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Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 20 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:52 - Journal de 12h30 - Jusqu'à quel point Donald Trump et Vladimir Poutine sont-ils véritablement prêts à avancer sur la question d'un possible traité de paix avec l'Ukraine ? L'échange entre les deux hommes, hier, n'a pas permis d'y répondre.
durée : 00:19:52 - Journal de 12h30 - Jusqu'à quel point Donald Trump et Vladimir Poutine sont-ils véritablement prêts à avancer sur la question d'un possible traité de paix avec l'Ukraine ? L'échange entre les deux hommes, hier, n'a pas permis d'y répondre.
durée : 00:06:20 - L'invité de "ici Maine" - La fête se prolonge ce lundi 19 mai 2025. Le Mans FC invite ses supporters à venir célébrer la montée en Ligue 2 devant la mairie du Mans, à partir de 18 h. Thierry Gomez, le président, est ravi de voir son club retrouver le haut niveau, cela va d'ailleurs changer plusieurs choses.
Fanny Ardant rêve de participer à "L'Amour est dans le pré" ou plutôt de remplacer son animatrice phare, Karine Lemarchand... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Météo : « Un anticyclone au sud des Mascareignes apportera des pluies passagères », précise le prévisionniste Vinit Khugputh by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:05:04 - L'invité de "ici Maine" - En football, les joueurs du Mans FC reçoivent Versailles ce vendredi au stade Marie Marvingt. Un match avec en ligne de mire la montée en ligue 2. Un match qui aura des conséquences sur le centre de formation. Entretien avec le président du district Frédéric Davy.
durée : 00:20:20 - Journal de 18h - Des pourparlers de paix entre Ukraine et Russie sans Donald Trump, sans Vladimir Poutine, et sans Volodymyr Zelensky... Cette réunion à Istanbul peut-elle malgré tout servir à quelque chose ?
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Aujourd'hui, dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent et analysent l'interview du président de la République, Emmanuel Macron sur TF1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump est en Arabie Saoudite. Première étape d'une tournée dans les pays du Golfe. Le Président américain s'est entretenu avec Mohammed ben Salmane, le prince héritier saoudien. Washington et Riyad ont signé un contrat de défense de 142 milliards de dollars. Cet accord s'inscrit dans un ensemble plus vaste de promesses d'investissement saoudien de 600 milliards de dollars selon l'exécutif américain.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bloc d'actualités. Le Président de la République slovaque, Peter Pellegrini en visite de la ville de Malacky.
durée : 00:11:56 - L'invité franceinfo soir - "Pour les gens qui n'ont pas de mémoire, il a toujours quelque chose qui sort du chapeau", commente le député écologiste de Seine-Saint-Denis, mardi dans franceinfo soir.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 12 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:16 - L'invité de 8h15 de "ici Gascogne" - Gilles Clavreul, le nouveau préfet des Landes était l'invité de "ici Gascogne" ce lundi 12 mai. Il annonce qu'il va renforcer les contrôles routiers dans le département car les chiffres ne sont pas bons
Volodomyr Zelensky et Vladimir Poutine vont ils se retrouver jeudi à Istanbul ? Le président ukrainien a lancé l'invitation, répondant à l'appel de son homologue russe à reprendre les discussions direct entre Kiev et Moscou. C'est sur cette homme que l'on s'arrête aujourd'hui. Cet homme dont on connait bien la voix rauque, l'air grave et la tenue militaire depuis trois ans qu'il est le chef d'un pays en guerre envahi par la Russie. Mais connaît-on vraiment Volodomyr Zelensky ? Un président tout sauf normal, qui a d'abord été une star de télévision, avant de diriger l'Ukraine ? Qui ne parle couramment ukrainien que depuis cinq ans ? Qui est Volodia, l'homme derrière Zelensky ? On en parle avec Ariane Chemin, Lisa Vapné et Yves Jeuland qui signent "Zelensky" à voir ce mardi soir sur Arte.
Alexandre Mallet Guy, président de Memento film est l'invité de Stéphane Pedrazzi à la veille de l'ouverture du Festival de Cannes. Memento est l'un des principaux distributeurs indépendantsMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité exceptionnel, Mathieu David le coach mental de Matthieu Pavon rassure sur le manque de résultats du golfeur français.
Invité exceptionnel, Mathieu David le coach mental de Matthieu Pavon, raconte les ajustements apportés au jeu du français.
Emmanuel Macron a reçu ce mercredi 7 mai le président syrien par intérim, Ahmed al-Chareh. Une rencontre sous le signe de la polémique, alors que le chef de l'État syrien est un ancien djihadiste. Mais, face à la presse, le président de la République a défendu la reconstruction d'une relation entre les deux pays.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 07 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Président syrien par intérim Ahmed Al-Charaa a été reçu aujourd'hui à l'Elysée par Emmanuel Macron. C'est le premier déplacement en Europe de l'homme fort de la Syrie. Cette visite intervient alors que des exactions contre des minorités kurdes et alaouites ont eu lieu en Syrie. Alors que recherche la France en invitant Al-Charaa à l'Elysée ? Quels sont les objectifs du Président syrien, pour qui il s'agit du premier déplacement en Occident ?
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:03:31 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - C'est sa première visite en Europe : Ahmad Al-Charaa sera accueilli mercredi 7 mai par Emmanuel Macron à Paris. Le dirigeant syrien peine à donner des gages de liberté et de stabilité dans son pays.
Selon les informations d'Europe 1, à la veille du 8 mai, Emmanuel Macron s'apprête à recevoir ce mercredi à l'Élysée, Ahmed al-Charaa, le président par intérim de la Syrie. Cet ancien djihadiste, affilié à Al-Qaïda puis à l'État islamique, est également fondateur du front Al-Nosra. Une réception qui va faire beaucoup réagir tant le profil du dirigeant syrien est controversé.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon les informations d'Europe 1, à la veille du 8 mai, Emmanuel Macron s'apprête à recevoir ce mercredi à l'Élysée, Ahmed al-Charaa, le président par intérim de la Syrie. Cet ancien djihadiste, affilié à Al-Qaïda puis à l'État islamique, est également fondateur du front Al-Nosra. Une réception qui va faire beaucoup réagir tant le profil du dirigeant syrien est controversé.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du sondage réalisé sur l'élection présidentielle 2027.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dominique Rizet, en compagnie de Ronald Guintrange, revient sur de grandes affaires policières et judiciaires faisant l'actualité. Chaque week-end, l'émission pilotée par Ronald Guintrange avec à ses côtés Dominique Rizet, consultant police/justice BFMTV, traite d'un événement majeur de la semaine, ainsi que d'autres affaires qui sont revenues sur le devant de la scène. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
L'émission "L'amour est dans le pré" cherche les futurs participants de sa nouvelle saison. C'est Patrick Sabatier qui se charge de trouver les candidats. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une interview explosive révélée par le site d'information El Faro. Carlos Cartagena López, alias « Charli de IVU », l'un des chefs de gang, explique dans une vidéo de 41 minutes comment son gang, le Barrio 18, a pactisé avec l'entourage du président salvadorien Nayib Bukele, et ce, dès 2014. À l'époque, Nayib Bukele était candidat à la mairie de San Salvador. En échange de son soutien, le gang aurait obtenu des faveurs et une forme de protection. Le journal El Pais, qui relaie l'interview avec le chef de gang, parle d'un véritable pacte avec le diable : les gangs auraient aidé à l'ascension politique de Nayib Bukele et en retour, certains de leurs chefs ont été discrètement relâchés. Grâce à cette protection, Charli, lourdement condamné, a été, lui aussi, secrètement libéré par le gouvernement salvadorien, selon El Faro. Et cela alors que 85 000 personnes ont été arrêtées en deux ans, souvent sans preuve. Ils sont détenus dans des conditions qualifiées d'inhumaines, souligne El Pais.Un juge fédéral américain blogue les expulsions en vertu d'une vieille loi d'exceptionEt ce n'est pas tout. Les prisons salvadoriennes font aussi parler d'elles aux États-Unis. Le président Donald Trump a renvoyé là-bas plusieurs centaines de migrants vénézuéliens. Problème : au moins un d'entre eux aurait été expulsé par erreur. Donald Trump s'est appuyé sur une vieille loi d'exception du XXVIIIe siècle. Mais un juge fédéral du Texas vient de bloquer cette pratique. Il estime que cette loi n'est pas applicable dans le contexte actuel. Comme le note le New York Times, c'est la première décision qui tranche le fond de l'affaire, à savoir la légalité du recours à ce texte. Pour les avocats des migrants, cités par le Washington Post, c'est une avancée majeure. Ils espèrent que d'autres juges fédéraux suivront l'exemple de leur collège texan.Une Haïtienne morte dans un centre de détention en FlorideC'est en Une du site de la radio NPR qui la révèle. Une Haïtienne, Marie Ange Blaise, est morte la semaine dernière dans un centre de détention pour migrants, où elle était enfermée depuis deux mois. Elle aurait souffert de douleurs à la poitrine sans recevoir de soins adéquats, selon la députée Sheila Cherfilus-McCormick, seule élue haïtiano-américaine au Congrès. Les autorités, elles, affirment que les soins médicaux sont assurés, y compris en cas d'urgence. Mais la députée Frederica Wilson dénonce ces centres qu'elle qualifie de « trous noirs », où les violations des droits humains se multiplient. Une enquête est en cours, selon NPR.Exploitation illégale de sable en HaïtiAvec notre confrère Jabin Phontus du site d'information Ayibopost, nous revenons sur son enquête concernant l'exploitation illégale de sable dans le département du Sud. Une pratique qui se généralise dans cette zone malgré le fait que les autorités ont procédé à plusieurs arrestations. Un reportage d'Ayibopost avait alerté la Direction départementale Sud du ministère de l'Environnement. Trois individus ont été arrêtés, mais l'un d'entre eux, un proche d'un responsable local du ministère de l'environnement, a été relâché sur ordre de ce dernier.L'héritage africain au PanamaNous vous proposons une plongée dans la culture Congo au Panama. Dans la petite ville de Portobelo, 95 % des habitants sont d'origine africaine. On y entend tous les soirs ou presque le son des tambours, la musique héritée des milliers d'esclaves déportés d'Afrique de l'Ouest par les Européens durant les siècles de traite négrière. Aujourd'hui, leurs descendants entretiennent cet héritage culturel à travers la musique, mais aussi la peinture et l'histoire, comme nous montre le reportage de Martin Hortin.Journal de la 1èreLes coupures d'eau continuent de perturber le quotidien des habitants.
durée : 00:03:24 - Dans le prétoire - Un suprémaciste blanc comparait devant la 23ᵉ chambre du tribunal correctionnel de Paris pour avoir fait un salut nazi en pleine audience lors d'un précédent procès. Geste qu'il assimile à celui d'Elon Musk pour revendiquer la liberté d'expression. Mais la jurisprudence européenne ne l'admet pas. - invités : Jean-Philippe Deniau - Jean-Philippe Deniau : Journaliste au service police-justice
Marine Grangier du Petit Theatre de Sydney nous parle de la pièce: Le Prénom. Elle dirige ce nouveau spectacle presenté du 27 au 31 mai au PACT Theatre à Erskinville à Sydney.
C'est le grand final, le dernier épisode, le dernier au revoir...
Difficile de croire que cela ne fait que cent jours que Donald Trump est de retour au pouvoir. Depuis son investiture le 20 janvier 2025, le président républicain impose un rythme soutenu en multipliant les décrets pour réformer l'État fédéral et « rendre à l'Amérique sa grandeur » (« Make America Great Again »). Chaque jour, ses opposants dénoncent une dérive autocratique et un danger pour la démocratie. Ses partisans, quant à eux, saluent ses actions visant à bouleverser le système : guerre commerciale, expulsions de sans-papiers, et coupes drastiques dans les dépenses fédérales orchestrées par Elon Musk.Quels enseignements pouvons-nous tirer de ces cent premiers jours sur la manière dont Donald Trump exercera son second mandat ? C'est l'une des questions qu'Alexis Buisson, correspondant de La Croix à New York, a posées à François Furstenberg, historien franco-américain à l'université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland). Furstenberg est l'auteur de deux ouvrages : In the Name of the Father (Éd. Penguin Books, 2006) sur le père fondateur George Washington, et When the United States Spoke French (Éd. Penguin Press, 2014), qui traite de la naissance des États-Unis à travers les yeux de cinq Français.Dans ce premier épisode de la saison 4 du podcast "C'est ça l'Amérique", Alexis Buisson analyse la société américaine sous l'ère de Donald Trump avec l'aide d'experts francophones résidant aux États-Unis. Les invités discutent de l'impact de Trump sur la Maison Blanche et sur la politique américaine en général. Ils examinent comment ses décisions, en tant que président, ont influencé les débats sur l'immigration et l'économie. Les experts partagent leurs points de vue sur les changements significatifs apportés par l'administration Trump et comment ces changements continuent de façonner le paysage politique actuel.CRÉDITS :Écriture et réalisation : Alexis Buisson. Rédaction en chef : Paul De Coustin. Production : Célestine Albert-Steward. Mixage : Théo Boulenger. Musique : Emmanuel Viau. Illustration : Olivier Balez.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.com"C'est ça l'Amérique" est un podcast original de LA CROIX - avril 2025.En partenariat avec le programme Alliance – Columbia et ses partenaires (Sciences-Po, Polytechnique, La Sorbonne), et French Morning, le premier web magazine des Français d'Amérique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:32 - Le vrai ou faux - Non, selon le parquet. "Aucun élément factuel" ne permet de dire que l'homme, recherché depuis 2011 pour un quintuple assassinat familial, est en Asie, déclare le procureur de la République de Nantes.
Pour pallier la fin de la taxe d'habitation, François Rebsamen a évoqué l'instauration d'une "contribution modeste" de tous les habitants aux services publics de leur commune. Le Président de la République, lui, ne veut pas rétablir la taxe d'habitation "de quelque façon que ce soit". Écoutez le sentiment de Michel Fournier, président de l'Association des maires ruraux de France est l'invité de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 28 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour pallier la fin de la taxe d'habitation, François Rebsamen a évoqué l'instauration d'une "contribution modeste" de tous les habitants aux services publics de leur commune. Le Président de la République, lui, ne veut pas rétablir la taxe d'habitation "de quelque façon que ce soit". Écoutez le sentiment de Michel Fournier, président de l'Association des maires ruraux de France est l'invité de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 28 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux jours après la mort d'un fidèle, mortellement poignardé dans la mosquée de la Grand-Combe, le président de la mosquée témoigne au micro de RTL. Il dénonce un crime "contre les musulmans".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Définancer les universités qui ne protègent pas les étudiants juifs, une bonne idée? Entrevue avec Dr. Lior Bibas, président de l’Association des Médecins Juifs du Québec. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
"C'était mieux avant..." : cette phrase ultra représentative de la nostalgie, qu'on a (trop) tendance à prononcer ou à entendre. Son gros problème : elle nous empêche de vivre l'instant présent et de véritablement faire face à nos problématiques actuelles. Considérée comme une vraie force par certains, cette obsession pour le passé ne serait-elle pas en réalité un piège ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'épidémie du Chikungunya touche la Réunion avec déjà sept morts dont un nourrisson. Le Président Macron est sur place pour faire le point sur les moyens déployés afin d'endiguer l'épidémie ? Écoutez Yannick Neuder, ministre de la Santé et de l'Accès aux soins sur RTL. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 22 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'épidémie du Chikungunya touche la Réunion avec déjà sept morts dont un nourrisson. Le Président Macron est sur place pour faire le point sur les moyens déployés afin d'endiguer l'épidémie ? Écoutez Yannick Neuder, ministre de la Santé et de l'Accès aux soins sur RTL. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 22 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une information RFI. En Centrafrique, le pouvoir dit formellement « oui » à un dialogue politique avec l'opposition avant la présidentielle de décembre prochain. Le 30 mars, le président Faustin-Archange Touadéra a dit à demi-mot qu'il entrouvrait la porte à ce dialogue. Le 4 avril, il a autorisé dans les rues de Bangui une manifestation de l'opposition du BRDC, le Bloc républicain pour la défense de la constitution. Et ce lundi matin, son ministre-conseiller spécial Fidèle Gouandjika confirme officiellement qu'il y aura un dialogue politique entre le pouvoir et l'opposition. Avec qui et sur quels sujets ? En ligne de Bangui, Fidèle Gouandjika répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : le 4 avril dernier, l'opposition a organisé à Bangui une manifestation que vous aviez d'abord interdite et que vous avez finalement autorisée. Est-ce le signe d'une décrispation politique ? Fidèle Gouandjika : c'est le ministre de l'Intérieur qui a pris de son côté, sans aviser le Conseil des ministres et qui a interdit cette manifestation. Et le président de la République a tapé du poing sur la table et a instruit le ministre de l'Intérieur d'accorder au BRDC, le Bloc républicain pour la défense de la constitution, leur marche. Et donc, je pense que c'est un signe continuel de décrispation parce que le président a toujours tendu la main à l'opposition dite démocratique.En décembre dernier, le président Touadera a exhorté les opposants à faire preuve de maturité politique, sous-entendu à ne pas boycotter l'élection de décembre prochain. Mais est-ce que cet appel à la raison ne serait pas mieux entendu si vous donniez votre accord à l'ouverture d'un dialogue politique ? Le président de la République vient de marquer son accord pour l'organisation d'un dialogue politique avec le B RDC. Mais le président de la République ne va pas s'asseoir avec les leaders de l'opposition démocratique autour d'une même table pour faire ce dialogue. Parce que ces opposants-là ne sont pas à son niveau. C'est le gouvernement qui sera appelé à les entendre et certainement d'autres institutions républicaines qui vont s'asseoir avec eux pour discuter de cette affaire-là.Donc, il y aura un dialogue politique entre le gouvernement et l'opposition du BRDC, le Bloc républicain pour la défense de la Constitution ?Bien sûr ! Il faut bien dire que quatre leaders de l'opposition demandent à ce que l'on revienne à la constitution de 2016. Mais c'est une aberration, monsieur le journaliste ! On a vu ça dans quel pays du monde ?Et au niveau du gouvernement, qui pourrait participer à ce nouveau dialogue politique ?On attend du BRDC les points qu'ils vont soulever pour que le gouvernement s'attelle déjà sur ces points-là.L'une des requêtes de l'opposition, ce sont des élections inclusives. Et est-ce qu'au terme de ce dialogue politique, Anicet-Georges Dologuélé, Crépin Mboli Goumba et Dominique Yandocka, qui sont actuellement binationaux, pourront être candidats ? Mais la seule condition, c'est qu'ils renoncent à leur nationalité [non centrafricaine] le plus rapidement possible pour qu'ils restent dans le délai pour briguer la magistrature suprême de l'État. C'est simple, prenez l'exemple du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, du monde entier.Donc oui à un dialogue politique ? Eh bien, le Président a marqué son accord et on verra peut-être que c'est Fidèle Gouandjika qui conduira les pouvoirs publics comme d'habitude. Et on verra.Donc, vous pourriez diriger la délégation du gouvernement dans ce future dialogue politique ?J'en ai la capacité et les compétences.Si Faustin-Archange Touadera se représente au mois de décembre prochain et se fait réélire, est-ce que vous ne craignez pas que plusieurs opposants, comme Martin Ziguélé, ne dénoncent « la présidence à vie d'un Bokassa sans empire » ?Le BRDC fait son opposition dans les chancelleries occidentales. Ils tiennent leurs réunions au Café de Paris. Il s'agit d'une élection inclusive. Il ne s'agit pas d'une présidence à vie. Il ne s'agit pas d'un Bokassa sans empire. Ça, c'est insulter la mémoire de Bokassa. Et voilà.Alors vous dites que l'opposition fait ses réunions dans les chancelleries occidentales et à Paris. Mais cette opposition réplique que vous êtes sous la tutelle du groupe russe Wagner, qui pille les ressources minières de la République centrafricaine et notamment la grande mine d'or proche de Bambari !!! Ça, c'est un disque rayé. Vous savez très bien que la République centrafricaine a signé une convention militaire et économique avec la Fédération de Russie et que les Wagner ont sauvé la démocratie de la République centrafricaine en évitant un coup d'État qui pouvait engendrer un génocide. Et nous ne sommes pas sous tutelle de Wagner. La Russie viendra avec nous. Nous allons commencer à exploiter nos richesses minières, notre pétrole et comme ça, la République centrafricaine sera dans un temps à moyen terme un pays émergent.Donc votre principal allié reste la Russie ?Mais nous avons la Russie, nous avons la Chine, nous avons les États-Unis, nous avons les pays arabes, nous avons le Rwanda, nous avons tous les pays de l'Afrique et nous avons encore la France qui cherche à revenir par la petite porte, qui invite çà et là le président Touadera et qui pense qu'elle peut corrompre le président Touadera. Non, non, non, nous avons les yeux ouverts. À lire aussiCentrafrique: la surpopulation des prisons inquiète, notamment dans la centrale de NgaragbaÀ lire aussiCentrafrique: «Le président Touadéra doit respecter son serment, il n'y a pas de troisième mandat qui tienne»
durée : 00:25:41 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'historien et éditeur Emmanuel de Waresquiel était l'invité de France Inter ce lundi. Il publie “Rien ne passe, tout s'oublie” (Tallandier).
En Centrafrique, la candidature éventuelle du président Touadéra à l'élection de décembre prochain fait polémique. D'un côté, ses partisans lui demandent d'y aller. De l'autre côté, l'opposition, qui a marché pacifiquement dans les rues de Bangui le 4 avril, dénonce la « future présidence à vie d'un Bokassa sans empire ». Mais plusieurs opposants sont prêts à aller à cette présidentielle si le pouvoir accepte d'ouvrir un dialogue politique. Martin Ziguélé a été Premier ministre de 2001 à 2003. Aujourd'hui, il est député du parti d'opposition MLPC. De passage à Paris, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Depuis la nouvelle Constitution du 30 août 2023, Faustin-Archange Touadéra, le président, est autorisé à se présenter pour un troisième mandat. Et le 28 décembre dernier, lors de son discours sur l'état de la nation, il a dit « J'exhorte les opposants à faire preuve de maturité politique », sous-entendu à ne pas boycotter le scrutin présidentiel. Qu'est-ce que vous ferez ? Martin Ziguélé : Je pense qu'il faut d'abord rappeler que le président Touadéra a prêté serment en mars 2016 sur une Constitution qui limite le nombre de mandats à deux et la durée à cinq ans. Et les dispositions de la Constitution n'étaient pas du tout changeables, parce que tout tire sa source juridiquement de la Constitution du 30 mars 2016. Donc, pour nous, il n'y a pas de débat sur cette question. Le président Faustin-Archange Touadéra doit respecter son serment. Il est à la dernière année de son deuxième et dernier mandat. Il n'y a pas de troisième mandat qui tienne.Mais il y a eu un référendum constitutionnel, c'était en juillet 2023, qui a dit oui à une nouvelle Constitution qui a été adoptée le 30 août 2023… Oui, mais justement ce référendum a été fait en violation de la décision de la Cour constitutionnelle qui a dit qu'on ne peut pas engager une procédure politique pour changer la Constitution du 30 mars 2016. Pour nous, c'est une escroquerie politique. C'est un coup d'Etat constitutionnel. C'est la même chose qu'un coup d'État militaire au Niger, au Mali, au Burkina ou ailleurs.Est-ce à dire que, quoi qu'il arrive, vous allez boycotter la présidentielle à venir ? Je n'ai pas dit ça. J'ai dit que nous demandons un dialogue politique pour nous asseoir avec Monsieur Faustin-Archange Touadéra, que ça soit lui, que ça soit le rôle de Wagner, qu'il ne faut pas sous-estimer, toute cette catégorie de personnes intéressées manipule la vie politique en Centrafrique pour nous redonner un Bokassa sans empire. Une présidence à vie en fait. Et ça, nous n'en voulons pas.Mais si le préalable à tout dialogue politique, c'est pour vous l'interdiction pour Faustin-Archange Touadéra de se représenter, il ne va jamais accepter ce dialogue, non ?Nous voulons dialoguer sans préalable sur le plan politique. Nous voulons que les élections soient inclusives. C'est quand même le minimum.En fait, ce que vous proposez au président Touadéra, c'est un deal : « D'un côté, on accepte que vous vous présentiez pour un troisième mandat, mais de l'autre, vous enlevez les dispositions de la nouvelle Constitution qui interdisent aux binationaux d'être candidats » ?Ce dont je suis sûr, c'est que l'opposition démocratique demande un dialogue politique. Ce qui sortira de ce dialogue, je ne peux pas le prévoir d'avance, mais ce sera certainement un compromis pour nous permettre d'avancer vers des élections inclusives et surtout transparentes.Aux termes de l'article 67 de la Constitution du 30 août 2023, tout candidat à la présidentielle doit être centrafricain d'origine et n'avoir que la seule nationalité centrafricaine. Alors vous, vous n'êtes pas binational, vous n'avez que la nationalité centrafricaine, donc a priori vous êtes tout à fait éligible si vous décidez de ne pas boycotter la présidentielle à venir…Absolument. Je suis éligible parce que mes deux parents ont leur état-civil centrafricain.Mais ne pourraient pas se présenter à la prochaine élection présidentielle les binationaux comme Anicet-Georges Dologuélé, Crépin Mboli-Goumba, Dominique Yandocka... Est-ce que finalement cette nouvelle Constitution, elle ne fait pas votre affaire puisqu'elle élimine plusieurs des autres candidats de l'opposition ? Mais par principe, le progressiste que je suis ne peut pas accepter qu'on catégorise les Centrafricains par le fait que, dans leur vie ultérieure, après leur naissance, ils aient pris une deuxième ou une troisième nationalité au gré de la vie. Quel est le sens profond d'une telle démarche si ce n'est pas l'exclusion, tout simplement, et un calcul politique pour écarter les uns et les autres ? C'est pour ça que nous ne pouvons pas accepter cette Constitution et cette disposition de la Constitution. C'est pour ça que nous demandons le dialogue politique, parce que les personnes que vous citez, certaines d'entre elles ont été candidates déjà à plusieurs élections, donc elles auraient pu être président de la République.Anicet-Georges Dologuélé a été candidat en 2015, il est passé à deux doigts d'être président de la République. Et est-ce qu'on peut dire à quelqu'un qui a participé à des élections, qui a été même en tête des élections, est-ce qu'on peut lui dire cinq ans après que « vous, vous n'avez plus le droit d'aller aux élections, parce qu'entre temps, nous avons pensé qu'il faut mettre en place une Constitution qui est comme un champignon qui pousse en plein été, on dit, bon, maintenant ceux-là ne peuvent plus postuler ».Je vous rappelle que cela a été tenté en 2005 et il a fallu la sagesse du président Bongo pour que tout le monde revienne dans la course. Et cela a été encore retenté en 2011. Et il a fallu la sagesse du président Sassou Nguesso pour que tout le monde revienne dans la course. Et maintenant Touadéra retente ça en 2025 et nous voulons un dialogue politique centrafricain pour régler cette question-là. Il n'est pas question qu'il y ait des élections en Centrafrique en excluant les fils de ce pays sous des prétextes fallacieux.À lire aussiCentrafrique: plus d'un millier de personnes manifestent à Bangui contre un 3e mandat du président Touadéra
durée : 00:03:08 - Géopolitique - par : Franck MATHEVON - C'est le premier dirigeant d'Amérique latine reçu dans le bureau Ovale depuis l'investiture de Trump.
Le démantèlement de l'État comme programme de gouvernement. Le président argentin Javier Milei l'affirme : son plan tronçonneuse ne s'arrêtera que lorsqu'il sera arrivé à bout de l'État argentin. Depuis son élection, il a réduit les dépenses publiques d'un quart, supprimé la moitié des ministères et les postes de milliers de fonctionnaires. Au fur et à mesure des vagues de licenciements, ce sont aussi des politiques publiques qui disparaissent. De notre correspondant à Buenos Aires, « Ils m'ont virée… » Ils m'ont virée après 25 ans, répète Nora Farías, en larmes. Devant la porte du ministère du Capital humain à Buenos Aires, des agents de police contrôlent l'identité des travailleurs. « Ils nous traitent comme des délinquants sur le lieu où nous sommes venus travailler pendant des années. » Le vendredi précédent, à 22h30, plus de 1 800 employés du ministère ont appris par mail qu'ils étaient licenciés. « C'est d'une cruauté… Nous n'avons pas été convoqués, personne n'assume ses responsabilités. On a simplement reçu un mail générique qui dit qu'on est licencié. »Nora ne recevra aucune indemnité. En tant qu'agent contractuel de la fonction publique, elle a enchaîné pendant plus de deux décennies des contrats d'un an renouvelable. À son arrivée au pouvoir, le président Javier Milei a réduit la durée de ces contrats à trois mois, et à chaque échéance, des milliers de postes sont supprimés. « En décembre dernier, ils nous ont fait passer un examen en nous promettant que si on le validait, notre contrat serait renouvelé pour un an. »Malgré cette promesse, le poste de Lucía vient d'être supprimé. Comme 96% des quelque 40 000 fonctionnaires soumis à ce test d'aptitude, elle l'avait pourtant validé : « Ce test est une honte, c'était juste une manière de nous mettre sous pression. Je pense qu'ils nous sous-estiment tellement qu'ils pensaient que nous n'allions pas le valider. C'est pour cela qu'ils n'ont pas tenu leur promesse sur les renouvellements de contrat. »Le grand ménage dans les ministèresAprès onze ans dans la fonction publique, Lucía se retrouve à chercher du travail en pleine crise économique : « On est touchés personnellement, car il faut qu'on paye notre loyer, qu'on achète à manger, mais à côté de cela, en licenciant des fonctionnaires, ils sont en train de supprimer de facto des politiques publiques. Et il faut comprendre que cela signifie que les personnes vulnérables n'auront plus personne à qui s'adresser. »Comme Lucía et Nora, Gustavo Grosso travaillait pour un département du ministère chargé d'accompagner, de subventionner des projets communautaires. Le département a été dissout et l'intégralité de ses employés licenciés : « Les projets sur lesquels je travaillais avaient pour but de financier des bibliothèques, des radios communautaires ou des terrains de foot pour des clubs. Les conséquences sont considérables, et elles seront de plus en plus criantes dans le futur. »En tant qu'anarcho-capitaliste, Javier Milei rêve d'une société sans État où les relations humaines seraient entièrement régulées par la main invisible du marché, rappelle Laura Villaflor, qui a, elle aussi, vu son poste supprimé. « Chaque fonctionnaire en moins fait reculer la présence de l'État sur le territoire, et participe donc de l'extermination de l'État, qui est le cœur du projet politique de Javier Milei. »Pour l'année 2025, Javier Milei a annoncé la couleur : la « deep motosierra », ou « tronçonneuse profonde » supprimera ou fusionnera soixante organismes de l'État.À lire aussiArgentine: des milliers de manifestants dénoncent le révisionnisme de Javier Milei sur la dictature
durée : 00:03:54 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Vuan, 8 ans, demande si le chef de l'État est un justiciable comme un autre. La juriste Anne-Charlène Bezzina, spécialiste de la Constitution, lui répond et explique le principe de l'immunité présidentielle. - invités : Anne-Charlène Bezzina - Anne-Charlène Bezzina : Constitutionnaliste, maîtresse de conférence en droit public à l'université de Rouen. - réalisé par : Stéphanie TEXIER