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Pour ce dernier cycle de la quatrième saison, l'équipe du balado queer-féministe toutEs ou pantoute se lance dans les thèmes de l'identité et de l'appartenance. Comme on ne se tanne pas d'en parler, mais qu'on voudrait éviter que vous ne vous tanniez de nous entendre, on passe le micro à Marie-Andrée Gill et sa colocataire et amie Corinne Asselin qui nous emmènent avec elles dans leur presbytère de Petit Saguenay réaménagé en grande colocation avec ami·e·s et ados. Intentionnalité relationnelle, ancrage hors ville, appartenance à une communauté choisie, tout y est! Outre des interventions de nos mamans, un poème de Natasha Kanapé Fontaine, un extrait de La Garçonnière de Mylène Bouchard et la musique d'Ambroise, on bouscule un peu notre format habituel pour laisser carte blanche à Marie-Andrée et Corinne. En espérant que leur complicité vous émeuve et vous stimule autant que nous! Pour lire la transcription, c'est par ici ! Merci à Marie-Andrée Gill et Corinne Asselin pour la conception et l'enregistrement de cet épisode, et à Natasha Kanapé Fontaine pour la composition et la lecture d'un poème original. Un merci Eve-laurence Hébert pour l'aide à la production de cet épisode. Merci à nos mamans, Sarah Grenon et Isabelle Gagnon, pour leur apport à nos réflexions. Vous avez entendu la musique d'Ambroise et un extrait de La Garçonnière de Mylène Bouchard, lu par Émilie Duchesne. L'illustration originale de l'épisode est de Rosalie Gagnon. toutEs ou pantoute est créé, réalisé, produit et animé par Laurie Perron et Alexandra Turgeon Avec Jenny Cartwright, conseillère à la scénarisation et à la réalisation Marie-Eve Boivert, Laurie Perron et Alexandra Turgeon au montage Sylvaine Arnaud à la conception sonore avec une musique originale d'Ariane Vaillancourt À la recherche et la coordination, Alexe Allard, Eve-Laurence Hébert et Wina Forget Promotion et gestion des médias sociaux par Melyssa Elmer Illustration orginiale du balado par Odrée Lapperrière Graphisme par Marin Blanc La 4e saison de toutEs ou pantoute a été rendue possible grâce au soutien financier du Conseil des arts et des lettres du Québec. Nous remercions le conseil des arts du canada de son soutien Pour plus d'information et tous les liens des références citées, c'est ici! Pour ne rien manquer de nos annonces Suivez toutEs ou pantoute sur Facebook et Instagram Visitez le toutesoupantoute.com Abonnez-vous à toutEs ou pantoute sur votre application balado Supportez toutEs ou pantoute! Laissez-nous des étoiles et des commentaires sur vos applications balado, ça permet à plus de personnes de découvrir le projet. Visitez notre boutique en ligne pour des objets d'art ou des objets utiles inspirés par notre podcast. Pour vous procurer une copie imprimée de l'illustration originale de l'épisode par Rosalie Gagnon, c'est ici! Vous pouvez aussi faire un don non récurrent ici! — Attention, les montants sont en dollars US! Support toutEs ou pantoute by contributing to their tip jar: https://tips.pinecast.com/jar/toutes-ou-pantoute
Cycle la recherche de justice 2/2 Avertissement de contenu: cet épisode contient des passages traitant de conditions de vies dans les prisons, d'automutilation et de violence conjugale. Faites attention à vous xx Pour clore notre cycle d'épisodes sur la recherche de justice et le contrôle, l'équipe du balado queer-féministe toutEs ou pantoute vous invite à sauter à pieds joints dans la reprise de contrôle par l'art. À travers le temps, les récits de femmes criminalisées (et de personnes queers que l'histoire préférait classer sous le terme “femmes”) ont été marqués par des préjugés genrés difficiles à ignorer; celles qu'on a traitées de sorcières, de marâtres et les filles de joie ont vite vu leur titre glisser vers des termes bien plus dégradants. Est-ce que le traitement de ces personnes serait le même si on avait réellement considéré leur version de leur histoire? Par des discussions avec Louise Henry (ex-détenue, militante et auteure) et Sylvie Frigon (criminologue, professeure et chercheuse au département de criminologie de l'Université d'Ottawa), on explore le potentiel exutoire et libérateur de la reprise de contrôle sur son corps ou son récit par l'art, en contexte d'incarcération. Le tout, entrecoupé d'extraits de textes de Maxime Holliday, Karine Rosso, de poèmes de Natasha Kanapé Fontaine et de la musique de Guim Moro, Eugénie Jobin, Sylvaine Arnaud et Mifan. Attention, cet épisode contient une bonne dose d'espoir, mais aussi une petite tape dans le dos pour motiver le développement d'idéaux anti-carcéraux! Pour lire la transcription, c'est par ici! Merci à nos invitées: Sylvie Frigon, professeure et chercheuse au département de criminologie de l'Université d'Ottawa, et auteure; Louise Henry, militante et auteure. Vous avez entendu des poèmes originaux écrits et lus par Natasha Kanapé-Fontaine, des extraits d'une lettre ouverte de Maxime Holliday lus par elle-même. Les extraits tirés de livres de Sylvie Frigon et les contes des frères Grimm sont lus par Émilie Duchesne. Vous avez entendu un extrait de la bande-son de la vidéo Respirations - Le groupe entre bienveillance et célébration, par Claire Jenny, ainsi que la musique de Guim Moro, Mifan, et celle d'Eugénie Jobin et Sylvaine Arnaud diffusée dans la film Perdoname, Lola). Cet épisode comprend également un extrait d'un entretien avec Karine Rosso réalisé par Rosalie Lavoie dans la revue Liberté numéro 337. Merci à Anne-Céline Genevois et Josyanne Lamarche de la Société Elizabeth-Fry du Québec pour les discussions qui ont contribué à éveiller nos sensibilités. L'illustration originale est de Camille Limoges toutEs ou pantoute est créé, réalisé, produit et animé par Laurie Perron et Alexandra Turgeon Avec Jenny Cartwright, conseillère à la scénarisation et à la réalisation Marie-Eve Boivert, Laurie Perron et Alexandra Turgeon au montage Sylvaine Arnaud à la conception sonore avec une musique originale d'Ariane Vaillancourt À la recherche et la coordination, Alexe Allard, Eve-Laurence Hébert et Wina Forget Promotion et gestion des médias sociaux par Melyssa Elmer Illustration orginiale du balado par Odrée Lapperrière Graphisme par Marin Blanc La 4e saison de toutEs ou pantoute a été rendue possible grâce au soutien financier du Conseil des arts et des lettres du Québec. Nous remercions le conseil des arts du canada de son soutien Pour plus d'information et tous les liens des références citées, c'est ici! Pour ne rien manquer de nos annonces Suivez toutEs ou pantoute sur Facebook et Instagram Visitez le toutesoupantoute.com Abonnez-vous à toutEs ou pantoute sur votre application balado Supportez toutEs ou pantoute! Laissez-nous des étoiles et des commentaires sur vos applications balado, ça permet à plus de personnes de découvrir le projet. Visitez notre boutique en ligne pour des objets d'art ou des objets utiles inspirés par notre podcast. Pour se procurer un imprimé de l'illustration originale de l'épisode par Camille Limoges, c'est ici! Vous pouvez aussi faire un don non récurrent ici! — Attention, les montants sont en dollars US!
Cycle la recherche de justice 1/2 Avertissement de contenu: cet épisode traite de violences à caractère sexuel et de violences policières, sans description explicite. Faites attention à vous xxx Avec ce troisième épisode de la saison, l'équipe du balado queer-féministe toutEs ou pantoute entame un bloc sur la recherche de justice et la perte et la (re)prise de contrôle. On débute notre exploration par la découverte des différents processus de justice alternative entrepris par notre invitée Laurence Ingenito, féministe et militante, mis en parallèle avec le système de justice actuel et l'institution carcérale tel.le.s qu'expliquéss et placé dans leur contexte historique par Marion Vacheret, professeure et chercheuse au département de criminologie de l'Université de Montréal. On aborde tout ça avec une optique queer-féministe bien sûr, en prenant compte des inégalités engendrées, notamment, par la culture du viol Un sujet pas très léger, mais un épisode bien balancé (promis) entre autres grâces aux mots de Natasha Kanapé Fontaine, Fania Noël et Esther D, à la musique de Rirette et Lapelúda, et au partage d'idées de diverses personnes rencontrées au courant des derniers mois. En espérant que vous en ressortirez grandi·e·s tout comme nous! Pour lire la transcription, c'est par ici ! Merci à nos invités: Marion Vacheret, professeure et chercheuse au département de criminologie de l'Université de Montréal, et Laurence Ingenito, féministe et militante. Vous avez entendu des poèmes originaux écrits et interprétés par Natasha Kanapé-Fontaine, la musique de Rirette et Lapelúda et des textes de Fania Noël, et de Esther D. lus par Émilie Duchesne. Merci à l'équipe de Carré rouge sur fond noir (Santiago Bertolino et Hugo Samson) pour les extraits de bande son. Merci à Véronique O'Leary et Marie-Ève Boisvert d'avoir partagé leurs réflexions avec nous devant public et à Pierrette Coulombe et Sarah Grenon de l'avoir fait en privé. Merci aussi aux nombreuses féministes noires abolitionnistes des prisons dont le travail a guidé et teinté nos réflexions, notamment Angela Davis, Assata Shakur. L'illustration originale de l'épisode est de Eelise N'dri. toutEs ou pantoute est créé, réalisé, produit et animé par Laurie Perron et Alexandra Turgeon Avec Jenny Cartwright, conseillère à la scénarisation et à la réalisation Marie-Eve Boivert, Laurie Perron et Alexandra Turgeon au montage Sylvaine Arnaud à la conception sonore avec une musique originale d'Ariane Vaillancourt À la recherche et la coordination, Alexe Allard, Eve-Laurence Hébert et Wina Forget Promotion et gestion des médias sociaux par Melyssa Elmer Illustration orginiale du balado par Odrée Lapperrière Graphisme par Marin Blanc La 4e saison de toutEs ou pantoute a été rendue possible grâce au soutien financier du Conseil des arts et des lettres du Québec. Nous remercions le conseil des arts du canada de son soutien Pour plus d'information et tous les liens des références citées, c'est ici! Pour ne rien manquer de nos annonces Suivez toutEs ou pantoute sur Facebook et Instagram Visitez le toutesoupantoute.com Abonnez-vous à toutEs ou pantoute sur votre application balado Supportez toutEs ou pantoute! Vous pouvez aussi faire un don non récurrent ici! — Attention, les montants sont en dollars US! Laissez-nous des étoiles et des commentaires sur vos applications balado, ça permet à plus de personnes de découvrir le projet. Vous pouvez vous procurer un imprimé de l'illustration originale de l'épisode par Eelise N'dri ici. Visitez notre boutique en ligne pour des objets d'art ou des objets utiles inspirés par notre podcast.
Cycle consommation et dépendances ½ Avertissement de contenu : Cet épisode traite de consommation de substances psychoactives et de dépendances. Dans ce premier épisode de sa quatrième saison, l'équipe du balado queer-féministe toutEs ou pantoute vous propose une plongée dans les thèmes de la consommation, de la dépendance et de la sobriété, notamment dans les milieux queers et féministe. On essaie de distinguer les nuances entre consommation et dépendance, deux concepts bien distincts, bien qu'ils s'entrecroisent parfois, et de se tenir loin des innombrables tabous qui les entourent en privilégiant l'empathie et la solidarité. Le tout, dans une formule documentaire rafraichissante pour les habitué·e·s de notre balado! Au fil des interventions de Christine Jean (directrice générale du Centre Wapan) et de Karine Bertrand (chercheuse et professeure à l'Université de Sherbrooke), des poèmes de Natasha Kanapé Fontaine, et d'extraits de textes d'Hélène Monette et Marie Darsigny, nos réflexions se précisent et s'enrichissent, tout comme les vôtres, on l'espère! Pour lire la transcription, c'est par ici ! Merci à nos invitées: Karine Bertrand, chercheuse et professeure à l'Université de Sherbrooke, et Christine Jean, directrice générale du Centre Wapan. Vous avez entendu des poèmes originaux écrits et lus par Natasha Kanapé Fontaine, la musique d'Après l'Asphalte, de Rirette, de Lapelúda et de Laura Niquay, un poème d'Hélène Monette et un texte de Marie Darsigny lu par Émilie Duchesne. L'illustration originale est créée par Estée Preda. Merci à François Pinet-Forcier du studio La Marcelle et Émile Bousquet du Complexe culturel Félix Leclerc de La Tuque pour l'enregistrement des entrevues. Merci à Cécile Gagnon, à Aube et Willie Perron-Forcier, Sarah Grenon, Marjo, Ginette et Pierrette Coulombe d'avoir enrichi nos réflexions. toutEs ou pantoute est créé, réalisé, produit et animé par Laurie Perron et Alexandra Turgeon Avec Jenny Cartwright, conseillère à la scénarisation et à la réalisation Marie-Eve Boivert, Laurie Perron et Alexandra Turgeon au montage Sylvaine Arnaud à la conception sonore avec une musique originale d'Ariane Vaillancourt - Anna Valsk À la recherche et la coordination, Alexe Allard, Eve-Laurence Hébert et Wina Forget Promotion et gestion des médias sociaux par Melyssa Elmer Illustration orginiale du balado par Odrée Lapperrière Graphisme par Marin Blanc La 4e saison de toutEs ou pantoute a été rendue possible grâce au soutien financier du Conseil des arts et des lettres du Québec. Nous remercions le conseil des arts du canada de son soutien. Pour plus d'information et tous les liens des références citées, c'est ici! Pour ne rien manquer de nos annonces Suivez toutEs ou pantoute sur Facebook et Instagram Visitez le toutesoupantoute.com Abonnez-vous à toutEs ou pantoute sur votre application balado Supportez toutEs ou pantoute! Laissez-nous des étoiles et des commentaires sur vos applications balado, ça permet à plus de personnes de découvrir le projet. Pour se procurer une impression de l'illustration de l'épisode, c'est ici Visitez notre boutique en ligne pour des objets d'art ou des objets utiles inspirés par notre podcast. Vous pouvez aussi faire un don non récurrent ici! — Attention, les montants sont en dollars US!
Cycle consommation et dépendances 2/2 Avertissement de contenu : Cet épisode traite de consommation de substances psychoactives et de dépendances. Dans ce deuxième épisode sur le thème de la consommation et la dépendance, l'équipe du balado queer-féministe toutEs ou pantoute prend un angle un peu moins théorique en plongeant dans les milieux festifs et artistiques, tous deux associés à une forte consommation de substances psychoactives… Mais d'où vient cette association? Par des discussions avec Roxanne Hallal (coordinatrice du service d'analyse de substances du GRIP) et une artiste que vous connaissez bien, nous prendrons les petites routes (incluant quelques détours au son d'Après l'Asphalte, de Laced, ou des mots de Natasha Kanapé Fontaine, Josée Yvon et Marie Darsigny) pour comprendre les liens entre la consommation et différents milieux artistiques et festifs plus ou moins undergrounds. Pour lire la transcription, c'est par ici ! Merci à notre invitée Roxanne Hallal, coordinatrice du service d'analyse de substances du Groupe de Recherche et d'Intervention Psychosociale (GRIP). Vous avez entendu des poèmes originaux composés et lus par Natasha Kanapé Fontaine. Merci à Aube et Wille Perron-Forcier pour leur mignonnerie, à Jérôme Magny, Sarah Grenon et Pierrette Coulombe pour les anecdotes et réflexion. Vous avez entendu la musique d'Après L'asphalte et de Laced et de Lady rouge, et des textes de Marie Darsigny et de Josée Yvon, lus par Émilie Duchesne. Un merci spécial à Arielle Cissy Loe pour son apport à nos réflexions. L'illustration originale de l'épisode est de Audrey Beaulé toutEs ou pantoute est créé, réalisé, produit et animé par Laurie Perron et Alexandra Turgeon Avec Jenny Cartwright, conseillère à la scénarisation et à la réalisation Marie-Eve Boisvert, Laurie Perron et Alexandra Turgeon au montage Sylvaine Arnaud à la conception sonore avec une musique originale d'Ariane Vaillancourt À la recherche et la coordination, Alexe Allard, Eve-Laurence Hébert et Wina Forget Promotion et gestion des médias sociaux par Melyssa Elmer Illustration originale du balado par Odrée Lapperrière Graphisme par Marin Blanc La 4e saison de toutEs ou pantoute a été rendue possible grâce au soutien financier du Conseil des arts et des lettres du Québec. Nous remercions le conseil des arts du canada de son soutien. Pour plus d'information et tous les liens des références citées, c'est ici! Pour ne rien manquer de nos annonces Suivez toutEs ou pantoute sur Facebook et Instagram Visitez le toutesoupantoute.com Abonnez-vous à toutEs ou pantoute sur votre application balado Supportez toutEs ou pantoute! Laissez-nous des étoiles et des commentaires sur vos applications balado, ça permet à plus de personnes de découvrir le projet. Pour se procurer une impression de l'illustration de l'épisode, c'est ici Visitez notre boutique en ligne pour des objets d'art ou des objets utiles inspirés par notre podcast.
A program dedicated to all things French.
Confidences d'écrivaine avec Natasha Kanapé-Fontaine, qui sort cet automne son premier roman, Nauetakuan, un silence pour un bruit, après avoir publié des essais et des recueils de nouvelles percutants ces dernières années. Dans ses prises de parole, que ce soit à travers la littérature ou ses apparitions à la télévision, l'artiste d'origine innue lutte contre le racisme et la discrimination envers les peuples autochtones. Catherine Perrin assurera l'animation.Avec:Natasha Kanapé Fontaine, Auteur·riceCatherine Perrin, Animateur⋅riceLivre:Nauetakuan, un silence pour un bruitLe Site Web du #SalonDuLivreDeMontreal : https://www.salondulivredemontreal.com/
Mission encre noire Tome 33 Chapitre 376. Corps rebelle, réflexions sur la Grossophobie par Gabrielle Lisa Collard autrice du blogue Dix Octobre paru en 2021 aux éditions Québec Amérique. Depuis l'année où le blogue Dix Octobre a été lancé, Gabrielle Lisa Collard a constaté plusieurs changements. L'industrie des régimes a perdu de sa crédibilité, une communauté soudée a vu le jour et une éditrice lui a demandé de publier ses textes dans un livre. L'aventure de Dix octobre (la date de sa fête) a débuté le 09 mai 2016 pour s'achever au printemps 2020. Si ce livre existe, ce n'est surtout pas pour vous dire quoi faire, mais plutôt pour constater la triste vérité. Il faut le reconnaître: nous sommes tout.e.s grossophobes. Nous entretenons activement des préjugés négatifs qui mènent invariablement à une forme d'apartheid anti-gros. Pour le dire autrement, le corps est notre pire ennemi. Ceci étant dit, la grossophobie est partout. Comme si être gros était inacceptable. L'autrice le déclare haut et fort, il n'y a rien de mal à l'être, personne ne choisit de le devenir. Vous avez le droit d'être gros. Il est urgent de prendre conscience d'un phénomène encore tabou, qui nous ronge en profondeur. Nous retournons le miroir vers nous, ce soir, à Mission encre noire, Gabrielle Lisa Collard est notre invité. Extrait:« On se sent mieux quand on pèse moins, aussi temporaire cet état soit-il, est-ce que c'est vraiment en raison du poids en moins, ou plutôt des effets bénéfiques de l'activité physique, du renforcement positif, des compliments, d'une saine alimentation, de l'approbation de nos pairs et du sentiment d'enfin avoir le droit d'exister et de s'aimer ? Parallèlement, savez-vous ce qui nuit concrètement à la santé ? La honte, la stigmatisation, la grossophobie médicale, les troubles alimentaires, les problèmes d'image corporelle et le stress, qui ont tous en commun d'être infligés aux personnes grosses par leur entourage et leur environnement. Pas par leur poids. Prendre soin de sa santé et maigrir sont deux quêtes radicalement différentes ; la première étant un choix personnel que chacun peut aborder de la façon qui lui convient et la seconde, boring as fuck. Vouloir maigrir, c'est boring. Les régimes sont d'un ennui mortel. Hiérarchiser les corps selon leur taille, comme si mince égalait forcément plus beau, plus en santé ou plus acceptable ? Yawn. On est tellement plus que notre apparence.» Ce qui nous lie, l'indépendance pour l'environnement et nos cultures, un collectif d'auteurices paru en 2021 aux éditions Écosociété sous la direction éditoriale de Sol Zanetti, avec des textes de Natasha Kanapé Fontaine, Catherine Dorion, Andrès Fontecilla, Ruba Ghazal, Christine Labrie, Alexandre Leduc, Émilise Lessard-Therrien, Vincent Marissal, Manon Massé, Gabriel Nadeau-Dubois, Michael Ottereyes. L'ensemble du corps des députés de Québec solidaire au complet se prête à un exercice de pré-campagne électorale. Chacun.e réaffirment dans de très courts textes, son adhésion au projet indépendantiste. Comme le souligne Natasha Kanapé Fontaine, en avant propos, il y a urgence à se rassembler derrière un projet commun d'envergure, tourner vers l'écologie, les cultures et la solidarité pour ralentir les effets des changements climatiques. 25 ans après le référendum de 1995, faire du Québec un pays, n'est pas un slogan, mais bien un appel au dépassement collectif vers un projet de société porteur d'espoir, pour un plus grand nombre de personnes et qui aura l'ambition de renouer avec tous les peuples ainsi que toutes les cultures présentes sur le territoire québécois, avec les peuples autochtones. Il est temps de faire l'histoire et non de la subir. Il est temps de rêver, comme l'écrit notre invité, Sol Zanetti, ce soir, à Mission encre noire. Extrait:« Lorsqu'on laisse la culture s'assécher, lorsque le ciment se fissure, c'est l'aliénation qui gagne nos peuples. Désunis, nous nous laissons déposséder. Nous devenons soudainement étrangers à nous-mêmes, modelés par les décisions des autres. Qui prendra les décisions qui mouleront notre avenir ? Qui décidera de ce que nous allons devenir comme peuples ? Et si la réponse était simplement: nous ? Rêver, en politique, c'est se projeter dans un horizon qui dépasse parfois ce que l'opinion de la majorité d'une époque donnée considère comme possible. Les rêves politiques sont les locomotives du progrès de l'humanité. Sans eux, nous serions condamnés à la stagnation. En cette ère de bouleversements climatiques, plusieurs doutent que nous arriverons à préserver les écosystèmes essentiels à notre survie comme espèce et une trop grande part de nos dirigeants semblent considérer impossible de mettre en place les mesures minimales pour y arriver. C'est une posture dangereuse. Le Québec ne doit surtout pas capituler et sombrer dans le pessimisme ; nous résigner à une vision trop étroite de ce qui est «possible» ou «réaliste» nous serait fatal. Nous devons à tout prix, comme d'autres l'ont fait avant nous, écouter notre audace en nous projetant au-delà de ces limites. En d'autres mots: Il y a urgence de rêver.»
Natasha Kanapé Fontaine lance coup sur coup son premier microalbum, Nui Pimuten et un premier roman, Nauetakuan, dont le titre signifie « un son qui s'entend de très loin » en langue innue; l'Irlande du Nord a connu d'innombrables conflits sanglants qui hantent encore la mémoire de ceux et celles qui y habitent. C'est le cas de l'écrivaine belfastoise Jan Carson, qui aborde la transmission des traumas et les conséquences de la guerre civile qu'a connues son pays dans son dernier roman, Les lanceurs de feu.
En compagnie de l'animateur et réalisateur Julien Morissette, l'autrice, comédienne et militante innue Natasha Kanapé Fontaine retrace l'évolution de son écriture poétique. Elle revient aussi sur l'œuvre «Kuei, je te salue : Conversation sur le racisme», coécrite avec l'auteur québéco-américain Deni Ellis Béchard. Au fil de la conversation, Natasha Kanapé Fontaine parle de timidité, de survivance, de silence et d'équilibre. On la suit, captivée, dans ce parcours à rebours jusqu'à ses origines. L'entretien avec Natasha Kanapé Fontaine s'est tenu dans le cadre du Cabaret des variétés littéraires, un projet de la Maison des arts littéraires et du Salon du livre de l'Outaouais.
Déborah Cherenfant est la présidente de la Jeune chambre de commerce de Montréal et vient discuter de la force des entrepreneures du Québec. Elle se fait un plaisir de mettre de l'avant la francophonie et le rôle des Québécois dans l'économie mondiale. J'en profite pour aborder le sujet incontournable de l'environnement et comment pouvons-nous l'inclure dans une stratégie viable pour les petites entreprises. Aussi, comment insérer une vision inclusive au travail, sans laisser de côté certains aspects importants sur ce sujet. Présenté par Dose Juice, utilisez le code promo Femmesdefer15 pour obtenir 15% de rabais sur votre commande. Déborah Cherenfant lit présentement: Kuei, je te salue: conversation sur le racisme de Natasha Kanapé Fontaine. Linkedin de Déborah La Jeune chambre de commerce de Montréal Le lien pour vous abonner au Patreon du podcast ici et avoir accès en primeur à la chronique, en plus de recevoir le document en bonus. Le podcast a également sa page Facebook ici Vous pouvez toujours suivre le podcast sur Instagram et YouTube.
Alexandre Coupal parle des séries éliminatoires de hockey; Danielle Goyette discute des conditions de vie des travailleurs et travailleuses agricoles venant de l'étranger; Evelyne Charuest se penche sur livre Le temps des récoltes, d'Elisabeth Cardin; la DreCaroline Quach-Thanh fait le point sur la COVID-19; Evelyne Ferron revient sur les réseaux souterrains de traverses d'esclaves aux États-Unis; Élisabeth Vallet parle du Texas et du droit à l'avortement; Natasha Kanapé Fontaine aborde le Mois national de l'histoire autochtone; Julie Snyder nous fait passer un dimanche avec elle; et Thomas Hellman nous raconte l'histoire d'Érysichton, condamné à avoir toujours faim.
L’autrice et militante innue Natasha Kanapé Fontaine lit un extrait de la réédition de Kuei, je te salue (Écosociété) et discute avec Julien Morissette des grands enjeux et changements soulevés par cet ouvrage épistolaire.--Cet épisode du Cabaret des variétés littéraires a été enregistré dans le cadre du Festival de la radio numérique 2021, au Cabaret la Basoche, dans le Vieux-Aylmer. Animation : Julien MorissetteRéalisation : Transistor Média Une production de la Maison des arts littéraires (mal.slo.qc.ca).★ Support this podcast ★
Si j'étais ministre de la Culture, avec Natasha Kanapé Fontaine; La websérie L'arène avec Marjorie Armonstrong; Comment concilier handicap et jeux vidéo selon Kéven Breton
Des livres plein les oreilles – Canal M, la radio de Vues et Voix
Clotilde Seille reçoit le journaliste Michel Jean, pour discuter de son livre Atuk, elle et nous, qu’il a lui-même enregistré en audio, avec la participation de Natasha Kanapé-Fontaine. Également, une nouvelle émission littéraire sur les ondes de Canal M, un projet de Marie Lalande. Animation et recherche : Clotilde SeilleChronique: Gérald CousineauMise en ondes: Jean-Sébastien… Cet article Des livres plein les oreilles avec Michel Jean est apparu en premier sur Canal M, la radio de Vues et Voix.
Reportage de Fannie Bussières McNicoll à propos du cri du cœur lancé par les organismes communautaires en santé mentale; entrevue avec Raphaëlle Bacqué, journaliste au quotidien Le Monde, sur un nouveau projet de loi qui vise à s'attaquer aux divisions communautaires en France; entrevue avec le réalisateur Ariel Nasr à propos du documentaire L'histoire interdite, qui porte sur la conservation du patrimoine cinématographique de l'Afghanistan; reportage de Jean-Michel Leprince sur une nouvelle consultation populaire au Venezuela qui vise à rejeter le gouvernement en place; reportage de Janic Tremblay sur son passage à Milwaukee, la ville la plus ségréguée des États-Unis; reportage de Marie-Laure Josselin sur l'artiste et poétesse Natasha Kanapé Fontaine; entrevue avec Kalypso Nicolaïdis, professeure de relations internationales à l'Université d'Oxford, à propos du Brexit; et entrevue avec l'auteure Emmelie Prophète à propos de son livre Les villages de Dieu.
Sonia Cordeau donne de ses nouvelles; Marie-France Bazzo parle de son livre Nous méritons mieux; Natasha Kanapé Fontaine présente son spectacle Poésie de la résistance; David Goudreault livre une chronique intitulée On a le droit de douter et de sinquiéter; Korine Côté discute du bruit; et Adib Alkhalidey parle de son premier album.
A young man visits his half-brother in Vancouver and steals a book that changes his life. An archeology student is befriended and brought to Iraq by a brother and sister who need his help in assessing a family art collection. A man who fought for the British in South Africa’s Boer War enlists as an American to fight in WWI Germany. Spanning decades and continents, the stories in Bechard’s haunting novel A Song from Faraway (Milkweed Editions, 2020) slowly reveal themselves to be connected. In these pages, the lies of one generation are inherited by the next, homes are burnt to the ground, wives are abandoned, and innocent people suffer. With gripping portrayals of fathers and sons, mothers and siblings, passion and pain – this is a moving, non-linear novel about the relationships to family and society upon which all humanity rests. Deni Ellis Bechard is the author of eight books of fiction and nonfiction, including Vandal Love (Commonwealth Writers’ Prize for Best First Book); Into the Sun (Midwest Book Award for Literary Fiction and chosen by CBC/Radio Canada as one of 2017’s Incontournables and one of the most important books of that year to be read by Canada's political leadership); Of Bonobos and Men (Nautilus Book Award for investigative journalism and Nautilus Grand Prize winner); Cures for Hunger (an IndieNext pick and one of the best memoirs of 2012 by Amazon.ca); Kuei, my Friend: a Conversation on Racism and Reconciliation, (coauthored with First Nations poet Natasha Kanapé-Fontaine). A traveler by nature, Béchard has a habit of changing homes as often as every three months, and the place he has lived in the longest over the past ten years was a community circus. G.P. Gottlieb is the author of the Whipped and Sipped Mystery Series and a prolific baker of healthful breads and pastries. Please contact her through her website (GPGottlieb.com) if you wish to recommend an author (of a beautifully-written new novel) to interview, to listen to her previous podcast interviews, to read her mystery book reviews, or to check out some of her awesome recipes. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
A young man visits his half-brother in Vancouver and steals a book that changes his life. An archeology student is befriended and brought to Iraq by a brother and sister who need his help in assessing a family art collection. A man who fought for the British in South Africa’s Boer War enlists as an American to fight in WWI Germany. Spanning decades and continents, the stories in Bechard’s haunting novel A Song from Faraway (Milkweed Editions, 2020) slowly reveal themselves to be connected. In these pages, the lies of one generation are inherited by the next, homes are burnt to the ground, wives are abandoned, and innocent people suffer. With gripping portrayals of fathers and sons, mothers and siblings, passion and pain – this is a moving, non-linear novel about the relationships to family and society upon which all humanity rests. Deni Ellis Bechard is the author of eight books of fiction and nonfiction, including Vandal Love (Commonwealth Writers’ Prize for Best First Book); Into the Sun (Midwest Book Award for Literary Fiction and chosen by CBC/Radio Canada as one of 2017’s Incontournables and one of the most important books of that year to be read by Canada's political leadership); Of Bonobos and Men (Nautilus Book Award for investigative journalism and Nautilus Grand Prize winner); Cures for Hunger (an IndieNext pick and one of the best memoirs of 2012 by Amazon.ca); Kuei, my Friend: a Conversation on Racism and Reconciliation, (coauthored with First Nations poet Natasha Kanapé-Fontaine). A traveler by nature, Béchard has a habit of changing homes as often as every three months, and the place he has lived in the longest over the past ten years was a community circus. G.P. Gottlieb is the author of the Whipped and Sipped Mystery Series and a prolific baker of healthful breads and pastries. Please contact her through her website (GPGottlieb.com) if you wish to recommend an author (of a beautifully-written new novel) to interview, to listen to her previous podcast interviews, to read her mystery book reviews, or to check out some of her awesome recipes. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les mythes à déboulonner sur les Autochtones, avec Widia Larivière et Isabelle Picard; ce qu’il faut savoir sur l’histoire des peuples autochtones du Canada, avec Odile Joannette et Suzy Basil; la vraie nature de la Loi sur les Indiens, avec Alexis Wawanoloath; les œuvres incontournables pour s’initier à la culture et aux arts autochtones, avec Natasha Kanapé Fontaine; et le trio santé avec la Dre Chantal Vallée, Sonia Lupien et Denis Fortier.
Cette semaine sur le podcast, on reçoit l'écrivaine et comédienne Natasha Kanapé Fontaine. On discute des récents événements impliquant Joyce Echaquan en y faisant une réflexion approfondie sur le racisme systémique.Le podcast est une présentation de Polysleep.Pour plus d'informations: https://polysleep.ca/Code promo pour 25% de rabais sur tout sauf les sommiers (valide jusqu'au 26 octobre): OSF25Pour rejoindre notre communauté Patreon:https://www.patreon.com/sansfiltrepodcastPour suivre Natasha:https://www.instagram.com/natashakanape/Pour nous suivre:https://www.instagram.com/sansfiltrepodcast/https://www.instagram.com/phcantin/https://www.instagram.com/doumplante/https://www.facebook.com/Sans-Filtre-Podcast-2112540588778433/
Natasha Kanapé-Fontaine et Jemmy Echaquan-Dubé ont marché ensemble ce samedi dans les rues de Montréal pour dénoncer le racisme subi par Joyce Echaquan.Elles sont nos invitées; Julie Dufort a regardé Let's Be Real, première tentative d'adaptation américaine des Guignols de l'info; En cette Journée mondiale des enseignants, l'humoriste Coco Belliveau rend hommage à une personne qui a marqué son parcours.
Entrevue avec l'artiste Wartin Pantois; chronique « La vie en vert » avec Gabrielle Lamontagne-Hallé; chronique « Ici et ailleurs » avec Fabien Perrier et Marjorie April; chronique vélo avec Suzanne Lareau; chronique « Été d'écrivain » avec Patrick Senécal; commentaire politique avec Guillaume Bourgault-Coté; chronique cinéma avec Martin Bilodeau; entrevue avec l'artiste Natasha Kanapé-Fontaine; chronique techno avec Matthieu Dugal; chronique agriculture avec Christian Bégin; et billet humoristique de Catherine Ethier.
Dans la présente chronique littéraire présentée dans l'émission Les Matins Éphémères, Carolyne Ménard nous propose de s'évader dans la nature évoquée dans deux recueils de poésie autochtone. - "Un thé dans la toundra" de Joséphine Bacon, aux éditions Mémoire d'encrier, 2013. - "Manifeste Assi" de Natasha Kanapé Fontaine, aux Éditions Mémoire d'encrier, 2014. www.ckrl.qc.ca
La discussion entre Samuel Archibald et Kevin Lambert pour trouver l'ADN culturel du Saguenay-Lac-Saint-Jean; un poème de Natasha Kanapé Fontaine en hommage à la nation Wet'suwet'en; une entrevue avec le cinéaste Jean-François Leblanc.
Les animateurs Franco Nuovo et Christiane Charette ont vu le film « Contagion », de Steven Soderbergh, qui connaît un regain de popularité alors que le coronavirus fait les manchettes; Natasha Kanapé Fontaine rend hommage à l'humour du réalisateur oscarisé Taika Waititi; et Stéphanie Dufresne, libraire à la librairie féministe L'Euguélionne, explique comment « Portrait de la jeune fille en feu » déconstruit la perspective masculine dans l'histoire de l'art en général et dans le cinéma en particulier.
Dans une discussion empreinte de confidences, l'artiste innue Natasha Kanapé Fontaine explique ce qu'est l'amour « décolonial » et nous parle de sa quête du grand amour.
Entrevue avec Yan Défossés, un père qui se bat pour soigner son fils atteint d'amyotrophie spinale; entrevue avec Natasha Kanapé Fontaine; trio santé, avec la Dre Chantal Vallée, Denis Fortier et Sonia Lupien; rencontre avec la chef d’orchestre Nicole Paiement; et discussion autour du 75e anniversaire de la libération d’Auschwitz.
L'espace médiatique accordé aux arts visuels revient dans l'actualité avec la signature d'une pétition demandant au diffuseur public d'en faire plus. Discussion avec Roxanne Arsenault; Natasha Kanapé Fontaine présente un poème sur les luttes des peuples autochtones pour protéger leurs terres, leurs territoires et leur culture; Stéphanie Dufresne propose des pistes pour mettre à jour la culture woke en ce début d'année.
Dans une discussion empreinte de confidences, l'artiste innue Natasha Kanapé Fontaine explique ce qu'est l'amour «décolonial» et nous parle de sa quête du grand amour.
Entrevue avec Émilie Monnet:5e édition de Scène contemporaine autochtone; Entrevue avec Samuel Cantin, bédéiste;Suggestions de documentaires par Philippe Desrosiers; Entrevue avec Santiago Bertolino et Natasha Kanapé-Fontaine; Des librairies qui célèrent la littérature noire:Discussion
Quand Marie-France Bazzo rencontre Natasha Kanapé Fontaine, on comprend mieux pourquoi la poésie est le moteur de sa vie.
Mission encre noire Tome 24 Chapitre 295 La toile du monde de Antonin Varenne paru en 2018 aux éditions Albin Michel. C'est à bord du Paquebot français le Touraine que vous embarquez à la suite de mille autres passagers à destination de Paris en l'an 1900. Aileen Bowman, digne héritière de la trilogie d'Antonin Varenne, inaugurée par Trois mille chevaux-vapeur et Équateur, regarde les hommes descendre les valises, les enfants, coller leur nez morveux aux vitres et les femmes rajuster leur tenue ; l'exposition universelle de 1900 leur tend les bras. La jeune femme de trente cinq ans est envoyée spéciale outre-atlantique pour le quotidien américain New-York Tribune. Elle, qui porte des pantalons, comme un homme dans un ranch du Nevada, se présente au siège du premier journal féministe de l'histoire, La fronde. Aileen y publie un premier papier vitriolique, qui confond la bonne société patriarcale, sous pseudonyme: la ville de Paris, une femme libre ou une catin qui serait à vendre. La capitale française se baigne de lumière, la première ligne du Métropolitain s'achève, la Tour Eiffel à un an, Rudolf Diesel expose son moteur fonctionnant à l'huile d'arachide. Alors que dans les glaises instables sont plantés des pieux immenses, déposés des blocs de béton, c'est le sol qui menace de se dérober sous les pieds de la jeune journaliste lorsque l'amour, la mort et le passé la rattrape soudainement. Antonin Varenne collectionne les machine à écrire d'époque, le saviez-vous ? Il est notre invité à Mission encre noire. Extrait: «À l'inverse, les Français avaient sous les pieds tant de passé qu'ils n'en connaissaient probablement presque rien. c'était l'écho de catacombes oubliées qui faisait résonner le granit des rues. Trop courtes ou trop longues, les frises chronologiques ont pour conséquences des mémoires incomplètes. La maîtrise du temps - l'instruction - est aux mains des puissants. les peuples, occupés à survivre, n'en possèdent pas assez pour le capitaliser, le faire jouer en leur faveur. Ils empilent seulement les pierres des bâtiments qui leur survivront.» Une maison dans les arbres de Julia Glass traduit par Josette Chicheportiche, paru en 2018 aux éditions Gallmeister collection Americana. Tomasina Daulair déambule dans la maison du Connecticut du célèbre auteur de livres pour enfants Morty Lear, mort dans un banal accident domestique. Elle est chargé de gérer son héritage artistique. Un homme, avec qui, elle a partagé trente ans de vie commune depuis leur première rencontre fortuite, avec son frère, dans un jardin pour enfant. Devenu son assistante, sa confidente, elle sait tout de lui, ou pensait-elle le savoir ? Jusqu'à l'irruption dans sa vie, de Nicholas Greene, un acteur britannique primé aux oscars, qui doit incarner Morty à l'écran. Un voile sombre se lève sur la vie de l'artiste. Julia Glass s'est inspiré de la figure légendaire de Maurice Sendak, l'auteur de Max et les Maximonstres. Lauréate du National Book Award avec Jours de juin, tous les livres de l'autrice sont des best sellers aux États-Unis. Extrait: «L'année de sa seconde, alors qu'elle travaillait après l'école à la bibliothèque où elle rangeait les livres, elle monta un club qu'elle appela Pièces pour Non-Acteurs où les élèves qui ne voulaient pas faire partie de la bande de théatreux pouvaient lire des pièces à voix haute. Mort Lear lui était alors complètement sorti de l'esprit - jusqu'au jour où elle vit, dans le métro, un après-midi, une petite fille serrant dans ses bras une poupée de chiffon dont le visage ressemblait à celui d'Ivo. Tommy se déplaça pour la voir de plus près. Elle avait l'impression que la poupée la regardait du fond du wagon bruyant. Elle pensa: Mon frère est devenu un dessin puis un livre et maintenant une poupée.» Cartographie de l'amour décolonial de Leanne Betasamosake Simpson traduit par Natasha Kanapé Fontaine et d'Arianne Des Rochers paru en 2018 aux éditions Mémoire d'encrier. Est-il possible d'aimer cette partie de nous-même qui a été brisé par le pouvoir colonial quand on la retrouve chez quelqu'un d'autre?, titre Junot Diaz en exergue de ce récit. Leanne Betasamosake Simpson laisse défiler librement la parole dans une trentaine d'histoires qui disent les liens qui entravent, qui empêchent, qui restreignent, qui blessent la nation Nishnaabeg. La cartographie serait plutôt une cosmogonie, un ensemble d'étoiles qui tente d'échapper à cette science de l'enfermement géographique, politique et social causé par le colonialisme et le racisme. L'autrice nous raconte, se laisse porter par les canots, les rivières, les stationnements de centre d'achat miteux, parmi les conifères du nord, pour témoigner. L'avenir se trouve ailleurs, en dehors des cartes à l'extérieur de l'espace temps colonial. Cet ouvrage ne cache pas la plaie ouverte par le passé. Il n'est pas pour autant question d'y rester piégé. Affirmer son identité, affirmer sa puissance et ses espoirs neufs sont au coeur d'un récit indispensable. Extrait: «Il y a une vieille histoire nishnaabe, qui remonte à la nuit des temps, selon laquelle sept grands-parents qui vivaient dans le ciel avaient séparé un petit garçon de ses parents pour lui enseigner les valeurs et les coutumes que les peuples de la terre avaient oubliées. Ils lui ont enseigné des histoires, des chansons et des cérémonies avant de le renvoyer sur terre afin qu'il puisse partager ces valeurs et coutumes avec son peuple. Je n'ai jamais vraiment aimé cette histoire, parce que ça me brise le coeur quand le petit garçon est séparé de ses parents, et j'écoute le reste de l'histoire avec une appréhension nerveuse, perdue dans toute la solitude que ce garçon a dû ressentir, perdue dans un monde où il a toujours été le seul.»
Mission encre noire Tome 24 Chapitre 295 La toile du monde de Antonin Varenne paru en 2018 aux éditions Albin Michel. C'est à bord du Paquebot français le Touraine que vous embarquez à la suite de mille autres passagers à destination de Paris en l'an 1900. Aileen Bowman, digne héritière de la trilogie d'Antonin Varenne, inaugurée par Trois mille chevaux-vapeur et Équateur, regarde les hommes descendre les valises, les enfants, coller leur nez morveux aux vitres et les femmes rajuster leur tenue ; l'exposition universelle de 1900 leur tend les bras. La jeune femme de trente cinq ans est envoyée spéciale outre-atlantique pour le quotidien américain New-York Tribune. Elle, qui porte des pantalons, comme un homme dans un ranch du Nevada, se présente au siège du premier journal féministe de l'histoire, La fronde. Aileen y publie un premier papier vitriolique, qui confond la bonne société patriarcale, sous pseudonyme: la ville de Paris, une femme libre ou une catin qui serait à vendre. La capitale française se baigne de lumière, la première ligne du Métropolitain s'achève, la Tour Eiffel à un an, Rudolf Diesel expose son moteur fonctionnant à l'huile d'arachide. Alors que dans les glaises instables sont plantés des pieux immenses, déposés des blocs de béton, c'est le sol qui menace de se dérober sous les pieds de la jeune journaliste lorsque l'amour, la mort et le passé la rattrape soudainement. Antonin Varenne collectionne les machine à écrire d'époque, le saviez-vous ? Il est notre invité à Mission encre noire. Extrait: «À l'inverse, les Français avaient sous les pieds tant de passé qu'ils n'en connaissaient probablement presque rien. c'était l'écho de catacombes oubliées qui faisait résonner le granit des rues. Trop courtes ou trop longues, les frises chronologiques ont pour conséquences des mémoires incomplètes. La maîtrise du temps - l'instruction - est aux mains des puissants. les peuples, occupés à survivre, n'en possèdent pas assez pour le capitaliser, le faire jouer en leur faveur. Ils empilent seulement les pierres des bâtiments qui leur survivront.» Une maison dans les arbres de Julia Glass traduit par Josette Chicheportiche, paru en 2018 aux éditions Gallmeister collection Americana. Tomasina Daulair déambule dans la maison du Connecticut du célèbre auteur de livres pour enfants Morty Lear, mort dans un banal accident domestique. Elle est chargé de gérer son héritage artistique. Un homme, avec qui, elle a partagé trente ans de vie commune depuis leur première rencontre fortuite, avec son frère, dans un jardin pour enfant. Devenu son assistante, sa confidente, elle sait tout de lui, ou pensait-elle le savoir ? Jusqu'à l'irruption dans sa vie, de Nicholas Greene, un acteur britannique primé aux oscars, qui doit incarner Morty à l'écran. Un voile sombre se lève sur la vie de l'artiste. Julia Glass s'est inspiré de la figure légendaire de Maurice Sendak, l'auteur de Max et les Maximonstres. Lauréate du National Book Award avec Jours de juin, tous les livres de l'autrice sont des best sellers aux États-Unis. Extrait: «L'année de sa seconde, alors qu'elle travaillait après l'école à la bibliothèque où elle rangeait les livres, elle monta un club qu'elle appela Pièces pour Non-Acteurs où les élèves qui ne voulaient pas faire partie de la bande de théatreux pouvaient lire des pièces à voix haute. Mort Lear lui était alors complètement sorti de l'esprit - jusqu'au jour où elle vit, dans le métro, un après-midi, une petite fille serrant dans ses bras une poupée de chiffon dont le visage ressemblait à celui d'Ivo. Tommy se déplaça pour la voir de plus près. Elle avait l'impression que la poupée la regardait du fond du wagon bruyant. Elle pensa: Mon frère est devenu un dessin puis un livre et maintenant une poupée.» Cartographie de l'amour décolonial de Leanne Betasamosake Simpson traduit par Natasha Kanapé Fontaine et d'Arianne Des Rochers paru en 2018 aux éditions Mémoire d'encrier. Est-il possible d'aimer cette partie de nous-même qui a été brisé par le pouvoir colonial quand on la retrouve chez quelqu'un d'autre?, titre Junot Diaz en exergue de ce récit. Leanne Betasamosake Simpson laisse défiler librement la parole dans une trentaine d'histoires qui disent les liens qui entravent, qui empêchent, qui restreignent, qui blessent la nation Nishnaabeg. La cartographie serait plutôt une cosmogonie, un ensemble d'étoiles qui tente d'échapper à cette science de l'enfermement géographique, politique et social causé par le colonialisme et le racisme. L'autrice nous raconte, se laisse porter par les canots, les rivières, les stationnements de centre d'achat miteux, parmi les conifères du nord, pour témoigner. L'avenir se trouve ailleurs, en dehors des cartes à l'extérieur de l'espace temps colonial. Cet ouvrage ne cache pas la plaie ouverte par le passé. Il n'est pas pour autant question d'y rester piégé. Affirmer son identité, affirmer sa puissance et ses espoirs neufs sont au coeur d'un récit indispensable. Extrait: «Il y a une vieille histoire nishnaabe, qui remonte à la nuit des temps, selon laquelle sept grands-parents qui vivaient dans le ciel avaient séparé un petit garçon de ses parents pour lui enseigner les valeurs et les coutumes que les peuples de la terre avaient oubliées. Ils lui ont enseigné des histoires, des chansons et des cérémonies avant de le renvoyer sur terre afin qu'il puisse partager ces valeurs et coutumes avec son peuple. Je n'ai jamais vraiment aimé cette histoire, parce que ça me brise le coeur quand le petit garçon est séparé de ses parents, et j'écoute le reste de l'histoire avec une appréhension nerveuse, perdue dans toute la solitude que ce garçon a dû ressentir, perdue dans un monde où il a toujours été le seul.»
Un poème de Natasha Kanapé Fontaine porté à la création sonore, pour rendre la poésie à l'oralité.Poésie go! est une production du Festival de la poésie de Montréal conçue en partenariat avec Magnéto. Texte : Natasha Kanapé FontaineLu par : Dominique QuesnelRéalisation et création sonore : Magnétowww.magnetobalado.com
Un poème de Natasha Kanapé Fontaine porté à la création sonore, pour rendre la poésie à l'oralité.Poésie go! est une production du Festival de la poésie de Montréal conçue en partenariat avec Magnéto. Texte : Natasha Kanapé FontaineLu par : Dominique QuesnelRéalisation et création sonore : Magnétowww.magnetobalado.com
Nouveau numéro de la revue Liberté : Entrevue avec Aurélie Lanctôt et Natasha Kanapé Fontaine ; La rapide ascension du Festival de cinéma de la ville de Québec : Chronique de Catherine Genest ; 10 choses que je déteste des Cowboys fringants : Chronique de Julien Morissette
Croissance végétale et croissance personnelle. Les arbres occupent des rôles différents dans leur communauté selon le mode de développement qui est propre à leur espèce. Certains vivent toute leur vie à l'ombre des autres. D'autres vivent à l'ombre lorsqu'ils sont jeunes et deviennent dominants à la lumière une fois adultes. D'autres encore ne peuvent vivre qu'à la lumière. Il y a des différences encore plus fines selon le degré d'ombre qu'ils peuvent supporter à bas âge. Dans cette émission, nous abordons les stratégies de développement des arbres, comment ils s'adaptent à leur environnement, comment ces connaissances risquent de changer nos façons de soigner les arbres et les nombreux bienfaits qu'ils procurent aux humains. En deuxième partie, Natasha Kanapé-Fontaine, poète, comédienne et militante d'origine innue, viendra nous parler de la place la forêt et de la nature dans la culture des Premières nations.
Aujourd'hui à l'émission - Une année marquante pour les femmes en culture : Table ronde avec Magalie Lépine-Blondeau, Martine St-Victor, Brigitte Poupart, Maude Landry, Isabelle Hudon, Natasha Kanapé Fontaine et Thimalay Sukhaseum ; Vendredisques, les suggestions musicales de Fred Savard et Olivier R. Laveaux : Father John Misty, Jorja Smith, Polo et Pan et Erin Rae ; Extra : Conclusion de la table ronde sur les femmes en culture
Après le grand succès de sa première saison, le plateau animé par l'insatiable curieux qu'est Christian Bégin est de retour à l'antenne pour une nouvelle série de rencontres entre personnalités publiques issues de diverses sphères de la société. Un lien – dévoilé au fil de l'émission – unit les invités. Par le biais de discussions, de rires, de confessions touchantes ou d'anecdotes surprenantes, Christian amène ses invités à toucher au coeur du sujet, dans une ambiance conviviale.
Après le grand succès de sa première saison, le plateau animé par l'insatiable curieux qu'est Christian Bégin est de retour à l'antenne pour une nouvelle série de rencontres entre personnalités publiques issues de diverses sphères de la société. Un lien – dévoilé au fil de l'émission – unit les invités. Par le biais de discussions, de rires, de confessions touchantes ou d'anecdotes surprenantes, Christian amène ses invités à toucher au coeur du sujet, dans une ambiance conviviale.
Aujourd’hui à l’émission : Han Solo et Chebacca:L'amitié à l'origine du mot bromance? Avec l’humoriste Jérémie Larouche; réinventer les festivités de la Fête nationale du Québec:Discussion avec Mehdi Cayenne , auteur-compositeur interprète et Natasha Kanapé Fontaine, auteure, poétesse et militante et portrait de l'artiste Geneviève Castrée par Dominic Tardif
Un poème de Natasha Kanapé Fontaine porté à la création sonore, pour rendre la poésie à l'oralité.Poésie go! est une production du Festival de la poésie de Montréal conçue en partenariat avec Magnéto. Texte : Natasha Kanapé FontaineLu par : Dominique QuesnelRéalisation et création sonore : Magnétowww.magnetobalado.com
Un poème de Natasha Kanapé Fontaine porté à la création sonore, pour rendre la poésie à l'oralité.Poésie go! est une production du Festival de la poésie de Montréal conçue en partenariat avec Magnéto. Texte : Natasha Kanapé FontaineLu par : Dominique QuesnelRéalisation et création sonore : Magnétowww.magnetobalado.com
Avec l'humoriste et scripteur Claude Meunier, la comédienne et poète Natasha Kanapé Fontaine, ainsi que l'invité d'honneur Arnaud Soly
Le texte de la semaine avec Aurélie Lanctôt et Guillaume Lavallée. Entrevue avec Natasha Kanapé Fontaine pour Nanimissuat Île-tonnerre. Patrick Isabelle et Simon Boulerice ont lu pour nous Libération de Patrick Ness. Jour 4 du Combat national des livres 2018 avec Russell Smith qui défendra C'est le coeur qui lâche en dernier, de Margaret Atwood Ibrahima Diallo avec Le club des miracles relatifs, de Nancy Huston Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques avec Jeu de la musique, de Stéfanie Clermont Antonine Maillet avec Écorchée, de Sara Tilley Naomi Fontaine avec Ligne brisée, de Katherena Vermette
Cette semaine à ICI Espaces autochtones: Une route plus sécuritaire pour les Atikamekw de Manawan; le développement d'outils pédagogiques pour l'enseignement de la langue innue; Nanimissuat – Île-tonnerre, un recueil de poèmes de l'auteure Natasha Kanapé Fontaine et une virée en Australie avec le groupe Black Arm Band.
In episode one of 'Fil Rouge', Ricochet's first french-language podcast, we visit the Pekuakamiulnuatsh community of Mashteuiatsh in the Saguenay-Lac-Saint-Jean region of Northern Québec. "Le journaliste Guillaume Roy s'est rendu à Mashteuiatsh, la seule réserve autochtone du Nitassian à Saguenay-Lac-Saint-Jean. Grégoire, guide spirituel de la communauté, nous guide à travers une cérémonie des premiers pas, un rite important pour plusieurs." Narration by Natasha Kanapé Fontaine. Music by Musique Nomade feat. Sunny Duval and Laura Niquay. This podcast was made possible through the generous assistance of Heritage Canada. Watch for new episodes of 'Fil Rouge' beginning in May on iTunes and GooglePlay.
Avec le journaliste Antoine Robitaille, la comédienne et écrivaine Natasha Kanapé Fontaine, et l'invitée d'honneur Geneviève Pettersen.
Comment réconcilier Autochtones et non Autochtones et mettre fin aux incompréhensions? Où en est-on de ces relations près de 30 ans après la crise d’Oka, qui avait éclaté à l’été 1990? Arnaud Decroix en discute avec Natasha Kanapé Fontaine, co-auteure de Kuei, je te salue. Conversation sur le racisme (Ecosociété, 2016).
Comment réconcilier Autochtones et non Autochtones et mettre fin aux incompréhensions? Où en est-on de ces relations près de 30 ans après la crise d’Oka, qui avait éclaté à l’été 1990? Arnaud Decroix en discute avec Natasha Kanapé Fontaine, co-auteure de Kuei, je te salue. Conversation sur le racisme (Ecosociété, 2016).
Natasha Kanapé Fontaine parle de sa démarche artistique et de son engagement dans la cause des femmes autochtones avec Maryse Jobin.
Natasha Kanapé Fontaine - Réflexion sur la féminité native au 21e sièclePoète-interprète, comédienne, artiste en arts visuels et militante pour les droits autochtones et environnementaux, Natasha Kanapé Fontaine est Innu, originaire de Pessamit sur la Côte-Nord et vit à Montréal. Elle est aujourd'hui l'une des voix les plus importantes du Québec. Son premier recueil de poèmes, "N'entre pas dans mon âme avec tes chaussures" (Éditions Mémoire d'encrier, 2012), relatant ses premiers questionnements identitaires, a été salué par la critique, et lui a valu le Prix d'excellence de la Société des Écrivains francophones d'Amérique 2013. Finaliste au Prix Émile-Nelligan 2015, son second recueil Manifeste Assi (Mémoire d'encrier, 2014) est le chant de la terre qui étouffe sous l'exploitation des ressources naturelles, dont les sables bitumineux en Alberta. Plus récemment, elle a publié Bleuets et abricots (poésie, éditions Mémoire d'encrier 2016) et Kuei je te salue: conversation sur le racisme (avec Deni Ellis Béchard, éditions Écosociété 2016) Porte-parole de la branche québécoise du mouvement pancanadien Idle No More (Fini l'inertie), elle travaille à développer la «Poétique de la Relation au Territoire» en philosophie. En 2017, elle sera représentante des Innus et du Québec au Festival des minorités ethniques au Tibet.
Natasha Kanapé Fontaine - Réflexion sur la féminité native au 21e sièclePoète-interprète, comédienne, artiste en arts visuels et militante pour les droits autochtones et environnementaux, Natasha Kanapé Fontaine est Innu, originaire de Pessamit sur la Côte-Nord et vit à Montréal. Elle est aujourd'hui l’une des voix les plus importantes du Québec. Son premier recueil de poèmes, "N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures" (Éditions Mémoire d’encrier, 2012), relatant ses premiers questionnements identitaires, a été salué par la critique, et lui a valu le Prix d’excellence de la Société des Écrivains francophones d’Amérique 2013. Finaliste au Prix Émile-Nelligan 2015, son second recueil Manifeste Assi (Mémoire d’encrier, 2014) est le chant de la terre qui étouffe sous l’exploitation des ressources naturelles, dont les sables bitumineux en Alberta. Plus récemment, elle a publié Bleuets et abricots (poésie, éditions Mémoire d'encrier 2016) et Kuei je te salue: conversation sur le racisme (avec Deni Ellis Béchard, éditions Écosociété 2016) Porte-parole de la branche québécoise du mouvement pancanadien Idle No More (Fini l’inertie), elle travaille à développer la «Poétique de la Relation au Territoire» en philosophie. En 2017, elle sera représentante des Innus et du Québec au Festival des minorités ethniques au Tibet.
Mission encre noire Tome 18 Chapitre 235 Je vous emmène en balade au 39 ème salon du livre de Montréal qui a eu lieu à la place Bonaventure du 16 au 21 novembre 2016. Un rendez-vous annuel que j'ai voulu un peu moins formel cette fois-ci. Je suis parti à la rencontre de David Goudreault, l'un des invités d'honneur du festival, Larry Tremblay, Hervé Gagnon et Natasha Kanapé Fontaine. Je saisis l'occasion pour les confronter à l'actualité (Trump, l'engagement en littérature...). Joignez-vous à moi, vous apprécierez, j'en suis sûr, les surprises que vous réservent ces entrevues inédites! David Goudreault La bête et sa cage Stanké 2016 Natasha Kanapé Fontaine et Deni Ellis Béchard Kuei je te salue conversation sur le racisme Écosociété 2016 Larry Tremblay L'impureté Altò 2016 Hervé Gagnon Joseph Libre expression collection expression noire 2016
Mission encre noire Tome 18 Chapitre 235 Je vous emmène en balade au 39 ème salon du livre de Montréal qui a eu lieu à la place Bonaventure du 16 au 21 novembre 2016. Un rendez-vous annuel que j'ai voulu un peu moins formel cette fois-ci. Je suis parti à la rencontre de David Goudreault, l'un des invités d'honneur du festival, Larry Tremblay, Hervé Gagnon et Natasha Kanapé Fontaine. Je saisis l'occasion pour les confronter à l'actualité (Trump, l'engagement en littérature...). Joignez-vous à moi, vous apprécierez, j'en suis sûr, les surprises que vous réservent ces entrevues inédites! David Goudreault La bête et sa cage Stanké 2016 Natasha Kanapé Fontaine et Deni Ellis Béchard Kuei je te salue conversation sur le racisme Écosociété 2016 Larry Tremblay L'impureté Altò 2016 Hervé Gagnon Joseph Libre expression collection expression noire 2016
Mission encre noire Tome 18 Chapitre 235 Je vous emmène en balade au 39 ème salon du livre de Montréal qui a eu lieu à la place Bonaventure du 16 au 21 novembre 2016. Un rendez-vous annuel que j'ai voulu un peu moins formel cette fois-ci. Je suis parti à la rencontre de David Goudreault, l'un des invités d'honneur du festival, Larry Tremblay, Hervé Gagnon et Natasha Kanapé Fontaine. Je saisis l'occasion pour les confronter à l'actualité (Trump, l'engagement en littérature...). Joignez-vous à moi, vous apprécierez, j'en suis sûr, les surprises que vous réservent ces entrevues inédites! David Goudreault La bête et sa cage Stanké 2016 Natasha Kanapé Fontaine et Deni Ellis Béchard Kuei je te salue conversation sur le racisme Écosociété 2016 Larry Tremblay L'impureté Altò 2016 Hervé Gagnon Joseph Libre expression collection expression noire 2016
In this event entitled “a Rally, a Rant, a Story, a Song, a Protest, a Poem”, women – and men – take to the mike for five minutes each to tell us why they call themselves feminists. Authors Val McDermid, Christopher Brookmyre, Elif Shafak and Andrew O’Hagan; activists Emma Laurie and Caroline Criado-Perez; stand-up comic Nish Kumar; playwright Jo Clifford; and poets Robin Robertson and Natasha Kanapé Fontaine make a stand. Recorded live at the Edinburgh International Book Festival.