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Michel, 35 ans, est condamné à une peine de prison avec sursis probatoire.Son avocat lui explique qu'il sera suivi par un assistant de justice durant toute la période de probation.Mais comment ce suivi se met-il concrètement en place, à quel rythme, et qu'attend-on de Michel ?Dans cet épisode de La Justice et Moi, je reçois Guillaume Urbain, assistant de justice à Bruxelles, un acteur souvent méconnu mais essentiel de l'application des peines.Avec clarté et pédagogie, il nous éclaire sur son rôle dans l'accompagnement des personnes condamnées à une peine de probation ou à une peine de travail d'intérêt général.Comment se déroule le suivi ? Quels sont les enjeux humains et juridiques derrière ces peines alternatives ?Guillaume nous plonge dans le quotidien de son métier, à la croisée de l'accompagnement social et de l'autorité judiciaire.Un épisode indispensable pour mieux comprendre ce maillon crucial de notre système pénal.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Sénégal, les ennuis judiciaires se poursuivent pour les proches de l'ancien président Macky Sall. Amadou Sall, le fils de ce dernier, est cité dans une affaire de transfert de fonds douteux, et convoqué par justice. Ces dernières semaines les convocations, arrestations et emprisonnements se sont multipliés.
L'assassinat du juge Michel, abattu sur sa moto dans une rue de Marseille en 1981, a marqué l'opinion publique et les milieux judiciaires. La mort de ce magistrat a provoqué un traitement médiatique inédit à l'époque.Cet épisode de Lieux du crime est co-produit par Initial Studio et Comic Strip Production adapté de la série documentaire audiovisuelle « Lieux du crime », produite par Comic Strip Production, écrite par Philippe Carrese et François Thomazeau et réalisée par Philippe Carrese.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial Studio Production éditoriale : Sarah Koskievic assistée de Romane Nicorosi Montage : Camille Legras Illustration : Initial Studio Avec la voix d'Olivier Sitruk Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:02:12 - Le vrai ou faux - La lenteur de la justice s'explique par le manque de magistrats et de greffiers mais "il y a aussi plus de gens qui portent plainte, une envie du procès", a déclaré Gérald Darmanin, mardi 30 avril sur France Inter.
durée : 00:03:56 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Qu'est-ce que la justice et sur quels fondements repose-t-elle ? Où commence l'injustice ? Peut-on se faire justice soi-même ? La justice est-elle une affaire de proportion ? Pourquoi avons-nous besoin de tribunaux ? La justice a-t-elle des limites ? - réalisation : Riyad Cairat
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.
durée : 00:04:30 - Capture d'écrans - par : Eva Roque - Pendant un an, les réalisatrices Isabelle Vayron et Chloé Henry Biabaud ont suivi des détenus et des victimes, tous bénévoles d'un programme de justice restaurative. Un documentaire parfois déstabilisant, mais surtout éclairant sur ce dispositif
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur la visite d'Emmanuel Macron à Madagascar et l'impopularité du chancelier allemand. Côte d'Ivoire : la justice exclut Tidjane Thiam de la présidentielle Le Tribunal de première instance d'Abidjan a ordonné la radiation de l'opposant Tidjane Thiam de la liste électorale. Comment la justice ivoirienne justifie-t-elle cette décision ? Pourquoi le président du PDCI dénonce-t-il un « déni de justice » ? Quelles stratégies compte-t-il mettre en place pour contrer cette décision ?Avec Bineta Diagne, correspondante permanente de RFI à Abidjan. Madagascar : la visite d'Emmanuel Macron relance le débat sur les îles Éparses À l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron à Madagascar, la question de la souveraineté des îles Éparses, riches en ressources, refait surface. Ces petites îles françaises de l'océan Indien sont revendiquées par le gouvernement malgache depuis maintenant 70 ans. En quoi la question des îles Éparses est-elle centrale pour la coopération franco-malgache ? Cette visite du président français peut-elle aboutir à faire concrètement évoluer le dossier de la souveraineté de ces îles ?Avec Denys-Sacha Robin, spécialiste en Droit international de la mer à l'Université Paris-Nanterre. Allemagne : l'impopularité du futur chancelier profite à l'extrême droite Selon des sondages, futur chancelier allemand Friedrich Merz fait déjà face à une impopularité qui favorise la montée de l'extrême-droite. Quelles sont les raisons de son impopularité alors qu'il vient à peine d'être élu et qu'il n'a pas encore officiellement succéder à Olaf Scholz ? Cette impopularité croissante pourrait-elle engendrer une nouvelle crise politique dans le pays ?Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, retour sur les réactions des internautes après la mort du pape François.
Google va-t-il être démantelé? La Justice américaine y songe… et voudrait forcer la mise en vente de Chrome. Ça fait saliver bien des gens… et ça soulève plein de questions. Promo C2 MTL: 100$ de rabais sur le prix d’entrée avec le code-promo C2aimeUneTasseDeTech https://c2.eventnroll.com/fr/billetterie/achat-de-billet/2048/9874?PROMO=C2aimeUneTasseDeTech Testés: la OnePlus Watch 3 repousse les limites des montres connectées. Le super charger Anker Prime ne vous laissera pas tomber Promo PlanetHoster: La souveraineté de vos données vous inquiète? La solution Code promo : PHA-UTDT The World N0C - Hébergement mutualisé - https://bit.ly/phutdtm HybridCloud N0C - Hébergement dédié - https://bit.ly/phutdt Aussi: 10 ans d’Apple Watch Motorola Razr, Razr+ et Razr Ultra Nintendo Switch 2: les prix sont connus! Les 5 startups montréalaise de l’Accélérateur Google C2 Montréal: les conférenciers présentés Bluesky adopte le crochet bleu Et plus! Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Barbara Lefebvre et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Quand la justice n'est pas suffisante.Oeil pour oeil... Nous connaissons tous cette sensation frustrante et parfois horrible de laisser s'échapper un rêve, de ne pouvoir attraper ce souvenir irréel qui nous glisse entre les doigts. Plus nous nous y attachons et plus les détails disparaissent, nous abandonnant, fragiles. Mercredi Creepy est un podcast créé par Malo, l'aventurière des cauchemars, et Kepa, l'observateur de l'ombre. Ils proposent des histoires d'horreur inédites, écrites et contées par leurs soins, inspirées de leur imagination, de leur entourage proche et des vies des auditeurs. Si tu veux soutenir notre travail sans commission : https://ko-fi.com/maloetkepa# ---- MERCREDI CREEPY | 2022 - 2024 MALO ET KEPA | TOUS DROITS RÉSERVÉS LES OEUVRES PRÉSENTÉES SONT DES ORIGINALES. MERCI DE NOUS CONTACTER EN CAS DE DEMANDE DE RÉUTILISATION
Depuis mardi et pour trois semaines, le géant Google est sur le banc des accusés. Un des procès antitrust les plus emblématiques de l'ère numérique. La justice américaine reproche des abus de position dominante, sur le marché de la recherche en ligne et sur celui de la publicité. Philippe Laloux est journaliste au pôle Economie, il est passé en studio pour nous détailler les enjeux du procès et pour nous expliquer quelles pourraient être les conséquences, pour Google comme pour nous.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
À peine investi à la tête de son parti, le PDCI-RDA, Tidjane Thiam risque de ne pas pouvoir être candidat. La justice, qui a estimé qu'il avait perdu sa nationalité ivoirienne, a ordonné sa radiation de la liste électorale. Tidjane Thiam avait la double nationalité et a renoncé à la citoyenneté française il y a quelques semaines. Mais la décision ferme la porte à sa candidature à la présidentielle du 25 octobre. Tidjane Thiam a dénoncé un "déni de justice indigne d'une démocratie".
Un procès historique s'est ouvert à Washington contre Google, accusé d'abus de position dominante. L'entreprise est critiquée pour avoir imposé son moteur de recherche via des accords avec Apple, Samsung et d'autres navigateurs, captant 90 % des recherches mondiales. Elle est aussi dans le viseur pour son contrôle du marché publicitaire. Le gouvernement américain envisage des mesures fortes, comme la vente de Chrome ou Google Ad Manager, pour briser ce monopole. Ce procès pourrait marquer un tournant dans la régulation des géants de la tech, à l'image de celui contre Microsoft en 1998. Présenté par Milan Berckmans Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité :Jacques DURET : "Vichy et la justice" (Passés Composés)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Épisode 45 : Bobépine replume la justiceUne production des studios Virage Sonore www.viragesonore.comAnimation : Charlie Morin et Lady GuidouneMusique Montage et Mixage : Virage SonoreMentioned in this episode:Pub Mado 12 MaiRetrouvez Full Plumé en live le 12 Mai prochain au Cabaret Mado : https://lepointdevente.com/billets/b97250519001Billet pour les lives au Mado
Procès contre Meta en cours à Washington. Et audience devant un tribunal américain aujourd'hui pour Google. Pourquoi la justice américaine s'en prend à ce point aux Gafa ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mohamed Al Ballouz, accusé d’un triple meurtre à Brossard, impose d’autres délais en Cour d’appel, prolongeant l’angoisse de la famille des victimes. Une policière blessée lors d’un cas de rage au volant à Brossard. Début du procès des cinq anciens joueurs d’Équipe Canada Junior. Discussion faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’Agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cette semaine, focus sur les turbulences judiciaires des géants de la tech, notamment Meta et Google. On parle également de souveraineté numérique française et de sécurisation des données par la blockchain.Découvrez Frogans, l'innovation française qui veut réinventer le Web [Partenariat]-----------L'ACTU DE LA SEMAINE- Google reconnu coupable de pratiques anticoncurrentielles.- Meta également devant la jsutice défend ses acquisitions de WhatsApp et Instagram.- OpenAI lance des IA améliorées et se rêve en réseau social.- La France remet le projet de cloud souverain sur la table.LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE- Analyse de la fragilité des GAFAM face à la régulation.LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE- Alain Garnier (Jamespot) analyse la position des alternatives françaises face à la domination américaine.- Mathias Debièvre (Visions) présente le concept de data spaces pour développer des IA souveraines- Gaspard Bonnot (Div Protocol) présente sa solution de sécurisation des données par une technique empruntée au Web3.-----------
Le 30 mars dernier à seulement trois jours de son anniversaire, Yanis s'est suicidé. Dans une lettre, l'adolescent de 17 ans explique que la sortie de prison de son agresseur sexuel lui était insupportable. Cet homme, aujourd'hui âgé de 58 ans, a bénéficié d'un aménagement de peine. Il est sorti de détention après deux ans et demi passés en prison. C'est chez lui, à seulement 3 km de la maison de Yanis, qu'il purge sa peine sous bracelet électronique. Yanis et ses parents n'ont jamais reçu de courrier officiel les informant de sa remise en liberté. L'adolescent s'est suicidé de peur de croiser cet homme qui lui a volé trois ans de sa vie. Ronald Guintrange et Florine Silvant, journaliste à BFM Radio, reçoivent dans Affaire Suivante Steffy Alexandrian, présidente de l'association Carl. Production et rédaction: Charlotte Lesage, journaliste police-justice de BFMTV.com.
Cette semaine, Laurent Neumann reçoit Didier Migaud, ancien ministre de la Justice, pour répondre aux critiques visant l'institution judiciaire.Les décisions de justice peuvent-elles être politiques ? Peut-on les critiquer ? La justice manque-t-elle de moyens ? Comment réagir face aux attaques contre les juges et la justice ?Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un député a saisi le Parlement afin de poursuivre l'ancien président pour haute trahison, après la découverte par la cour des comptes d'une dette cachée qui s'élève à 7 milliards de dollars. L'ancien dirigeant doit-il rendre des comptes ?On attend vos réactions.
Sylvain Maillard, député du groupe Ensemble pour la République, aborde des sujets d'actualité avec Anne-Elisabeth. Il parle de l'immigration, soulignant la nécessité de distinguer les demandeurs d'asile légitimes et de mieux maîtriser l'immigration. Sur la sécurité, il défend le bilan du gouvernement face aux menaces croissantes. Concernant la crise avec l'Algérie, il prône la fermeté. Enfin, il évoque les finances publiques et les réformes nécessaires. Maillard défend avec conviction les positions de son groupe politique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le pays "n'a plus le choix" : Darmanin lance la prison modulable pour pouvoir ouvrir "3 000 places constructibles en 18 mois". Gérald Darmanin, Ministre de la Justice , est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 15 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:55 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Solal, neuf ans, aimerait savoir si la justice a tendance à croire plutôt les adultes ou plutôt les enfants. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
ATT pour App Tracking Transparency. Un dispositif mis en place par Apple il y a 4 ans, lors du lancement d'iOS 14.5 en Avril 2021 et qui imposait aux éditeurs d'applications une fenêtre de consentement avant de pouvoir récupérer l'identifiant publicitaire des utilisateurs. Et une solution lancée sans concertation avec les autorités européennes, ce qui lui a voulu une condamnation pour abus de position dominante. -----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
"Je ne l'ai pas dit pendant longtemps mais je commençais toujours par m'arrêter et prier en arrivant sur les scènes de crime." Ancien procureur de la République de Paris, François Molins a marqué la justice française grâce à sa force d'âme face aux vagues d'attentats auxquels il a fait face pendant sa carrière, notamment ceux de Charlie Hedbo et du 13 novembre. Il est venu au micro des Lueurs nous partager sa réflexion sur une question essentielle : comment garder la foi en Dieu, en l'être humain et en la justice face au mal suprême ? Un échange profond, mêlant sa grande lucidité, son humilité et une forte dose d'espérance chevillée au corps. Bonne écoute.
durée : 00:21:58 - L'invité de 8h20 - La chaîne France 2 diffuse mardi une série documentaire sur le procès de Klaus Barbie, l'ancien chef de la Gestapo surnommé "le boucher de Lyon". L'historien Laurent Joly et le réalisateur Gabriel Le Bomin sont les invités dimanche de France Inter.
durée : 00:35:28 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - La condamnation de Marine Le Pen, lundi 31 mars, a ravivé les attaques contre la justice, accusée par une partie de la classe politique d'entraver la liberté des électeurs. Dans les pays illibéraux comme en France, le populisme anti-juges gagne du terrain.
durée : 00:02:19 - Le vrai ou faux - La condamnation de Marine Le Pen à cinq ans d'inéligibilité pour détournement de fonds publics, exécutée à titre provisoire, a provoqué la colère de celle qui souhaite pouvoir se présenter à l'élection présidentielle de 2027. Elle accuse les juges d'avoir pris une décision politique. Mais est-ce une décision rare ?
Marine Le Pen a été condamnée lundi à quatre ans de prison, dont deux fermes sous bracelet électronique, 100.000 euros d'amende, mais surtout, la cheffe de file du Rassemblement National écope de 5ans d'inéligibilité avec exécution immédiate▶ Soutenez Le Média :
Le Journal en français facile du mercredi 2 avril 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BY9k.A
Hamadoun Dicko a été détenu pendant trois mois au secret, en dehors de toute procédure légale, par les services maliens de renseignements - du 16 décembre 2023 au 11 mars 2024. Un an après, en exclusivité pour RFI, cet actuel président de la Jeunesse Pulaaku International et ancien président des associations communautaires peules de défense des droits humains, raconte ses trois mois de calvaire : enlèvement, détention, interrogatoires. Un témoignage inédit, car les personnes libérées ont pour consigne de se taire, et plus que jamais nécessaire, compte tenu de la multiplication actuelle des enlèvements extrajudiciaires par les services maliens. Invité d'Afrique matin, Hamadoun Dicko, désormais en exil hors du Mali, répond aux questions de David Baché. RFI : Lorsque la Sécurité d'État vous a enlevé, vous vous apprêtiez à lancer une nouvelle association internationale de jeunes de la communauté peule. C'est pour cela que vous avez été détenu pendant trois mois ? Hamadoun Dicko : Effectivement, j'étais en train d'organiser le premier congrès de la Jeunesse Pulaaku International et j'ai été enlevé à la veille même du congrès. Pendant les interrogatoires, on m'a demandé pourquoi je voulais organiser ce congrès, si c'était pour déstabiliser la Transition. Je faisais beaucoup de dénonciations des exactions commises par les forces armées et de sécurité contre les civils peuls, il y avait cela aussi. Ils m'accusaient aussi d'être en complicité avec certains groupes armés terroristes.Est-ce que vous pouvez nous raconter, pour commencer, les circonstances de votre enlèvement ?J'ai d'abord été convoqué le 14 décembre 2023 à la direction de l'ANSE [Agence nationale de la Sécurité d'État, NDLR], où ils m'ont intimidé et demandé de surseoir à la conférence de presse. Puis à la veille du congrès [deux jours plus tard, le 16 décembre, NDLR], aux environs de minuit, je rentrais chez moi, et plusieurs véhicules, quatre, m'ont intercepté. L'un des véhicules m'a bloqué la route. Les hommes étaient nombreux, en civil. Il y en a un qui est venu vers moi, il m'a fait rentrer dans sa voiture, il a démarré, et il a demandé à celui qui était à côté de moi de me mettre la cagoule.Pendant ces trois mois de détention, quelles étaient vos conditions, votre rythme de vie ?Ils m'ont gardé dans une chambre annexe d'une maison. C'était une maison habitée, avec une famille. J'avais un matelas, deux couvertures. On était plusieurs parce qu'il y avait trois chambres annexes, et il y avait un autre [prisonnier, NDLR] dans une autre chambre, mais je ne l'ai jamais vu. J'étais très mal nourri. Je ne pouvais pas sortir de ma chambre. Je ne suis jamais sorti, à part les deux fois où ils ont voulu m'interroger. Le reste du temps, j'étais dans ma chambre, seul. Quand ils rentraient, je devais mettre une cagoule. Je ne voyais personne, je n'ai jamais vu une seule personne quand j'étais là-bas. J'étais seul, séquestré, isolé. Pendant trois mois, j'avais même le rêve de voir juste le soleil ou le ciel.D'autres prisonniers de la Sécurité d'État, une fois libérés, ont raconté à des proches ou à leurs avocats, avoir subi des tortures : coups, décharges électriques, simulations de noyade. Heureusement, cela n'a pas été votre cas ?Heureusement, moi, je n'ai pas été torturé, je n'ai pas été frappé. Seulement, j'étais affamé et isolé, séquestré loin de ma famille. C'était psychologique et cela me fatiguait parce que je ne voyais pas un être humain. J'avais juste envie de voir une personne, en face de moi.À lire aussiMali : après un an passé en détention, l'universitaire Étienne Fakaba Sissoko a été libéréComment se passaient les séances d'interrogatoires ? Quand ils venaient pour m'amener dans le salon d'interrogatoire, ils étaient trois. Quand ils tapaient à la porte, je devais mettre la cagoule, donc je ne pouvais plus les voir. Ils m'ont sorti de ma cellule, ils m'ont emmené dans un petit salon où ils m'ont fait assoir sur une chaise. Ils sont sortis et ils m'ont laissé avec leur chef qui devait m'interroger.Et sur quoi est-ce que vous avez été interrogé ?Ils m'ont demandé pourquoi je voulais organiser ce congrès, pourquoi j'étais avec Hamadoun Kouffa…Le chef de la Katiba Macina du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim), lié à Al-Qaïda…Oui, exactement. Ils m'ont demandé pourquoi je le représentais à Bamako. J'ai été très surpris, j'ai demandé comment je pouvais être le représentant de Kouffa et être à Bamako, cela ne corrobore pas.Donc la Sécurité d'Etat vous accusait d'être un complice des groupes jihadistes ?Exactement, ils m'accusaient d'être leur complice, et en même temps d'être avec les puissances occidentales, telles que la France. Surtout, j'étais en contact avec Radio France Internationale (RFI).Donc vous avez aussi été interrogé sur vos liens avec des journalistes de RFI ? Bien sûr, ils m'ont demandé si j'étais en contact avec David Baché, exactement. Heureusement, je n'étais pas en contact avec David Baché.Pas encore…Ils m'ont demandé pourquoi je dénonçais les exactions commises par Wagner. Moi, j'ai dit : « je suis Malien, contre l'impunité, c'est pourquoi j'ai dénoncé. »Et comment est-ce qu'il réagissait à vos réponses ?Quand je répondais, il reconnaissait que vraiment, j'avais raison ! Parce que quand il a voulu dire que j'étais avec des puissances comme la France, je lui ai fait savoir que quand il y a eu la bavure française à Bounti, je l'avais dénoncée.À lire aussiMali: trois ans après le massacre de Moura, pas de justice pour les victimesBounti, lorsqu'une frappe de la force française Barkhane s'est abattue sur un mariage de civils, en 2021.Oui, exactement. Donc quand je lui ai fait savoir cela, il a dit « oui, c'est vrai. » Je lui ai dit « alors, si j'étais avec la France, je pense que je n'aurais pas dénoncé cette frappe. » Il a reconnu cela aussi.On parle généralement des « geôles secrètes de la Sécurité d'État », puisque ces lieux de détention ne sont pas connus. Est-ce que vous, vous avez une idée de l'endroit où vous avez passé ces trois mois ?Oui. J'étais dans un domaine d'un haut gradé de l'armée malienne. Il revenait souvent le weekend. Il était là, il causait avec ses amis…Donc vous l'avez vu, entendu ?J'entendais. J'entendais des voix et je comprenais aussi.Hamadoun Dicko, au bout de trois mois, vous avez finalement été relâché par la Sécurité d'État. Pourquoi, comment ?J'ai décidé de ne plus manger. Parce que j'étais fatigué, je ne savais pas pourquoi j'étais là, je savais que je n'avais commis aucun crime. J'ai décidé de ne plus manger. Quand ils ont constaté cela, ils sont venus pour me dire : « Hamadoun, si tu ne manges pas, on va te présenter à un juge, tu seras à la Maison centrale d'arrêt de Bamako, là-bas ce n'est pas facile. » J'ai dit : « je préfère être là-bas parce qu'au moins, je vais prendre un avocat et mes parents sauront où je suis. » Donc, ils ont compris que cela ne m'empêcherait pas de continuer la grève de la faim. (…)Le 11, c'était le premier jour du Ramadan, ils ont toqué à la porte et m'ont demandé de prendre mes affaires. Mais je n'avais pas d'affaires, je n'avais que mon boubou ! Ils m'ont sorti, ils m'ont emmené jusqu'au quartier de Bougie Ba, à Bamako, et ils m'ont dit qu'ils allaient me libérer, mais avec des conditions. Les conditions, c'était de collaborer, de ne pas dénoncer, de travailler avec eux.Ils vous ont proposé de travailler pour la Sécurité d'État ?Je n'ai pas accepté, c'est pourquoi je suis là. J'ai décidé de partir [hors du Mali, NDLR] parce que je ne pouvais pas rester, ma vie était en danger.Aujourd'hui, pourquoi tenez-vous à témoigner de ce qui vous est arrivé ?Parce qu'on voit que les enlèvements continuent de plus belle. On ne doit pas enlever des gens en plein jour et les séquestrer ! Ce n'est pas normal, c'est inadmissible, on doit empêcher cela. Donc j'ai décidé de partir et de parler, on ne peut pas rester muet. Il faut que cela cesse, on ne peut pas continuer comme cela dans un pays de droits. S'ils te reprochent quelque chose, il y a la justice.Et vous, est-ce que vous avez porté plainte, devant la justice ?Je n'ai pas porté plainte parce qu'il n'y a pas de justice au Mali en ce moment. La Justice est dictée. Donc, je ne peux pas porter plainte au Mali, tout en sachant que cela ne réussira pas. Je vais attendre. Le moment venu, peut-être que je le ferai.Un dernier mot, peut-être, sur la situation actuelle au Mali ou dans l'Alliance des États du Sahel (AES), qui inclut aussi le Burkina et le Niger ?Malheureusement, aujourd'hui, dans les États du Sahel, nous constatons une épuration ethnique, si vous me permettez le mot. Certaines communautés sont ciblées. Quand tu es peul, surtout au Mali et au Burkina, on t'exécute du simple fait d'être de la communauté peule.Les régimes en place au Mali et au Burkina démentent…Mais nous le constatons quand même, les faits sont têtus ! Nous avons vu des VDP [Volontaires pour la défense de la partie, milices civiles locales supplétives de l'armée burkinabè, NDLR] et cette force armée et de sécurité burkinabè qui se filmaient et mettaient tout sur les réseaux sociaux. Ils disaient dans leur langue mooré que les peuls ne les dirigeraient jamais.C'est le mot « peul » qui sort dans leur bouche, cela veut dire que ce sont les peuls qui sont systématiquement ciblés. Les autorités sont responsables de ce qui se passe au Sahel. Les autorités démentent, mais montrent le contraire sur le terrain, malheureusement. À lire aussiMali: l'association Tabital Pulaaku alerte sur les attaques contre des villages peuls près de Ségou
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la justice française qui pose question, le portrait de la juge qui a condamné Marine Le Pen et les droits de douane imposés par Donald Trump qui inquiètent. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 400 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo De la fin de la « drôle de guerre » à l'effondrement du régime de Vichy, de nombreux prévenus sont jugés pour des motifs politiques par la justice française. Loin d'être une parenthèse dans l'histoire de France, la justice de Vichy est d'abord héritière du système judiciaire mis en place sous la République, qu'il s'agisse de son personnel, de ses lieux, de ses mots et de ses usages. Si, jusqu'à l'été 1941, la justice ordinaire est au coeur du dispositif de répression, traquant les adversaires de l'État français ou définis comme tels - communistes, Juifs, auteurs de délit d'opinion ou déserteurs -, un basculement s'opère ensuite avec le recours aux juridictions d'exception, sous l'oeil inquisiteur de l'occupant allemand. La section spéciale et le tribunal d'État deviennent les symboles de sanctions féroces et arbitraires : le 27 août, lors de la première audience, les juges de la section spéciale prononcent trois condamnations à mort pour propagande communiste. L'action des magistrats de carrière est néanmoins jugée insuffisante par le gouvernement, ce qui conduit peu à peu Vichy à choisir ses juges et à réduire inexorablement leurs compétences. Maîtrisant parfaitement les ressorts du paysage judiciaire en France, Jacques Duret s'efforce de les présenter de façon accessible et propose un récit incarné par les hommes et les femmes, victimes ou complices de la répression politique du régime de Vichy et de l'occupant allemand.L'auteur, Jacques Duret, est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(00:00:36) Marine Le Pen inéligible: le droit face au populisme dans la presse internationale (00:04:26) Marine Le Pen inéligible: ça parlait hier soir dans le RER - reportage Radio France (00:06:26) Marine Le Pen inéligible: la solidarité des extrêmes-droites internationales face aux juges - interview de Benjamin Biard (00 :15 :08) Malaise en Inde à l'accueil des expulsés par les Etats-Unis
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Charles Consigny et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Charles Consigny et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la condamnation de Marine Le Pen, cheffe de file du RN, ce jour à cinq ans d'inéligibilité dans le procès des assistants parlementaires européens et qui l'empêcheront de se présenter à la présidentielle de 2027.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Bruno Poncet et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au Brésil, l'ancien président Jair Bolsonaro saura ce mercredi (26 mars 2025) s'il est renvoyé en procès pour projet présumé de coup d'État. En direct sur plusieurs chaînes d'information, la Cour Suprême délibère à Brasilia, ces mardi 25 et mercredi 26 mars, pour décider de l'ouverture ou non d'un procès contre l'ancien président d'extrême droite. Lors de la première journée de débat, le principal concerné était présent à la surprise générale, explique Sarah Cozzolino, la correspondante de RFI à Rio de Janeiro. Pour O Globo, le fait de mettre Bolsonaro face à ses juges vise à démontrer publiquement que ce dernier ne craint rien et surtout ne doit rien à personne. Mais personne n'est dupe, et les accusations de complot ne semblent pas diviser les juges, poursuit le journal. En coulisses, ces derniers reconnaissent que les faits révélés par l'enquête sont graves et doivent être jugés pour stopper définitivement les «impulsions antidémocratiques». Jair Bolsonaro risque 40 ans de prison en cas de procès. Procès Maradona : son garde du corps arrêté pour « faux témoignage »En Argentine, un autre procès retient l'attention, celui sur les circonstances de la mort du footballeur de légende, Diego Maradona. La presse argentine revient sur l'arrestation hier (25 mars 2025) en pleine audience du garde du corps de ce dernier pour «faux témoignage». Il était le troisième témoin du cinquième jour de ce procès qui se tient dans la banlieue de Buenos Aires. Julio Coria était présent le jour où Diego Maradona est décédé et lui a fait du bouche-à-bouche jusqu'à l'arrivée des médecins. Le quotidien Clarin explique qu'il s'est contredit lors de ses déclarations et a omis certains détails concernant notamment la façon dont Maradona a été réanimé. Il a aussi oublié de mentionner une conversation entre la fille de l'ancienne star du football et son neurochirurgien. Julio Coria encourt jusqu'à 10 ans de prison pour parjure. Équateur : 7 ans après le drame de Mataje, des traces toujours visiblesC'était il y a 7 ans, jour pour jour, en Équateur. Le 26 mars 2018, les trois membres d'une équipe journalistique du quotidien El Comercio étaient enlevés dans le petit village de Mataje, à la frontière avec la Colombie. Ils seront assassinés deux semaines plus tard par les dissidents des FARC, membres du «Front Oliver Sinisterra». Depuis, Mataje a été militarisée et souffre d'une réputation négative, que les autorités et les habitants essaient de changer. Le correspondant de RFI en Équateur, Éric Samson, s'est rendu sur place. États-Unis : Trump signe un décret pour réformer en profondeur le processus électoralLe décret signé ce mardi (25 mars) prévoit de rendre obligatoire la présentation de preuves de citoyenneté américaine, comme les passeports ou les permis de conduire, au moment de l'inscription au niveau des États sur les listes électorales. Le Washington Post souligne que « cette fixation » du président américain sur le processus électoral ne date pas d'hier. Donald Trump avait dénoncé les résultats des deux précédentes élections en remettant en cause des votes d'électeurs qui, selon lui, n'avaient pas la citoyenneté américaine. Cependant, rien n'a été prouvé, poursuit le journal. Seules les personnes qui ont la citoyenneté américaine peuvent voter lors des élections fédérales, mais la plupart des États américains ne demandent pas de preuve de cette citoyenneté, seulement une déclaration sur l'honneur. Avec ce décret, « des millions d'Américains pourraient être empêchés de se rendre aux urnes », souligne le journal. Un décret qui est, de plus, inconstitutionnel selon un expert juridique cité par le Washington Post. États-Unis : La fin programme «Humanitarian Parole» pour les migrants venant d'Haïti, du Venezuela, de Cuba et du NicaraguaLe journal nicaraguayenla Prensa revient sur cette décision qui pourrait toucher 530 000 migrants aux États-Unis. Une plainte a été déposée au Tribunal fédéral de Boston, et il y a toujours l'espoir que le juge ordonne un gel temporaire de cette mesure qui prendra effet le 24 avril 2025. Certains plaignants nicaraguayens sont entrés dans le pays après la torture d'un membre de leur famille et la persécution politique qui s'en est suivie, peut-on lire dans le journal. L'un d'entre eux a subi des menaces de mort et après l'arrêt du programme, il pourrait n'avoir plus que 30 jours pour retourner dans son pays. Haïti : Cap Haïtien sous la menace des glissements de terrainEn Haïti, la 2è ville du pays veut lutter contre les inondations. À chaque saison pluvieuse, les quelque 300.000 habitants de Cap-Haïtien sont en danger. La ville côtière est vulnérable, notamment parce qu'elle est entourée de rivières, et traversée par environ 5 bassins versants qui ne sont pas traités. Conséquences : lorsqu'il pleut, l'eau dégouline des montagnes et provoque des glissements de terrain mortels. Les autorités ont donc décidé de lancer un chantier pour tenter de limiter ces inondations.Les journalistes de RFI, Ronel Paul et Love-Marckendy Paul, se sont rendus sur place.
durée : 00:04:29 - Le Zoom de France Inter - À l'heure du procès de Gérard Depardieu, accusé d'agressions sexuelles par deux femmes sur un tournage, zoom sur le parcours du combattant des victimes de violences sexuelles. Entre 2012 et 2021, 86% de ces affaires ont été classées sans suite. La justice a-t-elle accompagné le mouvement #MeToo ?
Nouveau revers pour l'initiative de Gabriel Attal sur la justice des mineurs : la proposition de loi de l'ancien Premier ministre français a été largement amoindrie ce mardi en commission au Sénat, avant son examen la semaine prochaine dans l'hémicycle. Comparution immédiate, dérogations à l'excuse de minorité... Plusieurs mesures phares ont été supprimées de ce texte qui vise à « restaurer l'autorité » de la justice à l'égard des mineurs délinquants. Où placer le curseur de la fermeté tout en respectant les droits des mineurs ? La justice actuelle est-elle adaptée à la violence des plus jeunes ? Pour en débattre :- Manon Lefebvre, procureure pour enfants au Tribunal de Lille et secrétaire nationale au syndicat de la magistrature- Lyes Louffok, militant des droits de l'enfance, référent protection de l'enfance à l'Hôpital Georges Pompidou et membre fondateur du Comité de vigilance des enfants placés- Xavier Iacovelli, sénateur Renaissance des Hauts-de-Seine, vice-président de la commission des Affaires sociales.
durée : 02:31:07 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Mylène Jaccoud Professeure à l'école de criminologie de l'université de Montréal ; Gwenaële Rot Professeure des universités à Sciences Po Paris, membre du Centre de sociologie des organisations (CNRS), autrice de Planter le décor. Une sociologie des tournages, Paris, Presses de Sciences Po, 2019; Dominique Simonnot Contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL); Karine Tuil Ecrivaine; Claire Marin Philosophe, professeure de philosophie en classe préparatoire et écrivaine; Jean-Pierre Siméon Poète, romancier, dramaturge, directeur du Printemps des Poètes
durée : 00:48:09 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, l'embuscade de Waan Yaat en 1987 ou quand la justice coloniale française acquitte des assassins de Kanaks.