POPULARITY
Dans le supplément de ce dimanche, Grand reportage week-end vous emmène en Pologne, sur le camp nazi d'extermination d'Auschwitz-Birkenau dont c'est le 80è anniversaire de la libération par l'armée russe en 1945... Des collégiens ou des familles de déportés font souvent le voyage pour un «travail» de mémoire et un hommage aux victimes de la Shoah. En seconde partie, direction le Pérou, où l'approvisionnement en eau potable demeure difficile notamment pour les personnes démunies. (Rediffusion) Mémoire de la Shoah: les jeunes se sentent-ils capables de la transmettre ? C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. Un Grand reportage de Baptiste Coulon qui s'entretient avec Jacques Allix. L'accès à l'eau dans la capitale péruvienne : avant tout le combat des pauvres À Lima, au Pérou, 1 million et demi de personnes n'ont pas accès à l'eau courante… Leur seul moyen d'approvisionnement est le passage d'un camion citerne, à la venue aléatoire et dont la qualité de l'eau est critique... ; et critiquée. Et si les pouvoirs publics ne s'emparent pas rapidement du sujet, de plus en plus de Péruviens risquent d'être concernés. Selon une étude d'Aquafondo, le Pérou ne disposera, en effet, d'ici 40 ans, que de 60% de ses ressources actuelles en eau. Un Grand reportage de Marion Bellal qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage nous emmène en Chine qui est à la fois dépendante du charbon et qui se lance aussi le défi de la neutralité carbone avec les énergies renouvelables. En deuxième partie, direction l'Inde, au Kerala, où l'archipel Munroe Island est englouti par les eaux. (Rediffusion) Énergie verte et dépendance au charbon : le paradoxe chinois La Chine en plein paradoxe. La Chine reste extrêmement dépendante du charbon… et à la fois elle tente de relever par tous les moyens le défi des énergies renouvelables. Gros enjeux : cela lui permettrait de dominer le marché mondial du solaire ou de l'éolien. Deux fers au feu : puisqu'elle s'est engagée à atteindre un pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici la fin de la décennie et à les éliminer d'ici 2060. À l'heure de la Conférence internationale sur le Climat de Bakou, essentielle pour l'avenir, la Chine a adopté vendredi dernier (8 novembre 2024) une nouvelle loi sur l'énergie dans l'optique de «promouvoir la neutralité carbone». Notre envoyée spéciale permanente à Pékin nous emmène à la rencontre d'une Chine volontaire, face à ses vieux démons… Un Grand reportage de Clea Broadhurst, (avec la collaboration de Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix. Kerala : le «pays des dieux» englouti par les eaux En Inde, le Kerala est appelé le «pays de Dieu lui-même» pour ses sublimes paysages aquatiques tropicaux. Il est aussi en première ligne face au changement climatique. Symbole de cette menace : Munroe Island, un archipel intérieur inexorablement englouti par les eaux. Premiers réfugiés climatiques du Kerala, plusieurs milliers d'habitants ont déjà quitté l'île qui se noie, comme on la surnomme ici. Ceux qui restent, cernés par les eaux, vivent dans des conditions de plus en plus éprouvantes. Le destin de ce bout de paradis est un avertissement. Cochin, la plus grande ville du Kerala, est, elle aussi, menacée par l'océan. Pour s'adapter à cette nouvelle donne climatique, beaucoup reste à faire. Un Grand reportage de Côme Bastin qui s'entretient avec Jacques Allix.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, nous nous confrontons à la situation difficile des LGBT en Afrique qui, souvent, sont amenés à fuir le continent pour éviter la mort ou la prison... En deuxième partie, direction la Chine qui produit une grande quantité de vin avec ses plus de 800 000 hectares de vignes. Quantité, mais aussi qualité grandissantes. Domaine dans lequel les femmes sont de plus en plus innovantes. (Rediffusion) Migrants LGBT : quitter l'Afrique pour survivre Être gay ou lesbienne dans certains pays d'Afrique est puni d'emprisonnement. Dans d'autres pays du continent, si l'homosexualité n'est pas pénalisée, elle est très mal perçue par la population. Les LGBT sont rejetés, menacés et risquent la mort. LGBT, appellation des années 90 pour lesbienne, gay, bisexuel et trans est devenu LGBTQIA+ pour intégrer d'autres identités sexuelles et de genre. Face aux actes homophobes et transphobes parfois très violents, partir est fréquemment l'issue pour tout simplement sauver sa vie. Migrer en Europe, en France où les demandes d'asile liées à l'orientation sexuelle ne cessent d'augmenter. Un Grand reportage de Lise Verbeke (avec l'aide de Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix. En Chine, les vigneronnes ont vraiment du nez Le secteur viticole chinois a connu, pendant une trentaine d'années, des hauts et des bas. L'enjeu économique est très important : la Chine compte 800 000 hectares de vignes. Devant la France, régulièrement, les ventes de vins plafonnent. La consommation n'étant pas encore vraiment entrée dans les mœurs. Mais la dernière tendance est porteuse d'espoir. La quantité de vin produite augmente. La qualité aussi. À la clé : des récompenses et des médailles. Dans cet essor, les femmes brillent par leur excellence et leurs innovations. Un Grand reportage de Clea Broadhurst qui s'entretient avec Jacques Allix.
Tous les jours retrouvez le débrief de l'étape du jour de ce Tour de France 2025. Entouré de Jérôme Coppel, Jérôme Pineau et Pierre-Yves Leroux, Christophe Cessieux revient sur les moments forts de la journée. Les chutes, les attaques, les ascensions, les coups de bordure... Tout est décortiqué ! Sans oublier évidemment, le classement des favoris, des Bleus, et bien sûr, le profil de l'étape à venir !
Matières premières et énergie nucléaire au sommaire de ce supplément. Dans la première partie, les gisements de fer des monts du Simandou pourraient marquer un tournant décisif pour l'économie guinéenne. En deuxième partie, direction la France, avec Pauline Gleize qui nous expliquera comment on démantèle une centrale nucléaire, celle de Fessenheim, un chantier titanesque. (Rediffusion) Simandou : miracle ou mirage pour l'économie guinéenne ? L'exploitation des immenses réserves de fer des monts du Simandou pourrait marquer un tournant décisif pour l'économie guinéenne. Estimées à près de 8 milliards de tonnes de minerai, ces réserves font l'objet de discussions depuis trois décennies. Les autorités prévoient une entrée en production pour la fin de l'année 2025, présentant ce projet comme la vitrine de leur ambition économique. Face au manque de transparence, la population guinéenne, qui a connu les désillusions de l'exploitation de bauxite, oscille entre espoir et scepticisme. Un Grand reportage de Alexis Bédu qui s'entretient avec Jacques Allix. Fessenheim : comment démanteler une centrale nucléaire ? Fessenheim… en Alsace, à la frontière avec l'Allemagne. Un village surtout connu en France pour sa centrale nucléaire. Ses deux réacteurs ont été arrêtés en 2020, promesse de campagne des présidents François Hollande, puis Emmanuel Macron, avant que ce dernier ne décide en 2022 de relancer l'atome. Contrairement à d'autres réacteurs du parc, qui en compte 57, la centrale de Fessenheim n'a pas eu de sursis. Elle était la plus vieille en activité. Elle a été fermée. L'histoire nucléaire de ce village alsacien n'en est pour autant pas terminée. Le démantèlement ne devrait pas être finalisé avant 2041. Un Grand reportage de Pauline Gleize qui s'entretient avec Jacques Allix.
Amateur de la culture japonaise, Jacques Chirac vouait une véritable admiration au sumo. Il assistait à des tournois lors de ses visites au Japon, allant jusqu'à tisser des liens avec des lutteurs ou se réveiller la nuit pour suivre les combats lorsqu'il était en France. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fessenheim… en Alsace, à la frontière avec l'Allemagne. Un village surtout connu en France pour sa centrale nucléaire. Ses deux réacteurs ont été arrêtés en 2020, promesse de campagne des présidents François Hollande, puis Emmanuel Macron, avant que ce dernier ne décide en 2022 de relancer l'atome. Contrairement à d'autres réacteurs du parc, qui en compte 57, la centrale de Fessenheim n'a pas eu de sursis. Elle était la plus vieille en activité. Elle a été fermée. L'histoire nucléaire de ce village alsacien n'en est pour autant pas terminée. Le démantèlement ne devrait pas être finalisé avant 2041. (Rediffusion) « Fessenheim : comment démanteler une centrale nucléaire ? » Un Grand reportage de Pauline Gleize. À écouter aussiArrêt sur Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire de France ferme
Invité : - Vincent Jeanbrun, député LR du Val de Marne, rapporteur de la commission d'enquête sur les liens entre les mouvements politiques et les organisations islamistes Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, direction l'Espagne, les indices économiques ne sont pas au rouge, bien meilleurs même que dans bien des pays européens, une économie dynamique, 3,2% de croissance en 2024, un beau rebond après la crise du Covid, mais il y a la crise du logement sévère, devenir locataire ou propriétaire est devenu très problématique en Espagne, que l'on soit jeune ou pas. 100 000 logements sont construits par an, il en faudrait 6 fois plus. Une situation qui est particulièrement préoccupante à Madrid. Avec François Musseau. En seconde partie, paroles d'exilés burkinabè, leurs témoignages, leurs craintes. Le putsch à Ouagadougou, il y a 3 ans, leur a fait préférer le chemin de l'étranger, cela face à la dégradation des libertés les plus élémentaires au Burkina Faso, vous les entendrez au micro de Frédéric Garat. Espagne : le logement, enjeu national Les Espagnols ne peuvent plus se loger : tous les sondages le montrent. Les jeunes, mais pas seulement, ont beaucoup de difficultés à devenir locataires ou propriétaires. L'année dernière, les prix ont en effet doublé. 8,5% de hausse. Rester chez papa maman, s'entasser dans un appartement avec des inconnus, partir ailleurs. La situation est chaotique. On construit en Espagne, chaque année, 100 000 logements alors qu'il en faudrait 600 000. Le gouvernement de Pedro Sanchez a, certes, lancé au printemps un vaste plan de construction, notamment à visée sociale. Mais il y a urgence : la situation est particulièrement préoccupante à Madrid ; certains se frottent les mains, beaucoup sont en plein désarroi... Un Grand reportage de François Musseau qui s'entretient avec Jacques Allix. L'omerta ou la mort, nous fuyons ! Depuis la chute de Roch Marc Christian Kaboré en 2022 et l'arrivée des militaires putschistes au pouvoir, le Burkina Faso connait une lente, mais certaine dégradation de ses libertés fondamentales. Arrestation arbitraire, kidnapping d'opposants, enrôlement militaire forcé ou interdiction des réunions politiques et syndicales… Le régime militaire du capitaine Ibrahim Traoré pose une chape de plomb sur le pays à tel point que ceux qui revendiquent encore la liberté de parole et d'informer au pays de Norbert Zongo sont obligés de s'exiler… Un Grand reportage de Frédéric Garat qui s'entretient avec Jacques Allix.
Wonderwoman Quand les héros de la pop culture nous donnent des leçons dʹHistoire. Dans cette série originale proposée par Anne Laure Gannac, lʹhistorien et journaliste Nicolas Méra, auteur de La vraie histoire des icones de la pop culture aux Editions First, nous raconte les origines mais aussi un peu de la grande Histoire qui se cache derrière des figures majeures de la pop culture. Aujourdʹhui Wonderwoman, lʹamazone super-héroïne fantasmée par William Moulton Marston et apparue pour la première fois dans des comics américains en 1941. Nouvelle diffusion.
Indiana Jones Quand les héros de la pop culture nous donnent des leçons dʹHistoire. Dans cette série originale proposée par Anne Laure Gannac, lʹhistorien et journaliste Nicolas Méra, auteur de La vraie histoire des icones de la pop culture aux Editions First, nous raconte les origines mais aussi un peu de la grande Histoire qui se cache derrière des figures majeures de la pop culture. Aujourdʹhui, Indiana Jones, lʹaventurier et archéologue crée par Georges Lucas et Steven Spielberg qui débarque au cinéma en 1981. Nouvelle diffusion.
Rambo Quand les héros de la pop culture nous donnent des leçons dʹHistoire. Dans cette série originale proposée par Anne Laure Gannac, lʹhistorien et journaliste Nicolas Méra, auteur de La vraie histoire des icones de la pop culture aux Editions First, nous raconte les origines mais aussi un peu de la grande Histoire qui se cache derrière des figures majeures de la pop culture. Aujourdʹhui, Rambo, vétéran du Vietnam né dans un roman de David Morrell en 1972 et apparu au cinéma dix ans plus tard dans un film de Ted Kotcheff. Nouvelle diffusion.
Pour débuter l'émission de ce mardi 1er juillet 2025, les GG : Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : Écoles, hôpitaux, EHPAD... faut-il un grand plan climatisation ?
Godzilla Quand les héros de la pop culture nous donnent des leçons dʹHistoire. Dans cette série originale proposée par Anne Laure Gannac, lʹhistorien et journaliste Nicolas Méra, auteur de La vraie histoire des icones de la pop culture aux Editions First, nous raconte les origines mais aussi un peu de la grande Histoire qui se cache derrière des figures majeures de la pop culture. Aujourdʹhui Godzilla, crée au cinéma en 1954 par Hishiro Honda. Nouvelle diffusion.
La Momie Quand les héros de la pop culture nous donnent des leçons dʹHistoire. Dans cette série originale proposée par Anne Laure Gannac, lʹhistorien et journaliste Nicolas Méra, auteur de La vraie histoire des icones de la pop culture aux Editions First, nous raconte les origines mais aussi un peu de la grande Histoire qui se cache derrière des figures majeures de la pop culture. Aujourdʹhui focus sur La Momie, surgie pour la première fois dans un film de Karl Freund, en 1932. Nouvelle diffusion.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, nous parlons drogue comme hier en début d'émission. La drogue entraine de nombreuses violences au sein même des trafics mais également au coeur des populations qui ne sont pas du tout concernées. Elle déstabilise les institutions et le commerce de par la corruption, elle tue par overdose, elle fait plonger les usagers dans une sorte de trouble physique et psychique. Nous nous arrêtons avec Edward Maille, un de nos correspondants aux États-Unis sur les drames qu'ont entrainés le Fentanyl et ses contrefaçons. Le Fentanyl est un médicament, un anti-douleur surpuissant, 100 fois plus puissant que la morphine. Lui et ses acolytes opioïdes, synthétiques sont allés jusqu'à tuer par overdose 74 000 personnes en 2022, mais 2 ans plus tard, le chiffre a chuté de plus d'1/3. Edward Maille, de Géorgie en Virginie, de Kentucky en Ohio nous explique pourquoi. En deuxième partie : statues mythiques et plastiques océaniques, nous serons sur l'île de Pâques avec Naïla Derroisné. Épidémie de fentanyl : les États-Unis commencent à reprendre pied 26 juin, c'est la journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues. Nous partons à cette occasion aux États-Unis. Cinquante fois plus puissante que l'héroïne… 100 fois plus que la morphine… l'équivalent de quelques grains de sel peuvent tuer. Le Fentanyl et ses contrefaçons ont envahi le pays depuis plus d'une décennie, provoquant une crise de santé majeure. Le Fentanyl est un analgésique, un anti-douleur surpuissant : les overdoses ont tué près de 3 000 personnes en 2013 : 74 000 en 2022 mais depuis, la courbe s'est inversée en 2024 : moins 30% de décès liés aux opioïdes synthétiques. Pour comprendre, nous partons en Géorgie, Virginie, Kentucky et Ohio. Un Grand Reportage d'Edward Maille qui s'entretient avec Jacques Allix. À l'île de Pâques, des statues mythiques aux tourbillons de déchets plastiques Perdue au milieu de l'océan Pacifique, l'île de Pâques, aussi appelée Rapa Nui, est aujourd'hui assaillie par le plastique : des résidus de bidons, des bouées, des cordes, des bouchons en plastique, mais surtout des millions de microparticules de plastique fragmentées par le brassage en mer. Situé en plein dans le gyre du Pacifique Sud, un puissant courant tourbillonnant, ce petit territoire chilien voit s'échouer sur ses côtes 500 déchets par heure. Ils viennent du continent, mais aussi des bateaux qui pêchent en grandes quantités dans la zone. Également connue pour ses moai, Rapa Nui accueille chaque année des milliers de touristes qui génèrent eux aussi des tonnes de déchets. Un Grand reportage de Naïla Derroisné qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, cap sur l'Afrique pour parler de cette drogue qui a fait et fait toujours des ravages, le kush. Pas de grands classiques de la drogue comme l'héroïne ou la cocaïne, mais un de ces mélanges détonants issus d'une cuisine improbable et aléatoire faite d'éléments chimiques avec l'utilisation de feuilles de guimauve, cannabinoïdes de synthèse et nitazènes, des opioïdes jusqu'à 20 fois plus forts que le fentanyl. Plus d'un pays est concerné en Afrique de l'Ouest, Liza Fabbian s'est rendue en Sierra Leone, épicentre du fléau... En deuxième partie, nous serons en ligne avec Sarah Cozzolino pour parler Brésil où les femmes déjouent par l'artisanat la pauvreté de leur région du nord de l'État du Minas Gérais. La Sierra Leone sous l'emprise du Kush Un nouveau Grand Reportage dans le cadre de notre semaine Drogue sur RFI... C'est un cocktail toxique, hautement addictif et parfois mortel : il s'agit du kush, une drogue de synthèse surpuissante qui fait actuellement des ravages en Afrique de l'Ouest. Un récent rapport de l'Initiative Globale contre le Crime Organisé a permis de dévoiler la composition du kush. Il contient soit des cannabinoïdes de synthèse – soit des nitazènes : des opioïdes jusqu'à vingt-cinq fois plus fort que le Fentanyl ! Liza Fabbian s'est rendue en Sierra Leone, épicentre de ce fléau qui contamine toute la société - et contre lequel le président est allé jusqu'à déclarer l'état d'urgence sanitaire. Un Grand reportage de Liza Fabbian qui s'entretient avec Jacques Allix. Brésil: l'artisanat, planche de salut, pour les femmes de la vallée du Jequitinhonha Elle est surnommée la Vallée de la misère. Au Brésil, dans le nord de l'État du Minas Gérais, la vallée du Jequitinhonha s'étend sur 50 000 km2, le long du fleuve du même nom. Elle est connue pour son climat aride et ses populations rurales, la pauvreté pousse une partie des habitants à émigrer. Mais c'est sans compter l'incroyable richesse de l'artisanat de la région, réalisé par ses femmes. Un Grand reportage de Sarah Cozzolino qui s'entretient avec Jacques Allix.
Fermer les fenêtres le jour, prendre des douches fraîches de deux minutes, aérer la nuit, et créer des courants d'air. Ces recettes de grand-mère sont efficaces, mais il faudra beaucoup plus pour adapter nos sociétés aux vagues de chaleur de plus en plus nombreuses.L'enjeu dépasse le confort personnel des habitants des villes et des pays riches. Il faut notamment pouvoir préserver les aliments, les vaccins, et assurer la fraîcheur d'écoles, d'hôpitaux et maisons de retraite.Près d'un milliard de personnes dans le monde ne peuvent pas se protéger de la chaleur. Or la climatisation classique peut déboucher sur un cercle vicieux, puisqu'elle rafraîchit les intérieurs en rejetant un air chaud qui réchauffe encore plus les villes.La climatisation consomme de l'électricité, et ses gaz réfrigérants sont souvent encore pire que le CO2 pour l'effet de serre.Si rien n'est fait, l'ONU estime que ces émissions représenteront 10% des gaz à effets de serre en 2050. Il existe cependant des solutions pour relever le défi et même réduire les très importantes émissions liées à la climatisation.Elles passent par l'architecture urbaine, les zones vertes, les fontaines, des systèmes plus économes en énergie notamment, et sont déjà en cours de mise en place.Tour d'horizon avec LiLy Riahi, directrice de la Cool Coalition mise en place par l'Organisation des Nations unies pour l'environnement, qui coordonne un plan pour réduire l'impact de la climatisation tout en permettant à tous de rester au frais.Avec sur le terrain à Paris, New York et Delhi Delphine Paysant, Kadir Demir, Madeleine Pradel, Amélie Bottolier-Depois, Cecilia Sanchez et Asma Hafiz.Réalisation : Michaëla Cancela-KiefferDoublages : Emmanuelle Baillon, Lauralie Margalejo, Christian GauvrySur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Grinçant, caustique, décalé et surtout ... drôle ! Le journal du foot version Julien Cazarre.
Grinçant, caustique, décalé et surtout ... drôle ! Le journal du foot version Julien Cazarre.
Loïs Boisson, soutenue par une foule galvanisée et aidée aussi par son mental d'acier a atteint la demi-finale de Roland Garros. Elle, qui était jusque-là une inconnue, a réalisé un exploit. Quelques semaines plus tard à Wimbledon, Loïs Boisson, qui a désormais un nom à défendre, est éliminée dès les premières phases de qualification. Dans son cas, comme dans celui d'autres athlètes, à quel point le mental a joué ? À l'approche des Jeux olympiques de Paris, l'été dernier, de nombreux sportifs ont d'ailleurs mobilisé, en plus de leurs entraîneurs habituels, des représentants d'un nouveau métier : des préparateurs dédiés aux questions psychologiques. Coach mental : atout indispensable pour devenir un grand champion ? Pour en débattre : - Ayodélé Ikuesan, vice-championne d'Europe du relais 4 x 100 m - Yann Enslen, préparateur mental pour des sportifs de haut niveau et spécialiste de la formation des jeunes sportifs de haut niveau - Seghir Lazri, sociologue du sport à l'Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux sociaux, Laboratoire de recherche rattaché au CNRS/EHESS et chroniqueur au Nouvel Obs.
Loïs Boisson, soutenue par une foule galvanisée et aidée aussi par son mental d'acier a atteint la demi-finale de Roland Garros. Elle, qui était jusque-là une inconnue, a réalisé un exploit. Quelques semaines plus tard à Wimbledon, Loïs Boisson, qui a désormais un nom à défendre, est éliminée dès les premières phases de qualification. Dans son cas, comme dans celui d'autres athlètes, à quel point le mental a joué ? À l'approche des Jeux olympiques de Paris, l'été dernier, de nombreux sportifs ont d'ailleurs mobilisé, en plus de leurs entraîneurs habituels, des représentants d'un nouveau métier : des préparateurs dédiés aux questions psychologiques. Coach mental : atout indispensable pour devenir un grand champion ? Pour en débattre : - Ayodélé Ikuesan, vice-championne d'Europe du relais 4 x 100 m - Yann Enslen, préparateur mental pour des sportifs de haut niveau et spécialiste de la formation des jeunes sportifs de haut niveau - Seghir Lazri, sociologue du sport à l'Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux sociaux, Laboratoire de recherche rattaché au CNRS/EHESS et chroniqueur au Nouvel Obs.
Comment David est-il devenu roi ? Pourquoi est-ce lui qui monte sur le trône d'Israël ? Pourquoi est-il parfois appelé « le Christ de l'Ancien Testament » ?Réponse avec les Simpsons, Dadju, Armin van Buuren et une quiche lorraine qui passait par là !Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, direction le Mozambique avec une révolution à l'épreuve du temps, le mouvement qui a fait basculer le pays de l'ère coloniale à l'indépendance est de plus en plus contesté. 1975-2025, le temps a passé. Il y a 50 ans, le Frelimo prenait le pouvoir. Après les accords de Lusaka qui ont conclu la guerre coloniale avec les Portugais, cela fera donc un demi siècle mercredi prochain. Le Frelimo est toujours là mais avec des soubresauts... En deuxième partie, nous retrouvons Laurence Théault qui a enquêté en France sur la drogue dans les villes moyennes et le monde rural, et comment on vient en aide à ces usagers de plus en plus nombreux. À partir du 23/6, nous consacrons une série de 4 reportages dédiés à la drogue. Nous irons en Sierra Leone, aux États-Unis, à Marseille et remonterons la route africaine de la cocaïne, cela à l'occasion de la journée internationale contre l'abus et le trafic de drogue, journée spéciale également sur RFI du matin au soir, jeudi 26 juin 2025. Mozambique : la promesse trahie de l'Indépendance Le 25 juin 2025, le Mozambique célèbrera le cinquantième anniversaire de son indépendance. La guerre de libération du pays a duré 10 ans pendant lesquels la guérilla du Frelimo, le Front de libération du Mozambique, a affronté le colon portugais. Après la signature des accords de Lusaka, le 25 septembre 1974, et six mois de transition, le Frelimo prend le pouvoir le 25 juin 1975. Depuis lors, il ne l'a jamais quitté. Fin 2024, le pays a pourtant été secoué par une violente crise post-électorale, réprimée dans le sang. Le Frelimo est de plus en plus contesté. Un Grand Reportage de Gaëlle Laleix qui s'entretient avec Jacques Allix. Drogue à Chateauroux : approcher pour soigner Longtemps cantonnés aux mégapoles et aux banlieues urbaines, les réseaux de trafic de stupéfiants n'en finissent plus d'étendre leur emprise vers les villes moyennes et les campagnes françaises. En province, en région, dans les territoires, en zone rurale. Si les produits stupéfiants sont les mêmes qu'ailleurs : héroïne, cocaïne, drogues de synthèse, cannabis, les structures spécialisées d'aide aux usagers y sont rares. Dans le centre de la France, Châteauroux – 43 000 habitants, à 270 kilomètres de Paris – un centre d'accueil et d'accompagnement y vient en aide aux usagers, sur place, mais également par des tournées en camion pour toucher les consommateurs les plus éloignés en milieu rural. Un Grand reportage de Laurence Théault qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, histoire de gang pour commencer. Nous sommes au Soudan du Sud qui a fait sécession du Soudan en 2011, une situation économique et sociale et politique compliquée. En 2021, l'ONU classifie le pays, dernier de la planète en termes de développement humain. La capitale Juba, la criminalité des jeunes y a explosé, ces jeunes sont organisés en gangs, en gangs rivaux. Ils font régner la terreur dans les rues, délaissés par leur famille, sous le trauma de la guerre civile, sans aucune intégration sociale autre que leurs gangs, Florence Miettaux a pu les approcher via une association d'entraide, le Gredo... En deuxième partie, cap sur le Venezuela, Alice Campaignolle nous emmène du côté de ces familles très inquiètes et très mobilisées car leurs proches sont ces migrants que Donald Trump a accusés de faire partie de gangs et a déportés dans une prison de haute sécurité au Salvador. Soudan du Sud: à Juba, les jeunes sous l'emprise des gangs Vols à l'arrachée, cambriolages nocturnes, combats de rue à coups de machette… À Juba, la capitale du Soudan du Sud, la criminalité des jeunes explose. Des dizaines de gangs quadrillent la ville. Leurs membres sont en majorité des adolescents ayant fui leurs familles démunies, voire maltraitantes, souvent durement frappées par la guerre civile. Pour eux, le gang est une nouvelle famille, et c'est une source de subsistance. Mais c'est surtout un univers violent, un piège. Nous sommes allés à la rencontre de ces jeunes gangsters de Juba, que l'ONG Gredo, soutenue par l'Unicef, tente d'aider à s'en sortir. Un Grand reportage de Florence Miettaux qui s'entretient avec Jacques Allix. Migrants vénézuéliens emprisonnés au Salvador: les familles s'insurgent Au Venezuela, bien des familles de migrants sont en colère et se mobilisent ! Leurs proches font partie de ces dizaines d'hommes et de femmes (un chiffre de 252 circule) qui avait demandé l'asile aux États-Unis, et que le président américain a fait interner dans une prison de haute sécurité au Salvador. Un petit arrangement entre chefs d'États. Donald Trump les soupçonnait de faire partie d'une organisation criminelle de renom. Mi-mars 2025, sans jugement, le transfert a eu lieu sous les critiques des défenseurs des droits de l'homme. Les familles souvent modestes, démentent l'appartenance des leurs à des gangs, et se retrouvent prises dans la tourmente diplomatique, entre le très médiatique salvadorien Bukélé, le polémique américain Trump, et le controversé vénézuélien Maduro. Un Grand reportage de Alice Campaignolle qui s'entretient avec Jacques Allix.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
"La France des honnêtes gens", c'est le nom de la campagne que lance Bruno Retailleau, qui veut incarner une droite dure, en rupture avec le laxisme sur le plan sécuritaire et migratoire. Il reprend également le thème de l'assistanat. Ruth Elkrief estime que c'est un slogan qui fait mouche, mais qu'il a déjà servi et qu'il fait un peu rétro, comme Retailleau ! Elle souligne aussi que le visuel est sombre et anxiogène. Bien que le gouvernement affiche sa volonté de réindustrialiser le pays, l'avancée des projets peine à suivre et fait face à de nombreuses oppositions. Pour Pascal Perri, la France risque de devenir un grand jardin paysagé, parfait pour le tourisme, mais sans usine et sans emploi. Alors, il faut arbitrer notre avenir : des usines ou des parcs à Schtroumpfs. Ce mercredi 18 juin, Erdogan a pris la parole devant le Parlement turc, affirmant que le Premier ministre israélien Netanyahou avait depuis longtemps dépassé Hitler en matière de génocide. Il a qualifié la riposte iranienne de naturelle, légale et légitime face aux attaques illégales d'Israël. Selon Abnousse Shalmani, si les Kurdes iraniens réclament leur indépendance, cela pourrait donner de très mauvaises idées aux Kurdes turcs. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, direction l'est de la RDC, en Ituri. Là où en 1998, a éclaté une seconde guerre du Congo qui s'est poursuivie jusqu'en 2003, entre Hémas et Lendus. Les rivalités ethniques et économiques ont dégénéré en nombre d'atrocités. Près de 30 ans plus tard, les mêmes seniors de guerre congolais réapparaissent, Thomas Lubanga en tête condamné par la CPI. Et la même armée ougandaise a franchi la frontière. La violence, depuis le début de l'année, frappe les civils de toutes les communautés... En seconde partie, direction Tuvalu, dans l'océan Pacifique. La conférence des Nations unies sur les océans s'est refermée, il y a quelques jours à Nice, sur la côte méditerranéenne française. Les 7/10e de notre planète sont recouverts par mers et océans et l'eau monte à cause de la fonte des pôles due au changement climatique à tel point que des pays et leurs cultures sont menacés de disparition. En Ituri, les fantômes du passé resurgissent Grand reportage nous emmène aujourd'hui en Ituri dans l'est de la République démocratique du Congo. C'est dans cette province que les rivalités économiques et foncières entre l'ethnie des Hémas et celle des Lendus ont explosé à la fin des années 90, et ont fait basculer cette région, riche en or, dans la seconde guerre du Congo (1998-2003). Les atrocités commises par les milices des 2 communautés ont été d'une extrême violence et continuent encore aujourd'hui de marquer les esprits. Près de 30 ans plus tard, les mêmes seigneurs de guerre congolais réapparaissent… En tête ? Thomas Lubanga qui avait été condamné à 14 ans de prison par la Cour pénale internationale, notamment pour enrôlement d'enfants. La même armée étrangère, l'armée ougandaise, s'est déployée et a largement étendu sa présence en Ituri, ces derniers mois. Depuis le début de l'année 2025, une nouvelle flambée de violence secoue la province et touche les civils de toutes les communautés. Un Grand Reportage de Coralie Pierret qui s'entretient avec Jacques Allix. Disparition des Tuvalu avant 2100: le compte à rebours a commencé C'est une première dans l'Histoire moderne, un pays va disparaître à cause du changement climatique. L'archipel des Tuvalu, isolé au milieu de l'océan Pacifique, se bat face à des problématiques sans précédent : peut-on retarder l'inévitable montée des océans ? Comment conserver sa souveraineté et son identité sans territoire ? Si le gouvernement a déjà réussi à signer un traité avec l'Australie pour garantir l'asile climatique à l'ensemble de sa population, certains espèrent finir leurs jours sur la terre de leurs ancêtres. Un Grand reportage d'Emma Garboud-Lorenzoni qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, l'océan. Vient de s'achever à Nice, en France, la 3è conférence des Nations unies sur l'océan alors que le changement climatique rend plus difficiles les nombreux défis à relever dans cet espace qui représente tout de même 70% de la planète. À l'ordre du jour, entre autres, les menaces sur la pêche nourricière. Exemple, en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs de nos reporters sont partis recueillir des témoignages de pêcheurs sur les rivages ouest-africains. En deuxième partie, nous traitons de l'immigration venue d'Afrique à destination de l'Europe. La Tunisie est un point de passage privilégié avant la très risquée traversée de la Méditerranée, et les autorités tunisiennes sont engagées dans un processus d'endiguement de cette migration Sud-Nord. Communautés de pêcheurs ouest-africaines, menace sur la ressource Toute cette semaine, la ville de Nice dans le sud de la France accueille la troisième conférence des Nations unies sur l'océan. L'océan, qui occupe 70% de notre planète, est sous pression du changement climatique et malmené par l'activité humaine. Au point, parfois, de ne plus offrir aux populations des littoraux les ressources nécessaires. C'est le cas en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs reporters de RFI sont allés à leur rencontre en Guinée, en Sierra Leone, au Ghana et au Sénégal. Un Grand reportage de Laurent Correau. Avec Lizza Fabbian, Léa-Lisa Westerhoff, Juliette Dubois, Kpénahi Traoré, Tangi Bihan, Victor Cariou. Entretien avec Jacques Allix. Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Hélène se sent perdue après une rupture douloureuse avec son conjoint depuis 14 ans, qui l'a trompée et a quitté le foyer familial. Elle exprime un profond sentiment de solitude et d'angoisse, tout en jonglant avec des responsabilités professionnelles et familiales accablantes. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, l'océan. Entre le sommet de demain (lundi 9 juin 2025) à Nice et les travaux préparatoires de ces derniers jours, la tâche est importante, l'océan recouvre 70% de la planète, il est victime du changement climatique et de toutes les pollutions. La haute mer demeure encore vierge de réelle réglementation et cet espace est pourtant un gros atout pour la planète Terre. Entre autres, bien des populations vivent de la pêche. Exemple : le Groenland autonome du Danemark et lié à l'Union européenne, le secteur de la pêche est essentiel pour la population... En seconde partie, une rébellion nationaliste et musulmane, une guérilla oubliée à l'ordre du jour aujourd'hui, nous serons dans le sud profond de la Thaïlande. La pêche, quel avenir pour la mer nourricière du Groenland?Grand reportage vous emmène aujourd'hui au Groenland... Le territoire est autonome du Danemark et lié à l'Union européenne par un statut spécial, mais géographiquement il fait partie de l'Amérique du Nord. Et il intéresse le président américain… « Nous l'aurons d'une manière ou d'une autre », a même déclaré Donald Trump, n'excluant pas la force.Ses minerais, sa position stratégique, ce carrefour des routes de l'Arctique font rêver la Maison Blanche.Mais loin des projecteurs et des tensions géopolitiques de premier plan, la grande richesse du Groenland, en réalité, c'est la pêche.Dans le contexte de la conférence internationale sur les océans qui se tient en France, nous plongeons dans un secteur qui fait vivre la majeure partie de cette gigantesque île du grand Nord.Un Grand Reportage de Justine Fontaine, avec la collaboration de Patrick Abrahamsen. Entretien avec Jacques Allix. Grand Sud thaïlandais: l'insurrection oubliéeC'est une guérilla dont on parle peu. Dans la longue pointe sud de la Thaïlande, à la frontière de la Malaisie, loin des caméras, les provinces thaïlandaises de Yala, Pattani et Narathiwat sont en proie à un conflit entre l'État central de Bangkok et un groupe armé séparatiste musulman. Bilan : plus de 7 700 morts depuis 2004. Le massacre, cette année-là, de manifestants musulmans d'origine malaise, toujours impuni, a laissé des traces. Elle continue de hanter toute la région. En témoigne la résurgence des violences meurtrières depuis le début de cette année.Un Grand reportage de notre correspondant à Bangkok, Valentin Cebron qui s'entretient avec Jacques Allix.
Pas de temps de s'échauffer, les "Grandes Gueules du Sport" démarrent fort dès 9h00 : la UNE c'est l'actu brûlante du sport, entre infos, analyses et débats.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, l'océan. Le premier grand sommet international sous l'égide de l'ONU lui est consacré. Ce sera la semaine prochaine à Nice, en France. Et déjà, cette semaine, scientifiques et société civile se sont penchés sur cette immensité de bleu dont la souffrance a plus d'un impact sur l'ensemble de la population mondiale. 2 semaines d'intenses travaux pour parler de changement climatique, de pêche, de pollution, d'exploitation des grands fonds entre autres... Grand reportage sur ce thème nous transportera la semaine prochaine en Afrique et en Océanie. Aujourd'hui direction la France, peut-on contrer la montée du niveau des mers, non pas à grands renforts de digues mais grâce à des solutions beaucoup plus naturelles. Réponse, plutôt oui, en métropole et aux Antilles... En deuxième partie, direction la Turquie qui est devenue une terre d'asile pour certains Français à la recherche d'éthique islamique, nous les retrouvons à Alanya. Face à la montée des eaux, la nature peut nous rendre serviceD'ici la fin du siècle, les scientifiques estiment que le niveau des mers pourrait augmenter d'1 mètre à cause du réchauffement climatique.11% de la population et 14% du PIB mondial pourraient ainsi prendre l'eau. Des centaines de km de digues et de barrières ont été construites.Mais pour faire barrage, d'autres territoires optent plutôt pour des solutions plus naturelles. Exemple en France.Un Grand reportage de Jeanne Richard qui s'entretient avec Jacques Allix.Alanya, le refuge turc des musulmans qui ont choisi de quitter la FranceGrand reportage nous emmène aujourd'hui en Turquie, à la rencontre de ces Français de confession musulmane qui ont choisi de quitter la France. Ils se sont installés à Alanya, station balnéaire du sud du pays, connue pour ses plages de sable banc et son eau cristalline. Et plus précisément dans des résidences francophones dites résidences islamiques. Cette initiative est unique en Turquie.Les résidences ont été conçues de manière à respecter l'éthique islamique, avec une piscine réservée aux femmes, un spa et une salle de sport séparés en fonction du sexe, ou encore un accès direct à la mosquée d'à côté.Sur le papier, tout cela promet de pouvoir vivre sa foi loin des controverses liées à l'islam.Mais sur place, ces Français font face à quelques difficultés…Un Grand reportage de Manon Chapelain qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce dimanche, une émission aux couleurs des matières premières, du blanc avec le coton du Cameroun, du noir avec le pétrole du Texas. Cameroun, nuages sur l'or blancCoincée entre le Tchad et le Nigeria, la région de Garoua est le bassin cotonnier du Cameroun… Le coton, introduit à l'époque de la colonisation, fait vivre encore plus de 2 millions de personnes. Il nourrit la région, mais également une partie du pays grâce à une filière très structurée. Le coton profite également aux caisses de l'État : dans le secteur agricole, il est le troisième pourvoyeur de devises après le cacao et la banane. Produire l'or blanc n'est pas pour autant l'assurance de bons revenus. Beaucoup de petits producteurs peinent à joindre les deux bouts et passent leur vie à rembourser certains produits indispensables comme les engrais.Un Grand reportage de Charlotte Cosset qui s'entretient avec Jacques Allix.Texas : énergies vertes au pays de l'or noir « Drill, baby drill », un slogan qui résume toute la politique énergétique de Donald Trump. Forez encore et encore : un choix clair pour l'exploitation du pétrole et du gaz et la multiplication des forages, dans un pays devenu le premier producteur mondial devant l'Arabie saoudite. Avec près de 18 millions de barils par jour. Un discours du président des États-Unis qui résonne au Texas, bien sûr : cet État du sud conservateur est le principal producteur de pétrole et de gaz naturel liquéfié du pays. Mais le Texas, c'est aussi le leader incontestable des énergies vertes aux États-Unis. Une transition ? Pas vraiment, plutôt une addition.Un Grand reportage de Nathanaël Vittrant qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, l'Amérique du Sud avec ces Équatoriens qui se battent contre les mines d'or légales ou illégales et le football parisien avec l'émergence d'un second grand club dans la capitale française. Le combat des paysans équatoriens contre les mines d'orEn Équateur, petit pays d'Amérique du Sud, l'exploitation illégale de l'or a rapporté aux trafiquants environ 1,3 milliard de dollars ces deux dernières années. Une activité lucrative souvent contrôlée par des mafias. Activité qui détruit l'environnement et provoque bien souvent le mécontentement des communautés paysannes. C'est le cas dans le Choco Andino, à l'ouest de la capitale, Quito. Dans cette réserve de biosphère, les habitants ont réussi à faire interdire les nouvelles concessions minières par référendum. Mais la soif de l'or reste forte.Un Grand reportage de Raphaël Morán qui s'entretient avec Jacques Allix.Paris FC : l'autre pari du footballUn petit vent d'air frais commence à souffler sur le football français. Paris aura un second club de foot au plus haut niveau, aux côtés du PSG. Deux grands clubs pour une capitale dans la lignée de Londres, Madrid. Voici le Paris Football Club. Né en 1969, il a connu une histoire contrariée, longtemps dans l'ombre du Paris Saint-Germain. Alors que l'équipe féminine du Paris FC a remporté la Coupe de France, l'équipe masculine vient de vivre cette épopée : la montée en Ligue 1. Le rachat du club par la famille de la cinquième fortune mondiale, Bernard Arnault, laisse entrevoir un futur radieux. Et pour se démarquer du puissant voisin en place, le Paris FC entend miser sur la formation, le temps long, et s'appuyer sur son identité populaire. Un Grand reportage de Victor Missistrano qui s'entretient avec Jacques Allix.
durée : 00:59:41 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Au-delà des aspirations mégalomanes de certains milliardaires, la course à l'espace des entreprises privées révolutionne les techniques et les industries spatiales. Les entreprises privées permettront-elles de rendre l'espace plus accessible? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Paul Wohrer Chercheur, responsable du programme Espace de l'IFRI; Irénée Régnauld Doctorant à l'EHESS et chercheur associé au laboratoire COSTECH de l'université de Compiègne.; Caroline Amiot-Bazile Sous-Directrice Synthèse Stratégique et Observatoire au CNES
Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Nous parlons aujourd'hui : - Du « Mister », qui est au chevet de la Seleção. ; - De l'Union SG, 90 ans après ! Champion de Belgique. ; - D'un second club dans l'élite à Paris. « Mister » au chevet de la SeleçãoPremière liste du Brésil sans le « Ney », écarté car jugé à court de forme après sa récente blessure. Carlo Ancelotti assure toutefois que Neymar « comptera toujours » à l'avenir. Il a rappelé deux « Anglais » : Casemiro de Manchester United, et Richarlison de Tottenham pour les matches éliminatoires Mondial 2026, en Équateur puis face au Paraguay. Carletto compte-t-il ouvrir une nouvelle ère sans son icone ? Il veut aussi s'appuyer sur le gros réservoir de joueurs locaux.L'Union SG, 90 ans après !Champion de Belgique. Le club bruxellois a décroché un 12è titre de champion. Les Jaune et Bleu de Noah Sadiki, Sofiane Boufal Promise David et l'autre Mac Allister (Kevin), avait retrouvé l'élite belge en 2021, a réalisé un quasi sans faute lors de la phase de play-offs. Le club de Sébastien Pocognoli disputera la Ligue des Champions, est-il en train de faire oublier Anderlecht ?Un second club dans l'élite à ParisLe Paris Football Club retrouvera, entre autres, le PSG en Ligue 1. Une formation à l'histoire contrastée, longtemps dans l'ombre des Rouge et Bleu. Alors que les féminines du PFC ont remporté la Coupe de France, à quoi ressemble le projet du onze Bleu Marine ? Va-t-il s'inspirer de son voisin ? Quels sont ses supporters ?Avec Annie Gasnier : Marina Lorenzo, Philippe Doucet, Étienne Moatti, Timoty Dille, Victor Missistrano, Henri Akodo. Technique/réalisation : Laurent Salerno — David Fintzel/Pierre Guérin.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Nous parlons aujourd'hui : - Du « Mister », qui est au chevet de la Seleção. ; - De l'Union SG, 90 ans après ! Champion de Belgique. ; - D'un second club dans l'élite à Paris. « Mister » au chevet de la SeleçãoPremière liste du Brésil sans le « Ney », écarté car jugé à court de forme après sa récente blessure. Carlo Ancelotti assure toutefois que Neymar « comptera toujours » à l'avenir. Il a rappelé deux « Anglais » : Casemiro de Manchester United, et Richarlison de Tottenham pour les matches éliminatoires Mondial 2026, en Équateur puis face au Paraguay. Carletto compte-t-il ouvrir une nouvelle ère sans son icone ? Il veut aussi s'appuyer sur le gros réservoir de joueurs locaux.L'Union SG, 90 ans après !Champion de Belgique. Le club bruxellois a décroché un 12è titre de champion. Les Jaune et Bleu de Noah Sadiki, Sofiane Boufal Promise David et l'autre Mac Allister (Kevin), avait retrouvé l'élite belge en 2021, a réalisé un quasi sans faute lors de la phase de play-offs. Le club de Sébastien Pocognoli disputera la Ligue des Champions, est-il en train de faire oublier Anderlecht ?Un second club dans l'élite à ParisLe Paris Football Club retrouvera, entre autres, le PSG en Ligue 1. Une formation à l'histoire contrastée, longtemps dans l'ombre des Rouge et Bleu. Alors que les féminines du PFC ont remporté la Coupe de France, à quoi ressemble le projet du onze Bleu Marine ? Va-t-il s'inspirer de son voisin ? Quels sont ses supporters ?Avec Annie Gasnier : Marina Lorenzo, Philippe Doucet, Étienne Moatti, Timoty Dille, Victor Missistrano, Henri Akodo. Technique/réalisation : Laurent Salerno — David Fintzel/Pierre Guérin.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, direction l'est de l'Europe. Chaque jour, la Russie est à l'offensive contre l'Ukraine. Missiles, drones, artillerie, le nombre des victimes, le plus souvent des civils, ne cesse d'augmenter et pour l'Europe, le risque d'une extension du conflit au-delà de l'Ukraine est très prégnant. L'Estonie est déjà en position défensive, mais pour s'armer, il faut de l'argent, la part du PIB réservée à l'armement va donc passer de 3 à 5%. En seconde partie, direction le Cameroun, à Buea, dans l'ouest du pays non loin de la zone côtière, dans l'une des 2 régions anglophones. Buea tangente la zone chaude du conflit séparatiste. Estonie : la Défense à tout prix C'est une ex-République de l'URSS située au nord de l'Europe : l'Estonie, l'un des trois pays baltes vit avec la crainte de subir à son tour une attaque de son grand voisin russe. Le pays qui dépense déjà beaucoup pour sa défense - plus de 3% de son PIB - a décidé d'aller encore plus loin. Dès l'année prochaine, le pays va consacrer plus de 5% de son PIB à la défense. C'est d'après le gouvernement, le prix à payer pour assurer sa sécurité, tout en gardant le soutien de l'allié américain.Un Grand Reportage de Nicolas Feldmann qui s'entretient avec Jacques Allix.Buea, les échos d'une crise oubliée au Cameroun anglophone Au Cameroun, les autorités viennent de célébrer (le 20 mai) la Fête de l'Unité nationale. Mais dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début de la lutte armée. Face à face : groupes séparatistes réclamant l'indépendance du Cameroun anglophone et forces gouvernementales. En 8 ans, la nature de la crise a changé. Les mouvements armés se sont fragmentés. Le front s'est dilué en diverses zones d'insécurité.Les civils restant les premières victimes.L'impact est réel, même dans les zones calmes des régions anglophones.En cette année électorale au Cameroun, Amélie Tulet s'est rendue fin février 2025 à Buea, capitale du Sud-Ouest, relativement sûre et terre d'accueil de nombreux déplacés. La population y souffre de la crise en termes de santé, de sécurité, ou d'économie.Un Grand reportage d'Amélie Tulet, avec Alphonse Tebeck. Entretien avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, nous partons en Chine avec son milliard trois cent millions d'habitants, tente en effet de prendre un virage majeur depuis plusieurs années, celui de la relance de la natalité. Face aux 9 millions et demi de bébés seulement en 2024, un des niveaux les plus bas depuis la fondation de la République populaire de Chine, l'État multiplie les incitations mais les jeunes ont plutôt d'autres projets... En deuxième partie, une page nature et culture dans le parc de la Lopé, un des plus beaux parcs naturels du pays qui recèle une part d'histoire, ou plutôt de la préhistoire du Gabon. Avec peu de moyens, les gardes du parc tentent de préserver et développer ce patrimoine. Naissances en Chine : quand l'intime défie la politiqueLe vent tourne en Chine en termes de natalité. L'enfant unique fut longtemps une obligation. Aujourd'hui, l'inverse est presque de mise : l'État s'inquiète de voir les naissances chuter. En 2024, le pays n'a enregistré que 9 millions et demi de bébés, très peu à l'échelle du pays. Un des niveaux les plus bas depuis la fondation de la République populaire. Les autorités multiplient les incitations. Mais les jeunes, eux, y regardent à deux fois. Grandir, aimer et transmettre. Ils s'interrogent. Un Grand reportage de Clea Broadhurst et Chi Xiangyuan. Entretien avec Jacques Allix.Le parc de la Lopé, sauvegarder le patrimoine naturel et humain du GabonIl est le plus ancien et le plus connu des parcs nationaux du Gabon. Le parc national de Lopé-Okanda en plein cœur du pays, abrite sur 5.000 km² une faune et une flore d'une grande richesse. Mais aussi un patrimoine archéologique qui lui vaut d'être classé à l'UNESCO depuis 2007.Malgré des moyens limités, les équipes des parcs nationaux font de leur mieux pour défendre l'intégrité de ce havre de savanes et de forêts baigné par les eaux du fleuve Ogooué.Un Grand reportage de François Mazet qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, deux reportages consacrés à un mouvement de guérilla islamiste qui sévit en Afrique centrale, l'ADF, un des groupes les plus violents du continent, fondé en Ouganda dans les années 1990 pour évincer le président Museveni, il sévit dans l'est de la RDC. «ADF» est l'acronyme anglais pour Forces démocratiques alliées. Le groupe se présente aujourd'hui comme la branche de l'État islamique en Afrique centrale depuis que son chef a prêté allégeance à l'État islamique en 2017. Qui se cache derrière le groupe État islamique en Afrique centraleC'est l'un des groupes armés les plus meurtriers et les plus mystérieux de l'est de la RDC. Leur nom : les ADF, acronyme anglais désignant les Forces démocratiques alliées. Fondé il y a 30 ans par des Ougandais, le groupe se présente aujourd'hui comme la branche de l'État islamique en Afrique centrale, depuis que son chef a prêté allégeance au groupe terroriste en 2017. Nous nous sommes rendus à Kampala dans un centre de déradicalisation pour anciens combattants. Un centre qui a ouvert sa porte à un.e journaliste pour la première fois.Un Grand reportage de Florence Morice qui s'entretient avec Jacques Allix. Organisation État islamique en RDC: la mécanique de la radicalitéDepuis 2021, l'armée ougandaise a noué un partenariat avec la fondation Bridgeway. En plus des opérations militaires menées contre le groupe islamiste ADF, la fondation a mis en place un programme de réinsertion et de déradicalisation à destination de leurs anciens membres. Pour la première fois, en mars, les équipes ont ouvert leurs portes à RFI. Florence Morice a passé une semaine à l'intérieur du centre. Grand Reportage.Un Grand reportage de Florence Morice qui s'entretient avec Jacques Allix.
durée : 00:38:07 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Avec 74,3 % des voix, Bruno Retailleau a largement remporté la présidence de LR. Ce triomphe suffit-il à relancer un parti en déclin ou marque-t-il sa transformation en force d'appoint conservatrice face au RN ? LR a-t-il encore un rôle central à jouer ? - réalisation : François Richer - invités : Baptiste Roger-Lacan Historien; Yves Citton Professeur de littérature et médias à l'Université Paris 8 et co-directeur de la revue Multitudes
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, le début de la libération de la parole dans le domaine du sport ivoirien, le déclencheur : le procès de Tadjou Attada, un ex-entraîneur national de taekwondo pour harcèlement moral. En deuxième partie, Guillaume Thibault nous accompagne au coeur du FEMUA (festival des musiques urbaines). Un événement pas seulement musical, mais qui symbolise le partage et l'équité. Côte d'Ivoire: le procès Tadjou Attada, une brèche dans le mur du silence sur le harcèlement sexuelEn Côte d'Ivoire, cela a été une première. Une athlète a eu gain de cause contre son entraîneur qui la harcelait. 6 mois de prison ferme et 500 000 francs CFA d'amende : c'est la peine prononcée fin février 2025 contre Tadjou Attada, l'ex-entraîneur national de Taekwondo, qui a fait appel. L'affaire n'est pas finie... il a été condamné pour harcèlement moral et non sexuel, malgré le réquisitoire en ce sens. Mais c'est une victoire pour Mariama Cissé, la plaignante, pour d'autres Taekwondoïstes également et, au-delà encore, pour ces athlètes qui ont du mal à sortir des griffes de leur entraîneur... C'est même une porte qui s'ouvre sur la libération de la parole pour les femmes ivoiriennes.Un Grand Reportage de Youenn Gourlay qui s'entretient avec Jacques Allix. FEMUA, quand un festival voit plus loin que la musiqueAngélique Kidjo, Kaaris, Josey, Himra : tous ces artistes ont partagé récemment la scène du FEMUA. La 17è édition du festival des musiques urbaines d'Anoumabo s'est déroulée du 15 au 20 avril 2025 en Côte d'Ivoire, à Abidjan puis à Daloa. Avec le temps, cet évènement, créé par les membres du groupe Magic System, est devenu mythique : plus que de la musique et des concerts gratuits, le FEMUA porte et défend des valeurs de partage et d'équité, cherche à faire bouger les lignes politiques locales et sous-régionales. Nous vous proposons donc une plongée au cœur de cet évènement.Un Grand reportage de Guillaume Thibault qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, deux reportages consacrés à la guerre qui sévit depuis trois ans au Soudan. En deuxième partie, nous sommes dans l'est du Tchad, des centaines de milliers de Soudanais s'y sont réfugiés depuis le début du conflit. Mais pour commencer, c'est bien au Soudan en guerre que l'on retrouve notre envoyée spéciale. À Khartoum : la guerre et le chaosAu Soudan, la guerre est entrée dans sa troisième année. Trois ans que s'affrontent l'armée du général Abdel Fattah al-Burhan et les Forces de soutien rapide, des paramilitaires dirigés par le général Mohammed Hamdan Daglo, alias Hemedti. Aujourd'hui, le Soudan est divisé en deux : l'armée domine le nord et l'est, tandis que le sud-ouest, avec notamment l'immense région du Darfour, est aux mains des FSR. La guerre au Soudan est considérée par l'ONU comme la plus grave crise humanitaire du moment. 13 millions de Soudanais ont fui les conflits. Aujourd'hui, certains tentent de rentrer chez eux, mais ne trouvent que désolation.Un Grand reportage de Gaëlle Laleix qui s'entretient avec François Ballarin.Survivre dans les camps de réfugiés soudanais de l'est tchadienNous partons pour l'est du Tchad, terre d'accueil de centaines de milliers de réfugiés soudanais. Ils ont fui cette guerre interne qui fait rage depuis le 15 avril 2023 au Soudan. À cette date, les Forces de soutien rapide (FSR) menées par le général « Hemedti » se soulèvent contre l'armée régulière soudanaise du général al-Buhran. Les FSR, majoritairement composées de milices arabes janjawid, la garde prétorienne de l'ex-président Omar el-Béchir, déchaînent leur violence au Darfour où elles sont actives depuis plusieurs décennies. 775 000 Soudanais ont fui vers le Tchad voisin : en grande majorité des femmes et des enfants Masalit, une communauté non arabe du Darfour.Un Grand reportage de Victor Mauriat qui s'entretient avec François Ballarin.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, road trip à travers l'Amérique où nous découvrirons comment la diversité est mise à mal par les partisans du président Donald Trump. En deuxième partie, direction le Pérou, à la rencontre de la communauté afro-péruvienne qui se bat pour la reconnaissance de leurs droits. Les trumpistes à l'assaut de la diversité historique de l'AmériqueIl y a 100 jours, Donald Trump redevenait président des États-Unis. Ce grand reportage, consacré à ce bouleversement à l'échelle de la planète, est un road trip. À travers quatre États : Alabama, Indiana, Géorgie, Kentucky, nous allons découvrir la marche arrière radicale en termes de diversité qui a été enclenchée. La nouvelle administration Trump, à coups de décrets expéditifs, de déclarations blessantes, renvoie à leurs difficultés d'intégration, personnes de couleur, femmes, handicapés, LGBT. Les républicains au pouvoir, dont les élus les plus ultras avaient déjà amorcé le mouvement, bannissent la fameuse politique du DEI, le DEI pour diversité, équité, inclusion. Visées : la fonction publique, les universités, les entreprises. Là où, pour Donald Trump, le rêve américain bâti sur le mérite est mis à mal.Un Grand reportage d'Edward Maille qui s'entretient avec Jacques Allix.La nouvelle génération d'Afro-Péruviens donne de la voixAu Pérou, au moins 3,5 % de la population, soit plus de 825 000 Péruviens, déclarent avoir des ascendances africaines. Conséquence d'un passé esclavagiste, imposé par les colons espagnols dès le XVIe siècle. Si les Afro-Péruviens ont laissé une forte empreinte dans la culture du pays, par leurs danses, leurs musiques, leur gastronomie... la communauté reste toujours plus défavorisée que la moyenne. Elle se bat donc pour la reconnaissance de ses droits, un combat qui ne cesse de se renforcer.Un Grand reportage de Juliette Chaignon qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, deux grands reportages consacrés aux 100 premiers jours de la gouvernance de Trump aux États-Unis. En première partie, nous verrons quels en sont les impacts en Afrique australe, puis nous reviendrons, en deuxième partie, sur l'attaque du Capitole du 6 janvier 2021. Avec nos envoyés spéciaux, revivons les espoirs de grâce, des pro-Trump les plus ultras, soulevés par le retour de leur idole à la Maison Blanche et le développement d'une véritable culture du 6 janvier. Trump à la Maison Blanche, impact particulier pour l'Afrique australeMercredi 30 avril 2025, cela fera 100 jours que Donald Trump gouverne les États-Unis, et au-delà qu'il fait frissonner la planète. Avec un tourbillon d'ordres et contre-ordres et de coups de balai. Licenciements massifs de fonctionnaires, coupes des aides internationales, augmentation des droits de douanes… des décrets signés presque quotidiennement. Stratégie du chaos pour le monde – Afrique comprise. Avant de se rendre à Maseru, capitale du Lesotho, royaume tourné en dérision par Donald Trump, direction l'Afrique du Sud, en pleine crise diplomatique avec Washington.Un Grand reportage de Valentin Hugues qui s'entretient avec Jacques Allix.Trump, le retour : attaque du Capitole, le grand pardonPlus de trois mois d'interrogation, d'inquiétude, de bouleversement pour les États-Unis et le monde. Dès l'investiture du 20 janvier 2025, le ton était donné. Oui, le redevenu président allait tenir ses folles promesses de campagne. Et oui, ses milliers de partisans qui avaient pris d'assaut le siège du Parlement, sans qu'il réagisse, allaient être graciés. Cette prise de contrôle manu militari du Capitole du 6 janvier 2021 contestait ainsi la victoire du démocrate Joe Biden. Ce reportage est une rediffusion. Un Grand reportage de David Thomson et Guillaume Naudin qui s'entretiennent avec Jacques Allix.