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durée : 00:04:53 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tanguy se met en lutte contre l'embellissement des zones commerciales !
Après 8 ans de relation, Angélique a décidé de rompre avec son compagnon. Il ne supportait pas le métier d'Angélique qui est assistante familiale (famille d'accueil) et il buvait. Elle souhaite rester ami avec lui pour pouvoir l'aider à se soigner. Cette saison, Caroline Dublanche accueille les auditeurs dès le dimanche soir de 23h à 1h et du lundi au jeudi à 22h. Parlons-nous c'est 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contacter l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local)
Hugo analyse les meilleurs moments de l'émission et nous dévoile de jolies pépites. Retrouvez Bruno sur Fun Radio avec Bruno Guillon, Christina, Pino, Karina, et Maurine sur funradio.fr et sur l'application Fun Radio.
Ah la gestion du temps... Si tu cherches à mieux gérer ton temps, l'optimiser, pour reprendre ton quotidien en main et atteindre tes objectifs, ce podcast est pour toi ! Je te parle de mon expérience, mes astuces, mais le secret de l'optimisation du temps... Celui qu'on ne retrouve dans AUCUN livre de productivité, et qui est pourtant vital et a un grand impact sur ta gestion de temps. Je ne t'en dis pas plus, et je te laisse écouter le podcast ^^ PS: du 6 au 13 septembre tu peux te procurer le "bundle Rentrée" au prix de 35€ au lieu de 912€ ! Il s'agit de 17 formations et 5 ebooks (sur différents thématiques : la santé physique (des recettes saine, un atelier sur alimentation et gestion des émotions, un autre sur l'immunité), l'organisation (le batchcooking, un atelier routine, etc) La santé mentale ("charge mentale et lâcher prise", mon atelier "rahma envers soi, comment devenir sa meilleure amie fileh' etc. ) la spiritualité (un ebook avec une méthode pour apprendre 10 pages de coran par trimestre, une formation pour apaiser sa relation avec le coran, etc) Pour avoir plus d'infos : https://salambundles.kneo.me/c/4203nh/ae1jpr
Le grand journal allemand "Der Spiegel" publie une tribune qui célèbre les succès économiques de la France d'Emmanuel Macron.
durée : 00:05:15 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tanguy souhaiterait parler aujourd'hui d'une espèce invasive. Ils sont partout… les ragondins.
Chaque jour, les invités des GG se divisent en deux équipes pour débattre sur un sujet d'actualité en présentant leur plaidoyer. Avec : Bruno Poncet, cheminot. Mourad Boudjellal, éditeur de BD. Et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
Et si l'on ne travaillait que quatre jours par semaine ? L'idée de la semaine de quatre jours gagne du terrain en France. Certains patrons ont déjà sauté le pas. Entre bien-être des salariés et attractivité des entreprises, la formule semble marcher. Un nouveau rythme de travail mais à quelles conditions et dans quels secteurs ?
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
durée : 00:49:06 - Grand Canal - par : Eva Bester - L'écrivain, poétesse et slameuse belge, Lisette Lombé fait l'événement de la rentrée littéraire avec son roman "Eunice". Il nous plonge dans la tête d'une jeune femme de 19 ans, remplie de colère et de désir . - invités : Lisette Lombé - Lisette Lombé : Slameuse, artiste pluri-disciplinaire
Premier épisode de notre série « Les nouvelles routes de la soie, 10 ans après ». C'est au Kazakhstan que Xi Jinping lançait il y a exactement une décennie ce que Pékin appelle son « projet du siècle ». Le poids lourd des cinq républiques de l'Asie centrale, a-t-il su en profiter ? L'ex-république soviétique reste aujourd'hui sous influence de son mentor historique russe. Mais la guerre en Ukraine pousse le Kazakhstan davantage dans les bras de la Chine qui convoite ses hydrocarbures et sa position géostratégique. Sur un parking, des dizaines de voitures chinoises rutilantes sont garées l'une à côté de l'autre, en attendant d'être chargées sur des trains de fret. Elles traverseront le Kazakhstan sur des milliers de kilomètres pour arriver, neuf jours plus tard, à leur destination finale : Duisbourg en Allemagne. Nous sommes dans la zone économique spéciale (ZES) de Khorgos, un vaste parc industriel planté au beau milieu de la steppe kazakhe. C'est ici, à la frontière entre la Chine et le Kazakhstan, que les deux pays ont créé un nœud ferroviaire et routier, destiné à devenir un carrefour du commerce mondial, trait d'union entre la Chine et l'Europe.« Jusqu'en 2014, il n'y avait que des dunes ici, affirme Serguali Seitkazine, habillé d'un gilet orange, casque de chantier vissé sur la tête. Depuis, nous avons aplani le terrain et installé l'eau, les canalisations et l'électricité. » Un producteur de couches pour bébé, un fabricant de nourriture pour bétail et dix autres usines sont déjà implantées et 30 autres doivent suivre, indique le directeur des relations avec les investisseurs. À l'avenir, confie-t-il les yeux brillants, un aéroport international verra le jour, et le géant chinois du commerce en ligne Alibaba livrera ses marchandises dans le monde entier à partir d'un nouvel et immense entrepôt de distribution.La mer est à 2 500 kilomètresPourtant, rien ne s'y prête. L'endroit est situé près du point eurasiatique de non-accessibilité : la mer la plus proche se trouve à plus de 2 500 kilomètres d'ici. La Chine pouvait difficilement choisir une région moins accueillante pour réaliser ce que le président Xi Jinping appelle « le projet du siècle » : les « nouvelles routes de la soie ». L'objectif : désenclaver l'Ouest chinois pour exporter les produits fabriqués dans l'usine du monde vers les marchés internationaux.Dix ans après l'annonce par Xi Jinping des « nouvelles routes de la soie », Khorgos peine à attirer les multinationales. Seuls 700 sur les 4500 hectares sont occupés, et cela malgré les réductions d'impôts et les terrains mis à disposition gratuitement aux investisseurs. Mais Hicham Belmaachi y croit : « Quand Khorgos est sorti de terre, beaucoup de professionnels du monde de la logistique n'étaient pas convaincus, affirmant que c'était un projet fou ; mais aujourd'hui, il a son utilité primordiale pour desservir cette région, soutient cet homme d'affaires franco-marocain, envoyé au Kazakhstan en 2015 par son entreprise Dubaï DP World, troisième opérateur portuaire mondial. C'est un projet qui restera dans les livres d'histoire et ce n'est que le début : on va créer une véritable ville très dynamique aux portes de la Chine. »Cette ville nouvelle s'appelle Nurkent, entourée de vastes plaines de sables, fouettée par des vents de sables en été et des températures qui descendent à moins 20 dégrées en hiver. Avec ses aires de jeux envahies d'herbes folles et ses façades en plâtre déjà défraichies, le triste ensemble de barres d'immeubles ne donne guère envie d'y vivre. À terme, 100 0000 personnes doivent y habiter. Mais jusqu'à présent, seuls 4 000 ouvriers du rail et des douaniers ont élu domicile ici. Parmi eux, Aïmane et sa famille, venue de l'est du Kazakhstan, attirée par les salaires stables et des logements mis à disposition par l'employeur : « Nous travaillons pour la société nationale des chemins de fer. Nous sommes très heureux, parce que nous gagnons bien mieux notre vie ici que chez nous. » Seule attraction dans ce coin perdu pour Aïmane et ses voisins : le grand centre commercial « Duty free » transfrontalier, une immense zone franche sino-kazakhe où l'on peut acheter des produits hors taxe, pour la plus grande partie de fabrication chinoise.Le lait de chamelle kazakh côtoie des sacs Armani Après avoir passé quatre postes de contrôles et la zone militaire clôturée et équipée d'une myriade de caméras de vidéosurveillance, le visiteur est projeté dans un univers bien étrange et décidément chinois. Des écrans géants diffusent des publicités pour des rouges à lèvres aux couleurs criantes. Dans les boutiques climatisées, du lait de chamelle en poudre côtoie des sacs Armani. Tous les prix sont affichés en yuan, la monnaie chinoise. La grande carafe en cristal Baccarat de cognac Louis XIII coûte 240 000 yuans, soit 30 000 euros.À l'horizon, du côté chinois de la frontière, des gratte-ciels d'une trentaine d'étages frappent le regard, comme si Pékin était déterminé à bâtir ici, dans ce désert, une mégapole à l'image de Shenzhen ou de Shanghai.Un vrai corridor pour relier la Chine et l'EuropeDifficile de s'imaginer les caravanes de chameaux passer par cet endroit à l'époque des anciennes Routes de la soie. Mais, aujourd'hui, des siècles plus tard, ce point sur la carte a la même importance stratégique cruciale pour la Chine. « Khorgos est située sur la frontière chinoise : c'est le point d'entrée vers l'Asie centrale, et l'idée de la Chine était d'établir un vrai corridor pour relier la Chine et l'Europe, explique Hicham Belmaachi. Quand je suis arrivé ici en 2015, le volume de conteneurs était à 150 000 unités. Aujourd'hui, nous en sommes à 600 000 conteneurs. »Dans la gare d'Altinkhol avec ses bâtiments massifs de style vaguement romain qui ne voient jamais de passagers, des dizaines de conteneurs sont alignés sur la voie ferrée, bourrés de produits « made in China ». China Shipping, Cosco ou encore Maersk, les grands noms du transport mondial ne manquent pas. Le transport par train entre la Chine et l'Europe coûte bien plus cher que le bateau, mais il ne met que deux semaines là où la voie maritime prend deux mois. Les trains partent pleins, mais dix ans après la promesse par le numéro un chinois Xi Jinping de « nouvelles routes de la Soie » bénéfiques pour tous, une partie des trains revient toujours à vide.Dans le port sec de Khorgos, l'un des plus grands au monde, des ouvriers du rail s'activent sur d'immenses portiques. Tout ici ressemble à un port, sauf que tout autour, il n'y a ni la mer ni un fleuve. Juste une vaste plaine où, de temps en temps, apparaît un cavalier en train de faire brouter son cheval. C'est ici que les trains chinois sont déchargés et transbordés vers le rail kazakh, plus large. Pour un train classique de 50 conteneurs, cette opération prend environ une heure. « Nous déchargeons 16 voire 17 trains par jour ici, explique Serguali Seitkazine. C'est quatre fois plus qu'avant la pandémie de Covid-19. La Chine avait fermé la frontière, seul le passage des trains était autorisé. Le chemin de fer a donc fait ses preuves. »La pandémie a donné un coup d'accélérateur à ce port sec détenu à 49% par le géant chinois du transport maritime Cosco et une autre société chinoise. « Le commerce en ligne a vécu un boom, confirme Hicham Belmaachi. Les navires ayant atteint leur capacité maximale, il a donc fallu se rabattre sur d'autres voies, et le ferroviaire a connu une croissance fulgurante. » La guerre en Ukraine rebat les cartes La guerre en Ukraine a, elle aussi, redistribué les cartes en Asie centrale et permis à la Chine de s'engouffrer dans la brèche laissée par une Russie affaiblie. « Depuis la guerre, beaucoup d'entreprises internationales se sont retirées de la Russie, et les grandes compagnies maritimes y ont interrompu leur escale, confirme Hicham Belmaachi. Donc il a fallu redessiner complètement la logistique dans cette région du monde, et depuis, les Kazakhs, les Ouzbeks et les Kirghizes se sont tournés directement vers la Chine. »La Russie demeure le premier fournisseur du Kazakhstan, et lorsqu'en 2022, des émeutes ont secoué le pays, le président Kassym-Jomart Tokaëv a appelé son allié historique Moscou à l'aide. Mais depuis la guerre en Ukraine, les choses évoluent en faveur de la Chine qui étend son influence en Asie centrale.En 2022, le commerce entre la Chine et le Kazakhstan a augmenté de 34%, c'est plus que pendant les 30 dernières années. De plus en plus de transports de marchandises contournent d'ailleurs déjà la Russie, via la mer Caspienne vers l'Azerbaïdjan et la Turquie. Sur cette voie, la Trans-Caspian International Transport Route (TITR), les exportations ont quasiment triplé depuis début 2023. Une manière pour le Kazakhstan de se détourner de son allié historique, la Russie. Mais cela prendra du temps. « La Russie a encore des moyens de pression sur le Kazakhstan. Nos exportations de pétrole transitent toujours par le territoire russe, analyse le politologue Dossym Satpaïev, directeur du Risk Assessment Group, une organisation non gouvernementale de conseil. Une partie du territoire du Kazakhstan dépend de l'approvisionnement en électricité de la Russie, et nous recevons du gaz de la Russie. » Mais pour ce consultant en affaires internationales, il est en effet crucial pour son pays de se trouver un contrepoids géopolitique, en exploitant au mieux sa proximité avec ses deux grands voisins et en gardant de bonnes relations avec la Turquie, l'Union européenne et les États-Unis.Comme beaucoup de ses compatriotes, Abzal Dostiyar voit le rapprochement entre son pays et la Chine d'un mauvais œil. L'opposant au régime du président Kassym-Jomart Tokaëv a organisé plusieurs manifestations contre les investissements chinois. Il a été arrêté et emprisonné à maintes reprises. Il craint de voir son pays passer sous emprise chinoise après avoir vécu sous la tutelle soviétique : « Le Kazakhstan compte bien peu à leurs yeux. Le projet des "nouvelles routes de la soie" n'a été bénéfique que pour les Chinois, et nous, on accumule les dettes. Pour gérer les 56 usines construites par la Chine, ils sont venus avec leurs propres ouvriers. Et pour financer une nouvelle avenue dans la capitale Astana, le prêt n'a été disponible que pour des sociétés chinoises. » Si l'on en croit les statistiques officielles, l'Etat ne croule pas sous des dettes chinoises qui ne s'élèveraient qu'à 2% du PIB. Mais selon le centre de réflexion américain AidData, le Kazakhstan serait en réalité endetté à plus de 10% de son produit intérieur brut vis-à-vis de la Chine, au même niveau que la République démocratique du Congo, le Laos ou le Mozambique.Pour réduire ses propres risques et garantir ses investissements, Pékin mise d'ailleurs sur ce que l'on appelle « le modèle angolais ». Cela signifie que le jour où le Kazakhstan ne peut plus rembourser en espèces, il doit rembourser ses dettes avec des ressources naturelles en donnant accès à son gaz, son pétrole ou encore son uranium. La Chine s'appuie sur nos régimes corrompus pour gagner en influence.Lorsqu'en mai dernier, Xi Jinping a accueilli les dirigeants de l'Asie centrale en grande pompe à Xi'an pour leur promettre de nouveaux investissements et les inviter « à monter à bord du train express de son développement pour bâtir ensemble un avenir meilleur », certains ont pris peur. À l'instar d'Aïna Shormanbaeva, présidente de l'ONG International Legal Initiative : « Nous assistons à une pression de plus en plus forte sur la société civile au Kazakhstan, au Kirghizistan et dans les autres républiques d'Asie centrale, estime cette militante des droits de l'homme. Le projet des "nouvelles routes de la soie" ne fait que renforcer l'influence de la Chine qui s'appuie sur les régimes corrompus dans nos pays afin de gagner en influence. » Mieux vaut alors se méfier des ogres qui convoitent l'uranium, le gaz et le pétrole du Kazakhstan, mais aussi sa position géostratégique. « En prenant nos distances avec l'ours russe, il ne faut pas tomber dans les griffes du dragon chinois », avertit Dossym Satpaïev. Si l'on en croit cet universitaire, le Kazakhstan a quelques atouts dans ce grand jeu des puissances : c'est particulièrement vrai depuis la guerre en Ukraine, mais aussi à cause de la tension qui croît de jour en jour dans le détroit de Taïwan, voie maritime majeure pour le commerce mondial.« La Chine sait très bien que s'il y a un conflit militaire autour de Taïwan, alors la route terrestre qui passe par le Kazakhstan doit pouvoir remplacer la voie maritime qui sera bloquée », assure Dossym Satpaïev. Il en est convaincu : le Kazakhstan a toutes les cartes en main pour tenir tête à l'ours russe comme au dragon chinois.À lire aussiRetrouvez l'intégralité de notre dossier sur les «nouvelles routes de la soie»
Aujourd'hui dans 'Punchline', Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'augmentation des actes de violence chez les jeunes, notamment chez les mineurs, mais aussi sur la crise migratoire.
Bienvenue dans cette série de Minipods Graine de Métamorphose spécial été ! En moins de dix minutes, captez l'essentiel du message d'un invité qui a déjà été diffusé dans le podcast Graine de Métamorphose.Pour ce minipod de l'été nous retrouvons Guillaume Dulude, doctorant en neuropsychologie et en psychologie clinique. Il nous explique aujourd'hui comment nos communications pourraient devenir significativement meilleures si on utilisait les bons outilsRetrouvez l'épisode complet : #4 Guillaume Dulude : Mieux communiquer pour devenir un chercheur d'orQui est mon invitée du jour Guillaume Dulude ? Guillaume Dulude est doctorant en neuropsychologie et en psychologie clinique. Il est l'auteur du livre Je suis un chercheur d'Or paru aux Éditions de l'Homme. On peut aussi retrouver ses enseignements sur sa chaîne YouTube “Guillaume Dulude” et plus d'informations sur son site internet : https://communicationpsycom.com/guillaume-dulude-phd/Retrouvez Graine de Métamorphose Podcast sur InstaInscrivez-vous à la Newsletter ici : https://www.metamorphosepodcast.com/Découvrez gratuitement La Roue Métamorphose et les 9 piliers de votre vie !Soutenez la Tribu Métamorphose, devenez actifs !Abonnez-vous à Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience sur YouTube / Apple Podcast / Spotify / DeezerPhoto © Avril Franco Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Élévation du niveau de la mer, réchauffement et acidification de l'océan… sans compter les inondations, sécheresses et catastrophes naturelles à répétition, les nations du Pacifique sont en danger de disparition totale, comme l'alerte le dernier rapport du GIEC. Les regards des pays insulaires sont tournés vers la COP. Aux îles Fidji, la santé et la sécurité alimentaire des 900 000 habitants sont déjà en danger. Les conséquences du réchauffement climatique, c'est pour eux le quotidien. (Rediffusion) De notre envoyée spéciale aux Fidji,Le petit village de Narikoso, sur l'île d'Ono, dans l'archipel de Kadavu, petit bout de paradis au bord de l'eau bleu turquoise, n'est accessible que par bateau. À peine le pied posé à terre, force est de constater que l'océan s'est déjà frayé un chemin entre les maisons faites de planches de bois et de toits en taule.Katerina Ravasea, la chef du village, a le regard espiègle, mais la voix triste, lorsqu'elle explique que depuis quelques années, l'océan ne cesse de se rapprocher de sa maison. « On voit l'eau monter, de plus en plus, et les vagues passent par-dessus le mur de pierre que nous avons construit pour empêcher l'eau de nous envahir. C'est ma maison ici, c'est ici que je veux mourir malgré tout. » Le gouvernement s'est rendu dans le village et a promis d'aider les habitants à déménager. « Sur les 23 maisons que le gouvernement nous a promis de déplacer, seulement sept l'ont été. Nous attendons qu'on vienne pour les autres, depuis des mois. Ce qui me blesse, c'est qu'on nous a promis des choses et nous attendons toujours ». Katerina Ravasea explique qu'une équipe de scientifiques est venue inspecter les sols et ils ont fait état de la présence d'eau en dessous des maisons du village. La chef sait que quoi qu'il arrive, il faudra déplacer tout le monde. Certains habitants du village ont déjà déménagé. C'est le cas de Joseva Rabonu, père de deux enfants. Il habitait sur le bord de mer, sa maison est à présent située un peu plus haut, sur une colline. « J'ai voulu déménager, car les anciens du village qui vivaient ici n'avaient pas de problèmes, mais nous, on voit bien la différence, observe-t-il.Ceux de ma génération, on sait très bien que le changement climatique existe, je vois de mes propres yeux le niveau de la mer monter. Vous voyez le mur de pierres là-bas ? Avant, il était au sec, maintenant la mer est passée par-dessus. »Sa crainte principale aujourd'hui, c'est de savoir où ses enfants pourront vivre. « Je pense qu'il sera difficile de vivre ici pour eux. C'est pour ça qu'on se relocalise plus haut, même si je porte toujours mon ancienne maison dans mon cœur. Mais l'eau monte à une vitesse folle et on constate aussi l'érosion du sol. Mieux vaut vivre plus haut. Même si maintenant, il faut tout porter en haut de la colline… Quand on va pêcher, c'est ça le plus difficile, la distance. »Catastrophes naturelles plus fréquentesLes villages en bord de mer sont affectés par la montée du niveau de la mer, mais ceux qui se trouvent en hauteur subissent aussi les conséquences du réchauffement climatique, car les rivières le long desquelles ils se sont installés ne cessent de grossir, notamment à cause de l'érosion des sols, provoquant des inondations sans précédent. C'est le cas dans le village de Naqali, situé à une trentaine de kilomètres au nord de Suva, la capitale des îles Fidji. Dans cette verdure luxuriante, une rivière gonflée traverse les plantations longées de bananiers. « Avant je pouvais franchir cette rivière à pied, si facilement, mais maintenant, c'est trop large et trop profond », explique Mosese Vosabeci, le représentant du village. Vêtu de sa chemise traditionnelle bleue et fleurie et de son sulu, la jupe noire que portent les hommes aux Fidji, il nous emmène devant les champs qui appartiennent au village. D'un geste de la main, il montre là où l'eau s'engouffre lors de grandes crues. « Ce qui est dangereux, c'est que la rivière monte et recouvre nos plantations qui se trouvent un peu plus bas que nos maisons. Sauf que lorsque nos plantes sont touchées, ce sont nos provisions qui le sont aussi, car nous dépendons de nos plantes pour nous nourrir, mais aussi pour les vendre au marché, c'est ce qui nous rapporte de l'argent, et c'est ce qui nous permet d'envoyer nos enfants à l'école ». Maritana Korosinu, une jeune femme d'une trentaine d'années, vit à Naqali depuis dix ans. Ici, elle cultive du taro, le cousin polynésien de la pomme de terre. Le changement climatique, pour elle, cela veut parfois dire tout reconstruire et repartir à zéro. « Ces plantations, c'est notre source de revenus, c'est grâce à ces plantes que nous aidons nos enfants et notre famille à se nourrir et à gagner de l'argent. Quand les cyclones nous frappent, nous sommes durement touchés. »Elle raconte qu'elle voit le changement de climat comparé à l'époque où elle est arrivée à Naqali. « Maintenant, tout a changé, il y a plus de cyclones, nous luttons beaucoup plus qu'avant. Quand un cyclone arrive ici, nos moyens de subsistance sont complètement détruits parce que nous dépendons entièrement de nos cultures pour gagner notre vie et élever nos enfants. » Préparer le territoireLe changement climatique est une réalité bien présente aux îles Fidji, comme partout ailleurs dans le Pacifique. Parmi les solutions possibles pour lutter contre de trop grands changements, il y a celles basées sur la nature, comme planter des mangroves. « La mangrove joue un rôle important dans l'écosystème côtier et marin. C'est là que les poissons viennent et pondent leurs œufs. La plupart des poissons viennent pondre dans les zones de mangrove et repartent vers les zones de récifs, donc la mangrove est un trésor dans les zones côtières », explique Etika Qica, qui travaille au sein de l'UICN, un réseau qui réunit et mobilise les connaissances et les ressources de plus de 1400 organisations environnementales à travers le monde. « Elles empêchent l'érosion côtière, s'il y a de fortes pluies qui secouent la mer, les vagues frappent d'abord la mangrove avant d'atteindre le récif, c'est pourquoi la mangrove n'est pas un endroit agréable pour se promener, c'est très boueux, mais ces boues sont vraiment planifiées stratégiquement par la nature pour absorber tous les polluants avant qu'ils n'atteignent le récif corallien. Enlevez la mangrove et vous tuez tous vos magnifiques récifs coralliens à côté. Et bien sûr, toutes les formes de vie qui s'y trouvent », prévient-il.Mais planter de la mangrove n'est pas suffisant selon lui. Il est temps de penser à des solutions adaptées. « Ce qui nous inquiète tous, c'est de savoir où nous allons aller, où nous vivrons. On prévoit que la plupart de nos îles seront sous l'eau dans les 50 prochaines années. Vous l'entendez, mais vous n'y croyez pas vraiment. Si vous vivez sur un atoll, l'augmentation du niveau de la mer est une réalité, d'autant plus quand vous avez les grandes marées. Mais je pense que même nos solutions basées sur la nature ne pourront pas relever le défi. Nous avons besoin maintenant d'aider la nature. Il est temps que nous trouvions des infrastructures vertes pour aider nos zones côtières. Planter des mangroves ne suffira pas. »L'UICN collabore avec les locaux pour construire des murs marins, aider à la reconstruction des récifs coralliens afin de réduire les impacts sur les zones côtières. « C'est vraiment urgent. Il faudra redessiner nos villages. Où va-t-on les relocaliser ? Il faut être proactif. Et ne laissez pas nos communautés se débrouiller avec ça. Nous sommes confrontés chaque année à des pertes de vies humaines, dans certaines de ces communautés côtières, car elles ne sont pas prêtes. »Perte de la terre au détriment de la merLes scientifiques qui travaillent au sein de la Communauté du Pacifique, la principale organisation scientifique et technique régionale, accompagnant le développement de la région, tentent au mieux d'alerter sur les risques qu'encourent les îles de la région face au réchauffement climatique. Ils ont créé une maquette en 3D d'un atoll et étudié l'impact de l'élévation du niveau de la mer et de l'inondation sur les îles basses. Selon eux, si le niveau de l'océan augmente de 80 cm d'ici 2100, un grand nombre de petites îles seront complètement inondées et leurs sources d'eau potable empoisonnées par l'eau salée : elles deviendront inhabitables. « Je pense que nous ne saisissons toujours pas l'urgence et le besoin que nous avons dans la région en matière d'adaptation au climat, élabore Hervé Damlamian, le chef de projet prévision et surveillance des océans. Pour le moment, on met de la rustine à droite à gauche. Les problèmes sont encore abordés de façon sectorielle, mais ce n'est absolument pas ce dont notre région a besoin ».L'océanographe explique la nécessité de cartographier les vulnérabilités des îles du Pacifique. « Il faut s'atteler à la sécurité alimentaire, examiner la question des transports, de la connectivité et de l'énergie. S'assurer d'avoir de l'eau potable. Nous avons besoin d'une ligne conductrice de notre adaptation qui peut vraiment s'attaquer à tous ces problèmes de vulnérabilité en même temps. Si nous voulons vraiment être honnête sur les besoins de la région en termes d'adaptation, avoir ces petits fonds dédiés pour une approche sectorielle autour de l'adaptation au climat, ça ne va pas suffire et nous allons droit au mur. Ce dont nous avons besoin, c'est d'augmenter nos financements et nos investissements.»Malgré tout, il est cependant encore tout à fait possible d'agir selon lui et c'est la raison pour laquelle les regards sont tournés vers la COP27. « Il y a beaucoup de frustrations dans la région lorsque l'on voit les différentes COP se dérouler, nous les suivons avec grande attention. C'est à la fois porteur d'espoir et de frustrations auxquelles les communautés du Pacifique sont confrontées. Pour nous qui vivons et respirons dans cette partie du monde, il semble évident que le besoin est urgent et que nous n'avons plus le temps d'attendre, nous n'avons plus le temps d'appliquer des rustines un peu partout, avec de petits investissements. Nous aimerions voir peut-être un peu plus d'ambition et d'engagement de la part des pays développés comme la France pour vraiment s'engager dans cette voie. Il faut soutenir ces cultures uniques et les identités culturelles que nous avons dans la région du Pacifique et s'assurer que ces identités et ces cultures qui font partie de notre patrimoine mondial seront toujours là pour les générations futures et que nous vivrons toujours tous ici. »
Manger sans peur et sans reproche. Nous nous intéressons aux additifs et aux emballages alimentaires. Les emballages sont un signe assez typique quʹun être humain est passé par là : les archéologues trouvent très souvent des récipients cassés, toutes sortes de pots dʹhuile, de vin. Les premiers emballages sont en poterie mais, on le voit bien, contenir et conserver la nourriture est une préoccupation qui ne date pas dʹhier. Etat des lieux en commençant par les Etats-Unis, en 1902. Anaïs Kien reçoit Florence Hachez Leroy, historienne des entreprises, des sciences et des techniques, qui travaille notamment sur les contaminants alimentaires. Elle a publié "Menaces sur lʹalimentation. Emballages, colorants et autres contaminants alimentaires, XIXe-XXe siècle" (PUR, 2019).
Manger cʹest politique : les socialistes et les huîtres. Comment lʹalimentation reflète-t-elle la position que lʹon occupe dans la société, dans le paysage politique, dans lʹespace économique ? Prenons lʹexemples des huîtres, coûteuses, associées à Noël et vues comme un privilège : ont-elles toujours été synonyme de luxe ? Sont-elles de gauche ou de droite ? Avec Thomas Bouchet, professeur associé d'histoire de la pensée politique à Lausanne, au micro dʹAnaïs Kien. Il a publié " Les fruits défendus " (Editions Stock, 2014).
Le poison du sucre. Le sucre, cʹest cette petite chose anodine, dʹune banalité telle quʹon nʹy prête pas vraiment attention en dehors des moments où lʹon se dit quʹil serait temps dʹarrêter. Le sucre nʹest pas vraiment consommé en Europe jusquʹau XVIème siècle. Cʹest la découverte des continents lointains qui a changé notre régime alimentaire, et avec lui notre santé mais aussi la vie de millions de personnes. Avec Hélène Bieri Thomson, historienne de l'art et directrice du Château de Prangins. Elle répond aux questions dʹAnaïs Kien. "Histoire du sucre, histoire du monde" (James Walvin, Editions La Découverte, août 2020).
durée : 00:02:16 - Le vrai ou faux - D'après la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, les émissions de gaz à effet de serre ont diminué de 55 millions de tonnes sous le premier quinquennat d'Emmanuel Macron, quand elles n'ont diminué que de 25 millions de tonnes sous le quinquennat de François Hollande.
Les fortes chaleurs peuvent avoir un impact sur le sommeil. Mais quelques astuces permettent de mieux vivre ces nuits dites "tropicales". Pour en parler, Sylvie Royant-Parola, docteure et spécialiste du sommeil.
Céline Marty est autrice, professeur de philosophie et doctorante en philosophie et elle s'intéresse plus particulièrement à l'oeuvre d'André Gorz que vous connaissez peut être. Parce que c'est la rentrée, avec Céline nous parlons de son ouvrage: travaillez moins pour vivre mieux! Je pense que c'est le moment parfait d'écouter ce type d'épisode tant vous avez encore sans doute pour la plupart encore vos marques de maillot et de lunettes de soleil et une envie farouche de reprendre le travail mêlée à des questionnement sur votre mode de vie et votre temps de travail. Céline questionnent profondément notre rapport au travail dans notre société et d'ailleurs, il est intéressant de noter qu'il y a suffisamment de richesses en France pour réduire de manière drastique le travail, simplement cette richesse n'est pas bien partagé. Mais évidemment nous avons aussi tous bien ancré dans nos valeurs que le travail est une activité saine moralement, physiquement et intellectuellement. C'est un service rendu à la communauté. Je ne suis pas bien différent de vous en sens mais nous avons poussé cette logique très loin et l'oisiveté a perdu totalement son sens alors qu'en réalité, elle est aussi très importante comme nous le signifie Céline. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #149 Le futur de nos modes de travail avec Bruno Marzloff (https://audmns.com/dpFveit) Vlan #89 Travailler plus pour gagner quoi? avec Olivier Maurel (https://audmns.com/IWkmCFs) Vlan #38 Social Calling - redonner du sens à son travail avec Emilie Vidaud (https://audmns.com/qkbcbkW)
La viande au paradis. Aujourdʹhui, on sʹintéresse aux interdits alimentaires. En la matière, cʹest souvent la viande qui pose problème : le régime carnivore. Manger de la chair cristallise tous les tabous et les inquiétudes. Cʹest vrai aujourdʹhui, mais cʹétait vrai hier aussi. Entre le XVIème et le XVIIIème siècle, on sʹempoigne particulièrement entre savants autour de lʹassiette dʹAdam et Eve. Désormais considérés comme des personnages historiques, leur biologie - jusquʹà leur mâchoire et leur tube digestif - déchaîne les passions avec la question : Adam et Eve étaient-ils végétariens ? Anaïs Kien reçoit Olivier Christin, historien, professeur à lʹuniversité de Neuchâtel, qui a écrit, avec Guillaume Allonge, "Adam et Eve : le paradis, la viande et les légumes" (Editions Anacharsis, avril 2023).
Avec : Barbara Lefebvre, enseignante. Bruno Pomart, ancien policier du Raid. Et Charles Consigny, avocat. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
Le procès de lʹagriculture. Histoire Vivante vous propose une série en cinq épisodes sur lʹalimentation. Parce que manger semble devenir une occupation à temps plein avec sa foule de questions : manger de la viande ou pas, modérer le gluten ou pas, sourcer les provenances, débusquer les additifs indésirables, scruter les étiquettes collées sur les emballages. Mais aujourdʹhui, lʹinvention-même de lʹagriculture est mise en question. Fixer une date au début de notre humanité nʹa pas toujours été simple mais lʹinvention de lʹagriculture est un bon marqueur : ce moment où les femmes et les hommes se sont mis à produire par eux-mêmes leur nourriture en cultivant des plantes et en élevant des bêtes. Anaïs Kien sʹentretien avec Lionel Pernet, archéologue, directeur du musée cantonal dʹarchéologie et dʹhistoire de Lausanne, Et Hélène Blitte, conservatrice au Musée Cantonal dʹarchéologie et dʹhistoire de Lausanne.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Europe 1 reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 18h30 à 19h00.
Tous les étés je fais une sélection des épisodes qui m'ont le plus marqué dans l'année ou dans les années précédentes. L'occasion pour vous de retrouver une sélection resserée d'épisodes qu'il vous plaira de découvrir ou de réécouter je l'espère. Xavier Emmanuelli est le fondateur du SAMU social, l'un des cofondateur de médecins sans frontière mais aussi ancien secrétaire d'état et auteur de nombreux livres. C'est un homme de 83 ans, un peu maladé que j'ai rencontré, qui s'est totalement ouvert à moi en toute vulnérabilité. C'était un entretien un peu particulier pour moi car c'est la première fois qu'un invité arrive à me faire pleurer au sortir d'une discussion. Le titre vient d'une citation de la philosophe Cynthia Fleury "Sans le soin, nous ne sommes rien". J'y étais allé pour parler de soins, d'humanité et du futur de l'hôpital mais cet entretien est très différent de tout ce que j'ai pu faire sur Vlan. Il est plus long déjà mais aussi on ne traite pas d'un sujet en particulier. A l'inverse de cela Xavier Emmanuelli s'est totalement ouvert et il ressort de cet entretien un profond humanisme, beaucoup de sincérité, de la pudeur, de l'humanité et un questionnement sur sa propre vie. Pour un homme qui a toujours tant fait pour les autres, c'est vraiment exceptionnel de l'écouter pendant ces quelques minutes qui vous toucheront, je l'espère au plus profond de votre ame comme cela a été le cas pour moi. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #148 Comment serez vous soigné demain? avec Jean-Charles Samuelian-Werve (https://audmns.com/fYUftQL) Vlan #46 Mieux comprendre notre besoin de reconnexion à la nature avec Stéphane Hugon (https://audmns.com/YHgHiAD) #163 De quel leader politique la France a besoin? avec Alice Barbe (https://audmns.com/wNmgvDf)
durée : 00:04:32 - Le Reportage de la Rédaction - Une entreprise lyonnaise d'informatique, LDLC, permet à ses salariés de passer à 32 heures travaillées en quatre jours. Deux ans après l'avoir adopté, 88 % des salariés affirment que la formule leur convient parfaitement.
C'est votre moment transfert avec Mercredi Mercato. Ce mercredi 16 août, Martin Mosnier et Arthur Merle vous donnent les tendances les plus chaudes du moment, avec le Paris Saint-Germain, la stratégie du Real Madrid et la guerre Liverpool-Chelsea.Kylian Mbappé devrait rester au PSG pour une saison supplémentaire et évoluer aux côtés d'Ousmane Dembélé et Gonçalo Ramos. Mais Lionel Messi et Neymar sont partis, en attendant peut-être Marco Verratti. Paris est-il mieux armé que la saison dernière ?Le Real Madrid, lui, est beaucoup plus calme sur le marché des transferts. A un tel point que le départ de Karim Benzema n'a jamais été compensé. Les Merengues ont débuté leur saison sans buteur de référence et risque de la poursuivre ainsi... avec en cause le fantôme de Kylian Mbappé ?En Premier League, Moises Caicedo (Brighton) et Roméo Lavia (Southampton), deux valeurs montantes au milieu de terrain, ont snobé Liverpool, préférant le projet de Chelsea. En quoi les Blues sont-ils plus attractifs que les Reds ? Que faut-il en conclure pour le club de Jürgen Klopp ?Bienvenue dans Mercredi Mercato, émission d'Eurosport FC, et bonne écoute !Réalisation : Alban Ducardonnet - Graphisme : Marko Popovic Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
From Kinshasa, the capital of Congo, comes the band known as Jupiter & Okwess, led by the charismatic singer Jupiter Bokondji. When we last met the band, in 2018, they had just released their second album, a star-studded collection called Kin Sonic. Jupiter & Okwess are touring around to support their latest record, Na Kozonga, which offers a striking mix of high-energy dance, funk, and Afropop, while mixing samba, New Orleans, and soul influences in different languages. Set list: 1. Solobombe 2. Mieux que ca 3. Muba Na Kozonga by Jupiter Okwess
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison ! Jérôme Rothen animera des débats enflammés avec sa Dream Team d'anciens joueurs composée d'Emmanuel Petit, Lionel Charbonnier, Éric Di Meco, Mathieu Bodmer, Mathieu Valbuena et Jean-Michel Larqué. Julien Cazarre sortira cette saison encore, des infos exclusives toujours avec son humour et sa plume acérée. En cette année de Coupe du Monde de football, Jérôme Rothen et Jean-Louis Tourre s'entourent d'un casting 5 étoiles avec le grand retour de Juninho (déjà présent lors de la Coupe du Monde au Brésil en 2014), et les arrivées de Patrice Evra, Steven Nzonzi, Mamadou Niang et Jérémy Ménez.
durée : 00:20:43 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste de BDO France, et Olivier Dauvers, journaliste spécialiste de la grande distribution, sont les invités de Marion L'Hour à 8h20.
Mieux comprendre les techniques de propagande et de manipulation de masse À quel point sommes-nous influencés, manipulés, surveillés ? Comment l'évolution langage, les média et plus largement les nouvelles technologies conditionnent nos opinions et nos choix ? Voici une série de 3 épisodes (déjà diffusés) pour nous aider à comprendre ce qui se joue en ce moment autour de notre liberté de penser. David Colon, spécialiste de l'histoire de la propagande contemporaine, prof à science Po, nous parle des fondements et des techniques de la persuasion de masse dans le monde contemporain.La propagande n'est pas nouvelle, mais elle n'a cessé de se perfectionner à mesure que les sciences sociales et les neurosciences ont permis d'améliorer l'efficacité des techniques de persuasion, d'influence ou de manipulation au point de mettre en danger, en silence et en sous-main, le fonctionnement de nos démocraties.Rediffusion de l'épisode 85 enregistré le 10 février 2022NB : pour retrouver le podcast ENGAGÉS POUR LA NATURE, c'est ici : https://shows.acast.com/engages-pour-la-nature----Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
durée : 00:04:34 - Le moment Meurice - Guillaume Meurice est allé parler surconsommation à la grande fête de l'innovation, le salon Tech for Retail.
durée : 00:04:34 - Le moment Meurice - Guillaume Meurice est allé parler surconsommation à la grande fête de l'innovation, le salon Tech for Retail.
Quelles sont les blessures du féminin ? Comment dépasser les difficultés à s'assumer pleinement en tant que femme ? Comment renouer avec son énergie féminine ? Écoute cet épisode, pour Découvrir les facettes à assumer pleinement pour se sentir épanouie Mieux comprendre les difficultés, hontes et peurs que nous portons Renouer avec ton énergie féminine Pour aller plus loin... (gratuitement) Tu peux faire les exercices d'approfondissement proposés + Télécharger la transcription de l'épisode ! Si tu veux me laisser un petit mot doux, c'est ici pour mettre un avis sur le podcast
durée : 00:03:23 - Géopolitique - par : Anthony BELLANGER - L'ex-président étasunien a été inculpé pour la troisième fois, mais reste le favori des sondages côté républicain. Mieux encore : il fait jeu égal avec Joe Biden dans la course à la présidentielle de 2024.
durée : 00:04:09 - Le Reportage de la Rédaction - L'ethnomusicologue américain a été récompensé du très prestigieux prix Balzan, décerné par la communauté scientifique. Plongée dans une vie de voyages, dédiée à la recherche musicale sous toutes ses formes.
durée : 00:03:23 - Géopolitique - par : Anthony BELLANGER - L'ex-président étasunien a été inculpé pour la troisième fois, mais reste le favori des sondages côté républicain. Mieux encore : il fait jeu égal avec Joe Biden dans la course à la présidentielle de 2024.
durée : 00:04:30 - Le Reportage de la Rédaction - L'ethnomusicologue américain a été récompensé du très prestigieux prix Balzan, décerné par la communauté scientifique. Plongée dans une vie de voyages, dédiée à la recherche musicale sous toutes ses formes.
Chaque jour, les invités des GG se divisent en deux équipes pour débattre sur un sujet d'actualité en présentant leur plaidoyer. Avec : Élina Dumont, intervenante sociale. Frédéric Farah, professeur d'économie. Et Stéphane Manigold, restaurateur. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
durée : 00:40:36 - Le téléphone sonne - L'été 2003 avait enregistré 15 jours de canicule et fait 15 000 victimes. Pour appréhender les risques liés à ces pics de chaleurs, des leçons ont été tirées. Au cœur de ces records de températures et de ces étés de plus en plus chauds, les villes doivent investir dans des stratégies d'adaptation.
Chaque jour, les invités des GG se divisent en deux équipes pour débattre sur un sujet d'actualité en présentant leur plaidoyer. Avec : Frédéric Farah, professeur d'économie. Bruno Poncet, cheminot. Et Mourad Boudjellal, éditeur de BD. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
SUMMER BREAK - LA FRATERIEBienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l'épisode 84 de la saison 3.Devenir parents d'un enfant c'est un chamboulement pour la vie.Alors quand on prend la décision d'amener un autre être humain dans la famille, on fait face à des problématiques pas toujours simples à résoudre.Héloïse Junier est psychologue clinicienne, spécialiste de la petite enfance. Vous l'avez déjà entendu dans l'épisode 27 mais aussi dans 2 hors série. J'ai donc demandé à Héloïse qui vient de sortir une bd “Ma vie de bébé” aux éditions Dunod, de nous éclairer sur les fratries.Dans cet épisode on évoque l'annonce d'un nouvel enfant à l'aîné, les enjeux que cela provoque chez les tout-petits, l'écart d'âge idéal mais aussi les différents visages que peut prendre l'insécurité que ressent un enfant qui devient l'ainé.Héloïse vous donne des pistes pour les résolutions de conflits entre frères et sœurs.Elle vous guide sur cette corde périlleuse, de la gestion de conflits. Alors comment gérer les frustrations et la violence qui peuvent apparaître quand le besoin de sécurité émotionnelle n'est pas satisfait? Faut-il privilégier le tout petit sur le plus grand ? Quelles sont les astuces? Héloïse vous explique tout. On a aussi parlé du deuil au sein d'une fratrie. Quand un enfant perd son frère ou sa sœur, à quoi faut-il porter attention?Je vous souhaite une très bonne écoute.C'était Héloïse Junier, psychologue clinicienne et autrice de plusieurs ouvrages aux éditions Dunod.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt psiittRDV lundi pour le lancement de ma page Patreon...A la semaine prochainePrenez soin de vous Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
☀️ Programmation estivale - été 2023 ☀️ Rediffusion d'un épisode de janvier 2022 avec Clotilde Dussolier La notion d'éco-anxiété a été forgée en 1997 par Véronique Lapaige, enseignante-chercheuse canadienne et belge. Elle a observé qu'individuellement ou collectivement, un nombre grandissant de personnes ressentaient un mal-être et souvent un besoin de se responsabiliser face au changement climatique et aux crises environnementales. Après un été caniculaire, l'absence de neige et des températures très douces l'hiver dernier, l'éco-anxiété des françaises et des français est à son paroxysme. Dans cet épisode, Clotilde Dussolier nous aide à mieux gérer et appréhender notre éco-anxiété. Elle nous partage des conseils et des exercices pratiques pour être plus apaisé.es. Soutenir Basilic : instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.com Production : Jeane Clesse Musique : @Klein Graphisme : Mahaut Clément & Coralie Chauvin Mix : Jeane Clesse Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.
Do you know when to use 'meilleur' or 'mieux' for 'better' in French/ Find out in this episode!Listen to the episode and head to https://speakfrenchavecmoi.com... for the full FREE transcript! Would you do me a small favor? Please make sure to subscribe and share to help other listeners to find out about Speak French Avec moi!Merci et à bientôt,SéverineThis show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/4468664/advertisement
durée : 00:04:04 - Alors voilà - par : Baptiste Beaulieu - Comme Antoine, l'un des patients dont Baptiste s'est occupé, pour qui la marche à pied a été un vrai remède pour mieux supporter les épreuves de la vie. Une occasion de rappeler combien la course à pied est excellente dans la vie de tous les jours.
Le programme Clair-Obscur est à prix spécial jusqu'à ce soir ! -30% jusqu'au jeudi 20/07 minuit. C'est la méthode en 5 étapes pour traverser ton ombre et révéler ta lumière. Apprends à te connaitre, te libérer de tes cages, t'aimer et t'autoriser l'authenticité ! Rejoignez le programme juste ici : https://go.chloebloom.com/clair-obscur En quoi les critiques sont une opportunité extraordinaire de nous connaître et de nous aimer ? Comment ceux qui nous mettent en réaction et nous agacent sont ceux qui nous font travailler notre ombre ? Ecoute cet épisode, pour Comprendre le travail de l'ombre au quotidien Apprendre à rebondir après une critique Mieux te connaitre et t'aimer entièrement Pour aller plus loin... (gratuitement) Tu peux faire les exercices d'approfondissement proposés + Télécharger la transcription de l'épisode ! Si tu veux me laisser un petit mot doux, c'est ici pour mettre un avis sur le podcast
durée : 00:14:48 - Les Odyssées - par : Laure Grandbesançon. - Championne d'Europe, championne de France, première patineuse noire de notre pays. Surya Bonaly est un phénomène, une tornade. Mieux : c'est une révolution !
C dans l'air du 18 juillet : Elisabeth Borne reconduite...faute de mieux ? LES EXPERTS : - HERVE GATTEGNO - Directeur de l'information – Radio classique - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef du service politique - Marianne - Corinne LHAIK - Journaliste politique – L'opinion - JEFF WITTENBERG - Journaliste politique – France télévisions Élisabeth Borne maintenue à Matignon. Emmanuel Macron a finalement décidé de conserver l'actuelle Première ministre à son poste. L'Elysée a officialisé cette décision hier soir au nom de la "stabilité". Dans la foulée, l'ancienne ministre du Travail a promis "des ajustements" au sein du gouvernement. Depuis plusieurs semaines les rumeurs concernant un remaniement bruissent dans les couloirs du pouvoir. Finalement après le dossier des retraites, l'usage du 49.3 et les "100 jours", la cheffe du gouvernement reste en place. Mais des changements vont bien être annoncés dans les prochains jours. Lesquels ? Emmanuel Macron et Élisabeth Borne peineraient à trouver un terrain d'entente. Le président de la République semble vouloir vite tourner la page et remplacer une poignée de ministres, jugés décevants. La cheffe du gouvernement plaiderait, elle, pour des changements plus vastes et pour imposer davantage sa marque. Alors que va décider l'exécutif ? Qui sont les ministres sur la sellette ? Le président de la République doit recevoir les ministres et les secrétaires d'État à l'occasion d'un dîner ce mardi soir, et s'exprimer avant son départ dimanche pour la Nouvelle-Calédonie. D'ici là, les spéculations vont bon train alors qu'une première nomination vient d'être annoncée, celle du nouveau directeur de cabinet de la Première ministre Jean-Denis Combrexelle. Ce spécialiste du Code du travail remplace depuis lundi Aurélien Rousseau, directeur de cabinet de la Première ministre qui devait quitter cette fonction au début du mois. Sa désignation quelques jours après une reprise du dialogue entre Elisabeth Borne et les syndicats pour lancer un nouvel agenda social et, selon les mots de la Première ministre, "bâtir ensemble un nouveau pacte de la vie au travail", a été accueillie plutôt favorablement du côté des partenaires sociaux. "On va voir à l'œuvre ! Au moins, il connaît les questions du travail et les organisations syndicales. A suivre donc", a commenté Denis Gravouil (CGT), tandis qu'Hubert Mongon (Medef) l'a qualifié d'"excellent connaisseur de la matière sociale, et très reconnu ». Le maintien d'Elisabeth Borne à Matignon a également été salué par le syndicat CFE-CGC : "la continuité cela a du bon" a réagi son président François Hommeril. Du côté de la classe politique, en revanche, si la majorité se félicite de voir Élisabeth Borne rester à Matignon, les formations d'opposition déplorent la poursuite de la politique menée par Emmanuel Macron jusque-là. "Emmanuel Macron n'est pas à la hauteur des enjeux. C'est une prime à l'échec", a dénoncé Laurent Jacobelli, porte-parole du RN et député de Moselle sur franceinfo. "La capacité à agir de ce gouvernement est extrêmement faible" et "je trouve le Parlement depuis le 49-3 sur les retraites plongé dans une léthargie très inquiétante" a réagi de son côté Fabien Di Filippo, député LR de Moselle. A gauche, ce maintien est jugé "logique". "Emmanuel Macron maintient Emmanuel Macron", a ironisé le député LFI de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière, pour qui "c'est la même politique qui va continuer." Mais au sein de la Nupes, ce sont surtout les dernières déclarations de Jean-Luc Mélenchon qui suscitent des remous. L'ancien candidat à l'élection présidentielle a assimilé le CRIF- Conseil représentatif des institutions juives de France - à l'extrême droite dans un tweet publié ce dimanche. "Le président du #CRIF utilise la cérémonie à la mémoire des victimes de la rafle des juifs par la police française pour me prendre à partie. Abject. L'extrême droite n'a plus de limite." Une réponse au discours de Yonathan Arfi dans lequel ce dernier l'a accusé dimanche de se "compromettre loin du pacte républicain". Alors quels changements au sein du gouvernement ? Pourquoi les personnalités issues de la société civile ont bien souvent du mal à rester longtemps au sein de l'exécutif ? Enfin quel est l'avenir de la Nupes ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Mehdi Moussaïd est chercheur en sciences cognitives au Max Planck institute de Berlin et son but est de prédire et comprendre les mouvements de foules. Son travail est unique car s'il utilise beaucoup les sciences cognitives, il met à contribution de nombreuses autres disciplines pour pratiquer ce qu'il appelle la fouloscopie.Qu'est-ce qui explique les bousculades meurtrières ? Pourquoi le comportement des piétons diffère-t-il selon les pays ? Peut-on comparer les Hommes à des bancs de poissons ? Quels enseignements tirer de Facebook et des réseaux sociaux ?Notre avenir est forcement collectif, en tout cas pour ce qui est des grandes questions traitées dans ce podcast. Et quand bien même nous sommes des individus apparemment libres de nos choix, nous sommes d'une part largement influencés par le comportement des autres et d'autre part, la somme de nos actions individuelles donne parfois des résultats inattendus. Mieux comprendre la foule peut donc nous aider mieux réfléchir à notre destin commun, à comment le modifier ou comment s'y préparer. Rediffusion de l'épisode 54. Interview enregistrée le 4 septembre 2020----Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
durée : 00:54:40 - Grand bien vous fasse ! - par : Eva Roque - Combien de danses rythment nos vies ? Des danses qui consolent. Font vibrer nos corps et nos âmes. Des danses réparatrices aussi. Ce matin, dansons intensément. Bougeons nos corps pour vivre encore plus fort. En quoi la danse permet-elle de mieux vivre, voire de survivre ?