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Il y a cinquante ans, entre 1975 et 1979, le Cambodge sombrait dans l'un des épisodes les plus tragiques du XXe siècle : le génocide perpétré par les combattants communistes cambodgiens, les Khmers rouges, sous la direction de Pol Pot, soutenus par leurs alliés vietnamiens, et pas seulement eux. En moins de quatre ans que dura cette révolution maoïste devenue totalitaire, génocidaire et ultranationaliste, près de deux millions de personnes – un quart de la population – ont péri, victimes d'exécutions, de famine, de travaux forcés ou de purges idéologiques. Le 17 avril, c'est la date choisie par le président chinois Xi pour fouler le sol cambodgien dans le cadre de sa toute récente tournée en Asie du Sud-Est. Le 17 avril marquant le jour anniversaire de l'entrée des Khmers rouges dans Phnom Penh et le début de leur campagne agraire de terreur appuyée par le Parti communiste chinois.L'étape cambodgienne du président chinois a été l'occasion de la signature de 37 accords, couvrant des domaines tels que les infrastructures, la santé et la finance. La coopération militaire a par ailleurs été renforcée, notamment avec l'expansion des infrastructures de la base navale de Ream, suscitant des interrogations quant à une éventuelle utilisation militaire chinoise. Plus grand partenaire commercial du Cambodge, la Chine est le premier investisseur étranger dans le pays et détient plus du tiers de la dette extérieure cambodgienne, soit 11 milliards de dollars. Phnom Penh compte aussi parmi les soutiens les plus fiables de Pékin en Asie.Pays très dépendant de l'aide étrangère, le Cambodge a vécu comme un très rude choc la fermeture par Donald Trump des programmes de l'USAID sans compter l'impact des barrières douanières. Les États-Unis étant le plus grand marché pour les exportations cambodgiennes. Regard sur les défis de ce petit État de 17 millions d'habitants pris en tenaille entre ses deux grands voisins vietnamien et thaïlandais, surplombé par le géant chinois.Invités : Marie-Sybille de Vienne, professeure émérite à l'Inalco, membre de l'Académie des sciences d'Outre-Mer, directrice de la revue Péninsule. Anne-Yvonne Guillou, anthropologue, directrice de recherche au CNRS, en poste au Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative à l'Université Paris Nanterre. Auteure de Puissance des lieux, présence des morts. Sur les traces du génocide khmer rouge au Cambodge, éd. Société d'ethnologie. Co-rédactrice en chef de la revue Mousson. Raul-Marc Jennar, docteur en science politique et en études khmères de l'Inalco, conseiller diplomatique du ministre cambodgien des Affaires étrangères, auteur de La Politique étrangère du Cambodge, éditions Yu Feng.À lire aussiIl y a 50 ans, la chute de Phnom Penh et l'ascension des Khmers rouges
Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump enchaîne les coupes budgétaires, notamment dans le secteur des énergies propres. Résultat : des milliers d'emplois supprimés, des projets abandonnés et des milliards d'investissements menacés. Décryptage. En un peu plus de 100 jours au pouvoir, l'administration Trump a signé pas moins de 26 décrets visant principalement à démanteler les politiques de son prédécesseur Joe Biden. D'après l'ONG Climate Power, cela a déjà entraîné la suppression de 20 000 emplois dans les énergies propres. Ce sont autant de projets abandonnés et de milliards de dollars d'investissements remis en cause. Parmi les mesures emblématiques : la suspension des subventions pour les véhicules électriques ou encore l'annulation de crédits d'impôt pour les filières éolienne et solaire. Le Financial Times cite notamment l'exemple d'un projet de construction d'une usine de batteries en Arizona, abandonné en février dernier. Un investissement de 850 millions de dollars envolé et 3 000 emplois directs supprimés. Autre exemple : un fabricant de panneaux solaires dans le Michigan a gelé l'intégralité de ses recrutements. Résultat, ce sont 1 200 postes qui restent aujourd'hui vacants. À lire aussiPourquoi les géants pétroliers pourraient nuire aux ambitions de Donald TrumpUne stratégie fossile assumée par la présidence Ces deux cas illustrent une vraie tendance. Toujours selon Climate Power, près de 100 projets dans les énergies propres ont été annulés, retardés ou suspendus au premier trimestre 2025, soit entre janvier et mars seulement. Cela représente environ 7 milliards de dollars de pertes potentielles, selon le MIT (Massachusetts Institute of Technology). Cette orientation découle d'une ambition assumée de Donald Trump : redonner la priorité au pétrole, au gaz et au charbon.Dès le début de son mandat, il a déclaré l'« urgence énergétique nationale », un dispositif qui permet de lever les restrictions sur le forage et l'exploitation minière. Le président américain a aussi multiplié les décrets pour annuler les réglementations environnementales. Pourtant, le charbon, par exemple, ne représente plus que 20% de l'électricité produite aux États-Unis. Et les géants du secteur n'envisagent plus de construire de nouvelles centrales, jugées non rentables. Une inquiétude scientifique dans un contexte économique tendu En parallèle, l'administration Trump s'en prend aussi aux institutions scientifiques. Les mentions du changement climatique ont disparu des sites gouvernementaux, et la communauté scientifique américaine s'inquiète. Certains chercheurs n'excluent plus de quitter le pays pour poursuivre leurs travaux en Europe, où les conditions de recherche seraient plus favorables. Tout cela intervient dans un contexte économique fragile.L'économie américaine s'est contractée au premier trimestre, principalement à cause de l'impact des droits de douane. Et sur le plan énergétique, la nouvelle orientation présidentielle suscite des doutes. Si Joe Biden pariait sur la transition verte pour relancer croissance et production, Donald Trump affirme, lui, vouloir améliorer le pouvoir d'achat. Pourtant, plusieurs projections indiquent que les factures d'énergie pourraient augmenter de 100 dollars par an et par foyer d'ici à 2035 si son plan était mis en œuvre. À lire aussiInvestir dans le renouvelable ou pas, le dilemme des compagnies pétrolières
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
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Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Flora Ghebali et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Flora Ghebali et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:04 - Un chien de berger qui fait de la politique
De la Révolution des Œillets à la Révolution du Jasmin, en passant par la rose du Parti socialiste, de tous temps, les fleurs ont symbolisé et accompagné les mouvements politiques. La photo a fait le tour du monde. La Fille à la fleur, une photo de Marc Riboud lors d'une manifestation aux États-Unis contre la guerre du Vietnam, en 1967. Une lycéenne oppose aux baïonnettes des soldats une fleur de chrysanthème. C'est le Flower Power, le pouvoir des fleurs, le slogan du mouvement hippie des années 1960 et 1970.Au Portugal, en avril 1974, c'est la saison des œillets. Et une fleuriste en offre à des militaires, en chemin pour renverser la dictature, la fleur au fusil. C'est la Révolution des Œillets. Trente-six ans puis tard, c'est la Révolution du Jasmin, au pays du jasmin, la Tunisie. Ben Ali s'enfuit. Son parfum entêtant (le parfum du jasmin, pas celui de Ben Ali) gagne les pays de la région pour donner les printemps arabes – la plupart des fleurs fleurissent au printemps.Fleurs des champs de batailleL'emblème des Nations unies, ce n'est pas un, mais deux rameaux d'olivier, le symbole de la paix. Mais depuis 1945, l'olivier a perdu beaucoup de feuilles… Avant cela, au lendemain de la Première Guerre mondiale, le coquelicot et le bleuet, qui poussent sur des sols ingrats, sont les premiers à fleurir sur les champs de bataille, champs de ruine de l'humanité. Pour se souvenir de la barbarie, les Anglais choisissent les premiers le coquelicot, rouge sang, Les Français, le bleuet, bleu comme l'uniforme des soldats morts pour la France. Les rois de France, eux, avaient comme emblème une fleur de lys. C'était en réalité un iris, depuis que Clovis fut sauvé par une biche dans un champ d'iris.Roses et épinesEt puis il y a la rose, qui a donné son nom à une guerre, la Guerre des Deux Roses. Une guerre civile, en Angleterre, au XVe siècle, entre deux maisons royales, l'une représentée par une rose blanche et l'autre par une rose rouge. Un mariage met fin à la guerre. Et l'Angleterre se choisit comme emblème une rose rouge au cœur blanc.La rose au poing, c'est l'emblème du Parti socialiste, en France, choisi par François Mitterrand en 1971, dix ans avant son élection. « Moi, j'aime les fleurs, déclare le futur président, lors d'un débat télévisé en 1972. Je ne suis pas un très grand jardinier, et les roses, c'est calé ! C'est particulièrement difficile à entretenir ! Alors une rose, pour le Parti socialiste, c'est un symbole : c'est pas facile, on s'y écorche un peu les doigts... Mais c'est beau ! » Le symbole est beau.
Aux États-Unis, l'administration Trump poursuit sa politique d'expulsion à grande échelle. Des centaines de migrants accusés d'être membres de gangs ont ainsi été envoyés de manière expéditive dans une prison géante au Salvador. Partout dans le pays, les services de contrôle de l'immigration procèdent à des arrestations de migrants illégaux, d'autres voient leur statut de résident révoqué brutalement. À tel point qu'un climat de peur règne au sein de la communauté latino. Particulièrement au Texas où elle est très nombreuse. De notre correspondant à Houston,Devant l'université de Houston-Downtown, nous rencontrons Gladys, 21 ans dont 20 ans passés aux États-Unis. Mais elle n'a pas encore la nationalité puisqu'elle est née au Guatemala : « J'ai peur pour tous les sans-papiers. Ils vivent dans la peur. Les gens n'osent plus sortir dans la rue, quand on frappe à la porte, ils n'osent plus ouvrir de peur que ce soit la police de l'immigration. J'ai vu des gens emmener leur passeport ou la monnaie de leur pays d'origine sur eux au cas où ils se feraient expulser. » Et ces personnes planifient leur vie quotidienne comme si elles pouvaient être expulsées à tout moment. « Oui, à tout moment », confirme Gladys.Dans ce climat, on est surpris de la décontraction de Martin. « Je ne parle pas espagnol, lui pas très bien anglais, mais avec l'aide des mains, on arrive à se comprendre. » Cela fait 32 ans qu'il vend ses fruits et ses légumes sur ce marché de Houston, mais il n'a ni la nationalité américaine, ni de permis de résidence : « Non, pas de carte verte. Je suis Mexicain. Il n'y a pas de problème ! Ça fait 32 ans que je suis ici, et je n'ai jamais eu de problème avec les services de l'immigration. »À lire aussiLes États-Unis mettent fin au statut légal de plus de 500 000 étrangers et leur ordonnent de quitter le paysPeur d'être arrêté à tout momentSur le parking du marché, Maria remplit son coffre. Elle a trois enfants, trois garçons. Eux ont la nationalité américaine. Pas elle. Alors le simple fait de sortir faire des courses est une source d'angoisse : « J'ai très peur. On ne sait jamais ce qui peut se passer en cas de contrôle routier. C'est très effrayant. Imaginer que je puisse être détenue alors que mes enfants sont à l'école, c'est… ». Elle s'arrête un instant puis reprend : « Le beau-père de mon frère a été arrêté la semaine dernière avec d'autres membres de sa famille. Et on ne sait rien, on ne peut même pas leur rendre visite. Ils sont seuls et personne ne sait ce qui va leur arriver. »Les papiers de Gladys sont en règle alors, elle joue parfois les éclaireurs : « J'ai une amie mexicaine qui m'a appelée un jour pour me demander d'aller voir si ICE [les services de contrôle de l'immigration, NDLR] était près d'un magasin. Je suis allée voir et c'était vrai : il y avait quatre voitures des services de l'immigration ! Les gens couraient de peur d'être arrêtés et expulsés. J'ai prévenu mon amie, et comme son appartement se trouve juste derrière ce magasin, elle n'a pas osé sortir de la journée. Elle n'est même pas allée travailler ce jour-là. »À lire aussiÉtats-Unis: l'administration Trump prive des milliers d'immigrés de la sécurité sociale en les déclarant morts
Le président exagère les propos de Justin Trudeau, affirme que le Canada est subventionné et provoque une sortie de Mark Carney, qui suspend sa campagne pour réagir. Le Bloc québécois dénonce une manœuvre qui jouerait en faveur de Carney. La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aux États-Unis, l'administration Trump poursuit sa politique d'expulsion à grande échelle. Des centaines de migrants accusés d'être membres de gangs ont ainsi été envoyés de manière expéditive dans une prison géante au Salvador. Partout dans le pays, les services de contrôle de l'immigration procèdent à des arrestations de migrants illégaux, d'autres voient leur statut de résident révoqué brutalement. À tel point qu'un climat de peur règne au sein de la communauté latino. Particulièrement au Texas où elle est très nombreuse. De notre correspondant à Houston,Devant l'université de Houston-Downtown, nous rencontrons Gladys, 21 ans dont 20 ans passés aux États-Unis. Mais elle n'a pas encore la nationalité puisqu'elle est née au Guatemala : « J'ai peur pour tous les sans-papiers. Ils vivent dans la peur. Les gens n'osent plus sortir dans la rue, quand on frappe à la porte, ils n'osent plus ouvrir de peur que ce soit la police de l'immigration. J'ai vu des gens emmener leur passeport ou la monnaie de leur pays d'origine sur eux au cas où ils se feraient expulser. » Et ces personnes planifient leur vie quotidienne comme s'ils pouvaient être expulsés à tout moment. « Oui, à tout moment », ajoute Gladys.Dans ce climat, on est surpris de la décontraction de Martin. « Je ne parle pas espagnol, lui pas très bien anglais, mais avec l'aide des mains, on arrive à se comprendre. » Cela fait 32 ans qu'il vend ses fruits et ses légumes sur ce marché de Houston, mais il n'a ni la nationalité américaine ni permis de résidence :« Non, pas de carte verte. Je suis mexicain. Il n'y a pas de problème ! Ça fait 32 ans que je suis ici, et je n'ai jamais eu de problème avec les services de l'immigration. »À lire aussiLes États-Unis mettent fin au statut légal de plus de 500 000 étrangers et leur ordonnent de quitter le paysPeur d'être arrêté à tout momentSur le parking du marché, Maria remplit son coffre. Elle a trois enfants, trois garçons. Eux ont la nationalité américaine. Pas elle. Alors le simple fait de sortir faire des courses est une source d'angoisse : « J'ai très peur. On ne sait jamais ce qui peut se passer en cas de contrôle routier. C'est très effrayant. Imaginer que je puisse être détenue alors que mes enfants sont à l'école, c'est… ». Elle s'arrête un instant puis reprend : « Le beau-père de mon frère a été arrêté la semaine dernière avec d'autres membres de sa famille. Et on ne sait rien, on ne peut même pas leur rendre visite. Ils sont seuls et personne ne sait ce qui va leur arriver. »Les papiers de Gladys sont en règle alors, elle joue parfois les éclaireurs : « J'ai une amie mexicaine qui m'a appelée un jour pour me demander d'aller voir si ICE [les services de contrôle de l'immigration, NDLR] était près d'un magasin. Je suis allée voir et c'était vrai : il y avait quatre voitures des services de l'immigration ! Les gens couraient de peur d'être arrêtés et expulsés. J'ai prévenu mon amie, et comme son appartement se trouve juste derrière ce magasin, elle n'a pas osé sortir de la journée. Elle n'est même pas allée travailler ce jour-là. »À lire aussiÉtats-Unis: l'administration Trump prive des milliers d'immigrés de la sécurité sociale en les déclarant morts
durée : 00:07:10 - Info médias - Créé par le dessinateur Marcel Gotlib en 1975, le journal de BD compte 18 000 abonnés et vend 20 000 exemplaires en kiosques à chaque numéro. Son credo : une bonne dose d'humour et une pincée d'absurdité.
durée : 00:04:01 - Un chien de berger qui fait de la politique
5 minutes pour comprendre le paradoxe de la dernière photo officielle du pape François avec JD VANCE : les Catholiques conservateurs américains (1/3 de l'administration Trump), sur une ligne politique peu papale avec Serge Jaumain. Quelle est l'influence du religieux dans la politique américaine? Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Fatima Aït-Bounoua et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La réunion du Réseau de prévention des crises alimentaires d'Afrique de l'Ouest et du Sahel s'est tenue les 15 et 16 avril à l'OCDE, à Paris. Plus de 30 millions de personnes font face à l'insécurité alimentaire dans la région, les prévisions tablent sur une augmentation même de ce nombre. La situation a été décortiquée et l'une des premières conclusions de la dernière campagne agropastorale, c'est que les récoltes sont en baisse. Malgré une bonne campagne de saison des pluies – ce qui est rare au Sahel, souligne le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel, le CILLS – les récoltes n'ont pas été au rendez-vous. En moyenne, selon les statistiques, la production céréalière a baissé de 5 % par habitant et l'insécurité alimentaire progresse. Différents facteurs expliquent cela, met en avant Abdoulaye Mohamadou, le secrétaire exécutif du CILSS. « Nous avons des facteurs aggravants comme l'insécurité civile qui fait que beaucoup de populations sont déplacées, donc ont perdu leur capital productif, souligne-t-il. Nous avons également la situation des marchés. Une forte inflation qui fait qu'il y a une tendance haussière depuis quelques années. Les prix ne redescendent pas. Traditionnellement, on est dans la période de récoltes, les prix baissent, mais là, on a une tendance sur la région extrêmement inquiétante. Il y a aussi la dépréciation des monnaies dans certaines régions. »Pour lui, il y a aussi une dimension politique évidente. Les accords de Malabo prévoyaient un engagement financier de 10 % des ressources des États dans l'agriculture, ce qui « n'a jamais été vraiment atteint », regrette le secrétaire exécutif du CILSS. « Aujourd'hui, avec le terrorisme et l'insécurité, les arbitrages budgétaires se font malheureusement en défaveur du secteur agricole au profit de tout ce qui défense et sécurité », constate-t-il encore.Nana Touré, la directrice du club du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest au sein de l'OCDE, abonde dans ce sens : « Cette crise est récurrente, on ne peut plus la considérer comme conjoncturelle ou une question d'urgence. La question de planification est au cœur des décisions. Qui dit planification dit priorités. Dit aussi volonté politique de, non seulement reconnaître l'existence de cette récurrence, mais aussi la nécessité d'investir les budgets et les mécanismes nécessaires qu'il faut pour répondre à cette récurrence-là. » Cette dynamique doit se faire régionalement, selon Nana Touré. La création de l'AES et de la sortie de trois pays de la Cédéao n'ont pas freiné cette dynamique, assure-t-elle. « Je crois que l'espace communautaire existe encore, il y a des corridors qui existent encore entre les communautés et des corridors de commerces au niveau des différents espaces, affirme nana Touré. Je ne pense pas que la dimension politique interfère à ce niveau-là et que les systèmes sont en place et sont encore fonctionnels. » Les coupes drastiques de l'USAID (l'Agence américaine pour le développement international) et les baisses générales de l'aide publique au développement auront sans doute un impact lors de la prochaine campagne. Les évaluations sont en cours. À lire aussiSahel: le changement climatique est un facteur de vulnérabilité pour les jeunes femmes
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur le débat des chefs en français à Radio-Canada qui a été devancé à 18 h en raison de la tenue du match des Canadiens de Montréal, qui pourrait leur permettre d'accéder aux séries éliminatoires. Le Bloc Québécois et le Nouveau Parti démocratique ont réclamé mardi ce changement d'horaire. «Aujourd'hui, le Centre Bell attire plus de monde, pas mal plus d'attention, que la Maison de Radio-Canada, affirme l'animateur.» Autres sujets abordés À quoi peut-on s'attendre au débat des chefs de mercredi soir? Donald Trump veut un accord avec la Chine, mais les Chinois ne sont pas pressés; Les vieux hôpitaux sont là pour rester au Québec; Taux d’intérêt: ça descend, ou ça reste stable, la Banque du Canada décide mercredi. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:04:07 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Il y a cinq ans, exactement, en pleine pandémie, à Marseille, Emmanuel Macron rendait visite au professeur Raoult. Derrière la querelle scientifique, un emballement politique.
La présidentielle 2027 est sur toutes les lèvres et dans tous les esprits… Qui pour diriger cette France après 2 quinquennats d'Emmanuel Macron ? A Gauche comme à Droite, le flou persiste, les prétendants se bousculent pour récupérer un pays à bout de souffle aussi bien économiquement que sur le plan social… Le Pen De Villepin, Mélenchon, Attal, on est plus proche de 2027 qu'il n'y paraît ! C'est cette revue des troupes, mais aussi un regard critique de la politique nationale et internationale d'Emmanuel Macron que je vous propose ce soir avec un invité exceptionnel, l'avocat et essayiste Jean Pierre Mignard, connu pour ses interventions dans des dossiers très médiatiques comme celui des écoutes de l'Elysée, sous le premier septennat de François Mitterrand, avocat aussi de Médiapart dans l'affaire Cahuzac ou encore des parties civiles au procès Clearstream. On évoquera aussi son rapport au monde politique qu'il a côtoyé de près. Et également pour nous accompagner dans cette émission, on a également Beligh Nabli, professeur des universités en droit public et co-fondateur de Chronik, un collectif engagé dans le débat public. Également auteur de multiples ouvrages dont “l'État, droit et politique” aux éditions Armand Colin et “Relations Internationales” aux éditions Pedone.▶ Soutenez Le Média :
Le Journal en français facile du mercredi 8 avril, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BZQ7.A
durée : 00:03:42 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Gabriel Attal a perdu Daniel Morin en parlant d'écologie au meeting de dimanche.
durée : 00:03:42 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Gabriel Attal a perdu Daniel Morin en parlant d'écologie au meeting de dimanche.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Europe 1 reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Europe 1 reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:43:46 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Le rapporteur de la commission d'enquête sur les violences sexuelles dans le cinéma à l'Assemblée nationale vient présenter à "Sens politique" les 87 propositions de son rapport en avant-première. Il revient sur son parcours, son engagement et l'actualité politique. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Erwan Balanant Député Modem du Finistère
durée : 00:43:46 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Le rapporteur de la commission d'enquête sur les violences sexuelles dans le cinéma à l'Assemblée nationale vient présenter à "Sens politique" les 87 propositions de son rapport en avant-première. Il revient sur son parcours, son engagement et l'actualité politique. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Erwan Balanant Député Modem du Finistère
25 heures à parler sans s'arrêter… on dirait ma belle mère au dernier repas de famille
(00:00:36) Marine Le Pen inéligible: le droit face au populisme dans la presse internationale (00:04:26) Marine Le Pen inéligible: ça parlait hier soir dans le RER - reportage Radio France (00:06:26) Marine Le Pen inéligible: la solidarité des extrêmes-droites internationales face aux juges - interview de Benjamin Biard (00 :15 :08) Malaise en Inde à l'accueil des expulsés par les Etats-Unis
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la condamnation de Marine Le Pen, cheffe de file du RN, ce jour à cinq ans d'inéligibilité dans le procès des assistants parlementaires européens et qui l'empêcheront de se présenter à la présidentielle de 2027.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus de 32 000 migrants ont été arrêtés lors des 50 premiers jours du mandat de Donald Trump. En revanche, malgré les annonces du président américain, les expulsions sont pour l'instant stables par rapport au mandat de Joe Biden. En effet, il faut du temps pour organiser les vols retour et certains pays refusent de recevoir des migrants expulsés. Nombre d'entre eux attendent donc dans des centres de rétention aux États-Unis. Ce qui fait les affaires de grands groupes privés gérant ces centres. C'est une particularité des États-Unis : la majorité des lits des centres de rétention ne sont pas gérés par l'État mais par des entreprises à but lucratif, qui gèrent aussi certaines prisons. Les deux géants du secteur s'appellent GEOgroup et CoreCivic. L'essentiel de leur activité se fait aux États-Unis (mais GEOgroup a aussi des contrats en Australie ou encore en Afrique du Sud). Leur chiffre d'affaire annuel se compte en milliards de dollars. Ils sont côtés en bourse et le prix de leurs actions a grimpé en flèche au lendemain de l'élection de Donald Trump. Leur cours est resté très élevé depuis, car ils s'attendent à recevoir encore plus de migrants arrêtés.Doubler le nombre de litsLes centres sont actuellement plein à près de 90%. Et le « Monsieur frontières » de Donald Trump, Tom Homan, a annoncé qu'il veut plus que doubler le nombre de lits pour répondre aux besoins du plan d'expulsion à grande échelle de la Maison Blanche. Une série de contrat a été conclue récemment. GEOgroup est en train de rouvrir un centre de rétention dans le New Jersey, qui devrait lui rapporter 60 millions de dollars par an, sur 15 ans. CoreCivic, de son côté, a annoncé il y a deux semaines en rouvrir un au Texas, avec 2400 places. Cette période est « parmi les plus palpitantes de ma carrière », estimait en février son PDG, cité par le New York Times. Il s'attend pour les prochaines années à une forte croissance pour l'entreprise.Soutien à la campagne de Donald TrumpCes groupes ont contribué à la campagne de Donald Trump à hauteur d'au moins un million de dollars, d'après ABC News. Un montant loin de pouvoir changer le cours des élections aux États-Unis. Néanmoins, il est à noter que les compagnies du secteur ont récemment changé de stratégie. Habituellement, elles donnaient presque autant aux candidats démocrates. Cette fois-ci quasiment tous leurs dons sont allés au camp du futur président.Retournement de situationLes perspectives n'ont pas toujours été aussi bonnes pour les compagnies du secteur. Il y a quatre ans encore, de grandes banques s'étaient engagées à cesser de les financer, après une forte mobilisation contre ces entreprises, accusées de profiter du malheur des migrants. Des inspections ont également révélé l'insalubrité de plusieurs centres et prisons, ou encore un manque d'accès aux soins. Des plaintes ont par ailleurs été déposées pour travail forcé car des détenus doivent parfois travailler pour seulement un dollar de l'heure. Le vent aura donc fini par tourner. Il y a deux ans, Bank of America et la banque Wells Fargo ont assoupli leur conditions d'emprunt. Enfin, Joe Biden, malgré ses promesses de campagne, a finalement maintenu lors de son mandat la plupart des contrats entre l'État et ces groupes privés.
- L'INVITÉ
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Stéphanie de Muru reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.. Quel avenir politique pour Marine Le Pen ? Le Conseil constitutionnel juge le principe d'exécution provisoire conforme à la Constitution, les Sages laissent aux juges le soin d'apprécier la sanction d'une peine d'inéligibilité avec exécution immédiate. Verdict lundi.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le vent tourne à gauche où la liberté d'expression n'est plus une priorité, les avancées dans l'enquête sur la mort du petit Émile, le procès de Gérard Depardieu et la greffe d'un foie de cochon. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis son investiture, Donald Trump déstabilise profondément la vie politique américaine… mais pas seulement. En France aussi, les responsables politiques sont déboussolés par ce président qui remet en cause l'Etat de droit aux Etats-Unis, valeur cardinale de nos sociétés occidentales. Comment se positionner face à ce chef d'Etat si disruptif ? De nombreux partis hésitent encore, notamment à droite et à l'extrême droite. Car si Donald Trump reprend des éléments de discours familiers à ces courants politiques, certaines formations, comme le Rassemblement national, marchent sur des œufs, tant Trump suscite l'inquiétude chez les Français.Pourtant, au-delà de la position à adopter à l'égard du nouveau pouvoir américain, les éléments de discours qui ont propulsé Trump à la Maison Blanche infusent peu à peu dans la vie politique et le débat public français.Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Mariama Darame, journaliste au service politique du Monde, explique comment les thèmes de prédilection du président américain se retrouvent sur les plateaux télévisés français.Un épisode de Jean-Guillaume Santi et Marion Bothorel, réalisé par Florentin Baume. Musique originale : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extraits d'une interview de Sarah Knafo sur CNews le 20 janvier 2025 ; des vœux à la presse de Jordan Bardella, le 27 janvier 2025 ; de l'émission « L'Heure des pros » diffusée le 17 février 2025 sur CNews et de l'émission « On marche sur la tête » sur Europe 1 le 9 décembre 2024.Cet épisode a été publié le 27 mars 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Le secteur spatial wallon est stratégique, particulièrement pour la défense et la cybersécurité. Vanessa Matz, ministre de la Politique scientifique, insiste sur la nécessité de maintenir les investissements dans l'Agence spatiale européenne pour soutenir la recherche, l'innovation et l'autonomie stratégique européenne. Elle souligne l'importance des partenariats entre la défense et le spatial, notamment pour des projets comme le centre de cybersécurité en construction à Redu. Malgré les restrictions budgétaires, elle plaide pour préserver ces financements essentiels. Vanessa Matz rappelle également la nécessité d'une gestion publique efficace et appelle à explorer des financements privés. Elle s'oppose à la vente précipitée d'actifs publics stratégiques tels que Proximus ou bpost, qui pourraient affaiblir l'État. Par ailleurs, elle préconise une approche globale pour évaluer les biens publics à conserver ou céder. Dans un contexte de modernisation de la fonction publique, elle soutient la contractualisation progressive tout en valorisant les compétences des fonctionnaires et en améliorant l'attractivité des métiers publics, notamment via des salaires compétitifs. Vanessa Matz est en charge de la politique scientifique. Les chercheurs aux Etats-Unis font face à des attaques de l'administration Trump. Concernant la fuite des cerveaux, elle appelle à une stratégie coordonnée, belge et européenne, pour attirer les chercheurs internationaux. Enfin, elle réaffirme son opposition catégorique à la suppression du statut d'artiste, qu'elle considère comme une ligne rouge pour son parti, tout en insistant sur le respect des accords gouvernementaux Vanessa Matz est ministre de l'Action et de la modernisation publiques Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:34 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - L'émission "Touche pas à mon poste" s'arrête définitivement. En quinze ans, "TPMP", populaire et critiqué, est devenu très politique. Son animateur aussi, jusqu'à envisager une candidature à l'Élysée.
Le Président américain gouverne par l'intimidation, faisant régner la terreur au sein de l'administration du pays. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Agnès Verdier-Molinié analyse en détail la problématique de la surpopulation carcérale en France. Elle explique que malgré les annonces de construction de nouvelles places de prison, le manque de financement et de volonté politique a empêché la réalisation de ces projets. Avec plus de 127% de taux d'occupation des prisons, la situation est préoccupante et nécessite une réforme en profondeur du système pénitentiaire français. Agnès Verdier-Molinié propose des pistes de solutions, comme une meilleure programmation des investissements et une loi de programmation dédiée au secteur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Région flamande visée par un rapport très sévère du Conseil de l'Europe pour sa politique en matière de logement. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Près d'un Suédois sur trois boycotte les produits américains, en signe de protestation contre l'administration Trump, selon un sondage de l'Institut d'opinion Verian. Outrés par la politique du président américain et sa position sur l'Ukraine, de nombreux Scandinaves ont fait une croix sur tout ce qui provient des États-Unis. C'est le cas notamment de ce couple de Suédois qui vit à Stockholm. Un reportage de notre correspondante à Stockholm est à retrouver dans sont intégralité dans Accents d'Europe.À lire aussiFace à Trump, certains pays nordiques lancent un mouvement de boycott des produits américains
D'après un rapport de l'OCDE, la croissance mondiale va être pénalisée par la guerre commerciale menée par Donald Trump. Mais la hausse des prix des biens prisés par les Américains pourrait vite montrer les limites de sa politique, estime Martial You. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 18 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
D'après un rapport de l'OCDE, la croissance mondiale va être pénalisée par la guerre commerciale menée par Donald Trump. Mais la hausse des prix des biens prisés par les Américains pourrait vite montrer les limites de sa politique, estime Martial You. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 18 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, la guerre commerciale lancée par Donald Trump depuis son investiture connaît un nouvel épisode.Le 12 mars, les Etats-Unis instaurent une taxe à hauteur de 25 % sur les importations d'acier et d'aluminium en provenance de tous les pays, y compris de l'Union européenne (UE). Bruxelles n'entend pas se laisser faire et annonce alors des mesures de représailles avec des droits de douane visant des produits typiquement américains comme le whisky et les motos. Nouvelle escalade américaine : Donald Trump menace alors de taxer à 200 % tous les vins, champagnes et produits alcoolisés venant de France et d'autres pays de l'UE.Et cette séquence vient s'ajouter à toutes les annonces, suspensions et rétablissements de droits de douane décidés par la Maison Blanche envers d'autres pays comme la Chine, le Mexique ou encore le Canada.Clamant son slogan « America First », Trump impose ainsi des tarifs douaniers aux puissances étrangères qu'il utilise comme arme de négociation avant parfois de les suspendre ou de les retirer, sans aucune lisibilité pour les acteurs économiques.Cette stratégie peut-elle se retourner contre lui ? Quelles conséquences pour les consommateurs américains ? Comment ces tarifs douaniers vont-ils toucher l'Europe ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Julien Bouissou explique l'impact que pourraient avoir ces nouveaux tarifs douaniers.Un épisode de Jean-Guillaume Santi, réalisé par Thomas Zeng. Musique originale : Amandine Robillard.Cet épisode a été publié le 18 mars 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:24:45 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En novembre 1975, Raymond Aron était invité par Jacques Paugam dans son émission "Parti Pris". Il expliquait pourquoi il se considérait plus comme "un voyeur" de la vie politique que comme un acteur de la politique. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Raymond Aron Philosophe et sociologue (1905-1983)
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Des mots interdits, des cours à la poubelle et des budgets tronçonnés : un mois tout juste après le retour de Donald Trump c'est la panique sur les campus américains. Place à la résistance avec le mouvement Stand Up for Science, les détails dans cette édition.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Des mots interdits, des cours à la poubelle et des budgets tronçonnés : un mois tout juste après le retour de Donald Trump c'est la panique sur les campus américains. Place à la résistance avec le mouvement Stand Up for Science, les détails dans cette édition.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Des mots interdits, des cours à la poubelle et des budgets tronçonnés : un mois tout juste après le retour de Donald Trump c'est la panique sur les campus américains. Place à la résistance avec le mouvement Stand Up for Science, les détails dans cette édition.
durée : 00:03:39 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Ces dernières semaines, il a parfois volé la vedette à Donald Trump : le vice-président JD Vance est un homme-clé de l'administration républicaine. Et joue les premiers rôles diplomatiques.