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Neste episódio falamos sobre as partes da casa e seus objetos!#vocabulariofrances #fle #flebrasil #viagem #frances #franca
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Tout l'été, le Labo des Savoirs remonte le temps à l'écoute de 15 ans d'émissions de vulgarisation scientifique ! C'est le moment de dépoussiérer les chroniques de nos bénévoles, anciens et actuels, depuis la création de l'association jusqu'à aujourd'hui ! Aujourd'hui, une chronique d'Marion Tournemine tirée de l'émission De l'électroménagers au smartphone : comment les machines impactent notre qualité de vie ?, diffusée le 5 octobre 2016. Tropi'chroniques est un format créé et réalisé par Cécile Bergua, Pierre Martin et Sophie Podevin.
Et si la plus belle des rencontres était celle avec soi même?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Yves CARRA, Porte-parole de Mobilité Club France répond à toutes les questions de mobilité sur LYON 1ère. RDV chaque mardi à 7h50 et samedi à 10h50. Devenez un véritable expert de la mobilité avec LYON 1ère!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suite et fin de notre série consacrée aux objets de pouvoir du continent. Le dernier épisode ce matin nous emmène au Ghana, premier pays d'Afrique subsaharienne à avoir déclaré son indépendance, en 1957. À sa tête à l'époque : le premier président Kwame Nkrumah, figure du panafricanisme. Il s'est servi du Kente, le pagne traditionnel ghanéen, afin d'envoyer au monde entier un message d'unité, d'indépendance et de liberté du continent africain. De notre correspondant à Accra, Sur le cliché en noir et blanc disposé dans la bibliothèque de Samia Nkrumah, deux hommes sourient à l'objectif : son père, Osagyefo Kwame Nkrumah, premier président du Ghana, et Ahmed Sékou Touré, son ami et homologue guinéen. Quand ce dernier arbore sur la photo veste de costume, chemise et cravate, Kwame Nkrumah, lui, porte le Kente, un des pagnes tissés traditionnel ghanéen. Pour Samia Nkrumah, le Kente porté par son père revêtait aussi une signification éminemment politique, à destination de ses homologues occidentaux. Un message anticolonialiste, assumé à même le corps par le biais du pagne tissé que Kwame Nkrumah portait lors de ses déplacements internationaux. « C'est parce qu'il pensait qu'il n'y avait rien de plus important que de se montrer avec. Cela dit au monde qui nous sommes, notre style, nos systèmes de connaissances autochtones, notre terre, détaille la fille du premier président ghanéen. C'était naturel pour nous de porter le Kente lors de certaines occasions. Mais le porter en dehors du Ghana, dans ces arènes internationales, c'était presque révolutionnaire, radical. Ainsi, il prenait position : l'Afrique indépendante est en train de se soulever, et que nous souhaitons faire des partenariats sur un pied d'égalité, à armes égales. » À lire aussiKwame Nkrumah: le vrai panafricanisme se vit Porté au Ghana depuis au moins quatre siècles, le Kente est un tissu chargé de sens. Alors, pour sa première venue au siège des Nations unies en 1960, Kwame Nkrumah a décidé d'emmener avec lui un Kente nommé « Tikro Nnko Adjina », que l'on peut traduire par « deux cerveaux valent toujours mieux qu'un seul ». Un pagne bleu aux motifs dorés, rouges et verts, dont la confection a été confié au maître tisserand Andrew Asare. Une fierté racontée aujourd'hui par son fils, Kwasi Asare : « Le Kente est un habit si puissant. Celui qu'Osagyefo Kwame Nkrumah a présenté portait ce message : l'indépendance du Ghana ne signifie rien sans l'indépendance de tout le continent africain, d'où cette signification "deux têtes valent mieux qu'une". D'une certaine manière, il cherchait également à dire que par l'ONU, tous les États doivent s'unir pour ne faire plus qu'un. » Un message sous forme de Kente, qui est resté exposé pendant plusieurs décennies dans le hall du siège de l'ONU, aux yeux du monde entier. À lire aussiGhana: l'héritage politique de Kwame Nkrumah source de débat au Parlement
Un chasse-mouches en queue de lion devenu l'un des symboles les plus marquants du pouvoir de Kamuzu Banda. Médecin formé en Occident, le père de l'indépendance du Malawi cultivait pourtant l'image d'un chef profondément enraciné dans les traditions locales. Un nationaliste culturel assumé, qui n'apparaissait jamais sans cet accessoire singulier - à la fois outil cérémoniel, signe d'autorité et instrument de mise en scène politique. Il le brandissait partout. Lors des cérémonies officielles, des rassemblements politiques, ou même à sa descente d'avion… Le fouet à queue de lion ne quittait jamais Hastings Kamuzu Banda. À l'image de son costume trois-pièces à l'anglaise ou de son chapeau homburg, porté à la manière d'un Winston Churchill, cet accessoire faisait partie intégrante de sa silhouette présidentielle. Le chercheur Chikondi Chidzanja de l'université de Stellenbosch s'en souvient : « Lorsqu'il se rendait au palais, il était dans une voiture décapotable et agitait son fouet à queue de lion. Pour nous, enfants des écoles, c'était un moment d'excitation. On répétait : “Aujourd'hui, on va voir Kamuzu Banda !” » Mais ce n'était pas un geste improvisé, souligne l'historien John Lwanda : « La main droite partait vers la gauche, puis vers le haut, puis vers la droite… Ce n'était pas un geste lancé au hasard, comme tu ferais lors d'un match de foot ». Le fouet servait aussi à projeter l'image d'un libérateur, explique Chrispin Mphande, enseignant à l'université de Mzuzu : « On l'appelait le Lion du Malawi. Certains allaient jusqu'à le voir comme un Messie, surtout après sa nomination à vie dans les années 1970. Le fouet symbolisait ce pouvoir : celui de l'homme qui a vaincu le colon et libéré le pays ». À lire aussiOù en est le Malawi 60 ans après son indépendance? Un symbole de pouvoir, mais aussi d'identité. Formé aux États-Unis et au Royaume-Uni, Kamuzu Banda voulait paraître comme un dirigeant enraciné dans les traditions africaines. Chikondi Chidzanja : « Kamuzu, il avait étudié en Occident, mais pour ne pas être perçu comme un étranger, il devait aussi incarner l'Africain. Alors le fouet est devenu le symbole de cet ancrage culturel ». Dès 1962, l'objet apparaît dans ses mains. Il lui aurait été offert par un autre père de l'indépendance, le Kényan Jomo Kenyatta. Mais sous le régime à parti unique de Kamuzu Banda, nul n'était autorisé à le porter, sauf lui. John Lwanda : « On ne pouvait pas se promener avec un fouet en disant qu'on était guérisseur. On se faisait arrêter ». Aujourd'hui encore, l'objet fascine. Il en aurait existé plusieurs : en poils de buffle, de lion ou de cheval... Mais la dernière version est bien connue, affirme l'historien John Lwanda : « Le dernier fouet était une vraie queue de lion, avec un manche en ivoire ». Cette version a été confiée à l'université de médecine qu'il a fondée, la Kamuzu University of Health Sciences. Elle est encore utilisée lors des remises de diplômes. Un enseignant la passe au-dessus des têtes des jeunes médecins, comme pour balayer l'ignorance, et consacrer leur entrée dans le savoir. Une manière de prolonger, dans le rituel universitaire, la portée symbolique d'un objet devenu emblème du pouvoir.
Aujourd'hui, intéressons-nous au bonnet d'Amilcar Cabral. Le dirigeant indépendantiste, originaire du Cap-Vert, qui a mené la lutte pour l'indépendance dans le maquis de la Guinée-Bissau, est connu pour cette coiffe qu'il portait très souvent. Ce qui est moins connu, c'est que ce bonnet portait un message essentiel pour la lutte du Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), et qu'il a servi à abriter des protections magiques. C'est devenu une image iconique. Le célèbre indépendantiste Bissau-Guinéen Amilcar Cabral coiffé de son bonnet « Suwiya » aux motifs caractéristiques. Ce bonnet, selon la tradition du mouvement indépendantiste de Cabral, le PAIGC, lui a été remis par Toumani Seidi, un paysan de Morès, dans le nord de la Guinée-Bissau. Le chef indépendantiste l'a alors adopté pour ressembler à un mandingue de la région de Oio. Avec un objectif bien précis : faire oublier ses origines capverdiennes, rallier à lui les populations rurales... Comme le raconte le fils de Toumani Seidi, Keba Seidi : « Cabral fut obligé de porter le bonnet, car à cette époque de la mobilisation pour la lutte armée, les gens étaient très réticents. Ils considéraient Cabral comme un Portugais. Et mon père, Toumani Seidi, avait peu d'arguments pour convaincre sa communauté. Il a donc trouvé une astuce : habiller Cabral comme un mandingue, en lui faisant porter un bonnet. C'est d'ailleurs son propre bonnet qu'il a remis à Cabral. "Pour convaincre ma communauté, lui a-t-il dit, je te ferai porter ce bonnet de laine". Ainsi, tu seras vu comme un pur Guinéen, car on n'a jamais vu un Blanc porter un bonnet, encore moins un capverdien, pendant 500 ans de présence coloniale. Qui dirait que Cabral n'est pas un pur Guinéen en voyant un bonnet solidement vissé sur sa tête ? » À écouter aussiAmilcar Cabral et Maria Helena, de l'intime au politique Le bonnet est également devenu au fil de la lutte le réceptacle de protections mystiques. Mario Sissoco, historien et responsable des archives du PAIGC : « À l'issue de la majorité, il avait introduit un petit grigri dans le bonnet. C'est le bonnet, avec ce contenu, qui le préservait de toute trahison, de tout complot, des balles de l'ennemi. Il était invulnérable ». Mario Sissoco rappelle que le soir de son assassinat, le 20 janvier 1973 à Conakry, Amilcar Cabral était allé à une réception diplomatique et ne portait donc pas le bonnet. Y a-t-il par ailleurs un lien entre la coiffe de Cabral et le soutien que la République Tchèque apportait à l'époque à la lutte du PAIGC ? Deux faits sont troublants. Un bonnet traditionnel tchécoslovaque qui porte le nom de Smiovka ressemble fort à celui de Cabral… Par ailleurs, la documentariste Violette Deffontaines, qui enquête sur cette histoire, a retrouvé des archives mentionnant l'envoi par Prague de bonnets aux maquis du PAIGC. VidéoQue reste-t-il de l'héritage de Amílcar Cabral ? ► Webdocumentaire : des documents exceptionnels sur le leader anticolonial Amilcar Cabral
Notre série sur les objets du pouvoir fait escale aujourd'hui en Éthiopie. Durant plusieurs siècles, un objet a accompagné systématiquement les souverains du pays alors en déplacement avec les membres de la Cour : l'ombrelle. En quoi cet objet, qui sert d'abord à se protéger du soleil, est-il plus politique qu'il n'y paraît ? Alula Pankhurst sélectionne deux ouvrages de sa bibliothèque personnelle. En feuilletant les pages du premier livre, l'historien tombe sur une photo de l'empereur Ménélik II. Le souverain, qui a régné sur l'Éthiopie de 1889 à 1913, se déplace à dos de mule, entouré de sa cour, et est protégé du soleil par une ombrelle, qu'un de ses sujets tient pour lui. Alula Pankhurst explique comment cet objet a permis aux souverains éthiopiens d'asseoir leur pouvoir : « L'ombrelle fait partie de tous les objets sacrés. Tous ces objets sont une façon pour la royauté d'exprimer leur pouvoir non seulement dans le contexte national, mais aussi lorsqu'il y a des ambassadeurs qui viennent de l'étranger, des voyageurs. Donc, ils les reçoivent dans le contexte où le fait qu'ils soient souvent à l'extérieur et au soleil, avec des ombrelles, tandis que les personnes qui viennent ne le sont pas, déjà ça créé une certaine relation de pouvoir. » Ahmed Hassen Omer, historien lui aussi, confirme, photo de Ménélik II à la main : l'ombrelle est un attribut royal qui distingue l'empereur de ses sujets : « Il n'y a pas de Cour royale en Éthiopie sans grand parapluie. Même s'il n'y a pas de soleil, on regarde le roi ou l'empereur avec son parapluie. S'il y a des cérémonies locales, c'est toujours le symbole du pouvoir. Lui, il est au milieu avec son grand parapluie. » Ahmed Hassen Omer fait aussi remarquer que la symbolique de l'ombrelle se retrouve dans l'iconographie de l'Église orthodoxe d'Éthiopie : « L'Église et le roi s'organisent pour diriger le pays. Donc, parapluie pour l'Église, parapluie pour le roi. » Dans sa bibliothèque, Alula Pankhurst confirme : « Les prêtres ont toujours des ombrelles, surtout lorsqu'ils sortent pour des processions. Et évidemment, c'est quelque chose qui démontre la différence entre eux et le reste non seulement du peuple, mais des nobles. » Haïlé Sélassié est le dernier à avoir utilisé l'ombrelle, jusqu'à sa chute en 1974.
À Dakar, la voiture présidentielle de Léopold Sédar Senghor est exposée dans un état impeccable, plus de 40 ans après la fin de son mandat. Symbole de pouvoir, de prestige et de protocole, cette Mercedes noire raconte, à sa manière, un pan de l'histoire politique du Sénégal. Dans la cour du musée des Forces armées, à Dakar, une Mercedes noire, encore rutilante, repose à l'ombre. C'est l'ancienne voiture officielle de Léopold Sédar Senghor. Tout y est encore fonctionnel. Monique Diouma Ndour est guide au musée. « Chaque matin, le chef de garage fait le tour, il nettoie, il vérifie que tout marche bien. » Les guides la connaissent par cœur. Parmi les trois véhicules d'anciens présidents exposés ici, c'est celle qui attire le plus de visiteurs : « Je peux regarder à l'intérieur ? On l'appelait la voiture aux rideaux rouges. » À l'intérieur, rien n'a bougé depuis le départ du premier président sénégalais en 1980 : velours rouge, boiseries cirées, petit téléviseur Panasonic, et une vitre rétractable pour séparer le chauffeur des passagers. Une vraie limousine d'apparat : « Le toit ouvrant, pour haranguer les foules. » Pour Senghor, ce choix d'un véhicule luxueux n'était pas anodin. Une grosse berline européenne, symbole de modernité et de puissance à l'époque. Abdou Ndong, également guide au musée : « C'était un véhicule de luxe. À l'époque, tout le monde n'avait pas ça. Mercedes, c'était une marque prestigieuse, une industrie de pointe. » Pourtant, selon les proches du président-poète, ce passionné de vélo était plutôt détaché des possessions matérielles. Pas vraiment amateur de voitures. Mais sur le terrain, cette Mercedes impressionnait. Jean-Pierre Langellier, journaliste et biographe de Senghor, se souvient d'une scène de campagne électorale en 1978, la première campagne multipartite du pays : « Je me souviens de Wade qui faisait campagne sous un arbre… Et puis Senghor arrive avec son cortège… c'était impressionnant. » Senghor avait opté pour une version semi-blindée, contrairement à ses successeurs dont Abdoulaye Wade qui choisiront des véhicules entièrement blindés en phase avec les exigences sécuritaires de l'époque. Aujourd'hui, les voitures de Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade sont exposées au musée, offertes en 2012 par Macky Sall.
Notre série sur les objets de pouvoir s'intéresse dans cet épisode à la soutane de l'abbé Fulbert Youlou, le premier président du Congo-Brazzaville indépendant. Homme d'Église, mis à l'écart par le Vatican pour son engagement politique et ses mœurs, il continuera cependant à porter la tenue religieuse. Suivant un calcul très politique. Fulbert Youlou a revêtu la soutane, parce qu'il a effectivement été prêtre. Mais l'usage qu'il en a fait ensuite, après avoir été interdit de célébrer la messe, est devenu éminemment politique. Au moment de son entrée en politique, au milieu des années cinquante, la soutane devient un vêtement de prestige, mais aussi, comme l'explique l'historien Jean-Pierre Bat, une façon de capter à son profit le vote de populations marquées par les mouvements messianiques et le souvenir des résistants à la colonisation. « Il va essayer de cristalliser sur sa soutane tout le capital magico-religieux. Il va donc lancer toute une campagne "Kiyunga-la Soutane". Il va y avoir, à l'initiative d'un de ses conseillers, M. Vincent, qui est un spécialiste de l'anti-communisme, une campagne photographique mettant en scène Fulbert Youlou. Il est en permanence revêtu de sa soutane noire, qui fait le lien entre tous ces espaces politiques », explique-t-il. À lire aussi1. Spéciale Archives d'Afrique - Fulbert Youlou (1/10) Des légendes miraculeuses se diffusent alors. L'une d'elles, selon l'historien congolais Joachim E. Goma-Thethet, a pour décor les chutes de la Loufoulakari, où le résistant kongo Boueta Mbongo avait été décapité par les colons : « La légende dit que l'abbé Fulbert Youlou, après s'être recueilli là, entre dans la Loufoulakari avec sa soutane et il en ressort complètement sec. Donc l'abbé Fulbert Youlou établit une filiation avec les anciens résistants anticoloniaux de la région du Pool ». Ce sont en fait de véritables pouvoirs magiques qui sont prêtés à cette soutane, comme le raconte le documentariste Hassim Tall Boukambou : « Le président Fulbert Youlou était censé tourner à l'intérieur du pays, emprunter le chemin de fer Congo-Océan, et pris par le temps, il n'a pas pu s'arrêter dans toutes les gares. Les populations de ces gares riveraines étaient persuadées que le train de Fulbert Youlou s'était envolé, tout simplement, avait survolé ces gares, et certaines personnes affirmaient à l'époque que le train avait été vu dans le ciel. Et tout cela grâce aux pouvoirs de Fulbert Youlou, incarnés notamment par sa soutane ». À lire aussiAu Congo avec Hassim Tall Boukambou, chasseur d'archives La signification politique que Fulbert Youlou attribue à sa soutane est d'ailleurs très fluide. En novembre 1961, au palais de l'Élysée, il la décrit plutôt comme un symbole de son attachement à la culture française : « Le costume civil que portaient avant moi MM. les présidents Diori et Maga, la soutane que je porte aujourd'hui, sont en eux-mêmes, je le crois, une déclaration d'appartenance à la civilisation française ». L'évolution des soutanes de Youlou symbolise en tout cas la transformation de son pouvoir. Arrivé au sommet de l'État, il revêt une soutane blanche à l'image de celle du pape, qui créera quelques embarras protocolaires. À la recherche de luxe, enfin, il se fait confectionner des soutanes de couleur chez le grand couturier Dior, des soutanes qui deviendront le symbole de la dérive de son régime.
En quoi la terre d'Israël est-elle très différente des autres pays ? En quoi a-t-elle un pouvoir très fort, mais aussi très dangereux ? Réponse à travers plusieurs exemples.
En République démocratique du Congo, il faut remonter le temps jusqu'au 24 novembre 1965, date à laquelle Mobutu a pris le pouvoir. Mobutu, c'était la toque léopard, l'abacost – célèbre costume congolais – mais aussi la canne. Pour le maréchal, c'était à la fois un signe d'autorité et un objet pour valoriser la culture traditionnelle du pays. Dans les rues de Kinshasa, Mobutu reste l'homme à la toque de léopard et à la canne. Sculptée en bois ou en ivoire, la canne incarnait son autorité. André-Alain Atundu Liongo, dernier chef des renseignements sous Mobutu, se souvient : « Je crois qu'en revenant de cette tournée, où je lui étais présenté pour la première fois, dans l'avion, il était détendu. Il a enlevé son costume. Mais dès qu'on a atterri, il a mis son costume, sa toque et sa canne. C'était un autre homme. Il ne blaguait plus. Il revêtait et incarnait l'autorité. La canne c'est l'autorité et la sagesse ». Pour ce proche collaborateur de Mobutu, la canne était plus qu'un objet d'apparat. « Lorsqu'il était debout, qu'il nous attendait avec impatience, il toquait sa canne. Lorsque la canne était sur la table, il était mécontent. Ça servait aussi à indiquer ses états d'âme ». À lire aussiRDC: Mobutu, grandeur et décadence du «roi du Zaïre» Au Congo, la canne incarne le pouvoir coutumier et mystique. Elle est taillée d'un seul bloc de bois. « Les traditions dans la chefferie... Il y a un arbre précis que l'on détermine. Ça n'est pas n'importe quel arbre. Il détient une force naturellement, explique Jean-Paul Kwungusugu, chef coutumier dans la province du Haut-Lomami. Les gens, quand ils voient le président de la République, on lui remet tout ça par les chefs coutumiers. Attention, le président de la République n'est pas simplement présent par la constitution, les ancêtres sont avec lui. D'ailleurs, c'est ce qui a favorisé les dictatures ». La canne a fait de Mobutu le roi du Zaïre pendant plus de 30 ans, mais elle a aussi servi à faire valoir une culture congolaise au lendemain des indépendances. « Au retour, il se comportait non seulement comme un chef d'État moderne, mais comme un chef traditionnel, indique Placide Mumbembele, professeur de politique mémorielle. Cela s'est davantage consolidé avec sa politique de recours à l'authenticité, afin de pouvoir, comme il le disait lui-même : être soi-même, c'est-à-dire être Zaïre Roi, avec toutes ses traditions ». Mobutu possédait une trentaine de cannes, selon ses proches. Elles sont toutes conservées au Maroc, chez celle que les Congolais appellent maman Bobi, la veuve du maréchal. À lire aussiRDC: comment le président Mobutu a récupéré l'image du héros national assassiné Patrice Lumumba [3/3]
Cet été, RFI vous emmène à la découverte des objets de pouvoir, des objets qui sont devenus des symboles de l'autorité de certains hommes d'État ou d'acteurs politiques du continent. Dans cet épisode, nous allons au Kenya pour parler du chasse-mouche, qu'avait adopté Jomo Kenyatta. Il est devenu le premier président du pays le 12 décembre 1964, un an après l'indépendance, et l'est resté jusqu'à sa mort, le 22 août 1978. Les images d'archives le montrent brandissant son chasse-mouche, un accessoire fait à partir d'une queue de vache qui fait sens pour sa communauté, les Kikuyus, mais qui l'aide aussi à affirmer sa position de chef d'État. De notre correspondante à Nairobi, Mai 1963, élections générales au Kenya. Jomo Kenyatta est alors le leader de KANU, le parti en tête. Il est photographié jubilant, brandissant son chasse-mouche. « Kenyatta était toujours avec son chasse-mouche, raconte Anaïs Angelo, historienne à l'académie des sciences de l'Autriche, et autrice d'un livre sur l'arrivée au pouvoir et la présidence de Jomo Kenyatta. C'est un objet qu'il apportait avec lui partout où il allait et que l'on retrouve aussi sur toutes les représentations de Kenyatta que ce soit des photos, des statues... Ça fait partie de son personnage politique ». Cet objet, selon cette historienne, a permis à l'ancien président de renforcer son image d'homme proche du peuple : « Dans sa manière de gouverner, il a un rapport très personnel. Ce n'est pas quelqu'un qui investit énormément par exemple dans les médias. Par contre, il va dans des cérémonies collectives, locales... il visite souvent les gens. Et je pense qu'il faut prendre le chasse-mouche comme quelque chose que tout le monde a, qui est quelque part assez banal, assez traditionnel, mais qui est crédible ». À lire aussiJomo Kenyatta, défenseur des droits des Kikuyu (1&2) Dans la culture kikuyu, dont est originaire Jomo Kenyatta, le chasse-mouche permet d'éloigner les insectes, mais il est aussi utilisé pour saluer ou asperger de l'eau bénite lors de cérémonies. Ce sont les hommes qui s'en servent, les plus âgés de la communauté. C'est aussi cet ancrage culturel qu'a voulu montrer Kenyatta, affirme James Nene, secrétaire général du Conseil des anciens Kikuyus : « Traditionnellement, le chasse-mouche permet d'établir un statut d'ancien au sein de la communauté. Aucun ancien ne sortait sans son chasse-mouche. Jomo Kenyatta respectait et suivait la culture kikuyu. Il utilisait donc le chasse-mouche comme un moyen d'identification, à sa culture et à son statut. Cela complétait son image d'ancien et d'homme d'État ». Une image qu'il a soigneusement construite dès 1938, quand il choisit de s'appeler Jomo Kenyatta. « Jomo Kenyatta a inventé son personnage, il a inventé son nom, remarque Anaïs Angelo. C'était quelqu'un qui n'était pas nécessairement prédit pour faire de la politique. C'était un jeune, dans une société kikuyu qui respecte la séniorité. Pour affirmer son autorité politique, il s'est créé un personnage de sage, d'ancien ». En plus du chasse-mouche, il adopte également un chapeau traditionnel Luo, une des plus importantes communautés au Kenya. Et celle dont est originaire celui qui deviendra son rival, Oginga Odinga. À lire aussiKenyatta vs Odinga: début et fin d'une guerre dynastique au Kenya
Notre série de reportages sur les objets de pouvoir en Afrique se poursuit. En Guinée, le premier président du pays, Ahmed Sékou Touré, se distinguait par un objet qui semble anodin : un mouchoir blanc, qu'il agitait devant les foules. Retour sur cet accessoire essentiel, dont la signification est débattue jusqu'à aujourd'hui. De correspondant à Conakry, L'image a marqué la mémoire des Guinéens. Sékou Touré en boubou agite son mouchoir blanc devant la foule lors d'un discours, ou à travers la vitre de sa Cadillac. Cette pratique n'est venue qu'après l'indépendance du pays, se souvient Madifing Diané, qui fut directeur des services de sécurité du premier président de la Guinée : « Il a vu dans sa maturité que le blanc est symbole non seulement de la pureté de l'âme, il est le symbole de la vérité. Le blanc, c'est aussi le symbole de la conviction sur ce qu'on entreprend. Des mouchoirs blancs, il en avait des dizaines. Chaque fois qu'il sortait, on pouvait en mettre deux ou trois avec lui. » Madifing Diané a lui-même conservé quelques-uns de ces mouchoirs. Il insiste pour dire que Sékou Touré était un pieu musulman, ce mouchoir ne serait donc pas un symbole mystique. Avant de choisir l'exil pour fuir la dictature, Boubacar Baldé a vu Sékou Touré agiter son mouchoir blanc. Pour lui, c'était avant tout un moyen de rallier les foules : « C'était un instrument d'hypnotisation des foules. Parce que Sékou Touré aimait être aimé, il adorait ça. Ça participait à sa séduction. Les foules pensaient même qu'il y avait de la magie dans ça. Ça faisait partie de ses outils de communication. » « Ce mouchoir incarnait une fonction mystique » Dans une ambiance de complot permanent où les dirigeants se sentaient menacés par des puissances étrangères, ce mouchoir avait aussi une fonction de protection, estime l'historien Mamady Bamba : « Ce mouchoir blanc incarnait une fonction mystique. Une fonction mystique parce que, pour le sens commun en Guinée, Sékou Touré n'était pas un homme ordinaire. Pour nous, ce mouchoir avait un caractère de protection de l'homme. Protection non seulement contre les forces maléfiques. Donc, il faut être protégé contre ces esprits, à travers les hommes peuvent s'infiltrer par des pouvoirs mystiques. » Ce symbole du mouchoir blanc a réapparu dernièrement. Le général Mamadi Doumbouya l'a brandi à plusieurs reprises, dans l'objectif clair d'établir une filiation avec le président de la première République.
Cet épisode du podcast Familimaliste explore la relation entre le minimalisme, le confort et la manière dont nous vivons nos vacances. Je partage avec vous mes réflexions sur la façon dont nous pouvons vivre avec moins d'objets tout en trouvant du bonheur et de l'épanouissement. J'aborde également l'idée d'échanger le confort matériel contre un confort immatériel, en se concentrant sur le temps passé avec nos proches et sur ce qui est vraiment essentiel dans nos vies.Le transcript de l'épisodeToutes les informations sur mon programme d'accompagnement au tri (www.faminimaliste.com/accompagnement)Toutes mes ressources gratuites en un clic⬇️Recevoir ma liste de tri pièce par pièce⬇️Recevoir ma liste de 20 défis minimalistes⬇️Recevoirles 5 étapes clés pour se lancer dans le tri00:00Introduction au Minimalisme Familial01:05Réflexion sur le Confort et les Objets en Vacances03:12Équilibre entre Minimalisme Matériel et Immatériel05:06Construire une Vie Épanouissante au QuotidienSoutenir le podcast en faisant un don (https://ko-fi.com/faminimaliste) Pour rester en contact avec moi et me poser toutes vos questions L'instagram @faminimaliste (https://instagram.com/faminimaliste)
Cet ouvrage de synthèse, efficace dans la méthode et convaincant dans la démonstration, fait état d'un « tournant matériel » (material turn) qui s'est produit dans les années 1980-1990 presque simultanément en Europe et aux États-Unis en tenant compte de la prise permanente qu'exercent les humains sur le monde matériel et réciproquement.Il a popularisé l'expression de culture matérielle. Sous les effets croisés des questions féministes, écologiques et technologiques, il a rebondi vers les années 2010 en développant de nouvelles thématiques. Céline Rossellin-Bareille et Jean-Pierre Warnier – anthropologues – ont activement participé à ce mouvement au sein du groupe de recherche « Matière à Penser » (MàP).Leur approche consiste à conjoindre le corps, les objets et les environnements que de nombreux chercheurs dissocient trop souvent les uns des autres. Notre prise sur la culture matérielle se fait par des conduites qui impliquent inséparablement sensori-motricité, cognition et affects aux puissants effets de subjectivation.Cet ouvrage, à jour de l'abondante littérature internationale disponible tout en s'en démarquant, prend le relai d'une publication de 1999 (Construire la culture matérielle) et renouvelle les résultats de plus de 30 années de réflexion.Céline Rosselin-Bareille est professeure à l'Université Picardie Jules Verne et membre de l'UR 4287 Habiter le Monde. Avec Marie-Pierre Julien, elle a publié : La Culture Matérielle, Paris, La Découverte, coll. Repères, 2005 ; Le sujet contre les objets… tout contre. Ethnographies de cultures matérielles, Paris, CTHS, 2009.Jean-Pierre Warnier (Ph.D., Univ. of Penn, Docteur ès Lettres) a mené l'essentiel de ses recherches en Afrique où il a été sensibilisé aux cultures matérielles et sensori-motrices en tant que microtechnologies du pouvoir. Dernières publications : Régner au Cameroun. Le Roi-Pot, Paris, CERI-Karthala, 2009 ; et Dix ans de bonheur. Un couple bourgeois à l'Age des extrêmes, Paris, CERI-Karthala, 2023.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
RFI vous propose de découvrir dix objets de pouvoir qui ont marqué l'histoire du continent africain. Des objets employés par les acteurs politiques pour asseoir leur légitimité et leur autorité. En Centrafrique, le 4 décembre 1977, le président Jean-Bedel Bokassa se couronnait empereur dans le Palais du Couronnement, lieu spécialement construit pour la circonstance. Lors de ce couronnement, un objet précieux a capté tous les regards : le trône. Un objet massif d'environ deux tonnes, fabriqué par le Français Olivier Brice. Il a coûté près de 2,5 millions de dollars, soit 1,5 milliard de francs CFA. Ce trône, lubie du président-empereur, représentait un objet de pouvoir, destiné à frapper les esprits, en Centrafrique et au-delà des frontières. Un groupe de jeunes jouent au basketball dans le Palais des Sports de Bangui, autrefois appelé le Palais du Couronnement. Ce gigantesque gymnase retrace l'histoire de l'empire centrafricain. On y voit non seulement le parquet, les gradins, la salle de presse, mais aussi cet impressionnant écran situé sur l'aile gauche. C'est ici que le trône de l'empereur Jean-Bedel Bokassa a été installé le 4 décembre 1977. L'historien Maurice Guimendego se souvient de ce qu'il a vécu à l'époque : « La forme ressemble à un aigle gigantesque qui déploie ses ailes. L'aigle que l'on voyait représentait un aigle royal, symbole de la force, symbole de la majesté. » L'image de ce trône imposant a marqué à l'époque les 5 000 invités venus des quatre coins du globe : « Dites-vous que vous avez en face un aigle qui déploie ses ailes sur quatre mètres d'envergure et trois mètres de hauteur et puis à l'intérieur, on a creusé une espèce de voûte, une place en structure métallique. Le trône dégage quelque chose d'impressionnant, capable de loger l'empereur dans toute sa majesté. » À lire ou à écouter aussiIl y a 40 ans, la chute de l'empereur Bokassa « Incroyable Bokassa » Direction le sous-sol du Palais des Sports. Après le couronnement, certains objets précieux dont le trône ont été entreposés ici. Les yeux brillants d'émotions, Gabriel, 75 ans, l'un des cuisiniers de l'empereur Bokassa, revoit la vidéo et les photos du trône sur sa tablette : « Ah Bokossa sur son trône, mais quelle splendeur ! J'aime cette image parce qu'on le voit debout pour dire son serment. L'image est très intéressante, car elle nous laisse découvrir l'intérieur du trône en velours rouge, dans le ventre de l'aigle. Incroyable Bokassa ! » Affalé dans un fauteuil en rotin sous sa véranda, Patrice Zemoniako joue de la guitare, en interprétant un morceau des années 1970. Âgé de 80 ans, cet ancien journaliste et maire de Bangui explique que Jean-Bedel Bokassa voulait imiter le trône et le sacre de Napoléon Ier, car il était fasciné par l'empereur français : « Il a conçu son trône et la cérémonie de cette manière pour être le Napoléon de l'Afrique centrale et celui de la République Centrafricaine. C'est comme ça que Bokassa a créé l'armée centrafricaine pour combattre ceux qui s'opposaient à son pays. La philosophie du développement économique, politique, social et culturel de Bokassa doit être un modèle pour nous aujourd'hui. » Après le renversement de Bokassa, en septembre 1979, le sous-sol du palais du couronnement a été vandalisé. Aujourd'hui, il ne reste du trône que l'armature qui est abandonnée sur un terrain vague.
Le 10 avril dernier, Agathe Hilairet, joggeuse de 28 ans, se volatilise dans la Vienne après être partie courir. Les battues organisées ne donneront rien. Il faudra attendre près d'un mois avant qu'un promeneur ne découvre son corps, dans des sous-bois, en-dehors de la zone de recherches. L'autopsie n'a pas permis de révéler les causes de la mort de la jeune femme. Mais après s'être intéressés à sa montre connectée, les enquêteurs peuvent désormais affirmer que la piste la plus probable est celle de l'intervention d'un tiers. Téléphone portable, montre connectée, systèmes embarqués... En quoi les objets connectés peuvent aider les enquêteurs? Comment la police et la gendarmerie les utilisent-elles pour résoudre des énigmes criminelles? Elisa Trannin et Elisa Fernandez, journaliste police-justice pour BFMTV.com, reçoivent François Daoust, ex-directeur de l'IRCGN et co-auteur de l'ouvrage "Police technique et scientifique, le choc du futur" aux éditions du Rocher.
Pourquoi les aimants attirent certains objets ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
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Les trous blancs sont des objets théoriques fascinants issus des équations de la relativité générale, considérés comme les opposés temporels des trous noirs. Régions de l'espace-temps d'où la matière et l'énergie s'échappent sans que rien ne puisse y entrer, ils incarnent des solutions mathématiques symétriques dans le temps. Potentiels produits finaux de l'évaporation des trous noirs via le rayonnement de Hawking, ils pourraient expliquer certains phénomènes cosmiques comme les sursauts gamma ultra-courts ou les sursauts radio rapides. Certains modèles de gravité quantique, comme la gravité quantique à boucles, prédisent même leur formation via un rebond de l'espace-temps, remettant en question la notion même de singularité. Hypothèses radicales : les trous blancs pourraient être liés à la matière noire, ou encore être à l'origine du Big Bang dans le cadre du scénario du Grand Rebond. Objets instables, imperméables, éjecteurs d'information, acteurs potentiels de la cosmologie quantique, leur existence réelle reste à prouver, mais ils obligent à repenser les lois fondamentales de la physique, la flèche du temps, l'origine de l'univers, et la nature de l'espace-temps lui-même.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Assurance RC et objets "vintage": quelle couverture? 2. Découverte archéologique: pas touche! 3. Guichet: le surendettement, comment prévenir et comment guérir?
Objets Média =>un levier stratégique trop souvent sous-estimé – avec Antony Villeger et Frédéric FougeratEt si l'objet publicitaire n'était pas un simple "goodie", mais un média à part entière, puissant et durable ?Dans cet épisode, Florian Grimault reçoit deux figures majeures de la communication : Antony Villeger, président de la 2FPCO (Fédération Française des Professionnels de la Communication par l'Objet), et Frédéric Fougerat, expert reconnu du métier.Ensemble, ils explorent la place stratégique de l'objet média dans le mix de communication :· Qu'est-ce qu'un objet média aujourd'hui ?· Pourquoi ce levier physique est-il un complément essentiel au digital ?· Comment conjuguer impact, utilité, responsabilité et mémorisation ?· Quelles sont les dernières tendances et innovations du secteur ?· Et pourquoi les marques devraient l'intégrer dès la conception de leur stratégie de communication ?Avec des exemples concrets, des chiffres, des réflexions inédites et une pédagogie accessible, cet épisode remet en lumière un outil de communication souvent négligé... à tort.Un contenu indispensable pour les directeurs marketing, communicants, agences et marques qui veulent marquer durablement les esprits.
durée : 00:02:59 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - La nouvelle console de Nintendo peut désormais être désactivée à distance si le fabricant détecte que vous essayez de la pirater. Mais que cela signifie-t-il en termes de propriété d'un objet donc vous avez fait l'achat ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Quer aprender francês de um jeito mais prático e conectado com a vida real?Neste episódio, eu falo sobre algo que quase ninguém ensina nas aulas tradicionais: como aprender vocabulário usando objetos do dia a dia. Trouxe exemplos reais da minha última viagem à França pra mostrar como expandir seu vocabulário com mais naturalidade e sentido.Você vai descobrir palavras e expressões que não aparecem nos livros nem nos apps, mas que fazem parte da vida cotidiana na França. Uma forma divertida e eficaz de acelerar seu aprendizado!
Tatiana, Dominic et Ingrid explorent la frontière floue entre technologie et liberté. Tatiana oscille entre fascination et angoisse face à sa montre intelligente, pendant qu’Ingrid aime être guidée pour sa santé. Dominic, lui, remet en question cette obsession du rendement dictée par des gadgets. Le trio s’interroge aussi sur l’attrait des tout inclus à Mont-Tremblant, sur les dérives de la positivité toxique au travail, sur l’écoute suspecte des téléphones, et sur le piège des achats impulsifs. Une discussion riche et nuancée sur nos comportements modernes, entre confort, contrôle et besoin urgent de reprendre le pouvoir sur nos choix. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
En quatre ans, le chiffre d'affaires des géants de la livraison explose. Il est passé de cent millions à six milliards de dollars. Et ce n'est qu'un début : il pourrait grimper jusqu'à quarante milliards d'ici à 2030. Mais derrière cette croissance fulgurante, des coulisses moins reluisantes du secteur : livreurs précaires, petits commerçants fragilisés. Ils filent à toute allure dans le chaos des routes encombrées de New Delhi. T-shirts rouges, oranges, assortis aux scooters. Dans leurs gros sacs : des fruits, un ordinateur, une robe… n'importe quoi peut être livré en moins de dix minutes. Naveen, lui, brave les 45 degrés sans s'arrêter. Il enchaîne les courses, infatigable. Une cinquantaine déjà, rien que cet après-midi. « C'est très difficile. Je n'ai pas vraiment de revenus. Les primes sont très faibles, par exemple 24 livraisons me rapportent seulement quatre ou dix euros. Ce n'est rien du tout. Si une meilleure opportunité se présente à l'avenir, je laisse tomber ce travail de livraison. Je veux trouver un emploi plus stable, moins fatigant. Parce qu'avec la chaleur, la pollution… c'est vraiment difficile ». Le succès des livraisons rapides a aussi ses revers. Les petits commerçants de rue, comme Navratan, qui tient un stand de fruits et légumes en bord de route, en ressentent les effets : « C'est vrai qu'on subit des pertes à cause des ventes en ligne. Et en ce moment, c'est surtout la chaleur qui nous pose problème : les produits s'abîment plus vite. La vente en ligne nous impacte déjà beaucoup, mais avec cette chaleur, les marchandises se détériorent encore plus. On perd beaucoup de ventes à cause de tout ça. Et qu'est-ce qu'on peut faire ? Ça nous affecte énormément. On n'arrive même plus à travailler correctement ». Pour Satish Meena, spécialiste des questions de consommation, le boom économique de ces plateformes de livraisons rapides s'explique principalement par l'implantation de « dark store », ces magasins fermés au public, utilisés exclusivement pour préparer des commandes en ligne : « Les clients sont désormais prêts à mettre le prix pour ce service. Les consommateurs sont passés des commerçants de quartier aux "dark stores". Ces "dark stores" permettent de mieux contrôler les stocks, de préparer les commandes plus rapidement, et d'avoir une visibilité en temps réel sur les produits disponibles. Le taux de satisfaction de la commande chez Zomato est aujourd'hui de 99,9 %. Les clients reçoivent presque toujours ce qu'ils commandent ». En Inde, la Confédération des commerçants, qui représente près de 90 millions de petites entreprises, appelle à un mouvement de protestation nationale contre la prolifération des « dark stores ». À lire aussiDark Kitchens: comment les influenceurs bousculent le monde de la restauration
Corinne Touzet nous raconte à quel point les animaux occupent une place importante dans sa vie. Elle aborde le sujet de l'amour sous une autre forme : à travers le spectacle “Ken ou comment rencontrer l'homme de sa vie ?”Tous les samedis à 20h sur France 5, Aurélie Casse et son équipe reçoivent les artistes et les personnalités qui marquent l'actualité.
En quatre ans, le chiffre d'affaires des géants de la livraison explose. Il est passé de cent millions à six milliards de dollars. Et ce n'est qu'un début : il pourrait grimper jusqu'à quarante milliards d'ici à 2030. Mais derrière cette croissance fulgurante, des coulisses moins reluisantes du secteur : livreurs précaires, petits commerçants fragilisés. Ils filent à toute allure dans le chaos des routes encombrées de New Delhi. T-shirts rouges, oranges, assortis aux scooters. Dans leurs gros sacs : des fruits, un ordinateur, une robe… n'importe quoi peut être livré en moins de dix minutes. Naveen, lui, brave les 45 degrés sans s'arrêter. Il enchaîne les courses, infatigable. Une cinquantaine déjà, rien que cet après-midi. « C'est très difficile. Je n'ai pas vraiment de revenus. Les primes sont très faibles, par exemple 24 livraisons me rapportent seulement quatre ou dix euros. Ce n'est rien du tout. Si une meilleure opportunité se présente à l'avenir, je laisse tomber ce travail de livraison. Je veux trouver un emploi plus stable, moins fatigant. Parce qu'avec la chaleur, la pollution… c'est vraiment difficile ». Le succès des livraisons rapides a aussi ses revers. Les petits commerçants de rue, comme Navratan, qui tient un stand de fruits et légumes en bord de route, en ressentent les effets : « C'est vrai qu'on subit des pertes à cause des ventes en ligne. Et en ce moment, c'est surtout la chaleur qui nous pose problème : les produits s'abîment plus vite. La vente en ligne nous impacte déjà beaucoup, mais avec cette chaleur, les marchandises se détériorent encore plus. On perd beaucoup de ventes à cause de tout ça. Et qu'est-ce qu'on peut faire ? Ça nous affecte énormément. On n'arrive même plus à travailler correctement ». Pour Satish Meena, spécialiste des questions de consommation, le boom économique de ces plateformes de livraisons rapides s'explique principalement par l'implantation de « dark store », ces magasins fermés au public, utilisés exclusivement pour préparer des commandes en ligne : « Les clients sont désormais prêts à mettre le prix pour ce service. Les consommateurs sont passés des commerçants de quartier aux "dark stores". Ces "dark stores" permettent de mieux contrôler les stocks, de préparer les commandes plus rapidement, et d'avoir une visibilité en temps réel sur les produits disponibles. Le taux de satisfaction de la commande chez Zomato est aujourd'hui de 99,9 %. Les clients reçoivent presque toujours ce qu'ils commandent ». En Inde, la Confédération des commerçants, qui représente près de 90 millions de petites entreprises, appelle à un mouvement de protestation nationale contre la prolifération des « dark stores ». À lire aussiDark Kitchens: comment les influenceurs bousculent le monde de la restauration
durée : 00:03:33 - Dimanche est un roman - par : Clara Dupont-Monod - Ce dimanche, Clara Dupont-Monod nous conseille le roman “Objets perdus” de Karla Suarez (éditions Métailié).
durée : 00:03:33 - Dimanche est un roman - par : Clara Dupont-Monod - Ce dimanche, Clara Dupont-Monod nous conseille le roman “Objets perdus” de Karla Suarez (éditions Métailié).
Alors que Paris accueille la REuse Economy Expo, unique salon européen dédié à la réutilisation, la question du réemploi des objets du quotidien s'impose comme un enjeu crucial. Créateur d'emplois et levier économique, ce modèle reste pourtant en retrait face au recyclage. Décryptage. Le réemploi et la réutilisation des objets connaissent un coup de projecteur à Paris, à l'occasion de la REuse Economy Expo, le seul événement en Europe entièrement consacré à cette thématique. Redonner une seconde vie à nos objets est un impératif à la fois écologique et économique. Pourtant, cette pratique reste marginale: ni les producteurs, ni les vendeurs, ni même les consommateurs ne l'ont pleinement adoptée.Résultat, il est difficile d'évaluer précisément le poids de cette économie. Ce qui est certain en revanche, c'est son potentiel en matière d'emploi. Rien que dans le secteur de la remise en état des emballages, 8 000 personnes sont actuellement employées en France. Et selon plusieurs experts, ce chiffre pourrait grimper à 40 000 d'ici 2040. Le réemploi se présente donc comme une véritable opportunité de développement économique.Réutiliser plutôt que recycler : un changement de paradigmePendant des années, c'est le recyclage qui a été érigé en norme. On démonte, on détruit, puis on reconstruit. Mais le réemploi reste à la traîne, alors même qu'il présente des avantages considérables. Pour les consommateurs, il signifie des prix plus accessibles. Pour les entreprises, selon l'ADEME (Agence française de la transition écologique), il permet de réduire significativement les coûts de production.L'exemple du secteur verrier illustre parfaitement ce tournant. Au printemps 2022, confrontés à une pénurie de calcin après le début de la guerre en Ukraine, les producteurs français ont choisi de laver et réutiliser les bouteilles existantes, plutôt que de les recycler dans des fours énergivores. Une solution plus rapide, plus économique, et bien plus écologique.À lire aussiLes industriels européens du plastique prennent le virage du recyclableConstruire une culture du réemploiLe véritable défi réside dans la conception même des produits, qui sont majoritairement pensés pour un usage unique. Or, l'essor du réemploi dépend en grande partie d'une évolution dans cette logique de production. En France, la réglementation évolue. D'ici 2027, 10 % des emballages devront être réutilisés. À l'échelle européenne, une nouvelle directive encore plus ambitieuse entrera en vigueur dès l'année prochaine. Mais il faut aussi convaincre les consommateurs. Entre une machine à laver bon marché, mais irréparable, et une plus coûteuse aux pièces robustes et remplaçables, le choix immédiat est souvent dicté par le prix. Pourtant, sur le long terme, c'est souvent la solution réparable qui s'avère la plus rentable. Penser les produits pour qu'ils aient plusieurs vies, dès leur conception, devient une piste incontournable. Les enseignes de seconde main fleurissent à travers l'Europe, et ces produits investissent désormais les rayons des grands magasins. Comme le rappelait justement Lavoisier, « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » L'économie circulaire n'a peut-être jamais été aussi actuelle.
Chaque jour avant les oraux, une colle de géopo pour te préparer aux Parisiennes ! Le déploiement de la 5G a été l'occasion de démonstrations techniques mais surtout d'intensification des rivalités géopolitiques, avec la décision des Etats-Unis d'interdire le leader chinois de la 5G, Huawei. La 5G, ou cinquième génération des réseaux mobiles, se distingue par des débits ultra-rapides, une latence réduite et une capacité de connexion hors norme. Ces caractéristiques en font une infrastructure essentielle pour des applications telles que l'Internet des Objets, les voitures autonomes ou encore la télémédecine. Dès lors, nous pouvons nous interroger : En quoi les réseaux de la 5G transforment-ils la compétition géo-technologique mondiale ? Pour répondre à cette question, nous examinerons d'abord les spécificités techniques et les promesses de la 5G, avant de nous pencher sur les enjeux économiques et géopolitiques qu'elle soulève. Enfin, nous analyserons ses impacts sur la société et l'environnement.
(Moulin de Chaves)
Dharma Seed - dharmaseed.org: dharma talks and meditation instruction
(Moulin de Chaves)
Rubrique:feuilletons Auteur: eric-vincent Lecture: SonorusDurée: 48min Fichier: 31 Mo Résumé du livre audio: XIII - La substitution des objets Le temps a passé et Orion a fini par devoir renoncer à sa quête et s'est résolu à finir son temps en paix au sein du monde des sorciers. Et pourtant… Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Comme chaque samedi, Grand-père m'avait donné rendez-vous au parc pour notre partie d'échecs. Les deux tables en béton fatiguées sur lesquelles étaient gravés les plateaux de jeux étaient libres. En même temps, il était huit heures trente-deux. Et j'étais loin de me douter qu'une nouvelle enquête allait changer le déroulé de cette matinée.Une histoire pour enfant, sous forme d'enquête, qui parle des plus grands trésors des enfants et de ceux des plus grands.Crédits : cette p'tite histoire a été écrite par Mathieu Genelle grâce aux idées d'objets de Kéziah et Illy. Racontée par Karine Texier et Arnaud Guillou. Enregistrement, montage et générique : Studio Module. Illustration : Quentin Laville. Become a member at https://plus.acast.com/s/les-ptites-histoires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Bruno Poncet et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans les ruelles étroites bordant les vieux entrepôts de la ville, Zélie et Timi avançaient à pas feutrés. Le soleil descendait lentement à l'horizon, projetant des ombres allongées sur les murs décrépis. Timi tenait fermement le carnet d'Assia, ouvert à la page du croquis qui les avait menés jusqu'ici...Crédits : cette p'tite histoire a été écrite par Mathieu Genelle ! Racontée par Karine Texier et Arnaud Guillou. Enregistrement, générique et bande-son : Studio Module. Illustration : Zaza la Colombienne. Become a member at https://plus.acast.com/s/les-ptites-histoires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on part en voyage, avoir un backpack bien organisé fait toute la différence ! Dans cet épisode, je vous dévoile les 10 objets indispensables que j'emporte toujours dans mon sac-à-dos, peu importe la destination. En tant que backpackeuse, j'ai testé de nombreuses astuces pour voyager léger et optimiser mon backpack. Que vous soyez en plein préparatifs ou à la recherche de nouvelles idées pour votre prochain voyage, cette liste vous aidera à ne rien oublier.Et restez bien jusqu'à la fin, je vous révèle un 11ᵉ objet auquel on ne pense pas toujours, mais qui peut changer votre façon de voyager en backpack !Liens pour éventuel achat de certains indispensables :Gourde Filtrante : https://amzn.to/41SAnHHGant de toilette : https://amzn.to/4hWGYWjLessive en papier : https://amzn.to/444MaUFAirtags : https://amzn.to/42qPdW0#Voyage #SacDeVoyage #Backpack #AstucesVoyage #VoyageLéger
Mes chers camarades, bien le bonjour ! Si je vous parle de suaire, vous allez certainement penser au suaire de Turin qui est l'un des plus célèbres d'entre eux. Sa première apparition dans les sources remonte au Moyen Âge. Et à cette époque, il y en avait beaucoup des suaires, en plus de tous les autres types de reliques, et ça peut soulever plein de questions passionnantes ! Alors pour les découvrir, j'ai eu le plaisir de recevoir dans un nouvel entretien historique Nicolas Sarzeaud, qui est docteur en histoire médiévale, et un spécialiste des reliques et des images à la fin du Moyen Âge ! On a parlé ensemble de reliques, de suaires, bien sûr de celui de Turin, mais pas que ! Je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene !➤ Pour aller plus loin : ➜ La page de Nicolas sur le site de la Villa Medici : https://villamedici.it/resident/nicolas-sarzeaud/➜ Son livre Les Suaires du Christ en Occident : https://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/20629/Les-Suaires-du-Christ-en-Occident
durée : 00:06:13 - franceinfo junior - Alors que la Cité de la Mer renouvelle sa collection d'objets remontés du Titanic, les enfants de franceinfo junior parlent de ce sujet avec Rozenn Poupon, documentaliste à la Cité de la Mer de Cherbourg.
Tous les matins, à 6H10 et 8H40, c'est les Sondages du matin.
En 1945, la libération des camps de concentration et d'extermination révèle au monde l'horreur de la Shoah, durant laquelle 5 à 6 millions de juifs furent assassinés. Derrière ces chiffres, se trouvent des individus à l'existence brisée par une idéologie mortifère. Depuis 80 ans, la collecte de documents et d'objets réalisée par le Mémorial de la Shoah permet de reconstituer les parcours d'enfants, de femmes et d'hommes victimes de la barbarie nazie. Mais comment fait-on parler leurs objets ? Quelle est l'importance des archives à l'heure où les derniers témoins directs disparaissent ? Pour en parler, Virginie Girod reçoit Karen Taieb, la responsable des archives du Mémorial de la Shoah.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:39 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - Visite de l'exposition “Objets en questions : Archéologie, ethnologie, avant-garde” au Musée du Quai Branly-Jacques Chirac. Comment l'archéologie et l'ethnologie ont-elles influencé les arts plastiques dans l'entre deux guerres? Comment ces deux sciences de terrain ont-elles transfiguré les musées? - réalisation : Olivier Bétard - invités : Philippe Peltier Conservateur général honoraire du patrimoine
Corentin Candela, collectionne depuis l'âge de 8 ans des objets qui étaient dans le Titanic. Il était au téléphone des Grosses Têtes ce 17 février, pour parler de sa collection. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.