POPULARITY
durée : 00:15:06 - Journal de 18h - Le Rassemblement national et ses alliés d'extrême droite sont soupçonnés de nouvelles irrégularités financières. On parle de plus de 4,3 millions d'euros, chiffre tiré d'un rapport interne du Parlement européen révélé récemment par plusieurs médias.
La semaine a été marquée pour François Bayrou par une nouvelle épreuve. Le Premier ministre a affronté sa huitième motion de censure. Le Rassemblement national n'a pas joint ses voix à celles de la gauche et a donc offert un sursis au chef du gouvernement que celui-ci va mettre à profit pour continuer à préparer le prochain budget. Pour le moment, on ne sait pas grand chose sur la méthode de François Bayrou pour économiser 40 milliards d'euros... Le Premier ministre fait tout pour ménager le suspense. Quelques ballons d'essai ont bien été lancés comme l'idée d'une année blanche c'est-à-dire du gel des dépenses pendant un an sans que l'on sache vraiment si elle sera retenue ou pas, et si ceux qui en ont parlé étaient missionnés pour le faire. Une ministre en doute d'ailleurs et explique que le chef du gouvernement a demandé qu'on évite de mettre des sujets dans l'atmosphère car, à chaque fois, « ça part en cacahuète ». D'ailleurs, François Bayrou ne dit pas grand-chose des arbitrages qu'il envisage, même aux membres de son gouvernement. Du côté de Bercy, un ministre explique que peu d'informations circulent avec une formule imagée : « Je ne vois pas grand-chose de la machinerie ». Autrement dit c'est le grand flou du point de vue de ceux qui critiquent le Premier ministre, le grand mystère pour tout le monde. Pourquoi autant de précaution ? Ne pas dire quelles dépenses vont être réduites, quelles catégories vont être touchées, cela évite une levée de bouclier préventive de ceux qui se sentiraient menacés et voudraient faire pression avant que le couperet tombe. François Bayrou veut échapper aux protestations catégorielles anticipées. Il a d'ailleurs fait passer le message que tous les Français participeront à l'effort, toute la question étant dans le comment. François Bayrou joue-t-il sa survie sur le budget ? Lui qui avait présenté les « urgences » qui l'attendaient à son arrivée à Matignon comme « l'Himalaya », va attaquer avec le budget l'ascension de l'Everest, le plus grand sommet de la chaine. Le Premier ministre sait qu'il est attendu au tournant par ses alliés du socle commun, les LR qui refusent toute hausse d'impôts, par le RN qui multiplie les lignes rouges et le menace de censure. Une pression face à laquelle François Bayrou semble serein. Une ministre le compare à « tracteur puissant et lent » qui a « le calme des vieilles troupes ». Calme mais néanmoins prudent. François Bayrou va présenter son plan budgétaire le 15 juillet, après la fin de la session parlementaire, quand la censure n'est plus possible, au moment des vacances, pour laisser aux Français le temps de digérer la potion amère pendant l'été. À lire aussiFrance: François Bayrou évoque la possibilité d'un référendum sur les déficits
La motion de censure déposée par le PS après l'échec du conclave a échoué. Le Rassemblement national n'a pas censuré le Premier ministre et lui offre quelques semaines de répit. François Bayrou se retrouve donc dans la main de l'extrême droite qui continue de faire planer la menace d'une censure sur le budget à l'automne. Roselyne Febvre en parle avec David Revault-d'Allonnes et Pierre Jacquemain.
durée : 00:08:57 - Journal de 18h - C'est un revers majuscule pour Rachida Dati. Les députés ont rejeté à une large majorité son projet de loi visant à créer une holding de l'audiovisuel public. Le Rassemblement national a déjoué les pronostics en votant avec la gauche contre la ministre de la Culture.
durée : 00:08:57 - Journal de 18h - C'est un revers majuscule pour Rachida Dati. Les députés ont rejeté à une large majorité son projet de loi visant à créer une holding de l'audiovisuel public. Le Rassemblement national a déjoué les pronostics en votant avec la gauche contre la ministre de la Culture.
durée : 00:02:25 - La politique avec - Marine Le Pen et Éric Ciotti célèbrent samedi l'anniversaire de leur alliance politique. C'était juste après la dissolution. Le Rassemblement national n'est pourtant pas un spécialiste quand il s'agit de s'engager avec des personnalités extérieures. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Rassemblement national veut apparaître plus sérieux sur les questions économiques. Il vient de lancer une vingtaine de groupes de travail pour ajuster son programme et soigner son image de crédibilité. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Rassemblement national relance une réflexion sur la gestion des finances publiques et se dit favorable à une « règle d'or » pour limiter les déficits en interdisant le recours à l'endettement pour les dépenses de fonctionnement. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Rassemblement national a fait part d'une réflexion interne sur une règle d'or budgétaire visant à atteindre les 3 % de déficit public. Ruth Elkrief évoque une forme de volonté de poursuivre la dédiabolisation du parti. Le RN engage un revirement stratégique, mais en même temps, il a du mal à en assumer les conséquences. Pour Ruth, il reste encore un effort à faire. Avec un salaire de base annuel de 1,8 million de dollars, le salaire du nouveau patron de Stellantis, Antonio Filosa, génère des controverses. Pascal Perri soutient qu'il mérite son salaire. D'après lui, le chiffre d'affaires à 157 milliards d'euros et la profitabilité de Stellantis sont largement élevés. L'ancienne présidente de l'Argentine, Cristina Fernández de Kirchner, 72 ans, a été condamnée à six ans de prison et à l'inéligibilité à vie. Abnousse Shalmani se réjouit de la fin du Péronisme, qui a fait tant de mal à l'Argentine. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Doukhan apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:32 - Le Rassemblement des patriotes dans le Loiret
C dans l'air l'invitée du 7 mai 2025 : Blanche Leridon est directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles.Une récente étude Ifop pour l'observatoire Hexagone révélait que les intentions de vote pour la présidentielle 2027 montrent que le Rassemblement national reste puissant malgré la condamnation de sa cheffe de file. Le Rassemblement national confirme son leadership au premier tour quel que soit son représentant. Au second, Marine Le Pen et Jordan Bardella semblent, selon l'étude, très haut, au point d'être en mesure de l'emporter dans de nombreux scénarios. Sauf face à Edouard Philippe, qui ferait jeu égal avec Jordan Bardella, mais l'emporterait de peu face à Marine Le Pen.Un autre sondage, cette fois de l'institut Odoxa-Backbone consulting pour Le Figaro, analyse révèle les attentes à deux ans de l'élection présidentielle. Une majorité de Français (58%) n'ont toujours pas de candidat idéal. Un même pourcentage trouverait "une bonne idée" d'avoir des candidatures de personnalités hors des partis traditionnels. Des personnalités ont récemment émergé dans l'opinion, comme Michel-Edouard Leclerc, ou Cyril Hanouna. De quoi ces hypothèses "hors système" sont-elles le nom ? Notre invitée, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles, répondra à nos questions.
L'émission 28 minutes du 08/05/2025 Le scrutin proportionnel peut-il revitaliser la démocratie française ?Mercredi 30 avril, le Premier ministre François Bayrou a entamé des consultations auprès des responsables politiques pour proposer l'instauration de la proportionnelle dans l'élection des députés en France. Depuis le début de la Ve République, les députés sont élus au suffrage universel direct avec un scrutin uninominal majoritaire à deux tours, à l'exception des élections législatives de 1986 qui se sont déroulées selon un scrutin proportionnel à l'échelon départemental. Le mode de scrutin proportionnel est censé augmenter la représentativité à l'Assemblée nationale, en donnant à chaque liste de candidats un nombre de députés proportionnel au nombre de voix qu'elle obtient. La plupart des pays européens élisent leurs députés à la proportionnelle comme la Belgique, l'Irlande ou le Danemark. Le projet divise sur le fond comme sur la forme au sein de la classe politique française. Les Républicains, Horizons et une partie des membres de la majorité présidentielle ont exprimé des réserves. Le Rassemblement national, le MoDem,les députés écologistes et Insoumis y sont favorables, mais sous différentes formes. Par exemple, la France insoumise défend un mode de scrutin proportionnel “à un échelon régional”, alors que François Bayrou souhaiterait, lui, un échelon départemental. On en débat avec Anne Rosencher, journaliste, directrice déléguée de la rédaction de "l'Express" ; Jean-Philippe Derosier, constitutionnaliste et Bastien François, politiste, professeur de science politique à l'Université Panthéon-Sorbonne.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 8 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 08/05/2025 Marie-Christine Barrault : dans la peau de l'avocate Gisèle HalimiMarie-Christine Barrault est à l'affiche de la pièce “Gisèle Halimi, une farouche liberté” jusqu'au 31 mai à la Scala Paris. La pièce, mise en scène par Lena Paugam, s'appuie sur le livre d'entretiens “Une farouche liberté” entre la célèbre avocate et la journaliste Annick Cojean. Marie-Christine Barrault partage la scène avec Hinda Abdelaoui. Elles incarnent, à tour de rôle, le personnage de Gisèle Halimi pour en dévoiler toutes ses facettes, de la femme politique à la grand-mère. En une heure et demie, la pièce retrace plus de 70 ans d'engagement et de combat pour la cause des femmes. Marie-Christine Barrault a joué dans plus de 60 films et 40 pièces de théâtre. En 1977, elle est nommée pour l'Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation de Marthe dans “Cousin, Cousine” de Jean-Charles Tacchella. À l'écran ou sur les planches, elle a souvent incarné des femmes fortes aux destins exceptionnels, comme Jenny Marx, Marie-Curie ou Marguerite Yourcenar.Le scrutin proportionnel peut-il revitaliser la démocratie française ? Mercredi 30 avril, le Premier ministre François Bayrou a entamé des consultations auprès des responsables politiques pour proposer l'instauration de la proportionnelle dans l'élection des députés en France. Depuis le début de la Ve République, les députés sont élus au suffrage universel direct avec un scrutin uninominal majoritaire à deux tours, à l'exception des élections législatives de 1986 qui se sont déroulées selon un scrutin proportionnel à l'échelon départemental. Le mode de scrutin proportionnel est censé augmenter la représentativité à l'Assemblée nationale, en donnant à chaque liste de candidats un nombre de députés proportionnel au nombre de voix qu'elle obtient. La plupart des pays européens élisent leurs députés à la proportionnelle comme la Belgique, l'Irlande ou le Danemark. Le projet divise sur le fond comme sur la forme au sein de la classe politique française. Les Républicains, Horizons et une partie des membres de la majorité présidentielle ont exprimé des réserves. Le Rassemblement national, le MoDem,les députés écologistes et Insoumis y sont favorables, mais sous différentes formes. Par exemple, la France insoumise défend un mode de scrutin proportionnel “à un échelon régional”, alors que François Bayrou souhaiterait, lui, un échelon départemental. Marjorie Adelson nous raconte comment les abats de boucherie trouvent un nouveau succès grâce aux influenceurs conservateurs et masculinistes notamment. Marie Bonnisseau nous présente une prothésiste américaine qui fabrique des faux yeux pour le moins originaux. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 8 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Dans cette édition :Le stand du Parti socialiste saccagé et le député Jérôme Guedj agressé verbalement et physiquement lors des manifestations du 1er mai à Paris, attribués aux Black Blocs, à l'Ultra et à l'extrême gauche antisémite.Le Rassemblement national a choisi Narbonne pour célébrer le 1er mai, avec un meeting en duo entre Marine Le Pen et Jordan Bardella, qui évoquent la bataille judiciaire et les élections à venir.L'archevêque de Marseille, Jean-Marc Aveline, fait figure de favori pour succéder au pape François, bien qu'il ne parle pas italien, un handicap au Vatican.La France reste l'un des pays les plus imposés au monde, avec une part importante des charges, impôts et cotisations sociales dans le coût du travail.Le beau temps du 1er mai a attiré de nombreux Parisiens dans les parcs et jardins, pour des activités sportives, ludiques ou simplement pour profiter des terrasses.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le stand du Parti socialiste saccagé et le député Jérôme Guedj agressé verbalement et physiquement lors des manifestations du 1er mai à Paris, attribués aux Black Blocs, à l'Ultra et à l'extrême gauche antisémite.Le Rassemblement national a choisi Narbonne pour célébrer le 1er mai, avec un meeting en duo entre Marine Le Pen et Jordan Bardella, qui évoquent la bataille judiciaire et les élections à venir.L'archevêque de Marseille, Jean-Marc Aveline, fait figure de favori pour succéder au pape François, bien qu'il ne parle pas italien, un handicap au Vatican.La France reste l'un des pays les plus imposés au monde, avec une part importante des charges, impôts et cotisations sociales dans le coût du travail.Le beau temps du 1er mai a attiré de nombreux Parisiens dans les parcs et jardins, pour des activités sportives, ludiques ou simplement pour profiter des terrasses.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Eliot Deval et ses invités débattent des débordements durant les rassemblements du 1er mai à Paris.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Mickael Dorian pour débattre des actualités du jour. Ce soir il reçoit le magistrat honoraire, Philippe Bilger pour revenir sur les débordements lors des manifestations du 1er mai à Paris notamment une attaque visant des élus et militants du Parti socialiste. Dans un second temps il présente son livre « MetooMuch ? » aux éditions Héliopoles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:35 - La politique avec - Le Rassemblement national sera bien présent ce samedi aux funérailles du Pape François, malgré des rapports tumultueux entretenus ces dernières années avec le monde catholique.
durée : 00:25:11 - 8h30 franceinfo - Le coordinateur national de La France insoumise était l'invité du "8h30 franceinfo" lundi 7 avril 2025.
L'émission 28 minutes du 07/04/2025 Dominique Garcia, l'archéologue qui démystifie les GauloisDominique Garcia est historien, archéologue et président de l'Institut national des recherches archéologiques préventives (INRAP). Le spécialiste de la protohistoire gauloise publie "Les Gaulois" (éditions CNRS), un ouvrage illustré par Jeremy Perrodeau qui retrace leur histoire et les libère des clichés. Gommer les idées reçues et questionner "la part de Gaulois dans la France actuelle", telle est la mission donnée à cet ouvrage qui s'appuie sur de riches sources historiques et archéologiques. Loin des irréductibles chasseurs de sangliers dépeints par Goscinny et Uderzo, Dominique Garcia propose de redécouvrir un peuple qui défriche, cultive, commerce et réserve une place d'honneur aux femmes. Une manière de remettre à jour nos connaissances sur un mythe de l'imaginaire français.Après la condamnation de Marine Le Pen, le RN est-il en voie de re-diabolisation ?Un mot d'ordre : "sauvons la démocratie". Dimanche 6 avril, Marine Le Pen réunissait ses forces à Paris, place Vauban, dans une mobilisation de soutien. Le Rassemblement national a dans sa ligne de mire la condamnation de sa triple candidate à l'élection présidentielle à une peine d'inéligibilité à exécution provisoire (donc immédiate) pour avoir détourné 4 millions d'euros. Soutenue par Donald Trump, Viktor Orban ou encore Matteo Salvini, Marine Le Pen et les élus du RN ont fustigé "un quarteron de juges" qui menacerait "d'exécuter la démocratie". La patronne du RN reste créditée à plus de 30 % des intentions de vote dans un sondage daté du 2 avril, malgré sa condamnation. Est-ce la fin annoncée de la "dédiabolisation" entamée par le RN depuis plusieurs années ? En dénonçant une décision de justice, le parti renoue-t-il avec son ADN anti-système, quitte à se rapprocher du camp illibéral ? Enfin, Xavier Mauduit s'intéresse à l'interdiction du lâcher de lanternes, une tradition asiatique ancestrale. Et Marie Bonnisseau raconte un caprice présidentiel : l'artiste Sarah Boardman peint Donald Trump, ce dernier fait décrocher le portrait, le "pire jamais réalisé" selon ses dires. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 7 avril 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 07/04/2025 Après la condamnation de Marine Le Pen, le RN est-il en voie de re-diabolisation ?Un mot d'ordre : "sauvons la démocratie". Dimanche 6 avril, Marine Le Pen réunissait ses forces à Paris, place Vauban, dans une mobilisation de soutien. Le Rassemblement national a dans sa ligne de mire la condamnation de sa triple candidate à l'élection présidentielle à une peine d'inéligibilité à exécution provisoire (donc immédiate) pour avoir détourné 4 millions d'euros. Soutenue par Donald Trump, Viktor Orban ou encore Matteo Salvini, Marine Le Pen et les élus du RN ont fustigé "un quarteron de juges" qui menacerait "d'exécuter la démocratie". La patronne du RN reste créditée à plus de 30 % des intentions de vote dans un sondage daté du 2 avril, malgré sa condamnation. Est-ce la fin annoncée de la "dédiabolisation" entamée par le RN depuis plusieurs années ? En dénonçant une décision de justice, le parti renoue-t-il avec son ADN anti-système, quitte à se rapprocher du camp illibéral ? On en débat avec Stéphane Zumsteeg, directeur du département Politique et Opinion à l'institut de sondage Ipsos ; Estelle Delaine, maîtresse de conférence en sciences politiques à l'université Rennes 2 et Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l'extrême droite.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 7 avril 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Entre 8 000 et 10 000 militants d'extrême droite pourraient défiler dans les rues de Paris ce dimanche. Le Rassemblement national un meeting de soutien à Marine Le Pen, condamnée pour détournement de fonds publics. Comment le RN organise-t-il ce rassemblement? On pose la question à Neila Latrous, cheffe du service politique de BFMTV.
durée : 00:27:08 - Le Rassemblement national s'est-il "trumpisé" ?
durée : 00:02:23 - Le brief politique - Insoumis et socialistes parlent de nouveau de renverser le gouvernement. Le Rassemblement national ne l'exclut pas, mais décorrèle sa décision du sort de la patronne des députés RN.
Dans cette édition :Le président américain Donald Trump souhaite obtenir une réponse rapide de la Russie concernant le projet de cessez-le-feu en Ukraine, alors que le Kremlin reste silencieux sur la question.L'Assemblée nationale française a adopté une résolution de soutien à l'Ukraine, appelant notamment à saisir les avoirs russes, une décision à portée symbolique.Le Rassemblement national, représenté par Jordan Bardella et Marion Maréchal, a été invité par le gouvernement israélien à participer à une conférence internationale sur la lutte contre l'antisémitisme, une première pour ce parti.L'affiche d'un appel à manifester contre l'extrême-droite, publiée par La France Insoumise, a été critiquée pour une caricature jugée antisémite visant l'animateur Cyril Hanouna.Le procès de l'ex-chirurgien Joël Lescouarnec, accusé d'agressions sexuelles sur mineurs, révèle l'ampleur des traumatismes subis par les victimes.Les forces de l'ordre françaises ont déjoué un projet d'enlèvement d'un multimillionnaire en banlieue de Bruxelles.Le LOSC Lille a été éliminé de la Ligue des Champions, malgré un beau parcours, laissant le PSG comme seul représentant français en quarts de finale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :Le président américain Donald Trump souhaite obtenir une réponse rapide de la Russie concernant le projet de cessez-le-feu en Ukraine, alors que le Kremlin reste silencieux sur la question.L'Assemblée nationale française a adopté une résolution de soutien à l'Ukraine, appelant notamment à saisir les avoirs russes, une décision à portée symbolique.Le Rassemblement national, représenté par Jordan Bardella et Marion Maréchal, a été invité par le gouvernement israélien à participer à une conférence internationale sur la lutte contre l'antisémitisme, une première pour ce parti.L'affiche d'un appel à manifester contre l'extrême-droite, publiée par La France Insoumise, a été critiquée pour une caricature jugée antisémite visant l'animateur Cyril Hanouna.Le procès de l'ex-chirurgien Joël Lescouarnec, accusé d'agressions sexuelles sur mineurs, révèle l'ampleur des traumatismes subis par les victimes.Les forces de l'ordre françaises ont déjoué un projet d'enlèvement d'un multimillionnaire en banlieue de Bruxelles.Le LOSC Lille a été éliminé de la Ligue des Champions, malgré un beau parcours, laissant le PSG comme seul représentant français en quarts de finale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:02:21 - Le brief politique - Ils n'osaient même pas y penser il y a de ça quelques années. Le Rassemblement national, Reconquête ou encore l'Union des droites pour la République ambitionnent aujourd'hui de s'étendre dans la capitale aux prochaines municipales.
« Nous voici à l'heure de vérité. Nous voici même à la semaine de vérité et de responsabilité », a prophétisé François Bayrou au moment de déclencher l'article 49.3, lundi 3 février, par lequel il engage la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi de finances et sur la première partie du projet de loi de financement de la Sécurité sociale.Les deux motions de censure aussitôt déposées par La France insoumise doivent être débattues ce mercredi 5 février. Le Parti socialiste a annoncé ne pas suivre le chemin de leurs alliés de gauche et ne pas soutenir cette censure, permettant ainsi au gouvernement Bayrou d'échapper à sa chute. Le Rassemblement national a également déclaré qu'il ne devrait pas voter la censure.François Bayrou pourra-t-il ainsi bénéficier d'une certaine longévité à la tête du gouvernement malgré sa majorité très précaire ? Quels obstacles attendent le premier ministre après l'adoption du budget ? Rachel Garrat-Valcarcel, chargée du suivi du Parlement au Monde, analyse la situation politique dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde ».Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d'une interview de François Bayrou sur TF1, le 27 janvier 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air du 30 janvier 2025 - Budget : mais où sont les économies ?Sept députés et sept sénateurs sont réunis depuis ce jeudi matin à huis clos pour tenter d'élaborer un compromis sur le projet de loi de finances pour l'année 2025. C'est la fameuse commission mixte paritaire (CMP) qui va devoir reprendre chaque article, et tenter de trouver des points d'atterrissage sur plusieurs mesures clés, afin d'accoucher d'un texte acceptable par les deux chambres ou qui, du moins, ne provoque pas de censure. Le tout, en respectant la cible de déficit de 5,4 % de PIB en 2025.Si certains points font déjà consensus, comme le fait qu'il n'y ait pas de nouvel impôt sur les classes moyennes, la gauche veut pousser pour que la surtaxe sur les grandes entreprises soit sur deux ans et non un an, alors que plusieurs grands patrons et le président du Medef dénoncent ces derniers jours dans les médias cette contribution exceptionnelle et pointent le risque de délocalisation. Débats à venir également sur les frais de notaire, le financement des transports, de l'aide médicale d'Etat (AME) ou encore sur les coupes budgétaires dans les ministères. La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a tenté de défendre les crédits de son ministère mardi 28 janvier lors de ses vœux à la presse, affirmant que l'écologie était "la seule réponse viable dont nous disposons pour lutter contre trois menaces – le dérèglement climatique, la disparition de la biodiversité et les pollutions", alors que la version du projet de loi de finances votée par le Sénat la semaine dernière a acté d'importantes coupes budgétaires. Un choix dénoncé par la gauche et notamment EELV. "La submersion migratoire n'existe pas. À l'heure où la Bretagne est sous l'eau", Marine Tondelier a déploré que le Premier ministre "ajoute une légende à ce qui existe déjà". "La submersion marine, par contre, ça existe (…) François Bayrou ferait mieux de s'occuper des problèmes qui nous tombent sur la figure là maintenant" a ajouté sur Télematin la secrétaire nationale Les Écologistes.Dans cette commission paritaire, le socle commun est majoritaire sur le papier, avec huit parlementaires issus de ses rangs, mais il va devoir faire des concessions s'il veut éviter la censure. Le PS a prévenu qu'il ne laisserait "pas passer" un "budget d'austérité", un budget qui "sabre dans les services publics de manière importante", un budget qui ne mettrait "pas en place davantage de justice fiscale" ou qui "sacrifierait l'écologie". Le Rassemblement national a également haussé le ton, menaçant le gouvernement d'une censure s'il maintient d'ici lundi un article qui réforme la tarification de l'électricité en France avec un mécanisme de partage des revenus du nucléaire.Autre sujet de discorde, les prévisions de croissance et d'inflation du gouvernement. Le Haut Conseil des finances publiques, qui dépend de la Cour des comptes, les jugent "un peu optimistes". Problème : si la croissance est plus faible que prévu par les services de l'État, les rentrées d'argent dans les caisses le sont également. De quoi menacer l'objectif de réduction du déficit affiché.Pour l'heure les discussions se poursuivent. Si un accord est trouvé, le texte sera examiné par les députés lundi, avec possiblement le premier recours à l'article 49.3 de la Constitution de François Bayrou.Alors quel budget en 2025 ? Où sont les économies ? François Bayrou va-t-il tomber sur le budget ? Pourquoi les grands patrons et le président du Medef sont-ils en colère ? Comment les communes touchées par les inondations peuvent-elles bénéficier d'aides financières ?Les experts :- DOMINIQUE SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- NATHALIE MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- BRIGITTE BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV- GAËL SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa
Loi (21) sur la laïcité : des allégations dans une école de Laval. Entrevue avec François Dugré, porte-parole pour le rassemblement pour la laïcité. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - Michel Barnier a remis aujourd'hui sa démission au chef de l'Etat. Pour le remplacer à Matignon, on parle notamment de François Bayrou. Mais la gauche fait aussi des offres de service pour Matignon. Le Rassemblement national, lui, se veut constructif après avoir renversé le gouvernement.
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - Michel Barnier a remis aujourd'hui sa démission au chef de l'Etat. Pour le remplacer à Matignon, on parle notamment de François Bayrou. Mais la gauche fait aussi des offres de service pour Matignon. Le Rassemblement national, lui, se veut constructif après avoir renversé le gouvernement.
Une soirée historique en France : le gouvernement de Michel Barnier a été renversé par une motion de censure, une première depuis 1962. Le Rassemblement national et la France insoumise se sont alliés pour faire tomber l'exécutif. Les conséquences et la succession à Matignon sont incertaines. Le député David Amiel dénonce une "jouissance du chaos" de la part des oppositions. Le président Macron s'adressera aux Français demain soir. Ce podcast décrypte cette crise institutionnelle inédite et les prochaines étapes. L'actualité est également marquée par des perquisitions dans un institut de formation d'imams, des perturbations dans les services publics et les mauvais résultats des élèves en mathématiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Le Rassemblement national associe ses voix à celles du Nouveau Front populaire pour faire chuter Michel Barnier. Quel peu glorieux mariage !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Rassemblement national considère que le gouvernement "a mis fin à la discussion" sur d'éventuelles modifications au budget la sécurité sociale : clap de fin pour Michel Barnier ? Ecoutez Jordan Bardella, président du RN. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 02 décembre 2024.
Dans cette édition :Le Rassemblement national menace de voter une motion de censure si le gouvernement utilise le 49-3 pour faire passer le budget de la Sécurité sociale, mais le Premier ministre fait des concessions pour éviter la censure.Un imam salafiste de la mosquée de Montmagny, dans le Val-d'Oise, a été expulsé vers le Pakistan après avoir tenu des propos appelant au djihad.Le PDG de Stellantis, Carlos Tavares, a été poussé à la démission par le conseil d'administration en raison de la chute des ventes aux États-Unis.Les compagnons du chantier de restauration de Notre-Dame de Paris s'apprêtent à ranger leurs outils après 5 ans de travaux, à quelques jours de la réouverture de la cathédrale.Une enquête révèle que la plupart des lentilles de contact contiennent des substances chimiques et des microplastiques potentiellement dangereux pour la santé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Le Rassemblement national considère que le gouvernement "a mis fin à la discussion" sur d'éventuelles modifications au budget la sécurité sociale : clap de fin pour Michel Barnier ? Ecoutez Jordan Bardella, président du RN. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 02 décembre 2024.
Dans cette édition :Le Rassemblement national menace de voter une motion de censure si le gouvernement utilise le 49-3 pour faire passer le budget de la Sécurité sociale, mais le Premier ministre fait des concessions pour éviter la censure.Un imam salafiste de la mosquée de Montmagny, dans le Val-d'Oise, a été expulsé vers le Pakistan après avoir tenu des propos appelant au djihad.Le PDG de Stellantis, Carlos Tavares, a été poussé à la démission par le conseil d'administration en raison de la chute des ventes aux États-Unis.Les compagnons du chantier de restauration de Notre-Dame de Paris s'apprêtent à ranger leurs outils après 5 ans de travaux, à quelques jours de la réouverture de la cathédrale.Une enquête révèle que la plupart des lentilles de contact contiennent des substances chimiques et des microplastiques potentiellement dangereux pour la santé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
À l'approche de la fin des débats sur le budget, le gouvernement de Michel Barnier va-t-il être censuré et la France se retrouver plongée dans une crise politique et budgétaire ? Le Rassemblement national menace de voter la motion de censure déposée par la gauche. Roselyne Febvre reçoit Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste politique, Catherine Tricot, directrice de la revue Regards, et Laurent Joffrin, directeur de LeJournal.info.
durée : 00:20:10 - Journal de 12h30 - Le Rassemblement national ne décolère toujours pas après les réquisitions visant hier soir Marine Le Pen dans le procès des assistants parlementaires. Ses partisans dénoncent une justice politique.
Le Rassemblement national présente ce jeudi, sept textes à l'occasion de sa niche parlementaire. Retour des peines plancher, facilitation des expulsions d'étrangers représentant "une menace grave", abrogation de la réforme des retraites... Des mesures dites "consensuelles" qui cherchent à gagner le vote des autres partis.
durée : 00:04:45 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - L'adoption du projet de loi de finances 2025 ne pourra se faire sans l'usage de l'article 49 alinéa 3 de la constitution par le Premier ministre. Pourtant, Michel Barnier n'a pas grand-chose à craindre de la motion de censure qui s'ensuivra. Le Rassemblement national ne devrait pas la voter.
Le Rassemblement national a présenté une série de "contre-propositions" au projet de loi de finances 2025. Il insiste sur la nécessité de voir la dépense publique baisser et affirme pouvoir économiser 15 milliards d'euros. L'extrême-droite espère obtenir quelques victoires à l'Assemblée et brandit l'arme de la censure pour mieux peser sur les débats. Franck Allisio, député RN des Bouches-du-Rhône, est l'invité de RTL Soir.
durée : 00:16:12 - Le Rassemblement national à Nice, Raphaël Glucksmann à La Réole
Le dimanche 30 juin, les résultats du premier tour des élections législatives tombent. Le Rassemblement national et ses alliés arrivent largement en tête. Quant au camp présidentiel, il est relégué à la troisième place avec un peu plus de 20% des voix. Trois semaines après la dissolution de l'Assemblée nationale, le président de la République, Emmanuel Macron, semble avoir perdu son pari. Mais une semaine plus tard, à l'issue du second tour des élections législatives, la tendance s'inverse. L'alliance de gauche du Nouveau Front populaire arrive cette fois-ci en tête suivie par le camp présidentiel. Le RN et ses alliés sont relégués à la troisième place. Aucune majorité absolue n'a pu se dégager, plongeant le pays dans l'incertitude. Dans les jours qui suivent, le chef de l'Etat joue la montre. Il patiente avant de nommer un nouveau gouvernement, confiant de pouvoir réunir autour de lui de nouveaux alliés. Mais en coulisse, le camp présidentiel se fracture : certains macronistes préparent déjà l'après-Macron.Pour Code source, deux journalistes du service politique du Parisien, Olivier Beaumont et Marion Mourgue, racontent comment Emmanuel Macron tente de reprendre la main après les élections législatives.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France 2, TF1. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le soir du dimanche 30 juin, les résultats des élections législatives anticipées sont annoncés. Le Rassemblement national arrive en tête, avec plus de 33% de voix, suivi par le Nouveau Front populaire, et en troisième place, le camp présidentiel, avec 20,04% des suffrages.Trois semaines après la dissolution de l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron semble avoir perdu son pari. Alors qu'il se présentait comme un « rempart » à ce qui s'appelait encore le Front national pendant sa campagne présidentielle de 2017, le parti d'extrême droite est en passe d'avoir une majorité de députés à l'Assemblée le dimanche 7 juillet.Cet épisode de Code source est raconté par Olivier Beaumont, journaliste au service politique du Parisien, en charge de l'exécutif Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Camille Ruiz - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCI, Europe1, Le Figaro, TF1, France 2. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le dimanche 30 juin, le premier tour des législatives a marqué un tournant historique dans la vie politique française. Le Rassemblement national arrive largement en tête du premier tour des législatives, avec plus de 33% des voix. Le parti d'extrême droite devance le Nouveau Front Populaire qui a obtenu 28% des voix, tandis que la majorité présidentielle est en danger, en arrivant troisième avec 21% des voix.La puissance de ces trois blocs politiques rend l'avenir de l'Assemblée encore incertain. En cas de triangulaire au second tour, les candidats du NFP choisissent de se désister s'ils sont arrivés en troisième position pour faire barrage à l'extrême droite. Du côté de la majorité présidentielle, Gabriel Attal a indiqué “qu'aucune voix ne doit aller au RN”.Pour Code source, les journalistes politiques du Parisien, Marion Mourgue et Alexandre Sulzer, racontent ce premier tour des législatives 2024.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Clara Garnier-Amouroux, Barbara Gouy et Camille Ruiz - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France 2, BFMTV, LCI, Europe1, Public Sénat. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le premier tour des élections législatives anticipées aura lieu le 30 juin, trois semaines après l'annonce de la dissolution par Emmanuel Macron le 9 juin au soir. Le Rassemblement national, le parti d'extrême droite de Jordan Bardella, semble en bonne position pour remporter une majorité relative à l'Assemblée nationale, d'après les sondages. Code source fait le point sur ces élections et décortique les dynamiques, les enquêtes d'opinion, et les différents scénarios possibles pour esquisser les contours de la future Assemblée nationale. Cet épisode de Code source est raconté par Marion Mourgue, cheffe adjointe du service politique au Parisien et notre invité, le politologue Bruno Cautrès, enseignant à Sciences Po, et chercheur au Cevipof, Centre de recherches politiques de Sciences Po.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Production : Clara Garnier Amouroux, Camille Ruiz - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.