Podcasts about Jean Douchet

durée : 01:24:20 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "Les mardis du cinéma" proposaient en 1995 une analyse du film de Mizoguchi, "Les contes de la lune vague après la pluie" (1953), avec Jean Douchet (cinéaste), René Sieffert (traducteur), Daniel Serceau, (écrivain) et Danielle Elisseeff, (sinologue et japonologue). - invités : Jean Douchet Cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Danièle Elisseeff Historienne française, spécialiste de la Chine, ancienne professeur à l'Ecole du Louvre, membre statutaire du Centre d'études sur la Chine moderne et contemporaine de l'EHESS; Daniel Serceau

durée : 01:23:47 - Les Nuits de France Culture - De Daffy Duck à Droopy en passant par l'écureuil fou, Tex Avery a marqué de sa folle empreinte le dessin animé. En 1987, les "Mardis du cinéma" proposaient de mieux connaître son oeuvre grâce à des spécialistes -et des fans- tels Marcel Gotlib, Jean Douchet, Jean-Pierre Berthomé et Robert Benayoun. - invités : Marcel Gotlib Dessinateur; Jean Douchet Cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Jean-Pierre Berthomé Critique, historien et enseignant (cinéma); Robert Benayoun

durée : 01:24:20 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "Les mardis du cinéma" proposaient en 1995 une analyse du film de Mizoguchi, "Les contes de la lune vague après la pluie" (1953), avec Jean Douchet (cinéaste), René Sieffert (traducteur), Daniel Serceau, (écrivain) et Danielle Elisseeff, (sinologue et japonologue). - invités : Danièle Elisseeff Historienne française, spécialiste de la Chine, ancienne professeur à l'Ecole du Louvre, membre statutaire du Centre d'études sur la Chine moderne et contemporaine de l'EHESS; Jean Douchet Cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Daniel Serceau

durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Ozu raconté par Jean Douchet : "Il donne à la caméra la place du chien dans la famille"

durée : 01:25:46 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1994, trente ans après la sortie du film "Le Mépris" de Jean-Luc Godard, Arnaud Laporte revisite l'histoire de ce film culte avec d'anciens collaborateurs, des historiens du cinéma et également plusieurs archives d'entretiens avec le cinéaste. Dans un numéro des "Mardis du cinéma" en 1994, Arnaud Laporte fait revivre le tournage du film Le Mépris à travers les témoignages des principaux collaborateurs de Jean-Luc Godard et le regard d'historiens du cinéma. Jean-Luc Godard y explique son choix de s'inspirer du roman d'Alberto Moravia : "il y avait une idée que je trouvais belle de gens qui recherchent et qui sont en contact avec la civilisation d'autrefois, le monde d'Homère et celui d'Ulysse. (...) C'est une sorte d'Odyssée morale qui est doublée par celle d'Ulysse autrefois". Dans le scénario, le cinéaste écrivait : "Le sujet du 'Mépris', ce sont des gens qui se regardent et se jugent, puis sont à leur tour regardés et jugés par le cinéma, lequel est représenté par Fritz Lang jouant son propre rôle." La tragédie selon Jean-Luc Godard En 1963, après le succès de A bout de souffle (1960), Le Mépris était le sixième long métrage du cinéaste. Film sur le cinéma et sur la mort du cinéma, sur l'amour et sur sa perte, sur le sacré et sur son absence, Le Mépris est un film, comme l'écrit Jean Douchet, "totalement classique, absolument moderne" qui compte de nombreux amoureux parmi les cinéphiles. Cependant, le film ne rencontre le succès qu'en 1981, lors de sa redistribution dans les salles de cinéma. Claude-Eric Poiroux raconte sa découverte du film à sa sortie en 1963 : "Il m'a littéralement cloué sur mon fauteuil puisque je suis resté à trois séances de suite." Il dit avoir été "sidéré par le film et son pouvoir d'émotions au point de le revoir une vingtaine de fois pendant trois semaines." L'originalité du "Mépris" Pascal Vimenet souligne l'originalité du film "centré sur la relation entre Paul (Michel Piccoli) et Camille (Brigitte Bardot) et la tentative de capter uniquement un sentiment, et ce sentiment c'est le mépris. C'est ça qui me paraît être un tour de force, d'oser la durée pour en parler et de le faire de manière souvent ironique." Alain Levent, Pascal Vimenet et Agnès Guillemot évoquent les relations entre comédiens sur le tournage, les demandes pressantes des producteurs de scènes supplémentaires avec Brigitte Bardot nue et les astuces de Jean-Luc Godard pour contourner leurs exigences, la force de la musique de Georges Delerue, la version italienne du film. Une émission qui, en donnant la parole à des amoureux de ce film, est une invitation à voir et revoir Le Mépris. Retrouvez l'ensemble du programme d'archives Godard nous appartient, proposé par Albane Penaranda. Par Arnaud Laporte Avec en archives, la voix de Jean-Luc Godard Réalisation : Josette Colin Mardis du cinéma - Le Mépris (1ère diffusion : 15/03/1994) Edition web : Véronique Vecten, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France

durée : 01:23:47 - Les Nuits de France Culture - Par Simone Douek - Avec Marcel Gotlib, Jean Douchet, Jean-Pierre Berthome et Robert Benhayoun - Réalisation Josette Colin

durée : 02:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Thomas Lescure - Avec Philippe Garrel (cinéaste), Anne Wiazemsky (comédienne, réalisatrice, écrivain) Jean Douchet (critique de cinéma), Jacques Doillon (cinéaste), Mireille Perrier (comédienne), Pierre Clémenti (comédien), Anne Alvaro (comédienne), Chantal Akerman (cinéaste) et Marc Cholodenko (écrivain) - Avec en archives, la voix de Jean Seberg - Réalisation Viviane Van den Broek

durée : 01:34:59 - Les Nuits de France Culture - Les "Mardis du cinéma : Un printemps pour Hitchcock", une analyse de Jean Douchet et Laurence Drummond du dialogue, important dans l'histoire du cinéma, entre Alfred Hitchcock et François Truffaut, et plus largement sur l'art d'Alfred Hitchcock, un dandy, "Un homme qui en savait trop"... Né à Londres le 13 août 1899, mort à Los Angeles le 9 avril 1980, Alfred Hitchcock continue de faire peur, de faire rire et réfléchir, autrement dit, d'être grave et énigmatique.  * C'est ainsi que Laurence Drummond présentait "Les Mardis du cinéma" le 26 février 1985 en préambule à une émission intitulée "Un printemps pour Hitchcock". En 2019 nous pourrions dire la même chose du célèbre cinéaste britannique. Nous nous replongeons dans cette émission avec Jean Douchet qui interroge le climat des entretiens que François Truffaut eut avec Alfred Hitchcock dans les années 60 (Le cinéma selon Hitchcock aux éditions Seghers). Comment le maître du suspense s'est-il mis en scène au fil des questions ? De quelle nature sont ces questions ? De quelle nature sont ses réponses, a-t-il expliqué le choix de ses thèmes ?  Ces thèmes, le critique et historien du cinéma français, également écrivain et réalisateur Jean Douchet, en analyse l'originalité et la force d'expression de film en film. Peu à peu s'esquisse l'homme Hitchcock tel que Jean Douchet l'a rencontré et pressenti : "L'homme qui en savait trop" sur les pièges du conscient et de l'inconscient et sur leurs lois frustrantes ou salvatrices... Selon Jean Douchet : Alfred Hitchcock est un dandy. C'est évident. Tout son discours est un discours de dandy. J'entends par dandy la morale et la philosophie dandy. C'est quelqu'un qui finalement de par son corps, ne pouvait en aucun cas prétendre au dandysme et qui pourtant dans toute son attitude en a été un : rien ne me touche, je ne me laisse pas toucher, personne n'a de prise sur moi. L'entretien est illustré par des extraits de films et des archives, dans l'une d'elles Hitchcock racontait son état d'esprit lors des premières, alors que le film Psychose allait être projeté à Paris, en 1960 : Je n'assiste pas aux premières, non ce n'est pas nécessaire parce que le film c'est moi. Ce n'est pas possible parce que je suis très très nerveux. J'ai toujours peur, c'est pourquoi je fais la peur dans les films pour les autres. [.] La peur de toute ma vie est dans mes films. C'est la peur d'Hitchcock, la peur de la police, la peur des ennuis, la peur de tout. Il évoque son thème préféré :  J'utilise rarement dans mes films des gangsters ou la police. Cela ne m'intéresse pas.  Ce qui m'intéresse c'est l'homme ordinaire dans la rue qui se trouve pris dans une aventure. Avec Jean Douchet et les voix d'Alfred Hitchcock, Jacques Chancel et François Truffaut. Production : Laurence Drummond Mardis du cinéma - Un printemps pour Hitchcock (1ère diffusion : 26/02/1985) Indexation web : Sandrine England, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France

durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - Jean Douchet : "La propriété chez Godard, comme chez Jean Renoir, est l'ennemie qu'il ne cesse d'attaquer"

durée : 01:30:01 - Les Nuits de France Culture - Par Noël Simsolo - Avec Serge Daney (critique de cinéma), Michel Cazenave (philosophe), Alain Corneau (cinéaste, scénariste), Bernard Eisenschitz (historien du cinéma) et Jean Douchet (critique de cinéma) - Réalisation Jean-Claude Loiseau

durée : 00:49:59 - Les Nuits de France Culture - A l'occasion des vingt-cinq ans des Cahiers du Cinéma, Claude-Jean Philippe recevait en mai 1976 dans l'émission "Le Cinéma des cinéastes", l'une des plumes historiques de la célèbre revue. Un certain Maurice Schérer, plus connu sous le nom d'Éric Rohmer. Au micro du producteur Claude-Jean Philippe, le cinéaste Eric Rohmer remonte aux origines de sa passion pour le cinéma et de sa carrière de critique. Jeune khâgneux récitant du Racine et du Corneille au milieu des années 1930, et lecteur fervent de L'Ecran français, Eric Rohmer déroule la chronologie de ses textes publiés dans La Revue du cinéma (1928-1949), la Gazette du cinéma (1950), puis aux Cahiers du cinéma (revue créée en 1951) dont il fut le rédacteur en chef de 1957 à 1963.  * Marcel Carné est un cinéaste authentique. Dans le Paris de l'après-guerre, Eric Rohmer découvre les films classiques américains, des comédies musicales ou encore M. le maudit de Fritz Lang. Mais il se souvient en particulier de Quai des Brumes de Marcel Carné, vu dans un cinéma de quartier : "un film qui a déclenché en moi l'amour du cinéma".  C'est en 1948 qu'Éric Rohmer commence son parcours de critique, avec un article théorique sur la couleur au cinéma, proposé à Jean George Auriol, fondateur de la Revue du cinéma, bientôt suivi d'un autre article sur le cinéma comme art de l'espace.  Nous pensions que le cinéma était un art qui se définissait avant tout par la mise en scène plutôt que par son idéologie ou sa rhétorique. Remarqué pour la qualité de ses articles, Eric Rohmer rencontre André Bazin, grande figure de la critique cinématographique française de l'époque. Rohmer rejoint alors le mouvement Objectif 49, un ciné-club parisien d'avant-garde créé par André Bazin, Roger Leenhardt et Jean Cocteau, où l'on diffuse et où l'on débat de films maudits ou inédits, ainsi que ceux de maîtres du Septième Art, tels que Sergueï Eisenstein ou Michelangelo Antonioni. Un lieu fréquenté par des écrivains et des cinéastes et par une nouvelle vague de jeunes gens passionnés, futurs collaborateurs des Cahiers : François Truffaut, Jean Douchet, Alexandre Astruc, Jacques Rivette ou Jean-Luc Godard. Pour moi, Jean Renoir est le plus grand des cinéastes. Au cour de cette communauté de critiques, explique Éric Rohmer, "nous pensions que le cinéma était un art qui se définissait avant tout par la mise en scène plutôt que par son idéologie ou sa rhétorique". Adepte de la simplicité et d'une forme de "superficialité profonde" (une expression d'André Bazin), Éric Rohmer considère le cinéaste à l'égal d'un peintre, d'un musicien, d'un écrivain ou d'un poète. Le mot "réalisateur" étant selon lui, du  "jargon administratif".  Pour moi, déclare Rohmer, "Jean Renoir est le plus grand des cinéastes".  S'il fallait que j'emporte un film sur une île déserte, ce serait "Le Petit Théâtre de Jean Renoir".  Il y a dans ce film, tout le cinéma, passé, présent et à venir.  Par Claude-Jean Philippe  Le cinéma des cinéastes - Eric Rohmer, à l'occasion des 25 ans des Cahiers du cinéma (1ère diffusion : 02/05/1976) Rédaction web : Sylvain Alzial, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France

durée : 00:58:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Évocation de quelques-unes des mille et une facettes du cinéaste Eric Rohmer, dans ce numéro d' "Une vie une ouvre" de novembre 2012, avec les témoignages de ses amis et collaborateurs. C'est une histoire qui commence dans les années 1920, dans une maison de Tulle (Corrèze). Une maison étroite et verticale à plusieurs étages, pleine de recoins, secrète et assez refermée, avec une bibliothèque vitrée remplie de livres classiques. Dans la maison de la famille Schérer, Maurice, l'aîné des deux garçons, est un enfant timide et discret, qui observe par la fenêtre, les enfants jouer dehors.  * Antoine de Baecque : C'était quelqu'un de très timide, qui avait beaucoup de difficulté à se faire comprendre . Les frères Schérer s'entendent à merveille, partagent le même goût pour la littérature et le spectacle et s'amusent à monter des petites pièces de théâtre dans le grenier, en compagnie de leurs jeunes cousines. Les deux frères se suivent même dans les études littéraires en prépa au lycée Henri IV, note l'historien et critique de cinéma Antoine de Baecque : « La seule différence entre les deux frères, c'est que René, le petit frère, réussissait tout, et Maurice, le grand timide, ne réussissait rien. ».  Recalé aux concours de Normale Sup et de l'agrégation de lettres, Maurice se tourne alors vers l'écriture, publie un roman en 1944 et entretient secrètement une passion pour le cinéma, son "pêché mignon" comme le souligne son ami le cinéaste Jean Douchet, qui lui prêtera sa caméra 16mm. Époque de mue décisive où Maurice Schérer se transforme en Eric Rohmer, et s'installe progressivement dans un rôle de critique de cinéma. Noël Herpe :  En 1955, Eric Rohmer écrit une importante série d'articles dans les _Cahiers du Cinéma, "_Le celluloïd et le marbre", où il montre que de tous les arts, seul le cinéma peut donner accès à la totalité de l'être.  En marge de ses activités de critique, Eric Rohmer réalise des courts-métrages depuis le début des années 1950, années de bricolage et d'amateurisme, dont témoigne Jackie Raynal qui fut l'assistante-monteuse de Rohmer (La Carrière de Suzanne, 1963 ; La Boulangère de Monceau, 1963 ; La Collectionneuse, 1967).  Quant à l'image "rohmérienne", elle est extrêmement élégante, simple, et fluide, complète Diane Baratier qui fut sa directrice de la photographie depuis 1993. Diane Baratier :  L'image d'Eric Rohmer est extrêmement élégante, simple, fluide. Il n'y a pas de filtre entre le spectateur, le texte et les  acteurs   Françoise Fabian qui fut l'une des muses de Rohmer (Ma nuit chez Maud, 1969), se souvient de ses déjeuners avec le cinéaste "qui parlait toujours de profil, jamais de face". Elle confie, émue :  Rohmer a dépeint quelque chose qui est en moi et qui survit. Je ne peux pas être autre chose qu'une image de Rohmer. Il a trouvé la quintessence de ce que je peux représenter, en tant que comédienne.  Par Hélène Frappat  Réalisation : Angélique Tibau Une vie, une oeuvre - Eric Rohmer : 1920-2010 (1ère diffusion : 03/11/2012) Rédaction web : Sylvain Alzial,  Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France

durée : 02:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Thomas Lescure - Avec Philippe Garrel (cinéaste), Anne Wiazemsky (comédienne, réalisatrice, écrivain) Jean Douchet (critique de cinéma), Jacques Doillon (cinéaste), Mireille Perrier (comédienne), Pierre Clémenti (comédien), Anne Alvaro (comédienne), Chantal Akerman (cinéaste) et Marc Cholodenko (écrivain) - Avec en archives, la voix de Jean Seberg - Réalisation Viviane Van den Broek

#53Le zappodcast c'est tous les mois, un zapping des meilleurs moments des podcasts francophones. La sélection est entièrement participative alors si vous tombez sur un passage qui mérite de se retrouver dans le zappodcast, notez le nom et le numéro du podcast en question ainsi que le minutage du passage incroyable et envoyez nous ça à LeZappodcast@gmail.comCe mois-ci des extraits de LES PODCASTS DE LA CINEMATHEQUE (Dialogue entre Barbet Schroeder et Jean Douchet a propos de Barfly), 150 ANS DE LA COMMUNE DE PARIS LA BATAILLE D ISSY (La Commune de Paris par Claire L Hoer), UN AUTRE MONDE (3 Partout ou necessite fait loi), DETENUES (Bianca 1sur3), GARDE A VUE (L affaire Nicolas Charbonnier l etrangleur de Strasbourg 2sur3), DETENUES (Bianca 2sur3), CAPTURE MAG (sale temps pour un film fast and furious 9), CODE SOURCE (Messi recrute Mbappe conserve recit d un mercato de folie au PSG), 6001 MOTS (6030), CAPTURE MAG (steroids le podcast torque la route s enflamme), MAUVAIS TRAVAIL (journal Numero 2 Slip), TOUTE REPRODUCTION INTERDITE (La consultation), GARDE A VUE (L affaire Nicolas Charbonnier l etrangleur de Strasbourg), SONOTOPSY (Isatis Erase), MAUVAIS TRAVAIL (Episode 9 mtfm tv Priorite au direc), SONOTOPSY (Isatis Erase), LA THEORIE ET LA PRATIQUE (Avril Jour 1 Mercredi 9h20 Felix), LES MOTS DES AUTRES (Clusterfuck karoshi et tangping c est la rentree mais levez le pied), UN AUTRE MONDE (2 Emmaus des utopies concretes), MAUVAIS TRAVAIL (Episode 9 mtfm tv Priorite au direc), ICONIQUE (7 Le bandeau de Bjorn Borg Jeu tete et match), LES ORATEURS DU PODCAST (1 Douter de soi pour oser s exprimer), LA VOIX VEIRTE (Arbres en peril), PODCASTEO (pqecmp Generation Podcast), LA VOIX VEIRTE (Arbres en peril), PODCASTEO (pqecmp Generation Podcast), UN AUTRE MONDE (1 Les inventivites vertueuses).

durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Durant l'été 2007, Jean Douchet proposait une série de 25 émissions intitulées "Une autre Histoire du cinéma", le volet 24/25 était consacré à Jean-Luc Godard. Jean Douchet y analysait longuement certaines scènes du "Mépris" (1ère diffusion : 23/08/2007). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean Douchet cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019)

durée : 00:58:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Évocation de quelques-unes des mille et une facettes du cinéaste Eric Rohmer, dans ce numéro d’ "Une vie une œuvre" de novembre 2012, avec les témoignages de ses amis et collaborateurs. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Antoine de Baecque Professeur d'histoire du cinéma à l'Ecole Normale Supérieure; Noël Herpe écrivain, cinéaste et historien du cinéma; Françoise Etchegaray Productrice; Françoise Fabian Comédienne; Jean Douchet cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Arielle Dombasle actrice, chanteuse et réalisatrice; Jackie Raynal Monteuse; Diane Baratier directrice de la photographie

durée : 01:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Simone Douek - Avec Pierre Etaix, Jean Douchet, Claude Autant-Lara et Eleonore Keaton - Réalisation Maurice Audran - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 01:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Laure Adler (1) et Jean-Claude Charles (2) - Avec 1 : François Truffaut, Patricia Hitchcock, Daniel Gélin, Bruno Villien et Jean Douchet ; 2 : Walter Coleman, Nelcia Delanoë, Gordon Heath, Michel Fabre, Yvonne et Yves Malartic - Réalisation Josette Colin (1) et Paméla Doussaud (2) - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 01:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Laure Adler (1) et Jean-Claude Charles (2) - Avec 1 : Pascal Bonitzer, Odette Ferry, Jean Douchet, François Truffaut, Bruno Villien et Claude Rocle ; 2 : Walter Coleman, Gordon Heath, Michel Fabre, Yvonne et Yves Malartic et Robert Soulat - Réalisation Josette Colin (1) et Paméla Doussaud (2) - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 01:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Laure Adler (1) et Jean-Claude Charles (2) - Avec 1 : François Truffaut, Jean Douchet, Bruno Villien, Pascal Bonitzer, Michel Cournot et Daniel Gélin ; 2 : Walter Coleman, Gordon Heath, Michel Favre, Yvonne et Yves Malartic, Jean-Michel Foucault, Wolinski et Nelcya Delanoë - Réalisation Josette Colin (1) et Paméla Doussaud (2) - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 01:24:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Simone Douek - Avec Max Piquepe, Petr Kral (critique de cinéma, auteur de "Les burlesques"), Jean Douchet (réalisateur et critique de cinéma) et Michel Lebrun (traducteur) - Réalisation Josette Colin - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Les chemins de la connaissance - Retour sur images, le festival de Cannes : Hauts de formes, bicornes et caviar (1ère diffusion : 20/05/2002) - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean Douchet cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Nelly Kaplan écrivaine et réalisatrice; Antoine de Baecque Professeur d'histoire du cinéma à l'Ecole Normale Supérieure

durée : 01:04:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Fabrice Midal - Avec Charles Tesson, Jean Douchet, Jean-Marie Touratier, Pascale Raynaud, Carl Theodor Dreyer (réalisateur) et Hélène Falconetti - Réalisation Céline Ters - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 01:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Simone Douek - Avec Pierre Etaix, Jean Douchet, Claude Autant-Lara et Eleonore Keaton - Réalisation Maurice Audran - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 01:05:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Christine Goémé, Albane Penaranda - En 1974, Jean Renoir avait 80 ans. Pour fêter l’événement, "Cinémagazine" lui consacrait un programme spécial dans lequel des cinéastes, comme François Truffaut et Luchino Visconti, ou des personnalités, comme Henri Langlois, racontaient leur admiration pour le cinéaste. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : François Truffaut; Jean Renoir cinéaste (1894 - 1979); Jean Douchet cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Luchino Visconti Cinéaste italien

durée : 01:05:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Christine Goémé, Albane Penaranda - En 1974, Jean Renoir avait 80 ans. Pour fêter l’événement, "Cinémagazine" lui consacrait un programme spécial dans lequel des cinéastes, comme François Truffaut et Luchino Visconti, ou des personnalités, comme Henri Langlois, racontaient leur admiration pour le cinéaste. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : François Truffaut; Jean Renoir cinéaste (1894 - 1979); Jean Douchet cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Luchino Visconti Cinéaste italien

durée : 00:58:00 - Une vie, une oeuvre - par : Hélène Frappat - Maurice Schérer, alias Eric Rohmer, est l’auteur d’un cinéma de l’économie, réaliste, fait de sagesse et de pureté, devenu un quasi manifeste. Portrait d'un homme discret, d'un cinéaste libre et indépendant. - réalisation : Angélique Tibau - invités : Antoine de Baecque Professeur d'histoire du cinéma à l'Ecole Normale Supérieure; Françoise Fabian Comédienne; Françoise Etchegaray Productrice; Jean Douchet cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Pascal Bonitzer Scénariste, réalisateur et écrivain, ancien rédacteur aux Cahiers du cinéma.; Noël Herpe écrivain, cinéaste et historien du cinéma; Barbet Schroeder Cinéaste; Jackie Raynal Monteuse; Diane Baratier directrice de la photographie; Arielle Dombasle actrice, chanteuse et réalisatrice

durée : 01:30:01 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Noël Simsolo - Avec Serge Daney (critique de cinéma), Michel Cazenave (philosophe), Alain Corneau (cinéaste, scénariste), Bernard Eisenschitz (historien du cinéma) et Jean Douchet (critique de cinéma) - Réalisation Jean-Claude Loiseau - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 01:24:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Simone Douek - Avec Max Piquepe, Petr Kral (critique de cinéma, auteur de "Les burlesques"), Jean Douchet (réalisateur et critique de cinéma) et Michel Lebrun (traducteur) - Réalisation Josette Colin - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 01:35:00 - Les Nuits de France Culture - Les "Mardis du cinéma : Un printemps pour Hitchcock", une analyse de Jean Douchet et Laurence Drummond du dialogue, important dans l'histoire du cinéma, entre Alfred Hitchcock et François Truffaut, et plus largement sur l'art d'Alfred Hitchcock, un dandy, "Un homme qui en savait trop"...

durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Les chemins de la connaissance - Retour sur images, le festival de Cannes : Hauts de formes, bicornes et caviar (1ère diffusion : 20/05/2002) - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean Douchet cinéaste, historien et critique de cinéma (1929-2019); Nelly Kaplan; Antoine de Baecque Professeur d'histoire du cinéma à l'Ecole Normale Supérieure

durée : 00:59:33 - Une vie, une oeuvre - par : Hélène FRAPPAT, Matthieu Garrigou-Lagrange, Christine BERNARD - Maurice Schérer, alias Eric Rohmer, est l’auteur d’un cinéma de l’économie, réaliste, fait de sagesse et de pureté, devenu un quasi manifeste. Portrait d'un homme discret, d'un cinéaste libre et indépendant. - invités : Antoine DE BAECQUE, Françoise Fabian, Francoise ETCHEGARAY, Jean Douchet, Pascal Bonitzer, Noël Herpe, Barbet Schroeder, Jackie Raynal, Diane BARATIER, Arielle Dombasle - Antoine de Baecque : Professeur d'histoire du cinéma à l'Ecole Normale Supérieure Françoise Fabian : Comédienne Françoise Etchegaray : Productrice Jean Douchet : cinéaste, historien et critique de cinéma Pascal Bonitzer : Scénariste, réalisateur et écrivain, ancien rédacteur aux Cahiers du cinéma. Noël Herpe : écrivain, cinéaste et historien du cinéma Barbet Schroeder : Cinéaste Jackie Raynal : Monteuse Diane Baratier : directrice de la photographie Arielle Dombasle : actrice, chanteuse et réalisatrice - réalisé par : Angélique Tibau

Flashback #17 revient sur les ressorties en salle de ce mois de janvier. Au coeur de ce programme bien chargé, avec notre invité du mois Patrick Brion, retrouvez : - L'un des plus grands films de science-fiction des années 50 : "Le jour où la terre s'arrêta" de Robert Wise - Le film culte de Blake Edwards avec la sublime Audrey Hepburn : "Diamants sur canapé" - "La rivière rouge" de Howard Hawks avec John Wayne pour tous les amateurs de western. - Sans oublier deux films de Stanley Kubrick ainsi que deux films de Billy Wilder ou encore le documentaire "Jean Douchet, l'enfant agité" Dans #Flashback, il y en a pour tous les goûts ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Dans le cadre du Ciné-club Jean Douchet, Cédric Anger et Jean Douchet dialoguent à la suite de la projection d'Orange mécanique (Stanley Kubrick, 1971).

Dans le cadre du Ciné-club Jean Douchet, Cédric Anger et Jean Douchet dialoguent à la suite de la projection d'Orange mécanique (Stanley Kubrick, 1971).

Table ronde animée par Serge Toubiana avec Olivier Assayas, Claire Denis, Jean Douchet, Pascal Kané et Serge Le Péron.

Table ronde animée par Serge Toubiana avec Olivier Assayas, Claire Denis, Jean Douchet, Pascal Kané et Serge Le Péron.

durée : 00:53:58 - Les Grandes Traversées - par : Florence Colombani - Archives. Une exploration, par des entretiens et des extraits de films, de la filmographie glorieuse de Marlene Dietrich avec les voix de Jean Douchet, Claude-Jean Philippe et des extraits des "Mémoires" de Josef von Sternberg lus par Eric Caravaca.

Lubitsch croit à une discipline du plaisir. Car la vie ressemble à un casse-tête épicurien où chaque instant serait volé à la mort. Il faut donc vivre, sourire et prendre ce qui vient. Plaisir immédiat, physique, mais plaisir aussi de société. Il n'y a de plaisir que dans l'instabilité permanente.

Lubitsch croit à une discipline du plaisir. Car la vie ressemble à un casse-tête épicurien où chaque instant serait volé à la mort. Il faut donc vivre, sourire et prendre ce qui vient. Plaisir immédiat, physique, mais plaisir aussi de société. Il n'y a de plaisir que dans l'instabilité permanente.

durée : 00:58:06 - Les Grandes Traversées - Débat. En quoi se mesure l'engagement de Truffaut ? Est-il un archétype du cinéaste engagé ? Débat avec Carole Le Berre, historienne du cinéma, Claude de Givray, scénariste, Jean Douchet et Jean Narboni, critiques, et Olivier Assayas, cinéaste.