégaux sur l'ensemble du territoire américain. Officiellement, l'alcool est banni pour préserver la nation, encourager la tempérance, rendre les citoyens meilleurs. En réalité, il ne disparaît jamais. Il change de visage. Il entre en clandestinité. Et l'Amérique avec lui.Derrière les façades closes des speakeasies (les bars clandestins), on danse sur du jazz, on trinque en cachette, on négocie des pots-de-vin. La police détourne les yeux, parfois la loi aussi. La boisson coule à flot dans les villes, les caves, les arrière-salles. Et dans les veines du pays.L'État croyait contrôler une habitude. Il découvre qu'il a réveillé un monstre.Car interdire, ce n'est pas empêcher.Et ce que la Prohibition interdit, elle va surtout le rendre rentable.Elle consacre des figures nouvelles.Des avocats devenus millionnaires, dont certains dissimulent leurs distilleries derrière des pharmacies.Des criminels qui deviennent des icônes, comme Al Capone, qui transforme Chicago en capitale du crime, finance des soupes populaires avec l'argent du trafic, tout en faisant exécuter ses rivaux à la mitraillette.Mais la Prohibition, ce n'est pas seulement l'histoire des gangsters. C'est aussi celle des échecs du pouvoir, des contradictions d'une société, et du poids des idéaux mal appliqués.C'est l'histoire d'une croisade morale détournée par l'argent. D'un État qui perd la main.D'un peuple qui se rit des lois… et qui en meurt parfois.Car à force de distiller dans l'illégalité, on fabrique des alcools frelatés, toxiques, dangereux. On mélange, on coupe, on triche. Et on enterre.Et puis il y a l'autre scène : celle des bureaux, des couloirs du Congrès, des caves du Sénat pleines de bouteilles, pendant que les rues se remplissent de cadavres.La Prohibition devait moraliser l'Amérique. Elle l'a fracturée. Elle a sapé la confiance dans les institutions. Elle a légitimé la corruption comme mode de gouvernement. Elle a semé les bases du crime organisé moderne.Et pourtant, cette période est aussi fascinante que trouble. Car elle interroge :Pourquoi une société décide-t-elle de bannir quelque chose d'aussi ancré que l'alcool ?Pourquoi une loi, votée à une écrasante majorité, devient-elle si vite une mascarade ?Et pourquoi, malgré ses effets désastreux, certains rêvent-ils encore, aujourd'hui, de moraliser la société par la contrainte ?Ce que nous allons explorer, ce n'est pas seulement une période de l'histoire américaine.C'est un miroir tendu à notre époque.Car derrière les barils de whisky cachés dans les caves, derrière les gangsters en costume et les descentes de police, il y a une question essentielle : que se passe-t-il quand la loi s'attaque à la culture ? Et que reste-t-il, une fois la tempérance oubliée, mais que la violence, elle, est restée ?Mon invitée, l'historienne et spécialiste des Etats-Unis, Annick Foucrier, qui vient de sortir son dernier ouvrage, excellent, au nom évident "La Prohibition", chez Armand Colin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:40:11 - Le Débat de midi - par : Camille Crosnier, Thomas CHAUVINEAU - À compter de ce mardi 1ᵉʳ juillet, de nouveaux lieux publics deviennent des espaces sans tabac, comme les jardins publics, les plages, les abribus ou encore les abords des écoles. Soutenue par une majorité de Français, la réglementation se fait de plus en plus stricte. L'État en fait-il trop ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il consumo di alcol è un grave problema globale, legato a un aumento dei problemi di salute. I ricercatori hanno esaminato come l'alcol influisce sul cervello analizzando i dati di 1.781 persone esaminando il tessuto cerebrale per cercare segni di lesioni cerebrali, tra cui grovigli di proteine tau e arteriosclerosi ialina.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ça démarre toujours comme ça Par une bonne intention.Alors, on veut sauver les hommes de l'alcool, protéger les familles, ramener l'ordre moral.On veut guérir l'Amérique.Mais ce que les États-Unis vont vivre, à partir de 1920, n'a rien d'une convalescence. C'est une descente. Une décennie de violence, de double discours, d'hypocrisie politique et de criminalité organisée à une échelle jamais vue.Pendant treize ans, la fabrication, la vente et le transport d'alcool deviennent illégaux sur l'ensemble du territoire américain. Officiellement, l'alcool est banni pour préserver la nation, encourager la tempérance, rendre les citoyens meilleurs. En réalité, il ne disparaît jamais. Il change de visage. Il entre en clandestinité. Et l'Amérique avec lui.Derrière les façades closes des speakeasies (les bars clandestins), on danse sur du jazz, on trinque en cachette, on négocie des pots-de-vin. La police détourne les yeux, parfois la loi aussi. La boisson coule à flot dans les villes, les caves, les arrière-salles. Et dans les veines du pays.L'État croyait contrôler une habitude. Il découvre qu'il a réveillé un monstre.Car interdire, ce n'est pas empêcher.Et ce que la Prohibition interdit, elle va surtout le rendre rentable.Elle consacre des figures nouvelles.Des avocats devenus millionnaires, dont certains dissimulent leurs distilleries derrière des pharmacies.Des criminels qui deviennent des icônes, comme Al Capone, qui transforme Chicago en capitale du crime, finance des soupes populaires avec l'argent du trafic, tout en faisant exécuter ses rivaux à la mitraillette.Mais la Prohibition, ce n'est pas seulement l'histoire des gangsters. C'est aussi celle des échecs du pouvoir, des contradictions d'une société, et du poids des idéaux mal appliqués.C'est l'histoire d'une croisade morale détournée par l'argent. D'un État qui perd la main.D'un peuple qui se rit des lois… et qui en meurt parfois.Car à force de distiller dans l'illégalité, on fabrique des alcools frelatés, toxiques, dangereux. On mélange, on coupe, on triche. Et on enterre.Et puis il y a l'autre scène : celle des bureaux, des couloirs du Congrès, des caves du Sénat pleines de bouteilles, pendant que les rues se remplissent de cadavres.La Prohibition devait moraliser l'Amérique. Elle l'a fracturée. Elle a sapé la confiance dans les institutions. Elle a légitimé la corruption comme mode de gouvernement. Elle a semé les bases du crime organisé moderne.Et pourtant, cette période est aussi fascinante que trouble. Car elle interroge :Pourquoi une société décide-t-elle de bannir quelque chose d'aussi ancré que l'alcool ?Pourquoi une loi, votée à une écrasante majorité, devient-elle si vite une mascarade ?Et pourquoi, malgré ses effets désastreux, certains rêvent-ils encore, aujourd'hui, de moraliser la société par la contrainte ?Ce que nous allons explorer, ce n'est pas seulement une période de l'histoire américaine.C'est un miroir tendu à notre époque.Car derrière les barils de whisky cachés dans les caves, derrière les gangsters en costume et les descentes de police, il y a une question essentielle : que se passe-t-il quand la loi s'attaque à la culture ? Et que reste-t-il, une fois la tempérance oubliée, mais que la violence, elle, est restée ?Mon invitée, l'historienne et spécialiste des Etats-Unis, Annick Foucrier, qui vient de sortir son dernier ouvrage, excellent, au nom évident "La Prohibition", chez Armand Colin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ça démarre toujours comme ça Par une bonne intention.Alors, on veut sauver les hommes de l'alcool, protéger les familles, ramener l'ordre moral.On veut guérir l'Amérique.Mais ce que les États-Unis vont vivre, à partir de 1920, n'a rien d'une convalescence. C'est une descente. Une décennie de violence, de double discours, d'hypocrisie politique et de criminalité organisée à une échelle jamais vue.Pendant treize ans, la fabrication, la vente et le transport d'alcool deviennent illégaux sur l'ensemble du territoire américain. Officiellement, l'alcool est banni pour préserver la nation, encourager la tempérance, rendre les citoyens meilleurs. En réalité, il ne disparaît jamais. Il change de visage. Il entre en clandestinité. Et l'Amérique avec lui.Derrière les façades closes des speakeasies (les bars clandestins), on danse sur du jazz, on trinque en cachette, on négocie des pots-de-vin. La police détourne les yeux, parfois la loi aussi. La boisson coule à flot dans les villes, les caves, les arrière-salles. Et dans les veines du pays.L'État croyait contrôler une habitude. Il découvre qu'il a réveillé un monstre.Car interdire, ce n'est pas empêcher.Et ce que la Prohibition interdit, elle va surtout le rendre rentable.Elle consacre des figures nouvelles.Des avocats devenus millionnaires, dont certains dissimulent leurs distilleries derrière des pharmacies.Des criminels qui deviennent des icônes, comme Al Capone, qui transforme Chicago en capitale du crime, finance des soupes populaires avec l'argent du trafic, tout en faisant exécuter ses rivaux à la mitraillette.Mais la Prohibition, ce n'est pas seulement l'histoire des gangsters. C'est aussi celle des échecs du pouvoir, des contradictions d'une société, et du poids des idéaux mal appliqués.C'est l'histoire d'une croisade morale détournée par l'argent. D'un État qui perd la main.D'un peuple qui se rit des lois… et qui en meurt parfois.Car à force de distiller dans l'illégalité, on fabrique des alcools frelatés, toxiques, dangereux. On mélange, on coupe, on triche. Et on enterre.Et puis il y a l'autre scène : celle des bureaux, des couloirs du Congrès, des caves du Sénat pleines de bouteilles, pendant que les rues se remplissent de cadavres.La Prohibition devait moraliser l'Amérique. Elle l'a fracturée. Elle a sapé la confiance dans les institutions. Elle a légitimé la corruption comme mode de gouvernement. Elle a semé les bases du crime organisé moderne.Et pourtant, cette période est aussi fascinante que trouble. Car elle interroge :Pourquoi une société décide-t-elle de bannir quelque chose d'aussi ancré que l'alcool ?Pourquoi une loi, votée à une écrasante majorité, devient-elle si vite une mascarade ?Et pourquoi, malgré ses effets désastreux, certains rêvent-ils encore, aujourd'hui, de moraliser la société par la contrainte ?Ce que nous allons explorer, ce n'est pas seulement une période de l'histoire américaine.C'est un miroir tendu à notre époque.Car derrière les barils de whisky cachés dans les caves, derrière les gangsters en costume et les descentes de police, il y a une question essentielle : que se passe-t-il quand la loi s'attaque à la culture ? Et que reste-t-il, une fois la tempérance oubliée, mais que la violence, elle, est restée ?Mon invitée, l'historienne et spécialiste des Etats-Unis, Annick Foucrier, qui vient de sortir son dernier ouvrage, excellent, au nom évident "La Prohibition", chez Armand Colin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'été est là avec son cortège d'apéros pour les parents, d'écrans pour les enfants, de fêtes. Alcool, jeux vidéo, tabac, drogue, calmants. à partir de quel seuil la consommation devient-elle problématique? Les réponses de Mélanie de Almeida, cheffe de clinique au service de médecine des addictions du CHUV. Journaliste: Caroline Stevan Réalisation: Frédéric Zahnd Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Dans cet épisode, Lucile Woodward reçoit le Dr Peybernard, psychiatre addictologue, pour explorer en profondeur notre relation à l'alcool — un sujet omniprésent dans la société française.Si la consommation d'alcool est en légère baisse ces dernières années, elle reste très ancrée dans notre quotidien : repas entre amis, fêtes, apéritifs… difficile d'y échapper.Le Dr Peybernard, autrice du livre "Mieux se protéger de la dépendance à l'alcool" (éd. Dunod), nous aide à comprendre :Comment repérer une dépendance à l'alcool ?Quels signes doivent nous alerter ?Quels mécanismes neurologiques sont en jeu ?Et surtout : comment s'en sortir quand l'alcool prend trop de place ?Ensemble, elles abordent aussi des questions essentielles :
Michel a vécu une descente aux enfers après avoir tout quitté pour une femme rencontrée en ligne, qui avait un grave problème d'alcool. Cette relation toxique l'a conduit à un burn-out sévère et à une hospitalisation en psychiatrie pendant près d'un an. Aujourd'hui, il a surmonté ses difficultés, a retrouvé un emploi stable et se reconstruit peu à peu. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Courir pour « éliminer » les excès de la veille ? Une fausse bonne idée !Dans cet épisode, on passe au crible les idées reçues sur les liens entre alcool et course à pied : performance, récupération, sommeil, poids, hydratation... on fait le tri entre croyances et réalité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 13 juin 2025 : "L'inquiétude de nombre de dirigeants d'entreprises de voir l'alcool et la drogue arriver au travail comme s'il en pleuvait", avec Bruno Poncet, cheminot, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie.
REDIFF - Michel Lejoyeux, chef du service de Psychiatrie et d'Addictologie à l'Hôpital Bichat, raconte l'histoire d'une patiente devenue alcoolique, sans raison apparente. Une famille épanouie, un emploi stable, aucune misère sociale... Rien chez la patiente qui vient de franchir la porte du psychiatre ne laisse deviner une addiction, et pourtant. Depuis des mois, cette femme d'une quarantaine d'années s'enivre jour et nuit. "À un moment, elle était prise de cette pulsion totalement inexplicable qui la conduisait à s'alcooliser", explique le professeur. Spécialisé dans la prise en charge des addictions, ils va enquêter sur son addiction et proposer une prise en charge qui va déconcerter la patiente. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous croyez connaître le kir, mais êtes-vous bien certains que ce qu'on vous sert dans votre verre en est vraiment un ? Dans la majorité des cas… ce n'est pas le cas. Pourquoi ? Parce que non, un kir, ce n'est pas juste «du vin blanc avec de la crème de cassis». Ça, c'est un blanc-cassis. Et c'est pas tout à fait la même histoire.Le kir, le vrai, est une affaire 100% bourguignonne. Il porte le nom du chanoine Kir, résistant, député, maire de Dijon et grand promoteur du patrimoine local. Dans les années 1950, le chanoine a un objectif : mettre en valeur le bourgogne aligoté, ce vin blanc un peu rustique, pas toujours très sexy, mais bien de chez lui. Et là, plutôt que de chanoiner en rond, il trouve une idée brillante : le marier à une crème de cassis produite localement. Le résultat plaît, et devient rapidement l'apéritif officiel de la mairie de Dijon. Succès immédiat.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous aide à démasquer les faux kirs. Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'addiction ne détruit pas seulement ceux qui la vivent. Elle ravage aussi ceux qui reste. Il porte la douleur, l'impuissance, la colère et la culpabilité. Souvent en silence. En 2008, Jérôme Adam perd son frère Cédric emporté par l'addiction. Ce drame aurait pu l'écraser. Il en fait un combat avec notamment le documentaire: Tout pour être heureux ?Rendez-vous jeudi sur toutes les plateformes de podcast, Youtube et les réseaux sociaux de Rose et de Contre-addictions.Ce podcast est soutenu par la MILDECA, Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Conduites Addictives
durée : 00:05:10 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Jusqu'ici, seule une consommation excessive d'alcool était suspectée d'augmenter le risque de cancer du pancréas. Une étude menée sur 2 millions de personnes montre qu'un risque existe dès que la consommation dépasse les seuils recommandés, chez les hommes et les femmes, et indépendamment du tabac.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Faut-il interdire l'alcool à l'Assemblée nationale ? L'ex-ministre Florence Parly parachutée à la tête d'Air France
Frédéric est confronté à une rupture amoureuse avec une femme mariée, ce qui complique sa situation émotionnelle. Il lutte également contre un problème d'alcoolisme. Malgré la séparation, il continue d'échanger des messages avec son ex-partenaire, ce qui rend difficile le processus de guérison. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
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REDIFF - Dominique est seule depuis qu'elle a quitté son mari violent. Elle n'a jamais voulu refaire sa vie. Mais elle vit de plus en plus mal sa solitude et a pris l'habitude de boire chaque soir. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Quelles sont les particularités de l'alcoolisme chez les femmes ? Pourquoi existe-t-il un tabou encore plus important pour les femmes que pour les hommes ? Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 20 janvier 2025. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Você já sentiu que estava vivendo para cumprir expectativas dos outros, mesmo que isso te afastasse de quem você realmente é? Neste episódio do “Como Você Fez Isso?”, Luiza Possi compartilha, com muita vulnerabilidade, a virada que viveu ao decidir parar de agradar todo mundo e começar a seguir sua própria verdade.Ela fala sobre amadurecimento, maternidade, abandonar o alcool, o fortalecimento do casamento através da fé e a importância de silenciar o mundo para ouvir a própria alma. É um papo sobre viver com propósito, fazer escolhas conscientes e encontrar leveza em ser quem se é — sem precisar se explicar.Mais do que uma entrevista, é uma conversa real que pode tocar você em um ponto sensível: o momento de mudar. Se você sente que algo precisa virar aí dentro, esse episódio vai te mostrar que é possível.
Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Éric est confronté à une dépendance à l'alcool qui a impacté sa vie personnelle et professionnelle, le laissant dans un état de solitude et de désespoir. Malgré plusieurs tentatives de sevrage, il lutte pour trouver un soutien durable et se sent piégé par ses habitudes. Laurent, ancien alcoolique, partage son expérience de 14 ans d'abstinence et insiste sur l'importance de trouver du soutien dans des groupes de parole. Il encourage Éric à chercher de l'aide et à changer ses habitudes pour surmonter sa dépendance. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.