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Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Après l'offensive lancée dans la nuit de jeudi à vendredi 13 juin par Israël sur l'Iran, Téhéran a riposté avec des missiles balistiques sur l'État hébreu. Quelle va être la durée et la suite des événements ? Pour en parler, Joshua L. Zarka, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l'État d'Israël en France, invité international de RFI. RFI : L'armée israélienne annonce dans un communiqué que ses avions de chasse vont reprendre les frappes, que les voix vers l'Iran ont été ouvertes. Concrètement, c'est une nouvelle phase de ce qu'on peut qualifier de guerre ouverte ? Joshua L. Zarka : Non, ce n'est pas une nouvelle phase. Nous avions clarifié d'une façon très claire que notre but n'était pas d'avoir une opération qui durerait un jour seulement. Nous allons nous débarrasser et débarrasser le Moyen-Orient de la capacité nucléaire militaire que l'Iran voulait développer. Et tant que cela n'est pas terminé, nous devons continuer cette opération. Nous allons continuer cette opération. Mais quand le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, déclare que « Téhéran brûlera », si l'Iran tire de nouveaux missiles sur Israël, cela va au-delà justement de cet objectif que vous évoquiez, des installations nucléaires... C'est exactement pour clarifier aux dirigeants iraniens, parce que ce n'est pas avec le peuple iranien que nous avons un problème, bien au contraire. Le peuple iranien en a assez de ses dirigeants, de ces mollahs, de ce régime qui les tue. Alors c'est pour clarifier à ce régime qu'il faudrait mieux de ne pas tirer contre nos civils. Nous n'attaquons ni Téhéran, ni les civils iraniens, bien sûr, mais seulement des militaires et des infrastructures militaires. Pour rebondir sur ce que vous dites, parmi les victimes qui ont été annoncées vendredi en Iran, une grande partie sont des civils, selon l'ambassadeur de l'Iran à l'ONU... Oui, c'est vrai, c'est selon l'ambassadeur de l'Iran, comme vous l'avez dit. Mais donc vous niez la qualité de civils de ces personnes ? Nous faisons en sorte, mais nous ciblons seulement les militaires. Si vous avez vu les frappes, certaines des frappes qui ont été faites, c'est non seulement les militaires et les personnes chargées des opérations militaires, mais c'est aussi la chambre à coucher spécifique de la personne où il dormait. C'est seulement l'appartement, par exemple, de M. Salami qui était responsable du programme nucléaire et d'autres. Ce n'est pas contre des civils. Ce qu'a fait l'Iran hier en quatre différentes occasions, c'est de tirer des missiles contre des gens, contre des civils, contre des endroits qui sont peuplés par des civils. Ils n'ont pas ciblés, par exemple, des bases militaires, ce qui serait, comme on dit, de bonne guerre. Vous dites que vous voulez débarrasser le Moyen-Orient de la menace nucléaire iranienne. Beaucoup d'experts doutent de cette faisabilité. Pensez vraiment que ce soit véritablement un objectif réaliste ? Vous utilisez le terme de ce qui est connu justement. Vous savez, dans le développement de capacités militaires, il y a énormément de choses qui ne sont pas connues par le public. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous savons qu'elle peut aboutir. À lire aussiRiposte iranienne à l'attaque d'Israël: à Tel-Aviv, le quartier du ministère de la Défense lourdement touché Vous estimez avoir les capacités militaires pour atteindre les infrastructures souterraines ? Ce qui est connu par des gens qui sont soi-disant, des experts militaires qui ne savent pas ce qu'il y a exactement, ce qui existe dans les arsenaux israéliens, ne veut rien dire. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous sommes certains de pouvoir y aboutir. De pouvoir éradiquer complètement le programme nucléaire, pas juste de le retarder ? Vous savez, regardez, il y a eu deux différentes occasions. Il y a eu des événements dans lesquels Israël a débarrassé le Moyen-Orient de programmes nucléaires illicites, c'était en Irak et en Syrie. Dans les deux cas, des experts internationaux disaient que c'était impossible et que de toute façon, ça allait repousser le programme de un ou deux ans. Et dans les deux cas, depuis et jusqu'à présent, les deux dictateurs ont disparu, mais quand ils étaient encore en vie, ils n'avaient pas repris leur intention de développer une arme nucléaire. Alors les experts, souvent, sont des experts civils qui ne savent pas exactement de quoi il s'agit. Ou bien c'est des gens qui connaissaient les facteurs dans le passé, mais ils ne savent pas de quoi il s'agit aujourd'hui. Encore une fois, je le je répète d'une façon très claire. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous pensons que nous savons que nous pouvons y aboutir. Monsieur l'ambassadeur, vous parlez d'opération préventive. Dans quel cadre légal notamment, se déroule cette opération ? Il n'y a pas de résolutions de l'ONU et a priori pas de concertation avec les alliés d'Israël ? Mais ce n'est pas une question seulement d'opération préventive. Vous savez, le 7-Octobre est un événement iranien. Sans l'Iran, le Hamas n'aurait pas eu d'armes, n'aurait pas eu le soutien militaire, n'aurait pas eu le soutien économique qu'il a eu. Et non seulement cela, mais en deux différentes occasions, l'Iran a tiré directement sur notre territoire des centaines de missiles. La première fois 350 missiles, missiles de croisière et drones, la seconde fois 180 missiles. Mais il n'y a pas eu d'armes nucléaires utilisées le 7-Octobre ? Madame, j'essaie de vous répondre. Donc, en deux différentes occasions, l'Iran a tiré directement des centaines de missiles contre Israël. Nous sommes déjà en guerre avec l'Iran depuis des années. Depuis très longtemps, l'Iran a tiré des missiles de croisière, des drones, contre Israël à maintes occasions. Alors dire que c'est une opération qui vient « comme ça », comme si on était en paix avec le régime iranien et que d'un seul coup on a décidé d'attaquer, c'est pas du tout le cas. L'Iran nous a attaqué, nous attaque régulièrement. L'Iran a essayé d'assassiner des gens en Israël. L'Iran arme les terroristes, les groupes terroristes qui opèrent en Israël, et l'Iran a attaqué directement le territoire israélien avec des missiles de son territoire directement. Est-ce que c'est une opération qui s'inscrit pour votre pays dans un temps long ? Non, ce n'est pas dans un temps long. Notre intention est de faire ça le plus rapidement possible. Ce n'est pas une opération de plusieurs longues semaines. Ce n'est clairement pas une opération de plusieurs mois. C'est une opération que nous essayons de faire le plus rapidement possible, de raccourcir autant qu'on peut. Le président français a défendu le droit d'Israël à se protéger tout en appelant à la négociation pour régler la question nucléaire iranienne. Est-ce que le Premier ministre Benyamin Netanyahu a parlé à Emmanuel Macron ? Oui, ils se sont parlé. Ils ont eu une très bonne discussion. Les deux dirigeants se parlent assez régulièrement et généralement ont de très bonnes discussions. Est-ce que la France participe aux opérations d'une manière ou d'une autre ? D'abord, la France n'a pas du tout participé à l'attaque. C'était une attaque, une opération qui était une opération israélo-israélienne. La question de la défense d'Israël par rapport aux attaques iraniennes est une question, je pense que le président a parlé qu'il comptait aider Israël à se défendre contre les attaques iraniennes. À lire aussiÀ la Une: l'escalade entre l'Iran et Israël La question de la légalité a été posée par un certain nombre de personnes. Vous estimez que vous étiez dans un état de légitime défense après le 7-Octobre ? C'est ça qui constitue la légalité, le cadre juridique dans lequel vous intervenez ? Ce n'est pas seulement le 7-Octobre. Vous savez, quand un pays comme l'Iran dit d'une façon très claire, et c'est le président, le dirigeant de ce pays qui déclare d'une façon très claire plus d'une fois, il le répète pratiquement chaque semaine, qu'il compte détruire l'État d'Israël, il met même une date, 2035 était la date à laquelle l'Iran devait terminer de détruire Israël. Quand ce pays arme tous les ennemis autour d'Israël, et non seulement cela, mais les encourage, les finance et en plus, quand cet ennemi développe la capacité de détruire mon État, nous sommes en toute légitimité. En plus, si vous voulez ajouter cela, l'Iran a deux fois attaqué, comme je l'ai dit auparavant. L'Iran a attaqué Israël deux fois par des centaines de missiles tirés de son territoire. Au-delà du nucléaire, l'objectif c'est la chute du régime iranien ? C'est l'anéantissement de l'Iran ? Non, clairement non. Je dis ça d'une façon catégorique. D'abord, l'anéantissement de l'Iran, pas du tout. Le peuple iranien est un peuple pacifique, un peuple qui veut et qui a vécu en paix avec nous. Nous n'avons aucune raison de ne pas vivre en paix avec eux. Nous voulons et nous pourrons et nous vivrons en paix avec le peuple palestinien. Alors clairement, ce n'est pas d'anéantir l'Iran. Mais non seulement cela, ce n'est pas non plus d'amener un changement de régime. Nous sommes un petit pays et nous nous défendons. Nous ne sommes pas un nouvel architecte du Moyen-Orient. Même si le Premier ministre Netanyahu disait vendredi dans une vidéo que « le temps est venu pour le peuple iranien de s'unir face au régime pervers et oppressif »... Est-ce que du fait de cette opération contre l'Iran, le front de Gaza devient pour votre pays un théâtre d'opération secondaire ? Je voudrais d'abord répondre à la question dont vous parlez. Le Premier ministre a dit cela en disant que c'était au peuple iranien de choisir leurs dirigeants. Ce n'est pas à Israël de le faire. Et effectivement, je peux vous dire d'une façon très claire que tant que ce régime sera en place, tant que le régime iranien sera en place, il n'y aura pas entièrement de paix au Moyen-Orient, parce que c'est un régime révolutionnaire qui veut changer la façade du Moyen-Orient, qui veut changer le Moyen-Orient en utilisant la force et la violence et le terrorisme. Et sur Gaza, est-ce que ce théâtre est devenu secondaire pour Israël ? De toutes les façons, nous arrivons à la fin de la guerre à Gaza. Le Hamas n'a plus les capacités qu'il avait. Cette guerre à Gaza se terminerait immédiatement si demain ou aujourd'hui le Hamas libérait tous nos otages. Mais ça nous l'avons dit depuis longtemps et ils n'ont qu'à nous tester, qu'ils libèrent nos otages. Cette guerre sera terminée. Nous n'avons rien à faire à Gaza. Nous ne comptons pas rester à Gaza. Nous n'avons jamais voulu annexer ou repeupler Gaza. Gaza est aux Palestiniens, appartient aux Palestiniens et restera aux Palestiniens. Ce que nous voulons, c'est nos otages et qu'ils nous laissent vivre en paix. Vous dites que la guerre arrive à sa fin à Gaza, pourtant le processus politique est un petit peu à l'arrêt. Autour de la bande de Gaza, les négociations peinent à avancer. C'est quoi l'avenir de Gaza ? D'abord, les négociations peinent à avancer. Parce que vous savez que deux fois et à deux occasions, des offres de cessez-le-feu ont été présentées par l'envoyé spécial du président des États-Unis, monsieur Steve Witkoff. Et ces deux occasions, Israël les a acceptées et elles ont été rejetées par le Hamas. Alors, vous savez, le fait que ces organisations, les dirigeants palestiniens rejettent des offres de paix qui sont faites, c'est quelque chose qui se fait régulièrement. Toutes les offres faites par le Hamas ont été rejetées par Israël. C'est le propre des négociations, c'est qu'il faut parvenir à un compromis... C'est pour ça qu'il y a l'envoyé spécial des États-Unis. Mais ce ne sont pas des offres israéliennes. Ce sont des offres américaines avec lesquelles les négociations auxquelles ont participé les Égyptiens et les Qataris. Quel est l'avenir de Gaza dans la vision israélienne ? Notre vision c'est que Gaza appartient aux Gazaouis et doit être géré éventuellement par les Gazaouis et simplement que ce soit démilitarisé, désarmé et qu'ils vivent en paix avec nous. À lire aussi«Israël peut continuer à détruire des sites en Iran mais l'expertise nucléaire va rester»
Le magazine Elle a dévoilé, dans une interview destinée à paraître à titre posthume, les dernières confidences de Nicole Croisille. Elle y évoque son rapport à la maladie, et la manière dont elle se sentait perçue en tant que femme de 88 ans. Elle avait prévu de mourir euthanasiée le 4 juin en Belgique. Finalement, le cancer l'a emporté ce même jour. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:17 - Journal de 18h - Si les politiques se sont empressés de réagir, après le meurtre d'une surveillante de collège par un élève mardi, que sait-on au juste de ce jeune de 14 ans qui ne manifeste "ni regret ni compassion" selon le procureur de la République ?
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'interview lunaire du président de la République et de sa réaction face au meurtre de Mélanie, 31 ans, surveillante, tuée par un collégien de 3ième.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans cet épisode du podcast Cryptoast, on reçoit à nouveau Romain, fondateur de l'ex-projet Paladin devenu Trevee. Quatre ans après le DeFi Summer, il revient sur son parcours, les hauts, les bas, et la manière dont lui et son équipe ont transformé un écosystème crypto chaotique en une plateforme pérenne. On parle DAO, stablecoins, tokenomics, Memecoins et de l'évolution du marché crypto en 2025.X de Romain ► https://x.com/Figue_meRings ► https://rings.money/ Paladin ► https://quest.paladin.vote/ Qu'est ce qu'une DAO ? ► https://cryptoast.fr/dao-organisation-decentralisee/ Nos podcasts sont aussi sur :
durée : 00:57:08 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - 1953. Frantz Fanon, jeune médecin d'origine martiniquaise, arrive en Algérie pour prendre son poste à l'hôpital psychiatrique de Blida-Joinville. Il découvre alors la réalité coloniale, en particulier la psychiatrie telle qu'elle y est pratiquée fondée sur le prétendu primitivisme des indigènes. - invités : Alice CHERKI - Alice Cherki : Psychiatre, psychanalyste et auteure - réalisé par : Anne WEINFELD
L'ancien président congolais, désormais sénateur à vie, est convoqué par ses pairs ce mardi à Kinshasa dans le cadre d'une commission spéciale chargée d'examiner et de statuer sur la levée de son immunité parlementaire. Sera-t-il présent ? Rien n'est moins sûr…En tout cas, « la commission spéciale du Sénat en marche ! », s'exclame Objectif Infos. « Cette commission spéciale, qui doit examiner ce dossier d'une complexité sans précédent, doit soumettre prochainement les résultats de ses travaux aux sénateurs réunis en plénière. (…) L'opposition, qui a manifesté sa désapprobation quant à la démarche initiée, va quand même prendre part à ces travaux. Elle dénonce notamment la violation de la procédure enclenchée. (…) Joseph Kabila, qui a passé 18 ans à la tête de la République démocratique du Congo, est notamment accusé d'être proche avec la rébellion du M23. »Pour leur part, pointe 7 sur 7, autre site congolais, « les partisans de Kabila contestent les faits qui lui sont reprochés et accusent, à leur tour, le président Tshisekedi de chercher un bouc-émissaire pour justifier sa gestion. »Comment en est-on arrivé là ?Jeune Afrique reprend le fil des événements… Joseph Kabila, ces dernières années, se faisait plutôt discret depuis l'Afrique du Sud, où il vivait en exil. Ce jusqu'en février dernier. Il publie alors une tribune dans le journal sud-africain The Sunday Times, dans laquelle il critique vertement le président Tshisekedi. « Une tribune qui déplait fortement aux autorités congolaises, pointe Jeune Afrique, qui voient dans ses propos la légitimation de la rébellion de l'AFC/M23. »Arrive ensuite l'affaire du vrai-faux déplacement à Goma, ville aux mains des rebelles. Mi-avril, de nombreux médias, alimentés par l'entourage de l'ancien président congolais, annoncent que Joseph Kabila est à Goma pour rencontrer les dirigeants du M23. Finalement, fausse nouvelle… « Joseph Kabila a-t-il renoncé au dernier moment ?, s'interroge Jeune Afrique. Voulait-il vraiment aller dans la capitale du Nord-Kivu ou seulement laisser croire qu'il allait le faire pour observer les réactions du gouvernement, tel un ballon d'essai ? Quoi qu'il en soit, le gouvernement a vite saisi la perche. Dès le lendemain de la supposée arrivée de Kabila à Goma, le ministère congolais de l'Intérieur suspendait le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, formation dont il est “l'autorité morale“. »Sans doute pas là…En fait, poursuit le site panafricain, « même si Joseph Kabila ne s'est jamais rendu à Goma, c'est l'annonce de son retour qui a agacé le pouvoir. “Quand il a dit ça, tout le monde était aux aguets“, affirme un sénateur cité par Jeune Afrique, qui préfère rester anonyme. “Était-ce bien nécessaire, poursuit-il, d'annoncer qu'il rentrait par la partie du pays où il y a des problèmes ?“ »En tout cas, croit encore savoir Jeune Afrique, Kabila ne sera pas à Kinshasa aujourd'hui… « C'est en son absence que les sénateurs risquent de décider de la levée de son immunité cette semaine. La commission spéciale, composée exclusivement de membres de la majorité présidentielle, doit remettre son rapport d'ici demain mercredi et le soumettre au vote du Sénat. »Encore plus d'instabilité ?Reste que « cette affaire provoque une onde de choc dans l'opinion publique congolaise, relève Afrik.com. Des voix s'élèvent pour réclamer la transparence, à commencer par les défenseurs des droits humains. Jean-Claude Katende, président de l'Association congolaise de défense des droits de l'homme, regrette le huis clos des débats et appelle à la publication des preuves. Pour de nombreux Congolais, cette enquête pourrait marquer un tournant dans la lutte contre l'impunité des anciens dirigeants. Mais elle pose aussi un risque d'instabilité, dans un pays où les équilibres politiques restent fragiles. »Enfin, WakatSéra au Burkina s'interroge : « l'entreprise de Félix Tshisekedi de vouloir mettre à l'ombre celui qui lui avait offert le pouvoir sur un plateau d'argent n'est-elle pas à haut risque dans le climat militaro-socio-politique, déjà bien vicié et explosif, en raison de la guerre qu'impose l'AFC/M23 de Corneille Nangaa, avec le soutien du Rwanda ? Est-ce véritablement le moment propice pour le pouvoir congolais d'ouvrir un autre front ? Quelles seront les conséquences de ce harcèlement contre Joseph Kabila, alors que le facilitateur de l'Union africaine, le Togolais Faure Gnassingbé, les médiateurs de la sous-région et le Qatar sont engagés dans une course contre la montre pour essayer de ramener la paix en RDC ? »
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durée : 00:14:28 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Nous recevons Brigitte Chevet, réalisatrice du documentaire « Le village qui voulait replanter des arbres » qui remporte le Prix Carnets de campagne / Village Magazine du Festival Caméras des champs 2025.
À demain avec Marie ! À découvrir :
durée : 00:10:34 - L'invité de 7h50 du week-end - Aujourd'hui à 7h50, nous recevons l'écrivain François-Henri Désérable pour "Chagrin d'un chant inachevé - Sur la route de Che Guevara ?" (Gallimard).
Pierre Bénichou déteste jeter ses chaussettes au moindre petit trou. Autant les faire reprendre et tant pis si ça coûte plus cher ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités reviennent sur la conférence de presse du procureur de la République, Antoine Leroy après l'attaque au couteau par un élève au sein de son établissement scolaire, tuant une jeune fille de 15 ans et blessant trois étudiants.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Saint-Père est mort ce lundi 21 avril, à l'âge de 88 ans. Son pontificat fut long et riche d'initiatives, de textes, de déclarations. Il reviendra aux historiens d'en dresser le bilan, tant la profusion en rend la lecture difficile.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retournez en enfance avec la nouvelle saison de "A la folie, pas du tout" autour du duo Peter Pan et Wendy. Vous connaissez la belle histoire : celle de l'enfant qui ne voulait pas grandir et qui persuade la jolie Wendy de le suivre au pays imaginaire. Mais, le duo Peter et Wendy cache une réalité bien plus sombre... Entre syndrome, psychologie et relation toxique, nous allons vous raconter l'envers du décors de ce duo mythique de Disney. Le garçon qui ne voulait pas grandir Pour ne pas grandir, Peter Pan s'est créé un monde. A Neverland, le temps n'existe pas, à la demande de Peter. Si le temps n'existe pas, le temps ne passe pas et l'enfance devient donc éternelle… Dis comme ça, ça fait sourire. Pourtant, si on creuse un peu, Peter Pan n'a pas juste l'intention de rester enfant. Il est carrément angoissé à l'idée même de quitter la tendre enfance et de devenir adulte. On ne l'appelle pas "le garçon qui ne voulait pas grandir" pour rien… En fait, ce phénomène porte même un nom : "le syndrome de Peter Pan", ou encore "le complexe de Peter Pan". Ecoutez la saison précédente : Amber Heard et Johnny Depp Un podcast Bababam Originals Ecriture : Anaïs Koopman Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Réalisation : Célia Brondeau Production : Bababam Première diffusion : 4 avril 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Claus von Stauffenberg est l'héritier d'une famille allemande aristocratique. En 1943, alors qu'il sert en Afrique du Nord, une opération dangereuse lui coute son bras droit, deux doigts de la main gauche et l'un de ses yeux. Il est convaincu que s'il a eu la vie sauve, c'est pour débarrasser l'Allemagne d'Hitler. Intégré comme chef d'État-major, il participe régulièrement à des réunions militaires en sa présence. Le 20 juillet 1944, il passe à l'action et dépose une mallette chargée d'explosifs au pied du Führer, avant de s'éclipser. Convaincu qu'il vient de tuer Hitler, il rejoint l'aéroport et s'envole pour Berlin afin de lancer l'opération Walkyrie. Seulement, Hitler a survécu. Alors que la nouvelle se répand, l'armée se retourne contre les officiers conjurés. Jugé en urgence, Von Stauffenberg est fusillé avec ses complices. Le 20 juillet 1944, une poignée d'officiers allemands rebelles a bien failli tuer Hitler. Au sein même de la Wehrmacht, les membres de l'opération Walkyrie sentent que le Führer mène le pays à sa perte. Dans un récit inédit, Virginie Girod vous plonge au cœur de l'histoire de ce complot contre le régime nazi. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Demidov, le plus grand talent depuis Guy Lafleur selon Guy. Pourquoi il n’a pas regardé le débat des chefs? La publicité du PLC avec Léa Stréliski. Entrevue avec Guy Nantel, humoriste et auteur Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Écrivain multi-primé, scénariste, réalisateur, David Foenkinos est aussi l'un des auteurs les plus lus en France aujourd'hui. Mais derrière le succès de La Délicatesse ou de Charlotte, se cache une trajectoire marquée par la solitude, les doutes, une expérience de mort imminente… et une profonde quête de sens.Dans cet épisode, David revient sur son parcours singulier : comment il a trouvé dans l'écriture un espace de renaissance, comment la douleur s'est transformée en inspiration, et pourquoi il croit à cette part d'invisible qui nous guide – parfois sans qu'on le sache. On parle aussi de liberté, de fidélité à soi-même, de la tension entre performance et épanouissement, et du rôle de l'art comme acte de consolation.Voici quelques-unes des grandes questions abordées dans notre échange :Comment savoir si l'on est aligné avec soi-même – ou en train de passer à côté de sa vie ?Pourquoi l'échec est parfois une étape nécessaire avant le succès ?Comment faire de sa sensibilité une force dans un monde qui valorise surtout l'efficacité ?Un épisode riche, sincère et profond, qui parlera à toutes celles et ceux qui créent, doutent, cherchent leur place ou simplement veulent se reconnecter à l'essentiel.Bonne écoute !Ressources citées : Les cerfs-volants de Romain GaryLes livres de Jules Verne et Joseph KesselInvités proposés pour InPower:Jerome CommandeurLaura FelpinJuliette Armanet____Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver David Foenkinos sur les réseaux :https://www.instagram.com/david.foenkinos/Et pour suivre mes aventures au quotidien :https://www.instagram.com/louiseaubery/Si cet épisode t'as plu, celui-ci te plaira surement :https://shows.acast.com/inpower/episodes/lecrivain-aux-millions-dexemplaires-joel-dicker-lauteur-qui- Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hélène Pastor était l'une des femmes les plus discrètes et les plus riches de Monaco. Héritière d'un empire immobilier convoité. Quand on lui tire dessus et sur son fidèle chauffeur, à Nice, un soir du printemps 2014, on va tout de suite imaginer de ténébreux scénarios. La signature du crime organisé, de la mafia, une vengeance du monde de la finance. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:08:03 - Info médias - Le Vatican ne les reconnaît pas mais 300 femmes ont été ordonnées prêtres à travers le monde. Arte leur offre enfin une visibilité dans le documentaire de Marie Mandy "Femmes prêtres, vocations interdites".
Comment Germaine Berton, 20 ans, est acquittée pour le meurtre du chef des Camelots du roi, qu'elle a portant commis en janvier 1923. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Ecoutez Les Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du 23 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Arriver dans une pièce et oublier ce que tu étais venue y faire. Tout un chacun a déjà forcément expérimenté ce phénomène déroutant. Parfois, cela peut même inquiéter. On pense à tort que ce sont des troubles de la mémoire. Le syndrome de la porte, également appelé doorway effect ou encore boundary effect, effet frontière, est en réalité aussi banal que bénin. Ce mécanisme courant et universel est sans conséquence. Et surtout : son rouage s'explique de manière très simple. Des scientifiques américains de l'université Notre-Dame, dans l'Etat de l'Indiana, ont par exemple mené une étude en 2011. Ce syndrome a-t-il été étudié par la science ? Que se passe-t-il précisément dans le cerveau ? Donc ce genre de petits oublis n'a rien d'alarmant ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Emilie Drugeon. À écouter aussi : Comment limiter l'impact du sucre sur notre santé ? Comment savoir si la couleur de notre urine est normale ? Comment bien choisir son matelas ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 3 mars 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Premier épisode. Le mardi 17 mai 2005, en début d'après-midi, un homme est retrouvé mort dans un bois du Val-de-Marne, à Sucy-en-Brie dans la banlieue sud-est de Paris. Dans cette ville résidentielle si paisible, l'apparition d'un tel fait divers n'a rien d'habituel.La victime, Christophe Belle, est un boulanger de 40 ans travaillant dans le quartier du Marais, au centre de Paris, et vivant avec sa compagne en banlieue ouest de la capitale. Il a reçu plusieurs balles dans la tête. Les enquêteurs explorent plusieurs fausses pistes, avant de découvrir un message vocal, laissé par le boulanger la nuit du meurtre sur le téléphone de son associé… Dans cet épisode de Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête policière aux nombreuses pistes avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Deuxième épisode. Le mardi 17 mai 2005, en début d'après-midi, un homme est retrouvé mort dans un bois du Val-de-Marne, à Sucy-en-Brie dans la banlieue sud-est de Paris. Dans cette ville résidentielle si paisible, l'apparition d'un tel fait divers n'a rien d'habituel.La victime, Christophe Belle, est un boulanger de 40 ans travaillant dans le quartier du Marais, au centre de Paris, et vivant avec sa compagne en banlieue ouest de la capitale. Il a reçu plusieurs balles dans la tête. Les enquêteurs explorent plusieurs fausses pistes, avant de découvrir un message vocal, laissé par le boulanger la nuit du meurtre sur le téléphone de son associé… Dans cet épisode de Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête policière aux nombreuses pistes avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Limité à 80" Pascal Atenza revisite l'actualité en 80 secondes ! Découvrez la chronique d'aujourd'hui !
Aujourd'hui, Frédéric Farah, Marie-Sophie Bufarull et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Toute cette semaine, Au Cœur de l'Histoire fait "La tournée des Ducs". Pour ce 2e épisode, Stéphane Bern raconte le duc d'Orléans, premier prince de sang de royaume, devenu Philippe Egalité, vu par beaucoup comme l'un des grands ordonnateurs de la Révolution et surtout celui qui a “tué” son cousin, en votant la mort du roi Louis XVI qui a été envoyé à l'échafaud ! Pourquoi Philippe Égalité a-t-il voté la mort du roi ? Voulait-il accéder au trône par tous les moyens ? Comment le souvenir de cette figure fut-il instrumentalisé sous la Restauration et la monarchie de Juillet ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Raphaël Dargent, historien, auteur de "Philippe Égalité, le prince de la Révolution" (Tallandier)
Toute cette semaine, Au Cœur de l'Histoire fait "La tournée des Ducs". Pour ce 2e épisode, Stéphane Bern raconte le duc d'Orléans, premier prince de sang de royaume, devenu Philippe Egalité, vu par beaucoup comme l'un des grands ordonnateurs de la Révolution et surtout celui qui a “tué” son cousin, en votant la mort du roi Louis XVI qui a été envoyé à l'échafaud ! Pourquoi Philippe Égalité a-t-il voté la mort du roi ? Voulait-il accéder au trône par tous les moyens ? Comment le souvenir de cette figure fut-il instrumentalisé sous la Restauration et la monarchie de Juillet ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Raphaël Dargent, historien, auteur de "Philippe Égalité, le prince de la Révolution" (Tallandier)
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 11 février 2025.
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