Podcasts about inuits

Public opinion can create conflict for hairstyles, music styles, and literary styles—but Rick Nelson and the Inuits have a possible solution. This Volume 8 Issue 3 positivity essay originally appeared on the Hashtag Positivity website on May 4, 2025. Retrieved from https://www.hashtagpositivity.com/blog/court-of-public-opinionABOUT THE HOSTJonas Cain, M.Ed. is a storyteller, magician, musician, and facilitator of fascination, helping people experience abiding joy through curiosity ad wonder. jonas@hashtagpositivity.com MUSIC & AUDIO CLIPSPlease Note: I do not own these audio clips. They are provided here for educational and illustrative purposes.“Why Don't You Do Right” performed by Jessica Rabbit (1988)Opening Credits from The Hour Before the Dawn, directed by Frank Tuttle (1944) “Abuchean a Luis R. Conriquez por No Cantar Corridos” by LGAMusic_oficial (2025)“Concert goers in Mexico riot after singer drops pro-cartel ‘drug ballads' from setlist” by New York Post (2025)“Sherlock Holmes Opening Theme” by Hans Zimmer (2009)“BBC Sherlock Theme” by David Arnold and Michael Price (2010)“Drop the Mic w/ Helen Mirren” by The Late Show with James Corden (2018)“Song Duel” by bbk41 (2009) | NOTE: In an ironic twist, this example of a song duel ends in a physical fight. Go figure!“Garden Party” by Rick Nelson (1972)#positivity #mindset #influence #publicopinion

durée : 00:02:22 - BD Bande dessinée - par : Jean-Christophe OGIER - Sous couvert de fictions dépaysantes, "De Pierre et d'os" de Krassinsky et "Caballero Bueno" de Thomas Lavachery et Thomas Gilbert portent un regard d'anthropologue sur les Inuits du grand nord et sur le peuple autochtone de l'île de Pâques.

L'émission 28 minutes du 21/04/2025 Découvrez ou redécouvrez les meilleurs moments de 28 minutes !Au programme : le comédien et écrivain Panayotis Pascot raconte son passage à l'âge adulte dans son dernier spectacle, l'astrophysicienne Françoise Combes nous aide à mieux comprendre l'Univers et le neurologue Lionel Naccache nous donne les dernières nouvelles du cerveau. Le comédien Vincent Dedienne évoque son adolescence et sa passion pour Jean-Luc Lagarce. Puis Claire Nouvian, fondatrice et présidente de l'association BLOOM, détaille son combat pour protéger les océans de la pêche industrielle. Pour finir, l'explorateur Nicolas Dubreuil nous conte son amour du pôle Nord et des Inuits. Retour sur deux débats de société qui interrogent notre avenir : l'épidémie d'obésité qui représente un défi majeur pour la santé mondiale au 21e siècle et l'avenir de l'avion. L'avion 100 % écolo, c'est pour bientôt ?Enfin, Xavier Mauduit évoque l'histoire du mont McKinley, nommé d'après l'ancien président républicain William McKinley. Marie Bonnisseau nous fait découvrir le blobfish, élu poisson de l'année malgré sa laideur. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Pour écouter mon podcast Le fil IA:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-fil-ia/id1797244733Spotify:https://open.spotify.com/show/7DLZgY60IARypRmVGAlBM0?si=bacee66244884d27-----------------------------À la fin du Xe siècle, des colons vikings venus d'Islande, menés par Érik le Rouge, s'installent sur la côte sud-ouest du Groenland. Pendant plusieurs siècles, ils y vivent, élèvent du bétail, bâtissent des églises, commercent avec l'Europe… puis, au XVe siècle, ils disparaissent. Mais pourquoi ? Pourquoi ces colonies scandinaves ont-elles été abandonnées ?Plusieurs facteurs, combinés, expliquent ce retrait.D'abord, le climat. Au moment de l'installation des Vikings, l'Atlantique Nord connaît un réchauffement appelé l'optimum climatique médiéval. Les températures sont relativement clémentes, permettant la culture de l'orge et l'élevage de vaches et de moutons. Mais à partir du XIIIe siècle, le climat change. Un épisode plus froid et humide s'installe : c'est le début du petit âge glaciaire. Les hivers deviennent plus longs, les mers se couvrent de glace, et les pâturages disparaissent sous le pergélisol. Les rendements agricoles chutent, et la population commence à souffrir de malnutrition.Ensuite, l'isolement croissant. Le Groenland viking dépendait des échanges avec la Norvège pour obtenir du fer, du bois, du goudron et d'autres produits essentiels. Or, au XIVe siècle, les expéditions deviennent plus rares, en partie à cause du refroidissement des mers, mais aussi à cause de crises politiques et économiques en Europe. La peste noire, qui frappe le continent à partir de 1347, affaiblit davantage les réseaux commerciaux.Le commerce du morse joue également un rôle. Les Vikings exportaient de l'ivoire de morse vers l'Europe, où il était très recherché pour la sculpture. Mais à partir du XIIIe siècle, l'ivoire africain devient plus accessible et moins cher. Le produit vedette des Groenlandais perd de sa valeur, affaiblissant l'économie locale.La rigidité culturelle a aussi pesé. Les colons groenlandais ont tenté de reproduire leur mode de vie européen dans un environnement beaucoup plus rude. Ils ont préféré garder leurs habitudes d'élevage plutôt que de s'adapter à un régime plus marin, comme le faisaient les Inuits, pourtant bien mieux adaptés à l'environnement local. Il n'y a aucune trace d'assimilation ni de coopération durable entre Vikings et Inuits.Finalement, les dernières traces écrites datent du début des années 1400. Les églises sont abandonnées, les maisons vides, les ossements montrent des signes de famine.En somme, le départ des Vikings du Groenland n'est pas dû à une seule cause spectaculaire, mais à une lente agonie, faite de climat de plus en plus rude, d'isolement économique, de rigidité culturelle… et peut-être, d'un dernier bateau qui n'est jamais revenu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Inside the National Maritime Museum in Maritime Greenwich, we explore the extensive polar exhibition, in which sound plays a major part. In this recording we hear a description of some of the traditional ways of life of the Inuits, and later, a verbal description of life as a polar researcher. These video installations bring to life the maritime world at the heart of the wider heritage site.  UNESCO listing: Maritime Greenwich Recorded by Cities and Memory.  ——————— This sound is part of the Sonic Heritage project, exploring the sounds of the world's most famous sights. Find out more and explore the whole project: https://www.citiesandmemory.com/heritage

Philippe Nicolas est Professeur des écoles en région parisienne. Docteur en sciences de l'éducation, il a créé pour ses élèves des initiatives aussi fortes qu'originales, pour leur permettre une expérience de la nature en même temps qu'une découverte de leur propre intériorité. Ainsi, Philippe Nicolas propose de relier les deux grandes oubliées de l'éducation, la nature et la vie intérieure : En découvrant les bienfaits de la nature, les enfants peuvent éprouver leur propre qualité d'êtres qui méritent d'être aimés Avec Cap au Nord, Philippe Nicolas propose des expéditions en terres polaires, en Islande et surtout au Groenland. Il décrit le contact avec les populations Inuits. Selon lui, elles entretiennent une relation « géo-poétique » profondément harmonieuse avec la nature, le monde visible et le monde invisible. Philippe Nicolas raconte également le contact avec la nature sauvage, la mer et les icebergs, les animaux aussi extraordinaires que les baleines, les bélougas, les orques et les loups… Avec Cap au Nord, Philippe Nicolas développe des projets scientifiques menés par les enfants, articulés autour de ce qu'il appelle les cinq constellations : l'océanographie, la biologie marine, la glaciologie, la météorologie, et … l'anthropologie, qui reste la reine des sciences, le « palpitant » de l'expédition. Les terres qu'explore Philippe Nicolas sont encore préservées, mais elles sont de plus en plus menacées par le dérèglement climatique et par l'activité de l'homme. Pourtant, la force et l'enthousiasme qui l'habitent transmettent une énergie très communicative qui l'emporte sur le pessimisme ou l'éco-anxiété. Cette énergie prend sa source dans la contemplation du monde. Philippe Nicolas partage son émerveillement face à la beauté de la Création. Il fait l'expérience de l'exaltation décrite dans le récit de la Genèse, quand Dieu voit que tout ce qu'il a fait est bon. Un témoignage inspirant, joyeux, et particulièrement réconfortant. Pour découvrir Cap au Nord, créé et animé par Philippe Nicolas, cliquer ici. AU COEUR DE LA MISSION ?  Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Avec la force et l'enthousiasme de Philippe Nicolas, l'invité du nouvel épisode que nous diffusons dès aujourd'hui, ne sommes-nous pas au cœur de la mission de Zeteo ? Une mission pour partager l'émerveillement de la beauté de la Création. Nous croyons profondément que c'est en partageant l'émerveillement que nous pouvons apporter de l'amour, de la paix et de l'espérance.  Cet émerveillement, c'est probablement le dénominateur le plus commun qui relie nos invités. Il nous habite profondément et de plus en plus, au fil des émissions, des découvertes qui se transforment parfois en explorations inattendues, comme aujourd'hui. Au fil des messages formidables que nous recevons d'auditeurs, qui nous livrent parfois des confidences bouleversantes. Cette semaine, nous pensons particulièrement à Dominique et Marlène. Nous avons tous besoin d'avoir dans nos cœurs des pépites d'émerveillement. Nous espérons que Zeteo pourra continuer aussi longtemps que possible pour contribuer à cet embrasement dans nos cœurs. Aujourd'hui, pour continuer sa mission, Zeteo a besoin de dons. Comme toujours, comme chaque semaine, parce que nos coûts sont réels, ce pourquoi nous renevelons notre appel chaque semaine. Zeteo cherche également son comptable, comme cela est précisé dans l'annonce disponible en cliquant ici. Un besoin aussi évident que nécessaire, pour des compétences professionnelles qui représentent également un coût. Nous offrons nos besoins à cette magnifique communauté qui nous relie tous. Là où nous accueillons aussi, en communion de prière, les besoins et les demandes de chacun d'entre vous. Fraternellement, Guillaume Devoud  Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ).   Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Bethesda, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Telio, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr

A l'occasion de la Journée mondiale de l'Ours polaire, le 21 février, BSG rediffuse 3 épisodes spéciaux sur cet animal.L'Ours blanc (Ursus maritimus) est, avec l'ours kodiak, l'un des plus grands carnivores terrestres.L'Ours blanc possède une épaisse couche de graisse ainsi qu'une fourrure qui l'isolent du froid. La couleur blanche de son pelage lui assure un camouflage idéal sur la banquise et sa peau noire lui permet de mieux conserver sa chaleur corporelle.Ses poils sont non pigmentés, donc incolores, translucides et creux. Ce sont les jeux de lumières qui qui les fait apparaître blancs, tout comme la neige.L'Ours blanc est parfois considéré comme un mammifère marin semi-aquatique, dont la survie dépend essentiellement de la banquise et de la productivité marine. Il chasse aussi bien sur terre que dans l'eau.Deux espèces de phoques constituent l'essentiel de son régime :Le Phoque annelé (Phoca hispida), un petit pinnipède de 60 kg, est l'espèce la plus nombreuse en Arctique et du coup sa proie principale.Le Phoque barbu (Erignathus barbatus), peut lui dépasser les 400 kg. Lui c'est le jackpot pour l'Ours !Cette espèce vit uniquement sur la banquise autour du pôle Nord, au bord de l'océan Arctique. L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) estime la population d'ours blancs à environ 26 000 individus. Elle considère l'espèce comme vulnérable (VU), principalement en raison du réchauffement climatique et du bouleversement de son habitat qui en résulte. L'Ours blanc souffre aussi de la chasse et de la pollution, ce qu'on dit moins.Animal charismatique, l'Ours blanc est une superstar mondiale, et pas seulement chez les Inuits qui le chasse encore. Le petit Knut du zoo de Berlin a ému le monde entier avec ses malheurs et la sculpture d'ours blanc réalisée par François Pompon est indissociable de Dijon.Le parc national Wapusk au Manitoba, au Canada, est connu pour être la capitale mondiale des ours polaires. La ville de Churchill est l'un des meilleurs endroits pour observer ces ours, dès leur arrivée en automne, alors qu'ils attendent que la baie d'Hudson gèle, afin de pouvoir y chasser le phoque._______

Au centre des convoitises politiques et économiques, le Groenland ne se résume pas à de la glace et du minerai. Il est aussi un centre culturel pour les Inuits et leurs aspirations à lʹindépendance. Petit voyage du côté de Nuuk en langue kalaallisut avec Thierry Sartoretti.

Tout un Art ! est une série inédite à l'occasion de la Journée mondiale de la Baleine, le 19 février.Crainte par l'Occident qui l'a longtemps perçue comme un monstre, la baleine est vénérée dans d'autres cultures, chez les Maoris de Nouvelle-Zélande mais aussi chez les Inuits.Les Inuits vivent au Groenland, au nord du Canada et sur la côte nord-est de la Sibérie. Ils vénèrent la baleine; Dans leurs légendes, elle serait née des avant-bras de Sedna, la déesse de la mer. Chez les Inuits, on a plutôt intérêt à respecter Sedna ! A la moindre incartade, elle vous prive de toute nourriture en éloignant du rivage les créatures marines ! Et ensuite un seul moyen pour amadouer la déesse : le chaman doit descendre au fond de l'océan et … brosser les cheveux de Sedna dans lesquels se sont emmêlées des algues.Les Inuits sont un des rares peuples, avec les habitants des îles Féroé situées dans l'Océan Atlantique, au large de l'Europe du Nord, à encore chasser la baleine, au nom de leurs traditions culturelles. D'autres pays chassent encore la baleine pour les exploiter : le Japon, l'Islande, la Norvège. Mais la viande de baleine est de moins en moins au goût des consommateurs de tous les pays. Bientôt cette chasse s'arrêtera, faute d'être rentable au final.Les Inuits chassent la baleine pour se nourrir mais utilisent aussi ses os pour les sculpter et fabriquer des objets d'art. Saviez-vous d'ailleurs que le mot art n'existe pas en inuktitut, la langue des Inuits ? Et oui, quand on est un peuple semi-nomade, on ne s'embarrasse pas de poids mort décoratif.L'art inuit consiste donc d'abord à embellir les objets du quotidien : vêtements, outils… Ce n'est qu'au 17e siècle, quand les Inuits commencent à croiser des Occidentaux, que va se développer un art inuit à visée essentiellement commerciale.Aujourd'hui, l'art inuit tend à disparaître progressivement. Les jeunes Inuits ont d'autres morses à fouetter.______  La série "Tout un Art !" 12x10') raconte le Vivant dans la (pop) culture, l'Art et l'Histoire, au-delà des aspects biologiques et comportementaux. Et aussi de connecter deux mondes qui se nourrissent l'un l'autre.Il est temps que chacun.e se cultive, soigne et réenchante son lien avec nos colocataires non-humains et ressente le besoin de faire ce qu'il peut, ce qu'il doit.Après tout, chaque espèce n'est-elle pas aussi précieuse qu'une cathédrale Notre Dame, qu'une Joconde ? _______Sylvia Roustant est professeure, agrégée de lettres et créatrice du site Le secret derrière le tableau.Marc Mortelmans est créateur de podcasts, conférencier et auteur d'En finir avec les idées fausses sur le monde Vivant (Éditions de l'atelier 2024) et de Nomen, l'origine des noms des espèces (Ulmer 2024).contact@baleinesousgravillon.com.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tout un Art ! est une série inédite à l'occasion de la Journée mondiale de la Baleine, le 19 février.À l'instar des Maoris (épisode 8/12) et des Inuits (épisode 9/12), d'autres peuples ont des relations privilégiées avec les baleines.Au Vietnam, vous pouvez devenir le fils d'une baleine ! En effet, celui qui trouve une baleine échouée sur le rivage, surnommé “l'inventeur” de cette baleine, est considéré comme son fils et porte le deuil de l'animal lors de cérémonies destinées à honorer son esprit.Si les Vietnamiens vouent un culte  à la baleine, c'est qu'ils la considèrent comme un animal protecteur : elle s'appuie sur les bateaux dans la tempête pour les empêcher de chavirer. On est loin de la lutte acharnée entre l'homme et le cétacé comme dans Moby Dick  (cf épisode 6/12) !Les baleines sont aussi pour les Vietnamiens des animaux … psychopompes. En grec, psycho,  c'est “l'âme” et pompe, c'est “le guide”. La baleine, c'est donc le Charon de l'océan, un passeur qui guide les hommes jusqu'au monde des morts. L'eau, dans l'Antiquité avec le Styx, mais aussi dans l'imaginaire du Moyen-Âge, est souvent considérée comme la frontière entre le royaume des vivants et celui des morts.Il existe d'autres animaux psychopompes sur Terre, comme le vautour dans l'Himalaya … Certains peuples leur confient leurs morts sur des rochers plats.Ce lien privilégié entre l'homme et la créature marine, dans notre culture occidentale, existe plutôt avec le dauphin qu'avec la baleine. Certains dauphins “ambassadeurs” quittent ainsi leur groupe pour communiquer et jouer avec les hommes.______  La série "Tout un Art !" 12x10') raconte le Vivant dans la (pop) culture, l'Art et l'Histoire, au-delà des aspects biologiques et comportementaux. Et aussi de connecter deux mondes qui se nourrissent l'un l'autre. Oscar Wilde ne disait-il pas que "la nature imite l'art" ?Il est temps que chacun.e se cultive, soigne et réenchante son lien avec nos colocataires non-humains et ressente le besoin de faire ce qu'il peut, ce qu'il doit.Après tout, chaque espèce n'est-elle pas aussi précieuse qu'une cathédrale Notre Dame, qu'une Joconde ? _______Cette émission a été conçue et préparée par deux grands curieux. Sylvia Roustant est professeure, agrégée de lettres et créatrice du site Le secret derrière le tableau.Marc Mortelmans est créateur de podcasts, conférencier et auteur d'En finir avec les idées fausses sur le monde Vivant (Éditions de l'atelier 2024) et de Nomen, l'origine des noms des espèces (Ulmer 2024). contact@baleinesousgravillon.com.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le nouveau président américain voudrait prendre le contrôle du Groenland, qui appartient au Danemark. Sur cet immense territoire d'un peu moins de 57 000 habitants à peine, ses propos ne sont pas accueillis avec enthousiasme... Un reportage sur place d'Ottilia Ferey. Merci pour votre écoute Transversales, c'est également en direct tous les samedis de 12h à 13h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Transversales sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/492 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrLes couleurs de l'info : https://audmns.com/MYzowgwMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqx L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Nous débarquons chez les Inuits avec l'aventurier Gilles Denis, parti pour un triathlon de cinq mois au Groenland et Pia Bailleul, anthropologue à Sciences Po passionnée par la vie sur la plus grande île du monde Spécialiste en climatologie, Gilles Denis est physicien de formation. Sur les traces d'Adrien de Gerlache, Alain Hubert et Dixie Dansercoer, ce jeune entrepreneur est devenu un aventurier professionnel. Parti arpenter le Groenland avec son compère Nathan Goffart, il a réalisé Nanok, un documentaire retraçant leur expédition. Afin de contribuer à la recherche scientifique, ils ont récolté une série d'échantillons pendant leur périple. Pia Bailleul a passé plusieurs mois à étudier sur les enjeux politiques et sociaux des ressources et des activités minières au Groenland. Passionnée par la vie sur place, elle nous livre son ressenti sur ce territoire très convoité, aujourd'hui sous les feux de l'actualité géopolitique. Amandine Pekel, conseillère économique et commerciale à l'AWEX est allée en mission au Groenland, elle nous présente les projets développés sur place, par des entreprises wallonnes, dans le domaine éolien, optique et gestion des déchets. Chaque dimanche, élargissez vos horizons avec Adrien Joveneau et ses Belges du bout du monde à 9 heures sur La Première et à volonté parmi les centaines d'épisodes disponibles sur Auvio.be Groenland - 02/02/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

L'émission 28 minutes du 08/01/2025 Nicolas Dubreuil, l'explorateur tombé amoureux du pôle Nord et des Inuits Nicolas Dubreuil consacre sa vie aux expéditions polaires depuis 35 ans. Il vit dans une maison à Kullorsuaq, un petit village au nord-ouest du Groenland, l'un des plus isolés du territoire. Dans cette région, les populations sont très respectueuses des animaux et suivent un ensemble de rituels lorsqu'elles chassent. “Quand on part à la chasse là-bas, on ne dit pas qu'on part à la chasse car c'est manquer de respect à l'animal car c'est se placer comme être supérieur à lui en le tuant”, explique le spécialiste des milieux polaires. Le narval, un mammifère marin, est central dans la cosmogonie inuite car il incarne un lien entre le monde spirituel et le monde humain. Sa chasse “incarne un savoir ancestral, une manière de vivre en harmonie avec la nature tout en répondant aux besoins vitaux de la communauté”, affirme l'explorateur Nicolas Dubreuil. En février, il repart en expédition au Groenland, sur des terres qui n'apparaissent pas sur les cartes du monde, pour montrer le recul des glaciers. Faut-il faire confiance au nouveau pouvoir en Syrie ? La France et l'Allemagne ont ouvert de nouvelles relations diplomatiques avec la Syrie vendredi 3 janvier. Elles étaient rompues depuis 13 ans à cause de la guerre civile syrienne. Les ministres des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot et Annalena Baerbock ont ainsi rencontré Ahmed al-Charaa, chef du groupe islamiste HTC et connu sous son ancien nom de guerre Abou Mohammed al-Joulani. À la suite de leurs échanges, Paris et Berlin ont affirmé qu'elles jugeraient le nouveau pouvoir en place “sur les actes”. Depuis leur prise de la Syrie, les “rebelles” syriens multiplient les signes d'ouverture et promettent de respecter les minorités ainsi que la liberté de la presse et d'expression. Les Occidentaux doivent-ils y croire ? Vendredi dernier, devant les caméras, Ahmed al-Charaa a refusé de serrer la main de la ministre allemande (contrairement à son homologue français), provoquant de vives réactions en Allemagne. Dans le même temps, le profil du nouveau ministre de la Justice suscite des inquiétudes : des vidéos sur internet le montrent assistant à la mise à mort de femmes pour “corruption et prostitution” alors qu'il était encore juge dans les années 2010. On en débat avec Pierre Haski, journaliste et chroniqueur géopolitique à “France Inter” et au “Nouvel Obs”, Myriam Benraad, politologue, spécialiste du Moyen-Orient et Maya Khadra, enseignante et journaliste franco-libanaise.Enfin, Xavier Mauduit revient sur l'histoire du mobilier royal alors qu'une table datant du 19e siècle a été vendue à Emmaüs pour la modique somme de 30 euros. Marie Bonnisseau nous explique la décision prise hier par Mark Zuckerberg, fondateur de Meta, de mettre fin au fact-checking sur Facebook et Instagram à quelques jours de l'investiture de Donald Trump.   28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio.  Enregistrement : 8 janvier 2025 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio

Balaguer se suma aquest divendres i dissabte al Gran Recapte que es fa a tot el país per recollir aliments per a les persones més necessitades. Una seixantena voluntaris són els encarregats d’informar la ciutadania i recollir els aliments ens els diferents supermercats participants Per promoure l’aplicació eAgora a Balaguer, la Paeria durà a terme un sorteig entre els primers ciutadans que es descarreguin l’app. eAgora és una aplicació mòbil gratuïta que funciona com a punt de trobada digital, dissenyada per dinamitzar la vida al municipi, fomentar la participació ciutadana i mantenir als veïns i veïnes informats sobre tot el que succeeix al seu voltant Servei d’autobús substitutori entre Balaguer i Lleida els dies 30 de novembre i 1 de desembre en motiu de les obres de construcció del nou pas inferior al baixador de Térmens. Entre les estacions de Balaguer i La Pobla de Segur el servei de trens serà l’habitual La CHE confia que la crescuda controlada de l’Ebre superarà la mobilització de 18.000 tones de sediments del gener. El desembassament es fa per primera vegada en dos dies i vinculat a la soltada dels pantans de Camarasa i el Grau Un projecte sobre càncer de pulmó a Lleida detecta 14 tumors, el 90% dels quals curables gràcies al diagnòstic precoç. Els professionals reclamen més implicació per part de les administracions per fomentar programes preventius de detecció Sanitat regula les bosses de nicotina amb una dosis màxima de 0,99 mg i les cigarretes electròniques. El Ministeri publica el projecte de decret que actualitza la normativa sobre tabac, que també restringeix les aromes El pavelló Molí de l’Esquerrà de Balaguer serà l’escenari, aquest diumenge 24 de novembre, del gran dinar solidari per recaptar fons destinats a les persones afectades per la Dana a València L’acte, organitzat amb una implicació sense precedents, comptarà amb la participació de cinc restauradors locals: Cal Xirricló, Manicomi, Nova Font Blanca i Tastet del Reng, a més de la Pastisseria Graells, que serà l’encarregada de les postres, oferint un tancament dolç a aquest menú gastronòmic de cinc plats Agenda Balaguer La Fundació Margarida de Montferrato inicia una nova jornada sobre la figura de Gaspar de Portolà en el marc de Llavors de pensament i del cicle Les Aspres. Aquet dissabte a l’espai de la fundació farà un taller impartit per Koala Art For Kids i la xerrada “Com construïm la història. Gaspar de Portolà i la ferida colonial”, a càrrec de la historiadora i museòloga Carme Alòs La Sala Mercantil presenta diumenge, l’obra de teatre ‘Exquisit’ a càrrec de la companyia Els Marquesets Agenda Comarca La vila de Ponts viurà aquest divendres l’estrena de la Suite del Mil•lenari de Sant Pere de Ponts, coincidint amb la festa de Santa Cecília Artesa de Segre es convertirà dissabte en el punt de trobada per als amants de la sardana amb la celebració del 3r Aplec de la Sardana, una edició especialment destacada, ja que coincideix amb el 25è aniversari dels Amics de la Sardana d’Artesa de Segre El Parc Astronòmic del Montsec acull dissabte l’última cita del cicle “Música sota les Estrelles” amb un concert especial del grup Inuits El diumenge a les 12h tindrà lloc una visita guiada a l’Espai Transmissor de Seró, amb una sortida especial als gravats de Mas de N’Olives Esports Balaguer celebrarà la 12a edició de la Cursa de la Dona el diumenge dia 24 de novembre. La cursa està organitzada per la Paeria i el Consell Comarcal, i és una de les activitats principals del 25N Descarregar àudio (42:41 min / 20 MB)

"Nanouk, l'esquimau" est le film fétiche du réalisateur Robert Flaherty dont les héros, Nanouk, sa femme Nylla et leurs deux enfants, nous emmènent dans les paysages arctiques canadiens et dans l'épreuve quotidienne de leur vie. Glaciers, banquise, igloos, kayaks et chiens de traineaux, c'est une carte postale coloniale, mais pas si parfaite que ça. Les personnages sont sympathiques, la tragédie inexistante, c'est beau mais tout est faux, c'est du cinéma, reste à savoir qui, de Flaherty ou des Inuits, mène vraiment le récit. Avec : Stéphane Pichelin, spécialiste de l'œuvre du réalisateur de Nanouk, Robert Flaherty.

Après l'histoire coloniale de l'Arctique, l'implantation et des ambitions des grandes puissances, nous changeons de point de vue pour comprendre le regard des peuples de l'Arctique - et des Inuits en particulier - sur leur propre propre histoire et cette rencontre de l'étranger. Avec : Yvon Csonka, ethnologue, qui a enseigné pendant 10 ans à l'université de Nuuk au Groenland.

Immersion sonore : ImportanteCivilisations anciennesProduction : Aurélien Hérault, Damien Maric, Chloé LuizardChargée de production : Agathe LedeinAuteur : Juliette CazesComédien(ne)s : Géraldine Asselin - Soleïma Arabi - Jean-Baptiste Anoumon - Mohad SanouStudio : Load StudioHabillage Sonore : Illustrason Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Episode: 1241 The search for Franklin and the search for the Northwest Passage.  Today, we go looking for a lost explorer.

La Paeria de Balaguer ja ha fet entrega de la memòria tècnica de l’obra de millora de la plaça de Sant Salvador i de la plaça del Jutge. La documentació es va entregar el passat 30 de juliol, la data límit si no es volia perdre la subvenció del PUOSC lligada a aquest projecte i que ascendeix a uns 250.000 euros Els autoconsums col•lectius de la xarxa d’Endesa a Lleida pugen un 63% fins al juny. Durant el primer semestre s’han superat les 8.603 connexions, un 15% més que en l’acumulat fins a desembre de 2023 La compravenda d’habitatge cau un 10,8% al juny a Catalunya, fins a les 7.378 operacions. Les transaccions baixen respecte el mateix període del 2023 per segon mes consecutiu. A les comarques de Lleida, el retrocés va ser del 6,5% Els Mossos detenen dos homes per estafa i per ocupar una casa a Balaguer de forma il•legal. Segons recull el Diari La Manyana una família va pagar-los-hi 1.000 euros per viure-hi un any, sense saber que el domicili pertanyia a un matrimoni de la ciutat Balaguer celebra la festa de Sant Savaldor amb una missa i un tast de coca i moscatell a la mateixa plaça, una activitat organitzada per Ass. Veïns Centre Històric Urban Flowers són les protagonistes del Música & Tapes d’aquest dimarts a Balaguer, com sempre a les nou del vespre a la plaça del Mercadal El recent guanyador d’Eufòria, Lluís Sánchez, exhaureix en poques hores les entrades del seu concert al Parc Astronòmic del Montsec L’espectacle “A sky full of stars“ tindrà lloc el proper divendres 30 d’agost i forma part de ‘Música sota les estrelles’, cicle que també compta amb la presència d’altres artistes com Pep Sala, Bru o INUITS, entre d’altresDescarregar àudio (17:51 min / 8 MB)

Ces deux aventuriers iraniens ont entrepris dans les années 50-60, un improbable tour du monde, à moto d'abord à travers l'Asie, l'Océanie ou l'Amérique, puis en 2 CV sur le continent africain. Le récit de leurs dix ans de voyage, encore largement méconnu dans l'espace francophone, est enfin adapté et traduit en français. Téhéran, été 1954Issa et Abdullah Omidvar enfourchent leur moto Matchless et tracent un chemin de liberté et de fraternité à nul autre pareil, qui les conduira sur les pistes africaines, les routes sablonneuses de l'Australie ou les voies sinueuses du Tibet. Depuis trois ans, les deux frères préparent ce grand voyage, avec en tête l'idée de rencontrer, filmer et « étudier » les peuples les plus isolés de la planète. Dix ans plus tard, ils auront traversé près de 100 pays, vécu des mois auprès des Aborigènes, des Inuits du Grand Nord, des Pygmées ou d'ethnies reculées d'Amazonie, récoltant au passage de précieux témoignages (écrits, objets, photos et films) d'un monde particulièrement riche, parfois sans frontières, mais déjà secoué par un ordre mondialisé qui a la ferme intention de s'imposer partout. À leur retour en Iran, ils seront accueillis en héros. Leur voyage inédit est un exploit. Téhéran, années 2000 Jean-Louis Ozsvath, un français passionné de voyages, découvre comme beaucoup, l'existence de ces deux Iraniens pionniers de l'exploration, à travers le musée qui leur est consacré à Téhéran, dans le palais de Saadabad, présenté comme le « premier musée d'ethnologie d'Iran ». Il découvre aussi le récit publié en anglais de ce tour du monde, écrit par Abdullah et Issa. Mieux, Jean-Louis Ozsvath apprend que les deux frères sont encore en vie et continuent de partager leurs souvenirs depuis l'Iran où vit Issa, et le Chili où s'est installé pour sa part Abdullah (jusqu'à sa mort récente à l'été 2022). Il entreprend alors de les rencontrer de Santiago à Téhéran, et d'adapter en français leur récit de voyage, encore totalement méconnu dans le monde francophone. Pendant leurs dix années passées sur les routes, les frères Omidvar n'ont pas fait que partager le quotidien des peuples qu'ils ont rencontrés. Ils les ont filmés, suivis longuement, cherchant à les comprendre, les connaître sans les préjugés coloniaux qui guidaient alors encore beaucoup d'Européens. Ils étaient Iraniens, leur rapport était différent, le regard neuf souvent, naïf parfois. Mais ce qui frappe en lisant leur récit publié aux éditions Névicata/Elytis, c'est à quel point les deux ethnographes et documentaristes iraniens nous alertent, à leur manière, sur la direction que prend le cours de l'histoire et du monde, dénonçant la surpopulation, la surexploitation des ressources naturelles et la disparition en marche de la richesse et de la diversité culturelle qu'incarnent les peuples premiers. Deux aventuriers pas banals qu'il faut donc suivre et à qui il faut aussi, enfin, rendre hommage. Une rencontre initialement diffusée en septembre 2022.À lire, à voir et écouter  Le voyage des frères Omidvar : deux aventuriers iraniens à travers le monde d'Issa Omidvar, par Jean Louis Ozsvath. Éditions Nevicata Elytis Un article sur le musée des frères Omidvar et ce que cela dit de notre rapport au voyage, par l'autrice Lucie Azéma dans le Courrier International Quelques extraits en ligne des films des frères Omidvar, sous-titrés en anglais La musique enregistrée par frères Omidvar pendant leur tour du monde : Rahavard (2002). Disponible en ligne sur les plateformes audio. 

Invité : Yvon Csonka. Dans lʹArctique, le peuple Inuit est aujourdʹhui majoritairement chrétien. Pourtant, de nombreuses croyances et pratiques ancestrales sont encore vivaces. Quelle est aujourdʹhui la particularité du syncrétisme chrétien des Inuits? Lʹethnologue suisse des peuples arctiques, Yvon Csonka, en parle au micro de Jessica Da Silva. Photo : Yvon Csonka, ethnologue des peuples arctiques (Jessica Da Silva, RTSreligion)

Ces deux aventuriers iraniens ont entrepris dans les années 50-60, un improbable tour du monde, à moto d'abord à travers l'Asie, l'Océanie ou l'Amérique, puis en 2 CV sur le continent africain. Le récit de leurs dix ans de voyage, encore largement méconnu dans l'espace francophone, est enfin adapté et traduit en français. Téhéran, été 1954Issa et Abdullah Omidvar enfourchent leur moto Matchless et tracent un chemin de liberté et de fraternité à nul autre pareil, qui les conduira sur les pistes africaines, les routes sablonneuses de l'Australie ou les voies sinueuses du Tibet. Depuis trois ans, les deux frères préparent ce grand voyage, avec en tête l'idée de rencontrer, filmer et « étudier » les peuples les plus isolés de la planète. Dix ans plus tard, ils auront traversé près de 100 pays, vécu des mois auprès des Aborigènes, des Inuits du Grand Nord, des Pygmées ou d'ethnies reculées d'Amazonie, récoltant au passage de précieux témoignages (écrits, objets, photos et films) d'un monde particulièrement riche, parfois sans frontières, mais déjà secoué par un ordre mondialisé qui a la ferme intention de s'imposer partout. À leur retour en Iran, ils seront accueillis en héros. Leur voyage inédit est un exploit. Téhéran, années 2000 Jean-Louis Ozsvath, un français passionné de voyages, découvre comme beaucoup, l'existence de ces deux Iraniens pionniers de l'exploration, à travers le musée qui leur est consacré à Téhéran, dans le palais de Saadabad, présenté comme le « premier musée d'ethnologie d'Iran ». Il découvre aussi le récit publié en anglais de ce tour du monde, écrit par Abdullah et Issa. Mieux, Jean-Louis Ozsvath apprend que les deux frères sont encore en vie et continuent de partager leurs souvenirs depuis l'Iran où vit Issa, et le Chili où s'est installé pour sa part Abdullah (jusqu'à sa mort récente à l'été 2022). Il entreprend alors de les rencontrer de Santiago à Téhéran, et d'adapter en français leur récit de voyage, encore totalement méconnu dans le monde francophone. Pendant leurs dix années passées sur les routes, les frères Omidvar n'ont pas fait que partager le quotidien des peuples qu'ils ont rencontrés. Ils les ont filmés, suivis longuement, cherchant à les comprendre, les connaître sans les préjugés coloniaux qui guidaient alors encore beaucoup d'Européens. Ils étaient Iraniens, leur rapport était différent, le regard neuf souvent, naïf parfois. Mais ce qui frappe en lisant leur récit publié aux éditions Névicata/Elytis, c'est à quel point les deux ethnographes et documentaristes iraniens nous alertent, à leur manière, sur la direction que prend le cours de l'histoire et du monde, dénonçant la surpopulation, la surexploitation des ressources naturelles et la disparition en marche de la richesse et de la diversité culturelle qu'incarnent les peuples premiers. Deux aventuriers pas banals qu'il faut donc suivre et à qui il faut aussi, enfin, rendre hommage. Une rencontre initialement diffusée en septembre 2022.À lire, à voir et écouter  Le voyage des frères Omidvar : deux aventuriers iraniens à travers le monde d'Issa Omidvar, par Jean Louis Ozsvath. Éditions Nevicata Elytis Un article sur le musée des frères Omidvar et ce que cela dit de notre rapport au voyage, par l'autrice Lucie Azéma dans le Courrier International Quelques extraits en ligne des films des frères Omidvar, sous-titrés en anglais La musique enregistrée par frères Omidvar pendant leur tour du monde : Rahavard (2002). Disponible en ligne sur les plateformes audio. 

Né en Norvège, vers 940, puis chassé d'Islande, où il s'était installé, le chef de guerre Erik le Rouge cherche un autre lieu où s'installer. En 986, il aborde aux rivages d'un pays qu'il nomme "Groenland", ce qui signifie "terre verte" dans le vieux norrois que parlaient alors certains peuples scandinaves.Mais il n'est pas venu seul. Il a entraîné avec lui de nombreux Vikings, ces valeureux guerriers originaires de Scandinavie. Il fonde dans ce nouveau territoire la première colonie européenne.Ses 2 000 habitants abattent les arbres et vivent des troupeaux qu'ils font paître sur de plantureux pâturages.Les Vikings restent au Groenland entre 985 et 1450 environ. Puis ils quittent subitement l'île. Cette disparition soudaine est restée en grande partie inexpliquée.On a longtemps cru que ce départ précipité était lié aux conséquences du "petit âge glaciaire", un épisode climatique qui s'abat sur l'Atlantique nord, au milieu du XIVe siècle, et qui se traduit notamment par une suite d'hivers très rigoureux.De telles conditions auraient rendu l'agriculture et l'élevage beaucoup plus difficiles au Groenland. Cependant, certains historiens ont souligné que d'autres habitants du Groenland, comme les Inuits, avaient survécu à cet abaissement des températures. Pourquoi les vikings, habitués de ces latitudes, ne l'auraient-ils pas supporté ?De toute façon l'argument de la dégradation du climat est aujourd'hui remis en question. Des recherches récentes au Groenland, menées par des climatologues, ont montré qu'il n'y faisait guère plus chaud avant l'arrivée du petit âge glaciaire.Il semble plutôt que des sécheresses répétées aient empêché de récolter assez de fourrage pour nourrir chèvres, moutons et vaches durant les longs hivers. Pour compenser en partie ces activités agricoles en déclin, les Vikings ont davantage chassé le phoque et le morse. À la fois pour se nourrir et vendre sur le continent fourrures et défenses en ivoire.Mais le climat a rendu la navigation plus difficile et les morses se sont raréfiés. C'est donc cet ensemble de facteurs qui auraient incité les Vikings à quitter le Groenland. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Known as the kind one by the Inuits, Matthew Henson not only accompanied Admiral Robert Peary, but was every bit as much of an explorer if not more! Was Matthew Henson the first man to set directly on the North Pole?  You better crank that AC ‘cause things are heating up at DraftKings Casino! The excitement is endless, the vibes are right, and the cash prizes could be HUGE! New players, start by playing just FIVE BUCKS to get FIFTY BUCKS in Casino Credits in your pocket INSTANTLY! All you gotta do is download the DraftKings Casino app and sign up with code DANK. striderwilson.com patreon.com/strideriwlson Sources: history.com ‘The Black Explorer Who May Have Reached the North Pole First' by James Edward Mills, americanpolar.org, biography.com, blackpast.org ‘MATTHEW HENSON (1866-1955)' by Matthew C. Whitaker 2007 Gambling problem? Call one eight hundred GAMBLER, or In West Virginia visit W W W dot one eight hundred gambler dot net. In Connecticut, help is available for problem gambling, call eight eight eight seven eight nine seven seven seven seven or visit C C P G dot org. Please play responsibly. Twenty one plus. Physically present in Connecticut, Michigan, New Jersey, Pennsylvania, West Virginia only. Void in Ontario. One per opted-in new customer. Five dollars in wagers required. Max. fifty dollars in non-withdrawable Casino Credits that expire in one hundred sixty eight hours. See casino dot draftkings dot com slash get fifty for eligibility, terms, and responsible gaming resources.

Os pólos do planeta, o Ártico (no SciCast 579) e o seu oceano congelado e a Antártida, um continente enterrado sob as geleiras, despertam o fascínio dos homens desde a antiguidade. Cientistas e aventureiros se arriscam em suas águas desde muito tempo. Trazemos aqui um breve recorte dessas aventuras na Antártida e sua disputada corrida até o pólo magnético do planeta. Para essa expedição, convidamos os intrépidos exploradores do GeoPizza, num crossover inédito com o Scicast. Venham conosco congelar até os ossos e aprender sobre os corajosos homens que entregaram suas vidas em nome da exploração e das descobertas nessas regiões inóspitas!       Patronato do SciCast: Patreon SciCast 2. Apoia.se/Scicast 3. Nos ajude via Pix também, chave: contato@scicast.com.br ou acesse o QRcode:   Sua pequena contribuição ajuda o Portal Deviante a continuar divulgando Ciência! Contatos: contato@scicast.com.br https://twitter.com/scicastpodcast https://www.facebook.com/scicastpodcast https://instagram.com/scicastpodcast Fale conosco! E não esqueça de deixar o seu comentário na postagem desse episódio! Expediente: Produção Geral: Tarik Fernandes e André Trapani Equipe de Gravação: Tarik Fernandes, Roberto Spinelli, Rodrigo Zottis, Alexander Desmouceaux, Anderson Couto Citação ABNT: Scicast #590: A História de Exploração da Antartida. Locução: Tarik Fernandes, Roberto Spinelli, Rodrigo Zottis, Alexander Desmouceaux, Anderson Couto. [S.l.] Portal Deviante, 24/05/2024. Podcast. Disponível em: https://www.deviante.com.br/podcasts/scicast-590 Arte: Getty Images Referências e Indicações   Sugestões de Música: Northwest Passage, música sobre a expedição de John Franklin na Passagem do Noroeste - https://www.youtube.com/watch?v=y4V72_QLrRg, uma música folk canadense de 1981, por Stan Rogers   Sugestões de filmes: Série “The Terror” - Amazon Prime (https://www.primevideo.com/detail/The-Terror/) - Durante a 1ª temporada, acompanhamos a tripulação da Marinha real britânica, encabeçada por Sir John Franklin, Francis Crozier e James Fitzjames. A missão é encontrar a lendária Passagem Noroeste do Ártico. Em vez disso, se depararam com um monstruoso predador parecido com um urso polar, um horror gótico astuto e cruel que persegue os navios em um jogo desesperado de sobrevivência. - Abertura da Série: https://www.youtube.com/watch?v=nlmeJyn0K-8    Sugestões de vídeos: Travessia do perigoso Estreito de Drake - Viagem à Antártica - EP05 Quem descobriu e de quem é a Antártida? | Nerdologia Ártico X Antártica: quais as semelhanças e diferenças? Antártica: O Continente dos Extremos   Sugestões de links: https://aeroin.net/por-que-os-voos-polares-sao-tao-importantes-para-aviacao/   Sugestões de games: Penumbra: Overture - 2007   Sugestões de Livro: “A Incrível Viagem de Shackleton” de Alfred Lansing   Nosso ouvinte do Geopizza, Luiz Felipe Gubert, mandou uma recomendação de LIVRO muito interessante: a obra COLAPSO, de Jared Diamond, que tem três capítulos que falam bastante sobre a Groelândia e comparam a experiência dos vikings com a dos Inuits, por que uns ficaram e outros não. *Aos que não sabem* (eu não sabia): Alguns indícios apontam que os vikings chegaram na Groenlândia antes dos Inuits!! E mesmo assim, não conseguiram se adaptar a esse ambiente, enquanto os inuits sim.See omnystudio.com/listener for privacy information.

L'ours blanc (Ursus maritimus) est, avec l'ours kodiak, l'un des plus grands carnivores terrestres. Parfaitement adapté à son habitat, l'ours blanc possède une épaisse couche de graisse ainsi qu'une fourrure qui l'isolent du froid. La couleur blanche de son pelage lui assure un camouflage idéal sur la banquise et sa peau noire lui permet de mieux conserver sa chaleur corporelle. Ses poils sont non pigmentés, donc incolores, translucides et creux. Ce sont les jeux de lumières qui qui les fait apparaître blancs, tout comme la neige. L'ours blanc est parfois considéré comme un mammifère marin semi-aquatique, dont la survie dépend essentiellement de la banquise et de la productivité marine. Il chasse aussi bien sur terre que dans l'eau. Deux espèces de phoques constituent l'essentiel de son régime : Le Phoque annelé (Phoca hispida), un petit pinnipède de 60 kg,est l'espèce la plus nombreuse en Arctique et du coup sa proie principale Le phoque barbu (Erignathus barbatus), peut lui dépasser les 400 kg. Lui c'est le jackpot pour l'ours ! Aucune de ces deux espèces de phoque ne se retrouve en l'absence de banquise, ce qui limite l'aire de chasse de l'ours blanc, mais l'ours blanc est malin et opportuniste. Il targette aussi le morse et le béluga, et ne dédaigne pas une bonne charogne de baleine … Cette espèce vit uniquement sur la banquise autour du pôle Nord, au bord de l'océan Arctique. L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) estime la population d'ours blancs à environ 26 000 individus. Elle considère l'espèce comme vulnérable (VU), principalement en raison du réchauffement climatique et du bouleversement de son habitat qui en résulte. L'ours blanc souffre aussi de la chasse et de la pollution, ce qu'on dit moins. Animal charismatique, l'ours blanc est une superstar mondiale, et pas seulement chez les Inuïts qui le chasse encore. Le petit Knut du zoo de Berlin a ému le monde entier avec ses malheurs et la sculpture d'ours blanc réalisée par François Pompon est indissociable de Dijon. Le parc national Wapusk au Manitoba, au Canada, est connu pour être la capitale mondiale des ours polaires. La ville de Churchill est l'un des meilleurs endroits pour observer ces ours, dès leur arrivée en automne, alors qu'ils attendent que la baie d'Hudson gèle, afin de pouvoir y chasser le phoque. ______ On aime ce qui nous a émerveillé … et on protège ce qu'on aime. ______ Découvrir tout l'univers Baleine sous Gravillon, et Mécaniques du Vivant sur France Culture : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 Soutenir notre travail, bénévole et sans pub : https://bit.ly/helloasso_donsUR_BSG http://bit.ly/Tipeee_BSG https://bit.ly/lien_magq_lilo_BSG Nous contacter pour une conférence, un partenariat ou d'autres prestations ou synergies : contact@baleinesousgravillon.com ________ Interview : Marc Mortelmans Rédaction en chef des articles du site https://baleinesousgravillon.com : Guillaume Lassalle et Bérénice Toutant Rédacteurs : Julien Brethiot, Chloé Routa, Héloïse Caraty, Thomas Prat, Aurore Fayard, Rémi Trivellato BSG dans les Festivals : François Léger BSG sur Instagram : Audrey Tindilière Graphisme / vidéos : Elouan Plessix Montage / notices / programmation : Zeynab Tamoukh, Albane Couterot, Laure Davoigneau, Dorian Roulet 

L'ethno-géologue français, écrivain, éditeur, explorateur et personnalité polaire majeure s'est éteint cette semaine à l'âge de 101 ans. Derrière lui, il laisse une œuvre, une empreinte immenses.  Son nom restera à jamais associé au grand désert blanc de l'Arctique, à ses peuples : les Inuits ainsi qu'à Thulé. Né dans l'entre-deux guerres, Jean Malaurie savait dans sa chair ce que « résister » et « oser » voulait dire ; lui, le jeune réfractaire au STO qui va fuir et lutter dans le Vercors durant la Seconde Guerre ; lui, le premier Européen à atteindre le Pôle géomagnétique Nord en 1951, qui va mener ensuite plus de 30 expéditions polaires, souvent en solitaire ; lui, le fondateur de la collection « Terre Humaine » qui deviendra une voix indispensable, puissante de l'Arctique… « Oser, Résister », c'était le nom du livre qu'il venait de publier quand en 2018, nous sommes allés le rencontrer chez lui, à Dieppe. Il avait alors 96 ans. Et cette semaine, on vous propose d'écouter, de réécouter cet échange où Jean Malaurie, colosse à la tête solide et le verbe haut, revient sur les grandes étapes de sa vie. Une vie de géant, pavée d'honneurs mais surtout de combats. Avec au centre : la défense des peuples autochtones et animistes du grand Nord.À lire :- « De la pierre à l'âme. Mémoires » Jean Malaurie. Éditions Plon. Collection Terre Humaine. 2022- « Oser, résister » Jean Malaurie. Éditions CNRS. 2018- « Ultima Thulé. De la découverte à l'invasion d'un lieu mythique ». Jean Malaurie. Éditions Chêne, 2016- « Les derniers Rois de Thulé. Avec les esquimaux polaires, face à leur destin », Jean Malaurie. Pocket. Terre Humaine Poche. 5ème édition. 2001.À voir :- La saga des Inuits, une série documentaire de Jean Malaurie. INA productions.

Géologue, ethnologue, grand défenseur de la nature, Jean Malaurie est mort à l'âge de 101 ans le 5 février 2024. "L'homme qui parle avec les pierres", ainsi le surnommés les Inuits dont il est l'un des grands spécialistes. Jean Malaurie est également à l'origine de la collection baptisée Terre humaine. Il est notamment connu pour être l'éditeur de Tristes Tropiques de Claude Lévi-Strauss traduit dans plus de 30 langues. Jean Malaurie témoignait de sa vie hors des sentiers battus au micro de Thierry Lyonnet dans l'émission Visages en 2016.

durée : 02:29:27 - Les Matins - par : Guillaume Erner - .

durée : 00:11:23 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Jeudi dernier, le Canada a signé un accord historique entérinant le transfert des compétences du gouvernement fédéral au territoire du Nunavut, un vaste territoire arctique… - invités : Irène Bellier Anthropologue, directrice de Recherches au CNRS - IIAC/LAIOS

Une séance pour dormmir d'un sommeil profond parmi les légendes inuits. Elle vous apprendra à vous sentir heureux en toute saison, même en hiver!En devenant membre (à partir de 1€99) vous avez TOUTES LES HYPNOSES SANS PUB et en TELECHARGEMENT ainsi que des séances exclusives ⇒ https://bit.ly/3M6FrAM

Comment passe-t-on de champion de ski à Prix Nobel de la Paix ? De héros polaire à créateur d'un statut pour les réfugiés ? C'est la question à laquelle s'efforce de répondre l'écrivain français Alexis Jenni, auteur d'une réjouissante biographie consacrée à l'explorateur norvégien passé diplomate. Héros dans son pays la Norvège, Fridtjof Nansen (1861-1930) occupe une place de choix dans le panthéon des grands explorateurs pionniers des Pôles. À son palmarès, on peut notamment citer sa traversée à ski de 1888, la première d'est en ouest du Groënland alors que son cœur, l'inlandsis est encore largement inexploré. Aussi et surtout, Nansen a été le chef d'expédition tenace et visionnaire à l'initiative de la folle odyssée de 3 ans du Fram, un navire enserré dans la glace et conçu spécialement à cet effet. Cette expédition va alors mettre à jour la dérive transpolaire et l'existence d'un fort courant marin sur l'océan Arctique. Après de tels exploits, le Norvégien épris d'aventures, de sciences et d'idéaux va ensuite mettre en place, au sortir de la Première Guerre Mondiale, le passeport Nansen : un document unique qui va représenter la première véritable mesure de protection des réfugiés dans l'histoire du droit international et sauver pour ainsi dire des milliers de vies.Dans les nombreux portraits sépia qui existent de Fridtjof Nansen, il apparaît toujours impeccable, le regard perçant, direct, jamais fuyant, laissant deviner une personnalité sûre d'elle, sérieuse, un brin austère peut-être. Dans ses écrits et journaux de bord, il exprime par contre une vraie sensibilité pour l'environnement arctique, ses lumières, la force de ses paysages comme pour les Inuits qui les peuplent. Toute sa vie, il va d'ailleurs louer le génie autochtone et s'inspirer pour ses expéditions de leurs techniques de vie en milieu polaire tout en condamnant les méfaits de la colonisation. Figure romanesque, romantique et engagée, l'explorateur est donc loin du monolithe héroïque qu'on a voulu forger à son sujet. Une dualité riche, complexe et une trajectoire de vie hors du commun qui mérite le voyage.  Une rencontre avec Alexis Jenni, auteur de « Le Passeport de Monsieur Nansen » initialement diffusée le 26 mars 2023. À lire :- « Le passeport de Monsieur Nansen », d'Alexis Jenni. Éditions Paulsen. 2022- « Vers le pôle », de Fridtjof Nansen. Une version richement illustrée du récit de l'odyssée du Fram, paru aux Éditions Paulsen. 2014- « J'aurais pu devenir millionnaire. J'ai choisi d'être vagabond », d'Alexis Jenni. Le récit de la vie du grand naturaliste américain John Muir est paru en poche aux Éditions Paulsen. 2022- « J'aurais pu devenir millionnaire. J'ai choisi d'être vagabond », de Clément Baloup. La vie et le parcours de John Muir adapté en BD et paru aux Éditions Paulsen. 2022. 

France 24 vous raconte l'histoire de celles et ceux qui sont en première ligne face au dérèglement climatique. Du Kenya au Panama, en passant par le Groenland et l'Australie, nos reporters James André et Achraf Abid sont allés à la rencontre des peuples autochtones qui vivent en harmonie avec la nature et voient leur quotidien bouleversé par le réchauffement climatique. Une série de quatre grands reportages. Deuxième épisode : la banquise.

Dans son nouveau livre « Qimmik », Michel Jean raconte l'histoire d'un magnifique territoire et des gens qui y habitent, une communauté tissée serrée qui essaie tant bien que mal de résister aux gouvernements qui tentent de la sédentariser. Entrevue avec Michel Jean, écrivain et journaliste d'origine innue.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

L'émission 28 Minutes du 09/10/2023 Mo Malø, l'homme qui a vu l'homme qui a chassé l'ours blanc "Mon envie de Groenland est peut-être née il y a un demi-siècle". L'écrivain Mo Malø — de son vrai nom Frédéric Ploton — reçoit à l'âge de cinq ans une figurine inuite en peau de phoque et se passionne pour ce territoire le moins densément peuplé de la planète. Un temps journaliste, il y situe plusieurs de ses polars, inspiré par ses voyages. "Au Groenland, en dehors de quelques grosses agglomérations, la vie quotidienne s'apparente plutôt à de la survie." C'est une des leçons qu'il retient de son immersion à Kullorsuaq en février 2023, un village de 450 habitants où les Inuits pratiquent la chasse traditionnelle, en particulier celle de l'ours blanc. L'animal, symbole des effets du dérèglement climatique, fait s'interroger Mo Malø dans son dernier ouvrage, "La mélancolie de l'ours polaire", sur le mode de vie ancestral des Inuits auquel on leur demande de renoncer. L'écrivain, aussi auteur d'une série de thrillers dont l'intrigue se déroule à Saint-Malo, en Bretagne, et d'ouvrages dédiés à la sexualité, est notre invité. Attaque du Hamas contre Israël : jusqu'où peut mener cette nouvelle guerre ? La guerre contre le Hamas sera "longue et difficile" : ces mots sont ceux du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu après l'offensive surprise de centaines de combattants islamistes, samedi matin, près de la bande de Gaza. L'attaque baptisée "Déluge d'Al-Aqsa", perpétrée cinquante ans après le déclenchement de la guerre du Kippour, a fait plus de 700 morts, 2 000 blessés et plus de 100 prisonniers militaires et civils côté Israéliens. Côté Palestiniens, les autorités font état de plus de 400 morts et 2 000 blessés après le lancement en représailles de l'opération "Sabre d'acier" par Israël. Cette nouvelle guerre — ainsi nommée par les deux parties — pose de nombreuses questions : comment l'un des services de renseignement les plus puissants au monde n'a pas pu voir venir cette attaque du Hamas ? Quel est le but de l'organisation islamiste palestinienne ? Que penser du rôle de la "communauté internationale" ? On en débat sur le plateau de 28 Minutes. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau !  28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 09 octobre 2023 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio

Dr Chris Smith tackles the impressive array of questions from listeners. What gives non Newtonian liquids their special properties? Could wearing socks in bed increase the risk of having a stroke? Do Inuits not experience dental decay? Why can't we remember when we fall asleep? And what makes certain foods traditional breakfast items? Like this podcast? Please help us by supporting the Naked Scientists

Dr Chris Smith tackles the impressive array of questions from listeners. What gives non Newtonian liquids their special properties? Could wearing socks in bed increase the risk of having a stroke? Do Inuits not experience dental decay? Why can't we remember when we fall asleep? And what makes certain foods traditional breakfast items? Like this podcast? Please help us by supporting the Naked Scientists

C'est un destin incroyable que celui de Julien Caquineau. Né en Vendée en 1973, il est devenu champion de base-jump, ce sport extrême que l'on pratique en montagne. Après un grave accident, il est parti se reconstruire... dans l'Arctique ! Il est le premier étranger à avoir obtenu un permis de chasse au Groenland. Julien Caquineau a été initié par les Inuits, il est devenu l'un d'entre eux. Il est aujourd'hui accompagnateur d'expéditions touristique ou scientifiques. Et, après de nombreuses années, il est de retour en France, à l'occasion de la publication du livre que lui consacre Hubert Prolongeau, "Le Dernier Chasseur" (éd. Albin Michel, 2023).

Chatting with avid researchers like Tracie Peterson always offers super-cool insights into things you never knew. Like her research for her upcoming release. She talked about the THOUSANDS of plant varieties displayed in the landscaping of the Alaska-Yukon-Pacific Exposition, and so it was no wonder that she included a botanist among the characters of Finding Us. Listen in to see what other cool things she learned writing the Pictures of the Heart Series. Note: links may be affiliate links that provide me with a small commission at no extra expense to you. I Love a Good Fair, but Finding Us Shares Something Unprecedented! From roller coasters to children's days to Inuits sweltering in their furs during a heatwave, the Seattle Exposition had it all. And Tracie Peterson's "Camera Girls" are capturing it one photograph at a time.  See how she uses these girls, their Brownie cameras, and the exposition to tell gripping stories you won't want to miss. And covers. #BecauseGorgeousCovers! In addition to that, we chatted about faith, about research, and... the latest books she's read. Reminder: 26 Below by Kimberley Woodhouse and Rembrandt is in the Wind. Finding Us by Tracie Peterson One candid photograph will change the lives of four people forever. While taking photographs at an exposition in Seattle in 1909, Camera Girl Eleanor Bennett snaps an image of a woman in widow's clothes with deep sorrow etched in her expression and a young infant in her arms. Eleanor longs to study botany at the University of Washington and soon becomes fast friends with botanist Bill Reed, but she can't stop thinking about the widow in the photograph. She is stunned to learn Bill recognizes the woman as the sister-in-law he believed lost in a shipwreck. As Eleanor and Bill hunt for Amelia Reed to reunite her with her grief-stricken husband, they must stand together to face the danger that follows and learn to trust that God will direct their paths. Don't forget that you can get Finding Us (40% off) and Remember Me (30% off) from BakerBookHouse.com She's also on BookBub and GoodReads. Find Tracie Peterson on her WEBSITE. Like to listen on the go? You can find Because Fiction Podcast at: Apple  Castbox  Google Play Libsyn  RSS Spotify Stitcher Amazon and more!

This is the best episode of The Worst Movie Ever Made, and it's brought to you by Aegis Essential Oils (TM). In this confused and baffling exploration of environmental awareness, we see Steven Seagal run funny, type funny, get thrown like a rag doll like a bear, and kill a shitload of innocent people in the process. What a hoot! It's Inuits, not eskimos! Wanton destruction of small business (again, again)! Tapping the tribal chief! Seagall's Sexcimo bear-battle spirit walk! Annihilating innocent oil workers! Helli-chopping henchmen! Blowing a big oil rig to escape an environmental emergency! Hard R-Get! Faulty morality arcs! Pipe cutting logic! Booby trap tree branches! Coke bottle ballistic boomers! Non-operational nozzles! Rockin' the Rudd, and much, much more on this week's episode of The Worst Movie Ever Made! www.theworstmovieevermade.com

Chapitre 6 : La transition sociale et juridique.Passons maintenant aux différentes polémiques qui agitent tant les médias et les milieux militants, en ce moment.Les mineur•es trans et non binaires d'aujourd'hui ne sont-iels pas victimes d'une épidémie, d'un effet de mode alimenté par les médias et les réseaux sociaux ? Voyons ce que les études scientifiques en disent… Mais avant d'aborder cela, et pour prendre un peu de recul sur ces sujets brûlants, un bref aperçu des variations historiques et culturelles de la notion de genre me semble important.•• SOUTENIR ••Méta de Choc est gratuit, indépendant et sans publicité. Vous pouvez vous aussi le soutenir en faisant un don ponctuel ou mensuel : https://soutenir.metadechoc.fr/.•• RESSOURCES ••Toutes les références en lien avec cette émission sont sur le site Méta de Choc : https://metadechoc.fr/podcast/la-transidentite-au-dela-des-apparences/•• SUIVRE ••Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn, PeerTube, YouTube.•• TIMECODES ••01:19 : Variations historiques et culturelles : livre de la Genèse, Code Justinien, Moyen-âge, soumission de la femme, répartition des rôle homme-femme, Code Napoléon, Sainte Hildegonde, l'acte pose le genre, psychiatrisation de l'homosexualité, Two spirits, nations amérindiennes, dimension spirituelle, Inuits, Indiens, Polynésiens, obligation de définition, qu'est-ce qu'un homme ?11:20 : La transition sociale : chercher son style, regard des autres, euphorie de Viciss, impact sur la sexualité, transphobie, prédateur sexuel, accès aux toilettes des femmes, cherry picking, homme incel, masculinisme, backlash.28:31 : Se genrer au féminin : changement de prénom, dead name, morinom, réaction des parents, circulaire Blanquer, changement de prénom à l'école, cis-hétéronormativité, l'importance de se questionner sur le genre.40:09 : L'hypothèse de la contagion sociale : ROGD, médiatisation de la transidentité, forum de parents de mineurs trans, étude de Littman, reproduction de l'étude.51:17 : La transition juridique : changement de prénom, démarche en mairie, changement de sexe à l'état civil, décision du tribunal, mégenrage, dossier médical, obligation de réassignation sexuelle, stérilisation des personnes trans. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le Groenland est au premier rang du réchauffement climatique. La banquise fond et révèle de nombreuses opportunités pour le tourisme, mais aussi pour l'exploitation du sous-sol. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Laura Berny s'interrogent sur la stratégie d'un territoire qui veut rester ancrer dans la nature. La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en avril 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitée : Laura Berny (rédactrice en chef aux « Echos Week-End »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : INA, TV5 Monde, AFP, « Mais t'es pas net Baptiste », TF1, « Chants et tambours Inuits de Thulé au Détroit de Bering » – Jean Malaurie, « Le bon, la brute et le truand », « Borgen, Une Femme Au Pouvoir » Saison 2 Bande-Annonce. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

In this episode of Another Great Day, hosts Aaron and Chris kick off the show by thanking their sponsor, water, the essence of life. They then dive into the BEST SEGMENT EVER, discussing the topic of the day: What's the BEST bug? Listeners are encouraged to share their own "BEST THING" topics on the show's Instagram page. Moving on to THIS DAY IN HISTORY, the hosts explore Robert Peary's almost reaching the North Pole in 1909, accompanied by his assistant and four Inuits. The Question of the Day follows, asking listeners what they would want to throw the most in a food fight. After a dad joke break, the hosts return for the Word of Wisdom segment, sharing a thought-provoking proverb from Proverbs 21:14 about gifts and bribes. They wrap up the show by reminding listeners of their mission to encourage interaction, creativity, and conversation, and encourage listeners to continue their discussions even after the show has ended. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/anothergreatday/message

Comment passe-t-on de champion de ski à Prix Nobel de la Paix ? De héros polaire à créateur d'un statut pour les réfugiés ? C'est la question à laquelle s'efforce de répondre l'écrivain français Alexis Jenni, auteur d'une réjouissante biographie consacrée à l'explorateur norvégien passé diplomate. Héros dans son pays la Norvège, Fridtjof Nansen (1861-1930) occupe une place de choix dans le panthéon des grands explorateurs pionniers des Pôles. À son palmarès, on peut notamment citer sa traversée à ski de 1888, la première d'est en ouest du Groënland alors que son cœur, l'inlandsis est encore largement inexploré. Aussi et surtout, Nansen a été le chef d'expédition tenace et visionnaire à l'initiative de la folle odyssée de 3 ans du Fram, un navire enserré dans la glace et conçu spécialement à cet effet. Cette expédition va alors mettre à jour la dérive transpolaire et l'existence d'un fort courant marin sur l'océan Arctique. Après de tels exploits, le Norvégien épris d'aventures, de sciences et d'idéaux va ensuite mettre en place, au sortir de la Première Guerre Mondiale, le passeport Nansen : un document unique qui va représenter la première véritable mesure de protection des réfugiés dans l'histoire du droit international et sauver pour ainsi dire des milliers de vies.Dans les nombreux portraits sépia qui existent de Fridtjof Nansen, il apparaît toujours impeccable, le regard perçant, direct, jamais fuyant, laissant deviner une personnalité sûre d'elle, sérieuse, un brin austère peut-être. Dans ses écrits et journaux de bord, il exprime par contre une vraie sensibilité pour l'environnement arctique, ses lumières, la force de ses paysages comme pour les Inuits qui les peuplent. Toute sa vie, il va d'ailleurs louer le génie autochtone et s'inspirer pour ses expéditions de leurs techniques de vie en milieu polaire tout en condamnant les méfaits de la colonisation. Figure romanesque, romantique et engagée, l'explorateur est donc loin du monolithe héroïque qu'on a voulu forger à son sujet. Une dualité riche, complexe et une trajectoire de vie hors du commun qui mérite le voyage.  Avec Alexis Jenni, auteur de « Le Passeport de Monsieur Nansen ». À lire :- « Le passeport de Monsieur Nansen », d'Alexis Jenni. Éditions Paulsen. 2022- « Vers le pôle », de Fridtjof Nansen. Une version richement illustrée du récit de l'odyssée du Fram, paru aux Éditions Paulsen. 2014- « J'aurais pu devenir millionnaire. J'ai choisi d'être vagabond », d'Alexis Jenni. Le récit de la vie du grand naturaliste américain John Muir est paru en poche aux Éditions Paulsen. 2022.- « J'aurais pu devenir millionnaire. J'ai choisi d'être vagabond », de Clément Baloup. La vie et le parcours de John Muir adapté en BD et paru aux Éditions Paulsen. 2022.   

We were inspired by The Guardian's article about using sugar kelp to combat climate change so we are rerunning an episode of Boxerblu and Bram that teaches us about The Johnny Appleseed of Sugar Kelp!https://www.theguardian.com/environment/2023/mar/01/specieswatch-sugar-kelp-north-sea-carbon-climate-crisisThis episode covers: Elvis weddings being banned in Las Vegas by the company that owns Elvis's likeness; how parents in Killingly, Connecticut don't want mental health care in their schools; Shuvinai Ashoona's Arctic Art; an experimental rectal cancer drug that showed a 100% success rate; and the Johnny Appleseed of Sugar Kelp farming

For Eugene Appleton, the summer of 1876 in Rattlesnake Junction, Colorado promises to be just as sleepy as the ones before, his only excitement provided by the pulse-pounding Dead-Eye Dan adventure novels he devours.But Eugene's life takes an unexpected turn with the arrival of Tumbleweed Thompson, a gangly, red-haired boy who spins yarns about whaling voyages in the Atlantic and hidden stashes of gunpowder.Drawn into Tumbleweed's orbit, Eugene soon finds himself chasing smugglers, firing rifles, and competing for the attention of the lovely Charlotte Scoggins. The pair's innocent mischief takes a serious turn when they stumble across a sinister plot hatched by the infamous Clean Shave Gang.Soon, Eugene and Tumbleweed are smack inside the middle of a twisty plot lifted from the pages of a Dead-Eye Dan book. They've learned a lot from each other's friendship. But will it be enough to thwart the Clean Shave Gang's plans?The debut novel from Glenn McCarty, The Misadventured Summer of Tumbleweed Thompson is a wild and woolly tale that's classic Americana for a new generation.Inspired by buddy adventure novels like Homer Price, The Great Brain, and The Adventures of Tom Sawyer, the story follows 12-year-old Eugene Appleton, whose summer in the frontier town of Rattlesnake Junction, Colorado promises to be just as sleepy as the ones before, with his only excitement provided by the pulse-pounding Dead-Eye Dan adventure novels he devours. But Eugene's life swerves into unexpected territory with the arrival of Tumbleweed Thompson, a gangly, red-haired drifter who spins yarns about whaling voyages in the Atlantic and ice fishing with the Inuits. It's a novel about friendship, adventure, belonging, and finding out there's a whole lot more out there than you first thought.Glenn McCarty was raised in the shadow of Walt Disney World, and has never really grown up. He lives with his wife and children in a small town in Western New York that's pretty much Mayberry. But without Don Knotts. Bummer. He also has a dog who likes to bark at visitors, then boldly run and hide from them. He is the author of Horace and Oscar Visit the Lake, a children's chapter book, and is possibly at this very moment eating a slice of pie. Or thinking about it.Glenn McCarty is the author of the children's middle grade novels The Misadventured Summer of Tumbleweed Thompson and Dead-Eye Dan and the Cimarron Kid, and companion short story collection Junction Tales. He has written about stories and parenting at Story Warren, and has shared the magic of stories with children and adults through speaking engagements, workshops, and hands-on writing classes. He lives with his wife, two boys, and a cowardly dog in a small town in Western New York that's pretty much Mayberry. He wishes he could play the banjo, and has a slight obsession with all things Pixar, but he's working through it.Learn more about the book at https://glennmccarty.comPlease share StoryJumpers with a friend if you enjoyed this episode. StoryJumpers is still growing, and your positive review and 5-star rating would help.The Bridge Podcast Network is made possible by generous support from The Boardwalk Plaza Hotel and Victoria's Restaurant on the boardwalk in Rehoboth Beach, Delaware - Open 7 days a week, year-round - Learn more at https://boardwalkplaza.comFeedback, or Show Ideas? Send an email to podcast@wearethebridge.orgDownload The Bridge Mobile App to get the latest podcast episodes as soon as they are published!

In Inuit mythology, the Qallupilluit is a creature that's said to kidnap children who misbehave or do not listen to their parents. This is meant to keep children away from the water and the edge of the ice where other natural predators exist in the sub zero regions of North America. If children are found alone at the edge of the ice, the Qallupilluit is said to stuff them into its amautik, which is the traditional parka worn by the Inuits, before drowning them in the water.The Qallupilluit, which is also known as the Qalupalik, is a frightening creature that inhabits the Arctic waters and is regarded as incredibly ugly and smells strongly of sulphur. What they do with the captured children is the subject of some debate, but no proposed scenario is good. At worst, they eat the children to remain immortal with their nourishing youth. At best, they put them under a sleeping spell and hide them in icy caves for eternity.Read more at https://mythlok.com/qallupilluit/

Ep. 154 Unexplained Mass Disappearances   Today we're talking about unsolved stuff…but in a different way. We're talking about unexplained mass disappearances. How can large numbers of people just disappear without a trace? Where'd they go? Why'd they go? Did somebody make them leave? Bigfoot again? Aliens? Supernatural? Chainsaw? We may never know….but that won't stop us from discussing, speculating, and inevitably making really bad jokes on today's episode. So all aboard bitches let's roll!   Let us begin back…back…waaaaay back in 1918. We're talking about the USS Cyclops. Aside from having a great name, it fits the bill on mass disappearances. USS Cyclops (AC-4) was the second of four Proteus-class colliers built for the United States Navy several years before World War I. A collier is a fancy name for a big ass coal cargo ship. The USS Langley, the first aircraft carrier in the US Navy, was a converted collier. This was actually the second ship to bear the name Cyclops. She had been swimming around hauling coal and helping refugees between the Baltic sea, the Bahamas, and Mexico since 1910. In 1917 she was covered to help haul troops and coal all over the world during WW1.  In March 1918, the ship was given a new cargo: tons and tons of dense manganese ore, used in steelmaking. She left Brazil loaded up with the brittle metal, then voyaged to Barbados to resupply for the long journey home to Baltimore. That's where things get interesting. On the journey home something went wrong and the ship was never heard from again. Not even an sos. The last known transmission from the Cyclops was "weather fair, all well" at the beginning of the trip home. When the ship did not reach Baltimore a massive search was undertaken. Every naval ship from Cuba to Puerto Rico was sent out to search for debris. At the time, given it was during the war, the general consensus was that she was sunk by the Germans. But during the search, ships could not find any debris field that would be evident if it was torpedoed. In fact no one found anything…anything at all. It seemed the ship just disappeared. 306 people were just… gone. It remains to this day, the single largest loss of life in the history of the United States Navy that did not directly involve combat! Wow that's pretty crazy. So what exactly happened? Well there are theories abound my friends!    First there is a mini conspiracy theory that the captain sabotaged the ship or even took it all the way to Germany! Why, you ask? Well let us tell you. It is said that the crew was unhappy with the captain. You see, Captain Worley was hated by his staff and officers and was accused of being pro German. It was discovered later that Worley was actually German born and had changed his name at some point. It's not known why he changed his name. On top of that, the US Consulate General of Rio, named Gottschalk, boarded the ship with 73 other local sailors. Gottschalk was very popular with the German community in Brazil. Couple this with the fact that upon leaving Brazil, the ship was said to have been overloaded and people began to speculate. They say that Worley and Gottschalk purposely sabotaged the ship in some way to favor the Germans back home. Either that or the thought is that they essentially stole the crew and cargo and headed back to Germany. Seems plausible, until you try and figure how a few men could have forced 300 men to go back to Germany.  There are several theories of the ship being struck by a rogue wave or breaking up at sea. One sailor reported when they reached Rio, that on the way, the deck of the ship would sway when the ship was struck with large waves. He says the ship was showing signs of structural failure. Could that have been the issue? If so…where was the debris? Another theory was that the ship was overloaded and ran into a storm in which the unstable ship overturned and sank to the bottom of the ocean. Again…why no debris though?   For a BBC Radio 4 documentary, Tom Mangold had an expert from Lloyds investigate the loss of the Cyclops. The expert noted that manganese ore, being much denser than coal, had room to move within the holds even when fully laden, the hatch covers were canvas, and that when wet, the ore can become a slurry. As such, the load could shift and cause the ship to list. Listing is caused by the off-centerline distribution of weight aboard due to uneven loading or to flooding. By contrast, roll is the dynamic movement from side to side caused by waves. If a listing ship goes beyond the point where a righting moment will keep it afloat, it will capsize and potentially sink. Combined with a possible loss of power from its one engine, it could fill with water and go down in bad weather.   Then there's our personal favorite…the Bermuda triangle just straight fucked it up and aliens took it. That's right passengers…this happened in the infamous Bermuda triangle!!! So of course there are numerous theories involving the Bermuda triangle and supernatural goings on.  Most of these Bermuda triangle theories involve either aliens coming down and abducting the ship and crew, or aliens under the ocean coming up and claiming the ship for themselves. We here at the train, well at least Moody, think that this is the most plausible explanation of course.    So what do you guys think? Aliens?.... Yea it was aliens…   Ok so up next we're heading up to the great white north. For those of you who don't know…that's Canada.. You know America's hat. Anyway.. we're looking at the lake Anjikuni incident. The telling of this mystery was taken from mysterioustrip.com.  Anjikuni Lake is located deep in the Kivallig area of rural Nunavut in Canada. Placed near the Kazan River, the lake is perfect for fishing and trout. Anjikuni fastly became a home for the Inuit tribe; it developed soon into a colony and became popular almost instantly on a cold November day in 1930. Joe Labelle, a Canadian fur trapper, was more than an efficient individual who spent a lot of time doing outdoor activities. He was very familiar with the area; he knew that the people established a community. Joe was acquainted with the Inuit stories of wood ghosts that were reportedly harmful, and this remote part was soaked in the tales of the Wendigo. Labelle generally didn't have any fear or anxiety; however, this specific night at the lake became different. The full moon was casting a spooky luminosity all over the village, and no one was moving. The Huskies that were usually loud with the influx of travelers were quiet as well. The only sound he could hear was of his own steps made on the snow and the concave reverb of his greeting. He quickly understood something was not normal, and he started investigating as soon as he entered the village. The village was in complete silence, and he could see no one. No noise of conversation or laughter was detected. What's worse was the complete lack of smoke originating from chimneys that denoted the presence of living beings.   Joe noticed a fire at a distance and went towards it to inspect; the fire seemed to be burning for a significant amount of time. Upon further investigation, he found that someone started their supper preparations; however, they didn't finish making it. LaBelle continued towards the village, ready to bump into someone who could tell her what was really happening here. Joe, stepping out of his uncontrollable feelings, began an investigation into the Inuit's homes to search for any clues related to the silence and made a sudden and quick decision to leave the village.   He found that several homes were well-stocked with food and weapons; he further found a burnt meal in another house. In one spot, he found a repair of a junior sealskin that was yet to be finished. Sadly, he couldn't conclude anything.   As there wasn't any conclusive answer concerning what took place, it must certainly have been an unexpected event that spread widely and involved all 30 men, women & children in the village. Food, clothing, and weapons were left behind. But Why? There was no answer   More investigation directed him to a pair of findings that was enough to give him goosebumps. To the extent that he was able to tell, whatever happened, had happened recently.   He examined the entire village and found no new traces in the snow apart from his own. The most ghastly discovery he made was of the dogs. Seven of them had starved to death. This evidence was enough to persuade him to head to the nearest telegraph office located farther away. That would mean that Joe had to overlook basic requirements such as shelter and food; however, he was in a hurry to leave the place and seek assistance. As beaten and frostbitten as Labelle was, he finally stumbled into the telegraph office. In a few minutes, he sent an emergency message to the nearest RCMP (Royal Canadian Mounted Police) camp. By the time the Mounties reached, many hours later, Labelle had calmed himself enough to talk about his distressing stories.   According to 1984's article – The world's most significant UFO mysteries, written by Roger Boar and Nigel Blundell– the Mounties, when on their way to the Angikuni Lake mystery, took a bit of time to rest at a shack alongside a trapper and his two sons. They explained to the trapper and his sons that they are heading towards Anjikuni Lake to solve a ‘problem.' The Mounties asked the trapper if he had seen anything strange these past few days. Upon asking this question, the trapper was compelled to admit that he and his two sons had noticed an eerie luminous object flying all over the sky a few days ago. He further stated that he had seen giant, gleaming ‘flying objects' changing shape right before their eyes. And this object was flying towards the village at Anjikuni lake.   So did this event even happen? Or was LaBelle making it up. According to skeptoid.com( see we look at both sides equally) here are a number of things about the Joe Labelle story that raise red flags. For one thing, it happened in November, when average temperatures are 13°C degrees below freezing. Angikuni Lake is a sheet of ice; kayaks pulled up on the beach would not be "battered by wave action". The very presence of kayaks so far inland is suspect, though not impossible. Migratory Inuit would often park their kayaks to hunt caribou. These eastern Iglulik kayaks were made of sealskin stretched over willow branches. But the small Angikuni Lake is landlocked so far inland on the Barrens that neither willow nor sealskin were available, and this would be, by far, the farthest inland that the historical use of Iglulik kayaks would have ever been documented. Not impossible, but highly suspect.   Labelle described a permanent settlement, a "friendly little Eskimo village" of "about thirty inhabitants" that he'd known "for many years". A statement from the Mounted Police says "A village with such a large population would not have existed in such a remote area of the Northwest Territories." They had left sealskin garments behind, in a region where there was caribou hide rather than sealskin; and as a trapper Labelle should have been able to identify it properly. So there was either a series of quite improbable circumstances, or Labelle was wrong.    Today, no physical evidence exists of a village at Angikuni Lake, and nobody has ever published an account of going up there and clearing away any remnants. So we have to rely on documentary evidence to find the true history of the vanishing village.   So with all the contradictory evidence what is real and what isn't. Was there a group of Inuits that completely disappeared or was it a tall tale? Could it be a combination of both and the truth is somewhere in the middle? Who knows…either way…crazy story! Next up we head to Brazil and the village of Hoer Verde! We got the following info mostly from coolinterestingstuff.com. The Mysterious legend of Hoer Verde, the town with 600 inhabitants that vanished, is certainly confusing and troubling.   The case will cause you to ask questions, questions like “how can anything like that ever happen with absolutely no evidence to suggest anything unusual had happened?”   Like so many legends from the area, information on Hoer Verde is difficult to track down. But what information is accessible is not only disturbing, but incredibly perplexing.   As visitors to the village entered the small town they were immediately struck by how dead everything was. Unlike other villages of six hundred no one was walking through the streets.   Hanging signs waved in the gentle wind creaking noisily juxtaposed with the uneasy footsteps and subdued whispers of those passing through. As they passed by local houses and looked in the windows it was evident immediately that something wasn't right. No one was anywhere to be seen.   The police were called, and investigators descended on the town to look through the village. As they came to the town's school they found a gun, which they took to be forensically examined. And then the investigators looked to the blackboard on which the words, “There is no salvation” were written. After a cursory examination, they realized that it had been fired the day before, but by whom they were unsure.   A manhunt ensued for the 600 villagers in the small town. Despite this, no trace of any of the locals was ever unearthed.   As newspaper reports of the town's disappearance reached the west it was considered a curiosity, but with the shifting political climate of Brazil in 1923 it was considered possible that the town had evacuated to avoid conflict with guerrillas.   Another mysterious element is the original language of the phrase “There is no salvation.” Though the phrase has been largely translated into English, the phrase holds little significance in English or Portuguese. However, if the words had been “Illic est haud salus.” in Latin or some variation of it, this could have been related to the phrase “Extra Ecclesiam nulla salus” which is a Catholic phrase meaning “Outside the Church there is no salvation.” If this was the case in a largely Catholic area, the lesson could have been a religious lesson which was interrupted by some unknown force, but with no specific significance itself.    So what happened…we don't know…but you know there are some crazy theories!!   Let's start with the most bizarre theory that is floating around. This theory states the 600 residents of Hoer Verde were swallowed by a black hole taking them all to a fourth dimension. yes…that's a theory. Along those lines there's the inevitable alien abduction talk. Could aliens have really come down and abducted 600 people? We like to think so but who knows.    The next  theory people point to is the political landscape in Brazil leading to soldiers or revolutionaries forcing all the villagers to evacuate. The only thing is the villagers disappeared in 1923. There was no civil war going on at the time, as is sometimes referred to with the legend. Also the revolution didn't occur until 1930 and another occurred in 1932. In neither case was a village of 600 reported to be wiped out or relocated.    And then there's the issues of the names of the towns, one town is completely nameless in the legend while Hoer Verde is a rather strange name for a village or town in Brazil, for one Verde translates to green from Portuguese to English but Hoer is not a word in Portuguese. It seems to be a Dutch word that is a derogatory word for sex workers.   Second, the legend states the town has been forgotten to time but one source we found says they were able to find multiple lists of towns and villages dating back to the 16th century for Brazil. No name comes close to Hoer Verde except for Ouro Preto, which translates to black gold and the history for it goes back to 1698.   So this story is pretty crazy huh. Well turns out it may also be completely made up. There's been a research dive that traces the origins of this story to a fairly recent article in a sketchy Russian newspaper written by a man named Mikhaylov Andrei. To put this guy into perspective, in the same article he blames the disappearance at the colony of Roanoke on protoplasm coming from the ocean and devouring the people off the colony…yea…he claims it happens every few millennia. So while the myth of Hoer Verde lives on…it may just be that…a myth!   Next up we are gonna look at the Moche civilization. Information for this tale we got from an article on Fodors.com. The Moche culture remains one of the most mysterious unknowns of Peruvian history, and with the more prominent Incas filling up most of the pages in the history books, the Moches do not receive as much attention. The Moche believed in gory human sacrifice and produced famously beautiful pottery, built huge, bizarre brick pyramids and had a complex and efficient irrigation system. Some of the aqueducts are still in use today.   All researchers can glean from the Moche civilization is through a collection of artistic masterpieces from archaeological digs, writings from Spanish invaders (the Moche did not use a predominant written language), and other fragments left behind in Peru's northern coastal regions. The Moche civilization lived and flourished along the northern coast of Peru from the 1st to the 8th century A.D., with their highest concentration of residents in the popular Trujillo region and Chicama valley. Due to the riches of this land, which included access to sturdy clay and precious metals, the Moche civilization accumulated significant wealth and power during this pre-Incan period. At the foot of the Cerra Blanca Mountain, Moche's capital city covered 300 hectares, or 3 million square meters of an opulent environment that offered residents a tight community of people, storehouses, open plazas, and ramps for easy entry to multiple-level structures. The upper elite also planned fields surrounding the city (indicating a class-based society). Building this capital took the Moches 600 years to complete and involved no fewer than six construction phases.          In addition, the capital included two now-famous pyramids often open to tourists today: the Huaca Del Sol (Temple of the Sun), a structure standing more than 50 meters in height and encompassing an area of 340 by 160 meters, and the Huaca De La Luna (Temple of the Moon), built using millions of adobe bricks. Which, if you know anything about photoshop, is quite a feat. Researchers believed both were used as prodigious religious tombs.     Although monuments and temples remain for archeologists to research today, most of the tangible objects left behind by the Moches were artistic, creative artifacts full of intricate designs and pops of bold colors. Considered skillful metalworkers and adept potters, the Moches produced sophisticated headdresses made of real gold for their goddesses, jewelry of valuable metals, chest plates to show prestige, textiles for ornamentation and wardrobe, utensils for eating, and tools for working in the fields.           In 700 A.D., the Moches moved their capital city to Pampa Grande in the Lambayeque Valley, approximately 40 miles from the Pacific Ocean. They constructed this city to include large pyramids and temples made of dirt using a method called chamber and fill, which allowed loose dirt to clump into cribbed walls. No one knows exactly why the Moche civilization eventually disappeared. Many researchers believe El Niňo caused substantial damage to the fields and irrigation systems, as they found confirmation of flooding at every single ceremonial site. (The chamber and fill approach appeared to hurt them significantly.) Archeologists also think the Moches abandoned Pampa Grande quickly and as they left, set their city on fire—but why?   The El Nino mentioned above is a prevailing theory. It is said that it was…wait for it… A SUPER EL NINO!!!!! So basically the easiest way to describe it is that the Moche faced 30 years of flood condition weather and rain followed by 30 years of drought conditions. Harsh. Some say this led to an issue with fertile soil so the citizens couldn't really dig, plant and grow crops. Also, because of the El nino theory, Dramatic changes in the ocean's environment could also be one of the reasons why the Moche, an early pre-Columbian civilization in Peru, fell apart over 1000 years ago.    No one is 100 percent sure what happened to the Moche. The Moche are not the only civilization to have disappeared without a discernible reason. They are scattered throughout history and the world from the Aztalan civilization in the American West to the inhabitants of great Zimbabwe. The disappearances of civilizations is definitely an interesting topic overall.   Changing the tone a bit, we're next going to look at an airliner that disappeared with 95 military personnel on board. Flying Tiger Line Flight 739, a Lockheed Super Constellation airliner, was scheduled to transport 96 military personnel from the US to Vietnam and disappeared on March 16, 1962.    According to the military, the men were under orders to relieve soldiers in Saigon tasked with training Vietnamese troops to fight the Viet Cong guerillas. As such, the flight was operated by the Military Air Transport Service (MATS). A few stopovers were made along the route—one in Honolulu, one in Wake Island, and a final one in Guam. With nine and half hours of fuel remaining, their final stretch was estimated to take around six hours. Sadly, however, they were never seen again.   Guam Centre grew concerned when the flight failed to make its scheduled position report at 15:30. They attempted to contact the aircraft without luck. When the flight also failed to make its destination, a distress status was initiated, and one of the largest search and rescue operations to date commenced. The search was conducted by the U.S. Navy, Air Force, Coast Guard and Marines and covered more than 200,000 square miles. It came up empty, and nearly 60 years later, not a trace of the flight has been found.    Strangely, another MATS-operated Super Connie in the Flying Tiger Line, this one carrying secret military cargo, also met with tragedy that day. Departing from the same airport at roughly the same time as Flight 739, Flight 7816 (N6911C) crashed during an attempted instrument approach to Adak Island, Alaska. Of the seven people on board, six crew members suffered minor injuries, and one died after becoming trapped in the fire. The timing of the incident with Flight 739's disappearance raised many red flags.   The only potential clue to Flight 739's fate came from onboard a Liberian tanker, the SS T L Linzen, where witnesses noticed vapor trails moving west and disappearing into a layer of cumulus clouds. A few seconds later, they observed a large, two-pulse explosion, followed by two fireballs falling from the sky at different speeds. The ship's radar flagged a target approximately 17 miles from its current position, or roughly 500 miles off the coast of Guam. The location fell in line with the approximate flight path of 739, so search and rescue operations gave focus to the area. It is in the remote Pacific Ocean, so it's a wonder that anyone witnessed the event at all.    The idea of a Super Connie exploding mid-flight was too improbable for aircraft experts to believe, leading many to the conclusion of sabotage. For one, L-1049Hs were not known to have any fuel problems or electrical issues near fuel tanks. Additionally, nothing on board would have been powerful enough to blow apart. So, if the plane did explode, the theory goes, it would likely have been caused by impact with an external force, such as a meteor or, more sinisterly, a missile. With the United States in the throes of the Vietnam and Cold Wars, proponents of the shoot-down theory have pointed toward the Soviet Union as a possible villain in this scenario.    Assuming the explosion was unrelated, another possibility is that the flight was hijacked and those onboard taken hostage. However, the kidnappers would have likely made demands for the men's release at some point, and such demands never came—or were at least not made public knowledge. Kidnapping theories are common with disappearances of aircraft, including Malaysia Flight 370.    For surviving families, the most popular theory has always been that the men were part of a secret military operation gone awry. This is supported by claims that they left behind important items, such as their IDs and wedding bands, and gave long, drawn-out goodbyes—as if they knew they were never coming back. Still desperate for answers, some family members recently attempted to submit their DNA to the military database used to identify bodies found abroad. The government denied those requests, citing legal reasons. It has also denied decades of pleading to have the servicemen's names added to the Vietnam Veterans Memorial wall, remaining adamant that they were never part of any war mission.   Maintenance problems had already been addressed while the plane was in Guam, but it's rare for a mechanical issue to cause an explosion, though it can't be completely ruled out—likewise with sabotage. While neither option can be dismissed entirely, there's no evidence that they happened.    The missile theory is also speculative. If an enemy had chosen to shoot down this flight, who would that have been? The Soviet Union, which was a Cold War adversary, was the only other nation capable of downing a high-flying plane mid-ocean. But why would the Soviets have done it? And why in such a remote expanse of the Pacific? There's no clear motive and no evidence to support such a claim. A more likely explanation is the explosion of ordinance, accidentally or as an act of sabotage by some unknown actor, aboard the secret military flight.    In late 2020, surviving family members constructed a monument in South Portland, Maine, honoring the servicemen of Flight 739. We got most of this indoor from a cool article on planeandpilotmag.com   How about some of your favorite quick hitters!   SS WARATAH   In July 1909, the SS Waratah was heading for Cape Town, South Africa, on its way back from Melbourne, Australia, making a scheduled stop in Durban on the way. It was carrying over 200 people, both passengers and crew, but as it left port to complete its journey, one passenger elected to remain behind.    Engineer Claude Sawyer had made many journeys by sea, and he was so concerned by the behavior of this brand new ship that he disembarked in Durban and sent a message to his wife describing the ship as "top heavy." The Waratah left port at 8 a.m. on July 26, and headed into rough seas for its journey to Cape Town. At 6 a.m. the following day it overtook another ship, the Clan McIntyre, and exchanged signals, before the Waratah disappeared into the distance, never to be seen or heard from again.    According to the Master of a vessel called the Clan McIntyre, when the Waratah passed him, his ship was sailing into nine meter waves and a violent storm. Two ships later claimed to have seen bodies and debris in the water, however nothing was ever actually recovered.    An expedition sponsored by author Clive Cussler claimed to have found the ship in the 1980s. However, when the searchers eventually reached the wreck, they actually discovered a World War II transport vessel instead. The mystery of the SS Waratah's fate remains.   AZTALAN INDIANS   Just outside the small town of Lake Mills in south central Wisconsin, on the banks of the Crawfish River, lie the remains of a Native American city called Aztalan. The Wisconsin settlers who discovered it in 1836 named it "Aztalan" due to a misplaced assumption that the Native Americans who lived there had a connection to the Aztecs.   The ancient city contained stepped pyramids, conical mounds, evidence of housing, fishing, and farming, and even a substantial defensive stockade wall containing up to 30 watchtowers. And according to local legend, they even built large stone pyramids in the bottom of what's now called Rock Lake in Lake Mills. But the valley was later flooded, meaning that evidence to prove this legend true is hard to come by.    At its peak, Aztalan would been occupied by around 500 people between 700 to a thousand years ago. But at some point after 1300 AD, the site was mysteriously abandoned, and no one really knows why.    According to an article published by Wisconsin Natural Resources Magazine, evidence points to a few different theories about their fate: a lack of resources, drought, and violence from other nearby Native American settlements.    Despite a very obvious intention of these early Wisconsinites to remain — nothing says "I'm staying!" like a large defensive wall — they're now nothing more than local history and legend.   ROMAN 9TH LEGION   The Ninth Legion was a Roman military formation of around 5,000 soldiers stationed in York in Northern England during Rome's occupation of Britain. This unit maintained control of the wild inhabitants of what would later become northern England and Scotland. In 108 AD, an inscription in the City of York places the legion in the city. However, 50 years later, when a new record of the legions was completed, no mention of the ninth appeared   What could've happened to erase the existence of 5,000 soldiers? No one really knows.   According to a Roman writer, many Roman soldiers were killed in Britain at the beginning of the second century, necessitating several reinforcements. This included the arrival of a new Legion, the Sixth, in 122 AD, which took up residence in the now presumably empty York.    No records describe the Ninth Legion's fate. Some theories suggest the Legion was simply sent elsewhere, though there's little evidence to support this. Meanwhile, Emperor Hadrian visited the British Isles at the beginning of the second century. To take control of the Briton-on-Roman violence, he ordered the construction of a 73 mile long, 15 foot high, fortified wall across the island to keep the invaders out of Roman territory. And you don't go doing that unless you've got a good reason — like say losing an entire legion.    Hadrian's wall still stands today. However, there's still no sign of the ultimate fate of the Ninth legion — and there probably never will be.   SS POET   The SS Poet was a former World War II troop transport that was mothballed for 20 years after the war, before being bought and converted to carry cargo. Considered "old but sturdy" in October 1980, the ship had an experienced crew of 34 men — including the captain who'd been at sea for 41 years — when it mysteriously disappeared.   On the morning of October 24, 1980, the SS Poet sailed from Philadelphia with a load of corn bound for Egypt, where it was due to arrive on November 9. As it passed Cape Henlopen later the same morning, the Poet sent its last message before heading out into the Atlantic, and into history.   The following day a storm blew up in the North Atlantic with 30 foot waves and 60 mph winds. But for a ship like the Poet that shouldn't have mattered. When the storm finally passed it left behind no trace of the Poet, no debris, and no distress signal was ever heard.   A popular explanation for the loss proposes an undiscovered hull leak that would have caused the ship to become unstable and founder in the bad weather. However with no evidence to back that up, fingers were soon pointed at the owner who had failed to report the ship missing for several days after losing contact, and at the coast guard who didn't begin a search for another four days after that. Well-built ships with experienced crews don't just vanish without cause, but that doesn't mean we'll ever know what it was.   we got these quick hitters from an article on grunge.com.

There has been a lot of talk about carbs and sugar, mostly in fruit and honey, in the Carnivore community, but the fact remains that we do not need carbs or sugar at all, and they can cause harm.  Everyone is welcome to eat what they like, but don't think that you NEED to eat them for optimal health, or that you CAN eat them and maintain optimal health.  You don't, and you can't. I and many others have been strict Carnivores long term (10 years+) without any issues related to lack of carbs or fructose, and some much longer than that.  And of course the Inuits are living proof that you can not only survive, but thrive without any carbs, fruit, or honey whatsoever.  As did our ancestors during the Ice Ages. If you want to hear more about why this is and my take on the fruit and honey controversy, this episode is for you.  Enjoy!   Simon Lewis is the Founder of McKenzie's Meats and How To Carnivore, you can reach him here: McKenzie's Meats https://www.instagram.com/mckenziesmeats/ https://mckenziesmeats.com.au/ How To Carnivore https://www.instagram.com/howtocarnivore/ https://www.howtocarnivore.com/   FOLLOW AND CONTACT ME AT: INSTAGRAM: Dr. Anthony Chaffee, MD (@anthonychaffeemd) • Instagram photos and videos TWITTER: @Anthony_Chaffee TIKTOK: @plantfreemd For more of my interviews and discussions, as well as other resources, go to my Linktree at: https://linktr.ee/DrChaffeeMD OR my website at: www.TheCarnivoreLife.com And please like and subscribe to my podcast here and Apple/Google podcasts, as well as my YouTube Channel to get updates on all new content!