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Aux Cahiers du cinéma pendant plus de vingt ans, puis directeur de la Cinémathèque française, Serge Toubiana est un témoin privilégié de l'histoire du cinéma français. Dans On ne connaît du film que la scène des adieux, il revient sur les éloges qu'il a écrits pour ses chers disparus, au fil du temps. En librairie depuis le 16 avril aux éditions Calmann Levy Serge Toubiana est lʹinvité de Pierre Philippe Cadert
ESSENTIEL, le rendez-vous culturel de RCJ présenté par Sandrine Sebbane. Elle reçoit Serge Toubiana pour son livre « On ne connaît du film que la scène des adieux » aux éditions Calmann-Levy À propos du livre : « On ne connaît du film que la scène des adieux » paru aux éditions Calmann-Levy TÔT OU TARD, LA VIE S'EN VA. À PEINE A-T-ON LE DOS TOURNÉ QU'ELLE S'EN EST DÉJÀ PEUT-ÊTRE ALLÉE. IL NOUS FAUT DONC VEILLER SUR LES MORTS, ENTRETENIR LA FLAMME, FAIRE EN SORTE QU'ILS NE SOIENT JAMAIS OUBLIÉS. » Aux Cahiers du cinéma pendant plus de vingt ans, puis directeur de la Cinémathèque française, Serge Toubiana est un témoin privilégié de l'histoire du cinéma français. Dans On ne connaît du film que la scène des adieux, il revient sur les éloges qu'il a écrits pour ses chers disparus, au fil du temps. Des antidotes à l'oubli dans lesquels on lit toute l'admiration et tout l'amour qu'il a pour ces cinéastes, acteurs et actrices, hommes et femmes de cinéma qu'il a connus pour la plupart personnellement. Suivant un ordre chronologique dicté par le hasard de la mort, depuis celle déterminante de François Truffaut en 1984, jusqu'à celle de David Lynch, en passant entre autres par Maurice Pialat, Simone Signoret, Orson Welles, Jacques Demy, Michel Piccoli, Claude Chabrol, Jean-Pierre Bacri, Marguerite Duras, Gaspard Ulliel et Tonie Marshall, Serge Toubiana nous offre des textes ciselés et émouvants en hommage aux hommes et femmes qui ont marqué le cinéma et la culture des quarante dernières années. Biographie de l'auteur Serge Toubiana a été critique de cinéma, journaliste et éditeur. Auteur de nombreux ouvrages sur le cinéma, il a également produit des émissions radiophoniques pour France Culture et réalisé divers documentaires. Il a été directeur général de la Cinémathèque française de 2003 à 2016, et président d'Unifrance de 2017 à 2023.
durée : 01:00:08 - Serge Toubiana, journaliste et critique de cinéma - par : Priscille Lafitte - Serge Toubiana, longtemps journaliste critique aux "Cahiers du cinéma", puis à la tête d'institutions comme la Cinémathèque française et Unifrance, revient ici sur ses premières amours musicales : les compositions de Georges Delerue, Antoine Duhamel, Ennio Morricone et Michel Legrand. - réalisé par : Claire Lagarde
durée : 00:09:54 - Le Masque et la Plume - En 1992, la fresque romanesque sur fond d'histoire coloniale, "Indochine", de Régis Wargnier, avec Catherine Deneuve et Vincent Perez, est au menu des critiques du Masque, qui sont partagés. C'est un beau "roman-photo", mais cela suffit-il ? On écoute Michel Ciment, Alain Riou et Serge Toubiana.
durée : 00:22:56 - L'invité de 8h20 - Les invités du grand entretien sont Thierry Jousse, critique de cinéma et réalisateur, Serge Toubiana, journaliste et critique de cinéma, ancien directeur de la Cinémathèque française, Gilles Jacob, ancien président du Festival de Cannes et Agnès Troublé, créatrice de mode et amie de David Lynch.
durée : 02:59:36 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Les invités du grand entretien sont Thierry Jousse, critique de cinéma et réalisateur, Serge Toubiana, journaliste et critique de cinéma, ancien directeur de la Cinémathèque française, Gilles Jacob, ancien président du Festival de Cannes et Agnès Troublé, créatrice de mode et amie de David Lynch. - réalisé par : Marie MéRIER
Dans la foulée du précédent épisode, Serge Toubiana, grand homme du cinéma français, répond au questionnaire du Bonheur c'est Les Autres (BLA).Une intéressante introspection, des souvenirs et quelques coups de gueule.Un mensch qui s'apprête à se marier à 75 ans... pour la première fois ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Né à Sousse en Tunisie où il a vécu la première partie de sa jeunesse, Serge Toubiana est ensuite arrivé à Grenoble puis à Paris et a construit sa vie autour de sa passion: le cinema. Tour à tour journaliste, auteur, directeur de la cinémathèque de Paris, président d'Unifrance, il m'a reçu chez lui quelques semaines après une rencontre impromptue sur la ligne 9 du métro parisien...Un premier moment d'échange, sensible et bienveillant, qui précède mon questionnaire du Bonheur c'est Les Autres publié dans la foulée de cet épisode.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les 400 coups, de François Truffaut, sort en 1959. 400 coups, ou peut-être un seul, porté par cet auteur, alors jeune critique des cahiers du cinéma qui, dʹune plume acide, assassine régulièrement les réalisations de ses contemporains. Mais François Truffaut, en se lançant dans cette aventure cinématographique, va révolutionner les codes du 7e art par sa modernité, son réalisme et par la douceur du ton. Nous en sommes en 1959 avec Charles De Gaulle au pouvoir, avec une jeunesse qui frémit, avec les reconstructions de lʹaprès-guerre, avec des envies dʹen découdre avec lʹestablishment. Le cinéma de papa, on nʹen veut plus. Et voici François Truffaut avec ses comédiens à Cannes pour présenter son premier long métrage. Lui à qui lʹentrée même du festival avait été refusée lʹannée précédente à cause de ses critiques. Mais le film est aimé, apprécié, tant par le public que par la critique. Et voici François Truffaut, le critique de cinéma, qui devient François Truffaut, le réalisateur et le porte-drapeau dʹune Nouvelle Vague cinématographique. REFERENCES Antoine de Baecque, Serge Toubiana, François Truffaut, Folio, Gallimard, Paris, 1996 Truffaut sur la Nouvelle vague http://www.youtube.com/watch?v=5lER-MpHgjY Truffaut en 1981 http://www.youtube.com/watch?v=0KTRtyx0nLs&feature=related François Truffaut, les 400 coups, 1975, archives RTS https://www.youtube.com/watch?v=MDWNKfyO89M Les Bouts dʹessais des 400 coups http://www.youtube.com/watch?v=JL7-Sk0DGIk François Truffaut tout simplement à Cannes au micro de François Chalais, Extrait de " Reflets de Cannes et Cinépanorama https://www.youtube.com/watch?v=aFO30LSKF38
durée : 02:25:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Eastwood par lui-même. En septembre 2000, le cinéaste Clint Eastwood se livre dans un entretien fleuve au micro de Nicolas Saada et Serge Toubiana dans l'émission "Radio Libre". Il raconte son enfance, ses influences et la façon dont il fabrique ses films. - invités : Clint Eastwood Acteur et réalisateur; Tonie Marshall; Claire Denis Réalisatrice; Olivier Assayas Réalisateur, scénariste
ESSENTIEL, le rendez-vous culture. Parlons Cinéma, émission préparée par Lou Cohen et présenté par Serge Toubiana qui reçoit Barbet Schroedert, réalisateur du documentaire « Ricardo et la peinture » et fondateur de la société de production Les Films du Losange. À propos du documentaire « Ricardo et la peinture » RICARDO ET LA PEINTURE est le portrait que nous propose Barbet Schroeder de son ami le peintre Ricardo Cavallo qui consacre sa vie à la peinture. De Buenos Aires jusqu'au Finistère, en passant par Paris et le Pérou, ce film est une invitation à plonger dans l'histoire de la peinture, mais aussi à découvrir la vie de cet homme qui, avec simplicité et humilité, s'est toujours engagé entièrement, jusqu'à transmettre sa passion aux enfants de son village.
durée : 01:09:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Serge Toubiana dans un "Carnet de voyage à Tokyo" rencontrait le cinéaste Kiyoshi Kurosawa et son ancien professeur, cinéphile et traducteur, Shigehiko Hasumi. Dans "Surpris par la nuit", en 2004, Serge Toubiana proposait un "Carnet de voyage à Tokyo", qui nous donnait des nouvelles du cinéma japonais à l'aube du vingt-et-unième siècle. Chemin faisant, guidé par le critique Yoichi Umemoto, il croisait le réalisateur Kiyoshi Kurosawa et son ancien professeur, l'éminent universitaire et cinéphile Shigehiko Hasumi, traducteur de Deleuze, Derrida et Barthes, et auteur notamment d'ouvrages sur Ozu, Ford et Renoir. Comme le voyageur cinéphile de passage à Tokyo ne peut manquer de le faire, ce carnet de voyage faisait une halte à "La jetée", un bar mythique pour les amoureux du cinéma, dont le nom est bien sûr un hommage à Chris Marker. Pour peu qu'ils soient à Tokyo, de ce refuge cinéphilique cher au cour de Wim Wenders, peuvent à tout moment pousser la porte Coppola, Woody Allen, Tarantino, Léos Carax, Jim Jarmush, Arnaud Desplechin et quelques autres. "Surpris par la nuit. Tokyo cinéma - carnet de voyage". c'était en 2004. Cette année-là deux films japonais étaient en compétition au Festival de Cannes : Ghost in the Shell 2 : Innocence de Mamoru Oshii et Nobody Knows de Hirokazu Kore-Eda, pour lequel Yagira Yuya remporta le prix d'interprétation masculine. Retrouvez l'ensemble de la Nuit : "1960 et après, Nouvelle Vague et multiples visages du cinéma au Japon" Production : Serge Toubiana Réalisation : Manoushak Fashahi Extrait : Surpris par la nuit - Bande à part : Tokyo cinéma, carnet de voyage 1ère partie - 1ère diffusion : 12/05/2004
durée : 02:25:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En septembre 2000, Nicolas Saada et Serge Toubiana avaient longuement rencontré le cinéaste Clint Eastwood. Durant plus de deux heures, il évoquait son enfance, ses influences, ses films. "Radio Libre - A la rencontre de Clint Eastwood", un entretien diffusé pour la première fois le 09/09/2000. En 2000, Nicolas Saada et Serge Toubiana avaient longuement rencontré Clint Eastwood, dans le cadre d'un numéro des "Cahiers du cinéma" paru en septembre 2000. La rencontre s'était déroulée à Carmel, en Californie, là où résidait le cinéaste. * Eastwood venait d'achever le tournage de son nouveau film, "Space Cowboys", dont il supervisait le montage. L'entretien portait sur toute sa carrière : ses débuts d'acteur dans une série télévisée ("Rawhide"), sa rencontre décisive avec Sergio Leone au début des années 60 (la trilogie des fameux "westerns-spaghetti : "Pour une poignée de dollars", "Pour quelques dollars de plus" et "Le Bon, la Brute et le Truand), puis celle avec Don Siegel, qui l'encourage à réaliser son premier film, "Play Misty for me", en 1971. Mais Eastwood évoquait aussi son enfance, dans une Amérique des années trente qui sortait de la grande Dépression. Enfance et adolescence vagabondes qui lui font aimer les voyages et les grands espaces, l'Amérique insolite des "petits blancs" et des marginaux, la culture noire, le jazz et la Country Music. Comme acteur et comme réalisateur, Clint Eastwood s'inscrit indéniablement dans la mythologie du cinéma classique américain. Paradoxe vivant, il respecte tous les genres qu'il visite film après film : le polar, le western, le film-balade, le film-jazz ou le mélo. Mais il y apporte une touche personnelle, non dénuée d'humour, d'intelligence, de style et d'une certaine mélancolie. Alors qu'on le croit respectueux des genres, il parsème son parcours de cinéaste d'oeuvres littéralement inclassables, telles que "Bird", "A Perfect World" ou "Midnight in the Garden of Good and Evil". Que dire d'autre sinon que, plus Eastwood avance dans sa trajectoire de cinéaste, plus il fait montre d'une vraie liberté d'artiste. Sur son longue carrière il disait : J'ai été l'homme nulle part pendant 45 ans. A ma mort on dira sans doute il était venu de nulle de part et maintenant il y est retourné. Il est parti comme il était venu.. Production : Serge Toubiana et Nicolas Saada Avec Clint Eastwood, Tonie Marshall, Claire Denis et Olivier Assayas Réalisation : Marc-Alexandre Millanvoye Radio Libre - A la rencontre de Clint Eastwood - 1ère diffusion le 09/09/2000. Indexation : Documentation sonore de Radio France
Tout jeune passionné par le cinéma, Serge Toubiana devint journaliste, l'un des piliers de la fameuse revue « Les cahiers du cinéma », publia de remarquables ouvrages consacrés au septième art, tout en exerçant de hautes responsabilités – notamment la direction de la Cinémathèque Française. Il est le maître d'œuvre de « Mon petit Truffe, ma grande Scottie – 1960-1965 » (Denoël, 464 p. 29,90€), correspondance entre Hélène Scott et François Truffaut. Pour Fréquence Protestante, il évoque sa propre histoire, les cinéastes qui l'ont marqué, mais bien sûr aussi le merveilleux François Truffaut.
durée : 00:37:00 - Les Nuits de France Culture - En 1962, Alfred Hitchcock donnait une série d'entretiens à François Truffaut. En 1999, ces entretiens sont diffusés en 25 épisodes sur France Culture. Dans le 24ème épisode, il parle des "Oiseaux", puis dans le 25ème, et dernier épisode, Hitchcock évoque le bien, le mal, le sexe dans ses films. Hitchcock/Truffaut, ou Le Cinéma selon Alfred Hitchcock, surnommé également "le Hitchbook", est un livre de François Truffaut, paru en 1966. Ce livre est principalement constitué d'une série d'entretiens entre Alfred Hitchcock et François Truffaut qui a eu lieu en 1962 avec l'aide d'Helen Scott, une amie de Truffaut qui traduisait simultanément le dialogue entre les deux cinéastes. En 1999, Serge Toubiana et Nicolas Saada proposaient de réécouter les bandes de ces entretiens, remontées en une série de 25 épisodes. Nous vous proposons d'écouter le début du 24ème épisode dont le thème est le film Les Oiseaux puis ensuite l'intégralité du 25ème épisode où il sera question, en particulier, de la représentation de la sexualité dans les films d'Hitchcock. En août 1962, au moment des entretiens entre François Truffaut et Alfred Hitchcock, celui-ci achevait la post-production de son 48ème film, Les Oiseaux. Le matin même du 24ème entretien Hitchcock avait montré le film, dans une version inachevée, à Truffaut. Inquiet, soucieux, attentif aux réactions de son interlocuteur, Hitchcock décrivait une expérience inédite, l'utilisation de sons électroniques qui remplaçaient la musique. Pour la première fois au cours de ces entretiens Hitchcock parlait d'une oeuvre en train de se faire et non pas achevée. Nous avons fait des expériences avec des sons électroniques allemands quand les oiseaux attaquent à l'extérieur. (...) Quand je filmais, de manière à ce que les acteurs répondent à l'idée qu'il y avait un bruit extérieur d'oiseaux, j'avais installé un petit tambour sur le plateau connecté à un haut-parleur, ainsi, à chaque fois que les acteurs jouaient, je mettais en marche ce battement de tambour, pour que les acteurs puissent réagir à quelque chose, plutôt qu'à rien.Dans le 25ème, et dernier épisode, Alfred Hitchcock parle de la place de la sexualité dans ses films, "mon attitude à propos de montrer du sexe à l'écran ? Je pense qu'il doit y avoir du suspense, je pense que la scène ne doit pas être évidente, ne doit pas trop montrer". Hitchcock évoquait la scène de Psychose quand Janet Leigh, jouant le rôle de Marion Crane, apparaissait en soutien-gorge avec son amant, Sam Loomis interprété par John Gavin, dans une chambre à coucher : Je ressentais le besoin de faire une scène de ce type car le public avait changé. Les scènes de baisers classiques sont méprisées par les jeunes gens. De nos jours vous devez leur donner à voir la façon dont ils se conduisent eux-mêmes. (.) En vérité, la fille n'aurait pas dû porter ce soutien-gorge.A propos de la représentation du bien et du mal au cinéma, il résumait ainsi sa façon de voir : Basically, the better the villain, the better the film or the stronger the evil the stonger the film. (En principe, meilleur le méchant est, meilleur le film est, ou pour le dire autrement, plus le mal est puissant, plus le film est puissant). Par Serge Toubiana Réalisation : Claude Giovannetti Entretiens avec Alfred Hitchcock par François Truffaut - Entretien 24 et 25/25 (1ère diffusion : 04/11/1999 et 05/11/1999) Rédaction web : Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
"Playtime", le 4e film de Jacques Tati, est un film monument, poétique et drôle, interrogeant notre rapport à la modernité, à lʹuniformisation. Il sort en 1967, monté et remonté, élagué, décrié, ressorti en juillet 2004 en version restaurée et enfin acclamé. Ce sera sa renaissance après 30 ans de quasi oubli. Frappé de désamour en 1967, ce film a brisé la carrière de Jacques Tati. Trop lourd, trop cher, trop tout, le film est dʹune ambition extrême car le réalisateur crée une ville entière à Joinville et tourne en 70 mm, un format habituellement réservé aux westerns. Le tournage est long. Trop long, les décors sont abimés. Tati y met toute sa fortune, sʹaccroche, sʹépuise et épuise son équipe. Le film est un échec commercial. La critique lʹégratigne. Peut-être que lʹon reproche à Jacques Tati de nʹavoir pas refait simplement une suite aux "Vacances de Monsieur Hulot". Pourtant, "Playtime" propose de rire et de sourire dans un univers de béton où lʹhumain semble se perdre dans un monde quʹil a lui-même construit. La poésie surgit au coin dʹun labyrinthe kafkaïen de buildings, là où son personnage de Monsieur Hulot peut semer le chaos. "Playtime" est un chef-dʹœuvre, de minutie, de malice, de drôlerie. Tout y pensé, réfléchi, avec ce quʹil faut de touche dʹabsurdité et de pas de côté. Lʹhumour explose en paillette dans des décors soignés et criants de modernité. Ne tardons plus, un groupe de touristes américains vient dʹarriver à Orly pour visiter Paris. Cʹest comme ça que débute le film de Tati et cʹest comme ça que nous débutons cette émission. REFERENCES David BELLOS, Jacques Tati ; sa vie et son art, Seuil, 2002 Un CD dʹarchives sonores: Les Grandes heures INA / Radio France, Jacques Tati, un Comique de Vocation, préface Serge Toubiana, 2009 EDE, François et GOUDET, Stéphane, Playtime, Editions Cahiers du cinéma, 2002
#62Le zappodcast c'est tous les mois, un zapping des meilleurs moments des podcasts francophones. La sélection est entièrement participative alors si vous tombez sur un passage qui mérite de se retrouver dans le zappodcast, notez le nom et le numéro du podcast en question ainsi que le minutage du passage incroyable et envoyez nous ça à LeZappodcast@gmail.comCe mois-ci des extraits de CADAVRE EXQUIS (57 Donel Jack sman Les Feux de l Amour Center Parcs et Ensemble), DANS L OMBRE DES LEGENDES (471 La 1ere fois), LE CINEMA DE MELANIE (11 Inexorable de Fabrice du Welz), LES PODCASTS DE LA CINEMATHEQUE FRANCAISE (Dialogue avec Jean Pierre Mocky anime par Serge Toubiana et Jean Francois Rauger), LA MAJ DE CLEGOT (Les voix de Podrennes episode du Dimanche), DERIVES (s1 ep4 Le rituel de sudation Melchisedech), LA MAJ DE CLEGOT (les voix de podrennes episode du samedi), MECANIQUES DE LA POLITIQUE (Mecaniques de la politique Alain Juppe face aux grandes greves de 1995 4sur4 Sortir de l impasse), LE CAS CHIPETTE (Ch 1 Le grand Rempersement), VU DU BANC (Episode 9 28 Le Real Madrid va au bout de son epopee), LES PODCASTS DE LA CINEMATHEQUE FRANCAISE (Dialogue avec Jean Pierre Mocky anime par Serge Toubiana et Jean Francois Rauger), DANS L OMBRE DES LEGENDES (470 L echange), CERNO (Episode 90 Un trou dans le reel 2sur2), ON PEUT PLUS RIEN DIRE (25 Une guerre feministe est elle possible), CADAVRE EXQUIS (57 Donel Jack sman Les Feux de l Amour Center Parcs et Ensemble), UN BON MOMENT (8 avec jonathan cohen et jeremie galan), AFFAIRES SENSIBLES (Britney Spears le destin brise de l American Sweetheart), DERIVES (s1 ep8 Le rituel de sudation Dommages collateraux), AFFAIRES SENSIBLES (Britney Spears le destin brise de l American Sweetheart), DANS L OMBRE DES LEGENDES (470 L echange), LE CINEMA DE MELANIE (12 Vortex de Gaspar Noe).
durée : 01:20:03 - Les Nuits de France Culture - Par Yaël Mandelbaum et Julien Marrant - Avec Jean-Pierre Beauviala, Alain Bergala, Martine Bianco, Raoul Coutard, Eliane Delatour, Raymond Depardon, Jean-Paul Fargier, Jean-Michel Frodon, Serge Toubiana, les collaborateurs de Aäton : Martine Bianco, Thora Van Male, Yves Rivière, Pierre Michaux et Jean-Luc Godard, qui ne sera jamais loin, cheminant à travers les "Histoires du cinéma" - Réalisation Manoushak Fashahi
ESSENTIEL, le rendez-vous culture présenté par Sandrine Sebbane. Elle reçoit Serge Toubiana, journaliste et critique de cinémapour son livre « Le fils de la maitresse » aux éditions Arléa À propos du livre : «On n'a qu'une vie» paru aux éditions Fayard Au-delà de l'évocation des jours heureux, cet autoportrait du Fils de la maîtresse est un éloge de la transmission : " Je me suis rendu compte, dira Serge Toubiana, que j'avais choisi le même métier qu'elle : en transmettant mon amour du cinéma, je me sens tel un instituteur du cinéma. Transmettre et partager, c'est aimer. " Écrire sur son enfance, c'est se confronter à ses fantômes. C'est écrire sur ceux qui nous manquent, dont on vit si mal l'absence, pour lutter contre l'inéluctable effacement du Temps, en leur donnant une chance de revenir, de revivre. Pure illusion, mais si forte qu'ils en deviennent réels le temps de l'évocation. Serge Toubiana a grandi en Tunisie au bord de la mer, dans une famille heureuse. Sa mère était institutrice et son père horloger. Tous deux étaient des communistes engagés. Son père avait la passion du jeu et de la liberté, quand elle avait le goût de transmettre et d'éduquer. Au-delà de l'évocation des jours heureux, cet autoportrait du Fils de la maîtresse est un éloge de la transmission : " Je me suis rendu compte, dira Serge Toubiana, que j'avais choisi le même métier qu'elle : en transmettant mon amour du cinéma, je me sens tel un instituteur du cinéma. Transmettre et partager, c'est aimer. " Serge Toubiana est président d'UniFrance. Il a été critique aux Cahiers du cinéma et directeur de la Cinémathèque française. Il a publié des livres sur le cinéma, dont une biographie de François Truffaut, avec Antoine de Baecque (Gallimard, 1996). Ses derniers ouvrages : Les Fantômes du souvenir (Grasset, 2016), Les Bouées jaunes (Stock, 2018), L'Amie américaine (Stock, 2020) et, aux éditions Arléa, Ozu et nous, co-écrit avec Nathalie Azoulai (2021).
Chronique Livres de Josyane Savigneau
En première partie d'émission, Jean-Jacques Annaud est l'invité de Bande à part pour présenter son dernier film : Notre-Dame brûle. En seconde partie d'émission, Josyane Savigneau, Marc Lambron et Serge Toubiana viennent nous parler de Truffaut et les livres. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Du 14 janvier au 14 février 2022 a lieu la 12ème édition du MyFrenchFilmFestival. Au total, 30 nouveaux films, dont des longs métrages et des courts métrages, sont disponibles dans le monde entier, avec des sous-titres en 10 langues. Ou voir les films ? Dans la majorité des pays, vous pouvez retrouvez les films sur les plateformes payantes comme Amazon ou le partenaire local mais le plus souvent, ils sont tous disponibles sur TV5MONDEplus, la plateforme non géo-bloquée, francophone et gratuite. Ainsi en Amérique latine (ainsi qu'en Afrique, en Corée du Sud, en Pologne, en Roumanie, en Russie et en Asie du Sud-Est), les trente titres peuvent être vus gratuitement. Dans les autres territoires, le prix est de 1,99 € par film ou 7,99 € pour l'ensemble du festival. Alors que celui-ci bat son plein, on vous propose de rencontre Daniela Eltner qui dirige Unifrance. Cet organisme semi-public a comme vocation l'exportation des oeuvres françaises dans le monde et est à l'origine de ce festival en ligne. Daniela Elstner, directrice exécutive d'UniFranceNée en Allemagne et diplômée d'une Maitrise de Lettres Modernes (Paris VII), Daniela Elstner a commencé sa carrière professionnelle en France au sein d'UniFrance en 1996. En octobre 1998, elle rejoint Les Films du Losange pour y créer le service international de la société de production, aux côtés de Margaret Menegoz avant de revenir chez Unifrance en 2019 lors de sa nomination comme directrice générale d'UniFrance. Durant 10 ans, Daniela Elstner y développe les ventes internationales, co-productions et sélections en festivals de films signés des grands noms du cinéma tels que Éric Rohmer, Barbet Schroeder, Jacques Rivette ou Michael Haneke, pour n'en citer que quelques-uns. En 2008, elle rejoint Doc & Film International en tant qu'actionnaire et directrice générale. Sous son impulsion, la société de distribution audiovisuelle s'ouvre aux longs métrages de fiction et de documentaire et constitue un catalogue de plus de 800 films vendus à travers le monde et reconnus par la critique internationale et les festivals (un Lion d'Or, deux Ours d'Or). Parmi les oeuvres diffusées à l'international par Doc & Film sous sa direction, citons les films de Chantal Akerman, Jacques Doillon, Nicolas Philibert ou encore Bruno Dumont. Daniela Elstner est aussi depuis 2015 présidente de l'Association des Exportateurs de Films (ADEF), qui a joué un rôle crucial dans la mise en place, par les pouvoirs publics, d'un système de prêts pour les exportateurs (FARAP) et du fonds de soutien à l'export, représentant une avancée importante pour l'ensemble de la filière. Comme indiqué plus haut, elle fut nommé directrice d'Unifrance avec le soutien de Serge Toubiana. Enfin en 2021, elle a été élue au conseil d'administration de l'EFP, le pendant européen de l'agence française de promotion des films. Un festival pensé pour tous Nourrie de son expérience et de son amour du Cinéma, Daniela Elstner a construit un jury haut de gamme (Joachim Lafosse, Santiago Mitre, Filippo Meneghetti, Daphné Patakia et Michelle Couttolenc) pour une sélection de qualité. Partez à la découverte des nouveaux créateurs francophones du 7ème art.
durée : 00:03:44 - La chronique de Juliette Arnaud - par : Juliette ARNAUD - Sans cette "Amie américaine" du titre, pas de Tarantino. Voilà qui nécessite quelques éclaicissements
durée : 00:03:44 - La chronique de Juliette Arnaud - par : Juliette ARNAUD - Sans cette "Amie américaine" du titre, pas de Tarantino. Voilà qui nécessite quelques éclaicissements
Les matinales présentées par Sandrine Sebbane qui reçoit Serge Toubiana, ancien directeur de la Cinémathèque française, président d’Unifrance et écrivain, il publie « L’amie américaine » aux éditions Stock À propos du livre : " L’amie américaine " Paru aux éditions stock Raconter l’existence d’Helen Scott, c’est ouvrir le livre du rire et de l’oubli : cette femme que plus personne ne connaît aujourd’hui a marqué son entourage par sa fantaisie, son humour, son intelligence. Son destin fut romanesque, mais elle est demeurée dans l’ombre des artistes qu’elle a accompagnés. Serge Toubiana part sur sa trace, et raconte. Les années d’enfance, avec un père journaliste russe, ayant migré aux États-Unis au début du XXe siècle, expédié en URSS pour couvrir les années révolutionnaires, et qui devient agent double. Une adolescence, dans les années 1930, passées dans divers lycées parisiens, où elle fait les quatre cents coups mais apprend le français. Une jeunesse, pendant la guerre à seconder le réseau de la Résistance française. Des convictions communistes, qui la font recruter par un agent soviétique dans les années 1940. Et puis, comme une seconde jeunesse, alors qu’elle travaille au French Film Office à New York, la rencontre « coup de foudre » de François Truffaut. Il vient défendre aux États-Unis Les Quatre Cents Coups, qui ont triomphé à Cannes. Débute une amitié fascinante, tendre et torturée, qui durera 25 ans, où Helen Scott devient indispensable (il est « ma truffe », elle est « ma chère Scottie »). Par une intuition, une sensibilité et une gaieté hors du commun, elle fait rayonner toute la génération de la Nouvelle Vague sur les écrans américains – Godard, Resnais et d'autres. Elle participe à la fameuse rencontre entre Truffaut et Hitchcock, à Hollywood, jonglant entre le français et l’anglais, riant aux plaisanteries tout en les traduisant, instaurant une intimité joyeuse entre ces deux géants. Serge Toubiana, qui est le biographe de Truffaut, passe de l’autre côté du miroir : ces années d’ébullition artistique, mais aussi d’enjeux de carrière, dans un New York bien différent de celui d’aujourd’hui, donnent à ce récit un cadre captivant. Où la grande Histoire est d’abord une histoire de rencontres. Helen Scott repose au Cimetière Montmartre, à quelques mètres de François Truffaut. Serge Toubiana a dirigé Les Cahiers du cinéma puis La Cinémathèque française. Il préside aujourd’hui Unifrance. Il est l’auteur de nombreux livres dont la biographie de François Truffaut (Gallimard, 1996 ; Folio, 2001, cosigné avec Antoine de Baeque). Son dernier récit, Les bouées jaunes, est paru en janvier 2018 chez Stock.
durée : 00:53:58 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles la légende noire d’Hollywood : l’histoire du tournage des Désaxés en est l’un des plus célèbres. Invité le journaliste et critique Serge Toubiana, ancien directeur des Cahiers du Cinéma et de la Cinémathèque française.
Sans le coronavirus, nous serions en plein Festival de Cannes, alors nous vous conseillons "L'amie américaine" de Serge Toubiana.
durée : 03:00:28 - Le 6/9 - Le café est chaud, top départ du 6/9 du week-end avec Pierre Weill et Patricia Martin.
durée : 00:07:26 - La personnalité de la semaine - par : Patricia Martin - Serge Toubiana, ancien directeur de la Cinémathèque et auteur « L’amie américaine » aux éditions Stock, est l'invité de Patricia Martin à 7h50.
durée : 03:00:28 - Le 6/9 - Le café est chaud, top départ du 6/9 du week-end avec Pierre Weill et Patricia Martin.
Serge Toubiana, L'affido con Le Grand eDrucker e The Costitution
Émission de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, préparée par Rachel Rimmer, présentée par Stéphane Bou À propos du Film: « Les Quatre Sœurs » de Claude Lanzmann Claude Lanzmann revient sur le destin de Ruth Elias, Ada Lichtman, Paula Biren, Hanna Marton : quatre femmes ayant vécu l'horreur des camps. Il les avait interviewées en préparant Shoah et consacre aujourd'hui un film à chacune d'elle. Comme dans Sobibor, 14 octobre 1943, 16 heures ou Le Dernier des Injustes, il met en perspective ces récits filmés il y a trente ans afin de comprendre les processus mis en place par le régime nazi pour exterminer les Juifs d'Europe.
Leçon de cinéma de Martin Scorsese à la Cinémathèque française à l'occasion de l'exposition qui lui est consacrée. Rencontre animée par Serge Toubiana et Costa-Gavras.
Leçon de cinéma de Martin Scorsese à la Cinémathèque française à l'occasion de l'exposition qui lui est consacrée. Rencontre animée par Serge Toubiana et Costa-Gavras.
Mathieu Amalric et Arnaud Desplechin dialoguent à la suite de la projection du film Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle) (Arnaud Desplechin, 1994). Rencontre animée par Serge Toubiana.
Mathieu Amalric et Arnaud Desplechin dialoguent à la suite de la projection du film Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle) (Arnaud Desplechin, 1994). Rencontre animée par Serge Toubiana.
À l'occasion de l'avant-première des Ascensions de Werner Herzog (regroupant ses deux films La Soufrière et Gasherbrum), le 17 novembre 2014 à la Cinémathèque française, Werner Herzog s'entretient avec Serge Toubiana.
Truffaut, lecteur acharné dès l'enfance, a vécu avec une haute conception de la littérature. C'est pour cela qu'il s'est toujours refusé à adapter Proust ou Balzac ; pour cela encore qu'il s'est attaqué à une certaine tendance française de l'adaptation au cinéma ; pour cela enfin qu'il a toujours pris l'écriture romanesque à bras le corps, jusqu'au corps-à-corps. Il a célébré la littérature qu'il aimait en la saignant et pour en tirer une émotion vive.
Truffaut-Gruault : cinq films en commun qui viennent tous de source écrites (romans, rapport, journal, nouvelles), nombre d'autre projets développés et non tournés, une écriture à quatre mains pendant plus de vingt ans. Jean Gruault témoigne d'un compagnonnage d'exception, en compagnie d'Arnaud Desplechin (La Vie des morts, Esther Kahn, Jimmy P.). Dialogue animé par Serge Toubiana.
En 1993, Serge Bozon, pas encore cinéaste, écrivait : « Nous croyons que le nom de Truffaut résonne pour les jeunes gens qui veulent faire du cinéma, aujourd'hui et en France, comme promesse. » De quelle promesse de cinéma Truffaut était-il le nom et, vingt ans après, sous quelles formes cette promesse a-t-elle été tenue ? Avec Guillaume Brac, Noémie Lvovsky, Axelle Ropert, Bruno Podalydès et Serge Bozon. Table ronde animée par Bernard Benoliel et Serge Toubiana.
En 1993, Serge Bozon, pas encore cinéaste, écrivait : « Nous croyons que le nom de Truffaut résonne pour les jeunes gens qui veulent faire du cinéma, aujourd'hui et en France, comme promesse. » De quelle promesse de cinéma Truffaut était-il le nom et, vingt ans après, sous quelles formes cette promesse a-t-elle été tenue ? Avec Guillaume Brac, Noémie Lvovsky, Axelle Ropert, Bruno Podalydès et Serge Bozon. Table ronde animée par Bernard Benoliel et Serge Toubiana.
Truffaut, lecteur acharné dès l'enfance, a vécu avec une haute conception de la littérature. C'est pour cela qu'il s'est toujours refusé à adapter Proust ou Balzac ; pour cela encore qu'il s'est attaqué à une certaine tendance française de l'adaptation au cinéma ; pour cela enfin qu'il a toujours pris l'écriture romanesque à bras le corps, jusqu'au corps-à-corps. Il a célébré la littérature qu'il aimait en la saignant et pour en tirer une émotion vive.
Truffaut-Gruault : cinq films en commun qui viennent tous de source écrites (romans, rapport, journal, nouvelles), nombre d'autre projets développés et non tournés, une écriture à quatre mains pendant plus de vingt ans. Jean Gruault témoigne d'un compagnonnage d'exception, en compagnie d'Arnaud Desplechin (La Vie des morts, Esther Kahn, Jimmy P.). Dialogue animé par Serge Toubiana.
Dialogue animé par Serge Toubiana.
Dialogue entre Claude Lanzmann, Caroline Champetier et Serge Toubiana autour du film Shoah et de sa restauration.
Dialogue entre Claude Lanzmann, Caroline Champetier et Serge Toubiana autour du film Shoah et de sa restauration.
Dialogue animé par Serge Toubiana.
Dialogue animé par Serge Toubiana.
Dialogue animé par Serge Toubiana.
À la suite de la projection du film Une étrange affaire le 7 septembre 2013 à la Cinémathèque française, dialogue avec Michel Piccoli animé par Serge Toubiana.
À la suite de la projection d'À nos amours, rencontre avec Yann Dedet et Jacques Loiseleux, animée par Serge Toubiana. Monteur, Yann Dedet a travaillé avec François Truffaut, Philippe Garrel ou Cédric Kahn. Pour Pialat, il a monté Loulou, À nos amours, Police, Sous le soleil de Satan et Van Gogh. Jacques Loiseleux est directeur de la photographie. Il a tourné avec Yves Boisset, Jean-Luc Godard, Tony Gatlif, et à cinq reprises avec Pialat (Loulou, À nos amours, Police, Sous le soleil de Satan, Van Gogh).
À la suite de la projection d'À nos amours, rencontre avec Yann Dedet et Jacques Loiseleux, animée par Serge Toubiana. Monteur, Yann Dedet a travaillé avec François Truffaut, Philippe Garrel ou Cédric Kahn. Pour Pialat, il a monté Loulou, À nos amours, Police, Sous le soleil de Satan et Van Gogh. Jacques Loiseleux est directeur de la photographie. Il a tourné avec Yves Boisset, Jean-Luc Godard, Tony Gatlif, et à cinq reprises avec Pialat (Loulou, À nos amours, Police, Sous le soleil de Satan, Van Gogh).
Entre hantise du scénario et méfiance à l'égard de l'improvisation, croyance absolue dans les vertus du tournage pour saisir le moment de bascule du réel, entre engueulades légendaires sur le plateau et relation d'amour-haine avec les acteurs, comment Pialat s'y prenait-il pour inventer une méthode inédite permettant au film de se faire, y compris au risque de le faire échouer ?
Entre hantise du scénario et méfiance à l'égard de l'improvisation, croyance absolue dans les vertus du tournage pour saisir le moment de bascule du réel, entre engueulades légendaires sur le plateau et relation d'amour-haine avec les acteurs, comment Pialat s'y prenait-il pour inventer une méthode inédite permettant au film de se faire, y compris au risque de le faire échouer ?
Dialogue animé par Serge Toubiana. « Ce que j'ai le plus aimé au cinéma, c'est d'être l'incarnation d'un personnage différent de moi et réaliste. C'est pour cela que je suis devenu acteur. Je suis curieux des autres. Il n'y a pas de façon plus intime pour rentrer dans leur peau(...) En général, je trouve que les acteurs surjouent toujours un peu. On devrait être plus simples, mettre moins d'intentions. En avançant en âge, je m'efforce d'intérioriser mon jeu. Il faut ressentir les choses, et c'est l'œil de la caméra qui vient chercher les sentiments que l'on ressent. » (Jean-Louis Trintignant)
Table ronde animée par Serge Toubiana avec Olivier Assayas, Claire Denis, Jean Douchet, Pascal Kané et Serge Le Péron.
La pensée de Serge Daney a été utile en son temps et à beaucoup de spectateurs. Vingt ans après sa disparition, il faut dire aussi comment et en quoi cette pensée peut servir aujourd'hui.
Table ronde animée par Serge Toubiana avec Hervé Gauville, Jean Hatzfeld, Françoise Huguier, Olivier Séguret.
Table ronde animée par Serge Toubiana avec Hervé Gauville, Jean Hatzfeld, Françoise Huguier, Olivier Séguret.
La pensée de Serge Daney a été utile en son temps et à beaucoup de spectateurs. Vingt ans après sa disparition, il faut dire aussi comment et en quoi cette pensée peut servir aujourd'hui.
Table ronde animée par Serge Toubiana avec Olivier Assayas, Claire Denis, Jean Douchet, Pascal Kané et Serge Le Péron.
À l'occasion de sa venue à Paris, rencontre avec Ettore Scola pour évoquer ses débuts comme dessinateur satirique, son travail de scénariste (Le Fanfaron de Dino Risi, par exemple), ses films (Une journée particulière, Affreux, sales et méchants, Nous nous sommes tant aimés, Le Bal...) et son trajet dans le cinéma italien. Dialogue animé par Costa-Gavras, Serge Toubiana et Jean A. Gili.
Dialogue animé par Serge Toubiana et Bernard Benoliel.
La master class de Steven Spielberg, animée par Serge Toubiana, a eu lieu à la Cinémathèque française le 9 janvier 2012.
La master class de Steven Spielberg, animée par Serge Toubiana, a eu lieu à la Cinémathèque française le 9 janvier 2012.
Table ronde avec Ellen Schafer (Société nouvelle de cinématographie), Nicolas Seydoux (Gaumont), Marc Lacan (Pathé), Béatrice de Pastre (CNC / Archives françaises du film), Gianluca Farinelli (Cineteca di Bologna), Jérôme Dechesne (SACD). Animée par Serge Toubiana.
Table ronde avec Ellen Schafer (Société nouvelle de cinématographie), Nicolas Seydoux (Gaumont), Marc Lacan (Pathé), Béatrice de Pastre (CNC / Archives françaises du film), Gianluca Farinelli (Cineteca di Bologna), Jérôme Dechesne (SACD). Animée par Serge Toubiana.
Dialogue animé par Michel Ciment, Costa-Gavras et Serge Toubiana. "Je respecte le scénario mais j'invente dès que c'est possible et j'ajoute l'épaisseur que la scène filmée doit avoir par rapport à la scène écrite. C'est, je crois, un peu une caractéristique des réalisateurs italiens. Nous laissons une marge pour le travail sur le plateau. Si je décrivais tout dans mon script, si tout était prévu, peut-être qu'ensuite je n'aurais plus envie de le tourner. Il faut laisser une ouverture pour l'imagination ou la situation du moment." - Francesco Rosi, 1986
À la suite de la projection du film Les Sabots en or pour l'ouverture de la rétrospective qui lui est consacrée, dialogue avec Nouri Bouzid animé par Serge Toubiana.
Rencontre avec Ken Adam, Marisa Berenson, Michel Ciment, Nigel Galt, Jan Harlan, Christiane Kubrick, Tim Heptner, animée par Serge Toubiana.
Rencontre avec Ken Adam, Marisa Berenson, Michel Ciment, Nigel Galt, Jan Harlan, Christiane Kubrick, Tim Heptner, animée par Serge Toubiana.
Longtemps, "le maître du suspense" ne fut pas pris au sérieux, autant aux Etats-Unis qu'en France. Par quelles voies critiques son nom est-il devenu, au tournant des années 1950-1960, synonyme presque à lui seul du 7ème art et le cinéaste préféré de tant de cinéastes ?
Longtemps, "le maître du suspense" ne fut pas pris au sérieux, autant aux Etats-Unis qu'en France. Par quelles voies critiques son nom est-il devenu, au tournant des années 1950-1960, synonyme presque à lui seul du 7ème art et le cinéaste préféré de tant de cinéastes ?
À l'occasion de l'ouverture du cycle David Lynch à la Cinémathèque française, le 13 octobre 2010, Serge Toubiana s'entretient avec le réalisateur autour de son film Mulholland Drive.
Ce second dialogue avec David Lynch a eu lieu à la Cinémathèque française le 13 octobre 2010. Rencontre animée par Serge Toubiana.
À l'occasion de l'ouverture du cycle David Lynch à la Cinémathèque française, le 13 octobre 2010, Serge Toubiana s'entretient avec le réalisateur autour de son film Mulholland Drive.
Ce second dialogue avec David Lynch a eu lieu à la Cinémathèque française le 13 octobre 2010. Rencontre animée par Serge Toubiana.
Le 11 septembre 2010, la Cinémathèque française recevait Catherine Breillat pour une leçon de cinéma animée par Serge Toubiana.
durée : 00:57:56 - Les Grandes Traversées - Débat. Il est question ici de Polanski comme "raconteur" qui a réussi à évoquer sa vie à travers ses films. Pour en parler, Henry Chapier, journaliste et critique de cinéma, Philippe Labro, écrivain et journaliste et Serge Toubiana, écrivain.
"Enfant, mes parents m'ont emmené voir La Strada au cinéma. Je devais avoir cinq ou six ans. J'en ai alors conçu une véritable aversion pour ce film : peur, angoisse, refus de voir le monde (forain) tel que le représentait Federico Fellini. Ayant grandi depuis, il est temps pour moi de revenir sur ce film, et sur cet épisode assez flou de ma cinéphilie en herbe, pour voir les choses avec davantage de sérénité. Cette rétrospective complète de l'œuvre de Fellini m'en donne enfin l'occasion." - Serge Toubiana
"Enfant, mes parents m'ont emmené voir La Strada au cinéma. Je devais avoir cinq ou six ans. J'en ai alors conçu une véritable aversion pour ce film : peur, angoisse, refus de voir le monde (forain) tel que le représentait Federico Fellini. Ayant grandi depuis, il est temps pour moi de revenir sur ce film, et sur cet épisode assez flou de ma cinéphilie en herbe, pour voir les choses avec davantage de sérénité. Cette rétrospective complète de l'œuvre de Fellini m'en donne enfin l'occasion." - Serge Toubiana
Rencontre avec Anouk Aimée, Claudia Cardinale, Magali Noël, Vittorio Boarini (directeur de la Fondation Fellini, Rimini), Serge July et Sam Stourdzé (commissaire de l'exposition "Fellini, la Grande Parade" au Jeu de Paume), animée par Serge Toubiana.
Rencontre avec Anouk Aimée, Claudia Cardinale, Magali Noël, Vittorio Boarini (directeur de la Fondation Fellini, Rimini), Serge July et Sam Stourdzé (commissaire de l'exposition "Fellini, la Grande Parade" au Jeu de Paume), animée par Serge Toubiana.
Luis Buñuel vu par Jean-Claude Carrière : dialogue avec Serge Toubiana, à la Cinémathèque française, après la projection de La Voie lactée (1969).
durée : 00:58:03 - Les Grandes Traversées - Débat. Serge Toubiana s'entretient avec le réalisateur Arnaud Desplechin, dans lequel il parle de sa relation avec l'œuvre de François Truffaut et de sa place dans le cinéma contemporain. Il raconte aussi "les deux frères" : Godard et Truffaut. - invités : Arnaud Desplechin Cinéaste
Cette table ronde a eu lieu le 5 juillet 2008 dans le cadre de Cinéditions, salon européen du livre de cinéma, en présence des cinéastes Luc Dardenne, Jorge Semprún, Hugo Vieira da Silva, Radu Mihaileanu, Manoel de Oliveira et Costa-Gavras. Rencontre animée par Serge Toubiana.
Cette table ronde a eu lieu le 5 juillet 2008 dans le cadre de Cinéditions, salon européen du livre de cinéma, en présence des cinéastes Luc Dardenne, Jorge Semprún, Hugo Vieira da Silva, Radu Mihaileanu, Manoel de Oliveira et Costa-Gavras. Rencontre animée par Serge Toubiana.
Après la projection de son film La 317ème Section en ouverture de la rétrospective qui lui a été consacrée à la Cinémathèque française, Pierre Schoendoerffer dialogue avec Serge Toubiana et Bernard Benoliel.