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Vendredi 28 mars 2025Geneviève Morand et Natalie Ann Roy présentent leur dernier livre Libérer la paresse publié aux Éditions du remue-ménageAprès avoir disséqué la colère et la luxure, les auteurices poursuivent leur relecture impénitente et tendancieusement féministe des péchés capitaux. Dans cette œuvre chorale, quelque part entre deux burnouts, elles dénoncent tout ce qui les épuise et se demandent qui, en ce bas monde, a vraiment droit au repos.Libérez la paresse - Sous la direction de Geneviève Morand et Natalie-Ann Roy - les éditions du remue-ménageAprès avoir disséqué la colère et la luxure, Geneviève Morand et Natalie-Ann Roy poursuivent leur relecture impénitente et tendancieusement féministe des péchés capitaux. Dans cette œuvre chorale, quelque part entre deux burnouts, les auteurices rassemblé·es dénoncent tout ce qui les épuise et se demandent qui, en ce bas monde, a vraiment droit au repos. La paresse est-elle l'apanage des privilégié·es? Est-il possible de ralentir radicalement sans crisser le feu au système? Entre le travail toxique et l'obsession de la beauté, entre la charge mentale, le sexisme, les injonctions au self-care, la pauvreté, le capitalisme sauvage, les traumas, la violence conjugale et la planète qui brûle, il faudrait, en plus, prendre le temps de méditer? Non. Nous exigeons le droit de ne pas réaliser notre plein potentiel. Et de rester couché·es.Avec Sayaka Araniva-Yanez, Joëlle Basque, Roxanne Bélair, Rébecca Boily-Duguay, Gabrielle Boulianne-Tremblay, Emilie S. Caravecchia, Zed Cézard, Josiane Cossette, Karine Côté-Andreetti, Marie-Pierre Duval, Yara El-Soueidi, Florence Sara G. Ferraris, Amélie Gillenn, J.D. Kurtness, Melissa Mollen Dupuis, Geneviève Morand, Heather O'Neill, Joanie Pietracupa, Nathalie Plaat, Pascal Raud, Shirley Rivet, Natalie-Ann Roy, Catherine Voyer-Léger et Cathy Wong.Geneviève Morand travaille dans le milieu communautaire.Elle est titulaire d'un Executive Master of Business Administration (EMBA) de l'École des sciences de la gestion (ESG UQAM) (2014-2016).Elle travaille dans les organismes communautaires depuis qu'elle a 19 ans, où elle a débuté comme intervenante jeunesse. Elle a dirigé une douzaine d'organismes, incluant des organismes locaux, régionaux, des regroupements et des organismes pancanadiens.Geneviève Morand est fondatrice et conseillère principale de RISE | Au service des organisations sociales depuis 2009.Féministe, mère de deux filles, elle est pressée de changer le monde, pour elles.Natalie-Ann Roy est designer graphique, illustratrice et auteure.Après des études à l'Université Nova Scotia College of Art and Design à Halifax, elle obtient son Master of Design avec son mémoire intitulé : "Design: The Next Step – Towards Community and Interdisciplinary Collaboration".Elle poursuit sa carrière pendant plus de dix ans au sein de son studio de design (Atelier NAC) qui promeut les changements sociaux et la culture. Elle intègre ensuite l'équipe de communications d'une organisation vouée à l'éducation.En parallèle, elle est codirectrice, auteure et illustratrice du collectif "Libérer la colère" (Remue-ménage, 2018), auteure participante du collectif "Faire son gros possible" (Cardinal, 2019), auteure-participante du recueil "Je n'en ai jamais parlé à personne" (Héliotrope, 2020).Elle est également codirectrice de l'ouvrage collectif "Libérer la culotte" (2021), publié aux Éditions du remue-ménage et au sein duquel 30 femmes catalysent leurs expériences en lien avec la sexualité.
A yoga instructor's guide to demon hunting? Not this time. It's Kat Chen and her Play with Me series! A hoot indeed. Thank you to Joyce Sweeney for hooking up this conversation and - in the intervening months - signing me (Josh) as a client! This conversation serves as a huge endorsement of working with The Seymour Agency through the lens of Kat's super charming experience. Our little podcast is sponsored by Tielmour Press! For a two-moon special, check out and order Sue Lancaster's Supermoon and/or (preferably and) Neigh Kid by Alan Mayfair! ------- DON'T MISS AN EPISODE! Sign up for our newsletter here! This episode's book reviews: I HATE EVERYONE by Naomi Danis NUTSHIMIT: IN THE WOODS by Melissa Mollen Dupuis and Elise Gravel REAL TO ME by Minh Lê and Raissa Figueroa The artwork for You May Contribute a Verse features our quokka mascot Versey, and was generously created for us by the great Maddie Frost! Find her on IG @hellomaddiefrost or on her website Maddie-Frost.com Our theme music is So Happy by Scott Holmes you can find more of his music at scottholmesmusic.com Love the podcast and wanna support more episodes like this? Find Community Shoutouts, Merch and our Patreon here!! Find us on Bluesky @joshmonkwords, @brennajeanneret, and @jonseym0ur as always, let us know what you think via a rating, review, or comment!
Pour la 300e et dernière chronique de Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis revient sur son expérience, sur le chemin parcouru qui lui permet aujourd'hui de rejoindre un maximum de gens, tant par l'entremise de son émission de radio Kuei! Kwe!, diffusée sur les ondes d'Ici Première, ou encore de son livre pour enfant « Nutshimit : Un bain de forêt », coécrit avec Élise Gravel. Elle explique que malgré des avancées notables, il reste encore beaucoup d'enjeux autochtones à régler avant de pouvoir arriver à une véritable réconciliation.
Bestselling author Tasha Spillett talks about the latest instalment in her graphic novel series Surviving the City; an ode to motherly love and Indigenous identity in the memoir Mamaskatch; the science of forest baths and Innu teachings with Melissa Mollen Dupuis; Juno Award-winning musician Elisapie; and Cherie Dimaline on reimagining The Secret Garden on this episode of The Next Chapter.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis revient sur l'Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées (ENFFADA), dont le rapport a été dévoilé il y a cinq ans. Que contenait-il? Qu'est-ce qui a changé depuis? Les femmes et les filles autochtones sont-elles plus en sécurité aujourd'hui qu'avant?
Traumavertissement: Le segment ‘Bien Noté' entre 22:30 et 27:00 aborde les violences subies par les enfants Autochtones dans les pensionnats.Fin avril, le premier ministre du Québec François Legault annonçait le contenu de son Musée national de l'histoire du Québec: des collections retraçant les 400 dernières années d'histoire, de Jacques Cartier à nos jours. Dans son discours, Legault réservait une place aux Premières Nations qui étaient là “avant nous” et ont “aidé” les colons à surmonter les épreuves. Pour décrypter ces discours empreints de colonialisme, Emilie reçoit l'activiste, animatrice et chroniqueuse Innue Melissa Mollen Dupuis. Ensemble, elles réfléchissent à tisser une nouvelle histoire du Québec, décoloniale et inclusive. En deuxième partie d'émission, Melissa Mollen Dupuis offre un éclairage passionnant sur le phénomène des fraudes d'identité autochtone, les “pretendians” ou en français “fautochtones”.Trigger Warning: The ‘Bien Noté' segment between 22:30 et 27:00 discusses the abuse inflicted on Indigenous children at residential schools.At the end of April, Quebec Premier François Legault announced the subject matter of his National Museum of Quebec History: collections tracing the last 400 years of history, from Jacques Cartrier to the present day. In his speech, Legault reserved a place for the First Nations who were there “before us” and “helped” the settlers to overcome challenges. To decipher this discourse, marked by colonialism, Emilie is joined by Innu activist, host and columnist Melissa Mollen Dupuis. Together, they reflect on weaving a new history of Quebec that is both decolonized and inclusive. In the second part of the show, Melissa offers fascinating insight into the phenomenon of Indigenous identity fraud, the “pretendians” or in French the “fautochtones”.Animation : Emilie NicolasGénérique : Lucie Laumonier (Production), Tristan Capacchione (Production technique), Karyn Pugliese (Rédactrice en chef) Coanimation : Melissa Mollen DupuisPour en savoir plus :Musée national de l'histoire du Québec: des Premières Nations craignent d'être oubliées – Radio-CanadaIndigenous leaders pass declaration on Indigenous identity fraud at summit in Winnipeg – APTNSépultures anonymes d'enfants autochtones: une pente glissante – La PresseCBC has whitewashed Israel's crimes in Gaza. I saw it firsthand – The BreachOn CBC's coverage of the Israel-Hamas war, one of the most divisive stories in years – CBCVisit the Woodland Cultural Center from homeÉcoutez la nouvelle série « Pretendians » – CanadalandPour un temps limité, soutenez-nous et obtenez 6 mois de bénéfices exclusifs pour 2$ par mois! Pour cela, rendez-vous sur canadaland.com/joinVous pouvez écouter sans publicité sur Amazon Music, inclus avec Prime. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Melissa Mollen Dupuis réagit à l'annonce du futur Musée national d'histoire du Québec et des propos du premier ministre François Legault. Elle y voit une forme de révisionnisme lorsque François Legault affirme que la nation québécoise aurait commencé avec des explorateurs européens comme Samuel de Champlain et Jacques Cartier, ou encore quand un historien affilié à ce projet muséal soutient que les Autochtones feraient partie de la préhistoire du Québec.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis souligne le 490e anniversaire du premier voyage de Jacques Cartier à destination de l'Amérique du Nord afin d'explorer de golfe du Saint-Laurent et éventuellement prendre possession du vaste territoire qui allait être nommé Nouvelle-France.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis trace des parallèles entre la situation des civils palestiniens à Gaza et le vécu des Autochtones, rappelant qu'il est nécessaire d'écouter la voix de peuples opprimés lorsqu'ils témoignent de leur expérience, et déplore du même coup la perte d'information de qualité dans les réseaux sociaux.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis revient sur la triste histoire de Nex Benedict, une jeune personne non-binaire d'Oklahoma aux origines Choctaw qui a perdu la vie peu après une violente confrontation dans son école secondaire plus tôt en février. Elle en profite pour encourager les gens à en apprendre davantage sur les différentes identités, plutôt que de débattre de l'existence même de celles-ci.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis complète sa série de chroniques sur la décision de la Cour suprême concernant la Loi fédérale concernant les enfants, les jeunes et les familles des Premières Nations, des Inuits et des Métis en se questionnant sur le regard non autochtone qui sera posé sur le travail qui sera effectué dans les communautés autochtones pour mettre en oeuvre un volet important de leur autodétermination.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis revient cette semaine encore sur la Cour suprême, qui a reconnu la constitutionnalité de la Loi fédérale concernant les enfants, les jeunes et les familles des Premières Nations, des Inuits et des Métis. Quelles seront les répercussions sur les relations entre les Autochtones et les gouvernements provinciaux?
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis parle des racines historiques et juridiques de la récente décision de la Cour suprême, qui a reconnu la constitutionnalité de la Loi fédérale concernant les enfants, les jeunes et les familles des Premières Nations, des Inuits et des Métis, qui était contestée par le gouvernement québécois. Celle-ci permet depuis peu aux communautés autochtones de gérer et administrer elles-mêmes leur propre système de protection de l'enfance.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis amorce la nouvelle année en discutant du paysage des réseaux sociaux qui a énormément changé ces derniers mois. Elle déplore qu'avec l'absence du contenu médiatique sur Facebook, des enjeux perdent en visibilité, malgré leur importance. Elle revient sur trois d'entre eux qui touchent les droits ancestraux des peuples autochtones.
Dans cet extrait bonus, Marika D'Eschambeault, coordonnatrice en loisirs scientifiques à Espace pour la vie, nous fait part de ses recommandations culturelles coup de cœur et Les Lucioles se prêtent également à l'exercice. Merci spécial à l'Espace pour la vie. Co-animatrices: Marie-Christine Lafrenière et Stéphanie Shousha; Montage: Amélie Allard; Communications et enregistrements en direct de La Nuit: Mathilde Bélair et Leia Lafrance; Studio: Bibliothèque des sciences de l'Université de Montréal. Liens à partager: Recommandations de Marika: Espace pour la vie Podcast Radiolab (Série Gonads) Podcast Les couilles sur la Table / Guide de survie aux fêtes de famille Nutshimit : Un bain de forêt - Melissa Mollen Dupuis et Élise Gravel Revue Nouveau Projet - Atelier 10 Parcours scientifique en BD - Espace pour la vie Recommandations de Steph: Open Heart, Open Mind (Clara Hughes) Carmina Burana (oeuvre musicale) Bloc shop junior Recommandations de MC: Observatoire d'oiseaux de McGill (Programme Adopt a Owl - à venir) Revue Québec Science Chauffer le dehors - Recueil de Marie-Andrée GillConfession d'une femme normale - Bande dessinée de Éloïse Marseille
Cette semaine à Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis nous parle de l'importance de la célébration comme opportunité de réconciliation dans un paysage culturel en pleine transformation. Elle souligne les événements du 21 et du 24 juin, la Journée nationale des peuples autochtones et la fête nationale de la Saint-Jean-Baptiste, comme des dates symboliques de reconnaissance et d'identité.
Cette semaine à Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis parle des feux de forêt qui forcent l'évacuation de plusieurs communautés autochtones à travers le pays. Elle met en lumière les relations qui se sont développées entre les différentes communautés autochtones, qui sont souvent les premières à se venir en aide, même si des municipalités moins éloignées pourraient être en mesure de les accueillir.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis explique l'importance des prix récemment octroyés à la journaliste crie Connie Walker pour son balado Stolen : Surviving St. Michael's, qui raconte l'histoire de son père, un survivant du pensionnat pour Autochtones St. Michael, en Saskatchewan. En reconnaissant aux plus hauts niveaux les récits autochtones racontés par ceux qui les ont vécus, on permet à leur voix de rayonner et atteindre un plus grand public.
Cette semaine à Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis explique l'importance d'ouvrir la voix autochtone à des sujets qui ne semblent pas relever d'enjeux reliés aux premiers peuples à première vue et ainsi éviter de reléguer leur point de vue à des sujets précis.
Cette semaine à Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis explique la difficile relation entre certaines communautés autochtones et l'Église catholique. Elle déplore du même coup « l'apologie du bon vieux fond catholique » portée par le chroniqueur Mathieu Bock-Côté et le premier ministre du Québec François Legault, qui masque les impacts négatifs historiques de celle-ci sur les premiers peuples de la province.
Melissa Mollen Dupuis revient sur la décision historique du Vatican de révoquer la doctrine de la découverte, qui avait cautionné le colonialisme de plusieurs régions du monde au nom du christianisme.
Cette semaine à Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis parle des efforts de protection du territoire atikamekw contre les coupes effectuées par les entreprises forestières. Elle explique que l'une des méthodes utilisées pour tenter de faire respecter les ententes entre les acteurs autochtones, politiques et industriels est celle de la présence physique pour occuper leur territoire.
Cette semaine à Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis parle du nouvel ouvrage 500 ans de résistance autochtone, traduit de la version anglophone originalement publiée en 2010. Attendue depuis longtemps, cette bande-dessinée raconte l'histoire coloniale des Amériques, telle que vécue par les Autochtones qui y ont résisté depuis l'arrivée de Christophe Colomb en 1492.
Melissa Mollen Dupuis explique l'importance de la toponymie pour souligner l'apport de personnalités autochtones au Québec, mais aussi pour normaliser les mots d'origines autochtones dans la langue de tous les jours. Elle en profite d'ailleurs pour souligner l'initiative de Joliette qui a renommé deux rues au nom de femmes, dont l'Innue France Robertson.
Melissa Mollen Dupuis démontre comment les créateurs de la série des films Avatar, sous prétexte de dénoncer le colonialisme, effectuent une forme d'appropriation culturelle involontaire en empruntant entre autres de nombreux codes attribués aux Autochtones et en les apposant à une culture inventée, mais aussi en utilisant le concept du « sauveur blanc messianique ».
Melissa Mollen Dupuis revient sur la 15e Conférence des Parties (COP15) à la Convention sur la diversité biologique des Nations Unies qui s'est déroulée en décembre à Montréal. Elle explique comment le savoir et le leadership autochtones pour protéger le territoire ont réussi à prendre de plus en plus de place dans les discussions internationales.
Melissa Mollen Dupuis parle cette semaine des femmes autochtones qui auraient été assassinées par un tueur en série présumé à Winnipeg. Elle explique comment ce drame suit encore une fois la trame narrative qui suggère que les femmes autochtones restent bien souvent des citoyennes de seconde classe au Canada.
Melissa Mollen Dupuis explique cette semaine pourquoi la série « Laissez-nous raconter », réalisée par Kim O'Bomsawin et diffusée sur les différentes plateformes télé et web de Radio-Canada, se veut une oeuvre de représentation pour les Autochtones et non pas une série documentaire classique.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis parle des accrochages qui surviennent chaque année entre les chasseurs d'orignal autochtones et allochtones, qui ne s'entendent pas comment assurer une pérennité de l'animal.
Cette semaine à Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis revient sur l'histoire de Maxwell Johnson et sa petite-fille, qui avaient été menottés dans une banque de Vancouver, en 2019, et sur la façon dont le concept de justice réparatrice autochtone s'oppose en partie au système de justice canadien.
Melissa Mollen Dupuis explique en quoi le serment d'allégeance au roi, qui fait l'objet de débats au sein de l'Assemblée nationale du Québec, a aussi une importance pour les politiciens inscrits comme Autochtones en fonction de la Loi sur les Indiens.
Melissa Mollen Dupuis explique l'importance de l'élection de l'Innue Kateri Champagne Jourdain, première femme autochtone élue à l'Assemblée nationale du Québec, et première personne autochtone à y occuper un siège depuis Alexis Wawanoloath, en 2008.
Melissa Mollen Dupuis revient sur la campagne électorale en cours au Québec, incluant la place des Autochtones dans celle-ci et les signes qui démontrent que la réconciliation est encore loin d'être réglée.
Cette semaine à Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis discute des élections provinciales au Québec et souligne le nombre de candidats d'origines autochtones et de l'acte de voter pour obtenir une meilleure représentation à l'Assemblée nationale.
À Parole autochtone, Melissa Mollen Dupuis revient sur les événements marquants de l'été sur la scène autochtone.
Cette semaine à Parole autochtone, nous vous présentons une chronique inédite dans laquelle Melissa Mollen Dupuis répond à la question d'une internaute qui veut savoir si les cérémonies de reconnaissance de territoire sont appréciées par les Autochtones.
Melissa Mollen Dupuis revient sur la visite papale de la dernière semaine du mois de juillet et met l'accent sur l'importance des excuses offertes, sur ce qui n'a pas été évoqué – dont la doctrine de la découverte – et ce que cette visite représentera pour de nombreux Autochtones, mais aussi pour la population canadienne en général.
Melissa Mollen Dupuis explique l'impact que la visite du pape au Canada pourrait avoir pour de nombreux Autochtones à travers le pays, ainsi que les questions et possibles réponses qui en découleront.
Pour souligner la Journée nationale des peuples autochtones qui a lieu chaque année le 21 juin, Melissa Mollen Dupuis revient sur l'importance d'en profiter pour faire le bilan des rapprochements entre les Autochtones et les non-Autochtones, mais aussi pour célébrer la culture des premiers peuples.
Cette semaine, Melissa Mollen Dupuis parle de l'initiative En juin : Je lis autochtone, qui vise à faire découvrir la littérature créée par les auteurs et autrices d'origines autochtones.
L'animatrice Melissa Mollen Dupuis et la chroniqueuse Catherine Ethier commentent l'actualité culturelle à coups d'émojis; l'animatrice Eugénie Lépine-Blondeau et le réalisateur Rafaël Ouellet analysent le retour du thriller érotique; et la chroniqueuse au magazine Négritude Melissa Bertulien et la journaliste Estelle Ndjandjo discutent de l'évolution du vocabulaire et des mentalités, deux ans après le meurtre de George Floyd.
Cette semaine, Melissa Mollen Dupuis parle de la protection de la langue française et la reconnaissance des langues autochtones, qui sont souvent mises en contradiction.
Melissa Mollen Dupuis parle des enseignements que les mères autochtones peuvent apporter dans le discours social actuel et l'importance d'établir des liens entre les différentes communautés.
Melissa Mollen Dupuis revient sur l'importance de l'Instance permanente des Nations unies sur les questions autochtones et des rencontres annuelles qui se déroulent à New York depuis deux décennies.
Melissa Mollen Dupuis parle du tourisme et donne quelques conseils pour ceux qui voudraient visiter des communautés autochtones pendant les vacances estivales.
Melissa Mollen Dupuis revient sur les consultations auprès des Autochtones qui doivent être faites dans le cadre de l'évaluation des projets énergétiques au Canada et sur l'importance d'avoir des interlocuteurs qui parlent pour les membres des communautés touchées.
Melissa Mollen Dupuis revient sur la rencontre entre les Autochtones et le pape François qui a eu lieu la semaine dernière au Vatican. Une délégation de membres des Premières Nations, de Métis et d'Inuit s'est rendue au Saint-Siège pour obtenir des excuses de la part de l'Église pour les mauvais traitements infligés dans les pensionnats pendant plus d'un siècle au Canada.
À l'aube de la Journée nationale des langues autochtones, Melissa Mollen Dupuis rappelle que les langues autochtones ne sont pas encore reconnues officiellement au pays. Elle explique que cette discussion devra éventuellement avoir lieu au niveau politique et gouvernemental.
Le rendez-vous qui porte un regard différent sur l'actualité revient dans une version encore plus percutante et audacieuse. Présentée sous forme de grand plateau en direct, l'émission accueille l'impétueuse et authentique collaboratrice Rosalie Bonenfant.
For thousands of years, Indigenous cultures have understood that we and Earth are one. What happens to the planet happens to us, and there are natural limits to what we can take from it. COVID-19 has confronted us with those limits. Sixty per cent of all diseases that afflict humankind have leapt from other animals. The pandemic reminds us that it is a delusion to think we are separate from the natural world. In Season 1 of The David Suzuki Podcast, “COVID-19 and the Basic Elements of Life,” David and guests explore how the pandemic can help us refocus on what's most important, and what a green and just recovery from COVID-19 could look like. They return to the fundamentals to help us seize this unique opportunity to rediscover our place on this beautiful living planet. The season's fourth episode explores the theme “Earth” and features conversations with renowned activist, author and farmer Winona LaDuke, financial journalist Attracta Mooney and the David Suzuki Foundation's Melissa Mollen Dupuis. You can help make sure we seize this unprecedented opportunity to build back a better world by urging Ottawa to advance a green and just recovery from COVID-19. Visit davidsuzuki.org/green-and-just-recovery/ Produced by the David Suzuki Foundation, in partnership with Jason Arkley Productions.