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Le notizie locali di giornata dalla nostra redazione di Tortona - Novi Ligure.

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En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ».  Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ».  « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ».  Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».

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En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ».  Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ».  « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ».  Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».

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«Sono fiero dello sviluppo della città, ma certe notizie mi fanno arrabbiare» — (integrale su cdtlink.ch/ex-sindaco con tanto di videointervista) — L'ex sindaco di Locarno, Alain Scherrer, a tutto campo dopo un periodo di silenzio «per avere il giusto distacco»: dalle aggregazioni al Film Festival che chiede di cambiare le date, al ricorso sui concerti estivi — «Seguo la politica e preferisco farlo con un certo distacco, perché voglio rispettare le scelte della compagine che ha preso posto a Palazzo Marcacci». «Sì, ora accetto con grande piacere il vostro invito, prima mi pareva prematuro». Alain Scherrer è in formissima e ha scelto Palazzo Marcacci come luogo simbolo per ambientare un'intervista a tutto campo da rilasciare in esclusiva al Corriere del Ticino. «Sono stati gentili, abbiamo la possibilità di starcene nientemeno che nella sala del Municipio, dove ho lasciato un pezzo del mio cuore», afferma carico d'entusiasmo con il suo immancabile sorriso, salutando la ragazza allo sportello della cancelleria. «Credo sia passato il tempo necessario per poter rispondere alle vostre domande senza voler apparire invadente», aggiunge mentre sale le scale a passo spedito verso la stanza dove per lungo tempo ha retto il timone della Città di Locarno. Una volta entrato, si guarda in giro e indica con emozione il suo posto, «a capotavola». Sono passati quasi due anni dalle elezioni comunali del 14 aprile 2024, dalle quali è scaturita la nuova composizione dell'Esecutivo, rinnovato per quattro settimi. Il nostro interlocutore, all'epoca, aveva annunciato con largo anticipo di non volersi ricandidare.«Il nuovo Municipio? Mi piace questa squadra. Conosco molti di loro: chi ha già vissuto questa casa e chi ora vi entra con entusiasmo. Hanno visione, competenza, e soprattutto il mio successore ha un vero senso dello Stato, orientamento strategico, conoscenza profonda delle tematiche e il suo saper fare è lucido e concreto. Li vedo lavorare con serietà, e ho fiducia. È un sentimento raro, e me lo tengo stretto». Il neo sessantenne («Ma non mi sento vecchio, eh? Facciamo solo... meno giovane di prima, dai») riavvolge il nastro del tempo: «Ho cominciato a fare il sindaco proprio il giorno del mio cinquantesimo compleanno. Nove anni intensi. E se ci mettiamo anche i tempi in Municipio, sono quasi vent'anni. Vent'anni passati dentro queste stanze: riunioni interminabili, notti di scelte pesanti, migliaia di pomeriggi spesi per la Città. E, credetemi, ogni ora è stata viva».Si apre, tuttavia, una nuova fase. Più «distaccata», se si può definire così: «Sto molto bene, ho tempo per me e per la famiglia. Quando sei immerso in un ruolo istituzionale così in vista, non ti rendi conto di quanto sia totalizzante. Solo quando ti fermi capisci quanto correvi. Sono orgoglioso della mia Città. Leggo i giornali, mi rallegro quando trovo belle notizie e m'arrabbio per quelle negative, che però adesso vivo in modo differente. Oggi le decisioni sono in mano alla nuova compagine e il mio auspicio è che le sue scelte siano sempre guidate dal bene per la popolazione e non da speculazioni elettorali», esclama, citando i progetti principali che contribuiranno al rilancio di Locarno, come la riqualifica di piazza Grande e Largo Zorzi, il centro congressuale, la Rotonda, il Castello e il Museo di storia naturale. «Mi rendo conto che abbiamo avviato tanti progetti, forse troppi pensando alla forza finanziaria della Città e ciò non rende facile il lavoro a chi siede oggi nell'Esecutivo».E, a proposito di «arrabbiature», sul tavolo di Bellinzona era stata consegnata, ancora nella precedente legislatura, l'istanza di aggregazione con Lavertezzo, insieme alla collega Tamara Bettazza. Qualche settimana fa - dopo il «cambio della guardia» primaverile che ha portato Andrea Berri alla guida del piccolo Comune - colpo di scena: questi appare in foto con l'omologo Damiano Vignuta, di Gordola, voltando le spalle al «matrimonio» previsto con Locarno e avviando un altro tra i loro due Comuni. «Con tutto il rispetto per i protagonisti, questa fotografia mi ha fatto male», dice con rammarico.«Ad ogni modo il merito è stato di riaprire il dialogo, soprattutto con Losone e Minusio, che sono interlocutori preziosi. Altri, invece, sembrano solo approfittare della centralità di Locarno, rivendicano autonomia ma poi non sono capaci di gestire i progetti importanti, come è accaduto a Muralto con il nodo intermodale alla stazione. La fusione degli enti locali attorno al nucleo dell'agglomerato urbano è a mio avviso inevitabile, dato che la frammentazione rallenta lo sviluppo». Note più positive (letteralmente) per un altro capitolo importante nella vita dell'intervistato. Da due decenni, infatti, canta nel complesso «Vasco Jam». «La musica, il palco: è la mia seconda famiglia. Il gruppo ha 41 anni ed è probabilmente la cover band di Vasco più longeva di sempre. È casa mia. Noi sul palco ci divertiamo, e la gente lo sente».Sempre in ambito musicale, ecco spuntare un ulteriore tasto dolente: il ricorso di un esercente di piazza Grande contro i concerti estivi: «Mi rattrista vedere chi antepone interessi personali all'estate di Locarno. Piazza Grande è un simbolo potente. Qui sono passati nomi che hanno lasciato memoria nel mondo. Non possiamo rischiare che qualcuno rovini tutto per egoismi». L'altro pilastro della bella stagione è il Festival, la manifestazione culturale più importante a livello nazionale. Che vorrebbe anticipare la programmazione. Un'opportunità da cogliere? «La questione è delicata. Capisco l'industria cinematografica, ma anche il turismo vive di equilibri delicati. Il calendario è un incastro prezioso. Il Festival è un pilastro: Locarno grazie a questa manifestazione vive di cultura».Infine, la politica. Perché è proprio il «suo» PLR ad aver perso il quarto seggio del distretto in Gran consiglio. «Sì, anni fa avrei voluto fare un'esperienza a livello cantonale. Ma oggi non ne sono più attratto. La politica, parlo in generale, non dialoga più con la vita reale. È incompatibile con il mio modo di intendere il servizio pubblico. Manca il cuore. Manca il coraggio. Manca la coerenza. Manca la concretezza. Si preferisce apparire invece di agire, inseguire consenso invece di assumersi responsabilità. È un mondo che si racconta, ma non costruisce più. Io non ci sto. Voglio continuare a fare del bene, ma non accanto ai giochi di potere. Non come sindaco, voglio farlo come uomo. E le persone, non i ruoli, fanno la differenza».

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Au programme de ce sous-marin : En Novembre, c'était le mois sans Tabac. Certains fumeurs relèvent le défi de ne pas fumer pendant 30 jours. Pour les aider dans leur défi et les encourager, le centre de santé du quartier de la Roseraie a ouvert ses portes à tous les fumeurs pendant deux semaines. On fait le point avec : Christelle Mangand et Noélyne Clayer, infirmières au centre de santé de la Roseraie. Camille embarquera avec nous sur le sous-marin pour une chronique spéciale ce soir. Il nous présente la bande dessinée “le murmure de la mer”. Jules s'est rendu à la friperie QAZ qui ferme ses portes ce week-end. Il questionne dans son reportage la manière dont on vit de la vente de vêtements de seconde main. Et comme tous les jeudi, nous vous proposons un reportage Pensée Locale réalisé par une des Radios de la FRAP. A l'occasion de la journée mondiale des sols, du 4 au 6 décembre, la FRAP propose une série de podcasts sur le sujet. Ce soir vous entendrez un reportage sur les exploitants agricoles de Mayenne qui s'engagent pour la santé des sols. Voilà, vous savez tout de ce sous-marin du jeudi 27 novembre 2025. Alors ajustez votre gilet de sauvetage parce que le Sous-marin met les voiles ! Playlist : Oh Child > Tune Yards / P7 BLUE > Soyuz /

durée : 00:02:47 - 100% Sainté, la chronique - Pour les amoureux, les nostalgiques des Verts et du football en général, depuis 3 ans, une boutique fait leur bonheur : Trincamp. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

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durée : 00:02:09 - Le vrai ou faux - Leur production explose à l'approche des municipales françaises avec plus de 5 000 faux articles publiés ces quatre dernières semaines. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Jeudi 20 novembre 2025 Lola et Elio se sont rendus à la Médiathèque de Joué-les-Tours pour rencontrer Cassandra, médiathécaire, spécialiste de la musique et de la scène locale, et Nathan, chargé d’accompagnement au Temps Machine. Ensemble, ils ont animé la première émission de la saison dédiée à la Cuvée Scène Locale. Alors, pour tout savoir […] L'article Ghettoblaster x Cuvée Scène Locale – #1 est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.

Les autorités guinéennes ont, en août 2025, créé une société à capitaux publics, Nimba Mining Company (NMC), pour reprendre une mine de bauxite à la société émirienne Guinea Alumina Corporation (GAC). La raison ? Elle n'avait pas construit d'usines de transformation après 20 années d'activité. Alors que GAC employait beaucoup de cadres étrangers, NMC se veut une entreprise avec presque 100% de travailleurs guinéens. Ce qui pose un grand défi, et les observateurs s'interrogent : la mine de bauxite pourra-t-elle maintenir son niveau de performances, sans ces cadres étrangers ? Lors de la cérémonie de chargement de la première cargaison de bauxite de Nimba Mining, début novembre en Guinée, le ministre des Mines, Bouna Sylla, affichait des objectifs ambitieux à atteindre, avec un maximum de cadres et d'ingénieurs guinéens. « Notre pays, qui dispose d'une part déterminante des réserves mondiales de bauxite, doit maîtriser la chaîne de valeur, déclarait-il. C'est l'ambition que porte NMC [Nimba Mining Company] : faire de la bauxite guinéenne un moteur de souveraineté, d'industrialisation et d'emplois qualifiés. Cette ambition repose sur des fondamentaux clairs. » Parmi ces fondamentaux, détaillait-il : le « renforcement du contenu local, avec des emplois qualifiés, de la sous-traitance, de la formation et la montée en compétence des jeunes Guinéennes et Guinéennes ». Maintenir un standard élevé Oumar Totiya Barry, directeur de l'Observatoire guinéen des mines et des métaux (OGMM), s'inquiète du départ des cadres étrangers de GAC. Cette perte de compétences pourrait avoir des effets négatifs à court et moyen terme. « L'ancienne société GAC était réputée être très performante en termes de pratiques sociales et environnementales et en termes de management industriel. Avec la nationalisation, l'expérience peut nous amener à nous interroger sur la capacité de la nouvelle société à maintenir ce standard très élevé en termes de pratiques sociales et environnementales », analyse-t-il. Pôle de compétences et formation Le directeur de Nimba Mining, le Français Patrice L'Huillier, se veut rassurant. Un « pôle de compétences » doit voir le jour prochainement, où cadres et ingénieurs guinéens pourront parfaire leur formation et travailler dans différentes sociétés minières du pays. « Dans l'électronique industrielle, dans l'automatisme, dans la planification minière, détaille-t-il, dans les sujets très pointus techniquement où on peut former de jeunes cadres et ingénieurs guinéens, dans l'utilisation des technologies où, actuellement, on est obligé de faire appel à des expatriés, des étrangers, alors qu'on a le potentiel pour former des jeunes Guinéens et Guinéennes qui sont tout à fait capables de faire le travail. » L'objectif est de remplacer tous les cadres étrangers par des nationaux bien formés, sans nuire à l'efficacité de l'entreprise. À lire aussiGuinée: les autorités inaugurent le méga-projet minier de Simandou