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En décembre, une La Planète Bleue présente une édition très spéciale consacrée aux ovnis dans la bande dessinée et au livre "Les 1000 planètes", une sélection des meilleures chroniques de "La Planète Bleue", ainsi que des inédites, jamais diffusées.
Pleins phares sur le livre de Daniel Boéri, La planète a besoin de nous. On explore l'urgence écologique avec simplicité et clarté. Pas de discours alarmiste, mais un rappel lucide : notre manière de produire, de consommer et de vivre façonne directement l'avenir du vivant. À travers les constats posés par Daniel Boéri et les réflexions qu'ils ouvrent, on découvre pourquoi agir devient une nécessité, et comment chacun peut contribuer, concrètement, à une transition plus responsable. L'objectif n'est pas de culpabiliser, mais de donner des clés, de transmettre un élan, de montrer qu'un futur plus durable reste possible.
À l'occasion de la parution de son livre Les 1000 planètes, Yves Blanc, journaliste, écrivain et créateur de l'émissions La Planète Bleue, était au micro de Lionel pour présenter ce livre anniversaire et ses thématiques. Entre écologie, science-fiction et sons de la Terre, il propose un guide culturel ouvert et […] The post Les 1000 Planètes d'Yves Blanc : l'invitation au voyage à découvrir chez Radio Vostok first appeared on Radio Vostok.
À l'occasion de la parution de son livre Les 1000 planètes, Yves Blanc, journaliste, écrivain et créateur de l'émissions La Planète Bleue, était au micro de Lionel pour présenter ce livre anniversaire et ses thématiques. Entre écologie, science-fiction et sons de la Terre, il propose un guide culturel ouvert et […] The post Les 1000 Planètes d'Yves Blanc : l'invitation au voyage à découvrir chez Radio Vostok first appeared on Radio Vostok.
Cette semaine, des centaines de scientifiques du monde entier ont rendez-vous à Paris. Ils ont été choisis par l'IPBES, la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques que l'on appelle aussi le « GIEC de la biodiversité ». Ces scientifiques ont pour lourde tâche de synthétiser, en trois ans, l'ensemble des connaissances et données aujourd'hui disponibles pour rédiger le deuxième bilan mondial sur la biodiversité et les écosystèmes qui sera publié en 2028. Entretien exclusif accordé à RFI avec le Kényan David Obura, président de l'IPBES et scientifique de renommée mondiale reconnu pour ses travaux sur les écosystèmes marins et les récifs coralliens. RFI : Qu'est-ce qu'un rapport mondial sur la biodiversité et à quoi sert-il ? David Obura : Notre rapport d'évaluation mondial porte sur la biodiversité et les services écosystémiques. Nous évaluons donc l'état de la nature qui nous entoure, mais aussi la manière dont nous l'utilisons et les services qu'elle nous rend. Nous faisons cela afin d'informer les gouvernements et la communauté internationale, mais aussi tous les acteurs sur le terrain, de ce qu'il se passe autour d'eux et de ce qu'ils peuvent faire pour améliorer la nature qui les entoure et les avantages qu'ils en tirent. Quelles sont les principales avancées depuis le premier rapport mondial sur la biodiversité publié en 2019 ? La prise de conscience collective suscitée par le premier rapport en 2019 a été incroyablement puissante. Ses conclusions scientifiques ont largement inspiré le Cadre mondial de Kunming-Montréal. C'est un accord international adopté en 2022 pour freiner ce déclin de la biodiversité et pour restaurer nos écosystèmes. Mais depuis, les pressions sur la nature se sont intensifiées et la nature continue de décliner. C'est parce que nous consommons toujours davantage. Et ce faisant, nous consommons différentes parties de la nature. Et comme nous ne changeons pas suffisamment nos comportements, l'équilibre entre les populations et la nature reste perturbé. Notre nouveau rapport montrera en détail comment cela se produit, et puis il tentera d'identifier les solutions possibles. Quels sont les éléments essentiels ou les germes de bonnes pratiques que nous pouvons mettre en place pour inverser ces tendances afin d'améliorer et la biodiversité et la vie des gens. Quelles nouvelles thématiques ou angles seront abordés dans ce deuxième rapport d'évaluation mondial ? Alors parmi les nouveaux thèmes, il y en a un qui est très important. On va davantage inclure dans nos travaux les connaissances autochtones et locales des communautés du monde entier et des différentes cultures. Aujourd'hui il est crucial d'ouvrir notre cadre scientifique aux connaissances plurielles. Dans ce rapport, nous allons consacrer un chapitre entier aux représentants des communautés autochtones, qui présenteront leur vision du monde. Un deuxième thème très important est bien sûr l'océan. En 2019, il n'a pas été suffisamment abordé dans le premier bilan mondial. Mais aujourd'hui, nous disposons de beaucoup plus de données scientifiques et de connaissances sur la durabilité des océans, et nous allons donc les intégrer dans notre rapport. Justement : est-ce que l'accès aux données scientifiques sur la biodiversité a-t-il changé ? La disponibilité des données sur la biodiversité s'est améliorée. Il y a beaucoup plus de données disponibles, environ le double de ce qu'il y avait il y a cinq ans. Nous disposons d'instruments bien meilleurs, de systèmes à distance comme les drones, les satellites et les capteurs. Nous disposons donc de plus d'informations. Mais nous devons maintenant être capables de les traiter et de les comprendre. Bien évidemment, il y a toujours des lacunes. Dans certaines régions du monde, les données restent rares, comme dans les pays à faibles revenus ou sur les océans. Pour combler ces lacunes, nous allons devoir investir dans des solutions qui permettent d'accéder à ces connaissances. L'intelligence artificielle est bien sûr très prometteuse. Même si elle suscite beaucoup de préoccupations dont nous devons tenir compte. Quelles seront les priorités dans ce nouveau bilan mondial sur la biodiversité afin de soutenir les politiques publiques efficaces ? Je ne peux pas préjuger de ce que les auteurs de l'évaluation trouveront en termes de hiérarchisation des priorités. Mais le timing est intéressant. Ce nouveau bilan mondial sur la biodiversité sera publié en 2028, deux ans donc avant l'atteinte des objectifs de développement durable fixés par les Nations unies. Bien sûr, c'est trop tard pour améliorer les mesures déjà prises en faveur de ces objectifs de 2030. En revanche, notre rapport pourra vraiment nous aider à mieux comprendre ce qui a fonctionné, ce qui n'a pas fonctionné et pourquoi. Et nous saurons ensuite, quelles priorités il faudra mettre sur l'agenda post-2030. Comment pourrons-nous mieux mettre en œuvre des pratiques de durabilité ? Je suis donc certain que le rapport donnera la priorité à des questions de ce type. C'est l'un des mandats qui nous a été confié par les gouvernements. Des scientifiques américains participeront-ils à la rédaction de cette nouvelle évaluation mondiale sur la biodiversité ? Des scientifiques du monde entier participent à la rédaction du rapport, qui couvre les cinq régions du globe. Les États-Unis font partie de la région Amériques et, bien sûr, nous bénéficions d'une forte participation de leur part. L'Afrique, l'Europe, l'Asie, toutes nos régions sont représentées. Notre base scientifique est mondiale et elle tient toujours compte des contextes locaux. Vous avez dit dans votre discours d'ouverture que vous étiez arrivé sur cette plateforme scientifique de l'IPBES parce que vous êtes scientifique vous-même et que vous ne vouliez plus seulement faire de la science, mais faire en sorte que la science infuse dans les décisions politiques. Est-ce qu'il y a des moments où vous vous sentez désespéré ? Bien sûr, je suis extrêmement préoccupé par la méfiance à l'égard de la science qui existe dans le public et chez certains décideurs. Mais plus encore que la méfiance, ce qui me préoccupe, c'est le doute qui est semé par certaines personnes ou certains secteurs. Le travail que nous devons accomplir en tant que plateforme scientifique consiste donc simplement à mettre en avant une science de qualité et à être très crédibles quant aux connaissances que nous présentons. Nous devons aussi être clairs sur les incertitudes, car nous ne pouvons jamais tout savoir. Mais les gens sont confrontés au changement climatique et à la perte de biodiversité dans leur vie quotidienne. Le travail de l'IPBES sur la biodiversité et les services écosystémiques concerne la manière très concrète dont la nature soutient les populations. Et je pense que c'est très facile à comprendre pour tout le monde si nous le traduisons correctement. C'est l'une des choses les plus importantes que nous devons faire maintenant. Nous n'avons qu'une seule planète. Nous devons vraiment comprendre l'essence de la durabilité et comment chaque personne, chaque entreprise, chaque pays peut contribuer à la préserver. Il est du devoir de chaque habitant de la planète d'utiliser la nature de manière durable et de partager équitablement les avantages que nous procure cette merveilleuse Terre.
Mais au fait, c'est quoi le basket français et la French Touch ? Théophile Haumesser et Antoine Pimmel partagent leurs souvenirs, leurs expériences et leurs avis sur le basket made in France, qu'il se joue en NBA ou ailleurs.Commander le Mook REVERSE #17 FRENCH TOUCH https://www.basketsession.com/?p=751547Commandez l'Anthologie REVERSE Vol.1 https://www.basketsession.com/produit/reverse-anthologie-20-ans-de-basketball/Commandez le Mook REVERSE #16 spécial MIAMI https://www.basketsession.com/produit/mook-reverse-16-miami/Commandez le livre GOATs - Le meilleur (et le pire) de la NBA en 130 Tops https://www.basketsession.com/produit/goats-le-meilleur-et-le-pire-de-la-nba-en-130-tops/Commandez le livre Une saison en enfer https://www.basketsession.com/produit/une-saison-en-enfer/Nos émissions sur YouTube https://www.youtube.com/@BasketSessionREVERSELe Mook REVERSE ► https://www.basketsession.com/mook-reverse/Instagram ► https://www.instagram.com/reversemagazineBlueSky ►https://bsky.app/profile/reversemagazine.bsky.social Facebook ► https://www.facebook.com/BasketSession Twitch ► https://www.twitch.tv/reverse_basketsession
durée : 00:03:43 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Abel, 5 ans, pointe un paradoxe : pourquoi on continue à fabriquer du plastique, et en utiliser, alors que ça pollue la planète ? Nathalie Gontard, chercheuse en science des emballages, directrice de recherche à l'INRAE répond à cette question d'actualité. - invités : Nathalie Gontard - Nathalie Gontard : Directrice de recherche en sciences de l'aliment et de l'emballage à l'INRAE - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
A l'occasion de la COP 30, qui s'est tenue du 10 novembre au 21 novembre 2025, à Belém, au Brésil, un acteur inattendu a occupé le devant de la scène : la Chine. Alors que les États-Unis se retirent progressivement de l'action climatique et sont absents de cette édition, Pékin se présente comme un allié de poids dans la transition écologique. La Chine peut-elle vraiment peser sur l'avenir de la planète ? Pourquoi comparer la dynamique de la Chine à celle des États-Unis ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ? Faut-il devenir végétarien pour sauver la planète ? Les voitures électriques sont-elles vraiment plus écologiques ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'IA a redonné le sourire aux marchés hier… pendant que les chiffres de l'emploi a brouillé les cartes Hier, les marchés européens ont retrouvé des couleurs, avec un CAC 40 à 7981 points, après cinq séances dans le rouge. Pourquoi ce regain d'optimisme ? Nvidia a électrisé la planète finance avec de solides résultats trimestriels : +62% de revenus et un cap vers 65 milliards de dollars pour le trimestre en cours. Son CEO a parlé de ventes “hors norme” pour la puce Blackwell, star des applications IA et cloud.Effet immédiat : les valeurs technologiques ont surfé sur la vague. Legrand a gagné 2,7%, Schneider 1,8%, et les semi-conducteurs européens comme ASML ont progressé. À Wall Street, même tendance avec des indices dans le vert à la fermeture des marchés européens.Autre rendez-vous clé hier : les chiffres de l'emploi américain, très attendus après le shutdown. En septembre, 119.000 postes ont été créés, soit plus du double des attentes, tandis que le chômage est remonté à 4,4 %, son plus haut niveau depuis 2021. Ces données contrastées orienteront les discussions de la Fed avant sa réunion des 9-10 décembre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux que je te raconte l'histoire de la planète qui grossit? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti !
Les invités Jeanne FORTINEAU - Responsable régional ( Occitanie ) LeakmitedPhillipe DOBIAS - Directeur des opérations Veolia Eau Pyrenées GascogneToute l'actualité de INN'O c'est icihttps://salon-inno.fr/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:45 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Alors que l'organisation politique mondiale montre ses limites face aux enjeux du défi climatique, il est urgent d'imaginer une approche globale qui place les besoins fondamentaux du système terrestre au-dessus des besoins nationaux. C'est ce que propose David Van Reybrouck. - invités : David Van Reybrouck - David Van Reybrouck : Historien, archéologue et écrivain - réalisé par : Jérôme BOULET Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:16:23 - Salut l'info ! - par : Estelle Faure - Une balade en forêt à la découverte des champignons, la COP30 pour le climat et une cantine très calme : c'est le menu du nouvel épisode de Salut l'info ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dix ans après l'espoir que la COP21 avait représenté pour la planète, les reculs environnementaux sont nombreux à la veille de l'ouverture de la COP30 à Belém. Pourtant, les femmes, plus vulnérables au changement climatique, continuent de se mobiliser pour tenter de faire bouger les lignes. Dans cette édition spéciale, Actuelles vous emmène à la rencontre la militante et réalisatrice française Camille Etienne, de la cheffe autochtone Vanda Witoto au Brésil et de l'activiste-maraîchère Binta Wane, qui préserve la forêt de Mbao, au Sénégal.
Jeanne Platz, vétérinaire avicole, consultante et formatrice au service de l'environnement et du bien-être animal (Nantes, 2016) au
D'après une étude menée par la MAIF, en collaboration avec l'institut CSA, 91% des Français considèrent que la situation environnementale actuelle est une préoccupation importante, voire prioritaire dans leur vie. Et pour cause, l'été 2025 a enregistré une température moyenne de 22,2 °C et une anomalie de +1,9 °C, derrière les étés 2003 et 2022. Quelle est l'empreinte carbone d'un nouveau-né ? Et est-ce que ne pas faire d'enfant pourrait avoir un impact positif ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. Première diffusion : novembre 2023 À écouter aussi : Pourquoi faisons-nous des enfants de plus en plus tard ? Pourquoi le climat se réchauffe-t-il ? Les forêts urbaines permettent-elles vraiment de lutter contre le réchauffement climatique ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
En novembre La Planète Bleue évoque le green-washing, la disparitions des espèces, les coquillages, la fin du monde comme un conte et (re) découvre un groupe de post-punk enthousiasmant ainsi qu'un passionnant morceau de funk spatial tokyoïte.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:58:19 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Jamais autant d'arbres n'ont été plantés ! Depuis l'accord de Paris sur le climat de 2015, c'est le mot d'ordre pour lutter contre la déforestation et le changement climatique. Or, planter des millions d'arbres sans prendre en compte les écosystèmes présents est inutile, voire contre-productif... - réalisation : Alexandra Malka - invités : François-Xavier Drouet Réalisateur, documentariste; Sylvain Angerand Ingénieur forestier.; Alain Karsenty Economiste, spécialiste des forêts tropicales et des instruments économiques pour l'environnement.
La conférence des Nations Unies sur le climat est un évènement annuel qui rassemble les représentants de presque tous les pays du monde. Un seul objectif : s'accorder sur les actions à mener pour atténuer et s'adapter face au réchauffement climatique. Cette année, la COP climat démarre le 10 novembre et se déroule à Belém, une ville brésilienne située en plein cœur de la forêt amazonienne.Dans cette nouvelle saison de Nourrir le vivant, on va vous parler forêts, justice climatique, élevages et politiques agricoles... Autant de thématiques qui seront abordées pendant la COP30. Et si, pour une fois, on était plutôt optimistes ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Derrière l'envie de “sauver la planète”, beaucoup de jeunes expriment un vrai désir d'agir pour l'environnement, mais peinent à traduire cet idéal en projet professionnel concret. En tant que parent, vous pouvez l'aider à relier ses convictions à des compétences et à des formations solides, en explorant les nombreuses voies possibles du développement durable.✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :Comment transformer une motivation sincère en projet d'orientation structuré : identifier les centres d'intérêt de son enfant et les compétences à développer.Les différentes voies d'études accessibles après le bac : formations scientifiques, techniques, généralistes, écoles spécialisées ou apprentissage.Les débouchés concrets et les compétences clés attendues : des métiers en pleine croissance dans les énergies renouvelables, la biodiversité, la RSE ou la gestion des ressources.ℹ️ SUIVEZ L'ACTUALITÉ DE L'ORIENTATIONInscrivez-vous à l'Hebdo de l'orientation : https://azimut-orientation.com/abonnez-vous-a-la-newsletter/ (vous recevrez en cadeau un guide téléchargeable)
Teste HOLY, boisson énergétique avec 0% sucre et 100% de saveur, et économise 5€ sur ta première commande avec le code NAWAK5 et 10% sur les suivantes avec le code NAWAK ! C'est par ici : https://fr.weareholy.com/Nawak/YoutubeDans cette vidéo, on plonge dans les abysses spatiaux pour explorer l'iceberg de Mars et des Martiens. Mars a-t-elle hébergée une civilisation dont on devine aujourd'hui les ruines ? A-t-elle été détruite par une attaque nucléaire interstellaire ? La NASA cache-t-elle l'existence de bases extraterrestres sur la planète rouge ?Ce ne sont que quelques-unes des questions dingues qu'on va voir tout au long de cette vidéo et que tu peux retrouver grâce aux timecodes ci-dessous :00:00 Intro01:19 Les canaux martiens02:42 La Guerre des mondes (H.G. Wells)03:46 Tesla et les signaux martiens05:06 Lune creuse de Mars07:06 Le visage de Cydonia10:08 Tunnels de verre10:48 Vestiges d'une civilisation passée11:01 Ruines carrées11:39 Monolithe de Mars11:58 Monolithe de Phobos13:17 La porte de Curiosity13:40 Marshenge14:04 Paréidolies martiennes15:12 Vision à distance (CIA)18:14 Apocalypse thermonucléaire25:20 Panspermie martienne27:52 Le berceau de l'humanité28:59 Mars et les Anunnaki30:57 Complot reptilien32:52 Bases martiennes34:41 Alternative 337:17 Complot de la NASA38:43 Mars landing hoax39:50 Mars n'existe pas40:10 3I/AtlasJ'ai vraiment apprécié tous ces sujets traitant de Mars, j'espère que toi aussi. Si c'est le cas, laisse un like et dis-le moi dans les commentaires, ça fait toujours super plaisir ! Et si tu as lu jusqu'ici, laisse l'émoji
Une équipe d'astronomes vient d'identifier une planète errante qui est en train de grossir à un taux record de 6 milliards de tonnes par seconde en accrétant de très grandes quantités de gaz. Cette planète sans étoile, nommée Cha 1170-7626 est située à environ 600 années-lumière est fait déjà la bagatelle de 5 à 10 fois la masse de Jupiter. Va-t-elle devenir une étoile ? L'étude est parue dans The Astrophysical Journal Letters. Source Discovery of an Accretion Burst in a Free-floating Planetary-mass ObjectVictor Almendros-Abad, et al.The Astrophysical Journal Letters, Volume 992, Number 1 (2 october 2025)https://doi.org/10.3847/2041-8213/ae09a8 Illustrations Vue d'artiste de Cha1107-7626 accrétant du gaz (ESO/L. Calçada, M. Kornmesser) Victor Almendros-Abad
Comment nourrir 8 milliards d'humains dans le contexte du changement climatique ? 150 chercheurs du Cirad ont travaillé pendant deux ans pour répondre à cette question, certains seront avec nous et Le Petit Atlas de Maxime Blondeau nous emmènera à New York ! Quoi de plus vital que nous nous nourrir ? Face au changement climatique qui modifie les cycles des pluies créant ici des sécheresses, là des inondations, voir les deux au même endroit, les agricultures familiales sur lesquelles reposent 90% de la production alimentaire mondiale doivent s'adapter. Surtout dans les pays du sud où les paysans sont très vulnérables. Alors s'adapter oui, mais pas n'importe comment car l'agriculture fait aussi partie du problème. Cultiver et élever du bétail produit des gaz à effet de serre qui accroissent le changement climatique !!! A l'heure où la solidarité internationale est remise en question et où la science est de plus en plus considérée comme une opinion, il est urgent de d'élaborer des solutions durables et scientifiquement solides. Voilà pourquoi 150 scientifiques du CIRAD, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement ont travaillé pendant deux ans pour développer des stratégies pour transformer durablement les systèmes agricoles et alimentaires face au changement climatique. Ils viennent de publier un livre dense et passionnant qui est en libre accès sur internet Émission autour de l'ouvrage « L'agriculture et les systèmes alimentaires du monde face au changement climatique - Enjeux pour les Suds », sorti aux éditions Quae, qui questionne et explore la diversité des stratégies nécessaires à différentes échelles — génétique, pratiques agricoles, politiques publiques, commerce, finance — pour transformer durablement les systèmes agricoles et alimentaires face au changement climatique. Avec les coordinateurs du livre : Vincent Blanfort, ingénieur en agro-développement, chercheur et chargé de missions Changement Climatique au CIRAD Marie Hrabanski, chercheuse en sociologie politique au Cirad Astou Camara, chercheuse en agroécologie directrice du Bureau d'analyses macroéconomiques de l'Institut sénégalais de recherche agricole (ISRA-BAME) ... Maguette Kairé, expert forestier – coordinateur du Master régional « pastoralisme » au Comité permanent Inter-États de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel. Et diffusion en fin d'émission du deuxième épisode du Petit Atlas de Maxime Blondeau : aujourd'hui, direction New-York (nouvelle chronique mensuelle). Musiques diffusées pendant l'émission Çantamarta - qué triste, qué desastre.
durée : 00:04:21 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Persévérance, ce bateau, celui de Jean-Louis Etienne, est devenu un superbe livre. Ce voilier incarne une nouvelle génération de navire océanographique et Jean-Louis Etienne nous invite à monter à bord de Persévérance pour découvrir ses aventures dans les régions polaires. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette 1041 édition La Planète Bleue vous parle de l'ASPAS, du nouvel album de David Byrne, s'interroge sur la danse, évoque le docteur Didier Peillon et feuillette le nouvel album de Cosey.
Chaque vendredi, Nicolas Carreau vous présente le livre audio de la semaine. Ce vendredi, "La Planète des singes" de Pierre Boulle, signé Audible.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:57 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Jane Goodall, éthologue et anthropologue, est l'invitée d'honneur de ce nouvel épisode. Emblème de la protection animale grâce à ses travaux sur les chimpanzés, elle parcourt la planète pour sensibiliser et convaincre de la nécessité d'agir pour une alliance entre les humains et la nature. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Jane Goodall Éthologue et anthropologue britannique; Béatrice Kremer-Cochet Naturaliste, photographe, experte au Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel, Vice-Présidente de "Forêts Sauvages", co-auteure, avec Gilbert Cochet de : "L'Europe réensauvagée : Vers un nouveau monde" (Actes Sud, 2020); Gilbert Cochet Naturaliste, attaché au Muséum national d'histoire naturelle, expert au Conseil de l'Europe, président du Conseil scientifique de la réserve naturelle des Gorges de l'Ardèche.
durée : 00:04:21 - La chronique cuisine d'Elvira Masson - par : Elvira Masson - Ce sujet est au coeur du travail du mycologue américain Paul Stamets Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Didier Giraud, agriculteur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:36 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Fin du monde ou fin du mois ? Une enquête du Pacte civique démonte quelques clichés : les plus précaires se préoccupent de l'environnement. Mais demandent aux politiques de les écouter.
Qui est le meilleur ailier gauche de 2024-2025 ? On discute avec @LesOUTSIDERZ des plus belles saisons à cette position.
En route vers le Ballon d'Or, épisode... neuf ! Avec @LesOUTSIDERZ , on s'est retrouvé pour parler des tops 9 de 2024-2025... et on avait des choses à dire.
Tu veux que je te raconte l'histoire de la planète Mars? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
durée : 01:00:49 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Partout dans le monde, le recul des démocraties, la mise à mal de libertés et de contre-pouvoirs marquent régulièrement l'actualité. Dans ce panorama, le recours à des procédures judiciaires abusives, à des attaques contre des alerteurs semble plus fréquent. Où en est-on de ces usages du droit ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Inès Léraud Journaliste; Arnaud Gossement Avocat, juriste spécialisé dans le droit de l'environnement; Sophie Lemaître Chercheuse, universitaire.
Invités : - Gérard Carreyrou, journaliste - Gauthier Le Bret, journaliste. - Christophe Bordet, journaliste. - Caroline Ithurbide, journaliste. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! Mientras trabajaba en el Observatorio Vaticano durante la oposición de Marte en 1858, el astrónomo italiano Angelo Secchi notó una gran característica triangular de color azul, a la que él llamó el «Escorpión Azul». Esta misma formación nubosa estacional fue vista por el astrónomo inglés Joseph Norman Lockyer en 1862, y ha sido vista por otros observadores. Durante la oposición de 1862, el astrónomo holandés Frederik Kaiser se dedicó a hacer dibujos de Marte. Al comparar sus ilustraciones con las de Huygens y el filósofo natural inglés Robert Hooke, pudo refinar aún más el período de rotación de Marte. Su valor de 24 horas 37 minutos y 22'6 segundos es preciso dentro de una décima de segundo. En agosto de 1877, el astrónomo estadounidense Asaph Hall descubrió las dos lunas de Marte utilizando un telescopio de 660 mm en el Observatorio Naval de los Estados Unidos. Los nombres de los dos satélites, Fobos y Deimos, fueron escogidos por Hall basado en una sugerencia de Henry Madan, un instructor de ciencias en el Eton College en Inglaterra. Durante la oposición de 1877, el astrónomo italiano Giovanni Schiaparelli utilizó un telescopio de 22 cms para ayudar a producir el primer mapa detallado de Marte. Estos mapas contenían características notables a las que llamó canali, que más tarde se demostró que eran una ilusión óptica. Estos canali eran supuestamente rectas largas en la superficie de Marte a las que dio nombres de ríos famosos de la Tierra. Su término canali fue mal traducido en inglés como canales. En 1886, el astrónomo inglés William Frederick Denning observó que estas características lineales eran de naturaleza irregular y mostraban concentraciones e interrupciones. En 1895, el astrónomo inglés Edward Walter Maunder se convenció de que las características lineales eran meramente la suma de muchos detalles más pequeños. Camille Flammarion escribió en su obra La Planète Mars et Ses Conditions d'Habitabilité de 1892, acerca de cómo estos canales se asemejaban a los canales artificiales, y que una raza inteligente podría usarlos para redistribuir el agua a través de un mundo marciano agonizante. Abogó por la existencia de tales habitantes, y sugirió que podían ser más avanzados que los humanos. Comenzando 1901, el astrónomo estadounidense A. E. Douglass intentó fotografiar las características de los canales de Marte. Estos esfuerzos parecían tener éxito cuando el astrónomo estadounidense Carl O. Lampland publicó fotografías de los supuestos canales en 1905. Aunque estos resultados fueron ampliamente aceptados, luego fueron cuestionados por el astrónomo griego Eugène Antoniadi, el naturalista inglés Alfred Russel Wallace y otros como simples rasgos imaginados. A medida que se usaban telescopios más grandes, se observaron menos canali largos y rectos. Durante una observación realizada en 1909 por Flammarion con un telescopio de 84 cm, se observaron patrones irregulares, pero no se observó ningún canali. En la década de 1870 Schiaparelli observó un oscurecimiento superficial causado por nubes amarillas. En 1909, Antoniadi descubrió que Marte parecía más amarillo durante las oposiciones cuando el planeta estaba más cerca del Sol. Sugirió que la causa de las nubes eran arena o polvo soplado por el viento. En 1894, el astrónomo estadounidense William Wallace Campbell encontró que el espectro de Marte era idéntico al espectro de la Luna, poniendo en duda la creciente teoría de que la atmósfera de Marte era similar a la de la Tierra. Las detecciones previas de agua en la atmósfera de Marte fueron explicadas por condiciones desfavorables, y Campbell determinó que la firma del agua provenía enteramente de la atmósfera terrestre. Aunque estuvo de acuerdo en que las capas de hielo indicaban que había agua en la atmósfera, no creía que las capas fueran suficientemente grandes para permitir que se detectara vapor de agua. En ese entonces, los resultados de Campbell fueron considerados polémicos y fueron criticados por los miembros de la comunidad astronómica. Aun así, el astrónomo americano Walter Sydney Adams confirmó los resultados en 1925. Utilizando un termopar de vacío conectado al Telescopio Hooker de 2'54 m en el Observatorio del Monte Wilson, en 1924 los astrónomos estadounidenses Seth Barnes Nicholson y Edison Pettit fueron capaces de medir la energía térmica que irradiaba la superficie de Marte. Determinaron que la temperatura variaba desde –68°C en el polo hasta 7°C en el ecuador. A partir del mismo año, las medidas de energía radiada de Marte fueron hechas por el físico estadounidense William Coblentz y el astrónomo estadounidense Carl Otto Lampland. Los resultados mostraron que la temperatura nocturna en Marte descendía a –85°C, lo que indica una «enorme fluctuación diurna» en las temperaturas. La temperatura de las nubes marcianas se midió en –30°C. En 1926, al medir las líneas espectrales de los movimientos orbitales de Marte y la Tierra, el astrónomo estadounidense Walter Sydney Adams fue capaz de medir directamente la cantidad de oxígeno y vapor de agua en la atmósfera de Marte. Determinó que «las condiciones extremas de desierto» eran frecuentes en Marte. En 1934, Adams y el astrónomo americano Theodore Dunham, Jr. encontraron que la cantidad de oxígeno en la atmósfera de Marte era menor de un uno por ciento de la cantidad que hay en una misma área en la tierra. En 1927, el estudiante holandés Cyprianus Annius van den Bosch hizo una determinación de la masa de Marte basada en los movimientos de las lunas marcianas, con una precisión del 0'2%. Este resultado fue confirmado por el astrónomo holandés Willem de Sitter y publicado en 1938. La emisión de rayos X de Marte fue observada por primera vez por los astrónomos en 2001 utilizando el Observatorio Chandra de Rayos X, y en 2003 se demostró que tenía dos componentes. El primer componente es causado por rayos X del Sol que se dispersan en la atmósfera superior de Marte; el segundo proviene de interacciones entre iones que dan lugar a un intercambio de cargas. En 1983, el análisis del grupo de meteoritos de shergottita, nakhlita y chassignita (SNC) mostró que podrían haberse originado en Marte. Se cree que el meteorito ALH84001, descubierto en la Antártida en 1984, se originó en Marte, pero tiene una composición totalmente diferente a la del grupo SNC. En 1996, se anunció que este meteorito podría contener evidencia de fósiles microscópicos de bacterias marcianas. Sin embargo, este hallazgo sigue causando controversia. El análisis químico de los meteoritos marcianos encontrados en la Tierra sugiere que la temperatura ambiente cercana a la superficie de Marte ha estado muy probablemente por debajo del punto de congelación del agua durante gran parte de los últimos cuatro mil millones de años. Michael Neil, Galactic Sound Station, Dreamscapist, Liquid Mind, Terminus Void, Airwaves, Astelyon, Hollan Holmes, InDi0ne-X, Isostatic. 🎧 El playlist detallado: lostfrontier.org/space.html#1060Escucha este episodio completo y accede a todo el contenido exclusivo de lostfrontier.org. Descubre antes que nadie los nuevos episodios, y participa en la comunidad exclusiva de oyentes en https://go.ivoox.com/sq/26825
Aujourd'hui, comme chaque premier jeudi du mois, vous aurez désormais le plaisir de pouvoir écouter Le Petit Atlas. C'est une chronique imaginée par le cosmographe Maxime Blondeau. Maxime est professeur dans des écoles prestigieuses et très suivi sur les réseaux. Son travail part du constat que les cartes et les planisphères ne suffisent pas à éveiller notre conscience sur la richesse historique, géologique, culturelle et naturelle des territoires dans lesquels nous vivons. Or, nous ne protégeons bien que ce que nous connaissons et que nous aimons. C'est sur ce terrain que nous nous sommes rencontrés. À la fin de cette émission, Maxime vous racontera Gibraltar, un territoire et delta entre l'Europe et l'Afrique, la Méditerranée et l'Atlantique, un véritable voyage dans l'espace et dans le temps… Mais avant ce moment que vous attendez tous, nous vous proposons de nous intéresser à un phénomène qui a ravagé 1 million d'hectares en Europe cet été et qui menace de larges parties du monde : les méga-feux. À lire aussiCinq questions sur les méga-feux Avec : La philosophe Joëlle Zask Christelle Hely (directrice d'études à l'EPHE-ISEM), elle mène des études sur les incendies et la dynamique des écosystèmes passés et actuels face aux changements globaux pour l'ouvrage Feux de végétation : comprendre leur diversité et leur évolution, paru aux Éditions Quae. Eric Rigolot, ingénieur de recherche au sein de l'équipe physique et écologie du feu (Inrae) Et diffusion en fin d'émission du premier épisode du Petit Atlas de Maxime Blondeau : le détroit de Gibraltar (nouvelle chronique mensuelle). Musiques diffusées dans l'émission Diamond Platnumz – Katam (Playlist RFI - Tanzanie) The Cure – A Forest
“Si tu fais mourir tes sols, tu n'as plus de yaourt demain, donc tu n'as plus de dividendes demain.”Notre planète est dans l'impasse et notre industrie aussi.Selon l'un des plus grands ex-patron du CAC40 et aujourd'hui l'un des activistes avec le plus d'impact au monde.Arrivé au comité exécutif de Danone à 29 ans, Emmanuel Faber reste 30 ans dans le groupe et lance des politiques audacieuses sur le plan social comme écologique.Aujourd'hui il a rejoint les institutions internationales engagées pour le climat avec une approche pragmatique : le changement ne peut tenir que s'il est soutenu par des intérêts économiques. Et il rappelle une donnée choc : avec seulement 1% des capitaux mondiaux, la transition énergétique et alimentaire est à notre portée.Et pour ça, il faut créer une compétitivité écologique et sociale avec ce nouveau système qu'Emmanuel participe à construire.Déjà chez Danone durant la restructuration, il avait choisi de protéger les 20% les moins payés — ce qui ne revenait pas plus cher que de couper dans les gros salaires.Il a d'ailleurs reversé son propre salaire de PDG à des associations.Obsédé depuis toujours par l'altérité, il a également passé du temps à la rencontre des plus démunis allant jusque dans les bidonvilles, les mouroirs et au cœur des campagnes du Bangladesh.Dans cet épisode, Emmanuel commence par décrypter les rouages de la macroéconomie mondiale — les normes qui seront bientôt appliquées et les institutions clefs de la comptabilité de demain.Puis il partage ses anecdotes les plus marquantes, et les clés applicables par tous pour éviter la catastrophe qui s'annonce.Entre chefs d'États, dirigeants de multinationales et ONG, Emmanuel Faber pilote les prochaines politiques et de la transformation à venir de l'économie mondiale.À écouter impérativement pour se préparer au mieux et comprendre les dessous de l'économie globale.TIMELINE:00:00:00 : Les coulisses des Forums mondiaux00:16:09 : L'altérité comme nécessité existentielle00:22:27 : Aller jusque dans les bidonvilles et les mouroirs pour répondre à une question : y a-t-il une justice ?00:37:07 : La nouvelle norme mondiale pour éviter le pire00:45:31 : Comment transformer une grande entreprise de l'intérieur00:59:05 : La seule façon de bien réorganiser une entreprise : pourquoi protéger les moins rémunérés01:19:30 : Ce que doit faire la finance mondiale pour survivre01:43:03 : Rémunération et héritage : le problème éternel de la répartition02:01:59 : La Chine est déjà en avance sur la transition02:22:28 : La fausse bonne idée : embêter les PME/TPE02:37:51 : Convaincre tout le CAC40 pour un plan social02:46:37 : Gilets jaunes, Calais, la laitière du Bangladesh02:58:52 : La véritable économie loin des KPI déconnectées03:08:42 : L'impact dramatique de l'industrie alimentaire sur le règne animalLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #284 - Pierre-Édouard Stérin - Otium Capital - Milliardaire et saint dans une même vie#98 Pierre-Édouard Stérin - Smartbox - Entreprendre, gagner des centaines de millions pour tout distribuer à 50 ans#483 - Carlos Ghosn - Out of the box : masterclass business de l'évadé du siècle#472 - Jean-Marc Jancovici - The Shift Project, Carbone4 - L'Europe est dans la seringue : ce qui doit changer dans les 10 prochaines années#284 - Pierre-Édouard Stérin - Otium Capital - Milliardaire et saint dans une même vie#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seul#480 - Esther Perel - Psychothérapeute - Comment réparer l'atrophie sociale avec l'experte mondiale des relations humainesNous avons parlé de :DanoneVEJAForum social mondialREF25The Consumer Goods ForumNutriciaDanone EcosystemAquaLegris IndustriesFranck Riboud ex-PDG DanoneInstitutional Investor (magazine)WhiteWave FoodsThe Potsdam Institute for ClimateTask Force on Climate Related Financial DisclosuresLa "tragédie des horizons”Action Tank Entreprise et PauvretéMuhammad Yunus (homme d'État bangladais)Trek Chamonix-ZermattDocu GR20Discours d'Emmanuel Faber en 2016Les recommandations de lecture :Un autre monde est possible (changer le monde nouveau mode d'emploi)Chemins de traverseOuvrir une voieMain basse sur la cité: Éthique et entrepriseHard Things - Entreprendre dans l'incertitude: Entreprendre dans l'incertitudeCompetitive Advantage: Creating and Sustaining Superior PerformanceCompetitive Advantage of Nations: Creating and Sustaining Superior PerformanceLes Conquérants de l'inutileN'oublie pas les chevaux écumants du passéPlan de transformation de l'économie française (PTEF)Vous pouvez contacter Emmanuel sur LinkedIn, Instagram.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:20 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani - Gilles Gressani alerte sur le pouvoir exorbitant des géants de la tech, fruit de nos renoncements numériques, notamment via les conditions générales d'utilisation de leurs services internet. Ainsi, dans les CGU de Starlink, Elon Musk prévoit déjà la colonisation de la planète Mars.
Voici comment donner vie à des projets écolos avec ton épargne, en partenariat avec la Nef où je suis depuis 3 ans, une banque éthique, coopérative et transparente !► Rdv sur lanef.com DANS CET ÉPISODE ► La calculette Oxfam pour mesurer l'empreinte de ton épargne : http://bit.ly/3ULSUih► Voir les projets financés près de chez toi : http://bit.ly/3TopvJX► Participer à une visio ou un apéro Nef : https://lanef.com/agenda► Pour poser toutes tes questions à un conseiller Nef : http://bit.ly/3DYiuKgSOMMAIRE01:00 La calculette secrète 03:30 Les crimes climatiques 05:32 Cantona 08:13 La Nef 11:05 Circuit court et démocratie 14:18 Projets financés 22:11 Pourquoi t'irais à la Nef ? 25:34 Le Big Banque 30:15 Comment participer ? 33:24 Tu es Belge, Suisse ou à l'étranger ?__Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Merci au sponsor du mois : le Festival Agir à Lyon ! Ami Lyonnais, inscris-toi pour une journée de folie sur l'écologie et la solidarité à Lyon le 28 septembre !Au programme : Ateliers, balade sur la nature en ville et témoignages de reconversion pro ! L'Institut Transitions qui forme en 1 an aux métiers de la transition sera sur place.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show notes provided by Jack AdrienBefore the entertainment and media industry's endless stream of sequels, reboots, reimaginings, remakes, franchises, or tentpoles, there was The Planet of the Apes. Starting in 1963 as French author Pierre Boulle's novel, La Planète des singes – or better known in the United States as Planet of the Apes in the United Kingdom as Monkey Planet, respectively – the intellectual property gained international acclaim through its synonymous 1968 film adaption directed by Franklin J. Schaffner and starring Charlton Heston. Most filmgoers remember the film adaptation for arguably one of cinema's most famous twist endings [57-YEAR SPOILER WARNING: Charlton Heston and the other astronauts were never on another planet, their spaceship returned to a post-apocalyptic Earth 2006 years after their in-universe 1972 departure with intelligent apes as the dominant life form] . A critical and commercial success, the film adaptation spawned three film sequels (i.e., Beneath the Planet of the Apes released on May 27, 1970; Escape from the Planet of the Apes released on May 21, 1971; Conquest of the Planet of the Apes released on June 29, 1972; and Battle for the Planet of the Apes released on June 15, 1973). Ignoring the best forgotten Tim Burton remake released on July 27, 2001, the franchise gained a new life as the Rise of the Planet of the Apes reboot spawning three successful sequels (i.e., Dawn of the Planet of the Apes released on July 11, 2014; War for the Planet of the Apes released on July 14, 2017; and Kingdom of the Planet of the Apes released on May 10, 2024). The new series introduced social awareness themes of animal genetic therapy experimentation, environmentalism, and human indifference of the natural world to a new generation. Join the Mint Condition crew of James, Joe, Josh, and Jack as we trace the legacy of The Planet of Apes' novel, original series, comic book, television series, animated series, toys, and other merchandise.
Journal de brèves Médecine légale avec Philippe Boxho 1/5: le cul et les écus Un éloge des lianes Planétologie comparée: Mars vs Terre
Demain N'attend Pas fête ses 100 bougies ! Pas tout à fait ses 100 ans, mais déjà ses 100 épisodes. Toute une jeunesse
« Objectif Mars », « Mars, la nouvelle frontière de la conquête spatiale », titre le Nouvel Obs, avec en Une, une splendide photo, celle d'une planète où se mêlent harmonieusement l'orange et le rouge. Un peu comme dans un rêve, mais ne rêvons pas trop longtemps, car la réalité se mesure en termes de puissance et d'argent. « La planète Mars est aujourd'hui le Graal intersidéral, nous dit le Nouvel Obs, le terrain des grandes puissances, avec la Chine comme nouvel acteur. L'Amérique de Trump en a fait son nouveau fétiche, promettant les premiers pas de l'homme sur Mars d'ici à 2029, avant la fin du mandat du président. » Qu'importe si tous les scientifiques s'accordent à dire que c'est parfaitement impossible. Donald Trump y croit-il lui-même ? En tout cas, il mène le jeu comme n'importe quelle autre affaire commerciale. « Trump et ses amis de la tech mettent en danger les programmes de la Nasa basés sur la coopération internationale, pour privilégier les progrès strictement nationaux, nous explique le Nouvel Obs. « Derrière les accents triomphants annonçant la colonisation de Mars pour les prochaines années (…) se cache la captation des crédits publics par quelques "entreprises amies", celles des barons de la tech qui ont soutenu la campagne de Trump, avec en tête Elon Musk avec Space X et Jeff Bezos avec Blue Origin. ».Les passionnés, qui regardent la planète rouge avec des yeux d'enfant, en seront pour leurs frais. À lire aussiIl y a 60 ans, la sonde Mariner 4 révélait à l'humanité le vrai visage de Mars La fin de la guerre ? Après l'annonce d'une rencontre entre Trump et Poutine le 15 août en Alaska, le Journal du Dimanche (JDD) pose la question : « Et si la guerre se terminait la semaine prochaine ? », question faussement innocente, car l'analyse qui suit tend plutôt à démontrer le contraire. « Personne ne peut croire que la paix soit l'issue de ce tête-à-tête », estime le JDD. La Tribune Dimanche, de son côté, met l'accent sur ce qu'elle estime être l'ambition première de Donald Trump : « le président américain se rêve en prix Nobel de la paix, et multiplie les initiatives pour y parvenir. Le sommet du 15 août avec Vladimir Poutine est un pas de plus sur le chemin de son ambition ». À la question « le sommet du 15 août pourrait-il accoucher du plus grand succès diplomatique de la seconde présidence Trump ? David Salvo, analyste au German Marshall Fund, interrogé par la Tribune dimanche, répond : « Washington sous-estime à quel point le Kremlin veut continuer à mener cette guerre, la légitimité et le sort du régime poutinien ne dépendent pas seulement de la fin de ce conflit aux conditions dictées par la Russie, mais à sa prolongation jusqu'à nouvel ordre, avec une économie entièrement consacrée à cette guerre ». Bref, personne ne croit vraiment à un miracle pour le 15 août. À lire aussiUkraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit» L'appétit du géant russe La guerre en Ukraine que les pays baltes suivent avec une attention particulière. L'Express s'est rendu en Estonie, le plus petit des trois pays baltes qui comptent aussi la Lettonie et la Lituanie. L'Estonie (avec moins d'1,35 million d'habitants) qui partage « 300 kilomètres de ligne de démarcation avec la Russie », « une frontière de tous les dangers, explique le Nouvel Obs, face à ce grand voisin avide de conquêtes. » « L'Otan pourrait être testée sur sa capacité à réagir "d'ici à cinq ans", répète son secrétaire général Mark Rutte », nous rappelle l'Express, qui a aussi consulté une récente étude de la Revue nationale stratégique française, « jugeant plausible une guerre majeure de haute intensité en Europe ». Cette étude souligne aussi « que le renforcement de l'armée russe se poursuit de façon accélérée pour recompléter de nombreux matériels détruits en Ukraine, mais également pour développer de nouvelles capacités et renforcer son arsenal d'ici à 2030 ». L'Estonie, elle, ne peut guère compter que sur ses 4 000 militaires de métier et ses appelés. Et puis bien sûr, il y a l'Otan. Un officier américain, dont le régiment s'entraîne en Estonie, témoigne : « Nous sommes ici pour changer les calculs de l'adversaire, le dissuader d'une agression et respecter notre engagement de l'article 5 de l'Otan. » Article qui stipule « qu'une attaque contre un État appartenant à l'Alliance atlantique est une attaque contre tous. Et qu'elle ne restera pas sans réponse. » Mais cette perspective arrêtera-t-elle Vladimir Poutine ? Rien n'est moins sûr. « À quelle échéance les Russes pourraient-ils passer à l'action ? », interroge l'Express, qui cite une source sécuritaire, selon laquelle « les Russes n'ont pas besoin d'arrêter la guerre en Ukraine, il leur suffit d'amasser des unités à la frontière, puis de prendre une décision politique ». Une perspective effrayante pour l'Estonie, mais aussi la Lettonie et la Lituanie. À lire aussiUkraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit»
En Route vers le Ballon d'Or, épisode 3. Aujourd'hui, on s'intéresse aux milieux reculés ; les cerveaux d'or. RDV chez Stan pour les moteurs d'or !
PODCASTChaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Dans cette 1039e édition La Planète Bleue va évoquer une obsession d'Israël, un cas de rencontre du 3e type, un débat venimeux et dévouvrir la dernière production du trio d'Oren Ambarchi ainsi que deux BDs.
Cet été, nous vous proposons de (re)découvrir quelques épisodes marquants de ces derniers mois. Nous vous donnons rendez-vous à la rentrée pour des épisodes inédits !Nous sommes aujourd'hui avec Graffi Rathamohan, la co-fondatrice du groupe PNY. Véritable institution du burger haut de gamme, PNY connaît tous les succès à Paris puis en France depuis plus d'une décennie. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Élisa Gautier, fondatrice du restaurant Kiosk à Paris.À travers ce podcast, nous cherchons à comprendre les raisons de la réussite de PNY, et surtout comment Graffi et son associé ont créé un modèle qui conjugue aussi bien qualité, volume et rentabilité.Pour cela, on prend évidemment le temps de revenir sur le parcours et les inspirations de Graffi : de son enfance modeste et studieuse à la genèse du projet PNY. Puis, Graffi nous raconte les ouvertures des premiers restaurants et leur succès immédiat. Le public et les critiques sont unanimes. L'exigeant journaliste culinaire François-Régis Gaudry et ses amis leur ont même décerné le titre de “Meilleur Burger de Paris” !On s'attarde ensuite sur les évolutions récentes du groupe qui compte désormais 15 restaurants partout en France. Boosté par de belles levées de fonds et un actionnariat solide, le groupe PNY affiche aujourd'hui de grandes ambitions.Ce podcast a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Céline Chung, François-Régis Gaudry, Tigrane Seydoux et Édouard de Cassini. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.