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Du Népal au Pérou, de Madagascar au Maroc, son drapeau "One Piece" a écumé les mobilisations contagieuses d'une jeunesse hyperconnectée réclamant un avenir à des pouvoirs jugés verrouillés: la Gen Z a marqué l'actualité internationale en 2025 en faisant chuter deux gouvernements, au Népal et à Madagsacar.Cette jeunesse a opté pour un mode de mobilisation horizontal sans leader désigné, passant par les réseaux sociaux.Si la Gen Z réclame des systèmes d'éducation ou de santé efficaces, elle entend aussi dénoncer la corruption, la répression et la mauvaise utilisation de l'argent public.Invités: Elisabeth Soulié, anthropologue, auteure de "La génération Z aux rayons X" (Editions du Cerf, 2020)Paolo Stuppia, politiste, chercheur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, co-auteur avec Valerie Becquet de "Géopolitique de la jeunesse, engagement et (dé)mobilisations" (Editions Le Cavalier Bleu, 2024)Cécile Van de Velde, Professeure de sociologie à l'Université de MontréalReportages: AFPTVDoublages: Gabrielle Chatelain, Pascale Trouillaud, Fany Lattach, Michaëla Cancela-KiefferMusique One Piece: Hiroshi Kitadani, Columbia Music EntertainmentRéalisation: Emmanuelle Baillon, Michaëla Cancela-Kieffer, Maxime Mamet.La Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il quand une grande curieuse (Lucie) accueille un expert (le docteur Mathieu Coulange) et que tous les deux sont passionnés de plongée (et de médecine) ?Ca donne ça : un épisode bonus, très court, une digression par rapport au sujet principal d'un épisode.C'est très intéressant, mais il fallait raccourcir un peu l'épisode, et on n'a pas pu se résoudre à simplement l'effacer, alors voilà, petit cadeau, en attendant un futur épisode dédié à l'hydratation en plongée.
Dans ce troisième épisode de notre série “médecine et plongée”, nous abordons l'un des sujets qui inquiètent le plus les plongeurs : l'accident de désaturation, souvent confondu avec l'accident de décompression. Le sujet qui fait peur à tous les plongeurs… mais qui ne devrait plus vous angoisser après cet épisode !Que se passe-t-il exactement dans notre corps quand les bulles d'azote s'invitent dans la circulation sanguine ? Et surtout, comment les éviter… ou bien réagir quand elles sont déjà là ?Avec le docteur Mathieu Coulange, médecin hyperbare et spécialiste de la plongée, on remonte pas à pas le chemin des bulles : saturation des tissus en profondeur, formation de micro-bulles à la remontée, atteintes possibles de la moelle épinière, du poumon, du cerveau, de l'oreille interne, des articulations ou de la peau. Loin des discours alarmistes, Mathieu explique pourquoi ces accidents restent rares et comment une prise en charge rapide permet, dans la grande majorité des cas, une récupération complète.On détaille ensemble les signes qui doivent alerter après une plongée : fatigue inhabituelle qui s'aggrave, fourmillements, troubles neurologiques, douleurs articulaires retardées, plaques cutanées, vertiges… et la fameuse règle des 24 heures suivant la plongée. À partir de quand s'inquiéter ? Quand appeler les secours ? Pourquoi l'oxygène pur au masque et l'hydratation sont-ils des gestes absolument essentiels, parfois plus prioritaires que la course au caisson hyperbare ?L'épisode revient aussi sur la prévention : intérêt du palier de sécurité même quand il n'est pas “obligatoire”, enchaînement de plusieurs plongées dans une journée, limites de certains ordinateurs, rôle des mélanges nitrox, mais aussi précautions particulières pour les plongeurs plus âgés ou présentant des facteurs de risque cardiovasculaire. On parle enfin du foramen ovale perméable (FOP) et de ces efforts à glotte fermée qui peuvent, dans de rares cas, favoriser le passage des bulles vers le cerveau.Un épisode à écouter avant vos prochaines plongées profondes pour mieux comprendre ce qui se joue dans votre organisme… et plonger plus serein.⚠️ Avertissement importantLes informations présentées dans cet épisode sont fournies à titre général et pédagogique. Elles ne constituent en aucun cas un avis médical personnalisé et ne sauraient se substituer à une consultation auprès d'un professionnel de santé, ni aux formations reconnues en plongée sous-marine.En cas de symptôme, de malaise ou de doute après une plongée, consultez sans délai un médecin (idéalement formé à la médecine de plongée) ou un service d'urgence, et suivez les procédures de sécurité recommandées par vos organismes de formation.Ni les auteurs du podcast, ni l'invité ne pourront être tenus responsables de décisions prises sur la seule base des informations diffusées dans cet épisode.
Depuis qu'elle connaît Mikka, Clara avait un rêve un peu fou : acheter une maison en Italie. Un fantasme de cinquantaine, un truc pour « plus tard ». Et puis un confinement annulé, un été dans les Pouilles, un village perdu au bout du talon de la botte… et tout s'est accéléré. À 35 ans, avec trois enfants, ils signent pour une maison de famille dans le Salento, sans parler italien, avec un chantier à distance et beaucoup d'intuition.Dans cet épisode, Clara raconte comment un simple coup de cœur de vacances est devenu un vrai projet de vie : trouver la maison, gérer les travaux depuis la France, apprivoiser un village où tout le monde se connaît, créer un lieu à la fois pour eux, pour leurs enfants et pour les voyageurs. On parle d'Italie, de vita lenta, de business de location mais surtout de maison de cœur, de liens humains et de ces endroits qui apaisent tout.Si vous avez déjà rêvé d'acheter une maison ailleurs, d'avoir votre refuge au soleil ou juste de ralentir un peu, cet épisode risque de beaucoup vous travailler.
Depuis qu'elle connaît Mikka, Clara avait un rêve un peu fou : acheter une maison en Italie. Un fantasme de cinquantaine, un truc pour « plus tard ». Et puis un confinement annulé, un été dans les Pouilles, un village perdu au bout du talon de la botte… et tout s'est accéléré. À 35 ans, avec trois enfants, ils signent pour une maison de famille dans le Salento, sans parler italien, avec un chantier à distance et beaucoup d'intuition.Dans cet épisode, Clara raconte comment un simple coup de cœur de vacances est devenu un vrai projet de vie : trouver la maison, gérer les travaux depuis la France, apprivoiser un village où tout le monde se connaît, créer un lieu à la fois pour eux, pour leurs enfants et pour les voyageurs. On parle d'Italie, de vita lenta, de business de location mais surtout de maison de cœur, de liens humains et de ces endroits qui apaisent tout.Si vous avez déjà rêvé d'acheter une maison ailleurs, d'avoir votre refuge au soleil ou juste de ralentir un peu, cet épisode risque de beaucoup vous travailler.
Que se passerait-il si le flanc Est de l'Europe était attaqué?Fin octobre, le chef d'état-major des Armées français, le général Fabien Mandon, insistait la nécessité de réarmer le pays pour que l'armée soit prête "à un choc dans trois, quatre ans" face à la Russie, qui "peut être tentée de poursuivre la guerre sur notre continent". Quelques semaines plus tard, il soulignait que la France devait être "prête à perdre ses enfants", une phrase qui a marqué.Dans les faits, l'Otan et l'Union européenne travaillent sur ce scénario et cherchent à préparer les esprits -- les militaires parlent de "réarmement moral". L'Alliance atlantique se prépare aussi en effectuant des exercices grandeur nature. Le dernier en date a eu lieu en Roumanie début novembre 2025. Près de 5.000 militaires dont 3.000 Français ont été déployés au pied des Carpates, pour un exercice qui a mis en lumière d'importantes lourdeurs administratives et difficultés techniques à surmonter pour qu'un déploiement rapide soit possible en cas d'offensive.Invités: Mathieu Rabechault, journaliste de l'AFP qui suit les questions de défensePierre de Villiers ancien chef d'état-major des Armées, auteur de "Pour le succès des armes de la France" (Fayard)Elie Tenenbaum, directeur du Centre des études de sécurité à l'Institut français des relations internationales (IFRI)Maxime Cordet, directeur de recherche à l'IRIS, spécialiste de la défense européenneExtraits sonores: AFPTV, Otan,Commission EuropéenneRéalisation: Emmanuelle Baillon, Maxime Mamet, Michaëla Cancela-KiefferLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on embarque pour une aventure familiale absolument hors norme : un an en voilier au cœur de la Polynésie. Mon invitée, Anne-Victoire, revient tout juste de ce voyage avec son mari et leurs quatre enfants (3, 5, 9 et 11 ans au moment du départ) à bord d'un catamaran de 11 mètres.Ils ont quitté leur vie à Bordeaux, mis leurs métiers entre parenthèses, déscolarisé les enfants et pris la mer pour traverser les archipels polynésiens. Une année à pêcher pour se nourrir, à naviguer d'île en île, à rencontrer des communautés isolées, et même à vivre plusieurs semaines comme des Robinson sur une île déserte.Dans cet épisode, Anne-Victoire raconte la préparation minutieuse, la vie quotidienne à six sur un bateau, les explosions de joie, les galères techniques, l'école à bord, et aussi les moments où tout peut basculer, comme cette nuit où leur petit garçon de trois ans a dû être pris en charge en urgence… au milieu du Pacifique.Un échange très concret, vivant et inspirant, pour comprendre ce que signifie vraiment partir un an en mer avec quatre enfants et pourquoi, malgré les peurs et l'inconnu, c'est une aventure qui change une vie.
Un an après la chute de Bachar al-Assad, la Syrie n'a pas replongé dans la guerre civile, et entretient l'espoir encore fragile d'une paix durable.Plus d'un million de réfugiés syriens ont pu rentrer chez eux, même s'il en reste 4,5 millions. Le président par intérim Ahmad al-Chareh, un ancien jihadiste, a pour l'instant réussi à s'entendre à la fois avec l'Union Européenne, Donald Trump, la Turquie et l'Arabie saoudite. Il a même été reçu à Moscou, grand soutien d'Assad.Mais l'espoir des experts est mâtiné de beaucoup de prudence : des dizaines de milliers de victimes de décennies de répression sanglante restent introuvables, l'économie est exsangue, et des massacres ont visé les minorités alaouite et druze. Enfin, Israël mène des frappes et des incursions dans le Sud. La Semaine sur le fil fait le point avec Acil Tabbara, directrice de nos bureaux au Liban et en Syrie; Rime Allaf, écrivaine syrienne et Ziad Majed, spécialiste du Proche-Orient.Pour aller plus loin :It Started in Damascus, par Rime AllafLe Proche-Orient, miroir du monde, par Ziad Majed et ses livres sur la SyrieRéalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon, Michaëla Cancela-KiefferEnregistrements sur le terrain : AFPTVLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on embarque pour une aventure familiale absolument hors norme : un an en voilier au cœur de la Polynésie. Mon invitée, Anne-Victoire, revient tout juste de ce voyage avec son mari et leurs quatre enfants (3, 5, 9 et 11 ans au moment du départ) à bord d'un catamaran de 11 mètres. Un jour, ils ont quitté la vie “normale” pour vivre au rythme du vent, de la mer, des poissons qu'ils pêchaient eux-mêmes et des rencontres aux quatre coins du Pacifique.Pendant un an, ils ont traversé des archipels mythiques, fait l'école à bord, appris à naviguer loin de tout, partagé le quotidien de villages isolés et vécu comme des Robinson sur une île déserte. Mais ils ont aussi connu la peur, les pannes, une météo parfois violente et un gros frisson : une urgence médicale en pleine navigation avec leur plus jeune fils, loin de tout hôpital.Dans cet épisode, Anne-Victoire nous ouvre les coulisses de cette aventure : la préparation, la réalité du quotidien à six sur un bateau, ce que le voyage leur a appris sur la confiance, la responsabilité et la liberté… et ce que cette année sur l'eau a changé pour toute leur famille.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on embarque pour une aventure familiale absolument hors norme : un an en voilier au cœur de la Polynésie. Mon invitée, Anne-Victoire, revient tout juste de ce voyage avec son mari et leurs quatre enfants — 3, 5, 9 et 11 ans au moment du départ — à bord d'un catamaran de 11 mètres. Un jour, ils ont quitté la vie “normale” pour vivre au rythme du vent, de la mer, des poissons qu'ils pêchaient eux-mêmes et des rencontres aux quatre coins du Pacifique.Pendant un an, ils ont traversé des archipels mythiques, fait l'école à bord, appris à naviguer loin de tout, partagé le quotidien de villages isolés et vécu comme des Robinson sur une île déserte. Mais ils ont aussi connu la peur, les pannes, une météo parfois violente et un gros frisson : une urgence médicale en pleine navigation avec leur plus jeune fils, loin de tout hôpital.Dans cet épisode, Anne-Victoire nous ouvre les coulisses de cette aventure : la préparation, la réalité du quotidien à six sur un bateau, ce que le voyage leur a appris sur la confiance, la responsabilité et la liberté… et ce que cette année sur l'eau a changé pour toute leur famille.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La guerre à Gaza a été déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023.Une attaque qui a entraîné la mort de 1.221 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles.69.799 Palestiniens ont été tués par la campagne militaire israélienne de représailles, selon le ministère de la Santé de Gaza, contrôlé par le Hamas.Ces données, jugées fiables par l'ONU, ne précisent pas le nombre de combattants tués mais indiquent que plus de la moitié des morts sont des mineurs et des femmes.Après deux ans de guerre, Donald Trump a mis au point un plan de paix.Un cessez-le-feu, encore fragile, a été mis en place dans la bande de Gaza.Mais que contient ce plan ? A-t-il une chance de mener à une paix durable ?Invités: Léon Bruneau, correspondant de l'AFP au Département d'Etat américain ; Pascal Boniface, directeur de l'Iris, l'Institut de relations internationales et stratégiques ; David Khalfa, codirecteur de l'Observatoire de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, Fondation Jean-Jaurès.Réalisation : Maxime Mamet et Emmanuelle BaillonLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lorsqu'on plonge, la pression s'exerce sur l'intégralité de notre corps. Oreilles, sinus, poumons, intestins… tous contiennent des volumes d'air qui se compriment à la descente et se dilatent à la remontée.Mais que se passe-t-il quand cet équilibre est rompu ?Dans ce deuxième épisode de la série Médecine et plongée, le Dr Mathieu Coulange, chef du service de médecine hyperbare, subaquatique et maritime à l'APHM, nous dit tout sur les barotraumatismes.Il décrypte les mécanismes et les bons gestes pour éviter ces accidents souvent bénins, mais parfois aussi assez graves.On découvre comment l'air emprisonné dans nos oreilles, nos sinus ou nos poumons peut devenir un ennemi silencieux si l'on descend ou remonte trop vite.Mathieu Coulange rappelle l'importance de la maitrise des techniques d'équilibrage et revient sur les mauvaises habitudes à bannir — comme plonger enrhumé ou bloquer sa respiration à la remontée.L'épisode aborde également des cas particuliers : le placage de masque, les douleurs dentaires, le rôle du tabac sur les poumons, ou encore les risques spécifiques aux apnéistes.⚠️ Avertissement importantLes informations présentées dans cet épisode sont fournies à titre général et pédagogique. Elles ne constituent en aucun cas un avis médical personnalisé et ne sauraient se substituer à une consultation auprès d'un professionnel de santé, ni aux formations reconnues en plongée sous-marine.En cas de symptôme, de malaise ou de doute après une plongée, consultez sans délai un médecin (idéalement formé à la médecine de plongée) ou un service d'urgence, et suivez les procédures de sécurité recommandées par vos organismes de formation.Ni les auteurs du podcast, ni l'invité ne pourront être tenus responsables de décisions prises sur la seule base des informations diffusées dans cet épisode.
Sous la canopée du Yucatán, l'eau s'ouvre en puits de lumière. Avec Tamara Adame, alias Cenote Girl, on explore un monde où chaque geste compte ; les cénotes bousculent nos repères de plongeurs et nos émotions.Monitrice basée à Tulum, exploratrice et plongeuse scientifique, Tamara forme des plongeurs venus du monde entier. Elle enseigne sur des journées denses, personnalisées, où la technique s'allie au coaching mental et à la visualisation.On décortique le choix du montage : backmount ou sidemount. On parle gestion des gaz et planification : règle des tiers en grotte, marges conservatrices sur certaines immersions, demi-tour dès que la première limite tombe (pression, temps, visibilité). Tamara explique pourquoi elle privilégie les sondes/émetteurs aux manomètres, tout en gardant un protocole clair en cas de perte de lecture.L'halocline naît de la rencontre entre eau douce et eau salée : contraste de densité, couleur, température et effets optiques qui imposent précision de flottabilité et anticipation du lestage selon la couche traversée. Dans ces réseaux immenses, portes d'un aquifère géant, l'exploration progresse avec relevés, cartographies et projets multi-équipes.En grotte, le recycleur offre de nombreux avantages dont de grosses marges de gaz pour gérer un imprévu. Tamara plonge majoritairement en Sidewinder, ce qui lui permet de conserver ses repères sidemount et d'affiner encore physiologie des gaz et contrôle de la flottabilité.Et surtout, cap sur Vanilla Farm, le projet d'exploration que Tamara mène en recycleur avec son binôme. Multiples entrées, lignes posées au fil des jonctions et cartographie qui s'étire au fil des plongées : plusieurs kilomètres déjà relevés. Un terrain d'apprentissage et de transmission, à la croisée de la technique et de l'aventure.L'épisode livre des astuces actionnables : exercices de respiration et de visualisation avant mise à l'eau, réglage fin du lest et du trim, tempo lent pour ancrer la mémoire musculaire, gestion du stress par micro-objectifs. Et pour progresser : travailler la stabilité en eau libre, puis transférer ces acquis en environnement couvert.Une intervention bonus de Gaëlle Giesen éclaire la rigueur nécessaire quand la profondeur extrême entre en jeu : flottabilité impeccable, paliers tenus au mètre près, hygiène mentale et technique.Le message final est net : pas de sensationnalisme. La beauté des cénotes se mérite par la compétence, la patience et le soin porté aux écosystèmes. Plonger ici, c'est apprendre à lire une grotte, à respirer juste, et à transmettre des pratiques qui protègent ce patrimoine.
Il y a des vies qui ne se racontent pas vraiment : elles se vivent dehors, face au vent, au froid, à la lumière brute du monde.Celle de Nicolas Dubreuil en fait partie.Depuis près de trente ans, il marche, glisse, pagaie ou avance derrière un attelage de chiens dans ces territoires où l'homme n'existe que s'il écoute. Là où un simple changement de vent peut faire basculer une journée. Là où le silence a une présence. Là où la glace parle avant les mots.Nicolas a choisi de vivre au rythme d'un peuple qui n'a jamais oublié comment lire la nature : les Inuits. Il a appris leur langue, leur patience, leurs gestes. Il a connu le danger, la beauté, la peur pure et ce sentiment presque animal d'appartenir à plus grand que soi.Dans cet épisode, il ne vient pas “raconter une aventure”.Il vient transmettre une manière d'être au monde :celle qui consiste à observer avant d'agir,à respecter avant de prendre,à comprendre avant de se croire prêt.On y parle de froid qui brûle, de glace qui se dérobe, de pistes invisibles dans un désert blanc.Mais aussi d'entraide, de joie, de rituels, de cultures qui s'effacent et d'une planète qui change sous ses yeux.Un voyage dans le Grand Nord…ou peut-être, plus simplement, une invitation à regarder différemment ce qui nous entoure.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a des vies qui ne se racontent pas vraiment : elles se vivent dehors, face au vent, au froid, à la lumière brute du monde.Celle de Nicolas Dubreuil en fait partie.Depuis près de trente ans, il marche, glisse, pagaie ou avance derrière un attelage de chiens dans ces territoires où l'homme n'existe que s'il écoute. Là où un simple changement de vent peut faire basculer une journée. Là où le silence a une présence. Là où la glace parle avant les mots.Nicolas a choisi de vivre au rythme d'un peuple qui n'a jamais oublié comment lire la nature : les Inuits. Il a appris leur langue, leur patience, leurs gestes. Il a connu le danger, la beauté, la peur pure — et ce sentiment presque animal d'appartenir à plus grand que soi.Dans cet épisode, il ne vient pas “raconter une aventure”.Il vient transmettre une manière d'être au monde :celle qui consiste à observer avant d'agir,à respecter avant de prendre,à comprendre avant de se croire prêt.On y parle de froid qui brûle, de glace qui se dérobe, de pistes invisibles dans un désert blanc.Mais aussi d'entraide, de joie, de rituels, de cultures qui s'effacent et d'une planète qui change sous ses yeux.Un voyage dans le Grand Nord…ou peut-être, plus simplement, une invitation à regarder différemment ce qui nous entoure.Pour écouter l'épisode en entier, tapez "Nicolas Dubreuil chez les Inuits : Tomber dans l'eau glacée, pister les ours et faire du Groenland sa maison" dans la barre de recherche de votre plateforme d'écoute.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La prochaine guerre aura-t-elle lieu au Venezuela ?Alors que le porte-avions américain Gerald Ford vient d'arriver au large du pays d'Amérique latine, la tension monte.Plus d'une dizaine de bâtiments de guerre et plus de 10.000 soldats et marins américains ont été déployés dans la mer des Caraïbes, sous prétexte de lutter contre le trafic de drogue.Au moment de l'enregistrement de ce podcast, les forces armées américaines ont déjà frappé 20 bateaux et tué 76 trafiquants présumés… sans jamais apporter de preuves que les embarcations coulées transportaient des stupéfiants.Ces attaques s'apparentent à des exécutions extrajudiciaires selon le Haut-commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme, qui les juge "inacceptables".La lutte contre le trafic de drogue est-elle un prétexte?Donald Trump souhaite-t-il chasser du pouvoir le président vénézuélien Niicolas Maduro? Le président américain a-t-il d'autres ambitions ?Invités: Yoletty Bracho, maîtresse de conférence en sciences politiques à l'Université d'Avignon, Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l'Observatoire Amérique Latine de la Fondation Jean-Jaurèset Patrick Fort, directeur du bureau de l'AFP à CaracasDoublages Martin Zuber, Christophe Parayre, Léo HuismanRéalisation: Emmanuelle Baillon, Maxime MametLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Ce qu'on a vécu ne nous définit pas. Ce qu'on en a fait, oui. »Il y a dix ans, la vie de Pierre Cabon a basculé lors des attentats du Bataclan. Touché à la moelle épinière, il est devenu paraplégique. Avec sa femme Myriam, il aurait pu se laisser définir par cette tragédie. Mais ils ont choisi une autre voie : transformer l'horreur en vie, en action et en aventure.Dans notre interview enregistrée l'année dernière et que nous republions aujourd'hui en hommage, ils racontent comment ils ont décidé de vivre à fond, malgré tout. Pierre explique : « On ne fuit rien. On avance. On vit. On célèbre la vie qu'on a réussi à se (re)construire. »Ensemble, ils ont parcouru le monde : Canada, Argentine, Pérou, Île de Pâques, Nouvelle-Zélande. Ils ont escaladé le Kilimandjaro, participé au half-marathon des sables, et créé Wheeled World, un média dédié à l'aventure accessible à tous. Leur message est simple : les limites sont celles que nous nous imposons, et la vie peut rester belle même après l'horreur.Cette interview est un témoignage de résilience, de joie retrouvée et d'espoir, et nous rappelle que ce que nous faisons de nos vies compte plus que ce que nous avons subi.En ce jour de commémoration, nous pensons à toutes les victimes et à leurs proches, et nous honorons leur mémoire. Que ce message de résilience et d'espoir puisse inspirer chacun à célébrer la vie.*Leur association : https://wheeledworld.org/*Leur compte Instagram : https://www.instagram.com/wheeled_world/?hl=fr**************************************Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à nous laisser 5 étoiles ou un commentaire sur Apple Podcasts ou Spotify. Ce serait vraiment un sacré coup de pouce pour nous !**************************************Production : Sakti ProductionsVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce deuxième épisode de notre série Dans les coulisses du Salon de la Plongée 2026, Lucie retrouve Hélène de Tayrac, fondatrice et organisatrice du Salon, pour un nouvel échange entre enthousiasme et confidences.Cette fois, place à la fête : l'édition 2026 sera placée sous le signe des anniversaires !Entre célébrations, conférences et surprises, Hélène lève le voile sur un programme riche en moments forts :
Dans cette interview express, on parle changement de vie, déclics et douceur retrouvée avec Alix Petit, fondatrice de la marque Heimstone qui a lâché sa vie parisienne pour s'installer à Dubai.Parisienne dans l'âme, créatrice passionnée, mère de famille, Alix a tout quitté (appartement, habitudes, rythme effréné) pour s'installer à Dubaï avec son mari et leurs filles. Elle nous raconte le moment où la routine devient trop lourde, ce qu'il faut de courage pour dire “on y va”, et ce qu'on découvre une fois sur place : la lumière du désert, la lenteur apaisante des matins, un quotidien plus simple qu'on ne l'imagine.Dans cet épisode, on parle aussi du concret : budget de départ, visas, écoles, loyers payés en chèques, cartons triés au millimètre… mais aussi de l'émotion du grand saut, de ce que c'est de laisser sa sœur jumelle à Paris, et de cette sensation unique : se réveiller ailleurs, pour de bon. Une conversation sincère, pleine d'énergie et de sérénité, sur ce que veut (vraiment) dire changer de vie.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Fondation Cartier pour l'art contemporain a rejoint le cœur de Paris, face au Louvre, dans un tout nouveau bâtiment conçu par l'architecte français Jean Nouvel.Avec ses façades en verre et 8.500 m2 d'espaces accessibles au public, la Fondation s'intègre dans un ancien ensemble haussmannien historique.Elle fait face au prestigieux musée du Louvre, ébranlé par la tempête politico-médiatique depuis le vol spectaculaire de joyaux de la Couronne dont il a été victime.A quelques centaines de mètres, deux lieux symboles d'un écosystème culturel français.Comment s'articule cette cohabitation entre public et privé ?Qu'apportent les fondations aux musées publics? Sont-ils en concurrence ?Invités: Martin Bethenod, conseiller indépendant dans le domaine de l'art et de la culture ; Jean-Michel Tobelem, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste de la gestion des musées ; Haude Le Roux, de la maison de ventes aux enchères Aguttes ; Fanny Robin, directrice artistique de la Fondation Bullukian.Réalisation: Emmanuelle Baillon, Maxime MametLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Haute pression, moyenne pression… sonde connectée à l'ordinateur ou bon vieux manomètre ?Dans ce cinquième épisode de notre série consacrée au détendeur, Lucie retrouve Manuel Cabrère pour explorer les différentes sorties du premier étage, leur fonctionnement et les accessoires qui s'y connectent. Un épisode pour mieux comprendre comment circule l'air qui nous fait respirer sous l'eau.Sorties haute et moyenne pressionsA quoi servent ces deux types de sorties ? La haute pression (HP) où l'on connecte le manomètre ou la sonde ; et la moyenne pression (MP), qui alimente le détendeur principal, l'octopus, l'inflateur de stab ou le vêtement étanche.On découvre pourquoi ces circuits sont conçus pour éviter toute erreur de branchement : les filetages, dimensions et normes UNF (7/16" et 3/8") empêchent de visser un flexible MP sur une sortie HP (et inversement).Débits et sécuritéLes valeurs : jusqu'à 300 bar pour la haute pression contre 8 à 10 bar pour la moyenne. La norme EN 250A garantit qu'un premier étage peut alimenter deux deuxièmes étages simultanément à 30 m — votre détendeur principal et l'octopus — sans perte de performance. Un vrai gage de sécurité.Manomètre ou sonde ?Comparaison des deux systèmes :– le manomètre mécanique, fiable et précis mais fragile face aux chocs et vibrations ;– la sonde sans fil, connectée à l'ordinateur de plongée, qui affiche la pression restante et même la consommation moyenne et instantanée.Côté fiabilité ? Les sondes affichent 8 fois moins de retours SAV que les manos. La gestion du risque reste identique : panne ou perte de signal = fin de plongée.
Et si le vrai risque, c'était de rester? Cette semaine, on reçoit Alix Petit — créatrice de la marque de vêtements Heimstone et cofondatrice de l'agence The Refreshment Club — qui a quitté Paris pour réinventer sa vie à Dubaï. Dans cet épisode, Alix Petit raconte le moment où elle a “tiré la prise” pour de bon : quitter Paris, trier sa vie en cartons, dire oui au mouvement… et tout réapprendre aux Emirats.On parle du déclic qui renverse une trajectoire, de l'énergie d'un hub où tout va vite (visas, bureaux, projets), des écoles tournées vers le monde, de ce qu'on gagne en douceur de vivre — et de ce qu'on laisse derrière soi. Loin des clichés, Alix décrit une vie quotidienne géniale: baignade au lever du jour, travail l'esprit clair, enfants curieux, rencontres qui ouvrent l'horizon. On aborde aussi les sujets qui fâchent (administratif, coûts, regards des autres) pour mieux comprendre ce choix : préférer l'élan à l'inertie, la liberté à l'habitude.Si vous avez déjà murmuré “on verra à la prochaine rentrée”… cet épisode pourrait bien vous donner l'envie d'appuyer, vous aussi, sur ON.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si le vrai risque, c'était de rester ? Cette semaine, on reçoit Alix Petit — créatrice de la marque de vêtements Heimstone et cofondatrice de l'agence The Refreshment Club — qui a quitté Paris pour réinventer sa vie à Dubaï. Dans cet épisode, Alix Petit raconte le moment où elle a “tiré la prise” pour de bon : quitter Paris, trier sa vie en cartons, dire oui au mouvement… et tout réapprendre aux Émirats.On parle du déclic qui renverse une trajectoire, de l'énergie d'un hub où tout va vite (visas, bureaux, projets), des écoles tournées vers le monde, de ce qu'on gagne en douceur de vivre — et de ce qu'on laisse derrière soi. Loin des clichés, Alix décrit une ville quotidienne : mer au lever du jour, travail l'esprit clair, enfants curieux, rencontres qui ouvrent l'horizon. On aborde aussi les sujets qui fâchent (administratif, coûts, regards des autres) pour mieux comprendre ce choix : préférer l'élan à l'inertie, la liberté à l'habitude.Si vous avez déjà murmuré “on verra à la prochaine rentrée”… cet épisode pourrait bien vous donner l'envie d'appuyer, vous aussi, sur ON.Pour retrouver l'épisode en intégralité taper "Alix Petit : Tout quitter en 4 mois, se réinventer pour être heureux et la face cachée de Dubai"Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a un an, le 5 novembre, Donald Trump était réélu à la présidence des Etats-Unis.Alors, après un an de présidence MAGA ("Make America Great Again"), Donald Trump a-t-il réussi à rendre sa grandeur à l'Amérique ? Qu'a-t-il réussi en matière économique ? Et sur la scène internationale, quels sont ses succès et ses échecs ?Pour en parler, Sur le Fil a invité l'historien François Godement, conseiller spécial Asie et Etats-Unis à l'Institut Montaigne.Réalisation : Emmanuelle BaillonLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A quelques jours de la COP Climat, du 10 au 21 novembre à Belem au Brésil, nous nous intéressons à la Chine.Puissance géopolitique internationale, incontournable dans l'économie mondiale, elle est en train de s'installer, à sa manière, comme un géant de la transition climatique, profitant des reculs américain et européen dans ce domaine.Le plus grand émetteur de gaz à effet de serre du monde, peut-il être, malgré tout, un champion du climat ? Le pays qui compte plus de 1,4 milliard d'habitants produit la majeure partie de son électricité avec du charbon, mais, dans le même temps, elle investit des sommes faramineuses dans les énergies renouvelables. Au point de devenir leader mondial dans le solaire et l'éolien. La Chine produit presque la moitié de l'énergie renouvelable sur terre.Fin septembre, le président chinois Xi Jinping a annoncé les nouveaux objectifs de son pays pour 2035. Ils ont déçu bon nombre d'experts, qui estiment que la Chine va toutefois... les dépasser.Invités: Lauri Myllyvirta, expert au Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (CREA) ; Sara Hussein, journaliste chargée des questions environnementales pour l'Asie au bureau de l'AFP à Bangkok et Sam Davies, journaliste au bureau de l'AFP à Pékin.Réalisation : Maxime Mamet et Emmanuelle BaillonCrédits : Yes on 50La Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Conseils Marketing - Des conseils concrets pour prospecter et fidéliser !
Le guide du copywriting avec... ou sans IA ! - Sélim Niederhoffer Déjà plus de 15.000 lecteurs : après avoir lu ce livre, vous saurez écrire mieux pour vendre plus, et gagnerez du temps avec l'IA. Dans cette 2e édition, plongez dans l'ère du copywriting augmenté par l'intelligence artificielle. La promesse du Guide du Copywriting ? Ecrivez plus accrocheur, plus efficace, et mieux ciblé que jamais. Mais attention ! Sans votre expertise, l'IA générative ne vous proposera aucun texte efficace : vous devez maîtriser la psychologie du consommateur. Vous voulez faire connaître votre marque ?... Plus d'infos : https://amzn.to/3WwswMA
Vous vous posez des questions sur les réactions de votre corps en immersion ? La physique et la physiologie sont souvent les chapitres les plus complexes lors des formations.Pour démystifier tous ces phénomènes, nous accueillons le docteur Mathieu Coulange , médecin hyperbare (APHM).Dans ce premier épisode de la série "Médecine et plongée", nous analysons étape par étape l'impact de l'immersion sur notre organisme.Mathieu Coulange nous explique d'abord ce qu'est la médecine hyperbare. Essentielle pour le traitement des accidents de plongée , elle est avant tout une médecine qui administre de l'oxygène sous pression pour traiter infections, lésions de radiothérapie ou plaies chroniques. Il rappelle d'ailleurs que la plongée, lorsqu'elle est bien pratiquée, est une activité très peu à risque.A la descente : au moment de l'immersion, la première contrainte est mécanique : la variation de pression. Dès les premiers mètres, le corps passe de la pression atmosphérique (1 bar) à une pression qui augmente d'un bar tous les 10 mètres. C'est la loi de Boyle et Mariotte. Elle explique que lorsque la pression augmente, les volumes gazeux diminuent. Ce phénomène cause la contrainte barotraumatique ressentie notamment dans les oreilles et les sinus, où le volume d'air diminue brutalement. D'où la nécessité de manœuvres d'égalisation pour "remettre de l'air" et poursuivre sa descente en douceur.Au fond : une fois stabilisé en profondeur, c'est l'augmentation de la pression partielle des gaz qui devient la principale contrainte. Mathieu Coulange détaille les trois principaux accidents toxiques auxquels le plongeur à l'air est exposé :oxygène (hyperoxie) : la quantité d'oxygène dans les poumons peut devenir toxique. Plonger à l'air au-delà de 60 mètres est risqué, car l'oxygène peut entraîner une crise convulsive.azote : dès 30 mètres, il peut provoquer l'ivresse des profondeurs. Cette sensation, parfois agréable, peut devenir problématique, entraînant des troubles du comportement qui peuvent nuire à la sécurité du plongeur.gaz carbonique (CO2) / carbonarcose : produit par l'effort intense et la difficulté à ventiler l'air dense sous l'eau. Une mauvaise élimination du dioxyde de carbone peut mener à l'hypercapnie, pouvant aller jusqu'au malaise.A la remontée : la pression chute de nouveau, inversant les phénomènes (la pression diminue, les volumes gazeux augmentent). Le risque majeur est alors la distension gazeuse dans les poumons , un accident potentiellement très grave.
Cette semaine, je reçois Marie Robert — autrice, prof de philosophie, directrice d'écoles Montessori et créatrice de Philosophy is Sexy. Chaque matin depuis des années, elle écrit une pensée du jour qui accompagne plus de 300 000 lectrices et lecteurs.Avec elle, on parle d'itinéraires qui déplacent autant le corps que l'esprit : voyager en famille (sans se ruiner en logistique), apprivoiser les écrans en route, inventer des rituels simples qui apaisent, et transmettre aux enfants le goût de l'ailleurs par les sens, les livres… et la curiosité. Marie nous rappelle qu'il n'existe pas un bon voyage, mais votre manière de voyager : parfois, un roman sur un canapé vaut un long-courrier. On évoque l'altérité, la lenteur, ces moments minuscules (même dans une station-service) qui deviennent inoubliables, et des idées très pratiques pour repartir plus léger·e : lire, marcher, observer, et se demander « de quoi ai-je vraiment besoin quand je pars ? ».Cap sur un épisode qui fait du trajet une boussole — et du quotidien, une aventure.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, je reçois Marie Robert — autrice, prof de philosophie, directrice d'écoles Montessori et créatrice de Philosophy is Sexy. Chaque matin, depuis des années, Marie écrit une pensée du jour qui accompagne plus de 300 000 lectrices et lecteurs.Avec elle, on parle d'itinéraires qui déplacent autant le corps que l'esprit : voyager en famille (sans se ruiner en logistique), apprivoiser les écrans en route, inventer des rituels simples qui apaisent, et transmettre aux enfants le goût de l'ailleurs par les sens, les livres… et la curiosité.Marie nous rappelle qu'il n'existe pas un bon voyage, mais votre manière de voyager : parfois, un roman sur un canapé vaut un long-courrier. On évoque l'altérité, la lenteur, ces moments minuscules (même dans une station-service) qui deviennent inoubliables, et des idées très pratiques pour repartir plus léger·e : lire, marcher, observer, et se demander « de quoi ai-je vraiment besoin quand je pars ? ».Cap sur un épisode qui fait du trajet une boussole — et du quotidien, une aventure.Pour retrouver l'épisode en intégralité taper "Marie Robert @philosophyissexy : voyager pour penser et penser pour voyager" sur votre plateforme de podcasts préférée.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dimanche 26 octobre les Argentins votent pour des élections de mi-mandat qui renouvellent la moitié des 257 députés et un tiers des 72 sénateurs, un scrutin qui a valeur de test pour le parti du président Javier Milei, la La Libertad Avanza. Deux ans après son élection, le libertarien Javier Milei, revendique des succès: l'inflation domptée (passée de 200% à 31% en interannuel) et un équilibre budgétaire, inédit depuis 14 ans.Son programme s'accompagne cependant d'une austérité draconienne. Près de 200.000 emplois ont été perdus et les écarts se creusent entre riches et pauvres dans cette société à deux vitesses.Le peso argentin reste fragile, malgré le soutien du trésor public aux Etats-Unis, où Donald Trump vante les réussites de Milei, son allié idéologique.Avec ces élections, le président argentin joue sa marge de manœuvre pour la deuxième moitié de son mandat, face à un Parlement où son parti est à ce jour très minoritaire.Invités: Philippe Bernes-Lasserre, directeur du bureau de l'AFPMiguel Kiguel, économiste argentin, directeur du cabinet d'analyse économique EcoViewsDavid Copello, il est maître de conférence en sciences politiques à l'Institut catholique de Paris et spécialiste de l'Argentine Réalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon et Michaëla Cancela-KiefferLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sous la surface, dans la pénombre des récifs mésophotiques, un rêve devient réalité : Alexis Chappuis, biologiste marin, plongeur-explorateur et fondateur d'UNSEEN, raconte comment son équipe a rencontré, filmé et photographié le cœlacanthe indonésien dans son milieu naturel.Alexis détaille la méthode qui a mené à cette rencontre sous-marine : lecture fine des cartes, recherche d'habitats complexes et plus frais (≈ 20-21 °C), gestion de risques et logistique en zone isolée. Dans cette "lenteur forcée", par de longues heures de palier, il raconte aussi la part de contemplation qui accompagne la décompression.Nous accueillons aussi un invité surprise : Gaël Clément (paléontologue, Muséum national d'Histoire naturelle). Il replace Latimeria (le nom scientifique du cœlacanthe) dans l'histoire du vivant et explique pourquoi des images in situ réalisées par des plongeurs changent la donne. On revient sur les deux espèces actuelles — Latimeria chalumnae en Afrique et L. menadoensis en Indonésie — et sur la photo-identification par les taches blanches, véritables "empreintes digitales" du cœlacanthe.Mais la magie n'efface pas les enjeux. Alexis et Gaël expliquent pourquoi le site précis reste confidentiel (braconnage, dérives du “tourisme des profondeurs”, sous-marins privés, projets d'aquariums) et comment le cœlacanthe peut devenir une espèce parapluie pour protéger des zones entières. Ils abordent aussi la pollution, visible jusque dans ces profondeurs.En filigrane, se dessine l'écosystème humain : binômes de confiance, universités d'Udayana (Bali) et de Pattimura (Ambon), autorités indonésiennes pour les permis, soutiens techniques et scientifiques, et une coordination millimétrée entre plongeurs profonds, chercheurs et équipe surface.Enfin, place aux perspectives : retour en 2025 pour évaluer l'existence d'une population établie dans l'archipel, pistes de recherche (catalogage, ADNe), mini-film et début d'une thèse. Entre émotion et pédagogie, cet épisode vous entraîne dans la "twilight zone" où la science avance à petits pas… et où chaque image compte.
Cette semaine, je reçois Laureen, fondatrice de @happycheriskids. Enseignante, maman de trois enfants et passionnée de découvertes, elle a fait du voyage un véritable outil éducatif. Pour elle, chaque destination est l'occasion d'ouvrir un peu plus les horizons de ses enfants, de nourrir leur curiosité et de leur donner confiance en eux.Laureen nous partage sa vision du voyage en famille : pourquoi c'est bien plus qu'une parenthèse dépaysante, comment les enfants grandissent à travers les rencontres et les découvertes, et de quelle manière le voyage peut transformer le quotidien une fois de retour à la maison. Elle revient aussi sur ses expériences marquantes : le choc culturel au Maroc, l'émerveillement en Thaïlande, la richesse historique de Londres, mais aussi et surtout son amour pour l'Ile Maurice.Elle nous livre ses adresses coup de cœur pour vivre l'île autrement, entre plages fréquentées par les locaux et expériences hors des sentiers battus.On parle aussi organisation, équilibre entre rythme d'adulte et rythme d'enfant, astuces pratiques pour voyager sereinement, mais surtout de cette conviction profonde : le voyage n'est pas réservé aux grands aventuriers ou aux tours du monde. Même un court séjour peut être une aventure formatrice, tant qu'on y met de l'ouverture et de l'envie.Cet épisode a été réalisé grâce au soutien du groupe Attitude Hotels.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, je reçois Laureen, fondatrice de HappyCherisKids. Enseignante, maman de trois enfants et passionnée de découvertes, elle a fait du voyage un véritable outil éducatif. Pour elle, chaque destination est l'occasion d'ouvrir un peu plus les horizons de ses enfants, de nourrir leur curiosité et de leur donner confiance en eux.Laureen nous partage sa vision du voyage en famille : pourquoi c'est bien plus qu'une parenthèse dépaysante, comment les enfants grandissent à travers les rencontres et les découvertes, et de quelle manière le voyage peut transformer le quotidien une fois de retour à la maison. Elle revient aussi sur ses expériences marquantes : le choc culturel au Maroc, l'émerveillement en Thaïlande, la richesse historique de Londres, mais aussi et surtout son amour pour l'Ile Maurice.Elle nous livre ses adresses coup de cœur pour vivre l'île autrement, entre plages fréquentées par les locaux et expériences hors des sentiers battus.On parle aussi organisation, équilibre entre rythme d'adulte et rythme d'enfant, astuces pratiques pour voyager sereinement, mais surtout de cette conviction profonde : le voyage n'est pas réservé aux grands aventuriers ou aux tours du monde. Même un court séjour peut être une aventure formatrice, tant qu'on y met de l'ouverture et de l'envie.Pour retrouver l'épisode en intégralité taper "Laureen : éduquer par le voyage et vivre l'île Maurice autrement" sur votre plateforme de podcasts préférée.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hervé Letoqueux est un grand spécialiste de l'enquête en source ouverte.L'enquête en source ouverte, souvent plus connue sous son acronyme en anglais Osint, "open source intelligence", c'est au départ une vieille technique des services de renseignement qui consiste à utiliser des infos à la portée de tous pour enquêter. Hervé Letoqueux a mis ces méthodes --- rémise au gout du jour par l'essor d'internet -- au service de la douane judiciaire puis d'enquêtes de la justice antiterroriste, avant de devenir le chef de la division des opérations au service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères (VIGINUM).À ce titre il a assisté en première ligne à l'essor de réseaux d'ingérence pilotés par la Russie pour destabiliser les démocraties occidentales. Dans cet entretien préparé avec Julie Charpentrat, rédactrice en chef de l'investigation numérique à l'AFP, il nous raconte ses enquêtes et dresse un état des lieux des ingérences passées et à venir. Réalisation : Maxime Mamet et Michaëla Cancela-Kieffer.La Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fini les chatbots un peu secs qui répondent à côté. Trois ans après la sortie de Chat GPT, bonjour les amis virtuels, les doubles numériques et les clones de votre moi. Vous êtes débordés ? Demandez à votre clone de faire le boulot pour vous et même, de vendre à votre place. Vous êtes déprimé parce que vous avez perdu votre emploi, remplacé par une IA ? Trouvez du réconfort auprès d'un coach virtuel. C'est la promesse des intelligences artificielles génératives. Surtout, ces scénarios ne relèvent plus complètement de la science-fiction.En Chine, le géant de la tech Baidu crée des clones d'humains qui vendent des produits en ligne. Et partout dans le monde, des adultes et des enfants interagissent avec des agents conversationnels, plus ou moins experts. De plus en plus de voix s'élèvent contre l'apparence humaine de ces systèmes, leur anthropomorphisme, qui peut aider, mais aussi nous faire dérailler. Cette semaine, l'Etat de Californie aux Etats-Unis a adopté la première loi qui réglemente les applications faisant office d'amis ou compagnons artificiels après des suicides d'adolescents liés à des interactions avec ces agents selon leurs proches. Ils devront notamment clairement expliquer que leurs contenus sont non humains. Nous vous proposons un tour d'horizon du sujet, préparé avec Thomas Urbain, journaliste de l'AFP qui suit l'IA depuis New York et Agatha Cantrill reporter de l'AFP à Shanghaï. Intervenants : Dara Ladjevardian, co-fondateur de la start up Delphi.ai Michal Luria, du Centre pour la démocratie et la technologie à Washington, spécialiste des interactions homme-machine, Mark Daley, Professeur et responsable de l'IA à l'université Western en Ontario au Canada, Robert Mahari, Directeur associé du centre CodeX à l'université de Stanford en Californie. Doublages : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon, Delphine Thouvenot, Sébastien Castéran, Thierno Touré, Elouan Blat. Réalisation : Michaëla Cancela-Kieffer avec Emmanuelle Baillon et Maxime Mamet. La Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jusqu'à l'ouverture des portes en janvier, Les Plongeurs Padawan vous emmènent dans les coulisses du Salon de la Plongée, l'un des plus grands rendez-vous mondiaux dédiés à l'univers subaquatique.Pour ce premier épisode, Lucie reçoit Hélène de Tayrac, fondatrice et organisatrice du Salon, pour une immersion au cœur d'une aventure humaine et logistique unique.Comment se prépare un événement capable de rassembler plus de 66 000 visiteurs, 400 exposants et des marques venues du monde entier ? À quel moment démarre vraiment la machine ? Quelles sont les grandes décisions à prendre pour faire évoluer un salon devenu, au fil des ans, une véritable institution pour les plongeurs ?Hélène nous dévoile les dessous d'un travail mené tout au long de l'année : la clôture comptable d'une édition, la réservation du hall Porte de Versailles, l'ouverture des inscriptions exposants dès le printemps, le choix du thème et des temps forts de la prochaine édition. Entre anecdotes et chiffres clés, elle partage aussi les défis d'une "crise de croissance" — un salon aujourd'hui trop grand pour son espace, et pourtant toujours plein à craquer.Cet épisode met aussi en lumière l'âme du Salon : la convivialité, la joie de se retrouver, l'énergie d'une communauté unie par la passion de la mer et de la plongée. On y apprend que toutes les grandes marques de plongée — Beuchat, Scubapro, Aqualung, Mares, Cressi, Topstar et bien d'autres — seront présentes en 2026 ; que Mayotte fera son grand retour après le passage dévastateur du cyclone Chido ; et Hélène a même le courage de répondre à LA question que se posent tous les visiteurs : les sandwiches à la raclette seront-ils de retour en 2026 ?Entre humour, coulisses et exclusivités, cet épisode inaugure une série qui vous fera vivre, mois après mois, semaine après semaine, la préparation du Salon de la Plongée 2026 — un rendez-vous où se mêlent innovations, rencontres et passion partagée pour l'océan.
Pour cet épisode de La Semaine sur le fil, nous vous emmenons en Allemagne. Il y a dix ans, la chancelière allemande Angela Merkel est entrée dans l'histoire avec une petite phrase : "Wir schaffen das", nous y arriverons : face à ce que l'Europe appelait la crise migratoire, l'Allemagne ouvrait grand ses bras et les villes se recouvraient de panneaux "welcome refugees". Angela Merkel, saluée pour son courage, était choisie comme femme de l'année par le magazine américain Time.Dix ans plus tard, il y a des histoires d'intégration réussies, mais le parti d'extrême droite AfD multiplie les succès électoraux.Invités : Jeanette Süß, chercheuse à l'Institut français de relations Internationales (Ifri) François Héran, sociologue, professeur au Collège de France.Sur le terrain : Pierrick Yvon, Femke ColborneRéalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon La Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on reçoit Ludovic, qui, étudiant, a troqué l'amphi pour… l'asphalte.Son pari ? Un tour du monde 100 % en auto-stop. Pas un an. Pas deux. Cinq ans de stop, d'auto-stop, camion-stop, voilier-stop, cargo-stop… jusqu'au brise-glace-stop pour toucher l'Antarctique.Au compteur : 59 pays, 170 000 km, 1 300 conducteurs et une avalanche de rencontres qui vous réconcilient avec l'humanité.Des routes alsaciennes de ses débuts aux stations-service de Shanghai, des passes des Tuamotu aux falaises des Andes, du Sahara aux neiges du Sud, Ludovic raconte l'inattendu permanent : nuits sous tente, cuisines de fortune, traversées d'océans “à la dure”, détours imprévus, portes qui s'ouvrent… et ce rendez-vous improbable avec le Dalaï-Lama, chez lui, en Inde.Ce tour du monde est surtout un tour des hommes. Des familles qui hébergent, des marins qui embarquent un inconnu, des profs qui ouvrent leurs classes, des ONG qui changent la donne. On parle hospitalité renversante (Iran, Pakistan, Afghanistan), dialogues improbables, quiproquos de langue et ce “document magique” écrit dans 20 langues pour briser la glace en deux minutes.Il y a eu des sueurs froides : routes vertigineuses, conducteurs pressés, armes brandies par peur plus que par malveillance. Mais, surtout, il y a eu des milliers de gestes de bonté et cette conviction qui change une vie : “la grande majorité des gens sont honnêtes et gentils.”Ludovic partage sa méthode, simple et imparable : PPPPS — Propre, Poli, Patient, Persévérant, Souriant.Il nous raconte aussi pourquoi il préfère les stations-service au bas-côté, comment il choisit sa voiture, gère la sécurité, transforme une attente de 28 heures en cours de portugais accéléré, comment faire du voilier-stop (les bonnes saisons, où chercher), cargo, et ce qu'il faut (vraiment) mettre dans son sac pour tenir cinq ans… léger.Résultat : 350 conférences sur la route, un livre, une ONG… et même une histoire d'amour croisée en chemin.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une flotte fantôme russe, des drones qui s'aventurent en Pologne et en Roumanie voire qui perturbent le trafic aérien au Danemark, des ingérences dans les processus électoraux, et enfin une violation de l'espace aérien estonien par des avions de chasse russes.Depuis début septembre, les événements s'enchaînent et font les gros titres, même si dans certains cas, l'implication de la Russie reste à établir. Certains l'appellent la guerre hybride. D'autres parlent de provocations très inquiétantes.Le sujet a dans tous les cas bien occupé cette semaine les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne réunis au Danemark, mercredi. Pour cet épisode spécial de la Semaine Sur le Fil, nous vous proposons de prendre un peu de recul en écoutant un entretien avec un spécialiste : le général français Jean-Paul Paloméros, ancien chef d'état-major de l'armée de l'air et ancien commandeur de l'OTAN pour la Transformation. Dans cette interview il nous livre son analyse sur ces événements, sur les nouveaux défis posés par les drones, et prône la mise en place de zones tampon d'exclusion aérienne, comme aux temps de la guerre froide. Réalisation : Michaëla Cancela-KiefferSons tirés des archives video de l'AFPTV.Doublage : Maxime MametMusique : Nicolas Nicolas Vair. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour cet épisode de La Semaine sur le fil, nous prenons de la hauteur pour explorer la très haute altitude (THA), entre 20 et 100 km d'altitude. Les gouvernements et leurs armées s'intéressent de plus en plus à cette zone, depuis notamment, les incidents impliquant des ballons d'observation chinois au-dessus de l'Amérique du Nord en 2023. À ces altitudes on trouve des ballons espions qui évoluent lentement mais aussi des missiles hypersoniques, comme récemment au-dessus de l'Ukraine ou de l'Iran.Au printemps dernier, la France a annoncé la mise en place d'une stratégie visant à mieux détecter d'éventuelles menaces dans cet espace. Pour en parler, nous avons invité Mathieu Rabechault, journaliste de l'AFP qui suit les questions de défense, Xavier Pasco, directeur de la Fondation pour la recherche stratégique, Yannick Combet, chef de projet chez Thales Alenia Space, et Nicolas Multan, directeur d'Hemeria.Réalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon et Michaëla Cancela-KiefferLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, j'ai eu envie d'inverser une nouvelle fois les rôles : j'ai confié le micro à mon associée Marie, le temps d'un épisode pour répondre à ses questions… et vous raconter mon road trip de six semaines en Polynésie française.Cap sur cet archipel mythique, qui fait rêver mais reste parfois entouré de clichés ou de freins. Entre lagons turquoise, pensions de famille, randonnées dans la jungle, surf, rencontres marquantes et couchers de soleil à Bora Bora, je vous partage l'un des plus beaux voyages de ma vie.Dans cet épisode, je vous raconte comment j'ai construit mon itinéraire à travers cinq archipels et plusieurs îles, comment organiser les vols inter-îles, et comment choisir entre hôtels et pensions de famille. On parle aussi valise (voyage ultra léger conseillé), astuces pour voyager avec des enfants malgré le décalage horaire, bons plans budget (roulottes, marchés, camping sur motu) et conseils pratiques pour explorer à vélo ou transporter son matériel de sport.Mais surtout, je vous emmène au-delà de la carte postale : râper la coco, cuisiner le poisson cru à la tahitienne, écouter la musique qui s'échappe des maisons, vivre au rythme du soleil.Un épisode pour s'évader, s'inspirer, et peut-être imaginer son propre beau voyage.Cet épisode a été réalisé en collaboration avec la Compagnie Air Tahiti Nui et Tahiti Tourisme, que nous remercions infiniment pour leur confiance.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En France, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, parfois présenté comme la dernière carte ou encore le dernier fusible du président Emmanuel Macron dont il est proche, continue les consultations pour déterminer sa feuille de route avant de nommer un gouvernement.La marge de manoeuvre est très étroite avec des lignes rouges très claires et contradictoires de l'alliance de partis de droite et du centre, le "socle commun" qui pourrait le soutenir, et du Parti socialiste, dont il a besoin pour éviter une motion de censure. Un véritable exercice de funambule.Si c'est l'impasse, plusieurs scénarios sont possibles, y compris celui de législatives anticipées où l'extrême droite espère encore gagner du terrain. Pour en parler, Michaëla Cancela-Kieffer a invité deux collègues du service politique de l'AFP, Jérémy Marot, chef adjoint du service, et Cécile Azzaro qui couvre le PS et les écologistes.Réalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon et Michaëla Cancela-KiefferLa Semaine Sur le Fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez-vous face à un éléphant de plusieurs tonnes, allongé au sol, l'animal à trois mètres seulement de votre objectif… Ou encore, imaginez croiser une meute de loups au Canada, juste devant vous.Dans cet épisode, je vous propose une interview express avec Mathieu Courdesses, l'un des plus grands photographes animaliers français. En 10 minutes, il nous raconte ses rencontres les plus incroyables : tigres du Bengale, orangs-outans, gorilles… , son rêve ultime, photographier le panda à l'état sauvage et ses meilleurs conseils pour les aspirants photographes. Prêts pour un grand bol de sauvage en accéléré ?Belle écoute !Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour la première fois, une commission d'enquête mandatée par l'ONU a accusé mardi 16 septembre Israël de commettre un "génocide" à Gaza depuis octobre 2023 avec l'intention de "détruire" les Palestiniens, mettant en cause le Premier ministre et d'autres responsables israéliens.La commission, qui ne s'exprime pas au nom de l'ONU, est arrivée "à la conclusion qu'un génocide se produit à Gaza et continue de se produire" dans ce territoire palestinien, a déclaré à l'AFP sa présidente, Navi Pillay. C'est la première fois qu'une commission d'enquête internationale mandatée par l'ONU accuse Israël de "génocide". Nos journalistes à Genève Agnes Pedrero et Elodie Le Maou, ont pu s'entretenir avec Navi Pillay, qui leur a expliqué comment son équipe était parvenue à cette conclusion.Sur le terrain : Agnes Pedrero et Elodie le Maou.Archives sonores : AFPTV, Images video diffusées par l'Armée israélienne, Video diffusée par le mouvement islamiste Hamas. Musique : What is left via Slipstream Music, par Zaphod and the Hearts of GoldDoublages : Sylvie Guyot, Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon, Luc SmiloviciRéalisation : Maxime Mamet et Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast d'info de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue dans la nouvelle version de notre podcast Sur le Fil, qui devient hebdomadaire.Chaque samedi nous explorons une thématique importante après un petit tour de l'actualité à retenir pour la semaine à venir, d'où notre nouveau nom "La semaine sur le fil".Au sein de l'Agence France-Presse on parle du "fil" pour évoquer le flux ininterrompu de dépêches venant des quatre coins du monde que nous distribuons aux médias abonnés.Et la semaine prochaine, sur notre "fil", on va parler beaucoup de l'Organisation des Nations unies, fondée en 1945.Avec une forte hausse de la conflictualité mondiale, l'ONU est en crise, accusée de coûter cher et d'être bien trop loin de sa vocation de maintien de la paix.Le multilatéralisme, au cœur de son fonctionnement, est attaqué de toutes parts, y compris par trois des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU : la Chine, la Russie et les Etats-Unis.Washington a décidé de quitter une nouvelle fois l'Unesco, une agence de l'ONU essentielle en matière d'éducation et de culture. Le président américain Donald Trump avait déjà quitté l'Unesco lors de son premier mandat. Et les Etats-Unis ont aussi, pour la deuxième fois, dénoncé les Accords de Paris sur le climat, négociés sous l'égide de l'ONU. C'est dans ce contexte que l'organisation internationale fête ses 80 ans et que se tient la semaine prochaine à l'ONU un sommet crucial pour les Palestiniens.Alors, l'ONU sert-elle encore à quelque chose ?Pour en parler Maxime Mamet a discuté avec Vincent Pouliot, enseignant-chercheur à l'Université de Montréal, Chloé Maurel, historienne, elle aussi spécialiste de l'ONU et chercheuse associée à la Sorbonne. Et la correspondante de l'AFP au siège des Nations unies à New York, Amélie Bottolier-Depois.Réalisation: Maxime Mamet et Michaëla Cancela-KiefferArchives sonores : ONU et AFPTVC'est l'histoire d'un pauvre : exposition sur Coluche et les Restos du Coeur, à voir au Musée d'histoire de Marseille jusqu'au 5 octobre. Puis à Nantes, à l'Hôtel du département de Loire-Atlantique, du 13 octobre au 22 novembre.La semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme` Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un message de l'équipe de Sur le FilA très vite !Emmanuelle Baillon, Maxime Mamet et Michaëla Cancela-KiefferVous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé le 1er juillet.Les librairies ont-elles un rôle à jouer dans la santé mentale des Français ?Les troubles psychiques touchent environ une personne sur trois en France, de quoi inquiéter les pouvoirs publics et ériger la santé mentale en grande cause nationale pour 2025. Parler de ses problèmes psy est devenu moins tabou, mais vers qui se tourner quand on ne va pas bien ?Les livres sur le sujet peuvent être une porte d'entrée avant d'oser pousser celle d'un professionnel. Mais dans l'offre pléthorique d'ouvrages sur la santé, certains scientifiques regrettent le mélange des genres qui s'opèrent parfois en librairies. Selon eux, des ouvrages sérieux et d'autres parfois en tête de gondole qui prônent des méthodes magiques face à des problèmes complexesSur le fil a invité plusieurs spécialistes de la santé mentale et des libraires afin d'y voir plus clair.Avec Hugo Baup, psychiatre, auteur du livre “Comment ca va, toi ? Le guide pratique de la santé mentale” (Larousse), Gladys Mondière, psychologue à Lille, présidente de la Fédération Française des Psychologues et de Psychologie (FFPP), Mickaël Worms-Ehrminger, chercheur en santé publique, auteur de la lettre ouverte "Comment les libraires peuvent contribuer à la grande cause nationale Santé mentale", Ingrid Ledru, gérante de la librairie Le livre en fête à Figeac et membre du conseil d'administration du Syndicat de la librairie française (SLF), Alexandra Charroin Spangenberg, présidente du SLFRéalisation : Charlotte HouangSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocalepar Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode de Beau Voyage, on a la chance de recevoir un invité exceptionnel, le plus grand photographe animalier français ! Imaginez un jeune diplômé d'école de commerce qui abandonne tout pour vivre sa grande passion : photographier les animaux les plus rares et les plus dangereux de notre planète. C'est l'histoire extraordinaire de Mathieu Courdesses, qui à seulement 30 ans est devenu l'un des photographes animaliers français les plus connus au monde.Mathieu nous raconte comment sa vie a basculé lors d'un premier voyage en Namibie à 8 ans, puis comment il a réussi l'impossible en convainquant le gouvernement rwandais de le laisser seul avec les gorilles des montagnes. Vous découvrirez ses débuts rocambolesques comme "traducteur" au Botswana à 19 ans alors qu'il ne parlait pas un mot d'anglais, et comment il bluffait les touristes avec ses connaissances animalières jusqu'à ce qu'un professeur d'anglais démasque sa supercherie.Il reviendra sur ses meilleurs souvenirs comme la photo de cette louve au Canada qui continue de le réveiller la nuit tant elle le bouleverse, ou encore ces moments magiques avec des bébés chimpanzés rescapés du braconnage qui grimpaient sur ses épaules comme s'il était leur grand frère. Il nous fait même entendre ses "conversations" avec les gorilles, ses rugissements avec les lions et ses imitations d'hippopotames.Entre passion et danger, Mathieu révèle ses techniques pour approcher les animaux sans jamais se mettre en péril, explique comment il gère les charges d'intimidation des éléphants et partage cette nuit terrifiante dans le désert namibien où des touristes se sont perdus. Ses projets futurs nous font rêver, de son retour programmé auprès de "sa" première famille de gorilles six ans après leur première rencontre, à son enquête sur le mystérieux cas des populations d'ours polaires, en passant par son rêve de documenter la "diplomatie du panda" orchestrée par le gouvernement chinois.Un épisode incroyable dans lequel nous avons parlé d'aventure, d'émotion et de beauté sauvage.Son dernier livre photo est sorti et il est magnifique, pour le commander c'est par ici : https://dashbook.fr/book/orange-wildRetrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Note aux auditrices et aux auditeurs : cet épisode a été diffusé le 11 février 2025.Elles représentent la moitié de l'humanité, mais la santé des femmes n'intéresse pas, ni la recherche ni les labos pharmaceutiques : un seul chiffre, pour vous donner une idée : 1% des investissements dans la recherche sont consacrés spécifiquement aux maladies féminines.Dans le même temps, le bien-être des femmes, et les maladies qui les touchent, représentent un véritable enjeu commercial : à travers des applis ou des gadgets plus ou moins loufoques et efficaces, consacrés par exemple au suivi des cycles menstruels, au yoga hormonal ou à l'endométriose.Cet épisode de Sur Le fil explore le sujet des inégalités entre hommes et femmes en matière de santé.Invitée : Marie-Morgane Le Moël, journaliste économique à l'AFP co-autrice avec Solenne Le Hen du livre-enquête, “Les Négligées”, édité chez Harper collins.Réalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45.Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De retour à Paris, Julien Cernobori s'apprête à partager une décision importante concernant le podcastCERNO est un podcast créé par Julien CernoboriReportage, montage, réalisation et mixage : Julien CernoboriMusique originale : Théo BoulengerEcoutez les épisodes suivants sur patreon.com/cerno !Ecrivez-moi à cernopodcast@gmail.com ou suivez moi sur Instagram @cernopodcast.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.