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Libre antenne week-end
Libre antenne - Fonctionnaire de police, José est actuellement en arrêt maladie

Libre antenne week-end

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 25:40


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invité Afrique
Cameroun: «Paul Biya est en pleine forme et à même de poursuivre ce qu'il a commencé», déclare Grégoire Owona

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 15:24


« Le président-candidat Paul Biya est en pleine forme de ses moyens et il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meetings avant la présidentielle », affirme le ministre camerounais du Travail Grégoire Owona, qui est aussi le secrétaire-général adjoint du parti au pouvoir RDPC. En vue de la présidentielle du 12 octobre, le candidat Paul Biya ne risque-t-il pas de perdre des voix après la démission de deux de ses ministres ? Et fera-t-il des réformes s'il est réélu ? En ligne de Yaoundé, l'un des hommes forts de sa majorité répond aux questions de Christophe Boisbouvier. Grégoire Owona, quelles seront les deux premières priorités du président Paul Biya s'il est réélu ? Grégoire Owona : Mais le président Paul Biya, certainement, va mieux préciser ses priorités dans sa profession de foi qui va bientôt sortir. Mais je crois que si on devait parler des deux premières priorités en tant que RDPC qui soutient sa candidature, je prendrais la consolidation de la paix, de l'unité nationale et la sécurité en premier, et ensuite la promotion des jeunes et le renforcement du rôle de la femme. La grande inquiétude de l'opposition, c'est la fraude électorale. Même Bello Bouba Maigari affirme que les élections sont truquées au Cameroun et que c'est encore arrivé à la présidentielle de 2018. Qu'est-ce que vous lui répondez ? Je crois que tous ceux qui disent ça font un peu de la diversion. On ne peut pas appeler par exemple au boycott d'une élection locale, sachant qu'on déclare en plus pertinemment quelles sont les conséquences, à savoir l'exclusion à l'élection présidentielle, pour dire après que le système électoral n'est pas bon ou qu'il est mauvais. Donc, je crois qu'il faut faire très attention. Le dépouillement est public. Chacun des candidats ou des représentants des candidats rentrant avec un procès-verbal signé par tous. Quelle autre transparence peut-on vouloir dans un système électoral ? Et si le candidat Paul Biya est battu, est-ce qu'il reconnaîtra sa défaite ? Nous allons à une compétition dans un esprit démocratique. Nous sommes bien préparés, nous espérons gagner. Et si cela arrivait, on se comporterait comme des républicains. C'est-à-dire que le RDPC reconnaîtrait à ce moment-là, la défaite de son champion ? Mais absolument. Mais sur la base des résultats des urnes, pas sur la base des procès d'intention, des interprétations malsaines des lois. Ce 12 octobre, le président Paul Biya va être candidat pour un huitième mandat. Mais beaucoup estiment qu'à 92 ans, c'est une charge trop lourde pour lui. Qu'est-ce que vous en pensez ? J'ai entendu sur votre radio que quand on parle d'âge, c'est qu'on a plus d'arguments. J'ai entendu quelqu'un dire ça. C'est en effet ce qu'a dit Issa Tchiroma. Nous, on a des arguments. Notre candidat est en pleine forme de ses moyens, il conduit le pays, il est à même de poursuivre ce qu'il a commencé. Donc, je ne vois pas le problème que vous êtes en train de soulever sur cet aspect. Actuellement, le chef de l'Etat séjourne en Europe. Est-ce que vous savez quand est-ce qu'il va rentrer ? Mais c'est un court séjour privé. Quand il devra rentrer, on sera bien informé. Et quand il va rentrer, est ce qu'il va tenir un ou plusieurs meetings ? Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Je vous ai dit au début qu'il rendra publique sa profession de foi. Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Et je peux même vous dire que s'il faut faire des réformes, il se permettra de faire des réformes. Le départ du gouvernement de deux poids lourds du nord du pays Bello Bouba et Issa Tchiroma. Est-ce que cela ne va pas vous faire perdre des voix ? Les démissions de Bouba Bello et d'Issa Tchiroma, je peux vous dire qu'elles ne vont pas spécialement nous faire perdre des voix. Pourquoi ? Pour deux choses. Parce que d'abord, ces deux candidats se sont discrédités par leur façon de faire et par leur façon d'être. La deuxième raison, c'est que dans les zones où ils ont leur base, il y a de nouveaux alliés qui nous ont rejoints, que ce soit en termes de partis politiques ou en termes d'associations. Mais est-ce que nécessairement, et notamment à cause de ces deux ministres démissionnaires, vous n'allez pas faire un score inférieur à celui de 2018 ? Wait and see. Moi, je n'en suis pas du tout convaincu, parce que plusieurs candidats se sont discrédités par leur façon d'être, par leur façon de faire. Ils ont dit des choses et leur contraire en même temps. Ils ont eu des agissements qui font qu'on ne croit plus en eux. Et nous, nous sommes restés dans la même ligne politique et nous sommes crédibles. Notre candidat est crédible. Voulez-vous dire que Bello Bouba et Tchiroma ne sont pas crédibles parce qu'ils étaient encore avec vous il y a quatre mois et que ce ne sont pas de vrais opposants ? Ce n'est pas ça que j'ai dit, mais ils ont fait pire que démissionner. Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ce n'est ni le lieu ni le moment de vouloir parler négativement des autres candidats. Nous, on est fair-play. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: le parti au pouvoir présente «l'armée» de Paul Biya pour la campagne À lire aussiÉlections au Cameroun: pour battre Paul Biya, «il faudra un raz-de-marée» de l'opposition, martèle Issa Tchiroma Bakary

BNP Paribas Wealth Management
Les matières premières : le maillon manquant dans un portefeuille

BNP Paribas Wealth Management

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 11:58


Dans ce podcast, Guy Ertz, Deputy Global Chief Investment Officer, évoque l'importance stratégique des matières premières dans la construction d'un portefeuille d'investissement résilient et diversifié.·       Actuellement, les investisseurs sont sous-exposés aux matières premières : les family offices mondiaux n'allouent que 1 % de leurs portefeuilles à cette classe d'actifs, malgré ses performances solides ces dernières années. ·       Les matières premières ont généré des rendements impressionnants, notamment en 2025. L'indice S&P Equal Weight Commodities a progressé de 14 % cette année, tandis que les métaux précieux comme l'or, l'argent et le platine ont enregistré des gains compris entre 39 % et 58 %. ·       La diversification est devenue plus difficile, car les actions et les obligations présentent désormais une forte corrélation positive. Cela réduit l'efficacité des obligations comme couverture, faisant des matières premières une alternative précieuse. ·       Les matières premières offrent une diversification naturelle, réparties en quatre catégories — métaux précieux, énergie, métaux industriels et matières premières agricoles — chacune réagissant différemment aux cycles économiques et aux tensions géopolitiques. ·       Il existe des moyens intelligents d'intégrer les matières premières dans un portefeuille, comme l'utilisation d'indices tels que le BNP Paribas Energy and Metals Enhanced Roll Index, des ETF diversifiés, ou des investissements ciblés dans des métaux spécifiques comme l'or, le cuivre et l'étain.Hosted by Ausha. See ausha.co/privacy-policy for more information.

Ça peut vous arriver
PÉPITES - Justin Timberlake, "Votre interlocuteur est actuellement aux toilettes"... Le meilleur de l'émission du 24 septembre 2025

Ça peut vous arriver

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 2:45


Julien Courbet tente d'imiter Justin Timberlake, et on comprend pourquoi il n'a pas fait carrière dans la chanson. Désormais, il y a un match entre ses talents d'humoriste et de chanteur... Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le retour de Mario Dumont
Grève à la STM: «Il y a des écarts considérables entre les deux clans actuellement», dit Marie-Claude Léonard

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Sep 22, 2025 7:21


La grève des employés de la Société de transport de Montréal (STM) a débuté ce matin, paralysant en partie le réseau de métro et d’autobus de la métropole. Les services sont offerts à horaires réduits, avec des plages limitées en matinée, en après-midi et en soirée, les lundis, mercredis et vendredis pour deux semaines. La STM a déjà installé des affiches rouges dans les stations pour informer les usagers des heures du premier et du dernier train. Devant ces perturbations, les Montréalais sont invités à envisager des solutions de rechange comme le covoiturage, le taxi, les transports actifs ou le service Bixi, qui sera exceptionnellement renforcé. Entrevue avec Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Reportage France
La galère des étudiants ultramarins pour se loger

Reportage France

Play Episode Listen Later Sep 21, 2025 2:31


Se loger pour un étudiant, c'est déjà un véritable casse-tête... Mais lorsqu'on vient des territoires d'outre-mer pour poursuivre ses études en métropole, c'est encore plus compliqué. Les étudiants ultramarins sont frappés par une discrimination au logement liée à la situation géographique et économique de leurs garants, selon l'Insee. Actuellement, ce sont 38 000 étudiants des Outre-mer qui suivent des études supérieures dans l'Hexagone, dont 6 000 nouveaux qui arrivent en début d'année universitaire.

KICK-OFF RUGBY
THOMAS RAMOS EST-IL LE MEILLEUR JOUEUR DU MONDE ACTUELLEMENT ? KICK-OFF RUGBY AVEC SANTIAGO ARATA EN INVITÉ !

KICK-OFF RUGBY

Play Episode Listen Later Sep 11, 2025 77:46


Quatrième épisode de la saison pour Kick-Off Rugby ! Programme chargé avec le traditionnel débat autour de Thomas Ramos, excellent avec Toulouse. L'invité sera Santiago Arata, le demi de mêlée du CO.

swing
Rory, Saddier, Guillamoundeguy, les tubes de l'été !

swing

Play Episode Listen Later Sep 10, 2025 63:45


Cette semaine nous parlerons de la nouvelle victoire de Rory McIlroy à l'Open d'Irlande. Un tournoi où Adrien Saddier à terminer 5e. Le Français sera avec nous pour évoquer ce nouveau top 5 sur le Tour qui lui permet de croire plus que jamais à une montée sur le PGA Tour.Dans la deuxième partie de l'émission, c'est Oihan Guillamoundeguy qui sera avec nous pour évoquer son bel été sur l'HotelPlanner Tour, la deuxième division européenne. Actuellement deuxième de la Road to Mallorca, le Tricolore est assuré de grimper sur le DPWorld Tour l'an prochain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Rothen s'enflamme
Allo Jérôme : Daniele Manusia nous explique pourquoi Manu Koné est l'un des meilleurs milieux du monde actuellement – 09/09

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 8:39


Aujourd'hui l'économie
Face à Donald Trump, l'Inde de Narendra Modi joue la carte du pouvoir d'achat

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 3:02


Confrontée à des droits de douane punitifs de 50% imposés par les États-Unis sous l'impulsion de Donald Trump, l'Inde a choisi de ne pas riposter frontalement. Le gouvernement de Narendra Modi déploie une stratégie intérieure : alléger la fiscalité pour soutenir la consommation et amortir le choc sur la croissance. Les nouvelles taxes américaines résonnent comme une onde de choc pour les industriels indiens. 50% sur chaque produit importé d'Inde. Ces surtaxes douanières menacent les exportations, avec à la clé des risques de baisse de la production, de suppressions d'emplois et, en bout de chaîne, d'un ralentissement de la croissance. Déjà en repli par rapport à 6,5% l'an dernier, celle-ci pourrait s'affaiblir encore. Face à cette pression, New Delhi cherche à rassurer à la fois les entreprises et les consommateurs. Une réforme fiscale pour redonner du pouvoir d'achat La réponse de Narendra Modi passe par une refonte de la taxe sur les biens et services (GST). Actuellement structurée en quatre tranches – 5%, 12%, 18% et 28% – et jugée lourde administrativement, elle serait simplifiée en deux paliers : 5% pour les biens essentiels et 18% pour la majorité des autres produits. Avec moins de paperasse pour les entreprises et des prix allégés pour les ménages, le gouvernement espère un effet de relance rapide. Les économistes estiment que cette réforme pourrait ajouter 0,6% au PIB, soit plusieurs dizaines de milliards de dollars. Mais elle priverait l'État d'au moins 16 milliards de dollars de recettes fiscales annuelles, selon HSBC. Un pari fiscal et diplomatique risqué Ce manque à gagner inquiète particulièrement les États indiens, qui en supporteraient plus de 70% et réclament des compensations. Pour équilibrer la réforme, le gouvernement prévoit un taux de 40% sur les produits de luxe et de « péché » tels que le tabac ou les voitures haut de gamme. Au-delà de la relance interne, cette politique vise aussi à attirer des investissements étrangers indispensables au développement du pays. Reste que ce pari fiscal est risqué : il engage l'équilibre budgétaire, institutionnel et diplomatique de l'Inde, et pourrait influencer sa place sur la scène mondiale dans les années à venir. À lire aussiDroits de douane: les produits indiens désormais taxés à 50% à leur entrée aux États-Unis

Reportage International
Argentine: les personnes en situation de handicap échapperont-elles à la tronçonneuse de Javier Milei?

Reportage International

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 2:28


En août dernier, le président argentin avait eu recours à son droit de veto pour bloquer une aide d'urgence aux personnes handicapées votée par le Parlement. Si le chef de l'État avait justifié son geste par sa volonté de préserver à tout prix l'équilibre budgétaire du pays obtenu au prix d'une sévère cure d'austérité, le Sénat pourrait lever ce veto ce jeudi 4 septembre. Reportage au sein d'un foyer accueillant des personnes atteintes de handicap mental. De notre correspondant à Buenos Aires,  Directrice générale de la Dinad, Adriana Salomone nous fait visiter l'un de ses établissements: « En tout, l'institution accueille 150 personnes en situation de handicap réparties entre l'école et les deux foyers ». Celui où elle reçoit compte une cinquantaine de pensionnaires et environ autant d'employés - personnels administratifs, assistants sociaux, infirmières et éducateurs. Malena est musicothérapeute : « Je travaille ici depuis 11 ans. Actuellement, l'ajustement budgétaire nous limite beaucoup au niveau du matériel. Qu'il s'agisse des enceintes ou des instruments, je dois tout amener de chez moi », explique-t-elle.  Le foyer doit se serrer la ceinture car, depuis l'an passé, le gouvernement a gelé les montants perçus par les établissements accueillant des personnes handicapées. Mais pendant ce temps-là, le niveau des prix et les frais de l'établissement, eux, continuent de grimper. « Nos frais ont augmenté d'au moins 25% et ce que nous recevons n'a pas changé. Donc actuellement, toutes les institutions liées au handicap dépensent plus qu'elles ne reçoivent », rappelle Adriana Salomone.  À lire aussiLégislatives en Argentine : la campagne électorale de Javier Milei commence sous les jets de pierre « On doit de nouveau se battre pour la même chose » Même après avoir réduit leurs coûts au maximum, de nombreuses institutions ne peuvent plus payer leurs charges sociales et accumulent les dettes. La directrice de la Dinad alerte sur le risque de fermeture de centres d'accueil pour personnes handicapées : « Si on ne peut plus payer les salaires et qu'on ne peut plus payer les frais à cause du niveau d'endettement, il faudra qu'on ferme. Certains de nos résidents ont vécu ici toute leur vie, ils ne connaissent rien d'autre que ce foyer. Certains n'ont plus de famille, ils n'ont personne. Où vont-ils aller, que va-t-on faire d'eux ? On les laisse à la rue ? ».  Pour éviter d'en arriver là, le Parlement a voté le mois dernier une loi déclarant l'état d'urgence en matière de handicap et débloqué des fonds pour assurer le fonctionnement des institutions d'accueil jusqu'à la fin 2027. Mais le président Javier Milei a utilisé son droit de veto pour bloquer le texte, au grand dam de Daniela Vagnenkos, responsable de l'un des foyers de la Dinad : « Le plus rageant, c'est que tout ça, c'était des acquis, des droits qu'on avait déjà obtenus. Et là, on revient en arrière, et on doit de nouveau se battre pour la même chose ». Le veto de Javier Milei à l'aide d'urgence en matière de handicap pourrait être levé par le Parlement ce jeudi 4 septembre. Si l'opposition réussit à réunir une majorité des deux tiers, elle pourrait mettre un coup d'arrêt à la cure d'austérité imposée par le président argentin. À lire aussiArgentine : le prestigieux hôpital pédiatrique Garrahan de Buenos Aires au bord de l'effondrement

Afrique Économie
Comores: Moroni veut accélérer le développement de son secteur privé

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 2:20


Alors que le secteur productif est à la peine aux Comores, comment faire en sorte de développer « l'État investisseur » dans l'archipel ? Face à ce problème, acteurs publics, banques et régulateurs s'accordent sur un même constat : sans financements adaptés ni infrastructures de base, le secteur privé restera fragile. Pour tenter de le renforcer, un certain nombres d'initiatives commencent donc à voir le jour. Objectif : créer dans le pays un climat d'affaires plus favorable. Avec notre correspondant à Moroni, Alors que de nombreux entrepreneurs comoriens déplorent la fuite de capitaux hors de l'archipel en raison de l'obtention de marchés publics nationaux par des entreprises étrangères, Saadi Maoulida, qui est membre de l'Autorité de régulation des marchés publics, affirme être à la recherche de solutions : « Nous avons entrepris des échanges avec la chambre de commerce ainsi qu'avec le gouvernement pour intégrer de nouvelles directives qui vont encourager les petites et moyennes entreprises à se regrouper. Objectif : concurrencer les expertises étrangères pour que la gestion des contrats publics soit effective au niveau national ». « Beaucoup d'entrepreneurs n'ont pas connaissance des règlements en matière de passation des marchés publics. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui, ils n'arrivent pas à être compétitifs sur le créneau », ajoute-t-il. Lors du dernier dialogue en date entre le secteur public et le secteur privé, « le gouvernement a appelé au respect des règlementations nationales […]. Nous avons lancé des mesures de sensibilisation aux acteurs de la commande publique pour qu'ils s'y conforment. » À lire aussiComores : « Investir aujourd'hui, transformer demain », le salon des entreprises BIK 2025 s'ouvre à Moroni « Là où on rencontre le plus d'obstacles, c'est au niveau de l'acheminement de nos matériaux » À ce problème s'ajoute celui de l'insularité des Comores ainsi que toute une série d'autres difficultés comme le manque d'infrastructures de transports dans le pays. « Là où on a le plus d'obstacles, c'est au niveau de l'acheminement de nos matériaux, comme quand on a passé une commande et qu'on nous dit que le bateau arrivera à telle date mais que finalement, il n'arrive pas... », illustre ainsi Moinahadidja Hachim, le responsable de Locakom qui s'apprête à ouvrir une société familiale de location d'outils de bricolage et de jardinage. Face à ces défis, de nouvelles initiatives sont mises en place pour tenter de soutenir les jeunes entrepreneurs. « Actuellement, nous avons par exemple le réseau Komsae dont la mise en place va permettre à ces derniers de se rapprocher de différentes structures en fonction de leurs besoins », explique ainsi Nadjwa Saïd Mohamed Djalim, assistante de direction chez Innov'Lab, le premier incubateur comorien qui est à l'origine de Komsae. « Ces initiatives doivent permettre de promouvoir une culture entrepreneuriale et l'entrepreneuriat collectif » aux Comores, poursuit celle-ci. Objectif : « Faire travailler ensemble ces jeunes entrepreneurs, créer entre eux un esprit d'équipe et de collaboration ». En dépit du tarif des stands jugé trop cher, le dernier Salon des entreprises comoriennes a toutefois permis des rencontres pour tenter de rapprocher les acteurs du secteur public et du secteur privé. À lire aussiComores : la diaspora, un pilier vital de l'économie nationale pendant le ramadan

Reportage international
Argentine: les personnes en situation de handicap échapperont-elles à la tronçonneuse de Javier Milei?

Reportage international

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 2:28


En août dernier, le président argentin avait eu recours à son droit de veto pour bloquer une aide d'urgence aux personnes handicapées votée par le Parlement. Si le chef de l'État avait justifié son geste par sa volonté de préserver à tout prix l'équilibre budgétaire du pays obtenu au prix d'une sévère cure d'austérité, le Sénat pourrait lever ce veto ce jeudi 4 septembre. Reportage au sein d'un foyer accueillant des personnes atteintes de handicap mental. De notre correspondant à Buenos Aires,  Directrice générale de la Dinad, Adriana Salomone nous fait visiter l'un de ses établissements: « En tout, l'institution accueille 150 personnes en situation de handicap réparties entre l'école et les deux foyers ». Celui où elle reçoit compte une cinquantaine de pensionnaires et environ autant d'employés - personnels administratifs, assistants sociaux, infirmières et éducateurs. Malena est musicothérapeute : « Je travaille ici depuis 11 ans. Actuellement, l'ajustement budgétaire nous limite beaucoup au niveau du matériel. Qu'il s'agisse des enceintes ou des instruments, je dois tout amener de chez moi », explique-t-elle.  Le foyer doit se serrer la ceinture car, depuis l'an passé, le gouvernement a gelé les montants perçus par les établissements accueillant des personnes handicapées. Mais pendant ce temps-là, le niveau des prix et les frais de l'établissement, eux, continuent de grimper. « Nos frais ont augmenté d'au moins 25% et ce que nous recevons n'a pas changé. Donc actuellement, toutes les institutions liées au handicap dépensent plus qu'elles ne reçoivent », rappelle Adriana Salomone.  À lire aussiLégislatives en Argentine : la campagne électorale de Javier Milei commence sous les jets de pierre « On doit de nouveau se battre pour la même chose » Même après avoir réduit leurs coûts au maximum, de nombreuses institutions ne peuvent plus payer leurs charges sociales et accumulent les dettes. La directrice de la Dinad alerte sur le risque de fermeture de centres d'accueil pour personnes handicapées : « Si on ne peut plus payer les salaires et qu'on ne peut plus payer les frais à cause du niveau d'endettement, il faudra qu'on ferme. Certains de nos résidents ont vécu ici toute leur vie, ils ne connaissent rien d'autre que ce foyer. Certains n'ont plus de famille, ils n'ont personne. Où vont-ils aller, que va-t-on faire d'eux ? On les laisse à la rue ? ».  Pour éviter d'en arriver là, le Parlement a voté le mois dernier une loi déclarant l'état d'urgence en matière de handicap et débloqué des fonds pour assurer le fonctionnement des institutions d'accueil jusqu'à la fin 2027. Mais le président Javier Milei a utilisé son droit de veto pour bloquer le texte, au grand dam de Daniela Vagnenkos, responsable de l'un des foyers de la Dinad : « Le plus rageant, c'est que tout ça, c'était des acquis, des droits qu'on avait déjà obtenus. Et là, on revient en arrière, et on doit de nouveau se battre pour la même chose ». Le veto de Javier Milei à l'aide d'urgence en matière de handicap pourrait être levé par le Parlement ce jeudi 4 septembre. Si l'opposition réussit à réunir une majorité des deux tiers, elle pourrait mettre un coup d'arrêt à la cure d'austérité imposée par le président argentin. À lire aussiArgentine : le prestigieux hôpital pédiatrique Garrahan de Buenos Aires au bord de l'effondrement

Stetho et Baskets
Kristell : la course du stétho à la revue du prat'

Stetho et Baskets

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 58:22


Kristell est multicasquettes : Initialement médecin généraliste ayant majoritairement travaillé en PMI, elle utilise son goût de la lecture et l'écriture via son travail de directrice de la revue du praticien. (revue à destination des médecins) Côté sport le premier dossard à la Parisienne a été suivi par une activité grandissante en course pour aller jusqu'aux marathons. L'entrainement de course à pied a débuté en 2016 régulièrement.Après son lycée à Paris, Kristell a fait ses études de médecine à Paris. Elle nous livre un vécu positif de toutes ces années. Elle a eu un exercice de médecin en PMI et en crèche. A ce moment là elle a ouvert un blog pour partager des anecdotes du quotidien, ceci ayant donné naissance à un livre. En écrivant un autre livre concernant la vaccination, après avoir fait un DU de vaccination, elle trouve une autre façon d'aider les autres médecins pour répondre aux questions que se posent les patients sur les vaccins. Actuellement c'est une unité parent bébé qui accueille la docteur du stéthoscope en compote.Avec ce livre de l'hésitation vaccinale, la porte de la revue du praticien a été poussée pour Kristel avec la réussite que nous lui connaissons actuellement.Avec cet épisode vous en saurez beaucoup plus sur cette revue et les coulisses de sa rédaction. Et… vous saurez ce qu'est un BAT.Bonne écoute ! Son instagram :https://www.instagram.com/stethoscope_en_compote/Pour retrouver les livres :https://www.presses.ehesp.fr/auteur/kristell-guevel/et la revue du praticien :https://www.larevuedupraticien.fr/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est pas du vent
L'enfer du cobalt en RDC : l'envers de la transition énergétique

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 48:30


C'est la face cachée de la transition énergétique. Vous le savez... pour enrayer le réchauffement climatique, nous devons, n'en déplaise à Donald Trump, arrêter de brûler du charbon, du pétrole et du gaz. Actuellement, le secteur des transports est un des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale. (Rediffusion du 24 janvier 2025) Ces émissions pourraient atteindre un pic cette année, selon le Conseil international des transports propres, grâce aux règlementations carbone et à l'essor des véhicules électriques. Mais cet essor a un prix : une ruée d'une ampleur inédite vers de nombreux métaux, dont le cobalt. Nous vous emmenons à la découverte de cette face cachée en RDC qui abrite les deux tiers des réserves mondiales de cobalt. Reportage de Samuel Turpin et éclairage de Anaïs Tobalagba, chercheuse au RAID et autrice du rapport Dans les coulisses de la transition énergétique : Regard critique sur l'impact des mines industrielles de cobalt en RDC.

C'est pas du vent
L'enfer du cobalt en RDC : l'envers de la transition énergétique

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 48:30


C'est la face cachée de la transition énergétique. Vous le savez... pour enrayer le réchauffement climatique, nous devons, n'en déplaise à Donald Trump, arrêter de brûler du charbon, du pétrole et du gaz. Actuellement, le secteur des transports est un des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale. (Rediffusion du 24 janvier 2025) Ces émissions pourraient atteindre un pic cette année, selon le Conseil international des transports propres, grâce aux règlementations carbone et à l'essor des véhicules électriques. Mais cet essor a un prix : une ruée d'une ampleur inédite vers de nombreux métaux, dont le cobalt. Nous vous emmenons à la découverte de cette face cachée en RDC qui abrite les deux tiers des réserves mondiales de cobalt. Reportage de Samuel Turpin et éclairage de Anaïs Tobalagba, chercheuse au RAID et autrice du rapport Dans les coulisses de la transition énergétique : Regard critique sur l'impact des mines industrielles de cobalt en RDC.

Reportage France
France: face à la précarité alimentaire, un nouveau modèle solidaire en expérimentation

Reportage France

Play Episode Listen Later Aug 25, 2025 2:33


La Sécurité sociale alimentaire est une initiative qui gagne du terrain en France. Elle fonctionne sur le modèle de la Sécurité sociale : chacun y contribue selon ses moyens et en bénéficie selon ses besoins. Face au réchauffement climatique et aux inégalités d'accès à une alimentation saine et durable, la Sécurité sociale alimentaire convainc de plus en plus. Reportage dans le XXᵉ arrondissement de Paris, un des quartiers de la capitale où subsiste une mixité sociale importante.  Sac en papier kraft à la main, Pierre fait ses courses dans un supermarché bio du XXᵉ arrondissement de Paris. Ce jour-là, il n'a pris que des fruits et légumes frais. À la caisse, il paye via une application sur laquelle son compte est crédité chaque mois de 175 euros pour faire ses courses dans des magasins conventionnés. « J'ai 61 ans. [Actuellement] j'ai des petits boulots, mais [avant] j'ai travaillé pendant 30 ans dans le dessin animé », raconte-t-il.  Depuis quelques mois, lui et sa compagne participent à une expérimentation dans leur arrondissement : la caisse alimentaire solidaire, qui suit les principes de la Sécurité sociale de l'alimentation. Ce n'est pas de l'aide alimentaire d'urgence, c'est un projet plus ambitieux et de long terme. Chacun cotise en fonction de ses revenus et reçoit en fonction de ses besoins, selon une grille progressive que nous montre Pierre : « Voilà, les grilles sont là. On fait le calcul selon le revenu net mensuel des deux personnes et on a une cotisation qui correspond à ce revenu. Je paye moins cher mes légumes pour l'instant grâce à cette cotisation. » Chaque cas est différent. Certains cotisent plus qu'ils ne reçoivent. D'autres reçoivent autant qu'ils cotisent. Pierre et sa compagne, eux, cotisent 60 euros. Et ils reçoivent donc 175 euros à dépenser dans des magasins bio sélectionnés à l'avance, collectivement, par un comité citoyen dont Pierre fait partie depuis un an : « J'étais intéressé par la démarche démocratique d'abord. Et tout ce qui en découle : le mieux vivre, le mieux manger, participer à cette expérimentation... » À lire aussiFace au changement climatique, les prix de l'alimentation s'envolent dans le monde Aujourd'hui, 100 foyers de cet arrondissement participent et cotisent. Depuis le Covid-19, l'idée d'une Sécurité sociale de l'alimentation a germé en France et s'est concrétisée dans une trentaine de villes comme Montpellier, Bordeaux ou encore Toulouse. Dans le XXᵉ arrondissement de Paris, l'expérimentation est soutenue par la mairie et par l'État, qui ont apporté 200 000 euros en tout cette année. Et le projet est porté par l'association Vivres, créée pour l'occasion par le comité citoyen et les adhérents. « C'est un projet qui va au-delà de donner l'accès à l'alimentation de qualité : cela vise aussi à transformer la production agricole. Oui, on parait être de doux rêveurs un peu cinglés... Évidemment que le projet, avant d'être abouti, semble très difficile et hors d'atteinte. Mais le projet de Sécurité sociale alimentaire vise à être étendu en France, partout, et à être aussi universel que la Sécurité sociale de la santé », explique Catherine Thomas, sa co-présidente.  L'expérimentation doit s'ouvrir à de nouveaux cotisants l'an prochain. Une proposition de loi pour instaurer une Sécurité sociale de l'alimentation à l'échelle nationale a été présentée par les écologistes en début d'année, mais n'a pas pu être examinée. En pleine période de crise budgétaire, le ministre de la Santé, Yannick Neudera, a estimé que l'initiative était difficilement soutenable financièrement.  À lire aussiComment rendre l'alimentation saine et durable ?

TOPFM MAURITIUS
Alerte : une arnaque par e-mail usurpant l'identité de la police et d'autorités régulatrices circule actuellement…

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Aug 22, 2025 1:08


Alerte : une arnaque par e-mail usurpant l'identité de la police et d'autorités régulatrices circule actuellement… by TOPFM MAURITIUS

Navigantes
#68 Carolijn Brouwer, l'élégante

Navigantes

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 60:40


A 52 ans, Carolijn Brouwer est une figure emblématique de la course au large et de la voile légère. Actuellement membre de l'équipage Holcim-PRB engagé dans The Ocean Race Europe, elle compte en effet à son actif trois participations à la Volvo Ocean Race (désormais The Ocean Race), dont une victoire avec Dongfeng Race Team en 2018 aux côtés de Charles Caudrelier, un moment "inoubliable". La Belgo-Néerlandaise, qui, auparavant, a disputé trois fois les Jeux Olympiques sur trois supports et pour deux pays différents et a été élue deux fois Marin féminine de l'année par World Sailing, à vingt ans d'intervalle (1998 et 2018), raconte que c'est sa participation à la Volvo 2014-2015 avec l'équipe 100% féminine de Team SCA qui lui a "ouvert beaucoup de portes" et permis aujourd'hui d'être une navigatrice aussi expérimentée que convoitée lorsqu'il s'agit de monter des équipages de large. Une belle récompense pour celle qui a grandi au Brésil et tiré ses premiers bords dans la baie de Rio, et parle six langues, dont le français, parfaitement. La preuve dans ce premier épisode de la saison 4 de Navigantes.Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Diffusé le 20 Août 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Mon Carnet, l'actu numérique
{ENTREVUE} - Un appareil pour maintenir le lien

Mon Carnet, l'actu numérique

Play Episode Listen Later Aug 12, 2025 13:47


Dominique Dion a conçu Beedle, un appareil pensé pour maintenir le lien avec des personnes atteintes de troubles cognitifs, comme l'Alzheimer. Inspiré par la maladie de sa mère, il a développé un dispositif simple, personnalisable et sécurisé, doté d'un grand écran tactile et contrôlable à distance par un proche. Actuellement en phase bêta, Beedle reçoit des retours très positifs des familles et vise une commercialisation grand public avant les Fêtes.

Reportage International
Syrie: l'industrie textile en quête de renaissance à Alep

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 2:26


Avant la guerre, le textile syrien était reconnu à travers le monde pour sa qualité, en particulier pour son coton. Le secteur, pilier de l'économie, pesait 12% du PIB. À Alep, la capitale économique, le textile représente 75% de la production et emploie 300 000 personnes. Mais les entreprises ont été, elles aussi, touchées par la guerre et le racket organisé par le régime Assad. Aujourd'hui, la levée annoncée des sanctions internationales redonne espoir aux acteurs de la filière qui rêvent de redevenir la locomotive du développement de la Syrie.  De notre envoyée spéciale à Alep, À Cheikh Najjar, la zone industrielle d'Alep, des entrepôts calcinés côtoient des manufactures reconstruites. Pendant la guerre, la région a été au cœur des combats entre les rebelles et le régime Assad soutenu par son allié russe. À la tête de l'entreprise de textile Al Faisal, Bassam Dawalibi a dû rebâtir son usine en 2017. Celle-ci emploie aujourd'hui 150 personnes et produit 10 tonnes de fil par jour à partir de matières synthétiques importées de Chine, qui ont remplacé le coton syrien. « La matière première que nous utilisons, c'est du polyester qui est fabriqué à partir de pétrole. Malheureusement, la production locale de coton s'est effondrée avec la guerre et on ne pouvait pas s'en procurer facilement. Nous espérons qu'à l'avenir, nous pourrons revenir au coton », explique Bassam Dawalibi, directeur financier de l'entreprise Al Faisal. Avant la guerre, la Syrie était pourtant le troisième producteur de coton au monde. Depuis la chute du régime, les nouvelles autorités libéralisent l'économie à tout va. Les droits de douane ont été réduits et les textiles turcs et chinois inondent le marché, au grand dam de Bassam Dawalibi. Sans de telles mesures, le directeur s'inquiète de devoir plier bagage : « La production nationale fait face à une concurrence injuste et désavantageuse des importations et cela n'a pas été réfléchi. Je souhaite que le gouvernement augmente les droits de douane sur les produits étrangers pour protéger l'industrie locale. » À Alep, les souks pluri-centenaires ont été endommagés ou détruits à 60% d'après l'Unesco. Dans les rues épargnées, la vie reprend, mais les affaires tournent au ralenti. « Actuellement, la situation est en dessous de la moyenne financièrement. Sauf pendant les fêtes ou les saisons où les proches vivant à l'étranger envoient de l'aide. Sinon, il n'y a rien », se désole Ahmad Sawwas, vendeur de vêtements au souk d'Alep. Sur les étals, quelques produits chinois, mais principalement des vêtements assemblés en Syrie à partir de fibres ou de tissus importés. Ici, beaucoup espèrent que la levée des sanctions permettra de relancer la culture du coton syrien et de faire revenir les entrepreneurs en exil.   À lire aussiSyrie: «Ils ont déplacé tous les Bédouins» de Soueïda, même ceux qui n'étaient pas impliqués dans les combats

Afrique Économie
Au Tchad, la difficile formalisation du secteur de l'or [4/5]

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 2:14


« Le secteur informel est une composante essentielle de la plupart des économies subsahariennes », décrit le FMI. S'il contribue de 25 à 65% du PIB des pays, une partie des bénéfices de ces activités économiques échappent cependant aux caisses des États. Afrique économie vous emmène cette semaine dans une plongée de l'informel sur le continent. Au Tchad, l'extraction d'or est une activité encore artisanale et souvent informelle. Mais les autorités de Ndjamena souhaitent que le secteur se professionnalise. L'objectif est de multiplier par cinq la contribution du secteur minier à la richesse nationale d'ici quelques années. Et si le Tchad devenait le nouvel Eldorado ? Si pour l'instant, la production d'or du Tchad reste largement informelle, les autorités s'autorisent à rêver en grand. L'extraction d'or est en effet considérée par ce pays du Sahel comme l'un des vecteurs majeurs de croissance dans son nouveau Plan national de développement. Actuellement, le Tchad exporte déjà « dix tonnes au moins par an » d'or, et ce uniquement par le biais de l'orpaillage artisanal, rappelle le ministre tchadien des Finances, Tahir Hamid Nguilin. Mais pour passer à la vitesse supérieure, le pays devra attirer les investisseurs. « En donnant des permis, en suivant les règles de l'art, à des multinationales et à des sociétés qui répondent à un certain nombre de critères et de standards, nous pensons que nous pouvons au moins faire passer le poids du secteur minier dans notre PIB de 1% – ce qui est encore très bas aujourd'hui – à 5% à horizon 2030 », explique Tahir Hamid Nguilin. Les revenus de l'or sont en hausse au Tchad, confirme Charles Bouessel, analyste Afrique centrale pour International Crisis Group (ICG), même s'ils restent compliqués à estimer. « La plupart de l'or est exporté vers les Émirats », affirme l'expert, qui note néanmoins « un delta important entre ce qui est déclaré à la sortie du Tchad et ce qui est déclaré à l'entrée des Émirats ». Faire contribuer l'or aux finances publiques Le secteur de l'or au Tchad « gagnerait à être formalisé pour qu'il apparaisse davantage – et de manière plus fidèle – dans les finances publiques », poursuit Charles Bouessel. De son côté, la Société financière internationale, partenaire de la Chambre de commerce et du patronat tchadiens, souligne l'importance de formaliser toutes les activités économiques, y compris les activités minières. « ​​​​​​​L'inclusion des orpailleurs pour leur accès au financement » est centrale pour y parvenir. Selon cette antenne de la Banque mondiale chargée des entreprises privées, il est crucial de « ​​​​​​​préparer les PME et PMI tchadiennes à explorer les possibilités d'affaires » dans le secteur aurifère, de sorte que les entreprises locales puissent « ​​​​​​​participer à cette chaîne de valeur », souligne Sylvain Kakou, représentant au Sahel de l'organisation. Pour plus de clarté et mieux accompagner le secteur privé, la Société financière internationale encourage notamment les autorités tchadiennes à rendre effective la loi sur le Code minier. À lire aussiTchad: un séminaire national sur la décentralisation pour réfléchir à un nouveau projet de société

Reportage international
Syrie: l'industrie textile en quête de renaissance à Alep

Reportage international

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 2:26


Avant la guerre, le textile syrien était reconnu à travers le monde pour sa qualité, en particulier pour son coton. Le secteur, pilier de l'économie, pesait 12% du PIB. À Alep, la capitale économique, le textile représente 75% de la production et emploie 300 000 personnes. Mais les entreprises ont été, elles aussi, touchées par la guerre et le racket organisé par le régime Assad. Aujourd'hui, la levée annoncée des sanctions internationales redonne espoir aux acteurs de la filière qui rêvent de redevenir la locomotive du développement de la Syrie.  De notre envoyée spéciale à Alep, À Cheikh Najjar, la zone industrielle d'Alep, des entrepôts calcinés côtoient des manufactures reconstruites. Pendant la guerre, la région a été au cœur des combats entre les rebelles et le régime Assad soutenu par son allié russe. À la tête de l'entreprise de textile Al Faisal, Bassam Dawalibi a dû rebâtir son usine en 2017. Celle-ci emploie aujourd'hui 150 personnes et produit 10 tonnes de fil par jour à partir de matières synthétiques importées de Chine, qui ont remplacé le coton syrien. « La matière première que nous utilisons, c'est du polyester qui est fabriqué à partir de pétrole. Malheureusement, la production locale de coton s'est effondrée avec la guerre et on ne pouvait pas s'en procurer facilement. Nous espérons qu'à l'avenir, nous pourrons revenir au coton », explique Bassam Dawalibi, directeur financier de l'entreprise Al Faisal. Avant la guerre, la Syrie était pourtant le troisième producteur de coton au monde. Depuis la chute du régime, les nouvelles autorités libéralisent l'économie à tout va. Les droits de douane ont été réduits et les textiles turcs et chinois inondent le marché, au grand dam de Bassam Dawalibi. Sans de telles mesures, le directeur s'inquiète de devoir plier bagage : « La production nationale fait face à une concurrence injuste et désavantageuse des importations et cela n'a pas été réfléchi. Je souhaite que le gouvernement augmente les droits de douane sur les produits étrangers pour protéger l'industrie locale. » À Alep, les souks pluri-centenaires ont été endommagés ou détruits à 60% d'après l'Unesco. Dans les rues épargnées, la vie reprend, mais les affaires tournent au ralenti. « Actuellement, la situation est en dessous de la moyenne financièrement. Sauf pendant les fêtes ou les saisons où les proches vivant à l'étranger envoient de l'aide. Sinon, il n'y a rien », se désole Ahmad Sawwas, vendeur de vêtements au souk d'Alep. Sur les étals, quelques produits chinois, mais principalement des vêtements assemblés en Syrie à partir de fibres ou de tissus importés. Ici, beaucoup espèrent que la levée des sanctions permettra de relancer la culture du coton syrien et de faire revenir les entrepreneurs en exil.   À lire aussiSyrie: «Ils ont déplacé tous les Bédouins» de Soueïda, même ceux qui n'étaient pas impliqués dans les combats

Europe 1 - L'interview d'actualité
«L'hôpital public actuellement ne va pas bien, on a un gros problème capacitaire», souligne Frédéric Adnet

Europe 1 - L'interview d'actualité

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 8:30


Invité : Frédéric Adnet, chef de service du Samu de Paris Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Stetho et Baskets
Louis: l'équilibre sportif des études médicales

Stetho et Baskets

Play Episode Listen Later Aug 2, 2025 56:13


Après une première idée d'avenir comme vétérinaire, Louis s'est tourné vers les études de médecine. Il a suivi une section sport études durant le lycée. Le sport fait entièrement partie de la vie quotidienne de Louis.  Actuellement il pratique l'escalade, la course à pied et le vélo ; auxquels il ajoute parfois la natation. Louis avait anticipé son post lycée en s'inscrivant dans un club de sport en terminale à Dunkerque. Il garde la motivation et régularité sportive même si il étudie à Lille et n'est pas dans la ville du club.Il était excellent élève ce qui lui a permis d'accéder à la première année de médecine. Cette année n'a pas été aisée mais Louis a pu transformer l'essai grâce à la réussite à l'oral d'admission. Pour Louis il y avait ce plan A et pas de plan B.Il nous parle avec honnêteté et simplicité de la difficulté de la 2e année. Alors que l'on parle facilement du parcours semé d'embûches de la première année, es suivantes paraissent passer avec facilité pour tous les futurs soignants. Mais Louis met justement l'accent sur le fait que ces études spécifiques peuvent être remplies de surprises. Il nous explique comment, après la prise de conscience de son état psychique, il a su faire face en étant accompagné d'une manière qui lui a convenu.Son insta : @med_in_louisJe remercie Caroline de @medprof_insta qui m'a permis de faire connaissance avec Louis (et il y a plusieurs épisodes de @le.medcast avec Louis) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La libre antenne
La libre antenne - Actuellement dans un centre de réinsertion sociale, Alyssa cherche un emploi

La libre antenne

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 12:57


Invités : - Alyssa, Actuellement dans un centre de réinsertion sociale, Alyssa cherche un emploi. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
États-Unis: les énergies vertes, où en est-on à l'ère de Trump?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 3:01


Les fabricants d'éoliennes et de panneaux solaires qui veulent investir aux États-Unis dénoncent un revirement opéré par la Maison Blanche concernant leur secteur depuis le retour au pouvoir de Donald Trump. Un changement politique qui met en péril leur filière, et ce, pour de nombreuses années à venir. À l'origine de cette situation, « la grande et belle loi budgétaire » du président américain adoptée au forceps le 4 juillet dernier. Ce texte met un tour de vis aux subventions fédérales pour les énergies propres. Trump a juré d'en finir avec « l'arnaque verte » de Joe Biden et de limiter l'envolée des déficits. Le nouveau budget supprime les crédits d'impôt pour les projets éoliens et solaires qui ne seront pas opérationnels d'ici au 31 décembre 2027. Les projets d'hydrogène bénéficient, eux, d'un sursis : à cette date, il faudra avoir commencé à construire l'usine pour bénéficier des aides.  À lire aussiLutte contre le réchauffement climatique: Donald Trump en arrière toute L'essor des énergies vertes s'essouffle Pour les professionnels de l'éolien et du solaire, c'est la catastrophe. Selon eux, les projets d'installations risquent de baisser de 20% au cours de la prochaine décennie. Avec des dizaines de milliers d'emplois - ceux d'ingénieurs, d'installateurs, de techniciens ou encore de chefs de projet - qui finalement ne seront pas créés, et ce, alors que les coûts de l'électricité des ménages américains pourraient augmenter de 280 dollars par an d'ici à 2035, alertent les experts. Avec l'arrêt des subventions, financer de nouveaux projets devient très compliqué, voire impossible. Des projets d'investissements à l'arrêt C'est le cas du singapourien Bila Solar, fabricant de panneaux solaires, qui a suspendu le projet d'extension de son usine d'Indianapolis. Son concurrent canadien Heliene a lui remis aux calendes grecques l'installation d'une usine de cellules solaires dans le Minnesota. Enfin, deux projets de parcs éoliens offshore, prévu pour alimenter les États du Maryland et New England, pourraient ne jamais voir le jour.  Selon la filière, c'est 373 milliards de dollars d'investissements qui pourraient disparaître. Mais les acteurs du marché disent encore avoir besoin de temps pour évaluer les effets de cette nouvelle législation et de la politique des droits de douane de Trump. Actuellement, le marché américain dépend fortement des importations de composants. Et c'est la Chine qui contrôle 80% de la production mondiale de panneaux solaires. À lire aussiLa politique énergétique de Donald Trump pèse sur l'économie américaine  

Invité Afrique
RSF inquiète pour la liberté de la presse au Bénin, en Côte d'Ivoire et au Sénégal

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 23, 2025 4:33


Un journaliste incarcéré au Bénin avec l'aide de la Côte d'Ivoire, des éditorialistes ciblés au Sénégal… Ces trois pays ont une longue tradition de respect de la liberté d'expression, mais la situation des journalistes se dégrade depuis des semaines au Sénégal et en Côte d'Ivoire. Au Bénin, cela fait maintenant plusieurs années que journalistes et médias sont régulièrement pris pour cible. Quelle est précisément la situation dans ces pays ? Comment en est-on arrivé là ? Sadibou Marong, le directeur du bureau Afrique de Reporters sans frontières répond à Pierre Firtion. RFI : L'histoire a défrayé la chronique. Hugues Comlan Sossoukpè est incarcéré depuis huit jours à Ouidah au Bénin. Ce journaliste critique du régime béninois vivait depuis 2019 au Togo avec le statut de réfugié politique. Mais le 13 juillet, il a été extradé par la Côte d'Ivoire alors qu'il participait à un forum à Abidjan. Les autorités ivoiriennes l'ont-elles piégé selon vous ? Sadibou Marong : Nous pouvons valablement parler de piège comme nous pouvons aussi parler d'une mission professionnelle de journaliste qui s'est finalement transformée en traquenard. Le journaliste béninois, Hugues Comlan Sossoukpè, qui est journaliste réfugié au Togo depuis quelques années et qui est aussi le directeur du média béninois d'investigation Olofofo, a officiellement été invité par le ministère ivoirien de la Transition numérique pour couvrir un événement sur l'innovation digitale. Il a été considéré comme un journaliste, et là, je cite les propos du ministère, « un journaliste reconnu de la sous-région dans ce domaine ». Comment expliquer un tel acte de la part des autorités ivoiriennes ? C'est compliqué, car c'est inédit. On pourrait même considérer qu'un tel acte pourrait étonner pratiquement tous les défenseurs de la liberté de la presse d'une manière générale. Surtout par exemple quand on sait que la Côte d'Ivoire, ces dernières années, était assez bien classée au classement mondial de la liberté de la presse avec des bonds assez intéressants. Il n'y a qu'en 2025 que le pays a assez reculé. Mais il est aussi clair que cette liberté de la presse en Côte d'Ivoire était encore étroitement liée au contexte politique. Il y a aussi l'influence de certains partis, des responsables politiques dans les médias qui devenaient très grands. Dans tous les cas, c'était quand même un environnement assez intéressant. Disons que les médias évoluaient en Côte d'Ivoire jusqu'à ce que l'on se rende compte effectivement qu'il y a eu un peu ce traquenard-là. Et on ne peut pas dire que les autorités n'ont pas été complices. On peut fondamentalement dire que les autorités ivoiriennes étaient au courant, avaient certainement dû être consultées et avaient donc donné leur accord et leur aval pour pouvoir livrer ce journaliste-là. Cela est extraordinairement grave d'autant plus que c'est un journaliste réfugié. On comprend aussi que c'est le début, peut-être, d'un durcissement de la situation. La Côte d'Ivoire va vers une élection présidentielle en octobre prochain et on a vu récemment des menaces contre des correspondants de la presse internationale de la part de certains partisans politiques. À lire aussiBénin: le journaliste Comlan Sossoukpè mis en examen et placé sous mandat de dépôt Cette dérive, elle est en revanche beaucoup plus visible au Bénin, où la presse est ciblée depuis plusieurs années... Le régime du président Patrice Talon à son arrivée était jugé relativement stable. Mais ces dernières années quand même, c'est un régime qui est nettement imprévisible par rapport à la liberté de la presse. Actuellement, dans le contexte actuel, on voit que les voix indépendantes et les journalistes critiques, même modérés, sont perçus avec une attention assez croissante. Le cas de Hugues Sossoukpè est là. Je pense que les autorités béninoises l'attendaient. Ils faisaient tout pour essayer de l'avoir. Mais auparavant, on a vu aussi une vague de suspension de médias et d'instrumentalisation des régulateurs. Le régulateur des médias, la HAAC, a pris des décisions qui sont pour nous très disproportionnées avec une vague de suspension des médias. Il y a eu des vagues de répression. Et comme on va vers une élection également dans ce pays-là, on voit les dispositions de surveillance qui s'intensifient. Le climat se charge lentement mais sûrement au Bénin. Le Bénin, la Côte d'Ivoire, on parle là de pays où la liberté d'expression a longtemps été respectée. C'est le cas aussi au Sénégal. La situation des journalistes s'était améliorée, on va dire entre 2024 et 2025, mais là, depuis quelques semaines, on dénombre à nouveau des attaques contre la presse. Au Sénégal, bien que le pays ait fait un bond de 20 places lors du dernier classement mondial de la liberté de la presse, nous avons commencé à observer beaucoup de faits nouveaux ces derniers mois. Il y a la question des détentions de commentateurs et de chroniqueurs dans les médias. Par exemple, il y a le journaliste Bachir Fofana et les commentateurs Badara Gadiaga, Abdou Nguer qui utilisent les médias pour jouir de leur liberté d'expression au Sénégal. Et tout cela, ce sont des choses qui reviennent. Et l'impression qu'on a, c'est plus qu'une sorte de contrôle du narratif, disons, des voix discordantes. Et ces voix discordantes, de notre point de vue, doivent pouvoir être acceptées dans un État démocratique. Maintenant, ce qui est le plus important pour nous, c'est l'appel que nous avons lancé aux autorités qui ont commencé à s'atteler à faire des concertations. Mais aussi à réconcilier les résultats des assises nationales dans la presse, des concertations, disons, du secteur de la communication. Il faut réconcilier tout cela. Et également aussi s'atteler à renforcer les capacités des organes de régulation des médias.   À lire aussiSadibou Marong (RSF): «Les journalistes des radios communautaires paient un lourd tribut dans la région du Sahel» À lire aussiSadibou Marong: «La situation des journalistes en Afrique subsaharienne ne s'est pas améliorée»

Ça va Beaucoup Mieux
DON DU SANG - Appel à la mobilisation avant les départs en vacances

Ça va Beaucoup Mieux

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 3:01


Les grands départs en vacances approchent, mais avant de partir, l'Etablissement Français du Sang appelle ceux qui le peuvent à aller donner leur sang dans un de leurs nombreux points de collecte. Actuellement, leurs réserves sont trop basses : il manque 15 000 poches pour envisager un été serein dans nos hôpitaux. Dans "Ca va beaucoup mieux" ce matin, notre journaliste Santé Agathe Landais fait le point sur la situation, et rappelle qui peut donner, et comment. Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Agathe Landais du 10 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Pourquoi la France pourrait bientôt vous rendre vos jours de congé si vous tombez malade ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 1:48


Et si vos jours de vacances n'étaient plus "perdus" lorsque vous tombez malade pendant vos congés ? Une réforme du droit du travail pourrait bientôt bouleverser cette réalité bien connue des salariés français. En cause : une directive européenne que la France va devoir transposer, sous peine de sanctions. Et cette directive est très claire : un salarié qui tombe malade pendant ses congés a le droit de les récupérer.Actuellement, le Code du travail français n'offre cette possibilité qu'aux salariés bénéficiant d'un arrêt maladie professionnelle, c'est-à-dire liée à un accident du travail ou une maladie reconnue comme telle. En cas de maladie classique (grippe, gastro-entérite, etc.), les jours de congés sont considérés comme consommés, même si le salarié est alité et incapable d'en profiter.Mais cette situation va devoir évoluer. Plusieurs arrêts de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) ont déjà précisé le droit : un salarié qui tombe malade pendant ses congés doit pouvoir les reporter à une date ultérieure. Le repos compensateur doit être réel et effectif. Et selon les règles européennes, les congés payés sont un droit fondamental à la santé et au repos.La directive européenne 2003/88/CE sur le temps de travail, combinée à la jurisprudence européenne, impose donc aux États membres de garantir que les congés payés ne soient pas "mangés" par une maladie imprévue. Une obligation que la France va devoir intégrer dans son droit national.Le ministère du Travail travaille déjà sur cette transposition. Selon plusieurs sources, une réforme pourrait voir le jour dès 2025. Elle permettrait aux salariés de faire valoir leur droit à report en cas de maladie, sous réserve de fournir un certificat médical et de prévenir rapidement l'employeur.Cette évolution est saluée par les syndicats, qui y voient une victoire du bon sens et du respect de la santé des salariés. « Être malade, ce n'est pas se reposer. Ce n'est pas des vacances », résume un représentant de la CFDT. Les employeurs, eux, redoutent une complexification des règles de gestion du personnel, notamment dans les petites entreprises.Reste à voir comment le gouvernement arbitrera. Mais une chose est certaine : la législation française devra évoluer pour se mettre en conformité avec le droit européen. Et pour les salariés, cette réforme pourrait bien transformer leur rapport aux congés… et à la maladie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir SCIENCES
Qu'est-ce que l'Alcarelle, l'alcool sans gueule de bois ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 2:06


Imaginez un verre qui vous détend, vous désinhibe, vous rend sociable — sans provoquer de maux de tête le lendemain, ni endommager votre foie à long terme. Une sorte d'alcool… sans les effets secondaires. Cette idée, un peu folle à première vue, est pourtant en train de devenir réalité. Son nom : Alcarelle.Alcarelle est une molécule de synthèse développée par le neuropsychopharmacologue David Nutt, ancien conseiller du gouvernement britannique sur les drogues. Ce scientifique s'est fait une spécialité : comprendre comment l'alcool agit sur le cerveau, et comment reproduire ses effets… sans les dangers.Pour cela, il s'est penché sur le principal mode d'action de l'éthanol (l'alcool que l'on boit) : il agit sur les récepteurs GABA-A du cerveau. Ces récepteurs freinent l'activité neuronale, ce qui explique les effets apaisants et désinhibiteurs de l'alcool. Mais l'éthanol est une molécule “sale” : il agit sur de nombreux autres récepteurs, ce qui entraîne ivresse, dépendance, dommages au foie, troubles du sommeil… et bien sûr, la célèbre gueule de bois.L'idée derrière Alcarelle est simple mais ambitieuse : créer une molécule plus propre, qui cible uniquement les bons récepteurs, ceux responsables de l'euphorie douce et de la relaxation, sans toucher aux circuits de l'addiction ou aux organes internes. Mieux encore, ses effets seraient réversibles : il suffirait de prendre un “antidote” pour redevenir sobre, comme on coupe un interrupteur.Actuellement, Alcarelle n'est pas encore commercialisé. Son développement est encore en cours, et les essais toxicologiques sont menés avec prudence. La société à l'origine du projet, également nommée Alcarelle, espère contourner la classification classique d'un alcool en tant que drogue, en le faisant approuver comme ingrédient dans des boissons “bien-être”.Les promesses sont grandes : pas de gueule de bois, pas de dépendance, pas de dommages au foie. Mais les défis le sont aussi. Les autorités sanitaires devront être convaincues de son innocuité sur le long terme, et l'acceptation sociale pourrait prendre du temps. Boire un produit de synthèse pour “simuler” l'alcool ne séduira pas tout le monde d'emblée.Et pourtant, si cela fonctionne, Alcarelle pourrait révolutionner nos rapports à l'alcool. Un tournant historique, comparable à l'arrivée des édulcorants dans l'industrie du sucre.Alors, dans quelques années, lèvera-t-on notre verre… d'Alcarelle ? La science, en tout cas, semble prête à relever le défi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti: le pouvoir de transition est dans l'impasse, selon Fritz Jean

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 30:00


Dans une interview accordée à plusieurs médias haïtiens, Fritz Jean, le président du Conseil présidentiel de transition (CPT), dresse un «constat alarmant» sur la situation du pays. Entre manque de coordination, blocages administratifs, inertie étatique et pressions d'acteurs puissants mus par des intérêts inavoués, il expose l'impuissance criante d'«un pouvoir de transition guetté par le désespoir», rapporte notre confrère Gotson Pierre, directeur d'Alterpresse. Dans cet entretien, Fritz Jean accuse notamment des responsables, y compris au sein de l'État, d'avoir «collaboré ou fermé les yeux sur les agissements des gangs». Au sujet du processus de révision constitutionnelle qui est bloqué, il avoue «ne pas comprendre certaines parties de l'avant-projet» et annonce la tenue d'un comité de lecture pour le réécrire. Ce texte est de toute façon «contesté par plusieurs secteurs», souligne Gotson Pierre. À six semaines de la fin de son mandat et alors que le processus de transition est censé s'achever dans sept mois, Fritz Jean semble fait un aveu d'échec et d'impuissance. «Il prend le peuple à témoin», analyse Gotson Pierre. Mais le bilan du CPT sera quoi qu'il arrive «bien maigre».   La Cour suprême autorise Donald Trump à expulser des sans-papiers vers des pays tiers L'administration Trump pourra envoyer des migrants dans des pays dont ils ne sont pas citoyens, explique le Washington Post, et avec lesquels ils n'ont même aucun lien, précise le New York Times. Actuellement, huit hommes attendent sur une base militaire américaine de Djibouti, transformée en centre de détention improvisé, d'être envoyés au Soudan du Sud, raconte le quotidien. Depuis le mois de mai 2025, ils y vivent dans des conditions sanitaires précaires et sous la menace de tirs de roquettes. En première instance, des juges progressistes avaient ordonné que leur transfert vers le Soudan du Sud soit stoppé parce que ces personnes n'avaient pas pu contester devant la justice leur expulsion, ni fournir des preuves qu'ils risquaient d'être torturés dans le pays d'accueil choisi par les États-Unis. Cette décision de la Cour suprême n'est que provisoire. Comme l'explique le New York Times, c'est maintenant à une cour d'appel, puis à nouveau à la Cour suprême, de se prononcer sur le fond du dossier. Pour l'administration Trump, ces expulsions vers des pays tiers concernent «les pires des pires criminels», rapporte le Washington Post, et elles sont nécessaires car souvent, leurs pays d'origine refusent d'autoriser leur retour. Faux, répond la défense pour qui la plupart des sans papiers concernés n'ont jamais été condamnés et sont initialement entrés légalement aux États-Unis avec un visa de réfugié, d'étudiant ou de travail.   Le Canada et l'UE signent un accord de défense Le Premier ministre canadien, Mark Carney, était présent à Bruxelles hier pour assister au 20è sommet Union européenne/Canada. Face à la menace de son voisin du sud d'en faire le 51ème État américain, et face aux droits de douane qui le frappe, Ottawa cherche à renforcer ses partenariats avec l'UE. Bruxelles est dans la même optique : l'Union européenne entend noyer des accords internationaux pour faire face à la remise en cause de l'ordre mondial par Donald Trump. Pour le New York Times, le président américain repousse ses alliés de toujours. Il exige que ses partenaires dépensent plus pour s'armer et promet de réduire le rôle de son pays en ce qui concerne la sécurité internationale. Et en même temps, «il a lancé une guerre commerciale contre certains des alliés traditionnels les plus proches» du pays, analyse le quotidien. Une attitude qui «reconfigure le réseau mondial des partenariats», écrit le New York Times. Le Canada, la France, l'Allemagne et les autres pays de l'Union européenne nouent de nouvelles alliances pour être moins dépendant des États-Unis qui sont de plus en plus capricieux, juge le journal.   Le parc du Mapocho Rio, à Santiago du Chili Notre dossier du jour nous emmène au Chili, à la découverte d'un immense parc dans la capitale. Le Mapocho Rio vient d'ouvrir, équipé pour accueillir des familles et des habitants des deux communes les plus pauvres du pays qui l'entourent. Le parc compte des jeux pour enfants, plusieurs terrains de foot, des tables de ping-pong, un mur d'escalade, un skate parc et surtout des milliers d'arbres qui font du Mapocho Rio, une sorte de poumon vert à Santiago. Reportage de Naïla Derroisné.   De quelle nationalité était Carlos Gardel ? Né en France, mais de nationalité argentine ou uruguayenne ? Ce mardi, c'est le 90è anniversaire de sa mort et le débat continue, écrit La Nacion. Le succès de Carlos Gardel a été tel que des deux côtés du Rio de la plata, on s'approprie le chanteur, compositeur de tango et acteur. Lui-même a entretenu la confusion, explique le quotidien. Comme le raconte Walter Santoro, le président de la Fondation internationale Carlos Gardel, dans les colonnes de La Nacion, l'artiste disait toujours que dans la vie, il ne faut pas diviser, mais multiplier. Pas question pour lui de soutenir un parti ou une équipe de football. Pas question non plus de parler de religion. Et en 1930, pour le premier mondial de football, lors de la finale opposant l'Argentine à l'Uruguay, chaque pays pouvait choisir un artiste le représentant. Carlos Gardel a chanté pour les deux. Et à la presse qui lui demandait qui il voulait voir gagner, il a répondu : «Mon petit coeur est divisé».   Le journal de la 1ère En Martinique, le président de la Collectivité Territoriale se dit «surpris et déçu» par le futur projet de loi «contre la vie chère».

Parlons-Nous
Aidants : Anne, aidante de son mari, déplore les manquements du personnel de son centre de rééducation

Parlons-Nous

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 37:49


REDIFF - Depuis 3 mois, Anne est aidante de son mari paraplégique. Il est hospitalisé depuis 3 mois à cause d'une lourde opération. Actuellement dans un centre de rééducation, Anne constate des manquements dans les soins prodigué à son mari et le supporte mal. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tribune PSG France Bleu Paris
Vitinha est-il actuellement le meilleur milieu de terrain du monde ? 100% PSG, la tribune - Ep.52

Tribune PSG France Bleu Paris

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 73:33


durée : 01:13:33 - Vitinha est-il actuellement le meilleur milieu de terrain du monde ? 100% PSG, la tribune - Ep.52 - Le champion d'Europe a démarré de la plus belle des manières la Coupe du monde des clubs. Une victoire 4/0 face à l'Atlético Madrid avec un Vitinha en feu. De cette nouvelle compétition et du reste de l'actualité du PSG, on en parle dans 100% PSG La tribune, le podcast d'Ici Paris Île-de-France.

RMC Poker Show
Alex Goude présente sa pièce "Ménopause" actuellement au théâtre Grand Point-Virgule, et la prochaine "Men en pause" – 15/06

RMC Poker Show

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 3:04


Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !

NBA Extra
Les Knicks voudraient débaucher Jason Kidd

NBA Extra

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 3:44


À la recherche d'un successeur à Tom Thibodeau, les Knicks auraient une cible prioritaire en tête : Jason Kidd. Actuellement en poste à Dallas, l'ancien meneur a laissé une belle trace à New York en y terminant sa carrière de joueur lors de la saison 2012-2013. Il connaît bien Jalen Brunson, qu'il a coaché aux Mavs. Mais Kidd n'est pas seul dans le viseur : Ime Udoka (Houston) et Chris Finch (Minnesota) complètent la short list new-yorkaise. Reste à savoir si Leon Rose parviendra à convaincre l'un d'eux de quitter leur poste actuel.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
Entre environnement et économie, le transport maritime en pleine mutation

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 2:25


Alors que la conférence des Nations unies sur les océans bat son plein, le transport maritime, crucial pour le commerce mondial, fait l'objet d'une transformation sans précédent. À l'heure où ce secteur émet autant de CO2 qu'un pays comme l'Allemagne, la transition écologique devient incontournable. Décryptage. Chaque année, près de 90 % des marchandises échangées dans le monde transitent par les mers et les océans. Céréales, pétrole, voitures, vêtements, appareils électroniques, tout voyage par cargo, pétrolier ou porte-conteneurs. Actuellement, environ 90 000 navires commerciaux sillonnent la planète. Mais cette industrie titanesque pèse lourd sur l'environnement. Elle représente à elle seule 3 % des émissions mondiales de CO2. Avec l'augmentation continue du commerce mondial, ces émissions pourraient doubler d'ici 2050 si rien n'est fait. Consciente de cet enjeu, l'Organisation maritime internationale s'est fixée un objectif ambitieux : atteindre la neutralité carbone à l'horizon 2050. Une transition écologique coûteuse et complexe Cette transformation a un prix, jusqu'à 28 milliards de dollars par an, selon les estimations les plus élevées. Une question cruciale se pose alors : qui va financer cette mutation ? Les armateurs, en première ligne, sont incités à investir dans des technologies plus propres. Pour les trajets courts ou moyens, les navires hybrides – combinant fioul et électricité – représentent une piste. Pour les longues distances, les carburants alternatifs comme le bioéthanol ou l'hydrogène sont encore en phase d'expérimentation, freinés par leur coût élevé et leur disponibilité limitée. Mais toutes les solutions ne sont pas universelles. Ce qui fonctionne pour un ferry côtier ne peut pas forcément s'appliquer à un gigantesque porte-conteneurs. Moins vite, moins d'émissions ? Parmi les leviers d'action, la réduction de la vitesse des navires se révèle efficace. Un ralentissement de 10 % permettrait de diminuer les émissions de CO2 de 13 % et de diviser par deux les collisions avec les cétacés. Mais cette solution implique aussi des temps de trajet allongés et donc une hausse des coûts logistiques. L'Europe a d'ores et déjà intégré le transport maritime à son marché du carbone. Tout navire accostant dans un port européen est désormais taxé sur ses émissions, avec des recettes réinvesties dans la décarbonation du secteur. Preuve que la mutation est lancée… mais qu'elle nécessitera des moyens financiers massifs, publics comme privés, pour devenir réalité. À lire aussiTransport maritime: le grand plongeon après les tarifs douaniers américains

Le sept neuf
Théodora : "Depuis que j'ai découvert 'Umbrella', j'ai été éperdument amoureuse de Rihanna"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 19:58


durée : 00:19:58 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - La nouvelle mixtape de Theodora, “Mega BBL”, est sortie le 30 mai. Actuellement en tournée dans toute la France avec le "Bad Boy Lovestory Tour 25", la chanteuse Theodora est l'invitée de Léa Salamé.

Les interviews d'Inter
Théodora : "Depuis que j'ai découvert 'Umbrella', j'ai été éperdument amoureuse de Rihanna"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 19:58


durée : 00:19:58 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - La nouvelle mixtape de Theodora, “Mega BBL”, est sortie le 30 mai. Actuellement en tournée dans toute la France avec le "Bad Boy Lovestory Tour 25", la chanteuse Theodora est l'invitée de Léa Salamé.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
(Les Actus Pop) Pourquoi l'auteur de BD Bastien Vivès est actuellement jugé… HugoDécrypte

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later May 28, 2025 6:22


Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSProcès Bastien Vivès : Franceinfo, Télérama, BFMTV, Le HuffpostLena Situations : L'Union, BFMTVAnne-Sophie Lapix : Le Parisien, Actu.frTout pour la lumière : BFMTV, L'AlsaceTapis Jaune : Allo Ciné, WebediaBillie Eilish : Le Figaro, VarietyÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Lisa Impératrice Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Belle Trace
Nathalie Tauziat : « Les sœurs Williams quand elles sont arrivées sur le circuit étaient très fortes, mais très arrogantes. »

Belle Trace

Play Episode Listen Later May 24, 2025 56:48


Mai, juin, c'est le printemps mais c'est aussi la période des Grands Chelems en Europe. L'occasion d'échanger avec @nathalie Tauziat, finaliste à Wimbledon en 1998. Une carrière très longue, 17 ans pro, où elle a battue presque toutes les meilleures joueuses mondiales, sauf Steffi Graff : « ma bête noire c'était Steffi, super forte mais que j'idolâtrais aussi trop »Elle a su changer sa stratégie de jeu pour exploiter pleinement son potentiel d'attaque.Actuellement coach du tennis des jeunes au Canada, elle est une des rares femmes à ce poste qui est pourtant essentiel dans l'accompagnement très sensible de ces jeunes femmes.Dans #belletrace Nathalie revient sur les moments forts de sa longue carrière où elle notamment côtoyer les sœurs Williams « très fortes mais aussi très arrogantes à leur arrivée sur le circuit WTA »Son avatar des meilleurs coups du tennis féminin :Pour le service, le physique et le mental : Séréna WilliamsPour le coup droit : Steffi GrafPour le revers : Justine Henin et Amélie MauresmoPour la Volée : Elle-même et Martina NavratilovaPour les amorties : Gabi SabatiniBonne écoute#tennis #championne #coach #podcastsport #Wimbledon #passion Belletrace est soutenu par SYNERGY6 de ledvard-sport.com pour améliorer la mobilité, à réduire les douleurs articulaires, et à mieux récupérer après l'effort.Pour vous, auditeurs et auditrices de Belle Trace, Ledvard vous offre une réduction exclusive de 15 % grâce au code BELLETRACE15 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les Belges du Bout du Monde

Entre sport et danse, nos corps balancent avec Thomas Docquir, premier danseur belge à l'Opéra de Paris et Alexandre Boyon, le plus belge des journalistes sportifs de France Télévisions Né à Stave dans la province de Namur, Thomas Docquir débute la danse à l'âge de 8 ans. Très doué, il intègre quatre ans plus tard l'école des petits rats de l'Opéra de Paris. A force de travail, discipline et persévérance, il gravit les échelons pour se hisser au sommet. Actuellement, il incarne le Prince Désiré, premier rôle masculin dans le ballet ‘La Belle au bois dormant' Alexandre Boyon est né dans le Val-de-Marne mais il a grandi à Lille. Journaliste sportif sur France 2, il commente tous les Jeux Olympiques depuis 1996 à Atlanta mais ce féru de sports avait déjà passé la frontière quelques années plus tôt pour rejoindre sa belle à Tournai Chaque dimanche, Adrien Joveneau vous fait découvrir ces Belges qui ont donné des ailes à leurs rêves, à 9 heures sur La Première ou en podcast à volonté sur RTBF Auvio.be France - 28/05/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Mon Carnet, l'actu numérique
{ENTREVUE} - Gameloft Montréal célèbre ses 25 ans

Mon Carnet, l'actu numérique

Play Episode Listen Later May 13, 2025 12:56


Gameloft célèbre ses 25 ans de présence à Montréal, marqués par une transition majeure du jeu mobile vers le jeu sur PC et console, incarnée par le succès de Disney Dreamlight Valley. Ce virage stratégique a redéfini le positionnement du studio, aujourd'hui centré à 100 % sur les plateformes PC/console. Actuellement, Gameloft Montréal développe un jeu inspiré de Donjons et Dragons dans le genre simulation/survie, avec la même approche ciblée qui a assuré le succès de son précédent titre. Fort de ses 370 employés, le studio s'impose comme un pilier international du groupe Gameloft, avec l'ambition affirmée de poursuivre sur cette lancée au cours des prochaines décennies. Entrevue avec Matthieu Dupont, directeur du Studio Gameloft Montréal.

C dans l'air
Docteur Nhân Pham-Thi - Demain tous allergiques?

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 11, 2025 10:10


C dans l'air l'invitée du 10 mai 2025 : Le docteur Nhân Pham-Thi, allergologue et pédiatre à Paris.En ce printemps, nous sommes très nombreux à éternuer et à avoir les yeux qui piquent. Actuellement, les pollens de graminées font leur apparition en France avec un peu d'avance. Dans ce contexte, l'hebdomadaire "Le 1" fait sa Une sur le thème "Tous allergiques", un numéro auquel a collaboré le Dr. Nhân Pham-Thi, allergologue et pédiatre à Paris.Près d'un Français adulte sur trois, et 20% des enfants âgés de plus de 9 ans, souffriraient de rhinites saisonnières provoquées par une allergie aux pollens, un chiffre en forte hausse. L'OMS estime que d'ici 2050, 50% de la pollution souffrira d'allergie. Le dérèglement climatique serait en cause en cause, ainsi que notre mode de vie. Comment se prémunir des allergies, et peut-on se soigner durablement?

Le sept neuf
Mariann Edgar Budde : "Beaucoup de gens se sentent en danger actuellement aux États-Unis"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later May 1, 2025 9:46


durée : 00:09:46 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Mariann Budde, évêque de Washington, était l'invitée de France Inter ce jeudi. Son best-seller "Apprendre le courage" paraitra en français chez Flammarion le 14 mai. L'évêque épiscopalienne pointe du doigt la politique de Donald Trump, notamment envers les immigrants et la communauté LGBTQ. - invités : Mariann Budde - Mariann Budde : Évêque de Washington

Tous les cinémas du monde
Disney, mastodonte du divertissement, célèbre son centenaire actuellement à Paris

Tous les cinémas du monde

Play Episode Listen Later Apr 26, 2025 48:30


Mickey Mouse, Cendrillon, Simba, Mary Poppins, Bambi ou encore les Aristochats : impossible de nommer tous les personnages qui ont bercé l'enfance, et peut-être d'ailleurs pas que l'enfance, des 8 milliards de Terriens. D'autant que leur grande famille s'est élargie avec les héros de Star Wars, les Avengers, et le catalogue de Pixar et de Fox. Coup de projecteur aujourd'hui sur Disney, le mastodonte du divertissement à l'occasion de l'escale parisienne de l'exposition du centenaire. Le 16 octobre 1923, un jeune homme ambitieux de 22 ans passionné de dessin, et qui veut se faire une place et un nom dans l'industrie encore naissante du cinéma, Walt Disney donc rejoint son frère Roy à Hollywood et signe un contrat, pour produire une série de courts-métrages muets, Alice Comedies. Ce document marque alors le lancement du Disney Brothers Cartoon Studio et donc de la Walt Disney Company. C'est l'acte de naissance officiel de ce qui deviendra une major et un mastodonte de l'industrie du divertissement, produisant et distribuant des films, mais aussi éditant des livres, gérant des parcs d'attraction à travers le monde.Ce contrat, on le voit affiché sur le mur de l'exposition du centenaire, qui tourne dans le monde entier, et, après Londres, Séoul ou Munich, fait escale jusqu'au 5 octobre 2025 à Paris au Parc des expositions.On peut y voir quelque 250 objets, des premières esquisses de la souris Mickey, qui naît officiellement le 18 novembre 1928, aux casques des héros de la saga Star Wars (Disney ayant racheté Lucasfilm en 2012) en passant par la pantoufle de verre de Cendrillon ou la boule de neige de Mary Poppins.Pour revenir sur ce centenaire de création, d'innovation, de succès incroyables mais aussi d'échecs et d'enjeux, nous recevons Sébastien Durand, un proche de la famille Disney et un expert de cet univers, porte-parole officiel de l'exposition en France.

Les couilles sur la table
Après Mazan I Justice complice ? (3/4)

Les couilles sur la table

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 51:13


Plus de dix ans avant l'affaire Mazan, Dominique Pelicot aurait déjà pu être arrêté. Actuellement mis en examen pour deux autres affaires de viols et de meurtre non élucidés, son arrestation a été empêchée par une série de défaillances : preuves scientifiques mal exploitées, ADN perdu, documents cruciaux égarés. Autant de ratés qui lui ont permis de continuer à sévir en toute impunité. Au-delà du stade de l'enquête, dans les affaires de violences sexuelles c'est toute la chaîne judiciaire qui pèche : les plaignant·es font face à un système en déroute et gangrené par le sexisme, entre des interrogatoires mal menés, des défenses machistes ou encore des jugements biaisés.Pourquoi la justice peine autant à prendre correctement en charge les violences sexuelles ? Qu'est-ce qui ne fonctionne pas, du dépôt de plainte jusqu'au procès ? Quelles sont les conséquences de ces failles, à la fois pour les plaignant•es et pour les accusés ?Pour en parler, Naomi Titti a tendu son micro à l'avocate au barreau de Paris Marjolaine Vignola, la professeure de lettres et autrice Mathilde Levesque, la médecin et présidente du Collectif Féministe Contre le Viol Emmanuelle Piet, la major de police et formatrice en charge de l'aide aux victimes Fabienne Boulard, l'écrivaine Valérie Manteau, et la journaliste Juliette Campion. Elles montrent que contrairement aux apparences, le procès des viols de Mazan était loin d'être exemplaire.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉPISODE ET RESSOURCES POUR ALLER PLUS LOINRetrouvez toutes les références et ressources de l'épisode à l'adresse : https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/apres-mazan CRÉDITS« Après Mazan » est une série documentaire de Naomi Titti, produite par Binge Audio en 2025 et diffusée dans Les Couilles sur la table, un podcast créé par Victoire Tuaillon. Entretiens, écriture, récit et supervision éditoriale : Naomi Titti. Prise de son, réalisation et mixage : Paul Bertiaux. Production et édition : Marie Foulon. Communication : Lise Niederkorn et Léna Fourgeau. Générique : Théo Boulenger. Identité graphique : Marion Lavedeau (Upian). Rédacteur en chef : Thomas Rozec. Responsable de production éditoriale : Charlotte Baix. Direction de production : Albane Fily. Responsable administrative et financière : Adrienne Marino. Composition identité sonore : Jean-Benoît Dunckel. Guitare : Thomas Gomez. Piano : Djuna Patin. Voix identité sonore : Bonnie El Bokeili. Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Parlons-Nous
Couple : Bruno et sa compagne ont des difficultés de communication à cause de leurs passés respectifs

Parlons-Nous

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 31:39


Bruno est confronté à des difficultés de communication dans sa relation de couple en raison de son passé familial marqué par un mutisme forcé. Son enfance a été influencée par un grand-père pédopsychiatre qui le poussait à s'exprimer, ce qui a renforcé son blocage émotionnel. Actuellement, il cherche à gérer sa colère et à améliorer sa relation. Cette saison, Joseph Agostini accueille les auditeurs le dimanche soir de 23h à 1h sur RTL au 09 69 39 10 11.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grosses Têtes
PÉPITE - Les problèmes de dent de AZ

Les Grosses Têtes

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 3:35


Actuellement, AZ passe son temps chez le dentiste... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.