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Silence on joue !
S19E02 - «Hollow Knight: Silksong», «Donkey Kong Bananza», «L'Ordre des Géants»

Silence on joue !

Play Episode Listen Later Sep 12, 2025 150:08


Cette semaine, on commence par retourner au Vatican dans le premier DLC du très bon Indiana Jones et le Cercle Ancien. L'Ordre des Géants propose une petite escapade animée dans les sous-sols du premier grand niveau. Centré sur les énigmes, il permet de retrouver l'archéologue et de continuer à taper des nazis. On continue avec le jeu incontournable de cette rentrée, Hollow Knight: Silksong. Huit ans après le premier épisode, Team Cherry propose un titre magnifique mais, pour l'instant, très mal équilibré dans sa première partie. On termine avec le retour du gorille de Nintendo dans Donkey Kong Bananza, un titre très abouti de plateforme dans la lignée de Super Mario Odyssey centré sur la destruction à volonté. Pour le rattrapage des jeux de l'été, on expédie rapidement les nouvelles fusillades du robot flic dans RoboCop: Unfinished Business et on s'extasie devant le level design génial de Öoo.Jérémie Kletzkine, dans sa chronique jeux de société, nous parle de Toy Battle.Chapitres :0:00 Intro3:50 Les news36:33 Le com des coms48:33 Indiana Jones, le DLC L'Ordre des Géants1:04:07 La chronique jeux de société :Toy Battle1:09:51 Hollow Knight: Silksong1:43:51 La minute culturelle1:48:47 Donkey Kong Bananza2:09:04 Le rattrapage de l'été : RoboCop: Rogue City - Unfinished Business, Öoo2:19:57 Et quand vous ne jouez pas, vous faites quoi ?Retrouvez toutes les chroniques de jérémie dans le podcast dédié Silence on Joue ! La chronique jeux de société (Lien RSS).Pour commenter cette émission, donner votre avis ou simplement discuter avec notre communauté, connectez-vous au serveur Discord de Silence on joue!Retrouvez Silence on Joue sur Twitch : https://www.twitch.tv/silenceonjoueSoutenez Silence on joue en vous abonnant à Libération avec notre offre spéciale à 6€ par mois : https://offre.liberation.fr/soj/Silence on joue ! c'est l'émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et ses chroniqueurs Patrick Hellio et Corentin Benoit-Gonin.CRÉDITSSilence on joue ! est un podcast de Libération animé par Erwan Cario. Cet épisode a été enregistré le 11 septembre 2025 sur Discord. Réalisation : Erwan Cario. Générique : Marc Quatrociocchi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Aventure Epique
#42. Joseph Gandrieau, cap au Nord : ma traversée des iles Féroé, de l'Islande et du Groenland

Aventure Epique

Play Episode Listen Later Sep 11, 2025 59:21


Dans ce 41ème épisode d'Aventure Épique, j'ai le plaisir de recevoir Joseph Gandrieau, enseignant-chercheur en Sciences du Sport et aventurier passionné, qui nous raconte sa traversée épique de trois îles nordiques : les Féroé, l'Islande et le Groenland.Joseph, âgé de 29 ans et originaire de Strasbourg est aujourd'hui installé à Nice, où il mène une double vie entre l'université et les grands espaces. Docteur en STAPS et spécialiste de la "littératie physique", il incarne parfaitement le concept qu'il étudie : posséder les outils nécessaires pour rester actif, peu importe l'âge ou les circonstances. Ses recherches prennent vie à travers ses expéditions, créant une synergie unique entre théorie académique et expérience de terrain.De février à août 2024, Joseph s'est lancé dans sa plus grande aventure : 6 mois d'itinérance à travers l'Atlantique Nord. Le projet, né d'une obsession pour le Groenland développée sur Google Maps pendant ses pauses déjeuner d'étudiant, s'est transformé en une traversée de 2000 kilomètres combinant vélo, marche et ski.Préambule : Strasbourg - Danemark Dix jours à vélo en plein hiver européen, tractant une pulka de 60 kilos adaptée sur roues, pour rejoindre le port d'embarquement vers les Féroé.Étape 1 : Îles Féroé Huit jours de trek du sud au nord de l'archipel, traversant des paysages où les moutons sont plus nombreux que les humains, dans des conditions météo impitoyables qui ont mis ses pieds "dans un état n'importe quoi".Étape 2 : Islande L'apogée du projet : 25 jours de ski à travers le "désert blanc" islandais, sur plus de 550 kilomètres. Une traversée en solitaire après le départ de sa compagne, où chaque geste du quotidien devient un défi supplémentaire dans des conditions extrêmes.Étape 3 : une traversée du Groenland épique, où il a fait le choix de prendre le temps.Dans cet épisode, nous explorons les motivations profondes qui poussent un enseignant-chercheur à prendre le large de sa vie académique pour affronter les éléments, la préparation psychologique nécessaire pour de tels défis, et les leçons de vie qu'apportent ces expériences extrêmes.Un témoignage authentique sur la recherche de sens à travers l'aventure, où la souffrance physique révèle des ressources insoupçonnées et où chaque kilomètre parcouru devient une leçon de vie.Cet épisode d'Aventure Epique a été réalisé en collaboration avec Škoda.***Aventure Epique c'est le podcast qui vous fait vivre dans chaque épisode une aventure en pleine nature hors du commun.Explorateur illustre, sportif renommé ou encore simple amateur, aventurier du quotidien, Aventure Epique est une plongée en apnée le temps d'une aventure qui va vous tenir en haleine, vous émouvoir et vous inspirer.Les disciplines que vous pourrez retrouver dans Aventure Épique : l'alpinisme, l'exploration, l'escalade, le parapente, le vélo, la natation, la voile, le ski et bien d'autres encore…Aventure Épique c'est un nouvel épisode un jeudi sur 2, et le mardi qui précède un extrait de l'épisode à venir, pour bien démarrer la semaine ensemble. Si vous souhaitez suivre notre actualité au jour le jour, et découvrir les coulisses du podcast, rendez-vous dès maintenant sur notre compte Instagram @aventureepique.podcastAventure Epique, des aventures en plein air, à couper le souffle.Un podcast imaginé et animé par Guillaume Lalu et produit par Sportcast Studios Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
L'abolition de la peine de mort - 6/6 et fin

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Sep 10, 2025 10:47


Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

5.000 ans d’Histoire
L'abolition de la peine de mort - 6/6 et fin

5.000 ans d’Histoire

Play Episode Listen Later Sep 10, 2025 10:47


Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
L'abolition de la peine de mort - 5/6

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 14:32


Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aventure Epique
[EXTRAIT] Joseph Gandrieau, cap au Nord : ma traversée des iles Féroé, de l'Islande et du Groenland

Aventure Epique

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 6:50


Dans ce 41ème épisode d'Aventure Épique, j'ai le plaisir de recevoir Joseph Gandrieau, enseignant-chercheur en Sciences du Sport et aventurier passionné, qui nous raconte sa traversée épique de trois îles nordiques : les Féroé, l'Islande et le Groenland.Joseph, âgé de 29 ans et originaire de Strasbourg est aujourd'hui installé à Nice, où il mène une double vie entre l'université et les grands espaces. Docteur en STAPS et spécialiste de la "littératie physique", il incarne parfaitement le concept qu'il étudie : posséder les outils nécessaires pour rester actif, peu importe l'âge ou les circonstances. Ses recherches prennent vie à travers ses expéditions, créant une synergie unique entre théorie académique et expérience de terrain.De février à août 2024, Joseph s'est lancé dans sa plus grande aventure : 6 mois d'itinérance à travers l'Atlantique Nord. Le projet, né d'une obsession pour le Groenland développée sur Google Maps pendant ses pauses déjeuner d'étudiant, s'est transformé en une traversée de 2000 kilomètres combinant vélo, marche et ski.Préambule : Strasbourg - Danemark Dix jours à vélo en plein hiver européen, tractant une pulka de 60 kilos adaptée sur roues, pour rejoindre le port d'embarquement vers les Féroé.Étape 1 : Îles Féroé Huit jours de trek du sud au nord de l'archipel, traversant des paysages où les moutons sont plus nombreux que les humains, dans des conditions météo impitoyables qui ont mis ses pieds "dans un état n'importe quoi".Étape 2 : Islande L'apogée du projet : 25 jours de ski à travers le "désert blanc" islandais, sur plus de 550 kilomètres. Une traversée en solitaire après le départ de sa compagne, où chaque geste du quotidien devient un défi supplémentaire dans des conditions extrêmes.Étape 3 : une traversée du Groenland épique, où il a fait le choix de prendre le temps.Dans cet épisode, nous explorons les motivations profondes qui poussent un enseignant-chercheur à prendre le large de sa vie académique pour affronter les éléments, la préparation psychologique nécessaire pour de tels défis, et les leçons de vie qu'apportent ces expériences extrêmes. Un témoignage authentique sur la recherche de sens à travers l'aventure, où la souffrance physique révèle des ressources insoupçonnées et où chaque kilomètre parcouru devient une leçon de vie.Episode intégral disponible le jeudi 11 septembre.Cet épisode d'Aventure Epique a été réalisé en collaboration avec Škoda.***Aventure Epique c'est le podcast qui vous fait vivre dans chaque épisode une aventure en pleine nature hors du commun.Explorateur illustre, sportif renommé ou encore simple amateur, aventurier du quotidien, Aventure Epique est une plongée en apnée le temps d'une aventure qui va vous tenir en haleine, vous émouvoir et vous inspirer.Les disciplines que vous pourrez retrouver dans Aventure Épique : l'alpinisme, l'exploration, l'escalade, le parapente, le vélo, la natation, la voile, le ski et bien d'autres encore…Aventure Épique c'est un nouvel épisode un jeudi sur 2, et le mardi qui précède un extrait de l'épisode à venir, pour bien démarrer la semaine ensemble. Si vous souhaitez suivre notre actualité au jour le jour, et découvrir les coulisses du podcast, rendez-vous dès maintenant sur notre compte Instagram @aventureepique.podcastAventure Epique, des aventures en plein air, à couper le souffle.Un podcast imaginé et animé par Guillaume Lalu et produit par Sportcast Studios Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

5.000 ans d’Histoire
L'abolition de la peine de mort - 5/6

5.000 ans d’Histoire

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 14:32


Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
L'abolition de la peine de mort - 4/6

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 14:07


Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le jazz sur France Musique
RP3 (Rémi Panossian Trio), et de huit...

Le jazz sur France Musique

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 59:18


durée : 00:59:18 - RP3 (Remi Panossian Trio) "88888888" - par : Nicolas Pommaret - Parution de “88888888” du Rémi Panossian Trio, RP3, chez Naïve/Believe. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

5.000 ans d’Histoire
L'abolition de la peine de mort - 4/6

5.000 ans d’Histoire

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 14:07


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Timeline (5.000 ans d'Histoire)
L'abolition de la peine de mort - 3/6

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Sep 7, 2025 13:32


Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

5.000 ans d’Histoire
L'abolition de la peine de mort - 3/6

5.000 ans d’Histoire

Play Episode Listen Later Sep 7, 2025 13:32


Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
L'abolition de la peine de mort - 2/6

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Sep 6, 2025 13:27


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5.000 ans d’Histoire
L'abolition de la peine de mort - 2/6

5.000 ans d’Histoire

Play Episode Listen Later Sep 6, 2025 13:27


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Timeline (5.000 ans d'Histoire)
L'abolition de la peine de mort - 1/6

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 12:39


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Dutrizac de 6 à 9
Vêtements aux couleurs des Hells Angels: «Walmart a mis en danger les gens», explique Maxime Deland

Dutrizac de 6 à 9

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 10:17


Des vêtements de Hells Angels vendus par Walmart. Huit ans de prison pour avoir fait vivre l’enfer à son ex-conjointe. Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

5.000 ans d’Histoire
L'abolition de la peine de mort - 1/6

5.000 ans d’Histoire

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 12:39


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Le rendez-vous Jeux
Huit ans plus tard, je finis Persona 5* – RDV Jeux

Le rendez-vous Jeux

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 97:07


Au programme :Sony veux vous vendre deux PS6, dont une portableSilksong: les devs défient toutes les attentesNos jeux du momentHell is UsShinobi Art of VengeanceFantasy Life iPersona 5*Le reste de l'actualité---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par JK Lauret (Twitter).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 412 – Huit ans plus tard, je finis Persona 5* – Playstation 6, hype & dev Silksong, Hell is Us, Shinobi Art of Vengeance---Liens :

Chronique des Matières Premières
La France mise au défi d'exporter huit millions de tonnes de blé

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 2:00


Après une année 2024 catastrophique, la production française 2025 devrait se redresser de 30%, selon les estimations d'Argus Media, tout en restant inférieure par rapport à la moyenne calculée entre 2017 et 2023. Une meilleure récolte annonce plus de quantités à exporter, mais la grande question aujourd'hui est de savoir vers quelle destination car le premier exportateur européen doit toujours composer sans l'Algérie et avec une demande chinoise en chute.  La France a appris à se passer de l'Algérie depuis que le pays à commencer à se tourner vers le blé russe en 2020. Mais avec la décision de l'Algérie d'acheter plus de céréales de la mer Noire, l'Hexagone a perdu un acheteur qui absorbait entre deux et cinq millions de tonnes de blé par an.  L'année dernière, l'Algérie n'a acheté que 30 000 tonnes, donc presque rien ; mais sur une année de mauvaise récolte française, cela a été moins problématique que ce qui semble se dessiner pour cette année 2025. Au vu du bilan de la production 2025, la France devrait avoir au moins huit millions de tonnes à exporter hors de l'Union européenne, selon l'agence d'information et de conseil Argus Media. Or, les tensions diplomatiques qui persistent ne laissent pas présager une reprise du commerce de blé entre Alger et Paris. Un autre client est aussi aux abonnés absents : la Chine. Le pays est devenu acheteur juste avant la fermeture progressive du marché algérien, ce qui a permis de compenser en partie les volumes perdus. En 2023, l'empire du Milieu a acheté 2,4 millions de tonnes de blé français, mais l'appétit chinois « est devenu tout petit, voire réduit à zéro », explique Maxence Devillers, analyste de marché chez Argus Media. L'agence prévoit 500 000 tonnes de blé français exporté vers la Chine pour la campagne 2025-2026. Quelles alternatives à l'export ?  Le Maroc est devenu le premier acheteur de blé français et pourrait en importer 2,5 millions de tonnes cette année, selon Argus Media. La demande devrait venir aussi d'Afrique subsaharienne – 2,4 millions de tonnes – et d'Égypte, qui pourrait importer 900 000 tonnes. Il y a donc des débouchés, mais l'année s'annonce cependant compliquée. Ce qui ne sera pas vendu et pas consommé sur le marché intérieur sera entreposé. Les prévisions font état de stocks qui pourraient atteindre quatre millions de tonnes en France, un niveau inédit depuis la campagne de 2004-2005. De belles productions en Roumanie et Bulgarie Les pays européens restent un débouché pour le blé français, mais avec ses limites. Cette année, près de 6,8 millions de tonnes de la céréale française devraient être écoulées sur le marché communautaire, mais il y a d'autres producteurs qui comptent et qui encombrent le circuit. La production s'annonce par exemple record en Espagne et en Roumanie – 12,2 millions de tonnes – ainsi qu'en Bulgarie, qui pourrait produire 7,7 millions de tonnes de blé. Ces deux derniers pays pourraient à eux seuls représenter la moitié des exportations de blé de l'Europe sur cette campagne, selon l'agence d'information. Cette abondance de blé en Europe, mais aussi en mer Noire, maintient des prix bas. Les prix du blé à la bourse Euronext se rapprochent de 190 euros la tonne, pour une livraison en décembre, sans perspective de remonter pour l'instant, à moins d'un choc climatique ou géopolitique. Ce cours reste insuffisant pour être rémunérateur pour les producteurs français qui font face, selon Alexandre Willekens d'Argus Media, à un coût de production moyen de 200 euros la tonne.  À lire aussi«La part de la Russie dans les importations des pays d'Afrique subsaharienne de blé a augmenté »

Disques de légende
Le pianiste Robert Levin joue les Concertos de Mozart avec Christopher Hogwood

Disques de légende

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 18:51


durée : 00:18:51 - Disques de légende du lundi 01 septembre 2025 - L'intégrale des concertos pour piano de Mozart par Robert Levin au pianoforte avec l'Academy of Ancient Music est un projet ambitieux entamé en 1994 sous la direction de Christopher Hogwood. Huit albums ont ainsi été publiés jusqu'en 2001, couvrant une vingtaine de concertos. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Relax !
Le pianiste Robert Levin joue les Concertos de Mozart avec Christopher Hogwood

Relax !

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 18:51


durée : 00:18:51 - Disques de légende du lundi 01 septembre 2025 - L'intégrale des concertos pour piano de Mozart par Robert Levin au pianoforte avec l'Academy of Ancient Music est un projet ambitieux entamé en 1994 sous la direction de Christopher Hogwood. Huit albums ont ainsi été publiés jusqu'en 2001, couvrant une vingtaine de concertos. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Choses à Savoir TECH
Elon Musk prépare le retour du réseau social Vine ?

Choses à Savoir TECH

Play Episode Listen Later Aug 31, 2025 2:17


C'était l'un des réseaux sociaux les plus marquants des années 2010. Vine, avec ses vidéos de six secondes, avait su séduire des millions d'utilisateurs avant de disparaître en 2017, après son rachat par Twitter. Huit ans plus tard, l'application culte pourrait renaître… sous l'impulsion d'Elon Musk. Le patron de X – ex-Twitter – a annoncé son intention de ressusciter Vine, mais dans une version inédite intégrant l'intelligence artificielle. Peu de détails pour l'instant, mais l'annonce suffit déjà à susciter l'enthousiasme et la curiosité. Car au-delà de la nostalgie, ce projet pourrait bien transformer notre façon de consommer la vidéo courte.À son apogée, Vine avait réuni plus de 200 millions d'utilisateurs dans le monde grâce à un concept aussi simple qu'efficace : six secondes pour captiver. Une formule qui a marqué toute une génération et influencé durablement les formats de TikTok, Instagram Reels ou encore YouTube Shorts. Aujourd'hui, Elon Musk veut miser sur ce format bref, parfaitement adapté à l'ère numérique actuelle où l'attention se mesure en secondes. L'innovation viendrait cette fois de l'IA. Le laboratoire xAI, créé par Musk, pourrait développer des outils capables de générer automatiquement des vidéos personnalisées. Une manière de combiner créativité et technologie de pointe. L'idée : permettre à chacun de produire facilement des contenus dynamiques, sans perdre l'esprit original du format court.D'ailleurs, ce type de contenu coïncide avec les limites actuelles de la vidéo générée par intelligence artificielle, souvent restreinte à quelques secondes. Google a récemment dévoilé une fonctionnalité similaire avec des mini-clips créés à partir de photos. De quoi renforcer la pertinence de ce format express, pensé pour être viral et facilement partageable. Mais de nombreuses questions restent ouvertes : quelles seront les fonctionnalités exactes ? Comment l'IA changera-t-elle l'expérience utilisateur ? Vine peut-il réellement trouver sa place dans un paysage déjà saturé par TikTok et consorts ? Une chose est sûre : si le projet aboutit, il pourrait redonner vie à une légende du web et séduire à la fois les nostalgiques et une nouvelle génération d'utilisateurs. Le pari est audacieux. Reste à voir si Elon Musk réussira à rallumer la flamme Vine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

RTL Matin
Huit grandes villes bannissent le thon de leurs cantines scolaires

RTL Matin

Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 1:19


Huit villes qui représentent à elles seules plus de 3,5 millions d'habitants ont annoncé le 28 août bannir le thon de leurs cantines scolaires en raison de sa contamination au mercure. Et les parents s'en félicitent. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le billet vert
Mercure dans le thon et risques pour les enfants : huit mairies bannissent ce poisson des cantines

Le billet vert

Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 2:32


durée : 00:02:32 - Le billet sciences - Le thon a temporairement été banni du menu des cantines scolaires par huit mairies, représentant plus de 3,5 millions d'habitants, dont Paris et Lyon, pour "faire cesser l'exposition des enfants au mercure", un métal neurotoxique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le journal France Bleu Maine
Huit mois après leur lancement, les navettes Illygo peinent à trouver des passagers

Le journal France Bleu Maine

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 5:17


durée : 00:05:17 - L'invité de "ici Maine" - Ça fait huit mois que des navettes Illygo desservent les zones d'activité de La Suze-sur-Sarthe, Ballon Saint-Mars et Bouloire, notamment, depuis Le Mans, ainsi que les alentours de Sillé-le-Guillaume et ceux d'Écommoy. Premier bilan avec le vice président du Pole métropolitain Le Mans Sarthe. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

RTL Midi
Une famille retrouve son chat, huit ans après sa disparition

RTL Midi

Play Episode Listen Later Aug 25, 2025 1:52


Une famille a perdu son chat pendant plusieurs années. Miracle, l'animal est toujours en vie. Il avait été recueilli. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

BFM Story
Story 4 : Nuit de violences à Aurillac, huit policiers blessés – 21/08

BFM Story

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 29:57


BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.

Le journal de 18h00
Incendie dans l'Aude : l'Etat débloque un fonds d'urgence de huit millions d'euros pour les viticulteurs touchés

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 15:20


durée : 00:15:20 - Journal de 18h - L'État au chevet des viticulteurs de l'Aude. Huit millions d'euros sont débloqués pour venir en aide aux vignerons touchés par l'incendie hors norme qui a ravagé 17 000 hectares dans les Corbières. Annonce de la ministre de l'Agriculture ce jeudi.

Les journaux de France Culture
Incendie dans l'Aude : l'Etat débloque un fonds d'urgence de huit millions d'euros pour les viticulteurs touchés

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 15:20


durée : 00:15:20 - Journal de 18h - L'État au chevet des viticulteurs de l'Aude. Huit millions d'euros sont débloqués pour venir en aide aux vignerons touchés par l'incendie hors norme qui a ravagé 17 000 hectares dans les Corbières. Annonce de la ministre de l'Agriculture ce jeudi.

Aujourd'hui l'économie
Fortnite, le jeu qui rapporte des millions

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Aug 12, 2025 2:46


Notre série d'été Pour une poignée de pixel sur l'économie du jeu vidéo revient sur le succès d'un des jeux les plus populaires du monde : Fortnite. Huit ans après sa sortie, le jeu du studio Epic Games, figure encore très régulièrement sur le podium des jeux vidéo réunissant le plus de joueurs. Surtout, Fortnite reste l'un des jeux les plus profitables au monde... alors qu'il est gratuit. Commençons par le commencement. À sa sortie en 2017, Fortnite est un banal jeu de tir multijoueur comme il en existe des centaines d'autres. Ces graphismes cartoon à la Pixar le rendent-ils plus sympathique aux yeux des parents ? Ils s'installent dans le paysage vidéoludique en s'emparant du concept de battle royale, très populaire à l'époque. Surtout, Epic Games multiplient habilement les partenariats avec les franchises à succès, à commencer par Marvel et ses super héros. De saison en saison, de nouveaux personnages du sport, de la pop culture font leur apparition dans Fortnite, assurant au jeu de rester au centre des conversations dans les cours de récréation. À partir de 2019, Fortnite va plus loin et propose à ses joueurs des concerts virtuels. À l'affiche, Marshmello, Ariana Grande, Sabrina Carpenter, Eminem, Metallica ou encore Aya Nakamura. Deux ans avant sa prestation remarquée en ouverture des JO 2024, la chanteuse franco-malienne se donne en concert sur Fortnite. À lire aussiDisney s'associe à Epic Games pour créer l'ultime Métaverse dans Fortnite Un jeu gratuit… mais pas tout à fait À ce stade, Fortnite est devenu un jeu vidéo tout-en-un. À son apogée, Epic Games revendique 350 millions de joueurs. Bien aidé par le fait que Fortnite soit accessible gratuitement sur presque tous les supports, des ordinateurs aux consoles en passant par les tablettes et les téléphones. Gratuit et pourtant, Fortnite a rapporté à sa maison mère, plusieurs dizaines de milliards de dollars depuis sa sortie. Comment ? D'abord parce que les marques, y compris de luxe, sont prêtes à payer — et payer cher – pour apparaître dans l'univers du jeu et toucher un public plus jeune. Et puis si l'accès au jeu est gratuit, dans Fortnite, tout le reste est payant. On paye pour habiller son avatar ou pour qu'il puisse effectuer les mêmes pas de danse qu'un youtubeur connu ou qu'Aya Nakamura. Par l'intermédiaire d'une agence de communication, l'entreprise précise que les « joueurs peuvent gagner des objets en relevant des défis dans le jeu » et que ces achats de cosmétiques sont « facultatifs ». Mais pour aller plus vite et accéder aux derniers items à la mode, les joueurs sont incités à mettre la main au portefeuille. Et dans Fortnite, on ne paye pas en dollars, en yuans ou en euros. On paye en V-Bucks. La monnaie virtuelle locale qui, elle, s'achète avec de l'argent bien réel. Mais cela permet de mettre une distance artificielle. Quand on dépense 500 V-Bucks pour acheter un chapeau rigolo à son alter ego virtuel, on n'a pas l'impression de dépenser de l'argent. Surtout quand on a douze ans, une notion de la valeur des choses encore très relative et qu'on dépense l'argent de papa et maman. Une politique qui a valu à l'entreprise une procédure menée en 2022 par la FTC, le gendarme de la concurrence aux États-Unis à la suite de laquelle Epic Games a accepté de payer une amende de 275 millions de dollars pour « violation des lois sur la confidentialité des données des enfants » et à rembourser 245 millions de dollars à des utilisateurs poussés à faire des achats non désirés. Depuis, l'entreprise précise avoir grandement renforcé sa politique de contrôle parental et de protection contre les achats non désirés. Chronique modifiée le 19 août 2025.

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT - Retour au bercail : huit Bleus champions du monde en 2018 évoluent à nouveau en Ligue 1

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 1:31


Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
EXTRAIT - Retour au bercail : huit Bleus champions du monde en 2018 évoluent à nouveau en Ligue 1

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 1:31


Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les histoires de 28 Minutes
Quand le ciel nous tombe sur la tête / Pouvons-nous vivre sans plastique ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 45:40


L'émission 28 minutes du 07/08/2025 Alors qu'il se rêvait astronaute dans son enfance, Charles Frankel choisit une autre voie vers les étoiles et devient géologue et enseignant en planétologie. Il publie “Bombes cosmiques : la Terre face aux astéroïdes”, un ouvrage dans lequel il relate les expéditions d'astronomes, géologues ou planétologues qui furent les premiers à prendre conscience des menaces que représentent ces projectiles, et, paradoxalement, du rôle essentiel que leurs cratères ont probablement joué dans l'apparition de la vie sur Terre.Du 5 au 14 août 2025, 176 pays se retrouvent à Genève pour entamer des négociations autour d'un traité mondial contre la pollution plastique. Véritable révolution qui a explosé au 20e siècle, ce matériau léger, pratique et peu cher connaît une croissance exponentielle depuis son invention. Omniprésent au quotidien, son bilan environnemental et sanitaire est pourtant catastrophique. Huit mois après de premières discussions, les divergences entre les différents acteurs font craindre une impasse. Pourra-t-on se passer un jour de plastique ?On en débat avec Nathalie Gontard, directrice de recherche en sciences de l'aliment et de l'emballage à l'INRAE, Antoine Guillou, adjoint à la maire de Paris et vice-président d'Amorce, et Joseph Tayefeh, secrétaire général de Plastalliance, syndicat européen de l'industrie plastique.Puis, Victor Dekyvère prend de la hauteur pour nous raconter l'histoire du talon de chaussure.Enfin, Quentin Darmon nous présente plus en détails l'influente et respectée présidente suisse, Karin Keller-Sutter. Puis, Marjorie Adelson nous emmène en Espagne, où un projet de taureau en métal de 300 mètres de haut fait polémique.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 07 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[DÉBAT] Pouvons-nous vivre sans plastique ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 23:06


L'émission 28 minutes du 07/08/2025 Du 5 au 14 août 2025, 176 pays se retrouvent à Genève pour entamer des négociations autour d'un traité mondial contre la pollution plastique. Véritable révolution qui a explosé au 20e siècle, ce matériau léger, pratique et peu cher connaît une croissance exponentielle depuis son invention. Omniprésent au quotidien, son bilan environnemental et sanitaire est pourtant catastrophique. Huit mois après de premières discussions, les divergences entre les différents acteurs font craindre une impasse. Pourra-t-on se passer un jour de plastique ?On en débat avec Nathalie Gontard, directrice de recherche en sciences de l'aliment et de l'emballage à l'INRAE, Antoine Guillou, adjoint à la maire de Paris et vice-président d'Amorce, et Joseph Tayefeh, secrétaire général de Plastalliance, syndicat européen de l'industrie plastique.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 07 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio

L'invité de RTL
NATATION - Marie Barsacq, ministre des Sports, est l'invitée de RTL Midi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 14:25


Huit médailles aux mondiaux de natation, un maillot jaune au Tour de France Femmes, un nouveau titre national pour Renaud Lavillenie à la perche, le sport français va bien. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Criminels
Une enquête dans la peau - Le triangle maudit (1/2)

Criminels

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 27:05


Au début des années 80, près du camp militaire de Mourmelon, dans la Marne. Huit jeunes d'une vingtaine d'années disparaissent les uns après les autres. C'est le début d'une enquête qui va s'étendre sur plusieurs années avant que ne soit démasqué un coupable insoupçonnable. Joël Vaillant, ex-colonel de gendarmerie, revient sur l'affaire de sa vie : celle des disparus de Mourmelon.Une enquête dans la peau est un podcast coproduit par Initial Studio et Caméra Subjective, adapté de la série documentaire audiovisuelle “L'enquête de ma vie” produite par Caméra Subjective, avec la participation de Planète+ Crime. Cet épisode a été écrit par Bérengère Weiss et réalisé par Bérengère Weiss et Benjamin Malherbe.Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy LebourgMontage : Camille LegrasAvec la voix de Vincent Couesme Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Criminels
Une enquête dans la peau - Le triangle maudit (2/2)

Criminels

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 26:17


Au début des années 80, près du camp militaire de Mourmelon, dans la Marne. Huit jeunes d'une vingtaine d'années disparaissent les uns après les autres. C'est le début d'une enquête qui va s'étendre sur plusieurs années avant que ne soit démasqué un coupable insoupçonnable. Joël Vaillant, ex-colonel de gendarmerie, revient sur l'affaire de sa vie : celle des disparus de Mourmelon.Une enquête dans la peau est un podcast coproduit par Initial Studio et Caméra Subjective, adapté de la série documentaire audiovisuelle “L'enquête de ma vie” produite par Caméra Subjective, avec la participation de Planète+ Crime. Cet épisode a été écrit par Bérengère Weiss et réalisé par Bérengère Weiss et Benjamin Malherbe.Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy LebourgMontage : Camille LegrasAvec la voix de Vincent Couesme Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: un procès pour l'histoire en RDC, celui de l'ex-président et actuel opposant Joseph Kabila

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 4:01


RO 051 25, c'est le numéro du copieux dossier sur lequel les juges de la haute cour militaire du palais de justice de la Gombe vont devoir se pencher. « Une étape judiciaire inédite », raconte le site d'informations Les volcans news, fruit d'une procédure enclenchée par le parquet général militaire après la levée de son immunité parlementaire par le Sénat en mai dernier. Car Kabila est sénateur à vie, un titre qui lui permettait de passer entre les gouttes de la justice jusqu'à ce que le pouvoir en place en décide autrement et que ses collègues sénateurs ne votent en ce sens. Les chefs d'accusation font froid dans le dos : « les plus lourds jamais instruits contre une ancienne figure présidentielle en RDC », poursuit le site d'information Les volcans news, participation à un mouvement insurrectionnel, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité, de la trahison, de l'apologie d'actes criminels, du viol, de la torture, de l'homicide volontaire ou encore de la déportation. Alors que reproche-t-on exactement à l'ancien chef d'État ? « Un soutien présumé à la rébellion de l'Alliance fleuve congo/M23 », détaille la radio congolaise Ouragan et de poursuivre, « le parquet militaire l'accuse de trahison pour avoir entretenu des intelligences avec une puissance étrangère, en l'occurrence le Rwanda ». Celui qui est resté au pouvoir pendant deux décennies se voit désormais accusé d'avoir voulu aider une puissance étrangère à renverser le pouvoir de Kinshasa. « Rien n'indique toutefois que Kabila qui ne s'est pas présenté devant le Sénat lors de la levée de son immunité parlementaire sera présent à son procès », tempère EcoNews RDC. Un procès qui s'inscrit selon le site d'information dans la stratégie affichée du président Tshisekedi de déboulonner le système de son prédécesseur, une promesse électorale désormais concrétisée. Kabila une variable d'ajustement dans les négociations en cours à Doha ? « Il sera pris en charge par l'accord de paix négocié directement entre ses hommes et nous. Nous ne pensons pas lui réserver de traitement particulier », détaille Jacquemain Shabani, vice premier ministre et ministre de l'Intérieur, dans les colonnes de Jeune Afrique. « Ses hommes ? Ce sont ceux de la rébellion AFC/M23 », affirme Jacquemain Shabani. Sur la toile, poursuit EcoNews RDC, les partisans dénoncent le martyr que vit leur leader : « effacer un homme comme Joseph Kabila de la scène publique ne peut se faire ni par la force ni par la manipulation de la justice ». La fin d'une ère conclut le site d'actualité. Reste à savoir si elle ouvre la voie à une démocratie apaisée ou à de nouvelles tensions. À lire aussiRDC: le procès de l'ex-président Joseph Kabila s'ouvre devant la Haute Cour militaire À Madagascar, pas encore de procès, mais une enquête qui permet de lever le voile sur les circonstances de la mort de 32 personnes lors d'une fête d'anniversaire à Ambohimalaza juin dernier. Mais la scène avait tout l'air d'un réquisitoire sur les télévisions malgaches hier soir. Andry Rajoelina avait convoqué ministres, procureurs et représentants de la gendarmerie pour une émission diffusée en direct sur la télévision d'État. Plusieurs heures durant lesquelles, « le secret de l'enquête a été largement dépassé pour laisser place à l'épreuve des faits », décrit L'Express de Madagascar. Et dès le début, le président de la République veut jouer carte sur table : « l'État ne couvre personne dans cette affaire », a-t-il lancé, rapporte le site d'informations AA. Première révélation. La substance toxique utilisée pour empoisonner les victimes est l'atropine, principe actif contenu dans le datura et la belladone. « Deux fleurs présentes à Madagascar », poursuit L'Express. « L'état a défendu sans équivoque la thèse de l'empoisonnement », précise Midi Madagasikara car selon le ministre de la Santé publique, Zely Arivelo Randriamanantany, les autopsies réalisées sur les victimes montrent des symptômes qui ne collent pas avec la thèse du botulisme. Des atteintes au rein, au cœur et au foie qui ne peuvent pas avoir été causées par cette infection. Reste que selon les révélations de RFI, les analyses effectuées par l'institut de médecine légale de Strasbourg n'ont pas pu confirmer la cause des décès. Autres éléments mis en avant lors de ce moment de télévision judiciaire, la principale accusée est passée aux aveux selon le général Andriantsarafara Rakotondrazaka, ministre délégué à la Gendarmerie nationale qui évoque un acte de vengeance en raison d'une dispute familiale. « Des conversations téléphoniques et des SMS compromettants ont été découverts durant l'enquête », précise L'Express de Madagascar. Huit personnes sont sur les bancs des accusés dans cette affaire. Cinq en contrôle judiciaire et trois femmes en détention dont la suspecte principale. À lire aussiMadagascar: des sources médicales contestent l'empoisonnement défendu par les autorités lors du drame d'Ambohimalaza

Reportage International
Syrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 22, 2025 2:28


Dans l'Antiquité, au cœur du croissant fertile, la Syrie a été le berceau de la civilisation et de l'agriculture grâce à l'Euphrate. Mais aujourd'hui, le niveau de sécheresse est alarmant, les pluies ayant été rares cet hiver. De nombreux Syriens vivent ou survivent en comptant chaque goutte d'eau. Huit mois après la chute du régime, l'avenir de la Syrie reste intimement lié à celui de l'eau. De notre envoyée spéciale de retour de Aatchané et Barada, En Syrie, à 50 km au sud d'Alep, dans le village d'Aatchané dont le nom signifie littéralement « l'assoiffée » en arabe, Assaad Faiz al Moustapha a l'habitude de cultiver des fèves, du blé et de l'avoine. Mais cette année, les champs sont désespérément arides. « À cause de la sécheresse et du manque d'eau, les terres sont rouges. Regardez cette plante. D'autres ne sont même pas sorties. Elles arrivent à cette taille et elles meurent. Ici, j'ai planté une tonne de blé, avec de l'engrais. On a beaucoup investi, on a tout labouré. Tout cela pour rien », déplore l'agriculteur, tenant en main des brindilles desséchées. Quand l'eau des nappes phréatiques manque, Assaad et ses voisins irriguent avec l'eau des égouts, mais même celle-ci s'est évaporée. Pour survivre, les 150 familles du village doivent acheter leur eau à 25 km à une entreprise privée. Chaque citerne coûte l'équivalent de 50 euros et ne dure que 10 jours. « L'eau est chère, très chère. C'est une souffrance. Oui, pour ce qui est de l'eau, une souffrance pour tout le monde », se désole Assaad Faiz al Moustapha. Aatchané devait bénéficier d'un projet national d'irrigation, mais la guerre a tout arrêté. « Avant, on recevait de l'eau de la rivière Qouweiq et même de l'Euphrate, mais ce n'est plus le cas cette année. Ils nous ont promis de rénover les systèmes de pompage. Pourvu que ce soit fait le plus vite possible. La vie sans agriculture, sans eau, est vraiment difficile », raconte Hussein el-Moustapha, le voisin et oncle d'Assaad, qui espère que les nouvelles autorités reprendront le dossier.  Privés de revenus, de nombreux agriculteurs émigrent vers les villes. Mais à Damas, l'eau est aussi comptée. À la station de Barada qui approvisionne la capitale syrienne, le Comité international de la Croix Rouge (CICR) craint de graves pénuries. « D'habitude, l'eau se trouve à 13 mètres de profondeur dans les puits, mais depuis un an, à cause du manque de pluie, le niveau est tombé à 30 mètres. L'ensemble du système est dans une situation critique. Il va falloir beaucoup d'efforts et d'interventions pour l'empêcher de s'effondrer », détaille Sleiman Chakkour, responsable eau et habitat au CICR. L'organisme compte réhabiliter ces infrastructures délaissées pendant 15 ans de guerre. La Syrie traverse déjà l'un des étés les plus secs de son histoire. Un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir, la sécheresse étant l'un des facteurs qui avait entraîné les manifestations de 2011. À lire aussiLa Syrie fait face à une sécheresse extrême engendrée par le changement climatique

Reportage Afrique
Sports traditionnels: en Côte d'Ivoire, les courses de pirogue d'Adiaké, la fierté villageoise comme trophée [3/10]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jul 22, 2025 2:14


Tous les ans, des dizaines d'équipes convergent à Adiaké, à 100 km d'Abidjan, dans le sud-est de la Côte d'Ivoire. Objectif : devenir les champions lors du festival Êlê, une compétition disputée sur la lagune Aby juste avant la saison des pluies. Plus qu'un sport, c'est une question de fierté villageoise pour les participants. De notre envoyé spécial à Adiaké, Huit pirogues turquoise s'élancent. À grands coups de pagaie, les équipages fendent l'eau. Leur but : terminer premier à l'issue de deux allers-retours, 1 200 mètres. Une course en ligne d'aviron, en beaucoup plus physique. Au bout, les Anges de Kakoukro s'imposent. Les cinq rameurs en maillot orange s'écroulent sur le rivage. Eric le capitaine est aussi heureux qu'à bout de souffle. « Ce n'est pas un jeu. C'est un très bon sport. Cela fait du bien, c'est un niveau sportif comme le foot, c'est aussi bon, j'aime cela », confie-t-il, en reprenant haleine. Il y a de quoi. En Côte d'Ivoire, les courses d'Adiaké attirent jusqu'à 20 000 spectateurs pour les finales. Ce succès populaire prend ses racines chez les Agnis. « C'est une vieille tradition. Elle intervient au moment de l'année où on arrête la pêche pour pouvoir permettre aux poissons de se reproduire. Pour ne pas laisser les pêcheurs oisifs, on organise des courses de pirogue. Cela permet de resserrer les liens entre les différents villages et nous permet également de régler les problèmes des différentes communautés », explique Tahi Kassi, l'un des chefs de cette communauté de pêcheurs. La course de pirogue représente plus que du sport pour les concurrents. Une question d'orgueil, notamment pour Tahi Kassi : « C'est un honneur, parce que traditionnellement les villages sont célébrés pendant toute une année jusqu'à la prochaine trêve. » « Cette année, on doit rentrer à la mairie de Grand-Bassam avec le trophée. C'est très important, car on a fait un long voyage [60 kilomètres, NDLR] pour venir à Adiaké. Ce n'est pas la ville d'Adiaké qui nous plaît, ce n'est pas la lagune qui nous plaît, nous sommes venus ici pour prendre le trophée. Cela va changer beaucoup de choses, cela va nous donner l'honneur », témoigne Joël, marin. Lui et son équipe sont venus de Bassam pour gagner. Pour l'emporter, certains s'entraînent donc toute l'année. Mais plus que la compétition, c'est surtout une identité qui est préservée pour Tahi Kassi : « Cela redonne de la vigueur à la culture. C'est très important pour la communauté Agni. » Cette année, le trophée est revenu aux Anges de Kakoukro pour la sixième fois. Les terreurs de la lagune Aby sont champions jusqu'à la prochaine édition du festival Êlé. À lire aussiAfrobasket féminine 2025: avec le retour de Kariata Diaby, la Côte d'Ivoire rêve plus grand

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 19h - 20/07/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 20, 2025 11:30


Dans cette édition :Le maire socialiste de Saint-Ouen a instauré un couvre-feu pour les mineurs de 16 ans dans sa ville.La ville de Béziers a été le théâtre d'un guet-apens tendu par une cinquantaine d'individus aux forces de l'ordre, avec des tirs de mortiers et des cocktails Molotov.La ville de Limoges a également connu des violences urbaines cette semaine, avec l'utilisation de feux d'artifice et de cocktails Molotov par des bandes organisées.En Syrie, un cessez-le-feu semble pour le moment respecté par le pouvoir syrien après une semaine de massacre de la communauté druze dans le sud du pays.La joueuse française Loïs Boisson a remporté son premier titre sur le circuit WTA à Hambourg, intégrant ainsi le top 50 mondial.Huit départements du sud-est de la France sont placés en vigilance orange pour orages, pluie et risques d'inondations à partir de 21h ce soir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Journal d'Haïti et des Amériques
Inondations du Texas : quelle réforme pour l'agence de gestion des urgences ?

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 30:00


Dix jours après les crues meurtrières du fleuve Guadalupe, qui ont fait 129 morts et plus de 170 disparus, le futur rôle de l'agence fédérale est encore flou. Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier dernier, Donald Trump a promis une réduction drastique des dépenses fédérales – et a ainsi promis de fermer l'agence de gestion des urgences, la FEMA. Inutile, trop couteuse, disait-il. Au lendemain des inondations meurtrières du Texas, terre républicaine où plus de 300 personnes pourraient avoir perdu la vie, potentiellement à cause du retard dans les secours, cette position est plus difficile à tenir. Le président refuse de définir quel rôle exact il pense réserver maintenant à cette agence. Mais sa ministre de l'Intérieur, Kristi Noem, a commencé à donner des indications, lors d'une interview sur la chaîne NBC : « Son rôle doit changer, et nous devons nous appuyer sur les autres ressources du gouvernement fédéral », soutient-elle, avant de reprendre la ligne idéologique trumpiste, de déléguer un maximum de tâches aux États fédérés. « Le président souhaite donner les moyens aux États de gérer eux-mêmes leurs situations d'urgence », sans préciser de quels moyens elle pense, considérant qu'on parle ici de désengagement fédéral avant tout.   La FEMA, du reste, est critiquée pour sa mauvaise gestion en amont : son rôle est aussi d'évaluer les risques d'inondations pour les permis de construire. Or, le Washington Post révèle que le fameux camp pour enfants Mystic, où 27 personnes ont été emportées par les crues, n'avait pas été placé en zone inondable – il avait donc pu étendre son empreinte. Ces permis ont été donnés entre 2013 et 2020, rappelle le quotidien, ce qui indique à quel point les agences fédérales peuvent sous-estimer les risques, mais aussi que ces derniers évoluent rapidement à cause du changement climatique. À lire aussiÉtats-Unis: après les inondations au Texas, Trump rétropédale sur la Fema et son démantèlement En attendant, la population essaie de se relever par tous les moyens. Et même les enfants s'y mettent, comme le raconte le Dallas Morning News. Le quotidien décrit cette belle histoire de Graham Goodin et des deux frères Wallace, âgés de 10 à 12 ans, qui ont ouvert leur stand de limonade glacée dans une rue de Dallas. Un dollar le jus rafraichissant, mais rapidement, les passants paient 5, 7, voire 100 dollars le verre. « C'est la meilleure limonade du monde », assure un client. Ces ventes doivent en effet servir à reconstruire le camp pour enfants Mystic, ravagé par les inondations. Ces jeunes entrepreneurs ont récolté 550 dollars en une journée, ce qui prouve la solidarité qui a emporté les Texans : on ne compte plus les restaurants qui reversent leurs profits ou les cagnottes d'anonymes en faveur des sinistrés, rapporte le journal de Dallas.   « Ce genre d'inondations devrait se répéter avec l'intensification du réchauffement climatique, surtout dans cette région du centre du Texas, aux terrains vallonnés et au climat propice aux fortes tempêtes. Pour y faire face, les autorités règlementent de plus en plus les constructions au bord de l'eau. Ils demandent à ce que les maisons soient construites sur des piliers ou que les fondations permettent à l'eau de passer dessous en cas de crue », explique Mark Gonzalez, un ingénieur de l'immobilier. Reportage d'Edward Maille au Texas. L'Argentine s'enfonce dans la crise politique La guerre est ouverte au plus haut sommet de l'État. Elle a éclaté avec l'adoption de l'augmentation des retraites la semaine dernière, malgré l'opposition du président Javier Milei. Et ce dernier d'attaquer sa vice-présidente, Victoria Villaruel, qui ne l'a pas appuyé au Parlement dans ce dossier. Le quotidien Pagina 12 nous livre les détails croustillants de cette acrimonie. « Traitresse, populiste, âne », tels sont les noms colorés que donne Javier Milei à son ancienne alliée. Victoria Villaruel, qui avait apporté le vote religieux au président, « est maintenant considérée comme une opposante », analyse le journal, et les spéculations commencent sur sa possible candidature à la présidence de 2027, face à Javier Milei. À lire aussiArgentine: rupture entre le président Milei et sa vice-présidence Victoria Villarruel Au Brésil, front commun contre les nouveaux droits de douane annoncés par Donald Trump Le président brésilien Lula pourrait bénéficier de cette nouvelle attaque du président américain. Donald Trump assure que ces tarifs sont imposés pour faire pression sur Brasilia et arrêter les poursuites contre son allié, Jair Bolsonaro, accusé de tentative de coup d'État. Résultat, c'est le camp Bolsonaro qui en paie le prix, analyse le quotidien O Globo, et Lula en sort renforcé. « Après des mois d'usure et de confrontations avec les députés, le président jouit d'une amnistie », commente le quotidien. Mais beaucoup estiment que « cet alignement est temporaire et risque de s'effondrer une fois la crise avec Trump résolue », prévient O Glogo.  À lire aussi«Chasse aux sorcières», «qu'il se mêle de ses affaires»: Trump et Lula s'écharpent autour de Bolsonaro Le Mexique, destination en pointe pour la chirurgie esthétique La correspondante du quotidien espagnol El Pais nous emmène dans un cabinet de chirurgie esthétique de Guadalaraja, à la frontière états-unienne. Comme beaucoup, ce cabinet est pris d'assaut : le Mexique est devenu la deuxième destination de tourisme médical au monde pour la chirurgie esthétique, après la Colombie. Une recette gagnante, qui repose sur des prix abordables, de bons chirurgiens et des plages agréables pour se rétablir – tout cela à deux pas des États-Unis et du Canada. 1,4 million de patients ont fait le voyage l'année dernière, pour faire surtout des liposuccions, des facelift ou se gonfler les seins. Mais attention aux arnaques, prévient El Pais: pour certains, le chirurgien était en fait un dentiste ! Et surtout, quid du post-opératoire : il faut s'assurer du suivi à distance et de la bonne coordination avec des médecins dans votre pays, conclut El Pais. Ceci, afin que ce nouveau visage dont vous rêvez ne se transforme pas en un cauchemar indélébile.  En Haïti, reportage dans les Gonaïves Une ville qui doit se débrouiller sans pompiers. La semaine dernière, un camion d'essence a pris feu suite à une collusion avec un autre véhicule. Huit personnes sont décédées, dont trois élèves d'une même famille. Les incendies sont fréquents dans cette ville et touchent des marchés publics, des résidences privées, des entreprises ou bâtiments publics. À chaque fois, il faut attendre que le feu détruise tout sur son passage. Pourtant, en 2016, la ville avait deux camions de pompiers qui faisaient régulièrement des interventions. Ils ont disparu après le mandat du maire de l'époque en 2020. Reportage de Ronel Paul.

Le débat
L'Ukraine peut-elle encore tenir ?

Le débat

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 42:46


Alors que les Etats-Unis ont annoncé mardi suspendre une partie de son aide militaire à Kiev, la Russie intensifie ses frappes sur les villes ukrainiennes. Huit personnes ont été tuées et une dizaine d'autres blessées dans plusieurs frappes russes. Aujourd'hui, Volodymyr Zelensky a rencontré la Première ministre du Danemark qui prend la présidence tournante de l'Union européenne. Mette Frederiksen s'engage à soutenir l'Ukraine et veut faire de la sécurité le centre de sa présidence européenne. 

CRIMES • Histoires Vraies
[INÉDIT] Une meurtrière en blouse blanche : l'affaire Elizabeth Wettlaufer • L'Intégrale

CRIMES • Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 23:45


Elle pousse la porte du palais de justice de Woodstock au Canada. Ses menottes brillent sous les flashs des caméras. Ce lundi 26 juin 2017, Elizabeth Wettlaufer n'est plus une infirmière. Elle est devenue le visage de l'horreur, le nom que l'on murmure dans les couloirs des maisons de retraite, l'ombre d'une nuit d'angoisse. Huit morts. Six autres victimes. Et un aveu glaçant : « Je pensais honnêtement que Dieu voulait se servir de moi. »

Les pieds sur terre
Les voix de la justice 1/6 : Sœurs de plainte

Les pieds sur terre

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 28:39


durée : 00:28:39 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Karine Le Loët - Camille a été violée par un metteur en scène alors qu'elle étudiait au conservatoire. Huit ans après, elle mène l'enquête pour retrouver d'autres victimes. Marie a été victime du violeur récidiviste Florian Varin condamné en 2021. Dans le bureau de la juge, elle rencontre plusieurs co-victimes. - réalisation : Étienne Gratianette

CRIMES • Histoires Vraies
[INÉDIT] Une meurtrière en blouse blanche : l'affaire Elizabeth Wettlaufer • 2/2

CRIMES • Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 11:54


Elle pousse la porte du palais de justice de Woodstock au Canada. Ses menottes brillent sous les flashs des caméras. Ce lundi 26 juin 2017, Elizabeth Wettlaufer n'est plus une infirmière. Elle est devenue le visage de l'horreur, le nom que l'on murmure dans les couloirs des maisons de retraite, l'ombre d'une nuit d'angoisse. Huit morts. Six autres victimes. Et un aveu glaçant : « Je pensais honnêtement que Dieu voulait se servir de moi. »Le juge Thomas questionne Elizabeth sans détour : « Avez-vous injecté de l'insuline à vos victimes dans l'intention de les tuer ? » Elle répond : « Oui, votre honneur. » Sa voix ne tremble pas. Ce jour-là, elle plaide coupable à huit chefs de meurtre au premier degré, quatre tentatives de meurtre et deux voies de fait graves. Sa reconnaissance de culpabilitéest totale, sans condition.

CRIMES • Histoires Vraies
[INÉDIT] Une meurtrière en blouse blanche : l'affaire Elizabeth Wettlaufer • 1/2

CRIMES • Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Jun 29, 2025 13:31


Elle pousse la porte du palais de justice de Woodstock au Canada. Ses menottes brillent sous les flashs des caméras. Ce lundi 26 juin 2017, Elizabeth Wettlaufer n'est plus une infirmière. Elle est devenue le visage de l'horreur, le nom que l'on murmure dans les couloirs des maisons de retraite, l'ombre d'une nuit d'angoisse. Huit morts. Six autres victimes. Et un aveu glaçant : « Je pensais honnêtement que Dieu voulait se servir de moi. »Tout commence à l'été 2007, dans un établissement banal du sud-ouest de l'Ontario. C'est une nuit d'août, moite et silencieuse, dans les couloirs pâles de la maison de retraite Caressant Care, à Woodstock. L'horloge indique minuit passé. Les résidents dorment. Le silence est total, à peine troublé par le bourdonnement discret d'un néon ou le ronronnement lointain d'un chariot de soins. Dans ce calme feutré, Elizabeth Wettlaufer avance lentement. Elle connaît chaque recoin de cet endroit. Elle est de garde. Infirmière de nuit, c'est elle qui veille.

Débat du jour
Faut-il moderniser l'ONU ?

Débat du jour

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 29:30


C'était il y a 80 ans, le 26 juin 1945 : la signature de la charte des Nations unies, le lancement d'une institution dédiée au maintien de la paix et de la sécurité dans le monde, le développement et la protection des droits humains. Huit décennies plus tard, on peut s'interroger : l'ONU n'a pas réussi à empêcher les nombreux conflits au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine ou encore celle au Soudan. L'organisation est-elle une vieille dame à bout de souffle ? Comment lui redonner du poids, dans un cadre international de plus en plus tendu ? Avec :  - Alexandra Novosseloff, docteur en Sciences politiques, chercheuse associée au Centre Thucydide de l'Université de Paris-Panthéon-Assas - Mathilde Leloup, maîtresse de conférences en Sciences politiques à l'Université Paris 8 et directrice adjointe du Laboratoire Cresppa, spécialiste des organisations internationales notamment dans le domaine de la protection du patrimoine culturel et des acteurs de l'humanitaire. En septembre 2025, son nouveau livre sortira Les idées reçues sur les organisations internationales, éditions Cavalier Bleu - Michel Duclos, diplomate ancien ambassadeur et représentant de la France auprès des Nations unies conseiller spécial géopolitique à l'Institut Montaigne, auteur du livre Diplomatie française, éditions Alpha.

C dans l'air
Iran : les États-Unis se préparent-ils à la guerre ?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 64:35


C dans l'air du 17 juin 2025 - Iran : les États-Unis se préparent-ils à la guerre ?Les Iraniens sont prévenus. Donald Trump "n'est plus d'humeur à négocier" avec Téhéran, a-affirmé le président américain, qui a précipitamment quitté la réunion du G7 en Alberta, lundi, pour rentrer aux Etats-Unis. Personne ne semble en état de prédire ce que préparent les États-Unis, mais les mouvements de troupes américains ne laissent pas présager une accalmie. Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, s'est dérouté en direction du Moyen-Orient, rejoignant les deux autres porte-avions présents dans la zone équipés de batteries anti-missiles. Dimanche, une trentaine d'avions ravitailleurs, principalement des KC-135 et des KC-46, ont quitté les États-Unis, pour se poser dans des bases européennes. Les États-Unis, que les Iraniens accusent déjà de participer à l'offensive israélienne, préparent-ils une attaque directe sur les sites nucléaires iraniens ? Difficile à dire. Les responsables américains restent évasifs : "Nous défendrons les intérêts américains" dans la région, a réaffirmé cette nuit Alex Pfeiffer, directeur de communication adjoint de la Maison Blanche. "Nous sommes en position défensive dans la région, pour être forts, dans la poursuite d'un accord de paix et nous espérons certainement que c'est ce qui se passera", a de son côté assuré le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth. Une chose est sûre, les bombardiers B-2, les seuls capables de transporter les bombes perforantes GBU-57, sont pour l'instant absents de la base américaine de Diego Garcia, dans l'océan indien.Pendant ce temps, l'Iran semble à la merci des frappes israéliennes. Alors que plusieurs fortes détonations ont été entendues à Téhéran ce mardi, le régime des mollahs constate avec horreur qu'une multitude d'agents du Mossad, le renseignement extérieur israélien, a préparé depuis des mois l'offensive en sabotant les batteries de missiles sol-sol, en mettant hors d'état de nuire les systèmes de défense anti-aériens, et en visant spécifiquement des scientifiques du programme nucléaire iranien. Ce mardi, l'agence de presse iranienne IRNA a par ailleurs rapporté sur sa chaîne Telegram qu'une cyberattaque avait eu lieu contre les infrastructures de la banque Sepah. Huit mois après déclenché simultanément et à distance des milliers d'explosions de bipeurs de responsables du Hezbollah au Liban, les services de renseignement israéliens prouvent une fois de plus leur maîtrise tactique. L'État-major israélien a qualifié l'opération "Lion dressé" de "plus grand succès dans la collaboration entre les services de renseignements et l'armée dans toute l'histoire du pays".À l'étranger, la diaspora iranienne s'inquiète. Lundi, plusieurs personnalités iraniennes, dont les Prix Nobel de la paix Narges Mohammadi et Shirin Ebadi, ont appelé dans une tribune au Monde à l'arrêt des hostilités entre les deux pays, tout comme à l'arrêt du programme nucléaire iranien. "Le peuple iranien (…) ne doit pas être sacrifié au nom des ambitions nucléaires et géopolitiques d'un régime autoritaire", écrivent-ils. D'Iran, où Narges Mohammadi a été emprisonnée pendant des années, à Paris où son mari Taghi Rahmani et leurs deux enfants ont trouvé refuge, la famille ne cesse de dénoncer la dictature des mollahs et la répression des femmes en Iran. Aujourd'hui en sécurité à Paris, le journaliste et militant iranien a lui-même passé 14 ans de sa vie en prison et connu la torture et les conséquences de l'isolement prolongé. Depuis Paris, les trois membres de la famille soutiennent leur mère, dont le visage est désormais connu dans le monde entier.Que préparent les États-Unis en déplaçant leurs troupes ? Comment les agents du Mossad ont-ils permis la réussite de l'opération israélienne en Iran ? Et que pense la diaspora iranienne de ce nouveau conflit ?LES EXPERTS :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef, ancienne correspondante à Téhéran - France 24- Piotr SMOLAR (en duplex de Washington) - Correspondant aux Etats-Unis - Le Monde