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L'élection de Donald Trump est « un point de bascule dont nous commençons tout juste à prendre la mesure », écrit Anne-Lorraine Bujon, dans le numéro de mai de la revue ESPRIT, dont elle est la directrice. Comme chaque mois, elle est l'invitée de Pierre-Edouard Deldique. Ce dossier s'intitule : « La force sans le droit ».Il a été conçu par Anne-Lorraine Bujon et par le magistrat Antoine Garapon qui fut notamment juge des enfants. En introduction, tous les deux soulignent l'importance de la nouvelle époque dans laquelle nous sommes entrés. « Qu'un pouvoir démocratique – et pas n'importe lequel ! – fasse du droit et des juges ses principales cibles en prétendant ouvrir une nouvelle ère post-libérale, voilà qui mérite qu'on y regarde de plus près ».Tout au long de l'émission, les différents articles du dossier sont évoqués, celui de François Ost par exemple qui explique que « tout le monde comprend que le second mandat de Trump traduit l'inféodation du droit à la politique, elle-même guidée par l'économie sur fond de technologies avancées (Elon Musk derrière ou devant Trump ? », le tout assaisonné d'une bonne dose de narcissisme vengeur ».La revue revient aussi sur le contexte de l'élection ; la démocratie, la mondialisation, l'Europe, le poids de la Chine car au-delà de Donald Trump c'est le monde qui change d'époque.Fini l'ordre de 1945, fini la « mondialisation heureuse » une nouvelle époque est née qui, plus que jamais, sera dominée par les rapports de force avec en outre une singularité : la toute puissance du numérique et de l'intelligence artificielle.De tout cela, il est question dans ce numéro d'IDÉES. Revue ESPRITDossier : La force sans le droitNuméro de mai 2025www.esprit.presse Programmation musicale :- Jeff Mills Powerland- Brad Mehldau & Mark Giuliana You can't go back now.
L'élection de Donald Trump est « un point de bascule dont nous commençons tout juste à prendre la mesure », écrit Anne-Lorraine Bujon, dans le numéro de mai de la revue ESPRIT, dont elle est la directrice. Comme chaque mois, elle est l'invitée de Pierre-Edouard Deldique. Ce dossier s'intitule : « La force sans le droit ».Il a été conçu par Anne-Lorraine Bujon et par le magistrat Antoine Garapon qui fut notamment juge des enfants. En introduction, tous les deux soulignent l'importance de la nouvelle époque dans laquelle nous sommes entrés. « Qu'un pouvoir démocratique – et pas n'importe lequel ! – fasse du droit et des juges ses principales cibles en prétendant ouvrir une nouvelle ère post-libérale, voilà qui mérite qu'on y regarde de plus près ».Tout au long de l'émission, les différents articles du dossier sont évoqués, celui de François Ost par exemple qui explique que « tout le monde comprend que le second mandat de Trump traduit l'inféodation du droit à la politique, elle-même guidée par l'économie sur fond de technologies avancées (Elon Musk derrière ou devant Trump ? », le tout assaisonné d'une bonne dose de narcissisme vengeur ».La revue revient aussi sur le contexte de l'élection ; la démocratie, la mondialisation, l'Europe, le poids de la Chine car au-delà de Donald Trump c'est le monde qui change d'époque.Fini l'ordre de 1945, fini la « mondialisation heureuse » une nouvelle époque est née qui, plus que jamais, sera dominée par les rapports de force avec en outre une singularité : la toute puissance du numérique et de l'intelligence artificielle.De tout cela, il est question dans ce numéro d'IDÉES. Revue ESPRITDossier : La force sans le droitNuméro de mai 2025www.esprit.presse Programmation musicale :- Jeff Mills Powerland- Brad Mehldau & Mark Giuliana You can't go back now.
durée : 00:20:33 - L'invité de 8h20 - Aujourd'hui dans le grand entretien, nous recevons le magistrat Antoine Garapon, ancien juge des enfants, enquêteur international sur des atrocités de masse, expert sur la justice transitionnelle, membre de la CIASE et auteur de “Pour une autre justice, la voix restaurative” (PUF).
durée : 03:00:37 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, entretien exceptionnel à 7h50 avec Al Gore, l'ancien vice-président des USA, évoque sa lutte contre le changement climatique. Et à 8h20, nous recevons le magistrat Antoine Garapon, auteur de “Pour une autre justice, la voix restaurative” (PUF). - réalisé par : Marie MéRIER
Cette émission donne la parole à des personnes qui ont subi alors qu'elles étaient mineures, des agressions sexuelles par des religieux, des personnes qui représentent le sacré. Des victimes qui sont longtemps restées invisibles, murées dans un silence et une culpabilité qui ont rongé leur vie. Cet épisode avait été enregistré avant la publication le 16 juillet 2024 d'un rapport indépendant (enquête commandée par Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre) accusant l'Abbé Pierre - figure iconique de la lutte contre l'exclusion, décédé en 2007 – d'agressions sexuelles sur plusieurs femmes entre 1970 et 2005. Plusieurs années, voire décennies après les faits, des femmes ont osé parler.Le synode sur l'avenir de l'Église catholique, qui s'achève ce 27 octobre 2024 à Rome, posera-t-il clairement la question de la lutte contre le caractère systémique des agressions sexuelles dans l'Église catholique ? Parler, dire, nommer l'indicible : c'est ce qu'ont réussi à faire des victimes d'agressions sexuelles dans l'Église qui témoignent dans le livre « Quand le diable a revêtu l'habit » (Éd. Karthala, 2024). Elles ont pu prendre la plume pour écrire leur récit, raconter leurs souffrances, les conséquences et les séquelles sur leur vie et celle de leur entourage, leur démarche pour enfin sortir du silence, dénoncer ces violences sexuelles par des représentants de l'Église catholique. Des agressions sexuelles qui ont un caractère systémique, comme l'a indiqué le rapport de la CIASE, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église catholique publié en octobre 2021 - selon lequel 330 000 personnes ont pu subir ces violences sexuelles lorsqu'elles étaient mineures, au cours des 70 dernières années, par des membres de l'Église, des clercs ou des laïcs.Écrire pour sortir de la passivité, raconter son histoire et dénoncer l'inertie de l'Église catholique : c'est l'objectif de cet ouvrage, avec les témoignages de onze victimes de violences sexuelles dans l'Église, vous entendrez les récits de trois d'entre elles. Une initiative lancée par la CRR, la Commission reconnaissance et réparation, dont nous avons reçu en studio son président, Antoine Garapon.(rediffusion).Invité en studio :Antoine Garapon, président de la CRR (Commission reconnaissance et réparation), magistrat, secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice et producteur de l'émission « Esprit de justice » à France CultureTémoignages de Roland, Yannick et « Pierre », victimes d'agressions sexuelles par des religieux alors qu'ils étaient mineurs, et qui ont effectué les démarches auprès de la CRR. Ils ont publié leurs récits, avec huit autres victimes, dans le livre « Quand le diable a revêtu l'habit » (éditions Karthala, 2024). CRR : Commission reconnaissance et réparationContact téléphonique : +33 9 73 88 25 71Contact mail : victimes@crr.contact.
Cette émission donne la parole à des personnes qui ont subi alors qu'elles étaient mineures, des agressions sexuelles par des religieux, des personnes qui représentent le sacré. Des victimes qui sont longtemps restées invisibles, murées dans un silence et une culpabilité qui ont rongé leur vie. Cet épisode avait été enregistré avant la publication le 16 juillet 2024 d'un rapport indépendant (enquête commandée par Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre) accusant l'Abbé Pierre - figure iconique de la lutte contre l'exclusion, décédé en 2007 – d'agressions sexuelles sur plusieurs femmes entre 1970 et 2005. Plusieurs années, voire décennies après les faits, des femmes ont osé parler.Le synode sur l'avenir de l'Église catholique, qui s'achève ce 27 octobre 2024 à Rome, posera-t-il clairement la question de la lutte contre le caractère systémique des agressions sexuelles dans l'Église catholique ? Parler, dire, nommer l'indicible : c'est ce qu'ont réussi à faire des victimes d'agressions sexuelles dans l'Église qui témoignent dans le livre « Quand le diable a revêtu l'habit » (Éd. Karthala, 2024). Elles ont pu prendre la plume pour écrire leur récit, raconter leurs souffrances, les conséquences et les séquelles sur leur vie et celle de leur entourage, leur démarche pour enfin sortir du silence, dénoncer ces violences sexuelles par des représentants de l'Église catholique. Des agressions sexuelles qui ont un caractère systémique, comme l'a indiqué le rapport de la CIASE, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église catholique publié en octobre 2021 - selon lequel 330 000 personnes ont pu subir ces violences sexuelles lorsqu'elles étaient mineures, au cours des 70 dernières années, par des membres de l'Église, des clercs ou des laïcs.Écrire pour sortir de la passivité, raconter son histoire et dénoncer l'inertie de l'Église catholique : c'est l'objectif de cet ouvrage, avec les témoignages de onze victimes de violences sexuelles dans l'Église, vous entendrez les récits de trois d'entre elles. Une initiative lancée par la CRR, la Commission reconnaissance et réparation, dont nous avons reçu en studio son président, Antoine Garapon.(rediffusion).Invité en studio :Antoine Garapon, président de la CRR (Commission reconnaissance et réparation), magistrat, secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice et producteur de l'émission « Esprit de justice » à France CultureTémoignages de Roland, Yannick et « Pierre », victimes d'agressions sexuelles par des religieux alors qu'ils étaient mineurs, et qui ont effectué les démarches auprès de la CRR. Ils ont publié leurs récits, avec huit autres victimes, dans le livre « Quand le diable a revêtu l'habit » (éditions Karthala, 2024). CRR : Commission reconnaissance et réparationContact téléphonique : +33 9 73 88 25 71Contact mail : victimes@crr.contact.
Cette émission donne la parole à des personnes qui ont subi alors qu'elles étaient mineures, des agressions sexuelles par des religieux, des personnes qui représentent le sacré. Des victimes qui sont longtemps restées invisibles, murées dans un silence et une culpabilité qui ont rongé leur vie. Cet épisode a été enregistré avant la publication le 16 juillet 2024 d'un rapport indépendant (enquête commandée par Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre) accusant l'Abbé Pierre - figure iconique de la lutte contre l'exclusion, décédé en 2007 - d'agressions sexuelles sur plusieurs femmes entre 1970 et 2005. Plusieurs années, voire décennies après les faits, des femmes ont osé parler.Parler, dire, nommer l'indicible : c'est ce qu'ont réussi à faire des victimes d'agressions sexuelles dans l'Église, qui témoignent dans le livre « Quand le diable a revêtu l'habit » (Éd. Karthala, 2024). Elles ont pu prendre la plume pour écrire leur récit, raconter leurs souffrances, les conséquences et les séquelles sur leur vie et celle de leur entourage, leur démarche pour enfin sortir du silence, dénoncer ces violences sexuelles par des représentants de l'Église catholique. Des agressions sexuelles qui ont un caractère systémique, comme l'a indiqué le rapport de la CIASE, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église catholique publié en octobre 2021 - selon lequel 330 000 personnes ont pu subir ces violences sexuelles lorsqu'elles étaient mineures, au cours des 70 dernières années, par des membres de l'Église, des clercs ou des laïcs.Écrire pour sortir de la passivité, raconter son histoire et dénoncer l'inertie de l'Église catholique : c'est l'objectif de cet ouvrage, avec les témoignages de onze victimes de violences sexuelles dans l'Église, vous entendrez les récits de trois d'entre elles. Une initiative lancée par la CRR, la Commission reconnaissance et réparation, dont nous avons reçu en studio son président, Antoine Garapon. Invité en studio :Antoine Garapon, président de la CRR (Commission reconnaissance et réparation), magistrat, secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice et producteur de l'émission « Esprit de justice » à France CultureTémoignages de Roland, Yannick et « Pierre », victimes d'agressions sexuelles par des religieux alors qu'ils étaient mineurs, et qui ont effectué les démarches auprès de la CRR. Ils ont publié leurs récits, avec huit autres victimes, dans le livre « Quand le diable a revêtu l'habit » (éditions Karthala, 2024).CRR : Commission reconnaissance et réparation.Contact téléphonique : +33 9 73 88 25 71Contact mail : victimes@crr.contact.
Cette émission donne la parole à des personnes qui ont subi alors qu'elles étaient mineures, des agressions sexuelles par des religieux, des personnes qui représentent le sacré. Des victimes qui sont longtemps restées invisibles, murées dans un silence et une culpabilité qui ont rongé leur vie. Cet épisode a été enregistré avant la publication le 16 juillet 2024 d'un rapport indépendant (enquête commandée par Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre) accusant l'Abbé Pierre - figure iconique de la lutte contre l'exclusion, décédé en 2007 - d'agressions sexuelles sur plusieurs femmes entre 1970 et 2005. Plusieurs années, voire décennies après les faits, des femmes ont osé parler.Parler, dire, nommer l'indicible : c'est ce qu'ont réussi à faire des victimes d'agressions sexuelles dans l'Église, qui témoignent dans le livre « Quand le diable a revêtu l'habit » (Éd. Karthala, 2024). Elles ont pu prendre la plume pour écrire leur récit, raconter leurs souffrances, les conséquences et les séquelles sur leur vie et celle de leur entourage, leur démarche pour enfin sortir du silence, dénoncer ces violences sexuelles par des représentants de l'Église catholique. Des agressions sexuelles qui ont un caractère systémique, comme l'a indiqué le rapport de la CIASE, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église catholique publié en octobre 2021 - selon lequel 330 000 personnes ont pu subir ces violences sexuelles lorsqu'elles étaient mineures, au cours des 70 dernières années, par des membres de l'Église, des clercs ou des laïcs.Écrire pour sortir de la passivité, raconter son histoire et dénoncer l'inertie de l'Église catholique : c'est l'objectif de cet ouvrage, avec les témoignages de onze victimes de violences sexuelles dans l'Église, vous entendrez les récits de trois d'entre elles. Une initiative lancée par la CRR, la Commission reconnaissance et réparation, dont nous avons reçu en studio son président, Antoine Garapon. Invité en studio :Antoine Garapon, président de la CRR (Commission reconnaissance et réparation), magistrat, secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice et producteur de l'émission « Esprit de justice » à France CultureTémoignages de Roland, Yannick et « Pierre », victimes d'agressions sexuelles par des religieux alors qu'ils étaient mineurs, et qui ont effectué les démarches auprès de la CRR. Ils ont publié leurs récits, avec huit autres victimes, dans le livre « Quand le diable a revêtu l'habit » (éditions Karthala, 2024).CRR : Commission reconnaissance et réparation.Contact téléphonique : +33 9 73 88 25 71Contact mail : victimes@crr.contact.
La commission Reconnaissance et Réparation a été créée à l'automne 2021 par les congrégations religieuses après la publication du « rapport Sauvé ». Essayiste, magistrat, homme de radio, Antoine Garapon nous explique la singularité de la justice restaurative ou restauratrice Les faits : La Commission Reconnaissance et Réparation est l'une des deux instances de réparation désignées par l'Église, avec l'Inirr (Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation). La CRR est chargée d'indemniser les victimes de violences sexuelles dans des congrégations religieuses. Quelque 650 dossiers ont été instruits.
Bonjour et bienvenue dans Du Vent Sous La Robe, le podcast qui vous emmène à la rencontre d'acteurs innovants qui construisent le droit de demain. Pour cette trente-huitième interview, j'accueille Warren Azoulay et on parle d'intelligence artificielle ! Vous entendez parler d'intelligence artificielle, de machine learning et de NLP (Natural Language Processing), mais vous ne savez pas exactement : - Ce que c'est ; - A quoi cela peut servir dans le domaine du droit ; - Quels sont les applications et usages concrets qui existent aujourd'hui ; - Ce qui relève au contraire du fantasme ; - Et quels sont les risques qui existent aujourd'hui ? Ça tombe bien, dans ce dernier épisode de Du Vent Sous La Robe, Warren Azoulay nous explique tout ! Warren est enseignant-chercheur à la Faculté de droit et de sciences politiques d'Aix-Marseille et consultant pour des legaltechs sur les questions liées aux méthodes d'apprentissage automatique (autrement dénommées machine learning) appliquées au droit. Il fait preuve de beaucoup de pédagogie pour expliquer ces notions, alors n'ayez pas peur et foncez l'écouter ! Pour aller plus loin : - Laetitia Jacquier - Du Vent Sous La Robe - Geoffrey Delcroix - Sumi Saint-Auguste - Open Law* Le droit ouvert - Le Global Legal Hackathon (à Paris du 25 au 27 mars 2022) - Warren Azoulay - « L'intelligence artificielle ne devra pas servir à standardiser la réponse judiciaire », Warren Azoulay - « Des machines et des hommes. La guerre n'aura pas lieu », Warren Azoulay - « Droit et enjeu pénal à l'épreuve du renseignement Numérique », Warren Azoulay - « Justice digitale – Antoine Garapon et Jean Lassègu » Compte rendu par Warren Azoulay - « Desire and Disobedience in the Digital Age », Warren Azoulay.
Cette semaine, j'accueille le juriste et essayiste Antoine Garapon à l'occasion de la sortie d'un ouvrage qu'il publie avec Jean Lassègue aux PUF « Le numérique contre le politique ». L'occasion de mieux comprendre, non seulement les nouveaux enjeux posés au droit par le numérique, mais aussi de réfléchir à nos rapports à l'espace, c'est-à-dire à notre façon d'habiter ensemble notre planète. Traditionnellement, le droit était lié à un découpage de l'espace : il y avait par exemples, le droit interne, le droit international, l'espace public ou l'espace privé. Avec le numérique, toute référence à l'espace est désormais perdue au profit d'un point de vue purement algorithmique qui traduit tout en calculs. C'est le cas par exemple de la justice prédictive ou du calcul des polices d'assurance. En perdant la référence à l'espace traditionnel, quelle place revient à l'autre dans cette nouvelle façon d'envisager le droit ? Si la numérisation renvoie à une dimension sans espace et sans médiations symboliques, il n'en reste pas moins que notre corps nous rattache toujours au présent et à l'espace sensible. C'est de cette appartenance hybride et tout à fait inédite à deux mondes en même temps, dont il est question dans cet épisode. Le numérique menace-t-il la démocratie ? C'est la question de la semaine.
durée : 00:32:20 - La Grande Table idées - par : Olivia Gesbert - Comment rendre la justice plus à l'écoute des justiciables? C'est le fil directeur de notre réflexion avec Antoine Garapon, magistrat honoraire, ancien juge des enfants qui a co-écrit avec le philosophe Jean Lassègue "Le numérique contre le politique" paru aux éditions PUF en novembre dernier. - invités : Antoine Garapon Magistrat, secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice, et producteur de l'émission "Matières à penser" sur France Culture
Antoine Garapon, magistrat, membre de la commission Sauvé est l'invité d'Yves Calvi Ecoutez L'invité de 8h20 avec Yves Calvi du 02 novembre 2021
Au programme : Invités : Antoine Garapon et Bruno Valentin Édito de Patrick - À Marseille, les poubelles de la discorde Le rapport Sauvé : un séisme pour l'église catholique Rapport de la commission Sauvé : et après ? Pédocriminalité dans l'Église de France : quelle réparation ? Le secret de la confession plus fort que les lois de la République ? La Story - Marcel Meys, 112 ans et nouveau doyen des Français Le dernier secret de François Mitterrand Claire, le dernier amour de François Mitterrand Les trois vies de François Mitterrand Le 5/5 : Les thérapies de conversion sont désormais illégales Avis de tempête sur Facebook
durée : 00:23:21 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Jean-Marc Sauvé, président de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise (CIASE), et Antoine Garapon, membre du CIASE, sont les invités du Grand entretien de France Inter. - invités : Jean-Marc Sauvé, Antoine Garapon - Jean-Marc Sauvé : Président de la commission d'enquête indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise, vice-président honoraire du conseil d'Etat, Antoine Garapon : Magistrat, et secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice
durée : 01:59:56 - Le 7/9 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - David Hockney, peintre, Jean-Marc Sauvé, président de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise (CIASE), et Antoine Garapon, membre du CIASE, sont les invités du 7/9 de France Inter. - invités : David HOCKNEY, Jean-Marc Sauvé, Antoine Garapon - David Hockney : peintre, Jean-Marc Sauvé : Président de la commission d'enquête indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise, vice-président honoraire du conseil d'Etat, Antoine Garapon : Magistrat, et secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice
Pour leurs cent ans d'édition, les PUF vous proposent de partir à la rencontre de quinze auteurs de la maison et cinq libraires, avec une proposition simple : choisir un ouvrage parmi les 6000 titres du catalogue, et nous donner envie de le lire. Dans cet épisode, Antoine Garapon présente "Sociologie juridique" de Jean Carbonnier. Un entretien mené par Hugo Lindenberg.
Clémentine Bacri a exercé la profession d’avocat au Luxembourg pendant 8 ans, et a développé en parallèle le projet « Wings for Science » qui réalise des missions d‘appui aérien dans le cadre de programmes en sciences environnementales. Aujourd’hui elle a raccroché la robe et accompagne le parlementaire Monsieur Mounir Mahjoubi. Sa voix fluette, ses cheveux blonds coupés courts, ses yeux bleus pleins de curiosité et la ténacité dont elle fait preuve sans éveiller les soupçons me font penser à Marina Loiseau (Le Bureau des Légendes). On comprend dans les 10 premières minutes à qui on a affaire lorsqu'elle raconte la naïve initiative par laquelle elle a décroché un stage chez le journaliste juridique le plus connu de France et de Navarre, j'ai nommé Antoine Garapon. La suite est une déclinaison de sentiers battus dont elle s'est écartée, et de rêveries qui sont devenues réalité par la magie de l'alliance entre l'ingénuité et la persévérance. C'est tout simplement rafraichissant.Une interview qui fait pousser des ailes.Références : Association Sherpa - William Bourdon Interview de Christian Delachet Association La main à la pâte - Pierre Léna Wings for science Antoine Garapon - Esprit de JusticeMerci à Candice Méric pour sa recommandation !Pour joindre Clémentine c'est sur LinkedIn, ou vous pouvez retrouver toutes ses activités liées à l'expédition sur son site internet : www.wingsforscience.com.« Ça ne veut pas dire ‘non’. Ça veut dire ‘essaye plus fort’ »« ll y a forcément un chemin »« Chaque succès est un succès en tant que tel mais amène d’autres succès »« Me mettre dans les traces de gens qui font des choses incroyables » « C’est pas parce que c’est un métier sérieux qu’il faut être chiant. »PS : Vous souhaitez rejoindre le groupe WhatsApp de Fleur d'avocat ? Ecrivez-moi un mail à l'adresse whatsapp[a]fleurdavocat.fr. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:43:55 - Matières à penser - par : Antoine Garapon - Ce soir, Antoine Garapon s'entretient avec Bruno J. Strasser, Professeur à l’Université de Genève, à propos des nouvelles formes d'inégalités devant le savoir et la possession des données par les GAFA, notamment. - réalisation : Anne-Pascale Desvignes - invités : Bruno J. Strasser Professeur à l’Université de Genève (Faculté des sciences, Institut universitaire de formation des enseignants - IUFE) et directeur du Bioscope, Laboratoire public des sciences de la vie et des sciences biomédicales de l’Université de Genève et à Yale.
durée : 00:43:57 - Matières à penser - par : Antoine Garapon - Ce soir, premier volet de cette série inédite, Antoine Garapon s'entretient avec Marta Torre-Schaub, directrice de recherche au CNRS à l'Institut des sciences juridiques et philosophiques de l'Université Paris 1-La Sorbonne et directrice du groupement de recherche ClimaLex. - réalisation : Anne-Pascale Desvignes - invités : Marta Torre-Schaub Directrice de recherche au CNRS à l'Institut des sciences juridiques et philosophiques de l'Université Paris 1-La Sorbonne et directrice du groupement de recherche ClimaLex
durée : 00:33:02 - La Grande table idées - par : Olivia Gesbert, Maja Neskovic - Peut-on penser la victime au-delà de la pitié qu'elle inspire ? Pour y répondre : Antoine Garapon, magistrat, secrétaire général de l’Institut des Hautes Études sur la Justice, coauteur de "Victimes, et après ?" (Gallimard, coll. « Tracts », novembre 2019). - réalisation : Eric Lancien, Gilles Blanchard - invités : Antoine Garapon Magistrat, secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice, et producteur de l'émission "Matières à penser" sur France Culture
durée : 00:24:47 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Antoine Garapon, magistrat, secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice et Arthur Dénouveaux, président de "Life for Paris", association de victimes des attentats du 13-Novembre, sont les invités du grand entretien de France Inter lundi 11 novembre 2019 pour leur essai "Victimes, et après".
Aujourd’hui, le numérique est partout. Il bouleverse même toutes les conceptions de la Justice, installant sa déclinaison digitale à tous les niveaux du système judiciaire. Cette justice organise la coexistence des hommes sans tiers et sans loi par le seul jeu d’écritures numériques, au risque d’oublier que l’homme est un « animal politique. » Est-il possible de remplacer des avocats par des robots ? Ce n’est pas inenvisageable. Et si les notaires venaient à disparaître ? Pareil : on pourrait à l’avenir résoudre les conflits en ligne. La justice deviendrait prédictive, l’état civil serait dirigé par des blockchain, généralisant des contrats en bitcoins qui échapperaient à tout contrôle. Pour étudier cette idée, Antoine Garapon et Jean Lassègue reprennent le terme de Marcel Mauss et avancent que le droit numérique est « un fait social total ». En conséquence la justice « digitale » est porteuse d’un dilemme : elle n’est ni le fait du juriste, ni celui du politique, ni même de grands penseurs ; elle est au contraire issue « de l’imagination créatrice » de techniciens. Ce faisant, le numérique « ringardise ces professions qui semblent restées à un stade artisanal, aristocratique et ancien ». ---- Ce podcast retrace la rencontre avec Antoine Garapon et Jean Lassègue autour de leur livre Justice digitale paru aux Presses universitaires de France. ---- La diffusion de ce podcast s’inscrit dans le cadre d’un partenariat avec la librairie toulousaine Ombres Blanches. ----
durée : 00:43:49 - Matières à penser - par : Patrick Boucheron, Antoine Garapon, René Frydman, Dominique Rousset, Frédéric Worms - Les amours concrets, ou concrètes, leur diversité, leurs ruptures, leurs aventures, leurs souffrances et leurs joies, qui disent tout de l’époque et nous permettent de la penser, d’y résister. Mais qu’en est-il de nos amours, aujourd’hui ? On en discute ce soir avec Claire Marin, philosophe. - réalisation : Dany Journo, Anne-Laure Chanel, Anne-Pascale Desvignes - invités : Claire Marin philosophe et écrivain
durée : 00:44:38 - Matières à penser - par : Antoine Garapon, Joséphine Lampreia - L’aveu est une pratique complexe et controversée. Sa plasticité et son ambivalence expliquent qu’il soit toujours présent sans jamais cesser de se recomposer. Nous vous proposons d’explorer les différentes formes contemporaines, attendues ou plus inattendues de l’aveu. Ce soir avec Jérôme Porée. - invités : Jérôme Porée - Jérôme Porée : - réalisé par : Anne-Pascale Desvignes
durée : 00:43:47 - Matières à penser - par : Dominique Rousset, Frédéric Worms, René Frydman, Antoine Garapon, Patrick Boucheron - Ces deux préoccupations fondamentales de l’Homme sont-elles des planètes différentes? L’évolution de nos sociétés de plus en plus transparentes sur les réalités sexuelles aboutit à une recherche de sens. Nous avons choisi, pour en parler de recevoir des représentants religieux ou philosophiques. - réalisé par : Anne-Laure Chanel, Anne-Pascale Desvignes, Dany Journo
durée : 00:43:46 - Matières à penser - par : Dominique Rousset, Frédéric Worms, René Frydman, Antoine Garapon, Patrick Boucheron - Pour la dernière série de « Matières à penser », cette saison, retour sur l’année 2018/2019 pour illustrer le sentiment, partagé avec nos invités, d’un emballement dans les différents domaines parcourus ces derniers mois. A cette occasion, nous accueillons ce soir Claire Chenu. - réalisé par : Anne-Laure Chanel, Anne-Pascale Desvignes, Dany Journo
"Pour « sortir de la guerre », il ne suffit pas de faire taire les armes. La société meurtrie doit se lancer dans un travail à la fois sur son passé, ne serait-ce que pour être en paix avec ses morts, et sur l’avenir, notamment pour conjurer le retour de la violence, de façon à s’installer durablement dans le présent de la paix." Antoine Garapon