Municipality of Switzerland
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Fr. Dominic Legge, O.P., is the President of the Pontifical Faculty of the Immaculate Conception (PFIC) at the Dominican House of Studies in Washington, D.C. He is an Ordinary Member of the Pontifical Academy of St. Thomas Aquinas, and holds a J.D. from Yale Law School, a Ph.L. from the School of Philosophy of The Catholic University of America, and a doctorate in Sacred Theology from the University of Fribourg in Switzerland. He entered the Order of Preachers in 2001, after having practiced constitutional law for several years as a trial attorney for the U.S. Department of Justice. He has also taught at The Catholic University of America Law School and at Providence College. He is the author of The Trinitarian Christology of St. Thomas Aquinas (Oxford University Press, 2017).
À Fribourg, l'Association Sarigai forme et sensibilise divers secteurs de la Ville aux questions LGBTIQ. L'équipe du Service des curatelles se prête au jeu d'un théâtre-image qui lui apprend à débloquer des situations complexes. Le Refuge est espace ouvert il y a 10 ans à Genève qui accueille des jeunes LGBTIQ en difficulté et accompagne également les familles. Karine raconte son cheminement personnel de mère d'un enfant trans, alors que la transidentité cristallise les débats dans l'espace public. Reportages de Raphaële Bouchet Réalisation: Rodolphe Bauchau Production: Laurence Difélix
Durant lʹété, nous rencontrons celles et ceux qui jardinent la terre au-dessus de 700 mètres, dans le massif du Jura, dans les Préalpes ou dans les Alpes. Ce matin, 2ème épisode, au-dessus de Montbovon, dans le canton de Fribourg. Rencontre avec Nicole Mantel, dans son jardin parfumé.
Von zerbrechlichen Balladen bis zu kraftvollen Statements: Swissmade präsentiert neue Musik aus der Schweiz – mit Zoë Më, Black Sea Dahu, Anna Rossinelli, Highland Sanctuary, Anabella Mori und Eva Leandra. Zoë Më aus Fribourg, unsere ESC-Vertreterin 2025, berührt mit «Million de Mois» – einer zerbrechlichen Ballade mit feinen Streichern und grosser emotionaler Tiefe. Weitaus rockiger geht Highland Sanctuary, das Soloprojekt von Berner DJ Simeon Holzer, zur Sache: «I Feel Alive» bringt frischen Wind und rockigen Country. Die Zürcher Band Black Sea Dahu veröffentlicht mit «One Day Will Be All I Have» einen sehr persönlichen Song, gewidmet ihrem Vater, der 2022 plötzlich verstarb – eine zarte Auseinandersetzung mit Erinnerung, Verlust und der Frage: Wie hätte er auf diesen Song reagiert? Zur Erinnerung: Vor sieben Jahren erschien ihr Durchbruchstitel «In Case I Fall for You» – nun gehen sie noch einen Schritt tiefer. Auch die Basler Musikerin Anna Rossinelli ist mit neuer Musik zurück. «Too Late» ist ein frischer, starker Sommersong – leichtfüssig, eingängig und voller Energie. Im Fokus der zweiten Stunde steht Eva Leandra (21) aus Solothurn. Ihre neue Single «Noise» ist ein kraftvolles Statement für Durchhaltewillen und Selbstbestimmung – roh, direkt und kompromisslos. Wie es zum Song kam, erzählt sie live in der Sendung. Eine Première bei Swissmade ist die Aargauerin Anabella Mori (42). Die Sängerin mit italienischen Wurzeln singt – keine Überraschung – auf Italienisch und ist unseren Hörerinnen und Hörern wahrscheinlich bisher völlig unbekannt. Das ändern wir jetzt. Dazu gibt's ausgewählte Wunschsongs von Hörerinnen und Hörern – persönlich und wie so oft überraschend.
Durant lʹété, nous découvrons les pépites qui poussent dans les jardins botaniques romands. On commence lʹexploration à Fribourg. Le jardin botanique a été créé en 1937 pour enseigner les plantes médicinales aux étudiants en médecines. Aujourdʹhui, le jardin botʹ fribourgeois est installé au cœur du quartier de Pérolles. On peut y voir 5000 espèces de plantes différentes, réparties dans 23 secteurs. Alain Mueller, le jardinier des lieux, nous invite à se pencher sur une plante particulièrement belle en ce moment… Le jardin est ouvert gratuitement, tous les jours de l'année.
In dieser Folge sprechen Manuel und Stephan über ein Thema, das im Christentum unverrückbar im Zentrum steht und trotzdem quer liegt: die Auferstehung. Sie passt so gar nicht in unser modernes, aufgeklärtes Weltbild, das humanistisch geprägt ist und in dem der christliche Glaube oft so harmonisch Platz findet – bis es um das leere Grab geht. Doch genau hier liegt der Dreh- und Angelpunkt des Glaubens: die Hoffnung auf das Reich Gottes. Wie umgehen mit religionsgeschichtlichen Erkenntnissen und dem Historismusproblem? Kann man heute noch von Auferstehung sprechen – affirmativ, suchend, tastend, wenigstens hoffend? Und was bedeutet diese Hoffnung für Gesellschaft und Kirche, wie sie sich etwa im Forum Glaube und Gesellschaft in Fribourg spiegelt? Ausserdem erfahrt ihr in dieser Folge, was nach Manus MacBook-Panne auch noch mit seinem iPhone passiert ist (Spoiler: Es bleibt verschwunden) und welches Halleluja Stephan gerade fast den Verstand raubt, weil er es noch nicht erzählen darf. ________________________________________ WICHTIGE KORREKTUR Manu hat in einer vorherigen Folge Kacem El Ghazzali fälschlicherweise als homosexuell bezeichnet. Das ist nicht zutreffend, sondern ein Missverständnis. Zu Beginn der Folge stellt Manu das klar.
En juin 1991, une femme de 29 ans est poignardée à mort dans le parking Urania à Zurich. Six ans plus tard, c'est une sexagénaire qui est sauvagement assassinée dans un parc de la ville. Les enquêteurs sont à mille lieux d'imaginer qu'une femme a pu commettre de tels meurtres. Avec l'interview de Joëlle Vuille, professeure de droit pénal et de criminologie à l'Université de Fribourg, co-autrice de l'ouvrage "Les femmes et la question criminelle" (Seismo). Cet été, Crimes suisses vous propose des surprises, à retrouver ici toutes les deux semaines. Toute l'équipe vous souhaite de belles vacances et sera de retour dès le 19 septembre sur Play RTS.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi devenir pasteur? Malgré le déclin de l'Église chrétienne en Occident, plusieurs hommes et femmes choisissent encore de devenir pasteurs. Vocation ou métier atypique? Servir ou être servi par sa communauté? Chacun et chacune doivent trouver leur voie. Dans cet épisode Joan et Stéphane reçoivent Quentin Beck, pasteur suffragant de l'Église réformée évangélique du canton de Neuchâtel. Ensemble, ils réfléchissent sur les raisons qui les ont conduits vers le ministère et les attentes envers les pasteurs de nos jours. Site internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Marek Studzinski, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, pourquoi devenir pasteur? Bonjour Stéphane. Bonjour, Joan, bonjour à toutes les personnes qui nous écoutent. Aujourd'hui, nous accueillons Quentin Beck. Quentin est un apprenti pasteur, comme moi un petit peu encore. Bonjour. Bonjour, Joan, bonjour Stéphane. Bonjour aux auditeurs et auditrices. Quentin, tu nous viens de Neuchâtel et tu nous raconteras un petit peu plus tard pourquoi devenir pasteur. Exactement, c'est ça. J'ai 27 ans et depuis peu, j'exerce le ministère. Est-ce que les femmes pasteures existent? Comme anecdote pour débuter, j'aimerais dire que je viens d'une région en Alsace où il y a encore une petite prégnance de luthéranisme, un petit peu aussi, bien sûr, de communautés réformées, mais essentiellement des communautés luthériennes. Généralement, lorsqu'on est en paroisse et qu'on est pasteur, les jeunes savent de quoi il s'agit. Ils ont l'habitude, ils ont déjà rencontré des pasteurs ou ils ont entendu parler de ça, notamment des femmes pasteurs. Ça fait quand même un moment qu'il y a des femmes pasteurs. Et j'ai eu la surprise en arrivant dans le canton de Vaud, où le catéchisme est sectorisé, c'est-à-dire que certains professionnels de l'Église s'en occupent et plus nécessairement tous les pasteurs, je suis allée à la rencontre de jeunes dans un camp et j'ai dit que j'étais pasteur. Là, j'ai vu qu'ils me regardaient d'un drôle d'air. Il y en a un qui me dit « Mais finalement, si les femmes peuvent être pasteurs, (visiblement, c'était un petit peu nouveau pour lui, mais il avait l'air tout à fait OK) pourquoi on ne dit pas pasteuresse? La raison derrière la volonté de devenir pasteur C'est très intéressant, ces questions, parce que souvent, on suit une voie et pour la majorité des gens, on n'y pense pas trop. On prend une profession parce qu'on aime quelque chose, on a eu quelqu'un qui nous a influencés. Mais pour être pasteur, mon expérience est que j'ai eu à expliquer, je ne sais pas combien de centaines de fois, mon appel au ministère, pourquoi je voulais être pasteur, au point où je me disais, est-ce qu'il y a quelque chose que je n'ai pas encore compris? On ne veut pas avoir n'importe qui. Mais toujours cette question, au point où, une fois, j'ai googlé « Pourquoi devenir pasteur? » Et la première réponse que j'ai eue, c'est « Comment devenir riche? » Je n'exagère pas là. Donc, j'avais ma réponse. C'était pour le pognon. Et toi, Quentin, pourquoi es-tu devenu pasteur? Pour l'argent aussi, exclusivement. Ah, c'est bon! Impeccable! Un parcours de foi C'est aussi une question qu'on me pose souvent. C'est vrai que les gens s'interrogent quand on dit qu'on est pasteur, surtout que j'ai 27 ans et je n'ai pas forcément la tête à laquelle les gens s'attendent lorsqu'ils s'imaginent un pasteur. C'est une question à laquelle j'ai aussi dû répondre maintes et maintes fois. Mais voilà, je crois que j'ai voulu devenir pasteur parce que lors de mon catéchisme, j'ai vu autour de moi des gens qui avaient une foi forte, qui vivaient des choses avec Dieu et je voyais des gens qui changeaient dans leur comportement, dans leur façon d'être. Je venais d'une famille pas forcément très pratiquante où la foi n'avait pas une grande place. Et du coup, je me sentais un peu à part là-dedans. Je ne comprenais pas trop et en même temps, j'étais attiré, ça me posait des questions. Et je me suis dit, il faut que je grandisse dans ma foi, et pour ça je me suis lancé dans les études de théologie. Si quelqu'un se pose des questions, je ne sais pas si c'est la meilleure chose à faire de se lancer dans des études de théologie, mais c'est ce que j'ai décidé de faire. Et voilà, donc ma rentrée dans le monde de la théologie ne se faisait pas en vue du ministère, mais en vue de grandir dans ma foi. Je suis passé par la faculté catholique de Fribourg. Durant ce bachelor en théologie, on a beaucoup parlé de l'incarnation de Dieu, d'un Dieu qui se fait homme, qui se fait être humain et qui vient vers nous, qui vit des émotions, qui rigole, qui pleure, qui mange, qui meurt aussi. Il y a tout cet aspect-là. C'est quelque chose où je me suis dit: ce Dieu qui se fait proche de nous, qui nous comprend, qui nous ressemble, c'est quelque chose dont j'ai envie de témoigner autour de moi. Je dirais que c'est là qu'il y a eu le début de cette vocation, le commencement de cette vocation pour le ministère. Après, il y avait plein d'autres choses qui me retenaient. Je suis quelqu'un d'assez timide, d'assez introverti. Il m'a fallu passer par-dessus certaines choses. Je me retrouve un peu dans l'histoire de Moïse en Exode IV, qui n'a pas envie d'aller parler aux autres parce qu'il a de la peine à s'exprimer. Je m'identifiais aussi là-dedans. En Église, j'ai eu des moments, des espaces où on m'a permis de m'exprimer, où on m'a écouté, on m'a permis d'être moi-même, et où j'ai aussi pu expérimenter, parler devant les gens, témoigner de qui j'étais, de ce que je croyais, de ma foi. C'est quelque chose que j'ai envie de pouvoir permettre aussi aux autres, et je dirais que c'est un peu ces éléments-là qui ont fait qu'après mes études en théologie, je me lance dans le ministère pastoral. Les pasteurs qui nous influencent durant notre jeunesse J'aime bien ce témoignage, notamment cette idée que l'Église est un lieu où on peut être soi-même. Et je trouve que c'est plutôt encourageant. Moi, de mon côté, j'ai cette certitude en moi depuis que j'ai l'âge de 10 ans. Je me rappelle que j'étais en train de faire un jeu, et puis je me disais, mais au fait, qu'est-ce que je vais devenir plus tard? Enfin, je me vois dans quoi? J'avais deux parents travailleurs sociaux, très à gauche, très engagés pour le monde. Et je voulais aussi un métier qui fasse sens, et où on soit là au nom d'une cause supérieure, et finalement, où on serve les autres. Et je connaissais le mari de ma marraine, qui était un pasteur totalement engagé dans le travail social auprès des jeunes dans la rue. Et je me suis dit, moi, je vais faire le travail que fait Jean-Michel. Ce n'est qu'après que j'ai découvert que c'était très, très, très anecdotique, qu'il n'y en avait vraiment pas beaucoup. En fait, mon modèle à moi, hyper à gauche, hyper punk, hyper avec les marges. En plus, ce qui est un petit peu dommage, a posteriori je regrette un peu, c'est que je me suis dit je vais devenir pasteur parce que je ne savais pas qu'il y avait d'autres métiers d'Église. Après, j'ai expérimenté tous les autres métiers d'Église : catéchète, diacre, dans la sphère missionnaire, etc., et je me suis vraiment éclatée aussi. Je suis contente que maintenant cette diversité des ministères existe et qu'on en parle beaucoup plus aux jeunes. Sinon, il y a un risque de cléricalisme, de pastora-centré, qui n'est pas bénéfique pour l'Église, en fait, et qui limite aussi, en termes de projection, les lieux où on se sent à l'aise pour exercer un ministère. Un ministère pour tous et toutes Lorsque les gens pensent à quelqu'un qui travaille pour l'Église, on pense à un pasteur parce que je crois qu'il y a cette idée justement du pasteur masculin, le prêtre qui est en avant, qui parle avec sa grosse voix grave et enseigne les bonnes réponses. Et pourtant, le ministère, c'est tellement plus large. Moi, je suis de ceux qui croient que nous sommes tous et toutes appelés au ministère. Le défi, c'est de trouver le bon ministère qui nous correspond. Il y a des gens qui ont une facilité de parler en public, comme moi. Il y a des gens qui font de la musique. Il y a des gens qui accompagnent des personnes malades. Ce sont tous des ministères. On pourrait quasiment dire tous des pasteurs. Je sais que ça peut choquer un peu parce qu'on a l'impression que « pasteur », ce n'est pas une appellation d'origine contrôlée. Mais je me demande dans les yeux de Dieu, les titres… j'ai l'impression que ce n'est pas si important. C'est le ministère qu'on fait. Je pense qu'on a justement cet appel-là de trouver ce qu'on peut faire avec tous les dons, tous les talents qu'on a reçus de l'Esprit. Suivre son appel Moi, cette idée de ministère qui s'adresse à tout le monde me parle beaucoup. Pour l'examen de consécration que j'ai passé il y a deux semaines, j'ai dû préalablement envoyer une lettre qui exprimait mes envies et justement les raisons de mon engagement. Et j'ai insisté sur le fait que c'est avant tout mon ministère à la suite du Christ, en tant que chrétien qui se place dans ce ministère pastoral, mais ce qui est à la source, c'est ce ministère baptismal, ou ce ministère qui nous vient de notre envie de nous mettre à la suite du Christ. Voilà le ministère pastoral dans lequel je m'engage actuellement, un ministère assez traditionnel, où justement je suis un peu ce pasteur masculin, alors j'essaye de pas trop enseigner, de ne pas être trop moralisant. Mais c'est la forme à laquelle je me sens appelé et il y a une diversité des ministères et une complémentarité des ministères aussi. Je pense que c'est aussi important de dire que tout seul je ne m'en sortirai pas non plus. Si je reprends un peu l'exemple de Moïse avec ses difficultés à s'exprimer en public, Dieu lui donne aussi Aaron pour qu'il aide et je crois que c'est important de le dire. En tout cas, à mes yeux, si on place le pasteur tout seul, on ne fait pas grand-chose. Le manque de modèle pour les femmes J'ai deux choses à dire. La première, c'est que finalement, c'est difficile pour une femme pasteure d'avoir des femmes comme modèle. Non pas qu'il n'y ait pas d'autres femmes pasteurs, il y en a, il y en a même beaucoup et de plus en plus et je trouve ça très bien. D'ailleurs souvent on me dit, il n'y a pas longtemps, j'étais dans un groupe et un homme assez âgé a dit « de toute façon maintenant, il n'y a plus que des femmes pasteurs ». Alors je lui ai dit « ah bon, mais où ? Ça m'intéresse beaucoup ». Il a dit « En Suisse, il n'y a plus que des femmes pasteurs ». Je lui ai dit « ben statistiquement ce n'est pas vrai ». Bref, on a souvent des remarques qui n'ont pas l'air si contentes qu'il y ait plus de femmes pasteurs. Et pour moi qui vais avoir 45 ans, finalement, je n'ai pas tellement de femmes comme modèles. Et quand je parle de femmes modèles, je parle de gens comme Martin Luther King, de gens comme Albert Schweitzer, je parle de gens dont on parle tout le temps et qui ont une figure tutélaire dans la société. Ce qui est intéressant, c'est que j'ai un peu réfléchi à ma paroisse d'origine, et je me suis rendu compte que de temps à autre il y a eu quelques stagiaires femmes, mais il n'y a pas encore eu de femmes pasteurs titulaires dans cette paroisse. Et ça donne à réfléchir quand même, parce qu'on est en 2025 et c'est une paroisse qui a été plantée lors de la Réforme, il y a cinq siècles. Donc finalement, quand on a l'impression qu'il y a peut-être beaucoup de femmes pasteurs, il y a beaucoup de femmes pasteures, beaucoup de femmes qui sont au service, beaucoup de femmes ministres, diacres, animatrices d'Église, mais pas de femmes dans les lieux où il y a une certaine densité historique ou des lieux auxquels on puisse se référer, comme la paroisse qu'a plantée Calvin à Strasbourg, qui est ma paroisse d'origine. Les attentes envers les pasteures? Et puis la deuxième chose à laquelle je pense, c'est que c'est encore une découverte progressive et qui n'est pas terminée sur ce qui est attendu d'une femme pasteur. C'est-à-dire qu'il y a dix ou quinze ans, il y avait des articles, notamment dans le journal Réforme en France, qui n'est pas le Réformes en Suisse, sur la plus-value. Figurez-vous qu'avoir des femmes pasteurs, c'était quand même bien, ça amenait une plus-value parce qu'on était à l'écoute, on s'occupait bien des enfants. Les femmes peut-être se sentaient un peu plus en confiance, mais les hommes aussi, parce qu'on était dans le « care », on était plus maternantes. Enfin voilà, toutes choses qui ne faisaient aucun sens pour moi. Et je crois qu'on est encore en train d'essayer de se dire, mais c'est qui, c'est quoi une femme pasteure? Et moi, pour avoir succédé pendant presque une année à un homme très compétent dans son domaine, très connu et du cru du lieu, j'ai bien vu qu'en fait, il y a des gens pour qui c'était un changement qui était bénéfique. Ils en étaient contents, contentes, notamment des jeunes femmes qui sont venues me raconter beaucoup de choses, comme c'est toujours le cas quand il y a une femme pasteur qui succède à un homme. Mais il y avait aussi beaucoup de gens qui étaient complètement dubitatifs. À se dire, attends, ça fait beaucoup, non? C'est une femme et puis elle est étrangère. Comment on va faire? Comment va-t-elle s'en sortir? On ne va pas trop l'aider quand même. Voilà, donc je vous apporte ma touche féminine à la conversation. Pasteur : vocation ou travail? Mon commentaire est purement empirique, je n'ai pas fait de recherche. J'ai remarqué avec la féminisation du clergé au Canada, on parle de plus en plus de vocation. En soi, ce n'est pas une mauvaise chose, mais ce que ça sous-tend lorsqu'on a une vocation, c'est qu'on se donne sans compter. Lorsqu'on a une profession, on est professionnel, on fait nos heures, lorsqu'on a un travail, on a un horaire de travail. Mais lorsqu'on a une vocation, c'est sûr que tu vas travailler 50-60 heures par semaine sans être payé pour tes heures supplémentaires. C'est sûr que tu vas faire de l'extra. C'est une vocation. Et j'ai arrêté d'utiliser ce mot-là justement pour dire ma profession, c'est pasteur. J'ai eu un appel, mais j'ai un travail qui est, bon, peut-être atypique par rapport à des amis qui travaillent dans un bureau, qui travaillent pour le gouvernement. Mais j'essaye d'utiliser le moins possible cette idée de vocation. Je ne crois pas que mon travail, ce soit d'être un martyr. Je crois que mon travail c'est d'être là pour les gens d'une communauté ou d'une région, puis d'essayer de les faire grandir dans la foi, sans nécessairement me tuer à la tâche. Trouver un équilibre dans la vie de pasteur En tout cas, pour moi qui débute dans le ministère, c'est vrai que c'est une question qui prend beaucoup de place; comment jongler, comment équilibrer vie professionnelle et vie privée, comment réussir à forger un ministère qui me ressemble et qui n'est pas non plus seulement basé sur les attentes des paroissiens ou des paroissiennes. Justement, j'ai changé de paroisse entre mon stage et ma suffragance dans laquelle je suis actuellement, et j'ai vu que les attentes étaient totalement différentes et que le statut qu'on me donnait était très différent. Voilà, c'est un défi pour moi, clairement, de réussir à faire un équilibre entre ces deux choses. Et c'est le titre de l'épisode « Pourquoi devenir pasteur? » ça m'a fait rire que vous m'invitiez pour ce podcast-là parce qu'il y a quelques fois quand même ou en regardant mes semaines ou quand je raconte ce que je fais avec certaines personnes, on me demande pourquoi est-ce que tu es devenu pasteur ? Puis il y a quelques fois où je réponds « je ne sais pas ». Et c'est vrai que c'est un peu cette remise en question de « waouh, comment est-ce que je vais pouvoir tenir ça et tenir ça à long terme, aussi pour ne pas me brûler tout de suite ? » « Comment ça tu ne sais pas? On a dit que c'est pour l'argent. » « Exactement, c'est ça. Mais voilà, je dois avouer que je ne suis pas dans le bon canton pour l'argent. » Les différents termes pour définir un ministère Alors, on parle beaucoup de pasteur, c'est le titre de l'épisode, mais je suis passée par une étape comme diacre, alors c'était purement économique, là, de nouveau, tiens, on revient vers ça. C'est aussi parce que la paroisse qui m'employait n'avait pas vraiment les finances pour employer deux pasteurs. Ça m'arrangeait d'être diacre à cette période de ma vie, un, par curiosité pour ce ministère-là. Et deux, parce que du coup j'avais moins de responsabilités administratives. Étant donné que c'était en Suisse alémanique, je dois reconnaître que j'étais assez contente de ne pas avoir trop de responsabilités. Du coup, il m'est arrivé l'une ou l'autre fois d'aller en Afrique terminer des dossiers pour mon ancien mandat où ils avaient encore besoin d'un petit coup de main. Et j'expliquais à mes collègues, écoutez, maintenant je suis diacre. Ils me regardaient comme ça avec des grands yeux. Ils se disaient, mais comment a-t-elle fait, elle qui a un doctorat en ontologie, qui est pasteur, en tout cas j'ai mon certificat de pasteur, comment a-t-elle fait pour devenir diacre? Jusqu'à ce que je comprenne que, dans ce contexte-là, « diacre », ça veut dire « sacristine ». Ils étaient polis, ils n'osaient rien dire, mais ils me regardaient vraiment tous les uns après les autres, genre… Mais qu'est-ce qui se passe? Voilà, c'est marrant parce qu'en fait, il y a tous ces mots qui sont interchangeables. « vicar » ne veut pas dire « vicaire ». Et puis, « diacre » ne veut pas dire la même chose ailleurs. « Sacristine » peut-être pas non plus, je n'en sais rien. « Suffragant », en tout cas, ça ne veut pas dire la même chose partout. Toi, tu es un révérend, n'est-ce pas, Stéphane? Oui, en anglais, je suis un révérend. En français, je suis un pasteur. Vouloir devenir le pasteur cool J'ai grandi catholique romain. C'était l'époque post-Vatican II, donc les prêtres « cool » avec leur guitare, les cheveux longs. On les tutoyait. Bon, on ne se pose pas trop de questions. J'arrive dans l'Église Unie du Canada. En formation, c'était assez cool entre francophones. Et là, le choc. À ma première paroisse anglophone, j'avais un titre. J'avais des privilèges. Lorsqu'il y avait un repas de paroisse, je devais me servir en premier. On m'appelait révérend tout le temps. Quand les dames de la paroisse ont su comment j'aimais mon café, je n'avais pas à lever le petit doigt. Le café arrivait comme je l'aimais et ça m'énervait. Il y a cette notion, justement, comment les gens nous perçoivent. Ce n'est pas juste nous qui, parfois, recherchons le prestige. Il y a les gens, il y a le passé, il y a le titre, il y a toutes ces choses-là qui influencent la relation qu'on peut avoir avec des paroissiens, des paroissiennes, ou même les gens de la communauté. « Ah, c'est monsieur le pasteur de telle paroisse. » Ah, bon, là, on fait attention. Des fois, j'ai juste le goût de dire « je suis Stéphane ». Pour moi, c'est quasiment un carcan de dire qu'il faut que je fasse attention pour correspondre à une certaine vision. Et ça, c'est le côté que je n'avais pas vu venir lorsque j'ai fait ma formation, puis lorsque j'ai débuté, puis pourquoi je voulais être pasteur. Je voulais être le pasteur cool, puis ça n'a pas été ça nécessairement. Répondre aux attentes des autres Moi, à part en Afrique, je n'ai jamais connu cette aura de la pasteure. Déjà parce que quand tu es une femme, c'est hyper rare d'avoir de l'aura dans ce genre de job. Je crois que j'ai déjà raconté dans un autre épisode, mais il t'arrive plutôt des trucs du style: tu arrives pour un service funèbre, tu te présentes, puis quelqu'un me dit « Oh, vous parlez bien le français, c'est formidable! » Et puis j'ai dit « Ah ben écoutez, je suis contente que vous soyez contente. » Tu ne sais pas trop quoi répondre dans ces cas-là. Elle m'a dit « Oui, parce que j'ai vu votre nom de famille là, Charras-Sancho. » Et je me suis dit « Elle va avoir un accent effroyable, on va rien comprendre. » Comme toujours quand c'est des femmes étrangères. Il m'arrive plutôt des choses un peu comme ça, des petites vexations, des micro-agressions. Mais pas toujours, mais s'il m'arrive des choses, c'est plutôt de ce registre. Et puis, quand tu es en Afrique et que tu dis que tu es ou docteur en théologie, ou diacre, ou missionnaire, ou pasteur ou quoi, effectivement, là, il y a plus de différences. Mais il peut arriver aussi des choses un peu gênantes, comme la fois où quelqu'un est venu toquer à ma porte et m'a demandé si j'avais des culottes pour qu'on me les lave. J'ai dit non, non, c'est bon, merci beaucoup, je n'y tiens pas plus que ça, c'est gentil. J'étais sur un campus protestant et puis ils m'ont envoyé quelqu'un pour me laver mes culottes. C'est aimable, mais j'ai dit non. C'est vrai que je trouve que c'est marrant parce qu'on m'a beaucoup parlé de la stature des pasteurs et il y a des personnes âgées qui sont très déçues qu'on ne soit pas des hommes en costume cravate. Je me rends compte que c'est une déception pour ces personnes. J'essaye de me mettre vraiment à leur place, mais il n'y a rien que je puisse faire pour répondre à cette attente-là. Je ne peux être que moi-même et finalement, je crois que ça rejoint un petit peu ce que tu nous disais, Quentin. C'est important que dans ces Églises on puisse être soi-même. Entre le moment où moi j'ai commencé le ministère en 2009, le moment où Stéphane a commencé dix ans avant, le moment où toi tu commences, Quentin, on est presque déjà sur trois générations différentes. Quelles attentes est-ce que tu sens toi, Quentin? Trouver sa place dans une communauté en tant que pasteur Justement, l'anecdote du café de Stéphane m'a fait assez rire, parce que dans la paroisse dans laquelle je suis arrivé en septembre, il y a justement ce rituel du café après le culte. Dans ma vision du ministère, il y a une position de service. Je me verrais plutôt à servir les cafés pendant ces moments-là, plutôt que de me faire servir mon café. Donc voilà, il y a aussi ce malaise que la communauté est là pour servir le pasteur avec laquelle j'ai beaucoup de peine et je dois apprendre les moments où me laisser servir aussi, ce qui est compliqué pour moi. Il faut essayer de trouver cet équilibre entre quand est-ce que je ne me laisse pas faire et je pose mes limites en disant ben non là; si je veux aider pour ça, j'aide et quand est-ce que j'accepte que tout d'un coup on me serve mon café. Mais voilà, ces attentes-là, je me rends compte qu'elles peuvent vraiment varier d'un lieu à l'autre. Et je réfléchis aussi, il y a un peu deux aspects. Il y a l'aspect homme, qui est très valorisé, et en même temps, il y a l'aspect jeune, où les remarques sont souvent pleines de bonne volonté, mais on peut aussi être un peu le petit gamin avec des comportements infantilisants qu'on peut percevoir. De nouveau là, il sagit de trouver quand est-ce que les gens en paroisse ont l'âge d'être mes grands-parents, quand est-ce que j'accepte qu'ils voient un peu en moi leur petit-fils, qu'ils auraient peut-être souhaité voir devenir pasteur, et puis quand est-ce que non, je m'affirme comme un adulte et que je prends ma place aussi. Voilà, c'est un défi, peut-être en tant qu'être un peu timide et introverti des fois, de vraiment prendre ma place et oser poser mes limites. Un appel qui change avec le temps Il y a quelques années, je suis allé à une conférence de prédication. Il y avait un prédicateur américain qui nous a parlé de 1 Rois 19. Le prophète Élie doit se sauver dans le désert pendant une dépression profonde et il veut mourir. Il rencontre le Seigneur et il reçoit une nouvelle mission. Et le prédicateur nous expliquait que la raison qui nous a conduits à devenir pasteurs n'est peut-être pas la même que celle qu'on a aujourd'hui. Moi, j'ai eu à vivre ça. J'ai été pasteur de paroisse pendant longtemps et je croyais que c'était ça. J'étais fait pour être pasteur de paroisse, rien d'autre. Et plusieurs choses sont arrivées et la vie m'a mené ailleurs. Je pense que c'est OK aussi. Parce que ce n'est pas nécessairement un métier facile. Il y a les critiques et parfois on se demande, un peu comme m'a dit Quentin, mais qu'est-ce que je fais là? Pourquoi j'ai dit oui à ça? Et parfois, je me suis dit, est-ce que je serais plus heureux ailleurs? Probablement pas. Être pasteur, dans un contexte en 2025 où, en Occident, l'Église chrétienne, on va être honnête, est en déclin, c'est un choix qui se renouvelle. Être pasteure est une passion Servir en Église, plus encore qu'être pasteur, c'est vraiment une passion. C'est un métier passion. J'aime la théologie, j'aime la réflexion, j'aime le contact avec les gens, j'aime les retours qu'on fait, j'aime pouvoir inventer des nouvelles façons de célébrer Dieu. Donc je suis assez reconnaissante de vivre de ma passion. Et pour avoir pas mal voyagé en Afrique, à Madagascar, j'étais toujours hyper émue de voir qu'il y avait des instituts de formation de pasteurs où il y avait parfois des volets de plus de 100 pasteurs, mais qui n'avaient aucune idée comment réussir à en vivre. Et moi, j'ai souvent ça dans un coin de ma tête quand c'est un peu difficile ou quand je me lamente un petit peu sur mon sort. Je me dis, bon, à part ça, pour l'instant, le salaire est assuré, on revient à l'argent et je peux vivre de ma passion. C'est quand même formidable. Être payé pour vivre des moments spéciaux C'est vrai qu'il y a ces moments où on se demande qu'est-ce qu'on fait là, puis il y a aussi d'autres moments où on se dit, « C'est vraiment mon métier, je suis vraiment payé pour vivre ce moment parce qu'il y a des moments tellement beaux. » Je bosse beaucoup avec les adolescents, puis il y a des moments de camps qui sont juste incroyables. Puis je me dis, mais c'est incroyable de pouvoir être payé pour ça. On rigole beaucoup avec l'argent, mais de vraiment pouvoir être présent dans ces moments-là, c'est un ministère; en tout cas le mien est encore très généralisé et du coup je mes retrouve à accompagner des gens dans toutes les étapes de leur vie et on est parfois tellement privilégié de ce que les gens nous partagent, nous laissent entrer dans une certaine intimité qui est très précieuse. Je dirais que c'est souvent dans ces moments-là que je suis le plus reconnaissant du ministère que je peux vivre. Donc voilà, c'est ça, il y a les côtés qui parfois sont lourds, où il y a plein de soucis et aussi quand on regarde vers l'avenir, c'est parfois difficile d'être optimiste, mais il y a ces moments-là qui, moi, viennent me rappeler aussi pourquoi je me suis lancé là-dedans. Conclusion Merci, Quentin, d'avoir participé depuis l'Église réformée neuchâteloise, que nous saluons. Et merci Stéphane aussi pour cette discussion ouverte sur les différents aspects de notre ministère. Nous n'oublions pas les autres ministères en église et nous n'oublions pas non plus que dans certaines églises les pasteurs seront bientôt la part congrue des salariés. Je formule le vœu que chacun, chacune qui se sent appelée à un ministère, quel qu'il soit en Église, se sente fortifiée, accompagnée et renouvelée pour ce beau service. Merci beaucoup. Si vous voulez nous partager vos expériences en tant que pasteur, vos expériences de ministère dans le sens très large, si vous avez des questions, si vous avez des suggestions pour la prochaine saison, parce qu'on arrive à la fin de cette saison-ci, la saison 3, écrivez-nous questiondecroire@gmail.com. Je veux aussi remercier notre commanditaire, l'Église unie du Canada. Merci beaucoup, Quentin. J'espère que les prochaines semaines seront bonnes pour ton ministère. Merci Stéphane, merci Joan. Oui, tout de bon dans vos ministères respectifs aussi. Au revoir.
Lundi 14 avril 2025Rencontre autour de Rosa Luxemburg avec Muriel Pic. L'autrice présentera l'édition établie et préfacée par ses soins de l' "Herbier de prison" de Rosa Luxemburg publié par les éditions Héros-Limite ainsi que "Le dernier printemps de Rosa Luxemburg et autres poèmes dramatiques" paru aux éditions Le Bruit du Temps."Herbier de prison de Rosa Luxemburg"Traduction de Claudie Weill, Gilbert Badia, Irène Petit, Muriel PicÉdition établie et préfacée par Muriel PicL'herbier de Rosa Luxemburg est une archive sans équivalent. Composé de sept cahiers, datés d'avril 1915 à octobre 1918, sa fragilité et son histoire en font un témoignage de résistance et d'évasion, une fabrique de formes et de joie, un document sur le sentiment politique de la nature, fondement de toute écologie.Herbier de prison est constitué de 133 planches botaniques accompagnées de la traduction des légendes manuscrites de celles-ci. Cet ouvrage recueille également une soixantaine de lettres, dans lesquelles la révolutionnaire évoque sa passion pour les plantes, ainsi que pour les animaux. Des documents inédits en français complètent le volume, notamment un journal où Rosa Luxemburg consigne les faits et gestes de sa vie d'incarcérée."Le Dernier Printemps de Rosa Luxemburg et autres poèmes dramatiques", Muriel PicMuriel Pic s'était déjà approchée du théâtre en donnant la parole à d'illustres défunts sur une scène imaginaire, dans ses récents Dialogues des morts sur l'amour et la jouissance, Rosa Luxemburg y faisait d'ailleurs une apparition. On sait que Bertolt Brecht désirait écrire une pièce sur le destin tragique de la révolutionnaire allemande et Le Dernier Printemps de Rosa Luxemburg pourrait donc apparaître comme la réalisation de ce souhait. Or Muriel Pic a eu la bonne idée de faire du dramaturge allemand un personnage, mais dans une pièce qui prend le contre-pied de celle qu'il aurait souhaitée, et qui réintroduit l'amour (« car seul l'amour est révolutionnaire ») et donc la vie dans ce qui n'aurait été que propagande, autant dire lettre morte (pour Brecht, « une bonne révolutionnaire est une révolutionnaire morte »). Outre Mathilde Jacob, la secrétaire à qui l'on doit la préservation des archives de Rosa, et Brecht, les deux protagonistes sont Rosa Luxemburg elle-même, au printemps de 1918 alors qu'elle est emprisonnée à Breslau, et Arthur Gertel, le jeune soldat qui a été chargé de veiller sur elle (et qui a laissé, écrit en français, un émouvant témoignage de son expérience). Écrivaine et chercheuse indépendante, également traductrice de l'allemand et artiste Muriel Pic, docteure de l'EHESS et HDR de l'Université de Fribourg, écrit en vers, en prose, en films et collages. Ses travaux ne séparent pas la pensée et le poème et son écriture littéraire interagit avec son travail philologique, cherchant le lieu d'un lyrisme documentaire pour circuler entre la science et les arts, l'imagination et le savoir. Elle a publié une vingtaine d'ouvrage. Dernières parutions : Henri Michaux. The Mescaline Drawings, catalogue pour The Courtauld Gallery, avec F. Leibovici et G. Ketty ; Le dernier printemps de Rosa Luxemburg et autres poèmes dramatiques (éd. Le Bruit du temps).
Wie gelingt uns öffentliches Trauern? Wie gedenken wir Menschen, die bei einer Umweltkatastrophe oder einem Anschlag plötzlich und unerwartet ums Leben gekommen sind? Und wie schafft es die Kirche, in Momenten schrecklicher Katastrophen, sowohl Angehörige der Todesopfer als auch die Gesellschaft als Ganze, bei ihrem Trauerprozess zu begleiten? Prof. Dr. Benedikt Kranemann ist Gast unserer Podcastfolge und sieht in diesen Trauerprozessen die Nähe zu den Kirchen in einer anderen Qualität als sonst im alltäglichen Leben. Die Kirche sollte trotz der Krise, in der sie sich befindet, in der Lage sein, für eine Gesellschaft und für Menschen zu handeln, wenn diese in großer Trauer sind. Indem sich die Kirche dieser Aufgabe stellt, so hofft Kranemann, passiert auch noch einmal etwas mit dieser Kirche selbst. Benedikt Kranemann ist Professor für Liturgiewissenschaft an der Katholisch-Theologischen Fakultät und Leiter des Theologischen Forschungskollegs an der Universität Erfurt. Zudem lehrt er an den Katholisch-Theologischen Fakultäten in Münster, Trier und Fribourg. Kranemann ist u. a. Mitglied der Europäischen Gesellschaft für Katholische Theologie und der Arbeitsgemeinschaft katholischer Liturgiewissenschaftlerinnen und Liturgiewissenschaftler im deutschen Sprachgebiet e. V. Beratend war er tätig in der Kommission für liturgische Fragen der Deutschen Bischofskonferenz und ist es aktuell u. a. im Wissenschaftlichen Beirat des Katholischen Bibelwerks Stuttgart, im Erweiterten Vorstand des Deutschen Liturgischen Instituts Trier und in der Kunstkommission des Bistums Erfurt. Alle Podcastfolgen auch unter: https://www.uni-erfurt.de/forschung/aktuelles/wissenschaftspodcast-wortmelder
Rendez-vous des arts de la scène et de la performance, le Festival Belluard-Bollwerk se tient du 26 juin au 5 juillet à Fribourg. Au programme de cette 42e édition : une ouverture vers le Moyen-Orient et une réflexion sur le territoire. Parmi les propositions, le spectacle "Spooning&entre les montagnes" (le 1 juillet) sʹinspire du folklore suisse. Thierry Sartoretti a rencontré la danseuse bernoise Sami Bernath et ses löffelä, les cuillères en bois taillées pour la percussion.
Sandrine et Jean-Luc Brodard, un couple vivant dans le canton de Fribourg en Suisse, ont un quotidien apparemment ordinaire. Mais derrière cette façade tranquille se cache un mystère captivant. Sandrine, insatisfaite de sa vie, croise le chemin d'un mystérieux médium, le professeur Ndiaye, qui prétend pouvoir réaliser tous ses souhaits. Entre prédictions envoûtantes et promesses de richesse, jusqu'où Sandrine ira-t-elle pour changer son destin ? Des meurtres qui défient la raison, des enquêtes impossibles, ou encore des assassins imprenables : abonnez-vous pour ne rater aucun nouveau récit passionnant de Pierre Bellemare, pour qui l'art de conter n'avait aucun secret. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre la fin du XIXe siècle et jusqu'en 1981, environ 100 000 enfants ont été placés dans des familles d'accueil ou en institution, sans aucun contrôle. Ces enfants de familles pauvres étaient des orphelins, abandonnés ou simplement des filles et fils enlevés à leurs parents jugés inadéquats, et placés de force. Pour les maltraitances, les humiliations, les violences et les abus sexuels commis sur nombre d'entre eux, la Confédération s'est excusée au mois d'avril 2013. Mais ces excuses sont-elles suffisantes pour effacer des enfances volées? (Rediffusion d'extraits des reportages de Marc Giouse et Véronique Marti "Les excuses du canton de Fribourg" du 23 janvier 2013 et "En attendant le 11 avril 2013" du vendredi 25 janvier 2013). Reportages : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Production : Laurence Difélix
Lʹévêché de Lausanne, Genève et Fribourg a organisé une soirée mousse pour le lancement de la cuvée annuelle de la bière de lʹévêque. Cette 12ème cuvée porte le nom de "Or et Mousse", un clin dʹœil à lʹinjonction latine oremus, qui signifie "prions". Samuel Socquet sʹest rendu sur place et a rencontré notamment lʹévêque Charles Morerod. Il a ensuite tendu son micro à Bertrand Nussbaumer, président de la Croix-Bleue neuchâteloise. Photo : Lʹévêque Charles Morerod et l'artiste-peintre Hubert Audriaz (copyright Samuel Socquet / RTSreligion)
Nouvelle diffusion du 10 juin 2025 La ville de Fribourg met à disposition des deux-roues électriques pour encourager les familles à moins utiliser la voiture. Bilan de cette opération. Reportage de Mehdi Piccand.
Das Eisschild Grönlands schwindet und mit ihm gleitet Camp Century langsam ins Nordpolarmeer. Ein Podcast über eine Umweltkatastrophe aus Nachlässigkeit. Ein Podcast vom Pragmaticus.Das Thema:Was werden Sie in diesem Podcast hören? „Eine bizarre Geschichte“, so fasst es Horst Machguth zusammen. Der Glaziologe an der Universität Lausanne hat sie 2016 publik gemacht: Es geht um eine verlassene Militärbasis auf Grönland. Camp Century in der Arktis lag einmal tief im Firn Grönlands vergraben. Die US-Militärbasis sollte nach dem Sputnikschock im Oktober 1957 eine Bastion gegen die Sowjetunion sein und war für die Zukunft gemacht. Diese Zukunft ist jetzt da, und sie ist anders als die Erbauer glaubten. Das Eis schmilzt, und die Stadt unter dem Eis gleitet unaufhaltsam in das Nordpolarmeer. Eine tödliche Fracht voller Schwermetalle, Altöl und radioaktivem Abfall.Camp Century wurde schon 1967 aufgegeben, der Kalte Krieg hatte neue Technologien und Wege gefunden. Schon zu Beginn der Grabungen war klar, dass der Firn keine Stollen trägt, dass die Idee mit den Abschussrampen im Eis nicht funktioniert. Es lohnt die Frage: Wie konnte es zu einer derartigen Fehleinschätzung der Folgen kommen? Antworten geben: Horst Machguth, der Glaziologe, der die Welt als Erster über das Vermächtnis von Camp Century informierte; Jakob Abermann, ein Meteorologe und Gletscherforscher, der das Schicksal des Eisschilds auf Grönland erforscht und Heinz Gärtner, Politologe und Experte für den Kalten Krieg.Camp Century liegt etwa 240 Kilometer östlich der Thule Airbase (Pittufik), das ist jene, die der Vizpräsident der USA, J.D. Vance, Ende März 2025 besuchte. Für die Thule Airbase wurden die ursprünglichen Bewohner zwangsumgesiedelt, von Uummannaq (Thule) in das neu gegründete Qaanaaq.Gebraucht hat man die Militär-Basis im Firn nie. Sie war eine reine Cover-Aktion. Doch auch als solche war sie schon überflüssig, bevor sie fertig war.Unsere Gäste in dieser Folge: Jakob Abermann ist Meteorologe und forscht an der Universität Graz am Institut für Geographie und Raumforschung. In seiner wissenschaftlichen Arbeit dreht sich alles um Klima, Eis und Schnee: Es geht um Wechselwirkungen zwischen Kryo- und Atmosphäre. Nach Forschungsaufenthalten in Chile, ist Grönland sein Forschungsschwerpunkt und wegen der oft jahrelangen Feldforschung häufig der Lebensmittelpunkt. Auf Grönland erhobene Daten sollen Aufschluss über Vergangenheit und Zukunft des Klimawandels geben.Heinz Gärtner ist Politikwissenschaftler, er lehrt an der Universität Wien, leitet den Beirat des International Institute for Peace (IIP) und ist Vorsitzender des Strategie- und Sicherheitspolitischen Beirats des Österreichischen Bundesheeres. Er leitete als wissenschaftlicher Direktor das Österreichische Institut für internationale Politik – oiip. Seine Forschung über die USA, Fragen internationaler Sicherheit, Abrüstung und Rüstungskontrolle führten ihn unter anderem an die Universitäten Erlangen, Stanford, Oxford und die Johns Hopkins in Washington, an denen er als Gastprofessor tätig war. Heinz Gärtner hat neben Fachbeiträgen zahlreiche Bücher geschrieben, zuletzt erschien von ihm Ideen zum positiven Frieden. Der Kalte Krieg ist einer seiner Forschungsschwerpunkte.Horst Machguth ist Glaziologe. Er lehrt und forscht an der Université de Fribourg in der Schweiz zur Massenbilanz von Gletschern und Eisschilden. Seine Forschung ist für das Monitoring der globalen Eisressourcen bedeutsam, ebenso wie für das Verständnis der geophysikalischen Prozesse in Eisschilden und Gletschern. Das grönländische Eisschild ist einer seiner Schwerpunkte.Credits:Trump: „One way or another“: NBCNews, 4. März 2025Sputnik: www.youtube.com/watch?v=lfnfNe31fmYMette Frederiksen: „Not for sale“, abc-News, 19. August 2019Trump: „Not rule out“ NBC News, Interview in Palm Beach, Fla., am 2. Mai 2025Mette Frederiksen 2025: ReutersPolar Wind by Fission9 --https://freesound.org/s/521820/-- License: Creative Commons 0Camp Century: The City under the Ice, US Army 1964Rocket Launch.flac by qubodup -- https://freesound.org/s/182794/-- License: Creative Commons 0Schmelzendes Eis: Drop Ice Snow melting Cave ORTF inside by Sacha.Julien --https://freesound.org/s/725343/-- License: Creative Commons 0TwinOtter.mp3 by rd42 --https://freesound.org/s/102436/-- License: Sampling+ Dies ist ein Podcast von Der Pragmaticus. Sie finden uns auch auf Instagram, Facebook, LinkedIn und X (Twitter).
Vincent Veillon, surtout connu pour son duo comique avec Vincent Kucholl dans "52 minutes" et "120 secondes", diversifie ses activités en mettant en scène "Episodes" au Nouvel Opéra de Fribourg, en collaboration avec lʹHEMU. 4 créations originales de Richard Harvey, David Buckley, Benedikt Hayoz et Nathan Stornetta. Pourquoi et comment ce projet est-il né ? Explications de Vincent Veillon, lʹinvité dʹAnne Laure Gannac. Agenda: Ces créations seront présentées au Théâtre Équilibre à Fribourg, les 21 et 22 juin 2025.
Andres Ambühl ist der Rekordmann des Schweizer Eishockeys. Der Bündner hält selbst internationale Bestwerte, was Anzahl Länderspiele, WM-Teilnahmen und -Partien angeht. Im Sommer 2025 gewann er in Stockholm zum dritten Mal Silber - der gegen die USA verlorene Final war für den bald 42-Jährigen das letzte Spiel der Karriere.Marc Wieser nahm nur einmal an einer WM teil: 2016. Ausser jener Saison spielte der bald 38-Jährige nie für das Nationalteam, nicht einmal in Junioren-Auswahlen. Dennoch schaffte er es zu einer grossen nationalen Karriere mit vier Meistertiteln und 1007 Spielen in der höchsten Liga.Im letzten Eisbrecher der Saison 24/25 blicken die beiden diesen Sommer zurückgetretenen Stürmer des HC Davos zurück auf ihre langen und ereignisreichen Karrieren und können auch dank ihrer seit der Kindheit bestehenden Freundschaft viele interessante und amüsante Episoden erzählen - inklusive der schwierigen Zeiten in Davos.
Afin de soutenir l'association Samedi du partage dans sa grande récolte de denrées de première nécessite qui a lieu aujourd'hui et demain dans les cantons de Genève, Vaud et Fribourg, vous pouvez toujours aller consulter leurs besoins en bénévoles (tranches de 3-4 heures) sur leur site: www.samedidupartage.ch Merci d'avance de votre soutien à cette grande action de lutte contre la précarité en Suisse!
Bienvenue sur Kaiser Foot, votre podcast ou baladodiffusion et maintenant magazine vidéo portant sur la Bundesliga et le football allemand en français.Au menu de cette sixième saison, un format magazine, qui sera diffusée aux 3-4 semaines, où vos animateurs et analystes Mathieu Lemée et David Lortholary exploreront en profondeur quelques thèmes qui auront marqué l'actualité du football allemand.Nous sommes d'ailleurs à la recherche d'un commanditaire (sponsor) pour l'émission. Si vous avez des recommandations, suggestions ou des idées à nous soumettre, vous êtes les bienvenus à nous en faire part.Pour la dernière émission de la saison, nous avons au menu pour vous :-Est-ce que Xabi Alonso pourra réussir avec le Real Madrid ce qu'il a réussi avec le Bayer Leverkusen?-Avec les départs de Jeremy Frimpong, Jonathan Tah et celle à venir de Florian Wirtz, le Bayer Leverkusen pourra-t-il resté compétitif la saison prochaine avec son nouvel entraineur Henrik Ten Haag?-Bilan de la dernière saison en Bundesliga: l'improbable remontée du Borussia Dortmund, les surprises Mayence et Fribourg, les déceptions RB Leipzig et Hoffenheim, le retour de Cologne et d'Hambourg en première division.-Pourquoi l'ancienne légende allemande Olivier Kahn s'est montré intéressé à acquérir les Girondins de Bordeaux et pourquoi a-t-il renoncé il y a quelques jours?-Comment expliquer la décevante performance de la Mannschaft en Ligue des Nations, avec deux défaites contre le Portugal et la France devant ses partisans?-C'est le début de la Coupe du monde des clubs cet été. À quoi peut-on s'attendre du Bayern Munich et du Borussia Dortmund dans cette nouvelle compétition?Gutes Zuhören. Bonne Écoute.
La question des coûts des assurances maladie en Suisse est devenue un enjeu majeur pour de nombreux citoyens-nes et acteurs du système de santé. Alors que les primes continuent d'augmenter, les familles, les retraité-es et les travailleurs-euses se retrouvent confrontés à une pression financière toujours plus forte. Mais quelles sont les causes réelles de cette hausse et quels leviers peuvent être actionnés pour en limiter l'impact sur les assurés ? Eclairage et analyses de l'expert Pierre-Yves Maillard. _ Après des études à l'université de Lausanne qu'il a terminées avec une licence, Pierre-Yves Maillard a enseigné le français, l'histoire et la géographie. De 2000 à 2004, il a été secrétaire régional de la FTMH (désormais Unia) pour les cantons de Vaud et de Fribourg. Pierre-Yves Maillard a par ailleurs été député socialiste au Grand Conseil vaudois de 1998 à 2000. Depuis les élections de 1999 et jusqu'au 29 novembre 2004, il a été conseiller national. Le 1er décembre 2004, il a été élu au Conseil d'État du canton de Vaud et a pris les rênes du Département de la santé et de l'action sociale. Il préside l'Union syndicale suisse depuis mai 2019. Réélu en 2019 au Conseil national, il a été brillamment élu au Conseil des États lors des dernières élections en 2023. Il est marié et père de deux enfants. Enregistré au Club 44 le 27 mai 2025
En 2018, l'association Samedi du Partage Vaud, reconnue d'utilité publique, est créée à l'initiative des membres de la Centrale Alimentaire de la Région Lausannoise (CA-RL) avec le soutien de la Ville de Lausanne. Depuis, Samedi du Partage Genève, structure créée en 1993, lui transmet avec générosité son expérience, ses conseils et ses astuces. La mission reste la même, à savoir organiser une récolte une à deux fois par année de produits alimentaires et d'hygiène afin de les redistribuer aux personnes dans le besoin de la région lausannoise via la CA-RL mais aussi, depuis peu, dans les régions du Chablais et du Nord Vaudois via les Tables du Rhône et la Centrale Alimentaire du Nord Vaudois (CA-NOV). Plus de 30 structures bénéficient désormais de cette action. Parmi les bénéficiaires figurent des centres d'hébergements d'urgence (le Sleep-in de Renens, l'Etape, la Marmotte de l'Armée du Salut), des structures d'accueil et de soutien (la Fondation ABS, Sport'ouverte, Point d'appui), des structures servant des repas aux plus démunis (la Soupe Populaire de la Fondation Mère Sofia, l'Ancre), et des structures distribuant des cabas alimentaires dans la région du Grand Lausanne (Solid-ère, distribution des Eglises). Toutes éditions confondues, c'est en moyenne plus de 50 tonnes de marchandises qui sont recueillies lors de chaque collecte, permettant ainsi d'aider près de 12'000 personnes par semaine. Avec l'inflation, ce défi évolue de jour en jour car les demandes ne cessent de croître. Le Samedi du Partage Vaud continue de grandir avec, pour la 3ème fois cette année, de nouvelles enseignes situées à Yverdon. DEMANDE: - Des bénévoles disponibles les vendredi 13 et/ou samedi 14 juin à Genève, Fribourg, Lausanne et région, dans le Chablais, sur la Côte et dans le Nord Vaudois (tranches de 3-4h).
Le 18 décembre 1993, la première récolte de denrées alimentaires et de produits d'hygiène de base a eu lieu dans 12 supermarchés genevois avec l'appui de 50 bénévoles, une récolte qui a remporté un succès immédiat avec 16 tonnes de marchandises. Depuis, la manifestation n'a jamais cessé de grandir. Les associations Samedi du partage Genève, créée en 1993, Samedi du partage Vaud, créée à Lausanne en 2018, et Samedi du partage Fribourg, qui lance sa 3ème édition cette année, récolteront des denrées alimentaires et des produits d'hygiène les 13 et 14 juin prochain, respectivement au profit de la Fondation Partage (banque alimentaire genevoise), de la CA-RL (Centrale Alimentaire de la Région Lausannoise gérée par Caritas Vaud), des Tables du Rhône et de la CA-NOV et de la Banque Alimentaire Fribourgeoise. DEMANDE: - Des bénévoles disponibles les vendredi 13 et/ou samedi 14 juin à Genève, Fribourg, Lausanne et région, dans le Chablais, sur la Côte et dans le Nord Vaudois (tranches de 3-4h).
The happiness of being a Catholic. Monsignor M Besson.Bishop of Lausanne-Geneva-Fribourg. Translated by V J Matthews.
Les associations Samedi du partage Genève, créée en 1993, Samedi du partage Vaud, créée à Lausanne en 2018, et Samedi du partage Fribourg, qui lance sa 3ème édition cette année, récoltent des denrées alimentaires et des produits d'hygiène respectivement au profit de la Fondation Partage (banque alimentaire genevoise), de la CA-RL (Centrale Alimentaire de la Région Lausannoise gérée par Caritas Vaud), des Tables du Rhône et de la CA-NOV et de la Banque Alimentaire Fribourgeoise. La mission de ces banques alimentaires est d'acquérir, de stocker puis de distribuer de manière gratuite des produits de première nécessité à leurs institutions bénéficiaires et leurs structures membres. L'acquisition de la marchandise se fait par le biais de la générosité de nombreux donateurs (particuliers, commerces, maraîchers et producteurs). Les bénéficiaires sont des personnes en situation de précarité en Suisse romande (familles monoparentales, working-poors, personnes victimes de violence, souffrant de troubles psychiques, sans domicile fixe etc). La prochaine action aura lieu les 13 et 14 juin 2025 dans 160 enseignes réparties dans les cantons de Genève, Vaud et Fribourg. Pendant ces deux journées, les clients sont invités à faire don de produits de première nécessité, qui seront ensuite collectés par les banques alimentaires puis distribués aux personnes en situation de précarité via des institutions partenaires. Cette action de grande ampleur ne peut se faire sans l'aide de centaines de bénévoles. Il est possible de s'inscrire sur le site: www.samedidupartage.ch DEMANDE: - Des bénévoles disponibles les vendredi 13 et/ou samedi 14 juin à Genève, Fribourg, Lausanne et région, dans le Chablais, sur la Côte et dans le Nord Vaudois (tranches de 3-4h).
L'expression "voir la vie en gris", souvent utilisée pour décrire un état dépressif, n'est pas qu'une simple métaphore. Elle correspond à un phénomène bien réel, documenté par les neurosciences : les personnes souffrant de dépression perçoivent les couleurs de façon altérée, notamment avec une réduction de la capacité à distinguer les contrastes visuels, ce qui donne littéralement une vision plus terne, plus grisée du monde.Une perception visuelle modifiée par la dépressionCe phénomène a été mis en évidence par plusieurs équipes de recherche, notamment dans une étude menée en 2010 par l'université de Fribourg en Allemagne, publiée dans la revue Biological Psychiatry. Les chercheurs ont montré que les patients dépressifs perçoivent moins bien les contrastes visuels, en particulier les contrastes liés à la luminance (la quantité de lumière reflétée par un objet). Cela rend les couleurs moins vives, les formes moins nettes, et la scène visuelle globalement plus plate.Les participants ont été soumis à des tests visuels, notamment à des images de rayures contrastées. Résultat : les personnes atteintes de dépression voyaient ces contrastes de manière significativement atténuée par rapport au groupe témoin non dépressif. Cette diminution de la sensibilité au contraste explique en partie pourquoi le monde semble "gris", sans relief ni éclat aux yeux des personnes concernées.Une origine neurologique : le rôle de la dopamineSur le plan biologique, cette altération serait liée à une baisse de la dopamine, un neurotransmetteur impliqué non seulement dans le plaisir et la motivation, mais aussi dans la régulation du traitement visuel dans la rétine. En effet, la dopamine joue un rôle crucial dans la transmission des signaux lumineux depuis la rétine vers le cerveau. Quand elle est déficiente — ce qui est fréquent chez les personnes dépressives — la réponse visuelle est affaiblie, en particulier dans la détection des contrastes.Ce lien entre humeur et perception visuelle suggère que la dépression n'affecte pas uniquement la pensée ou les émotions, mais modifie aussi la façon même dont le cerveau perçoit le monde physique.Une piste pour le diagnostic ?Ce phénomène pourrait même devenir un outil de diagnostic. Certaines recherches expérimentent l'usage de tests de perception des contrastes visuels comme indicateurs de l'état dépressif, ou pour mesurer l'efficacité des traitements. Si la sensibilité au contraste s'améliore, cela pourrait signifier que la dépression recule.En résumé, "voir la vie en gris" n'est pas une simple image poétique : c'est une réalité neurophysiologique. La dépression affecte la chimie du cerveau, et cela modifie notre vision au sens le plus littéral du terme. Le monde devient réellement plus terne, moins coloré… comme si l'émotion même s'était retirée de la perception. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La prochaine action du Samedi du partage aura lieu les 13 et 14 juin 2025 dans 160 enseignes réparties dans les cantons de Genève, Vaud et Fribourg. Pendant ces deux journées, les clients sont invités à faire don de produits de première nécessité, qui seront ensuite collectés par les banques alimentaires puis distribués aux personnes en situation de précarité via des institutions partenaires. Au total, des centaines de bénévoles sont recherchés pour assurer le bon déroulement de cette action qui aura lieu mi-juin. En effet, lors de chaque édition, des centaines de bénévoles apportent leur aide précieuse car ce sont eux qui sont chargés, d'une part, de promouvoir et d'expliquer l'action auprès de la clientèle et en lui remettant un cabas, et d'autre part, de ranger et trier la marchandise reçue. DEMANDE: - Des bénévoles disponibles les vendredi 13 et/ou samedi 14 juin à Genève, Fribourg, Lausanne et région, dans le Chablais, sur la Côte et dans le Nord Vaudois (tranches de 3-4h).
Il ne s'agit pas d'une métaphore poétique. C'est un phénomène neurologique et perceptif bien réel, mis en évidence par plusieurs études.On sait depuis longtemps que la dépression affecte l'humeur, l'énergie ou le sommeil. Mais des chercheurs ont découvert qu'elle altère aussi littéralement notre manière de voir le monde, notamment les couleurs.Une perception « grisâtre » du mondeDes études en neurosciences visuelles, notamment celle menée en 2010 par l'université de Fribourg en Allemagne, ont montré que les personnes souffrant de dépression perçoivent les couleurs avec moins d'intensité. Leur vision semble comme désaturée, plus terne, légèrement "grisée". On parle d'un phénomène appelé réduction du contraste visuel.Mais comment cela fonctionne-t-il ?Tout commence dans la rétine…La clé réside dans le fonctionnement de la rétine, l'organe sensoriel au fond de l'œil qui capte la lumière et les couleurs. La rétine contient des cellules appelées cônes, responsables de la perception des couleurs, et des cellules ganglionnaires, qui transmettent les signaux lumineux au cerveau.Chez les personnes dépressives, l'activité de certaines cellules ganglionnaires, notamment celles sensibles aux contrastes de luminosité, est diminuée. Cela signifie que les variations entre les zones claires et sombres d'une image sont moins bien perçues, ce qui donne une impression générale de fadeur.Un effet mesurable, même chez les non-dépressifsEt ce n'est pas tout. Une étude complémentaire menée en 2014 a montré qu'il suffisait de montrer un film triste à des volontaires pour que leur perception des contrastes baisse immédiatement après. À l'inverse, regarder un film joyeux n'améliore pas la perception des couleurs. La tristesse affecte donc directement notre système visuel, alors que la joie ne le stimule pas au même niveau.Ce déséquilibre pourrait s'expliquer par l'évolution : notre cerveau est câblé pour réagir fortement aux émotions négatives – vigilance, menace, fatigue – en modifiant notre perception sensorielle, comme un filtre de repli ou de repliement sur soi.Voir le monde en gris… au sens propreCe phénomène donne un fondement scientifique à l'expression “voir la vie en gris”. Pour les personnes dépressives, le monde ne semble pas seulement plus sombre dans la tête… il l'est aussi dans les yeux. Ce lien entre perception visuelle et état émotionnel est un domaine passionnant, et il nous rappelle à quel point le corps et l'esprit sont intimement liés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 2018, l'association Samedi du Partage Vaud, reconnue d'utilité publique, est créée à l'initiative des membres de la Centrale Alimentaire de la Région Lausannoise (CA-RL) avec le soutien de la Ville de Lausanne. Depuis, Samedi du Partage Genève lui transmet avec générosité son expérience, ses conseils et ses astuces. La mission reste la même, à savoir organiser une récolte une à deux fois par année de produits alimentaires et d'hygiène afin de les redistribuer aux personnes dans le besoin de la région lausannoise via la CA-RL mais aussi, depuis peu, dans les régions du Chablais et du Nord Vaudois via les Tables du Rhône et la Centrale Alimentaire du Nord Vaudois (CA-NOV). Plus de 30 structures bénéficient désormais de cette action. Parmi les bénéficiaires figurent des centres d'hébergements d'urgence (le Sleep-in de Renens, l'Etape, la Marmotte de l'Armée du Salut), des structures d'accueil et de soutien (la Fondation ABS, Sport'ouverte, Point d'appui), des structures servant des repas aux plus démunis (la Soupe Populaire de la Fondation Mère Sofia, l'Ancre), et des structures distribuant des cabas alimentaires dans la région du Grand Lausanne (Solid-ère, distribution des Eglises). Toutes éditions confondues, c'est en moyenne plus de 50 tonnes de marchandises qui sont recueillies lors de chaque collecte, permettant ainsi d'aider près de 12'000 personnes par semaine. Avec l'inflation, ce défi évolue de jour en jour car les demandes ne cessent de croître. Le Samedi du Partage Vaud continue de grandir avec, pour la 3ème fois cette année, de nouvelles enseignes situées à Yverdon. Pour la 12e édition du Samedi Partage Vaud, la 33e pour Genève, qui permettra de récolter plusieurs dizaines de tonnes de produits de première nécessité, des centaines de bénévoles disponibles au minimum 3h sont recherchés dans de très nombreux endroits romands DEMANDE: - Des bénévoles disponibles les vendredi 13 et/ou samedi 14 juin à Genève, Fribourg, Lausanne et région, dans le Chablais, sur la Côte et dans le Nord Vaudois (tranches de 3-4h).
Alors que la précarité continue de s'aggraver en Suisse romande, la nouvelle édition du Samedi du partage se tiendra les vendredi 13 et samedi 14 juin prochain dans plus de 160 enseignes des cantons de Genève, Vaud et Fribourg. Cette mobilisation solidaire permet de collecter des produits de première nécessité au profit de milliers de personnes en difficulté. Pour mener à bien cette mobilisation solidaire, 2'400 bénévoles sont nécessaires. Il reste respectivement 450 places à Genève, 267 dans le canton de Vaud et 120 places à Fribourg pour faire partie des équipes de bénévoles. DEMANDE: - Des bénévoles disponibles les vendredi 13 et/ou samedi 14 juin à Genève, Fribourg, Lausanne et région, dans le Chablais, sur la Côte et dans le Nord Vaudois (tranches de 3-4h).
Histoire Vivante vous propose une traversée historique des usages de la rue sur vingt-quatre heures, du soir au petit matin. Il est 8 heures du matin, on sort de chez soi. Le premier contact avec la rue c'est la circulation. Une bataille s'engage avec les bêtes, les détritus et les étals, et bientôt les voitures à chevaux ou à moteur. Au XIXème siècle, on voit bientôt apparaitre les tramways, et bientôt les piétons ne sont plus qu'un risque parmi d'autres. Tiphaine Robert est historienne à Fribourg, spécialiste de l'histoire de la route aussi bien en ville qu'à la campagne.
Invitée: Audrey Bonvin Le Palace de Caux dans le canton de Vaud fut le siège du mouvement "Réarmement moral" de 1946 à 2001. Quel est lʹhéritage de ce mouvement international? Pour en parler, Tribu reçoit Audrey Bonvin, chercheuse FNS à l'université de Fribourg en Histoire contemporaine, chargée de cours à l'école de médecine à l'Université de Lausanne et docteure en histoire contemporaine. Elle publie "Lʹutopie conservatrice du "Réarmement moral". Discours et mutations dʹun mouvement international (1961-2001)" aux éditons Alphil, fruit dʹune thèse de doctorat.
Der Mama-Mythos hat sich mit der Emanzipation nicht verflüchtigt, sagt die Erziehungswissenschaftlerin Margrit Stamm. Sie studierte spät, als Mutter von zwei Kindern, und wurde mit 50 Jahren Professorin an der Universität Fribourg. Heute ist sie emeritiert, forscht weiter und liebt das Tanzen. «Ich bin eine Spätzünderin», sagt Margrit Stamm, die als Kind nie gedacht hätte, dass sie einmal studieren würde. Sie wuchs in Schachen in Aarau in einer Arbeiterfamilie auf, wurde Lehrerin und verliebte sich in einen Medizinstudenten. Nachdem sie zunächst für den Unterhalt sorgte, drehte das Paar die Rollen später um: Margrit Stamm begann zu studieren, ihr Mann stieg in die Familienarbeit ein. Als sie später, als die die Kinder schon ausgeflogen waren, eine Professur in Fribourg bekam, führten die beiden eine glückliche Fernbeziehung. Ihre besten Jahre, sagt Margrit Stamm im Rückblick, begannen nach ihrer Pensionierung: Sie gründete ein eigenes Institut und schätzt heute die Freiheit, ohne institutionelle Verpflichtung zu forschen. Margrit Stamm scheut sich nicht, Träume umzusetzen, die ihr wichtig sind: Mit über 60 Jahren begann sie, Ballett zu tanzen. In «Musik für einen Gast» spricht sie über ihre wachsende Leidenschaft für Musik, über die überhöhten Ansprüche an Mütter und erzählt, weshalb sie ein Labyrinth-Tattoo auf dem Handgelenk trägt. Die Musiktitel: 1. Simon and Garfunkel - El condor pasa 2. Wind of Change - Scorpions 3. Gefangenenchor, aus Giuseppe Verdis Oper «Nabucco» Chor des Bayerischen Rundfunks, Münchner Kammerorchester 4. Kapelle Nogler - Da Siena a Sent 5. Leonard Cohen - Hallelujah
Interview de Mgr Alain de Raemy, évêque auxiliaire pour le diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg et en charge ad interim du diocèse de Lugano, et de Bernard Litzler, journaliste et ancien directeur de Cath-Info.
Depuis près de 30 ans, Claudine Spire, âgée de bientôt 79 ans tente de retracer ses racines qui plongent dans un épisode sombre et méconnu de l'après-Guerre.Elle est née à Fribourg en mai 1946, d'une mère allemande et d'un soldat français, en poste dans la zone occupée par la France après la défaite du IIIe Reich.Comme environ 1.500 enfants nés de ce type d'union entre 1946 et 1951, elle n'a pas grandi en Allemagne mais a été placée dans une famille adoptive de l'autre côté du Rhin, en région parisienne.La France faisait face à un déficit de naissances, "il y avait une politique proactive des autorités françaises pour chercher des enfants et demander aux mères de les abandonner”.Invités : Ulrike Koltermann, correspondante du service allemand basée à ParisYves Denéchère, historien à l'université d'Anger et spécialiste de l'adoption internationale.Réalisation : Emmanuelle BaillonReportage AFPTV : David CantiniauxPour aller plus loin, vous pouvez regarder le documentaire « Nés sous l'Occupation : des bébés pour la France »de Anja Unger et Renaud Lavergne.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ligue des champions, demi-finales retour, suspense total entre l'Inter et le Barça, qui va décrocher son ticket pour Munich ? Encore un match spectaculaire à Milan après une première manche prolifique ? Des Nerazzurri sans Benjamin Pavard, mais avec Lautaro Martinez ? La défense intériste va-t-elle contenir les assauts catalans, notamment de Lamine Yamal ? Le FC Barcelone privé de Koundé et Baldé, mais avec des atouts offensifs, et qui enregistre le retour de Lewandowski. Deux formations confrontées à un planning chargé en fin de championnat, capables de trouver un second souffle en C1 ? Milanais et Blaugranas vont tout donner pour tenter de rallier la finale. Dix ans après le succès de Berlin pour les Catalans, trois ans après la déconvenue d'Istanbul pour les Italiens.À lire aussiLigue des champions: Inter-Barça, un match retour indécis après un aller de haut volPSG/ArsenalMalgré le court succès à Londres, les Parisiens devront maintenir la pression pour empêcher les Gunners de revenir. Les deux formations ont perdu en championnat. Des critiques ont pointé du doigt le turn-over important de Luis Enrique à Strasbourg, qui fausserait la fin de saison. Mikel Arteta a aligné son 11 type face à Bournemouth pour entretenir la dynamique sportive, mais les Canonniers se sont inclinés. Les coéquipiers d'Hakimi (en lice pour le prix Marc-Vivien Foé), face à des Rouge et Blanc revanchards, qui récupèrent Thomas Partey gestionnaire du milieu de terrain.À lire aussiLigue des champions: Arsenal compte sur le retour de Thomas Partey face au PSGBundesligaLes Roten reprennent leur bien ! 34e titre de champion pour les Rekordmeister, fin de la parenthèse Leverkusen. Le prince Harry enfin titré ! Premier trophée pour Kane à 31 ans. En deux saisons, l'international anglais a déjà inscrit 80 buts en 89 matches avec les Bavarois. Pari réussi pour Vincent Kompany, le Belge peut-il s'inscrire dans la durée ? Course à l'Europe : derrière Leverkusen, la lutte pour la C1 fait rage, notamment entre Fribourg, Dortmund et Leipzig, à deux journées de la fin.Avec Annie Gasnier : David Lortholary, Naïm Moniolle et Marc LibbraTechnique/réalisation Laurent Salerno – David Fintzel/Pierre Guérin
Ligue des champions, demi-finales retour, suspense total entre l'Inter et le Barça, qui va décrocher son ticket pour Munich ? Encore un match spectaculaire à Milan après une première manche prolifique ? Des Nerazzurri sans Benjamin Pavard, mais avec Lautaro Martinez ? La défense intériste va-t-elle contenir les assauts catalans, notamment de Lamine Yamal ? Le FC Barcelone privé de Koundé et Baldé, mais avec des atouts offensifs, et qui enregistre le retour de Lewandowski. Deux formations confrontées à un planning chargé en fin de championnat, capables de trouver un second souffle en C1 ? Milanais et Blaugranas vont tout donner pour tenter de rallier la finale. Dix ans après le succès de Berlin pour les Catalans, trois ans après la déconvenue d'Istanbul pour les Italiens.À lire aussiLigue des champions: Inter-Barça, un match retour indécis après un aller de haut volPSG/ArsenalMalgré le court succès à Londres, les Parisiens devront maintenir la pression pour empêcher les Gunners de revenir. Les deux formations ont perdu en championnat. Des critiques ont pointé du doigt le turn-over important de Luis Enrique à Strasbourg, qui fausserait la fin de saison. Mikel Arteta a aligné son 11 type face à Bournemouth pour entretenir la dynamique sportive, mais les Canonniers se sont inclinés. Les coéquipiers d'Hakimi (en lice pour le prix Marc-Vivien Foé), face à des Rouge et Blanc revanchards, qui récupèrent Thomas Partey gestionnaire du milieu de terrain.À lire aussiLigue des champions: Arsenal compte sur le retour de Thomas Partey face au PSGBundesligaLes Roten reprennent leur bien ! 34e titre de champion pour les Rekordmeister, fin de la parenthèse Leverkusen. Le prince Harry enfin titré ! Premier trophée pour Kane à 31 ans. En deux saisons, l'international anglais a déjà inscrit 80 buts en 89 matches avec les Bavarois. Pari réussi pour Vincent Kompany, le Belge peut-il s'inscrire dans la durée ? Course à l'Europe : derrière Leverkusen, la lutte pour la C1 fait rage, notamment entre Fribourg, Dortmund et Leipzig, à deux journées de la fin.Avec Annie Gasnier : David Lortholary, Naïm Moniolle et Marc LibbraTechnique/réalisation Laurent Salerno – David Fintzel/Pierre Guérin
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Alors quʹelle disparaît des programmes scolaires français, la langue latine est désormais obligatoire pour la majorité des élèves en première année du Cycle dʹorientation dans les cantons de Genève ou de Fribourg. Des jeux vidéo et des séries sur le monde antique enthousiasment le public. Des passionné.es tentent de réactiver sa pratique orale. Des fidèles se pressent pour suivre la messe en latin. Pourquoi cet attachement à la langue de nos ancêtres? Que nous apporte sa connaissance? Est-elle réservée à quelques hurluberlus, des mordu.es, des pédant.es? Est-elle encore un signe de lʹappartenance à une élite lettrée? Une trace dʹidéologie réactionnaire? Ou au contraire le choix de celles et ceux qui se libèrent des injonctions utilitaires de notre époque? Entre enjeux religieux, culturels, politique, patrimoniaux et pédagogique… Vacarme latine loquitur! Les invités des Echos: Emilie Suter Déléguée cantonale aux langues anciennes – Vaud & Jean-Jacques Aubert Professeur ordinaire de philologie classique et histoire ancienne à lʹUniversité de Neuchâtel, émérite depuis août 2023.
durée : 02:02:11 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1965, l'émission "Analyse spectrale de l'Occident" rappelle les causes et les enjeux de la Guerre de Sécession. Des spécialistes en histoire, littérature, cinéma et musique comme René Rémond et Henri Agel analysent la place et l'influence dans la culture américaine de ce conflit fratricide. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : René Rémond Historien (1918-2007), spécialiste des droites en France; Henri Agel Ancien professeur de cinéma aux universités de Montpellier et de Fribourg
1) Zoologie : Tu es ce que tu manges! Lorsque le régime alimentaire de certains animaux leurs donnent des super pouvoir. Parmi les élus du jour : les fous à pieds bleus, les dendrobates, la punaise assassine et lʹelysie Emeraude 2) Insectes 3/3: les émotions des insectes Un insecte est-il doué d'intelligence? Et si oui comment se manifeste-t-elle? Aurait-il également des émotions, une conscience? Autant de questions auxquelles répond l'éthologue Mathieu Lihoreau dans son dernier livre paru aux éditions Tana "La planète des insectes". 3) Mieux mesurer la sensibilité des organes génitaux féminins pour mieux en soigner les mutilations Jasmine Abdulcadir reçoit le prix Leenards 2025 pour un dispositif mesurant la sensibilité génitale, crucial pour les femmes victimes de mutilations génitales. Ce prix valorise la recherche sur cette problématique mondiale touchant 230 millions de femmes. L'outil permet une évaluation intime et non invasive. 4) Réduire la consommation des médicaments en EMS Comment déprescrire des médicaments auprès des résident.es en EMS? L'opération est complexe. Dans le canton de Vaud et de Fribourg, des interventions conjointes avec pharmaciens, infirmiers et médecins visent à retirer ou diminuer les traitements inappropriés afin d'améliorer la qualité de vie des personnes.
A lʹoccasion du centenaire de la naissance de Jean Tinguely, Monumental sʹintéresse au Cyclop, une construction de plus de 20 mètres de haut qui est devenue un monument de lʹhistoire de lʹart. Pour en parler, Johanne Dussez sʹentretient avec Caroline Schuster Cordone, vice-directrice du Musée dʹart et dʹhistoire de Fribourg et de lʹespace Jean Tinguely - Niki de Saint Phalle. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Carol Bailly est une figure de l'art brut romande, connue pour ses dessins saturés de couleurs de dames aux coiffures excentriques. Pierre Aebischer a usé ses stylos pendant 25 ans pour une œuvre monumentale, avant de travailler sur ses dessins hypnagogiques en noir-blanc. Les deux artistes vivent dans le canton de Fribourg et ouvrent les portes de leurs univers de création respectifs. Reportages d'Arditë Shabani Réalisation : Sandro Lisci Production : Laurence Difélix
Freya, jeune femme de 29 ans établie à Fribourg, est membre de la communauté furry: des centaines de milliers de personnes à travers le monde réunies autour d'une passion – les animaux anthropomorphes. Du «fan art» aux costumes, des conventions au fétiche sexuel, Freya nous ouvre les portes de cet univers, loin des clichés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invitée: Alix Heiniger. La prison est dʹabord vue comme une manière de punir et de soustraire de la société une personne jugée dangereuse. Mais il nʹen a pas toujours été ainsi. La prison telle que nous lʹa connaissons aujourdʹhui est née avec la modernité. Son rôle a changé avec le temps. Comment lʹenferment a-t-il évolué en Suisse? Pourquoi la plupart des détenus travaillent-ils en prison? Pourquoi le nombre de prisonnières a-t-il drastiquement chuté au début du 20e siècle dans notre pays? Tribu reçoit Alix Heiniger, professeur assistante au Département dʹhistoire contemporaine de lʹUniversité de Fribourg, autrice de plusieurs articles sur les prisons suisses.
Invitée: Fiona Friedli. Le droit de la famille a évolué en Suisse ces dernières décennies. Comment cela a-t-il influé sur le divorce? Est-ce que le divorce dʹaujourdʹhui est différent de celui dʹhier? Le divorce à lʹamiable est-il plus égalitaire? Tribu reçoit Fiona Friedli, professeure à la Haute école de travail social et de la santé de Lausanne (HES-SO). Elle participe avec Anne-Françoise Praz, Aurore Müler (UNIFR) et Marta Roca i Escoda (UNIL) à une recherche FNS sur les pratiques judiciaires et les inégalités sociales et de genre dans les divorces des cantons de Vaud et Fribourg entre 1960 et 2020.
What is the note you are being called to add to the great universal orchestra? Today Richard helps us unpack Chapter 12 of Eager to Love, "John Duns Scotus: Anything but a Dunce". Mike and Paul are then joined by Sr Mary Beth Ingham, who shares her journey of understanding Scotus. Ingham addresses the title of her book Scotus for Dunces: An Introduction to the Subtle Doctor, explaining its playful yet meaningful approach to making Scotus's complex ideas accessible. The three discuss the importance of individuality within the context of community, the Univocity of being as a bridge between human experience and divine understanding, and the significance of recognizing the dignity of each person's experience. The conversation culminates in a reflection on the mysticism of Scotus and why his teachings matter for us today. Sr. Mary Beth Ingham, CSJ currently serves as Congregational Leader of the Sisters of St. Joseph of Orange, California. Mary Beth is Professor Emerita, LMU Philosophy Dept and formerly Professor of Philosophical Theology at the Franciscan School of Theology. She holds a doctorate in Medieval Philosophy from the University of Fribourg, Switzerland and has published widely on the thought of Franciscan Master Blessed John Duns Scotus. Her monographs include Scotus for Dunces: An Introduction to the Subtle Doctor (2003), Rejoicing in the Works of the Lord: Beauty in the Franciscan Tradition (2009), The Harmony of Goodness: Mutuality and Moral Living in John Duns Scotus (2012), and Understanding John Duns Scotus: Of Realty the Rarest-Veined Unraveller (2017). In her research, she argues that the spirituality of beauty, the via pulchritudinis, is at the heart of the Franciscan intellectual tradition. Hosted by CAC Staff: Paul Swanson, and Drew Jackson Resources: Grab a copy of Eager to Love here. The transcript for this episode can be found here. Learn more about Sr Mary Beth Ingham's books, here.