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Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Boudsocq du 11 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christian Pouget, le préfet de l'Aude, a affirmé que la journée du dimanche 10 août allait être "compliquée".Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:13 - L'invité de "ici Maine" - Cinq ans après l'avoir quittée, Le Mans FC retrouve la Ligue 2 samedi 9 août, avec un premier match face à Guingamp, l'un des cadors du championnat. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'annulation de la candidature de Maurice Kamto, la création d'une milice au Niger et l'augmentation des productions de pétrole. Gabon : retour sur le chantage d'un influenceur contre le président Un influenceur gabonais d'origine libanaise menace de divulguer des vidéos compromettantes du président Oligui Nguema. Quel est le contenu des enregistrements que Nazih affirme détenir ? Une enquête est-elle ouverte côté gabonais pour vérifier l'authenticité des enregistrements ? Avec Yves-Laurent Goma, correspondant de RFI à Libreville. Cameroun : Maurice Kamto définitivement écarté de la course à la présidentielle Considéré comme « non fondé », le recours de l'opposant a été rejeté par le Conseil constitutionnel. Comment expliquer cette décision ? À quoi s'attendre pour l'avenir politique de Maurice Kamto ? Avec Stéphane Akoa, politologue camerounais et chercheur à la fondation Paul Ango Ela. Niger : une milice citoyenne en appui aux forces de l'ordre Au Niger, le mouvement citoyen M62 lance une milice civile pour appuyer les forces de sécurité. Quelle est la mission précise de cette milice ? Plusieurs organisations de la société civile mettent en garde contre une dérive de cette milice. Ces craintes sont-elles fondées ? Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de l'ouvrage « Crise interne au Conseil Militaire Suprême du Niger » (éditions L'Harmattan). Pétrole : pourquoi les pays de l'OPEP+ augmentent leur production ? Les pays de l'OPEP+ ont prévu d'augmenter leur production de pétrole en septembre 2025. Pourquoi l'OPEP+ cherche-t-elle à augmenter sa production alors qu'elle avait jusqu'à maintenant réduit son offre pour maintenir des prix élevés ? Jusqu'où l'Organisation peut-elle augmenter sa production sans provoquer une chute importante des prix ? Avec Marie-Pierre Olphand, journaliste pour la Chronique des matières premières sur RFI.
15% de droits de douane sur la plupart des produits européens: c'est la mesure qui doit être appliquée dès aujourd'hui par l'administration Trump. Le Président américain crée ainsi un déséquilibre commercial avec ses partenaires. Nous détaillons ces changements dans le podcast. Les kinés wallons font face à de gros retards de paiement chez Solidaris. La mutualité se justifie en dénonçant une digitalisation trop lente du secteur. Un argument que conteste la profession. Les impayés atteignent parfois des milliers d'euros. De nombreux jeunes Britanniques préfèrent fuir leur pays que de devoir vivre chichement. Ils sont plus d'un quart à vouloir partir ailleurs. Certains se retrouvent à l'autre bout du monde, d'autres dans des pays chauds. Pour écouter le Brief spécial sur les droits de douane, c'est ici. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Quand on n'a pas de gouvernement, on réduit les dépenses. Cette règle s'applique en ce moment à la Région bruxelloise qui voit ses factures diminuer pour les six premiers mois de l'année. Ainsi, le ministre du Budget, Sven Gatz, entretient l'espoir de réduire le déficit. Jamais le précompte mobilier, l'impôt sur les revenus des capitaux, n'avait autant rapporté à l'État belge au premier semestre. Il a atteint plus de 4,2 milliards d'euros cette année. Le bon d'État Van Peteghem a joué un rôle dans ce record. Le quartier Nord de Bruxelles va-t-il déborder de bureaux au point de ne plus pouvoir les louer? Pas si sûr... De nombreux promoteurs, entreprises et administrations s'y intéressent. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Julien : Je viens de voir un prélèvement sur mon compte pour un abonnement que j'ai complètement oublié d'annuler…Louise : Oh non, encore un de ces trucs où t'as fait “essai gratuit” pour tester et t'as jamais pensé à résilier ?Julien : Euh bah oui… c'est exactement ça. Trois mois que je finance une appli que j'ai même pas utilisée une seule fois !Louise : Bon bah vaut mieux tard que jamais ! Mais la prochaine fois résilie tout de suite, ça t'évitera de découvrir après que t'étais encore abonné ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Protégez votre boite email, cela peut conduire à des conséquences que vous n'imaginez pas. Le Pr. Cybersécurité vous explique les risques d'une boite email mal protégée en partageant l'histoire vraie d'Anastasia.
Dans cet épisode de Catch'Up, la team analyse et pronostique la carte de WWE Summerslam 2025. Dominik Mysterio va-t-il garder son titre ?CM Punk peut-il venir à bout de Gunther ? Charlotte Flair et Alexa Bliss formeront-elles un duo décisif ?Et surtout, on accueille un nouveau chroniqueur !
Invité : - Franck Allisio, député Rassemblement National des Bouches du Rhône Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFFUSION. Cet été, Faites des gosses prend des vacances et vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes favoris. Bonne écoute !Avez-vous déjà demandé à vos parents comment ils avaient choisi votre prénom ? Était-ce une histoire de transmission familiale, une rencontre avec une personne formidable qui portait le prénom qui figure maintenant sur votre carte vitale ? Votre mère, enceinte, lisait peut-être un roman qui lui a inspiré votre prénom. Et qu'en est-il des effets de mode ? Pourquoi y-a-t-il trois Gabriel dans la classe de votre fils de 3 ans ? Pourquoi d'autres parents cherchent l'originalité ? Cherchent-ils à se raconter à travers leur enfant ? Est-ce que les prénoms portent en eux un déterminisme ? Est-ce que certains prénoms vous prédisposent à être moqué·e·s dans la cour de récré, ou à devenir ministre ? Dans cet épisode, Marine Revol s'entretient avec le sociologue Baptiste Coulmont, professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay, et interroge Clémentine, Caroline, Arnaud, Loup, Elsa et Agathe pour tenter de comprendre comment se fait ce choix pour les parents. Ensemble, ils discutent de l'évolution de l'usage du prénom, de Victor Hugo et de Balzac qui jugeaient eux aussi les choix de certain·es, de racisme, de discriminations et de mixité, de poèmes et d'interprétations. En somme, de l'imaginaire porté par les prénoms et de leur lien indissociable avec leur époque.Les ressources citées dans cet épisode : Le livre “Sociologie des prénoms” de Baptiste Coulmont aux éditions La DécouverteLe livre “Vivre avec nos morts” de Delphine Horvilleur aux éditions GrassetFaites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Louise Tavera et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Charlotte Pudlowski est à la direction éditoriale, Elsa Berthault est en charge de la production.Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.com ou racontez-nous votre histoire via ce formulaire.Suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Et si vous souhaitez soutenir Louie, n'hésitez pas à vous abonner au Club. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:09:46 - Journal de 9h - L'Ukraine propose à la Russie de nouveaux pourparlers la semaine prochaine. Pour l'heure, Moscou ne fait qu'intensifier ses bombardements sur l'ensemble du pays et son offensive terrestre dans l'est.
durée : 00:15:04 - Journal de 12h30 - Ahmed al-Charaa annonce un cessez-le-feu immédiat avec Israël et s'engage à protéger les minorités, alors que les affrontements intercommunautaires entre les combattants tribaux proches du pouvoir syrien et les groupes druzes soutenus par Israël ont fait plus de 700 morts en une semaine.
durée : 00:15:04 - Journal de 12h30 - Ahmed al-Charaa annonce un cessez-le-feu immédiat avec Israël et s'engage à protéger les minorités, alors que les affrontements intercommunautaires entre les combattants tribaux proches du pouvoir syrien et les groupes druzes soutenus par Israël ont fait plus de 700 morts en une semaine.
Comme toujours, nous consacrerons la première partie de notre émission à l'actualité. Nous commencerons avec l'annonce de la Maison Blanche concernant la livraison de nouveaux missiles à l'Ukraine. Le Président Trump a par ailleurs brandi la menace de sanctions envers ceux qui achètent de l'énergie à la Russie, même si de nombreux observateurs estiment qu'une telle menace serait très difficile à appliquer. Ensuite, nous enchaînerons avec un sujet sur l'entreprise d'IA d'Elon Musk : elle est sous le feu des critiques depuis que son robot conversationnel, Grok, a tenu des propos polémiques faisant l'éloge d'Adolf Hitler. Dans notre section scientifique, nous évoquerons une étude qui s'est penchée sur la question des traits de personnalité des personnes prétendument « cool ». Et puis pour terminer, nous parlerons des finales de Wimbledon. La leçon de grammaire de la semaine sera : The Relative Pronouns que, qui and quoi. Cette semaine, nous parlerons de Pierre Cabon et de son épouse, les auteurs du projet Wheeled World. Depuis 2018, ils partagent leurs aventures sur Internet pour aider les personnes handicapées qui veulent voyager. Notre expression cette semaine est Travailler d'arrache-pied. Elle nous donnera l'occasion d'évoquer les 75 ans de la construction européenne, à laquelle ont travaillé dur quelques hommes politiques tels que Robert Schuman. 75 ans plus tard, où en est cette construction ? - Trump annonce la livraison de missiles à l'Ukraine, mais pas de sanctions concrètes contre ceux qui achèteraient de l'énergie aux Russes - Elon Musk déclare que son IA a fait l'éloge d'Hitler pour plaire à ses utilisateurs - Une étude identifie les caractéristiques des personnes « cool » qui sont admirées dans le monde entier - Sinner prend sa revanche sur Alcaraz et Swiatek écrase Anisimova à Wimbledon - En 10 ans, Pierre Cabon est devenu une figure du voyageur en fauteuil roulant - Les 75 ans de la construction européenne
POUR COMMANDER MON LIVRE : Sur Amazon : https://amzn.to/3ZMm4CY Sur Fnac.com : https://tidd.ly/4dWJZ8OLe pari de Pascal est un argument philosophique qui vise à convaincre les sceptiques de croire en Dieu. Il s'énonce ainsi : "Pariez que Dieu existe : si vous gagnez, vous gagnez tout, si vous perdez, vous ne perdez rien". Que faut-il penser de cet argument ? Éléments de réponse dans cet épisode.Vous pouvez me soutenir :★En devenant contributeur sur Patreon : https://www.patreon.com/leprecepteurpodcast Vous pourrez ainsi accéder au podcast sans pub et en avant-première et surtout à mon contenu inédit ! ★Ou en faisant un don ponctuel sur PayPal : http://paypal.me/leprecepteurpodcast Pensez à laisser une note et un avis sur la plateforme de podcast où vous m'écoutez. Cela prend quelques secondes, et c'est un geste très utile pour le référencement du podcast ! Et bien sûr, continuez à partager les émissions que vous préférez sur vos réseaux sociaux.Le Précepteur Podcast a été créé pour vous et continuera d'exister grâce à vous.(Pour toute demande : leprecepteurpodcast@gmail.com)---Envie d'aller plus loin ? Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à tout mon contenu supplémentaire.
Après Que ma joie demeure, la metteuse en scène Clara Hédouin adapte la courte nouvelle de Jean Giono écrite en 1929, Prélude de Pan. C'est une nouvelle assez peu connue de l'écrivain Jean Giono que la metteuse en scène adapte cette année. Un texte né des promenades de Jean Giono sur les contreforts de Manosque, ces collines sauvages, sur les contreforts du Lubéron. La metteuse en scène Clara Hédouin sort du théâtre pour nous faire entendre cette langue dans la nature. Le Prélude de Pan est une nouvelle «fantastique», un concentré de poésie publiée en 1929. Tout commence par un gros orage et l'arrivée d'un étranger... Cette nouvelle nous parle de notre rapport aux autres animaux et la manière dont ces bêtes viennent se mélanger à notre humanité, mais aussi du lien entre l'Homme, la Nature et le climat. On a été frappé par cette écriture aujourd'hui. Elle semble faire résonner beaucoup de questions qui sont les nôtres à une heure où les catastrophes climatiques se multiplient. Clara Hédouin «Un concentré de Que ma joie demeure», selon les mots de Clara Hédouin. Un roman que la metteuse en scène connait bien puisqu'elle l'avait adapté au Festival d'Avignon en 2023 : une longue déambulation de six heures en pleine nature. Le spectacle se déroule dans la Plaine de l'Abbaye, de l'autre côté du Rhône à Villeneuve-lès-Avignon. Un spectacle itinérant où l'on suit les comédien.nes de champs en clairière et articule le texte poétique de l'auteur avec les témoignages des habitants, des agriculteurs et maraichers, l'occasion de nous raconter l'histoire agricole de ce lieu. Invitée : Clara Hedouin, metteuse en scène du Prélude de Pan, un spectacle coécrit avec Romain de Becdelièvre à voir à Villeneuve-lès-Avignon jusqu'au 20 juillet 2025. Quelques mots sur Jean Giono : Jean Giono est un écrivain français (1895-1970) né à Manosque, en Provence, où il a passé l'essentiel de sa vie. Issu d'un milieu modeste, il est d'abord employé de banque avant de se consacrer à l'écriture. Marqué par les horreurs de la Première Guerre mondiale qu'il a vécue dans les tranchées, Jean Giono développe une œuvre pacifique et tournée vers la nature. Il a longtemps été considéré à tort comme un écrivain «régionaliste», son œuvre explore la beauté rude des paysages provençaux, mais aussi des questions universelles sur la condition humaine. À lire de Jean Giono : Que ma joie demeure, L'homme qui plantait des arbres, Le Hussard sur le toit, Un roi sans divertissement. Programmation musicale : L'artiste brésilienne Mayra Andrade avec le titre Mon carrousel. Et le reportage de Fanny Imbert sur le spectacle Carmen, de Jeanne Desoubeaux, une adaptation du célèbre opéra de Georges Bizet et qui se joue jusqu'au 20 juillet 2025 dans le cadre du Festival Villeneuve en scène - Théâtres en itinérance.
Après Que ma joie demeure, la metteuse en scène Clara Hédouin adapte la courte nouvelle de Jean Giono écrite en 1929, Prélude de Pan. C'est une nouvelle assez peu connue de l'écrivain Jean Giono que la metteuse en scène adapte cette année. Un texte né des promenades de Jean Giono sur les contreforts de Manosque, ces collines sauvages, sur les contreforts du Lubéron. La metteuse en scène Clara Hédouin sort du théâtre pour nous faire entendre cette langue dans la nature. Le Prélude de Pan est une nouvelle "fantastique", un concentré de poésie publiée en 1929. Tout commence par un gros orage et l'arrivée d'un étranger... Cette nouvelle nous parle de notre rapport aux autres animaux et la manière dont ces bêtes viennent se mélanger à notre humanité, mais aussi du lien entre l'Homme, la Nature et le climat. On a été frappé par cette écriture aujourd'hui. Elle semble faire résonner beaucoup de questions qui sont les nôtres à une heure où les catastrophes climatiques se multiplient. Clara Hédouin "Un concentré de Que ma joie demeure" selon les mots de Clara Hédouin. Un roman que la metteuse en scène connait bien puisqu'elle l'avait adapté au Festival d'Avignon en 2023 : une longue déambulation de six heures en pleine nature. Le spectacle se déroule dans la Plaine de l'Abbaye, de l'autre côté du Rhône à Villeneuve-lès-Avignon. Un spectacle itinérant où l'on suit les comédien.nes de champs en clairière et articule le texte poétique de l'auteur avec les témoignages des habitants, des agriculteurs et maraichers, l'occasion de nous raconter l'histoire agricole de ce lieu. Invitée : Clara Hedouin, metteuse en scène du Prélude de Pan, un spectacle coécrit avec Romain de Becdelièvre à voir à Villeneuve-lès-Avignon jusqu'au 20 juillet. Quelques mots sur Jean Giono : Jean Giono est un écrivain français (1895-1970) né à Manosque en Provence où il a passé l'essentiel de sa vie. Issu d'un milieu modeste, il est d'abord employé de banque avant de se consacrer à l'écriture. Marqué par les horreurs de la Première Guerre mondiale qu'il a vécue dans les tranchées, Jean Giono développe une œuvre pacifique et tournée vers la nature. Il a longtemps été considéré à tort comme un écrivain "régionaliste", son œuvre explore la beauté rude des paysages provençaux, mais aussi des questions universelles sur la condition humaine.À lire de Jean Giono : Que ma joie demeure, L'homme qui plantait des arbres, Le Hussard sur le toit, Un roi sans divertissement. Programmation musicale : L'artiste brésilienne Mayra Andrade avec le titre Mon carrousel Et le reportage de Fanny Imbert sur le spectacle Carmen, de Jeanne Desoubeaux, une adaptation du célèbre opéra de Georges Bizet et qui se joue jusqu'au 20 juillet dans le cadre du Festival Villeneuve en scène - Théâtres en itinérance.
Plusieurs titres du continent s'interrogent, après une prise de parole remarquée du Premier ministre Ousmane Sonko durant le conseil national du Pastef, le parti des deux hommes. Dans cette déclaration, rapporte L'Observateur Paalga, « il accuse le chef de l'État de ne pas avoir suffisamment d'autorité et de ne pas le protéger, lui », face aux critiques dont il a été la cible. Le Premier ministre, poursuit le journal, « appelle donc [le président] à prendre ses responsabilités et à le laisser gouverner. » C'est la première fois, note le Pays, que l'un des deux membres de ce tandem « bris[e] le pacte tacite de retenue » qui les liait, « en exposant publiquement ses frustrations face à ce qu'il considère comme une passivité présidentielle. » À tout le moins, il y a donc « de l'eau dans le gaz », renchérit L'Observateur Paalga, qui se demande « si l'explosion aura lieu » mais constate surtout « que les deux têtes de l'exécutif ne sont pas sur la même longueur d'onde sur bien des sujets. » À lire aussiSénégal: Ousmane Sonko s'en prend à Bassirou Diomaye Faye dans un discours Des différends sur le fond plutôt que sur la forme C'est en tout cas l'analyse de SenePlus, qui fonde son raisonnement sur les propos, il y a quelques mois, du poète Amadou Lamine Sall : selon lui, puisque « Senghor avait dit que pour être président au Sénégal, il faut être un saint ou un héros. » Sous ce prisme, Diomaye Faye serait le saint et Sonko, « le rebelle, l'orage et l'ouragan », et donc « le héros. » Un chef de gouvernement « volcanique », véritable « tribun », abonde le Pays, face à un chef d'État qui serait « l'incarnation d'une alternance apaisée. » Sauf que, tout calme qu'il soit, Bassirou Diomaye Faye « est loin d'être une caisse de résonance des désirs de son Premier ministre », pointe SenePlus, et c'est peut-être bien ce qui agace Ousmane Sonko : il est le patron du PASTEF, et pourtant ; « il n'est pas le maître du jeu dans le gouvernement », estime le journal sénégalais. L'Observateur Paalga va un cran plus loin : « pour un peu, on croirait que Sonko n'a toujours pas digéré le fait d'avoir cédé sa place à Diomaye Faye », option à laquelle il s'est résolu après ses déboires judiciaires. Depuis, c'est comme si, juge le journal, « il trainait cela comme une blessure narcissique dont il n'arrive pas à guérir. » Dans ces conditions, difficile d'imaginer jusqu'où ira ce duo, d'autant que, rappelle enfin le journal burkinabè, « le fauteuil présidentiel n'est pas un banc où tout le monde peut s'asseoir », et « il est toujours plus facile de prendre le pouvoir à deux que de gouverner » de cette manière. À lire aussi[Vos réactions] Sénégal : des tensions au sommet de l'État ? Le Tigré éthiopien à la Une de la presse également La guerre entre les rebelles de cette région du nord du pays et le gouvernement central s'est achevée il y a près de trois ans, mais le Tigré en porte encore les cicatrices. Prêtes à se rouvrir, à en croire Afrique XXI : sur le papier, le conflit est fini ; sur le terrain pourtant, relate un ancien membre des TPLF, « il y a des soldats partout, même si on ne les voit pas. » Et pour cause, précise le journal : « les forces amharas n'ont pas quitté l'ouest de la région, tandis que l'armée érythréenne a élu domicile dans le nord-est, » et c'est sans compter, donc, les soldats tigréens. Un climat qui empêche la population de prendre le chemin du retour : « plus de 1 million de déplacés et des dizaines de milliers de réfugiés n'ont toujours pas pu rentrer chez eux. » De nombreuses femmes parmi ces déplacés Le Monde Afrique s'intéresse ainsi aux 120.000 femmes victimes de viol pendant le conflit, « soit une femme tigréenne sur dix. » Ces violences ont eu lieu, parfois, raconte la fondatrice d'un centre d'aide, « dans des églises, avec l'assentiment du prêtre », de sorte que les victimes « sont persuadées que leur viol a été commis selon la volonté de Dieu. » Parfois, aussi, les témoignages relatent « des actes de torture » qu'on ne détaillera pas à l'antenne, mais dont le but est clair, selon une chercheuse citée : « rendre les femmes stériles, donc empêcher la communauté tigréenne de s'agrandir », le tout dans « un esprit de revanche, toujours intact plus de vingt ans après la fin de la guerre entre l'Ethiopie et l'Erythrée » - entre 2020 et 2022, les soldats érythréens se sont battus aux côtés de l'armée fédérale. Et maintenant que la guerre est finie, il faut, pour les victimes, faire face à « la réticence des autorités (…) à ouvrir les yeux sur ce fléau » car, dénonce une activiste, « ce serait reconnaître l'implication de leurs soldats » dans ces violences. Alors, malgré le manque de reconnaissance, malgré surtout le manque de fonds, les associations d'aide aux victimes poursuivent, sans relâche, leur travail. Après tout, soupire l'une d'elle : « si on s'arrête, qui s'occupera des survivantes ? » À lire aussiEn Éthiopie, la difficile reconstruction de milliers de femmes victimes de viols au Tigré: «je n'ai plus rien pour vivre»
durée : 00:40:56 - Le Débat de midi - par : Camille Crosnier, Thomas CHAUVINEAU - En 2025, seuls 23 % des Français déclarent avoir confiance dans l'actuel président de la République. Dissolution, motions de censure… Les remous politiques qui ont traversé la France ces derniers mois n'ont pas été sans conséquences. Le Président est-il le grand fautif ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En République centrafricaine, les inquiétudes sur l'état de santé du chef de l'État se sont dissipées. Faustin-Archange Touadéra se porte bien et sera candidat à l'élection présidentielle de décembre prochain. C'est ce qu'affirme l'un de ses proches sur RFI. Évariste Ngamana est à la fois le premier vice-président de l'Assemblée nationale et le porte-parole du parti au pouvoir MCU, Mouvement Cœurs Unis. En ligne de Bangui, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier et s'exprime d'abord sur la catastrophe qui a provoqué la mort de 20 personnes dans la capitale centrafricaine, le 25 juin dernier. RFI : Le 25 juin, c'était le jour des examens au lycée Barthélemy Boganda de Bangui. Il y a eu une bousculade mortelle qui a tué 20 personnes, dont 19 lycéens. À l'origine de cette tragédie, il y a eu l'explosion d'un transformateur électrique. Que répondez-vous à l'opposition qui dénonce votre irresponsabilité, à vous les autorités centrafricaines, et qui vous accuse d'avoir « failli à votre devoir de garantir la sécurité des élèves » ? Évariste Ngamana : C'est faux et archi-faux, ce que dénonce l'opposition. Il s'agit ici d'une récupération politique. Nous regrettons tous ce qui s'est passé au niveau du lycée Barthélemy Boganda, mais cet accident malheureux est dû à une explosion du transformateur qui se situe dans l'enceinte même de ce lycée. Et au moment où les élèves composaient, le personnel de l'Enerca, la société nationale d'électricité, est passé faire des travaux d'entretien et c'est par la suite qu'il y a eu cette explosion. Donc une enquête est en cours. Le directeur général de l'Enerca, il est mis aux arrêts et il est entendu, ses collaborateurs sont entendus et si leur responsabilité est établie, à ce moment-là, ils vont être placés sous mandat de dépôt. Mais le cas échéant, ils vont être purement et simplement relâchés. Donc, nous laissons la justice faire son travail et, à l'issue, nous saurons qui a fait quoi. Pour la première fois depuis 1986, c'est-à-dire depuis presque 40 ans, l'État centrafricain veut organiser cette année des élections locales. La date est fixée au 31 août, mais l'expert des Nations unies Yao Agbetse dit que cette date est compromise par « de sérieux obstacles opérationnels » ... Vous savez que nous avons des calendriers qui ont été établis par l'Autorité nationale des élections et, effectivement, l'ANE a connu quelques problèmes liés à des questions techniques. Le gouvernement, ainsi que l'Autorité nationale des élections, sont à pied d'œuvre. Une alternative est en train d'être trouvée et, pour ce qui me concerne, je pense qu'il y aura un léger décalage par rapport à cette date, lié à ces problèmes techniques qui sont en train d'être réglés. Dès lors que la liste définitive va être publiée, à ce moment-là, nous saurons à quelle date ces élections locales vont être organisées. La liste définitive des électeurs ? Effectivement. Alors, vous dites que ces élections locales vont sans doute être décalées. Est-ce à dire qu'elles auront lieu après l'élection présidentielle et les élections législatives prévues le mois de décembre prochain ? Oui, pourquoi pas. Nous avons attendu depuis plus de 40 ans. Je pense qu'il n'y a pas feu en la demeure. L'essentiel, c'est que ces élections soient organisées. Lors de cette élection présidentielle, est-ce que le président Touadéra sera bien candidat à un nouveau mandat ? Le parti MCU a prévu d'organiser son congrès du 25 au 26 juillet et c'est au cours de ce congrès-là que le Mouvement Cœurs Unis va investir son candidat. Et pour moi, il ne fait aucun doute que cela soit le président Touadéra. Alors, il y a tout de même eu des inquiétudes au sujet de la santé du chef de l'État, puisque le 21 juin, il est parti en Belgique pour se faire soigner. Qu'est-ce qui s'est passé ? Pour moi, le chef de l'État reste un humain susceptible d'être malade, d'avoir eu quelques maux de tête, ce n'est pas un extraterrestre. Mais cette rumeur vient du fait de la manipulation de l'opposition qui n'espère que la mort du président. Mais c'est Dieu qui détient la vie de tout le monde. Donc, puisque l'opposition est en perte de vitesse, donc cette rumeur, cette manipulation est du fait de l'opposition. Mais le président se porte bien, vous l'avez vu, il a participé au sommet de l'Alliance Gavi [à Bruxelles le 25 juin]. Il est revenu au pays. Il était au chevet des accidentés du lycée Boganda. Le week-end, il a reçu les parents des élèves qui sont décédés. Il est en train de mener à bien sa mission. Il se porte bien et, au moment venu, il sera candidat. Il y a quand même eu une certaine inquiétude, je crois, le 21 juin. Nos confrères d'Africa Intelligence précisent qu'il a été évacué en urgence vers la Belgique à bord d'un jet médicalisé Bombardier Challenger… Ce que Africa Intelligence dit n'engage que Africa Intelligence, mais je vous dis que le président a profité de son séjour à Bruxelles pour faire quelques bilans de santé. Et la preuve, c'est que, quelques jours après, vous l'avez vu, il était présent à ce sommet de l'Alliance Gavi. Il est rentré au pays, il se porte bien. Voilà. N'a-t-il pas eu un malaise soudain lors d'une réunion ministérielle à Bangui, comme le disent nos confrères d'Africa Intelligence ? Je dis que ceux qui parlent là, ils n'ont jamais eu quelque chose dans leur vie, ne serait-ce qu'un mal de tête. Donc pour moi, ce sont des détails inutiles. Aujourd'hui, il y a un élément factuel qui est là. Le président de la République se porte très bien, il est en train de travailler comme d'habitude et le reste n'est que des supputations pures et simples.
« Qui l'eût cru ? Donald Trump qui s'intéresse subitement aux intérêts africains ! ». Ce cri de surprise feinte, voire ironique, c'est celui du Pays aujourd'hui, alors que le chef d'État s'apprête à accueillir cinq homologues du continent pour parler économie et commerce : le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Gabonais Brice Oligui Nguema, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le Libérien Joseph Boakaï. Dernière étape en date d'une séquence décidément très africaine pour les États-Unis, puisque le journal burkinabè rappelle que, fin juin, « l'administration Trump avait réuni plusieurs chefs d'État et de gouvernement à Luanda en Angola » et qu' « il se dit également qu'un sommet plus large est prévu pour se tenir en septembre ». Au Gabon, l'Union, se félicite de cette réunion, véritable témoignage, selon le quotidien proche du pouvoir, « de la volonté de l'administration Trump d'institutionnaliser des partenariats gagnant-gagnant, (…) loin de toute forme d'aide ou d'assistance ». Une coopération équilibrée, vraiment ? Le Pays n'y croit pas trop… et Aujourd'hui au Faso non plus, avec cette interrogation : « pourquoi le choix de ces cinq pays, lesquels ont sans doute un partenariat avec l'oncle Sam, mais pas gigantesque au point d'être préférés par exemple à la RDC, au Rwanda ou au Kenya ? ». Pour Le Pays, si le président américain se met à courtiser ces États « qu'il a royalement ignorés au cours de son premier mandat », c'est que « quelque chose a changé » … tout simplement, juge le journal, Donald Trump a compris qu'il « pouvait faire de bonnes affaires avec l'Afrique ». Contrebalancer la montée en puissance des Brics Brics qui se sont, eux aussi, réunis cette semaine. Or, rappelle Aujourd'hui au Faso, ce regroupement informel est « l'alternative au mastodonte du système occidental et américain, » qui « essaie de se frayer un chemin »… Particulièrement face à un chef d'État « qui rythme la géopolitique mondiale » entre autres grâce à des « sanctions douanières punitives sur l'acier, les métaux [ou] le numérique ». Sanctions qui visent tout particulièrement l'Afrique du Sud… Et pour Jeune Afrique, il ne faut pas s'y tromper : cet « acharnement » pourrait bien, justement, « s'expliquer par l'appartenance [de Pretoria] au groupe des Brics », qui organisait son sommet juste avant que le couperet ne tombe. Le quotidien sud-africain Mail & Guardian met toutefois en garde contre toute position de victime : « la faute ne peut pas être placée uniquement sur les États-Unis ; les pays des Brics devraient aussi se regarder dans le miroir, et évaluer comment approfondir leurs interactions commerciales », actuellement limitées, juge le journal, « par les droits de douane prohibitifs qu'ils s'imposent les uns aux autres ». Qu'ils le veuillent ou non, ils n'ont pas le choix : « la posture ferme adoptée par les autorités américaines nécessite cette approche, qui est (…) vitale pour la durabilité à long terme des Brics ». Et Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose : « c'est bien, ces grandes entités pour contrer le diktat des pays puissants, mais le continent devrait d'abord muscler des organisations telles l'Union africaine » pour faire valoir ses propres intérêts, face aux intérêts individuels des uns et des autres, car « le tout n'est pas égal à la somme des parties ». De nouvelles relations au détriment d'un partenaire historique L'Europe qui semble reléguée au second plan… D'où cette question de Jeune Afrique : le vieux continent « a-t-il encore un rôle à jouer » sur le sol africain ? À force d'« annonces peu concrètes », de « mauvaises cartes », et de refuser de reconnaître les parties les plus sombres de son histoire, le continent « perd du terrain », analyse l'hebdomadaire. D'autant que, sans chef d'orchestre et sans partition, l'Europe joue des « polyphonies inaudibles » et « donne l'impression d'hésiter » en n'étant plus ni « puissance militaire assumée, ni modèle politique envié, et sans soft power unifié ». Bref, l'Europe « prétend encore jouer le rôle de partenaire principal », alors même qu'elle risque, assène enfin l'hebdomadaire, « de sortir de l'histoire qui s'écrit », en se contentant de « "vendre" sa proximité historique ou ses valeurs ». En tout cas, conclut JA, « l'Afrique, elle, n'attend plus : elle choisit, refoule, renégocie ».
Dans cet épisode très attendu du podcast immobilier d'Afrique, Mark SAINT-JULIEN reçoit Farimata BADIANE pour dévoiler les coulisses du crédit bancaire en Afrique. Le secteur bancaire reste souvent méconnu, opaque et complexe, ce qui génère beaucoup de méfiance et de questions. Il est difficile d'accéder à des informations claires et précises, et parfois, on hésite même à poser les bonnes questions, de peur d'être impressionné par la banque ou de passer pour naïf.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:13 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Emmanuel Macron retrouve son droit de dissolution. Il le fait savoir. Une manière de prolonger son pouvoir, très affaibli.
Jean-Christophe Buisson analyse les récentes déclarations d'Emmanuel Macron lors d'un événement des Jeunes En Marche. Le président semble vouloir garder la main sur sa succession, au détriment de son fidèle lieutenant Gabriel Attal. Cette intervention surprise soulève des questions sur les ambitions présidentielles de Macron pour l'avenir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Natacha Mougel avait vingt-neuf ans quand elle a croisé la route du dénommé Alain Penin, seulement quatre ans de plus qu'elle. Un soir de l'été 2010, la vie de cette joggeuse s'est ainsi arrêtée. Un crime barbare perpétré à coups de tournevis. Le meurtrier va être rapidement arrêté. On va s'apercevoir que cet homme n'en était pas à son coup d'essai. Il avait déjà violé une jeune femme. Condamné pour cela aux assises et libéré bien avant d'avoir purgé sa peine. Les psychiatres estimaient que cet homme était revenu dans le droit chemin. Qu'il n'était pas dangereux. Et qu'il y avait peu de chances qu'il récidive.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Emmanuel de Villier débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
www.impolyglot.comOn revient sur la fameuse baffe de Brigitte sur notre beau petit président ! Quelle actualité de zinzin !
[MÉTAMORPHOSE PODCAST] Anne Ghesquière reçoit le Pr Philippe Humbert, dermatologue, interniste et professeur de médecine. Fatigue inexpliquée, démangeaisons, eczéma, cystites à répétition, troubles digestifs… Et si ces symptômes étaient causés non par le stress, mais par des parasites ? Comment les repérer et s'en débarrasser ? Le Pr Philippe Humbert explore le sujet à travers des cas cliniques édifiants, propose une autre lecture de nos troubles chroniques et plaide pour une médecine de terrain à l'écoute des murmures de l'organisme. Son livre, Les Parasites. Ces hôtes invisibles qui envahissent notre corps, est préfacé par le Pr Joyeux et publié chez Guy Trédaniel. Épisode #604ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Quelques citations du podcast avec le Pr Philippe Humbert :"Chaque fois qu'il y a des démangeaisons, il faut penser parasite.""Ce n'est pas parce qu'on ne voit rien qu'il n'y a rien, nous avons d'autres moyens de savoir ce qu'il se passe.""Ce n'est pas parce qu'on n'a pas les preuves absolues qu'on ne peut pas nous médecins imaginer penser et traiter."Thèmes abordés lors du podcast avec le Pr Philippe Humbert :00:00 Introduction04:17 Qu'est-ce qu'un parasite ?06:00 Parasite et recherche scientifique07:15 Comment un parasite s'introduit-il dans l'organisme ?08:59 Présence de parasite en France09:58 Les signaux qui doivent nous alerter12:47 Les errances médicales15:12 Parasites dormants et diagnostic18:26 Comment détecter les parasites ?25:09 Les maladies mimées par les parasites30:57 Parasitose et maladie auto-immune33:17 Faut-il se vermifuger ?37:47 Vermifuger les animaux domestiques39:39 Les causes parasitaires de l'asthme42:59 Mononucléose et parasite43:21 Les dangers du poisson cru44:18 Prévenir la porosité intestinale46:05 Traitement50:23 Le Candida51:07 Peut-on recourir à la naturopathie ?53:08 Le rôle de la congélation et de la cuisson54:48 L'importance de l'examen clinique58:06 IA et diagnosticDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez un mercredi sur deux la newsletter Métamorphose avec des infos inédites sur le podcast et les inspirations d'AnneFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les "grands" de ce monde sont réunis en ce moment à La Haye, aux Pays-Bas, pour le sommet de l'Otan, avec Donald Trump notamment. Le Président américain a exigé que les pays augmentent leurs dépenses militaires pour y consacrer au moins 5% de leur PIB. Sinon, il menace de ne pas défendre ceux qu'il considèrera comme des mauvais payeurs. En France, l'industrie de l'armement fonctionne à plein régime, comme en témoigne ce reportage chez KNDS à Roanne.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Mourad Boudjellal et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Président Trump est LA PIÈCE maîtresse sur l'échiquier mondial, tout comme il est LA PIÈCE maîtresse des États-Unis. Hier matin dans cette même colonne, je revenais sur le fait qu'en moins de 4 jours, il avait montré la puissance de feu américaine, détruit les sites d'enrichissement nucléaires iraniens, pris le contrôle de la guerre … Continued
Charles Robin est philosophe et créateur de la chaîne YouTube « Le Précepteur », qui réunit aujourd'hui plus d'un million d'abonnés. Il s'est dernièrement intéressé à une thématique aussi fascinante que complexe : le hasard. C'est donc tout naturellement que j'ai eu envie de l'inviter pour plonger dans cette notion que nous utilisons tous, parfois à tort, souvent avec mystère.Dans cet épisode, nous nous interrogeons ensemble : est-ce que le hasard existe vraiment ? Ou est-ce simplement un mot que nous utilisons pour désigner ce que nous ne comprenons pas ? Charles, avec son approche pédagogique et nuancée, nous entraîne sur les traces de Spinoza, Sartre, Jung et d'autres penseurs majeurs pour explorer le déterminisme, la liberté, le sens et nos conditionnements, aussi bien sociaux que biologiques.J'ai voulu comprendre avec lui si donner du sens à une coïncidence était un acte rationnel ou une nécessité psychologique. Nous avons parlé de synchronicités, de loi de l'attraction, de spiritualité, mais aussi du besoin très humain de croire que certaines choses sont "destinées". Car au fond, dans un monde incertain et parfois brutal, n'est-ce pas réconfortant de penser que les signes existent pour nous guider ?Avec beaucoup de sincérité, Charles partage aussi son parcours : comment il a commencé à publier des vidéos de philo à une heure du matin, sans plan de carrière, juste porté par une envie de transmettre. Il parle de ses inspirations, de ses lectures, de ce que la philosophie peut nous apporter dans nos vies très concrètes, à travers nos relations amoureuses, nos colères en voiture ou nos moments d'échec.Ce que j'ai particulièrement aimé dans cette discussion, c'est cette manière de ramener la pensée philosophique dans notre quotidien, avec simplicité et honnêteté. Nous avons aussi exploré des sujets qui me sont chers : la liberté réelle (ou illusoire), la responsabilité individuelle, le regard que l'on porte sur soi et sur les autres, et cette capacité à prendre du recul, à observer nos propres conditionnements pour mieux avancer.Un échange dense, humain, et profondément inspirant. À écouter si vous vous êtes déjà demandé pourquoi certaines choses vous arrivent, ou si vous voulez simplement apprendre à mieux comprendre votre propre façon de voir le monde.Citations marquantes“On ne se croit libre que parce qu'on ignore qu'on est déterminé.” — Charles Robin“Prendre les choses personnellement, c'est croire que l'autre agit contre nous.” — Charles Robin“Le fatalisme, c'est attendre que le destin fasse à notre place.” — Charles Robin“L'émotion, c'est le mouvement de l'âme.” — Charles Robin“La liberté, c'est ce moment d'inconfort où tu dois choisir.” — Charles RobinLes grandes questions posées Pourquoi avoir choisi le thème du hasard pour ton TED Talk ?Quelle est la vision de Spinoza sur le hasard ?Peut-on vraiment être libre si tout est déterminé ?En quoi la spiritualité et l'ésotérisme peuvent-ils mener à la philosophie ?Est-ce que prendre les choses personnellement est une erreur ?Peut-on forcer le destin ?Quelle différence fais-tu entre déterminisme et fatalisme ?L'amour est-il un terrain privilégié pour comprendre nos conditionnements ?Comment es-tu venu à faire de la philosophie sur YouTube ?Est-ce que donner du sens au hasard est vital pour les humains ?Timestamps YouTube00:00 – Introduction sur le hasard et la loi de l'attraction01:21 – Rencontre avec Charles Robin, aka Le Précepteur03:00 – Pourquoi choisir le hasard comme thème de vulgarisation ?05:30 – Synchronicités, clins d'œil de la nature et perception08:40 – Spinoza : le hasard comme ignorance des causes11:00 – Liberté, déterminisme et responsabilité selon Spinoza17:00 – Les Accords Toltèques et la rationalisation des émotions23:00 – Conditionnements biologiques et sociaux29:00 – L'impact des biais cognitifs sur notre perception35:00 – L'émotion : expression du mouvement intérieur38:00 – Le déterminisme comme participation au réel45:00 – Perception sélective et réalité subjective52:00 – Science, croyance et besoin de sens56:00 – Origine de la chaîne YouTube “Le Précepteur” Suggestion d'autres épisodes à écouter : #277 Le pouvoir de la mémoire : vivre avec son passé pour avancer avec Charles Pepin (https://audmns.com/kymWSYh) #160 Comment gérer la violence actuelle de la société? avec Marie Robert (https://audmns.com/oJoWbXn) [BEST-OF] Comment ne pas être esclave de la société? avec Alexandre Lacroix (https://audmns.com/cWqkPXv)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Ouganda, le président Yoweri Museveni, au pouvoir depuis 1986, sera candidat à sa réélection lors du scrutin prévu en janvier 2026, a indiqué mardi son parti.
durée : 00:24:54 - Le président iranien annonce "la fin de la guerre de 12 jours imposée" à son pays
On attendait le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye. C'est finalement le Sierra-Léonais Julius Maada Bio qui a été choisi pour présider pendant un an la Cédéao, l'organisation sous-régionale de l'Afrique de l'Ouest. La décision a été prise dimanche, lors d'un sommet à Abuja, au Nigeria. Pourquoi ce choix ? Quelles seront les priorités de ce président africain qui, à la différence de beaucoup de ses pairs, a promis de ne pas se représenter pour un troisième mandat ? Le chercheur sénégalais Pape Ibrahima Kane est un spécialiste des questions régionales en Afrique. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : C'est le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye qui était fortement pressenti pour prendre la tête de la Cédéao au nom de l'alternance anglophone francophone. Mais finalement, c'est le Sierra-Léonais, Julius Maada Bio qui a été choisi. Pourquoi cette désignation surprise ? Bon, je sais que la Cédéao est dans une dynamique de négociation avec l'Alliance des États du Sahel, l'AES, un militaire parlant à des militaires, c'est peut-être une bonne méthode d'approche de la situation. D'autant plus qu'il y a beaucoup, beaucoup de méfiance entre la Cédéao et les États de l'AES. Ces éléments-là ont certainement dû jouer depuis un an. Les lignes commencent à bouger et il y a à peine dix jours qu'une réunion s'était tenue à Accra et qui avait réuni beaucoup, beaucoup d'acteurs, aussi bien des États de l'AES que des États de la Cédéao. Et les choses se sont très très très bien passées. Les lignes bougent. Rappelez-vous l'interview que le ministre des Affaires étrangères du Mali a récemment fait à une télévision togolaise. Mais l'approche était totalement différente de ce qu'il y avait il y a un an. Oui, dans cette interview, le ministre malien Abdoulaye Diop a déclaré que les trois États de l'AES entraient dans une phase d'apaisement et de réalisme avec la Cédéao. Il a appelé à la conclusion rapide d'un accord sur les questions commerciales et la libre circulation des personnes. Est-ce à dire que les trois États de l'AES veulent garder les avantages de la Cédéao tout en quittant l'organisation ? Tout à fait. Je pense que, avec la situation qui prévaut sur le terrain, notamment au plan sécuritaire et aussi au plan économique, les États de l'AES réalisent que les choses ne sont pas aussi faciles. Et je pense que la réunion qui s'est tenue à Bamako entre le président de la Commission et les ministres des Affaires étrangères a vraiment permis de déblayer le terrain. Et comme l'a dit le président Tinubu dans son discours, il pense que tôt ou tard, les trois pays reviendront dans la maison mère. Alors, vous l'avez dit, Julius Maada Bio est un ancien militaire putschiste qui s'est converti à la démocratie puisqu'il y a presque 30 ans, il a quitté volontairement le pouvoir, puis il a été élu deux fois démocratiquement et promet aujourd'hui de ne pas faire de troisièmes mandats. Est-ce à dire que sur les questions constitutionnelles, il sera vigilant avec les onze autres États membres de la Cédéao ? Il est obligé d'être vigilant parce qu'aujourd'hui, c'est lui qui est le gardien du respect de toutes les règles communautaires que la Cédéao s'est donnée en la matière. Vous avez rappelé qu'il a lui-même décidé de ne pas faire un troisième mandat et donc son rôle en tant que président en exercice, c'est de s'assurer au moins que la Cédéao respecte la démocratie et respecte les droits de l'homme. Et si, par exemple, Alassane Ouattara sollicite un quatrième mandat à la tête de la Côte d'Ivoire, est-ce que vous pensez que son homologue sierra-léonais fera une observation ? La communauté sera obligée de se prononcer sur cette question. Parce que si nous sommes là, c'est parce qu'un certain nombre de règles n'ont pas été respectées. C'est parce que beaucoup de présidents se sont donné la liberté de faire ce qu'ils voulaient. Maintenant, on va voir si Julius Maada Bio est le président de la Commission, M. Touré, vont être courageux pour mettre les dirigeants devant leurs responsabilités. Ce qui s'est passé au Togo, ces manipulations de constitution. Un président qui quitte le poste de président pour devenir Premier ministre, simplement pour rester au pouvoir, ce sont des choses qui ne doivent pas être acceptées dans une région. La Cédéao doit montrer cela aux dirigeants de manière à ce que le déficit de confiance qu'il y a entre la Cédéao et les populations, que ce déficit-là s'amenuise. Et si, contrairement à sa promesse initiale, le général Mamadi Doumbouya se présente à la future présidentielle en Guinée ? Est-ce que vous pensez que son voisin de Sierra Leone sortira le carton jaune ? Cette question ne relève pas seulement de la Cédéao, elle relève aussi de l'Union africaine. Si vous vous rappelez, il y a deux présidents militaires qui ont fait leur retour sur la scène africaine grâce à l'Union africaine. Il y a le président du Tchad qui a fait un coup d'État et qui maintenant est accueilli au sommet de l'UA. Vous avez le président du Gabon qui a fait un coup d'État et qui a été adoubé par ses pairs. Donc, ce n'est pas seulement une question de la Cédéao, c'est aussi une question de l'Union africaine. Il faut que l'on ferme définitivement l'ère des régimes militaires en refusant totalement cette civilisation des régimes militaires. Ce n'est pas dans l'intérêt des populations, ce n'est pas dans l'intérêt de l'Union africaine, ce n'est pas dans l'intérêt de la démocratie en Afrique. À lire aussiCédéao: les défis qui attendent le nouveau président Julius Maada Bio
Les tensions sont toujours vives entre Israël et l'Iran, malgré un cessez-le-feu annoncé par Donald Trump et accepté ce matin par les deux parties. Le Président américain a accusé les 2 pays et particulièrement Israël de ne pas avoir respecté cette trêve. Il est attendu à La Haye au sommet de l'OTAN où les membres s'apprêtent à s'engager sur une hausse historique de leurs dépenses de défense.
Le président malien Assimi Goïta, a rencontré lundi au Kremlin le président Vladimir Poutine, lors d'une visite officielle en Russie destinée à "renforcer" les liens entre son pays et Moscou.
Pour retrouver l'ouvrage du Pr Philip https://www.albin-michel.fr/antideprime-9782226494207______Vidéo produite par HugoDecrypteEntretien écrit et mené par Hugo TraversAvec la participation du Pr Pierre PhilipJournalistes : Samy Rabbata Hugo TraversDirectrice de production : Marie DelvalléeChargé de production : Clément ChauletAssistants de production : Noé Périquet, Amandine BarCadreurs : Vanon Borget, Benjamin CarrionIngénieure du son : Inês Dos SantosMaquilleuse : Kim DesnoyersMonteuse : Manon LanglaisÉtalonnage : Toutes voiles dehors - Hugues DardartMiniature : Oncle SidMixage : Florent SimonHD MEDIA / UNFOLD PRODUCTION 2025 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le président de la transition guinéen, le général Mamadi Doumbouya, a vanté à Abidjan la "stabilité politique comme pierre angulaire du développement", à six mois d'une présidentielle attendue dans son pays. "Notre voeu est de voir la Guinée retrouver son luxe d'antan et poursuivre sa marche vers le progrès économique et social", a lancé le président ivoirien Alassane Ouattara, souhaitant des "élections apaisées" dans les deux pays.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du tacle de Donald Trump à Emmanuel Macron.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout le monde désire être heureux. C'est en tout cas ce que nous prétendons. Mais dès qu'on se penche sur la manière dont nous nous comportons au quotidien, il semble que nous soyons experts dans l'art de gâcher notre bonheur. Dans son livre « Faites vous-même votre malheur », le psychologue autrichien Paul Watzlawick nous confronte à ces schémas de comportement par lesquels, consciemment ou non, nous nous rendons malheureux. L'occasion de réfléchir sur notre rapport au bonheur et, surtout, sur les moyens concrets d'y accéder.Sommaire :00:00 - Introduction06:02 - 1 : Soyez obstinés10:54 - 2 : Vivez dans le passé15:42 - 3 : Soyez pessimistes20:42 - 4 : Ayez peur de tout25:37 - 5 : N'allez jamais au bout des choses30:32 - ConclusionVous pouvez me soutenir :★En devenant contributeur sur Patreon : https://www.patreon.com/leprecepteurpodcast Vous pourrez ainsi accéder au podcast sans pub et en avant-première et surtout à mon contenu inédit ! ★Ou en faisant un don ponctuel sur PayPal : http://paypal.me/leprecepteurpodcast Pensez à laisser une note et un avis sur la plateforme de podcast où vous m'écoutez. Cela prend quelques secondes, et c'est un geste très utile pour le référencement du podcast ! Et bien sûr, continuez à partager les émissions que vous préférez sur vos réseaux sociaux.Le Précepteur Podcast a été créé pour vous et continuera d'exister grâce à vous.(Pour toute demande : leprecepteurpodcast@gmail.com)---Envie d'aller plus loin ? Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à tout mon contenu supplémentaire.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
durée : 00:04:44 - Le Reportage de la rédaction - Le taux de fécondité des femmes turques est au plus bas en cette année décrétée Année de la famille. Le président Erdogan part en croisade contre la pratique des césariennes au plus haut parmi les pays de l'OCDE. Mais est-ce le bon combat ? Pourquoi les femmes turques ne font-elles plus d'enfant ?
À l'approche des Jeux Olympiques de 2024, Christine Bravo était très inquiète pour sa péniche. Le Président menaçait de faire enlever ! Elle était prête à faire un blocus sur la Seine... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le théologien de Bruxelles a poussé loin son analyse sociologique des milieux mourides, mettant en lumière une problématique d'une grande acuité : la carence manifeste de spiritualité chez certains taalibés. Cette insuffisance, selon lui, se traduit par la prolifération de comportements déviants tels que la jalousie, la haine, la rancœur et un esprit d'hostilité, perceptibles tant chez certains conférenciers prétendument moralisateurs que chez des kourelmans et chanteurs de khassaïdes. Ces attitudes trouvent souvent leur origine dans des rivalités malsaines, alimentées par des quêtes de notoriété ou de légitimité.Face à ce constat alarmant, le théologien insiste sur la nécessité impérieuse de reconnaître cette réalité amère et d'y apporter des réponses structurelles et spirituelles. À ses yeux, la solution réside dans un retour sincère et profond aux enseignements du fondateur du Mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké. Il plaide ainsi pour une réappropriation de l'éducation spirituelle qui avait caractérisé la première génération de mourides, fondée sur le dépouillement de l'ego, la discipline intérieure, le service désintéressé et l'amour du prochain.Dans cette perspective, le professeur appelle à l'instauration d'un véritable dialogue spirituel au sein de la communauté mouride. Ce dialogue, selon lui, doit permettre un ressourcement collectif autour des valeurs cardinales du soufisme mouride, aujourd'hui souvent mises à mal, notamment sur les réseaux sociaux. Il déplore en effet que des membres d'une même confrérie, censés être unis par un idéal de fraternité et d'élévation spirituelle, se livrent publiquement à des invectives, à des propos injurieux et à des dénigrements sans retenue, révélateurs d'une crise morale profonde.Samedi 31 mai 2025 à Lille
Pour découvrir le podcast Le Précepteur:https://open.spotify.com/show/4Lc8Fp7QAVsILrKZ41Mtbu?si=w28n3PRPSIuguRE4SQVMlQ--------------------------------Voilà une question qui surprend souvent… et qui ouvre la porte à une riche symbolique, entre tradition, pouvoir et spiritualité.D'abord, précisons une chose : tous les papes n'ont pas toujours porté des chaussures rouges. Mais cette tradition remonte très loin dans l'histoire de l'Église catholique, et elle est profondément chargée de sens.Une couleur impériale… et divineLe rouge est d'abord la couleur du sang. Mais dans le contexte ecclésiastique, il renvoie au sang des martyrs — ces premiers chrétiens qui ont versé leur sang pour leur foi. En portant des chaussures rouges, le pape marche symboliquement dans les pas de ceux qui sont morts pour le christianisme. C'est un rappel constant que sa mission est aussi un sacrifice.Mais le rouge est aussi, dans l'Antiquité romaine, la couleur du pouvoir impérial. Les empereurs romains portaient souvent des sandales ou des tuniques rouges pour affirmer leur autorité. L'Église, en héritant de certains codes visuels de l'Empire, a repris cette symbolique pour marquer l'autorité spirituelle du pape, chef de l'Église universelle.Une tradition fluctuantePendant des siècles, les papes ont porté des mules rouges brodées, parfois ornées de croix d'or. Sous Jean XXIII ou Paul VI, ces souliers faisaient partie intégrante de la tenue papale.Mais c'est Jean-Paul II qui, dans les années 1980, met temporairement de côté cette tradition. Il préfère des chaussures plus sobres, souvent marron ou noires. Ce n'est qu'avec Benoît XVI, amateur de liturgie traditionnelle, que les fameuses chaussures rouges font leur grand retour, créées par un cordonnier romain célèbre. Certains ont cru, à tort, qu'elles étaient signées Prada… ce qui a nourri quelques malentendus.En revanche, le pape François, connu pour son humilité, a de nouveau abandonné les chaussures rouges au profit de chaussures noires simples, symbole de modestie.Plus qu'un accessoireLes chaussures rouges du pape ne sont donc pas une coquetterie : elles sont un symbole de martyre, de pouvoir spirituel, et de continuité historique. Chaque pas du souverain pontife rappelle les souffrances du Christ, le poids de sa fonction, et la longue marche de l'Église à travers les siècles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.