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durée : 00:14:48 - Journal de 8 h - C'est la réunion de la dernière chance pour trouver une issue politique au conflit lancé par Israël : Les diplomates européens rencontrent leur homologue iranien ce matin à Genève, et Donald Trump se donne deux semaine pour décider d'impliquer ou non les Etats-Unis dans la guerre.
durée : 00:14:48 - Journal de 8 h - C'est la réunion de la dernière chance pour trouver une issue politique au conflit lancé par Israël : Les diplomates européens rencontrent leur homologue iranien ce matin à Genève, et Donald Trump se donne deux semaine pour décider d'impliquer ou non les Etats-Unis dans la guerre.
durée : 00:39:48 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - La guerre déclenchée par Nétanyahou en Iran est-elle une guerre préventive ? Est-elle une guerre juste ? Ce matin, nous interrogeons les outils conceptuels de la philosophie contemporaine : suffisent-ils pour comprendre les conflits au Proche-Orient et ailleurs dans le monde aujourd'hui ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marc Crépon Directeur de recherche à l'Université Paris Sorbonne et directeur du département de philosophie à l'École normale supérieure; Perrine Simon-Nahum Directrice de recherche au CNRS, professeure à l'École normale supérieure de Paris
durée : 02:40:02 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Paul Tourret, directeur de l'Institut Supérieur d'Économie Maritime / Marion Ogier, Avocate en droit public au barreau de Paris / Marc Crépon, Directeur de recherche au CNRS et professeur attaché à l'ENS et Perrine Simon-Nahum, Directrice de recherche au CNRS, professeure à l'ENS - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:04:02 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Ces dernières heures, le président américain prend des accents de plus en plus guerriers vis-à-vis de l'Iran. En contraste avec sa promesse de campagne : celle de ne pas engager les Etats-Unis dans un nouveau conflit.
durée : 00:54:22 - Le Grand Face-à-face - par : Thomas Snégaroff - Comment prendre la mesure de l'attaque israélienne sur l'Iran ? Décryptage avec le professeur de science politique à l'Open University of Israël, Denis Charbit, et l'historien spécialiste des relations internationales, membre de la rédaction du Grand Continent, Florian Louis. - réalisé par : Marie MéRIER
1/ Trump-Musk, les leçons d'une rupture. 2/ Californie : la guerre est-elle déclarée ? 3/ Cette Europe que Trump déteste. Retrouvez un nouveau numéro du Club Le Figaro International présenté par Philippe Gélie. Il reçoit Jean-Pierre Maulny, Gilles Gressani et Isabelle Lasserre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On aurait pu penser que les planètes étaient alignées pour la signature d'un accord de paix entre la Russie et l'Ukraine.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Retrouvez la matinale de ce 4 juin 2025 avec Clémence Houdiakova, au menu :2:30 Un agriculteur dénonce les éoliennes dans la baisse de production de lait de ses chèvres !
Des sols pollués suite à des combats ou bombardements, des parcs naturels détruits, des inondations… Ce sont les destructions de l'environnement que peuvent causer les guerres. Cet impact pourrait lui-même devenir une nouvelle source de conflit. On en parle dans ce zoom RSE. -----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
L'émission 28 minutes du 27/05/2025 Syrie, Mali, Afghanistan : la tragédie des guerres civilesGilles Dorronsoro est enseignant en science politique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ce spécialiste des conflits contemporains publie "Le plus grand des maux – sociologie des guerres civiles" (aux éditions CNRS). En s'appuyant sur de nombreux exemples, notamment la Syrie, le Mali ou l'Afghanistan, il explique ce qui provoque les guerres civiles. Pour Gilles Dorronsoro, ces conflits sont avant tout "des sociétés qui s'affrontent sur le même territoire national avec, pour destin très probable, une réunification". Si ces sociétés sont souvent radicalement différentes, l'auteur note que des innovations politiques et institutionnelles peuvent éclore du chaos causé par les guerres civiles. Y a-t-il un abus de recours aux commissions d'enquête parlementaires ?Dimanche 19 mai, Yaël Braun-Pivet, la présidente de l'Assemblée nationale, laissait entendre un léger agacement : "Il y en a peut-être un peu trop", a-t-elle glissé avec prudence au sujet des commissions d'enquêtes parlementaires. Depuis la révision constitutionnelle de 2008, chaque groupe parlementaire peut initier une commission d'enquête, ce qui explique leur nombre croissant. Celle-ci se saisit d'affaires de premier plan : Notre-Dame de Bétharram, les pratiques des industriels de l'eau mais aussi l'affaire Benalla ou celle d'Outreau. Retransmises en direct, ces commissions sont parfois critiquées et perçues comme des procès politiques. Mais parallèlement, elles permettent aux parlementaires de remplir leur fonction de contrôle en toute transparence, et sont transpartisanes. Ces commissions d'enquêtes doivent-elles être plus encadrées ? Leur nombre devrait-il être réduit ? Déficit de la Sécu : le modèle social français en sursis ?Le dernier rapport de la Cour des comptes est sans appel : la trajectoire financière de la Sécurité sociale est "hors de contrôle". Le déficit qu'elle accuse ne cesse de se creuser : après avoir culminé à 15 milliards d'euros en 2024, les prévisions pour 2025 annoncent un nouveau record de 22 milliards d'euros. Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, a même prophétisé que la Sécu ne pourrait plus emprunter sur les marchés à l'horizon 2027. L'heure est donc aux économies, une mesure nécessairement impopulaire. Peut-on baisser les dépenses sociales tout en préservant la paix sociale ? Enfin, Xavier Mauduit revient sur l'inestimable travail de Marcel Ophuls, décédé le 24 mai, qui a produit le premier documentaire sur l'Occupation et ses ambiguïtés, “Le Chagrin et la pitié”, sorti en 1971. Marie Bonnisseau nous emmène au Japon, où l'été s'annonce dénué de touristes. En cause : un manga, publié en 1999, qui prédit un immense tremblement de terre en juillet 2025.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 27 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Aquesta setmana, A Les Portes de Troia, parlem sobre la batalla de Mühlberg (1547): una contundent victòria de Carles V sobre els prínceps protestants de la Lliga Esmalcalda en el context de les Guerres de Religió europees de l'edat moderna. Analitzarem les causes del conflicte, el desenvolupament de la batalla i les conseqüències polítiques, religioses i simbòliques d'un enfrontament que va marcar el declivi d'un projecte imperial.
Vendredi 24 janvier 2025Jérémie Foa nous présente son livre Survivre - Une histoire des guerres de Religion paru aux Editions du Seuil. Dans le monde incertain des guerres de Religion (1562-1598), survivre est tout un art. Comment mentir, se déguiser, s'échapper, simuler ou dissimuler sa confession religieuse ? Comment se faufiler, tromper ou surprendre son adversaire ? Quelles sont, en somme, les tactiques pour tenir dans un monde soudain hostile, dans lequel le voisin peut dénoncer, le boucher empoisonner, votre accent vous trahir, le fils égorger, le mari mentir et la rue naguère familière devenir guet-apens ? « Car en matière de guerres intestines, écrit Montaigne, votre valet peut être du parti que vous craignez. Et lorsque la religion sert de prétexte, les parentés mêmes deviennent peu fiables ».En s'appuyant sur des chroniques contemporaines et sur un matériau archivistique exceptionnel, cette enquête entend rendre sensible ce que fut l'expérience concrète des « tristes hommes d'après 1560 ». Parce que la guerre civile rend incertain ce qui semblait le mieux établi – l'identité des êtres et des choses, le statut des lieux, le langage lui-même –, Survivre entreprend de mettre en lumière les savoir-faire et les savoir-vivreavec le trouble. Mais ce livre n'entend pas seulement restituer au plus près des documents ce que fut l'épreuve de la guerre intestine. Il propose une relecture ambitieuse de l'ensemble des guerres de Religion, laboratoire de notre modernité, désormais envisagées au prisme de la condition d'incertitude.Jérémie Foa est maître de conférences habilité à diriger des recherches à Aix-Marseille Université, membre du laboratoire TELEMMe et spécialiste de l'histoire des guerres de Religion en Europe. Il est notamment l'auteur de Tous ceux qui tombent. Visages du massacre de la Saint-Barthélemy (La Découverte, 2021 ; Prix lycéen du livre d'histoire de Blois, 2022).
durée : 00:03:30 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'armée israélienne s'est imposée comme la plus puissante de la région dans les guerres qui se déroulent depuis le 7 octobre. Mais cette hégémonie militaire ne s'accompagne d'aucune solution politique : c'est la faiblesse de Netanyahou alors que Donald Trump rend visite aux riches princes du Golfe.
durée : 00:03:30 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'armée israélienne s'est imposée comme la plus puissante de la région dans les guerres qui se déroulent depuis le 7 octobre. Mais cette hégémonie militaire ne s'accompagne d'aucune solution politique : c'est la faiblesse de Netanyahou alors que Donald Trump rend visite aux riches princes du Golfe.
durée : 00:03:22 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Israël rappelle des dizaines de milliers de réservistes alors que ses opérations menacent de s'étendre à Gaza, et prennent de l'importance en Syrie. De quoi s'interroger sur les objectifs de ces guerres les plus longues de l'histoire de l'État hébreu.
durée : 00:03:22 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Israël rappelle des dizaines de milliers de réservistes alors que ses opérations menacent de s'étendre à Gaza, et prennent de l'importance en Syrie. De quoi s'interroger sur les objectifs de ces guerres les plus longues de l'histoire de l'État hébreu.
Deux mois de blocus humanitaire à Gaza, deux mois qu'Israël empêche d'entrer les camions de nourriture, d'eau, de médicaments et d'autres produits de première nécessité, dans un territoire déjà dans une situation catastrophique pour les habitants. L'Organisation mondiale de la santé a qualifié « d'abomination » la situation dans le territoire palestinien, exprimant sa colère face à l'inaction pour secourir sa population. Entretien avec Rony Brauman, ancien président de MSF et directeur d'études au sein du Centre de réflexion sur l'action et les savoirs humanitaires (Crash). Auteur de « Guerres humanitaires ? Mensonges et intox », éditions Textuel. RFI : La situation est insupportable selon les habitants de Gaza. L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) parle d'« abomination ». Aujourd'hui, en plus du blocus et des bombardements, Israël occupe aussi des parties de la bande de Gaza. À quoi ressemble le quotidien des Palestiniens ? Où et comment vivent-ils ? Rony Brauman : Les mots manquent pour décrire le quotidien des Palestiniens. L'attentat terroriste du 7-Octobre impliquait une riposte de la part d'Israël. Personne ne conteste cette évidence, mais la disproportion, la cruauté, la férocité avec laquelle cette punition collective a été abattue par les Israéliens sur la population de Gaza, cela laisse sans voix. Gaza était déjà sous blocus, mais finalement, l'aide humanitaire, sous la pression, avait fini par entrer. Dans des quantités limitées mais qui avaient permis des choses. Puis la trêve avait permis de constituer des stocks, avait été un véritable répit pour les Palestiniens pendant quelques semaines, durant sept ou huit semaines. Aujourd'hui, c'est à nouveau l'abomination, l'enfer qui s'abat sur les Palestiniens. Toutes les réserves sont épuisées. On boit de l'eau croupie, de l'eau saumâtre, on ne peut plus s'éclairer parce que les centrales ne sont plus approvisionnées. Il n'y a plus de carburant, plus de farine, plus d'aliments de base. Ce que les Gazaouis avaient réussi à stocker, les commerçants ou les particuliers, tout cela arrive maintenant à épuisement. On est dans une situation de famine organisée dans le cadre d'une guerre qui, aujourd'hui, n'a jamais mieux mérité son nom de guerre génocidaire. Comme pour rajouter à l'infamie, à l'horreur de cette situation, rien n'est fait concrètement de la part des Occidentaux pour que le massacre s'arrête, en dépit de quelques formulations critiques qui ont tardé à être entendues, comme la France appelant à arrêter le massacre. Par exemple, les livraisons d'armes continuent. L'intensité des bombardements, des tirs qu'Israël effectue sur Gaza, n'a jamais été aussi élevée. Il faut bien ravitailler toutes ces munitions, ces drones, ces avions, ces hélicoptères, ces chars qui tirent des missiles, des obus. Sur ce point-là, comment est-ce que vous expliquez que cela dure encore ? Parce que, même si Israël empêche les journalistes d'entrer, on a des images. Il y a eu quelques rares visites, on a des informations grâce aux réseaux sociaux. Pourquoi est-ce que cela dure depuis aussi longtemps ? Notamment les livraisons d'armes que vous mentionniez à l'instant. Cela dure pour deux raisons. D'une part, parce qu'Israël entend saisir l'occasion qui lui est donnée pour se débarrasser définitivement de la question des Palestiniens de Gaza. Au passage, Israël entend aussi accélérer et amplifier, intensifier sa politique de colonisation en Cisjordanie. Il y a quelque chose comme un effet d'aubaine, si vous voulez. Le 7-Octobre est utilisé par les Israéliens pour chasser le plus possible de Palestiniens. D'autre part, le soutien indéfectible des États-Unis. Ce soutien était un peu plus mesuré sous le mandat de Joe Biden, il y avait malgré tout quand même un peu de retenue. Maintenant, sous Donald Trump, il n'y en a absolument plus aucune, puisque c'est Trump qui leur a soufflé la solution de la déportation des Palestiniens de Gaza et l'installation d'une Riviera sur ce littoral. Par ailleurs, l'Europe tolère des transferts de composants d'armement. Certes, on n'envoie pas des obus, des vedettes militaires ou que sais-je, mais on laisse passer des composants électroniques, des composants métalliques utilisés dans la fabrication des missiles, des projectiles qui tuent chaque jour des Palestiniens. Surtout l'Allemagne, mais également d'autres pays. La France n'est pas en tête, mais son rôle est quand même significatif. L'Europe a-t-elle les moyens de faire quelque chose ? Je pense que l'Europe aurait les moyens de faire quelque chose. Car l'Europe est le premier débouché commercial d'Israël. L'Europe a accordé à Israël, en tant que pays démocratique allié, présent dans le bon camp, un accord d'association qui lui donne un statut de quasi-membre de l'Union européenne avec des coopérations culturelles, universitaires, militaires, stratégiques, commerciales, etc. Donc, il y a toutes sortes de moyens d'agir pour signifier à Israël qu'on ne veut pas se rendre complice de ce génocide, de ces atrocités que tout le monde voit et devant lesquelles personne ne fait rien. L'Europe, qui se vante d'être attachée au droit international, au droit humanitaire, ne fait absolument rien sinon envoyer quelques critiques qui ne changent absolument rien à la situation. Pour répondre à votre question, la réponse est simple : oui, l'Europe aurait les moyens de faire quelque chose à condition de le vouloir. Pour l'instant, l'Europe continue de se porter aux côtés d'Israël en continuant de qualifier ce pays de démocratie, alors qu'y règne l'apartheid, la colonisation, la torture légale et aujourd'hui une guerre génocidaire, le blocus imposé aux journalistes. Est-ce que l'on connait d'autres conflits dans lesquels, pendant deux ans, aucun journaliste étranger n'a pu pénétrer, si ce n'est « embedded », embarqué avec l'armée israélienne ? Quelques journalistes ont pu rentrer et visiter le camp de Jabalia, avec interdiction de parler aux réfugiés palestiniens de ce camp qui est le plus grand camp de réfugiés palestiniens de la région. On va visiter ce camp, mais on n'a pas le droit de parler aux gens qui s'y trouvent parce que l'armée israélienne l'interdit. Malgré tout cela, le génocide, l'apartheid, le racisme, la férocité de cette offensive, Israël continue à bénéficier du statut de démocratie, statut qui l'ancre dans le camp occidental et lui permet de bénéficier de la mansuétude, de l'indulgence, voire du soutien d'un certain nombre de pays européens. Le gouvernement israélien a encore dit, vendredi 2 mai, préparer une grande opération à Gaza et mobiliser pour cela des réservistes. Quelle est la stratégie ? Je crois que d'une part, Israël est en train de réoccuper Gaza. Il s'agit de prendre des positions, de découper la bande en plusieurs zones, en trois ou quatre zones. D'autre part, comme l'a dit élégamment, je crois, Smotrich, mais repris par d'autres, il s'agit « d'encourager le départ volontaire des Gazaouis ». Qu'est-ce que ça veut dire, « encourager le départ volontaire » ? Cela veut dire contraindre les gens par la faim et le désespoir à un départ sans espoir de retour, parce qu'il n'y a plus aucun avenir. Les jeunes gens de Gaza, à part le fait de vouloir se venger de ceux qui les ont plongés dans le malheur le plus extrême, ont aussi envie de voir autre chose. Je pense que le plan Trump, qui a été saisi au vol par Benyamin Netanyahu, est en train d'être mis en œuvre. C'est-à-dire vider Gaza de sa population, se livrer à une opération d'épuration, d'évacuation ethnique où l'on va garder quelques dizaines de milliers de personnes, mais évacuer les autres vers l'Égypte, d'autres pays africains, d'autres pays dans le monde. Je ne sais pas comment ils vont faire cela, mais en tout cas, tout semble indiquer qu'ils en prennent le chemin. Ce vendredi 2 mai, l'ONG « Flottille de la liberté » annonce que l'un de ses bateaux humanitaires à destination de Gaza a été visé par un drone israélien au large de Malte, dans les eaux internationales. Pour l'instant, Israël n'a pas réagi mais cela vous paraît-il plausible ? Cela me paraît plausible. Rappelez-vous la flottille Mavi Marmara en 2010 qui avait été attaquée par des commandos israéliens. Il y avait eu quand même dix morts sur une flottille qui était intégralement pacifiste, qui entendait simplement appliquer une pression pour forcer le blocus et livrer des médicaments et des vivres à la population de Gaza. Une opération hautement symbolique, disons de diplomatie humanitaire privée, mais qui n'avait rien d'agressif et qui a fini ainsi. Que cette flottille ait été attaquée par des drones israéliens, de la façon la plus illégale, est un acte de piraterie pure et simple. Je ne sais pas si, factuellement, cela s'est passé ainsi, mais ça me paraît tout à fait plausible. Cela ne fait aucun doute. À lire aussiFlottille de Gaza: un navire humanitaire attaqué par des drones israéliens, disent des militants À lire aussi«Mes enfants sont chétifs»: l'agonie des Gazaouis face au blocus humanitaire imposé par Israël
Diplomatie, budget, fiscalité, finance : au-delà de la guerre commerciale, Donald Trump a mené depuis son investiture plusieurs guerres en parallèle. Que faut-il retenir de l'action du Président américain depuis son retour au pouvoir le 20 janvier, il y a 100 jours ? Réponse avec Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos. Ecorama du 30 avril 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
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Le Journal en français facile du jeudi 24 avril 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BbzZ.A
Caroline Galactéros : Géopolitologue
durée : 00:58:28 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Si le pacifisme a toujours été un pilier de la diplomatie vaticane, il l'est encore davantage sous le pontificat de François. Mais la question de son audibilité se pose, tant dans le contexte de la guerre en Ukraine que dans le conflit israélo-palestinien. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : François Mabille Politiste, directeur de l'Observatoire de géopolitique des religions à l'Institut des Relations Internationales et Stratégiques (IRIS); Constance Colonna-Cesari Journaliste et réalisatrice, spécialiste du Vatican
Après 3 mois au pouvoir, quel est le bilan pour le président des États-Unis? Guerres: la Russie et Gaza ne semblent pas vouloir réduire la pression. De l’espoir en Iran? La rencontre Bureau-Dumont avec Stéphan Bureau et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ecoutez RTL autour du monde avec Georges Malbrunot du 04 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la manifestation du RN de ce dimanche 6 avril, et de la contre-manifestation organisée par LFI le même jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Toute cette semaine, Au Coeur de l'Histoire met "des soeurs à l'honneur", ces soeurs qui sont entrées dans l'Histoire à plusieurs. Pour le premier épisode, Stéphane Bern raconte les destins croisés de 3 des femmes les plus puissantes qu'ont connues les derniers Valois : Henriette, Catherine et Marie, Princesses de Clèves, trois sœurs qui, malgré l'affection qu'elles se portaient, ont été emportées, entre intrigues et violences, dans le tourbillon des guerres de religion… Quels étaient les liens entre ces 3 soeurs ? En quoi les Princesses de Clèves ont-elles représenté une menace pour le pouvoir de Charles IX et Catherine de Médicis ? Pourquoi sont-elles devenues des personnages féminins oubliés de l'Histoire ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Claude Grimmer Fontange, historienne et auteure de "Les Princesses de Clèves, être sœurs dans les guerres de religion" (Fayard)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toute cette semaine, Au Coeur de l'Histoire met "des soeurs à l'honneur", ces soeurs qui sont entrées dans l'Histoire à plusieurs. Pour le premier épisode, Stéphane Bern raconte les destins croisés de 3 des femmes les plus puissantes qu'ont connues les derniers Valois : Henriette, Catherine et Marie, Princesses de Clèves, trois sœurs qui, malgré l'affection qu'elles se portaient, ont été emportées, entre intrigues et violences, dans le tourbillon des guerres de religion… Quels étaient les liens entre ces 3 soeurs ? En quoi les Princesses de Clèves ont-elles représenté une menace pour le pouvoir de Charles IX et Catherine de Médicis ? Pourquoi sont-elles devenues des personnages féminins oubliés de l'Histoire ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Claude Grimmer Fontange, historienne et auteure de "Les Princesses de Clèves, être sœurs dans les guerres de religion" (Fayard)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:06 - Le grand format - Les professionnels du secteur sont plongés dans l'incertitude et l'inquiétude la plus totale depuis plusieurs semaines : il faut dire que 98 % de leur production est destinée à l'export, Chine et États-Unis en tête ! Reportage avec les producteurs et négociants de cognac en Charente.
La grande H. réuni quatre invités concernés directement ou indirectement par les commissions que l'État français a instituées ces dernières années pour revenir sur les mémoires de la Guerre d'Algérie et de celle du Cameroun.▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:57:14 - LSD, la série documentaire - par : Christine Lecerf - Réquisitionnée à chaque conflit, gare de départ des soldats pour le front et gare d'arrivée des blessés, déportés et rescapés, la Gare de l'Est devient dans l'imaginaire collectif la “Gare des guerres”. - réalisation : Franck Lilin
Le Nigeria était encore il y a quelques années la première économie africaine, reléguée, si on peut dire, aujourd'hui à la troisième place. Mais depuis le début de l'année, les investisseurs étrangers reviennent sur les marchés nigérians. Décryptage. Si le Nigeria a perdu sa place de leader africain en termes de création de richesse, le pays a de nombreux atouts qu'il convient de rappeler. Avec plus de 220 millions d'habitants, c'est le pays le plus peuplé du continent. Des secteurs clés font vivre son économie comme les ressources naturelles abondantes, notamment le pétrole ou le gaz, mais aussi les télécoms, la finance ou la tech qui y sont en pleine expansion. Mais si elle est insuffisante pour faire décoller le pays, la croissance y est positive. Le fonds monétaire international l'envisage d'ailleurs aux alentours de 3% pour 2025 . Difficultés économiques et sociales Pourtant, le Nigeria traverse une période compliquée. De nombreuses manifestations se sont déroulées durant l'été 2024 pour dénoncer la vie chère et la mauvaise gouvernance du pays. Le symbole de cette situation c'est le niveau de l'inflation, 34,8% en décembre dernier. Elle a amorcé sa décrue depuis le début 2025, s'établissant aujourd'hui à 23%. Certes, c'est beaucoup mais c'est tout de même moins élevé que ces derniers mois. À lire aussiGrand reportage: le Nigeria face à la crise économiqueCar depuis deux ans, avec l'arrivée au pouvoir de Bola Tinubu, l'exécutif a mené d'importantes réformes économiques. Après l'arrêt des subventions sur le carburant, il a entamé ces derniers mois la refonte du système fiscal du Nigeria avec pour objectif d'accroître les recettes de l'État. Des réformes qui ont pour certaines pesé sur le pouvoir d'achat de la population, mais dont le but est d'assainir les finances publiques et de faire revenir les investisseurs qui boudaient le pays. Donald Trump et le naira La stratégie du président nigérian a l'air de fonctionner, grâce à Donald Trump et à la monnaie nationale, le naira. Alors si les deux n'ont aucun rapport, ils concourent à ce retour des investisseurs. Le président américain dans un premier temps en raison de la guerre commerciale qu'il mène tous azimuts. Les investisseurs, toute proportion gardée, qui boudent les marchés américains retrouvent un intérêt dans le Nigeria étant donné qu'il n'est pas dans le viseur de Donald Trump. La force du pays c'est qu'il est d'ailleurs moins arrimé à l'économie américaine que d'autres économies émergentes. Concrètement, les investisseurs cherchent des endroits où ils peuvent faire des affaires, sans être concernés par les mesures de Washington. Concernant le naira, c'est l'une des devises les plus performantes depuis l'élection présidentielle américaine. Le naira nigérian reprend des couleurs par rapport au dollar, ce qui rassure les investisseurs. Précisons tout de même qu'il a subi dévaluation sur dévaluation ces dernières années. Maintenant qu'il est stabilisé, le pays redevient attractif pour les investisseurs. Et c'est important pour les autorités. Ces derniers mois, bon nombre d'entreprises internationales ont tout simplement quitté le Nigeria. Des départs en cascade qui ont évidemment mis en difficulté l'économie nationale mais ont surtout envoyé un mauvais signal. La tendance semble changer et la confiance est de retour, ce qui en économie est essentiel pour faire des affaires. Reste à voir si cela va durer !
Little Talk in Slow French : Learn French through conversations
"Wars, violence and terror during the French Revolution"Transcription : https://www.patreon.com/posts/123905941Pour soutenir mon podcast: https://www.patreon.com/c/talkslowfrenchMon instagram si vous avez des questions : https://www.instagram.com/nagisa_morimoto/Pour écouter la série sur Napoléon Bonaparte : https://open.spotify.com/episode/5qaAjPoMQPRcWxzklFy5EJ
Éditorial de Sophie DurocherPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:59:01 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1958, la révolution cubaine porte Fidel Castro au pouvoir. Les États-Unis voient d'un mauvais œil l'établissement à leurs portes d'un régime marxiste. En réaction à la nationalisation sans compensation de propriétés américaines, Washington sévit. C'est le début de l'embargo américain contre Cuba. - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Salim Lamrani Maître de conférences en civilisation hispano-américaine à l'Université de La Réunion, spécialiste des relations entre Cuba et les États-Unis; Gilles Bataillon sociologue, directeur d'études à l'EHESS
durée : 00:37:44 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - Et si le monde tel que nous le connaissons s'effondrait ? Guerres, pandémies, réchauffement climatique, à chaque grande crise que traverse l'humanité, le mot résonne, comme un avertissement : Apocalypse. Comment, au fil des siècles, les artistes se sont-ils emparés de ce mythe ? - réalisation : Daphné Leblond - invités : Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou, commissaire générale de l'exposition Apocalypse. Hier et Demain, jusqu'au 9 juin à la BnF; Abel Quentin Romancier, auteur de "Sœur" (Editions de l'Observatoire, 2019), et de "Le Voyant d'Etampes" (Editions de l'Observatoire, 2021).; François Angelier Producteur de l'émission "Mauvais Genres" sur France Culture, spécialiste de littérature populaire
A l'occasion de l'exposition des Invalides sur les Guerres de religion, retour sur l'un des premiers épisodes de cette longue tragédie : la conjuration d'Amboise et son protagoniste, La Renaudie. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après des mois de débats, le programme d'éducation à la sexualité a été publié ce jeudi (6 février 2025) en France. Ses détracteurs n'hésitent pas à dénoncer une guerre culturelle à travers ce texte, qui menacerait les valeurs traditionnelles. Un terme qui ne cesse de prendre de l'ampleur, alimenté notamment par les multiples prises de position du président américain Donald Trump contre les transgenres. Que révèlent ces guerres culturelles ? À quoi ce phénomène peut-il aboutir ? Pour en débattre :- Isabelle Barbéris, maître de conférences en Lettres et Arts de la scène à l'Université Paris Cité, autrice de Censures silencieuses, éditions PUF- Arnaud Esquerre, sociologue, directeur de recherche au CNRS, auteur du livre Liberté, Vérité, Démocratie qui vient de sortir chez Flammarion, le 8 janvier 2025 - Thierry Keller, journaliste, cofondateur du magazine Usbek&Rica, auteur de Quand on n'ose plus rien dire, de peur pour passer pour un réac, éditions de l'Aube.
Après des mois de débats, le programme d'éducation à la sexualité a été publié ce jeudi (6 février 2025) en France. Ses détracteurs n'hésitent pas à dénoncer une guerre culturelle à travers ce texte, qui menacerait les valeurs traditionnelles. Un terme qui ne cesse de prendre de l'ampleur, alimenté notamment par les multiples prises de position du président américain Donald Trump contre les transgenres. Que révèlent ces guerres culturelles ? À quoi ce phénomène peut-il aboutir ? Pour en débattre :- Isabelle Barbéris, maître de conférences en Lettres et Arts de la scène à l'Université Paris Cité, autrice de Censures silencieuses, éditions PUF- Arnaud Esquerre, sociologue, directeur de recherche au CNRS, auteur du livre Liberté, Vérité, Démocratie qui vient de sortir chez Flammarion, le 8 janvier 2025 - Thierry Keller, journaliste, cofondateur du magazine Usbek&Rica, auteur de Quand on n'ose plus rien dire, de peur pour passer pour un réac, éditions de l'Aube.
durée : 00:58:54 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou, Anne-Toscane Viudes - Aux 19ᵉ et 20ᵉ siècles, l'image d'une Chine écrasée par l'opium, imposé par les Britanniques, reste à nuancer. Quel rôle le Royaume-Uni a-t-il joué dans la diffusion de cette drogue de l'Inde vers la Chine ? Quelle place prend l'opium dans la sociabilité de la population chinoise ? - réalisation : Thomas Beau, Riyad Cairat - invités : Xavier Paulès Historien, maître de conférences à l'EHESS, membre du Centre d'études sur la Chine moderne et contemporaine
BULLES D'HISTOIRE, mardi et samedi à 10h30. Chronique animée par Stéphane Dubreil sur les bandes dessinées historiques. Cette semaine, Stéphane rencontre Nicolas Jarry, scénariste de BD. Dans cette première bulle d'histoire de 2025, Stéphane a invité le scénariste Nicolas Jarry, spécialiste de l'heroïc fantasy pour la sortie du troisième volume de la série Guerres et dragons. Cette étonnante série mêle évènement historiques réels et très documentés avec les créatures les plus terrifiantes : les dragons. Ce qui pourrait n'être qu'un prétexte un peu artificiel pour mettre en scène des cracheurs de feu monstrueux est en fait, par le talent du scénariste, le moteur d'intrigues palpitantes. Cette série est une excellente surprise, elle ravira les amateurs de grosses bêtes à écailles comme les passionnés de batailles en tout genre. https://www.editions-soleil.fr/series/serie-guerres-et-dragons Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Dr Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La neutralité permet à la Suisse de ne plus faire la guerre, de n'être l'ennemi de personne ou à peu près. Mais la Suisse a malgré tout un rôle à jouer dans l'aide humanitaire en temps de guerre et son territoire est un espace de refuge très bien identifié depuis les Guerres de religion. Au cours de la Deuxième guerre mondiale, ce refuge devient plus difficile d'accès. La Suisse est cernée, la neutralité se défend au cœur de l'Europe, son gouvernement compose avec celles et ceux qui demandent asile. On se méfie de certains bien plus que d'autres. Alix Heiniger est historienne et elle a consacré sa thèse aux réfugiés communistes allemands en Suisse pendant la Deuxième guerre mondiale. Elle est l'autrice de Exil antifasciste et politique fédérale du refuge. Le camp de Bassecourt (1944- 1945), publié aux éditions Alphil.
Programa 5x70, amb Sara Roy. Primera biografia de l'any! I, a m
durée : 02:30:29 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Laurent Cordonier, sociologue / Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l'université de Lille / Reed Brody, avocat, ancien procureur américain spécialisé dans les crimes de guerre, Amélie Ferey, responsable du Laboratoire de recherche sur la défense (LRD) - réalisation : Félicie Faugère
Nous sommes vers 1184 avant notre ère. Fils de Setnakht, fondateur de la XXe dynastie de ceux que l'on appellera les pharaons d'Egypte, Ramsès III monte sur le trône alors que le royaume se remet tout juste des guerres civiles qui l'ont ravagé Pendant la cinquième année de son règne, une coalition de tribus libyennes envahit l'ouest du delta du Nil, prétextant que le roi a interféré dans la succession de leur chef. En réalité, les Libyens empiètent régulièrement sur les terres égyptiennes. Ramsès les écrase lors d'une bataille dans le delta occidental. Il aura fort à faire encore avec ceux que l'on nomme les Peuples de la mer, qu'il vaincra eux aussi. Ramsès III est aussi un roi bâtisseur, on lui doit notamment le « Temple des millions d'années » construit à Médinet Habou, sur la rive ouest du Nil, à Louqsor. Un monument qui nous livre des textes et des bas-reliefs qui illustrent les grandes fêtes organisées par le pharaon, comme celle de Min, le dieu de la fertilité, qui célèbre l'abondance des récoltes. Mais sous le règne de Ramsès, il n'y eut pas que des guerres et des fêtes, ainsi l'administration, semblerait-il, ne fut pas toujours aux mains de gens compétents. Certains parlent même de corruption dans le chef de hauts fonctionnaires … Quoiqu'il en soit, ces manquements auront des conséquences graves pour les administrés et notamment des retards de payements dans les salaires des travailleurs, qui vont se révolter et engager ainsi ce qui pourrait bien être la première grève de l'histoire. Revenons aujourd'hui à Ramsès III, ses guerres, ses fêtes et ses grèves … Avec nous : Sébastien Polet, historien-orientaliste, de l'asbl Roma. Sujets traités : Ramsès III, Egypte, pharaons, royaume, Louqsor, fête, grève, guerre, trône, temple, Lybien Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:03:24 - Géopolitique - La confirmation par les États-Unis de la présence de soldats nord-coréens aux côtés des Russes face à l'Ukraine fait redouter une escalade internationale. De quoi redouter que les conflits locaux ou régionaux ne se transforment progressivement en conflits globaux.
durée : 00:03:37 - Géopolitique - Lorsqu'Emmanuel Macron a appelé à un embargo sur les armes livrées à Israël, il visait moins l'État hébreu que les États-Unis, après l'échec de la tentative de cessez-le-feu au Liban. Paris en veut aux Américains et parlent même de « duplicité ». Retour sur l'échec de la diplomatie.
durée : 00:03:14 - Géopolitique - Un an après les massacres du 7 octobre, les guerres se poursuivent au Proche-Orient : la riposte israélienne a été sans limites et s'est extraite du droit humanitaire international. Quelles leçons peut-on tirer de cette année tragique ?