POPULARITY
Le Club RFI Hihéatro a mené une opération de ramassage de déchets dans plusieurs quartiers de Hihéatro. Une initiative conviviale et pédagogique pour sensibiliser les jeunes écoliers à limiter l'usage du plastique et à mener des actions en faveur de l'environnement. Au mois de juillet 2024, dans le cadre de l'activité Club vert, les membres du club RFI Hihéatro ont planté plus de 200 arbres dans la région. Avec la participation d'Isaac Doufle, président du Club RFI Hihéatro.Cousine/invitée du Club : Christine Jeandroz, musicienneProverbe : Qui se nourrit d'attente, risque de mourir de faimMusique : Adikakpo olokou, Wateba Cool Daddy.Réalisation : Cécile Bonici.
Ils traitent tous les jours nos déchets qui sont envoyés dans leurs pays. À la conférence sur le plastique à Busan, en Corée du Sud, les petites mains du plastique viennent témoigner de leurs conditions de vie. À travers le monde, ce sont plus de 21 millions de personnes qui travaillent dans des déchetteries de plastique où aucune mesure sanitaire n'est respectée. De notre correspondant à Busan, John Chweya est kényan et il a fait tout le chemin jusqu'à Busan en Corée du Sud pour témoigner du travail, souvent invisible, des ramasseurs de déchets plastiques. « Quand j'avais 13 ans, notre entreprise familiale qui vendait des vêtements de seconde main a brûlé dans l'incendie du marché. Notre famille s'est retrouvée dans une situation où tout le monde devait travailler pour manger et c'est comme ça que je me suis retrouvé à travailler à la déchetterie dans laquelle je suis depuis 21 ans », raconte-t-il.Un travail éreintant de collecte et tri des déchets à la main qui expose sa santé à de nombreux risques. « Cela impacte notre santé, je suis allé à plusieurs déchetteries en Afrique du Sud et une en Afrique de l'Ouest. Quand le plastique brûle, les ramasseurs inhalent 16 000 différents produits chimiques sous forme de plastique brûlé. C'est une des raisons pourquoi beaucoup de mes collègues depuis des années ont des symptômes qui paraissent cancéreux. »À lire aussiKenya: près de Nairobi, comment des ramasseurs de déchets vivent et meurent de la pollution plastiqueVenu partager son témoignage, il espère une prise de conscience des autres pays sur la situation de millions de travailleurs et un traité qui pourrait les protéger. « Le message que je veux partager avec les autres pays présents ici, est que, nous, les ramasseurs de plastique, représentons plus de 21 millions de personnes dans le monde. Ce n'est pas un chiffre qu'on peut ignorer. J'aimerais dire à tous les pays, ici, que le traité doit être juste. Il faut qu'ils se rendent compte que ce traité tient entre ses mains la vie, l'avenir et les familles de 21 millions de ramasseurs de plastique à travers le monde. »Après la conférence, John Chweya retournera dans la décharge, mais espère continuer son travail en sachant être protégé.À écouter aussiQuels sont les effets du plastique sur la santé?
durée : 00:05:44 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Les représentants de 178 pays sont réunis cette semaine à Busan, en Corée du Sud, pour s'entendre sur le premier traité international destiné à supprimer la pollution plastique sur la planète. De quoi faire des exportations de déchets un véritable enjeu de ces négociations.
À Uvira, une ville du sud-est de la République démocratique du Congo, voisine de Bujumbura, la capitale du Burundi, les déchets plastiques sont partout. Ils jonchent les caniveaux, les principales avenues et les rives du lac Tanganyika. Pas de poubelle publique ni système de ramassage d'ordures. Résultat : les bouteilles de jus, d'eau, les emballages, ou même les chaussures bon marché (dont l'utilisation est très répandue), sont jetés dans la rue, et finissent dans le lac. De notre correspondante,Pour rentrer chez lui, Makashira, un jeune homme de 18 ans, doit enjamber des flaques débordantes de déchets plastiques. Sa maison, située en centre-ville d'Uvira, dans l'est de la RDC, borde le lac Tanganyika. « On nous a enseigné pourquoi les déchets sont mauvais. On nous a dit que ça emmène de la pollution. On nous a dit que ça emmène des moustiques, mais tout ce qu'on nous enseigne à l'école, on ne le met pas en pratique. C'est ça le problème. Lorsque nous trouvons des déchets, nous les jetons directement dans l'eau, on n'a pas une poubelle pour jeter ça », déplore-t-il.Sans système de ramassage des poubelles, sans décharge publique ni entreprise de recyclage, il n'y aucune alternative pour la population locale, autre que celle de déverser ses ordures un peu partout. Le maire d'Uvira, Kiza Muhato, promet la création d'une cellule d'assainissement et d'hygiène pour la ville : « Nous voulons, dans l'année 2025, mettre en place cette cellule pour récolter tous ces déchets plastiques. Dans quelques mois, je pense qu'il y aura une étude sur la province du Sud-Kivu, sur la gestion totale de tous les déchets dans toutes les villes. »À lire aussiRDC: à Bukavu, le principal barrage croule sous les déchets plastiquesL'eau, les boissons sucrées, les chaussures, les chaises, les tables, les bassines… le plastique est partout et utilisé quotidiennement. Selon Muhoza Bitaka Jean-Marie, le directeur du Centre de recherche en hydrobiologie d'Uvira et spécialiste en éducation environnementale, la solution est simple : réduire sa consommation. « On va me demander maintenant : l'eau, où est-ce qu'on va alors conserver ça ? Les jus que nous prenons chaque jour, que nous utilisons même dans les fêtes, où est-ce que nous allons mettre ça ? Mais ma réponse serait : il y a à peu près dix ans, la production de l'eau dans les plastiques, ça n'existait pas. Donc, le plastique n'est autre qu'un produit récent. Si nous arrêtons sa consommation, je pense, que ça ne serait pas un problème si la conscience écologique arrive à être ancrée dans les habitudes des gens d'Uvira. »Les conséquences de la présence des déchets plastiques pour la santé humaine sont encore peu connues dans la zone. Mais selon Masilya Mulungula, professeur à l'université de Bukavu qui a mené une étude sur le lac Tanganyika, ses eaux sont fortement concentrées en microplastique. Le macroplastique quant à lui sédimente les fonds lacustres, cachant ainsi certaines zones de reproduction des poissons. La pêche étant l'une des principales activités de la région.À écouter aussiTraité sur le plastique : il y en a partout, c'est la panique !
Perdue au milieu de l'océan Pacifique, l'île de Pâques, aussi appelée Rapa Nui, est aujourd'hui assaillie par le plastique : des résidus de bidons, des bouées, des cordes, des bouchons en plastique, mais surtout des millions de microparticules de plastique fragmentées par le brassage en mer. Situé en plein dans le gyre du Pacifique Sud, un puissant courant tourbillonnant, ce petit territoire chilien voit s'échouer sur ses côtes 500 déchets par heure. Ils viennent du continent, mais aussi des bateaux qui pêchent en grandes quantités dans la zone.Également connue pour ses moai, Rapa Nui accueille chaque année des milliers de touristes qui génèrent eux aussi des tonnes de déchets.«À l'île de Pâques, des statues mythiques aux tourbillons de déchets plastiques», un Grand reportage de Naila Derroisné.
durée : 00:38:02 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Depuis 25 novembre dernier, 175 pays sont réunis à Busan, en Corée du Sud, pour finaliser un traité mondial de lutte contre la pollution plastique. L'occasion de s'interroger sur l'omniprésence de ce matériau très pratique, mais très problématique.
Pourquoi ne faut-il pas compresser sa bouteille d'eau ou emboîter les barquettes en plastique les unes dans les autres ? Voici ce qu'il faut faire ou ne pas faire avant de jeter vos déchets dans la poubelle jaune. Ecoutez La Pluie et le beau temps avec Marina Giraudeau du 26 novembre 2024.
durée : 00:06:31 - L'invité de 6h20 - Alors que des négociations se déroulent en ce moment à Busan, en Corée du Sud, pour adopter un traité international contre la pollution plastique, Philippe Bolo, député Les Démocrates de la 7e circonscription du Maine-et-Loire et présent sur place, est notre invité ce lundi 25 novembre.
Avec : Robert Sebbag, infectiologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Daniel Riolo, journaliste RMC. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Pour sa chronique consacrée à l'Europe et à ses actions concrètes sur notre mode de vie, Catherine Ray s'attarde aujourd'hui sur la législation concernant les plastiques à usage unique. Une législation qui nous touche au quotidien. https://www.facebook.com/NicetoEarth1/ Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Cette semaine, Justine accueille Lila Durix !Lila est à la tête de la mission de sortie des plastiques à usage unique pour la ville de Paris. Elle a œuvré pour un événement sans plastique, tout en s'assurant que cet engagement soit visible sur les sites de festivité de la ville. Malgré les défis posés par les partenaires olympiques historiques comme Coca-Cola, elle a réussi à faire installer des fontaines à soda et à réduire l'utilisation de bouteilles en plastique dans plusieurs sites de compétition.Lila Durix est une figure clé dans la transition écologique de Paris. Avant de rejoindre la ville, elle a travaillé dans une grande entreprise agroalimentaire, où elle s'occupait de la politique RSE et d'emballage. Aujourd'hui, elle est basée à la direction de la transition écologique et du climat de Paris, où elle anime l'ambition zéro plastique et l'événementiel écoresponsable. Sa mission a été renforcée par l'accueil des Jeux Olympiques et Paralympiques, offrant une opportunité unique d'intégrer des pratiques durables dans le tissu urbain parisien.Les 5 points essentiels à retenir :Bien que Paris ait accueilli les Jeux, la ville n'avait pas le contrôle total sur les partenaires olympiques. Cependant, elle a pu imposer des mesures strictes sur les sites qu'elle gérait, prouvant que des alternatives au plastique sont possibles et efficaces.La ville de Paris a formé 1 600 agents pour réduire l'utilisation du plastique dans l'administration. Un guide a été créé, avec la team Circulab, pour aider les agents à adopter des pratiques plus durables, illustrant l'engagement de la ville vers une administration exemplaire.Les courses sur route à Paris seront désormais sans plastique à usage unique. Cette mesure, mise en place après deux ans de travail, vise à économiser plus d'un million de bouteilles en plastique par an, démontrant un engagement fort pour un avenir durable.La ville de Paris a mis en place un site web et un label pour aider les commerçants à réduire leur utilisation de plastique. Ce soutien inclut des conseils pratiques et des exemples de réussite pour encourager un changement positif.Le succès de cette transition repose sur une volonté politique forte et un engagement collectif. Malgré les défis, la ville de Paris a montré qu'il est possible de réduire l'empreinte plastique, servant d'exemple pour d'autres villes à travers le monde.Ressources mentionnées :Article rédigé par Justine sur Paris Zéro Plastique#60 - Comment l'économie circulaire se concrétise dans le contexte unique de Jeux Olympiques et Paralympiques ? avec Caroline LouisPour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré.
Grâce à sa solution disruptive permettant de valoriser des déchets en matière première primaire, c'est-à-dire, en monomère, Alexia Alvarez, CMO de Monomeris, révolutionne le futur du plastique.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Dans cet épisode d'En Toute Transparence, David Garbous, fondateur du collectif Réussir Avec Un Marketing Responsable et du cabinet de conseil Transformation Positive, explore une des dernières initiatives du groupe Accor avec Delphine Stroh, directrice environnement du groupe, et Sandrine Verrecchia-Godin, directrice des produits alimentaires, boissons et équipements d'hôtels.Delphine et Sandrine reviennent sur les actions concrètes menées, dont le programme "Planet 21" et la suppression de 57 produits en plastique à usage unique, soit plus de 300t de produits plastiques évités, ainsi que sur les défis rencontrés pour maintenir un équilibre entre durabilité et rentabilité.Les discussions abordent également le rôle clé des achats et des collaborations avec les fournisseurs pour trouver des alternatives durables, mais aussi la manière dont le groupe Accor a mobilisé ses équipes dans plus de 110 pays pour réussir cette transition.En fin d'épisode, Delphine et Sandrine répondent aux questions des étudiants et creusent la stratégie d'approvisionnement, les actions du groupe sur l'expérience client au global (notamment l'écotourisme) et l'adaptation de l'initiative en fonction du positionnement des marques du groupe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Grâce à sa solution disruptive permettant de valoriser des déchets en matière première primaire, c'est-à-dire, en monomère, Alexia Alvarez, CMO de Monomeris, révolutionne le futur du plastique.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
On this episode, I'm joined by Les Beaux Plastiques, the producer for Thotcrime, to deep dive into coffee, learn about cyber-grind, talk about her intro to heavy music, and chat about Connection Anxiety. During the episode I was drinking Ethiopia Bekele from Ethica Coffee Roasters. Episode Links: https://ethicaroasters.com/ https://cartwheelcoffee.com/ https://thtcrime.bandcamp.com/music https://linktr.ee/lesbeauxplastiques https://www.beansandbreakdowns.com/
La France a lancé une campagne nationale pour encourager la réduction des déchets plastiques, avec un objectif ambitieux de réduire leur usage de 50 % d'ici cinq ans.Traduction: France has launched a national campaign to encourage the reduction of plastic waste, with an ambitious goal to cut its use by 50% within five years. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
SMART IMPACT reçoit Frédéric Merle, chargé de développement à EuraMaterials, et Christophe Doukhi de Boissoudy, directeur général de Novament France, pour aborder les enjeux de la méthode Mass Balance en matière de recyclage chimique des plastiques, en tant que mode de calcul et d'attribution de la part théorique de matière recyclée dans une matière produite. Ils abordent aussi la question de la transparence vis-à-vis des consommateurs.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
En général, quand on achète quelque chose à manger, on ne mange pas l'emballage ? Et bien pourtant, nous avons tous dans le corps plus de 3.600 produits chimiques précisément à cause de ces emballages alimentaires. Ce chiffre est effrayant. C'est le résultat d'une étude menée par des chercheurs suisses et américains. Ecoutez Ca va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed avec Jimmy Mohamed du 19 septembre 2024.
Tous les matins, à 6h50, ça nous concerne sur RMC. Amélie Rosique et la rédaction de RMC trouvent des solutions aux questions et problèmes du quotidien des auditeurs dans Apolline Matin sur RMC.
Malgré tous les efforts faits pour en limiter l'usage, le plastique demeure omniprésent dans notre vie quotidienne. On s'en sert pour conserver des aliments, mais il est aussi utilisé dans des secteurs très variés, comme le bâtiment ou la construction automobile.On le sait, l'emploi de ce matériau génère une grande quantité de déchets, notamment sous la forme de microplastiques ou de nanoplastiques, dont la taille varie entre un milliardième de mètre et cinq millimètres. Ces minuscules fragments s'insinuent partout, dans notre environnement, mais aussi dans l'organisme humain.En effet, des études ont révélé la présence de ces microplastiques dans des organes comme le foie, les reins, et aussi dans les vaisseaux sanguins ou la moelle épinière.Cependant, l'analyse de tissus humains, prélevés à l'occasion de plusieurs autopsies, réalisées en 2016 et 2024, a montré que ce plastique se logeait de préférence dans un autre organe : le cerveau. Ces déchets y seraient en effet 10 à 20 fois plus nombreux que dans les autres organes du corps humain.Un autre chiffre mesure bien l'ampleur du phénomène : les plastiques contenus dans les échantillons de tissus cérébraux prélevés en 2024 représentaient environ 0,5 % de leur poids. Plus alarmant encore, ces tissus étaient 50 % plus pollués que ceux étudiés en 2016.Ce qui laisse supposer que la "pollution" de nos cerveaux au plastique suivrait la même courbe ascendante que celle de l'environnement.Une telle découverte n'a rien de rassurant. En effet, des recherches menées sur des animaux ont établi une possible relation de cause à effet entre la présence de plastique dans l'organisme et le développement de maladies, comme le cancer, ou l'apparition de problèmes de santé, comme l'affaiblissement des défenses immunitaires ou des capacités cognitives.Quant à un lien possible entre la présence de microplastiques dans le cerveau et la survenue de la maladie d'Alzheimer, il n'est pas établi avec certitude. Cependant, des chercheurs ont trouvé, dans le tissu cérébral de personnes atteintes de cette maladie, jusqu'à dix fois plus de plastique que dans le cerveau de patients n'en ayant pas souffert. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:00 - Le billet sciences - Un milliard et demi d'euro ! C'est la somme payée en 2023 par la France à l'Union Européenne pour ne pas avoir respecté ses objectifs de traitement des déchets plastiques.
Cliquez ici pour mieux comprendre les effets des perturbateurs endocriniens et les effets des plastiques su le vivant, avec Ana Soto. L'article Perturbateurs endocriniens et effets des plastiques, avec Ana Soto est apparu en premier sur Santé des Enfants et Environnement.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Antonio Fischetti, journaliste à Charlie Hebdo, pour son reportage sur les indigènes en AmazonieLúcia Müzell, journaliste au service Brésil de RFI, évoquera les feux au Pantanal, et à quel point les changements climatiques bouleversent tous les biomes brésiliensPauline Gleize, du service environnement de RFI, reviendra sur un accord signé pour un méga parc éolien au Québec et dont les nations premières auront 50% des partsJeanne Richard, du service environnement de RFI, nous parlera des installations obsolètes et polluantes abandonnées en montagne- ePOP (Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Charline Hauban pour son film Plastiques dans l'assiette réalisé en Indonésie- Chronique culture de Caroline Filliette : Beds are burning de Midnight Oil.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Antonio Fischetti, journaliste à Charlie Hebdo, pour son reportage sur les indigènes en AmazonieLúcia Müzell, journaliste au service Brésil de RFI, évoquera les feux au Pantanal, et à quel point les changements climatiques bouleversent tous les biomes brésiliensPauline Gleize, du service environnement de RFI, reviendra sur un accord signé pour un méga parc éolien au Québec et dont les nations premières auront 50% des partsJeanne Richard, du service environnement de RFI, nous parlera des installations obsolètes et polluantes abandonnées en montagne- ePOP (Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Charline Hauban pour son film Plastiques dans l'assiette réalisé en Indonésie- Chronique culture de Caroline Filliette : Beds are burning de Midnight Oil.
À l'occasion de la journée mondiale sans sacs plastiques, RTL s'arrête sur notre dépendance à ces sacs avec Virginie Garin, journaliste environnement.
À l'occasion de la journée mondiale sans sacs plastiques, RTL s'arrête sur notre dépendance à ces sacs avec Virginie Garin, journaliste environnement.
Ils font partie de notre quotidien, nous sont familiers, leur vue ou leur odeur nous dérangent souvent, surtout ils débordent. Les déchets représentent, chaque année, 2 milliards de tonnes produites sur l'ensemble de la planète. Des épluchures de légumes aux smartphones cassés, en passant par les bouteilles en plastique, nos déchets sont de plus en plus variés et sophistiqués. Ils n'ont, bien sûr, ni la même durée de vie, ni le même impact sur l'environnement. Dans ce flot de déchets et d'idées reçues, comment comprendre le cycle de vie des produits que l'on consomme pour mieux les gérer ? Tout en réduisant leur quantité, comment mieux les valoriser ? Avec :• Jérémie Cavé, chercheur en écologie territoriale à l'Institut de recherche du développement (IRD)• Yann-Philippe Tastevin, anthropologue au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), basé à Dakar, au Sénégal. Ils sont les auteurs du livre La civilisation du déchet - tout savoir sur le recyclage et ses limite (Les Arènes, 2024). Avec les dessins d'Alizée de Pin.Et le reportage d'Emmanuelle Bastide à Aného au Togo avec l'Association Moi Jeu Tri sur le recyclage des déchets plastiques. Programmation musicale :► Zon Kédé - Togo All Stars ►Tested, Approved & Trusted – Burna Boy
Ils font partie de notre quotidien, nous sont familiers, leur vue ou leur odeur nous dérangent souvent, surtout ils débordent. Les déchets représentent, chaque année, 2 milliards de tonnes produites sur l'ensemble de la planète. Des épluchures de légumes aux smartphones cassés, en passant par les bouteilles en plastique, nos déchets sont de plus en plus variés et sophistiqués. Ils n'ont, bien sûr, ni la même durée de vie, ni le même impact sur l'environnement. Dans ce flot de déchets et d'idées reçues, comment comprendre le cycle de vie des produits que l'on consomme pour mieux les gérer ? Tout en réduisant leur quantité, comment mieux les valoriser ? Avec :• Jérémie Cavé, chercheur en écologie territoriale à l'Institut de recherche du développement (IRD)• Yann-Philippe Tastevin, anthropologue au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), basé à Dakar, au Sénégal. Ils sont les auteurs du livre La civilisation du déchet - tout savoir sur le recyclage et ses limite (Les Arènes, 2024). Avec les dessins d'Alizée de Pin.Et le reportage d'Emmanuelle Bastide à Aného au Togo avec l'Association Moi Jeu Tri sur le recyclage des déchets plastiques. Programmation musicale :► Zon Kédé - Togo All Stars ►Tested, Approved & Trusted – Burna Boy
Cliquez ici pour découvrir ce que l'on sait des risques liés aux Micro- et Nano-Plastiques, avec Francelyne Marano. L'article Risques liés aux Micro- et Nano-Plastiques (MNP), avec Francelyne Marano (Université Paris Cité) est apparu en premier sur Santé des Enfants et Environnement.
Comment remplacer les emballages en plastique ? Nous avons exploré le salon du packaging durable à Paris. Des startups révolutionnaires ont introduit des matériaux innovants pour remplacer le plastique, en marc de raisin, en peau d'oignon, avec des framboises ou même avec du lait ! Découvrez les pionniers français et leurs solutions surprenantes dans ce podcast dédié à l'avenir de nos emballages. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Comment remplacer les emballages en plastique ? Nous avons exploré le salon du packaging durable à Paris. Des startups révolutionnaires ont introduit des matériaux innovants pour remplacer le plastique, en marc de raisin, en peau d'oignon, avec des framboises ou même avec du lait ! Découvrez les pionniers français et leurs solutions surprenantes dans ce podcast dédié à l'avenir de nos emballages. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Comment remplacer les emballages en plastique ? Nous avons exploré le salon du packaging durable à Paris. Des startups révolutionnaires ont introduit des matériaux innovants pour remplacer le plastique, en marc de raisin, en peau d'oignon, avec des framboises ou même avec du lait ! Découvrez les pionniers français et leurs solutions surprenantes dans ce podcast dédié à l'avenir de nos emballages. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Les résultats d'une étude de l'université chinoise de Jinan sont encourageants, mais ils ne font pas tout.
Pour faire face à la pollution plastique, des solutions alternatives sont mises en avant. Recyclés, biosourcés, biodégradables ou encore compostables... ces différents états sont-ils une bonne idée ? Voici les réponses de Raphaël Guastavi, directeur adjoint de la direction économie circulaire à l'Ademe, et le témoignage de Thomas Huriez, fondateur de 1083.L'industrie, addicte au plastique [01:17 - 04:06]Pour ses différentes caractéristiques, le plastique a largement été utilisé par l'industrie même lorsque ce n'était pas nécessaire. « On est passé à 15 millions de tonnes de plastiques produits dans les années 1960 à plus de 300 millions de tonnes aujourd'hui. En France, c'est 5 millions de tonnes de plastique produits pour 1,3 millions de tonnes » explique Raphaël Guastavi.Des solutions alternatives... plastiques [04:14 - 16:21]Recyclé, biosourcé, biodégradable ou encore compostable... « la meilleure solution alternative, c'est de réduire le plastique » insiste Raphaël Guastavi. Mais utiliser du plastique recyclé à la place d'une résine vierge est plutôt une bonne idée pour l'expert, notamment pour la réduction de son impact environnemental. Les matériaux biosourcés également, toujours en substitution de matière vierge « et en en utilisant des résidus de culture » précise-t-il. Pour le compostable, la solution doit être limitée à des cas très spécifiques.L'exemple du jean en plastique recyclé et recyclable [16:32 - 22:49]1083 conçoit un jean en polyester recyclé et qui est recyclable grâce à sa composition monomatière. En cherchant à développer ce jean, en s'intéressant aux potentiels fournisseurs , « on s'aperçoit que beaucoup de boutons sont en polyester recyclé, que le fil à coudre est très majoritairement en polyester et les étiquettes aussi peuvent l'être, explique Thomas Huriez. Il existait tout ce dont on avait besoin. Pour le moment, la boucle d'économie fermée n'est pas encore mise en route puisque les jeans vendus - consignés à 20 € pour favoriser le retour - ne sont pas, ou très peu, été retournés. Dès que la quantité de jean consignée reçu en retour client sera suffisante, et bien on va les effilocher pour les refondre et les mélanger dans la même filature et en faire un neuf » précise Thomas Huriez.Une compétition sur les matières [22:53 - 25:34]« Aujourd'hui, les résines de matières vierges sont abondantes et peu chères, ce qui rend la compétition difficile avec les matières recyclées plus cher » explique Raphaël Guastavi. « C'est vrai que sur une matière première très mûre à recycler comme les bouteilles plastique, il y a une forte tension car c'est très demandé commercialement, ajoute Thomas Huriez. Toutes les marques de boisson veulent montrer à leur client qu'elles font leur part de réchauffement climatique et que leurs bouteilles sont recyclées. » De ce fait, la demande est supérieure à l'offre, ce qui crée des tensions sur les matières premières.Références citées :- L'ademe- 1083- Le filateur espagnol Antex et le projet Seaqual- La gamme Infini de 1083Ressources pour aller plus loin :- Bilan sur 10 ans de recyclage, mars 2024, Ademe- Transition 2050, Ademe- Les feuilletons : "empreinte matière, empreinte carbone de la France", mars 2024, Ademe- La Permaindustrie, éditions Eyrolles Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Sénégal, les dégâts de la consommation débridée de plastiques jetables sont omniprésents, que ce soit dans les zones rurales comme dans les villes, et bien sûr à Dakar. De notre correspondante à Dakar,Un groupe d'employés municipaux et de citoyens volontaires balaye les rues de la commune de Fann-Point E-Amitié et entasse les déchets dans des brouettes. Au milieu des feuilles mortes, d'énormes quantités de plastiques viennent s'accumuler dans la collecte.« C'est dégueulasse, ce n'est pas hygiénique. Ce sont des bouteilles d'huile qui viennent certainement des mécaniciens, on ne sait jamais... Ce sont aussi des sachets en plastique d'eau », souffle une employée, exaspérée.Impossible d'éviter ces sachets, pour boire de l'eau ou pour faire ses achats ; ils sont ancrés dans les habitudes sénégalaises, ce que déplore Amadou Mbengue, responsable communal de la Sonaged, qui collecte les déchets. « Même en boutique pour acheter pour 25 francs de sucre, c'est [distribué] dans un sachet plastique. On est en train de surproduire des déchets plastique », s'alarme Amadou Mbengue.À lire aussiSénégal: le «Plastic Odyssey», un navire de sensibilisation au recyclage du plastique, est à DakarPourtant, le pays a bien adopté en 2020 une loi interdisant tous les plastiques à usage unique, gobelets, couverts, sacs, mais sans suite. « La sanction manque dans ce pays. La sanction pécuniaire », martèle-t-il.Problème environnemental et problème sanitaireÀ Dakar, il y a aussi le phénomène des charretiers qui ramassent les ordures en dehors du circuit officiel, et les balancent dans la nature. Ces plastiques rejetés dans les rues et les océans posent un problème environnemental, mais aussi un problème sanitaire, comme l'explique le professeur Adams Tidjani, spécialiste des microplastiques, qui dirige aujourd'hui l'institut des métiers de l'environnement et de la métrologie.« Quand il se dégrade, la chaîne du polymère, du plastique donc, devient des microplastiques. Et donc ce microplastique, à ce moment, peut être ingéré par les animaux, les animaux errants, comme dans la mer par les poissons », indique-t-il. « Donc, depuis quelque temps, on s'est rendu compte que dans nos assiettes, on retrouvait du microplastique. On ne sait pas quelles seront les conséquences de ce microplastique pour notre santé. »À lire aussiAu Sénégal, une «start-up» recycle les déchets pour réduire les émissions de gaz à effets de serreLe recyclage du plastique est encore balbutiant au Sénégal, seules quelques initiatives privées se penchent sur la question. Pourtant, c'est une piste à exploiter pour le professeur Tidjani. « Je suis convaincu qu'on peut faire beaucoup de choses. Mais ce ne serait possible que lorsque vous avez un "back-up", un laboratoire de recherche, parce qu'il faut faire des tests », explique-t-il. Et d'ajouter : « Par exemple : les clôtures de village ne sont pas bonnes, on peut en construire avec des plastiques, des bouées dans les mers. »Deux cent cinquante mille tonnes de plastique sont jetées chaque année, à peine 30 000 sont recyclées selon le ministère de l'Urbanisme.
Des plastiques durables fabriqués à partir de déchets agricoles Les brèves du jour Le " rétablissement " dans le cadre de la santé mentale Les autruches mettent-elles vraiment la tête dans le sable quand elles ont peur ?!
durée : 00:03:35 - Demain l'éco - par : Annabelle Grelier - L'entreprise normande RecyOuest, a mis au point une technologie permettant de recycler les filets et ficelles agricoles sans utiliser d'eau. Après plusieurs années de recherche et de rodage, l'entreprise innovante traitera 30 000 tonnes de déchets qui n'avaient d'autre solution que l'incinération.
Bientôt, il sera impossible dans un aéroport d'emballer sa valise avec un film plastique pour la protéger. Les dosettes de ketchup ou de mayonnaise disparaitront des fast-food, les hôtels ne distribueront plus de petits flacons de shampoing et le vide dans les cartons d'emballage sera règlementé. L'Europe veut verdir nos emballage. Le "Pacte vert" sur lequel se sont accordés les eurodéputés et les États membres lundi 4 mars prévoit l'interdiction des emballages plastiques à usage unique dans les cafés et restaurants, pour les aliments et boissons consommés sur place d'ici 2030.
Un enseignant de Saint-Lazare fait l'objet d'une enquête administrative, alors qu'il aurait mis en vente les œuvres d'art de ses élèves à leur insu. Entrevue avec Ysolde Gendreau, professeure titulaire de droit à l'Université de MontréalPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:04:19 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Des millions de granulés de plastique se sont échouées sur les côtes de Galice, inquiétude des autorités espagnoles et françaises…
durée : 00:11:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Serge Jouhet - Avec Alberto Giacometti, André Masson, Henry de Waroquier et Iannis Xenakis - 1ère diffusion : 12/04/1958 France III Nationale - invités : Alberto Giacometti Sculpteur; Iannis Xenakis Compositeur et architecte français d'origine grecque (1922 à Braila, Roumanie – 2001 à Paris); André Masson Économiste, directeur d'études à l'EHESS
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Aujourd'hui, Justine tend le micro à Florence Baitinger, 46 ans, co-fondatrice de Gobi, et maman de deux enfants. En 10 ans, Florence a travaillé sur un grand nombre de projets à impact pour servir l'intérêt général, objectif devenu d'ailleurs, son fil conducteur. Oui, travailler et entreprendre à travers l'économie à impact est une forme d'activisme politique. Gobi est né d'un constat : à l'échelle d'une entreprise, le jetable, comme gobelets en plastique, bouteilles jetables, représente beaucoup (trop) de déchets qui pourraient être évités. Et si une alternative était possible ? C'est bien de vouloir arrêter le jetable, mais comment s'assurer que leur nouvelle idée ne va pas rajouter plus de nuisances environnementales (fabrication et fin de vie du produit…) que ce qui existait précédemment ? Florence creuse dans son écosystème et découvre l'éco-conception. Gobi n'est pas “juste” une énième gourde vendue sur le marché. C'est surtout une entreprise qui lutte contre l'usage unique en proposant une bouteille réutilisable et tout l'écosystème qui va avec. Sur leur site internet, on peut notamment trouver où recharger sa gourde dans un point d'eau à proximité grâce à l'appli FreeTaps. Gobi avait déjà l'agrément ESUS alors pourquoi se positionner comme entreprise à mission ? En travaillant sur ce nouveau statut, Florence et son équipe formalisent en détails leur mission et fixent un vrai cap pour Gobi. Se questionner, puis se positionner sur des objectifs sociaux et environnementaux les a emmenés encore plus loin dans leur démarche. Aujourd'hui, Gobi est donc entreprise à mission, a créé plus de 50 emplois dont certains en insertion et a équipé plus de 15 000 entreprises en 10 ans. Et tout ça, sans levées de fonds. En toute autonomie. Florence revient sur les plus grosses difficultés rencontrées en mentionnant l'incertitude financière pendant les premières années. “Il y a tellement de PME dans lesquelles les patrons-patronnes sont les dernières roues du carrosse en termes de rémunération. Ça, c'est dur. ” Il faut le savoir, et l'accepter, mais le temps où l'entreprise arrive à une certaine maturité financière est parfois long… Après les difficultés, il y a, bien heureusement, un très grand lot de succès. Pour n'en citer que quelques-uns : acquérir une rentabilité économique : “il y avait un marché, on a réussi à le faire grandir”. ressentir la fierté de verser les premiers salaires (aux salariés et aux co-fondateurs) Pour terminer cet épisode, Justine demande à Florence ce qu'elle aurait envie de souhaiter à ses enfants. “Cultiver sa flamme intérieure, son intuition, son optimisme pour être pleinement soi.” On ne peut qu'être d'accord. Lecture conseillée par Florence : Fu-tu-res, comment le féminisme sauvera le monde par Laurène Bastide.Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré.
De plus en plus de femmes se font refaire les fesses pour ressembler à Beyoncé et Jean-François Baril comprend les citoyens de Lévis. Discussion culture et société avec Jean-François Baril.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les dimanches, à partir de 7h40, dans "Ça vous concerne", Roland Perez et Valérie Darmon nous éclairent sur une question de droit.
durée : 00:37:55 - Le téléphone sonne - Le deuxième round des négociations internationales contre la pollution plastique a démarré ce lundi à Paris. 175 pays essaient de trouver un accord contraignant pour limiter notre production et nos déchets de plastique. Quels comportements adoptés au quotidien pour réduire son utilisation ?
En Afrique, ils représentent une véritable menace pour l'environnement. Chaque jour, des milliers de sacs plastiques sont jetés dans la rue. Comment lutter contre ce fléau ? Quelles mesures sont prises dans votre pays ? On en parle alors que les représentants de 175 pays se réunissent à Paris pour élaborer un traité international contre la pollution plastique.
durée : 00:58:42 - Le 13/14 - par : Bruno DUVIC - Le plastique est non seulement partout mais il ne cesse d'augmenter. A problème croissant réponse urgente. 175 pays sont réunis cette semaine au siège de l'Unesco à Paris pour une deuxième session de négociation dans le but de trouver un accord international pour mettre fin à la pollution plastique.
durée : 00:54:28 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Le plastique, création purement humaine, est devenu en moins de cent ans, le troisième matériau le plus fabriqué au monde après le ciment et l'acier et sa production devrait doubler d'ici 2050.
durée : 00:54:28 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Le plastique, création purement humaine, est devenu en moins de cent ans, le troisième matériau le plus fabriqué au monde après le ciment et l'acier et sa production devrait doubler d'ici 2050.
durée : 00:05:14 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - Depuis le 1er janvier 2022, les emballages plastiques sont interdits pour une bonne partie des fruits et légumes, et restent autorisés temporairement pour certains, avec un calendrier qui s'étale jusqu'en 2026. Mais le Conseil d'Etat devrait annuler le décret et du coup obliger à tout recommencer...