Arabic and Islamic honorific title
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Everybody Moves Series: Migration Stories from our Community. This weekly series profiles the migration stories of members of our community, whether the migration be their own stories of that of their parents or grandparents, and reminds us that migration touches us all, and teaches us much, because it is a part of the human experience. This week: Cheikh. This series is produced by Moses Nagel and Joanna Dreby. Interested in sharing your story? You can reach us at Joanna.dreby@gmail.com or moses.nagel@gmail.com to schedule a 20-30 minute storytelling session, in person or on zoom.
Today, on the Hudson Mohawk Magazine, Mark Dunlea speaks with Chris Delaney, President of AFGE Local 3343, David Banks of UUP, Seth Cohen, President of the Capital District Area Labor Federation, and Mike Keenan, a PEF Retiree on the recent Federal Unionists Network to protest federal job cuts. Then, Joanna Dreby and Moses Nagel bring us their weekly piece on migration stories from folks in our community. This week we hear from Cheikh, who grew up in Senegal and is now a professor at Union College. After that, Retired National Weather Service meteorologist Hugh Johson joins us for our weekly look at climate and his weather forecast. Later on, Khin Naing talks to two people who are a part of the upcoming Anastasia performance at Troy High School. Finally, maple syrup season is in full swing in upstate NY, so we take you to a small maple syrup operation. Co-hosts: Lennox Apudo & Brea Barthel Engineer: Jalaya Reid
Al-Adab Al Mardih, Ay téginn yu ñu gërëm
Ndax Sëriñ bi jóge na fi ?
Mawlaya Seydi Mouhamed ElCheikh
Se préparer pour Ramadan en rectifiant sa foi et en se repentant - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Nesta quinta-feira (13/02) no programa 20 Minutos, recebemos Badra El Cheikh para discutir uma questão polêmica: "Trump quer Gaza para quê?". Em uma entrevista profunda e crítica, Badra analisa as recentes declarações e ações do ex-presidente dos EUA, Donald Trump, em relação ao conflito entre Israel e Palestina, e o que estaria por trás de seu interesse na região de Gaza.Badra El Cheikh explora como a política externa de Trump, marcada por alinhamentos incondicionais com o governo israelense, pode estar ligada a interesses estratégicos e econômicos, como a exploração de recursos naturais no Mediterrâneo Oriental e a consolidação de alianças geopolíticas. Ela também discute o impacto dessas ações sobre a população palestina, que já sofre com décadas de ocupação, bloqueio econômico e violações de direitos humanos.
Two amazing fighters coming into their own, Freddy Vidal & Cheikh Gueye, came to the studio in the midst of training to be some of the best fighters in the world. Both men are extremely kind human beings and I'm lucky to call them friends. Check out this chill and informal conversation with two bright up and coming MMA stars. Follow them on IG @Soo_Amazing and @Sheck_Gueye
Les particularités du mois de Shaban - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
“L'Africa a testa alta di Cheikh Anta Diop” di Jean-Marc Ela, un saggio su una delle più grandi menti della decolonizzazione e della rinascita africanaTi piacerebbe una serie ad hoc su questo libro? Fammelo sapere nel canale Telegram di Medio Oriente e DintorniIscriviti al canale Telegram per guardare tutta la lista di tutti gli eventi (ad oggi) confermati ed avvisatemi se ne conoscete altri Mentre qui trovate tutti i link di Medio Oriente e Dintorni: Linktree, ma, andando un po' nel dettaglio: -Tutti gli aggiornamenti sulla pagina instagram @medioorienteedintorni -Per articoli visitate il sito https://mediorientedintorni.com/ trovate anche la "versione articolo" di questo podcast. - Qui il link al canale Youtube- Podcast su tutte le principali piattaforme in Italia e del mondo-Vuoi tutte le uscite in tempo reale? Iscriviti al gruppo Telegram: https://t.me/mediorientedintorniOgni like, condivisione o supporto è ben accetto e mi aiuta a dedicarmi sempre di più alla mia passione: raccontare il Medio Oriente ed il "mondo islamico"
Cheikh Niasse è il nuovo numero 10 dell'Hellas Verona, anche se del 10 classico ha molto poco: ne parlano in questo episodio Tommaso Murdocca ed Enrico Zambruno.Potrero, dove tutto ha inizio. Un podcast sul calcio italiano e internazionale.Su Mola powered by Como TV (https://tv.comofootball.com) nel 2025 potrete seguire in diretta ed in esclusiva le partite della Copa Libertadores, Copa Sudamericana, Recopa, Liga Profesional Argentina, Copa de la Liga Profesional Argentina, Brasileirao, Eredivisie, HNL croata, Super League greca e Coppa di Grecia.Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/potrero--5761582/support.
Règles et dispositions pour une vie sociale stable - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Réconciliation entre les parties - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Entre les opprimés et les tyrans - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Les catégories de personnes mentionnées dans le coran - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Se détourner d'Allah et de Ses signes - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Le mépris de l'intelligence des autres - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Défis de développement en l'Afrique : les solutions de Cheikh Amadou Bamba - par Seydina Omar Ba
Le statut de qualification de leadership en islam - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Un cœur sain : ses caractéristiques et ses causes - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Dans le cadre de Adab – Festival des littératures contemporaines du Maghreb et du Moyen-Orient, organisé par l'iReMMO L'Eden à l'aube, c'est l'amour fou de Gabriel et d'Isaac dans une Palestine ardue, baroque et fabuleuse. Tandis qu'un étrange vent de sable envahit le pays, Gabriel et Isaac s'aiment, se perdent et se retrouvent, puis décident de partir en vacances… un projet fou dans ce pays morcelé. De Jérusalem à Jéricho, puis au mystérieux village où l'on oublie de mourir jusqu'aux piscines de Salomon, c'est une aventure amoureuse, une recherche de lumière et de liberté. Karim Kattan, écrivain palestinien né à Jérusalem en 1989 et élevé à Bethléem, est multilingue et publie en français et en anglais. Il est docteur en littérature comparée. Kattan explore une littérature hybride, conjuguant oralité, culture classique, réalisme et merveilleux. Les espaces sont fragiles, recueil de scènes et de souvenirs de vie de l'auteure en Cisjordanie et à Gaza, dans les décennies 2000 et 2010. De courts chapitres documentent des paysages en voie de disparition ainsi que la vie quotidienne des habitants. L'auteure capture la complexité des lieux et des gens qu'elle a rencontrés, en révélant les réalités politiques sous-jacentes. Stéphanie Dujols est traductrice et interprète, spécialisée en littérature arabe contemporaine. Depuis plus de trente ans, elle traduit des écrivains arabophones, essentiellement du Proche-Orient, tels Hanan el-Cheikh, Adania Shibli, et Moustafa Khalifé. Elle a enseigné le français à l'université de Naplouse et a été interprète pour des organisations humanitaires. À lire – Karim Kattan, L'Eden à l'aube, Elyzad, 2024 – Stéphanie Dujols, Les espaces sont fragiles. Carnets de Cisjordanie Palestine 1998-2019, Actes Sud, 2024
Le Quran est une guérison de ce qui est dans les poitrines - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
La Miséricorde d'Allah envers ses serviteurs - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
J'aimerai savoir qui est le Cheikh Albâni car là où je réside en Europe j'ai entendu quelqu'un dire que c'était un horloger lisait un livre et critiquait certaines confréries ; les saoudiens l'ont remarqué et ont fait une publicité autour de son travail et c'est à partir de là que les gens l'ont considéré comme un savant.
Ce que Allah a promis à ses fidèles serviteurs - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
La bonne nouvelle d'Allah à ses fidèles serviteurs - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
La surveillance d'Allah sur Ses serviteurs - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Qui va gagner la nuit prochaine aux États-Unis ? Kamala Harris ou Donald Trump ? La bataille est beaucoup suivie aussi en Afrique. Cheikh Tidiane Gadio connait bien l'Amérique du Nord. Il est diplômé de l'Université d'État de l'Ohio. Puis, il est rentré au Sénégal, où il est devenu ministre des Affaires étrangères sans discontinuer pendant neuf ans et demi, de 2000 à 2009. Un record national ! Aujourd'hui, il préside l'IPS, l'Institut panafricain de stratégie, en charge de la paix, de la sécurité et de la gouvernance. En ligne de Dakar, il confie ses espoirs et ses craintes au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Quel bilan faites-vous de la politique africaine du président Biden ? Cheikh Tidiane Gadio : Je crois que Biden a quand même réussi certaines choses qui ont été très, très positives pour l'Afrique. Un des grands problèmes que l'Afrique avait avec des dirigeants américains, c'est qu'en général, ils ne s'intéressaient pas trop à l'Afrique. Il y a eu quelques ruptures. George Bush, qui est républicain, avait lancé le MCA [Millennium Challenge Account, NDLR] et avait montré un intérêt réel pour un nouveau partenariat avec l'Afrique. Mais ce que Biden a réalisé, à mon avis, est allé beaucoup plus loin. Il a, par exemple, ramené [en décembre 2022 à Washington] le sommet États-Unis - Afrique qu'Obama avait instauré. Ensuite, il s'est battu récemment pour que l'Afrique soit dotée d'un siège permanent au Conseil de sécurité, mais sans droit de veto, ce qui est absolument à discuter, bien sûr. Globalement, je crois que c'est un grand homme d'État qui a vraiment le sens du service à son pays et un peu à l'humanité. Je trouve qu'il a beaucoup d'empathie aussi, et je pense qu'il est antiraciste. Il a eu une excellente collaboration avec Obama et ensuite, il a une bonne collaboration avec Kamala Harris. Donc, au total, il a beaucoup aidé l'Afrique. À lire aussiSommet États-Unis/Afrique: Joe Biden acte le retour diplomatique des États-Unis sur le continentSur le plan sécuritaire, les effectifs militaires américains en Afrique sont tombés de 5 000 soldats en 2017 à 1 500 soldats aujourd'hui. Est-ce que c'est parce que les Américains veulent partir ou parce que les Africains ne veulent plus des Américains ?Alors, paradoxalement, je ne crois pas que ce soient les Africains qui ne veulent plus des Américains. Mais les Africains veulent une forme de coopération beaucoup plus affirmée, beaucoup plus présente et réelle en matière de renseignement, d'intelligence, d'équipements en satellites par exemple, de surveillance des mouvements des jihadistes et autres. Beaucoup de choses sur lesquelles les Africains ont exprimé beaucoup d'intérêt et de besoin et ils n'ont malheureusement pas eu de réponse favorable. Et effectivement, il y a le grand débat maintenant sur la présence de l'Occident en Afrique, mais je ne crois pas que les États-Unis soient particulièrement ciblés. Ce qui se passe avec la France, l'Union européenne et tout ça, c'est lié quand même à un passé assez spécial qui n'est pas le même que les relations qu'on a eues avec les Américains.Au Niger, après le putsch de juillet 2023, les Américains ont espéré pouvoir conserver leurs bases militaires, à la différence des Français, mais finalement, au mois de mars dernier, ils ont été chassés eux aussi. Est-ce le signe que leur offre sécuritaire n'est pas aussi concurrentielle que celle des Russes ? Absolument. Je pense que les Russes sont tombés à un moment, en Afrique, où ce que j'appelle le populisme et certaines formes de souverainisme ont amené un certain nombre de nouvelles politiques. Et les Russes ont su en profiter. Mais pour moi, l'Afrique ne doit pas chercher, disons, entre guillemets, à rompre avec l'ancienne tutelle parce qu'on a négocié une nouvelle tutelle, ce n'est pas bon pour l'Afrique. Et j'espère que les Africains vont se ressaisir de ce point de vue. Donc, pour les Américains, comme vous le savez, Africom, les différentes initiatives qu'ils ont en matière de sécurité, ce n'est pas très inclusif. Ils contrôlent à peu près tout. Moi, j'ai des informations sur leurs relations avec le Nigeria dans la lutte contre Boko Haram, c'était assez distant, c'étaient des conseils. Très peu de matériel ou de financements. Mais l'engagement qu'on pouvait attendre des États-Unis en tant que puissance mondiale qui a subi de lourdes pertes à cause du terrorisme et qui a une coalition mondiale de plus de 60 pays, cet engagement, on ne l'a pas franchement vu en Afrique, et ça, je crois, c'est une brèche ouverte dans laquelle les Russes se sont engouffrés.À lire aussiLes États-Unis font le point sur leur stratégie militaire en Afrique de l'OuestVous ne voyez pas d'autres pays d'Afrique de l'Ouest sur lesquels les Américains pourraient s'appuyer sur le plan sécuritaire, comme le Nigeria, le Ghana ou la Côte d'Ivoire ?Et même le Sénégal, hein. Il y a des formes de coopération sur lesquelles les Américains ne font pas beaucoup de publicité, mais il y a quand même une certaine proximité. Je sais qu'ils travaillent beaucoup avec le Nigeria parce que c'est la puissance non seulement de l'Afrique de l'Ouest, mais peut-être la puissance continentale la plus importante. Et le Nigeria vit une situation extrêmement dramatique avec Boko Haram - 40 000 morts, c'est quand même beaucoup -, et cette organisation reste très active. L'État islamique reste très actif aussi. Le Ghana, bien entendu, a toujours été un pays partenaire des États-Unis. La Côte d'Ivoire intéresse les Américains aussi bien au plan économique qu'au plan sécuritaire. Et le Sénégal aussi, bien entendu, est un pays qui est généralement visé par l'Amérique comme étant un pays modèle, surtout en matière de démocratie et autres.Et vous pensez que les relations entre les États-Unis et le Sénégal vont continuer sur le plan sécuritaire malgré l'arrivée du Pastef au pouvoir à Dakar ?Ça, c'est effectivement une grande question. Le Pastef se réclame du souverainisme dans lequel ils sont en train de mettre un contenu. Donc, je crois que tous les partenaires traditionnels sont à l'affût, essayent de comprendre pour bâtir une nouvelle relation. Vous savez, en diplomatie, comme disait l'autre, l'ambiguïté constructive est une bonne chose, ce qui gêne, c'est quand vous n'êtes pas prévisible, quand on n'arrive pas à prédire un peu l'avenir immédiat. Et c'est ce qui arrive avec monsieur Trump justement, qui n'est vraiment pas prévisible du tout. Et je pense que ça va être un problème dans ses relations avec l'Afrique.Comment voyez-vous l'avenir des relations États-Unis-Afrique, selon que c'est Kamala Harris ou Donald Trump qui gagnera demain ?Alors si c'est Kamala Harris, j'ai beaucoup d'espoir que ça va se passer beaucoup mieux que si c'est Donald Trump. Les raisons sont simples, moi, je suis un Africain panafricainiste, qui ne compte pas sur les États-Unis ou sur l'Europe ou sur l'Asie pour le renouveau de l'Afrique ou pour la Renaissance africaine. Pas du tout, par contre, j'ai toujours pensé que, par exemple, le cas d'Obama est un grand malentendu. Beaucoup d'Africains se sont mis à rêver, à espérer qu'Obama fasse de grandes choses pour l'Afrique. Je disais qu'Obama n'est pas élu pour servir l'Afrique, il est élu pour servir les États-Unis. Donc, Kamala fera la même chose. Son pays sera absolument prioritaire pour elle. Par contre, Trump s'est déjà manifesté par des comportements, par rapport à l'Afrique, absolument incroyables. Les insultes contre les Haïtiens, les Haïtiens sont un symbole pour tous les Africains, pour tous les panafricanistes. C'est vraiment un pays fondateur de la reconquête de notre dignité en tant que noir et africain. Donc, les traiter de mangeurs de chiens, de chats domestiques, et cetera, c'est extrêmement grave, et je pense qu'il sait que ce qu'il dit n'est pas vrai, mais c'est important pour lui pour des raisons populistes et des raisons de campagne. Et ensuite, il a fait une affirmation absolument extraordinaire que Kamala Harris allait au Venezuela et au Congo récupérer les pires prisonniers les plus sanguinaires pour les importer aux États-Unis pour détruire leur pays. Alors, ce genre de propos, quelqu'un ne peut les tenir et avoir de très bonnes relations avec nous. Et ses allusions au quotient intellectuel très bas de Kamala, ça remonte à l'anthropologie coloniale raciste contre les Noirs. Il y a tellement des textes qui ont été écrits sur le fait que nous aurions un quotient intellectuel très, très bas, et cetera, ce qui est absolument faux. Voilà, en gros, le fait que je n'ai pas beaucoup d'espoir que, si Trump triomphe, les relations soient réchauffées et aillent dans la bonne direction. Et la bataille, par exemple, pour le siège de membre permanent au Conseil de sécurité, dirigée un peu par Joe Biden, est-ce que Kamala va reprendre ça ? Sans aucun doute. Mais je ne suis pas sûr que Trump soit intéressé par cela. Il ne mentionne quasiment jamais l'Afrique dans ses discours. Et voilà. Et, si c'est le cas, s'il gagne, certains Africains disent que c'est une bonne chose, qu'il s'occupe de ses affaires, et nous, on s'occupe de nos affaires, et la vie est belle pour tout le monde. Et donc, les expectations…À lire aussi«Mangeurs de chats ou d'oiseaux»: la rumeur infondée d'une campagne trumpiste anti-migrants haïtiensLes attentes...Les attentes par rapport à Trump, c'est que tout le monde retient son souffle, c'est une sorte d'angoisse mondiale, de stress mondial. Les gens se posent beaucoup de questions sur ce qu'il va faire s'il retourne au pouvoir, ce qui est possible. Mais beaucoup de gens que je connais souhaitent que ce soit plutôt Kamala, une femme leader. Et donc, nous, les hommes féministes, on est tout à fait en phase avec elle, on lui souhaite bon vent.L'une des hantises des Américains, c'est l'installation à venir d'une base navale chinoise sur la façade atlantique du continent africain. Est-ce que vous pensez que Donald Trump et Kamala Harris partagent cette inquiétude ? Forcément. Du temps d'Obama, de l'administration Obama, j'en avais parlé avec des amis d'un tel dispositif. En leur disant que vous avez décidé de faire ce que vous appelez un pivot, un pivot pour aller vers l'océan Pacifique, et vous dites que c'est là-bas où va se jouer les grandes stratégies géopolitiques et autres du monde avec la Chine, l'Australie, le Japon, et cetera, la Corée. Maintenant que vous avez décidé cela, vous allez abandonner l'Atlantique, et là nous pensons que vous faites une grande erreur parce que l'Atlantique sera toujours très, très important, parce qu'il borde l'Europe et l'Afrique qui ne sont pas quand même rien dans la géopolitique mondiale. Donc, je pense que c'était une erreur de leur part de tourner le regard ailleurs que vers l'Afrique. Et là, si un pays africain s'apprête à accueillir une base chinoise, dans ce cas, je me pose toujours la même question : quel est l'objectif de ce pays ? Est-ce que ce pays est prêt ou a compris que la défense de l'Afrique, la façon d'aider l'Afrique à relever les défis sécuritaires, elle sera entre Africains et que ce soient les Africains eux-mêmes qui vont prendre leur destin en main et défendre le continent ?
Colorado-bred, LA-based keyboardist Lao Tizer embodies what it means to be a 21st-century musician inhabiting the jazz sphere ¾ that being one who embraces musical diversity and has no fear of crossing boundaries. But Tizer also happens to come by this naturally. As the self-described “child of East Coast Jewish hippies,” he was exposed to and was influenced by his parents' extensive musical tastes from a young age: “My dad had a huge music collection. He loved classical music and had all this world music ¾ Ravi Shankar, R. Carlos Nakai, music of the Sufis ¾ plus my parents were boomers, so that brought in all the Buddy Holly, Sam Cooke, Elvis, Janis Joplin, and Motown. The Temptations were my favorite band as a kid. So, I basically grew up with everything but jazz, which I didn't really discover until I was about 16.” It was a couple of seemingly random selections from the Columbia House mail-order club that turned him toward a new and lasting musical direction. ”It was buy one, get twelve free, right? So I ordered Miles Davis's Kind of Blue and Miles & Quincy Live at Montreux. Then one Sunday morning, it all just kind of hit me. To a lot of people trained in the classical tradition, jazz sounds like it breaks all kinds of rules, but I just heard there was a whole other world to explore there.” From there, Tizer hit the ground running, applying his classical piano skills to jazz and releasing his first self-produced solo keyboard albums while still in high school. After graduating from Boulder High, Tizer moved to LA and studied with legendary piano guru Terry Trotter for about two years, forgoing formal music education. “Instead of going to music school, I just got my butt kicked on the bandstand. I was always working with musicians who were older and more experienced. School's great but there's no better way to grow than playing with people who are going to push you to grow. I was so green, man. Learning to play in a band concept ¾ playing in good time with a rhythm section–was one of the most challenging things, coming from being a solo pianist.” But his approach and talents served him well. At 19, he formed and led the first band under his own name, taking indirect inspiration from another iconic jazz entity. “When I got into listening to The Pat Metheny Group in the late ‘90s, they had that “formula” that definitely spoke to me ¾ great, through-composed music with a lot of room for improvisation. That's the formula that I love” In the ensuing years and through various incarnations, The Lao Tizer Band has flown by that directional compass while infusing the bespoke influences and experiences that inform Tizer's musical worldview. Subsequently, the band attracted many top players to its ranks ¾ GRAMMY-winning saxophonist Eric Marienthal (Chick Corea), Emmy-winning guitarist Chieli Minucci (Special EFX), Senegalese bassist Cheikh N'Doye (Baaba Maal), violinist extraordinaire Karen Briggs (Stanley Clarke), GRAMMY-winning drum phenom Gene Coye (Hiromi) and legendary GRAMMY-winning percussionist Munyungo Jackson (Stevie Wonder) ¾ and became a steady presence at LA hotspots like The Baked Potato as well as entertaining audiences at premier jazz festivals around the world. Milestones among these were The Hollywood Bowl Jazz Festival, Cape Town Jazz Festival, Java Jazz Festival, and Atlanta Jazz Festival. The six albums he has released as a leader have seen Tizer steadily grow while constantly defining (and redefining) who he is as a keyboardist, composer, and bandleader. “I think the most important thing as an artist and composer is to have your own identity and your own sound. Everybody comes to where they are in music through whatever path they have followed and I think staying true to what brought you to where you are now helps to create your own true voice. I think I have always had that.” But not content to rest, Tizer recently decided to take another bold turn with his music. In 2018, The Lao Tizer Band released Songs From The Swinghouse, a project that included fresh, sophisticated takes on a number of vocal-oriented covers from seminal artists such as U2, Led Zeppelin, and Cat Stevens along with a collection of seven original instrumentals penned by Tizer. The album was released to critical acclaim and notched the Top 10 on the Billboard Contemporary Jazz album chart. “We were always only instrumental until that record. The concept was to reinvent covers like ‘Ramble On,' ‘Pride in the Name of Love,' and ‘Sad Lisa.' I had never arranged or recorded any vocal material with my group before, so to take those tunes and make them our own was really fun.” Now, with his forthcoming album, Amplify, Tizer ups the ante by bringing original vocal-oriented songs into his mix of smart instrumentals ¾ as well as a few potent new additions to the band. “A big part of the concept for Amplify is to cross over. It's not really a “jazz” record but it definitely has jazz elements, no question. The band still features the core lineup we've had for a while now with Eric, Chieli, Karen, Munyungo, Gene, and Cheikh, but now there are a few new faces involved in the group. Namely saxophone and flute wunderkind Danny Janklow (MONKestra) and Rolling Stone 2022 ”Bassist of the Year” nominee Anthony Crawford (Erykah Badu), who shares low-end duties with Cheikh. We augmented our already large band with a horn section and background singers on a few songs as well. The album is nine songs ¾ five vocal, four instrumental ¾ all original, no covers.” But perhaps Tizer's most intriguing choice of secret weapon for Amplify is bringing American Idol star Elliott Yamin to handle the vocal material. “Elliott's first album had that platinum hit single “Wait For You.” He's very much a throwback to a blue-eyed soul kind of vibe and it was amazing to be able to bring him into the band. This project was a little outside his stylistic wheelhouse because it is a bit more adventurous harmonically. I think he was a little intimidated by the music early on but he's such a remarkably gifted singer and he's just singing his butt off. He's turned out to be unbelievable in this project and the band. He's super gung-ho about it too, which is great. I couldn't have asked for a better fit!” With these continuing steps over boundaries into new stylistic territory, one might wonder if Tizer has any trepidation about alienating the core base of jazz listeners he's built up over time. Quite the contrary, it seems. “I love that longstanding boundaries in music are getting broken down. Artists like Snarky Puppy, Robert Glasper, and Kamasi Washington have proven this theory that I've long held: If you have music that's melodic and grooves, you can win over a very broad array of listeners.” Indeed, Tizer testifies to having seen the evidence firsthand. “There's been a really cool renaissance and rebirth with all these genre-defying artists and I've seen a shift in the crowd at our shows too. There's a lot of 20 and 30-somethings coming out, and that's so cool. That's what the future audience is going to be. If we want to have long careers like our predecessors, we need to have our peers and younger listeners connect to this music and follow it.” With eyes set on the future and a willingness to keep exploring, Tizer's simplest ethos perhaps sums it up best: “I say forget the boundaries. Just make good music and try to connect with as many listeners as you can.
La présence d'Allah auprès de Ses serviteurs par Sa science - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Allah s'est engagé à pourvoir à la subsistance de Ses serviteurs - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
La Miséricorde d'Allah envers ses serviteurs - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Rencontre avec Cheikh Fall, consultant numérique et fondateur d'Africtivistes. Avec lui, on revient sur l'évolution d'Internet en Afrique francophone ces dernières années et sur la tenue de la conférence FIFAfrica 2024 à Dakar récemment. Il souligne les progrès de la démocratie numérique et de la gouvernance en ligne depuis 2015, mais dénonce les tentatives répressives des gouvernements face à la liberté d'expression en ligne. L'événement FIFAfrica 2024 à Dakar marque un tournant pour l'Afrique francophone, mettant en lumière les enjeux de l'Internet et de l'intelligence artificielle sur le continent. Le consultant numérique appelle à plus de soutien politique pour exploiter pleinement ces technologies.
Secours de Dieu à Ses serviteurs croyants - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
La suffisance d'Allah le Très-Haut pour Ses serviteurs - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Intervention d'Eric Geoffroy le 22 septembre 2024. Il nous livre "Jaillissement - Les commentaires du Coran par le Cheikh Ahmad al-'Alâwî," d'après le titre de son dernier ouvrage à paraître dans une quinzaine de jours chez Albouraq. Le cheikh algérien Ahmad al-‘Alâwî (m. 1934) est un autodidacte au génie spirituel précoce. Il a écrit dans de nombreux domaines de la science islamique, y compris exotérique (théologie, droit…). Mais ce sont ses textes portant un enseignement ésotérique et initiatique qui nous parlent le plus aujourd'hui. D'évidence, le cheikh a bénéficié d'une « ouverture spirituelle » (fath) concernant la compréhension du Coran, à en juger par l'omniprésence des références coraniques qui nourrissent ses poèmes comme ses textes en prose. Il vivait le Livre comme une réalité incarnée en lui, ce dont témoignent ses commentaires. Islamologue et spécialiste du soufisme, Éric Geoffroy est l'auteur d'une douzaine d'ouvrages, dont plusieurs sont traduits en différentes langues. Il est membre de l'Académie Arabe du Caire, et président de l'association Conscience Soufie. Pour plus d'informations : https://www.eric-geoffroy.net/ses-ouvrages/ Pour plus d'informations visitez notre site: https://consciencesoufie.com/
Mawlaya Seydi Mouhamed ElCheikh
Parmi les signes d'obéissance au prophète - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Les signes de l'amour au prophète - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Mise en garde contre le fait d'être trompé par une fausse sécurité en Allah - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Centenaire du rappel à Dieu de Cheikh A. Bamba: Documentaire sur la biographie du Cheikh
Les bienfaits des dix premiers jours de Dhul-Hijjah - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
THIS WEEK's BIRDS: Ava Mendoza & Dave Sewelson; Fay Victor & Herbie Nichols SUNG; Herbie Nichols himself, w/ trio; Mal Waldron w. Steve Lacy; Romanian song from Dona Dumitru Siminica, as well as Dumitru Ridescu & Mituța Ridescu; Balkan music from Ilieve Glogovac Vaska and Ivo Popasov; Anthony Braxton's #296 (w/ quintet;) Algerian cha'abi from Amar el Achab, Cheikh el Hasnaoui, Dahmane el Harrache; Lebanese song from Ziyad Al Rahbani; Liba Villavecchia Trio w. Luis Vicente; Antillean flute from Max Cilla; Cecil Taylor's Orchestra of Two Continents; Rumbavana (from Cuba) as well as Santeria/ Rumba from Martha Galarraga and others; and of course, much, much more!!!! Catch the BIRDS live on Friday nights, 9:00pm-MIDNIGHT (EST), in Central New York on WRFI, 88.1 FM Ithaca/ 88.5 FM Odessa;. and WORLDWIDE online via our MUSIC PLAYER at WRFI.ORG. 24/7 via PODBEAN: https://conferenceofthebirds.podbean.com/ via iTUNES: https://podcasts.apple.com/us/podcast/conference-of-the-birds-podcast/id478688580 Also available at podomatic, Internet Archive, podtail, iheart Radio, and elsewhere. Always FREE of charge to listen to the radio program and free also to stream, download, and subscribe to the podcast online: PLAYLIST at SPINITRON: https://spinitron.com/WRFI/pl/18952193/Conference-of-the-Birds and via the Conference of the Birds page at https://www.facebook.com/groups/conferenceofthebirds/?ref=bookmarks FIND WRFI on Radio Garden: http://radio.garden/visit/ithaca-ny/aqh8OGBR Contact: confbirds@gmail.com
Fuyez vers Allah - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
"Fondement du projet de société de Cheikh Ahmadou Bamba" par Abdallah FAHMI --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/librairie-majalis/message
"Fondement du projet de société de Cheikh Ahmadou Bamba" Commentaire S. Khadim Thiam --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/librairie-majalis/message
“Development is all about leadership. You can get all the resources in the world, you can get all the best human capital… but if the leadership is not there you can't make the best of the resources you have and eventually move your country forward.”Ibrahima Cheikh Diong is UN-Assistant Secretary General and Director General of the African Union specialized agency “the African Risk Capacity Group” or ARC, which works with governments to help them deal with climate related disasters.But in a varied career, he's also been a member of the Senegalese government and worked for the World Bank, as a senior banker and in management consultancy. And he even speaks Mandarin as well as French and English thanks to his student days in China.But he says if he had to best describe himself he'd say he was ‘an African who cares about Africa and wants to make a difference in Africa'. This is Alan's second conversation with people included – like himself – in New African Magazine's 100 Influential Africans list for this year.
Waxtaanu Sëriñ Afiya Ñang, ci "Yarug ruuh ci njàngalem Sëriñ Tuubaa (L'Éducation Spirituelle dans l'Enseignements de Cheikh A. Bamba)" Tuubaa, 4 avril 2024 --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/librairie-majalis/message
Top Chef c'est LE concours qui consacre les étoiles montantes/ futurs stars de la gastronomie française, cette année ils fêtent leurs 15 ans ! À cette occasion je vous propose de revenir chaque semaine sur le parcours de candidats emblématiques des saisons précédentes ou de découvrir les candidats les plus prometteurs de cette saison dans la spéciale Top chef d'InPower, Tous les jeudis sur la chaîne youtube InPower à 18h. Cette semaine, je reçois un des grands gagnants de ces dernières éditions : il s'agit de Mohamed Cheikh. Il a surpris tout le monde dans la saison 12 de l'émission et a su s'imposer par sa créativité et son univers. Aujourd'hui il est chef nomade et nous raconte l'après Top Chef, ses projets et les dessous du tournage : bonne écoute ! Retrouvez Top Chef sur M6 tous les mercredis à 21h10.Chapitres : 00:00 Présentation 01:13 Parcours et découverte de la cuisine08:00 Exigences du métier 09:11 Expérience en palace11:08 L'aventure Top Chef 19:39 Le meilleur conseil 23:33 Projet de restaurant 25:53 Le rapport à la réussite 26:45 Gagner Top Chef29:44 Questionnaire de Proust 30:36 Dégustation à l'aveugle Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.