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Dans cet épisode d'Extraterrien, Ian DE BONDT, ancien champion de France junior de demi-fond, partage son parcours du haut niveau à une brillante carrière dans le recrutement. Il aborde sans tabou l'envers du décor sportif, ses dilemmes autour du dopage, l'importance de la constance et les passerelles entre sport et business. Épisode disponible sur YouTube !
Nous partons à la rencontre de Majagira Bulangalire, pasteur pentecôtiste de la République Démocratique du Congo, qui a passé une quarantaine d'années en France, en tissant des liens entre les communautés et les églises d'expression africaine dont il a créé la fédération en 1990. Il se définit lui-même comme un «Africain malgré tout et par-dessus tout». Intellectuel engagé sur le terrain, il a aussi contribué à établir des ponts entre la RDC et la France et à poser la question de la réappropriation africaine du christianisme, dans une lecture postcoloniale. En RDC, il est très engagé auprès des églises locales et dans l'éducation, où il a fondé l'Université évangélique à Bukavu et où il dirige l'Institut Supérieur Pédagogique. Nous l'avons rencontré à Paris alors qu'il repartait en RDC à Kiliba où se trouve l'église dont il est le pasteur, dans le Sud-Kivu, malgré le conflit armé dans l'est du pays qui frappe durement les populations de la région, alors qu'il a lui-même été victime d'un enlèvement avec sa femme en avril 2024. Invité : Le pasteur Espoir Majagira Bulangalire, professeur universitaire, directeur de l'Institut Supérieur Pédagogique de Bukavu en République Démocratique du Congo, député honoraire du Sud-Kivu, ancien recteur et fondateur de l'Université Évangélique en Afrique, co-fondateur de la CEAF – Communauté des Églises d'expressions Africaines francophones -, pasteur de l'Église pentecôtiste de Kiliba (Sud-Kivu), auteur de plusieurs ouvrages dont les essais «Ai-je une place auprès de Toi ? Le cri désespéré d'un nègre converti» (2024) et «Du quotidien à l'extra-ordinaire, l'histoire mouvementée d'une vie protégée» (autobiographie) – Espoir Éditions.
Nous partons à la rencontre de Majagira Bulangalire, pasteur pentecôtiste de la République Démocratique du Congo, qui a passé une quarantaine d'années en France, en tissant des liens entre les communautés et les églises d'expression africaine dont il a créé la fédération en 1990. Il se définit lui-même comme un «Africain malgré tout et par-dessus tout». Intellectuel engagé sur le terrain, il a aussi contribué à établir des ponts entre la RDC et la France et à poser la question de la réappropriation africaine du christianisme, dans une lecture postcoloniale. En RDC, il est très engagé auprès des églises locales et dans l'éducation, où il a fondé l'Université évangélique à Bukavu et où il dirige l'Institut Supérieur Pédagogique. Nous l'avons rencontré à Paris alors qu'il repartait en RDC à Kiliba où se trouve l'église dont il est le pasteur, dans le Sud-Kivu, malgré le conflit armé dans l'est du pays qui frappe durement les populations de la région, alors qu'il a lui-même été victime d'un enlèvement avec sa femme en avril 2024. Invité : Le pasteur Espoir Majagira Bulangalire, professeur universitaire, directeur de l'Institut Supérieur Pédagogique de Bukavu en République Démocratique du Congo, député honoraire du Sud-Kivu, ancien recteur et fondateur de l'Université Évangélique en Afrique, co-fondateur de la CEAF – Communauté des Églises d'expressions Africaines francophones -, pasteur de l'Église pentecôtiste de Kiliba (Sud-Kivu), auteur de plusieurs ouvrages dont les essais «Ai-je une place auprès de Toi ? Le cri désespéré d'un nègre converti» (2024) et «Du quotidien à l'extra-ordinaire, l'histoire mouvementée d'une vie protégée» (autobiographie) – Espoir Éditions.
Cannabis à Maurice : entre espoir de légalisation et craintes de dérives by TOPFM MAURITIUS
Il s'en est passé des choses dans ce livestream Ligne ouverte! On reçoit des appels des auditeur.e.s, Victoria Charlton nous appelle, on discute du scandale Med Espoir ainsi que des développements dans le cas du meurtre de Valérie Leblanc! Bonne écoute!!>> Obtenez 25 $ de rabais, 10 Go gratuits et 1 mois d'internet gratuit avec FIZZ! Activez votre forfait avec le code promo PODZZ sur fizz.ca .Obtenez 25 $ de rabais, 10 Go gratuits et 1 mois d'internet gratuit avec FIZZ! Activez votre forfait avec le code promo PODZZ sur fizz.caÉrosEt Compagnie : 15% de rabais avec le code DistorsionPatreonSite WebBoutique Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Élu avec 62% des voix dimanche 19 octobre à la présidence de la République turque de Chypre-Nord (RTCN), Tufan Erhürman a largement battu le président sortant soutenu par la Turquie. Juriste de formation, le nouveau dirigeant chypriote turc souhaite relancer les négociations avec le Sud et résoudre un conflit enlisé depuis plus de 50 ans. Les sondages laissaient présager une victoire, mais pas de cette ampleur. Avec 62,7% des voix contre 35,8% à son adversaire, le candidat du Parti turc républicain (centre-gauche) a infligé une cuisante défaite à Ersin Tatar, le président sortant. Âgé de 55 ans, Tufan Erhürman n'avait que trois ans quand la Turquie a lancé l'opération Attila, le 20 juillet 1974, provoquant la partition de l'île. Or, en battant largement le candidat soutenu par la Turquie de Recep Tayyip Erdogan, il relance l'espoir d'une solution négociée et d'une réunification des deux Chypre… « Il a fait ses études dans une université très réputée en Turquie et il est très respecté dans les milieux académiques et juridiques, rappelle Sertaç Sonan, professeur de sciences politiques à l'Université internationale de Chypre. Durant la campagne électorale, il a su rassembler sans polariser les opinions. Sa campagne était très sérieuse, très disciplinée. Avec un message clair : "Nous promettons la respectabilité, l'égalité, la méritocratie". Je dirais que cela a séduit l'ensemble de la communauté chypriote turque, à gauche, mais aussi au centre. » À lire aussiChypre divisée: les racines d'une scission vieille de 50 ans Le « ras-le-bol » des électeurs Tufan Erhürman a aussi bénéficié des erreurs commises par son adversaire, Ersin Tatar ayant résolument rejeté toute idée de négociation avec le Sud durant son mandat, et pris parti pour une solution « à deux États ». « Les partisans d'une solution négociée et de la réconciliation avec le Sud se sont lassés de la politique menée par Ersin Tatar, décrypte Mete Hatay, consultant au centre de recherche PRIO à Nicosie. Et ils ont l'impression que cette politique isolationniste, alignée à 100% sur la Turquie, allait éloigner encore plus les Chypriotes turcs d'une perspective de dialogue international. » Les facteurs internes ont également joué un rôle dans la défaite du président sortant, ajoute la journaliste chypriote Rally Papageorgiou. « Les électeurs en ont eu assez de la corruption, et de la mainmise de la Turquie sur l'économie. La question du voile pour les lycéennes a pesé également… Car la société chypriote turque est attachée à la laïcité et s'inquiète de l'orientation prise par la Turquie sur cette question. Ce qui a aidé enfin Tufan Erhürman c'est la très forte présence des responsables turcs, durant la campagne, auprès de son adversaire : les Turcs chypriotes n'ont pas envie d'être étouffés par la Turquie ! » À écouter aussiChypre Nord : 50 ans après les espoirs vains d'une réunification Une « période de grâce » d'un an Le nouveau président de la RTCN s'est donc affirmé comme un partisan d'une reprise des négociations et d'une solution « fédérative » pour réconcilier les deux Chypre. Mais cette volonté pourra-t-elle aboutir ? Depuis 1974 et l'intervention militaire de la Turquie, de nombreuses tentatives ont lamentablement échoué… et le conflit s'est enlisé sans qu'aucune perspective de solution ne puisse être envisagée. Tufan Erhürman devra composer avec les Chypriotes grecs, qui ont rejeté au début des années 2000, par référendum, un premier projet de fédération. Il lui faudra également convaincre la Turquie, parrain aussi indispensable qu'incontournable. Or, sur ce point, la position inflexible de Recep Tayyip Erdogan pourrait évoluer – c'est du moins l'analyse du politologue Sertaç Sonan. « N'oublions pas que la Turquie était favorable, de 2002 à 2017, aux négociations et à l'idée d'une fédération. Mais tout a changé en 2017, quand les derniers pourparlers ont échoué, en Suisse. Cela s'est produit après la tentative de coup d'État contre Erdogan : il s'est senti lâché par les pays occidentaux et il a adopté une politique étrangère plus agressive. Ensuite, au fil du temps, il a voulu améliorer ses relations avec ses partenaires dans la région et aussi avec les pays occidentaux. Il a rétabli ses relations avec l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l'Égypte. Il entretient de meilleures relations avec la Grèce. Je pense donc que Chypre est la seule pièce manquante dans ce tableau. » Signe, peut-être, que le dirigeant turc n'est pas totalement fermé à l'idée d'une reprise du dialogue, sa réaction plutôt positive à la victoire de Tufan Erhürman. Le président turc a félicité le nouveau dirigeant, disant « espérer que ces élections seront bénéfiques pour nos pays et pour nos régions ». De son côté, Tufan Erhürman s'est voulu rassurant à l'égard de la Turquie, et ses premières déclarations en témoignent : « J'exercerai mes responsabilités, notamment en matière de politique étrangère, en concertation avec la Turquie. » Des discussions informelles entre les deux Chypre devraient être organisées sous l'égide de l'ONU d'ici à la fin de l'année. « L'élection de Tufan Erhürman précède la présidence chypriote de l'UE qui doit débuter le 1er janvier, note avec une pointe d'optimisme le chercheur Mete Hatay. Et il y aura sans doute une période de grâce d'un an pour enclencher des négociations sur une base solide… » À écouter aussiChypre, un cas inédit en Europe
Foto: Paus Leo XIV aan boord van de ‘Bel Espoir’ – © Vatican Media Na het overlopen van de audiënties krijgt u een verslag van het bezoek van de Heilige Vader aan de ‘vredesboot’ Bel Espoir in de Italiaanse havenstad Ostia. De paus had er een ontmoeting met de 25 opvarenden, allen afkomstig uit verschillende […]
Issue de la scène alternative genevoise, AIEAIEAIE puise dans l'éclectisme de ses inspirations pour composer des sets électro divergents. Sa musique s'inspire de sonorités electro, EBM, new beat et techno pour façonner un voyage émotionnel et hypnotique. Résidente du collectif MIND7, elle collabore également à la création de projets pluridisciplinaires […] The post AIEAIEAIE, « Une lueur d'espoir » first appeared on Radio Vostok.
Dans cette interview spéciale, je te présente Ludivine — autrefois esthéticienne, désormais accompagnante énergétique au féminin.Depuis 3 ans, elle chemine dans mon école et représente aujourd'hui les MAGNA, les ambassadrices de l'Académie : des femmes référentes qui accueillent les nouvelles Lumineuses et incarnent un chemin éthique, sécurisé et puissant.Elle te partage:Ses signes qui l'ont amené vers la médiumnitéComment elle a trouvé la sécurité intérieureComment Luminescence lui a permis voir sa haute sensibilité comme forceComment elle a aligné son entreprise à sa nouvelle identité et à ses perceptionsLudivine n'est pas une exception , toi aussi tu peux te révéler grâce à la connexion au monde invisible.Pour participer au challenge " Révèle la médium qui est en toi ! " : https://www.institut-bettybrochet.com/challenge-lancement-amess-luminescencePour rejoindre la communauté A.M.E. S✨ https://www.instagram.com/betty_brochet_a.m.e.s/
Ce qu'on projette extérieurement n'est pas toujours ce qu'on vit intérieurement. Même un géant de la foi comme Élie a connu le désespoir au point de vouloir tout abandonner. Dans ce premier message de la série « Conversations avec Dieu », pasteur Claude nous montre comment, dans nos conversations les plus sincères avec Dieu, Il peut restaurer l'espoir quand nous avons perdu tout courage. Bonne écoute!Versets de référence : 1 Rois 19
Il paraît que dans ce monde, un cercle de femmes se rejoint chaque jour pour contribuer, grâce à leur lumière, au bien-être de l'univers et de tous.Des femmes, des sorcières, des entrepreneures de la magie.Reliées à l'invisible, elles œuvrent avec les énergies pour guérir, éveiller et transformer le monde.✨ Aujourd'hui, dans cet épisode, je t'invite à découvrir le cercle prestigieux des Lumineuses — ces femmes magiques qui, grâce à leur puissance unique, rayonnent de leur propre lumière dans un monde qui en a tant besoin.Tu découvriras :
Le Premier ministre français Sébastien Lecornu a donc annoncé mardi 14 octobre, lors de sa déclaration de politique générale, la suspension de la réforme des retraites jusqu'à la présidentielle de 2027, comme le réclamait le Parti socialiste. Il éloigne ainsi la menace d'une censure de son gouvernement. « Un compromis plus que bienvenu pour la démocratie, se félicite Libération. Si elle ne règle pas la profonde crise que traverse le pays, cette décision du Premier ministre acte la possibilité d'un tournant dans la méthode employée par l'exécutif. » Libération note aussi cette petite phrase du Premier ministre : « “Le gouvernement propose, nous débattrons, vous voterez“. Chiche, a-t-on envie de dire aux parlementaires, s'exclame le journal. Ce qu'ils sauront faire de cette opportunité, à condition évidemment que l'exécutif joue sincèrement le jeu, donnera en tout cas une indication du rebond démocratique possible. » « Grande braderie d'automne » Espoir d'un sursaut démocratique, donc, pour Libération, désespoir pour Le Figaro qui voit dans le discours de politique générale de Sébastien Lecornu « un retour au socialisme » : « le Premier ministre a parfaitement récité, à la tribune, le texte du PS, fustige Le Figaro. Tête baissée, Sébastien Lecornu a transformé sa déclaration de politique générale en grande braderie d'automne : le 49.3 au rabais ! La suspension de la réforme des retraites, c'est offert par la maison ! (…) Affligeant spectacle, poursuit le quotidien de droite, que ce suicide collectif du bloc central et des LR laissant le champ libre, pour 2027, à la gauche et au RN. Triste tableau que celui d'un Premier ministre, tellement à son aise à la tête des Armées, contraint de se livrer à une séance d'humiliation publique. » Retraites : la prolongation du déni ? Le Parisien, lui, se focalise sur le problème des retraites. Avec ce constat arithmétique : « en 1960, la France pouvait compter sur presque cinq cotisants pour payer la pension de chaque retraité. Avec l'allongement de l'espérance de vie et le papy-boom, le rapport n'a cessé de reculer, atteignant aujourd'hui 1,8. Il tombera à 1,4 dans les prochaines décennies. (…) En 2027, tous les candidats à l'Élysée devront donc bien expliquer que, sauf à se diriger vers l'effondrement du système par répartition, il faut trouver des façons acceptables de prolonger la carrière des Français (pas simple). À moins de leur faire croire que, de la prolongation du déni, naîtra une solution (magique !). » Humilité Et puis La Croix retient ce mot de Sébastien Lecornu : « humilité » : « quelle que soit la durée de vie de ce nouveau gouvernement, l'humilité semble en effet plus que jamais nécessaire à nos responsables politiques, estime le quotidien catholique. Depuis la rentrée, l'instabilité politique a encore creusé le fossé entre les Français et leurs élus. Si ces derniers veulent commencer à le combler, le temps seul ne sera pas nécessaire. Il leur faudra aussi, y compris au sommet de l'État, changer d'attitude. Et cela commence en effet par faire preuve de cette humilité brandie par le nouveau premier ministre, et qu'il reste désormais à tous les responsables politiques de notre pays à mettre en œuvre. » La paix au Moyen-Orient au stade des balbutiements À la Une également, les espoirs de paix au Moyen-Orient, avec toujours autant d'interrogations. « La pax americana est-elle vraiment en marche, chaussée de ses grosses rangers, se demande L'Orient-Le Jour à Beyrouth, ou n'a-t-on là qu'une succession de moments forts, allant du pathétique au clownesque en passant par de rares et fragiles motifs d'espérance ? (…) Le processus n'en est encore qu'à ses balbutiements, même pour le seul cas de Gaza, le cheminement est long et semé d'écueils, notamment l'incertitude que laisse planer le Hamas sur son désarmement et le refus d'Israël d'évacuer l'intégralité de ce territoire. » Pour le New York Times, « la seule solution à long terme est un État palestinien à Gaza et en Cisjordanie, dont les frontières seraient négociées avec Israël. Cet État, cependant, devra être dirigé par une Autorité palestinienne réformée, avec le soutien permanent d'une force de maintien de la paix arabe et internationale qui garantirait que cet État palestinien ne menace jamais Israël, et le soutien d'un “Conseil de paix“ international qui garantirait sa réussite économique. « Mais, pointe le New York Times, la seule façon d'y parvenir est que le Hamas soit rapidement désarmé, que l'Autorité palestinienne soit rapidement réformée et intégrée à Gaza, et que Netanyahu trouve de nouveaux partenaires de gouvernement au centre ou bien qu'il quitte le pouvoir. Aucun d'entre eux, dans leurs incarnations actuelles, ne peut prétendre à être un partenaire pour une paix durable. Puissent-ils se transformer ou disparaitre rapidement. »
durée : 00:38:10 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Le 10 octobre dernier, Mélania Trump affirmait à la Maison Blanche avoir ouvert un canal de discussion avec Vladimir Poutine sur le sort des enfants ukrainiens enlevés par la Russie. Vendredi, le président américain Donald Trump s'apprête à recevoir Volodymyr Zelensky. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:10 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Le 10 octobre dernier, Mélania Trump affirmait à la Maison Blanche avoir ouvert un canal de discussion avec Vladimir Poutine sur le sort des enfants ukrainiens enlevés par la Russie. Vendredi, le président américain Donald Trump s'apprête à recevoir Volodymyr Zelensky. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À l'approche de MTL Connect (28–30 oct.), je discute avec Lamiae Azizi (Professeure à l'Université Mohammed VI Polytechnique, Maroc) de l'évolution fulgurante de l'enseignement de l'IA : des fondamentaux mathématiques aux usages concrets, de l'esprit critique à l'éthique “par la pratique”. On parle aussi opportunités pour les pays du Sud, talents locaux, recherche ouverte et ponts Nord–Sud pour transformer l'IA en véritable accélérateur d'espoir. Une conversation lucide et énergisante qui remet les étudiants, les chercheurs… et les citoyens au centre du jeu.
La présidence malgache dénonce une « tentative de prise de pouvoir illégale et par la force ». Réaction alors que des soldats de l'unité militaire Capsat se sont rangés, ce week-end, du côté des manifestants antigouvernementaux. « Ceci n'est pas un coup d'État », assure le colonel à la tête de cette mutinerie, dont les propos sont rapportés notamment par Jeune Afrique. Le pouvoir « est fragilisé mais toujours en place », précise Afrik.com, en indiquant que « le chef de l'État n'avait (selon la présidence) pas quitté le pays, contrairement aux rumeurs, et qu'il continuait de gérer les affaires nationales ». « Vit-il ses dernières heures au pouvoir ? », s'interroge Le Pays. « Tout laisse croire, estime le journal burkinabé, que les carottes sont presque cuites pour le président Rajoelina ». « La nomination d'un général au poste de Premier ministre et les assurances données par ce dernier n'ont pas produit les résultats escomptés », observe Le Pays, qui rappelle, comme d'autres médias, qu'avec « l'entrée en jeu des militaires, tout porte à croire qu'on s'achemine vers le scénario de 2009 », « lorsque des soldats du Capsat, raconte aussi Afrik.com, s'étaient déjà insurgés contre le régime de Marc Ravalomanana, ouvrant la voie à l'arrivée au pouvoir d'un jeune Andry Rajoelina, alors maire de la capitale. Seize ans plus tard, c'est désormais le même corps d'armée qui se dresse contre son ancien leader, illustrant la fragilité chronique du pouvoir civil à Madagascar ». Un mouvement récupéré par les militaires ? « La Gen Z risque fort de perdre la main, redoute Madagascar Tribune, et de payer cher la façon dont elle a mené le mouvement, sans leader visible et crédible. La rapidité avec laquelle des officiers militaires et des politiciens "de carrière" sont apparus sur la place du 13 mai montre que la récupération du mouvement est en marche », pointe le site internet malgache, qui désigne des « opportunistes ». « Si l'on refuse de prendre les leçons de l'Histoire, on risque de refaire les mêmes erreurs qu'en 2009, conclue Madagascar Tribune, aussi bien au niveau des acteurs que des procédures ». « Pas certain que les militaires puissent satisfaire les revendications des manifestants concernant les pénuries d'eau et d'électricité, confirme Aujourd'hui au Faso. Il n'est pas certain, résume le quotidien burkinabé, « que la solution réside dans un pouvoir kaki ». « Espoir fragile d'alternance » au Cameroun « Alors qu'à Madagascar, la jeunesse a choisi la rue pour exprimer son ras-le-bol, les Camerounais, eux, ont-ils fait du scrutin d'hier le moyen de se défaire de leur indéboulonnable président ? », se demande Ledjely, alors que près de 8 millions d'électeurs étaient appelés, dimanche 12 octobre, à choisir leur prochain président, et peut-être à reconduire Paul Biya, 92 ans, pour un 8e mandat. Le site internet guinéen fait partie des rares à percevoir, malgré tout, « l'espoir fragile d'une alternance », « porté par plusieurs signaux encourageants ». « D'abord, l'affluence exceptionnelle constatée devant de nombreux bureaux de vote. Cette mobilisation pourrait davantage, d'après Ledjely, traduire un sursaut collectif d'électeurs décidés à dire "stop" à un pouvoir devenu synonyme d'immobilisme ». « Autre fait marquant, souligne le site internet : la vigilance citoyenne ». « Dans plusieurs villes, des électeurs sont retournés dans leurs bureaux de vote après la fermeture pour assister au dépouillement. Cette veille civique, inédite à cette échelle, témoigne de la méfiance généralisée vis-à-vis de la crédibilité du processus électoral ». « En attendant la proclamation officielle des chiffres, une chose est sûre, conclue Ledjely : pour la première fois depuis longtemps, une partie des Camerounais semble y croire encore ». « On voit mal comment l'engouement de jeunes pourrait terrasser le dinosaure », tempère L'Observateur Paalga... qui se concentre donc sur un autre enjeu : avec quel score Paul Biya va-t-il l'emporter ? « Continuera-t-il à afficher plus de 70% de voix en sa faveur ? » « L'autre incertitude, indique aussi le quotidien burkinabé, c'est la capacité du quasi centenaire à tenir fermement la barre du navire camerounais pendant encore 7 ans », lui qui n'est apparu qu'une seule fois en public, lors d'un meeting à Maroua.
La présidence malgache dénonce une « tentative de prise de pouvoir illégale et par la force ». Réaction alors que des soldats de l'unité militaire Capsat se sont rangés, ce week-end, du côté des manifestants antigouvernementaux. « Ceci n'est pas un coup d'État », assure le colonel à la tête de cette mutinerie, dont les propos sont rapportés notamment par Jeune Afrique. Le pouvoir « est fragilisé mais toujours en place », précise Afrik.com, en indiquant que « le chef de l'État n'avait (selon la présidence) pas quitté le pays, contrairement aux rumeurs, et qu'il continuait de gérer les affaires nationales ». « Vit-il ses dernières heures au pouvoir ? », s'interroge Le Pays. « Tout laisse croire, estime le journal burkinabé, que les carottes sont presque cuites pour le président Rajoelina ». « La nomination d'un général au poste de Premier ministre et les assurances données par ce dernier n'ont pas produit les résultats escomptés », observe Le Pays, qui rappelle, comme d'autres médias, qu'avec « l'entrée en jeu des militaires, tout porte à croire qu'on s'achemine vers le scénario de 2009 », « lorsque des soldats du Capsat, raconte aussi Afrik.com, s'étaient déjà insurgés contre le régime de Marc Ravalomanana, ouvrant la voie à l'arrivée au pouvoir d'un jeune Andry Rajoelina, alors maire de la capitale. Seize ans plus tard, c'est désormais le même corps d'armée qui se dresse contre son ancien leader, illustrant la fragilité chronique du pouvoir civil à Madagascar ». Un mouvement récupéré par les militaires ? « La Gen Z risque fort de perdre la main, redoute Madagascar Tribune, et de payer cher la façon dont elle a mené le mouvement, sans leader visible et crédible. La rapidité avec laquelle des officiers militaires et des politiciens "de carrière" sont apparus sur la place du 13 mai montre que la récupération du mouvement est en marche », pointe le site internet malgache, qui désigne des « opportunistes ». « Si l'on refuse de prendre les leçons de l'Histoire, on risque de refaire les mêmes erreurs qu'en 2009, conclue Madagascar Tribune, aussi bien au niveau des acteurs que des procédures ». « Pas certain que les militaires puissent satisfaire les revendications des manifestants concernant les pénuries d'eau et d'électricité, confirme Aujourd'hui au Faso. Il n'est pas certain, résume le quotidien burkinabé, « que la solution réside dans un pouvoir kaki ». « Espoir fragile d'alternance » au Cameroun « Alors qu'à Madagascar, la jeunesse a choisi la rue pour exprimer son ras-le-bol, les Camerounais, eux, ont-ils fait du scrutin d'hier le moyen de se défaire de leur indéboulonnable président ? », se demande Ledjely, alors que près de 8 millions d'électeurs étaient appelés, dimanche 12 octobre, à choisir leur prochain président, et peut-être à reconduire Paul Biya, 92 ans, pour un 8e mandat. Le site internet guinéen fait partie des rares à percevoir, malgré tout, « l'espoir fragile d'une alternance », « porté par plusieurs signaux encourageants ». « D'abord, l'affluence exceptionnelle constatée devant de nombreux bureaux de vote. Cette mobilisation pourrait davantage, d'après Ledjely, traduire un sursaut collectif d'électeurs décidés à dire "stop" à un pouvoir devenu synonyme d'immobilisme ». « Autre fait marquant, souligne le site internet : la vigilance citoyenne ». « Dans plusieurs villes, des électeurs sont retournés dans leurs bureaux de vote après la fermeture pour assister au dépouillement. Cette veille civique, inédite à cette échelle, témoigne de la méfiance généralisée vis-à-vis de la crédibilité du processus électoral ». « En attendant la proclamation officielle des chiffres, une chose est sûre, conclue Ledjely : pour la première fois depuis longtemps, une partie des Camerounais semble y croire encore ». « On voit mal comment l'engouement de jeunes pourrait terrasser le dinosaure », tempère L'Observateur Paalga... qui se concentre donc sur un autre enjeu : avec quel score Paul Biya va-t-il l'emporter ? « Continuera-t-il à afficher plus de 70% de voix en sa faveur ? » « L'autre incertitude, indique aussi le quotidien burkinabé, c'est la capacité du quasi centenaire à tenir fermement la barre du navire camerounais pendant encore 7 ans », lui qui n'est apparu qu'une seule fois en public, lors d'un meeting à Maroua.
Le Dr Navin Ramgoolam annonce la réouverture de l'enquête sur la mort de Soopramanien Kistnen : « C'est un nouvel espoir », déclare son épouse Simla by TOPFM MAURITIUS
« Enfin, soupire Libération à Paris. Enfin les bombes devraient se taire. Enfin les otages devraient retrouver leurs familles. Enfin les Gazaouis, sur une terre brisée, ne devraient plus mourir. L'annonce qu'un accord a été trouvé entre Israël et le Hamas, cette nuit, a été donnée par celui qui en revendique la paternité : Donald Trump. Le président américain a annoncé que "TOUS les otages allaient être libérés" et qu'Israël allait "très bientôt retirer ses troupes" d'une partie de l'enclave palestinienne. Il ne s'agit pas d'une paix totale, pointe encore Libération, ce n'est pas encore le bout du tunnel, loin de là, mais il s'agit d'une première phase encourageante. Cet accord, qui doit être officiellement signé ce jeudi en Égypte, prévoit la libération, en une fois et dans les 72 heures qui suivront sa mise en œuvre, des 20 otages encore vivants contre 2000 prisonniers palestiniens. "Je pense qu'ils seront de retour lundi", a lancé Trump sur Fox News, tandis que des sources israéliennes évoquent un échange dès dimanche ». Bravo Trump… C'est donc un immense espoir de paix. La nouvelle est à la Une des médias du monde entier. Et notamment bien sûr de la presse américaine : « avec cet accord au Moyen-Orient, Trump est sur le point de réaliser un exploit diplomatique majeur », s'exclame le New York Times. « Et s'il parvient à convaincre le Premier ministre Benjamin Netanyahu de retirer ses troupes de Gaza et d'abandonner son projet de prise de contrôle des vestiges de l'enclave, s'il parvient à mettre un terme au carnage qui a tué 1200 personnes en Israël et plus de 60 000 Palestiniens, Donald Trump aura accompli ce que beaucoup avant lui ont tenté (…). » Et « si le plan de paix est mis en œuvre, poursuit le New York Times, Donald Trump pourrait prétendre au prix Nobel de la paix avec autant de légitimité que les quatre présidents américains qui l'ont remporté par le passé ». Encore beaucoup de tensions… On n'en est pas là… Attention, prévient le Guardian à Londres, « il reste tant de choses à discuter. Le plan de paix en 20 points proposé par l'administration américaine tente de concilier la création des conditions d'un cessez-le-feu et la négociation d'une fin durable de la guerre ; les questions difficiles sur l'avenir du Hamas et de son désarmement éventuel, ainsi que la vision d'Israël pour l'avenir de Gaza, restent à trancher. (…) Les tensions qui subsistent sont évidentes, pointe encore le Guardian. Le Hamas a appelé Trump et les autres partis à "veiller à ce que le gouvernement d'occupation israélien respecte pleinement les termes de l'accord" ». Et en effet, souligne le quotidien britannique, « on peut craindre qu'Israël ne reprenne son offensive une fois les otages rendus ». D'ailleurs, Haaretz à Tel Aviv se pose directement la question : « Trump peut-il empêcher Netanyahu de reprendre la guerre à Gaza après la libération des otages ? Ce qu'on a demandé au Hamas – libérer les otages – est concret et irréversible. En revanche, la contrepartie israélienne – mettre fin à la guerre – n'est qu'une promesse qui pourrait s'évaporer à tout moment. (…) Cela s'est déjà produit par le passé, rappelle le quotidien israélien d'opposition. Netanyahou a refusé de mettre fin à la guerre des dizaines de fois, allant jusqu'à refuser cyniquement de négocier la deuxième étape de l'accord précédent en janvier dernier ». « La route sera longue… » « La grande question est de savoir si toutes les parties continueront à jouer le jeu, renchérit le Times à Londres. (…) Même les plus optimistes de l'administration Trump affirment que la route sera longue. Les acteurs des négociations espèrent que le président américain restera impliqué tout au long du processus, plutôt que de miser sur un accord et de passer à autre chose. Trump qui a déjà annoncé qu'il présiderait le conseil de paix, dont Tony Blair fait partie. Ce conseil sera chargé de maintenir le plan en vie dans les semaines et les mois à venir ». En attendant la suite des événements, la presse israélienne, notamment le Jerusalem Post, annonce que le Premier ministre Benjamin Netanyahu a invité Donald Trump à s'adresser dimanche à la Knesset à Jérusalem. Donald Trump qui peut pavoiser… « "Le président de la paix", affichait le compte X de la Maison Blanche, hier soir, souligne Le Monde à Paris. Donald Trump a réussi un exploit : celui de recueillir les remerciements unanimes du Hamas et d'Israël ». Mais, prévient le quotidien du soir, « cela ne présage en rien de la suite du destin des Gazaouis ».
Ce ne sera pas un face-à-face direct entre représentants israéliens et représentants du Hamas, mais un échange orchestré par les médiateurs qataris ou égyptiens qui vont faire la navette entre les deux camps. Malgré tout, pointe Libération à Paris, « les négociations qui démarrent ce lundi en Égypte doivent initialement se focaliser sur un seul objectif : la libération de tous les otages israéliens, vivants ou morts, en échange de la libération de prisonniers palestiniens. De la réussite de cette première phase dépend sans doute la poursuite des négociations sur le reste du plan Trump, qui compte 20 points, rappelle le journal, notamment la création d'un gouvernement provisoire de technocrates palestiniens supervisés par des personnalités internationales, une force de maintien de la sécurité constituée par des pays étrangers ainsi que le désarmement complet du Hamas, sans oublier un retrait de l'armée israélienne. Mais ces discussions viendront (donc) après. » Sortir d'un engrenage mortifère… Finalement, relève Le Figaro, « peu importe qui crie victoire, pourvu que cette première phase du plan aboutisse – et même si cela prend un peu plus de temps que les 72 heures prévues. Tous les obstacles ne seront pas levés pour la suite, en particulier le désarmement du Hamas, qui n'est pas acquis. Le Premier ministre israélien a promis de l'obtenir, via le plan de Trump ou par la force. Mais du moins cette première étape permettrait de sortir d'un engrenage mortifère, après 730 jours d'une guerre terrible qui a tué plus de 65.000 Palestiniens. » En effet, renchérit Le Soir à Bruxelles, « pour les Gazaouis, pour les otages israéliens, l'abomination doit cesser immédiatement. » Le Temps à Genève est sur la même ligne : « tout le monde, ou presque, souhaite la libération des otages et des prisonniers ainsi que la fin des souffrances des Gazaouis. Mais, pratiquement deux ans après le 7-Octobre, il sera difficile, pour les uns et pour les autres, de se contenter de jouer à un jeu dont les règles n'ont pas été fondamentalement revues. » Divergences… Et d'ores et déjà, il y a des « points de friction », affirme Haaretz à Tel Aviv. Concernant la libération des prisonniers palestiniens, « le Premier ministre Benjamin Netanyahou a déjà clairement indiqué qu'Israël ne libérerait pas les terroristes de la force d'élite Nukhba du Hamas ayant participé aux attaques contre Israël du 7 octobre 2023, malgré les exigences du Hamas. » Quant au mouvement islamiste, poursuit Haaretz, « il aurait des objections à propos des lignes de retrait des Forces de défense israéliennes. Un retrait qui doit lui permettre une relative liberté de mouvement à Gaza pour localiser et regrouper les otages vivants et les corps à restituer à Israël. » Nombreux points en suspens… Et le plus dur reste encore à venir… Derrière ce premier round de négociations se cachent « des enjeux très politiques », constate Le Monde. En effet, précise le journal, « les discussions pourraient s'étendre au calendrier du retrait israélien et à l'administration de l'enclave. » Et dès demain mardi, on devrait entrer dans le vif du sujet, relève le quotidien du soir, avec « l'arrivée en Égypte, du gendre du président américain, Jared Kushner. Ce dernier, homme d'affaires très investi dans le Golfe, travaille depuis l'été à un plan de paix à long terme au Proche-Orient. Le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, lui, a déjà indiqué que des négociations sur une structure de gouvernement à Gaza pourraient avoir lieu dès les premières étapes du cessez-le-feu. » Quant au Hamas, « il devrait renouveler sa demande d'un engagement clair sur les plans d'aide humanitaire et de reconstruction de l'enclave. » Bref, ce processus de paix pourrait prendre des jours, des semaines, des mois… Personne n'est en mesure de faire le moindre pronostic…
Deux ans d’attente, d’angoisse et d’espoir.Alors que le plan Trump pour mettre fin à la guerre et libérer les otages pourrait se concrétiser, les familles oscillent entre foi et prudence. Ishay Dan revient sur le parcours d’Ofer, Erez et Sahar Kalderon — anciens otages du Hamas — et témoigne de ce que vivent aujourd’hui ceux dont les proches sont toujours détenus à Gaza.
L'animateur télé Arthur, de son vrai nom Jacques Essebag, publie "J'ai perdu un bédouin dans Paris", chez Grasset le 7 octobre. Ecoutez Le journal inattendu avec Stéphane Boudsocq du 04 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi 2 octobre, Antoine Larigaudrie vous présente le placement à suivre dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce week-end, c'est le grand retour d'Alex Pereira dans le cage de l'UFC pour venger sa défaite face à Magomed Ankalaev lors de l'UFC 313, désormais champion incontesté de la catégorie Light Heavywweight. Dans une division en manque de stars powers et de combattants marketable, un retour victorieux d'Alex Pereira est-il le dernier espoir de Dana White, tant dans cette division que pour de potentiels superfight face à Chimaev ou en Poids Lourds ? Qui gagnera entre Pereira et Ankalaev ?
durée : 00:05:20 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Tour de vis supplémentaire des talibans, paranoïa du régime proche d'Al-Qaïda ? La coupure nationale d'Internet et des télécommunications prive 43 millions d'Afghans d'une fenêtre sur le monde. Les femmes, jeunes filles perdent l'accès à des cours en ligne, après avoir été exclues de l'éducation.
durée : 00:05:58 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Tour de vis supplémentaire des talibans, paranoïa du régime proche d'Al-Qaïda ? La coupure nationale d'Internet et des télécommunications prive 43 millions d'Afghans d'une fenêtre sur le monde. Les femmes, jeunes filles perdent l'accès à des cours en ligne, après avoir été exclues de l'éducation.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 01 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans La Brigade on reçoit le choix de quatrième ronde des Sénateurs en 2025, le gardien de but du Drakkar de Baie-Comeau, Lucas Beckman.En première partie on discute avec l'ami de La Brigade, David Robquin qui était présent au match à Québec contre les Devils du New-Jersey.Vous avez aimé vous avez envie de redonner?labrigadepodcast.ca/merciSur XLa Brigade @LabrigadePodJean-Philippe Forgues @jp.forguesJean-Philip Fortin @JPFortin18Pascal Villeneuve @pazzyvilleStewart Sabourin @stewmsabourinTiktokLaBrigadePodcastYouTubehttps://www.youtube.com/@labrigadepodInstagramhttps://www.instagram.com/labrigadepodMerci à nos commanditairesSmrtCycle - mentionne que c'est La brigade qui t'envoi (https://smrtcycle.ca/)Planet Hoster (https://www.planethoster.com/fr)
durée : 00:37:03 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Le réalisateur iranien Jafar Panahi, dont le film "Un simple accident" - Palme d'or à Cannes - sort ce mercredi en France, était l'invité de l'émission. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Le trompettiste Ibrahim Maalouf se confie sur la scène de l'Olympia. De ses racines au Liban à son amour du jazz, découvrez le parcours d'un musicien unique, son hommage à Beyrouth et sa tournée en hommage à Oum Kaltoum.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jenyfer a failli sombrer pour de l'argent facile, aujourd'hui elle lutte contre la prostitution des mineures - Schizophrène, Emilie parle de ses nombreux amours. - Olivier cherche des amis perdus de vue depuis 1986 - Inquiète pour sa santé, Célia replonge dans l'alcool - A 47 ans, Virginie cherche l'amour et ne perd pas espoir de le trouver ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
POUR COMMANDER MON LIVRE : Sur Amazon : https://amzn.to/3ZMm4CY Sur Fnac.com : https://tidd.ly/4dWJZ8ODans nos sociétés, l'espoir est valorisé. "L'espoir fait vivre", dit le dicton. Mais se pourrait-il que nous nous trompions ? Se pourrait-il que l'espoir, loin d'être positif, nous enferme dans la passivité et contribue à notre malheur ? Éléments de réflexion dans cet épisode.---Envie d'aller plus loin ? Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à tout mon contenu supplémentaire.
durée : 00:36:28 - L'Invité(e) des Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux, Margaux Leridon - Le 4 septembre dernier, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est entretenu à Paris avec les dirigeants européens pour définir les contours d'une future « coalition des volontaires ». Ces nouveaux engagements peuvent-ils peser dans d'éventuelles négociations entre l'Ukraine et la Russie ? - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : David Cadier Chercheur « Sécurité Européenne » à l'IRSEM et enseignant au collège d'Europe et à Sciences po Paris.; Tetyana Ogarkova Journaliste et politiste, responsable du département international à l'Ukraine Crisis Media Center
Le sujet :L'économie française traverse une période délicate : déficit public qui explose, dette qui s'envole et tensions politiques qui bloquent les réformes. Quels impacts pour vos investissements, et comment adapter votre stratégie patrimoniale ?L'invité du jour :Marc Touati est économiste et président du cabinet ACDEFI. Spécialiste de l'économie française et européenne, il intervient régulièrement dans les médias et sur YouTube pour décrypter les enjeux macroéconomiques.Au micro de Matthieu Stefani, Marc Touati décrypte la situation alarmante de l'économie française :Pourquoi l'économie française est-elle en grande difficulté ?La France est-elle trop endettée ?Est-il trop tard pour l'économie française ?Quelles sont les solutions de Marc Touati pour relever l'économie ?Quels sont les actifs dans lesquels investir pour se protéger ?Faut-il quitter la France ou investir ailleurs ?Ils citent les références suivantes :Thomas PikettyLa CSGL'agence de notation FitchLa crise de la dette publique grecqueOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Sapians de soutenir le podcast.Réalisez votre bilan patrimonial et recentrez vos possibilités d'investissement avec Sapians en suivant ce lien.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le mineur de 13 ans, suspecté d'avoir poignardé mortellement un adolescent de 16 ans, se trouve face à un juge d'instruction. Il explique son geste en assurant s'être seulement défendu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Le Scrill avait 24 ans quand il s'est évaporé, pas très loin de Chantilly et de son hippodrome. Sa disparition ne pouvait pas passer inaperçue. Le nom du jeune homme commençait à être connu sur les champs de courses. Espoir du galop, on lui prédisait un avenir glorieux. Il serait bientôt l'un des plus célèbres jockeys de France. Face à ce départ incompréhensible, les gendarmes vont s'interroger sur une éventuelle mauvaise rencontre. Avant de se tourner vers la vie familiale et intime, pour le moins agitée, du disparu. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ils représentent plus de la moitié de la population en Haïti... Et pourtant, les jeunes font face à d'énormes difficultés. Peterson Luxama est allé à leur rencontre, à Port-au-Prince. Absence de politiques ciblées pour leur intégration, manque d'emplois, insécurité, précarité…à l'occasion de la Journée internationale de la jeunesse, ce mardi 12 août 2025, beaucoup de jeunes Haïtiens expriment leur désespoir. Certains ne croient plus en un avenir meilleur, tandis que d'autres, malgré tout, gardent l'espoir d'un possible changement. Aux États-Unis, Donald Trump a provoqué la surprise hier en décidant de déployer des agents du FBI, ainsi que les agents de la garde nationale dans les rues de Washington… Le président a pris des mesures exceptionnelles face à ce qu'il considère comme une hausse de la criminalité dans la capitale. Pourtant, les chiffres disent le contraire : selon le ministère de la Justice, les taux de criminalité n'ont jamais été aussi bas depuis les trente dernières années. «Le taux de criminalité à Washington aujourd'hui est plus haut que ceux de Bogota en Colombie, ou que celui de Mexico… ces villes dont vous entendez parler et qui sont considérées comme les pires endroits de la terre. C'est plus haut, c'est bien plus haut.» Voilà ce que pense Donald Trump de Washington... Forcément, aujourd'hui, presque toute la presse américaine titre sur le sujet. Hier lundi (11 août 2025), des mesures exceptionnelles ont été prises... Alors, il y a les médias conservateurs et pro-Trump qui s'en réjouissent. Washington est «aussi effrayante que l'enfer», titre le New York Post... et puis il y a d'autres quotidiens, comme le Washington Post, qui tentent de décrypter la stratégie de Trump derrière une telle décision. Les journalistes expliquent que l'idée de déployer la Garde nationale et de placer la police de la ville sous l'autorité directe du président est bien pensée... et née avant même l'entrée en fonction du président. La hausse de la criminalité invoquée par Trump est un prétexte. Pour le journal Politico, ces «mesures d'urgence» déployées par le président servent en fait à consolider son pouvoir sur la ville, qui est sous l'autorité du Congrès et non pas d'un État comme les autres villes américaines. Les journalistes rappellent tout de même que le président va se heurter à des limites : sans l'accord du Congrès, son administration ne pourra pas prolonger indéfiniment son contrôle sur la police de Washington. Au Chili, l'espoir d'un traité mondial pour préserver la planète de la pollution plastique... «Je ne veux pas être négatif», écrit Maximiliano Proaño, sous-secrétaire à l'Environnement, sur le site du média chilien El Mostrador. Il explique fonder beaucoup d'espoir dans le traité international contre la pollution plastique, en négociation à Genève en ce moment même. Proaño évoque le cas du Chili, très exposé à ce fléau, étant le plus gros consommateur de bouteilles plastiques du continent américain. Ces dernières années, plusieurs études ont montré la contamination aux microplastiques au Chili. Sur le site La Tercera, la journaliste Ceina Iberti explique comment ces particules se retrouvent dans les sols, les boissons et les plats des habitants. «Le pays est confronté à un vide réglementaire», alarme-t-elle. Le gouvernement semble, lui, déterminé à s'investir à Genève : «Le Chili arrive avec une position claire, appelant à un accord ambitieux, juste et efficace. Nous avons besoin de règles mondiales», a précisé le sous-secrétaire. Au Canada, des faux consultants et des faux avocats soutirent de l'argent aux populations immigrées... Oui, c'est une enquête vidéo du média canadien Le Devoir. Deux journalistes y montrent comment certains profitent de la vulnérabilité des nouveaux arrivants au Canada pour leur extorquer de l'argent. Ces derniers se font passer pour des avocats spécialisés en droit de l'immigration et demandent des sommes astronomiques à des demandeurs d'asile. L'un d'eux, appelé Gourdip, confie avoir payé 6 500 dollars à un consultant fantôme pour une demande d'asile qui n'a jamais été déposée. L'enquête révèle que les réfugiés sont particulièrement visés, car ils sont une cible de choix pour les fraudeurs. Ils ont 45 jours après leur arrivée pour déposer une demande d'asile et monter un dossier. C'est là que les arnaqueurs interviennent, proposant des services rapides et à moindre coût. Dans l'enquête, Sarah Champagne et Félix Pednaut, les journalistes du Devoir, donnent donc des clés pour mieux les identifier. Ils ont même rencontré un fraudeur en caméra cachée. En Argentine, une série Netflix connaît un succès phénoménal El Eternauta, «l'Eternaute», a été diffusée fin avril 2025. C'est l'une des séries non anglophones qui a réalisé le meilleur démarrage sur la plateforme. Une semaine après sa sortie, les six épisodes avaient été vus par près de 11 millions de personnes à travers le monde. Et un phénomène assez inattendu s'est produit : la série a relancé la recherche des bébés disparus pendant la dictature argentine de 1976 à 1983. Journal de la 1re L'attention est portée sur la tempête tropicale Erin, qui est en ce moment près du Cap-Vert. Elle pourrait bien traverser l'Atlantique et se rapprocher des Antilles ce samedi (16 août 2025) en fin de semaine. Les météorologues craignent qu'elle se transforme en ouragan de catégorie 3.
La production de cocaïne continue de battre des records en Colombie, portée par l'extension rapide des cultures illicites de coca. En un an, elle a bondi de près de 34%, selon les derniers chiffres officiels. Dans le Putumayo, les plantations de coca sont omniprésentes. Il s'agit du premier département producteur de coca de Colombie, avec plus de 50 000 hectares consacrés à cette culture illicite, contrôlés par les groupes armés. Mais une petite baie amazonienne, l'açaï, suscite ici de nouveaux espoirs économiques et écologiques. De notre envoyée spéciale à Puerto Asis, Darío est venu chercher son dû à l'entreprise et ONG Amapuri - CorpoCampo qui achète ses fruits. À plus de 70 ans, ce paysan du Putumayo a été l'un des premiers à croire en l'açaï comme alternative à la coca. Pour lui, cela a tout changé. « Avant, je gagnais ma vie avec la coca. Puis j'ai réalisé que la coca était de toute façon un gros problème. Alors, on a commencé à planter de l'açaï. Cela bien marché pour nous : on n'a plus de problèmes avec personne. L'açaï est un produit qui rapporte de l'argent et apporte du bien-être. Avec cela, j'ai complètement arrêté la coca », raconte-t-il. Comme Darío, près de 1 400 familles du Putumayo se sont tournées vers ce « super aliment » avec l'aide de Corpocampo. Julio, par exemple, y voit un moyen de vivre dignement. « Je pense que l'açaï, c'est ma retraite. C'est l'espoir que les choses s'amélioreront à un moment. Car de l'açaï, on peut sortir beaucoup de produits dérivés, donc il n'y a pas de problème », explique-t-il. Depuis le début des années 2000, les programmes de substitution de la coca se succèdent dans le département, sans grand succès. Mais l'açaï pourrait offrir un avenir plus stable. C'est dans cet objectif qu'a été créé Amapuri - CorpoCampo, comme l'explique Yimy, l'un des fondateurs. « Malheureusement, depuis plus de 40 ans dans le Putumayo, toute une génération a été élevée avec la coca. Il y a des jeunes qui ne savent rien faire d'autre que de vivre de la coca, de la culture, de la transformation, parfois du transport. Cela conduit certains d'entre eux à s'impliquer dans des groupes armés, ce qui génère de la violence. Avec l'açaï, nous cherchons à changer cet esprit et à faire en sorte que les gens commencent à se rendre compte qu'il existe un modèle économique légal », détaille-t-il. Mais cette aubaine n'est pas sans risques : le boom annoncé de l'açaï pourrait bien, comme au Brésil, favoriser la monoculture et menacer la forêt. Ici, le pari est donc différent et repose sur l'agroforesterie, comme l'explique Mauricio, un technicien agronome venu cet après-midi, malgré les trombes d'eau, conseiller les paysans sur la santé de leurs palmiers. « L'idée est de rétablir la biodiversité perdue en Amazonie à la suite de l'abattage des forêts pour l'économie illicite. Dans le Putumayo, nous mettons en place des systèmes agroforestiers, dans lesquels le palmier d'açaï est associé à d'autres espèces, y compris des cultures natives de la région », affirme-t-il. Un enjeu de taille pour que, demain, les enfants du Putumayo puissent grandir loin de la coca et préserver un bout d'Amazonie. À lire aussiLes descendants d'esclaves africains, gardiens de la forêt amazonienne
Actualité musicale avec Espoir 2000 de la Côte-d'Ivoire, Teddy Benzo du Congo et le rap engagé de Medine entre autres. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Theodora ft. Guy2Bezbar - PayEspoir 2000 - RespectezImilo Lechanceux feat Ariel Sheney - Ca c'est petitMedine - StentorDjanii Alfa - Peace priceMaster Soumy - FangaDjelykaba Bintou feat Mia Guisse - UniqueRokia Traoré - LaïduTeddy Benzo feat Spinho Stayze, Mudiayo - Mbok' OyoFanicko - OriginesStevie Wonder - I wishJanet Jackson - Together againKim feat Stony - SoloYamê - ShootRetrouvez notre playlist sur Deezer.
POUR COMMANDER MON LIVRE : Sur Amazon : https://amzn.to/3ZMm4CY Sur Fnac.com : https://tidd.ly/4dWJZ8OLe pari de Pascal est un argument philosophique qui vise à convaincre les sceptiques de croire en Dieu. Il s'énonce ainsi : "Pariez que Dieu existe : si vous gagnez, vous gagnez tout, si vous perdez, vous ne perdez rien". Que faut-il penser de cet argument ? Éléments de réponse dans cet épisode.Vous pouvez me soutenir :★En devenant contributeur sur Patreon : https://www.patreon.com/leprecepteurpodcast Vous pourrez ainsi accéder au podcast sans pub et en avant-première et surtout à mon contenu inédit ! ★Ou en faisant un don ponctuel sur PayPal : http://paypal.me/leprecepteurpodcast Pensez à laisser une note et un avis sur la plateforme de podcast où vous m'écoutez. Cela prend quelques secondes, et c'est un geste très utile pour le référencement du podcast ! Et bien sûr, continuez à partager les émissions que vous préférez sur vos réseaux sociaux.Le Précepteur Podcast a été créé pour vous et continuera d'exister grâce à vous.(Pour toute demande : leprecepteurpodcast@gmail.com)---Envie d'aller plus loin ? Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à tout mon contenu supplémentaire.
