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L'émission 28 minutes du 30/09/2025 Le cinéaste Jafar Panahi, Palme d'or, met à mal le régime iranien Dans son dernier long-métrage, Palme d'Or à Cannes, Jafar Panahi raconte ce qui n'aurait pu être qu'un banal accident, une nuit sur la route lorsqu'un couple en voiture, sa fillette à l'arrière, renverse en pleine campagne un chien errant. “Un simple accident” (titre du film) qui va conduire un garagiste à reconnaître à travers l'automobiliste dont la voiture a été percutée, l'agent des renseignements iraniens, qui l'a torturé autrefois en prison. Le garagiste, le suit, le repère, le kidnappe et le séquestre dans son van avant de solliciter plusieurs anciens prisonniers pour être sûr que l'homme enlevé est bien son tortionnaire. Au coeur de ce film, le cinéaste iranien se pose une question essentielle, pour lui, qui a été emprisonné deux fois en prison en Iran : “Et si un jour, dehors, je croisais celui qui m'a interrogé en prison, si je me retrouvais en face de lui, qu'est-ce que je ferais ?” Jafar Panahi expliquait au magazine “Trois Couleurs” que son œuvre était un film d'anticipation : “Je ne l'ai pas fait pour maintenant. Je l'ai fait pour l'après, pour le moment où ce régime sera renversé.”Plan Trump pour Gaza : un plan pour la paix ou un plan en trompe-l'œil ? Ce lundi 29 septembre, Donald Trump et Benyamin Nétanyahou ont donné une conférence de presse depuis la Maison Blanche. À l'ordre du jour, un accord destiné à mettre fin à la guerre à Gaza avec en ligne de mire “la paix au Moyen-Orient”, a déclaré le président américain. Soumis au Hamas, ce plan américain en 20 points, soutenu par Israël et salué par plusieurs pays arabes, prévoit notamment “la libération immédiate de tous les otages dans un délai maximal de 72 heures” qui permettrait la libération de 250 prisonniers palestiniens condamnés à la perpétuité et de 1 700 Gazaouis détenus après le 7 octobre 2023. Le plan prévoit la libération de tous les otages, le désarmement et le désengagement du Hamas, une nouvelle gouvernance ainsi qu'un plan de développement économique pour la bande de Gaza. La création d'un État palestinien est également envisagée à plus long terme. Israël a assuré le désengagement progressif de ses troupes de Gaza en cas d'accord du Hamas, sans calendrier précis. Cet accord est encore attendu et le premier ministre israélien a déclaré qu'il se gardait le droit de “finir le travail” en cas de refus. Enfin, Xavier Mauduit s'intéresse au nouveau variant du Covid-19 nommé Frankenstein et nous raconte l'histoire de ce monstre très célèbre. Théophile Cossa nous explique comment fonctionne le nouveau médicament révolutionnaire contre le VIH, bientôt disponible pour 40 dollars par an. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 30 septembre Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 30/09/2025 Plan Trump pour Gaza : un plan pour la paix ou un plan en trompe-l'œil ? Ce lundi 29 septembre, Donald Trump et Benyamin Nétanyahou ont donné une conférence de presse depuis la Maison Blanche. À l'ordre du jour, un accord destiné à mettre fin à la guerre à Gaza avec en ligne de mire “la paix au Moyen-Orient”, a déclaré le président américain. Soumis au Hamas, ce plan américain en 20 points, soutenu par Israël et salué par plusieurs pays arabes, prévoit notamment “la libération immédiate de tous les otages dans un délai maximal de 72 heures” qui permettrait la libération de 250 prisonniers palestiniens condamnés à la perpétuité et de 1 700 Gazaouis détenus après le 7 octobre 2023. Le plan prévoit la libération de tous les otages, le désarmement et le désengagement du Hamas, une nouvelle gouvernance ainsi qu'un plan de développement économique pour la bande de Gaza. La création d'un État palestinien est également envisagée à plus long terme. Israël a assuré le désengagement progressif de ses troupes de Gaza en cas d'accord du Hamas, sans calendrier précis. Cet accord est encore attendu et le premier ministre israélien a déclaré qu'il se gardait le droit de “finir le travail” en cas de refus. On en débat avec Ofer Bronchtein, président et co-fondateur du Forum international pour la paix, Yasmina Asrarguis, chercheuse associée à l'université de Princeton, spécialiste du Moyen-Orient et Ziad Majed, Professeur à l'Université américaine de Paris, spécialiste du Proche-Orient.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 30 septembre Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le comité d'enquête, Fact Finding Committee, institué au sein de la National Human Rights Commission a auditionné l'officier responsable de la prison de Melrose le 17 juillet dernier. Le comité s'est également rendu sur place afin d'entendre les témoignages de plusieurs détenus impliqués ainsi que du personnel médical de l'établissement. Me Satyajit Boolell a précisé que les auditions devant le comité prendront fin cette semaine, et que le rapport final sera soumis au Premier ministre d'ici la fin du mois.
C dans l'air du 13 août 2025 - Budget: quand la canicule s'en mêleEmission présentée par Salhia Brakhlia.Déjà en difficulté, l'économie française est mise à mal par la canicule, qui coûte cher à l'Etat et aux Français. Soumis à de très fortes chaleurs, les employés du bâtiment ou agricoles travaillent moins et la productivité diminue. Alors que le système de climatisation de nombreux trains risquent de tomber en panne sous l'effet des températures élevées, la SNCF est contrainte d'en supprimer par dizaines. Quand aux centrales nucléaires, certaines se retrouvent forcées de mettre des réacteurs à l'arrêt car les rivières étant trop chaudes, l'eau ne peut être prélevée normalement pour les refroidir.En matière budgétaire, l'Etat commence à être à bout de souffle. Le gouvernement de François Bayrou s'apprête ainsi à prendre des mesures drastiques qui font déjà grincer des dents. Car ce sont en effet plus de 43 milliards d'euros qu'il faudra mobiliser pour boucler le budget de l'année 2026.Suppression de l'abattement de 10% sur les impôts des retraités, suppression de jours feriés, économies sur l'assurance chômage ou encore sur le système hospitalier... Le Premier ministre a multiplié les ballons d'essai. Tous ces arbitrages auront lieu en septembre mais on peut d'ores et déjà s'attendre à un serrage de vis difficile à accepter.Parmi les différentes mesures annoncées par François Bayrou, certaines cristallisent les crispations. C'est notamment le cas de la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre avait cité "comme exemple" le "lundi de Pâques" et le "8-Mai". Une mesure qui doit permettre d'économiser "4,2 milliards" d'euros, selon Matignon.Au sein des entreprises, les avis sont unanimes. Une équipe de C dans l'air a pu le vérifier en se rendant dans une usine qui produit des panneaux de bois. Sur place, il est hors de questions pour les ouvriers de se priver de deux jours de congé. La cadence élevée de la production et l'usure à la tâche rendent nécessaires ces temps d'arrêt où les travailleurs peuvent souffler. C'est selon eux une respiration indispensable pour bien faire leur travail. Auprès d'employés de bureau, l'opinion est la même, comme, d'ailleurs, dans le reste de la population. Selon un récent sondage Elabe pour BFMTV, 75% des Français se disent opposés à cette suppression de deux jours fériés. Plus généralement, 72 % des Français trouvent que le Premier ministre ne "répartit pas équitablement les efforts demandés", selon un sondage de l'Ifop publié en juillet pour LCI.Les Français se plaignent également d'une baisse de la qualité des services publics. C dans l'air a suivi un postier qui effectue sa tournée à l'ancienne. Il regrette de voir son entreprise tenter de faire des économies à tout prix. Il dénonce les services à la personne, payants, mis en place par La Poste, comme le fait de passer un peu de temps avec les personnes âgées et isolées. Ce moment simple était autrefois naturel et gratuit. Lui met un point d'honneur à essayer de passer du temps avec les gens qu'il suit. La disparition de ce lien du quotidien fait selon lui partie des éléments qui nourrissent une colère croissante au sein de la population.Entre le vote du budget et une mobilisation sociale qui s'organise pour septembre, la rentrée politique s'annonce compliquée.Comment trouver les 43 milliards d'euros manquants pour finaliser le bugdet 2026 ? L'effort demandé aux Français est-il équitablement réparti ? Les services publics français sont-ils menacés par les futures restrictions budgétaires ?LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance - Auteur de « L'Horizon des possibles »- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions – « Les Echos »- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - « La Tribune Dimanche »- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - « Le Nouvel Obs »
Cet épisode contient du contenu sexuellement explicite, et des descriptions de violences. C'est par ennui pendant le confinement que Marion* (*le prénom a été changé) a commencé à poster sur Twitter des photos de ses pieds. Très vite, des hommes lui envoient des lettres de candidature pour être ses soumis. Intriguée, Marion se prend au jeu, sans savoir encore ce que cette expérience va bousculer dans sa vie. Cet épisode de Passages a été tourné par Clara Hesse, monté par Louise Tavera, la réalisation et de mix sont de Clémence Reliat, Louise Hemmerlé est à la production. Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire dans Passages, écrivez-nous en remplissant ce formulaire. Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI !Pour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, place à la deuxième capsule du podcast En Toute Transparence, consacrée à Candia, la marque de la coopérative laitière Soodial.Retrouvez un des moments préférés : la carte blanche des étudiants.Pas de langue de bois, pas de détour : Clémence Lorme et Nina Lohmer ont challengé sans retenue Thomas Boulmer, responsable marketing de Candia et Yvan Ogier, éleveur et administrateur chez Sodiaal.Par la voix d'Amandine, elles posent de vraies questions sur des sujets de fond :
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
27 Jotayu Koor 2025 - Être parmi les serviteurs pieux et soumis à Allah - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
durée : 00:54:34 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - Empereur du Vietnam alors qu'éclate la guerre de décolonisation de l'Indochine, Bao Daï est un acteur éminent de cette période troublée de l'histoire de son pays. Soumis aux décisions de la France et du Japon, puissances colonisatrices et du Vietminh d'Ho Chi Minh, il est in fine contraint à l'exil. - réalisation : Thomas Jost
Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon et Yves Calvi du 10 mars 2025.
Une discussion avec Samois, le majordome de l'École des arts sadiens, pour déconstruire les stéréotypes autour de la soumission masculine.Une discussion avec Samois, le majordome de l'École des arts sadiens, pour déconstruire les stéréotypes autour de la soumission masculine.Vous pouvez retrouver l'article associé à ce podcast sur mon site, à l'adresse : https://stevehaldeman.com/soumission-masculine-samois/Notre site : https://stevehaldeman.com/Notre histoire : La série "Maître et soumise, leur histoire" est un double roman BDSM, raconté pour l'un du point de vue du maître, et pour l'autre du point de vue de la soumise. Elle se compose de 4 tomes.Par Steve HaldemanMa soumise, mon amour, Tome 1 (septembre 2022)- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0BDMWCYR6/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494242002/- livre audio : https://play.google.com/store/audiobooks/details/Steve_Haldeman_Ma_soumise_mon_amour?id=AQAAAEDSe2o7qM&pli=1Ma soumise, mon amour, Tome 2 (décembre 2023)- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0CQ3YG9T7/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494242029/- livre audio : https://play.google.com/store/audiobooks/details/Steve_Haldeman_Ma_soumise_mon_amour?id=AQAAAEAyL3hvWMPar Rose HaldemanMon Maître, mon amour, Tome 1 (juin 2023)- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0C9H2GYK9/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494243009/Mon Maître, mon amour, Tome 2 (décembre 2024)- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0DPGJ8HZV/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494243025/Ils sont également disponibles dans toutes les bonnes librairies (en ligne ou en magasin) avec des couvertures différentes, les originales ayant choqué la morale.ToonMe me permet d'utiliser gracieusement mon portrait modifié par leur application. Si vous voulez une version cartoonesque de vous-même, c'est par ici que ça se passe : https://toonme.com/Jingle : Track : WarsawMusic by https://www.fiftysounds.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, retour sur les conditions de détention de Mohamed Amra. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge
Après avoir été cloué au banc des Canadiens pendant 10 matchs consécutifs, Cayden Primeau sera soumis au ballotage samedi prochain. Afin d'épauler Samuel Montembeault au cours des prochains matchs, le gardien de but du Rocket de Laval Jakub Dobes a été rappelé en renfort par l'état-major du Canadien. En remplacement de Jérémie Rainville, Louis Jean est à la barre de cet épisode de Sortie de zone. L'animateur et journaliste sportif revient sur la chaude actualité dans la LNH en compagnie d'Antoine Roussel du 98.5, ainsi que Richard Labbé et Guillaume Lefrançois de La Presse. Au menu pour ce 27e épisode de la sixième saison du balado Sortie de zone: Bloc 1: 4:32: Cayden Primeau soumis au ballotage: est-ce la fin pour le gardien de but avec l'organisation du CH. 11:11: Quelles sont les options à long terme pour épauler Samuel Montembeault? 14:42: Les Canadiens peuvent-ils réalistiquement finir la saison dans «le mix»? 17:20: À quoi s'attendre de la part des espoirs des Canadiens en 2025? 22:04: Les Canadiens font bonne figure en désavantage numérique depuis le début de la saison. Quels sont les trois joueurs qui font la différence dans cette facette du jeu? Bloc 2: 32:16: Jeff Gorton confie que l'organisation du Tricolore voulait laisser plus de place aux jeunes défenseurs pour se développer. Il reconnaît toutefois que c'est difficile de gagner avec une ligne défensive composée de recrues. Louis Jean et ses acolytes réagissent à cette déclaration. 39:35: Le coup de coeur et le coup de gueule de l'année de Richard Labbé, Antoine Roussel et Guillaume Lefrançois chez les Canadiens. Bloc 3 47:30: Derek Lalonde congédié par les Red Wings, c'est Todd McLellan qui prend le relais derrière le banc de la formation du Michigan. Qui sera le prochain instructeur à perdre son emploi dans la LNH? 53:00: On revient sur le coup de genou de Nikita Kucherov à l'endroit de Matthew Tkachuk. Est-ce que le joueur du Lightning de Tampa Bay a été puni adéquatement? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
"Je t'avais dit de ne pas arriver en retard." Rdv sur mon site pour me découvrir et rejoindre la communauté : https://www.coletteseconfesse.frCrédits :écrit par un auditeur anonymeinterprêté par Alex Parreira et Colettemontage, mixage et musique par Samazottiillustration Benoit Feroumont Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:58:29 - LSD, la série documentaire - par : Johanna Bedeau, Clémence Allezard - De quoi, ou “par quoi”, est faite la parole des enfants ? Écouter les enfants, c'est prendre la mesure des rapports de pouvoir qui traversent notre société. Soumis à l'ordre familial et scolaire, ils les incorporent, et les reproduisent très tôt. - réalisation : Anne Fleury
Tous les matins à 7h20, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
durée : 00:54:32 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Empereur du Vietnam alors qu'éclate la guerre de décolonisation de l'Indochine, Bao Daï est un acteur éminent de cette période troublée de l'histoire de son pays. Soumis aux décisions de la France et du Japon, puissances colonisatrices et du Vietminh d'Ho Chi Minh, il est in fine contraint à l'exil.
Réponse : Tous ceux qui participent à la vie et la communion d’une Église sont sous sa discipline. ~ Matthieu 18.15-20
Les deux explosions qui, le 4 août 2020, se sont fait entendre dans le port de Beyrouth, ont marqué les esprits. Par son ampleur, en effet, cette déflagration est considérée comme l'une des plus graves explosions non nucléaires.235 personnes ont trouvé la mort dans cette catastrophe et environ 6 500 personnes ont été blessées. Par ailleurs, les dégâts matériels provoqués par ces explosions sont considérables.De fait, 77 000 bâtiments ont été endommagés, privant de logement plus de 300 000 personnes. Le nitrate d'ammonium serait à l'origine de ces explosions. Il est le plus souvent utilisé comme engrais, mais peut aussi servir à la fabrication d'explosifs.Les entrepôts contenaient de grandes quantités de nitrate d'ammonium, 2 750 tonnes en provenance de Géorgie ayant été débarquées dans le port en 2013.Or ces explosions restent entourées de zones d'ombres. On s'est notamment demandé pourquoi un stock aussi important de nitrate d'ammonium avait été conservé si longtemps dans le port de Beyrouth. On s'est aussi étonné qu'un matériau potentiellement dangereux ait été stocké sans précautions particulières.Certains se sont également interrogés sur l'utilisation qui devait en être faite. De nombreuses questions portent également sur l'enquête.Le moins qu'on puisse dire est qu'elle s'est déroulée dans des conditions suspectes. Les deux juges qui, jusque là, ont été chargés de cette enquête ont été confrontés à une véritable obstruction, tant de la part du gouvernement que de celle des parlementaires.Ces derniers ont en effet refusé de lever l'immunité de députés inculpés par les juges. Soumis à des pressions, le premier magistrat en charge de l'affaire avait dû renoncer à inculper certains ministres. Par ailleurs, les autorités se sont opposées à l'interrogatoire de certaines personnes.Même les forces de l'ordre ont refusé d'arrêter les personnes désignées par la justice. Enfin les circonstances de certains décès, dans les milieux proches de l'enquête, soulèvent des questions toujours sans réponse.Ces irrégularités ont contraint le second juge à interrompre son enquête durant plus d'un an et incité le Haut Commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU à demander l'ouverture d'une enquête internationale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Eric Brunet du 22 mai 2024
durée : 00:58:29 - LSD, la série documentaire - par : Johanna Bedeau, Clémence Allezard - De quoi, ou “par quoi”, est faite la parole des enfants ? Écouter les enfants, c'est prendre la mesure des rapports de pouvoir qui traversent notre société. Soumis à l'ordre familial et scolaire, ils les incorporent, et les reproduisent très tôt.
En janvier dernier, Félix Devismes, marié à une Québécoise, s'est vu refuser son certificat de sélection du Québec notamment pour avoir soumis des documents en noir et blanc, au lieu d'en couleur, et pour avoir omis de fournir certaines preuves impossibles à trouver. Depuis, il a perdu son permis de travail et est cloué chez lui depuis plus d'un mois. Entrevue avec Félix Devismes, père de famille embourbé dans le système d'immigration québécois.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chèr(e) compagnon du Coran ! Par ce verset, nous commençons l'étude de la deuxième moitié de la sourate Al-Mulk. Parmi les grands bienfaits d'Allah sur l'Homme, le fait qu'Il lui ai soumis la Terre afin de pouvoir y vivre. As-tu déjà remercié Allah pour ce bienfait? Qu'Allah pardonne notre ingratitude. N'oublie pas de cliquer sur les liens suivants pour découvrir les différents projets. Amine Lien pour participer à la cagnotte (très important) : https://www.cotizup.com/la-famille-vivre-le-coran Lien pour recevoir le support visuel : https://go.vivrelecoran.fr/lp-al-mulk Lien pour rejoindre la plateforme "Deviens un compagnon du Coran": https://go.vivrelecoran.fr/compagnon-du-coran A toi de jouer !
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Ce mercredi, les députés se prononceront au Parlement européen, à Strasbourg, sur la généralisation d'une visite médicale, tous les quinze ans, pour conserver le permis de conduire. Concrètement, tous les citoyens européens pourront potentiellement perdre leur droit de conduire s'ils sont jugés inaptes au volant par le médecin. Explications.
durée : 00:02:36 - Le monde est à nous - En Russie, la reprise en main du pouvoir concerne tous les secteurs, jusqu'à la culture.
La Norvège est le plus grand fournisseur de pétrole et de gaz vers l'Europe depuis le début de la guerre en Ukraine. Sans abandonner ses activités, le pays s'est engagé à diminuer de 55 % ses émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030. Comment la Norvège va-t-elle répondre au défi climatique tout en préservant sa principale source de revenus ? Au-delà de l'image d'Epinal, et des brochures touristiques, les chiffres parlent d'eux-mêmes. Car si le pays est le paradis des fjords, des aurores boréales, ou encore de la voiture électrique, la Norvège n'en est pas moins le premier fournisseur de gaz vers l'Europe, ainsi que le 11e producteur mondial de pétrole. L'extraction des hydrocarbures représente aujourd'hui une manne colossale et 33 % du PIB.Pour Silje Lundberg, chef de campagne pour la mer du Nord chez Oil change international « La Norvège est le pays le plus hypocrite d'Europe quand il s'agit des questions climatiques. Car tant que l'on aura besoin de pétrole et de gaz, la Norvège sera le dernier pays au monde à en produire ! La raison principale, c'est que cela rapporte beaucoup d'argent et que cela permet d'employer beaucoup de monde. Donc il est plus facile pour les politiciens de garder une forme de statu quo, en ne faisant que des changements de surface, sans jamais s'attaquer jamais aux vrais enjeux du changement climatique ».Ces dernières années, le débat sur la façon dont la Norvège et son tissu industriel doivent s'adapter au changement climatique s'est intensifié. Témoin direct du dérèglement climatique, la Norvège est le pays champion de la voiture électrique, mais ne souhaite pas sortir de l'extraction fossile.Pour Jonas Quittelsen, d'Extinction Rébellion Norvège « La Norvège a toujours eu l'image d'une nation verte, et notre pays a d'ailleurs toujours pris position en matière environnementale, mais la réalité est bien différente et nous sommes les plus grands greenwashers au monde ! Si l'on regarde seulement cette année, la Norvège a octroyé 15 nouvelles licences de forage de pétrole et de gaz. Depuis 2 ans, on a atteint des records ! La nouvelle bataille à présent se situe en Arctique, car la Norvège veut aller forer de plus en plus au nord là où elle n'a jamais été car les ressources s'épuisent dans le sud. »Stavanger, sur la côte ouest de la Norvège est la capitale du pétrole. Elle est aussi le berceau d'Equinor, la compagnie pétrolière norvégienne contrôlé à 67 % par l'État. Elle est aussi le lieu où se trouve le musée du pétrole où RFI a rencontré Bjorn Lindberg, son conservateur qui explique que dans la 3e ville de Norvège, « le commerce de la sardine a été énorme pendant des années, jusqu'à arriver à la fin de son heure de gloire dans les années 1960. Puis le grand chamboulement est arrivé en 1969 quand Ekofisk a été découvert »En octobre 1969, alors que les essais de forage en mer se multiplient sans succès pour Philips Petroleum, la compagnie pétrolière américaine, décide de forer un dernier trou dans un réservoir crayeux. Du pétrole jaillit du fond des mers. Ekofisk, le premier et l'un des plus grands gisements pétroliers en mer du Nord est découvert avec un potentiel d'extraction d'en moyenne 164 000 barils par jour.Et le pays, qui est à l'époque l'un des plus pauvres d'Europe avec la Grèce, entre dans une nouvelle ère : celle de l'abondance. Les hydrocarbures s'affirment comme la colonne vertébrale de l'économie du petit royaume de 5,5 millions d'habitants.Alors, la Norvège verra-t-elle un jour la fin du pétrole et du gaz ? Pas avant une centaine d'années, prédit l'industrie pétrolière norvégienne. En attendant, il faut préparer l'avenir et pour la Norvège, cela passera sans doute par la capture et le stockage de carbone. Près de Bergen, à 350 km au nord de Stavanger, Northern Lights, le plus grand site de stockage de CO2 est en train de voir le jour, il est financé en grande partie par l'État norvégien et a été lancé par Equinor, Shell et Total, il sera opérationnel en 2024.Sverre Overa est le directeur du projet Northern Lights: « Chaque compagnie pétrolière a ses raisons pour investir dans la capture et le stockage de carbone, certaines le font pour leur réputation, d'autres veulent faire partie de la solution et ne veulent pas seulement faire partie du problème. Et la troisième raison, c'est que l'extraction du gaz et du pétrole a une fin en raison du besoin de réduire les émissions et cette nouvelle industrie de la décarbonation pourra se servir des compétences de ces compagnies pétrolières donc c'est une façon d'aller vers la transition énergétique et le futur ».La technique dite du CCS est aujourd'hui reconnue comme un moyen essentiel de réduire les émissions de CO2. Mais les écologistes y voient, au contraire, une excuse pour poursuivre l'exploitation des énergies fossiles. Pour Klimentina Radkova de Greenpeace Norvège, « la capture et le stockage du carbone est une fausse solution et ce n'est pas une alternative. C'est une distraction, et les compagnies pétrolières investissent massivement dans ce procédé, car cela leur donne le droit de continuer à polluer, et de produire un produit qui est nocif pour le climat. La manière la plus rapide, sûre et économique de stocker du carbone est de le laisser sous terre ».Soumis à des pressions croissantes pour réduire leurs émissions de CO2, les pays exportateurs de pétrole et de gaz comme la Norvège sont face à un défi colossal. La transition énergétique vers un monde bas-carbone où la part du pétrole serait limitée implique une totale révolution de leur modèle économique. À quel rythme, c'est toute la question.
Pas de répis pour nos Grandes Gueules du Sport, ils passent la seconde ! L'une des grosses actus sportives décryptée par nos GG.
A demain avec Christelle !
durée : 00:05:43 - La Revue de presse internationale - par : Julie Pacaud - Les températures enregistrées dans l'hémisphère nord atteignent des records. Aux États-Unis, le mercure a même dépassé les 46,6 degrés mardi à Phoenix, où le nombre d'hospitalisations retrouve les niveaux enregistrés lors de la pandémie de Covid-19.
Si vous buvez un jus d'orange tous les matins, pour votre petit-déjeuner, vous devrez peut-être changer vos habitudes alimentaires. Vous l'avez peut-être constaté, ce produit devient assez rare dans les rayons des supermarchés.Les industriels du secteur craignent même une véritable pénurie mondiale. Pourquoi le jus d'orange devient-il plus difficile à trouver ? La première explication est d'ordre climatique.En effet, des ouragans ou une sécheresse prolongée ont compromis les récoltes d'oranges dans des zones comme la Floride, le Mexique ou l'Espagne, qui en produisent de grandes quantités. En outre, les plantations de Floride ont été décimées par une dangereuse maladie.Ainsi, aux États-Unis, la récolte est passée de 5,4 millions de tonnes en 2021 à 650.000 tonnes en 2023. Soit une production huit fois moins importante. Du côté du Mexique, la récolte a diminué de 30 %.Les grandes enseignes se tournent alors vers le Brésil, qui est le premier producteur de jus d'orange. Soumis à cet afflux de commandes, le pays ne peut cependant les honorer toutes. D'où la relative pénurie qui règne aujourd'hui sur le marché.Les stocks d'oranges brésiliennes sont donc en train de fondre. Plus rares, ces fruits vont devenir de plus en plus chers. Et, selon les fabricants, les répercussions sur le prix des jus d'orange ne devraient pas tarder à se faire sentir.En effet, le prix de la tonne de jus d'orange concentré se négocie à 3.400 euros cette année, contre 2.600 euros à l'issue de la récolte précédente. Et, de ce fait, le prix du jus d'orange a bondi d'environ 30 % en avril dernier.Il est peu probable que la situation s'améliore avant la prochaine récolte d'oranges, qui doit avoir lieu en juin prochain. Si, dans les principaux pays producteurs, elle s'avère meilleure que la précédente, les choses pourraient rentrer dans l'ordre quelques mois plus tard, d'ici l'automne.Ce qui ferait le bonheur des consommateurs français. En effet, avec 18 litres par habitant et par an, ils sont les seconds buveurs de jus d'orange en Europe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous buvez un jus d'orange tous les matins, pour votre petit-déjeuner, vous devrez peut-être changer vos habitudes alimentaires. Vous l'avez peut-être constaté, ce produit devient assez rare dans les rayons des supermarchés. Les industriels du secteur craignent même une véritable pénurie mondiale. Pourquoi le jus d'orange devient-il plus difficile à trouver ? La première explication est d'ordre climatique. En effet, des ouragans ou une sécheresse prolongée ont compromis les récoltes d'oranges dans des zones comme la Floride, le Mexique ou l'Espagne, qui en produisent de grandes quantités. En outre, les plantations de Floride ont été décimées par une dangereuse maladie. Ainsi, aux États-Unis, la récolte est passée de 5,4 millions de tonnes en 2021 à 650.000 tonnes en 2023. Soit une production huit fois moins importante. Du côté du Mexique, la récolte a diminué de 30 %. Les grandes enseignes se tournent alors vers le Brésil, qui est le premier producteur de jus d'orange. Soumis à cet afflux de commandes, le pays ne peut cependant les honorer toutes. D'où la relative pénurie qui règne aujourd'hui sur le marché. Les stocks d'oranges brésiliennes sont donc en train de fondre. Plus rares, ces fruits vont devenir de plus en plus chers. Et, selon les fabricants, les répercussions sur le prix des jus d'orange ne devraient pas tarder à se faire sentir. En effet, le prix de la tonne de jus d'orange concentré se négocie à 3.400 euros cette année, contre 2.600 euros à l'issue de la récolte précédente. Et, de ce fait, le prix du jus d'orange a bondi d'environ 30 % en avril dernier. Il est peu probable que la situation s'améliore avant la prochaine récolte d'oranges, qui doit avoir lieu en juin prochain. Si, dans les principaux pays producteurs, elle s'avère meilleure que la précédente, les choses pourraient rentrer dans l'ordre quelques mois plus tard, d'ici l'automne. Ce qui ferait le bonheur des consommateurs français. En effet, avec 18 litres par habitant et par an, ils sont les seconds buveurs de jus d'orange en Europe. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Sur les docks - Le corps soumis : Dans le donjon de Maîtresse Cindy (1ère diffusion : 09/10/2006)
Les parents aidant leurs enfants à faire leurs devoirs ont parfois le sentiment qu'ils retiennent certaines notions plus vite et plus facilement qu'eux. En fait, ce n'est pas seulement une impression.C'est ce que vient de démontrer une nouvelle étude allemande. Pour comprendre les mécanismes en jeu dans l'apprentissage, les auteurs de l'étude ont soumis deux groupes, l'un composé d'enfants et l'autre d'adultes, à des examens spécifiques, menés au moyen de techniques d'imagerie conçues à cet effet.Elles ont permis d'étudier le comportement du cerveau avant, pendant et après la phase d'apprentissage à laquelle se sont pliés les participants. Une autre étude, américaine celle-ci, s'est fixé les mêmes objectifs, mais en s'intéressant surtout à l'apprentissage visuel.Soumis à ces tests, les enfants, comme souvent, se sont révélés plus prompts à apprendre de nouvelles notions. Et aussi plus doués pour les retenir. Les chercheurs croient savoir pourquoi.Pour eux, le responsable de cette plus grande facilité à apprendre et à retenir des informations serait un neurotransmetteur au nom assez compliqué. Il s'agit en effet de l'acide gamma-aminobutyrique, qu'on appelle plus simplement GABA.Cette substance chimique joue un grand rôle dans le mécanisme d'apprentissage ainsi que dans la consolidation des connaissances acquises. Les études citées ont montré qu'au moment de l'apprentissage, la concentration de GABA était plus importante dans le cerveau des enfants que dans celui des adultes.Et le niveau plus élevé de cette substance se maintenait même, chez les enfants, à l'issue de la phase d'apprentissage proprement dite, alors que, tout au long de ce processus, ce neurotransmetteur ne subissait aucune transformation chez les adultes.Plus encore, ce haut niveau de GABA permettait aux enfants d'engranger de nouvelles connaissances, sans pour autant oublier les précédentes, au bout d'un intervalle de temps de seulement dix minutes. Alors qu'il fallait une heure aux adultes pout parvenir au même résultat.De telles découvertes devraient ouvrir de nouvelles perspectives dans le domaine de l'enseignement et dans la manière dont on conçoit l'apprentissage destiné à de jeunes enfants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les parents aidant leurs enfants à faire leurs devoirs ont parfois le sentiment qu'ils retiennent certaines notions plus vite et plus facilement qu'eux. En fait, ce n'est pas seulement une impression. C'est ce que vient de démontrer une nouvelle étude allemande. Pour comprendre les mécanismes en jeu dans l'apprentissage, les auteurs de l'étude ont soumis deux groupes, l'un composé d'enfants et l'autre d'adultes, à des examens spécifiques, menés au moyen de techniques d'imagerie conçues à cet effet. Elles ont permis d'étudier le comportement du cerveau avant, pendant et après la phase d'apprentissage à laquelle se sont pliés les participants. Une autre étude, américaine celle-ci, s'est fixé les mêmes objectifs, mais en s'intéressant surtout à l'apprentissage visuel. Soumis à ces tests, les enfants, comme souvent, se sont révélés plus prompts à apprendre de nouvelles notions. Et aussi plus doués pour les retenir. Les chercheurs croient savoir pourquoi. Pour eux, le responsable de cette plus grande facilité à apprendre et à retenir des informations serait un neurotransmetteur au nom assez compliqué. Il s'agit en effet de l'acide gamma-aminobutyrique, qu'on appelle plus simplement GABA. Cette substance chimique joue un grand rôle dans le mécanisme d'apprentissage ainsi que dans la consolidation des connaissances acquises. Les études citées ont montré qu'au moment de l'apprentissage, la concentration de GABA était plus importante dans le cerveau des enfants que dans celui des adultes. Et le niveau plus élevé de cette substance se maintenait même, chez les enfants, à l'issue de la phase d'apprentissage proprement dite, alors que, tout au long de ce processus, ce neurotransmetteur ne subissait aucune transformation chez les adultes. Plus encore, ce haut niveau de GABA permettait aux enfants d'engranger de nouvelles connaissances, sans pour autant oublier les précédentes, au bout d'un intervalle de temps de seulement dix minutes. Alors qu'il fallait une heure aux adultes pout parvenir au même résultat. De telles découvertes devraient ouvrir de nouvelles perspectives dans le domaine de l'enseignement et dans la manière dont on conçoit l'apprentissage destiné à de jeunes enfants. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Luc aime la douleur. Dans le cadre défini du BDSM, pratiques sexuelles basées sur la contrainte et la domination, ce Lausannois de 39 ans a choisi le rôle d'homme soumis. Au micro de «Brise Glace», il raconte ce «sport extrême» fait de latex et de fouets – plus sûr et bienveillant qu'il n'y paraît. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comme la plupart des secteurs d'activité, le journalisme fut longtemps l'apanage des hommes. Les femmes y étaient rares, comme cette Louise-Félicité de Kéralio qui, en 1789, fonde même un journal et devient la première femme rédactrice en chef d'une publication.Nellie Bly, de son vrai nom Elizabeth Jane Cochrane, fait aussi partie de ces pionnières. Née en 1864, aux États-Unis, elle connaît d'abord une petite enfance heureuse. La mort de son père, en 1870, la laisse démunie. Elle refuse pourtant le destin des jeunes filles pauvres, vouées à devenir institutrices ou demoiselles de compagnie.Ulcérée par l'article méprisant d'un journal, qui cantonne les femmes à certaines fonctions, elle écrit une lettre courroucée à son directeur. Frappé par la force de l'argumentation, et la qualité du style, celui-ci promet d'embaucher la jeune fille si elle écrit un article qui lui convient.Le texte qu'elle lui soumet convainc le patron de presse de son talent. Elizabeth, à 16 ans, fait ainsi ses débuts dans le journalisme. Elle décide d'écrire sous le pseudonyme de Nellie Bly.Son premier reportage fait sensation. Elle y décrit les conditions de travail très difficiles des ouvrières d'une usine de boîtes de conserve. Assorti de photographies, l'article entraîne une hausse des ventes du journal.Soumis aux pressions des industriels, le directeur lui assigne alors des rubriques sans intérêt. Après un voyage au Mexique, pendant lequel elle continue son travail de journaliste, elle revient aux États-Unis en 1887 et se rend à New York.Là, elle réussit à se faire embaucher dans un journal à sensation, à condition qu'elle écrive des articles sur un asile. Inventant pour l'occasion ce qu'on pourrait appeler le journalisme d'infiltration, elle se fait passer pour folle et est internée dans un asile pour femmes.Elle y décrit, dans une série d'articles restés célèbres, les conditions effroyables dans lesquelles vivent les malheureuses. En 1890, elle décide de relever un nouveau défi en entreprenant un tour du monde en moins de 80 jours, clin d'œil au célèbre roman de Jules Verne. Et, de fait, elle réussit à le boucler en 72 jours ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comme la plupart des secteurs d'activité, le journalisme fut longtemps l'apanage des hommes. Les femmes y étaient rares, comme cette Louise-Félicité de Kéralio qui, en 1789, fonde même un journal et devient la première femme rédactrice en chef d'une publication. Nellie Bly, de son vrai nom Elizabeth Jane Cochrane, fait aussi partie de ces pionnières. Née en 1864, aux États-Unis, elle connaît d'abord une petite enfance heureuse. La mort de son père, en 1870, la laisse démunie. Elle refuse pourtant le destin des jeunes filles pauvres, vouées à devenir institutrices ou demoiselles de compagnie. Ulcérée par l'article méprisant d'un journal, qui cantonne les femmes à certaines fonctions, elle écrit une lettre courroucée à son directeur. Frappé par la force de l'argumentation, et la qualité du style, celui-ci promet d'embaucher la jeune fille si elle écrit un article qui lui convient. Le texte qu'elle lui soumet convainc le patron de presse de son talent. Elizabeth, à 16 ans, fait ainsi ses débuts dans le journalisme. Elle décide d'écrire sous le pseudonyme de Nellie Bly. Son premier reportage fait sensation. Elle y décrit les conditions de travail très difficiles des ouvrières d'une usine de boîtes de conserve. Assorti de photographies, l'article entraîne une hausse des ventes du journal. Soumis aux pressions des industriels, le directeur lui assigne alors des rubriques sans intérêt. Après un voyage au Mexique, pendant lequel elle continue son travail de journaliste, elle revient aux États-Unis en 1887 et se rend à New York. Là, elle réussit à se faire embaucher dans un journal à sensation, à condition qu'elle écrive des articles sur un asile. Inventant pour l'occasion ce qu'on pourrait appeler le journalisme d'infiltration, elle se fait passer pour folle et est internée dans un asile pour femmes. Elle y décrit, dans une série d'articles restés célèbres, les conditions effroyables dans lesquelles vivent les malheureuses. En 1890, elle décide de relever un nouveau défi en entreprenant un tour du monde en moins de 80 jours, clin d'œil au célèbre roman de Jules Verne. Et, de fait, elle réussit à le boucler en 72 jours ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:58:35 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann - A quoi est dû notre sentiment que le temps s'accélère ? Le climat d'urgence sociale, sanitaire, climatique, géopolitique est-il un facteur aggravant ? L'accélération empêche-t-elle l'anticipation ? - invités : Jérôme Lèbre professeur de khâgne, membre du Collège international de philosophie; Christophe Bouton professeur de philosophie à l'Université Bordeaux Montaigne, spécialiste des questions du temps et de l'histoire dans la philosophie contemporaine
durée : 00:58:06 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann - Comment les rythmes imposés par la société (le travail, l'école, les obligations domestiques) affectent-ils nos vies ? De quelle manières affectent-ils notre bien-être psychique ? Comment se réapproprier ces rythmes dictés par des paramètres sociaux en dehors de notre maîtrise ? - invités : Robert Chenavier Agrégé de philosophie, président de l'Association pour l'étude de la pensée de Simone Weil, directeur de la publication des "Cahiers Simone Weil"; Adèle Sueur Doctorante en 3e année au Laboratoire de Changement social et Politique, à l'Université Paris Cité, en philosophie sociale et politique et en études féministes.; Carmen Schröder Professeur de Psychiatrie de l'Enfant et de l'Adolescent aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, spécialiste du sommeil et des rythmes biologiques et chercheuse affiliée au CNRS.
durée : 00:58:19 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann - Le temps passe et n'efface pourtant pas ce qui a été. A l'échelle individuelle comme à l'échelle collective, nous devons composer avec ce qui reste. Un certain devoir mémoriel s'impose à nous pour nous rassembler, pour nous reconstruire et pour pouvoir avancer. Que garder de ce qui a été ? - invités : Sarah Gensburger sociologue et historienne (CNRS / Institut de Sciences sociales du Politique); Johann Michel Philosophe et politiste, professeur à l'Université de Poitiers et chercheur à l'EHESS.; Malika Rahal Historienne, spécialiste de l'histoire algérienne depuis l'indépendance et du Maghreb contemporain
durée : 00:58:29 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann - Le temps est une notion polysémique qui renvoie à la durée vécue, au moment présent, aux instants passés, au temps vide ou accéléré. Comment penser cette difficulté du temps : être à la fois changement et permanence ? Quelle différence existe-t-il entre temps et conscience du temps ? - invités : Francis Wolff professeur émérite à l'Ecole Normale Supérieure ULM.; Etienne Klein Physicien, producteur de l'émission "Le pourquoi du comment ?" sur France Culture