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La justice administrative donne donc son feu vert à la reprise du chantier de l'A69, cette autoroute si contestée entre Toulouse et Castres. Stoppé depuis trois mois, il va pouvoir reprendre mi-juin, décision de la Cour d'appel de Toulouse, saluée par Philippe Tabarot, le ministre des Transports. Ecoutez la réaction de Thomas Brail, militant écologiste, fondateur du Groupe national de surveillance des arbres, fervent opposant au projet. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 28 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 26 mai 2025 avec Éric Coquerel, député LFI et président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale. Ce lundi, la Cour des comptes a averti dans un nouveau rapport d'un risque de "crise de liquidité" de la Sécurité sociale en 2027, en raison du dérapage "hors de contrôle" de ses dépenses. Dans son rapport, la Cour rappelle que le déficit de la Sécurité sociale s'est creusé à 15,3 milliards d'euros en 2024 (soit 4,8 milliards d'euros de plus que la prévision initiale) et que la prévision pour 2025 prévoit un nouveau creusement à 22,1 milliards d'euros. Elle présente des pistes pour mieux maitriser les dépenses. Elle réclame de serrer la vis dans l'intérim des professions paramédicales dans les hôpitaux, dont le coût a été "multiplié par trois" entre 2019 et 2023, à 472 millions d'euros. Elle propose également de ne pas jeter à la poubelle le stock stratégique de deux milliards de masques chirurgicaux constitué après le Covid. "Le régime des pensions d'invalidité pourrait être géré avec plus de finesse", note aussi la Cour. Un rapport qui arrive alors que les chauffeurs de taxis sont actuellement mobilisés, car la Sécurité sociale souhaite réduire les remboursements de frais de taxis pour transporter les malades.Ce matin sur RTL, Pierre Moscovici, premier président de la Cour des Comptes a affirmé : "Nous avons perdu le contrôle sur nos finances publiques", parlant d'un déficit "abyssal". Éric Coquerel, député LFI et président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, réagira à cette alerte de la Cour des Comptes.
C dans l'air du 27 mai 2025 : Dette : "tous les Français" vont payer.Le Premier ministre a annoncé, ce mardi matin, un vaste plan de redressement des finances publiques qui portera sur trois ou quatre ans. Détaillé par le gouvernement au mois de juillet ce plan pluriannuel "de retour à l'équilibre des finances publiques va demander un effort à tous les Français. Le plus juste possible, mais un effort suffisant pour que la France sorte de cette situation qu'on a laissé grandir" a déclaré François Bayrou. Confronté d'ores et déjà à la colère des taxis, le chef du gouvernement a confirmé que la réforme de la rémunération du transport des malades s'appliquera bien début octobre et générera même "davantage d'économies que prévu" grâce à la concertation qui va s'ouvrir. Le Premier ministre a également indiqué qu'il souhaitait que les partenaires sociaux s'emparent de la question de la TVA sociale, abrogée par François Hollande en 2012. Ce dispositif consiste à compenser les réductions de cotisations qui repose sur le travail par une augmentation de la TVA pour compenser les pertes de recettes de la Sécurité sociale."Je souhaite que tous ceux qui ont la responsabilité du monde du travail, du monde de l'entreprise et du monde des salariés, acceptent de poser ensemble cette question", a affirmé le chef du Modem. François Bayrou ajoutant que "le travail en France n'est pas récompensé comme il devrait l'être" et se disant "prêt à revoir la totalité de la question du financement du modèle social français". Emmanuel Macron avait exprimé le 13 mai dernier son souhait d'"aller chercher de l'argent en dehors du seul travail", notamment par le biais de la "consommation", pour financer notre modèle social alors que les défaillances d'entreprises continuent d'augmenter en 2025 et les comptes publics sont dans le rouge.Hier, à quelques heures de présenter un rapport sur la Sécurité sociale, le premier président de la Cour des Comptes Pierre Moscovici a appelé la France à "reprendre le contrôle" de ses finances, dénonçant des dérapages et des années noires en 2023 et 2024. Face à une trajectoire des comptes de la Sécurité sociale "hors de contrôle", les sages de la rue Cambon explorent dans leur dernier rapport plusieurs préconisations. Parmi celles-ci, se trouvent des mesures de rééquilibrage des charges patronales, le cumul emploi-retraite ou encore la lutte contre la fraude à l'étranger.Alors quelle est la situation des finances publiques ? Comment redresser les comptes ? Qu'est-ce que la TVA sociale ? La fiscalité sur le travail est-elle trop lourde ? Le capital doit-il être plus taxé ? Quelles sont les pistes d'économie ? Qui va payer ?LES EXPERTS :- FRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business et auteur de Le Vacataire- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs
C dans l'air du 27 mai 2025 : Dette : "tous les Français" vont payerLES EXPERTS :- FRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business et auteur de Le Vacataire- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs
Ce mardi 27 mai, la question des efforts exigés par François Bayrou pour compenser les comptes publics, et l'alerte de la Cour des comptes vis-à-vis des finances de la sécurité sociale, ont été abordées par Laurent Vronski, DG d'Ervor, Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE, et Marc Vignaud, journaliste à L'Opinion, dans l'émission Les Experts, présentée par Laure Closier sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
C dans l'air du 24 mai 2025 : Taxis, agriculteurs... le retour des colères sociales ?Il « ne fera pas machine arrière ». Face à la grève des taxis, le gouvernement n'entend pas revenir sur le projet de nouvelle tarification de l'Assurance-maladie sur les transports de malades. Son objectif : freiner la progression des dépenses liées au transport sanitaire. Celles-ci ont atteint 6,74 milliards d'euros en 2024, soit une hausse de 45% depuis 2019. Le chiffre d'affaires des chauffeurs de taxis risquerait selon eux de baisser de 40%.Mais après le blocage hier des prises en charge dans deux gares parisiennes, une réunion aura lieu cet après-midi au ministère des Transports, en présence de François Bayrou. Si aucun accord n'est trouvé aujourd'hui, l'intersyndicale menace de perturber Roland Garros. Le sujet de la concurrence des VTC alimente aussi leur colère.Les agriculteurs se mobilisent également. Ceux-ci veulent mettre la pression sur les députés, à la veille de l'examen de la proposition de loi Duplomb visant à lever certaines de leurs contraintes (le stockage de l'eau ou l'accès à des pesticides). Plusieurs permanences d'élus de gauche opposés à ce texte ont été dégradées, tandis que l'autoroute A16, près de Beauvais, a été bloquée hier.Enfin, dans les petites communes, les maires sont de plus en plus nombreux à démissionner. Ceux-ci se sentent pris à la gorge par des contraintes budgétaires difficiles à suivre et à justifier auprès de la population locale. Entre désillusion et découragement, leur mécontentement est accentué par la surcharge bureaucratique et l'excès de normes. Cela fait craindre une pénurie de candidats pour les municipales de 2026.Alors, le gouvernement va-t-il éteindre la colère des chauffeurs de taxi ? La loi Duplomb sur l'agriculture va-t-elle être adoptée ? Comment apaiser le malaise des maires de petites villes ?LES EXPERTS :François ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco, auteur de « Mécomptes publics »OLIVIER BABEAU - Essayiste, président de l'Institut SapiensGAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à ChallengesSANDRA HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOCPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 24 mai 2025 : Taxis, agriculteurs... le retour des colères sociales ?LES EXPERTS :François ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco, auteur de « Mécomptes publics »OLIVIER BABEAU - Essayiste, président de l'Institut SapiensGAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à ChallengesSANDRA HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOC
durée : 00:08:41 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Dans son dernier rapport, la Cour des Comptes fait un bilan sévère de l'école primaire française, qu'elle estime en "situation d'échec". Parmi les facteurs de dysfonctionnement, la Cour évoque la semaine de 4 jours, réputée peu adapté aux besoins et au rythme des enfants. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Stéphanie Mazza Professeure de neuropsychologie à l'INSPE de l'université de Lyon 1
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la chute du taux de natalité en Chine, les îlots disputés entre la Guinée équatoriale et le Gabon et l'interdiction fait à Amnesty International d'exercer ses activités en Russie. Guinée : la junte poursuit sa reprise en main du secteur minier Plus d'une cinquantaine d'entreprises minières ont perdu leur permis d'exploitation en Guinée. Pourquoi le général Mamadi Doumbouya a-t-il pris une telle décision ? Que vont devenir ces sociétés ? Que prévoit le Code minier guinéen concernant l'attribution et le retrait des permis d'exploitation ? Avec Alexis Bédu, journaliste au service Économie de RFI Chine : pourquoi le taux de natalité chute-t-il ?Dix ans après la fin de la politique de l'enfant unique, la Chine peine à relancer sa natalité. Pourquoi les Chinois restent-ils réticents à avoir des enfants ? Quelles mesures les autorités chinoises mettent-elles en place pour encourager la natalité ? Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin Gabon / Guinée équatoriale : la CIJ attribue les trois îles disputées à la Guinée équatoriale Après plus de cinq décennies de différend territorial entre le Gabon et la Guinée équatoriale, la Cour internationale de justice a tranché. Les trois îlots disputés sont sous souveraineté équato-guinéenne. Sur quels textes se sont basés les juges pour rendre ce verdict ? Cette décision peut-elle créer des tensions diplomatiques entre les deux pays ? Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI Russie : Amnesty international ferme ses portesDéclarée «organisation indésirable», Amnesty international est désormais interdite d'activités en Russie. De quoi est-elle accusée ? Amnesty pourra-t-elle continuer de défendre les droits humains en Russie sans être présente sur place ? Avec Marie Struthers, directrice régionale pour l'Europe de l'Est et l'Asie centrale à Amnesty International.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Finale de Ligue des champions, pas de fan zone à Paris ! École primaire, la Cour des comptes sonne l'alerte !
À part leur passion commune pour le golf, il n'y a pas beaucoup d'atomes crochus entre l'États-Unien Donald Trump et le Sud-Africain Cyril Ramaphosa. Surtout depuis que le président américain a accusé l'Afrique du Sud de commettre un « génocide » contre les fermiers blancs afrikaners. Mais ce mercredi, les deux chefs d'Etat vont se rencontrer à la Maison Blanche. Donald Trump et Cyril Ramaphosa vont-ils être capables de trouver un terrain d'entente sur Gaza et sur les tarifs douaniers ? La chercheuse de l'International Crisis Group, par ailleurs Sud-Africaine, Liesl Louw, est notre invitée. RFI : Quelle est la vraie raison du raidissement des Américains contre l'Afrique du Sud ? Est-ce que c'est le sort des fermiers blancs afrikaners ou est-ce que c'est la plainte pour génocide que Pretoria a déposé contre Israël devant la Cour internationale de Justice ?Liesl Louw : Ce qui est sûr, c'est que la plainte contre Israël a beaucoup contribué à cette dégradation. Et puis aussi, depuis le début de 2022, le fait que l'Afrique du Sud ne voulait pas ouvertement condamner la Russie pour l'invasion de l'Ukraine et son insistance depuis aussi de vouloir être neutre dans ce conflit, l'Afrique du Sud étant membre des BRICS, etc. Donc il y a le conflit en Ukraine et puis sa ferme opposition à ce que fait Israël à Gaza.Et alors, sur cette question palestinienne que l'Afrique du Sud défend depuis la fin de l'apartheid, est-ce que vous pensez que Cyril Ramaphosa va lever le pied dans les prochaines semaines pour essayer de calmer le jeu avec Donald Trump?Moi, je pense que, politiquement, il ne va pas lever le pied. Il y a un large consensus en Afrique du Sud, même au sein de cette coalition du gouvernement d'unité nationale, pour condamner Israël. D'accord, il y a des nuances. L'Alliance démocratique, donc le parti de l'opposition qui fait partie du gouvernement aujourd'hui, n'a pas soutenu le procès à La Haye. Mais l'opposition de l'Afrique du Sud contre Israël a une popularité assez large. Je ne pense pas que c'est quelque chose que Cyril Ramaphosa va ouvertement changer dans cette position pro-palestinienne.À lire aussiAfrique du Sud: des diplomates aux États-Unis pour apaiser les tensions entre les deux paysDepuis le début de l'invasion de l'Ukraine il y a trois ans, l'Afrique du Sud a renforcé ses liens avec la Russie, notamment via les BRICS. Elle s'est aussi rapprochée de la Chine et de l'Iran. Est-ce que Cyril Ramaphosa n'a pas intérêt à rééquilibrer sa politique internationale s'il veut voir Donald Trump lors du sommet du G20 en novembre prochain en Afrique du Sud ?Oui, et je pense que ça, c'est vraiment l'enjeu diplomatique de cette rencontre. Parce que Ramaphosa, il faut se souvenir, à la fin du mois d'avril, il a invité Zelensky à Pretoria. Même si c'est très complexe, parce que l'Afrique du Sud, quand même, est un membre des BRICS. La Chine étant son plus grand partenaire économique. Et il y a encore très récemment des ministres du Congrès national africain (ANC) qui sont allés en Russie rencontrer Vladimir Poutine à Moscou. Donc, ce n'est pas facile de jouer les non-alignés.Sur le plan économique, les Américains sont le deuxième partenaire commercial de l'Afrique du Sud à qui ils achètent beaucoup de voitures et beaucoup de produits agricoles. Si demain Donald Trump augmente les taxes douanières de 30 %, comme il en a agité la menace le mois dernier, est-ce que cela ne risque pas de ruiner beaucoup d'agriculteurs et beaucoup d'ouvriers agricoles ?Oui, absolument. Ça, c'est vraiment la vraie raison pour cette visite et pour l'Afrique du Sud qui a un taux de chômage de 32 %. Et si encore, dans certaines zones où il y a des grandes fabriques d'automobiles, ces usines venaient à fermer, des dizaines de milliers de gens pourraient perdre leur travail et cela aggraverait le taux de chômage. Donc l'agriculture, le secteur automobile sont absolument clé pour l'Afrique du Sud.À lire aussiAfrique du Sud: les premiers «réfugiés» blancs afrikaners partis pour les États-UnisLe porte-parole de la présidence sud-africaine a évoqué il y a quelques jours un éventuel accord avec les États-Unis dans le domaine des terres rares et des métaux stratégiques comme le manganèse. Est-ce que ce serait une façon d'amadouer le président américain par un deal à la façon Volodymyr Zelensky ?Oui, absolument. Et depuis quelque temps, nous regardons de près où sont les terres rares. L'Afrique du Sud est un grand pays minier, bien sûr, et l'Afrique du Sud a des ressources stratégiques : manganèse, platine, chrome. Mais en ce qui concerne les terres rares, l'Afrique du Sud n'est pas un grand producteur de terres rares. Donc, depuis quelque temps, des économistes, des diplomates, tout le monde réfléchit, même dans les médias. Il y a énormément de débats autour de ce que l'Afrique du Sud peut offrir. Comment réparer cette relation qui est extrêmement importante, même s'il y a des choses où l'Afrique du Sud et les États-Unis ne sont pas d'accord ? La question d'Israël, par exemple. Mais pour réparer cette relation très importante, l'Afrique du Sud souhaite mettre sur la table ses atouts économiques.
En République démocratique du Congo (RDC), la Cour constitutionnelle a condamné ce mardi 20 mai l'opposant et ancien Premier ministre Augustin Matata Ponyo (2012 - 2016) à 10 ans des travaux forcés pour le détournement de plus de 245 millions de dollars destinés au projet du parc agro-industriel de Bukangalonzo, à la sortie de la capitale Kinshasa.
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la demande de levée d'immunité de Joseph Kabila en examen, la victoire du candidat pro-européen en Roumanie et le rapprochement de la Chine avec l'Amérique latine. Tchad : que sait-on de l'audio qui met en cause Succès Masra ? Accusé d'être à l'origine d'un audio qui a déclenché un massacre dans le village de Mandakao, dans le sud du Tchad, l'opposant et ancien Premier ministre Succès Masra a été arrêté pour « incitation à la haine ». Pourquoi ses avocats font-ils référence à un audio datant de 2023 ? Que disait cet enregistrement ? Quelle sera maintenant la stratégie de la défense ?Avec Victor Mauriat, correspondant de RFI à N'Djamena. RDC : vers une levée de l'immunité de Joseph Kabila ? La commission spéciale du Sénat chargée d'examiner la demande de levée d'immunité de l'ancien président Joseph Kabila a commencé ses travaux. Quelle est sa composition politique ? Quelles seraient les conséquences pour l'ancien chef de l'Etat si le Sénat décidait de lui retirer son immunité ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Roumanie : défaite surprise du candidat d'extrême-droite Le maire de Bucarest pro-Europe, Nicosar Dan, a remporté la présidentielle avec 54% des voix. Pourtant, le candidat d'extrême-droite George Simion s'était largement imposé au premier tour. Comment expliquer ce revirement de situation ? Y a-t-il eu des ingérences lors de ce second tour comme ce fut le cas en novembre dernier lors de l'élection annulée par la Cour constitutionnelle ?Avec Catherine Durandin, professeure émérite à l'Inalco. Amérique latine : nouveau champ de bataille entre Pékin et Washington ? Pékin et Bogota ont conclu un accord visant à intégrer la Colombie dans le mégaprojet commercial des « nouvelles routes de la soie » lancé en 2013. Pourquoi la Chine se rapproche-t-elle autant de l'Amérique latine ? Est-ce une manière de concurrencer l'économie américaine dans ce contexte de guerre commerciale entre Pékin et Washington ?Avec Marie-Françoise Renard, professeure d'économie émérite à l'université Clermont-Auvergne, spécialiste de la Chine.
durée : 00:36:41 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Dans un rapport cinglant publié ce mardi 20 mai, la Cour des comptes étrille l'école primaire française, dont le niveau des élèves est jugé "inacceptable". À ce constat amer s'ajoutent les inégalités de genre, de territoire et de classes sociales. Comment redresser la barre ?
« C'est une catastrophe », dit l'opposant gabonais Alain-Claude Bilie By Nzé après la décision de la Cour de La Haye de donner raison à la Guinée équatoriale dans son conflit territorial avec le Gabon. Alain-Claude Bilie By Nzé a été le dernier Premier ministre du régime d'Ali Bongo. Le 12 avril, il est arrivé second à la présidentielle gabonaise, mais avec seulement 3 % des voix, loin derrière Brice Clotaire Oligui Nguema. L'opposant gabonais s'exprime sur l'exfiltration de la famille Bongo la semaine dernière. Mais au micro de Christophe Boisbouvier, il réagit d'abord à la décision des juges de la Haye. À lire aussiÎlots disputés: la Cour internationale de Justice donne raison à la Guinée équatoriale face au GabonÀ lire aussiGabon: la sortie de la famille Bongo aurait été facilitée par l'Angola
A la Une de la presse, ce mardi 20 mai, les réactions à l'accord sur la défense, la pêche et l'énergie, conclu hier entre l'Union européenne et le Royaume-Uni. Et aussi : Londres, qui a uni sa voix à celle de Paris et Ottawa pour dénoncer l'extension des opérations israéliennes à Gaza. Une décision controversée de la Cour suprême américaine. Et une étude sur les jeunes Britanniques et internet.
Début de semaine très électoral en Europe puisqu'on votait dimanche (18 mai 2025) en Roumanie, en Pologne et au Portugal... Partout l'extrême droite a obtenu des résultats historiques, mais pas la victoire. C'est le cas en Roumanie, pays sur lequel tous les projecteurs étaient braqués. C'est finalement le candidat pro européen et pro Ukraine Nicusor Dan, qui l'a emporté devant le candidat de l'extrême droite George Simion. L'analyse de Jacques Rupnik, directeur de recherche émérite au Ceri et grand spécialiste de l'Europe centrale. Le pays sort divisé et secoué par cette campagne électorale... il faut le rappeler, un premier scrutin a été invalidé par la Cour constitutionnelle pour manipulation des réseaux sociaux... et cela a d'ailleurs continué hier puisqu'une fausse information circulait hier sur Tiktok mettant en cause la France qui aurait eu des projets d'incitation à la guerre civile. Lutter contre ces fausses informations, c'est aussi au cœur de la campagne pour les élections présidentielles en Pologne, dont le premier tour se tenait hier... le gouvernement a mis en place ce qu'il appelle un parapluie électoral. Le reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat.Les Polonais vont voter au second tour pour les présidentielles le 1er juin 2025, là encore, le choix aura un impact fort sur les réformes dans le pays, mais aussi sur la géopolitique européenne. Les étudiants serbes militent contre la corruption et les atteintes à l'environnementLes étudiants serbes manifestent depuis six mois contre la corruption du gouvernement. Et en particulier contre le scandale de la gare de Novi Sad dont l‘écroulement de l'auvent, tout juste rénové, a causé la mort de 16 personnes en novembre 2024. Blocages de rues, grèves, courses à vélo à travers tout le pays jusqu'au siège des institutions européennes à Bruxelles. Le mouvement ne faiblit pas. Et voilà qu'il s'intéresse aussi au projet de la multinationale Rio Tinto qui prévoit d'exploiter une des plus grosses mines de lithium du monde, avec de graves conséquences pour l'environnement. Reportage à Loznica de Louis Seiller. À lire aussiSerbie: les étudiants exigent la dissolution du Parlement et la convocation d'élections anticipées La déportation des tatars de Crimée en 1944Alors que les négociations diplomatiques se poursuivent, les Ukrainiens commémoraient hier les 81 ans de la déportation en 1944 de 200 000 tatars de Crimée par Staline. À Kiev, notre correspondante Emmanuelle Chaze. À lire aussiIl y a 81 ans, des centaines de milliers de Tatars de Crimée étaient déportés par Staline
Début de semaine très électoral en Europe puisqu'on votait dimanche (18 mai 2025) en Roumanie, en Pologne et au Portugal... Partout l'extrême droite a obtenu des résultats historiques, mais pas la victoire. C'est le cas en Roumanie, pays sur lequel tous les projecteurs étaient braqués. C'est finalement le candidat pro européen et pro Ukraine Nicusor Dan, qui l'a emporté devant le candidat de l'extrême droite George Simion. L'analyse de Jacques Rupnik, directeur de recherche émérite au Ceri et grand spécialiste de l'Europe centrale. Le pays sort divisé et secoué par cette campagne électorale... il faut le rappeler, un premier scrutin a été invalidé par la Cour constitutionnelle pour manipulation des réseaux sociaux... et cela a d'ailleurs continué hier puisqu'une fausse information circulait hier sur Tiktok mettant en cause la France qui aurait eu des projets d'incitation à la guerre civile. Lutter contre ces fausses informations, c'est aussi au cœur de la campagne pour les élections présidentielles en Pologne, dont le premier tour se tenait hier... le gouvernement a mis en place ce qu'il appelle un parapluie électoral. Le reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat.Les Polonais vont voter au second tour pour les présidentielles le 1er juin 2025, là encore, le choix aura un impact fort sur les réformes dans le pays, mais aussi sur la géopolitique européenne. Les étudiants serbes militent contre la corruption et les atteintes à l'environnementLes étudiants serbes manifestent depuis six mois contre la corruption du gouvernement. Et en particulier contre le scandale de la gare de Novi Sad dont l‘écroulement de l'auvent, tout juste rénové, a causé la mort de 16 personnes en novembre 2024. Blocages de rues, grèves, courses à vélo à travers tout le pays jusqu'au siège des institutions européennes à Bruxelles. Le mouvement ne faiblit pas. Et voilà qu'il s'intéresse aussi au projet de la multinationale Rio Tinto qui prévoit d'exploiter une des plus grosses mines de lithium du monde, avec de graves conséquences pour l'environnement. Reportage à Loznica de Louis Seiller. À lire aussiSerbie: les étudiants exigent la dissolution du Parlement et la convocation d'élections anticipées La déportation des tatars de Crimée en 1944Alors que les négociations diplomatiques se poursuivent, les Ukrainiens commémoraient hier les 81 ans de la déportation en 1944 de 200 000 tatars de Crimée par Staline. À Kiev, notre correspondante Emmanuelle Chaze. À lire aussiIl y a 81 ans, des centaines de milliers de Tatars de Crimée étaient déportés par Staline
Bleach Thousand-Year Blood War continues to dominate the headlines with wild crossovers and new reveals! This week on the Bleach Boys, we break down the surprising Bleach TYBW x Star Wars: Andor crossover campaign and Locus of the Brave 2's latest experience reveal—yes, you can now sit in Aizen's iconic chair and experience Hado 90 in real life. We also dive into the limited edition Blu-ray bonuses for Cour 3 and share our thoughts on the release now that all four Bleach anime films are officially streaming on Pluto TV!Plus, we cover Tite Kubo's latest Klub Outside comments, including his new Rukia illustration being featured in Japan's prestigious Kojien Dictionary and answers to two burning questions: what motorcycle and guitar does Hisagi use? And was Urahara's Senkaimon from Chapter 499 actually closed using The Jail? We also debate Komamura's Bankai vs Izuru's Shikai, discuss when Sam lost his hair, and more anime chaos as always!
DIMANCHE 18 MAI 2025Anthony Perera - Maison Prince Hubert de Polignac (Cognac)Fondée en 1947 par le Prince Hubert de Polignac, la Maison incarne l'héritage d'une lignée noble et l'excellence du cognac à la française. Distinguée par le "Royal Warrant" du roi Frédéric IX, elle est fournisseur officiel de la Cour du Danemark, symbole d'une qualité irréprochable. À travers des cognacs élaborés avec persévérance, protection et prospérité, chaque flacon révèle un savoir-faire unique, alliant tradition et noblesse de goût.Pierre Gattaz - Château de Sannes (Provence)Le Château de Sannes, joyau du XVIIᵉ siècle au cœur du Luberon, incarne l'harmonie entre patrimoine, nature et savoir-faire. Depuis 2017, sous la direction de Pierre Gattaz, le domaine produit des vins d'exception en agriculture biologique, tout en préservant la biodiversité locale. Offrant une expérience œnotouristique unique, entre vignes, oliveraies et lavandes, le château séduit également pour l'organisation d'événements prestigieux dans un cadre raffiné.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon l'Association internationale des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et intersexes (Ilga World), l'homosexualité est légale dans 131 pays des 193 membres de l'ONU. Si les droits des personnes LGBT ont progressé dans certains pays comme en Thaïlande ou en Grèce qui ont récemment légalisé le mariage entre personnes de même sexe, d'autres pays ont au contraire pris des mesures répressives. En 2023, l'Ouganda a durci sa législation, désormais considérée comme l'une des plus sévères du monde à l'égard des personnes LGBT. Le Ghana lui a depuis emboité le pas. Alors que les relations entre personnes de même sexe étaient déjà interdites, la Cour suprême a récemment autorisé une loi prévoyant jusqu'à 3 ans de prison pour ce motif. L'hostilité à l'égard des personnes LGBT ne se limite pas au Sud. Du côté des États-Unis, le président Trump a multiplié des décrets visant les personnes transgenres depuis son retour à la Maison Blanche. Le contexte international semble marqué par un retour de baton conservateur plus que le progressisme. Comment les communautés LGBT vivent-elles cette succession de lois répressives à leur égard ? Quelle réaction de la société ? Émission à l'occasion de la journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie, célébrée le 17 mai. Avec : • Christophe Caulier, co-président de l'ARDHIS, Association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et trans à l'immigration et au séjour• Patrick Awondo, anthropologue enseignant à l'Université de Yaoundé 1, spécialiste du genre et de l'homosexualité en Afrique centrale et en Afrique de l'Ouest. Intervenant dans la santé publique internationale sur ces sujets. Auteur du Sexe et ses doubles, (Homo) sexualités en postcolonie (ENS éditions, 2019). Un entretien avec Florence La Bruyère, correspondante de RFI à Budapest en Hongrie où le Parlement a récemment adopté plusieurs mesures visant à restreindre les droits et libertés des personnes LGBT.En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Quatrième épisode de sa série sur la voix humaine. Aujourd'hui «le son social» de la voix. Programmation musicale :► Kid – Eddy de Pretto ► Comme il est - Tekemat.
Selon l'Association internationale des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et intersexes (Ilga World), l'homosexualité est légale dans 131 pays des 193 membres de l'ONU. Si les droits des personnes LGBT ont progressé dans certains pays comme en Thaïlande ou en Grèce qui ont récemment légalisé le mariage entre personnes de même sexe, d'autres pays ont au contraire pris des mesures répressives. En 2023, l'Ouganda a durci sa législation, désormais considérée comme l'une des plus sévères du monde à l'égard des personnes LGBT. Le Ghana lui a depuis emboité le pas. Alors que les relations entre personnes de même sexe étaient déjà interdites, la Cour suprême a récemment autorisé une loi prévoyant jusqu'à 3 ans de prison pour ce motif. L'hostilité à l'égard des personnes LGBT ne se limite pas au Sud. Du côté des États-Unis, le président Trump a multiplié des décrets visant les personnes transgenres depuis son retour à la Maison Blanche. Le contexte international semble marqué par un retour de baton conservateur plus que le progressisme. Comment les communautés LGBT vivent-elles cette succession de lois répressives à leur égard ? Quelle réaction de la société ? Émission à l'occasion de la journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie, célébrée le 17 mai. Avec : • Christophe Caulier, co-président de l'ARDHIS, Association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et trans à l'immigration et au séjour• Patrick Awondo, anthropologue enseignant à l'Université de Yaoundé 1, spécialiste du genre et de l'homosexualité en Afrique centrale et en Afrique de l'Ouest. Intervenant dans la santé publique internationale sur ces sujets. Auteur du Sexe et ses doubles, (Homo) sexualités en postcolonie (ENS éditions, 2019). Un entretien avec Florence La Bruyère, correspondante de RFI à Budapest en Hongrie où le Parlement a récemment adopté plusieurs mesures visant à restreindre les droits et libertés des personnes LGBT.En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Quatrième épisode de sa série sur la voix humaine. Aujourd'hui «le son social» de la voix. Programmation musicale :► Kid – Eddy de Pretto ► Comme il est - Tekemat.
Il est le troisième homme dans la course à la présidentielle polonaise, mais le premier chez les jeunes électeurs. Le candidat du parti d'extrême droite Konfederacja Sławomir Mentzen combine une vision sociétale très conservatrice à un programme économique très libéral. Sa vision devrait attirer près d'un jeune électeur sur trois ce dimanche 18 mai. De notre correspondant à Varsovie,Il fait partie de ces hommes politiques qui savent soigner leurs apparitions. Émergeant d'un nuage de fumée rouge et blanche, Slawomir Mentzen salue les centaines de Varsoviens massés sur la place de la Cour suprême polonaise. Au milieu de la foule, Krystian est déjà conquis par le candidat : « En tant que citoyen, je veux pouvoir rouler dans la voiture que je veux, je veux pouvoir porter une arme à ma ceinture, et je ne veux pas qu'un quelconque politique essaie de m'en empêcher. »C'est avant tout le côté libertarien du candidat qui a su convaincre le jeune étudiant en marketing. Agata, elle, ne sait pas encore pour qui elle va voter, mais elle est déjà convaincue par le personnage : « C'est le candidat le plus puissant en termes de caractère, il est sûr de lui et de ce qu'il dit, et si les jeunes veulent quelque chose de nouveau, ils vont vouloir quelqu'un qui a un fort caractère et qui n'a pas peur de s'affirmer. »La jeune indécise serait presque prête à sauter le pas, quitte à fermer les yeux sur la vision très conservatrice et nationaliste de Mentzen sur les questions sociétales : « Ce n'est pas le candidat dont je me sens le plus proche en termes de questions sociétales, mais son discours sur les questions économiques et financières me parlent davantage. Et je pense que c'est important, car les jeunes veulent pouvoir monter des entreprises et gagner de l'argent. »À lire aussiPologne: dernier débat très vif avant la présidentielle du 18 maiDésillusion des jeunes À 18 ans, Weronika s'apprête à voter pour la première fois, et pourrait se laisser tenter par lassitude, alors qu'elle s'oppose frontalement à certaines de ses promesses : « Je ne soutiens pas tous les points du programme de Mentzen. Par exemple, le fait qu'il veuille rendre les études payantes. Mais je veux aussi qu'il y ait d'autres alternatives qu'un gouvernement PO ou PiS, et que quelqu'un de nouveau puisse entrer dans la course. »Un sentiment de désillusion partagé par la plupart des Polonais d'une vingtaine d'années qui n'ont connu toute leur vie que l'alternance entre les gouvernements de Tusk et de Kaczynski. Alors chez Konfederacja, on a fait place nette à l'approche des élections, en prenant ses distances avec son fondateur. Il était notamment connu pour avoir déclaré que les femmes faisaient partie du patrimoine de leur mari, ou encore qu'il faudrait leur retirer le droit de vote. À 17 ans, Oliwia assure n'avoir rejoint les jeunesses du parti qu'après son éviction : « Je ne suis pas d'accord avec la majorité de ce qu'il a pu dire. Et en venant ici, je me suis rendu compte que la majorité des politiciens avec lesquels je parlais, n'ont absolument pas la même opinion. Maintenant, on a des députées et des eurodéputées chez Konfederacja. »Au mois d'avril, la moitié des jeunes électeurs comptait donner leur voix à Mentzen. Une proportion aujourd'hui divisée par deux, depuis que le candidat a qualifié le viol de simple « désagrément ».À écouter aussiLa sécurité en toile de fond de l'élection présidentielle en Pologne
durée : 00:06:04 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Considérée comme la première armée européenne, la France a augmenté de 40% le budget alloué à sa Défense dans son plan de programmation militaire 2024 2030. Sera t-il à la hauteur de l'urgence ? La Cour des comptes s'inquiète des reports de charges qui ont atteint un record historique en 2024.
C'est par cette formule qu'on pourrait résumer la stratégie de l'opposant ivoirien. Dimanche 11 mai, à 5 mois de la présidentielle, Tidjane Thiam a donc annoncé, contre toute attente, son retrait de la présidence du PDCI-RDA, au profit de son doyen d'âge, Ernest N'Koumo Mobio.« Abandon ou tactique politique réfléchie ? », s'interroge L'Infodrome à Abidjan qui opte pour la seconde hypothèse. En effet, explique L'Infodrome, « l'annonce de l'ancien patron du Crédit Suisse intervient dans un contexte de tension politico-judiciaire dans lequel le PDCI-RDA est entraîné depuis le mois de février dernier ». Il y a la question de son inéligibilité du fait, selon ses détracteurs, de son ex-binationalité franco-ivoirienne. Et il y a aussi et surtout l'action judiciaire intentée, en interne, par Valerie Yapo, ancienne déléguée du parti à Akoupé, qui « conteste la légitimité de Tidjane Thiam à la tête du parti en raison de sa double nationalité au moment de son élection à la présidence du PDCI-RDA. Cette membre du bureau politique réclame notamment la destitution de Tidjane Thiam ainsi que la mise du PDCI-RDA sous administration judiciaire. Le verdict de cette affaire est attendu jeudi 15 mai. C'est donc, en conclut L'Infodrome, dans un objectif de contournement d'une décision de justice qui pourrait lui être préjudiciable que l'ancien ministre et banquier international semble avoir pris les devants ».La stratégie de l'évitementReculer pour mieux sauter donc… WakatSéra nous résume la tactique de Tidjane Thiam : « en rendant son tablier, il évite au PDCI-RDA de tomber dans les mains d'un administrateur provisoire que la justice aurait choisi, si la cadre du parti qui a porté plainte contre lui, gagnait son procès. N'étant plus président, Tidjane Thiam devrait, ainsi, ôter, tout grain à moudre à la justice. Qui plus est, s'étant défait de son statut de citoyen français, il pourra, pour le prochain congrès extraordinaire électif du parti, fixé au pied levé, pour demain mercredi, se représenter et récupérer son fauteuil de président, demeurant le favori incontesté de son parti ». Les poids-lourds hors-jeu…Reste qu'il y a un écueil et de taille dans sa course à la présidentielle : son inéligibilité… Le 22 avril dernier, rappelle Le Monde Afrique, « la justice ivoirienne, invoquant une supposée perte de sa nationalité ivoirienne entre 1987 et 2025, l'a exclu de la liste électorale le rendant de fait inéligible ».D'ailleurs, pointe encore Le Monde Afrique, « à cinq mois de l'élection présidentielle, tous les poids lourds de l'opposition ont pour l'heure été écartés de la course au pouvoir, puisque depuis 2020, Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro ont également été rendus inéligibles à la suite de condamnations judiciaires ».En effet, précise Afrik.com, « écarté Laurent Gbagbo, pour un supposé braquage de la BECEAO, bien que l'institution ait nié avoir été victime ; écarté Guillaume Soro, condamné à perpétuité pour tentative de coup d'État ; écarté Charles Blé Goudé, condamné à 20 ans de prison malgré son acquittement par la Cour pénale internationale. Mais jusque-là, aucune de ces figures de proue de l'opposition ivoirienne ne s'avoue vaincu. Pas plus tard que la semaine dernière, Laurent Gbagbo a même installé un comité chargé de collecter les parrainages comme l'exigent les textes ivoiriens. Comme si de rien n'était ».Le scénario sénégalais ?Pour en revenir à Tidjane Thiam, cette question posée par L'Observateur Paalga au Burkina Faso : va-t-il s'orienter « vers la jurisprudence Pastef ? ». Référence à ce qui s'est passé au Sénégal au sein du Pastef, dont « le président, Ousmane Sonko, frappé d'inéligibilité lors de la dernière présidentielle sénégalaise, s'était éclipsé au profit de son lieutenant, Bassirou Diomaye Faye ».Tidjane Thiam va-t-il suivre cette voie ? Et si oui, avec quel acolyte ? Pas de réponse pour l'instant.Enfin, suspense aussi pour ce qui concerne le président Alassane Ouattara, 83 ans. Au pouvoir depuis 2011, il ne s'est toujours pas prononcé sur une éventuelle candidature. Il a juste affirmé qu'il était « désireux de continuer à servir son pays ».En attendant d'y voir plus clair dans cette course à la présidentielle, conclut Afrik.com, « pour la démocratie ivoirienne, ces événements relancent le débat sur l'indépendance de la justice, la transparence du processus électoral, et l'ouverture du jeu démocratique à une réelle compétition ».
durée : 00:23:27 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Patrice Spinosi, avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation, était l'invité de France Inter ce mardi. Il publie "Menace sur l'État de droit. Comment préserver nos démocraties ?" (Allary éditions), ce jeudi.
durée : 00:23:27 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Patrice Spinosi, avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation, était l'invité de France Inter ce mardi. Il publie "Menace sur l'État de droit. Comment préserver nos démocraties ?" (Allary éditions), ce jeudi.
49 Afrikaners, ces Sud-Africains blancs descendants de colons néerlandais, sont attendus ce lundi (12 mai 2025), aux États-Unis. Hier, ils ont pris place à bord d'un vol charter affrété par les États-Unis, nous apprend le New York Times qui les a suivis à l'aéroport hier, à Johannesburg. Ces Afrikaners, descendant pour la plupart de colons néerlandais, fuient, disent-ils, les persécutions, les discriminations dont ils sont victimes dans leur pays natal. Ils affirment ainsi «avoir été la cible de violence» ou «s'être vus refuser des emplois» en raison de la couleur de leur peau. Au cœur du problème, en réalité, se trouve la question des terres. Comme l'explique le New York Times, les terres agricoles des Sud-Africains blancs qui ne représentent que 7% de la population, couvrent plus de la moitié du pays. Depuis peu, une loi autorise les autorités à exproprier sans dédommager les propriétaires. Pas sûr que cela soit juridiquement faisable, souligne le quotidien. Mais cela inquiète beaucoup d'Afrikaners. En mars, les États-Unis affirmaient avoir reçu 8.000 demandes d'asile. Les Afrikaners qui arriveront ce lundi, auront en effet le statut de réfugiés. Donald Trump «a suspendu la quasi-totalité des admissions de réfugiés fuyant la famine et la guerre, en provenance de pays comme le Soudan ou la République démocratique du Congo. Mais il a créé une voix d'entrée accélérée pour les Afrikaners, une minorité ethnique blanche à l'origine du régime brutal d'apartheid en Afrique du Sud.»Une initiative de l'administration Trump qui suscite des critiques de la part d'associations qui viennent en aide aux migrants, mais aussi du gouvernement sud-africain qui y voit, comme le rapporte le New York Times, une «tentative politique visant à discréditer le pays». Les États-Unis, de leur côté, reprochent au pays dont est originaire Elon Musk, «ses relations étroites avec l'Iran et sa position ferme contre Israël.» Donald Trump n'aurait pas digéré la plainte pour génocide déposée devant la Cour internationale de justice au sujet de la guerre à Gaza. Plus de la moitié de la population haïtienne souffre de la faimEn Haïti, la presse fait état de nouvelles violences qui ont empêché la tenue d'un référendum constitutionnel annoncé pour hier. Les gangs ont de nouveau attaqué Furcy et Kenscoff et ont été repoussés par la police, nous apprend Alterpresse. Déjà, la semaine dernière, la police avait réussi à reprendre le contrôle du sous-commissariat de Furcy. Cette fois-ci, «plusieurs membres de la population, qui avaient été kidnappés par les groupes armés, ont été libérés», rapporte l'agence de presse. Depuis plusieurs semaines, les gangs «cherchent à étendre leur contrôle dans les hauteurs de la capitale» et à s'emparer de ces zones semi-rurales, ce qui soulève «des inquiétudes sur la sécurité alimentaire», souligne Alterpresse. La commune de Kenscoff, notamment, est «une importante zone de production agricole pour la capitale». Or, la faim est un problème majeur en Haïti. Désormais, près de 6 millions de personnes se trouvent en insécurité alimentaire aigüe, comme l'explique Martine Villeneuve, directrice de l'ONG Action contre la faim en Haïti, à Achim Lippold. Le Pérou, confronté à une vague de violencesNotre dossier du jour nous emmène au Pérou, pays confronté à une insécurité et une criminalité grandissantes. Les chiffres augmentent de manière exponentielle : on déplore 700 homicides depuis le début de l'année. Dans la capitale, Lima, les assassinats et les extorsions sont quotidiens. Reportage de Martin Chabal. Venezuela : inquiétudes autour du sort d'un membre de l'ONG ProveaLes proches de l'avocat Eduardo Torres, membre de l'équipe juridique de l'organisation de défense des droits humains Provea, sont sans nouvelles de lui depuis vendredi. Il était «régulièrement ciblé par des menaces et des actes de harcèlement de la part de représentant·es des forces de sécurité de l'État vénézuélien», écrit la Fédération internationale pour les droits humains dans un communiqué. La FIDH dénonce une possible disparition forcée. Andronico Rodriguez, favori de la présidentielle bolivienneLa campagne en vue de la présidentielle du 17 août débute en Bolivie. À gauche, il y a déjà trois candidats : l'actuel président Luis Arce, l'ancien chef de l'État Evo Morales et, donc, Andronico Rodriguez, 36 ans, «l'élève d'Evo Morales», comme le qualifie le quotidien argentin Infobae qui lui consacre un long portrait. Né dans la province de Cochabamba, dans une famille de paysans, Andronico Rodriguez réalise très jeune que pour s'en sortir, il faut faire des études. Il obtiendra un diplôme de sciences politiques à l'Université de Cochabamba. Enfant, il accompagne ses parents à des réunions syndicales. Une fois étudiant, il prend peu à peu des responsabilités au sein des fédérations de producteurs de coca et à 28 ans, il finit par devenir le bras droit d'Evo Morales. Les différentes périodes de turbulences que traverse le MAS, le Mouvement vers le socialisme, lui permettent de se faire connaître, raconte encore Infobae. Élu sénateur en 2020, il prend en même temps la tête de la chambre haute où il se distingue par son sens du compromis.Pour beaucoup, Andronico Rodriguez est le successeur naturel d'Evo Morales, mais lui a choisi de s'émanciper, de prendre ses distances. Aujourd'hui, il pourrait profiter du vide créé par «la guerre intestine que se livrent» Evo Morales et Luis Arce, analyse Infobae. Au sein du bloc cocalero, sa jeunesse séduit. Pour la première fois au sein du mouvement, les syndicats critiquent publiquement l'absence de renouvellement de leurs dirigeants, tout particulièrement d'Evo Morales qui est à leur tête depuis près de 30 ans. L'ex-président pourrait devoir négocier avec son ancien dauphin s'il veut survivre politiquement, estime le quotidien argentin. Journal de la 1èreAu lendemain d'un nouveau drame en Martinique, le préfet Étienne Desplanques était l'invité du journal radio de La 1ère ce lundi matin. Il a réagi à l'exécution en plein jour de trois jeunes hommes dans une rue de Fort-de-France.
01. Oneil, Giorgio Gee, Sara Phillips, Kanvise - Silence (Record Mix) 02. Hypaton, David Guetta, La Bouche - Be My Lover (Record Mix) 03. Tony Igy - Cascade (Record Mix) 04. Rob Laniado - Vibing (Record Mix) 05. Calvin Harris, Ellie Goulding - Outside (Record Mix) 06. New World Sound, J2, Sara Phillips - Outta My Head (Record Mix) 07. Joel Corry, Pickle, Vula - Stay Together (Baby Baby) (Record Mix) 08. Mark Dann, Giovanni Ricci - Let Me Die (Record Mix) 09. Dj Dimixer, Favia - One of Us (Record Mix) 10. Felix Jaehn, Sophie Ellis-Bextor - Ready For Your Love (Record Mix) 11. Purple Disco Machine, Sophie & The Giants, Denis F - In The Dark (Record Mix) 12. House Of Prayers - Disco Stepper (Record Mix) 13. Afrosalto, Mednas, Afrojack, Gregor Salto - All Good Things (Come To An End) (Record Mix) 14. Robin Schulz, Jasmine Thompson - Sun Goes Down (Record Mix) 15. Jack Harlow, Dj Dark - Lovin On Me (Record Mix) 16. Ida Corr, Fedde Le Grand - Let Me Think (Record Mix) 17. Lana Del Rey, Kevin Blanc - Young & Beautiful (Record Mix) 18. Showtek, Smack, Sam Gray - Take My Heart Away (Record Mix) 19. Basto! - Again & Again (Record Mix) 20. Otnicka, Kaskeiyp - For an Angel (Record Mix) 21. Ofenbach, Norma Jean Martine - Overdrive (Record Mix) 22. Mirko Donnini - Thinking of You (Record Mix) 23. Topic, A7S - Breaking Me (Record Mix) 24. Lucas & Steve, Laura White - Are You Ready (Record Mix) 25. Loreen, Denis First - Tattoo (Record Mix) 26. Amor - Tell Me (Record Mix) 27. Gamuel Sori, Lovespeake, Amice - Us (Record Mix) 28. Marc Korn, Danny Suko, Heart Fx - Every Breath You Take (Record Mix) 29. Diplo, Miguel - Don't Forget My Love (Record Mix) 30. Galwaro, Lizot, Gabry Ponte - Like a Prayer (Record Mix) 31. Tiesto, Bia, 21 Savage - Both (Record Mix) 32. Kungs - Clap Your Hands (Record Mix) 33. Imanbek, Trevor Daniel - In The Morning (Record Mix) 34. Felix, Charlotte Haining, Switch Disco - I Found You (Record Mix) 35. Sam Feldt - The Confession (Record Mix) 36. Nicky Romero, Vikkstar, Alpharock, Oaks - Where Do I Go (Record Mix) 37. Relanium, Deen West - Leel Lost (Record Mix) 38. Jerome Robins, Karsten Sollors - Don't Stop The Music (Record Mix) 39. Morgan Page, Telykast - Dancing All Alone (Record Mix) 40. Alok, Gryffin, Julia Church - Never Letting Go (Record Mix) 41. David Zowie - House Every Weekend (Record Mix) 42. Zerb, The Chainsmokers, Ink - Addicted (Record Mix) 43. Eastblock Bitches, Ostblockschlampen - Sunglasses at Night (Record Mix) 44. Firebeatz, Dubdogz - Give It Up (Record Mix) 45. David Guetta, Mistajam, John Newman - If You Really Love Me (How Will I Know) (Record Mix) 46. Maruv, Boosin - Drunk Groove (Record Mix) 47. Tayna, Marshmello, Ukay - Si Ai (Record Mix) 48. Tim Berg - Seek Bromance (Record Mix) 49. John Summit - La Danza (Record Mix) 50. Klaas - The Way (Record Mix) 51. Lufthaus, Sophie Ellis-Bextor - Immortal (Record Mix) 52. Faul & Wad, Nico & Vinz, Altego, Old Jim - How I Feel (Am I Wrong) (Record Mix) 53. Dimitri Vegas, Vin Diesel, Zion - Don't Stop The Music (Record Mix) 54. Block & Crown, Mike Ferullo - Let the Music Play (Record Mix) 55. Rain Radio, Dj Craig Gorman - Talk About (Record Mix) 56. Oliver Heldens, Weibird - Out of Love (Record Mix) 57. Fisher, Aatig - Take It Off (Record Mix) 58. Avalan Rokston, Alex Caspian - Something to Believe In (Record Mix) 59. Calvin Harris - My Way (Record Mix) 60. Playmen, Valeron, Klavdia - Touch Me (Record Mix) 61. Robin Schulz, Francesco Yates - Sugar (Record Mix) 62. Arc North, Cour, New Beat Order, Lunis - Faded (Record Mix) 63. Kygo, Ava Max, Tiesto - Whatever (Record Mix) 64. Thomas Gold - Pump Up The Jam (Record Mix) 65. Bolier, Joe Stone, Voost - Keep This Fire Burning (Record Mix) 66. Gregory Porter, Jonas Blue - Liquid Spirit (Record Mix) 67. Aaron Smith, Luvli, Krono - Dancin' (Record Mix) 68. Riton, Nightcrawlers, Mufasa, Hypeman - Friday (Record Mix) 69. Charli Xcx, Sam Smith - In The City (Record Mix) 70. Basto! - Gregory's Theme (Record Mix) 71. Goodboys, Nu Aspect, Avaion - Blindspot (Record Mix) 72. Don Diablo - SexyBack (Record Mix) 73. Zerb, Ty Dolla $Ign, Wiz Khalifa - Location (Record Mix) 74. Eelke Kleijn, Joris Voorn - Transmission (Record Mix) 75. Block & Crown, Daisy - Mr Vain (Record Mix) 76. Dillon Francis, Ship Wrek - Whole Lotta Drugs 77. R3Hab, Vize, Jp Cooper, Amice - Jet Plane (Record Mix) 78. Zhu - Faded (Record Mix) 79. Gorgon City, Mk - There for You (Record Mix) 80. Sean Finn - Give It to Me (Record Mix) 81. Ray Dalton, Amice - All We Got (Record Mix) 82. David Guetta - Family Affair (Dance For Me) (Record Mix) 83. Nicky Romero, Giacobbi, Fatboi - Move It (Record Mix) 84. Lost Frequencies, Janieck Devy - Reality (Record Mix) 85. Matt Sassari, Sidepiece - Elektro (Record Mix) 86. Tiesto - Lay Low (Record Mix) 87. Lola Young, Ted Bear - Messy (Record Mix) 88. Dj Kuba, Neitan, Bounce Inc. - Watch Out (Record Mix) 89. Hedegaard, Martin Jensen, Victoria Nadine - Favorite Mistakes (Record Mix) 90. Timmy Trumpet, Karol Sevilla, Faulhaber, Zorba - Weekend (Record Mix) 91. Аигел, Amice - Пыяла (Record Mix) 92. Shane Codd - Rather Be Alone (Record Mix) 93. Filatov & Karas, Busy Reno - Au Revoir (Record Mix) 94. Bob Sinclar, Steve Edwards, Fisher - World, Hold On (Record Mix) 95. Dezko - Ascend (Record Mix) 96. Sarah De Warren, Charming Horses, Hanno, Amice - This is the life (Record Mix) 97. Don Diablo - The Way I Are (Record Mix) 98. Playmen, Hadley - Luv You (Record Mix) 99. Robin Schulz, Erika Sirola - Speechless (Record Mix) 100. Bodybangers, Stephen Oaks - See You Again (Record Mix) 101. Meysta, 2Shy, Viktoria Vane, Beccy - Can't Get You out of My Head (Record Mix) 102. Cat Dealers, Lothief, Santti - Sunshine (Record Mix) 103. Kygo, Sandro Cavazza - Hold On Me (Record Mix) 104. C Block, The Distance, Riddick - So Strung Out (Record Mix) 105. Alok, Ella Eyre, Kenny Dope, Never Dull - Deep Down (Record Mix) 106. Imanbek, Younotus - Heal My Heart (Record Mix) 107. Armin Van Buuren, Sam Gray - Dream a Little Dream (Record Mix) 108. Calvin Harris, Benny Blanco - I Found You (Record Mix) 109. Marshmello, Jonas Brothers, Alex Caspian - Slow Motion (Record Mix) 110. James Hype, Kim Petras - Drums (Record Mix) 111. Lunax, Mia Amare - Sweet Harmony (Record Mix) 112. Cyril, Dean Lewis, Amice - Fall At Your Feet (Record Mix) 113. Shouse - Love Tonight (Record Mix) 114. Dj Dimixer - Sweet Melody (Record Mix) 115. Drenchill, Indiiana - Feel This Way (Record Mix) 116. Hugel, Topic, Arash, Daecolm - I Adore You (Record Mix) 117. Switch Disco - React (Record Mix) 118. Mark Dann, Giovanni Ricci - Let Me Die (Record Mix) 119. David Guetta, Anne-Marie, Coi Leray - Baby Don't Hurt Me (Record Mix) 120. Richard Grey - At Night (Record Mix) 121. Oneil, Kanvise, Smola - Boys (Record Mix) 122. Empire Of The Sun, Tony Romera - Walking on a dream (Record Mix) 123. Fast Boy, Raf, Amice - Wave (Record Mix) 124. Dubdogz, Zerky - Sun Goes Down (Sound Of Violence) (Record Mix) 125. Avicii - Levels (Record Mix) 126. Purple Disco Machine, Sophie & The Giants, Denis F - In The Dark (Record Mix) 127. Inna, Melon, Dance Fruits Music - Hello Hello (Record Mix) 128. C-Bool, Giang Pham - DJ Is Your Second Name (Record Mix) 129. Kylie Minogue - Lights Camera Action (Record Mix) 130. Pascal Letoublon, Leony - Friendships (Record Mix) 131. Armin Van Buuren, Maia Wright - One More Time (Record Mix) 132. Klangkarussell, Denis First - Home (Record Mix) 133. Sean Finn - Crazy (Record Mix) 134. Gorgon City, Romans - Saving My Life (Record Mix) 135. Lady Gaga - Abracadabra (Record Mix) 136. Diplo, Maren Morris - 42 (Record Mix) 137. Zerb, Sofiya Nzau - Mwaki (Record Mix) 138. Usher, Lusso, Redliners - Yeah! (Record Mix) 139. Stefy De Cicco, Ben Hamilton, Martin Jensen - Day 'N' Nite (Record Mix) 140. Titov - Philosophy (Record Mix)
Dans cet épisode, Roland Pérez explique les conditions dans lesquelles un conjoint plus aisé peut s'opposer au versement d'une pension compensatoire à son ex-épouse. Il analyse un cas où la Cour d'appel a dans un premier temps rejeté la demande, avant que la Cour de cassation ne rétablisse le droit de la femme à cette prestation, en tenant compte des sacrifices professionnels consentis pendant le mariage. Une décision qui vise à compenser les écarts de revenus et de retraite futurs entre les ex-époux.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:52:13 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Longtemps resté à l'écart des salles de classe, le jeu est devenu l'une des pierres angulaires de l'enseignement primaire. La naissance de l'école maternelle et l'émergence de pédagogies nouvelles symbolisent ce mouvement vers un apprentissage fondé sur la confiance et l'individualité de l'enfant. - réalisation : Milena Aellig, Emily Vallat - invités : Gilles Brougère Professeur de sciences de l'éducation à l'université Sorbonne Paris Nord, spécialiste du jeu, membre d'EXPERICE, le Centre de Recherche Interuniversitaire Expérience Ressources Culturelles, Éducation; Sylvain Wagnon Historien, professeur en sciences de l'éducation à l'université de Montpellier et spécialiste de l'éducation nouvelle et libertaire
En avril 2023, la Cour des comptes européenne a rendu un rapport sur le transport des animaux d'élevage. Il recommande d'acheminer la viande plutôt que les animaux vivants. L'objectif est de prendre en compte la souffrance animale dans le prix de la viande. En automne 2023, il est prévu que les législateurs européens proposent une nouvelle réglementation permettant de mieux encadrer la souffrance animale. Pourquoi avoir fait cette recommandation ? Comment la Cour européenne compte-t-elle remédier à ce problème ? Est-ce vraiment une bonne idée de taxer la souffrance animale ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Qu'est-ce qu'un permis animal de compagnie ? Qu'est-ce qu'un referendum pour les animaux ? Qu'est-ce que le chassebashing ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion : 21 avril 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'émission 28 minutes du 10/05/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Kéthévane Gorjestani, chroniqueuse internationale à France 24 ; Gil Mihaely, historien franco-israélien et directeur de publication de la revue “Conflits” ; Juan Jose Dorado, correspondant espagnol à Paris et le dessinateur de presse Eric Truant. Élection présidentielle roumaine : la tentation de l'extrême droite ?Dimanche 4 mai, le candidat d'extrême droite, eurosceptique et fan de Donald Trump, George Simion, a obtenu 40,5 % des voix au premier tour de l'élection présidentielle roumaine. Dans une semaine, il affrontera au second tour le maire centriste de Bucarest, Nicusor Dan, qui a obtenu seulement 20,9 % des suffrages. Le 6 décembre 2024, la Cour constitutionnelle roumaine avait invalidé le premier tour de la présidentielle à la suite de soupçons d'ingérences russes. Un autre candidat d'extrême droite, Calin Georgescu, proche de Poutine, était arrivé en tête avec près de 23 % des voix. Avec ce nouveau vote, les Roumains semblent avoir confirmé leur vote pour un candidat dont la conception de l'Europe est éloignée de celle de la France ou encore de l'Allemagne. Comment analyser ces résultats ? Les Roumains rejettent-ils l'Union européenne à l'instar d'autres pays d'Europe de l'Est ? Léon XIV, le premier pape américain : un défi pour Trump ?Jeudi 8 mai, de la fumée blanche est sortie de la cheminée de la chapelle Sixtine, à Rome, annonçant que les 113 cardinaux électeurs se sont mis d'accord sur le prochain pape. Pour la première fois, un pape américain a été élu. En 2023, le pape François l'avait appelé à Rome pour diriger le puissant dicastère chargé de sélectionner les évêques du monde. Robert Francis Prevost, 69 ans, a choisi le nom de Léon XIV pour son pontificat. “Le mal ne gagnera pas”, a-t-il déclaré lors de sa première allocution aux fidèles. Léon XIV est proche du pape François à plusieurs égards notamment au sujet du soutien aux plus démunis et aux migrants.Nous recevons le dessinateur Aurel, auteur de la BD “Méditerranée, histoires d'un continent kaléidoscope”, aux éditions Futuropolis. Ce recueil de recherches documentaires menées auprès de spécialistes du bassin méditerranéen rassemble des extraits littéraires, des cartographies, des analyses scientifiques mais aussi des témoignages. Dans cet ouvrage, Aurel souhaite explorer l'histoire des civilisations méditerranéennes. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins gallois confrontés à une baisse de leur fréquentation touristique, moins 13 % entre 2019 et 2023. Afin d'attirer les touristes au Pays de Galles, les pouvoirs publics ont décidé de lancer un programme de subventions étonnant pour protéger les vacanciers de la pluie. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Warren Buffett, la “légende vivante du capitalisme”. Le 3 mai, il a annoncé qu'il passait la main à la tête de sa société Berkshire Hathaway, à l'âge de 94 ans. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision russe qui a diffusé le 4 mai un documentaire mettant en scène Vladimir Poutine à l'occasion de ses 25 ans à la tête du Kremlin. Paola Puerari s'intéresse à la question des salaires et se demande pourquoi le sujet est si tabou en France. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : que faire si vous tombez dans l'eau avec votre voiture ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 10 mai 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Following Manchester City's 1-0 win over Wolves, David Mooney is joined by City fan Richard Burns and, from Sporting News, Dom Farrell, to discuss the performance and big moments from the match. They look at the displays from both Kevin De Bruyne and Bernardo Silva, plus they talk about the fan protests from the first six minutes. With already-relegated Southampton up next, Sam Rosbottom gives us the details of all the times previously when City have faced a team in the Premier League that have already been doomed to finish inside the bottom three. We look ahead to that game and how Pep Guardiola may approach it with the FA Cup Final also in his sights. Plus, Saints fan Glen de la Cour, from Total Saints, also joins the show to explain what's gone wrong at St Mary's this season. ========== To get more podcasts or to listen without the ads, join our Patreon. It's just £2 per month for all the extra content and you can get a 7-day free trial first: https://www.patreon.com/BlueMoonPodcast And why not gift a Patreon subscription to a friend or family member? More details: https://www.patreon.com/BlueMoonPodcast/gift
5 février 2018, à la Cour d'assises de Douai, dans le Nord. Comparaît Rudy Sauvage, 32 ans, un tatoueur de Denain, près de Valenciennes.bFace à lui, trois femmes, victimes d'agressions sexuelles et de violence. L'une d'elle s'appelle Tiphanie Bel. Pendant presque un an, cette aide-soignante a été détruite méthodiquement par l'emprise de Rudy Sauvage. Ce jour-là, à côté de Tiphanie, une autre femme est debout. Sobre. Silencieuse. Mais ô combien présente : Maître Hélène Galluet. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avocate en droit des affaires inscrite au Barreau d'Aix-en-Provence, Caroline Szmukler exerce aujourd'hui en tant qu'indépendante et associée après avoir prêté serment en 2013.Cet épisode est un peu spécial, car Caroline avait un témoignage à transmettre : celui d'un combat juridique mené à la suite de la rupture de son contrat de collaboration, intervenue peu après l'annonce de sa grossesse.Estimant avoir été victime d'une discrimination liée à son état, Caroline a décidé de contester cette rupture. Après un parcours long et éprouvant, son affaire a abouti devant la Cour de cassation, qui a rendu une décision inédite — notamment sur la question essentielle de la charge de la preuve en matière de discrimination.Un épisode dense, parfois technique, mais essentiel pour toutes les avocates confrontées à un congé maternité mal encadré ou mal accueilli par leur cabinet — et qui cherchent à comprendre quels recours existent.Pour contacter Caroline Szmukler, voici le lien vers son profil Linkedin.Bonne écoute ! Lilas LouiseDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:18:58 - Disques de légende du mercredi 07 mai 2025 - En 2005, Jordi Savall enregistre les Concerts royaux avec, tout naturellement, le Concert des Nations. Le chantre de la musique ancienne résonne une nouvelle fois dans un chef d'œuvre de la Cour du Roi Soleil.
La Cour internationale de justice (CIJ) rejette la plainte du Soudan, qui accusait les Émirats arabes unis de complicité de génocide pour leur soutien militaire aux rebelles des Forces de soutien rapide (FSR). Mais est-ce que cela veut dire qu'il n'y a pas eu, l'an dernier, une tentative de génocide de la part des FSR contre la communauté masalit du Darfour occidental ? Marc Lavergne a été le coordinateur du groupe d'experts du Conseil de sécurité de l'ONU pour le Soudan. Aujourd'hui, il est directeur de recherches émérite au CNRS et a publié en mars 2025, dans le numéro 196 de la revue Hérodote Géopolitique de la Mer Rouge. RFI : Comment réagissez-vous au rejet de la plainte du Soudan contre les Émirats ? Marc Lavergne : Ce rejet était un petit peu attendu. Je pense que la Cour reste dans son champ de compétence en émettant évidemment quelques considérations humanitaires qui ne sont pas directement de son ressort. Mais elle est extrêmement prudente. Elle manque d'éléments très factuels. Mais également, l'enjeu est important puisqu'il s'agit d'incriminer les Émirats arabes unis dans leur soutien, plus ou moins avéré quand même, aux Forces de soutien rapide (FSR) qui affrontent l'armée soudanaise.Est-ce qu'on peut parler d'une victoire diplomatique des rebelles des FSR contre l'armée soudanaise ? Oui, c'est un petit peu un soulagement. Mais enfin, les FSR en question, elles ont sur le terrain, effectivement, des moyens d'affronter l'armée. Elles ne s'avouent pas vaincues, même si elles ont perdu la capitale. Mais elles sont soutenues par la plupart des pays africains qui entourent le Soudan et surtout par les Émirats arabes unis qui sont mus par l'intérêt qu'ils trouvent à exploiter les richesses aurifères du Soudan.Alors la Cour s'est déclarée incompétente pour des raisons juridiques, parce que, lorsque les Émirats ont adhéré en 2005 à la Convention sur le génocide, ils ont précisé qu'ils ne reconnaîtraient pas à la Cour le droit d'arbitrer un différend entre deux États…Oui, c'est-à-dire que finalement, ils ont signé, mais ils ne se sont engagés à rien.Mais malgré cette déclaration d'incompétence, la Cour précise qu'elle est profondément préoccupée par la tragédie humaine qui se déroule notamment dans le Darfour occidental…Oui, nous le sommes tous, j'imagine, mais je ne pense pas que ça ait un effet pratique, ni même des conséquences juridiques. Il faut pour ça qu'il y ait des preuves qui soient amenées par des experts sur place pour qualifier de « génocide » les exactions qui se déroulent au Darfour occidental, la région qu'habitent les Massalits à la frontière du Tchad, et qui provoquent des centaines de milliers de déplacés au Tchad même.Est-ce que cette plainte du Soudan n'a quand même pas eu le mérite de mettre en lumière les massacres de Massalits à el-Geneina, il y a un an, par les FSR ? Oui en effet, c'est une pierre de plus à apporter à l'édifice. Mais je pense que les FSR sont parfaitement identifiées comme étant des prédateurs, des pillards, des gens qui ne cherchent pas à fonder ou à remplacer un gouvernement, mais juste à se payer sur la bête. Parce que ce sont des gens qui sont eux-mêmes victimes de changement climatique, de problèmes de toutes sortes, qui font que, comme dans tout le Sahel, il y a une descente de ces nomades au détriment des sédentaires.Est-ce qu'on peut parler de nettoyage ethnique de la part des FSR contre les Massalits dans l'ouest du Darfour ? Oui, très clairement. C'est un nettoyage ethnique qui a une raison d'être. C'est-à-dire de s'approprier les terres de ces cultivateurs que sont les Massalits pour se sédentariser et trouver des sources finalement de survie autre que l'élevage des chameaux en périphérie du désert.Et est-ce qu'on peut parler du coup de tentative de génocide ? Oui, mais ce n'est pas un génocide, je dirais, sur une base de différences religieuses ou de différences idéologiques. Il s'agit d'un génocide, vraiment pour s'approprier des terres. Il n'y a pas de haine particulière des Rizeigat en particulier, qui sont à la manœuvre avec les FSR, contre les Massalits qui sont installés là en tant que sultanats partagés entre le Tchad et le Soudan.Deux ans après le début du conflit, est-ce que vous en voyez une issue ? Non, par épuisement d'un des deux combattants éventuellement. Mais on voit qu'il y a des soutiens de chaque côté. Le soutien des Émirats arabes unis n'est pas le soutien de tous les pays arabes. L'Égypte soutient l'armée. D'autres pays riverains du Soudan, pour des raisons très diverses, soutiennent les FSR. On pense à l'Éthiopie par son animosité à l'égard de l'Égypte autour du grand barrage de la Renaissance sur le Nil. Et les pays comme le Kenya, l'Ouganda, le Tchad soutiennent également de façon plus ou moins directe les FSR. Ce qui est assez paradoxal puisque ce sont des gens qui n'ont pas de projet d'État. Et quant à la population elle-même, elle a beaucoup de mal à choisir entre la peste et le choléra que sont l'armée et les FSR.Est-ce que vous croyez encore à une solution politique entre les deux belligérants ? Je crois à une solution politique à partir du moment où les robinets qui alimentent ces deux belligérants seraient coupés. Il faudrait que la communauté internationale intervienne de façon vraiment déterminée et efficace là-dessus. Alors le combat s'arrêterait. C'est-à-dire qu'il faudrait que le Soudan revienne à une transition démocratique soutenue effectivement et efficacement par les pays occidentaux. On est loin du compte.
End of Cour Winter 2025 Well this cast certainly took forever. At least we all watched some great shows. Who knew that all a woman needs in life is adorable romance and GOLF! Come have a listen to what we enjoyed in the Winter and maybe pick up something you missed! The shows covered in this Podcast are: Okitsura (Fell in Love with an Okinawan Girl, but I Just Wish I Knew What She's Saying is a Japanese), Sakamoto Days, My Happy Marriage S2, Welcome to Japan Ms. Elf, Apothecary Diaries S2, Bluebox, Zenshuu, Sorairo Utility Please visit us at: https://theconartistsblog.com/ and subscribe to our feed (http://theconartists.podbean.com/feed/) to get more podcasts! The intro/outro music is: Symphogear G - "Rainbow Flower" Lyrics/Composition: Noriyasu Agematsu Arrangement: Seima Iwahashi Vocals: Aoi Yuki Disclaimer: The Con Artists own nothing but our opinions and this podcast.
Les groupes armés haïtiens s'acharnent sur cette ville du nord du pays, où les viols et les meurtres de civils sans défense sont devenus la norme. Notre confrère Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse, rapporte que les récentes attaques des gangs armés ont causé la mort d'au moins une dizaine d'habitants de Petite-Rivière et provoqué le déplacement d'environ 20 000 personnes. Le maire par intérim indique que plusieurs cadavres n'ont pas encore pu être récupérés ni identifiés, des victimes ayant été abattues à l'intérieur même de leurs domiciles. Il appelle à une intervention urgente de la Direction départementale de la santé publique pour prévenir les risques sanitaires liés aux corps non traités. Il souligne également la nécessité d'un soutien psychologique pour les familles endeuillées, « frappées dans leur âme ».Deux coalitions criminelles d'Haïti classées organisations terroristes par les États-UnisDans Le Nouvelliste, l'ambassadeur américain à Port-au-Prince, Dennis Hanskins, décrypte la décision de placer Vivre Ensemble et le gang Gran Grif sur liste noire. L'idée reste de bloquer l'accès de ces entités aux livraisons d'armes, de munitions ou de liquidités et de donner beaucoup plus de marge de manœuvre aux agences comme le FBI. Car à partir de maintenant, les fournisseurs ou les complices de ces groupes criminels vont tomber sous le coup de sanctions anti-terroristes, y compris les citoyens américains qui se lanceraient dans des transactions suspectes. Manière polie de reconnaître que la majorité de l'armement des gangs provient des États-Unis. L'ambassadeur prévient d'ailleurs que la justice américaine va frapper fort dans les semaines qui viennent : plusieurs enquêtes majeures visent en ce moment-même des individus qui soutiennent les gangs haïtiens. Et qui risquent la révocation de leur statut de résidant sur le sol américain.À lire aussiGangs haïtiens classés «terroristes» par Washington: «Les effets négatifs risquent de dépasser largement les avantages»Aux États-Unis, le secteur touristique en souffranceChute libre des arrivées de visiteurs internationaux, qui grimpaient chaque année depuis la pandémie, mais qui s'écroulent depuis le 20 janvier. Dans POLITICO, les professionnels parlent d'un « effet domino » et parlent du tourisme comme d'une « victime collatérale des décisions de la Maison Blanche ». Les spécialistes prévoient une saison noire du côté des Canadiens, furieux de la guerre commerciale enclenchée par Donald Trump et qui font de plus en plus l'impasse sur leurs voyages aux États-Unis. Donald Trump a beau prétendre que tout va bien dans le secteur, certaines entreprises enregistrent jusqu'à 50 % de réservations en moins. Et les clients s'inquiètent en particulier du passage des frontières, car l'anxiété est montée d'un coup après l'arrestation de plusieurs touristes européens, expulsés sans véritable explication.Revers judiciaire pour l'administration Trump en matière migratoireLe processus est loin d'être achevé, mais la ministre de l'Intérieur, Kristi Noem, qui avait entrepris de révoquer ou de durcir les conditions d'accès au TPS, le statut de protection temporaire, essuie une défaite en justice. Elle qui voulait priver les Haïtiens, les Vénézuéliens, les Cubains et les Nicaraguayens de ce statut, une mesure susceptible de toucher plusieurs centaines de milliers de personnes déjà présentes sur le sol américain, devra encore patienter. Comme en première instance, la Cour d'appel de Boston vient de donner raison aux plaignants défendus par plusieurs associations. Les magistrats estiment que le gouvernement doit jauger chaque dossier au cas par cas et récusent le principe d'une suspension globale du TPS. La mère des batailles va désormais se jouer devant la Cour suprême.Au Texas, le forage à tout prix ne fait pas l'unanimitéDonald Trump a fait campagne sur la promesse de relancer la production d'hydrocarbures aux États-Unis, reprenant à son compte le fameux slogan « drill baby drill », « fore, bébé fore », et tant pis pour l'environnement. Fin mars, son administration a ainsi réautorisé l'exploitation pétrolière et gazière des réserves naturelles de l'Arctique en Alaska. Mais même dans un État conservateur comme le Texas, source de plus de 40 % de la production pétrolière des États-Unis, cette politique du tout pétrole est loin de faire l'unanimité. Reportage de notre envoyé spécial Nathanaël Vittrant à réécouter dans l'édition du jour.Arrestation retentissante d'une magistrate bolivienne chargée de plusieurs dossiers politiquesLilian Moreno, encadrée par deux policiers. Photo-choc dans les pages de La Razon. Le ministère de la Justice lui reproche d'avoir tranché en faveur d'Evo Morales. Il y a quelques jours, elle avait annulé le mandat d'arrêt visant l'ancien président bolivien, poursuivi pour détournement de mineurs et traite d'êtres humains. Ce qui lui vaut aujourd'hui des poursuites pour « désobéissance aux résolutions constitutionnelles » et « manquement à ses obligations ». Elle risque d'être radiée de la magistrature pour faute grave, même si son avocat dénonce une interpellation « illégale et arbitraire » et une « violation des droits de la défense ». Quant à Evo Morales, il tacle dans un message posté sur les réseaux sociaux « l'intimidation de tous ceux qui pensent contre l'actuel chef de l'État ».Qui rêve d'un pape américain ?À partir de demain mercredi, 133 cardinaux vont se réunir en conclave à Rome pour élire le successeur du pape François. C'est un conclave inédit : jamais autant de cardinaux n'avaient été appelés à voter, et jamais ils n'étaient venus d'autant de pays – 70 au total, sur les cinq continents. Ce sera donc le conclave le plus international de l'histoire… avec, parmi eux, 37 représentants des Amériques. Et certains commencent déjà à rêver d'un pape américain.Un nom revient avec insistance : celui du cardinal Robert Francis Prevost, 69 ans, originaire de Chicago. Il occupe aujourd'hui un poste-clé au Vatican : il est préfet du dicastère pour les évêques. C'est lui qui supervise la nomination des évêques dans le monde entier. Un poids lourd, donc. Son atout : il passait beaucoup de temps en Amérique latine, en tant que missionnaire au Pérou, puis archevêque. Il préside en plus la Commission pontificale pour l'Amérique latine, ce qui l'a rapproché des réalités du terrain dans la région qui compte encore le plus grand nombre de catholiques.Mais ce qui pourrait jouer contre lui, c'est justement sa nationalité américaine — un passeport qui n'a jamais vraiment fait recette au Vatican — et aussi son âge : 69 ans. Certains cardinaux hésitent à élire un pape pour 20 ans.Chez les conservateurs américains, un autre nom circule : celui de Raymond Burke. C'est le préféré des catholiques MAGA et de Donald Trump. Raymond Burke, c'est l'icône du courant ultra-conservateur qui monte au sein du catholicisme américain. Ses fidèles reprochent à François d'avoir été trop libéral, trop ouvert, ils appellent à un retour à des valeurs traditionnelles.Même si c'est peu probable, le Brésil y croit aussi. Avec sept cardinaux présents au conclave, le pays espère secrètement un premier pape brésilien. Le nom qui revient le plus souvent, c'est celui du cardinal Leonardo Ulrich Steiner, archevêque de Manaus. Il est perçu comme un homme proche des idées de François et très engagé en Amazonie. Un autre profil intéressant : Carlos Aguiar Retes, archevêque de Mexico, très actif sur les réseaux sociaux – il a même un compte Instagram. Lui aussi s'inscrirait dans la continuité du pape François.Et puis, côté Uruguay, le nom de Daniel Sturla circule également. Un journaliste lui a demandé il y a quelques jours s'il se voyait en pape. Voici sa réponse : « Franchement, non. Je ne me pose même pas la question. Je pense que le choix se fera ailleurs, pour des raisons géographiques, de formation et de préparation. »Le conclave marquera aussi une grande première pour HaïtiPour la première fois, un cardinal haïtien participera à un conclave. Il s'agit de Chibly Langlois, évêque des Cayes. Il a été nommé cardinal par François – comme 80 % des électeurs de ce conclave. Il ne fait pas partie des favoris, certes, mais sa présence est très symbolique. C'est la reconnaissance d'une Église longtemps marginalisée, la mise en valeur de ces « voix des périphéries » que François a tant voulu faire entendre. D'ailleurs, selon le site haïtien Rezonodwes, la question est de savoir si cette diversité inédite du collège des cardinaux pèsera dans le choix du futur pontife. Et si le nouveau pape poursuivra cette politique d'ouverture aux périphéries.L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreReprendra, reprendra pas ? En Martinique, la justice se prononcera ce mercredi sur l'interruption du transport maritime de voyageurs entre Les Trois-Îlets et Fort-de-France.
Bleach TYBW is officially coming to Toonami and the Part 3 Blu-ray drops this month! In this week's Bleach Boys podcast, we dive into the latest Klub Outside questions—what's Hisagi's secret cooking skill? Did Orihime get her weird food tastes from Sora? And what happened to Dordoni after Hueco Mundo? We also break down Kubo's new comment teasing the Yhwach vs Ichigo battle in TYBW Cour 4, revealing the team has created reference illustrations for every stage of damage the characters will go through!We also talk about Bleach Brave Souls' new Magic Society banner featuring As Nodt, Askin, and Giselle in fresh new designs. Sam drops money on the latest Tsume Grimmjow figure, and we cover Universal Studios Fan Fest Nights, where anime takes over Hollywood with attractions for One Piece and Jujutsu Kaisen! Sam also gives his review of Sinners, and we discuss what it means to see Bleach making such a strong multimedia comeback. It's a packed episode for Bleach fans!
durée : 00:12:43 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Mardi dernier, la Cour de justice de l'Union européenne a condamné le dispositif maltais qui permettait à de riches investisseurs de s'offrir la citoyenneté européenne. Ce jugement signe-t-il la fin de la citoyenneté à vendre à Malte ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Lucas Puygrenier Chercheur au Centre de recherches internationales de Sciences Po, spécialiste des relations entre migrations et monde du travail.
Le président américain Donald Trump fait tout pour tenir ses promesses de campagne, parfois à marche forcée. Notamment pour mettre en œuvre “la plus grande expulsion de migrants de l'histoire des Etats-Unis”, une des premières sur sa liste. Ou encore pour démanteler ce qu'il appelle “l'Etat profond”, ou pour viser les campus universitaires jugés antisémites ou pas assez “patriotiques”. Face à ce programme, seuls les juges semblent aujourd'hui poser des limites au président républicain et à son administration. Mais le gouvernement et le président, lui-même visé dans de multiples affaires judiciaires par le passé, n'hésitent pas à critiquer ouvertement les magistrats, voire à contourner leurs décisions. Selon les spécialistes, l'issue de ce bras de fer sera cruciale pour la démocratie américaine. Quelle sera la position des juges de la Cour suprême. La cour est composée de juges en majorité conservateurs, mais rien ne dit qu'ils ne chercheront pas à défendre la Constitution. Pour en parler Sur le Fil a invité John E Jones, un ancien juge fédéral américain, nommé par le républicain George W Bush. Il a décidé de prendre la parole, car il craint une crise constitutionnelle.Une parole qui a du poids. Dans le système judiciaire américain, les juges fédéraux sont tout en haut de la hiérarchie. Ils et elles tranchent les différends entre les citoyens et l'Etat fédéral. Et ce sont eux qui défendent les administrés aussi face à ses abus. Réalisation : Michaëla Cancela-Kieffer. Avec Selim Saheb Ettaba à WashingtonEnregistrements sur le terrain : AFPTV. Conférences dans le bureau ovale enregistrées par la présidence des Etats-Unis.Doublages : Sébastien Castéran, Michel Moutot, Henry Bouvier, Emmanuelle BailonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte un roi-danseur : Louis XIV qui, 15 années durant, a subjugué sa Cour en prenant place – et toujours la première – dans les plus grands ballets de l'époque, en réussissant l'habile figure d'entrelacer la danse et la politique dans un contexte compliqué… D'où vient la passion de Louis XIV pour la danse ? Dans quelle mesure la scène a-t-elle servi ses ambitions politiques ? Quelle place le divertissement avait-il à la cour ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Raphaël Masson, conservateur en chef du patrimoine au Château de Versailles. Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Loïc Vimard. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Tony Liégois. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 29 avril 2025 - Trump : ces 100 jours qui ont changé le mondeDonald Trump a retrouvé en janvier la Maison-Blanche, porté par une promesse de rupture totale avec l'ère Biden. 100 jours après c'est peu dire que le changement a eu lieu. Les bouleversements se sont enchaînés à mesure que sont tombés les décrets présidentiels et autres annonces fracassantes du président américain. Repoussant les limites du pouvoir présidentiel, le républicain a déjà signé plus de 140 décrets. Il a par ce biais remis en cause le droit du sol, attaqué des universités et des cabinets d'avocats, défait des politiques environnementales, confié à son allié Elon Musk la tâche de démanteler la bureaucratie fédérale, défier ouvertement la Cour suprême, ignorer des décisions de justice, effectué un rapprochement spectaculaire avec la Russie et a lancé, avant de se rétracter en partie, une violente offensive protectionniste. Un véritable Big Bang a été orchestré dans la première puissance mondiale dont les secousses sont ressenties aux quatre coins du globe. Et si Donald Trump se félicite aujourd'hui de "diriger le pays et le monde", assurant aux journalistes de The Atlantic qu'"il passait un très bon moment", les Américains déchantent et sa cote de popularité est en chute libre.D'après un sondage publié dimanche par le Washington Post et ABC News, 39 % des Américains seulement "approuvent" désormais la manière dont Donald Trump mène sa présidence. Ce chiffre est le plus bas obtenu par un président des États-Unis au cap des 100 jours depuis 80 ans. 72 % estiment que sa politique économique causera une récession à court terme, un avis partagé par 51 % des Républicains. 62 % des sondés estiment que Donald Trump ne respecte pas l'État de droit et plus de la moitié d'entre eux considèrent qu'il ne s'engage pas à protéger les droits des Américains. Selon une autre enquête Ifop pour NYC, 56 % des Américains éprouveraient aussi de la honte à l'égard de leur président et 38 % disent même avoir honte d'être citoyens des États-Unis.Il faut dire qu'après seulement trois mois on assiste à un effondrement historique de l'image des États-Unis, notamment chez ses plus proches voisins. Ainsi au Canada, Mark Carney vient d'offrir une victoire surprise aux libéraux lors des élections législatives canadiennes, en menant une campagne centrée sur les menaces du président américain Donald Trump contre le pays. Il y a quelques mois encore, la voie semblait pourtant toute tracée pour permettre aux conservateurs canadiens emmenés par Pierre Poilievre de revenir aux affaires, après dix ans de pouvoir de Justin Trudeau. Mais le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche et son offensive inédite contre le Canada, à coups de droits de douane et de menaces d'annexion, ont changé la donne. Mark Carney qui avait remplacé Trudeau à la tête des libéraux en mars dernier, devenant de facto Premier ministre dans l'attente du scrutin national a remporté ces élections en se plaçant comme un farouche opposant au président américain. D'ailleurs dans son discours de victoire, il s'en est pris une nouvelle fois à Donald Trump. "Le président Trump a trahi le Canada et il a fracturé l'économie mondiale", a-t-il assuré. "Notre relation avec les États-Unis est désormais terminée".En France également, l'image des États-Unis s'est érodée. Aujourd'hui, seuls 27 % des Français considèrent le pays comme un allié sûr, selon une enquête de l'Ifop publiée en mars, et un mouvement de boycott visant les produits américains s'est organisé. Initié par le Canada après l'investiture de Donald Trump, il est désormais soutenu par 62 % des Français, selon une autre étude Ifop publiée fin mars, et touche les marques iconiques de la consommation de masse américaine. Pour autant si le rejet de Donald Trump est massif dans l'opinion publique, le trumpisme infuse dans la politique française. Brutalisation du débat, remise en cause de l'État de droit, antiétatisme… Des personnalités de droite et d'extrême droite entendent décliner dans l'Hexagone les méthodes du président américain.LES EXPERTS : - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro - ANNE DEYSINE - Juriste et politologue, spécialiste des États-Unis- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationalesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Stéphane Bern raconte un roi-danseur : Louis XIV qui, 15 années durant, a subjugué sa Cour en prenant place – et toujours la première – dans les plus grands ballets de l'époque, en réussissant l'habile figure d'entrelacer la danse et la politique dans un contexte compliqué… D'où vient la passion de Louis XIV pour la danse ? Dans quelle mesure la scène a-t-elle servi ses ambitions politiques ? Quelle place le divertissement avait-il à la cour ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Raphaël Masson, conservateur en chef du patrimoine au Château de Versailles. Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Loïc Vimard. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Tony Liégois. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est l'une des affaires criminelles les plus marquantes des États-Unis, pas tant pour le nombre de victimes, mais pour la violence du double meurtre. Andrew Borden et sa femme Abby, âgés respectivement de 70 et 64 ans, sont retrouvés morts chez eux, dans la matinée du 4 août 1892. L'arme du crime ? Une hache. Le nombre de coups portés ? 18 pour Andrew, 19 pour Abby. Quant à la clé du mystère : il n'y aurait eu aucun témoin. À moins, bien sûr, que les deux autres personnes présentes dans la maison ce jour-là n'aient menti...Le procès de Lizzie Borden s'ouvre le 5 juin 1893, dans la ville de New Bedford, Massachusetts, au sein de la Cour supérieure. Il doit durer 2 semaines. La cour est présidée par trois juges ; Albert Mason, Justin Dewey et Calvin Clifford. La défense est assurée par un trio de renom : Andrew Jennings, ami de longue date de la famille, Melvin Adams, un jeune avocat et George D. Robinson, ancien gouverneur du Massachusetts.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA FRANCE ET LE CONTRÔLE DE SES FINANCES PUBLIQUES Après une séquence de dérive des comptes publics « préoccupante », la Cour des comptes dans son rapport publié mi-février, chiffrait à 110 milliards d'euros l'effort à fournir pour ramener le déficit public à 3%. Les causes de ce déficit sont connues : des recettes fiscales inférieures de 40 milliards aux prévisions de la loi de finances et des dépenses plus élevées de 13 milliards, notamment du côté des collectivités locales. Selon le rapport de la Cour, la situation est due à des choix politiques. Tout d'abord, les experts reprochent au gouvernement des « hypothèses de croissance optimistes qu'il a fallu plusieurs fois réviser à la baisse ». Par ailleurs, ce dérapage est à mettre sur le compte de la mise en place, jusqu'en 2023, de baisses d'impôts « non financées » et de « l'absence d'économies structurelles sur le cœur de la dépense publique ». Ces facteurs combinés se sont traduits, selon le gendarme des comptes, par une « perte de contrôle de la dépense publique ». Face à ce constat, le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici menace : « Nous pourrions ne pas certifier les comptes 2025. »Fin mars, l'Insee a annoncé que l'écart entre les recettes et les dépenses publiques a atteint 5,8% du PIB en 2024. Il s'agit du déficit public le plus massif depuis la guerre en valeur absolue, à l'exception de celui de l'année 2020, au pic de la pandémie de Covid-19. En atteignant 3.305 milliards d'euros, l'endettement public est monté à 113% du PIB fin 2024, a annoncé l'Insee. La dette publique française avait passé le cap des 100 milliards d'euros en 1981, celui des 1.000 milliards en 2003, puis celui des 3.000 milliards en 2023.Dans son rapport sur le dérapage des finances publiques publié le 15 avril,la commission d'enquête de l'Assemblée nationale rappelle que pour 2024, la prévision initiale de déficit public du gouvernement Borne était de 4,4% du PIB, revue à 5,1% en avril dernier par le gouvernement Attal, puis à 6,1% par celui de Barnier. Au final, ce déficit public pour 2024 s'est établi à 5,8% du PIB. Les deux rapporteurs, le macroniste Mathieu Lefèvre et le président de l'Union des droites pour la République, allié du Rassemblement national, Éric Ciotti, ont des visions opposées sur ces chiffres. Le premier attribue ces erreurs aux services de Bercy, le deuxième les lie à des dissimulations politiques.Malgré les discours, et même si le déficit budgétaire s'atténue peu à peu, la dette ne va pas diminuer de sitôt. Dans le budget 2025, il est prévu qu'elle monte à 115,5% du PIB en fin d'année. Dans un scénario jugé réaliste par la Cour des comptes, le ratio d'endettement pourrait dépasser 125% du PIB en 2029 et s'approcher des 130% dès 2031. D'autres économistes évoquent des ratios de 160% voire 170%, si l'État choisit d'investir massivement, notamment dans la transition énergétique ou l'armement. « Il est plus que temps de freiner et de reprendre le contrôle de nos finances publiques. Faute de quoi, nous risquons la paralysie, puis l'accident », met en garde Pierre Moscovici.BILAN DE L'ACTION DIPLOMATIQUE DU PAPEPape « du bout du monde », contrairement à ses prédécesseurs européens, Jorge Mario Bergoglio a déplacé l'axe diplomatique du Vatican vers les pays du Sud. De la dénonciation du système économique mondial, à la défense des migrants en passant par ses plaidoyers pour l'écologie, la paix, le dialogue avec l'islam, ou la lutte contre l'arme nucléaire, le pape François a été porté par une vision, inspirée de celui dont il avait choisi le nom, François d'Assise. À l'échelle internationale, appuyé sur un solide réseau diplomatique, ce dont rêvait François, c'était, « le renforcement du multilatéralisme, expression d'une coresponsabilité mondiale renouvelée, d'une solidarité fondée sur la justice et sur la réalisation de la paix et de l'unité de la famille humaine, projet de Dieu sur le monde ». Lui-même issu d'une famille de migrants - ses parents ont quitté l'Italie pour l'Argentine - François, dès le début de son pontificat, a pointé avec vigueur les drames de la migration. Son premier déplacement a eu lieu en juillet 2013, à Lampedusa, où il s'est indigné de la « mondialisation de l'indifférence », un thème clef de ce pontificat. Ce qui lui valu de sérieuses tensions avec l'Occident et en particulier les États-Unis.Partisan de la paix à tout prix et de la politique de l'apaisement, le pape considérait que « toute guerre est une défaite ». Même les guerres de libération ou de légitime défense. Car « il n'existe pas de guerre juste ». Pas même en Ukraine où François n'a eu de cesse jusqu'en mai 2022, d'appeler à l'arrêt des combats, se refusant à reconnaître la responsabilité de Vladimir Poutine et de la Russie, avançant que la « colère » du Kremlin avait pu être « facilitée » par « les aboiements de l'OTAN à la porte de la Russie ». Au Moyen-Orient, depuis le massacre du 7 octobre 2023, les relations entre le Saint-Siège et Israël étaient devenues de plus en plus difficiles. Le pape s'est vu notamment reprocher d'avoir tardé à exprimer son horreur face au massacre perpétré par le Hamas.Dans le droit fil de la tradition jésuite, le pape François a porté une attention très particulière aux 12 millions de catholiques de la République populaire de Chine. Sous son autorité, un accord secret a été signé en 2018 avec Pékin sur la nomination des évêques. Un accord qui a fait débat. Au chapitre des avancées diplomatiques, François a œuvré au rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba et joué un rôle dans la réconciliation en Colombie ainsi que dans la libération d'enfants ukrainiens capturés par les Russes, tandis que le dialogue interreligieux aura progressé, notamment avec l'université al-Azhar du Caire.En revanche, bousculant l'Europe, « grand-mère stérile » et égoïste à ses yeux, le pape n'a réalisé aucune visite officielle dans les grands pays européens de tradition catholique, comme la France, l'Espagne ou l'Allemagne.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 7 février 2018, à la Cour d'assises de Douai, dans le Nord. Ce jour-là, comparaît Rudy Sauvage. Ce tatoueur de 32 ans est jugé pour viols, séquestrations et violences aggravées sur plusieurs femmes, dont son ex-épouse, son ex-compagne et sa belle-fille. Rudy Sauvage écopera de 18 ans de prison. Car derrière cette condamnation se cache une mécanique implacable de domination et d'emprise psychologique. Celle d'un prédateur organisé, patient et calculateur. Un homme qui a méthodiquement tissé sa toile autour de ses victimes, les enfermant dans un engrenage de peur et de soumission. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro