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Au programme de ce jeudi 9 novembre, dans la tranche information de So good Radio : la grève des ouvriers suédois contre l'entreprise Tesla prend de l'ampleur; pour la presse locale, c'est carrément la survie du modèle suédois qui est en jeu. Et puis avec Patrice Bardot, rédacteur en chef du magazine de musiques actuelles Tsugi, on va parler de ces jeunes raveuses et ravers algériens qui investissent le désert en quête de liberté… En plus de votre fil info feel good, retrouvez L'appel du good de Domitille Raveau, qui nous parle de l'association Consentis, Le peigne dans l'maillot, la formule secrète pour s'endormir un peu moins con consacré à une revue de presse : l'épisode "Rendez l'écologie aux quartiers populaires" du podcast Kiffe Ta Race animé par Rokhaya Diallo et Grace Ly, une série d'articles de Cheek Magazine sur la dernière décénnie féministe et la vidéo de Streetpress "La vraie vie de Geneviève, maman séropositive" ; et enfin, la chanson qui va bien avec "Marguerite" du groupe Staff Benda Bilili. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this episode we welcome the very personable Richard Morton Jack to "RBP Towers" and ask him to talk about his monumental new biography of Nick Drake – along with his marvellous Flashback magazine and an audio interview with Small Faces/Humble Pie frontman Steve Marriott. We commence by hearing how Richard was initiated into pop music (and its freakier offshoots) — and how this led him to the arcane cult figures covered in Flashback, not to mention released on his Sunbeam label. From the underground sounds of Sam Gopal, Mad River and Blossom Toes to the exhaustive undertaking that was Nick Drake: The Life was a major gear-shift for Richard, but one that came with the blessing of the Drake estate — and a foreword by Nick's sister Gabrielle. In a long and in-depth conversation, we attempt to make sense of the life, death and musical magic of the troubled troubadour, placing him in the context of producer Joe Boyd's Witchseason stable and hearing about a 1970 Jackie interview with Nick that Richard unearthed during his no-stone-unturned research for the book. A very different legend of '60s/'70s English music can be heard in two clips from Chris Welch's 1985 audio interview with artful rock dodger Steve Marriott. We discuss the Small Faces and then Humble Pie; infamous manager Don Arden and Immediate boss Andrew Loog Oldham; Steve's blue-eyed-soul holler of a voice... and of course 1968's concept album Ogden's Nut Gone Flake. Then we briefly turn our attention to Steve's R&B-boom contemporary Tony McPhee (1944-2023) and the remarkable blues-infused hard rock trio that was the Groundhogs. Finally, Mark and Jasper talk us out with notes on (and quotes from) newly-added library pieces about — among other subjects – Odetta (1963), Marc Bolan (1970), Motörhead (1981), New York's Collective School of Music (2003) and Congolese street musicians Staff Benda Bilili (2009). Pieces discussed: Nick Drake by Jerry Gilbert, Nick Drake in Jackie, In Search of Nick Drake, Nick Drake: Exiled from Heaven, Steve Marriott audio, Tony McPhee audio, Odetta, Marc Bolan, Motörhead, Folk albums, The Who, Terence Trent D'Arby, The Collective and Staff Benda Bilili.
Convaincu de sa bonne étoile, Jupiter n'a jamais dévié de sa trajectoire pour "révolutionner la musique congolaise" longtemps dominée par les orchestres tout puissants de la rumba. Ses racines parées d'une aura rock, il sort son 1er album, Hotel Univers, à l'âge de 50 ans. Dix ans, deux autres albums et des concerts mémorables aux quatre coins du globe plus tard, portait d'une figure magistralement atypique de la scène musicale de Kinshasa (RDC). Une voix rocailleuse et narquoise, une silhouette longiligne. Notre homme se fait appeler Jupiter, mais son vrai nom est Jean-Pierre Bokondji et c'est une figure magistralement atypique de la scène musicale de Kinshasa, la capitale aux 17 millions d'habitants de la République démocratique du Congo, "la force, le miroir, le poumon de la RDC, ce coin qui réunit toute la diversité des ethnies du pays". Jupiter y est né en 1963, soit trois ans après l'indépendance du Congo belge. Mais c'est en Allemagne de l'Est, où son père diplomate était en poste à Berlin, qu'il a passé, avant la réunification, une partie de sa jeunesse. À 17 ans, Jupiter est de retour à Kin et reconnecte avec les musiques traditionnelles de son pays. Un pays qui compte pas moins de 450 ethnies dotées chacune de 10 à 15 rythmes. Très vite, il n'a qu'une seule ambition : représenter dans une fête électrifiée l'ensemble de ces ethnies pour "révolutionner la musique congolaise et, par là, les mentalités", dominés par les orchestres tout-puissants de la rumba et les chantres engrainant du ndombolo. Ses racines parées d'une aura rock, Jupiter se fait le chroniqueur du quotidien, dénonce l'injustice, se bat au nom des opprimés. Bien vite, il ouvre une brèche et devient le porte-flambeau des oubliés de son quartier, et de ceux qui ne se reconnaissent pas dans le seul miroir, forcément déformant, que tendent les chanteurs de rumba. Lui qui semble avoir eu mille vies, se voit bientôt affublé d'autant de surnoms : "l'espoir de la jeunesse", "le monument vivant", "le général rebelle", "le visionnaire". En France, on découvre sa silhouette longiligne en 2006 grâce à La danse de Jupiter, le documentaire de Renaud Barret et Florent de la Tullaye consacré à la nouvelle scène musicale de Kinshasa. On y aperçoit les Staff Benda Bilili, auxquels les mêmes réalisateurs consacreront un documentaire entier qui les fera décoller sur les scènes du monde entier. Huit ans plus tard, en 2013, quand sort son 1er album, Hôtel Univers, Jupiter vient d'avoir 50 ans et avec son groupe Okwess, ils sont propulsés sur orbite internationale. Depuis, notre passeur de transes et authentique alchimiste tradi-moderne, a sorti deux autres albums (Kin Sonic en 2017 et Na Kozonga en 2021) et fait résonner aux quatre coins du globe son groove aussi déjanté qu'universel : percussions puissantes, guitares déchaînées, voix chorales, incantations furieuses. Jupiter et les siens transcendent les rythmes du Congo en les plongeant dans le grand bain des sonorités actuelles. Le tout à la sauce Okwess, c'est-à-dire de manière jouissive et rock'n'roll ! Lorsqu'il est en tournée en France, Jupiter est basé à Ivry-sur-Seine, dans le sud-est de Paris, non loin des récentes Tours Duo de l'architecte Jean Nouvel, mais de l'autre côté du périph'. Un petit coin préservé : une rue pavée, des maisonnées… et dans la sienne un petit jardin où nous nous sommes installés pour revenir ensemble sur les êtres qui ont accompagné sa carrière : sa grand-mère et son papa, Tata Bokondji ; les réalisateurs Florent de la Tullaye et Renaud Barret ; le musicien voyageur Damon Albarn ; feu le producteur Marc-Antoine Moreau et son actuel manager, son "frère pour l'éternité", François Gouverneur. SessionLab par Hortense Volle : une conversation en toute intimité et en audio 3D (son spatialisé). Un podcast à écouter, de préférence, au casque. Réalisation : Benjamin Sarralié Prise de son et mixage 3D : Fabien Mugneret Production : RFI Labo YouTube / Facebook / Instagram ► Titres diffusés Singles : Kwatamaja (2022 – Partyfime) Extraits de l'album Na Kozonga (2021 – Zamora Publishing / Studio Gouv) : Telejayi feat. Marcelo D2 ; Na Kozonga ; Marco ; Izabela ; Abalegele Gale (feat Preservation Hall Jazz Band) ; Jim Kata feat. Yarol Poupaud ; Bakunda Ulu feat. Maiya Sykes ; Extraits de l'album Kin Sonic (2017 – Zamora Label) : Hello ; Nzele Momi feat. Warren Ellis ; Bengai Yo feat. Damon Albarn ; Benanga ; Ofakombolo ; Le temps passé feat. Sandrine Bonnaire ; Extraits de l'album Hôtel Univers (2013 – OutHere Records) : Evala Interlude ; The World is my Land ; Djwede Talalaka ; Extrait de la compilation Kinshasa One Two (2011 – Warp Records) : Ah Congo feat. Bokatola System. ► Et aussi : Un extrait du documentaire de Renaud Barret et Florent de la Tullaye, La danse de Jupiter. Le titre NighttraiN de Hallo Bimmelbahn
Plongée dans les bas-fonds de Kinshasa avec Florent de la Tullaye. Le réalisateur, qui a contribué à la découverte de musiciens comme Staff Benda Bilili ou Jupiter, s'intéresse à un style hors de tous les radars, le zagué, (dérivé de l'expression « aux aguets »), une sorte d'électro-punk chanté par d'anciens voyous. Sitos, l'un de ces chanteurs, est le personnage principal du film Sitos, Kinshasa sur le qui-vive, disponible en accès libre sur le site Pan African Music. ► À écouter aussi : Du cinéma avec le festival FAME et du Live avec Mandy Lerouge
Hoy tenemos un programa muy especial en AfricaPachanga, ya que vamos a celebrar que la Rumba Congoleña fue incluida por la Unesco en la lista del Patrimonio Cultural inmaterial de la Humanidad, en diciembre de 2021. Y lo vamos a hacer a lo grande, con un sesión de DJ TUBABU. Aquí vais a poder escuchar algunos de los grandes de la rumba clásica, como son FRANCO, SAM MANGWANA, LES BANTOUS DE LA CAPITALE, PAPA WEMBA o MOSE FAN FAN. Pero no hemos querido que sea una sesión demasiado nostálgica basada en los grandes músicos de los años 70 y 80. Y por eso también, tenemos bandas y músicos jóvenes, que mantienen el espíritu de la rumba en la actualidad, como son WUTA MAYI, KETEBUL ALL-STARTS o la ORCHESTRA MASIKA AFRIKA, además de grandes voces femeninas, como JUANITA EUKA, FAYA TESS, ALICIOS o BARBARA KANAM. Y por último, también hemos incluido músicos que recogen influencias de la rumba para sus propuestas más atrevidas y experimentales, que demuestran la flexibilidad y el vigor actual de este estilo. Músicos como BALOJI, JUPITER, MBONGWANA STAR, STAFF BENDA BILILI, M.P.R. o PIERRE KWENDERS también están en esta sesión. En fin, espero que os guste esta sesión de DJ TUBABU dedicada a la Rumba Congoleña. Disfruta !! Contacto: africapachanga@hotmail.com
Le procès de l'assassinat de l'ancien président burkinabé Thomas Sankara s'est ouvert le 25 octobre. Pierre Lepidi, journaliste au « Monde Afrique », revient sur le parcours hors norme de ce président révolutionnaire, tué en 1987 après quatre années à la tête de son pays.Un épisode produit par Cyrielle Bedu, réalisé par Amandine Robillard et présenté par Morgane Tual. Crédits musique : Noir Désir, interprété par Youssoupha et Staff Benda Bilili, composé par E. Bintz.
Ce travailleur social organisa pendant dix ans des concerts à la prison de Fresnes, en invitant Gaël Faye, Vaudou Game, Youssoupha ou Sofiane Saidi. Co-auteur d'une BD sur cette expérience électrique, il aimerait maintenant, d'un geste, faire sauter les barrières de béton.« Dix ans que je suis derrière les barreaux. Enfin, je me lève chaque matin pour aller en prison. J'en sors en fin de journée, rassurez-vous. » Dans Symphonie carcérale, sa première BD dessinée par son ami Bouqé paru en 2018 aux éditions Steinkis, Romain Dutter raconte son travail de coordinateur culturel au sein du Centre Pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne), l'une des plus vieilles zonzons françaises en activité, la deuxième en termes de taille et de capacité : 3000 personnes y sont incarcérées. Au quotidien, sa mission consiste à mettre en place des ateliers (théâtre, écriture, musique) et, pour ce mélomane compulsif également batteur d'un groupe de cumbia, d'organiser des concerts. Parmi les invités de ses « Journées Zébrées » de barreaux, notons le nombre éclatant d'artistes joués sur Nova : Youssoupha, Vaudou Game, Gaël Faye, Sofiane Saidi, Arat Kilo, le Congolais Jupiter Bokondji et son orchestre Okwess, leurs compatriotes du Staff Benda Bilili, Scred Connexion ou David Neerman.« Au fil des années, la prison est un peu devenue la deuxième MJC de la ville », écrit Romain surnommé « Romano », à qui la direction fit entièrement confiance en termes de programmation. Dans ce « monde béton, inhumain, rétréci, sans aucun lendemain » chanté par Trust dans sa chanson Le mitard, le trentenaire a bien conscience que ces lives, difficiles à monter, ne sont « qu'un infime pansement sur toutes les plaies carcérales ou sociétales », tout en sachant que cette « goutte d'eau est vitale » pour certains détenu.e.s. À la fin du livre, ce travailleur social s'avoue cependant « usé ». « Tous ceux qui s'intéressent un tant soit peu à la prison partagent le même constat depuis des décennies : la prison ne réinsère pas (ou peu), elle détruit les personnes qui y séjournent, la peine de prison reste trop souvent sans contenu et l'oisiveté y règne en maître, conduisant notamment à des phénomènes de violence et/ou de radicalisation », écrit encore Dutter, en citant, par le biais d'une étude de l'Observatoire international des prisons, le modèle suédois, qui maintient un minimum de quatre à cinq heures d'activités culturelles par jour aux personnes incarcérées, dont près de la moitié participe aux ateliers.Préparant avec Bouqé la sortie de Good bye Ceausescu, leur seconde BD sur la « révolution » roumaine de 1989 (à paraître en septembre 2021, toujours chez Steinkis), attelé à l'adaptation du roman Le jour d'avant de Sorj Chalandon (avec le dessinateur Simon Géliot), en pleine écriture d'un quatrième scénario (sur sa passion pour l'Amérique latine), Romain Dutter grimpe à bord de L'Arche de Nova pour faire péter les murs et les transformer, selon les vœux d'Isaac Newton, en ponts.Souvenons-nous alors, dans un murmure – pardon, dans un pont-pont – des vers de l'Haïtien James Noël, dans son long poème en prose La Migration des murs en 2016 : « Devant les murs, les pans de murs, les murs pour rien, les murs en masse, les murs en pente élevés comme pour rire, le monde s'embrouille, roule sa barque dans la farine, s'enfonce gravement dans la théorie du mortier et la pratique du gravier strict. La Terre se défonce, s'ensable platement dans l'asphalte (…) Il faudrait un peu méditer sur les murs des maisons qui parfois sont sans fenêtre, ni porte de secours. Nulle vue qui ne donne sur l'humain (…) Solide absence de liens, solide absence de ciment social des espèces et des espaces. Fortement critique, le cas clinique du monde au pied du mur (…) Viendra un jour un peuple de maçons de dernière heure qui se retournera d'un seul bond, en... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Comenzamos hoy con novedades: Songhoy Blues, la banda de guitarras eléctricas del Sahara. Star Feminine Band, un colectivo de Benín, formado por chicas de 10 a 17 años. Monkuti con su fusión de jazz y afrobeat, y volvemos con la gran cantante guineana afincada en Barcelona, Nakany Kante. Además, reediciones con el potente funk del camerunés Jo Bisso, y una de las primeras bandas en modernizar el sonido de Zimbabwe Hallelujah Chicken Run Band. Por último, Thomas Mapfumo, el caboverdiano Tito Paris, los congoleños Staff Benda Bilili, y la despedida con el maestro de la música juju nigeriana, King Sunny Adé. Track List Songhoy Blues - Fey Fey Songhoy Blues - Worry Star Feminine Band - Rew Be Me Monkuti - Habibi Nakany Kante - Karogbe Jo Bisso - Midnight Hallelujah Chicken Run Band - Gore Iro Hallelujah Chicken Run Band - Alikulila Thomas Mapfumo - Shumba Tito Paris - Danza Ma Mi Criola Staff Benda Bilili - Tangu I Fueni King Sunny Adé - Synchro System
Comenzamos AfricaPachanga con novedades: los congoleños Staff Benda Bilili, reinventando la rumba, Alogte Oho con su mezcla de gospel frafra y reggae, el afrobeat de Professor Wouassa; y la sudafricana Irene Mawela. Además, celebramos con Cesaria Evora y Lura que la morna ha sido declarada Patrimonio de la Humanidad. Por último, clásicos de siempre con la Bembeya Jazz National, Super Cayor de Dakar y Chief Stephen Osita Osadebe Track List Staff Benda Bilili - Congolais Staff Benda Bilili - Olio Anté Alogte Oho - Mam Yinne Wa Alogte Oho - Yu Ya Yumma Professor Wouassa - Djongoma Irene Mawela - Woza Durban July Bembeya Jazz National - Camara Mousso Super Cayor de Dakar - Sopenté Cesaria Evora - Sodade Lura - Nhu Santiago Chief Stephen Osita Osadebe - Gwam Okwu
Arrancamos hoy el AfroClub presentando uno de los discos más sorprendentes del año, “Republique Amazone” de Les Amazones d’Afrique, una superbanda formada por 8 conocidas cantantes africanas, que se han unido en un proyecto con fuerte contenido político, la defensa de los derechos de las mujeres y la lucha contra la violencia que se ejerce contra ellas. Una noble causa que se encauza en los musical en un disco repleto de atmósferas tecno y electrónicas, pero con un gran respeto en la tradición de la música del oeste africano de donde proceden la mayoría de ellas. Entre estas grandes divas, hay mujeres africanas de distintas generaciones y de diversa procedencia, como Nneka, Mariam Doumbia, Angelique Kidjo, Kandia Kouyate y Rokia Koné.El nombre de las Amazonas es un homenaje a un grupo guerrero de mujeres que luchaba en Benín a mediados del siglo XIX, y también es un homenaje a otra superbanda de mujeres que se llamaban las Amazones de Guinee, una orquesta de los años 60 y 70 formada por mujeres que pertenecían al ejercito guineano, y que solo lograron editar un disco en aquella época, aunque en el 2008 volvieron a un estudio de grabación con un trabajo fabuloso que se llamaba “Wamato”El productor del disco de Les Amazones d’Afrique es Liam Farrell, una persona inquieta que también estuvo detrás de otra obra maestra reciente de la música africana, el primer trabajo de Mbongwana Star, la banda que se formó a partir de aquella otra banda sorprendente y emocionante que se llamaba Staff Benda Bilili, formada por un grupo de músicos callejeros de Kinshasa que eran parapléjicos y que lograron editar dos grandes discos donde aportaban frescura a la rumba congoleña. Más tarde se disolvieron y dos de sus miembros, Coco Yakala Ngambali y Theo Nzonza Nsutuvuidi, junto a Liam Farrell formaron Mbongwana Star donde daban un paso más allá, presentando una de las obras más modernas y experimentales de la música africana reciente, música tradicional congoleña con bases electrónicas y elementos del rock.También presentamos hoy en el AfroClub “Uyai”, el segundo disco de Ibibio Sound Machine, una banda que recrea los sonidos nigerianos del afrofunk y música disco de los 70 con bases electrónicas, y claramente dirigido a la pista de baile.Estamos en mayo y nos hemos acordado que este año se cumplen 36 años del fallecimiento de Bob Marley, una excusa perfecta para rendirle homenaje en las voces de Tiken Jah Fakoly y Youssou N’Dour, dos músicos africanos que en algún momento se han acordado del gran maestro del reggae jamaicano.Por último, y como siempre en el AfroClub, echamos un vistazo hacía atrás. Nos vamos al highlife de los años 70 con Chief Osita Osadebe , una época en la que todavía seguían existiendo algunas big bands en Nigeria. Y también estará Moni Bile, que forma parte de una generación de músicos cameruneses que en los 80 se estableció en París para renovar el makossa con ritmos más pegadizos y bailables.
DJérôme Bosch présente le roman de la rumba congolaise: chapitre 6En retraçant la carrière du Staff Benda Bilili, OK/KO part à la découverte des musiciens de rue du Kinshasa contemporain.
DJérôme Bosch présente le roman de la rumba congolaise: chapitre 6 En retraçant la carrière du Staff Benda Bilili, OK/KO part à la découverte des musiciens de rue du Kinshasa contemporain.
Los dos últimos programas del año están dedicados a lo que podría ser la ceremonia de entrega de los "Favis 2012", es decir, los Favoritos de Mundofonías del año 2012. En esta primera parte del repaso, escuchamos al Badila Ensemble, con músicos de Francia, India e Irán, al libanés Rabih-Abou Khalil, la experiencia belga-magrebí de GanSan, la saharaui Mariem Hassan, los congoleños Staff Benda Bilili, los burkineses Farafina, los etíopes Krar Collective, los javaneses Sambasunda Quintet, el argentino Lucho Guedes y el cubano Roberto Fonseca.
With Mark Lawson. Actor David Suchet discusses his role in a new production of Long Day's Journey Into Night and laments the passing of Poirot. Roger Wright, controller of Radio 3, joins Mark to share a few highlights of this summer's BBC Proms concerts: Daniel Barenboim conducting his first ever Beethoven symphony cycle in London; operas including Nixon In China, Congolese musicians Staff Benda Bilili and Radio 4's Desert Island Discs celebrating its 70th birthday with a live prom; and this year's Children's Prom launches the audience into the wonderful world of Wallace and Gromit. To celebrate the centenary of the British Board of Film Classification, The British Silent Film Festival is hosting an examination of the early days of film censorship. Bryony Dixon of the British Film Institute and Lucy Brett, education officer at the BBFC, tell Mark how and why censorship came about, what sort of person was hired as a sensor of silent films - and what sort of things they cut out. Producer Rebecca Nicholson.
Rotary Club Radio Episode 026 [audio:http://traffic.libsyn.com/interactive123/RotaryClubRadio026.mp3] Featured Segment On September 22, 2011 at the Walker Art Center in Downtown Minneapolis, a documentary film will be previewed featuring the band Staff Benda Bilili. The band originates from the Democratic Republic of the Congo – and each band member has a unique story to tell about how […]
Hoogtepunten uit het seizoen 2010 - 2011: Compilatie 2 Ivan Lins, Irina Kulikova, Hans van Koolwijk, Flamenco, duo Attema Haring, Ruben Hein, Devich trio, Ramsey Nasr, A Filleta, Tom Verbruggen (kort), van Baerle Trio, Staff Benda Bilili, Moddi
Uit Kinshasa, Congo straatorkest Staff Benda Bilili, uit Noorwegen singer/songwriter Moddi en uit eigen land schrijfster van het boek “Onder Stroom”, Jacqueline Oskamp. Singer songwriter Pål Moddi Knutsen is in zijn geboorteland Noorwegen al een enorme hit. Zijn debuut voor de Nederlandse tv maakt hij zondag bij Vrije Geluiden. Moddi is gehuld in een [...]
This podcast includes highlights from the April May 2009 issue of Songlines (no.59) - our Green issue – opening with an excerpt from Staff Benda Bilili.