Podcasts about Brazzaville

Capital of the Republic of the Congo

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Brazzaville

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Best podcasts about Brazzaville

Latest podcast episodes about Brazzaville

Priorité santé
Prendre soin de ses articulations

Priorité santé

Play Episode Listen Later May 20, 2025 48:29


Arthrose, arthrite, rhumatismes, polyarthrite rhumatoïde… Les maladies des articulations sont nombreuses et peuvent toucher toutes les tranches d'âge, pas uniquement les personnes âgées. Comment prévenir ces maladies et prendre soin de ses articulations ? Quelles prises en charge existent pour ces maladies ? Peut-on ralentir leur évolution ?  Pr Francis Berenbaum, chef du service de rhumatologie à l'Hôpital Saint-Antoine-APHP à Paris. Professeur à Sorbonne Université. Chercheur au sein d'une équipe Inserm, dédiée à l'arthrose Pr Norbert Lamini, professeur agrégé de Rhumatologie au CHU de Brazzaville et enseignant chercheur à la Faculté des sciences de la santé de l'Université Marien NGOUABI, à Brazzaville au Congo. Secrétaire général de la société congolaise de Rhumatologie-soins de suite et de réadaptation.  Un reportage de Louise Caledec à l'Opéra de Paris.   ► En fin d'émission, nous dressons le bilan du premier Forum africain sur le don et la transplantation d'organes qui s'est tenu à Nouakchott du 16 au 18 mai 2025. Interview du Pr Abdellatif Sidi Aly, professeur-assistant de Néphrologie à la Faculté de médecine de Nouakchott en Mauritanie. Président du Conseil National du Don et de la Transplantation (CNDT).  Programmation musicale : ► Pawpaw rod – Shadow ► Ginton, Oumou Sangaré - Sabu.

Priorité santé
Prendre soin de ses articulations

Priorité santé

Play Episode Listen Later May 20, 2025 48:29


Arthrose, arthrite, rhumatismes, polyarthrite rhumatoïde… Les maladies des articulations sont nombreuses et peuvent toucher toutes les tranches d'âge, pas uniquement les personnes âgées. Comment prévenir ces maladies et prendre soin de ses articulations ? Quelles prises en charge existent pour ces maladies ? Peut-on ralentir leur évolution ?  Pr Francis Berenbaum, chef du service de rhumatologie à l'Hôpital Saint-Antoine-APHP à Paris. Professeur à Sorbonne Université. Chercheur au sein d'une équipe Inserm, dédiée à l'arthrose Pr Norbert Lamini, professeur agrégé de Rhumatologie au CHU de Brazzaville et enseignant chercheur à la Faculté des sciences de la santé de l'Université Marien NGOUABI, à Brazzaville au Congo. Secrétaire général de la société congolaise de Rhumatologie-soins de suite et de réadaptation.  Un reportage de Louise Caledec à l'Opéra de Paris.   ► En fin d'émission, nous dressons le bilan du premier Forum africain sur le don et la transplantation d'organes qui s'est tenu à Nouakchott du 16 au 18 mai 2025. Interview du Pr Abdellatif Sidi Aly, professeur-assistant de Néphrologie à la Faculté de médecine de Nouakchott en Mauritanie. Président du Conseil National du Don et de la Transplantation (CNDT).  Programmation musicale : ► Pawpaw rod – Shadow ► Ginton, Oumou Sangaré - Sabu.

Vous m'en direz des nouvelles !
L'exposition « Un exil combattant, les artistes et la France 1939-1945 » : l'art au service de la résistance

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later May 8, 2025 48:29


De Londres à Brazzaville, de New York à Alger ou Rio, ils ont continué à écrire, peindre, jouer la comédie. Ces artistes résistants de la Seconde Guerre mondiale ont défendu en exil de leur plume, leur pinceau ou leur voix. Ce que l'on appelait alors la France libre, le mouvement de résistance à l'occupation nazie initié en juin 1940 par l'appel du général de Gaulle.   On connaissait bien sûr l'exil d'André Breton, Fernand Léger ou Jean Gabin. Mais des histoires comme les leurs, il y en a beaucoup d'autres méconnues. Méconnues aussi, les œuvres produites durant cette période d'exil. Tableaux, poèmes, romans ou films.Une exposition retrace ces parcours et remet en lumière ces ambassadeurs de la France libre. Cette exposition est à l'occasion du 80e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, ​​​​​​​Un exil combattant. Les artistes et la France 1939-1945. Ça se passe au ​​​​​​​Musée de l'Armée à l'Hôtel des Invalides à Paris. Sylvie Le Ray-Burimi, co-commissaire de l'exposition, est l'invitée de Sur le pont des Arts. Au programme de l'émission :► Café polarÀ l'occasion du Festival de Cannes qui se déroule actuellement, Catherine Fruchon-Toussaint nous fait un gros plan sur l'exposition La série noire au cinéma. Une exposition qui se tient à Paris pour célébrer les 80 ans de la célèbre collection de polars qui a donné lieu à de très nombreuses adaptations cinématographiques, comme en témoigne le commissaire Alban Cerisier.► Playlist du jourΣtella – Omorfou Mou

Vois Lis Voix Là : le Podcast de ActuaLitté
La Valse des lucioles : violence, exil et enfance

Vois Lis Voix Là : le Podcast de ActuaLitté

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 15:45


Brazzaville 1998. La guerre vue par un enfant. Entre Jeux Interdits et Petits p ays, la longue route de l'exil racontée par Hassan, 10 ans Congo, 1998 Hassan, 10 ans, issu d'une famille aisée, vit dans un quartier de la capitale et fréquente une école privée. La vie suit son cours, malgré les braises encore incandescentes des conflits récents qui ont secoué le pays. Tout bascule en décembre 1998, lorsque la guerre éclate. Hassan et sa famille abandonnent leur maison et entament un long périple à travers le Congo rural et la forêt pour trouver refuge au Zaïre voisin. Un périple de 400km à pied marqué par la famine et la maladie, mais aussi par des rencontres avec les populations locales.

Afrique Économie
Quels effets économiques pour le nouveau billet en Guinée et les nouvelles pièces de la BEAC?

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 2:20


En avril, la Guinée et les pays de la Communauté Économique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC) ont introduit de nouvelles coupures et pièces de monnaie de la Banque des États de l'Afrique Centrale (BEAC). Ces changements visent à répondre à la pénurie d'espèces et à améliorer la durabilité, mais suscitent des inquiétudes quant à leur impact économique dans ces régions. En ce mois d'avril, les consommateurs de plusieurs pays africains découvrent de nouvelles espèces en circulation. La Banque Centrale de la République de Guinée (BCRG) a introduit un nouveau billet de 20 000 francs guinéens, décrit comme plus fiable et moderne. Cette initiative répond principalement à la prolifération de faux billets de cette coupure.Un nouveau billet pour contrer la fraudeSafayiou Diallo, économiste guinéen, exprime ses préoccupations face à cette transition. Il souligne que la coexistence de deux types de billets de 20 000 francs sur les marchés pourrait engendrer des malentendus, notamment dans le secteur informel. « Compte tenu du fait qu'on a un secteur informel qui est très développé, beaucoup de personnes risquent d'interpréter comme quoi ces nouvelles coupures sont celles qui seront utilisées désormais dans les transactions et que les anciennes risquent de ne pas trop passer. Moi, c'est quelque chose qui m'inquiète en tant que tel », déclare-t-il.La BCRG précise que ce nouveau billet n'a pas pour objectif d'injecter plus d'argent dans l'économie, mais simplement de remplacer les billets usés et trafiqués. Cependant, Safayiou Diallo met en garde contre les risques de dévaluation et d'inflation. « Ce qui soutient la valeur d'une monnaie, c'est la production. Lorsque la production ne suit pas, la monnaie est mise de trop, au risque d'avoir des conséquences inflationnistes. Et tout le monde sait que l'inflation a des conséquences néfastes, notamment la perte du pouvoir d'achat », explique-t-il.Pièces de la BEAC : un risque d'inflationParallèlement, la Banque des États de l'Afrique Centrale (BEAC) a lancé une nouvelle gamme de pièces pour répondre à la pénurie d'espèces. Neuf nouvelles pièces, allant de 1 à 500 francs CFA, ont été mises en circulation dans les six pays membres de la CEMAC, avec l'introduction notable d'une pièce de 200 francs CFA.Alphonse Ndongo, analyste économique à Brazzaville, voit dans cette nouveauté un risque d'inflation mécanique. « C'est une bonne chose, mais seulement le revers est que cette pièce de monnaie va créer ce qu'on appelle une inflation mécanique », affirme-t-il. Il anticipe que les commerçants pourraient arrondir les prix des petites marchandises à 200 francs CFA, augmentant ainsi les coûts pour les consommateurs. « Les prix de certaines petites marchandises qui sont compris entre 150 francs CFA et 195, il y a forcément la possibilité pour certains commerçants de faire passer ces prix tout simplement à 200 francs CFA. Pour moi, cette nouveauté risque de déboucher sur des plaintes inflationnistes », ajoute-t-il.De plus, les nouvelles pièces, fabriquées avec un alliage différent, n'auront pas la même valeur que les anciennes, ce qui devrait réduire leur exportation vers l'Asie où elles sont prisées pour la fabrication de bijoux.À lire aussiAfrique centrale: la BEAC met en circulation une nouvelle gamme de pièces de monnaie

Priorité santé
Journée mondiale de la santé: santé maternelle et néonatale

Priorité santé

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 48:29


Cette année, la Journée mondiale de la santé, célébrée le 7 avril, met l'accent sur la santé maternelle et néonatale. En 2022, l'OMS estimait à 2,3 millions le nombre de décès de nouveau-nés. Les principales causes de ces décès sont la prématurité, les complications à la naissance, les infections néonatales… En parallèle, un décès maternel (lié à la grossesse et à l'accouchement) est survenu presque toutes les deux minutes en 2020.  Comment améliorer la santé des mères et des nouveaux-nés ? Quels sont les obstacles à leur prise en charge ? Quels sont les défis à relever au niveau mondial pour éviter ces décès ? Clémence Chbat, sage-femme et référente pour les questions de santé des femmes pour Médecins sans frontières Najat Lahmidi, sage-femme et référente droit et santé sexuelle et reproductive pour Médecins du monde Dr Léopold Ouedraogo, conseiller régional pour la santé sexuelle et reproductive au Bureau régional de l'Organisation mondiale de la santé basé à Brazzaville en République du Congo Programmation musicale :► Elyanna – Mama Eh ► Amadou et Mariam – Sabali

Priorité santé
Journée mondiale de la santé: santé maternelle et néonatale

Priorité santé

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 48:29


Cette année, la Journée mondiale de la santé, célébrée le 7 avril, met l'accent sur la santé maternelle et néonatale. En 2022, l'OMS estimait à 2,3 millions le nombre de décès de nouveau-nés. Les principales causes de ces décès sont la prématurité, les complications à la naissance, les infections néonatales… En parallèle, un décès maternel (lié à la grossesse et à l'accouchement) est survenu presque toutes les deux minutes en 2020.  Comment améliorer la santé des mères et des nouveaux-nés ? Quels sont les obstacles à leur prise en charge ? Quels sont les défis à relever au niveau mondial pour éviter ces décès ? Clémence Chbat, sage-femme et référente pour les questions de santé des femmes pour Médecins sans frontières Najat Lahmidi, sage-femme et référente droit et santé sexuelle et reproductive pour Médecins du monde Dr Léopold Ouedraogo, conseiller régional pour la santé sexuelle et reproductive au Bureau régional de l'Organisation mondiale de la santé basé à Brazzaville en République du Congo Programmation musicale :► Elyanna – Mama Eh ► Amadou et Mariam – Sabali

Reportage Afrique
Congo-B: à Nkayi, le succès des tuk-tuks est loin de faire l'unanimité chez les passants [2/3]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 2:16


Nkayi, dans le sud du Congo-Brazzaville, quatrième ville du pays, est connue pour sa production sucrière. Mais depuis quelques années, elle est aussi devenue un fief des tuk-tuks. Leur nombre a explosé, ce qui est loin de faire l'unanimité. De notre correspondant à Brazzaville,Cela fait quatre années que les motos-taxis de couleur jaune ont envahi les rues de Nkayi. Sibel Ndamba est très vite devenu chauffeur de ce nouveau mode de transport au Congo-Brazzaville. Il témoigne de son succès : « Cette moto, son vrai nom de confection, c'est le tuk-tuk. Mais, vulgairement, ici à Nkayi, on appelle cela "Wehua". Quand cela a commencé en 2021, cela a aidé la population qui a commencé à se sentir mieux parce qu'il n'y avait pas de système de bus. Dès que cela a commencé, les gens se sont sentis à l'aise puisqu'il fallait donner 150 francs CFA [0,23 euro, NDLR] pour se déplacer », raconte-t-il.Il faut cependant travailler dur pour payer le propriétaire du tuk-tuk, démarrer tôt le matin et finir tard dans la soirée. « Les patrons (propriétaires des motos) ont tendance à demander 10 000 francs CFA [15 euros] de recettes par jour. Comme nous sommes dans un pays où le taux de chômage est très élevé, nous sommes obligés de faire avec les moyens de bord », ajoute-t-il.Ces tuk-tuks importés d'Asie sont l'unique moyen emprunté par Carmel Loubakalafoua, agent du Chemin de fer Congo-Océan (CFCO), entre son domicile et son lieu de travail. « Quand je suis à l'intérieur de ce moyen, je libère mon esprit pour que je puisse arriver là où je vais. Cela me permet de venir au boulot et surtout d'arriver à temps », affirme le jeune travailleur.Mais ils sont loin de plaire à Jean-Claude Mpaka, qui déplore surtout des cas d'accidents. « Ce qui embête les gens qui circulent dans les rues parfois, c'est que ces gens ne conduisent pas correctement. C'est de la pagaille, d'après moi. Ils ne veulent pas respecter les piétons, il y a parfois des accidents », témoigne ce passant.Quant à Luc Mbetani, chauffeur de taxi-voiture, il estime que ces tuk-tuks représentent une vraie concurrence. « Les Wehua nous embêtent beaucoup. Ce n'est plus facile pour avoir de l'argent. Ils font le taxi, le cent-cent et ils prennent tout ​​​​​​​: du bois, du ciment. Nous, pour avoir des recettes, c'est difficile maintenant », affirme ce chauffeur. Selon différents observateurs, Nkayi dispose de près de 700 tuk-tuks pour une population estimée à 80 000 habitants.À lire aussiGuinée: le bombona, tricycle en vogue, exclu des grandes artères en raison d'accidents fréquents [1/3]

De vive(s) voix
La dictée d'Antoine Laurain: roman familial autour de la dictée de Mérimée

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 29:00


Dans ce roman, l'auteur Antoine Laurain aborde avec tendresse et humour cet exercice redoutable qui traverse les générations et qui a traumatisé plus d'un élève : la dictée !  Benjamin rate régulièrement des dictées. Pour prouver que les adultes commettent aussi des fautes, ses parents décident d'organiser un grand jeu familial à l'occasion d'un grand pique-nique pendant lequel ils plancheront sur la dictée de Mérimée.La dictée de Mérimée a été écrite en 1857 par Prosper Mérimée (1803-1870) à la demande de l'impératrice Eugénie, femme de Napoléon III. Les dictées étaient alors très populaires, elles étaient considérées comme des jeux. Cette dictée est considérée comme étant l'une des plus difficiles de la langue française. Napoléon III aurait fait 75 fautes, l'écrivain Alexandre Dumas, vingt-quatre !Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l'amphitryon, fut un vrai guêpier. Extrait de la Dictée de MériméeInvité : Antoine Laurain. Écrivain français né en 1972. Il a écrit une dizaine de romans dont La femme au carnet rouge sorti en 2014 et traduit en vingt-deux langues. Son dernier ouvrage, La dictée est publié chez Flammarion. Reportage dans une école dans le nord de Paris : Éléonore CoupetEt si vous êtes mordu de dictée, sachez que vous pourrez participer à la Grande dictée de Paris qui aura lieu le vendredi 11 avril au Petit Palais ! Trois textes (niveau débutant, intermédiaire et expert) inédits écrits par les autrices Emma Green, Tatiana de Rosnay et Leïla Slimani seront lus. Retransmission vendredi 16 avril sur France TV. Cette semaine, la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville en République du Congo où Mariusca La Slameuse, artiste, nous parlera de la 4e édition de Slamouv dont elle est la directrice générale. Slamouv, c'est le Festival international de poésie urbaine : des racines et des ailes. Programmation musicale : l'artiste Mariusca La Slameuse avec le titre Kaka yo.

De vive(s) voix
La dictée d'Antoine Laurain: roman familial autour de la dictée de Mérimée

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 29:00


Dans ce roman, l'auteur Antoine Laurain aborde avec tendresse et humour cet exercice redoutable qui traverse les générations et qui a traumatisé plus d'un élève : la dictée !  Benjamin rate régulièrement des dictées. Pour prouver que les adultes commettent aussi des fautes, ses parents décident d'organiser un grand jeu familial à l'occasion d'un grand pique-nique pendant lequel ils plancheront sur la dictée de Mérimée.La dictée de Mérimée a été écrite en 1857 par Prosper Mérimée (1803-1870) à la demande de l'impératrice Eugénie, femme de Napoléon III. Les dictées étaient alors très populaires, elles étaient considérées comme des jeux. Cette dictée est considérée comme étant l'une des plus difficiles de la langue française. Napoléon III aurait fait 75 fautes, l'écrivain Alexandre Dumas, vingt-quatre !Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l'amphitryon, fut un vrai guêpier. Extrait de la Dictée de MériméeInvité : Antoine Laurain. Écrivain français né en 1972. Il a écrit une dizaine de romans dont La femme au carnet rouge sorti en 2014 et traduit en vingt-deux langues. Son dernier ouvrage, La dictée est publié chez Flammarion. Reportage dans une école dans le nord de Paris : Éléonore CoupetEt si vous êtes mordu de dictée, sachez que vous pourrez participer à la Grande dictée de Paris qui aura lieu le vendredi 11 avril au Petit Palais ! Trois textes (niveau débutant, intermédiaire et expert) inédits écrits par les autrices Emma Green, Tatiana de Rosnay et Leïla Slimani seront lus. Retransmission vendredi 16 avril sur France TV. Cette semaine, la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville en République du Congo où Mariusca La Slameuse, artiste, nous parlera de la 4e édition de Slamouv dont elle est la directrice générale. Slamouv, c'est le Festival international de poésie urbaine : des racines et des ailes. Programmation musicale : l'artiste Mariusca La Slameuse avec le titre Kaka yo.

Priorité santé
Autisme : plus d'1% de la population mondiale serait concernée

Priorité santé

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 48:30


À l'occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, nous parlons de ces troubles du neurodéveloppement. Les troubles du spectre de l'autisme apparaissent dans l'enfance et persistent à l'âge adulte. Difficultés à établir des interactions sociales et à communiquer, anomalies comportementales… les manifestations de ces troubles sont multiples.   Quelles sont les causes de ces troubles ? Comment les prendre en charge ? Comment changer de regard sur les personnes neuro-atypiques et favoriser l'inclusion ?  Dr Aurélie Clavel, pédiatre au sein du Département TND-TSA (Troubles de Neuro développement - Troubles de Spectre de l'Autisme) du Service Universitaire de Pédopsychiatrie du Pr Baleyte, du Centre Hospitalier Intercommunal de Créteil en région parisienne   Scila Toscana, cadre coordonnatrice au sein du Département TND-TSA (Troubles de Neurodéveloppement - Troubles de Spectre de l'Autisme) du Service Universitaire de Pédopsychiatrie du Pr Baleyte, du Centre Hospitalier Intercommunal de Créteil en région parisienne   Alida Inès Oket, psychologue à Brazzaville au Congo.   Un reportage de Raphaëlle Constant. À lire aussiSensibilisation à l'autisme: quand on peut «être handicapé et travailler dans la publicité» Programmation musicale :► Gorillaz – On melancholy hill ► Burna Boy – Update.

Priorité santé
Autisme : plus d'1% de la population mondiale serait concernée

Priorité santé

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 48:30


À l'occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, nous parlons de ces troubles du neurodéveloppement. Les troubles du spectre de l'autisme apparaissent dans l'enfance et persistent à l'âge adulte. Difficultés à établir des interactions sociales et à communiquer, anomalies comportementales… les manifestations de ces troubles sont multiples.   Quelles sont les causes de ces troubles ? Comment les prendre en charge ? Comment changer de regard sur les personnes neuro-atypiques et favoriser l'inclusion ?  Dr Aurélie Clavel, pédiatre au sein du Département TND-TSA (Troubles de Neuro développement - Troubles de Spectre de l'Autisme) du Service Universitaire de Pédopsychiatrie du Pr Baleyte, du Centre Hospitalier Intercommunal de Créteil en région parisienne   Scila Toscana, cadre coordonnatrice au sein du Département TND-TSA (Troubles de Neurodéveloppement - Troubles de Spectre de l'Autisme) du Service Universitaire de Pédopsychiatrie du Pr Baleyte, du Centre Hospitalier Intercommunal de Créteil en région parisienne   Alida Inès Oket, psychologue à Brazzaville au Congo.   Un reportage de Raphaëlle Constant. À lire aussiSensibilisation à l'autisme: quand on peut «être handicapé et travailler dans la publicité» Programmation musicale :► Gorillaz – On melancholy hill ► Burna Boy – Update.

Tennis Legend Podcast
Arzel Mevellec: Directeur de Quimper et 5 Challengers en Afrique

Tennis Legend Podcast

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 106:32


Un régal d'avoir eu Arzel Mevellec au micro pendant près de 2h. On revient sur ses 14 années à la tête du Challenger de Quimper et sur la récente création de son circuit de challengers en Afrique. Passionnant !

Légendes urbaines
Makhalba Malecheck, Guerrier Bantu 2.0

Légendes urbaines

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 29:00


Rendez-vous avec la star du rap congolais Makhalba Malecheck. Retour sur son enfance à Brazzaville, sa résilience suite à un accident qui a failli lui coûter la vie, la gestion de sa carrière d'indépendant et ses engagements humanitaires, notamment auprès des enfants de la rue. Dans cet épisode, Kalash Criminel, Fabregas et Koffi de Brazza offrent les vidéos surprises. Sans oublier le billet d'humeur légendaire d'Aimeric Alias Krow. 

Reportage Afrique
Au Congo, la renaissance d'un parc zoologique au cœur de Brazzaville

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 2:37


Depuis un bon moment, le parc zoologique au milieu de Brazzaville, la capitale congolaise, a engagé sa mue. Il reçoit de nouvelles espèces animales au grand bonheur de visiteurs qui reviennent en nombre.  De notre correspondant à Brazzaville,La guérite du parc est prise d'assaut par les visiteurs. La forêt comprise entre l'hôpital Mère et enfant et la cour arrière du palais du Parlement attire plus que jamais. Le parc zoologique a désormais un jardin botanique et une partie animalière. « Il s'appelle désormais Zoolandia. Quand on le décompose, ça signifie"Je suis terre de vie", explique Chems Roc, concessionnaire du parc. Le parc zoologique est un patrimoine forestier naturel. C'est l'un des seuls blocs qui reste naturel. Raison pour laquelle nous avons voulu faire de ce parc un centre de la biodiversité au centre-ville de Brazzaville ».Pourquoi cette réorganisation ? Pour le concessionnaire, il s'agissait de faire renaître un lieu de divertissement pour le public brazzavillois : « Le parc zoologique existe depuis plus de 72 ans, il existe depuis 1952. Il a connu une grande histoire, suite aux évènements douloureux du Congo (guerre civile de 1997, NDLR). Il a été délabré et a perdu une partie de sa faune. Aujourd'hui, après 20 ans, notre mission est de réhabiliter le parc, de lui redonner sa fonction éducative et pédagogique, mais aussi de divertissement pour la jeunesse. »107 espèces animales regroupéesLe long des couloirs, des sièges minutieusement aménagés. De part et d'autre du site, on peut contempler sous bonne garde : un boa, des chacals, des babouins, des antilopes noires, des crocodiles, des autruches. Au total, on y trouve 107 espèces animales, certaines sont là pour la première fois. Au fond du parc, des dromadaires captivent un public important.« Ce qui m'a plus impressionnée, c'est le boa : voir ce serpent ici plus qu'à la télé, ça m'a fait peur. J'ai même peur de dormir ce soir », partage Laudia, 20 ans, visiblement émue. « On voit qu'il y a beaucoup d'animaux et ça nous fait de la joie. On voit également des espaces aménagés pour les enfants, c'est chic. On peut dire qu'il y a innovation », affirme Rose, 22 ans.Au moins 40 agents travaillent sur ce parc qui, dans un bref avenir, pourrait accueillir un lion, selon ses gestionnaires.À écouter dans C'est pas du ventAfrican Parks : protéger quoi qu'il en coûte ...

Légendes urbaines
Makhalba Malecheck : guerrier Bantou 2.0

Légendes urbaines

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 17:19


Rendez-vous avec la star du rap congolais Makhalba Malecheck. Retour sur son enfance à Brazzaville, sa résilience, suite à un accident qui a failli lui coûter la vie, la gestion de sa carrière d'indépendant et ses engagements humanitaires, notamment auprès des enfants de la rue. Dans cet épisode, Kalash Criminel et Fabregas offrent les vidéos surprises.

7 milliards de voisins
Quelle place pour les femmes dans la Syrie d'après Bachar el-Assad ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 48:29


Depuis la chute de Bachar el-Assad en décembre 2024, la Syrie est dirigée par le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Sham (HTS). Si le nouvel homme fort à la tête du pays, Ahmed Al-Charaa, multiplie les messages de modération et se veut rassurant vis-à-vis des minorités, les doutes demeurent sur les réelles intentions des nouvelles autorités. Les femmes craignent notamment la mise en place d'un modèle rigoriste, comme à Idlib, ville du nord-ouest de la Syrie, dirigée par les islamistes du HTS depuis 2017. Les témoignages de femmes relatant leur mauvaise expérience avec les nouveaux locataires du pouvoir émergent sur les réseaux sociaux, les déclarations des membres du gouvernement sont scrutées de près. Les récents propos de la présidente du tout nouveau « Bureau des affaires de la Femme », ont notamment suscité de vives réactions. Elle invitait les femmes à « ne pas outrepasser les priorités de leur nature créée par Dieu », à savoir « leur rôle éducatif au sein de la famille ». La peur de voir la place des femmes se réduire dans la Syrie d'après Bachar est-elle fondée ? Quel rôle les femmes peuvent-elles jouer dans la reconstruction du pays ?  Avec :• Hala Kodmani, journaliste, grand reporter à Libération et écrivaine • Dana Alboz, journaliste indépendante, correspondante à Damas pour France 24 et ancienne journaliste pour le site d'informations InfoMigrants  En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. Maria Maba raconte la vente de médicaments dans les rues de Kinshasa, un phénomène ancré dans l'économie informelle mais aux conséquences sanitaires inquiétantes.Prince Ntontolo nous fait découvrir l'univers fascinant des Sapeurs de Brazzaville, où l'élégance et la mise en scène vestimentaires sont un véritable art de vivre.Délivrance Tsé explore l'ennui sous toutes ses formes, entre désœuvrement et quête de créativité, dans un texte aussi introspectif qu'inspirant.Nous entendrons le témoignage de Yara Chamieh, jeune Syrienne de 30 ans à la tête d'un atelier de couture à Damas. Au micro de la journaliste Dana Alboz, elle raconte les années de guerre, défiant les obstacles imposés par un régime qui dominait l'économie du pays. Elle a su braver les traditions en tant que femme entrepreneure, dans un domaine souvent réservé aux hommes. Aujourd'hui, son regard est tourné vers la reconstruction de la Syrie, et bien qu'elle garde espoir, l'incertitude de l'avenir demeure.    Programmation musicale :► Miss Understood - Little Simz► On My Way - James BKS.

7 milliards de voisins
Quelle place pour les femmes dans la Syrie d'après Bachar el-Assad ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 48:29


Depuis la chute de Bachar el-Assad en décembre 2024, la Syrie est dirigée par le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Sham (HTS). Si le nouvel homme fort à la tête du pays, Ahmed Al-Charaa, multiplie les messages de modération et se veut rassurant vis-à-vis des minorités, les doutes demeurent sur les réelles intentions des nouvelles autorités. Les femmes craignent notamment la mise en place d'un modèle rigoriste, comme à Idlib, ville du nord-ouest de la Syrie, dirigée par les islamistes du HTS depuis 2017. Les témoignages de femmes relatant leur mauvaise expérience avec les nouveaux locataires du pouvoir émergent sur les réseaux sociaux, les déclarations des membres du gouvernement sont scrutées de près. Les récents propos de la présidente du tout nouveau « Bureau des affaires de la Femme », ont notamment suscité de vives réactions. Elle invitait les femmes à « ne pas outrepasser les priorités de leur nature créée par Dieu », à savoir « leur rôle éducatif au sein de la famille ». La peur de voir la place des femmes se réduire dans la Syrie d'après Bachar est-elle fondée ? Quel rôle les femmes peuvent-elles jouer dans la reconstruction du pays ?  Avec :• Hala Kodmani, journaliste, grand reporter à Libération et écrivaine • Dana Alboz, journaliste indépendante, correspondante à Damas pour France 24 et ancienne journaliste pour le site d'informations InfoMigrants  En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. Maria Maba raconte la vente de médicaments dans les rues de Kinshasa, un phénomène ancré dans l'économie informelle mais aux conséquences sanitaires inquiétantes.Prince Ntontolo nous fait découvrir l'univers fascinant des Sapeurs de Brazzaville, où l'élégance et la mise en scène vestimentaires sont un véritable art de vivre.Délivrance Tsé explore l'ennui sous toutes ses formes, entre désœuvrement et quête de créativité, dans un texte aussi introspectif qu'inspirant.Nous entendrons le témoignage de Yara Chamieh, jeune Syrienne de 30 ans à la tête d'un atelier de couture à Damas. Au micro de la journaliste Dana Alboz, elle raconte les années de guerre, défiant les obstacles imposés par un régime qui dominait l'économie du pays. Elle a su braver les traditions en tant que femme entrepreneure, dans un domaine souvent réservé aux hommes. Aujourd'hui, son regard est tourné vers la reconstruction de la Syrie, et bien qu'elle garde espoir, l'incertitude de l'avenir demeure.    Programmation musicale :► Miss Understood - Little Simz► On My Way - James BKS.

Priorité santé
Journée mondiale des maladies rares: les atteintes dermatologiques

Priorité santé

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 48:30


À l'occasion de la journée mondiale des maladies rares, nous faisons un point sur ces maladies qui touchent une personne sur vingt en France. Une maladie est dite « rare », lorsqu'elle touche moins d'une personne sur 2 000, soit pour un pays comme la France : moins de 30 000 personnes. On dénombre près de 7 000 maladies rares et 80% d'entre elles ont une origine génétique. Parmi elles, il existe les maladies rares de la peau qui n'ont pas de traitement permettant une guérison définitive.  Quelles sont les maladies rares de la peau ? Quels sont les symptômes ? Comment les traiter ? Où en est la recherche ?   Pr Céline Greco, cheffe du Centre d'évaluation et de traitement de la douleur de l'Hôpital Necker-enfants malades, responsable d'une équipe de recherche sur la douleur de l'enfant à l'Institut Imagine  Marc Thiellet, président de l'Association du syndrome Nail-Patella Dr Benoît Mazel, généticien au CHU de Dijon Pr Alexis Elira Dokekias, professeur titulaire d'Hématologie, chef du service Hématologie du CHU de Brazzaville au Congo, directeur général du Centre national de référence de la Drépanocytose et des Maladies rares «Antoinette Sassou Nguesso». Président Emérite de la Société africaine d'Hématologie.  Programmation musicale :► Asa – Fire on the mountain ► Joao Selva – Maré vai subir.  

Priorité santé
Journée mondiale des maladies rares: les atteintes dermatologiques

Priorité santé

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 48:30


À l'occasion de la journée mondiale des maladies rares, nous faisons un point sur ces maladies qui touchent une personne sur vingt en France. Une maladie est dite « rare », lorsqu'elle touche moins d'une personne sur 2 000, soit pour un pays comme la France : moins de 30 000 personnes. On dénombre près de 7 000 maladies rares et 80% d'entre elles ont une origine génétique. Parmi elles, il existe les maladies rares de la peau qui n'ont pas de traitement permettant une guérison définitive.  Quelles sont les maladies rares de la peau ? Quels sont les symptômes ? Comment les traiter ? Où en est la recherche ?   Pr Céline Greco, cheffe du Centre d'évaluation et de traitement de la douleur de l'Hôpital Necker-enfants malades, responsable d'une équipe de recherche sur la douleur de l'enfant à l'Institut Imagine  Marc Thiellet, président de l'Association du syndrome Nail-Patella Dr Benoît Mazel, généticien au CHU de Dijon Pr Alexis Elira Dokekias, professeur titulaire d'Hématologie, chef du service Hématologie du CHU de Brazzaville au Congo, directeur général du Centre national de référence de la Drépanocytose et des Maladies rares «Antoinette Sassou Nguesso». Président Emérite de la Société africaine d'Hématologie.  Programmation musicale :► Asa – Fire on the mountain ► Joao Selva – Maré vai subir.  

Dans la playlist de France Inter
Léonie Pernet sort un nouveau single, "Paris Brazzaville"

Dans la playlist de France Inter

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 5:30


durée : 00:05:30 - Dans la playlist de France Inter - Le nouveau titre de Léonie Pernet efface les frontières entre pop et électro.

Chip & Charge – meinsportpodcast.de
Challenger Teneriffa: Carreno Busta glücklich - Koepfer glücklos

Chip & Charge – meinsportpodcast.de

Play Episode Listen Later Feb 22, 2025 33:16


Nur eine Woche nach seinem ersten Titelgewinn auf den Kanarischen Inseln setzte Pablo Carreño Busta seine Dominanz fort und gewann auch das Tenerife Challenger 2. Vor vollen Rängen auf dem Center Court der Abama Tennis Academy, setzte sich der ehemalige Weltranglisten-10. am Sonntag souverän mit 6:3, 6:2 gegen den österreichischen Qualifikanten Filip Misolic durch. Durch seinen erneuten Triumph verbessert sich der Spanier in der ATP-Weltrangliste auf Platz 111 und rückt damit seinem Ziel, in die Top 100 zurückzukehren, immer näher. Das Finale des Tenerife Challenger 2 verlief nach einem klaren Muster: Carreño Busta dominierte mit seinem präzisen Spiel die meisten Ballwechsel und ließ ... WERBUNG 10 Euro gratis bei NEO.bet Sichert euch 10 Euro gratis beim Wettanbieter NEObet, ganz ohne Einzahlung. Einfach den Promotion-Code tennis10 bei der Registrierung auf neobet.de eingeben und sofort mit den 10 Euro loswetten. Link zur NEObet-Registrierung: https://neobet.de/de/Sportwetten#account/Account Du möchtest deinen Podcast auch kostenlos hosten und damit Geld verdienen? Dann schaue auf www.kostenlos-hosten.de und informiere dich. Dort erhältst du alle Informationen zu unseren kostenlosen Podcast-Hosting-Angeboten. kostenlos-hosten.de ist ein Produkt der Podcastbude.Gern unterstützen wir dich bei deiner Podcast-Produktion.

Reportage Afrique
Au Congo-B, le sculpteur Bavon Kouété se bat pour que son métier ne meure pas

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Feb 5, 2025 2:15


Bavon Kouété est un artisan-sculpteur qui vit de son métier depuis des décennies à Pointe-Noire, la deuxième ville du Congo. Il tente d'attirer les jeunes pour que ce métier se pérennise. De notre envoyé spécial de retour de Pointe-Noire,Chemise à carreaux, sandales en caoutchouc, Bavon Kouété, taille moyenne, 60 ans, a les bras croisés devant son point d'exposition et de vente de produits sculptés, devant le stade Franco Anselmi au centre-ville de Pointe-Noire. Au départ, il évoluait avec ses amis au Village des voiliers, à un jet de pierre de l'océan. Puis, il a gagné le centre de Pointe-Noire, au Congo-Brazzaville. Bavon Kouété est né dans l'art. Son père l'a l'initié dès son plus jeune âge : « Quand je revenais des cours, je restais à côté de mon père, je l'assistais... Donc, il m'apprenait », témoigne-t-il. Dans son petit point de vente de quelques mètres carrés, il nous présente tout ce qu'il fabrique : « Nous avons des animaux tels des rhinocéros, des girafes. Nous avons des totems, des femmes congolaises habillées. De l'autre côté, nous avons des tapis en raphia, nous avons aussi des masques de différentes ethnies du Congo, de la RDC et du Gabon », énumère-t-il. L'artisan, qui passe son temps à sculpter, est aussi détenteur d'un bac+3. Il a suivi une formation en gestion.À lire aussi Congo-Brazzaville : la deuxième Foire internationale de l'artisanat bat son plein« Nos frères congolais commencent à aimer l'art »Hier, ses principaux clients étaient des expatriés basés dans la ville océane. Désormais, dit-il, les Congolais s'intéressent à acheter les œuvres des artisans. « Nos frères congolais commencent à aimer l'art : ils s'approchent petit à petit et ils achètent. Nous faisons des prix justes : je souhaite avoir 10 000 FCFA (par objet), mais si vous avez 5 000 FCFA, je ne peux pas vous laisser partir. Donc, nous conservons quand même les clients », analyse l'artisan.Le sexagénaire souligne que la relève pourrait manquer un jour. « Aujourd'hui, nous n'avons pas de jeunes gens qui s'adonnent [à cet art]. Ils s'éloignent de nous et veulent toujours [traîner dans] la rue. Nous souhaitons qu'ils viennent. C'est le temps d'apprendre. Nous n'avons pas de relève et nous la cherchons », lance-t-il.Père de sept enfants, dont quatre garçons qui préfèrent l'informatique, Bavon regrette que les jeunes ne s'intéressent pas à ce qu'il considère comme le meilleur métier du monde.À lire aussiÀ Brazzaville, ces jeunes contraints d'étudier sous les lampadaires mis en lumière dans une exposition

Invité Afrique
Vincent Nouzille (procès Sarkozy-Kadhafi): «La justice française suspecte qu'il y a peut être eu un deal secret»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Feb 4, 2025 12:57


Y a-t-il eu en 2005 un pacte secret entre le colonel Kadhafi et Nicolas Sarkozy pour le financement de la campagne de ce dernier ? C'est la question que pose le tribunal de Paris, où l'ancien président français comparaît depuis le 6 janvier et où il clame son innocence. Au cœur de l'affaire, il y a le beau-frère du colonel Kadhafi, Abdallah Senoussi, chef des services secrets libyens au moment de l'attentat contre le DC10 d'UTA (170 morts). Aujourd'hui, nouvelle pièce au dossier. Avec Karl Laske, journaliste enquêteur à Mediapart, Vincent Nouzille publie, chez Robert Laffont, « L'assassin qu'il fallait sauver ». Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le 19 septembre 1989, un avion DC-10 de la compagnie UTA explose en plein vol au-dessus du Niger, 170 morts dont 54 Français, 48 Congolais de Brazzaville, 25 Tchadiens. C'est l'un des attentats les plus meurtriers de l'histoire de l'Afrique. Et aujourd'hui, grâce à votre enquête, on sait enfin exactement par qui et comment ce crime a été perpétré. Quel document avez-vous découvert ?Vincent Nouzille : Nous nous basons avec Karl Laske, donc journaliste à Mediapart, sur une série de documents libyens qui nous ont été fournis par un imprimeur libyen dont le nom figure d'ailleurs sur la couverture du livre. Il s'appelle Samir Shegwara et il a eu accès à des archives d'Abdallah Senoussi, c'était le chef des services secrets libyens. C'était le numéro 2 ou 3 du régime de Kadhafi et c'était le beau-frère de Kadhafi également. Et Abdallah Senoussi a été mis en cause par le juge Jean-Louis Bruguière. La justice française l'a jugé dans cette affaire de l'attentat du DC 10 d'UTA avec cinq autres Libyens, le procès a eu lieu par contumace en leur absence en mars 1999 à Paris, et ils ont été condamnés à la perpétuité. Donc, il n'y a pas de doute sur la responsabilité d'Abdallah Senoussi et de ces Libyens. Mais ces documents d'Abdallah Senoussi, ces archives secrètes qui sont pour la première fois révélées dans ce livre, donnent à voir les préparatifs très minutieux de cet attentat. Et c'est pour ça que c'est intéressant, parce qu'on avait jusqu'ici, une vision évidemment partielle, parcellaire, de la responsabilité directe d'Abdallah Senoussi. Et là, dans les documents, il y a par exemple des réunions qui se passent au siège des services secrets libyens, donc avec Abdallah Senoussi qui donne des consignes pour frapper des avions français. Il y a aussi par exemple des tests qui sont faits par les services secrets libyens sous la conduite d'Abdallah Senoussi dans le désert libyen, pour tester par exemple des explosifs et aussi pour tester dans un 2ᵉ temps des valises piégées. Or, c'est exactement le mode opératoire qui a été employé dans l'attentat du DC 10, vu que c'est une valise Samsonite bourrée de Semtex qui a été embarquée dans l'avion d'UTA par Apollinaire Mangatany, un passager congolais à l'insu de son plein gré, si je peux dire, et qui a été sacrifié par les services libyens. Et c'est cette valise qui a explosé. Ce mode opératoire a été décidé lors de tests puis de réunions au sommet avec Abdallah Senoussi. Ce sont ces documents que nous révélons.Alors, 10 ans après cet attentat, en 1999, le beau-frère du colonel Kadhafi, Abdallah Senoussi, est donc condamné par la justice française. Mais le colonel Kadhafi essaie de faire réviser ce jugement et, à partir de 2003, il multiplie les contacts avec des hommes politiques français. Il semble qu'il en parle d'abord au président Jacques Chirac, puis au ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, lors d'une visite de celui-ci à Tripoli. Comment réagissent Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy ?Alors, le président Chirac va être assez flou sur la réponse qu'il peut donner, en disant : « Je vais étudier la question », ça, c'est en 2003, 2004. Arrive la perspective de Nicolas Sarkozy, qui va être le candidat à la présidentielle de 2007. Il est à l'époque ministre de l'Intérieur. Nous sommes en octobre 2005. Oui, il va à Tripoli et le Guide en parle effectivement à Sarkozy, lors de sa visite du 6 octobre 2005. Et puis, ensuite quelques semaines plus tard, l'avocat personnel de Nicolas Sarkozy se rend à Tripoli pour discuter avec les avocats de Senoussi sur la manière de régler le problème. Donc, le sujet a été abordé et non seulement le sujet a été abordé, mais il y a bien eu l'envoi d'une mission d'avocat pour tenter de régler le problème. Alors c'est une promesse qui est faite, peut-être par Nicolas Sarkozy directement à Kadhafi et c'est ce que la justice française suspecte, qu'il y a peut-être eu un arrangement, un deal secret, entre l'équipe de Sarkozy et Kadhafi, sur le mode : nous allons vous donner de l'argent pour votre campagne électorale, en échange de quoi, il faudra régler le problème de Senoussi.Est-ce que vous avez contacté Nicolas Sarkozy dans le cadre de votre enquête ?Oui, nous avons contacté Nicolas Sarkozy, mais comme le procès qui a lieu actuellement, qui a démarré le 6 janvier au tribunal de Paris, allait démarrer, il nous a fait répondre qu'il ne souhaitait pas nous répondre.Alors, il y a la situation judiciaire de Nicolas Sarkozy, mais il y a aussi celle d'Abdallah Senoussi, l'organisateur de l'attentat de 1989. S'il est toujours vivant, qu'est-ce qu'il devient ?Alors Abdallah Senoussi, on a essayé de le joindre pour cette enquête. On n'a pas réussi à le joindre. Il est actuellement en prison en Libye et il faut savoir que les familles des victimes du DC 10 d'UTA en France et en Afrique souhaitent et espèrent un jour avoir un procès. Le vrai procès de Senoussi, avec Senoussi dans le box.Ben oui, puisqu'il a été condamné par contumace !Par contumace, c'est-à-dire en son absence. Et donc, peut-être que les nouveaux éléments que nous révélons sur son implication décisive dans la préparation de cet attentat va réveiller la justice française afin peut-être que la France redemande son extradition depuis la Libye.

Priorité santé
Glaucome et cataracte

Priorité santé

Play Episode Listen Later Feb 3, 2025 48:30


Maladies oculaires courantes chez les personnes âgées, le glaucome et la cataracte peuvent survenir en même temps. La cataracte est due à une opacification progressive de la lentille présente au milieu de l'œil, le cristallin, ce qui gêne la vision de loin et de près. Le glaucome est une atteinte du nerf optique, souvent associée à une pression intraoculaire élevée, qui conduit à un rétrécissement du champ de vision. Quelle prise en charge est possible pour ces deux pathologies ? Dans quels cas peut-on opérer ? Dr Christophe Orssaud, ophtalmologue et neurophtalmologue, responsable de l'Unité fonctionnelle d'Ophtalmologie à l'Hôpital Européen Georges Pompidou à Paris Pr Fredy Nganga Ngabou, ophtalmologue au CHU de Brazzaville au Congo. Professeur à l'Université Marien-Ngouabi. ► En fin d'émission, le Pr Antoine Pelissolo, psychiatre chef de service à l'Hôpital Henri-Mondor, et professeur de Médecine à l'Université Paris-Est Créteil, alerte sur la pénurie d'un médicament essentiel en psychiatrie : la quétiapine.Programmation musicale :► Ben l'oncle Soul – I got home ► Yewhe Yeton - Ve e ve.

Priorité santé
Glaucome et cataracte

Priorité santé

Play Episode Listen Later Feb 3, 2025 48:30


Maladies oculaires courantes chez les personnes âgées, le glaucome et la cataracte peuvent survenir en même temps. La cataracte est due à une opacification progressive de la lentille présente au milieu de l'œil, le cristallin, ce qui gêne la vision de loin et de près. Le glaucome est une atteinte du nerf optique, souvent associée à une pression intraoculaire élevée, qui conduit à un rétrécissement du champ de vision. Quelle prise en charge est possible pour ces deux pathologies ? Dans quels cas peut-on opérer ? Dr Christophe Orssaud, ophtalmologue et neurophtalmologue, responsable de l'Unité fonctionnelle d'Ophtalmologie à l'Hôpital Européen Georges Pompidou à Paris Pr Fredy Nganga Ngabou, ophtalmologue au CHU de Brazzaville au Congo. Professeur à l'Université Marien-Ngouabi. ► En fin d'émission, le Pr Antoine Pelissolo, psychiatre chef de service à l'Hôpital Henri-Mondor, et professeur de Médecine à l'Université Paris-Est Créteil, alerte sur la pénurie d'un médicament essentiel en psychiatrie : la quétiapine.Programmation musicale :► Ben l'oncle Soul – I got home ► Yewhe Yeton - Ve e ve.

Afrique Économie
Congo-B: après des pollutions au plomb, fermeture d'une usine de recyclage de batteries

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Feb 2, 2025 2:30


Près de Pointe-Noire, les autorités ont décidé de fermer récemment la société Mettsa Congo, une entreprise à capitaux indiens, spécialisée dans le recyclage des batteries au plomb. Une décision suscitée par les plaintes des populations riveraines qui dénoncent les nombreuses pollutions. De notre correspondant à Brazzaville,Au nord de la capitale économique du Congo-Brazzaville, dos tourné au centre de Pointe-Noire, se situe le poste de péage de Mengo. Plusieurs mètres sur la droite se dressent les fourneaux de Mettsa Congo, une entreprise spécialisée dans la récupération et la valorisation des batteries au plomb usagées et de divers déchets en aluminium. Toutes les portes de l'usine sont fermées, les dirigeants et au moins 70 employés sont introuvables.« Au moment où nous parlons, l'usine est en cours de démantèlement, suite à une décision qui a été prise par la ministre de l'Environnement, sommant l'usine à démanteler ses installations et à partir s'implanter ailleurs. C'est une étape de franchi », précise Cyrille Traoré Ndembi, président du collectif des riverains.Mauvaise nouvelle pour l'économie localeEn 2013, cette société a mis en place un système de collecte auprès des vendeurs ambulants, des déchets contenant du plomb et de l'aluminium. Elle procédait ensuite à la fusion de ces composants pour les transformer en lingots qui sont ensuite exportés. Le secteur du recyclage contribue de manière limitée dans l'économie nationale, mais l'arrêt des activités de cette usine représente cependant un manque à gagner, selon Alphonse Ndongo, analyste économique : « Une société comme celle-là représente considérablement un poids économique dans la mesure où elle donne seulement des emplois aux jeunes, mais aussi en termes de contribution fiscale. Vous savez bien que notre budget est fiscal et nous sommes dans le cadre de la diversification de notre économie et cela représente quelque chose que notre pays gagne à travers cette société. »D'après une source proche du dossier, aucun site n'a été trouvé pour réinstaller cette société suite à son démantèlement. Une situation qui questionne Alphonse Ndongo, qui craint que les batteries jadis recyclées ne soient jetées sauvagement dans la nature : « Cette décision n'aurait peut-être pas dû se prendre à la va-vite comme ça. Il fallait en tenir compte et créer un mécanisme de délocaliser le lieu d'implantation de cette société, pour que l'État et ceux qui sont aux alentours ne perdent pas tout. »Une fermeture salvatrice pour les riverainsLa société a été fermée suite aux plaintes des riverains qui dénonçaient une pollution au plomb. Aujourd'hui, ils se sentent soulagés. « Désormais, nous n'avons plus à inhaler les fumées et les poussières de plomb. C'est vrai que c'est une société employait bon nombre de Congolais. Mais je crois que, entre la maladie et le travail, je crois qu'il faut autant mieux se préserver de la maladie que de chercher à gagner de l'argent qui vous rendra malade », disent-ils. Pour ces riverains, l'action du gouvernement est salvatrice, mais ils souhaitent également des dédommagements de la société. Ils affirment que leurs sols ont été pollués par le versement des résidus d'huile. À lire aussiCongo: une éclaircie pour les riverains de l'usine Metssa de Pointe-Noire

Reportage Afrique
Congo-B: la voirie mal entretenue provoque la colère des habitants de Pointe-Noire

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Feb 1, 2025 2:09


Deuxième ville du Congo, capitale économique d'où est extrait le pétrole, Pointe-Noire a un réseau routier dévasté. Pour le réaménager, les autorités ont lancé un vaste chantier début 2024. Mais, un an après leur démarrage, les habitants affirment que les travaux n'avancent pas. Le gouvernement évoque, lui, « des temps économiques durs ». De notre correspondant à Brazzaville,Nous sommes à quelques mètres de l'hôpital Congo-Malembé, dans le troisième arrondissement de Pointe-Noire, au Congo. Le véhicule qui nous embarque sous une fine pluie, qui prend de l'ampleur au fur et à mesure, traverse une zone pleine de nids de poules. Il débouche sur une voie dégradée, qui relie les quartiers du deuxième et du quatrième arrondissement. La voie est bloquée en partie par des travaux qui, visiblement, n'avancent pas, mais provoquent la colère des habitants.« Rien ne se fait. Je ne serais pas surpris de constater qu'il n'y aura jamais rien d'entrepris. Je ne sais pas si vous avez pris le temps de parcourir la ville, mais il n'y a plus d'avenues [praticables]. Tout est en lambeaux. Parfois, on prend un tracteur ou une niveleuse, on va la déposer quelque part pour montrer que les travaux ont commencé. Mais non, ça ne commence pas », dénonce cet habitant qui ne décolère pas.Plus loin, au bord d'une route, Junior, qui a arrêté momentanément de travailler, s'abrite sous le parapluie d'une vendeuse qui propose des beignets. Il cite pêle-mêle les routes qui nécessitent une cure de jouvence. « Prenons un peu la route de la ligne 8 [empruntée par les bus, NDLR], c'est tellement de gaspillage. Siafoumou, c'est la même chose. La route de Ngoyo, également. Finalement, nous les Congolais, où allons-nous circuler ? », interroge-t-il.Ses collègues chauffeurs n'ont pas grand espoir quant à la fin des travaux d'aménagement d'une ville dans laquelle pourtant coule l'or noir. « À Pointe-Noire, les routes n'ont plus l'image d'avant. Elles sont dégradées. Donc, on attend. Il n'est pas facile de circuler à Pointe-Noire. C'est difficile. Je suis chauffeur et chaque fois la suspension et les roues de la voiture se gaspillent. Voilà pourquoi nous demandons au gouvernement d'arranger les routes », dit l'un d'entre eux.« Le gouvernement nous a promis un changement, qu'il va y avoir des routes, qu'il va arranger les routes. Mais, jusque-là, je ne suis pas sûr qu'il va le faire », affirme un autre. Selon un officiel à Pointe-Noire, il est trop tôt pour évaluer les travaux en cours. Le gouvernement a lui promis de « faire beaucoup avec peu », en évoquant la crise économique actuelle.À lire aussiÀ Brazzaville, ces jeunes contraints d'étudier sous les lampadaires mis en lumière dans une exposition

Radio Voice of the Cross (RVC) Podcast
2025 ||0011|| REVIVAL, 3B And LOYALTY (Alphonse Tawet)

Radio Voice of the Cross (RVC) Podcast

Play Episode Listen Later Jan 4, 2025 69:58


Revival, 3B (Bertoua, Beijing, and Brazzaville) and loyalty was shared by Pastor Alphonse Tawet during the Nigeria online convention. Dec 2024

Priorité santé
Le portrait de Pr Francine Ntoumi, fondatrice de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale

Priorité santé

Play Episode Listen Later Dec 26, 2024 48:30


Nouveau portrait de Priorité Santé, 50 minutes pour retracer le parcours de la Pr Francine Ntoumi, chercheuse et parasitologue, spécialiste du paludisme.(Rediffusion) Après avoir étudié et travaillé en France, en Allemagne, au Gabon et en Tanzanie, cette scientifique a créé en 2008 à Brazzaville, la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale, qu'elle préside. Francine Ntoumi animée par le goût de la découverte et de la transmission, comme de la valorisation de la place des femmes dans la recherche dans son pays, le Congo. Pr Francine Ntoumi, parasitologue, présidente et fondatrice de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale à Brazzaville.

Priorité santé
Le portrait de Pr Francine Ntoumi, fondatrice de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale

Priorité santé

Play Episode Listen Later Dec 26, 2024 48:30


Nouveau portrait de Priorité Santé, 50 minutes pour retracer le parcours de la Pr Francine Ntoumi, chercheuse et parasitologue, spécialiste du paludisme.(Rediffusion) Après avoir étudié et travaillé en France, en Allemagne, au Gabon et en Tanzanie, cette scientifique a créé en 2008 à Brazzaville, la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale, qu'elle préside. Francine Ntoumi animée par le goût de la découverte et de la transmission, comme de la valorisation de la place des femmes dans la recherche dans son pays, le Congo. Pr Francine Ntoumi, parasitologue, présidente et fondatrice de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale à Brazzaville.

Le Conseil Santé
Pr Francine Ntoumi, fondatrice de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Dec 26, 2024 1:44


Après avoir étudié et travaillé en France, en Allemagne, au Gabon et en Tanzanie, Pr Francine Ntoumi, chercheuse et parasitologue, spécialiste du paludisme, a créé en 2008 à Brazzaville, la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale, qu'elle préside. Francine Ntoumi animée par le goût de la découverte et de la transmission, comme de la valorisation de la place des femmes dans la recherche dans son pays, le Congo.(Rediffusion)   Pr Francine Ntoumi, parasitologue, présidente et fondatrice de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale à Brazzaville« Pour moi, le plus important, c'était de faire comprendre qu'il est possible de faire une recherche de qualité au Congo. »  Retrouvez l'émission dans son intégralité ici Le portrait de Pr Francine Ntoumi, fondatrice de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale

The Shortwave Radio Audio Archive
Voix De La Revolution Congolaise Brazzaville: Circa 1973

The Shortwave Radio Audio Archive

Play Episode Listen Later Dec 23, 2024


Many thanks to SRAA contributor Dan Greenall, who shares the following recording and notes:Broadcaster: La Voix de la Revolution Congolaise, BrazzavilleDate of recording: Circa 1973Frequency: 4.765 MHzReception location: Ancaster, Ontario, CanadaReceiver and antenna: Hallicrafters S-52 using a longwire antennaNotes: One of the more consistent Africans heard in the 60 metre band shortwave during the early 1970's from here in southern Ontario, Canada was La Voix de la Revolution Congolaise from Brazzaville, Republic of Congo on 4765 kHz. Best reception usually occurred at 0430 UTC sign on, or up to an hour before sign off at 2300 hours UTC. This recording is circa 1973, and you will hear part of the anthem followed by identification in French.

Légendes urbaines
Les meilleurs moments de l'année par Kama, Wassim et Aimeric

Légendes urbaines

Play Episode Listen Later Dec 21, 2024 29:00


Retour sur les moments de l'émission les plus émouvants de l'année 2024 avec la sélection de l'équipe de Légendes urbaines. Wassim : Jessy B concert en direct de Brazzaville pour le Prix découverte RFIKama : BB Jacques au sujet du LibanAimeric : Jean-Pascal Zadi et son enfance précaireJuliette : live exclusif de Jahrel Jones avec le titre Gorgeous► Chaîne YouTube de Légendes urbaines

De vive(s) voix
Le silence est-il efficace pour se faire entendre ?

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 29:00


Comment être écouté quand tout le monde parle ? Comment gagner en éloquence et faire résonner sa voix ? Comment maîtriser le silence pour mieux se faire entendre ? Avec notre invitée Amélie Blanckaert, autrice de Taisez-vous, on écoutera, aux éditions Plon.Et la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville avec Sylvie Dyclo-Pomos pour nous parler du Festival Mantsina sur scène.

De vive(s) voix
Le silence est-il efficace pour se faire entendre ?

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 29:00


Comment être écouté quand tout le monde parle ? Comment gagner en éloquence et faire résonner sa voix ? Comment maîtriser le silence pour mieux se faire entendre ? Avec notre invitée Amélie Blanckaert, autrice de Taisez-vous, on écoutera, aux éditions Plon.Et la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville avec Sylvie Dyclo-Pomos pour nous parler du Festival Mantsina sur scène.

Invité Afrique
Congo-Brazzaville: «Personne ne peut dire aujourd'hui qui a vraiment assassiné Ngouabi et Biayenda»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 29, 2024 13:36


Au Congo-Brazzaville, un communiqué de la présidence annonce que le chef de l'État, Denis Sassou-Nguesso, a plaidé, lundi dernier, pour la béatification du cardinal archevêque Émile Biayenda, c'était lors d'une rencontre avec le pape au Vatican. Mgr Biayenda a été assassiné à Brazzaville le 22 mars 1977, quatre jours après le président Marien Ngouabi. Depuis 47 ans, personne ne sait qui a commandité ces deux crimes. Saura-t-on un jour la vérité ? L'historienne Florence Pernault est une spécialiste de l'Afrique centrale et dirige l'Africa Programme à Sciences Po Paris. Elle est l'invitée de Christophe Boisbouvier. RFI : Alors, l'assassinat du cardinal Biayenda était évidemment lié à celui du président Marien Ngouabi quatre jours plus tôt. Selon la version officielle, le président Marien Ngouabi a été tué par un commando actionné par l'ancien président Massamba-Débat, lui-même téléguidé par des « puissances impérialistes ». Qu'est-ce que vous en pensez ? Florence Pernault : Alors effectivement, c'est le moment d'une sorte d'alignement du Congo-Brazzaville avec le bloc Chine, Cuba, URSS. Donc on est dans un contexte de guerre froide. Et on pense que, enfin, les historiens pensent que l'assassinat de Marien Ngouabi, en tout cas, a été commandité par plutôt l'aile gauche radicale, militaire sans doute, du Congo à ce moment-là, qui trouvait que Marien Ngouabi devenait justement un petit peu trop modéré, recommençait à parler avec l'ancien président Massamba-Débat. Alors le cardinal Biayenda, c'est autre chose. Massamba-Débat et le cardinal Biayenda sont du Sud. Marien Ngouabi, Sassou-Nguesso et beaucoup de militaires viennent du Nord. Donc au moment de l'assassinat du cardinal Biayenda, une série d'accusations fusent que ce serait le cardinal Biayenda, en tant que représentant de gens du Sud, qui aurait assassiné Marien Ngouabi, donc un militaire du Nord. Et on pense que c'est surtout en représailles de cette espèce d'accusation d'attaque du Sud contre Ngouabi que peut-être un commando aurait assassiné le cardinal.A l'époque de l'assassinat de Marien Ngouabi, nous sommes donc en mars 1977, le Congo-Brazzaville était gouverné par un « état-major spécial révolutionnaire », dans lequel Marien Ngouabi partageait le pouvoir avec quatre hommes : le commandant Louis Sylvain-Goma qui était Premier ministre, le commandant Denis Sassou-Nguesso qui était ministre de la Défense, Jean-Pierre Thystère-Tchicaya, responsable de l'idéologie, et Jean-Pierre Ngombé, responsable de la propagande. Est-ce que le complot aurait pu être ourdi par l'un de ces quatre hommes ? Oui, bien sûr, puisqu'on ne sait pas exactement pourquoi et par qui Marien Ngouabi a été assassiné. Alors il y a ce comité restreint dont vous avez parlé, mais il y a un comité un petit peu plus large qui est effectivement un comité militaire. Donc on pense que c'est plutôt l'aile radicale des militaires plus à gauche, qui aurait voulu se débarrasser de Marien Ngouabi et finalement accuser les sudistes, dont le cardinal Biayenda serait le représentant symbolique, ce n'est pas du tout un homme politique. Et c'était une façon de court-circuiter les véritables commanditaires. Ceci dit, je répète, on ne sait pas qui… Malgré toutes les enquêtes et les hypothèses des historiens et des acteurs de la vie politique au Congo depuis les années 90, personne ne peut dire aujourd'hui qui a vraiment assassiné et Marien Ngouabi et le cardinal Biayenda.Le 22 mars 1977, le jour de l'assassinat du cardinal, le plus haut responsable de l'Etat, c'est le commandant Sassou-Nguesso qui assure l'intérim du pouvoir. Comment expliquez-vous qu'aujourd'hui ce soit le même homme qui demande la béatification du cardinal ? Oui, alors là, je dois dire que ce n'est pas lui qui demande la béatification. En réalité, le procès en béatification du cardinal Biayenda date de 1995. Donc je pense que c'est l'Eglise qui a pris cette initiative et qui maintenant, puisque Denis Sassou-Nguesso est à la tête de l'Etat congolais, l'invite à venir pour organiser cette béatification, qui apparemment est imminente. Donc ce n'est pas vraiment lui qui a initié la chose. C'est lui qui peut-être, ironiquement, s'il partage une responsabilité dans le meurtre du cardinal Biayenda, ce qui est possible mais pas du tout prouvé, et bien c'est lui qui va de toute façon finalement un peu la superviser, cette béatification. Mais ce n'est quand même pas quelque chose que lui-même a initié ou qu'il instrumentalise. Donc les circonstances de l'assassinat sont peut-être effacées par ce procès en béatification, mais à la limite, on pourrait dire l'inverse. Cette béatification, c'est quand même un événement qui provoque des retours et des questions sur l'assassinat. Donc pour le président Sassou-Nguesso, ça ne l'arrangeait peut-être pas forcément.

Priorité santé
Le mois sans tabac

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 19, 2024 48:30


Le tabac cause le décès de plus 8 millions de personnes chaque année dans le monde. Parmi ces 8 millions, 7 millions de décès sont liés à une consommation directe du tabac, tandis qu'un million trois cent mille personnes décèdent d'une exposition à la fumée de tabac. Quelles sont les conséquences du tabac sur la santé ? Comment arrêter de fumer ? Dr Romain Gomet, médecin addictologue à l'Hôpital Albert-Chenevier à Créteil, en région parisienne et administrateur de la Fédération Addiction Dr Abdallah Jeilany, médecin pneumologue et tabacologue au Centre national de cardiologie à Nouakchott en Mauritanie. ► En fin d'émission, nous retrouvons Victoire Andrène Ombi, lauréate journaliste de la « Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon » 2024 et actuellement animatrice à la Radio Mucodec, à Brazzaville, en République du Congo.À lire aussiAu Bénin, la danse comme thérapie, un reportage de la lauréate de la Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon Programmation musicale :► Anaïs MVA – Addiction ► Kizz Daniel – Marhaba.

Priorité santé
Le mois sans tabac

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 19, 2024 48:30


Le tabac cause le décès de plus 8 millions de personnes chaque année dans le monde. Parmi ces 8 millions, 7 millions de décès sont liés à une consommation directe du tabac, tandis qu'un million trois cent mille personnes décèdent d'une exposition à la fumée de tabac. Quelles sont les conséquences du tabac sur la santé ? Comment arrêter de fumer ? Dr Romain Gomet, médecin addictologue à l'Hôpital Albert-Chenevier à Créteil, en région parisienne et administrateur de la Fédération Addiction Dr Abdallah Jeilany, médecin pneumologue et tabacologue au Centre national de cardiologie à Nouakchott en Mauritanie. ► En fin d'émission, nous retrouvons Victoire Andrène Ombi, lauréate journaliste de la « Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon » 2024 et actuellement animatrice à la Radio Mucodec, à Brazzaville, en République du Congo.À lire aussiAu Bénin, la danse comme thérapie, un reportage de la lauréate de la Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon Programmation musicale :► Anaïs MVA – Addiction ► Kizz Daniel – Marhaba.

Reportage International
Le Mexique, victime de la politique migratoire des États-Unis

Reportage International

Play Episode Listen Later Nov 2, 2024 2:48


À quelques jours de l'élection présidentielle aux États-Unis, le thème migratoire est un enjeu majeur de la campagne, qui cristallise les attentes des électeurs. En 2023, 2,5 millions de personnes ont été arrêtées en franchissant la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Donald Trump promet de fermer la frontière et Kamala Harris s'engage à durcir les conditions d'entrée sur le territoire américain. Ces derniers mois, face à l'affluence record de personnes en migration poursuivant le rêve américain, les États-Unis ont mené une politique très restrictive, qui a abouti à une diminution de passages illégaux de la frontière. De notre correspondante à Mexico,Au Mexique, les propositions des candidats à la présidentielle étasunienne sont scrutées avec beaucoup d'attention, et d'inquiétude aussi, car le pays est le premier à subir les conséquences de la politique migratoire de son voisin du Nord. En effet, ces dernières années, sous pression américaine, le Mexique joue de plus en plus le rôle de seconde frontière, en empêchant les migrants de remonter vers le Nord et de « saturer » la frontière américaine. Résultat : les migrants restent coincés au Mexique, par exemple à Mexico, la capitale, qui n'était avant qu'un lieu de passage, et qui est devenue le lieu d'une attente interminable pour les migrants, dans des conditions difficiles.  Dans le quartier populaire de La Merced, en plein cœur de la capitale, un camp informel fait de structures métalliques et de bâches colorées fait face à l'église de la Soledad. Il accueille plusieurs centaines de personnes migrantes. Jean vient d'arriver et s'apprête à s'y installer. « C'était difficile de manger, car il n'y a pas de travail [à Tapachula], c'est pour ça que je suis venu ici, à la capitale », explique cet Angolais arrivé tout juste de Tapachula, à la frontière Sud du Mexique, où il a passé huit mois. À ses côtés, Ursule Kimino explique qu'ils ont déjà essayé de passer la frontière. « On est tombés sur l'immigration, ils ont renvoyé les gens à Tabasco, à plusieurs reprises. Il y a encore tout le chemin à faire, on n'a plus d'argent, on n'a même plus de quoi manger… C'est dur », témoigne cette Congolaise de Brazzaville. Elle vit dans ce camp du quartier de La Merced depuis trois mois.Ursule Kimino ne veut plus bouger. Elle est épuisée par les obstacles qui freinent la progression des migrants vers le Nord. « C'est dangereux avec l'immigration et aussi de prendre les bus, il y a la mafia qui kidnappe les gens et qui demande des rançons à la famille. Donc, c'est difficile. Si l'immigration pouvait nous faciliter les choses, si on pouvait prendre les bus sans problème, on serait peut-être en sécurité ».À lire aussiAu Mexique, à Comachuen, la migration légale et les transferts d'argent font vivre la communautéDes rendez-vous attribués au hasardLa jeune femme attend de décrocher un rendez-vous pour faire une demande d'asile. Tout comme Dario, un vénézuélien de 34 ans qui a été séparé de sa femme et de sa fille et espère les retrouver à Chicago. « Ils m'ont expulsé et elles ont pu rester. Moi, j'ai passé 17 jours dans un centre de détention, puis ils m'ont renvoyé à Tapachula », se désole-t-il. À Mexico, Dario fait des petits boulots et attend, suspendu à son téléphone, à l'application de la migration américaine CBP One qui attribue des rendez-vous au hasard. « Ça fait sept mois que j'attends une audience. Il faut se connecter tous les jours. On ne sait rien, c'est le système qui décide », rapporte-t-il.À Mexico, le nombre d'espaces dans les refuges manquent. Les récentes politiques migratoires américaines font que les personnes attendent au Mexique beaucoup plus longtemps. « [Les personnes migrantes] commencent à avoir des crises d'anxiété, de stress, dénonce Karla Medina, responsable des opérations chez MSF Mexico, certains commencent à faire de la dépression à cause de cette situation d'incertitude, l'inquiétude qu'ils ressentent en attendant de savoir qui prendra le pouvoir aux États-Unis... Que va-t-il se passer pour chacun dans leur parcours migratoire ? »Dans un autre camp au Nord de la ville, Juan Manuel anime chaque semaine avec un groupe de bénévoles des jeux avec les enfants des familles en migration. « Le principal problème que je vois dans les camps, c'est la sécurité, alerte-t-il. Parce que l'État est absent, parce qu'il se décharge de toutes les responsabilités qu'il a envers [les personnes migrantes]. » Victime de violences, de discrimination, d'extorsions… selon MSF, les agressions envers les migrants dans la rue se sont multipliées ces derniers mois à Mexico.À écouter dans Grand reportageTapachula, entre gigantesque refuge et prison à ciel ouvert

Priorité santé
Rebondir après un échec

Priorité santé

Play Episode Listen Later Oct 23, 2024 48:30


Après une rupture amicale ou amoureuse, un projet professionnel abandonné, des examens ratés, il peut être difficile d'accepter l'échec et de le surmonter. Comment rebondir après un revers de la vie ? Quelles conclusions peut-on tirer de nos échecs ? Comment les transformer en sources de motivation ? Sylvie Tenenbaum,psychothérapeute à Paris, elle supervise des psychologues, psychiatres et a écrit plus de 30 livres de psychologie dont le dernier, Les nouvelles dépendances affectives, aux éditions Leduc Michel Dzalamou, psychologue clinicien, consultant en santé mentale et soutien psychosocial à l'Hôpital de référence de Bacongo, à Brazzaville, au Congo.Programmation musicale :► AyoZaad – Amen Amwin ► Tems – Burning.

Priorité santé
Rebondir après un échec

Priorité santé

Play Episode Listen Later Oct 23, 2024 48:30


Après une rupture amicale ou amoureuse, un projet professionnel abandonné, des examens ratés, il peut être difficile d'accepter l'échec et de le surmonter. Comment rebondir après un revers de la vie ? Quelles conclusions peut-on tirer de nos échecs ? Comment les transformer en sources de motivation ? Sylvie Tenenbaum,psychothérapeute à Paris, elle supervise des psychologues, psychiatres et a écrit plus de 30 livres de psychologie dont le dernier, Les nouvelles dépendances affectives, aux éditions Leduc Michel Dzalamou, psychologue clinicien, consultant en santé mentale et soutien psychosocial à l'Hôpital de référence de Bacongo, à Brazzaville, au Congo.Programmation musicale :► AyoZaad – Amen Amwin ► Tems – Burning.

Invité Afrique
Inondations au Congo-Brazzaville: «Nous ne pouvons plus nous projeter dans la résilience, nous nous projetons dans l'adaptation»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 19, 2024 4:34


Il y a près d'un an, fin 2023, début 2024, le Congo-Brazzaville a connu des inondations historiques, d'une ampleur inédite : 1,79 million d'habitants ont eu besoin d'une assistance humanitaire. Plus de 43 000 élèves ont vu leur scolarité interrompue. Selon le XIXe forum des prévisions climatiques d'Afrique centrale (à Douala au Cameroun en septembre), les pluies seront cette année encore supérieure à la normale saisonnière. À Brazzaville, les autorités annoncent un plan d'action face au risque réel de nouvelles inondations. En septembre, Amélie Tulet et Cyril Étienne de RFI sont allés jusque dans la Likouala dans le nord du pays, rencontrer des sinistrés et voir comment ils se préparent à la nouvelle saison des pluies qui commence. Au retour à Brazzaville, ils ont rencontré la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l'Action humanitaire de la République du Congo, Irène Marie-Cécile Mboukou Kimbatsa.

Grand reportage
Face au risque de nouvelles inondations, le Congo-Brazzaville entre adaptation et résignation

Grand reportage

Play Episode Listen Later Oct 14, 2024 19:30


Fin 2023, le Congo-Brazzaville a subi les pires inondations de son histoire récente. Les cours d'eau sont sortis de leur lit dans des proportions inédites, provoquant des dégâts considérables : 1,79 million de personnes ont été affectées, un Congolais sur 12 a eu besoin d'une assistance humanitaire. La Likouala, département le plus éloigné de la capitale, fut aussi le plus touché. Les envoyés spéciaux de RFI s'y sont rendus en septembre 2024 avec une équipe de l'Unicef. Pour rejoindre les rives de l'Oubangui dans le département de la Likouala, au départ de Brazzaville, il faut d'abord rouler sur 800 km jusqu'à Ouesso, à la frontière camerounaise, traverser la rivière Sangha sur le bac, puis emprunter durant six heures une route carrossable de latérite rouge à travers la forêt équatoriale.De Bétou, certains villages sont atteignables par la route. Pour d'autres, c'est la pirogue, comme Ikpengbele, où lors des précédentes inondations, l'eau a tout envahi.  « On pouvait sillonner le village en pirogue, raconte Bongo Abdoulaye, son chef. On n'avait pas connu de telles inondations ici depuis 1953. Nos parents ont perdu leur bétail à l'époque. Nous, on a grandi sans connaître ce genre de catastrophe. Puis en 2019, on a connu des grandes inondations et depuis, chaque année, 2020, 2021, 2022, 2023, nous subissons les inondations. Et vu le niveau actuel [en septembre 2024, NDLR] nous sommes sûrs que nous allons encore être inondés cette année. »La dernière fois, les eaux de l'Oubangui ont mis plus d'un mois et demi à se retirer. Durant plusieurs semaines, beaucoup d'habitants n'ont eu d'autre choix que de se réfugier en forêt, comme Jean-Faustin Massimo, ses deux épouses et leurs onze enfants : « On y a passé un mois et vingt jours. Nous avons construit des petites bicoques dans les collines. C'était très douloureux, on n'avait pas de lit, pas de bâches. On était sous la pluie, avec les moustiques, les serpents, les nuisibles, les scorpions... Les enfants dormaient sous la belle étoile, et nous n'avions rien pour les couvrir. »43 000 élèves privés d'école dans tout le CongoDes enfants privés d'école pendant des semaines. Selon l'Unicef, la scolarité de plus de 43 000 élèves a été interrompue dans tout le Congo pendant les inondations l'an dernier.Sur le plan sanitaire, près de 480 000 habitants dans tout le Congo ont eu besoin d'une aide immédiate pour avoir accès à de l'eau potable, comme dans le quartier Ca mètre de Bétou où la montée des eaux a rendu inutilisable le puits devant lequel se trouve le Dr Hermann Didi Ngossaki, responsable santé à l'Unicef Congo. « Il y a eu de la boue, des matières fécales, des débris qui sont entrés dedans, détaille-t-il. Le temps de réhabiliter, il a fallu distribuer des pastilles de chlore et montrer comment potabiliser l'eau pour éviter au maximum les maladies. »Depuis, le puits a été curé, surélevé. Georges Nikoué, en est désormais le président du comité de gestion. Il se dit marqué par le souvenir de l'eau arrivée au niveau de sa hanche dans sa maison : « J'ai perdu des documents précieux, des livres que m'avaient transmis mon père. » Pour autant, il n'envisage pas de s'installer ailleurs : « C'est là où moi je suis né. Je veux rester. Il faut qu'on lutte contre ces inondations, en canalisant la ville ou le quartier. »Inquiétude à l'approche d'une nouvelle saison des pluiesDans les eaux de l'Oubangui, encore calmes en cette matinée de septembre, des habitants se lavent et font leur lessive. Marème Bemba, animatrice de l'ONG EEA (Eau et assainissement pour l'Afrique) observe pourtant la scène avec inquiétude. « Vous voyez la femme-là ? Elle a l'eau jusqu'à mi-cuisses. Alors qu'il y a trois mois encore, là où elle est, il n'y avait pas d'eau », souligne-t-elle.Un peu plus loin, des bateliers chargent un navire de transport de marchandises sous le regard du chef du port de Bétou : « Malheureusement, on n'a pas d'échelle d'étiage pour mesurer le niveau de l'eau, ici. Il n'y en a qu'au niveau d'Impfondo [chef-lieu du département de la Likouala, NDLR]. » Un autre habitant, commerçant connu localement sous le nom de Koumerou, est catégorique : « Nous sommes nés à Bétou, nous avons grandi ici. Chaque matin, on voit comment l'eau monte. L'eau est déjà trop haute. Quand les pluies vont arriver, ça va recommencer. Nous serons inondés. » Pour lui, l'aide apportée par les autorités et les ONG l'an passé est insuffisante : « On nous apporte le riz, les éponges, mais cela ne nous protège pas. Nous avons besoin d'engins, pour construire des canaux, des dérivations. »Une prise de conscience à l'échelle nationaleCe que les habitants observent à l'œil nu au bord de l'Oubangui, Alain Loumouamou le confirme. Chef du bureau études, recherches et applications à la direction de la météorologie du Congo, il revient du 19è forum de prévisions climatiques d'Afrique centrale organisée en septembre à Douala, au Cameroun. Il plaide pour la mise en place d'un système d'alerte précoce dans tout le pays : « Il faut qu'il y ait des instruments météo qu'il faut installer dans les départements comme des pluviomètres, un système de bornage, des balises pour vérifier la montée des eaux. Dans le département de la Likouala, il est prévu pour octobre, novembre, décembre, des conditions de précipitations au-dessus de la normale saisonnière. Il est probable de vivre les mêmes scénarios que l'année 2023. Avec l'augmentation de la température aujourd'hui liée au changement climatique, nous ne serons jamais épargnés par ces phénomènes naturels. »Une prise de conscience accélérée par l'ampleur des inondations de l'an dernier. Dans la Likouala, les autorités locales encouragent les habitants à s'éloigner des rives.Les acteurs humanitaires se préparent aussi pour ne pas être pris de court. Au niveau gouvernemental, à Brazzaville, Marie-Cécile Mboukou Kimbatsa, ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l'Action humanitaire, parle d'une réflexion à mener à plus long terme. « Nous ne pouvons plus nous projeter dans la résilience, nous nous projetons dans l'adaptation, assure-t-elle. Il faut réfléchir sur l'habitat, sur le type de pratiques agricoles que nous allons mettre en place dans ces zones-là puisque les populations ne veulent pas se déplacer. Il faut que nous puissions mettre en place des infrastructures sanitaires, d'éducation pérennes et que nous puissions canaliser les eaux pour permettre d'assécher les zones d'habitation. Mais tout cela nécessite de très gros investissements. Ce ne sont pas des investissements qu'un État puisse supporter seul. »Faute de solutions à court terme, la résignation des plus modestesRetour dans la Likouala. À Boyélé-Port, à deux heures et demie de route au sud de Bétou, le chef de village Sylvestre Doli se prépare à appeler les habitants à évacuer. « Le réchauffement climatique, nous en entendons parler. Nous ne comprenons pas profondément ce que c'est. Mais nous constatons qu'au moment où il devrait faire moins chaud, il fait plus chaud. Au moment où il ne devrait pas pleuvoir, il pleut abondamment et nous, nous perdons des cultures. Nous subissons, mais nous n'avons pas la solution », résume-t-il.Plusieurs habitants de la Likouala racontent que depuis les inondations de fin 2023, les enfants se mettent à pleurer quand la pluie tombe. Léonie Niamazongo, 62 ans, se dit elle-même très marquée par la crue de l'an dernier, mais résignée. « La dernière fois, quand l'eau est montée et qu'on a dû partir, on s'est d'abord débrouillé avec les tubercules de manioc qu'il nous restait, puis nous avons utilisé nos économies pour faire manger les enfants, raconte-t-elle. Et puis, au bout d'un moment, il n'y avait presque plus rien. J'ai huit enfants et vingt petits-enfants. Depuis les inondations de l'an dernier, j'ai mal au ventre, je me sens tendue. Quand je vois les eaux remonter, mon cœur bat très vite. »

7 milliards de voisins
Quelles villes francophones voulons-nous en 2050 ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 4, 2024 48:30


D'ici 2050, la Banque Mondiale prédit que, dans le monde, pratiquement sept personnes sur dix vivront en milieu urbain.  L'urbanisation galopante s'accompagne de nombreux défis : répondre à la demande de logement, d'infrastructures de transport, d'alimentation en énergie, de services, d'emploi, en particulier pour le milliard de citadins pauvres qui vivent souvent dans des quartiers informels. Les étudiants en école d'urbanisme, d'architecture, de paysage ou d'ingénieur s'attèlent à penser et à façonner les villes de demain pour anticiper tous ces défis, ils présentent leurs visions pour une urbanité durable et accueillante en 2050. Emission enregistrée à la Gaité Lyrique à l'occasion du Festival de la francophonie “Refaire le monde”  du 2 au 6 octobre 2024Avec :• Franck Boutté, ingénieur et architecte de formation. Fondateur et président, de l'agence d'ingénierie et de co-conception environnementale Atelier Franck Boutté et grand prix de l'urbanisme 2022. • Halima Mbrati, urbaniste chez Buro Happold, Cabinet en ingénierie et urbanisme situé en Arabie saoudite• Dieudonné Bantsimba, maire de Brazzaville, capitale du Congo Brazzaville et président de l'Association des Maires du Congo (AMC) Programmation Musicale : ► Abou Tall - Bats toi ► Manu Chao et Leati - Tu Té Vas

Priorité santé
Le vrai du faux sur votre cerveau

Priorité santé

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 48:30


Quel est le point commun entre les émotions, les addictions et les apprentissages ? Tous sont le fruit des interactions de nos neurones dans notre cerveau ! Cet organe, véritable centre de contrôle de l'organisme, fait l'objet de multiples recherches et publications, et cette « popularité » du cerveau, de son activité et des neurosciences donne lieu à des raccourcis, fausses informations, voire des contre-vérités. D'où l'importance de démêler le vrai du faux. Albert Moukheiber, docteur en neurosciences et psychologue clinicien. Auteur de l'ouvrage Neuromania, le vrai du faux sur notre cerveau, aux éditions Allary Pr Alain Maxime Mouanga, neurologue-psychiatre, chef du service de Psychiatrie au CHU de Brazzaville au Congo. Enseignant à la Faculté des Sciences de la Santé à l'Université Marien Ngouabi. Directeur médical de la Fondation Congolaise pour la Recherche médicale (FCRM) et Président de la Société Congolaise de Santé Mentale (SOCOSAM). Reportage de Louise Caledec sur l'imagerie cérébrale, au sein du service imagerie médicale de l'Hôpital de la Fondation Rothschild.Programmation musicale :► Omah Lay – Holy ghost► Songhoy Blues – Issa.

Priorité santé
Le vrai du faux sur votre cerveau

Priorité santé

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 48:30


Quel est le point commun entre les émotions, les addictions et les apprentissages ? Tous sont le fruit des interactions de nos neurones dans notre cerveau ! Cet organe, véritable centre de contrôle de l'organisme, fait l'objet de multiples recherches et publications, et cette « popularité » du cerveau, de son activité et des neurosciences donne lieu à des raccourcis, fausses informations, voire des contre-vérités. D'où l'importance de démêler le vrai du faux. Albert Moukheiber, docteur en neurosciences et psychologue clinicien. Auteur de l'ouvrage Neuromania, le vrai du faux sur notre cerveau, aux éditions Allary Pr Alain Maxime Mouanga, neurologue-psychiatre, chef du service de Psychiatrie au CHU de Brazzaville au Congo. Enseignant à la Faculté des Sciences de la Santé à l'Université Marien Ngouabi. Directeur médical de la Fondation Congolaise pour la Recherche médicale (FCRM) et Président de la Société Congolaise de Santé Mentale (SOCOSAM). Reportage de Louise Caledec sur l'imagerie cérébrale, au sein du service imagerie médicale de l'Hôpital de la Fondation Rothschild.Programmation musicale :► Omah Lay – Holy ghost► Songhoy Blues – Issa.

Invité Afrique
Pour l'étudiante congolaise Triphène Tamba, «la francophonie est au cœur du développement durable»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 9:53


Le XIXe sommet de la Francophonie, c'est vendredi à Villers-Cotterêts, près de Paris. Grosse affluence en perspective : une cinquantaine de chefs d'État et de gouvernement y sont attendus. Mais la francophonie, ce n'est pas qu'un rendez-vous biennal entre les grands de ce monde. C'est aussi un espace de rencontres entre jeunes talents. Grâce à la plateforme France Volontaires, la jeune Congolaise Triphène Tamba a fait neuf mois d'études en France il y a trois ans. En ligne de Brazzaville, où elle est étudiante en économie du développement durable, elle répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : La francophonie, ça représente quoi pour vous ?Triphène Tamba : Pour moi, la francophonie, c'est d'abord des femmes et des hommes qui partagent une langue commune : le français. Une langue mondiale qui n'est peut-être pas parlée plus que l'anglais, mais qui favorise la diversité culturelle.Alors, grâce à l'Université Senghor d'Alexandrie, vous avez été l'une des 30 volontaires de l'OIF qui ont participé l'an dernier aux Jeux de la Francophonie à Kinshasa. Est-ce que cette mission a été utile ?Très utile en fait. Par exemple sur l'égalité femmes-hommes, aujourd'hui, on parle de la question de genre, parfois, il y a des hommes qui infériorisent les femmes, mais il y a un dialogue qui peut se faire entre les femmes et les hommes pour essayer de trouver un terrain d'entente. Aussi, ça m'a permis de développer des compétences dans le leadership, le travail en équipe, l'autonomie, la capacité de gérer le stress surtout, parce que je suis une personne qui stresse parfois, mais ça, ça a été vraiment cadré grâce à nos différentes formations. Donc pour moi, vraiment, à la francophonie et à l'université Senghor, ils ont joué un grand rôle dans mon développement professionnel.Alors, il y a trois ans, dans le cadre de la saison Africa 2020, vous avez étudié pendant neuf mois à l'Ecole Supérieure d'Art et Design de Saint-Étienne, en France, à l'invitation de la plateforme France Volontaires et de l'Institut Français. Et je crois comprendre que vous avez appris beaucoup de choses pendant ces neuf mois, bien au-delà de l'art et du design ?Exactement. C'était super bien. En fait, j'ai été affecté à la Cité du Design. Moi, en tant que médiatrice culturelle, le but était d'essayer d'orienter le public, partager ma culture en fait avec les Français, faire tomber les clichés qui existent entre les Français et les Africains, donc ce que les Français pensent de l'Afrique et ce que les Africains pensent de la France.À Brazzaville, vous étudiez l'économie du développement durable à l'université Marien Ngouabi. Qu'est-ce que la Francophonie vous apporte dans cet apprentissage ?Alors, par exemple, aujourd'hui, on a un projet avec l'AFD (Agence Française de Développement) sur la question de l'eau. L'eau est indispensable à notre santé. Dans les objectifs du développement durable, il y a l'eau propre, l'assainissement et tout et tout. Et moi, en tant qu'étudiante en économie du développement, je participe à ce projet en tant que chargée de communication. Pour moi, la francophonie est au cœur du développement durable.La lutte pour protéger la forêt est un grand enjeu dans votre pays, le Congo. Est-ce que la francophonie est l'un de vos outils dans cette bataille pour l'environnement ?Oui, je l'affirme, parce que je veux prendre l'exemple de la CIAR. La CIAR, c'est la Conférence Internationale sur la Forestation et le Reboisement, qui a été organisée du 2 au 5 juillet 2024, ici à Brazzaville, où on a retrouvé des jeunes venus de partout et des experts de partout aussi. Donc, il y avait ceux du Gabon et il y avait d'autres qui s'exprimaient en anglais. Mais la langue qui dominait, c'était la langue française. Et on voit que la francophonie, c'est faire en sorte que les hommes et les femmes qui partagent la même langue, la langue française, soient regroupés. On a parlé sur les questions de la protection de la forêt. On a même insisté pour que chaque jeune puisse planter au moins un arbre. Et moi, je me dis que la francophonie a son rôle.Alors, vous vous êtes posé la question « qu'est-ce que les Africains pensent de la France ? ». Pour un certain nombre de jeunes Africains, la francophonie, c'est suspect parce que c'est à leurs yeux un instrument de la France, l'ancienne puissance coloniale. Qu'est-ce que vous en pensez ?Pour moi, c'est la francophonie. On ne peut pas essayer de noircir son image. Donc, nous, en tant que jeunes, si on voit que la francophonie n'est pas bonne, moi, je pense que c'est faux. Pour moi, tant que ça booste les carrières des jeunes, c'est déjà bien en fait. Il y a des formations que l'OIF organise par exemple sur Internet en lien avec l'Université Senghor et d'autres plateformes. Si on participe à ça, ça nous permet d'avoir des certificats qui vont booster nos carrières, ça nous permet aussi de développer des compétences.Donc pour vous, ce n'est pas un instrument post-colonial ?Non, pour moi, je ne pense pas ça. On va juste prendre le mauvais côté. Pour moi, il faut positiver la chose. On peut dire qu'on ne peut pas former le présent sans le passé. Mais aussi, si dans le passé il y a les côtés sombres, s'il y a le noir, on ne va pas ramener le noir parce qu'on veut qu'il y ait de la lumière. Donc la francophonie actuelle, elle apporte la lumière, elle permet aux jeunes de se réunir. Regardez-nous, on était 30 jeunes.Aux Jeux de la Francophonie à Kinshasa, c'est ça ?Exactement. Trente jeunes venus d'Afrique centrale. Il y avait onze Camerounais, un équato-guinéen. On s'est inséré là, les Gabonais et tout, on a formé un seul homme. On a travaillé, l'union fait la force. Je pense qu'actuellement, on doit positiver les choses, se dire : en tant que jeunes, qu'est-ce qu'on propose ? Parce que je pense que la francophonie encourage aussi des formations, permet aussi à des jeunes d'aller étudier ailleurs par des bourses. Pourquoi pas ? On voit que la francophonie arrive à financer même des femmes qui veulent aller de l'avant, qui ont des entreprises, à les booster aussi, c'est déjà bien en fait.

Radio foot internationale
Disparition de Didier Roustan, voix unique du foot français

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Play Episode Listen Later Sep 11, 2024 48:30


La disparition de Didier Roustan à 66 ans. Figure du journalisme sportif français, nostalgique d'un football romantique, ce conteur passionné parfois décalé, aimait mêler petite et grande histoire, saupoudrer ses récits de nombreuses anecdotes, avec un prisme prononcé pour l'Amérique du Sud. Diego Maradona était d'ailleurs une de ses idoles. Radio Foot avait souvent reçu le commentateur-chroniqueur, notamment pour la parution de son livre Puzzle. Nous évoquerons le natif de Brazzaville avec nos consultants. Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du SudÀ l'issue des journées 7 et 8 (sur 18), l'Argentine garde la tête du classement, mais la Colombie n'est qu'à deux longueurs. Les Cafeteros, chez eux, ont battu les champions du monde (2-1) et pris leur revanche après la finale perdue le 15 juillet dernier à Miami en finale de Copa America. Anecdotique ? Privés de Messi, les Bleus et Blancs ont concédé une deuxième défaite dans ces qualifications après celle de novembre 2023 face à l'Uruguay. La Seleção rechute ! 4e défaite des Auriverde en cinq rencontres. Battu à Asuncion par le Paraguay, le Brésil n'est plus aussi flamboyant. Mauvaise passe ou mal profond.CAN 2025, bilan des deux premières journées d'éliminatoiresLes favoris tiennent leur rang, comptent deux victoires. RDC, Côte d'Ivoire, Tunisie... Et marquent ! 5 buts de l'Algérie, 7 de l'Égypte, 5 côté marocain. Le Cameroun cale face au Zimbabwe, le Mali et le Burkina Faso se reprennent. 2e défaite pour la Guinée, battue cette fois par la Tanzanie. 48 matches, beaucoup de rencontres délocalisées par manque de stades opérationnels.Avec Annie Gasnier aujourd'hui : Philippe Doucet, Salim Baungally et Nabil Djellit. Technique/réalisation Matthieu Degueldre – David Fintzel/Pierre Guérin.À lire aussiFootball: Didier Roustan, la mort d'un journaliste parmi les derniers romantiques

99% Invisible
577- The Society of Ambiance Makers and Elegant Persons

99% Invisible

Play Episode Listen Later Apr 9, 2024 35:18


Hailing from central African cities of Brazzaville and Kinshasa, sapeurs have become increasingly recognizable around the world. Since the 1970s, sapeurs (from: le sape, short for "Société des Ambianceurs et des Personnes Élégantes") have been known for donning technicolored three-piece suits with flamboyant accessories like golden walking sticks and leopard-print fedoras, and then cat-walking through their city streets.In recent years, Solange, Kendrick and SZA have all featured sapeurs in their music videos. The iconic British menswear designer Paul Smith did a whole spring line of sapeur-inspired suits and bowler hats.The Society of Ambiance Makers and Elegant Persons