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durée : 00:57:54 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - À travers les Nouvelles routes de la Soie, la Chine est parvenue à tisser des liens commerciaux étroits avec les pays du Moyen-Orient, mais aussi à se replacer au centre du jeu diplomatique régional en actant le rapprochement entre Ryad et Téhéran en mars 2023. - invités : Camille Lons Consultante à la Paris School of Economics; Thierry Kellner Maître de conférences à l'Université Libre de Bruxelles auteur du livre Histoire de l'Iran contemporain; Galia Lavi Chercheuse à l'INSS (Institute for National Security Studies), spécialiste des relations sino-israéliennes
durée : 00:57:49 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Pour de nombreux pays en voie de développement, les investissements chinois ont été perçus comme une manne d'argent inespérée. Mais les prêts consentis alourdissent aujourd'hui leurs finances, au point que le Sri Lanka ou le Laos aient dû céder l'exploitation de leurs infrastructures à Pékin. - invités : Alisée Pornet Economiste à l'Agence française de développement (AFD); Nathalie Fau Professeure de géographie à l'Université Paris –Cité, membre du CESSMA; Jean-Christophe Servant Journaliste indépendant, contributeur pour le Monde Diplomatique et Afrique XXI
durée : 00:58:12 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Il y a dix ans, Xi Jinping lance l'initiative dite " One Belt, One Road" pour parler de projets d'infrastructures et de transports routiers et maritimes financés par la Chine et destinés à la relier à l'Europe, via l'Asie centrale, l'Asie du Sud et le Moyen-Orient. - invités : Nadège Rolland Directrice d'études chinoises au National Bureau of Asian Research (NBR), un centre de recherches basé à Seattle et Washington; Emmanuel Lincot Professeur à l'Institut Catholique de Paris, chercheur associé à l'Iris et sinologue; Julien Thorez Géographe, chargé de recherche au CNRS, responsable de l'Atlas numérique Cartorient
Septième et dernier épisode de notre série « nouvelles routes de la soie, dix ans après ». Le projet phare de Xi Jinping s'étend dans le Pacifique et vient bousculer l'échiquier géopolitique de la région. Aux Îles Salomon, le rapprochement avec la Chine, lancé sans concertation par le Premier ministre Manasseh Sogavare, divise la classe politique et électrise la société sur fond d'accusations de corruption. Ce 17 juillet 2023, Manasseh Sogavare revient de Chine, où les pontes du Parti communiste lui ont déroulé le tapis rouge. Le chef du gouvernement salomonais a vu Xi Jinping, le président chinois, et signé neuf nouveaux accords avec Pékin en matière d'agriculture, d'aviation, de tourisme, de commerce, de climat et de maintien de l'ordre. A ses yeux, c'est un triomphe, et il ne cache plus ses ambitions : il veut aligner la stratégie de développement des Salomon sur les « nouvelles routes de la soie ». Dès sa descente d'avion, il organise une conférence de presse à l'aéroport d'Honiara et se félicite devant les journalistes d'un déplacement « extrêmement fructueux ». Mais très vite, l'exercice d'autocélébration tourne au règlement de compte et les mots du Premier ministre claquent comme des gifles, qu'il lâche mâchoires serrées, droit dans son costume sombre. « Permettez-moi de répondre aux articles que j'ai pu lire, relayant l'inquiétude de l'Australie et des États-Unis à propos de la coopération policière entre la Chine et les îles Salomon. Cette diplomatie réductrice et coercitive qui consiste à cibler nos relations avec Pékin n'est rien d'autre qu'une forme d'interférence dans nos affaires internes. La Chine n'est pas en train d'envahir ou de coloniser un État étranger. La Chine subvient à nos besoins en matière de maintien de l'ordre et nous sommes en demande de solutions nouvelles à l'ensemble de nos problèmes. Depuis 45 ans, nous sommes laissés de côté et traités comme la basse-cour de nos voisins. Nous devons briser le joug et les chaînes de la dépendance. » Au sens de l'ONU, les Salomon font partie des pays les moins avancés, au même titre que l'Afghanistan, Haïti ou le Soudan. Le produit intérieur brut plafonne à 2 200 dollars par habitant et la population, en majorité rurale et sous-éduquée, vit sous perfusion étrangère depuis l'indépendance concédée par la tutelle britannique en 1978. Incapable de boucler son budget, l'archipel a très vite eu besoin de soutien économique et s'est tourné vers son grand voisin, l'Australie, qui reste un partenaire incontournable. Entre 2009 et 2019, les programmes d'assistance australiens ont encore représenté 65% de l'aide internationale versée aux îles Salomon. Pendant des années, les Australiens ont mis la main au pot sans arrière-pensée, pensant n'avoir rien à craindre de la région Pacifique, une zone sans enjeux stratégiques (« strategically benign », disait-on à Canberra), considérée comme stable, neutre et isolée, que l'Australie chapeautait de loin, sous le regard bienveillant de son vieil allié américain. Avant l'an dernier, elle n'avait jamais négocié de traités de défense bilatéraux avec les micro-États du voisinage, comme les Fidji ou les Tonga, car la nécessité d'un filet de sécurité fabriqué maille par maille au nord des côtes australiennes, ne s'était jamais fait sentir.Présence militaire chinoise à trois heures de Brisbane ?A tort. La percée de la Chine aux Salomon fait désormais planer l'hypothèse d'une présence militaire chinoise à trois heures de vol de Brisbane et vient contrarier l'idée d'un espace indopacifique « libre et ouvert » promue par l'administration Biden. Humiliée dans son jardin, en pleine guerre d'influence avec les autorités chinoises, la Maison Blanche s'est dépêchée de rouvrir début 2023 son ambassade des États-Unis à Honiara, après 30 ans d'absence. Quant au gouvernement australien, il s'est appuyé sur une recette bien connue : accroître, en désespoir de cause, la coopération avec l'exécutif salomonais pour limiter l'emprise de Pékin sur les domaines régaliens. Depuis que les Salomon avaient appelé l'Australie au secours au début des années 2000 pour rétablir l'ordre après plusieurs épisodes de tensions ethniques et de conflits fonciers, l'entraînement des policiers faisait partie de son pré carré. Et les omniprésents 4x4 à l'emblème kangourou remplis de formateurs « aussie » s'étaient fondus dans le paysage. Mais la lune de miel entre la Chine et l'équipe Sogavare a grippé la mécanique et l'atmosphère bon enfant du « Police Open Day ». La journée portes ouvertes des forces de l'ordre qui se tient chaque année en plein air dans la capitale, n'est plus tout à fait la même. Sans doute à cause de l'énorme canon à eau anti-émeute offert par les autorités chinoises, qui trône au milieu du pré. « Bien sûr, on a de l'équipement chinois, nous confie Anseto Maeai, un agent de la Police Response Team, devant son stand d'exposition. Ils nous ont donné des matraques télescopiques, des pinces d'immobilisation, et ici, devant vous, il y a les boucliers tactiques financés par l'Australie et des ensembles balistiques. La police australienne nous aide toujours, dans le cadre de la SIAF, la Force internationale d'assistance à la sécurité. Pour le reste, vous savez, on ne peut pas se permettre de refuser de l'aide, on prend tout ce qu'on nous offre. J'ai moi-même suivi la formation au tir avec les policiers chinois, qui a commencé l'an dernier. C'est assez proche de ce que l'on faisait déjà avec les Australiens, sauf que les Chinois ont leurs propres méthodes d'enseignement, ce n'est pas toujours facile. Avec les Australiens, on peut interagir. Avec la Chine, ça passe par des traducteurs ». La commissaire-adjointe qui prend la parole sur scène ce jour-là dans son uniforme de gala se nomme Evelyn Thugea. Elle a la particularité d'avoir organisé l'événement, censé renouer le lien entre la police et les citoyens, et d'avoir passé un mois en Chine dans le cadre d'un séminaire de formation destiné aux officiers. La question est simple : quelle est exactement l'étendue des services offerts par la police chinoise à son homologue salomonaise depuis la signature de leur protocole d'entente ? « Nous sommes organisés en différents services, avec plusieurs directions. Chaque direction de la police travaille avec différents partenaires étrangers et je ne ferai aucun commentaire là-dessus, car je ne travaille pas directement avec chacune de ces directions. » OpacitéUne fois de plus, les Salomon refusent de rendre public un texte ultra-sensible signé avec Pékin, dont le contenu alimente les pires fantasmes. « Imaginez que des policiers chinois soient appelés à encadrer les prochaines élections où Sogavare joue sa peau, nous glisse un diplomate occidental en poste à Honiara. Quelles garanties de sincérité pour le scrutin ? » La même opacité avait entouré l'accord de sécurité conclu en 2022. Un document explosif, dont seule une version provisoire circule sur les réseaux sociaux, selon laquelle les îles Salomon pourront faire appel à des forces armées chinoises et autoriseront leurs navires à stationner dans l'archipel. Le Premier ministre a beau nier toute militarisation rampante et promettre à la communauté internationale que la Chine n'est pas là pour ça, personne n'est en mesure de le vérifier. Pas même le patron de l'opposition, Matthew Wale, qui s'y est cassé les dents lorsqu'il a demandé des explications officielles. « Chez nous, l'exécutif peut signer des traités internationaux sans passer par le Parlement, il n'a aucune obligation de communiquer avec les élus. C'est un système très particulier, qui n'avait jamais posé problème auparavant. Mais il en pose depuis cet accord de sécurité signé avec la Chine l'an dernier, qui a rendu l'Australie et les États-Unis très nerveux et qui nous place au beau milieu des rivalités régionales. Personne ne sait ce que contient ce texte ni quels seront ses effets. » « En réalité, moins le Premier ministre fait preuve de transparence à propos de ces accords, plus cela provoque d'hostilité, estime Matthew Wale. C'est contreproductif, à la fois de la part du gouvernement et de la part des Chinois, alors qu'il y a de la place pour la Chine. Il y a ce sentiment dans la population que si des pays comme l'Australie, les États-Unis ou la France font copain-copain avec Pékin pour des raisons commerciales et profitent de l'argent chinois, pourquoi pas nous ? Ce qui est important, c'est la façon dont on mène cette relation, et la transparence doit en être un élément primordial. » « Cadeau d'anniversaire pour Pékin »Le péché originel, c'est la bascule qui s'est produite en septembre 2019, quand Manasseh Sogavare a décidé d'établir des relations diplomatiques avec la Chine au détriment de Taïwan, l'allié historique des îles Salomon. Du jour au lendemain, sans explication, le gouvernement salomonais a enterré trois décennies de coopération avec les autorités taïwanaises et fait un choix précipité, clivant, voire suspect, selon le député Peter Kenilorea Jr, qui y voit une manipulation grossière de l'appareil politique. « Cela faisait 36 ans que nous étions du côté de Taïwan, regrette l'élu. Et pour beaucoup de gens, Taïwan n'avait rien fait de mal, rien qui justifiait d'être jeté dehors. Par ailleurs, c'est un sujet qui n'avait jamais été abordé pendant les dernières élections. Délaisser Taïwan au profit de la Chine ? Personne n'avait fait campagne sur ce thème. Pourtant, dès son arrivée au pouvoir, c'est devenu la priorité du gouvernement et cela a laissé bon nombre d'électeurs perplexes. Dans la phase qui a précédé le scrutin, la Chine poussait de manière très agressive et je pense que des promesses ont été faites en coulisses. Certains groupes politiques ont dû s'engager à reconnaître la Chine s'ils gagnaient les élections. » « Pour moi, soutient Peter Kenilorea Jr, c'est devenu évident à la lecture de leur première recommandation : il fallait à tout prix passer de Taïwan à Pékin avant le 1er octobre 2019, parce que le 1er octobre coïncidait avec les 70 ans de la Chine communiste fondée par Mao en 1949. Absolument aucun Salomonais n'aurait pu écrire ça, c'est sorti de nulle part. Et là, j'ai compris que la reconnaissance était juste un pur cadeau d'anniversaire pour Pékin. » Ce que cet ancien cadre des Nations unies suggère avec ses mots choisis, Ruth Liloqula nous le confirme au bazooka entre deux conférences dans un hôtel du centre-ville. D'après cette figure de la société civile salomonaise, plusieurs fois primée pour son combat contre la corruption et représentante aux îles Salomon de l'ONG Transparency International, le chef du gouvernement s'est laissé acheter par le régime chinois. « La Chine fournit de l'argent liquide pour consolider le parti de Sogavare, accuse-t-elle. 250 000 dollars par tête. J'ai vu de mes propres yeux la liste contresignée par le Premier ministre stipulant qui devait être payé pour survivre à la motion de censure déposée contre lui en 2021. 250 000 dollars pour chaque membre du Parlement prêt à soutenir son action. Aujourd'hui, la plupart de ces élus font partie du gouvernement. Tout le monde en parle mais il va falloir que quelqu'un se lève et s'engage à aller jusqu'au bout. Or, ceux qui détiennent ces informations et pourraient servir de témoins crédibles ne sont pas prêts à y aller, parce que s'ils le font, ils perdront leur emploi. » Manasseh Sogavare n'a pas souhaité nous recevoir, mais son directeur de la Communication, George Herming, nous accueille au siège de l'exécutif à Honiara. Selon lui, cette liste n'a jamais existé et le système de pots-de-vin dont tout le monde parle est une invention de l'opposition. « On attend toujours des preuves concrètes. Ces accusations ont toujours été proférées pour des raisons politiques par des personnes opposées à la ligne du gouvernement. Si vous avez la preuve que la Chine nous soudoie ou a soudoyé des députés afin d'acheter leur vote, je vous en prie, levez-vous et portez plainte auprès des autorités compétentes, afin que le personnel corrompu soit poursuivi et condamné. Jusqu'ici personne n'a porté plainte, personne n'a d'éléments montrant que telle ou telle personne a reçu telle ou telle somme d'argent. Ce ne sont que des mots, sans aucune preuve tangible ». Émeutes et communauté chinoise traumatiséeInvérifiable, impossible de suivre la trace d'une valise de billets, mais ces rumeurs et ce climat délétère ont fait des dégâts bien réels au mois de novembre 2021, quand des émeutes ont éclaté à Honiara. Les manifestants ont envahi le Parlement, incendié un commissariat de police et débarqué dans le quartier de Chinatown, qu'ils ont réduit en cendres. L'explosion de violence a fait trois morts et traumatisé la communauté chinoise. Dix-huit mois plus tard, sous couvert d'anonymat, un commerçant que nous surnommerons M. Chan accepte de nous emmener sur place, dans ce quartier chinois d'Honiara qui ne comprend qu'une seule artère, désormais déserte, où les bâtiments noircis et éventrés ont à peine été nettoyés. Ses ancêtres arrivés de Chine il y a plusieurs générations avaient fondé leur magasin ici après la Seconde Guerre mondiale. Tout a brûlé, y compris les souvenirs de famille. Entre deux soupirs fatalistes, M. Chan souffle qu'il se bat toujours contre un syndrome de stress post-traumatique. « Il n'y a rien plus à voir. C'était un vieux magasin en bois des années 1950. Le jour des émeutes, des amis m'ont prévenu, ils m'ont envoyé la vidéo. Les gars ont mis le feu à ce magasin-là, ça s'est propagé à côté et c'est venu jusqu'au nôtre. Aux Salomon, les gens utilisent avant tout les manifs pour casser, pour voler ou pour piller. La plupart de ces émeutiers n'étaient pas de vrais manifestants, ils se sont juste dit que c'était l'occasion de piquer des trucs. Le prétexte, c'est "on n'est pas d'accord avec la politique du gouvernement", etc. Mais le plus stupide là-dedans, je vous le pose là : qui les a élus, ces politiciens ? Ce ne sont pas les Chinois qui ont voté pour eux. » Les troubles ont débouché sur une centaine d'arrestations et polarisé encore un peu plus la société salomonaise, incapable de déterminer par elle-même si les « nouvelles routes de la soie » constituent une aubaine ou un poison pour les îles Salomon. « Peu importe le donneur »Même les vieux sages comme Johnson Honimae, journaliste et chef de la radio publique salomonaise, que nous rencontrons sur le campus de l'Université d'Honiara, ont du mal à crever l'abcès. « Il y a des doutes parce que la Chine est une nouvelle venue dans la région. Beaucoup de gens ont des a priori. Aux Salomon, nous sommes chrétiens, ce n'est pas le cas de la Chine. Nous sommes un pays démocratique, nous tenons à ces valeurs, ce n'est pas vraiment le cas de la Chine. » « Mais au bout du compte, poursuit Johnson Honimae, la question, c'est de savoir qui va nous aider le plus possible, parce que nous avons des bouches à nourrir, des besoins de développement considérables et pas assez de revenus. Le commerce du bois s'est écroulé, et grosso modo, même si nous nous asseyons sur une partie de nos convictions, la nécessité à la fin du mois, c'est de joindre les deux bouts. » En ville, tous les immeubles en dur sont financés et construits par des entreprises étrangères. Les Américains ont aménagé le nouveau Parlement national, Taïwan a offert le siège de l'opposition et le dernier centre de conférences, près de l'aéroport, est une réalisation indonésienne. Il y a tant à faire, routes, ponts, hôpitaux, communications… Pourquoi s'étonner que la Chine vienne d'emporter un nouveau marché auprès de la Banque asiatique de développement afin de rénover le port international d'Honiara et deux débarcadères en province ? « Peu importe le donneur, tous les gens qui travaillent dans le secteur du développement ici vous le diront, tempère Thierry Nervale, le directeur français de l'Autorité maritime des îles Salomon, un organe indépendant du gouvernement. Il y a effectivement des projets qui sont menés par des entreprises chinoises comme la China Civil Engineering Construction Corporation (CCECC). Mais dans la majorité des cas, ce n'est pas la Chine qui en est à l'origine, c'est la Banque asiatique de développement qui monte des projets, lance un appel d'offres et choisit les candidats. Et visiblement les entreprises chinoises sont compétitives puisqu'elles sont souvent sélectionnées pour travailler en Asie et dans le Pacifique. » Pas de raz-de-marée, en tout cas pas pour l'instant. À terme, le gouvernement des Salomon n'exclut pas de travailler directement avec la Chine dans des domaines aussi sensibles que les télécommunications, l'installation de câbles internet sous-marins ou les infrastructures énergétiques. « À la lumière du dernier déplacement de notre Premier ministre à Pékin, il y a des discussions à venir autour des "nouvelles routes la soie", cela dépendra de nos besoins, prévient George Herming, le porte-parole de l'exécutif. Pour ce qui est de l'assistance militaire, ce n'est pas à l'ordre du jour, mais c'est une possibilité. Nous devons nous inspirer de que la Chine a été capable de faire pour se développer. »À lire aussiRetrouvez l'intégralité de notre dossier sur les «nouvelles routes de la soie»
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durée : 00:58:35 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Le 5 septembre 2023 s'ouvre à Munich le salon de l'automobile, considéré comme l'un des grands rendez-vous de la filière automobile mondiale, et la Chine affiche de grandes ambitions planétaires avec sa filière électrique. Comment la voiture électrique chinoise fait-elle bouger les lignes ? - invités : Jean-François Dufour Co-fondateur de Sinople, cabinet de conseil stratégique; Juliana Bouchaud Analyste dans la cabinet de recherche Rhodium, spécialisée sur la Chine; Joseph Dellatte Expert Résident - Climat, énergie et environnement
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Plongez dans le monde des voitures électriques chinoises avec le Yuanhang Y6 et le H8, deux véhicules haut de gamme avec une autonomie allant jusqu'à 1 020 km
durée : 00:54:06 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - Bien loin des nems, poulet à l'ananas et riz cantonais, le resto chinois fait sa révolution en France ! Plus authentique, plus soucieuse des matières premières, plus éco-responsable, une nouvelle cuisine chinoise s'exprime en France. On en parle et on se met en cuisine avec nos invités. Céline Chung Fondatrice des restaurants Bao Family et auteure de « Bao Family » Céline Chung est née à Paris. Ses parents sont d'origine chinoise, et viennent plus précisément de la ville de Wenzhou. Pendant son enfance, pour Céline la culture chinoise se résume à celle de ses parents, et notamment aux plats que sa mère lui prépare. À 20 ans, dans le cadre de ses études en école de commerce, elle part en échange universitaire à Shanghai car elle souhaite découvrir la Chine de ses propres yeux. La nourriture est là-bas omniprésente et la cuisine plurielle. En grandissant, elle se rend compte que la nourriture représente tout dans une famille chinoise, et que c'est avant tout une preuve d'amour. À la fin de ses études, Céline commence sa carrière professionnelle dans le conseil. Mais au fond, elle sait qu'elle veut entreprendre. À son retour de Shanghai, elle voulait retrouver les saveurs qu'elle avait goûtées là bas. C'est de là que vient cette idée de créer le restaurant de ses rêves, dans lequel on servirait une cuisine chinoise traditionnelle authentique, avec des produits bien sourcés, avec une déco et un design moderne. Un endroit dédié au partage, où on pourrait profiter en famille ou avec ses amis. A 27 ans, elle démissionne et commence son aventure dans la restauration ! Elle commence en tant que bras droit des fondateurs de PNY et les accompagne dans leur développement. Après un an, il est temps de lancer le projet qui lui tient à coeur. Elle rencontre alors Billy Pham, qui deviendra son associé. Ils partent tous les deux à Shanghai pour prendre des cours de cuisine et s'imprégner de la culture. L'aventure entrepreneuriale commence ici, portée par la vision créative de Céline pour le projet Bao Family. Ils ouvrent Petit Bao en janvier 2019, une cantine qui propose des plats typiques de la région de Shanghai, avec une déco entre Paris, Berlin et Shanghai. À ce moment, ils souhaitent casser les clichés qui ternissent l'image de la cuisine chinoise. En juillet 2020, ils ouvrent Gros Bao, la cantine kitch flamboyant de rouge avec l'envie de créer des univers et des expériences différentes. Enfin, le 11 février dernier, ils ouvrent la toute dernière adresse de Bao family, Bleu Bao : un lieu que Céline a imaginé comme une vieille maison bourgeoise chinoise où les dim sum sont ici mis à l'honneur. Instagram Adresses Bao Family: Petit Bao - 116 Rue Saint-Denis 75002 Paris LUNDI - VENDREDI : 12h - 15h et 19h - 23h | WEEK-END : SERVICE CONTINU - 12h - 23h Gros Bao - 72 Quai de Jemmapes 75010 LUNDI - VENDREDI : 12h - 15h et 19h - 23h | WEEK-END : SERVICE CONTINU - 12h - 23h Bleu Bao 8 rue saint Lazare 75009 Paris LUNDI - VENDREDI : 12h -15h et 19h - 23h | WEEK-END: 12h - 15h et 19h - 23h Les recettes proposées par Céline Chung « Extraites de BAO FAMILY, la cuisine chinoise entre tradition et modernité de Céline Chung & toute son équipe, Photographies de Grégoire Kalt, Stylisme d'Agathe Hernandez chez Hachette Cuisine » Concombres marinés (pour une alternative "hivernale", les concombres peuvent être remplacés par du melon d'hiver, de la sucrine du Berry, de la pomme ou de la poire Nashi) Charsiu Bao Mapo Tofu (pour l'alternative végétale, il faut simplement remplacer le porc par des shiitakes) Pas à pas Baozi Le coup de coeur de François-Régis Gaudry Sauce bio barbecue BBQ QUINTESENS Il aura fallu 15 recettes à Quintesens avant de trouver la recette idéale. Une recette alliant le goût authentique et subtile du piment doux fumé de Provence aux tomates de Marmande et à de bons légumes bio cultivés en France. Elle est 3 fois moins sucrée que les sauces BBQ conventionnelles, elle ne contient aucun additif et soutient une agriculture bio e - réalisé par : Lauranne THOMAS
Les hauts responsables américains sont de retour à Pékin. Après Janet Yellen et Anthony Blinken, John Kerry achève ce 19 juillet une visite axée sur le climat. Au moment où son économie patine, la Chine rouvre le dialogue avec les États-Unis. Faut-il y voir un lien de cause à effet ? C'est la thèse défendue par le correspondant à Pékin du New York Times. C'est aussi le vœu exprimé par les industriels chinois. Pour faire repartir la machine, ils attendent le coup de pouce de l'État pour relancer les commandes et espèrent autant la reprise des achats américains. Le commerce demeure l'un des moteurs de l'économie chinoise.Le marché intérieur censé prendre le relais des exportations tarde à délivrer ses promesses tandis que les gros clients de la Chine, Europe et États-Unis confondus, ont revu à la baisse leurs importations en provenance de l'empire du Milieu : le mois dernier, les exportations chinoises ont chuté de 12 %. La couronne de premier fournisseur des États-Unis en périlUne couronne détenue depuis douze ans qui lui a été soufflée en début d'année par le Mexique, suivi du Canada. D'après les derniers chiffres du commerce américain, c'est-à-dire ceux des quatre premiers mois de cette année, la Chine n'est plus aujourd'hui que le troisième fournisseur des États-Unis derrière ces deux pays.Une tendance qui devrait se confirmer dans les prochains mois : les Américains favorisent désormais la production de proximité, c'est le grand mouvement de « reshoring », de relocalisation à l'œuvre depuis le confinement de l'atelier du monde.Des relations commerciales relancées ?La visite de Janet Yellen à Pékin la semaine dernière a été perçue comme positive par les deux pays. On a même beaucoup jasé sur les salutations inclinées à répétition de la secrétaire du Trésor des États-Unis devant un haut dignitaire chinois. Elle n'était pas venue à Pékin pour se prosterner devant l'administration chinoise, elle avait tout simplement consommé des champignons hallucinogènes dans un restaurant pékinois. La presse en a fait des gorges chaudes mais le retour au réel est brutal.La guerre technologique déclenchée par les États-Unis est toujours à l'ordre du jour. Pékin, en mesure de rétorsion, a décidé de suspendre les exportations de minerais indispensables à la fabrication des semi-conducteurs, ce qui évidemment déplaît à Washington. Dans le domaine commercial, Janet Yellen estime qu'il est prématuré d'envisager la levée des barrières douanières. Pour les industriels chinois, la seule alternative pour récupérer les commandes américaines consiste à passer par un pays tiers, en Asie du Sud-Est, ce qu'ils ont commencé à faire depuis plusieurs mois.Une coopération sur le climat favorable au rebond de l'économie chinoise ?La Chine est aujourd'hui de loin le premier pollueur de la planète : elle s'est dotée en 2022 d'une centaine de centrales à charbon et n'est pas pressée d'y renoncer comme le souhaite John Kerry, surtout au moment où la reprise de l'économie se fait désirer. Pékin n'a d'ailleurs pas l'intention de réduire ses émissions avant 2030.Car le climat est aussi l'un des champs de bataille de la guerre commerciale qui oppose la Chine aux États-Unis. Le Congrès américain a voté au printemps le retour des droits de douane sur les panneaux solaires chinois, taxes que Joe Biden avait suspendu pour assurer l'approvisionnement américain. Malgré la vague de chaleur qui s'abat aujourd'hui sur la Chine comme sur les États-Unis – et qui dépasse les clivages selon John Kerry – ce contexte est plutôt refroidissant et peu propice aux concessions. La Chine ne se fera pas dicter son chemin par d'autres pays, a rappelé Xi Jinping dans un discours tenu hier à la télévision chinoise.
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Ça patine toujours pour l'économie chinoise, ce qui alimente l'espoir d'une relance publique vigoureuse, celle dont tout le monde parle mais dont on ne voit pas le début d'un commencement. En attendant, l'embouteillage des publications estivales des résultats d'entreprises démarre cette semaine. Il durera au moins jusqu'aux premiers jours d'août. Aux Etats-Unis, les statistiques défient toujours les taux élevés, ce qui réjouit les uns et taraude les autres.
durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La France a mis son véto à l'ouverture d'un bureau de l'OTAN à Tokyo, agacée de l'engagement croissant de l'organisation atlantique en Asie, face à la Chine. Les États-Unis poussent l'OTAN à s'engager, politiquement à ce stade, dans l'endiguement de la menace chinoise.
durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La France a mis son véto à l'ouverture d'un bureau de l'OTAN à Tokyo, agacée de l'engagement croissant de l'organisation atlantique en Asie, face à la Chine. Les États-Unis poussent l'OTAN à s'engager, politiquement à ce stade, dans l'endiguement de la menace chinoise.
durée : 01:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Pascale Lismonde - Avec Christian Descamps, Jacques Brosse, Jacques Gernet et Cyrille Javary - Réalisation Claude Giovannetti
La RDC fournit 70% du cobalt mondial utilisé pour les batteries des téléphones portables et des voitures électriques. En 1 an, les cours du cobalt ont chuté de 65%, passant d'environ 40 à 14 dollars la livre. La querelle entre cette société minière chinoise et son partenaire congolais, la Gécamines, qui vient juste de se débloquer, laisse craindre une nouvelle chute des cours Des dizaines de milliers de tonnes de cathodes de cuivre et de poudre de cobalt entassés dans l'immense mine de Tenke Fungurume, dans le sud-est de la RDC. Il s'agit d'un des gisements les plus importants au monde qui produit à lui seul 15% de la production mondial de cobalt. Il y a un an, la société chinoise Cmoc, propriétaire à 80 % de la mine, s'est vu interdite d'exportation, accusée d'avoir sous-évalué les réserves de minerais afin de réduire la redevance qu'elle doit payer. Depuis, les minerais, extraits, sont stockés dans des milliers de sacs entreposés à l'air libre dans de vastes terrains vagues.Après 9 mois de blocage, un accord a été trouvé, les exportations vont pouvoir reprendre. Mais à quel rythme ? Car la quantité de cobalt stockée est estimée à elle seule à 13 000 tonnes, soit 7% de la production mondiale de l'année dernière. Le prix du cobalt ne sera pas affecté, assure la société CmocÀ Kinshasa, on craint qu'une libération soudaine de ces stocks ne provoque un effondrement du marché… alors que les prix sont déjà bas. Le vice-président de Cmoc se veut rassurant : le prix du cobalt ne sera pas affecté, assure Zhou Jun. La plus grande partie sera vendue peu à peu, dans le cadre de contrats d'approvisionnement à long terme.Liquider les stocks pourrait prendre jusqu'à 10 mois, estime un analyste, qui juge peu probable que le prix du cobalt baisse davantage, mais, ajoute-t-il, ces stocks pourraient prolonger la période de prix bas. Pour l'expert en minerais Léonide Mupepele, la RDC, en situation de quasi-monopole, doit apprendre à mieux gérer ses exportations, afin d'exercer un contrôle sur les prix. Le gouvernement pourrait ainsi racheter une partie de la production, la stocker avant de la relâcher sur le marché, explique-t-il. La loi minière le lui permet.Quant à l'accord entre Cmoc et la Gécamines, son contenu n'a pas été rendu public. Mais certains spéculent que Kinshasa - ayant besoin de fonds pour l'élection présidentielle en fin d'année - a dû mettre fin à la querelle.
Dans cette vidéo, je vous parle de l'avenir de la voiture électrique en Chine et de la fonction tant attendue de ChatGPT. 00:00 Salutations à tous et mode Podcast en hausse. 02:00 Au sommaire du Live: Retour sur la semaine Test Dreame R20 Semaine prochaine: Projecteur K2s avec HP JBL 10:00 La voiture électrique Chinois est elle l'avenir 20:00 ChatGPT,enfin un bouton pour écrire la suite 30:00 La France brule,encore .... 40:00 Films et séries de la semaine: Silo, The crowed Room, Secret invasion, The witcher saison 3
durée : 00:58:57 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - L'économie européenne chahutée par la crise énergétique tient le choc. Mais si l'Union Européenne a évité la catastrophe annoncée à l'été 2022, elle reste néanmoins menacée par des dangers structurels majeurs qui plombent son économie - invités : Elvire Fabry Chercheuse senior sur la géopolitique du commerce à l'Institut Jacques Delors; Sébastien Jean Professeur d'économie au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM); Jean-Marc Daniel économiste, professeur émérite à l'ESCP Europe
durée : 00:03:08 - En direct du monde - Parmi les nombreux projets financés par la Chine au Monténégro, l'un d'eux est devenu particulièrement symbolique : la construction d'une autoroute de 160 kilomètres devant relier la ville portuaire de Bar à la Serbie voisine.
L'interview croisée d'Emmanuel Todd dans le quotidien Le Figaro : Alain Minc, intellectuel libéral bon teint, était face à Emmanuel Todd, un excellent historien, plutôt classé à gauche. Première remarque intéressante d'Alain Minc au fond, l'Europe se construit toujours sous la menace. Nous croyons tous que l'Europe est née avec la volonté de fer de Jean Monnet et quelques-uns de ses disciples. Eh bien non, elle est née grâce à Staline et à ses menaces sur notre vieux continent. Alain Minc précise que Vladimir Poutine est également une sorte de nouveau père de l'Europe, car c'est grâce à lui et à ses menaces que l'Allemagne a donc cessé de lorgner vers les pays de l'Est et rapprochée de l'Europe de l'Ouest et des Etats-Unis. Et si nous nous sommes rapprochés des Etats-Unis, c'est parce que nous n'avons pas les moyens militaires de nous défendre par nous-mêmes. Ce sont les Etats-Unis qui tirent les marrons du feu de cette guerre en Ukraine et ce sont eux qui font le plus grand effort militaire en Ukraine. Et c'est là où l'interview croisée devient passionnante. Pour l'historien Emmanuel Todd, pas du tout. Nous n'étions pas menacés par la Russie. Pour lui, c'est du pipeau pour le grand public ou les médias, dans le sens où, selon lui, les Russes ne menaçaient pas l'Europe occidentale, vu la disproportion des forces conventionnelles entre l'OTAN et la Russie. Pour lui, la vraie raison de cette guerre, c'est que les Etats-Unis ne voulaient pas d'une domination allemande sur l'Europe. Les Etats-Unis redoutaient une mise en complémentarité de l'industrie allemande et des ressources énergétiques russes. Le rapprochement entre Moscou et Berlin aurait signé l'expulsion des Anglo saxons du continent. Et donc les Etats-Unis ont donc fait exploser le gazoduc Nord Stream, qui associait donc la Russie à l'Allemagne. De son côté, Alain Minc remarque que les Etats-Unis sont en train de changer sur le plan de la géopolitique, changement qui vient principalement de la démographie : les Etats-Unis d'Amérique ont été fondés par des Européens, souvent des Britanniques, des Allemands ou des Néerlandais, et l'élite américaine est donc resté proche de l'Europe au fil du temps. Mais demain, les Américains d'origine chinoise auront remplacé les white anglo saxons protestants. Ce qu'on appelle les WASP et les Américains d'origine indienne auront remplacé la communauté juive. Selon Alain Minc, la carte stratégique des Etats-Unis ne sera plus une carte occidentale ou pro occidentale. L'élite américaine de demain sera asiatique, surtout chinoise et indienne. Et pour eux, l'Europe, c'est juste un continent de vieux avec lequel ils n'ont aucun lien ancestral. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
Ce mardi 30 mai, la nouvelle classe sociale en Chine pour ceux qui vivent de l'économie en ligne a été abordée par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Sylvie Khamphousone (qui publie sous le nom de Sylvie Li) a écrit le livre « La conception de Léo avec la PMA », pour expliquer la PMA à son fils et à tous les enfants. Sylvie est française et chinoise, et lesbienne – même si elle ne se limite pas à ces trois étiquettes ! Nous avons parlé de vrai et faux nom de famille, d'environnement plurilingue, de bachoter une langue pour pouvoir la transmettre… et d'intersectionnalité. Du rire aux larmes, nous avons parlé de ce que signifie grandir dans son identité et affirmer ses choix. « Mes parents, ils viennent de loin, ils n'ont pas fait beaucoup d'études, ils sont venus en France en comme passagers clandestins et je me dis waouh, ils ont quand même réussi à accepter finalement leur enfant qui est lesbienne d'origine chinoise » Sylvie est très active auprès de différentes associations pour sensibiliser les enfants à l'antiracisme et à l'homoparentalité notamment. Bonne écoute !
Ce jeudi 18 mai, une femme qui a été nommée à la tête d'un grand groupe de la tech chinoise JD.com, une décision historique a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Vendredi 12 mai, La question de la semaine : l'économie chinoise s'est-elle réveillée ? a été abordé par Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste international chez BFM Business, Léa Dunand-Chatellet, responsable de l'investissement responsable chez DNCA Finance, Jean-Marc Daniel, économiste, professeur émérite à Escp business school, et Eric Bleines, directeur général de Swiss Life Gestion Privée., reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Vendredi 12 mai, La question de la semaine : l'économie chinoise s'est-elle réveillée ? a été abordé par Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste international chez BFM Business, Léa Dunand-Chatellet, responsable de l'investissement responsable chez DNCA Finance, Jean-Marc Daniel, économiste, professeur émérite à Escp business school, et Eric Bleines, directeur général de Swiss Life Gestion Privée., reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce mercredi, il s'intéresse à la crise diplomatique entre la Chine et le Canada.
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce mercredi, il s'intéresse à la crise diplomatique entre la Chine et le Canada.
Deuxième langue la plus parlée au monde, juste derrière l'anglais, la légende raconte que le chinois a été inventé grâce à la trace d'un sabot. Tous les jours à 6h50 sur RTL, Florian Gazan révèle une histoire insolite et surprenante, liée à l'actualité.
durée : 00:58:24 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Comment s'est constitué et équilibré le duopole Airbus / Boeing ? L'émergence du chinois Comac peut-il changer la donne, alors que la transition énergétique met le duopole au pied du mur ? - invités : Marc-Daniel Seiffert chercheur associé à l'Université de Toulouse Jean-Jaurès, membre du comité de rédaction de la revue Nacelles.; Olivier James journaliste à l'Usine nouvelle, spécialiste de l'aéronautique
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce jeudi, il s'intéresse au démantèlement d'une antenne de police chinoise clandestine à New York.
durée : 00:57:41 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Tristan Coloma revient de la frontière polonaise où la forêt est devenue un cauchemar pour les réfugiés / Au mois de mars 2023, Pékin se place en faiseur de paix dans un monde va-t-en-guerre : après une médiation inattendue entre Iraniens et Saoudiens, la Chine promeut, à Moscou, la paix avec Kiev. - invités : Tristan Coloma Documentariste; Emmanuel Véron Géographe, spécialiste de la Chine contemporaine, chercheur associé à l'école navale et à l'INALCO, membre de l'Institut Français de Recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAE); Marc Julienne Responsable des activités Chine de l'Institut français des relations internationales (IFRI)
Les enfants vont bien: homoparentalité et autres schémas familiaux
Vous commencez à bien me connaitre pour la plupart d'entre vous et vous savez que je suis curieuse. J'ai une soif de découverte insatiable. Je suis friande des spécificités des cultures qui ne sont pas les miennes, et cela, particulièrement dans le cadre de coming out, ou de constructions de familles homoparentales, dans des cadres plus stricts, plus traditionnels, dans des conventions moins ouvertes. Lorsque Sylvie est venue vers moi pour me raconter sa famille, nous nous sommes tout de suite accordées sur le fait qu'il fallait avant tout, qu'elle me fasse part du contexte dans lequel elle avait grandi et qui teintait l'ensemble des décisions de ce projet. Sylvie est d'origine chinoise, ses parents sont nés au Laos et ont fuit la montée communiste des qu'ils ont pu pour se rendre en France et donner naissance à Sylvie, puis à ses frères et soeurs. Ses parents sont l'exact interprétation de ce que l'on imagine des familles chinoises. Un père très taiseux, une mère plutôt effacée, dont le rôle est de s'occuper des enfants, un famille à l'ancienne, très patriarcale en somme. Je me suis longtemps interrogée sur les possibilités de faire son coming out dans des sociétés si traditionnelles et ancestrales. J'avais déjà la conviction que cela demandait une grande force, tout en ayant conscience que cette force est malheureusement encore nécéssaire en occident aussi. Vous l'entendrez d'ailleurs dans cet épisode, c'est encore un sujet très sensible chez Sylvie. En revanche, ce que j'ai envie d'en retenir, c'est qu'elle a réussi! Elle a réussi à s'outer et à construire sa famille homoparentale, en y ajoutant la complexité d'une différence d'age certaine avec sa femme, tout en préservant les liens familiaux. Aujourd'hui, elle en a fait du chemin, et quand elle regarde en arrière, Sylvie peut etre fière d'elle, fière d'avoir fait bouger les lignes. Et elle ne s'est pas arrêtée la! Pour entériner son parcours et qu'il donne foi à d'autres jeunes chinois qui aimeraient faire leur coming out et construire une famille, mais aussi pour que son fils découvre dans ses albums un héros qui lui ressemble, elle a écrit un livre pour enfant qui raconte leur histoire: La conception de Léo avec la PMA. J'ajoute juste ici, que si ce podcast vous plait et que vous souhaitez le soutenir, je vous propose de nous retrouver sur ma page Steady. Vous en trouverez le lien en bio du compte Instagram du podcast: @lesenfantsvontbienpodcast et ici: https://steadyhq.com/les-enfants-vont-bienJe ne vous retiens pas plus longtemps et vous laisse découvrir cette histoire.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/lesenfantsvontbien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Addiction, abêtissement, fuites de données personnelles, voire espionnage… L'application TikTok fait figure de pestiférée. Pour quelles raisons ? Désinstaller l'appli peut-il régler le problème ? Cela fait un moment que l'appli vedette de la société Bytedance est dans l'oeil du cyclone. Les critiques portent notamment sur l'addiction qu'elle suscite chez les utilisateurs, notamment les plus jeunes. L'algorithme de recommandation de TikTok est en effet particulièrement efficace, il permet à l'application de cibler les intérêts des utilisateurs en analysant leur comportement rapidement et de manière très précise. Et puis, Tiktok suscite aussi des inquiétudes quant à des risques de fuites de données et même de l'espionnage au profit de la Chine. C'est la raison pour laquelle les autorités américaines et européennes demandent à leurs fonctionnaires de désinstaller l'appli de leurs smartphones. Désinstaller l'appli ne règle pas tous les problèmes Désinstaller l'application Tiktok n'est pas une garantie de totale confidentialité. En effet, des milliers d'autres applications collectent et partagent avec TikTok des renseignements sur les utilisateurs. Cette pratique est rendue possible grâce à l'utilisation du kit de développement de TikTok, mis à disposition des éditeurs d'applications pour qu'ils puissent développer des services liés à l'appli. Il faut également compter avec les trackers publicitaires sur les sites web qui permettent à TikTok d'analyser le comportement des internautes. Enfin, des courtiers en données agrègent des milliards de données et les revendent pour des utilisations commerciales, ce qui constitue aussi des risques de fuites de données vers la Chine. Cela dit, ces pratiques ne sont pas réservées à TikTok. Tous les réseaux sociaux et plateformes d'envergure se livrent au même petit jeu. Du coup, certains se demandent, en Europe, pourquoi TikTok serait plus fautive que Google ou Meta qui font la même chose. Rencontre avec le gouvernement Bytedance sent poindre le danger et réagit en annonçant un projet baptisé Clover qui prévoit de stocker les données des utilisateurs européens dans des data centers situés en Europe. Le ministre français du numérique Jean-Noël Barrot doit rencontrer vendredi prochain des représentant de TikTok. Cela permettra-t-il d'apaiser les craintes à l'égard de l'application chinoise ?
Cette semaine exceptionnellement dans New Deal, nous vous proposons d'écouter l'épisode du monde devant soi, notre podcast d'actualité internationale. Début janvier, les journalistes Léa Polverini et Robin Tutenges sont partis au Kazakhstan, un pays d'Asie centrale situé au nord-ouest de la Chine. Dans cette ancienne république soviétique, ils ont pu recueillir de nombreux témoignages sur la machine répressive à l'œuvre dans la région voisine du Xinjiang. Ce territoire désertique et montagneux, d'environ 1.600.000 kilomètres carrés, voit se multiplier depuis 2014 les camps de rééducation où sont internées les victimes de la répression chinoise. Pourquoi le régime chinois persercute-t-il des minorités dans une totale impunité? Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron. Direction et production éditoriale: Christophe Carron Prise de son, montage et réalisation: Mona Delahais Présentation: Christophe Carron Musique: «True Messiah», DJ Freedem Si vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram.
Début janvier, les journalistes Léa Polverini et Robin Tutenges sont partis au Kazakhstan, un pays d'Asie centrale situé au nord-ouest de la Chine. Dans cette ancienne république soviétique, ils ont pu recueillir de nombreux témoignages sur la machine répressive à l'œuvre dans la région voisine du Xinjiang. Ce territoire désertique et montagneux, d'environ 1.600.000 kilomètres carrés, voit se multiplier depuis 2014 les camps de rééducation où sont internées les victimes de la répression chinoise. Pourquoi le régime chinois persercute-t-il des minorités dans une totale impunité? Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron. Direction et production éditoriale: Christophe Carron Prise de son, montage et réalisation: Mona Delahais Présentation: Christophe Carron Musique: «True Messiah», DJ Freedem Si vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram.
"If you listen to the monks' mantra-style prayer chanting for an extended period of time, you become locked into its world, trance-like and utterly absorbed. "This recomposed piece imagines what happens if you become so absorbed in these wonderful chants that, like a synaesthetic experience, you begin to hear things that aren't there around the outside, like extra choirs of heavenly voices coming down from the skies and the gentle clinking of wind chimes and fluttering of prayer flags. "The piece attempts to make this hyperreal experience a reality, extending the monks' chanting out into something that represents our own aural experience when becoming locked into this recording." Wenzhou monk chants reimagined by Cities and Memory.
Ce vendredi 17 février, la volonté de Joe Biden de parler à Xi Jinping voulant éviter une nouvelle guerre froide, a été abordée par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:15:59 - Les Odyssées - par : Laure Grandbesançon. - Qui était Ching Shih , cette femme chinoise à la tête de l'une des flottes de pirates les plus puissantes et effrayantes de toute l'Histoire ? Les Odyssées enquêtent !
durée : 00:43:16 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour d'Olivier de Lagarde, les informés débattent de l'actualité du samedi 4 février 2023.
EXPERTS PHILIPPE DESSERTINE Directeur de l'Institut de Haute Finance Auteur de « Le grand basculement » SYLVIE MATELLY Économiste - Directrice adjointe de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques VALÉRIE NIQUET Spécialiste de l'Asie - Fondation pour la Recherche Stratégique Auteure de « La Chine en 100 questions » FRANÇOIS BOUGON Journaliste spécialiste de la Chine – « Mediapart » Coup de frein sur la mondialisation. C'est ce qui semble être dans toutes les toutes têtes du 53è Forum économique de Davos. La rencontre annuelle, qui s'est ouverte hier, est devenue un symbole de la fracture entre les tenants de la mondialisation et les protectionnistes. Le FMI alerte actuellement de la « fragmentation » des échanges mondiaux, qui pourrait faire chuter le PIB mondial de plus de 7 %. Le Fonds monétaire international s'inquiète des risques liés à un retour en arrière face à la globalisation des marchés. «Nous faisons face au spectre d'une nouvelle guerre froide qui pourrait voir le monde se fragmenter en blocs économiques rivaux». Plusieurs sujets seront sur la table dans la station alpine suisse, comme la guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis, et la course aux subventions pour rapatrier les usines. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déjà annoncé la création d'un « fonds de souveraineté européen ». Celui-ci soutiendrait l'industrie de l'UE face à la flambée des prix de l'énergie. Dans son viseur : l'Inflation Reduction Act de Joe Biden. Entrée en vigueur en août dernier, cette loi protectionniste cristallise les tensions avec les Européens, avec des réductions de coûts pour les Nord-Américains et des investissements massifs dans le secteur de l'énergie. Des aides d'état similaires ont été mises en place en Chine, alors que le pays fait face à une baisse de croissance importante, notamment en raison de sa politique "zéro Covid", mais aussi à cause de son déclin démographique, le premier depuis soixante ans. L'Empire du milieu n'est ainsi plus perçu comme un Eldorado aux yeux des investisseurs, et beaucoup d'expatriés en sont revenus sans intention d'y retourner. Pendant ce temps, en France, certaines entreprises trouvent des solutions face à la crise énergétique. Pour diminuer les coûts, les sites français de production de Toshiba font par exemple travailler leurs salariés la nuit. De leurs côtés, certaines start-up de l'Hexagone partent s'installer aux Etats-Unis pour bénéficier de la politique mise en place contre l'inflation. Alors, peut-on vraiment parler de fin de la mondialisation ? Quels sont les enjeux du forum de Davos ? La perte de vitesse économique de la Chine est-elle durable ? L'économie française est-elle en danger face aux mesures protectionnistes américaines ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:58:05 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - En octobre 2022, l'armateur chinois Cosco met partiellement la main sur le port de Hambourg. Six ans auparavant, c'était le port du Pirée que le géant maritime avait racheté. La Chine poursuit sa stratégie de consolidation de son "collier de perles" en investissant dans les grands ports européens. - invités : Paul Tourret Géographe, expert des industries maritimes, navales et portuaires, directeur de l'Institut supérieur d'économie maritime (Isemar); César Ducruet Directeur de recherche au CNRS, géographe au laboratoire Economix de Paris-Nanterre; Estelle Kabran Enseignante-chercheuse à l'Université Félix Houphouët Boigny, chercheuse associée au Centre Suisse de Recherche Scientifique en Côte d'Ivoire (CSRS)
Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Élise Boghossian, docteure en médecine traditionnelle chinoise. Pourrait-on faire en sorte de ne jamais tomber malade ? Que dit la maladie de nous ? Comment l'accompagner ? Autant de questions que se pose la médecine traditionnelle chinoise. Dans un ouvrage se présentant comme un guide, rendant accessibles des savoirs ancestraux, Élise Boghossian nous livre surtout une invitation à l'écoute de soi et de son environnement, à une forme d'équilibre. En 2002 elle ouvre son cabinet à Paris et fonde la célèbre ONG EliseCare, au travers de laquelle elle soigne sur le terrain en zones de conflits, notamment en Syrie, en Irak et plus récemment en Ukraine. Je l'accueille aujourd'hui à l'occasion de la sortie de son livre Prévenir et soulager. Cancer : les vertus de la médecine traditionnelle chinoise. Épisode #350Avec Elise Boghossian j'aborderai les thèmes suivants (extrait des questions) :Comment la médecine traditionnelle chinoise a-t-elle croisée votre chemin ?Avec le Qi, une autre notion très importante en médecine traditionnelle chinoise : le Sang ?Comment a été fondée la théorie des 5 éléments ?Quels sont les quatre temps d'une consultation en médecine traditionnelle chinoise ?Pour rester en bonne santé, vous parlez du sommeil et des micros siestes mais aussi de petits efforts physiques sans aller au-delà de ses forces ?Quels sont les autres soins à apporter au corps tous les jours ? Plantes, sport, hygiène, sommeil, respiration ?Qui est mon invitée de la semaine, Elise Boghossian ? Élise Boghossian est docteure en médecine traditionnelle chinoise et fonde en 2002 l'ONG EliseCare à travers laquelle elle agit en zones de conflits en apportant soins médicaux et matériel sanitaire aux civils. Elle publie son livre "Prévenir et soulager avec la médecine chinoise" aux éditions Robert Laffont. On peut retrouver son travail et faire un don à son association sur le site elisecare.org et la retrouver via l'Union française pour la médecine traditionnelle chinoise à l'adresse www.ufpmtc.comQuelques citations du podcast avec Elise Boghossian : "La médecine traditionnelle chinoise est avant tout une médecine de prévention pour que la personne ne soit pas malade et vive longtemps.""Notre peau nous protège aussi des émotions qui nous viennent de l'extérieur.""Quand on combine les techniques de psychologie, de thérapies cognitives et d'énergétique, on booste la résilience.""La joie peut aussi être cultivée en donnant, en partageant, en s'engageant."Rejoignez-nous sur notre nouveau site Internet et abonnez-vous à notre Newsletter https://www.metamorphosepodcast.com/ Soutenez notre podcast en rejoignant dès maintenant la Tribu MétamorphoseRetrouvez Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience sur Apple Podcast / Spotify / Google Podcasts / Deezer / YouTube / SoundCloud / CastBox/ TuneIn.Suivez l'actualité des épisodes Métamorphose Podcast sur Instagram, découvrez l'invité de la semaine et des surprises ;-)InstagramFacebookPhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:13 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Des millions de personnes sont de nouveau confinées en Chine, en raison de la politique de « zero Covid » qui passe mal, comme l'ont montré les émeutes de l'usine Foxconn de Zhengzhou. Une crise aux multiples facettes. Explications.