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durée : 00:03:59 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - Après que le prix Goncourt a été attribué au roman de Laurent Mauvignier "La Maison vide", une réflexion sur le récit de soi.
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Tom Herga, notre journaliste, devient Tom Lerga. Oui, il vous sort de la galère. Avec lui, les petites galères du quotidien, c'est fini ! Tom Lerga, tous les jours, va à la rencontre des Strasbourgeois. Nos Alsaciens se confient au micro de Tom, et notre héros trouve toujours la solution, les tips, le conseil pour vous sortir de la lèrga !
Le prestigieux prix Goncourt a été attribué à l'auteur, Laurent Mauvignier pour son roman «La maison vide», publié aux éditions de Minuit. Que sait-on de sa famille ? De génération en génération, Laurent Mauvignier détricote le fil de son histoire familiale depuis son trisaïeul, Firmin Proust. Mais où est donc passée la médaille de Jules, l'arrière-grand-père ? C'est ainsi que commence le nouveau roman de Laurent Mauvignier, une saga familiale sur plusieurs générations. Il y a des histoires inventées qui contiennent plus de vérité que des histoires vécues qui sont complètement «toc» en fait. Parfois, le roman, en inventant, peut toucher plus de vérités. Pour la première fois, l'auteur «se met en scène». Il écrit, il cherche et compose à la recherche de son passé. Il part de l'histoire de son arrière-arrière-grand-père puis déploie l'histoire de son arrière-grand-mère pour comprendre les raisons du décès de sa grand-mère officiellement «morte des suites d'alcoolisme» puis comprendre le suicide de son père lorsque l'auteur avait seize ans. Laurent Mauvignier a toujours considéré l'écriture comme une «évidence» pour lui. Quand vous écrivez, toute votre vie est consumée par l'écriture. Il y a des moments, il faut se battre pour se sentir vivant parmi les autres. Son écriture se caractérise par la longueur de ses phrases, des phrases un peu «proustiennes». Quand je suis sur une phrase, chaque point est une torture. Il n'y a pas de point qui ne soit pas final, j'ai l'impression de tuer mes propres phrases. Je suis admiratif des gens qui savent faire des phrases très courtes. Invité : Laurent Mauvignier est un auteur français né à Tours en 1967. Il est issu d'une famille ouvrière de cinq enfants. Il intègre l'École des Beaux-Arts à 17 ans, dont il sort diplômé en 1991 en Arts plastiques. En 1999, il publie son premier roman, Loin d'eux, aux Éditions de Minuit, «une suite ininterrompue de monologues intérieurs». Il publiera par la suite des romans tels que Dans la foule (inspiré du drame de Heysel) Des hommes, qui raconte le traumatisme de la guerre d'Algérie et Histoires de la nuit, un thriller social qui sera adapté pour le cinéma prochainement. Il vient de publier son nouveau roman La Maison vide, mais aussi Quelque chose d'absent qui me tourmente – Entretiens avec Pascaline David (« Double », 2025) aux éditions de Minuit. Programmation musicale : l'artiste Coline Rio avec le titre Grand-mère.
Le prestigieux prix Goncourt a été attribué à l'auteur, Laurent Mauvignier pour son roman «La maison vide», publié aux éditions de Minuit. Que sait-on de sa famille ? De génération en génération, Laurent Mauvignier détricote le fil de son histoire familiale depuis son trisaïeul, Firmin Proust. Mais où est donc passée la médaille de Jules, l'arrière-grand-père ? C'est ainsi que commence le nouveau roman de Laurent Mauvignier, une saga familiale sur plusieurs générations. Il y a des histoires inventées qui contiennent plus de vérité que des histoires vécues qui sont complètement «toc» en fait. Parfois, le roman, en inventant, peut toucher plus de vérités. Pour la première fois, l'auteur «se met en scène». Il écrit, il cherche et compose à la recherche de son passé. Il part de l'histoire de son arrière-arrière-grand-père puis déploie l'histoire de son arrière-grand-mère pour comprendre les raisons du décès de sa grand-mère officiellement «morte des suites d'alcoolisme» puis comprendre le suicide de son père lorsque l'auteur avait seize ans. Laurent Mauvignier a toujours considéré l'écriture comme une «évidence» pour lui. Quand vous écrivez, toute votre vie est consumée par l'écriture. Il y a des moments, il faut se battre pour se sentir vivant parmi les autres. Son écriture se caractérise par la longueur de ses phrases, des phrases un peu «proustiennes». Quand je suis sur une phrase, chaque point est une torture. Il n'y a pas de point qui ne soit pas final, j'ai l'impression de tuer mes propres phrases. Je suis admiratif des gens qui savent faire des phrases très courtes. Invité : Laurent Mauvignier est un auteur français né à Tours en 1967. Il est issu d'une famille ouvrière de cinq enfants. Il intègre l'École des Beaux-Arts à 17 ans, dont il sort diplômé en 1991 en Arts plastiques. En 1999, il publie son premier roman, Loin d'eux, aux Éditions de Minuit, «une suite ininterrompue de monologues intérieurs». Il publiera par la suite des romans tels que Dans la foule (inspiré du drame de Heysel) Des hommes, qui raconte le traumatisme de la guerre d'Algérie et Histoires de la nuit, un thriller social qui sera adapté pour le cinéma prochainement. Il vient de publier son nouveau roman La Maison vide, mais aussi Quelque chose d'absent qui me tourmente – Entretiens avec Pascaline David (« Double », 2025) aux éditions de Minuit. Programmation musicale : l'artiste Coline Rio avec le titre Grand-mère.
Élections municipales à Montréal. La rencontre Mulroney-Dutrizac avec Ben Mulroney, animateur du Ben Mulroney show. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
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Podcast Horreur par Chandleyr / dans l'ombre des légendesDans cet épisode glaçant du podcast horreur français Dans l'Ombre des Légendes, plongez avec Chandleyr dans une scène de la vie quotidienne qui se transforme en cauchemar absolu.Tout commence par un décor ordinaire : un supermarché, une allée 7 baignée de lumière artificielle, des rayons silencieux et l'agitation familière des courses de fin d'après-midi. Pourtant, derrière la banalité de cette allée se cache un drame qui va déchirer la réalité.Un policier au bout du rouleau, perdu dans ses souvenirs, assiste à un braquage improvisé. Le malfaiteur est plus nerveux que dangereux ; tout le monde pense à une histoire qui finira bien… jusqu'à ce que l'arme claque, jusqu'à ce que le sang jaillisse, transformant l'allée 7 en scène de crime.Mais le vrai cauchemar ne fait que commencer.Il y a ce détail : un enfant immobile, casque bleu pastel vissé sur les oreilles, qui semble absent au monde, et ce regard… qui fixe au loin, vers quelque chose que personne ne voit. Car dans l'ombre du supermarché, quelque chose attend. Quelque chose qui n'est ni humain, ni animal, ni même explicable. Le sang versé n'est qu'un appel : c'est la main tendue, la fissure qui permet à l'horreur de s'infiltrer.Ce podcast horreur, inspiré des meilleurs threads creepypasta français, tisse la tension du thread horreur et l'angoisse urbaine dans un décor on ne peut plus réel. L'allée 7 devient le théâtre d'une invasion : possession, disparition non élucidée, peur en plein jour, l'épisode déconstruit notre rapport à la routine, à la sécurité, et à la banalité du mal.À travers la voix clinique et poétique de Chandleyr, l'auditeur traverse un cauchemar urbain, entre réalité et surnaturel.Dans ce podcast dans l'ombre des légendes / podcast horreur, chaque bruit de chariot, chaque reflet dans la vitre, devient un signal : la normalité n'existe pas, et la prochaine victime pourrait être celle qui ne détourne jamais les yeux.En mêlant horreur psychologique, possession démoniaque, thread horreur, légendes urbaines françaises audio, disparition non élucidée et la signature unique de Chandleyr, ce récit vous hantera bien après l'écoute.Ce n'est plus une histoire vraie qui fait peur : c'est un avertissement, un rituel, une fissure dans votre réalité.
Baptiste Lambert et Olivier Mouton dialoguent au sujet de l'avenir de la Wallonie et de Bruxelles, en invitant parfois un politique pour l'interpeller. Les Trends-Tendances podcasts rassemblent tous les podcasts de Trends-Tendances et de Trends Z francophone. Les journalistes vous proposent différents podcasts sur les thèmes qui dominent notre monde et notre société. Sous différents angles et avec un accent clair sur l'économie et les entreprises, sur les affaires, les finances personnelles et les investissements. De manière indépendante, pertinente, toujours constructive et tournée vers l'avenir. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See https://pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
INÉDIT - Le corps du prêtre Pierre Silviet-Carricart, ancien directeur de l'école de Notre-Dame-de-Betharram, a été retrouvé dans un fleuve à Rome. L'étrange suicide de ce curé intervient au moment où il était soupçonné de viols et d'agressions sexuelles au sein de l'établissement. Alain Esquerre, ancien élève et lanceur d'alerte dans l'affaire Bétharram nous raconte ces années d'enquête et de combat. Dans ce podcast inédit, découvrez un supplément de l'émission de "L'heure du crime". Questions oubliées, ou qui n'ont pas pu être posées à l'antenne, Justine Vignaux reste en studio avec l'invité(e) de Jean-Alphonse Richard, pour en savoir plus sur l'affaire du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
INÉDIT - L'affaire de la plume est une affaire criminelle Suisse qui a commencé un matin de l'hiver 2016 où Bertrand H., riche notable, découvre le corps de sa femme, morte dans son sommeil. Mais un détail va tout changer : une plume de 4.5 cm est retrouvée dans la gorge de la victime. Petit à petit, le mari va avouer un jeu sexuel qui aurait mal tourné. Mais l'accusation penche pour une asphyxie volontairement criminelle. Maitre Yaël Hayat est avocate au barreau de Genève, elle assure la défense de Bertrand H. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un bébé a été retrouvé sous un abribus à Longueuil cette nuit. Les policiers ont confirmé que le petit était ensuite décédé: appelez au 450-646-8500 si vous avez été témoin de quelque chose d’anormal ce matin. Entrevue avec Jacqueline Pierre, agente relationniste au Service de police de l'agglomération de Longueuil. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
À rattraper ce 24 octobre 2025: Quand des classiques se rencontrent La suggestion bière de Vlad, Un scandale de paris dans la NBA
Vous adorez les carnets, mais vous ne savez pas comment les utiliser sans vous disperser ?Dans cet épisode, je vous ouvre les coulisses de mon propre système de carnets – celui qui m'aide à clarifier mes pensées, me connecter à moi-même et garder le cap au quotidien.Je réponds à toutes vos questions :Combien de carnets j'utilise et à quoi ils serventComment je fais pour ne pas me perdre entre tousPourquoi j'écris presque tous les jours, mais sans contrainteEst-ce que je relis mes anciens carnets et pourquoiEt surtout : comment créer un système qui VOUS correspondVous verrez : il ne s'agit pas d'un système parfait, mais d'un système vivant, qui soutient vos besoins réels, pas vos idéaux de perfection.Ce que vous allez en retirer : une approche simple et libératrice pour (re)trouver le plaisir d'écrire, vous recentrer, et transformer vos carnets en alliés de votre clarté intérieure.Carnets mentionnés dans cet épisode :Le carnet Rhodia “Goalbook”Le carnet Leuchtturm (le mien est une édition limitée Change ma vie couleur cuivre)L'agenda Moleskine Smart PRO PlannerLe 6-Minute DiaryLe stylo Staedtler Triplus Fineliner 0.3mm (en boîte de 10 !)À chaque fois que j'évoque mes carnets sur les réseaux sociaux ou sur la liste de diffusion de Change ma vie, je reçois plein de questions. Combien j'ai de carnets ? Comment est-ce que je vais m'en servir ? Est-ce que je les relis ? Est-ce que j'ai peur que quelqu'un les lise ? Dans cet épisode, je me propose de répondre à toutes vos questions, de vous expliquer comment fonctionnent mes carnets et comment vous pouvez vous en inspirer pour créer le vôtre.Si vous découvrez cet épisode, je suis Clotilde Dusoulier, je suis coach de vie, autrice et entrepreneuse. J'ai écrit le livre Ma méthode Change ma vie qui vient juste de sortir au format poche, et je suis la fondatrice de Change ma vie.Change ma vie, c'est la référence du coaching de vie en France avec plus de 4 000 personnes accompagnées. Sur ce podcast Change ma vie, je vous propose chaque semaine des outils précis et concrets de développement personnel et de coaching pour que vous puissiez changer votre vie de l'intérieur. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode.Tout au long de cet épisode, je vais répondre à des questions qui m'ont été posées sur mon système de carnets. Si vous écoutez la version audio seule de cet épisode, je vous précise qu'en allant voir sur YouTube la version vidéo, vous pourrez voir les carnets que je vais pouvoir vous montrer et pas seulement vous en parler.Plusieurs carnets en parallèle : organisation par fonctionLa première question à laquelle je vais répondre, c'est : « As-tu plusieurs carnets en même temps, par thème ou par fonction, et lesquels ? » Je vous propose un petit tour d'horizon des carnets que j'utilise de façon quotidienne.Le carnet des flots de penséeLe premier que je vais vous présenter, c'est le carnet de mes flots de pensée. Qu'est-ce que j'appelle des flots de pensée ? C'est le fait, pour ma part, tous les matins, d'écrire la date et d'écrire mes pensées, mes préoccupations, et d'aller creuser un petit peu pour comprendre ce qui m'occupe, pourquoi, ce qui se cache là-dessous.Je fais des flots de pensée que j'appelle des flots de pensée dirigés, c'est-à-dire que ce n'est pas seulement retranscrire sur papier tout ce qui me passe par la tête, comme on peut le faire avec d'autres méthodes. Moi, ce que je fais pour aller plus droit au but et vraiment utiliser au mieux le temps que j'ai devant moi, c'est de partir de questions qui vont me permettre d'aller creuser ce qui est le point de préoccupation principal pour moi à ce moment-là, et qui va me faire avancer le plus possible pendant cette session de flots de pensée.Comment est-ce que je fais ça ? J'applique la méthode du coaching de Change ma vie, qui permet justement de savoir quels sont les sujets sur lesquels on a besoin d'avancer, ce qui nous limite, ce qui nous bloque, pour aller creuser exactement ça. Ce que je fais aussi, c'est qu'au fil de mes journées, en fonction de mes conversations, de mes lectures, de choses que j'entends ou que j'écoute, je note sur une note de mon téléphone des questions ou des points d'exploration sur lesquels je me dis qu'il y a quelque chose à creuser là-dessus.Quand je démarre mes flots de pensée, soit j'utilise la méthode du coaching de Change ma vie, soit j'emprunte une des questions que j'ai pu noter sur cette note-là.Le journal de 5 minutesLe deuxième format que je vais vous présenter, c'est celui qui s'appelle le Five Minute Journal, ce qui veut dire en français le journal de 5 minutes. C'est un format que j'achète qui est tout fait et qui permet, de façon quotidienne, d'avoir une partie qu'on peut remplir le matin et une partie qu'on peut remplir le soir. Il permet de se poser une typologie de questions identique tous les jours.Le matin, ce sont mes gratitudes, mes intentions pour la journée, et le soir, c'est : qu'ai-je fait de bien, qu'ai-je appris et quels sont les beaux moments que j'ai vécus. J'aime bien ce format, ça fait quelque temps que j'achète celui-là. Il existe en rose et en bleu, j'alterne le rose et le bleu.Le carnet professionnelC'est mon carnet professionnel sur lequel je note mes notes prises en réunion avec mon équipe, en rendez-vous avec des personnes extérieures à mon équipe. Quand je me pose pour réfléchir à un sujet, à la stratégie, à mon offre, à ma visibilité, c'est là-dessus aussi que je prends mes notes.Il se trouve que c'est un carnet qui est littéralement Change ma vie, puisque ce sont des carnets que j'ai fait fabriquer avec écrit « Change ma vie » dessus, avec une couverture cuir rose que je trouve très jolie. J'ai mis un sticker dessus, mais il y a écrit « Change ma vie » en creux sur la couverture. Je vous précise que c'est au format A5 avec des petits points pour remplacer des lignes. C'est important d'avoir un carnet qui vous plaît, je pense que c'est la base, pour qu'il y ait un côté régal émotionnel et esthétique qui soit fort.C'est un agenda qui me plaît beaucoup par le format, parce qu'il y a des doubles pages qui reprennent les rendez-vous, mais d'une semaine à l'autre, il y a une double page qui permet la prise de notes. Moi, j'interviens sur une variété de projets, avec une variété de casquettes et de responsabilités, et plutôt que d'avoir une to-do list en vrac où tout est au même niveau, j'ai une to-do list qui est priorisée.Si je vous montre une semaine passée, on voit que j'ai des nuages de tâches, et au fur et à mesure, je coche, je barre. À la fin de la semaine, ce que je n'ai pas fait — parce qu'évidemment j'ai toujours plus de choses sur ma to-do list que j'ai eu le temps pour les faire — je le reporte à la semaine d'après, et j'ai une petite flèche pour montrer que je l'ai bien récupéré.J'ai une catégorie qui s'appelle « plus tard », qui me permet de reporter des sujets qui ne sont pas urgents. Moi, je suis mon propre patron, il est possible que je m'occupe de choses personnelles sur ma journée professionnelle, voire de choses professionnelles sur mon temps personnel d'ailleurs. C'est une vue d'ensemble de ce que j'ai à faire sur cette semaine. Ce dont je ne m'occupe pas, je note, pour ne pas l'oublier, et j'aimerais bien y revenir après, notamment sur des objectifs, sur des films que j'ai envie de voir, ce genre de choses. C'est un peu un carnet à tout faire, mais c'est essentiellement un agenda et une to-do list.Voilà un petit peu ce fameux système de carnets. On va revenir un petit peu plus dans le détail avec les autres questions que vous m'avez posées.Faut-il un carnet pour chaque besoin ?Une première question que je voudrais aborder, c'est : est-ce que vous avez besoin d'un carnet ? Si oui, quelle forme est-ce que ça pourrait prendre ? L'idée, c'est d'éviter qu'un carnet devienne ce qu'on a dans un tiroir, dans un fond de placard, et qu'il soit réponse à un besoin clairement identifié, soit à un besoin qui existe tout court.Il est possible qu'on ait créé un carnet — par exemple, je parlais d'un carnet pour les films qu'on a envie de voir ou les livres qu'on a envie de lire — et l'auteur·rice conseillait de faire ce projet, d'avoir cette routine-là. Aujourd'hui ça ne colle pas, et on peut toujours... c'est pas très grave d'avoir un carnet qui dort.L'archivage chronologique des carnetsMon système est vraiment uniquement chronologique. Ce que je fais quand j'ai terminé un carnet, c'est que sur les carnets d'agenda, à l'arrière du carnet, il y a des autocollants qui sont sur la tranche pour indiquer quelle était la période que ça a couvert. Là, en l'occurrence, celui que je vous ai sorti, c'est mai 2023 à avril 2024, c'est noté dessus. Comme ça, quand je les archive — moi je les archive dans un placard — je vois sur la tranche quelle est la date.Ensuite, si je me souviens par exemple que c'est quelque chose que j'ai noté il y a 6 mois, on était en avril dernier, si c'était le carnet d'avant, je reprends le carnet d'avant et je retrouve la page qui correspond à ce que j'avais noté. Mes prises de notes, en particulier mes flots de pensée, je les date toujours, je note la date, je note la carte de coaching que j'ai tirée ce jour-là, et ensuite je fais mon flot de pensée. Si je veux revenir à quelque chose que j'ai écrit, je me réfère à la date.C'est pareil pour ma prise de notes professionnelle : à chaque fois, je note quelle est la réunion ou quel est le rendez-vous, et je note la date. De cette façon-là, si je veux revenir aux notes que j'ai prises pendant telle réunion, à tel sujet, je repars en arrière. Certes, il faut se souvenir de quelque chose qu'on a noté, et je pense qu'il compte de moins en moins sur le pouvoir de notre cerveau et le pouvoir de notre mémoire, et c'est pas mal aussi de faire travailler un petit peu son cerveau de ce côté-là.Papier ou numérique ?Je note mes rendez-vous sur mon agenda papier, mais j'ai le mérite d'être partageable avec mon équipe, partageable avec mon mari quand on gère un agenda familial partagé. J'ai pas toujours cet agenda-là dans mon sac à main.Une pratique quotidienne essentielleDe façon quotidienne, y compris en vacances — sauf des vacances pendant lesquelles je vais pouvoir déconnecter complètement —, j'emporte mon carnet. J'emporte pas mon agenda, j'emporte pas mon carnet de notes professionnel, mais j'emporte mon carnet de flots de pensée. Si je ne le fais pas, j'en ressens aussi des inconvénients en termes de brouillard mental, de difficulté à me connecter avec l'émotion, d'impression de confusion. Pour moi, c'est vraiment une hygiène mentale et une hygiène émotionnelle à laquelle je tiens beaucoup.Je sais qu'on veut parfois partir vite, et je m'aperçois aussi que dans ces temps où je saute, où je saute, j'essaye de me reprendre à ce moment-là, parce que je sais que c'est justement dans les moments où j'ai une plus grande charge de travail, un niveau de charge mentale, de stress plus important, que j'ai particulièrement besoin d'avoir ce moment en début de journée pour faire la clarté à l'intérieur de mon esprit, pour me recentrer, me réancrer. Je sais que la journée se passera beaucoup mieux si j'ai eu ce moment de connexion avec moi maintenant.Ma méthode d'écriture quotidienneJe reviens aux questions qui me tournent un peu dans la tête, ce sur quoi je rumine, ou ce qui m'intéresse. Ensuite, je décortique plus ou moins profondément selon le temps et l'envie.La façon dont je procède, c'est que le matin quand je me lève, après mon café et mon petit-déjeuner, je tire une carte de coaching en buvant mon café pour mon flot de pensée, et j'aime avoir au moins 5 à 10 minutes d'écriture autour de mes pensées et d'exploration autour de ce qui m'occupe.Si j'ai un petit peu plus de temps et que j'ai un sujet sur lequel je suis inspirée, je peux écrire plus longtemps. Parfois le flot de pensée, je le fais après avoir déposé mon fils à l'école, et quand je reviens chez moi pour faire ma journée de travail, ça dépend du premier rendez-vous que j'ai dans la journée. Parfois, ce flot d'écriture se transforme en une séance de réflexion stratégique, parce que ça débouche sur un sujet, un projet qu'on veut lancer, sur lequel j'ai envie de rassembler mes pensées et d'avoir une pensée plus stratégique.Il peut y avoir quelque chose qui est du perso qui devient du pro, des interrogations sur un sujet qui en évoquent une autre. C'est quelque chose qui est très vivant et très organique. Je ne fais jamais juste un vidage de cerveau, il y a toujours un côté pilotage et exploration : pourquoi est-ce que je me dis ça, quels sont les effets de ces pensées-là sur mes émotions, sur ma journée, sur ce que je vais faire.Ce décorticage, il est plus ou moins profond selon le temps dont je dispose, et aussi selon mon énergie, parce que ça demande quand même de l'énergie. Il y a des fois où je n'ai juste pas la ressource, et où je suis plus dans l'action que dans la réflexion.Mes débuts avec les carnetsOn m'a posé la question : quand as-tu commencé à utiliser des carnets, est-ce que c'est venu seul ou sur conseil ? Je pense que depuis que je sais écrire, j'ai des carnets et j'écris dans mes carnets. Je me souviens d'un journal intime que j'ai eu, je pense, vers 8 ou 9 ans, je le revois très clairement dans mon esprit, vous savez, ces journaux intimes qu'on vend avec un petit cadenas et une clé minuscule.Ma sœur avait aussi, cadeau identique, exactement le même journal intime, avec exactement la même serrure, exactement la même clé. Ce qui ne sert absolument à rien, parce qu'évidemment, quand on a 8 ans et qu'on ne veut pas que ça soit lu, ce cadenas, c'est pour que ça ne soit pas lu. Pas un carnet, il suffit plutôt de cacher le carnet que de le faire cadenasser.J'ai retrouvé ce carnet il y a quelque temps, et c'est très intéressant de se replonger dans mes préoccupations de quand j'avais 8 ou 9 ans. J'ai toujours eu des journaux intimes que je n'ai pas tenus en continu, mais j'ai toujours utilisé l'écriture comme outil d'introspection, pour décharger mes pensées, parler de comment je me sentais. Je pense que comme j'ai toujours eu un gros degré de sensibilité, j'ai toujours eu ce besoin de m'interroger moi-même sur comment ça allait, et d'exprimer ce que je ne pouvais pas exprimer dans ma famille ou auprès de mes ami·e·s, d'avoir ce relais papier dans mon dialogue avec moi-même.J'ai toujours été dingue de papeterie aussi, j'ai toujours passé des heures dans les papeteries. Je pense que si vous m'écoutez aujourd'hui, c'est sans doute que vous partagez cette passion.Mes outils d'écriture préférésJustement, on parle de papeterie. La question qui m'a été posée, c'est : « Quels stylos utilises-tu pour écrire dedans ? » Moi, je suis monogame d'une façon générale, et en termes de stylos. J'utilise exclusivement ce stylo-là. Je vous le montre — je fais comme les youtubeur·euse·s beauté qui font ça quand elles montrent leur crayon de maquillage, ça marche aussi pour un stylo-feutre.C'est un stylo-feutre avec une pointe très fine, je pense que c'est 0,5 mm, c'est de la marque Staedtler, c'est le Triplus Fineliner. J'utilise ça depuis je sais pas 15 ans, je les achète par boîte de 10, et j'en ai partout : j'en ai dans mon sac, j'en ai dans ma sacoche de travail, j'en ai à côté de mon bureau.Ce sont des marqueurs dont la mine glisse très bien sur un papier de bonne qualité, qui permettent d'écrire assez petit, parce que même les petites lignes sont assez petites. Vous voyez, j'écris quand même sur un flot de pensée, vous voyez, c'est une écriture qui est assez petite. Je les trouve très agréables. Le seul reproche que je leur fais, c'est que c'est une mine qui se frite au fur et à mesure qu'on écrit avec, c'est-à-dire qu'il n'y a plus d'encre au bout d'un moment, et qu'il n'y a plus de mine. Ça me pose un petit peu un problème, parce qu'à chaque fois, quand le stylo est usé, il faut jeter le stylo, qui est un stylo en plastique, donc c'est pas génial pour l'environnement.Idéalement, on pourrait remplacer la mine et garder le stylo, mais à ma connaissance, le fabricant ne le propose pas. Voilà, le seul stylo que j'utilise. Par ailleurs, mon père écrivait avec ce type de stylo, un feutre fin, ou ce type de stylo, j'aime avoir un peu l'impression d'utiliser le même genre de stylo que lui.Pas de pression, pas d'échec possibleUne question qui m'a été posée, que j'ai trouvée très intéressante, c'est : « Comment éviter de rater ses carnets ? » Je n'ai jamais pensé à ça, parce que je ne réfléchis pas à mes carnets en termes de réussite ou d'échec. C'est vraiment un outil qui sert à répondre à un besoin, et à partir du moment où j'écris dedans, c'est réussi. Il n'y a pas moyen de rater.Je pense que cette question doit venir de la tendance, qui était très à la mode il y a quelques années, d'avoir un bullet journal, où l'idée c'était d'avoir des carnets magnifiques, avec des décorations, avec du masking tape, avec des grilles, avec des petits symboles, avec des petits machins. Moi, je n'ai pas le temps du tout de faire ça, je trouve ça très joli, mais je n'ai pas le temps de faire ça. Il n'y a aucune recherche esthétique dans ce que j'écris. Le seul objectif, c'est que je puisse à peu près me relire.Pas de peur de rater, je vous invite tou·te·s à abandonner cette peur-là, tant symboliquement que de façon fonctionnelle.Pourquoi je conserve mes anciens carnetsDans l'idée, je me dis que je pourrais avoir besoin d'une information que j'ai notée il y a 6 mois, 1 an, 2 ans. Franchement, quand je regarde, j'ai des carnets qui datent de... j'ai tous mes carnets depuis, je pense, 10 ans. Zéro chance que je recherche les notes d'une réunion que j'ai eue il y a 10 ans, tout à fait, en réalité, je pourrais m'en débarrasser. Simplement, voilà, j'aime pas trop l'idée qu'ils finissent à la déchetterie quelque part.En revanche, pour les carnets qui me servent pour mes flots de pensée, j'aime beaucoup l'idée de préserver une trace de mon évolution personnelle d'une année à l'autre, et en tout cas d'une décennie à une autre. J'aime beaucoup ça. Par exemple, en 2019 et 2020, c'est intéressant de revoir le moment d'avant, les projections sur l'année, et puis, au début du mois de mars 2020, on sent que tout bascule avec la situation qu'on a eue. Pour une chose personnelle, je trouve ça intéressant de garder ces traces-là. Je me dis aussi, pour plaisanter, que si un jour quelqu'un écrit ma biographie, il aura de quoi faire avec des piles de carnets. Je dis ça pour rire, pas très sérieusement.Quand la tête déborde : 5 minutes valent mieux que rienLa question suivante qui m'a été posée, c'est : « Comment faire quand la tête déborde ? » J'aime beaucoup cette question, parce que ça illustre bien la pensée perfectionniste et la pensée noir-blanc, tout ou rien.Si j'ai la tête qui déborde, j'aurais besoin d'avoir beaucoup de temps pour décharger mon esprit, mais si je n'ai que 5 minutes et que j'ai la tête qui déborde, et que je n'ai que 5 minutes, je joue sans doute, et je vous assure que c'est utile.On ressent l'envie de bouger, de se promener, et on a vraiment envie d'aller faire une balade dans la forêt, dans la nature, mais on n'a que 5 minutes. Avec 5 minutes, on va plutôt faire le tour du pâté de maisons et avoir bougé quand même un petit peu, plutôt que de se dire : « Non, j'ai que 5 minutes, donc ça ne sert à rien, je vais rester assis·e sur ma chaise. »Si cette analogie vous parle, je vous invite vraiment à vous dire : même 5 minutes, même 2 minutes, c'est déjà beaucoup. Même 2 minutes sur un coin de feuille, c'est déjà beaucoup.La peur que quelqu'un lise mes carnetsLa dernière question qu'on m'a posée, c'est : « As-tu peur que quelqu'un lise tes carnets ? » Il y a plusieurs niveaux de réponse. Le premier niveau de réponse, c'est que je n'écris pas très lisiblement. Ça, c'est un premier niveau.Le deuxième niveau, c'est que j'ai avec les personnes de mon entourage un niveau de confiance suffisant pour être à peu près sûre que ça ne leur viendrait pas à l'idée de regarder mes carnets, regarder ce que j'ai écrit. Je pense qu'ils·elles ont bien intégré cette notion qu'en fait, les carnets de quelqu'un, c'est son intimité, c'est son jardin secret, et qu'on ne va pas fouiller dans les carnets de quelqu'un d'autre.Le troisième niveau, c'est que j'écris en anglais. Même s'ils·elles commencent à se débrouiller en anglais, je pense qu'entre la qualité de mon écriture et le vocabulaire que j'utilise pour écrire en anglais et leur niveau d'anglais, je pense qu'on est encore assez tranquille là-dessus.Mais le dernier rempart qui fait que je suis vraiment complètement tranquille à l'idée des carnets, parfois je les laisse traîner et je me sens tout à fait tranquille, c'est que j'assume complètement ce que j'écris. Ce qui me déplaît — parce que bien sûr, ça arrive dans toutes les relations — c'est que je vais jeter sur le papier quand je suis en colère ou frustrée ou irritée sur une situation à ce moment-là concernant telle ou telle personne. Mais ça ne les concerne pas et mon objectif, c'est justement de jeter ces pensées-là sur le papier à ce moment-là pour pouvoir trouver le point de vue sur la situation qui me paraît le plus juste, parler de tel ou tel sujet, sans leur déverser le flot de ces pensées, parce que ça, je m'en suis occupée de mon côté.Dans l'hypothèse très peu probable où mon mari tomberait sur un truc que j'ai écrit parce qu'à un moment j'étais irritée sur quelque chose... Alors déjà, il est au courant, parce qu'en fait, quand je fais ça, c'est pour pouvoir en parler après en étant ancrée et en apportant un point de vue constructif. La seule chose que je dirais, c'est que je ne trouvais pas que c'était ça que je voulais exprimer.Je suis vraiment pour normaliser le fait que, bien sûr, qu'on a tou·te·s des pensées extrêmes, négatives, qui partent de stress ou de défense, voilà, on se sent sur la défensive. C'est ça la nature humaine et l'intérêt d'avoir un carnet, c'est de pouvoir coucher ces pensées sur le papier et d'utiliser ça comme un outil pour aller au-delà de ces pensées.Si quelqu'un lit mes carnets et tombe sur des choses qui ne lui plaisent pas, ça m'est jamais arrivé. Je précise voir, ça m'est jamais arrivé de perdre un carnet. Quelque part, il y a à chaque fois, au début de mon carnet, écrit : « Si vous trouvez ce carnet », il y a mes coordonnées pour qu'on puisse me le rendre. Après, je ne suis pas du tout à l'abri que quelqu'un le lise, effectivement, mais bon, ça fait partie du risque d'avoir des carnets.Il faut avoir le bon profil, le bon état d'esprit dans la bonne utilisation des carnets.(NB : Liens affiliés)Vous pouvez aussi :
Il y a toujours quelque chose à arranger (Berechit) by Rav David Touitou
Certaines étoiles terminent leur vie dans des explosions spectaculaires. Mais parfois, l'univers fait les choses autrement. En 2023, une étoile située à 730 millions d'années-lumière a défié toutes nos connaissances : une explosion inhabituelle, une lumière qui revient plusieurs mois après, et surtout, un comportement jamais vu auparavant. Baptisé SN 2023zkd, cet événement a surpris les scientifiques par sa complexité. Ce n'était ni une supernova classique, ni une fusion stellaire connue. C'était autre chose. Quelque chose d'inédit, qui pousse les modèles actuels dans leurs retranchements.Grâce au Zwicky Transient Facility, une intelligence artificielle a détecté ce phénomène presque en temps réel, déclenchant une mobilisation mondiale d'astronomes. Les premières analyses suggèrent qu'un trou noir pourrait être à l'origine de cette explosion, en interagissant gravitationnellement avec une étoile massive. Une sorte de “mort forcée” par effet de marée, un scénario encore jamais confirmé… mais désormais pris très au sérieux. Cet événement pourrait bien brouiller la frontière entre supernova et fusion d'objets compacts, et ouvrir une nouvelle classe d'explosions stellaires.À travers cette vidéo, on explore non seulement le cas fascinant de SN 2023zkd, mais aussi ce qu'il révèle sur nos limites théoriques. Que savons-nous vraiment de la mort des étoiles ? Jusqu'où les systèmes binaires extrêmes peuvent-ils aller ? Et surtout : combien de ces phénomènes nous échappent encore ? En scrutant les anomalies, en écoutant ces signaux étranges venus du fond du cosmos, on découvre peut-être les clés pour comprendre ce que l'univers ne nous a pas encore révélé.
Chaque matin à 8h35 on revient sur tout ce qui cartonne sur les réseaux sociaux !
Chaque matin à 8h35 on revient sur tout ce qui cartonne sur les réseaux sociaux !
Cette semaine, je reçois Laureen, fondatrice de HappyCherisKids. Enseignante, maman de trois enfants et passionnée de découvertes, elle a fait du voyage un véritable outil éducatif. Pour elle, chaque destination est l'occasion d'ouvrir un peu plus les horizons de ses enfants, de nourrir leur curiosité et de leur donner confiance en eux.Laureen nous partage sa vision du voyage en famille : pourquoi c'est bien plus qu'une parenthèse dépaysante, comment les enfants grandissent à travers les rencontres et les découvertes, et de quelle manière le voyage peut transformer le quotidien une fois de retour à la maison. Elle revient aussi sur ses expériences marquantes : le choc culturel au Maroc, l'émerveillement en Thaïlande, la richesse historique de Londres, mais aussi et surtout son amour pour l'Ile Maurice.Elle nous livre ses adresses coup de cœur pour vivre l'île autrement, entre plages fréquentées par les locaux et expériences hors des sentiers battus.On parle aussi organisation, équilibre entre rythme d'adulte et rythme d'enfant, astuces pratiques pour voyager sereinement, mais surtout de cette conviction profonde : le voyage n'est pas réservé aux grands aventuriers ou aux tours du monde. Même un court séjour peut être une aventure formatrice, tant qu'on y met de l'ouverture et de l'envie.Pour retrouver l'épisode en intégralité taper "Laureen : éduquer par le voyage et vivre l'île Maurice autrement" sur votre plateforme de podcasts préférée.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode est un love enregistré en direct sur ma page instagram eadenr_ le 18 octobre 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:05 - On dirait que les choses nous échappent - Réécoutez le si j'osais de ce vendredi où il est question de l'actualité chez nous en Béarn et en Bigorre et de la violence des ados. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Entre Simon Jochimec, 76 ans, et Dominique Louis, 45 ans, l'amour n'a pas d'âge. En revanche, il a peut-être l'odeur de l'argent. Et c'est ce pactole que l'amante du riche héritier pourrait avoir flairé. Si bien que le jour où le fortuné est retrouvé mort sur une petite route du nord-ouest de l'Espagne, le 12 juillet 2003, l'authenticité de cette relation intrigue les enquêteurs. Dominique, qui se fait également appeler « Maud », est étrangement calme face au cadavre de son bien-aimé. Quelque chose ne tourne pas rond... Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Qu'est-ce qu'être une femme asiatique en France aujourd'hui ?C'est la question qu'a posée Linda à six femmes françaises vietnamiennes inspirantes, pour une série spéciale, Banh Mi Women, en 6 épisodes. Celles qui créent et impactent l'espace public français, à travers leurs parcours.Pour ce troisième épisode, Linda a rencontré Anh Tran Nghia, actrice à l'affiche du film Dans la cuisine des Nguyen de Stéphane Ly-Cuong (2025).A 80 ans, Anh Tran Nghia s'illustre comme actrice, entre le théâtre et le cinéma. Mais le rôle qui lui tient le plus à cœur, c'est celui de mère et de grand-mère. Dans cet échange en vietnamien, elle explique comment les conseils de sa mère continuent de l'accompagner au quotidien. Pour elle, la famille est une composante indissociable de la culture vietnamienne, mais aussi une valeur universelle.“La culture vietnamienne, c'est quelque chose de très précieux pour moi. En vieillissant et en fondant ma propre famille, j'ai compris que la famille était essentielle.”“Ce respect envers nos ancêtres, ce n'est pas seulement une tradition vietnamienne, mais une valeur universelle.”Un épisode touchant, dans lequel Anh Tran Nghia, nous ramène aux valeurs essentielles qui constituent les fondements des liens familiaux.Son & musique : Rémi Vu Dinh Ba
J'aime quand les passions se dessinent au fil des apprentissages. Et pour Nassim, c'est précisément ce qu'il s'est passé. Ce curieux de la vie aurait pu s'en tenir aux grands principes des écoles de commerce, il aurait pu rester un bébé L'Oréal. Mais non. Nassim a trop soif de découvertes pour s'arrêter en si bon chemin. En osant s'écouter et prendre des risques, Nassim nous montre que les rencontres peuvent être alors aussi magiques que décisives. Aujourd'hui, Nassim se lance à son compte avec une ligne de maquillage hybride entre du vrai soin et des pigments intenses. Quelque chose me dit que Cénée est né pour durer. Bonne écoute !----Venez écouter, apprendre et éveiller votre conscience aussi sur notre compte Instagram : @parlonsbpodcastInterview, prise de son et montage réalisés par Nolyne Cerda.Le jingle est une création originale de Julien R.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:46:24 - La 20e heure - par : Eva Bester - Le journaliste, critique et chroniqueur radio mais aussi essayiste Marc Weitzmann vient nous parler entre autres de "La part sauvage. Le monde de Philip Roth et le chaos américain : retour sur vingt ans d'amitié" sorti chez Grasset le 10 septembre dernier. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Louis XVI a-t-il sa place au Panthéon des grands rois de France ? Son manque d'intuition, sa voix mal placée pèsent sur la mémoire de ce monarque Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Samedi 11 octobre, Sara, une petite fille âgée de 9 ans a été retrouvée morte à son domicile de Sarreguemines, en Moselle. Selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait d'un suicide. Ses parents ont évoqué les moqueries dont elle était victime à l'école en raison de sa corpulence. Écoutez la réaction de Nora Tirane, fondatrice et directrice générale de l'association "Marion la main tendue". Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:40 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Zaho de Sagazan, est l'invitée de Marion L'Hour et Ali Baddou pour la tournée de son album “La Symphonie des éclairs (Orchestral Odyssey). Elle raconte sa transformation scénique aux côtés d'un orchestre symphonique. - invités : Zaho de Sagazan - Zaho de Sagazan : Chanteuse française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:34:56 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - En 1976, dans un entretien accordé à Viviane Forrester pour "Poésie ininterrompue", Nathalie Sarraute racontait son travail d'écrivain et la constance de sa recherche centrée sur ces mouvements intérieurs qu'elle appela, dès son tout premier livre, des tropismes. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Nathalie Sarraute Écrivaine (1900 - 1999)
durée : 00:06:05 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - À 6h20, Benjamin Morel, constitutionnaliste, est notre invité pour évoquer la situation politique actuelle. - invités : Anne-Charlène Bezzina - Anne-Charlène Bezzina : Constitutionnaliste et enseignante française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'année dernière, Baptiste découvre et dévore la BD Ted, Drôle de coco. Il s'empresse ensuite de me la prêter (je la dévore également) et de contacter son autrice et illustratrice, Emilie Gleason pour lui proposer de venir raconter son histoire (et celle de Ted) à notre micro. En deux mots, cette BD nous plonge dans le quotidien de Ted, un personnage, qui, décidément, peine à fonctionner dans le monde qui l'entoure. En avril dernier, Emilie Gleason a sorti la suite : Les Gugusse en vacances. Alors, avant que vous vous empressiez d'aller acheter ses deux chefs d'oeuvres, nous vous invitons à découvrir l'univers sincère, survolté et multicolorés d'Emilie Gleason. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:35:05 - Bistroscopie - par : Charline Vanhoenacker - ZAZ est écoutée de Mexico à Osaka, elle sort un 6e album, enregistré en Belgique. Au micro de Charline Vanhoenacker, la chanteuse raconte son parcours artistique et personnel, et un engagement qui a pu parfois la perdre elle-même. - invités : Zaz - Zaz : Chanteuse - réalisé par : François AUDOIN Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:35:05 - Bistroscopie - par : Charline Vanhoenacker - ZAZ est écoutée de Mexico à Osaka, elle sort un 6e album, enregistré en Belgique. Au micro de Charline Vanhoenacker, la chanteuse raconte son parcours artistique et personnel, et un engagement qui a pu parfois la perdre elle-même. - invités : Zaz - Zaz : Chanteuse - réalisé par : François AUDOIN Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
(00:00:38) Est-ce que les grèves servent encore à quelque chose en France? (00:09:17) Ce que ce "shutdown" révèle de l'état politique de l'Amérique (00:15:20) Sauver le vivre ensemble: à table pour réapprendre à discuter!
durée : 00:00:56 - En quelque part Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Après le prisme du « temps-paysage » avec la philosophe Bernadette Bensaude Vincent (épisode 240), nous voilà parti au cœur d'un autre double prisme passionnant : celui de la maintenance et des théories du soin appliquées aux choses avec Jérôme Denis, sociologue et Directeur du centre de sociologie de l'innovation à l'école des Mines Paris PSL.Cet épisode plaira à celles et ceux qui se questionnent sur les coulisses invisibles de notre monde matériel.1h10 d'entretien pour retracer une aventure intellectuelle absolument sensass et capitale pour penser demain !Tout commence par des recherches ethnographiques minutieuses sur la signalétique du métro parisien et l'effacement des graffitis en ville. Des enquêtes menées pendant des années avec son complice de recherche David Pontille.Au moment de conclure celle sur le métro, une interlocutrice leur lance presque par hasard : « Vous êtes allé voir les gars de la maintenance ? »Euh ??Ils rouvrent l'enquête et c'est là que leur théorie sur la standardisation immuable des panneaux s'effondre.Jérôme et David comprennent qu'ils n'avaient vu qu'une seule face de la réalité. La persistance apparente de la signalétique du métro cachait en fait un travail continu, une attention de tous les instants : celle des mainteneurs.Ce qui semblait immuable ne l'était QUE « parce qu'il existe des personnes qui s'en occupent ». Très justement on comprend que la maintenance n'est pas un détail technique, mais l'autre versant de la vie des choses.Dans l'épisode Jérôme Denis nous raconte comment cette découverte les a conduits à :-comprendre que la fragilité n'est pas un défaut mais une condition normale des objets-développer le concept de maintenance comme "geste attentionnel"-fonder avec d'autres chercheurs les Maintenance & Repair Studies-écrire « Le Soin des Choses », un livre qui rencontre un écho surprenant chez les jeunes architectes-favoriser l'innovation par le soin plutôt que par la rupture.Une interview passionnante qui nous aide à retrouver le goût de ce qui dure !Belle écoute !Ci-dessous qqs petites citations ++ de mon invité :« L'histoire des rapports entre objets, technologies et humanité(…) est celle des gens qui maintiennent, plutôt que simplement des gens qui créent. »« La maintenance est dans une continuité transformatrice.»« La réparation met en scène une sorte de binarité, un événement, une casse et quelque chose qui vient restaurer l'ordre du monde. (…)Alors qu'avec la maintenance, il n'y a pas de héros (…) On ne peut pas inaugurer et couper un ruban rouge parce qu'on a maintenu un truc.(…) Et il n'y a pas d'événements. Quelque chose qu'on maintient, le lendemain, il faut continuer de le maintenir. C'est toujours conjugué au présent. »RDV du 9 au 11 octobre 2025, la biennale "Nous sommes le paysages" à Oloron-Sainte-MarieJérôme Denis interviendra le samedi 11 octobre à 14 :00 dans une table ronde "Économie & écologie" aux coté d'architecte et de philosophe et animé par le réalisateur Dominique Marchais.Ouvrages :Le soin des choses, Co-écrit avec David Pontille (2022) Éditions La DécouvertePetite sociologie de la signalétique, Co-écrit avec David Pontille (2010) Presses de l'École des MinesLe travail invisible des données (2019) Presses des MinesBlog collectif Scriptopolis consacré à l'écriture et aux inscriptions matérielles, Co-fondé et animé avec David Pontille et d'autres.(devenu un livre collectif en 2019). == Rejoins-moi dans le Social Club ! Un format plus brut, plus intime, où je partage ce que je ne dis nulle part ailleurs :• les dessous de mes rencontres• des réflexions sur l'art de vivre du new normal : beau et soutenable• des gestes simples mais puissants du quotidien• des pistes concrètes pour aligner goût et éthique lorsqu'on esthète, design, art et architecture lover !
durée : 01:29:27 - Relax ! du mardi 30 septembre 2025 - par : Lionel Esparza - Tout autant philosophe que musicologue, Vladimir Jankélévitch entrouvrait la porte de son riche esprit dans un livre d'entretien avec Béatrice Berlowitz, "Quelque part dans l'inachevé", où il étayait sa pensée de bon nombre de références musicales que nous allons écouter aujourd'hui. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:57:03 - Samedi fiction - Dans ces fragments, extraits de Je souhaite seulement que tu fasses quelque chose de toi : "Parentalité", la poétesse et slameuse britannique Hollie McNish porte un regard mêlé d'humour et de douceur sur l'expérience de la maternité.
durée : 00:57:03 - Samedi fiction - Dans ces fragments, extraits de Je souhaite seulement que tu fasses quelque chose de toi : "Parentalité", la poétesse et slameuse britannique Hollie McNish porte un regard mêlé d'humour et de douceur sur l'expérience de la maternité.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Dans cet épisode, nous retrouvons une jeune femme qui entre dans une "situationship" avec un homme. Ce lien, au départ léger et sans étiquette, prend une tournure inattendue lorsqu'elle découvre sa grossesse après un rapport où ses limites n'ont pas été respectées. Entre surprise, vulnérabilité et désarroi, elle doit trouver sa place face à une situation qu'elle n'avait jamais envisagée.Si vous souhaitez partager votre histoire avec nous, n'hésitez pas à nous écrire à l'adresse suivante : whatislovepod@gmail.com, ou à nous contacter sur Instagram (@whatislove_podcast)❗️Cet episode traite de sujets intimes dont le consentement sexuel
3 cas mouvementés et 100.000€ gagnés en direct... L'émission en direct de ce vendredi 19 septembre 2025 a été forte en émotion ! Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Comment se construire quand on a grandi avec l'impression de ne pas être aimé ?Comment devenir soi, sans se renier, quand on a longtemps pensé qu'on était « trop » ou « pas assez » ?Et que faire de cette hypersensibilité quand elle prend toute la place ?Dans cet épisode, Félix Radu raconte ce qu'on ne raconte pas toujours. L'absence, les silences, les blessures anciennes. Mais aussi ce qu'on en fait : un texte, une scène, un lien. Quelque chose qui relie.On parle d'identité, de solitude, de deuil et d'amour. De ce qu'on transmet malgré soi, de ce qu'on choisit de garder ou encore de la création comme nécessité.Un épisode pour celles et ceux qui avancent avec leurs failles, et qui cherchent à comprendre comment les habiter sans s'y perdre.Bonne écoute ! Invités recommandés : Baptiste Ventadour & Helene Sio______Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour suivre Félix Radu sur les réseaux :https://www.instagram.com/felixradu/?hl=frEt pour suivre mes aventures au quotidien :https://www.instagram.com/louiseaubery/Si cet épisode t'as plu, celui-ci te plaira surement :https://shows.acast.com/inpower/episodes/arreter-de-chercher-a-etre-mieux-et-etre-soi-avec-ben-mazue Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:38:38 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - 26 % des Français déclarent avoir confiance dans les politiques, c'est 13 points de moins que l'Italie et 21 points de moins que l'Allemagne d'après le dernier baromètre du CEVIPOF dévoilé en février 2025. - invités : Camille Pascal Écrivain et haut fonctionnaire, ancienne plume de Nicolas Sarkozy et Jean Castex; Thierry Pech Directeur général de Terra Nova
A 10h, ce mardi 9 septembre 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de : Fiche de paie, vous y comprenez quelque chose ?
Quelque chose de terrifiant et etrêmement dangereux s'est introduit dans le Seneca et ce pauvre rescapé de la station Caupona n'a vraiment pas l'air bien. Comment l'équipage va réagir à ces situations hautement stressantes ? Est-ce que tout le monde va survivre à ces menaces ?Gallagher Quinn - Daz - https://www.instagram.com/dazjdm/Moïra O'Grady - Florence Fauquet - https://www.instagram.com/florence_fauquet/Jairo Silva - Joe Hume - https://www.instagram.com/joehume/Janet Follet - Sofia Lesaffre - https://www.instagram.com/lsfsofia/ MU/TH/UR - Lucien Maine - https://www.instagram.com/lucienmaine/ ----------------------------------------Twitch - https://www.twitch.tv/labonneaubergejdrInstagram - https://www.instagram.com/labonneaubergejdr/TikTok - https://www.tiktok.com/@labonneaubergejdrDiscord - https://discord.gg/k3G3jkBYRPFacebook - https://www.facebook.com/La-Bonne-Auberge-101455647879425/Boutique - https://labonneaubergejdr.fr/----------------------------------------Production - Studio17Réalisation - Jean-Baptiste BalliéLumière - Flo De MagSon - Julien FourthiesMaquillage - Emilee Bak----------------------------------------Graphisme - Ann&Seb, Lucien MaineRéseaux sociaux - Kevane Bouchart, Aline Griet Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:58:41 - LSD, la série documentaire - par : Marceau Vassy - Comment est-ce que les enfants et petits enfants de pieds-noirs s'approprient-ils leur histoire familiale ? Comment faire face, pour la génération de l'après, à cette tension entre Histoire et mémoires ? Pied-noir, est-ce d'ailleurs une identité ? Une culture ? Quelque chose dont on hérite ? - réalisation : Cécile Laffon