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We continue our series on the history of the Amazigh (Berber) people, with part four of the conversation between Azdean, co-host Sam and our researcher, Hiba.In this episode, we delve into the Amazigh language, its importance to cultural identity, and the role of the Amazigh flag. Azdean, Hiba and Sam discuss the Tifinagh script, its ancient origins, and the preservation of the Amazigh language despite historical invasions. Amazigh is an oral language, which helped it survive centuries of discrimination and oppression. However, conversely, this meant there was no formal written script until 1992! This is when a congress was held to codify grammar, spelling and form for the language and ensure its proper preservation, not to mention instruction in schools. Out of approximately 9 million Amazighophones in Morocco, the Tashelhiyt dialect is the most common, with nearly 5 million speakers, largely in the south, from Tiznit and Agadir over towards Ouarzazate in the High Atlas Mountains.This episode highlights the diversity within the Amazigh language, differentiating between various dialects spoken across North Africa such as Tarifit, Tashlehit, Siwi and Tumzabt. Modern borders have little say or influence on the spread of this ancient language and its various off-shoots, and as we've heard in the previous Amazigh Chronicles episodes, there are common bonds amongst Amazigh tribes that stretch across North Africa, indifferent to nation states.We also look at the significance of the Amazigh flag: its colors, and the symbolic representation of language, land, and people of the Amazigh culture. The conversation underscores the importance of maintaining and promoting the Amazigh language and culture across various media platforms and daily life.We encourage you to check out the following companion episodes for the full scope of our Amazigh exploration and conversations:#50: "The Amazigh Chronicles" - The Berber History of Morocco (Part 1)#51: "The Amazigh Chronicles" - The Rich Tapestry of Amazigh Tribes: History, Language, and Customs (Part 2)#70: "The Amazigh Chronicles" - The Ancient Amazigh Civilization and Their Contribution to History (Part 3)and our Live Q&A: Darija, Berber, French... what are some useful phrases for travellers in Morocco?" Do you dream of exploring the enchanting land of Morocco?Destination Morocco is your ultimate travel experience for those seeking luxury and adventure. We specialize in crafting bespoke itineraries tailored to your unique tastes and desires.If you're a discerning traveler who values an immersive, curated adventure, visit www.destinationsmorocco.com, and let us bring your dream Moroccan vacation to life.Learn more about Azdean and Destination Morocco.Explore our Private Tours and Small Group Tours!
Dans cet épisode du podcast Diptyk, Meryem Sebti s'entretient avec M'barek Bouhchichi, artiste multi-disciplinaire. Notre invité parle de son enfance entre Agadir et Tiznit, il nous raconte comment il est entré en création et enfin il évoque Akka, sa région d'origine dans laquelle il retourne aujourd'hui. ----------------- Diptyk est le magazine de référence de l'art contemporain africain, produit, publié et imprimé à Casablanca au Maroc. Avec ce podcast, nous souhaitons vous donner accès aux personnalités qui animent la scène artistique africaine et marocaine, des artistes aux galeristes en passant par les curateurs et commissaires d'exposition. Cet épisode a été enregistré à Marrakech à l'hôtel Es-Saadi en présence de l'artiste et en partenariat avec Maroc Télécom, partenaire des arts et de la création. Suivez nous sur Instagram, Facebook et abonnez-vous à notre newsletter.
Dans ce nouvel épisode de 9addat, nous sommes allés à Tiznit, à la rencontre de Leila Adghirni. Fondatrice d'un bureau d'étude, Leila anime et coordine un réseau de coopératives féminines pour la production et la commercialisation de l'huile d'Argan. D'abord née en Belgique où son père avait émigré pour travailler dans les mines, Leila nous raconte les raisons qui l'ont poussée à revenir au Maroc, à créer sa propre entreprise et à s'investir pleinement dans le développement de sa région.
Le ministère de la Santé a annoncé ce mercredi 386 nouvelles contaminations au Covid-19 recensées au cours des dernières 24 heures. Ce bilan porte à 522.389 le nombre total des cas d'infection enregistrés dans le Royaume depuis l'apparition du premier cas en mars 2020, soit un taux d'incidence cumulée de 1433,3 pour 100.000 habitants (0,6 pour 100.000 habitants durant les dernières 24 heures). Le département a également fait savoir que, depuis le lancement de la campagne nationale le 29 janvier dernier, la première dose du vaccin a été administrée à 9.354.932 personnes alors que 6.687.738 citoyens ont reçu la 2e dose. Dans le classement par régions en nombre d'infections enregistrées au cours des dernières 24 heures, Casablanca-Settat occupe la tête du Top 5 avec 178 cas, suivie de Rabat-Salé-Kénitra avec 50 nouveaux cas. Souss-Massa et Marrakech-Safi occupent la 3e et la 4e position avec respectivement 32 et 28 nouveaux cas alors que la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma ferme le Top 5 avec 26 nouvelles infections. Dans le classement journalier par villes, le Top 5 est composé de Casablanca (147 cas), Agadir-Ida Outanane (23 cas), Marrakech (22 cas), Rabat (20 cas) et Tanger-Asilah (19 cas). Le ministère a également dénombré 298 patients déclarés complètement rétablis au cours des dernières 24 heures, soit un taux de rémission de 97,6%. A ce titre, le nombre total des rémissions a atteint à ce jour 509.958 cas. Dans le même intervalle, 3 personnes ont perdu la vie Casablanca des suites du Covid-19, ce qui porte le bilan total des décès à 9.190 cas, alors que le taux de létalité reste stabilisé à 1,8%. Ces décès sont survenus dans les villes suivantes : Sidi Kacem (2), Safi (1) et Tanger-Asilah (1). Par ailleurs, le nombre des tests réalisés durant les dernières 24 heures a atteint 9.896 portant ainsi à 6.070.731 le total des tests effectués à ce jour dans le Royaume. Pour sa part, le nombre des cas actifs s'établit aujourd'hui à 3.241 personnes, dont 203 cas sévères ou critiques (soit 13 cas recensés durant les dernières 24 heures), parmi lesquels 9 sont placés sous intubation. Voici dans le détail la répartition géographique des 386 nouveaux cas par régions et provinces 178 cas à Casablanca-Settat : 147 à Casablanca, 10 à Nouaceur, 7 à Mohammedia, 4 à El Jadida, 3 à Berrechid, 3 à Mediouna, 2 à Sidi Bennour, 1 à Settat et 1 à Benslimane. 50 cas à Rabat-Salé-Kénitra : 20 à Rabat, 12 à Skhirat-Témara, 11 à Salé, 5 à Kénitra, 1 à Sidi Kacem et 1 à Sidi Slimane. 32 cas à Souss-Massa : 23 à Agadir-Ida Outanane, 6 à Inzegane-Aït Melloul, 2 à Tiznit et 1 à Chtouka-Aït Baha. 28 cas à Marrakech-Safi : 22 à Marrakech, 2 à Safi, 2 à Essaouira, 1 à El Kelâa Des Sraghna et 1 à Al Haouz. 26 cas à Tanger-Tétouan-Al Hoceïma : 19 à Tanger-Asilah, 5 à Chefchaouen, 4 à M'Diq-Fnideq et 1 à Tétouan. 21 cas à Fès-Meknès : 10 à Fès, 4 à Sefrou, 4 à Meknès et 3 à Taza. 16 cas à Drâa-Tafilalet : La totalité à Errachidia. 13 cas à Laâyoune-Sakia El Hamra : 8 à Laâyoune et 5 à Tarfaya. 10 cas à Dakhla-Oued Eddahab : La Totalité à Oued Eddahab. 5 cas dans L'Oriental : 2 à Berkane, 2 à Guercif et 1 à Oujda-Angad. 5 cas à Beni Mellal-Khénifra : 3 à Khouribga, 1 à Beni Mellal et 1 à Fquih Bensaleh. 2 cas à Guelmim-Oued Noun : La totalité à Guelmim. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/aziz-mustaphi/message
Mille trois cent quarante-trois (1.343) nouveaux cas d'infection au coronavirus (Covid-19) et 1.737 guérisons ont été enregistrés au Maroc au cours des dernières 24 heures, a annoncé dimanche le ministère de la Santé. Ce nouveau bilan porte à 61.399 le nombre de contaminations dans le Royaume depuis le premier cas signalé le 2 mars et à 46.355 celui des personnes totalement rétablies, soit un taux de guérison de 75,5%, a précisé le coordonnateur du Centre national des opérations d'urgence de santé publique au ministère de la Santé, Mouad Mrabet. Le nombre de morts est passé à 1.111, avec 33 nouveaux décès enregistrés au cours des dernières 24 heures (8 à Marrakech, 7 à Casablanca, 4 à Fès, 2 à Meknès et un à Errachidia, Midelt, Ouarzazate, Safi, El Youssoufia, Kelaat Seraghna, Larache, Agadir, Tiznit, Tanger, Taza et Boulmane), a-t-il ajouté, notant que le taux de létalité est de 1,8%. Le taux d'incidence cumulé est de 169/100.000 habitants, a-t-il souligné, notant que lors des dernières 24 heures, sur 100.000 habitants, 3,7 personnes ont été contaminées. S'agissant des cas actifs, M. Mrabet a relevé que 13.933 personnes sont actuellement sous traitement. Côté répartition géographique, M. Mrabet a fait savoir que 431 cas ont été recensés dans la région de Casablanca-Settat, 215 à Marrakech-Safi, 191 à Draâ-Tafilalet, 133 à Fès-Meknès, 127 à Rabat-Salé-Kénitra, 89 à Tanger-Tétouan-Al Hoceima, 64 à Béni Mellal Khénifra, 44 à Souss-Massa, 28 à l'Oriental, 12 à Guelmim-Oued Noun, 6 à Laâyoune-Sakia El Hamra et 3 à Dakhla-Oued Dahab. Le nombre de cas exclus après des résultats négatifs d'analyses au laboratoire s'élève à 20.658, pour un total de 1.851.566. A propos des personnes se trouvant dans un état critique, il a fait état de 195 cas admis dans les unités de réanimation et de soins intensifs, dont 42 personnes intubées (16 à Casablanca-Settat, 12 à Fès-Meknès, 6 à Marrakech-Safi, 4 à Rabat-Salé-Kénitra, 2 à Tanger-Tétouan-Al Hoceima et une personne à Draâ-Tafilalet et à l'Oriental). --- Send in a voice message: https://anchor.fm/aziz-mustaphi/message
Que cache un homme qui s'est juré de traverser le desert? Récit semi-autobiographique, d'un homme qui quitte famille et amis pour partir accomplir une traversée de désert. Apparemment, pour réaliser un rêve de jeunesse. Ou bien, serait-ce dans le cadre d'une mission diplomatique? D’une opération mystérieuse ? Ou pour cacher à tous un lourd secret. Et n’avoir comme seule issue que de l’enfouir avec lui, seul dans le désert. LA TRAVERSEE s'appuie sur l’expérience de l’auteur, Thomas Judes, et sa traversée à pied et en autonomie des déserts du Sinaï et de Wahiba à l’automne 2015. https://www.explorersconnect.com/insp... Le récit engage aussi un échange avec l’éblouissante épopée et la prose exquise et douloureuse de Michel Vieuchange et sa quête vers SMARA. Une série mystérieuse, troublée et troublante, intimiste, d'influence assez littéraire. Ecrit et réalisé par Thomas Judes. Musiques : Lektron Studio / James Lebreton / Adagio du quintet pour cordes de Schubert D.956 - par European Archive. Public Domain Steven Lebourg : Green Lagoon Steven Lebourg : Mindless References : SMARA. Carnet de route d’un fou du desert. Chez les dissidents du Sud marocain et du Rio de Oro. Paris : Plon (1932). Acteurs : Thomas JUDE Didier VAN DER HORST Helena ROSENSTEIN Kevin BRERO Dylan PEDRON Charlotte LEO Pour nous aider a continuer notre travail, pensez à commenter, noter et partager. Merci! Michel Vieuchange est un écrivain et aventurier français. Il est le premier Européen à avoir visiter les ruines de la cité interdite de Smara, dans l’Ouest saharien. Le 10 septembre 1930, déguisé en femme berbère, accompagné de guides, il part en expédition. Il n’est pas certain de l’endroit où se trouve Smara, et ne parle ni arabe ni berbère, les langues utilisées par les quelques nomades de la région. Après bien des difficultés et plus de 1 400 km parcourus, il atteint son but puis retourne à la civilisation le 16 novembre dans la ville de Tiznit, à environ 550 km de Smara. Atteint d'une dysenterie au cours de son périple, il est évacué sur l'hôpital militaire d'Agadir où il meurt quelques jours plus tard, à l'âge de 26 ans. S’il a été largement oublié, Michel Vieuchange est l’un de ces poètes de l'errance, porté par la volonté d’un accomplissement ultime et déraisonnable, obéissant à la seule injonction du désert. Son récit littéralement météorique m’a accompagné dans mes traversées de désert, en 2015. Comme le rappelle la préface d’une des rééditions : « la sécheresse d'une écriture réduite à l'essentiel confère aux cent épisodes de cette histoire déraisonnable et fascinante un caractère proprement inoubliable : nuits passées au fond du désert, campements balayés par le vent, oasis inespérées, rencontres inquiétantes ou fraternelles autour d'un feu de broussailles, découverte émerveillée de cités enterrées par le Temps; mais aussi la soif ardente, les blessures lentes à se cicatriser, la menace des pillards et des mauvais compagnons de route prompts à vendre ou à égorger le voyageur sans défense - et pour finir, l'épuisement, la maladie, la mort. Jamais en notre langue le désert n'avait été décrit, célébré, avec cette âpreté, cette violence - et cette poésie ». Ceci fait écho au voyage d’Aymeric, personnage central de La Traversée, porté par une admiration sans borne pour Michel Vieuchange, et l’appel irrépressible du désert…
Que cache un homme qui s'est juré de traverser le desert? Récit semi-autobiographique, d'un homme qui quitte famille et amis pour partir accomplir une traversée de désert. Apparemment, pour réaliser un rêve de jeunesse. Ou bien, serait-ce dans le cadre d'une mission diplomatique? D’une opération mystérieuse ? Ou pour cacher à tous un lourd secret. Et n’avoir comme seule issue que de l’enfouir avec lui, seul dans le désert. LA TRAVERSEE s'appuie sur l’expérience de l’auteur, Thomas Judes, et sa traversée à pied et en autonomie des déserts du Sinaï et de Wahiba à l’automne 2015. https://www.explorersconnect.com/insp... Le récit engage aussi un échange avec l’éblouissante épopée et la prose exquise et douloureuse de Michel Vieuchange et sa quête vers SMARA. Une série mystérieuse, troublée et troublante, intimiste, d'influence assez littéraire. Musiques : James Lebreton, Tiago Benzinho... Ecrit et réalisé par Thomas Judes. Acteurs : Thomas JUDE Didier VAN DER HORST Helena ROSENSTEIN Kevin BRERO Dylan PEDRON Charlotte LEO Pour nous aider a continuer notre travail, pensez à commenter, noter et partager. Merci! Michel Vieuchange est un écrivain et aventurier français. Il est le premier Européen à avoir visiter les ruines de la cité interdite de Smara, dans l’Ouest saharien. Le 10 septembre 1930, déguisé en femme berbère, accompagné de guides, il part en expédition. Il n’est pas certain de l’endroit où se trouve Smara, et ne parle ni arabe ni berbère, les langues utilisées par les quelques nomades de la région. Après bien des difficultés et plus de 1 400 km parcourus, il atteint son but puis retourne à la civilisation le 16 novembre dans la ville de Tiznit, à environ 550 km de Smara. Atteint d'une dysenterie au cours de son périple, il est évacué sur l'hôpital militaire d'Agadir où il meurt quelques jours plus tard, à l'âge de 26 ans. S’il a été largement oublié, Michel Vieuchange est l’un de ces poètes de l'errance, porté par la volonté d’un accomplissement ultime et déraisonnable, obéissant à la seule injonction du désert. Son récit littéralement météorique m’a accompagné dans mes traversées de désert, en 2015. Comme le rappelle la préface d’une des rééditions : « la sécheresse d'une écriture réduite à l'essentiel confère aux cent épisodes de cette histoire déraisonnable et fascinante un caractère proprement inoubliable : nuits passées au fond du désert, campements balayés par le vent, oasis inespérées, rencontres inquiétantes ou fraternelles autour d'un feu de broussailles, découverte émerveillée de cités enterrées par le Temps; mais aussi la soif ardente, les blessures lentes à se cicatriser, la menace des pillards et des mauvais compagnons de route prompts à vendre ou à égorger le voyageur sans défense - et pour finir, l'épuisement, la maladie, la mort. Jamais en notre langue le désert n'avait été décrit, célébré, avec cette âpreté, cette violence - et cette poésie ». Ceci fait écho au voyage d’Aymeric, personnage central de La Traversée, porté par une admiration sans borne pour Michel Vieuchange, et l’appel irrépressible du désert… Pour nous suivre: FB: https://www.facebook.com/silmea/ IG: silmea_productions Apple Podcast: https://podcasts.apple.com/fr/podcast/cr%C3%A9ations-silmea/id1474612477 Spotify: https://open.spotify.com/show/0aSQdMaci1wPWMpYVCEvMz Deezer : https://www.deezer.com/show/408232 Podcast Addict : http://podplayer.net/?podId=2409788 Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCTn7Cckyd00h62YeXrGd4Sg Feed RSS : https://feed.ausha.co/yvAQgt3nxzOo N’hésitez pas à laisser des notes, étoiles, commentaires ou encouragements ! MERCI !
Que cache un homme qui s'est juré de traverser le desert? Récit semi-autobiographique, d'un homme qui quitte famille et amis pour partir accomplir une traversée de désert. Apparemment, pour réaliser un rêve de jeunesse. Ou bien, serait-ce dans le cadre d'une mission diplomatique? D’une opération mystérieuse ? Ou pour cacher à tous un lourd secret. Et n’avoir comme seule issue que de l’enfouir avec lui, seul dans le désert. LA TRAVERSEE s'appuie sur l’expérience de l’auteur, Thomas Judes, et sa traversée à pied et en autonomie des déserts du Sinaï et de Wahiba à l’automne 2015. https://www.explorersconnect.com/insp... Le récit engage aussi un échange avec l’éblouissante épopée et la prose exquise et douloureuse de Michel Vieuchange et sa quête vers SMARA. Une série mystérieuse, troublée et troublante, intimiste, d'influence assez littéraire. Musiques : Lektron Studio / James Lebreton. Ecrit et réalisé par Thomas Judes. Acteurs : Thomas JUDES Didier VAN DER HORST Helena ROSENSTEIN Kevin BRERO Dylan PEDRON Charlotte LEO Pour nous aider a continuer notre travail, pensez à commenter, noter et partager. Merci! Michel Vieuchange est un écrivain et aventurier français. Il est le premier Européen à avoir visiter les ruines de la cité interdite de Smara, dans l’Ouest saharien. Le 10 septembre 1930, déguisé en femme berbère, accompagné de guides, il part en expédition. Il n’est pas certain de l’endroit où se trouve Smara, et ne parle ni arabe ni berbère, les langues utilisées par les quelques nomades de la région. Après bien des difficultés et plus de 1 400 km parcourus, il atteint son but puis retourne à la civilisation le 16 novembre dans la ville de Tiznit, à environ 550 km de Smara. Atteint d'une dysenterie au cours de son périple, il est évacué sur l'hôpital militaire d'Agadir où il meurt quelques jours plus tard, à l'âge de 26 ans. S’il a été largement oublié, Michel Vieuchange est l’un de ces poètes de l'errance, porté par la volonté d’un accomplissement ultime et déraisonnable, obéissant à la seule injonction du désert. Son récit littéralement météorique m’a accompagné dans mes traversées de désert, en 2015. Comme le rappelle la préface d’une des rééditions : « la sécheresse d'une écriture réduite à l'essentiel confère aux cent épisodes de cette histoire déraisonnable et fascinante un caractère proprement inoubliable : nuits passées au fond du désert, campements balayés par le vent, oasis inespérées, rencontres inquiétantes ou fraternelles autour d'un feu de broussailles, découverte émerveillée de cités enterrées par le Temps; mais aussi la soif ardente, les blessures lentes à se cicatriser, la menace des pillards et des mauvais compagnons de route prompts à vendre ou à égorger le voyageur sans défense - et pour finir, l'épuisement, la maladie, la mort. Jamais en notre langue le désert n'avait été décrit, célébré, avec cette âpreté, cette violence - et cette poésie ». Ceci fait écho au voyage d’Aymeric, personnage central de La Traversée, porté par une admiration sans borne pour Michel Vieuchange, et l’appel irrépressible du désert… Pour nous suivre: Apple Podcast: https://podcasts.apple.com/fr/podcast/cr%C3%A9ations-silmea/id1474612477 Spotify: https://open.spotify.com/show/0aSQdMaci1wPWMpYVCEvMz Deezer : https://www.deezer.com/show/408232 Podcast Addict : http://podplayer.net/?podId=2409788 Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCTn7Cckyd00h62YeXrGd4Sg Feed RSS : https://feed.ausha.co/yvAQgt3nxzOo N’hésitez pas à laisser des notes, étoiles, commentaires ou encouragements ! MERCI !
Que cache un homme qui s'est juré de traverser le desert? Récit semi-autobiographique, d'un homme qui quitte famille et amis pour partir accomplir une traversée de désert. Apparemment, pour réaliser un rêve de jeunesse. Ou bien, serait-ce dans le cadre d'une mission diplomatique? D’une opération mystérieuse ? Ou pour cacher à tous un lourd secret. Et n’avoir comme seule issue que de l’enfouir avec lui, seul dans le désert. LA TRAVERSEE s'appuie sur l’expérience de l’auteur, Thomas Judes, et sa traversée à pied et en autonomie des déserts du Sinaï et de Wahiba à l’automne 2015. https://www.explorersconnect.com/insp... Le récit engage aussi un échange avec l’éblouissante épopée et la prose exquise et douloureuse de Michel Vieuchange et sa quête vers SMARA. Une série mystérieuse, troublée et troublante, intimiste, d'influence assez littéraire. Musiques : Lektron Studio / James Lebreton. Ecrit et réalisé par Thomas Judes. Acteurs : Thomas JUDE Didier VAN DER HORST Helena ROSENSTEIN Kevin BRERO Dylan PEDRON Charlotte LEO Pour nous aider a continuer notre travail, pensez à commenter, noter et partager. Merci! Michel Vieuchange est un écrivain et aventurier français. Il est le premier Européen à avoir visiter les ruines de la cité interdite de Smara, dans l’Ouest saharien. Le 10 septembre 1930, déguisé en femme berbère, accompagné de guides, il part en expédition. Il n’est pas certain de l’endroit où se trouve Smara, et ne parle ni arabe ni berbère, les langues utilisées par les quelques nomades de la région. Après bien des difficultés et plus de 1 400 km parcourus, il atteint son but puis retourne à la civilisation le 16 novembre dans la ville de Tiznit, à environ 550 km de Smara. Atteint d'une dysenterie au cours de son périple, il est évacué sur l'hôpital militaire d'Agadir où il meurt quelques jours plus tard, à l'âge de 26 ans. S’il a été largement oublié, Michel Vieuchange est l’un de ces poètes de l'errance, porté par la volonté d’un accomplissement ultime et déraisonnable, obéissant à la seule injonction du désert. Son récit littéralement météorique m’a accompagné dans mes traversées de désert, en 2015. Comme le rappelle la préface d’une des rééditions : « la sécheresse d'une écriture réduite à l'essentiel confère aux cent épisodes de cette histoire déraisonnable et fascinante un caractère proprement inoubliable : nuits passées au fond du désert, campements balayés par le vent, oasis inespérées, rencontres inquiétantes ou fraternelles autour d'un feu de broussailles, découverte émerveillée de cités enterrées par le Temps; mais aussi la soif ardente, les blessures lentes à se cicatriser, la menace des pillards et des mauvais compagnons de route prompts à vendre ou à égorger le voyageur sans défense - et pour finir, l'épuisement, la maladie, la mort. Jamais en notre langue le désert n'avait été décrit, célébré, avec cette âpreté, cette violence - et cette poésie ». Ceci fait écho au voyage d’Aymeric, personnage central de La Traversée, porté par une admiration sans borne pour Michel Vieuchange, et l’appel irrépressible du désert…
When I left you on my African journey, I was in Conakry, Guinea, in the western part of Africa. By then I had been traveling overland – except for one flight from Dakar to Conakry – in small crammed cars and minibusses on bad roads. ROUGH TRAVELING It was from Fez in the northern part of Morocco to Rabat, Casablanca, Marrakesh, Tiznit, Tan-Tan. Then back to Tiznit when I needed to go to the hospital, down to Dakhla in Western Sahara, Nouakchott in Mauritania, Dakar in Senegal, The Gambia, Cap Skirring in Senegal, Guinea-Bissau, and then back through The Gambia to Dakar to catch a flight to Conakry. All in all the transport overland was 5750 kilometers – more than 3500 miles. The busses in Morocco was fairly nice, but then they became smaller, older and much more noisy with a lot less room to move. Sometimes those tiny minibusses had a live squealing pig tied to the roof. And sometimes, it was the so-called "sept-place." Usually, an old Peugeot station wagon converted into a seven-seater. Seven plus the driver. None of these have air-conditioned or any schedule. They leave when all the seats are sold. You always had to negotiate the price, and always knew that you were paying many times more than the locals. Just because you're a white westerner – so obviously you're rich. The last of these drives was the last leg of the 1000 km drive from Guinea-Bissau to Dakar. Here I negotiated too hard and "only" paid double everyone else, and as punishment, I was given the worst seat in the back corner of this old Peugeot. It was the seat with the lowest ceiling and less legroom than any other seat. As the tallest man in the car I couldn't feel my legs after 10 minutes and kept banging my head against the metal beam in the ceiling right over my head whenever the car hit one of the many potholes on the roads. And they were all over. I'm not saying this to give the impression that I hated my three months in Western Africa. Because I didn't. On the contrary: I loved it! I met so many amazing people, and it was such an adventure. But I was tired – both mentally and physically, and started to look into a way to get down to one of my favorite cities, Cape Town. I came across a flight with Ethiopian Air from Conakry. On the same ticket I was able to have a two-day stop-over in a country and a city, I hadn't been to before. So instead of flying south from Conakry to Cape Town, I was heading straight east – to Addis Ababa. BIGGEST RELIGIOUS EVENT OF THE YEAR As soon as I landed, I checked into Bole Skygate Hotel – a nice little airport hotel, and the next morning I was woken up by the sound of thousands of people getting ready for a parade outside my hotel. I went out into the area where the parade was going on. This is a religious celebration called Timkat. It's the most important ceremony of the Ethiopian Orthodox Church, the feast of the epiphany that celebrates the baptism of Jesus Christ in the Jordan River. It's celebrating on January 19 and by pure coincidence just the next day after I arrived. During the ceremony, a replica off the ark of the government is wrapped in rich cloth and taken in procession. The singing, dancing and the procession itself was truly a spectacular sight. TOURING ADDIS ABABA In the afternoon I've arranged with Tom, a local driver and tour guide to take me around Addis Ababa for a few hours. Addis Ababa is the capital and largest city of Ethiopia. According to my research, the city has a population of 2.7 million inhabitants – but Tom thinks it's closer to 6 million. It is where the African Union is headquartered, and where its predecessor, the Organisation of African Unity was based. It also hosts the headquarters of the United Nations Economic Commission for Africa, as well as various other continental and international organizations. Addis Ababa is therefore often referred to as "The political capital of Africa" for its historical, diplomatic and political significance for the continent. IS ETHIOPIA DEMOCRATIC? The government of Ethiopia is a federal parliamentary republic, where the Prime Minister is the head of government. The government chooses the prime minister. The laws are made in both the government and the two chambers of parliament. The 108 seat House of Federation has members chosen by the state assemblies to serve five-year terms. And the 547-seat House of People's Representatives is elected by direct election. So on paper, it all sounds good and democratic. However, there's a thing called "Democracy Index" that makes a list of how democratic countries are. It measures the state of democracy in 167 countries compiled by the Economist Intelligence Unit (EIU). On this list, the Scandinavian countries and New Zealand are on top of the list – and North Korea is on the bottom. Ethiopia is number 128 on the list. So way down. In the car with Tom, we just passed the parliament. "This is where the stupid idea has come from," Tom says. "I don't like the government at all because they don't do good things for poor people. So that's why I called them stupid." I said that I heard that it is a democracy and that they do have free elections. "We have the name only. We are ruled by force, and nobody's happy with the government." "But you get to vote? ", I say. Tom: "I don't want to vote anymore. My vote didn't bring any change here." Me: "Do you think the elections are rigged?" Tom: "Yes, 100%." When I ask him if they protest or demonstrate, he tells me that when they try to protest the government, they started killing the people. LUXURY IN ADDIS ABABA We pull into a car park because Tom wanted to show me a big park with swimming pools and fountains behind the Sheraton Addis hotel. It's a five-star luxury hotel where the rooms start at 400 € per night. We saw kids playing in the pool, someone posing for wedding photos and generally rich people hanging out. I didn't ask for this, but I guess Tom thought that he wanted to show me something he was proud of in his city. It was nice to see another side of Ethiopia, but it wasn't what I was there for. So after an hour, we got back in the car to see a bit more of the authentic Addis. THIS WAS A GREAT DAY – SO FAR This had been a great day up until now. But as soon as I say goodbye to Tom, things turn bad. In the next episode, I get a text message that makes me think that I'm going to die. Also, I get scammed. LINKS: Sponsor Hotels25.com The Radio Vagabond is produced by RadioGuru. 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Da jeg forlod dig på min afrikanske rejse, var jeg i Conakry, Guinea, i den vestlige del af Afrika. Med undtagelse af en enkelt flyvning fra Dakar til Conakry havde hele turen været på landjorden – i små skramlede biler og minibusser på dårlige veje. EN DRØJ REJSE På den måde havde jeg rejst fra Fez i den nordlige del af Marokko til Rabat, Casablanca, Marrakech, Tiznit og Tan-Tan. Derefter tilbage til Tiznit, da jeg skulle gå til hospitalet, så ned til Dakhla i Vestsahara, Nouakchott i Mauretanien, Dakar i Senegal, Gambia, Cap Skirring i det sydlige Senegal, Guinea-Bissau og derefter tilbage gennem Gambia til Dakar for at tage med et fly ned til Conakry i Guinea. Alt i alt var det over 5750 kilometer på den måde. Busserne i Marokko var rimelige, men herefter blev de mindre, ældre og meget mere støjende med meget mindre plads. Nogle gange havde de små minibusser et levende skrigende svin bundet til taget. Og nogle gange var det de såkaldte "Sept-Place". En gammel Peugeot station vogn, der var lavet om til en deletaxa med plads til syv passagerer. Ingen af disse har aircondition eller nogen køreplan. De kører først, når alle sæder er solgt. Man er altid nødt til at prutte om prisen, og man ved altid, at man betaler mange gange mere end de lokale. Bare fordi du er en hvid vesterlænding – så naturligvis er du dermed rig. Den sidste af disse køreturer var den sidste del af min rejse på 1000 km fra Guinea-Bissau til Dakar. Her pressede jeg prisen lidt for hårdt og betalte "kun" det dobbelte af alle andre, og som straf fik jeg det værste sæde i bageste hjørne af denne gamle Peugeot. Det var pladsen med det laveste loft og mindre benplads end de andre pladser. Som den højeste mand i bilen kunne jeg ikke føle mine ben efter 10 minutter og blev ved med at banke mit hoved mod den metalstang der var i loftet lige over mit hoved. Det skete hver gang bilen ramte en af de mange huller i vejene. Jeg fortæller ikke dette for at give dig indtryk af, at jeg hadede mine tre måneder i Vestafrika. Fordi jeg ikke gjorde det. Tværtimod, jeg elskede det! Jeg mødte rigtig mange fantastiske mennesker, og det var et kæmpe eventyr. Men jeg var træt – både mentalt og fysisk, og begyndte at kigge efter en måde at komme ned til en af mine yndlingsbyer, Cape Town. SYDAFRIKA VIA ETIOPIEN Jeg faldt over en flyvning med Ethiopia Air fra Conakry, hvor jeg på den samme billet kunne få en to-dages mellemlanding i et land og en by, jeg havde ikke været i før. Så i stedet for at flyve sydpå fra Conakry til Cape Town, fløj jeg stik øst – til Addis Ababa. ÅRETS STØRSTE RELIGIØSE BEGIVENHED Så snart jeg landede, checkede jeg ind på Bole Skygate Hotel, et dejligt lille lufthavnshotel, og næste morgen blev jeg vækket af lyden af tusindvis af mennesker, der var ved at gøre sig klar til en parade udenfor mit hotel. Så jeg spiste hurtigt morgenmad og gik ud for at kigge på det. Dette er en religiøs højtid, der kaldes Timkat, og det er den vigtigste ceremoni i den etiopiske ortodokse kirke, der fejrer Jesu Kristi dåb i Jordanfloden. Det fejres hvert år den 19. januar og helt tilfældigt præcis dagen efter, jeg ankom. Under ceremonien tages en model af en båd ark i procession. Både sangen, dansen og selve processionen var virkelig fantastisk at opleve. KØRETUR RUNDT I ADDIS ABABA Om eftermiddagen har jeg arrangeret med en lokal tour guide, Tom, at han skal køre mig rundt i Addis Abeba i et par timer og vise mig forskellige ting. Addis Abeba er Etiopiens hovedstad og landets største by. Jeg havde læst mig frem til at byen har en befolkning på 2,7 millioner indbyggere - men Tom mener, at det er tættere på 6 millioner. Det er her den afrikanske union har sit hovedkontor, og hvor dets forgænger, Organisation of African Unity var baseret. Det er også vært for hovedkvarteret for United Nations Economic Commission for Africa, samt forskellige andre kontinentale og internationale organisationer. Addis Abeba betegnes derfor ofte som "Afrikas politiske hovedstad" for dens historiske, diplomatiske og politiske betydning for kontinentet. ER ETIOPIEN DEMOKRATISK? Etiopien er en føderal parlamentarisk republik, og på papir lyder det hele godt og demokratisk. Men der er dog liste, der hedder "Democracy Index", som viser hvor demokratiske lande i virkeligheden er. Den er udarbejdet af Economist Intelligence Unit (EIU), og her er de skandinaviske lande og New Zealand øverst på listen - og Nordkorea ligger på sidstepladsen. Etiopien er nummer 128 på listen. Så langt nede på listen og tilsyneladende ikke helt så demokratisk. Da vi passerer parlamentet siger Tom: "Det er her de dumme ide er kommet fra". Jeg siger, at jeg ellers har hørt, at det er et demokratis land. "Vi har kun navnet. Vi styres med magt, og ingen er glade for regeringen". Tom fortæller videre, at han er sikker på at der er valgfusk og har ingen planer om at stemme igen. Da jeg spørger ham om de ikke protesterer eller demonstrerer, fortæller han mig, at når de forsøger, begyndte regeringen at dræbe folket. LUXURY IN ADDIS ABABA Vi kører ind på en parkeringsplads, fordi Tom ville vise mig en stor park med swimmingpools og springvand bag Sheraton Addis hotel. Det er et femstjernet luksushotel, hvor værelserne starter på 3000 kr. pr. nat. Vi så børn leger i poolen, nogen der tager bryllupsbilleder og i det hele taget en masse rige mennesker, der hænger ud. Det var ikke noget, jeg havde bedt om, men jeg tænker, at Tom gerne ville vise mig noget, han var stolt af i sin by. Det var fint at se en anden side af Etiopien, men det var ikke, hvad jeg var her for. Så efter en time var vi tilbage i bilen for at se lidt mere af den autentiske Addis. DETTE VAR EN FANTASTISK DAG – INDTIL NU Indtil videre havde det været en rigtig god dag, men efter jeg har sagt farvel til Tom, bliver dagen helt anderledes. I den næste episode får jeg en tekstbesked, der får mig til at tro, at jeg skal dø. Og så bliver jeg fuppet så vandet driver. LINKS: Radiovagabond er produceret af Radioguru. Sponsor Hotels25.dk Se billeder på Radiovagabond.dk Følg også RadioVagabond på Facebook, Twitter, Instagram og YouTube.
Join Edvard and me as we work our way from Tiznit in Morocco via Dakhla in Western Sahara towards Mauritania. We start in a café in the morning where I have to break the news to Edvard that I'm not able to do a 17 hour bus ride because I'm still sick. LINKS: Sponsor Hotels25.com See pictures on TheRadioVagabond.com You can follow The Radio Vagabond on Facebook, Twitter, Instagram og YouTube.
In this episode, I speak with Mokhtar, who has grown up as a true nomad in the Sahara Desert. Just until he became a teenager, he was almost nothing but his family, a bunch of goats and a lot of sand — no TV, radio or other things that we take for granted. Also, he does not know when he was born beyond the fact that it was in 1962 and it was under a sandstorm. I'm talking with him just before we're on our way back to Tiznit. I have become ill and need to go to the hospital. You can join me the way to the doctor's office and hear what's wrong with me. Also, I get help from my new friend, Omar - "The Butcher from Tiznit." Omar is a great help in a difficult situation and in addition to paying my hospital bill (even though I'm insured) he invites Edvard and me home and have dinner privately with him. LINKS: Sponsor Hotels25.com See pictures on TheRadioVagabond.com You can follow The Radio Vagabond on Facebook, Twitter, Instagram og YouTube.
ENGLISH: TheRadioVagabond.com I denne episode taler jeg med Mokhtar, som er vokset op som rigtig nomade i Sahara Ørkenen. Helt op til han blev teenager så han næsten ikke andet end sin familie, en flok geder og en masse sand. Ikke noget med TV, radio eller andre ting, som vi tager for givet. Faktisk ved han ikke, hvornår han er født ud over, at det var i 1962 og det var under en sandstorm. Jeg taler med ham lige inden, vi er på vej tilbage til Tiznit. Jeg er blevet syg og skal på sygehuset. Du kan tage med helt ind til lægen øg høre, hvad jeg fejler. Desuden får jeg hjælp af min nye ven, Omar - "Slagteren fra Tiznit". Omar er en kæmpe hjælp i en svær situation og ud over at betale min hospitalsregning, selvom jeg er forsikret, så inviterer han Edvard og mig hjem og spise middag hos ham privat. God fornøjelse. LINKS: Sponsor Hotels25.dk Se billeder på Radiovagabond.dk Følg også RadioVagabond på Facebook, Twitter, Instagram og YouTube.
We have a lot to cover in this episode. I'm in the southern part of Morocco and first we visit the little city, Tiznit. Edvard and I become good friends with the local butcher, Omar. Them we travel further south to another small city called Tan-Tan. On the way there we're stopped twice, first by the customs and then by the police. Both times they only want to see the passports from me and Edvard. Very weird, but an indication that we are getting close to Western Sahara. In Tan-Tan we meet two wonderful people that have offered to host us for a few days, we get caught in the first rain in this part of Sahara for years and then I get a fever. LINKS: Sponsor Hotels25.com See pictures on TheRadioVagabond.com You can follow The Radio Vagabond on Facebook, Twitter, Instagram og YouTube.
ENGLISH: TheRadioVagabond.com Vi kommer langt omkring i denne episode. Jeg er i den sydlige del af Marokko og besøger først den lille by Tiznit, hvor Edvard og jeg bliver gode venner med den lokale slagter, Omar. Herefter tager vi videre sydpå til en anden lille by, Tan-Tan. På vej dertil bliver vi stoppet af både toldere og politi, som kun er interesseret i vores pas. En meget besynderlig oplevelse. I Tan-Tan møder vi to vidunderlige mennesker, danske Esther og marokkanske Mokhtar, som har tilbudt os at bo hos dem. Vi bliver fanget i det første regnskyl i denne del af Sahara i årevis, og så bliver jeg syg. LINKS: Sponsor Hotels25.dk Se billeder på Radiovagabond.dk Følg også RadioVagabond på Facebook, Twitter, Instagram og YouTube.
When you look at abstract art, what are you supposed to see among all those splatters and blobs? Abbi sorts out her feelings about Jackson Pollock’s monumental action paintings with a little help from the dancer and choreographer Mark Morris, and she puzzles over the scratchy surfaces of Cy Twombly’s paintings with Rookie editor, Broadway actor, and fashion prodigy Tavi Gevinson. Also featuring: Corey D’Augustine, Stella Jacobson, and Anne Umland Jackson Pollock. One: Number 31, 1950. 1950. Oil and enamel paint on canvas. (The Museum of Modern Art, New York. Sidney and Harriet Janis Collection Fund (by exchange). © 2017 Pollock-Krasner Foundation/Artists Rights Society (ARS), New York) Cy Twombly. Tiznit. 1953. White lead, oil-based house paint, wax crayon, and lead pencil on canvas. (The Museum of Modern Art, New York. Promised gift of Marie-Josée and Henry R. Kravis. © 2017 Cy Twombly Foundation)
It must have been that Laetoli that made me feel all Tiznit just after 45 seconds I had it, just like La Goutte D'Or back in those Ekadasi Days when we spent Midnight At The Twenty Grand watching the Delta. Take a plunge, dive deep, hold your breath, resurface. Nice! Respectively As One, Stacey Pullen, Winton Chester, St. Germain, Flowertz, The Detroit Experiment, Higher Intelligence Agency ./..
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20 ans après avoir posé sa valise au Canada, Ahmed Benbouzid réfléchit à son avenir. Développeur de projets, l’homme, originaire de Tiznit, dans le sud du Maroc, veut maintenant réorienter sa carrière.