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Série Routines & Rituels : “Une santé mentale au top !” avec le Pr Pierre Philip, psychiatre et expert international du sommeil. Comment le manque de sommeil agit-il sur nos pensées et nos émotions, et comment mieux dormir ? Le Pr Pierre Philip partage ses meilleurs conseils pour un bon sommeil.Bienvenue dans la série de [ROUTINES & RITUELS] avec le Pr Pierre Philip. Pendant 4 semaines, le Pr Pierre Philip et Anne Ghesquière explorent, chaque vendredi, des conseils concrets et des routines simples pour nourrir et protéger sa santé mentale. Ils abordent le sommeil, l'alimentation, le stress, les écrans, les thérapies, le brouillard mental… autant de thèmes essentiels pour retrouver clarté, énergie et équilibre au quotidien. Il est l'auteur des best-sellers : Antidéprime et Réapprendre à dormir (Albin Michel).ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Une citation avec le Pr Pierre Philip : "Avoir une forme de régularité dans ses pratiques sportives, alimentaires, sociales, c'est un assez bon garant de santé au sens large."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec le Pr Pierre Philip : 00:00Introduction03:15Rôle du sommeil pour le cerveau06:42Liens santé mentale / santé physique09:18Bon sommeil / bonne santé mentale10:19Combien d'heures de sommeil ?16:40 En cas de réveils la nuit ?18:18La définition exacte de l'insomnie19:39Un phénomène fluctuant21:12L'importance de la régularité23:56Faut-il se coucher avant minuit ?26:11Micro-sieste : positive ou pas ?29:00Favoriser l'endormissement32:25Objets connectés et orthosomnie36:09Agenda de sommeil38:17Les conditions d'un bon sommeil45:18Solutions thérapeutiques, médicamenteuses ou naturellesAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 10h, ce jeudi 4 décembre 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Chirinne Ardakani, avocate, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de : Marche sous la pluie, Macron a-t-il viré le préfet du Nord ?
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
durée : 00:04:10 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Droite et extrême droite accusent Emmanuel Macron de préparer un "label d'État" pour les médias, afin de contrôler l'information. C'est faux. Mais le chef de l'État devrait lui aussi s'interroger.
Face à la série "Menace imminente" sur TF1, à la série "La disparue de Compostelle" sur France 2 et au film "Mon nom est Personne" sur France 3, c'est M6 qui se hisse en tête des audiences de ce lundi soir grâce à l'émission "L'amour est dans le pré". Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Pérégrinations technologiques.Quête d'immortalité, cryogénisation, développement personnel, épuisement des ressources, pyropictomanie (ou encore plaisir pris dans les images de la dissipation d'énergie)… de l'Ouest américain à la côte Atlantique, sur fond de catastrophe climatique, rencontre avec les auteurs de deux ouvrages consacrés au tournant technologique que nous traversons. Comment ces écritures connectées à la pratique plastique et habitées par le déplacement saisissent-elles ce tournant ?Cette rencontre prend pour point de départ deux ouvrages qui abordent la technologie par le biais du déplacement. Le premier L'Être Plus, itinéraire pour devenir soi-même de Stéphanie Solinas (Seuil, Fiction & Cie, 2023) est un road trip à travers la Silicon Valley où se mène une course effrénée contre le temps et l'obsolescence humaine. L'autrice nous entraîne sur les routes de l'humain « augmenté » entre spiritualité, intelligence artificielle et quête d'immortalité. Le second Les images pyromanes, théorie-fiction des IA génératives (UV éditions, 2025) de Pierre Cassou-Noguès et Gwenola Wagon – un philosophe et une artiste – interroge les implications esthétiques et politiques des IA génératives à travers une série de contes spéculatifs dans lesquels un duo d'agents immobiliers imagine la réalité à l'aide de la plateforme, une IA générative d'images.Amphithéâtre des LogesJeudi 13 novembre 2025
Face à la série "Menace imminente" sur TF1, à la série "La disparue de Compostelle" sur France 2 et au film "Mon nom est Personne" sur France 3, c'est M6 qui se hisse en tête des audiences de ce lundi soir grâce à l'émission "L'amour est dans le pré". Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Volodymyr Zelensky a été reçu à l'Élysée aujourd'hui par Emmanuel Macron alors que des discussions diplomatiques se poursuivent entre Américains, Ukrainiens et émissaires proches de Donald Trump pour mettre fin à la guerre. Le Président français a réaffirmé son soutien à l'Ukraine, tandis que Zelensky fait face à la pression militaire russe et à un scandale de corruption qui a entrainé la démission de son bras droit. La semaine qui s'ouvre s'annonce "cruciale" pour l'Ukraine.
Chroniqueurs :Ophélie Roque, chroniqueuse et enseignanteJean-Michel Salvator, chroniqueur politique et communiquantHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que plusieurs grandes chaînes d’alimentation offrent désormais du poulet halal, parfois sans proposer d’option non halal, certains consommateurs cherchent à savoir où se procurer une dinde traditionnelle. Quels sont les points de vente disponibles ? Quelles sont les différences entre les types de dindes ? Et comment distinguer la qualité d’une volaille ? Entrevue avec Benoît Fontaine, président des Éleveurs de volailles du Québec. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:05:06 - L'invité de la rédaction de ICI Lorraine - Ce 1er décembre, c'est la Journée internationale de lutte contre le sida. Pour en parler, ICI Lorraine reçoit, ce lundi matin, le président de l'association AIDES dans notre région Lorraine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'origine du prénom Noël est plus ancienne et plus complexe qu'on l'imagine. Aujourd'hui associé à la fête du 25 décembre, il puise ses racines dans une évolution linguistique qui remonte au latin tardif et reflète des siècles de transformations religieuses, culturelles et phonétiques. À l'origine, le mot « Noël » n'est pas un prénom, mais un cri de célébration et un terme religieux signifiant la naissance du Christ.Tout commence avec l'expression latine dies natalis, qui signifie littéralement « jour de naissance ». Dans les premiers siècles du christianisme, cette formule est utilisée pour désigner la date anniversaire de la naissance de Jésus. Avec le temps, le latin liturgique évolue et l'expression devient natalis ou natalicia. Lors du passage vers les langues romanes, ce terme se transforme progressivement. En ancien français, on trouve des formes comme « nael », « naël », puis « noel ». Ce glissement phonétique, typique de l'évolution du latin populaire, s'accompagne d'un changement d'usage : le mot n'est plus seulement liturgique, il devient un terme courant pour désigner la fête elle-même.C'est à partir du Moyen Âge que « Noël ! » devient également un cri de joie, lancé lors de grandes célébrations royales ou populaires. Ce sens exclamatoire renforce la force symbolique du mot, qui devient alors porteur d'une idée de réjouissance et de renouveau. Le prénom apparaît dans ce contexte : on commence à appeler « Noël » les enfants nés le 25 décembre ou très proches de cette date. On retrouve cette pratique dès le XIIᵉ siècle dans les registres paroissiaux et, plus tard, dans les documents notariés.Le prénom Noël se répand surtout dans les régions francophones, mais connaît aussi des équivalents ailleurs en Europe. En Espagne, on trouve « Manuel », issu de l'hébreu Emmanuel mais associé par usage populaire à Noël. En Italie, le prénom « Natale » s'impose au même moment. Dans les pays anglophones, « Noel » est adopté plus tardivement, souvent comme prénom masculin mais aussi parfois féminin à partir du XXᵉ siècle.La symbolique religieuse du prénom reste forte jusqu'à l'époque moderne. Noël évoque non seulement la naissance du Christ, mais aussi l'idée de lumière dans la nuit, de commencement et d'espérance. À mesure que la fête se sécularise, notamment au XIXᵉ siècle, le prénom conserve cette nuance chaleureuse et festive qui le rend encore populaire aujourd'hui.Ainsi, le prénom Noël est le produit d'un lent cheminement linguistique et culturel reliant le latin dies natalis à l'ancien français, porté par la liturgie, les traditions et l'évolution des usages populaires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après le coup d'État en Guinée-Bissau, notre expert répond à toutes vos questions sur les raisons de ce putsch, le nouveau président investi, la réaction de la Cédéao, l'avenir du pays... Invité : Avec Francis Kpatindé, spécialiste de l'Afrique de l'Ouest et maître de conférences à Sciences Po Paris. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Aujourd'hui, elle revient sur les rivalités entre le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko qui rythment les réseaux sociaux depuis plusieurs semaines.
L'arrondissement de Saint-Laurent de Montréal a décidé de s’attaquer à une nuisance : le bruit excessif des voitures. Crissement de pneus, système d’échappement inefficace. Vous connaissez les radars de vitesses, mais saviez-vous qu’il existe les radars sonores aussi et des municipalités commencent à en installer au Québec. Pourraient-ils aider Montréal ? Entrevue avec Martin Robert, président d’Espacenet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le Savez-vous ? Nancy, c'est le podcast quotidien de l'Est Républicain consacré à la ville et à tout ce que vous ignorez sur elle.Un podcast raconté par Jean-Marie Russe basé sur les articles réalisés par la rédaction locale de Nancy. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pour avoir dit qu'une attaque chinoise contre Taiwan constituerait une « menace existentielle » pour le Japon, la première ministre japonaise encourt les foudres de Pékin depuis trois semaines. Taiwan est la question centrale des tensions en Asie de l'Est, avec Trump qui s'en mêle avec ambivalence. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:24:45 - Journal de 18h - Au premier jour de son voyage en Turquie, le souverain pontife a pris la défense des quelques milliers de chrétiens encore présents dans ce pays largement islamisé. "Il est fondamental d'honorer la dignité et la liberté de tous les enfants de Dieu", a dit Léon XIV au président turc.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pour avoir dit qu'une attaque chinoise contre Taiwan constituerait une « menace existentielle » pour le Japon, la première ministre japonaise encourt les foudres de Pékin depuis trois semaines. Taiwan est la question centrale des tensions en Asie de l'Est, avec Trump qui s'en mêle avec ambivalence. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:24:45 - Journal de 18h - Au premier jour de son voyage en Turquie, le souverain pontife a pris la défense des quelques milliers de chrétiens encore présents dans ce pays largement islamisé. "Il est fondamental d'honorer la dignité et la liberté de tous les enfants de Dieu", a dit Léon XIV au président turc.
Quel a été le parcours du Pr Jean-François Delfraissy entre immunologie, santé publique et éthique ? Quels liens peut-on établir entre les équilibres biologiques et les dilemmes éthiques ? Quels sont aujourd'hui les grands enjeux éthiques en santé, du consentement à l'intelligence artificielle ? Comment anticiper les défis éthiques de demain dans un contexte de progrès scientifique et de tensions politiques ?Le Professeur Jean-François Delfraissy, immunologiste et président du Comité consultatif national d'éthique, nous éclaire à ce sujet, accompagné du Pr Jean Sibilia, doyen de la faculté de médecine de Strasbourg et co-animateur de cette table ronde.Nos invités déclarent ne pas avoir de lien d'intérêt en rapport avec le sujet traité.L'équipe :Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Véronique Gaud Listrat, Dr Nicolas Poursac, Dr Céline Vidal, Dr Margaux Moret, Dr Roba Ghossan.Animation : Marguerite de RodellecProduction : MedShake StudioSoutien institutionnel : Pfizer
durée : 00:47:56 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, Paul Deschanel, nuit de folie et train d'enfer pour le président. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Des militaires en Guinée-Bissau ont annoncé mercredi avoir pris le "contrôle total du pays", arrêté le président sortant et suspendu le processus électoral, alors que le pays attendait les résultats de la présidentielle et des législatives. Le président Umaro Sissoco Embalo affirme à France 24 : "J'ai bien été renversé, je ne peux pas trop parler car sinon ils vont me confisquer mon téléphone. Je suis actuellement à l'état-major".
durée : 00:20:22 - Journal de 12h30 - Le Président sera dans l'enceinte de la 27e brigade d'infanterie de Montagne de Vars, près de Grenoble, vingt-neuf ans après la décision de Jacques Chirac de mettre un terme à la conscription. - invités : Bénédicte Chéron Maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l'Institut catholique de Paris
Invité : Éric Ciotti, président de l'Union des droites pour la République député des Alpes-MaritimesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:22 - Journal de 12h30 - Le Président sera dans l'enceinte de la 27e brigade d'infanterie de Montagne de Vars, près de Grenoble, vingt-neuf ans après la décision de Jacques Chirac de mettre un terme à la conscription. - invités : Bénédicte Chéron Maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l'Institut catholique de Paris
Face à la série "Menace imminente" sur TF1, au téléfilm "Mort sur terre battue" sur France 2 et au film "Pale Rider, le cavalier solitaire" sur France 3, c'est M6 qui se hisse en tête des audiences de ce lundi soir grâce à l'émission "L'amour est dans le pré". Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre invité Afrique ce lundi matin est le président centrafricain Faustin-Archange Touadéra. Le 28 décembre prochain, il briguera un troisième mandat à la tête du pays, face à six autres candidats. Organisation des élections, validation des opposants par le Conseil constitutionnel, accord avec les groupes armés, situation socio-économique, relations avec les Émirats arabes unis et la Russie… Il a abordé tous ses sujets avec François Mazet à Bangui. RFI : Monsieur le président, le 28 décembre, vous allez briguer un nouveau mandat à la tête de la République centrafricaine. Pour vous, cette candidature, c'était une évidence ? Faustin-Archange Touadéra : Effectivement, j'ai fait acte de candidature à cette élection. Le peuple centrafricain et ses communautés ont organisé des marches pour solliciter le fait que je puisse faire acte de candidature. Mais voyez-vous, cela fait suite à toutes les actions que nous avons menées pendant les deux derniers mandats, durant lesquels le pays était dans une très grande difficulté. Nous avons pu avoir des accords de paix avec les 14 groupes armés. Évidemment, en face de tout ça, le peuple centrafricain pense qu'aujourd'hui, il y a la paix qui est revenue. Il y a le déploiement de l'autorité de l'État à l'intérieur du pays, des avancées notables dans le sens du bien-être du Centrafricain. Je ne dis pas que tout est parfait, mais nous avons fait un grand pas, nous relevons la tête. Alors, on va revenir sur certains points de votre bilan. Mais d'abord, c'est fort de ce bilan que vous êtes convaincu, comme le dit la chanson qui tourne déjà, que ça sera le coup KO au premier tour ? (Il rit) Ben évidemment ! Pour nos compatriotes, beaucoup pensent que ce sera au premier tour. Nous sommes conscients, évidemment, que c'est un acte, une action démocratique ! Eh bien, le jeu est ouvert et chaque camp essaie de convaincre le plus de Centrafricains à voter pour lui. Vous aurez six adversaires. Évidemment, deux noms ressortent ceux de messieurs Henri-Marie Dondra et Anicet-Georges Dologuélé qui, après des mois de conjectures, ont finalement été validés par le Conseil constitutionnel. Est-ce que c'est une bonne chose que cette élection réunisse quand même des personnalités d'importance qui peuvent venir remettre en cause votre leadership ? Je ne peux pas, en tant que candidat, émettre des avis sur la décision du Conseil constitutionnel. Je prends acte. Nous allons competir et on va demander aux Centrafricains de faire leur choix. Évidemment, les personnalités dont vous parlez ici ne sont pas inconnues. On verra bien le 28 décembre. En tout cas, messieurs Dondra et Dologuélé disent que jusqu'au bout, vous avez fait le maximum pour qu'ils ne puissent pas s'opposer à vous. Qu'est-ce que vous leur répondez ? Mais en faisant quoi ? Qu'est-ce que j'ai fait pour m'opposer à leur candidature ? Nous avons des lois, chaque individu doit se conformer à nos lois, à nos textes. Et pour ça, il y a des juridictions. Donc, en quoi puis-je interférer ou faire quoi que ce soit pour empêcher qui que ce soit de se présenter ? La preuve, c'est qu'aujourd'hui, le Conseil constitutionnel a donné un avis. Je prends acte. Alors, justement, le 28 décembre, il y aura un quadruple scrutin. C'est historique en Centrafrique. Est-ce que vous êtes confiant dans la capacité des institutions d'organiser ces élections dans les meilleures conditions possibles ? C'est un grand challenge pour le pays et c'est important. Normalement, les élections locales devaient être organisées bien avant. Malheureusement, il y a eu des difficultés techniques quant à la disponibilité du fichier électoral, puisque c'est la base même d'une élection. C'est vrai, c'est un grand défi. C'est une première, mais nous faisons confiance aux hommes et aux femmes qui travaillent dans ces institutions pour que la République centrafricaine sorte de cela vraiment grandie. Je ne dis pas que tout est rose, qu'il n'y a pas de problème, il y a des difficultés. Nous avons par exemple des difficultés financières pour soutenir un certain nombre d'actions. On a eu des promesses qui n'ont pas été tenues dans le cadre de la mobilisation des ressources. Mais l'État fait face à ça, parce que c'est un enjeu important pour la démocratie. Pour vous, la date du 28 décembre, est-elle gravée dans le marbre ? Nous avons la Constitution. La date du 28 est constitutionnelle. Au-delà, il n'y aura que du désordre. Dès qu'on va dépasser cette date, ils vont commencer par parler de transition, ils vont parler de venir partager le gâteau... Nous ne pouvons pas prendre le risque. Notre pays a connu des moments très difficiles et il nous faut tenir ce délai pour renforcer notre démocratie, respecter nos textes. Sur la question de la sécurité, vous avez commencé à l'aborder. Vous avez signé ces derniers temps des accords avec plusieurs groupes rebelles, encore cette semaine avec le MPC. Est-ce que vous êtes confiant quant au fait que, cette fois, ces accords seront respectés par toutes les parties, pas comme en 2019, 2020 ? Nous allons tout faire pour tenir nos engagements. C'est moi qui leur ai tendu la main, ce sont des fils du pays et je leur ai dit : "Votre lutte, là, je ne comprends pas les objectifs." Eh bien, ils sont d'accord. Je pense que cette fois-ci, chacun des leaders a compris que ce n'est pas la peine de continuer la guerre, la violence inutile. Qu'est-ce qu'ils y gagnent ? Et je pense que, de leur côté, ils font des efforts. Et d'ailleurs, le processus de désarmement pour les groupes UPC et 3R se déroule normalement. Il y a quelques défis, comme la prise en charge d'un certain nombre de gens désarmés. Donc, j'ai donné les instructions pour qu'on les règle. Du point de vue économique et social, la population continue de souffrir du coût de la vie. Concrètement, qu'est-ce que vous proposez pour changer la donne après déjà deux mandats ? Vous utilisez des mots, des mots très forts, mais il faut les mettre dans leur contexte. Pour le peuple centrafricain, il y a eu des avancées certaines, indéniables. Ça ne veut pas dire que tout va bien. Je n'ai pas dit que tout est pour le meilleur des mondes, ici. Non. Et c'est pour ça que nous avons proposé un plan national de développement. C'est pour ça qu'aujourd'hui, nous demandons aux Centrafricains de nous donner encore un mandat pour continuer ce que nous avons fait, parce qu'on était vraiment dans le gouffre. Et c'est sur ces progrès que nous allons tabler pour poursuivre. Nous sommes confiants. Un des points principaux pour la population, pour les entreprises, c'est la question des carburants. Les coûts des carburants qui sont extrêmement chers en Centrafrique, le plus cher du continent, la structure des prix a fait l'objet de critiques de la part de la société civile, d'ONG internationales, du FMI. Est-ce qu'il va y avoir une réforme du marché des carburants en Centrafrique ? Nous ne sommes pas un pays producteur de pétrole, nous sommes un pays continental et il nous faut de l'énergie pour faire tourner l'économie. Quand le carburant arrive dans un port, ce n'est pas le même prix que lorsqu'il arrive ici, il faut le transporter. Soit par bateau, par barge. Il y a un coût et même si c'est par la route, il y a un coût. Notre objectif, ce n'est pas d'avoir du carburant cher. Donc, pour vous, il n'y a pas de surcoût inexplicable ? En Centrafrique, ce n'est pas la volonté du gouvernement de faire surenchérir, ce sont les réalités des prix, parce que le gouvernement n'a rien à gagner en augmentant les prix, bien au contraire. Il y a cette guerre civile chez votre voisin, le Soudan. Quelle est la situation exactement dans le nord-est du pays ? Et est-ce que vous craignez qu'avec la poursuite de ce conflit, il y ait un débordement chez vous ? Nous avons connu la guerre ici, nous savons ce que c'est et ça a détruit notre pays. Une partie de notre population dans le nord s'approvisionnait au Soudan. Ça devient difficile économiquement et socialement parlant. Avec ce conflit, il y a des personnes, des Soudanais, des frères Soudanais, hommes et femmes, qui veulent la paix et viennent se réfugier en République centrafricaine, ce qui va encore perturber la situation économique et sociale de cette région. Nous sommes dans toutes les réunions, on participe, nous donnons notre contribution. Dans ce conflit, il y a quand même un acteur extérieur dont tout le monde parle, ce sont les Émirats arabes unis. Et vos adversaires disent que vous vous rapprochez d'eux et se questionnent : est-ce que la Centrafrique va servir de base arrière ? La République centrafricaine est un pays ouvert. On ne va pas dire que nous ne devions pas travailler avec un pays avec un autre. Non, vous voyez, c'est ça ces actes de désinformation. Nous avons une coopération avec les Émirats arabes unis sur des projets précis et nous continuons à travailler dans l'intérêt bien compris des deux parties. Un autre partenariat qui évidemment fait beaucoup parler depuis plusieurs années, c'est celui avec la Russie. Il a été dit et écrit que des membres du groupe Wagner allaient partir et être remplacés par une nouvelle entité, Afrika Corps, qui est directement rattachée au ministère russe de la Défense. Est-ce que vous confirmez des discussions en cours avec Moscou ? Oui, vos confrères m'ont toujours posé ce genre de questions. J'estime que j'ai toujours répondu que ce n'est pas devant votre micro que je vais m'étaler sur toutes les questions, les discussions, que nous avons avec des pays amis. Non. Si nous nous accordons, nos discussions ne vont pas être rendues publiques. Vous disiez que nous sommes en discussion ? Bien sûr, nous sommes en discussion sur beaucoup de sujets, pas seulement sécuritaires ou remplacer telle force par telle autre… Nous avons beaucoup de discussions sur le plan de la défense, sur le plan économique, sur le plan de l'éducation, de la santé. On a beaucoup de programmes ensemble. Alors, les personnes du groupe Wagner n'avaient pas seulement une activité de sécurité, ils avaient d'autres activités. Ils ont une activité économique avec des entreprises. Si les personnes de Wagner en uniforme partent, est-ce que les entreprises liées à Wagner restent ? La République centrafricaine est un pays ouvert. Il y a un code minier qui existe. Une société, n'importe laquelle, qui se constitue en République centrafricaine, qui remplit les conditions et qui fait une requête, pour avoir un permis de recherche, un permis d'exploitation, et qui remplit les conditions, eh bien ce sont des secteurs qui sont libéralisés aujourd'hui, que ce soient les mines, que ce soient les eaux et les forêts. Tout ça, c'est libéralisé. Alors, pourquoi vous voulez indexer certaines normes de sociétés comme étant des sociétés Wagner ou autres ? Ce sont des sociétés pour nous qui sont normalement constituées, légalement je veux dire, et qui exercent sur le territoire centrafricain en respectant nos lois. C'est tout. Et il n'y a pas que les Russes. Donc aucun passe-droit ici pour aucune entreprise, tout le monde est soumis aux mêmes règles. Nos textes sont clairs, il n'y a pas de passe-droit. Vous pouvez demander au ministère des Mines : telle société a rempli les conditions. Voilà, et c'est de la manière la plus transparente. À lire aussiCentrafrique: la mission d'observation électorale tente d'endiguer la désinformation avant la présidentielle
Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Laurent Marsick du 24 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Episode Express pour mieux réflechir !
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le championnat du monde des pilotes pourrait livrer son verdict dans la fraicheur de Las Vegas ! Lando Norris a désormais 24 points d'avance sur Oscar Piastri tandis que Max Verstappen reste loin derrière à l'affût (49 points). Mais à Las Vegas, tout peut être remis en question. Les Mercedes ont l'habitude de performer dans des performances froides alors et ce type de tracé urbain avec peu d'appui convient, normalement, moins bien à McLaren. Chez Ferrari, on est loin de lutter pour le titre. John Elkann, le président du groupe a allumé Charles Lerclerc et Lewis Hamilton après le Grand Prix du Brésil ? Les pilotes sont-ils à la hauteur cette saison ? Une crise couve-t-elle au sein de la Scuderia ?
Au Coeur de l'Histoire est un podcast Europe 1. - Présentation : Stéphane Bern - Réalisation : Guillaume Vasseau - Rédaction en chef : Benjamin Delsol - Auteur du récit : Jean-Christophe Piot - Journaliste : Clara Leger Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:01 - L'invité d'un jour dans le monde - La Chambre des représentants et le Sénat ont voté en faveur de la publication de l'affaire Epstein mardi 18 novembre. Lâché jusqu'à dans son camp, Donald Trump a dû faire volte-face et a déclaré soutenir cette proposition de loi. Elle doit désormais être envoyée à la Maison Blanche pour promulgation Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité :Bruno Retailleau, président LR et sénateurHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En novembre 1991, Ingrid Van de Portaele et Muriel Sanchez, deux petites filles de 10 ans, sont enlevées, violées et tuées à Elne, près de Perpignan. L'auteur des faits est Christian Van Geloven. On va découvrir qu'il était identifié comme pédophile depuis longtemps mais pendant des années, il a réussi à berner tout le monde.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités :Jean-Christophe Couvy, secrétaire national unité Gauthier le Bret, journaliste politique CNews Joseph Macé-Scaron, essayiste et consultantLaetitia Guinand, journaliste politiqueJean-Sébastien Ferjou, journalisteHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez les journaux de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:55:34 - Le Grand Face-à-face - Que quoi un prénom est-il le nom? Débat avec El Mouhoub Mouhoud, économiste, président de l'université Paris Sciences et Lettres-PSL, auteur de « Le Prénom. Esquisse d'auto-histoire de l'immigration algérienne » (Seuil). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d'actualités. L'élevage de poules en cage est critiqué depuis longtemps. En Slovaquie, il n'existe pas encore d'interdiction officielle, bien que son abolition soit a l'étude et que certains commerces se soient engagés a ne plus vendre d'oufs issus de ce type d'élevage. Le Président de la République slovaque Peter Pellegrini a appelé a soutenir le secteur de la peche slovaque. En matiere de sécurité alimentaire, il est préférable de miser sur la production nationale. Le 21eme anniversaire de la plus grande catastrophe écologique qui s'est abattue sur les Hautes Tatras et la population qui y vit depuis plus de 100 ans. Ce désastre a transformé et a dénaturé l'image des montagnes slovaques. Une catastrophe dont aujourd'hui encore l'on peut ressentir et ou l'on peut voir les graves conséquences.
Invité : Guillaume Bigot, député RN du territoire de Belfort et membre de la Commission des Affaires étrangères à l'Assemblée nationale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les personnes souffrant de diabète, d'obésité ou encore d'apnée du sommeil, ne pourront potentiellement plus obtenir un visa pour les États-Unis, selon une directive de l'administration Trump. Le Président américain pourrait bientôt permettre aux autorités de refuser des visas pour les candidats à l'immigration souffrant de certaines maladies. Écoutez RTL autour du monde du 12 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une nouvelle crise a éclaté au grand jour mercredi entre le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko, en plein bras de fer sur le sort de la cheffe de la coalition présidentielle. Dans un communiqué, le parti au pouvoir du Premier ministre Sonko a rejeté une décision du président Faye de démettre la coordinatrice de la coalition qui avait porté au pouvoir le chef de l'Etat lors de la présidentielle de mars 2024.
Invité : Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSEA (Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles) Jacques Serais remplace Alexandre Le Mer ce mercredi 12 novembre 2025. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Sénégal, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées autour d'Ousmane Sonko, qui a voulu rassurer ses militants sur la situation économique du pays. Le Président du Pastef s'est également attaqué au régime sortant. L'opposition voulait organiser un rassemblement pour dénoncer le coût de la vie et les entraves aux libertés individuelles, mais celui-ci a été interdit et plusieurs manifestants ont été arrêtés
durée : 00:05:35 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le président libanais Joseph Aoun condamne de nouvelles frappes menées sur le sud du Liban par Israël, qui a dit viser des cibles du mouvement pro-iranien Hezbollah, accusé de vouloir se réarmer. La chanteuse espagnole Rosalía sort aujourd'hui un nouvel album "Lux" qui enthousiasme la presse.