Les documentaires de Radio-Canada vous font découvrir le monde, ses enjeux et ses histoires de façon originale. Le regard unique de nos artisans se pose sur la culture, la politique, l'histoire, les sports ou sur des personnages importants de notre société. Plongez au cœur de ces heures d'écoute rad…
Les hommes parlent moins de leurs sentiments que les femmes. N'est-ce qu'un stéréotype? Les comédiens Christian Bégin et Pierre Curzi racontent combien le silence a fait partie de la vie de nombreuses générations d'hommes, puis abordent l'apprentissage à l'ouverture et à la discussion.
« Le privé est politique. Pour moi, amener une perspective critique à mes rapports intimes et de le partager est positif. C'est quelque chose qui peut amener à la discussion, trop longtemps honnie. La violence sexuelle était assez taboue. De l'amener sur la place publique, c'est une façon de faire avancer la société », dit l'autrice et animatrice Léa Clermont-Dion.
Dans une discussion empreinte de confidences, l'artiste innue Natasha Kanapé Fontaine explique ce qu'est l'amour « décolonial » et nous parle de sa quête du grand amour.
Depuis que l'humoriste, animateur et chroniqueur Fred Savard a arrêté de boire, sa vie et ses relations personnelles ont changé, ainsi que sa notion du couple et des relations amoureuses et amicales. Il en discute avec Karima Brikh lors d'une conversation ouverte et franche.
« L'aréna fait partie des lieux des Canadiens et des Québécois; c'est un lieu de rencontre, une place publique, une église laïque », observe l'animateur Pierre Thibault. Dans la dernière de cette série de quatre émissions, Caroline Ouellette, joueuse et entraîneuse de hockey, et l'animateur Serge Bouchard, un grand amateur de hockey, expliquent en quoi l'aréna représente un lieu primordial pour eux.
L’architecte Pierre Thibault rencontre des citoyens qui reconstruisent Lac-Mégantic : l’ex-mairesse Colette Roy-Laroche, l’actuelle mairesse Julie Morin; Stéphane Lavallée, qui a redonné vie à la Chapelle du rang 1; Paul Dostie, enseignant de français à la retraite, qui offre des visites guidées de la ville pendant la saison touristique; ainsi que Liette Duquette et Richard Custeau, membres du comité de l'Espace de mémoire.
La comédienne Marie-Thérèse Fortin a joué sur toutes les scènes théâtrales du Québec. Le chef Yannick Nézet-Séguin dirige l'Orchestre métropolitain, l'Orchestre de Philadelphie et le Metropolitan Opera de New York; il donne des concerts sur toutes les scènes du monde et développe une relation particulière avec chacune de ces salles. L'architecte Pierre Thibault discute avec ces deux artistes du lieu qui les fait vibrer, la scène.
Tel un ami qui l'accompagne depuis l'enfance, le fleuve Saint-Laurent fait partie de la vie de Pierre Thibault. L'architecte, qui dessine aujourd'hui des maisons sur le fleuve pour des clients, rencontre deux passionnés de cet important cours d'eau nord-américain, le capitaine Dominique Lachance et la comédienne Sylvie Drapeau.
En 50 ans de carrière, Robert Charlebois aura marqué les esprits des deux côtés de l'Atlantique. « Il a apporté le Québec à la chanson française », affirme Patrick Bruel. Pour Denise Bombardier, il est « le porte-étendard de la génération de la Révolution tranquille ». Pierre Lapointe, Michel Rivard et Alain Souchon décrivent également l’influence de Robert Charlebois.
Robert Charlebois naît à Montréal le 25 juin 1944. Quand il a neuf ans, ses parents l'envoient dans un pensionnat administré par les sœurs. L'apprentissage du piano devient une échappatoire à la rigueur de l'enseignement. Adolescent, il se passionne pour le rock and roll américain et découvre la chanson française, puis fréquente les boîtes à chansons.
Au début des années 60, Robert Charlebois quitte le collège pour suivre des cours de théâtre à Montréal. Il y fait quelques rencontres majeures : Louise Forestier, Claudine Monfette, alias Mouffe, et Marcel Sabourin. En 1965, Charlebois enregistre son premier album. Trois ans plus tard, il crée, en une seule nuit, la chanson Lindberg avec Claude Péloquin.
Vers la fin des années 60, Robert Charlebois crée l'Osstidcho avec Mouffe, Louise Forestier et Yvon Deschamps. L'événement déjanté et ébouriffé, né d'un hasard, enchante le public québécois. En 1969, Charlebois courtise l'Europe, notamment à l’Olympia de Paris. Un incident mythique un soir de spectacle consacre sa carrière en France.
À l'été 70, Robert Charlebois côtoie Janis Joplin et le groupe Grateful Dead à bord du train du Transcontinental Pop Festival. Au Festival de Cannes, il rencontre Sergio Leone. Le cinéaste lui propose un rôle dans le film Un génie, deux associés, une cloche, qui s’avère un navet. La réputation de Charlebois est malgré tout bien établie sur les scènes européennes.
Robert Charlebois participe à deux spectacles monstres qui canaliseront la ferveur nationaliste : J'ai vu le loup, le renard, le lion, avec Félix Leclerc et Gilles Vigneault, ainsi que 1 fois 5, avec Vigneault, Claude Léveillée, Jean-Pierre Ferland et Yvon Deschamps. Charlebois entretient toutefois un certain flou sur sa position sur la question nationale.
Robert Charlebois a créé plusieurs de ses textes au cours de sa carrière, mais de son propre aveu, ses meilleures chansons ont été écrites par d'autres. Mouffe est derrière l’une de ses pièces les plus introspectives, Un gars ben ordinaire. Réjean Ducharme lui a écrit des perles, tout comme Jean-Loup Dabadie, Luc Plamondon et Marcel Sabourin.
Chez Robert Charlebois, tout est lié intimement à la musique. Assis au piano pour cet épisode de la série, le fougueux musicien replonge dans ses souvenirs d'enfance pour raconter la genèse de sa carrière musicale, un très beau moment d'intimité pendant lequel on entend Charlebois interpréter les pièces qui ont bercé ses premières années.
Pour ce dernier épisode, le réalisateur Francis Legault recueille les impressions de Robert Charlebois en tournée. En musique, Rufus Wainwright, Klô Pelgag, Arno, Anne Dorval et Marc Labrèche interprètent chacun une chanson du répertoire de Charlebois, dans des versions inédites et créées uniquement pour la série.
Est-ce qu’on naît garçon ou on le devient? Les professeurs Égide Royer et Richard Cloutier, ainsi que le docteur en neurosciences Joël Monzée discutent des constats scientifiques à ce sujet. Karina Marceau recueille aussi les observations d’une éducatrice et du directeur du centre de la petite enfance où va son fils, Léon, pour mieux comprendre la réalité d’un petit garçon de 4 ans. Avec Karina Marceau (animatrice), Jean Morin, Nathalie Thibault, Jean Tanguay, Égide Royer, Richard Cloutier, Alexandre Dussault et Joël Monzée (invités)
Le système scolaire actuel sied mieux aux filles qu’aux garçons, selon le psychothérapeute Joël Monzée. « Ce sont les garçons qui décrochent, et ce, depuis plusieurs générations. » Pour comprendre comment favoriser la réussite scolaire de ces derniers, Karina Marceau s’entretient notamment avec des spécialistes, des adolescents et un décrocheur. Avec Karina Marceau (animatrice), Jonathan Marceau, Gilles Tremblay, Alexandre Dussault, Joël Monzée, Elisabeth Daigle et Nicolas Dion (invités)
« Les gars ont quelque chose à dire, et ils veulent être entendus », constate le professeur de philosophie Jérémie McEwen. Quelques-uns de ses étudiants se confient à Karina Marceau sur leur vision de la masculinité, une notion plus éclatée que jamais. De son côté, le psychologue Égide Royer plaide pour qu’il y ait plus d’hommes dans le milieu de l’éducation. Avec Karina Marceau (animatrice), Égide Royer, Gilles Tremblay, Richard Cloutier, Alexandre Dussault, Joël Monzée, Ivan Bienlinski, Zéphyr Bienlinski et Jérémie McEwen (invités)
Est-ce une chance d’être adopté? Pierre-Luc, né en Colombie, et Sara, originaire du Mali, se posent la question avec Josélito Michaud. Ils font part de la peur de l’abandon et des troubles de l’attachement dont ils ont souffert. « L’adoption ne guérit rien, ça arrête les dégâts », explique la travailleuse sociale et psychothérapeute Johanne Lemieux. Le pédiatre Jean-François Chicoine décrit comment les enfants adoptés se construisent malgré les blessures du passé.
Charles-Antoine, originaire du Cambodge, Isabelle, venue d’Haïti, et Véronique, née en Chine, témoignent de leur désir plus ou moins profond de rechercher et de connaître leurs origines. Josélito Michaud parle aussi des relations, pas toujours idéales, avec les parents adoptifs. Manuelle Alix-Surprenant, fondatrice de l’organisme L’Hybridé, explique l’importance pour les personnes adoptées de se réapproprier leur histoire.
Josélito Michaud s’entretient avec Valéry, adoptée en Russie et qui a connu une adolescence difficile. Elle témoigne de ses efforts pour surmonter les traumatismes de son passé et son bagage génétique. Le philosophe Frédéric Lenoir explique que l’inné conditionne en grande partie notre bonheur, mais que nos choix de vie sont tout aussi importants. La série se conclut par une grande rencontre entre les six participants qui discutent ensemble de leurs parcours d’enfants adoptés à l’étranger.
Charles Aznavour naît en 1924, à Paris, de parents d'origine arménienne. Cet épisode retrace son enfance, les années de guerre et la Libération, puis ses débuts dans la chanson. Dans les années 40, Aznavour forme un duo avec le pianiste et compositeur Pierre Roche, bientôt remarqué par Édith Piaf.
À la fin des années 40, le duo Aznavour et Roche part rejoindre Édith Piaf en Amérique. Ils participent à sa tournée à New York, avant de se produire seuls à Montréal. De retour en France, Aznavour prend ses distances avec Roche et entame une fructueuse collaboration avec Gilbert Bécaud.
Au début de sa carrière, Charles Aznavour connaît une effervescence créatrice. Il écrit des chansons pour Édith Piaf, Juliette Gréco ou encore Marcel Amont. Certaines d’entre elles sont même érotiques. En 1955, Bruno Coquatrix l'invite à chanter à l'Olympia, à Paris. Cependant, sa voix ne fait pas l’unanimité auprès du public et de la critique.
Charles Aznavour n’attend pas d’être connu pour organiser des tournées internationales. Espagne, Allemagne, Italie : il voit grand et fait traduire ses chansons en plusieurs langues. En 1963, il se produit au Carnegie Hall, à New York. Aznavour devient très populaire aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Dans les années 90, il donne une série de concerts avec Liza Minnelli.
Cet épisode revient sur les rencontres, les influences et les collaborations qui ont marqué la carrière de Charles Aznavour. Serge Lama, Luc Plamondon, Petula Clark, Plume Latraverse et plusieurs autres personnalités racontent des anecdotes sur Aznavour, l’homme et l’artiste.
Charles Aznavour chante, mais il joue aussi. Comédiens et metteurs en scène sont séduits par son talent d’acteur. Son jeu d’une grande justesse se distingue par sa sobriété et son intensité dramatique. Charles Aznavour évoque ici plusieurs souvenirs de tournage.
Charles Aznavour est très attaché à ses origines arméniennes. Il leur rend d’ailleurs hommage dans ses chansons comme au cinéma. Il a chanté Ils sont tombés après les attentats terroristes survenus au milieu des années 1970 et Pour toi Arménie après le tragique tremblement de terre de 1988. En 2002, il tourne dans le film Ararat, d'Atom Egoyan.
Cet épisode aborde Charles Aznavour sous toutes ses coutures : le métier, la scène, l'écriture, les femmes, la vie et la mort. Aznavour y parle de l'autocritique, de l'amour, de sa famille, du respect, de ses lectures, de l'homosexualité qu'il chante à la première personne et de ce qui l'émeut.
Juliette Gréco, Marcel Amont, Isabelle Boulay et Garou, entre autres, ont tous un point en commun : ils ont chanté du Charles Aznavour. Ils racontent, ainsi que le font plusieurs autres interprètes, leur rencontre avec Aznavour, parlent de la chanson qu’il a écrite pour eux, ou dans quelles circonstances ils l’ont chantée.
En conclusion de la série, Charles Aznavour – qui se décrit comme un « comédien de la chanson » – discute de son style musical, de son écriture et de ses influences (arméniennes, surtout). Il explique sa démarche artistique et le message d'espoir qu’il porte.
Où commence et où se termine le Grand Nord, cette région qui recouvre 40 % de la superficie du Canada? Amorçons l’exploration de cet immense territoire avec des pilotes d’Air Inuit. Le député fédéral cri Roméo Saganash et le politologue Thierry Rodon rappellent pour leur part l’importance de la Convention de la Baie-James.
Le Grand Nord est une terre imprévisible où la tradition est confrontée à l’inévitable pression de la modernité. Il n’est pas facile d’affirmer son identité dans ce contexte, mais c'est ce que tentent de faire une jeune inuite qui retrouve ses proches à Iqaluit et un Autochtone du Yukon adopté il y a des années par une famille blanche du Sud.
Territoire de contrastes, le Grand Nord peut rimer avec un sentiment de liberté. Climat, culture, rapport au temps, ce lieu est souvent à l'origine d'un nouveau départ, à l’image de l’expérience vécue par les musiciens de Quantum Tangle, l'artiste Laakkuluk Williamson Bathory et un charpentier de Salluit.
Après des années de politique d'acculturation menée par l'Église et le gouvernement canadien, le peuple inuit reconquiert aujourd'hui sa culture et ses croyances. Néanmoins, la page de ce lourd passé est loin d'être tournée. Les anthropologues Serge Bouchard et Lisa Koperqualuk sont chacun déterminés à aider les Inuits à retrouver leurs repères et à reconquérir leur culture.
Parler de santé dans le Grand Nord revient régulièrement à en souligner les problèmes. Pourtant, l’environnement hostile du village de Salluit, au Nunavik, est aussi le lieu de petits miracles quotidiens accomplis par des praticiens dévoués. Le médecin et poète Jean Désy et le premier chirurgien autochtone québécois, Stanley Vollant, racontent leur expérience.
Que ce soit le travail, l’éducation ou une quête personnelle, les raisons pour se rendre dans le Nord ou le quitter sont variées. Cet exil peut aussi représenter un déracinement, à l’image de cette famille du Nunavik installée à Montréal et de ce chauffeur de taxi africain établi à Iqaluit.
Le système de justice n’est pas adapté à la réalité du Grand Nord. Il y est donc difficile pour les policiers, les avocats et les juges, confrontés à des problèmes de violence conjugale et de consommation d’alcool et de drogues, de faire appliquer les lois. Et c’est sans parler des victimes qui se retrouvent tristement en situation d’itinérance.
Le Grand Nord connaît un baby-boom qui pose un énorme défi démographique. Comment développer ce territoire pour les générations futures? Faut-il exploiter les richesses naturelles ou bien s'ouvrir au Sud et miser sur le tourisme et la culture inuite, comme à Kuujjuaq et Iqaluit? Beatrice Deer, artiste-compositrice, et Jean-François Arteau, avocat, proposent des pistes de réflexion.
Dans ce portrait réalisé sous forme de collage sonore, Jacques Brel se raconte à travers les archives de Radio-Canada. Le chanteur belge aborde sans retenue des sujets aussi variés que l’amour, la musique, l’écriture, la famille et les défis de son métier. L’épisode est constitué de nombreuses entrevues accordées par Jacques Brel entre 1963 et 1974, lors de ses passages au Québec.
Dans cet épisode réalisé par Anne-Sophie Bruyndonckx et Jean-Marc Vierset pour la RTBF, la famille et les amis proches de Jacques Brel abordent l'héritage musical du chanteur et sa volonté d'être reconnu comme auteur avant toute chose. France Brel, la fille du chanteur, ainsi que Bruno Brel, son neveu, livrent notamment leur témoignage.
Dans ce premier épisode, Marie-France Bazzo s’intéresse à l’histoire de la maladie d’Alzheimer, de ses causes biologiques aux plus récents diagnostics, en passant par les facteurs de risque. Elle rencontre des personnes aux prises avec la maladie, dont une femme qui a développé l’alzheimer à un stade précoce, soit à la fin de la quarantaine.
Quand l’alzheimer progresse, les facultés s’effacent et l’entourage de la personne atteinte doit s’investir pour pallier les manques. Marie-France Bazzo rencontre une femme qui tente d’aider son père, qui s’obstine à vouloir conserver son permis de conduire malgré son état. L’animatrice décrit ses propres frustrations avec sa mère, atteinte de la maladie.
C’est une étape que chaque famille redoute : le moment où l’on ne pourra plus répondre aux besoins de la personne atteinte d’alzheimer. Il faut alors quitter la résidence pour se rendre en centre d’hébergement. Marie-France Bazzo visite l’un de ces centres à Trois-Rivières, où une grande liberté est laissée aux résidents, contrairement à ce qui se fait dans la majorité des CHSLD.
Marie-France Bazzo s’entretient avec Gregory Charles, dont les deux parents ont souffert d’alzheimer. Il décrit l’importance de la musique à des fins thérapeutiques pour faire face à cette maladie. Marie-France aborde également la délicate question de l’aide médicale à mourir et survole différentes pistes prometteuses pour vaincre l’alzheimer.
Gregory Charles est tellement généreux et pertinent dans ses réflexions que nous vous offrons la version longue de son entrevue, dont des extraits ont été diffusés dans le dernier épisode de la série. L’entretien a été enregistré en janvier 2018, alors que son père était toujours en vie. Il est mort quelques semaines plus tard dans un accident.
Gilles Vigneault raconte son enfance à Natashquan, ses études au Séminaire de Rimouski puis, à l’Université Laval. Il décrit sa rencontre avec Jacques Labrecque, le premier à interpréter ses chansons. Des personnalités comme Louise Forestier, Mouffe, René Homier-Roy, Daniel Boucher, Raymond Devos et Yvon Deschamps imaginent Gilles Vigneault enfant. Avec Geneviève Bujold (animatrice), Gilles Vigneault, Louise Forestier, Daniel Boucher, Raymond Devos, René Homier-Roy, Yvon Deschamps, Mouffe, Lucille Vigneault, Paul Hounsel, Gilles Roy et Jean-Guy Nadeau (invités)
En 1960, Gilles Vigneault commence enfin à chanter ses chansons. Il fait ses débuts à la Boîte aux chansons de Québec, puis à Montréal, où il rencontre Catherine Sauvage. Gilles Vigneault défie les « lois » de la scène musicale avec sa voix qui écorche les oreilles de plusieurs, mais il finit par séduire grâce à la poésie de ses textes. Avec Geneviève Bujold (animatrice), Gilles Vigneault, Louise Forestier, Yvon Deschamps, Jean-Pierre Ferland, Robert Charlebois, Jean Bissonnette, Michel Rivard, Bernard Pivot, Hélène Hazera, Catherine Sauvage, Nicole Croisille et Jean-Guy Moreau (invités)
Gilles Vigneault raconte sa collaboration avec Claude Léveillée et Monique Leyrac. Il a écrit pour elle Mon pays, une chanson marquante pour l’auteur, la chanteuse… et le Québec. Gilles Vigneault décrit également sa première tournée en France, en première partie de Serge Reggiani. Grâce à son sens de la répartie, il a réussi à conquérir le public du Gymnase de Marseille. Avec Geneviève Bujold (animatrice), Gilles Vigneault, Jean-Pierre Ferland, Yvon Deschamps, Monique Leyrac, Hélène Hazera, Jean Bissonnette, Raymond Devos, Nicole Croisille, Louise Forestier, Robert Charlebois et Serge Reggiani (invités)