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durée : 00:01:05 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi matin, Paul Arcand aborde le remaniement ministériel de François Legault qui aura lieu en après-midi, alors que les dernières rumeurs envoient Geneviève Guilbault aux affaires municipales, Bernard Drainville à l’environnement et Ian Lafrenière à la sécurité publique, en remplacement de François Bonnardel qui serait écarté par le premier ministre. «C'est deux poids deux mesures concernant l'impact des témoignages de deux ministres devant la commission Gallant. François Bonnardel se fait tasser... oublions le "spin" du gouvernement et de monsieur Legault qui dit que ça n'a rien à voir avec SAAQclic, c'est intimement lié. Par contre, Geneviève Guilbault, pour des raisons obscures, on ne comprend pas nécessairement pourquoi... elle est pratiquement épargnée!» Les ministres Eric Girard, Christine Fréchette, Jean Boulet, Christian Dubé et Mathieu Lacombe conserveraient toutefois leurs portefeuilles actuels. Paul Arcand précise que sur la scène canadienne, François Legault est le premier ministre le plus impopulaire au pays, selon un sondage Angus Reid dont La Presse fait état mercredi matin. Seulement 22% des Québécois le soutiennent, une baisse de trois points par rapport à juin. Il se demande si François Legault ne décidera pas de s'en aller de son poste après une marche dans la neige à Noël... Autres sujets traités: Le patron de Northvolt a laissé entendre que Québec n'était pas obligé d'investir autant d'argent dans l'entreprise. Un ado met un contrat sur la tête d’une éducatrice d’un centre jeunesse; Donald Trump tente de nous faire croire qu’il n’est pas l’auteur du dessin pour son ami pédophile; Justin Trudeau amorce une tournée de conférences: 100 000 dollars pour chacune... Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:01:21 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner
durée : 00:05:30 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après la chute de François Bayrou, Emmanuel Macron veut nommer un successeur à Matignon "dans les tout prochains jours". Mais qui pourra survivre dans un paysage parlementaire sans majorité ? Ce casse-tête politique est largement commenté chez nos voisins.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:03:07 - Côté Belgique Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:01:00 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner
In this episode I dive deep with the incredible visionary artist and podcaster Alex Coma. Our conversation is an incredible discussion about spiritual practice, astrology, and the synchronicities to help guide us on the path of expanding our consciousness. --------------------------Alex Coma is an interdisciplinary artist exploring the complex intersections between symbolism, consciousness, and esoteric knowledge. A graduate in photography from Concordia University and former scholarship recipient at the Montreal Fine Arts Academy, Coma's practice draws on figures like Arnold Böcklin and Carl Jung. His work navigates between visual art, philosophical investigation, and spiritual exploration, deploying a rigorous methodology that questions symbolic systems, cryptographic elements, and ritual methodologies. For the past decade, Coma has studied under Egyptian spiritual teacher Shri Amir Mourad, developing meditative techniques that enable deeper access to unconscious realms and inform his artistic practice—a disciplined inner exploration that has become instrumental in his ability to perceive increasingly more profound symbolic content and archetypal energies. His works, exhibited internationally at venues including the Visionary Art Collective in New York, the Affordable Art Fair in London and Brussels, and recognized in collections such as Colart and Ubisoft, have been acclaimed by media including CBC Arts, Vie des Arts, and La Presse. In 2023, Coma founded Roze Umbra, an initiative and platform dedicated to visionary artists, extending his commitment to collaborative artistic research that examines the subtle connections between symbolic languages and collective consciousness. As part of this initiative, he created "The Blue Hour Podcast," where he engages with visionary artists worldwide. His approach to all he does is constantly seeking a delicate balance between empirical knowledge and the ineffable mystery, offers an exploration of the borderlands of artistic creation.Websites: www.alexcoma.worldVisionary Roze Grant: www.rozeumbra.com/visionaryrozegrantInstagram:@alexcoma.world@rozeumbraFollow Martin Benson for more insights:*To stay updated on the podcast and related content, check out my Instagram*To support the show and access exclusive content, consider subscribing for $0.99/month on Instagram (link above).Credits: Special thanks to Matthew Blankenship of The Sometimes Island for our podcast theme music!Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/martin-l-benson/support
durée : 00:01:07 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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durée : 00:01:06 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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Écoutez Marie-Eve Fournier qui parle avec Patrick Lagacé de son article publié dans La Presse titré «Ratés du fisc: vos questions et vos suggestions».Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:01:28 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner
Ian Laperrière, ancien joueur et entraîneur adjoint des Flyers de Philadelphie, a quitté l'organisation après 15 années passées avec celle-ci. Laperrière avait encore un an de contrat avec les Flyers. Il est passé d'entraîneur des Phantoms de Lehigh Valley au titre de conseiller senior des Flyers au mois de mai. Lundi, il a rompu son contrat avec les Flyers pour accepter l'offre des Islanders de New York comme recruteur professionnel dans la formation de Mathieu Darche. Sans surprise, Laperrière confirme qu'il a mal digéré la nouvelle quand on lui a dit qu'il allait céder son poste d'entraîneur à Lehigh Valley. Une décision professionnelle qui va modifier sa relation d'amitié avec le directeur général des Flyers, Daniel Brière?: «....(long silence) Le temps nous le dira». Une chose est sûre, c’est que le Québécois de 51 ans veut retourner derrière un banc d’une équipe de hockey. L'arrivée de nombreux joueurs américains dans la LHJMQ pourrait-elle venir bousculer la place de plusieurs joueurs québécois? On le sait, les joueurs de la LHJMQ peuvent désormais poursuivre leur carrière dans une université américaine. Ce changement entraîne toutefois une hausse du nombre d’Américains (41) dans le circuit, et bouleverse également les cycles traditionnels de recrutement et pourrait réduire les opportunités pour les joueurs québécois. Une révolution qui bouscule l’ordre établi. Écoutez à ce sujet Alexandre Pratt, de La Presse, et le spécialiste de hockey junior de la LHJMQ au Réseau des sports, Stéphane Leroux, en discuter avec Mario Langlois, aux Amateurs de sports. «Il y a une révolution, c'est sûr. Je pense que ça va prendre trois ou quatre ans avant de voir vraiment l'impact de tout ça», note Stéphane Leroux. La LNH imposerait un plafond salarial en séries dès cette année. Cet élément avait été ajouté à la nouvelle convention collective de la ligue qui entrera en vigueur dès septembre 2026. Gary Bettman et ses adjoints ont décidé de devancer cette mesure aux prochaines séries, soit un an plus tôt que prévu. Quelles équipes pourraient être désavantagées par cette modification? Le journaliste à La Presse, Guillaume Lefrançois, confirme que l’édition 2024-25 des Panthers de la Floride, championne de la plus récente Coupe Stanley, aurait été illégale aux yeux de la ligue, avec cette modification. Le journaliste aborde aussi avec Mario Langlois un autre dossier qui fera couler beaucoup d’encre cette année : la loterie Gavin McKenna. Quelles formations de la LNH pourraient vendre des joueurs actifs pour abaisser leur rang au classement général du circuit?Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
David Proulx réagit à un article publié dans La Presse, qu’il juge comme étant de la propagande. Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:01:18 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
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Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
durée : 00:01:14 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner
durée : 00:00:57 - Les Titres de la presse française - par : Guillaume Erner -
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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durée : 00:01:08 - Les titres de la presse française du jeudi 28 août 2025
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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Trudie Mason welcomes in Victor Henriquez, Public affairs and crisis management specialist at Public Strategy and Conseil, and Jonathan Kalles, Vice President at McMillan Vantage, a national public affairs firm, and former advisor to Prime Minister Justin Trudeau. Ottawa is open to negotiate with Quebec about judge nominations come September. Are we slowly but surely becoming independent from Canada in everything but name? Sources tell LaPresse that UPAC investigators have identified four suspects, including one bureaucrat, in the SAAQclic scandal Parti Quebecois is taking the topic of praying in public to the membership to see if they want to advocate for a ban
durée : 00:01:17 - Les titres de la presse française du mercredi 27 août 2025
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durée : 00:02:29 - Les titres de la presse française du lundi 25 août 2025
La démocratie sénégalaise pourrait-elle perdre l'un de ses piliers, sa presse, libre, qui est pourtant une référence dans toute l'Afrique de l'Ouest ? Les nouvelles préoccupantes sur la santé économique des médias sénégalais se multiplient. Dernière en date : un plan de restructuration dans le groupe Futurs médias de Youssou N'Dour, annoncé par la direction, à la suite de graves difficultés financières. D'où vient cette situation de fragilité ? Que faire ? Ibrahima Lissa Faye est responsable de la Coordination des associations de presse du Sénégal. Il est l'invité de Laurent Correau. RFI : Est-ce qu'il faut s'inquiéter de l'état du quatrième pouvoir, de l'état de la presse, au Sénégal, aujourd'hui ? Ibrahima Lissa Faye : Il y a de quoi s'inquiéter parce qu'il y a des menaces réelles sur la survie de la presse au Sénégal. Depuis plus de 17 mois, les entreprises de presse ont une trésorerie déficitaire parce qu'il y a eu un ensemble de mesures inappropriées prises par l'État qui fragilise la survie des entreprises de presse et qui les met dans une situation extrêmement compliquée. Et aujourd'hui, toutes les entreprises de presse privées vivent avec des arriérés de salaires, des arriérés de location et du matériel vétuste qui n'a pas pu suivre une maintenance correcte. Donc, il y a des risques d'extinction de certains médias. Un journal sénégalais titrait récemment « GFM, Walf et Sud, les géants de la presse sénégalaise s'effondrent ». Est-ce que ça va jusque-là ? Est-ce que vous diriez qu'effectivement ces trois groupes, qui sont des piliers de la démocratie sénégalaise autant que des éléments de son patrimoine intellectuel, sont menacés ? Ils sont bien menacés, que ce soit Sud, Wal Fadjri et GFM, les fleurons médiatiques du Sénégal sont menacés. Parce que si vous prenez par exemple Sud, les employés étaient sur le point d'aller en grève. Et si c'était le cas, c'est clair que le titre allait disparaître. Pour ce qui est de GFM, la direction a annoncé une mesure sociale pendant un licenciement technique de beaucoup de travailleurs, et le syndicat refuse et a sorti un communiqué pour dénoncer cela. Pour Wal Fadjri, ils sont dans les mêmes difficultés que tout le monde. Donc, pour vous dire que la situation est quasi pareille dans toute la presse privée. Qu'est-ce qui provoque ces difficultés financières des médias ? En réalité, c'est à cause du gel des contrats publicitaires venant des entreprises publiques et parapubliques, mais également aussi le blocage depuis 2024 du Fonds d'appui et de développement de la presse, le FADP, mais également aussi la situation économique extrêmement tendue du pays qui fait que, en fait, le privé, sa marge publicitaire, c'est juste autour de 15%/20 %. Et donc, avec 15%/20 %, on ne peut même pas gérer les charges courantes. Qu'est-ce qui peut être fait pour essayer de renverser cette situation ? Moi, je pense qu'en fait, le pouvoir et les acteurs des médias doivent discuter. Mais surtout que le ministre descende de son piédestal pour parler avec les acteurs des véritables problèmes et qu'au plus haut niveau qu'il y ait une volonté aussi de trouver des solutions. Les acteurs proposent, mais au niveau de l'État, on n'a pas de répondant. Nous sommes face à un mur qui est là et qui, malheureusement, ne nous offre aucune opportunité. Il y a tout de même des mesures positives qui ont été prises par les nouveaux pouvoirs publics : l'enregistrement des médias sur une plateforme pour plus de transparence ou l'actualisation de la loi sur la publicité. Oui, ça, ce sont des mesures importantes. Il faut les saluer. Nous ne sommes pas d'accord sur la démarche. Il aurait pu quand même le faire avec les acteurs. Les médias sénégalais sont considérés comme des références pour l'ensemble de l'Afrique de l'Ouest. Comment est-ce que vous voyez les conséquences de ce risque d'effondrement de la presse privée sénégalaise pour la démocratie dans la région, de manière plus générale ? Ce que j'ai l'habitude de dire, c'est que si aujourd'hui on néglige les médias sénégalais jusqu'à ce que les fleurons mettent la clé sous le paillasson, il y a des forces obscures – nous sommes dans une région très menacée, avec une insécurité qui est là – qui pourraient en tout cas s'accaparer nos médias ou venir avec une autre offre qui peut ne pas nous arranger. Nous nous battons pour que ces fleurons de la presse sénégalaise demeurent, pour que, en fait, l'identité de la presse sénégalaise continue et perdure. On n'est pas là pour un pouvoir ou pour des lobbys. La presse est là pour l'information, elle est là pour les populations. Et donc, c'est important que cette presse-là garde cette indépendance pour qu'elle puisse servir tout le monde.
Une loi votée en décembre 2024 autorise à nouveau l'exploitation, l'extraction et la transformation de métaux, revenant ainsi sur la loi de 2017 qui l'interdisait. La lutte de plus de dix ans des défenseurs de l'environnement a été balayée par Nayib Bukele et sa majorité au Parlement. Dans les zones qui pourraient être concernées par cette industrie, l'inquiétude grandit. Les populations locales ont notamment peur que cette industrie les prive d'eau potable et pollue les nappes phréatiques, comme cela a déjà été le cas par le passé. Alice Campaignolle s'est rendue dans le département de Cabañas, au Salvador. En Haïti, les conditions de détention dans certaines prisons sont alarmantes Malnutrition, manque d'eau potable, absence d'heures de pause... Les conditions de vie dans les centres pénitentiaires haïtiens sont déplorables, notamment dans la prison civile de Jacmel, dans le sud-est. À la fin du mois de juillet, près de 14 détenus y sont décédés. L'Institut mobile d'éducation démocratique a récemment publié un rapport accablant sur les prisons en Haïti, incluant celle de Jacmel. Un dossier signé Peterson Luxama, correspondant de RFI à Port-au-Prince. Les forces de l'ordre haïtiennes sont accusées de l'assassinat de deux femmes Dans une tribune écrite par Michel Legros et publiée par Alterpresse, la PNH, la Police national d'Haïti, est accusée d'avoir intercepté, battu et assassiné Morelda et Modeline Louis. Les faits se sont déroulés le 22 août entre la route de l'aéroport et le Carrefour Gérald Bataille. Alors qu'elles allaient chercher leurs enfants, les deux femmes ont été interpellées et contrôlées par une patrouille d'hommes armés, comme cela est désormais courant en Haïti. Le journaliste précise qu'« un drone aurait observé cette scène et alerté un char blindé ». Soupçonnées de connivence avec ces gangs, Morelda et Modeline auraient été interpellées à leur arrivée sur l'autoroute, « battues, torturées, puis livrées à une Toyota de la PNH, non immatriculée, qui les a emmenées pour les exécuter. Disons le mot : pour les assassiner », juge Michel Gros, pour qui « ce drame illustre la terreur et l'impunité dans certaines zones, frappées par la violence des bandits et la cruauté de certains policiers ». Aux États-Unis, Chicago et Baltimore se lancent dans une guerre ouverte contre Donald Trump Après Washington DC, les deux villes démocrates s'opposent fermement à l'envoi de troupes de la garde nationale sur leur sol, comme annoncé par le président américain. Ce week-end, le Washington Post a révélé que le Pentagone planifiait depuis des semaines un déploiement militaire à Chicago, et ce, dès le mois de septembre, au nom de la lutte contre la criminalité, l'immigration et le sans-abrisme. Le quotidien rapporte les propos du président américain : « Chicago est un vrai désastre. Vous avez un maire incompétent. » La réaction du maire de la troisième ville la plus peuplée des États-Unis ne s'est pas fait attendre. Cité par le Chicago Sun Times, Brandon Johnson a déclaré qu'il évaluait « toutes les options juridiques possibles pour protéger les habitants de Chicago d'une intervention fédérale inconstitutionnelle ». Pour le procureur général de l'Illinois, Kwame Raoul, la menace de Trump est « hypocrite et performative », surtout au vu des récentes baisses de budgets pour lutter contre la violence. Le Washington Post constate les mêmes tensions entre Trump et le gouverneur du Maryland Le président américain a déclaré son réseau Truth Social que Baltimore était « hors de contrôle » et « ravagée par la criminalité ». Le gouverneur Wes Moore lui a rétorqué dimanche, sur CBS News, qu'il n'autoriserait pas l'intervention de la Garde nationale, une intervention qualifiée ici aussi d'« inconstitutionnelle ». À lire aussiDonald Trump arme la Garde nationale à Washington et menace Baltimore et Chicago Le Canada envisage aussi de déployer des troupes, mais en Ukraine En visite surprise à Kiev ce dimanche, le premier ministre canadien Mark Carney a réaffirmé le soutien « indéfectible d'Ottawa » aux Ukrainiens. « Le Canada se tiendra toujours aux côtés de l'Ukraine. » Voici les paroles de Mark Carney, rapportées dans les colonnes de La Presse. Le Premier ministre canadien s'exprimait lors d'une cérémonie sur la place Sophia à Kiev pour la fête de l'Indépendance ukrainienne. La Presse décrit une rencontre avec Volodymyr Zelensky dans « une atmosphère solennelle ». Dans son discours, le Premier ministre canadien a déclaré ne pas exclure l'envoi de troupes canadiennes « pour garantir la sécurité de l'Ukraine contre l'agression russe en cas d'accord de paix », rajoutant que « Vladimir Poutine ne peut jamais être digne de confiance ». Le Globe and Mail revient sur les détails des 2 milliards de dollars promis lors du sommet du G7 en Alberta, en juin. Cet argent va financer l'achat et la fabrication de drones, munitions et véhicules blindés, mais aussi l'aide médicale d'urgence, l'hébergement et la lutte contre les attaques numériques. SpaceX a dû annuler in extremis un vol test de sa méga fusée Starship dimanche soir Ce serait dû à un problème avec les systèmes au sol, c'est ce qu'a annoncé SpaceX sur X. « Il faudra donc patienter encore un peu avant de voir le 10e vol d'essai de la méga fusée Starship », résume Space.com. « Starship est la fusée la plus grande et la plus puissante jamais construite », détaille le média spécialisé. Elle mesure plus de 122 mètres de haut une fois complètement chargée. C'est la « pièce maîtresse de la vision d'Elon Musk pour envoyer les premiers humains sur Mars, dès 2026, selon USA Today. Elle est également essentielle aux plans de la NASA visant à renvoyer des astronautes sur la lune », dès 2027. Une date « irréaliste, voire impossible à respecter », considère CBS News, surtout après les « trois échecs » de cette année, qualifiés de « catastrophiques » par la chaîne de télévision américaine. SpaceX a annoncé qu'une nouvelle fenêtre de lancement s'ouvrirait ce lundi soir à 19h30 heure locale. À lire aussiSpaceX annule un vol test de Starship, nouveau revers pour la mégafusée d'Elon Musk Journal La 1re Les blocs opératoires du Centre hospitalier de Cayenne vont tourner au ralenti, à cause de la mobilisation des équipes médicales. Toutes les opérations non urgentes devraient être suspendues pour une durée indéterminée.
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Le second mandat de Donald Trump marque une escalade dans les tensions entre le président américain et les grands médias traditionnels. Comment le vit-on quand on est journaliste accréditée à la Maison-Blanche, au plus près du sulfureux locataire ? Pour comprendre les relations que Donald Trump entretient avec le quatrième pouvoir, Alexis Buisson, correspondant de La Croix à New York, s'est entretenu avec l'une des rares journalistes françaises qui a l'occasion d'interagir avec lui. Sonia Dridi est la correspondante de plusieurs médias français et francophones à la Maison-Blanche. Elle fait partie du pool de journalistes étrangers : un groupe restreint qui suit le président dans des endroits où l'espace est limité, comme le Bureau ovale ou l'avion Air Force One. Leur mission : lui poser des questions et rapporter ses actions et propos à leurs confrères et consœurs. Sonia Dridi a ainsi pu interpeller le président américain une dizaine de fois depuis son investiture, comme ce lundi 18 août lors de sa rencontre avec Volodomyr Zelensky à la Maison-Blanche. "C'est ça l'Amérique" est un podcast original de LA CROIX - juin 2025.CRÉDITS :Écriture et réalisation : Alexis Buisson. Rédaction en chef : Paul De Coustin. Production : Célestine Albert-Steward. Mixage : Théo Boulenger. Musique : Emmanuel Viau. Illustration : Olivier Balez.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comEn partenariat avec le programme Alliance – Columbia et ses partenaires (Sciences-Po, Polytechnique, La Sorbonne), et French Morning, le premier web magazine des Français d'Amérique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La gauche a essuyé ce dimanche (17 août 2025) une lourde défaite, au premier tour de l'élection présidentielle. Deux candidats de droite s'affronteront au second tour, prévu le 19 octobre 2025 : Rodrigo Paz Pereira (32%) et Jorge Tuto Quiroga (26,8%). Tristan Waag, doctorant au CREDA (Centre de recherche et de documentation sur les Amériques) analyse la défaite de la gauche et ses répercussions, depuis Santa Cruz de la Sierra, où des célébrations se sont déroulées toute la nuit de dimanche 17 à lundi 18 août 2025 pour fêter l'arrivée prochaine de la droite au pouvoir. Cette élection fait la Une de la presse bolivienne et de tout le continent. Quasiment toute la presse sud-américaine fait sa Une sur les élections et cette défaite «historique» de la gauche, comme le titre par exemple La Hora, le journal équatorien. Ce «virage à droite est une grosse surprise», reconnaît le quotidien argentin Clarin. Pour El Deber, journal de la capitale économique bolivienne, Santa Cruz de la Sierra, «l'ascension de (Rodrigo Paz Pereira) reflète un vote citoyen qui a sanctionné la polarisation et récompensé une alternative différente», soulignant au passage sa «campagne austère, marquée par des dépenses limitées sur les réseaux sociaux», à l'inverse de ses rivaux. Toujours en Bolivie, selon le media La Razon, Paz «a gagné dans des régions considérées comme favorables au MAS», le Mouvement vers le socialisme fondé par Evo Morales. C'est donc «la fin du cycle du MAS avec une migration de ses électeurs vers de nouvelles tendances». En Haïti, dans certaines régions du pays, l'accès à internet reste un véritable calvaire pour les habitants, depuis plusieurs semaines. C'est le cas dans la commune de Carrefour, à l'entrée sud de la capitale, et puis dans le Grand Sud, notamment à la ville des Cayes. Les habitants font face à d'énormes difficultés en raison de la mauvaise qualité du service offert par les deux principales compagnies de téléphonie mobile, notamment la Digicel. L'entreprise, de son côté, explique que c'est la coupure des fibres optiques dans des zones contrôlées par les gangs et l'accès difficile à ces zones qui sont les principales causes de cette situation. Reportage du correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama. On reste à Haïti où près de 1,3 million de personnes sont aujourd'hui déplacées à l'intérieur de leur propre pays, selon l'OIM (l'Organisation internationale pour les migrations), des déplacements dus aux violences qui rongent le pays. Le média Enquetaction a filmé les conditions précaires dans lesquelles vivent les habitants de l'un de ces camps de déplacés. Effectivement, les journalistes d'Enquetaction se sont rendus dans le camp Argentine Bellegarde, à Port-au-Prince, où «la saleté, les microbes et les maladies se propagent», à cause de la surpopulation et de conditions d'hygiène déplorables, comme le montre en images le média d'investigation. Les habitants et habitantes souffrent de diverses infections : notamment de sévères démangeaisons cutanées, des champignons et des diarrhées, sans doute dues à l'eau contaminée qu'ils boivent. Les déchets s'accumulent, les latrines débordent, les cliniques mobiles qui passent régulièrement sont dépassées, bref, la situation sanitaire est désastreuse. Nous partons maintenant au Canada. Depuis samedi (16 août 2025), le pays est paralysé par une grève des agents d'Air Canada, qui refusent de reprendre le travail… La reprise des vols annoncée hier (17 août) n'a pas eu lieu. Les grévistes tiennent tête au Ministère canadien du travail qui leur avait ordonné de reprendre leurs postes dimanche à 14 h. Le syndicat a qualifié cette mesure d'inconstitutionnelle et a déclaré qu'ils resteraient en grève. Le Toronto Star raconte que cette paralysie touche entre 100 000 et 130 000 passagers par jour… provoquant chaos, retards massifs et annulations de presque 1000 vols. Ce qui crée « un bordel indescriptible », selon le journal La Presse ! Le face à face s'annonce tendu entre la compagnie aérienne et ses employés… Air Canada espère reprendre les vols dès ce lundi soir, (18 août 2025) mais « les agents de bord ne reprendront pas le collier », comme le dit joliment La Presse, sauf si Air Canada revient à la table des négociations. Les stewards et hôtesses réclament une meilleure rémunération. En Argentine, les rangs des masculinistes semblent grossir depuis que le président libertarien Javier Milei est arrivé au pouvoir. L'Observatoire de l'Université de Buenos Aires a consacré une étude entière à ce sujet. Elle s'intitule « La droite sort du placard. Attaques contre le féminisme et l'idéologie du genre comme une « bataille culturelle » L'étude vient d'être publiée et le journal argentin de gauche Pagina 12 s'en fait l'écho. Ces travaux donnent selon lui «un aperçu du monde des hommes de droite à l'ère des vagues néoconservatrices (...) Ils analysent comment la nouvelle droite, et en particulier le gouvernement argentin dirigé par Javier Milei, ont construit leur récit autour d'une supposée « masculinité menacée ». Ce «discours résonne profondément dans de larges secteurs de la société»... Oui, notamment chez «les jeunes hommes de la classe ouvrière». Ils sont «encouragés à reconquérir un honneur imaginaire perdu», relate Pagina 12. Dans ce discours, les rôles de genre traditionnels sont vantés et être son propre patron, célébré, encore mieux si l'on est un «criptobro», comprenez un adepte des cryptomonnaies. Le journal et l'étude citent aussi ces nouveaux influenceurs libertaires «qui agissent comme les gardiens de l'ordre patriarcal sur les réseaux sociaux». Journal de la 1re En Guyane, le village amérindien d'Antécume-Pata, dans le Haut-Maroni, tente de briser son isolement numérique. Ils n'ont ni internet ni téléphone. Une cagnotte participative a été lancée avec succès.
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durée : 00:43:42 - Questions du soir d'été - par : Marguerite Catton - Alors que Daniel Krétinsky met en vente Télé 7 jours, Ici Paris et France Dimanche, des titres emblématiques du magazine télé et de la presse à scandale, une question ce soir : la presse populaire fait-elle encore recette ? - réalisation : Phane Montet - invités : Jean-Marie Charon Sociologue, spécialisé dans l'étude des médias et du journalisme, chercheur à l'EHESS; Alexis Lévrier Historien des médias, maître de conférence à l'université de Reims; Amélie Ruhlmann Journaliste économique spécialisée dans l'édition, la presse et la publicité
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Guest Host Saroja Coelho speaks with The Globe and Mail's Shannon Proudfoot, Angus Reid Institute's Shachi Kurl and Joël-Denis Bellavance from La Presse about Prime Minister Mark Carney's first 100 days since being elected, journalist Megan Reynolds unpacks our love-hate relationship with the word "like," CBC News senior correspondent Susan Ormiston brings us the latest on Israel's plan to take over Gaza City, Foreign Policy's Ravi Agrawal and Eurasia Group's Graeme Thompson discuss how U.S. tariffs will affect developing countries, and writer Roland Allen shares why physical notebooks still endure in our digital age.Discover more at https://www.cbc.ca/sunday
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