2040 j'y vais!

Une fourmi, une notonecte, un lynx ou un arbre peuvent-être d'une subtilité et d'une inventivité extraordinaire. Et apprendre à les regarder, c'est se permettre de se reconnecter à une forme de joie et de magie face à la complexité de la vie.Alors, et si au fond une des raisons principales de notre déconnexion au vivant venait de la perte de notre capacité à nous émerveiller?Dans ce nouvel épisode du podcast « 2040 j'y vais! » vous êtes conviés à un voyage dans l'émerveillement en compagnie de deux hôtes exceptionnels:Julien Perrot, un aventurier du proche, qui depuis plus de quarante ans transmet son amour de la nature à travers le magazine « La Salamandre ». Il publie ce mois de mai son premier livre, « une vie pour la nature », dans lequel il relate ses rencontres avec les animaux de nos contrées.Blaise Mulhauser, biologiste, écologue et directeur du jardin botanique de Neuchâtel, qui nous propose de décentrer notre regard et de considérer que nous ne sommes qu'une espèce parmi d'autres. Une nouvelle grille de lecture qui transforme potentiellement notre façon d'habiter le monde. Une analyse qu'il a développée dans son livre « le continuum du vivant » publié en 2024 aux éditions épistémé.Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast « 2040 j'y vais! », consacré à la place des humains dans le vivant.SoutiensLe podcast « 2040, j'y vais! » est possible grâce au soutien de la Fondation Giovannini, du canton de Vaud, du canton de Genève, du Transform'Action Lab de l'EPER, du One Planet Lab et des Services Industriels de Genève. Nous remerçions également nos partenaires de diffusion: l'impact Hub Lausanne-Genève; la Fédération Suisse des entreprises, le sanu et l'Archipel Sion.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

« Le secret du changement c'est de concentrer son énergie à construire la nouveauté et non à combattre les habitudes. Passer moins de temps à rabâcher les catastrophes et plus de temps à décrire des futurs désirables », Cyril Dion.Face à la remise en question des engagements climatiques de grandes firmes, face à la montée de la haine de l'autre et la fragilisation de la démocratie et de l'Etat de droit aux États Unis, nous pouvons ressentir une forme de sidération.Alors…. Et si pour retrouver notre pouvoir d'agir, nous commencions par faire entendre d'autres récits? Si nous nous mettions à raconter de façon virale à quel point la transition écologique et sociale peut être innovante, joyeuse, stimulante?Pour en parler, j'ai rencontré Cyril Dion pour une émission spéciale du podcast « 2040 j'y vais! ». Une rencontre riche et stimulante, dans laquelle nous parlons:de ce que sont les récitsde l'importance de raconter des histoires qui me donnent envie d'aller vers un avenir durablede ce que nous pourrions mettre dans une bibliothèque des nouveaux récitsdes canaux de communication que nous devons développer pour faire entendre ces nouveaux récitsEt comme toujours, nous terminons par un voyage en 2040: vous découvrirez Paris, devenue pionnière de la durabilité, vue par Cyril Dion.Interview: Chantal PeyerLecture de poèmes: Michel SauserRéalisation: Aline BlanchardSoutiensLe podcast « 2040, j'y vais! » est possible grâce au soutien de la Fondation Giovannini, du canton de Vaud, de la ville Fribourg, de la ville de Meyrin, du Transform'Action Lab de l'EPER, du One Planet Lab et des Services Industriels de Genève. Nous remerçions également nos partenaires de diffusion: l'impact Hub Lausanne-Genève; la Fédération Suisse des entreprises, le sanu à Bienne et l'Archipel à Sion.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vous en avez marre de la morosité ambiante? Vous avez besoin d'une piqûre de rappel pour vous souvenir que l'humanité peut dépasser ses égoïsmes et faire émerger du respect, de la coopération et de la beauté? Alors à vos écouteurs!Pour vous aider à faire face à l'époque, Chantal Peyer vous a concocté une émission spéciale du podcast « 2040 j'y vais! », dans laquelle elle est allée à la rencontre de Jean-Pierre Goux.Jean Pierre Goux c'est l'état de poésie, associé à l'esprit scientifique. Il est à la fois mathématicien, ingénieur, entrepreneur, écrivain, conférencier et acteur engagé dans la transition écologique. Il a été directeur général de la bourse de l'énergie durant 10 ans, président de l'Institut des futurs souhaitables avant de décider de consacrer l'essentiel de son temps à l'écriture de romans.Ses romans et ses conférences sont des invitations à faire cohabiter l'émerveillement et la rigueur, l'amour et l'engagement, le respect du vivant et l'innovation. Plutôt que de creuser la dualité, il invite à la dépasser pour créer un mouvement planétaire de réinvention de nos sociétés, dans les limites planétaires.SoutiensLe podcast « 2040, j'y vais! » est possible grâce au soutien de la Fondation Giovannini, du canton de Vaud, de la ville Fribourg, de la ville de Meyrin, du Transform'Action Lab de l'EPER, du One Planet Lab et des Services Industriels de Genève. Nous remerçions également nos partenaires de diffusion: l'impact Hub Lausanne-Genève; la Fédération Suisse des entreprises et le sanu.L'interview a eu lieu avant la conférence "2040 j'y vais!", organisée par le Hub des possibles fin 2024 au théâtre de Vidy.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le contenu de la restauration collective semble reposer sur un malentendu: la croyance que les jeunes aiment avant tout les hamburgers, les frites et le junk food. Alors que la majorité d'entre eux aspirent, au quotidien, à une alimentation saine et durable.Alors, comment transformer l'offre dans la restauration collective pour favoriser une alimentation bas carbone et gourmande, tout en maintenant des prix abordables? Et quels choix individuels pouvons-nous faire pour manger sainement et diminuer le CO2 de nos assiettes?Pour le savoir, je suis allée à la rencontre de :

150'000 camions remplis de nourriture qui, placés en file indienne, vont de Zurich à Barcelone: voici la quantité de nourriture que nous gaspillons chaque année en Suisse.En faisant des recherches pour l'émission 10 du podcast « 2040 j'y vais! », sur le gaspillage alimentaire, j'ai été choquée par l'ampleur du phénomène. Comment est-ce possible? Me suis-je demandée… Mais au fond, la question essentielle n'est-elle pas plutôt « comment faire autrement? ». Et là, bonne nouvelle: les solutions existent et peuvent même être fun à mettre en place!Pour comprendre comment construire un monde sans gaspillage alimentaire, je vous emmène, dans ce dixième épisode 10 du podcast «2040 j'y vais! », à la rencontre de:

Vous est-il déjà arrivé d'aller dans un hôtel et de vous réveiller au milieu de la nuit avec une douleur tenace dans le dos, parce que votre matelas était mou comme une éponge?Dans cet épisode du Podcast 2040 j'y vais, nous allons parler de matelas. Cet objet si précieux, sur lequel nous passons entre cinq et neuf heures chaque nuit, mais auquel nous n'accordons souvent que peu d'attention. Nous allons parler de matelas pour aborder le thème l'économie de l'usage avec François Pugliese, directeur des élites, qui a inventé un nouveau modèle d'affaires pour les hôteliers. François Pugliese ne vend plus des lits, mais de la qualité de sommeil. Cela lui a permis de démontrer qu'il est possible de maintenir une production durable et artisanale en Suisse, alors même que tout les concurrents délocalisent les usines en Europe de l'Est.Nous irons également à la rencontre de Charlotte Jacquot, qui s'engage depuis plusieurs années pour accompagner des PME dans leur transition vers l'économie circulaire.Enfin, nous retrouverons François Pugliese dans l'avenir, en 2040, alors qu'il est à la retraite, pour imaginer comment l'économie circulaire s'est déployée.SoutiensLe podcast « 2040, j'y vais! » est possible grâce au soutien de la Fondation Giovannini, du canton de Vaud, de la ville Fribourg, de la ville de Meyrin, de l'EPER, du One Planet Lab et des Services Industriels de Genève.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

⌚Avec Nicolas Freudiger, co-fondateur d'ID Genève et Dunia Brunner, chercheuse à l'université de Lausanne.Des peaux de raisins récupérées pour fabriquer du textile végétal; des champignons et du chanvre pour créer un emballage, de l'acier inoxydable recyclé pour créer de nouveaux boîtiers.Bienvenue dans l'univers des montres d'ID Genève. Une entreprise qui réinvente la tradition suisse de l'horlogerie pour associer élégance et limites planétaires. Dans ce septième épisode du podcast « 2040 j'y vais! », je suis particulièrement heureuse de vous parler d'économie circulaire. Un domaine en plein essor qui a le potentiel de transformer la façon dont nous pensons, fabriquons et achetons les objets de notre quotidien, afin de ne plus épuiser la planète.Ce exploration, nous la ferons en compagnie de:Nicolas Freudiger, qui nous parlera de l'aventured'IDGeneve qu'il a co-fondé avec deux collèguesDunia Bruner, chercheuse à l'université de Lausanne , qui a publié fin 2023, le livre « l'économie circulaire. Agir pour une Suisse durable »Et comme toujours nous terminerons par un voyage dans le futur, en 2040, pour imaginer à quoi ressemblera l'entrepreneuriat circulaire, si nous déployons son plein potentiel.

Nous sommes en 2040. C'est jour de marché à Orzens…Ce petit village proche d'Yverdon-les-Bainsa réaménagé son four historique depuis peu et voit essaimer un florilège d'artisans en plus des maraîchers et paysans du village.Une atmosphère qui reflète la redynamisation des villages campagnards amorcée depuis plusieurs années, suite au raz-le-bol exprimé par les agriculteurs dès les années 2020 quant au système des paiements directs, des subventions agricoles fédérales et des marges opaques de la grande distribution. Cette évolution a aussi été facilitée par la flambée des prix de l'énergie dans les années 2030. Un mouvement de bascule s'est opéré, ramenant plus de main d'œuvre dans les champs et plus de consommateurs sur les marchés.Dans cette émission spéciale « 2040 j'y suis !», la journaliste Noémie Desarzens vous donne à entendre et à imaginer l'agriculture de 2040 en compagnie de Jean-Yves Billaud, qui incarne la 4e génération de paysans dans sa famille. Un agriculteur dont la curiosité et l'envie d'innover traduisent une manière de cultiver la terre autrement. Dans cette émission spéciale, vous entendrez également :- Aurélien Rollaz, vigneron et membre du comité des jeunes agriculteurs vaudois- Blaise Hoffmann, vigneron et écrivain, auteur du livre « Faire paysan ».- Pascal Olivier, directeur de l'antenne romande de BioSuisseInterview : Noémie DesarzensRéalisation : Sébastien Sommer Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui en Suisse l'habitat est à l'origine de 25% des émissions de CO2. Ce chiffre n'est pas étonnant lorsque l'on sait que 3/4 des bâtiments de notre pays sont encore chauffés aux énergies fossiles. Sans parler de ceux qui sont mal isolés. Et sans parler de nos habitudes, qui augmentent notre consommation de chauffage et nos factures d'électricité. Dans ce podcast nous explorons comment habiter de façon plus écologique. Est-il possible d'habiter sans émettre de CO2? Nous nous demanderons comment transformer nos choix et habitudes, afin de concilier habitat, écologie et une vie agréable. Pour mener l'enquête je suis allée à la rencontre de deux pionniers:Ivan Enderlin a construit avec sa femme Hend une maison autonome à Murist. J'ai voulu savoir comment ils ont fait pour produire de façon renouvelable toute l'énergie et l'eau dont ils ont besoin, sans avoir recours aux réseaux publics.David Moreau, de l'association négawatt, travaille sur l'habitat et la sobriété. J'ai cherché à comprendre comment les locataires peuvent économiser de l'énergie et soutenir une transition en prenant de l'influence sur les régies immobilières.Et comme toujours nous terminerons par un voyage en 2040. Interview: Chantal PeyerRéalisation: Aline BlanchardSoutiensLe podcast « 2040, j'y vais! » est possible grâce au soutien de la Fondation Giovannini, du canton de Vaud, de la ville Fribourg, de la ville de Meyrin, de l'EPER, du One Planet Lab et des Services Industriels de Genève.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

"2040 j' vais!" - habiter autrement.Aujourd'hui, les villages de montagne continuent à se dépeupler en Suisse. Et en plaine, ils voient s'installer une population néo-urbaine, qui a tendance à faire ses courses dans les grands supermarchés et à partir en week-end dans d'autres régions. Retisser du lien social dans ce contexte de 2024 exige d'inventer de nouveaux projets, dynamiques et porteurs de sens pour l'ensemble des habitants. Alors, comment fait-on pour travailler avec les habitants et les habitantes à redonner vie à un village? Comment mêler terroir et innovation pour réinventer une activité économique et culturelle qui fasse sens?Pour le savoir, je suis allée à la rencontre de:Sébastien Olesen, directeur du PALP festival, lauréat avec son équipe de différents prix, dont le prix montagne 2022. Le PALP est un festival de musique et de culture qui essaime dans tout le Valais. Et qui a mis en place une multitude de projets innovants dans le village de Bruson, dans le Val de Bagnes.Pierre Dessemontet, géographe, qui nous parle de l'évolution démographique de la Suisse au cours de ces dernières décenniesInterview: Chantal PeyerRéalisation: Aline BlanchardLe podcast « 2040, j'y vais! » est possible grâce au soutien de la Fondation Giovannini, du canton de Vaud, de la ville Fribourg, de la ville de Meyrin, de l'EPER, du One Planet Lab et des Services Industriels de Genève.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

"2040 j''y vais!" - Construire autrement Avec Rodrigo Fernandez , entrepreneur et Alia Bengana, architecte et enseignante à l'EPFL 

Avec Nathalie Leuenberger, maire de Meyrin, et Emmanuel Ansaldi, Professeur à l'HEPIA. Interview: Chantal Peyer. Lecture: Michel Sauser.Réalisation: Sébastien Sommer.

Avec Claire Asfeld ingénieure agronome et directrice de la ferme du Lilan et Pascal Boivin spécialiste des sols et professeur à la haute école spécialisée de Genève.Savez-vous ce qu'est un arthropode?Ou un cloporte?Ce sont des petites bêtes qui font partie de la matière organique de nos sols. Sans eux, pas d'aération des sols, pas de minéraux, pas de fertilité. On l'oublie trop souvent, mais les sols constituent le fondement de l'agriculture. Sans sol fertile, il n'y a pas d'alimentation, pas de vie. Pourtant peu d'entre nous ont conscience du fait que la fertilité des sols se constitue au fil de millions d'années. Et qu'elle est donc une ressource non renouvelable. Dans ce podcast je vous invite à explorer le lien entre l'agriculture et la terre avec Claire Asfeld et Pascal Boivin. Claire Asfeld, rien de la prédestinait à devenir ingénieur agronome. Elle a grandi à Paris, au milieu des bâtiments historiques. Pourtant, après des études de biologies, elle est irrésistiblement attirée par l'agronomie, puis l'agriculture. Son rire solaire et contagieux, indique qu'elle a pleinement trouvé sa place à la ferme du Lilan, ce lieu d'expérimentation et d'innovation en agroécologie qu'elle nous fait visiter. Pascal Boivin, quant à lui nous explique comment reconnaître un sol sain, quel est l'état général des sols en Suisse et les défis posés par notre modèle agricole actuel. Et comme toujours nous terminerons par un voyage dans l'avenir : et si nous prenions soin de nos sols, comme d'une matière précieuse et vivante, à quoi ça ressemblerait en 2040 ? Claire Asfled nous parle d'un avenir sous la canopée des arbres, dans lequel nous aurons inscrit la valeur du vivant dans .... la comptabilité. Interview: Chantal PeyerRéalisation: Sébastien SommerRéférences -       La ferme du Lilan-       Le projet pilote resulterre lancé dans le canton de Genève-       Arte, Roots, de la terre mère au sol vivant, documentaire de Pierre Girard, 2022. Pour aller plus loinVous voulez en savoir plus sur ce thème? Voici les recommandations de Nora et Corinne, libraires à Payot Genève:- L'agroécologie peut nous sauver : entretiens Marc Dufumier & Olivier Le Naire Dufumier, Actes sud.- Permaculture : guérir la Terre, nourrir les hommes : la ferme du Bec Hellouin Perrine et Charles Hervé-Gruyer, Actes sud.- Transformer sa vision du monde grâce à la permaculture : éthique, design et initiatives Jessie et Andrew Darlington, Jouvence nature.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Avec Urs Gfeller, maraîcher et co-fondateur du projet bio26 et Sandra Imsand de la Fédération romande des consommateurs (FRC).Interview: Chantal PeyerRéalisation: Sébastien SommerComment se fait-il que ceux qui nous nourrissent n'arrivent plus à vivre de leur travail? Qu'un maraîcher ne touche parfois que 30% du prix de vente d'un légume? Qu'est-ce qu'un prix juste?Dans cet épisode de "2040 j'y vais!", je vous invite à rencontrer Urs Gfeller, maraîcher à Fribourg, qui a co-fondé le projet bio26 pour mieux rémunérer les producteurs et productrices.Avec Urs Gfeller, nous: