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durée : 00:26:49 - A votre service avec Nelly Sorbier et ses experts - MaPrimeRénov' suspendue à partir du 1er juillet : Qu'est-ce que cela signifie pour vous ? Vous souhaitez investir dans des panneaux solaires : Est-ce encore rentable ? Nils De Graaff, du Bureau d'études KDS, nous dit tout sur les panneaux solaires et les changements liés à MaPrimeRénov'.
Dans un marché de la consommation électrique revigoré, les revenus des panneaux photovoltaïques n'ont jamais été aussi bas que l'année dernière. Les installations n'ont capté qu'un peu plus de la moitié du prix moyen. Les raisons sont détaillées dans ce podcast. Google cherche à mettre le paquet sur l'IA. Le géant américain de la tech dévoile ses ambitions lors d'un grand événement organisé actuellement à Mountain View, son siège social de Californie. Notre journaliste Maxime Samain y assiste. Le gigantesque musée Kanal-Centre Pompidou va ouvrir ses portes au grand public le 28 novembre 2026 sur les quais du canal de Bruxelles. C'est la fin de travaux titanesques de près de dix ans. La facture se monte à 230 millions d'euros. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
La FGTB prévoit de déposer un recours auprès de la Cour constitutionnelle afin de s'opposer à la limitation des allocations de chômage à deux ans. Cela n'a pas manqué de faire réagir le chef de cabinet de Georges-Louis Bouchez. Les panneaux solaires "plug & play" sont désormais autorisés en Belgique, ils peuvent être branchés directement sur une prise électrique domestique. Enfin la BCE annonce la baisse de ses taux et on décortique les répercussions en fin d'épisode. Bonne écoute !
Chaque jour, le Soleil inonde la Terre d'une énergie colossale. Les panneaux solaires, ou plus précisément panneaux photovoltaïques, sont conçus pour capturer cette énergie lumineuse et la convertir en électricité. Mais comment ce miracle technologique fonctionne-t-il, au juste ?Tout repose sur un phénomène physique : l'effet photovoltaïque, découvert en 1839 par le physicien français Alexandre Edmond Becquerel. Cet effet permet à certains matériaux de produire un courant électrique lorsqu'ils sont exposés à la lumière.Les panneaux solaires sont principalement composés de cellules photovoltaïques, généralement faites à base de silicium, un semi-conducteur abondant dans la croûte terrestre. Ces cellules sont organisées en fines couches de matériaux dopés, c'est-à-dire modifiés pour améliorer leur conductivité.Une cellule solaire standard possède deux couches de silicium :Une couche supérieure dopée au phosphore, appelée type N, riche en électrons.Une couche inférieure dopée au bore, appelée type P, qui contient des "trous", c'est-à-dire des emplacements prêts à recevoir des électrons.Lorsque la lumière du Soleil frappe la cellule, elle est constituée de particules d'énergie appelées photons. Si un photon possède assez d'énergie, il peut exciter un électron du silicium et le libérer de son atome. Cet électron se retrouve alors libre de se déplacer.C'est là qu'intervient la jonction P-N, située entre les deux couches dopées. Cette jonction crée un champ électrique interne qui pousse les électrons libérés dans une direction précise : vers la couche N. Simultanément, les "trous" migrent vers la couche P. Ce mouvement ordonné des charges constitue un courant électrique continu.Pour exploiter ce courant, des contacts métalliques sont placés sur le dessus et le dessous de la cellule. Le courant peut alors circuler dans un circuit externe — par exemple, alimenter une ampoule, charger une batterie ou injecter de l'énergie dans un réseau.Mais ce courant est continu (DC), alors que le réseau électrique fonctionne en alternatif (AC). On utilise donc un onduleur, qui convertit le courant produit en courant alternatif compatible avec nos équipements domestiques.Le rendement d'une cellule solaire classique se situe entre 15 % et 22 %, ce qui signifie qu'une fraction seulement de l'énergie lumineuse est transformée en électricité. Le reste est perdu sous forme de chaleur ou réfléchi.En résumé, les panneaux solaires transforment la lumière du Soleil en électricité grâce à l'effet photovoltaïque : des photons excitent des électrons dans du silicium, créant un courant électrique exploitable. Une technologie propre, silencieuse… et directement alimentée par notre étoile. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Dans le petit village andalou de Lopera, un projet d'installation de huit centres photovoltaïques insurge les agriculteurs. Ils refusent d'être expropriés pour que leurs champs d'oliviers soit remplacé par des panneaux solaires.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Dans le petit village andalou de Lopera, un projet d'installation de huit centres photovoltaïques insurge les agriculteurs. Ils refusent d'être expropriés pour que leurs champs d'oliviers soit remplacé par des panneaux solaires.
durée : 00:25:31 - On s'en parle en Béarn Bigorre - En ce moment dans l'actualité, il est beaucoup question d'arnaques de poses de panneaux photovoltaïques. L'UFC Que Choisir vous met en garde à ce sujet.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Dans le petit village andalou de Lopera, un projet d'installation de huit centres photovoltaïques insurge les agriculteurs. Ils refusent d'être expropriés pour que leurs champs d'oliviers soit remplacé par des panneaux solaires.
C'est une petite révolution silencieuse qui vient d'entrer en vigueur à Tokyo : depuis le 1er avril, toutes les nouvelles maisons individuelles de la capitale japonaise doivent être équipées de panneaux solaires. Une mesure ambitieuse, pensée depuis 2022, et qui s'inscrit dans le grand virage écologique voulu par les autorités locales. Mais attention, ce ne sont pas les particuliers qui doivent se charger de l'installation. La responsabilité incombe aux constructeurs. Ce sont eux qui doivent intégrer les panneaux dès la construction… et ce sont aussi eux qui peuvent bénéficier de subventions publiques couvrant jusqu'à la moitié du coût d'installation, estimé à environ 6 000 euros par maison. L'objectif ? Ne pas faire exploser le prix final des logements pour les familles, tout en accélérant la transition énergétique.Tokyo ne part pas de zéro : cela fait près de trois ans que la municipalité prépare ce changement, en travaillant main dans la main avec les 50 plus grandes entreprises de construction. Et si la règle est désormais officielle, elle s'accompagne aussi de quelques exceptions : les plus petits constructeurs sont épargnés, tout comme les maisons mal exposées, encastrées entre des immeubles ou orientées plein nord. Malgré ces exceptions, la ville espère voir plus de 25 000 nouvelles maisons équipées chaque année. Car derrière cette initiative se cache une ambition bien plus large : faire de Tokyo l'une des premières mégapoles au monde à neutralité carbone, comme le martèle la gouverneure Yuriko Koike. Dans une ville densément peuplée, où l'espace libre est rare, les toits deviennent un terrain stratégique pour produire de l'énergie décarbonée, qu'elle soit solaire… ou même nucléaire.Et Tokyo n'est pas seule. Cette semaine, Kawasaki, sa voisine, a adopté une mesure similaire. À Kyoto, Sendai, et dans d'autres grandes villes japonaises, le mouvement est lancé. L'installation débute souvent sur les bâtiments publics ou commerciaux, avant de s'étendre aux logements neufs. À l'échelle nationale, le gouvernement soutient cette dynamique et vise un objectif clair : que 60 % des nouvelles maisons soient solaires d'ici 2030. Le Japon mise donc sur ses toitures pour éclairer son avenir énergétique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:37 - Bientôt chez vous - Le pays dépend encore beaucoup trop des énergies fossiles. La ville de Tokyo a décidé de prendre les choses en main : depuis cette semaine, il est obligatoire d'installer des panneaux solaires sur votre toit lors d'un achat de nouvelle maison.
Tu veux que je te raconte l'histoire des panneaux "attention au kangourou"? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
durée : 00:06:15 - Sur la route avec - Reportage à St pierre le Moûtier dans la Nièvre, où des projets agrivoltaïques (entendez des panneaux solaires sur des exploitations agricoles) s'enchaînent à un rythme effréné
Nouveaux droits de douane contre la Chine, hausse des taxes sur certains produits européens, négociations avec le Canada et le Mexique... Pour rendre sa grandeur économique à l'Amérique, Donald Trump compte bien faire payer ses partenaires commerciaux... Mais aussi se servir de l'outil tarifaire pour imposer ses choix diplomatiques. Une méthode qui n'est pas nouvelle. Dans cette série, on s'intéresse aux guerres commerciales passées, dont nous pourrions tirer quelques leçons pour aujourd'hui, avec Sébastien Jean, professeur d'économie au Conservatoire national des Arts et métiers. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage : Solène AlifatRéalisation : Quentin Bresson et Jules Krot Crédits : Euronews, France 24, France Info, INA, France Inter Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous vous reconnaîtrez peut-être dans ces mésaventures de voyage : à l'étranger, tout fier d'avoir assidûment appris quelques mots de vocabulaire, vous vous retrouvez pris de court juste après avoir entamé une conversation avec des locaux… Pire encore, sûr de vous, vous suivez les mauvais panneaux et finissez par vous perdre totalement… Autre scénario : persuadé d'avoir plus souvent fait les courses que vos amis en vacances, vous réclamez un remboursement… Et vous vous heurtez à un mur, voire vous faites carrément traiter de «radin» !Dans cet épisode de Questions Voyage, Julie Malo, journaliste au Figaro, vous présente ses cinq applications fétiches pour voyager sans prise de tête. Cet épisode a été publié pour la première fois en novembre 2024. Questions Voyage, la chronique à glisser dans vos bagages… pour que voyager reste une partie de plaisir !Vous avez une question ? Le Figaro vous répond ! Contactez-nous à l'adresse mail suivante : redactionvoyage@lefigaro.frVous pouvez retrouver Questions Voyage sur Figaro Radio, lefigaro.fr et toutes les plateformes d'écoute. Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à vous abonner et à donner votre avis !Montage et mixage : Louis ChabainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rencontre avec André Delpech, éleveur de brebis dans le Lot, en Occitanie
Des scientifiques autrichiens ont mis au point une technologie pour équiper des drones de panneaux solaires étant 20 fois plus fin qu'un cheveux humain. Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 10 février 2025.
Des scientifiques autrichiens ont mis au point une technologie pour équiper des drones de panneaux solaires étant 20 fois plus fin qu'un cheveux humain. Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 10 février 2025.
Les panneaux à messages variables, présents tous les 15 kilomètres sur les autoroutes, pèsent plus d'une tonne et contiennent des centaines de LED. Ils surveillent le trafic en temps réel et nécessitent une maintenance rigoureuse pour garantir leur fiabilité 24/7. Leur technologie évolue constamment grâce à des rénovations régulières.
Et si l'intelligence artificielle révolutionnait la science des matériaux ? Microsoft vient de lever le voile sur MatterGen, une plateforme novatrice qui pourrait transformer le secteur des énergies renouvelables. En combinant intelligence artificielle et modélisation avancée, MatterGen accélère la découverte de matériaux optimisés pour des applications comme les batteries ou les panneaux solaires, tout en réduisant les coûts de recherche.Jusqu'ici, la conception de nouveaux matériaux était un processus long, nécessitant des années d'expérimentations. Désormais, l'IA explore un vaste champ de combinaisons chimiques en quelques heures. MatterGen ne génère pas des formules au hasard : ses algorithmes de machine learning prédisent les propriétés des matériaux et orientent les recherches vers les solutions les plus prometteuses. Une véritable révolution pour un secteur en quête d'innovation. Les bénéfices de cette technologie sont multiples. Rapidité : là où un chercheur mettait des mois à tester un alliage, l'IA propose des milliers d'options instantanément. Économie : moins d'expérimentations physiques signifie une réduction des coûts. Efficacité : MatterGen cible des propriétés spécifiques, comme une conductivité électrique élevée ou une faible densité, en répondant à des besoins précis.Les premiers résultats sont spectaculaires. Microsoft affirme que les matériaux générés par MatterGen sont 2,9 fois plus stables que les modèles actuels et 17,5 fois plus proches d'un minimum énergétique local, garantissant leur robustesse. Les implications sont immenses. La prochaine génération de batteries ultra-performantes ou de panneaux solaires révolutionnaires pourrait bien voir le jour grâce à cette technologie. Alors que le monde cherche des solutions durables pour répondre à la crise climatique, MatterGen ouvre une nouvelle ère d'exploration rapide et ciblée dans la science des matériaux. Une promesse d'innovation pour un futur plus vert. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Mickaël Dorian et ses invités débattent de la situation alarmante de cette commerçante à La Rochelle.Pendant les fêtes, Mickaël Dorian prend les commandes d'On marche sur la tête.
durée : 00:02:36 - Investir dans des panneaux photovoltaïques à la ferme, ça vaut le coup ? - Rémi Chaudey, GAEC Chaudey à Colombier (70), a fait le choix du photovoltaïque, quelques années après les robots de traite. Explications
Les parkings français pourraient bientôt devenir des centrales solaires à ciel ouvert. C'est l'objectif du décret publié le 13 novembre 2024, qui applique l'article 40 de la loi « Accélération de la production d'énergies renouvelables ». Cette mesure impose aux parkings de plus de 1 500 m² de s'équiper d'ombrières photovoltaïques couvrant au moins 50 % de leur surface. Les délais sont fixés : d'ici juillet 2026 pour les parkings de plus de 10 000 m², et juillet 2028 pour ceux compris entre 1 500 et 10 000 m². Les premières concernées ? Les grandes surfaces, dont les zones de stationnement représentent environ 70 millions de mètres carrés en France. L'objectif est clair : rattraper le retard de la France en matière d'énergies renouvelables. En 2020, notre pays était le seul en Europe à ne pas atteindre les 23 % d'énergie renouvelable exigés par l'Union européenne. Le décret prévoit des sanctions sévères pour les réfractaires : une amende de 50 euros par mètre carré non équipé. Exemple à la clé, un parking de 3 000 m² qui ne respecterait pas la règle pourrait écoper d'une pénalité de 150 000 euros. De quoi faire grincer des dents les grandes surfaces, déjà hostiles à ce décret et qui avaient réclamé — sans succès — un report de deux ans. Au-delà des coûts, les bénéfices sont multiples. Ces ombrières solaires pourraient alimenter des bornes de recharge pour véhicules électriques ou redistribuer localement de l'énergie propre. Elles participeraient aussi à réduire l'empreinte carbone des supermarchés, souvent critiqués pour leur impact énergétique. En transformant des espaces souvent dévalorisés en sources d'énergie, cette mesure pourrait bien devenir un pilier de la transition énergétique en France. Reste à voir si son déploiement tiendra les délais. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Conscients de l'impact négatif des énergies fossiles sur l'environnement, les Français semblent de plus en plus favorables à l'énergie d'origine solaire. En 2022, 21 térawattheures (TWh) étaient produits de cette manière, soit une augmentation de 31 % par rapport à l'année précédente. Mais l'installation de panneaux solaires, qui captent les rayons du Soleil, pourrait avoir un effet inattendu. C'est du moins ce que révèle une récente étude, publiée par des chercheurs indiens. Si l'on en croit ses conclusions, la pose de panneaux photovoltaïques sur l'ensemble des toits d'une ville provoquerait une hausse d'environ 1,5°C de la température diurne. Elle pourrait même aller jusqu'à 3,2°C supplémentaires durant les heures les plus chaudes de la journée. Ce serait l'inverse la nuit, la température baissant de 0,6°C en moyenne. Des villes entièrement équipées de panneaux solaires deviendraient ainsi de véritables îlots de chaleur. Et ce d'autant plus que, dans le micro-climat ainsi créé, les vents auraient plus de mal à apporter un peu de fraîcheur. De tels résultats concernent la ville de Calcutta, où les scientifiques ont mené leur étude. Mais ils ont étendu leurs travaux à d'autres agglomérations, comme Athènes ou Sydney, de manière à prendre en compte des conditions climatiques variées. Les résultats se sont montrés similaires. Une chaleur restant piégée au sein des villes Une ville dont tous les toits des maisons seraient équipés de panneaux solaires aurait un albédo plus faible. L'albédo désigne la capacité d'une surface à renvoyer le rayonnement solaire vers l'atmosphère. Cette étude montre en effet que les panneaux photovoltaïques réfléchissent moins la lumière du Soleil. Elle se concentre alors davantage dans un espace urbain qui a donc tendance à se réchauffer durant la journée. Les auteurs de l'étude ne remettent pas en cause le rôle essentiel des panneaux solaires dans la transition énergétique en cours. D'autant que la hausse des températures diurnes est en partie compensée par des nuits plus fraîches. Ils suggèrent plutôt des solutions pour abaisser les températures régnant dans ces villes. La végétalisation de l'espace urbain est l'une d'entre elles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jean-Michel a déposé un acompte pour des panneaux photovoltaïques qui n'ont jamais été livrés. Au cours de son enquête, le journaliste Jean-Baptiste Nicolle découvre que Jean-Michel n'est pas la seule victime. Comment recueillir les différents témoignages ? Que peut-on espérer pour la suite de ce cas ? Si vous vous reconnaissez en tant que victime par rapport à cette entreprise, vous pouvez envoyer un mail à : capeutvousarriver@m6.fr Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !
Tous les matins juste après le journal de 6h30, un fait divers repéré et raconté par les journalistes du service Police-Justice de RMC.
Dans ce podcast inédit, notre coordinateur d'émission Mathieu Mabille vous dévoile les cas inédits qui seront abordés par son équipe à l'antenne dans l'émission le lendemain. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Ce week-end, les panneaux de certaines communes de la Drôme ont été intervertis, près de Tain l'Hermitage. Une manière pour le monde paysan d'exprimer, pour l'instant pacifiquement, son mécontentement face aux promesses faites par le gouvernement en janvier dernier et toujours pas tenues selon les agriculteurs. Europe 1 s'est rendue dans le village de Larnage dans la Drôme.
Ce week-end, les panneaux de certaines communes de la Drôme ont été intervertis, près de Tain l'Hermitage. Une manière pour le monde paysan d'exprimer, pour l'instant pacifiquement, son mécontentement face aux promesses faites par le gouvernement en janvier dernier et toujours pas tenues selon les agriculteurs. Europe 1 s'est rendue dans le village de Larnage dans la Drôme.
L'Europe enquête sur les panneaux photovoltaïques chinois soupçonnés d'être vendus à prix cassés en Europe car ils bénéficient d'une aide du gouvernement chinois. Mais perdons-nous notre temps à vouloir combattre les chinois ? L'Europe ne veut plus être une passoire pour les panneaux solaires fabriqués en Chine, elle a donc décidé d'enquêter sur des subventions chinoises, soupçonnées donc de fausser la concurrence sur le marché européen. Alors dit comme ça, on se dit que c'est très viril comme décision, que l'Europe a enfin décidé de ne plus se laisser faire. Mais est-ce aussi simple ? C'est vrai qu'aujourd'hui les groupes chinois, directement ou indirectement d'ailleurs, via leurs filiales en Europe, inondent le marché européen de panneaux photovoltaïques à prix cassés. Et les quelques fabricants européens qui sont sur le marché tirent la langue car ils ne peuvent pas s'aligner sur les prix chinois et donc ils crient tous au loup en affirmant que ces prix ne sont pas honnêtes mais qu'ils sont artificiellement très bas car le gouvernement chinois les subventionne. Autrement dit, c'est du dumping, de la concurrence déloyale. Et c'est cette concurrence déloyale que doit démontrer la Commission européenne. Alors j'ai envie de dire bonne chance. Pour quelle raison ? Mais parce que la première raison pour laquelle ces panneaux solaires inondent l'Europe, c'est d'abord parce que la croissance chinoise tourne au ralenti. Et comme les fabricants chinois ont surinvesti dans ce secteur ces dernières années, ils n'arrivent plus à écouler leurs panneaux solaires en Chine et donc ils bradent ceux-ci partout où ils peuvent et donc également en Europe. Mais que peut-on faire ? Mots-Clés : surproduction, batteries, électriques, voitures, éoliennes, aides massives, Etat, compte, point de vue, consommateurs, exporter, déflation, réindustrialiser, nouvelle, producteurs, Interdire, importation, taxer, solaires, déficit, ingénieurs, continent, industrie, jeune, retard, matière, recherche, développement, usine, robotisé, productive, main-d'œuvre qualifiée, compétitive, problème, pénurie, métiers, techniques, chaîne, valeur, minerai, base, silicium, textile, jeans, label, made in Europe, réalité, enquête, détruire, filière industrielle, taxer, producteurs, économiste, Vietnamiens, Indiens, dépendance, focaliser, technologies, avantage compétitif, portefeuille. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Marie Coeurderoy, journaliste BFM Business, et Fabio Rinaldi, président de BigMat France, étaient les invités de Lorraine Goumot dans Tout pour investir, ce mardi 2 juillet.Ils ont parlé de l'état actuel du marché de la rénovation, des spécialités de BigMat et des procédures pour les installations de panneaux solaires, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Swisscom augmente les tarifs de certains abonnements; 2. "J'ai installé 70m2 de panneaux photovoltaïques sur mon toit" 3. Guichet rénovation énergétique des bâtiments (4/5): les panneaux solaires
Ecoutez Un point, c'est tout ! avec Alba Ventura du 26 juin 2024.
durée : 00:01:57 - Le vrai ou faux - En pleine visite d'État du président chinois Xi Jinping, la tête de liste La France insoumise aux européennes assure que le déficit commercial de la France avec la Chine est "majeur", s'élevant à "40 milliards d'euros". Elle pointe notamment du doigt le problème des panneaux photovoltaïques.
En 2022, Charlotte fait installer une pompe à chaleur, un système de ballon d'eau chaude et des panneaux photovoltaïques mais malheureusement les panneaux n'ont jamais fonctionné. L'entreprise est intervenue à deux reprises sans trouver de solutions. Aujourd'hui Charlotte est totalement démunie, l'entreprise ne lui répond plus. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Nicolas se demande sur quel genre d'entreprise il est tombé ! En mars 2022, il a signé un contrat avec une société basée dans l'Hérault, une société qui devait lui acheter son excédent de production électrique photovoltaïque. Problème : à ce jour il n'a reçu ni relevé, ni paiement ! Et la société en question est devenue très difficile à joindre... Une situation inquiétante, d'autant plus que Nicolas a appris qu'il ne serait pas le seul dans ce cas-là. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
L'Europe enquête sur les panneaux photovoltaïques chinois soupçonnés d'être vendus à prix cassés en Europe car ils bénéficient d'une aide du gouvernement chinois. Mais perdons-nous notre temps à vouloir combattre les chinois ? L'Europe ne veut plus être une passoire pour les panneaux solaires fabriqués en Chine, elle a donc décidé d'enquêter sur des subventions chinoises, soupçonnées donc de fausser la concurrence sur le marché européen. Alors dit comme ça, on se dit que c'est très viril comme décision, que l'Europe a enfin décidé de ne plus se laisser faire. Mais est-ce aussi simple ? C'est vrai qu'aujourd'hui les groupes chinois, directement ou indirectement d'ailleurs, via leurs filiales en Europe, inondent le marché européen de panneaux photovoltaïques à prix cassés. Et les quelques fabricants européens qui sont sur le marché tirent la langue car ils ne peuvent pas s'aligner sur les prix chinois et donc ils crient tous au loup en affirmant que ces prix ne sont pas honnêtes mais qu'ils sont artificiellement très bas car le gouvernement chinois les subventionne. Autrement dit, c'est du dumping, de la concurrence déloyale. Et c'est cette concurrence déloyale que doit démontrer la Commission européenne. Alors j'ai envie de dire bonne chance. Pour quelle raison ? Mais parce que la première raison pour laquelle ces panneaux solaires inondent l'Europe, c'est d'abord parce que la croissance chinoise tourne au ralenti. Et comme les fabricants chinois ont surinvesti dans ce secteur ces dernières années, ils n'arrivent plus à écouler leurs panneaux solaires en Chine et donc ils bradent ceux-ci partout où ils peuvent et donc également en Europe. Mais que peut-on faire ? Mots-Clés : surproduction, batteries, électriques, voitures, éoliennes, aides massives, Etat, compte, point de vue, consommateurs, exporter, déflation, réindustrialiser, nouvelle, producteurs, Interdire, importation, taxer, solaires, déficit, ingénieurs, continent, industrie, jeune, retard, matière, recherche, développement, usine, robotisé, productive, main-d'œuvre qualifiée, compétitive, problème, pénurie, métiers, techniques, chaîne, valeur, minerai, base, silicium, textile, jeans, label, made in Europe, réalité, enquête, détruire, filière industrielle, taxer, producteurs, économiste, Vietnamiens, Indiens, dépendance, focaliser, technologies, avantage compétitif, portefeuille. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
En Australie, près d'un foyer sur trois est équipé de panneaux solaires. Un record mondial. Mais si le pays est en avance sur le photovoltaïque, il l'est aussi sur les déchets produits par le secteur. Ces panneaux solaires usagés commencent à s'accumuler et sont très peu recyclés. Un signal d'alerte pour toute la filière, face aux risques pour l'approvisionnement en matières premières critiques. Au début des années 2010, l'Australie a engagé une politique ambitieuse d'aides à l'achat de panneaux solaires. Le programme a si bien fonctionné qu'un tiers des foyers australiens ont aujourd'hui des panneaux sur le toit de leur logement. En Australie méridionale, l'un des huit États du pays, cette proportion est encore plus importante : un foyer sur deux est alimenté par des panneaux solaires à domicile.Les panneaux solaires peuvent fonctionner en théorie pendant 25 ou 30 ans. Cependant, en Australie, un changement des normes électriques a poussé certains habitants à remplacer plus tôt que prévu leurs panneaux solaires. Seul l'État de Victoria interdit l'enfouissement des panneaux solaires. Dans le reste du pays, des panneaux parfois encore en état de marche finissent dans des décharges et les métaux qu'ils contiennent ne sont pas récupérés pour fabriquer de nouveaux panneaux.1 million de tonnes de panneaux jetés en 2034Un panneau solaire contient du cuivre, de l'argent et du silicium. Ces matériaux sont cruciaux pour la transition énergétique, et la demande pourrait dépasser l'offre dans les prochaines années, en particulier dans le cas de l'argent. D'autant plus que lors de la COP28 en décembre dernier, engagement a été pris de tripler les capacités de production d'énergies renouvelables d'ici à 2030. D'où l'importance de recycler les panneaux. Mais en Australie, d'après une étude publiée la semaine dernière par l'université de Nouvelle-Galles du sud, la quantité de panneaux solaires en fin de vie dans le pays va être multipliée quasiment par sept en l'espace de dix ans, pour atteindre plus d'un million de tonnes par an en 2034. Une filière de recyclage à construireLe pays n'a pas les capacités de recyclage suffisantes pour valoriser ces déchets. L'enfouissement d'un panneau solaire coute 2 dollars australiens, mais le recycler coûte jusqu'à 10 fois plus cher. De plus, peu d'entreprises dans le monde ont mis en place des procédés efficaces à l'échelle industrielle pour récupérer les matériaux qui ont le plus de valeur (même s'il existe une usine de ce type en France, ouverte en 2023). Pour l'instant les compagnies qui vendent les panneaux en Australie ne sont pas incitées non plus à prendre en charge une partie du prix du recyclage, contrairement aux Pays-Bas par exemple, un des leaders européens en matière de recyclage. Les autorités néerlandaises ont récemment décidé de passer de 6,50 € la tonne à 40 € la tonne leur taxe sur le recyclage des panneaux solaires. En Australie au contraire, il n'existe pas d'incitations aussi fortes. Il y a quelques années encore, le pays envoyait ces déchets à l'étranger, ce qui a pu freiner le développement d'entreprises locales de recyclage. Il n'existe pas non plus de débouchés sur place pour réutiliser les métaux recyclés, car l'Australie importe presque tous ses panneaux solaires de Chine. Un paradoxe, selon le premier ministre lui-même : « Nous sommes le pays au monde qui compte le plus grand nombre de panneaux solaires par habitant, sur nos toits. Mais seulement 1 % de ces panneaux sont fabriqués en Australie », expliquait la semaine dernière le travailliste Anthony Albanese.Un milliard pour des panneaux solaires made in AustraliaLe gouvernement a annoncé jeudi dernier 1 milliard de dollars australiens (600 millions d'euros environ) d'investissements publics pour construire une usine de panneaux solaires, qui emploiera les anciens salariés d'une centrale à charbon. L'objectif est de substituer une partie des importations chinoises, c'est-à-dire d'éviter d'importer tous ses panneaux de Chine, mais il n'y a pas eu d'annonce concrète ni de calendrier pour développer une filière de recyclage.L'Australie a pour ambition de produire 82 % de son électricité à partir d'énergies renouvelables dès 2030. Pour l'instant, on en est encore loin : encore la moitié de cette électricité vient de centrales à charbon, extrêmement polluantes.
durée : 00:02:45 - Grand angle - Cela peut surprendre : nos panneaux solaires, faute de filière, ne sont pas réparés. C'est pour combler ce vide que le centre de recherche CEA soutient le projet d'une start-up en Savoie, qui lance la première entreprise de réparation industrielle de panneaux photovoltaïques.
Dans un podcast inédit, Alain Azhar vous donne rendez-vous au micro de Thibaud Chaboche. Chaque jour, le rédacteur en chef de "Ça peut vous arriver" vous dévoile certains des cas qui seront abordés par son équipe à l'antenne dans l'émission le lendemain. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Tu veux que je te raconte l'histoire des panneaux "Attention aux chats"? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
En 2022, une grande enseigne installe des panneaux photovoltaïques au domicile de Philippe. De visu, tout est conforme seulement à la suite d'un orage de l'eau s'infiltre le long de l'installation et fait disjoncter le tableau électrique. Malgré toutes les démarches, personne ne souhaite intervenir pour réparer les fuites. Philippe est très inquiet car à chaque intempérie de l'eau s'infiltre dans son compteur électrique. Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver du 16 février 2024 avec Julien Courbet.
durée : 00:03:03 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le département américain de la Défense comme une trentaine d'autres sites fédéraux vont donner l'exemple, alors que Joe Biden a fixé à 2050 l'objectif pour le gouvernement américain d'être neutre en carbone.
durée : 00:03:03 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le département américain de la Défense comme une trentaine d'autres sites fédéraux vont donner l'exemple, alors que Joe Biden a fixé à 2050 l'objectif pour le gouvernement américain d'être neutre en carbone.
Ecoutez RTL Evènement du 02 janvier 2024 avec La rédaction de RTL.
A 10h, ce lundi 11 décembre 2023, les GG : Zohra Bitan, fonctionnaire, Élina Dumont, intervenante sociale, et Didier Giraud, éleveur de bovins, débattent de la colère des agriculteurs et qui retournent les panneaux de la ville.
Gino Harel nous parle d'Olaf, un programme de recherche mené à l'Université de Sherbrooke qui étudie la performance des panneaux solaires dans des milieux enneigés; Jean François Bouthillette parle du balado Questions sans frontières, qui vise à convaincre les jeunes francophones d'Afrique de venir étudier au Québec; et Marie-Pier Élie se penche sur la question à savoir si nous percevons tous et toutes les mêmes couleurs.
Tu veux que je te raconte l'histoire des œuvres d'art sur les panneaux publicitaires? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Dans l'appel trop con d'aujourd'hui, Martin a décidé d'aller démonter des panneaux solaires chez quelqu'un qui n'en a jamais eu. Et vu le tempérament « légèrement » sanguin de celui qu'il a piégé, attention, le seul qui risque de se faire démonter, c'est Martin...
Tous les jours, Martin vous propose de ré-écouter un ancien Appel Trop Con : merci Madame !