Podcasts about La Cour

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L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 7h du 09/09/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 8:16


Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou a remis sa démission à Emmanuel Macron après un vote de défiance à l'Assemblée Nationale, un fait historique dans la Ve République.Les partis d'opposition, de la gauche au Rassemblement National, réclament soit la nomination d'un nouveau Premier ministre, soit la dissolution de l'Assemblée.À Marseille, l'insécurité persiste dans le quartier de la faculté Colbert, avec des points de deal, des dégradations de caméras de surveillance et un climat de peur chez les étudiants.Malgré les objectifs de décarbonation, le salon automobile de Munich montre que le moteur thermique n'a pas dit son dernier mot, avec des solutions hybrides qui séduisent encore les consommateurs.La Cour d'appel a fixé les dates du procès en appel de Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires du Front National, ce qui pourrait impacter les élections municipales de 2026.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 7h du 09/09/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 8:16


Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou a remis sa démission à Emmanuel Macron après un vote de défiance à l'Assemblée Nationale, un fait historique dans la Ve République.Les partis d'opposition, de la gauche au Rassemblement National, réclament soit la nomination d'un nouveau Premier ministre, soit la dissolution de l'Assemblée.À Marseille, l'insécurité persiste dans le quartier de la faculté Colbert, avec des points de deal, des dégradations de caméras de surveillance et un climat de peur chez les étudiants.Malgré les objectifs de décarbonation, le salon automobile de Munich montre que le moteur thermique n'a pas dit son dernier mot, avec des solutions hybrides qui séduisent encore les consommateurs.La Cour d'appel a fixé les dates du procès en appel de Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires du Front National, ce qui pourrait impacter les élections municipales de 2026.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
Le ras-le-bol du jour - Xavier au 3216: "Les socialistes font moitié moins que LR aux présidentielles et ils tiennent le Conseil constitutionnel, la Cour des comptes, Radio France... le wokisme est trop représenté dans le service public." -

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 1:41


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

C dans l'air
Depardieu : renvoi pour viols devant la cour criminelle - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 65:40


C dans l'air du 5 septembre 2025 - Depardieu : renvoi pour viols devant la cour criminelleGérard Depardieu est une nouvelle fois rattrapé par la justice. Déjà condamné en première instance pour des faits d'agression sexuelle sur deux femmes lors du tournage du film Les Volets verts, l'acteur – qui a fait appel – est renvoyé devant la cour criminelle de Paris pour viols sur Charlotte Arnould. Une incertitude subsiste quant à la tenue du procès : en matière criminelle, les accusés peuvent contester devant la chambre de l'instruction l'ordonnance de mise en accusation réclamant leur renvoi.Un tel revirement est rare, au regard des motivations très détaillées rédigées par les juges d'instruction. L'avocat de Gérard Depardieu, Me Jérémie Assous, a néanmoins annoncé, mardi soir sur BFM-TV, qu'il allait faire appel de ce renvoi. Devant la justice, son client avait reconnu avoir partagé deux moments intimes avec la jeune femme, comédienne et fille d'amis qu'il connaissait depuis l'enfance, à son domicile, mais il avait contesté l'absence de consentement de cette dernière. Il avait à l'époque 69 ans, elle 22 ans.Charlotte Arnould a, de son côté, salué le renvoi sur son compte Instagram : « Sept ans après, sept ans d'horreur et d'enfer […]. L'ordonnance vient rétablir une forme de vérité judiciaire. Je crois que j'ai du mal à réaliser tant c'est énorme. Je suis soulagée », a-t-elle écrit.Mais que sait-on de cette affaire ? Pourquoi la plainte de Charlotte Arnould a-t-elle mis sept ans pour aboutir à ce renvoi ? La jeune femme a porté plainte pour viols et agressions sexuelles contre Gérard Depardieu le 27 août 2018, au sujet de faits survenus les 7 et 13 août 2018 au domicile de l'acteur. À l'issue de l'enquête préliminaire, la procédure avait été classée sans suite par le parquet de Paris, le 4 juin 2019 : « infraction insuffisamment caractérisée ». Le 10 mars 2020, la jeune femme a déposé une nouvelle plainte, cette fois avec constitution de partie civile, entraînant l'ouverture d'une information judiciaire. Une instruction a commencé au moment où débutait l'explosion du mouvement #MeToo en France.Au terme de l'instruction, la juge d'instruction a finalement décidé du renvoi de Gérard Depardieu devant la cour criminelle pour agressions sexuelles et viols. Et maintenant, que va-t-il se passer ? Gérard Depardieu va-t-il être jugé pour viol ? Qu'est-ce que cette affaire révèle du mouvement #MeToo en France et de ses répercussions ? Le mouvement MeToo (« Moi aussi », en français) a déclenché une libération de la parole des victimes de violences dans le pays. Le nombre de victimes de violences conjugales (coups, violences psychologiques, viols, féminicides) enregistrées en commissariat ou en gendarmerie a par exemple plus que doublé entre 2016 et 2023, passant de 124 086 à 270 711. Des plaintes multipliées par deux, et des prises de parole qui se poursuivent. Récemment, Alexandra Rosenfeld a raconté avoir vécu un calvaire lorsqu'elle était en couple avec Jean Imbert. L'ex-Miss France a longuement détaillé les violences qu'elle dit avoir subies de la part de son ancien compagnon, il y a une dizaine d'années.LES EXPERTS :- Laurent VALDIGUIE - Journaliste d'investigation – Marianne - Cécile OLLIVIER - Grand reporter Police-Justice -Elle - Laure HEINICH - Avocat Pénaliste- Audrey GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions – spécialiste des faits de société

C dans l'air
Depardieu : renvoi pour viols devant la cour criminelle - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 4:04


C dans l'air du 5 septembre 2025 - Depardieu : renvoi pour viols devant la cour criminelleLES EXPERTS :- Laurent VALDIGUIE - Journaliste d'investigation – Marianne - Cécile OLLIVIER - Grand reporter Police-Justice -Elle - Laure HEINICH - Avocat Pénaliste- Audrey GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions – spécialiste des faits de société

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Le gaspillage des médicaments a coûté entre 561 millions et 1,7 milliard d'euros en 2023, selon la Cour des comptes, à qui la faute ?

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 3:06


Invités : - Gilles Boutin, journaliste au Figaro Economie. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

The Royal Studies Podcast
"Violence à la cour française"

The Royal Studies Podcast

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 28:28


(English below)---Cet épisode, animé en français par Victoria Barlow, est consacré au colloque « Violence à la cour française », qui s'est tenu en juin dernier au Centre Roland Mousnier à Paris. Victoria s'entretient avec Fanny Giraudier, présidente de l'association Cour de France et l'une des organisatrices du colloque, aux côtés de Caroline Zum Kolk et Nicolas Le Roux. Cet échange aborde les raisons du choix du thème « La violence à la cour » et la richesse des approches présentées lors du colloque, qu'il s'agisse du rôle des femmes dans les dynamiques de violence, de la variété des formes qu'elle pouvait prendre ou de leur impact sur la légitimité du pouvoir royal. Nous revenons aussi sur quelques découvertes marquantes et pistes de réflexion nouvelles mises en lumière par les intervenants. Bio de l'invitée :Fanny Giraudier est docteure en histoire moderne, professeure agrégée et chercheuse associée au Laboratoire de recherche historique en Rhône Alpes. Elle a récemment publié un ouvrage issu de sa thèse : "Sortir des guerres de religion. Henri IV, les nobles et la cour", aux Presses Universitaires de Rennes avec le soutien du Centre de recherche du Château de Versailles. Ses recherches portent sur la noblesse et la société de cour entre le seizième et le dix-septième siècle et sur les engagements nobiliaires lors des guerres de Religion. Elle s'intéresse également au rôle des femmes dans les sociétés de l'Europe moderne et notamment à la place des femmes de la famille de Nassau dans le renforcement des liens entre les Provinces Unies et la France." https://cour-de-france.fr--This episode, hosted in French by Victoria Barlow, focuses on the conference “Violence at the French Court”, which took place last June at the Centre Roland Mousnier in Paris. Victoria speaks with Fanny Giraudier, president of the association Cour de France and one of the conference organizers, alongside Caroline Zum Kolk and Nicolas Le Roux. The conversation explores the reasons behind the choice of the theme “Violence at the Court” and the richness of the approaches presented at the conference, whether concerning the role of women in courtly dynamics of violence, the variety of its forms, or its impact on the legitimacy of royal power. We also highlight some of the most striking discoveries and new avenues of reflection that emerged from the event. Guest Bio: Fanny Giraudier holds a PhD in Early Modern History, is an agrégée professor, and a research associate at the Laboratoire de recherche historique en Rhône-Alpes. She recently published a book based on her dissertation: Sortir des guerres de religion. Henri IV, les nobles et la cour (Presses Universitaires de Rennes), with the support of the Research Center of the Château de Versailles. Her research focuses on the nobility and court society between the sixteenth and seventeenth centuries, as well as on noble engagements during the Wars of Religion. She is also interested in the role of women in early modern European societies, particularly the place of the women of the Nassau family in strengthening ties between the Dutch Republic and France. https://cour-de-france.fr

Le 10 heures - midi - Débat
Mettez-vous d'accord - L'interpellation de la Tunisie / François Bayrou partout / la Cour des comptes

Le 10 heures - midi - Débat

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025


Au programme, un tour de table de l'actualité avec Najwa El Haite, Docteur en droit public et auteur de « Laïcité et république » (L'Harmattan), Jean Claude Beaujour, Avocat, président du Forum Transatlantique, Alex Darmon, journaliste politique, chaine Youtube Les Indécis et Mathias Leboeuf, Journaliste et philosophe

Thoughtful Faith
Can Atheists Believe In Agency? A discussion with Tarik Lacour/Emerson Green

Thoughtful Faith

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 97:35


Are we even responsible for what we do? Should we be held morally accountable? If human beings are ultimately chemical reactions playing themselves out over time, then can we even control what we do? Can the future even be altered? Robert Sapolsky article: https://www.nytimes.com/2023/10/16/science/free-will-sapolsky.htmlTarik's Blog: https://einsteinforeveryone.substack.com/ 

Revue de presse Afrique
À la Une: trois ans de travaux forcés pour l'ancien ministre de la Justice en RDC

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 4:14


L'information fait les gros titres de la presse congolaise. « La Cour de cassation a condamné hier, relate le site Actualités CD, l'ancien ministre de la Justice Constant Mutamba à trois ans de travaux forcés pour détournement de fonds publics. Le dossier portait sur 19 millions de dollars destinés à la construction d'une prison à Kisangani. Outre la peine principale, la haute juridiction a prononcé à son encontre une interdiction de cinq ans d'accéder à toute fonction publique ». « Un verdict qui secoue Kinshasa », s'exclame Le Journal de Kinshasa. Dans la nuit de lundi à mardi, « la police est intervenue pour disperser des dizaines de partisans de l'ancien Garde des sceaux qui veillaient devant sa résidence à Ngaliema, manifestant leur soutien. Au petit matin, le périmètre autour de sa maison était quadrillé par les forces de l'ordre, prêtes à toute éventualité ». Un choc dans l'opinion Alors, sur le fond, certes, pointe Le Journal de Kinshasa, cette peine de 3 ans de travaux forcés est « bien en deçà des dix ans requis par le ministère public, mais elle crée un choc dans l'opinion entre ceux qui y voient une clémence calculée et d'autres, une justice qui passe. (…) Pour les partisans de Mutamba, qui dénonçaient un "procès politique", ce verdict pourrait être perçu comme une demi-victoire. Pour les observateurs, il marque peut-être la fin d'un long feuilleton judiciaire, mais ouvre un nouveau chapitre, celui de l'exécution de la peine et de la restitution des fonds. (…) Alors que Constant Mutamba a été immédiatement placé sous mandat de dépôt, une question persiste : cette sentence, ferme dans son principe mais clémente dans sa durée, apaisera-t-elle la rue ou attisera-t-elle davantage la colère ? » Instrumentalisation ? Scoop CD, autre site congolais, rappelle que l'ancien ministre de la Justice s'était fait le chantre de la lutte anti-corruption. Et que pour certains, le doute plane sur la véracité des accusations qui sont portées contre lui. « L'éviction politique de Mutamba lance un signal ambigu, écrit Scoop CD. Les réseaux mafieux qu'il dénonçait restent actifs ; les institutions judiciaires sont fragilisées ; l'impunité va s'accroitre davantage et l'État congolais est incapable de garantir la continuité de cette lutte. Le procès de Constant Mutamba dépasse largement le cadre d'un simple détournement de fonds, poursuit Scoop CD. Il cristallise les tensions profondes qui traversent la RDC : une justice en quête de crédibilité, un pouvoir politique miné par les soupçons d'impunité ».  Il est vrai, analyse Afrik.com, que « ce procès, très médiatisé, revêt une portée symbolique forte dans un pays régulièrement secoué par des scandales de corruption. Ancien ministre de la Justice, Constant Mutamba incarnait, aux yeux de nombreux Congolais, une contradiction flagrante : celui qui devait garantir l'intégrité du système judiciaire est désormais condamné pour l'avoir trahi. Pour ses partisans, il s'agit toutefois d'une justice instrumentalisée à des fins politiques. Le camp présidentiel, lui, présente ce verdict comme une preuve de la détermination de l'État à lutter contre l'impunité et à assainir la gestion publique ». Quel avenir ? La presse ouest-africaine met son grain de sel… Ledjely en Guinée, s'interroge : « si Mutamba est bien coupable des faits reprochés, certains de ses ennemis n'ont-ils pas profité de ses faux pas pour précipiter sa chute ? En tout cas, en RDC, ce n'est pas tous les jours qu'une sentence aussi sévère est prononcée pour une tentative de détournement qui n'a finalement pas abouti ». Et puis ce commentaire d'Aujourd'hui à Ouagadougou : « c'est la chute d'un jeune loup aux dents longues, qu'on promettait à un avenir enviable. Déjà, il était un candidat malheureux à la dernière présidentielle avec 0,2% des voix. A-t- il été victime de ses rapports difficiles avec la Première ministre Judith Suminwa Tuluka ? Quel avenir pour lui à 37 ans ? Il a encore le temps de voir venir, à condition de savoir nager dans les eaux troubles du fleuve Congo ». Kabila sort de son silence Enfin, toujours à propos de la RDC, cette déclaration de Joseph Kabila, la première depuis mai dernier. Déclaration à lire dans Jeune Afrique. Rappelons que l'ancien président congolais est jugé par contumace pour haute trahison. La peine de mort a été requise à son encontre. Kabila dénonce « des accusations mensongères » et un pouvoir « incapable d'assumer la responsabilité de ses échecs. (…) Aucun élément de preuve n'a été apporté pour soutenir ces accusations », affirme-t-il. Selon lui, ce procès s'inscrit dans une « stratégie pour faire taire l'opposition dans son ensemble ».

Culture en direct
"Un livre dont vous êtes le héros" : de la cour de récré à la contre-culture

Culture en direct

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 10:11


durée : 00:10:11 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - Dans les années 1980, un genre littéraire faisait fureur chez les jeunes : les livres interactifs. Ces derniers proposaient une participation active des lecteurs à travers des histoires à issues multiples. Aujourd'hui, ces livres reviennent dans les librairies et tentent de reconquérir le public. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Fibre Tigre Auteur, spécialiste de la fiction interactive

Les lectures de Mediapart

Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Le comédien est renvoyé en procès pour viols sur Charlotte Arnould. La jeune actrice, qui avait porté plainte en 2018, quelques jours après les faits qu'elle dénonce, se dit « soulagée ». L'avocat de l'acteur annonce faire appel de l'ordonnance de mise en accusation. Un article de Sarah Brethes et Marine Turchi publié mardi 2 septembre et lu par Christine Pâris. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Marceau refait l'info
Gérard Depardieu renvoyé devant la cour criminelle de Paris - cauchemar pour des centaines de passagers d'un vol long courrier - Le directeur général du Groupe Nestlé licencié

Marceau refait l'info

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 4:34


Revue de presse Afrique
À la Une: trois ans de travaux forcés pour l'ancien ministre de la Justice en RDC

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 4:14


L'information fait les gros titres de la presse congolaise. « La Cour de cassation a condamné hier, relate le site Actualités CD, l'ancien ministre de la Justice Constant Mutamba à trois ans de travaux forcés pour détournement de fonds publics. Le dossier portait sur 19 millions de dollars destinés à la construction d'une prison à Kisangani. Outre la peine principale, la haute juridiction a prononcé à son encontre une interdiction de cinq ans d'accéder à toute fonction publique ». « Un verdict qui secoue Kinshasa », s'exclame Le Journal de Kinshasa. Dans la nuit de lundi à mardi, « la police est intervenue pour disperser des dizaines de partisans de l'ancien Garde des sceaux qui veillaient devant sa résidence à Ngaliema, manifestant leur soutien. Au petit matin, le périmètre autour de sa maison était quadrillé par les forces de l'ordre, prêtes à toute éventualité ». Un choc dans l'opinion Alors, sur le fond, certes, pointe Le Journal de Kinshasa, cette peine de 3 ans de travaux forcés est « bien en deçà des dix ans requis par le ministère public, mais elle crée un choc dans l'opinion entre ceux qui y voient une clémence calculée et d'autres, une justice qui passe. (…) Pour les partisans de Mutamba, qui dénonçaient un "procès politique", ce verdict pourrait être perçu comme une demi-victoire. Pour les observateurs, il marque peut-être la fin d'un long feuilleton judiciaire, mais ouvre un nouveau chapitre, celui de l'exécution de la peine et de la restitution des fonds. (…) Alors que Constant Mutamba a été immédiatement placé sous mandat de dépôt, une question persiste : cette sentence, ferme dans son principe mais clémente dans sa durée, apaisera-t-elle la rue ou attisera-t-elle davantage la colère ? » Instrumentalisation ? Scoop CD, autre site congolais, rappelle que l'ancien ministre de la Justice s'était fait le chantre de la lutte anti-corruption. Et que pour certains, le doute plane sur la véracité des accusations qui sont portées contre lui. « L'éviction politique de Mutamba lance un signal ambigu, écrit Scoop CD. Les réseaux mafieux qu'il dénonçait restent actifs ; les institutions judiciaires sont fragilisées ; l'impunité va s'accroitre davantage et l'État congolais est incapable de garantir la continuité de cette lutte. Le procès de Constant Mutamba dépasse largement le cadre d'un simple détournement de fonds, poursuit Scoop CD. Il cristallise les tensions profondes qui traversent la RDC : une justice en quête de crédibilité, un pouvoir politique miné par les soupçons d'impunité ».  Il est vrai, analyse Afrik.com, que « ce procès, très médiatisé, revêt une portée symbolique forte dans un pays régulièrement secoué par des scandales de corruption. Ancien ministre de la Justice, Constant Mutamba incarnait, aux yeux de nombreux Congolais, une contradiction flagrante : celui qui devait garantir l'intégrité du système judiciaire est désormais condamné pour l'avoir trahi. Pour ses partisans, il s'agit toutefois d'une justice instrumentalisée à des fins politiques. Le camp présidentiel, lui, présente ce verdict comme une preuve de la détermination de l'État à lutter contre l'impunité et à assainir la gestion publique ». Quel avenir ? La presse ouest-africaine met son grain de sel… Ledjely en Guinée, s'interroge : « si Mutamba est bien coupable des faits reprochés, certains de ses ennemis n'ont-ils pas profité de ses faux pas pour précipiter sa chute ? En tout cas, en RDC, ce n'est pas tous les jours qu'une sentence aussi sévère est prononcée pour une tentative de détournement qui n'a finalement pas abouti ». Et puis ce commentaire d'Aujourd'hui à Ouagadougou : « c'est la chute d'un jeune loup aux dents longues, qu'on promettait à un avenir enviable. Déjà, il était un candidat malheureux à la dernière présidentielle avec 0,2% des voix. A-t- il été victime de ses rapports difficiles avec la Première ministre Judith Suminwa Tuluka ? Quel avenir pour lui à 37 ans ? Il a encore le temps de voir venir, à condition de savoir nager dans les eaux troubles du fleuve Congo ». Kabila sort de son silence Enfin, toujours à propos de la RDC, cette déclaration de Joseph Kabila, la première depuis mai dernier. Déclaration à lire dans Jeune Afrique. Rappelons que l'ancien président congolais est jugé par contumace pour haute trahison. La peine de mort a été requise à son encontre. Kabila dénonce « des accusations mensongères » et un pouvoir « incapable d'assumer la responsabilité de ses échecs. (…) Aucun élément de preuve n'a été apporté pour soutenir ces accusations », affirme-t-il. Selon lui, ce procès s'inscrit dans une « stratégie pour faire taire l'opposition dans son ensemble ».

Le Morning du Rire avec Bruno Roblès
Gérard Depardieu renvoyé devant la cour criminelle de Paris - cauchemar pour des centaines de passagers d'un vol long courrier - Le directeur général du Groupe Nestlé licencié

Le Morning du Rire avec Bruno Roblès

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 4:34


TOPFM MAURITIUS
Vacoas-Phoenix (Ward 3) : la Cour suprême rejette la demande de recomptage de Bhageeruth Mdhin

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 0:33


Vacoas-Phoenix (Ward 3) : la Cour suprême rejette la demande de recomptage de Bhageeruth Mdhin by TOPFM MAURITIUS

Metamorphose 47
Coup de tonnerre à Wall Street! Trump explose de rage !!!

Metamorphose 47

Play Episode Listen Later Aug 31, 2025


Coup de tonnerre à Wall Street… et Trump explose de rage !!!La Cour d'appel invalide de nombreux droits de douane de Trump. Prochain arrêt : la Cour suprême.Date d'enregistrement: 30 août 2025#Bourse #tarifs #Investir

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Sénégal : le Pastef décroche la mairie de Dakar

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur une incursion armée dans le nord de la Côte d'Ivoire et la déclaration onusienne de l'état de famine à Gaza.  Sénégal : le Pastef décroche la mairie de Dakar  La Cour suprême du Sénégal a rejeté le recours déposé par l'ancien maire de Dakar, Barthélémy Dias, ouvrant la voie à l'élection d'Abass Fall à la tête de la capitale. Comment expliquer cette victoire malgré la faible représentation du parti présidentiel au sein du conseil municipal ? Pour la première fois, la capitale est dirigée par le Pastef, quels changements pour Dakar ? Avec Juliette Dubois, correspondante de RFI à Dakar. Côte d'Ivoire : que sait-on de l'incursion armée dans le nord ?  Quatre personnes ont été tuées lors d'une attaque menée par des hommes armés non identifiés dans le village de Difita, dans le nord de la Côte d'Ivoire, près de la frontière avec le Burkina Faso. Que s'est-il passé ? Faut-il redouter une reprise de l'insécurité dans cette zone pourtant calme depuis 2021 ? L'armée ivoirienne a-t-elle renforcé son dispositif sécuritaire ?  Avec William Assanvo, chercheur principal a l'Institut d'études de sécurité. Gaza : l'ONU déclare l'état de famine Pourquoi les Nations unies ont-elles attendu la fin du mois d'aout pour formellement reconnaitre l'état de famine dans la bande de Gaza alors que depuis des semaines des ONG alertent sur cette situation ? Désormais, quelle est la marge de manœuvre de l'ONU pour faire face à l'insécurité alimentaire ?  Avec Fabienne Pompey, chargée de communication des Nations unies. 

Le retour de Mario Dumont
Gilbert Rozon fâché contre les médias: «Qu'il aille à la Cour suprême!», lance Félix Séguin

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 8:16


Le procès de Gilbert Rozon reprend. C’est l’histoire de deux gars de Trois-Rivières qui investissent dans un film à Hollywood… Discussion crime et société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Du grain à moudre
"Génocide" à Gaza : quels débats persistent encore sur le terme ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Aug 25, 2025 38:26


durée : 00:38:26 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que l'ONU a officiellement déclaré, vendredi 22 août 2025, l'état de famine dans la bande de Gaza, les accusations de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité imputés à Israël s'accumulent. La question d'un génocide en cours à Gaza se pose de plus en plus. - invités : Raphaël Maurel Maître de conférences en droit international à l'Université Bourgogne Europe, membre de l'Institut universitaire de France et auteur de « La Cour internationale de Justice » (PUF, que sais-je?, 2024).; Alban Perrin Historien, spécialiste des génocides du XXème siècle, chargé de cours à Sciences Po Bordeaux et formateur au Mémorial de la Shoah.; Julia Grignon Professeure associée en droit international humanitaire à Paris Panthéon Assas et membre du CRDH (Centre de recherche sur les droits de l'homme et le droit humanitaire). 

France Culture physique
"Génocide" à Gaza : quels débats persistent encore sur le terme ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later Aug 25, 2025 38:26


durée : 00:38:26 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que l'ONU a officiellement déclaré, vendredi 22 août 2025, l'état de famine dans la bande de Gaza, les accusations de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité imputés à Israël s'accumulent. La question d'un génocide en cours à Gaza se pose de plus en plus. - invités : Raphaël Maurel Maître de conférences en droit international à l'Université Bourgogne Europe, membre de l'Institut universitaire de France et auteur de « La Cour internationale de Justice » (PUF, que sais-je?, 2024).; Alban Perrin Historien, spécialiste des génocides du XXème siècle, chargé de cours à Sciences Po Bordeaux et formateur au Mémorial de la Shoah.; Julia Grignon Professeure associée en droit international humanitaire à Paris Panthéon Assas et membre du CRDH (Centre de recherche sur les droits de l'homme et le droit humanitaire). 

Afrique Économie
Jeux vidéo: à la Gamescom, les Africains veulent jouer dans la cour des grands

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Aug 24, 2025 2:22


Plus grand salon du jeu vidéo au monde, la Gamescom de Cologne, en Allemagne, a attiré près de 300 000 personnes en cinq jours (20-24 août 2025). Ce fut l'occasion pour les professionnels, en particulier les rares studios africains, de rencontrer leur public mais aussi de trouver des financements, des éditeurs et de renforcer leurs réseaux. La Gamescom a accueilli cette année près de 1 500 professionnels du jeu vidéo. À côté des stands immenses occupés par les géants du secteur, il y avait aussi de nombreux petits studios indépendants venus du monde entier, mais seulement quatre du continent africain. « C'est la deuxième fois que nous venons à la Gamescom, témoigne Eyram Tawia, co-fondateur et PDG du studio ghanéen Leti Games. Cette année, nous voulons vraiment montrer à la communauté ce que l'Afrique a à offrir. Tous nos jeux mobiles se passent dans l'univers des légendes africaines, avec des super héros réels et fantastiques de tout le continent : Chaka Zoulou, des héros de la culture Masaï, du Ghana, de partout. » Jeu de lutte sénégalaise Les frères Kandji Mame Mor et Abdoulaye ont aussi fait le déplacement jusqu'en Allemagne. Eux viennent du Sénégal. Leur studio Amanirenas propose des expériences typiquement africaines comme Door Dan, un jeu vidéo sur la lutte sénégalaise. « C'est notre sport national, quand il y a un match, c'est comme si c'était la coupe du monde ! », s'enthousiasme Mame Mor Kandji, également président de la toute jeune Association des créateurs de jeux vidéo de la Teranga. Ils ne sont encore qu'une poignée de studios au Sénégal, mais les success stories existent. « Les jeunes commencent à s'intéresser au jeu vidéo, observe-t-il. Il y a un studio qui a sorti un jeu et il y a eu plus de 20 000 téléchargements en une semaine, alors que c'est studio composé d'une fille et d'un dessinateur ! Donc il y a vraiment de l'engouement. » À côté de sa carrière dans le jeu vidéo, Mame Mor Kandji est enseignant. Mais s'ils sont venus à Cologne, c'est pour trouver des partenaires. « Pour l'instant, au Sénégal, le jeu vidéo ne nourrit pas son homme, reconnaît-il. Mais comme le savoir-faire est là, nous nous sommes dit "pourquoi ne pas s'ouvrir ?" Nous sommes venus à la Gamescom pour échanger, voir comment bâtir un véritable écosystème. » Recherche investisseurs Même son de cloche du côté d'Eyram Tawia, convaincu lui aussi que l'avenir du jeu vidéo s'écrira aussi sur le continent. « Nous avons eu d'excellents retour sur nos jeux : avec les bons financements, on pourrait rivaliser avec les studios européens. Si un investisseur ou un studio étranger mettait de l'argent dans n'importe laquelle de nos licences, je suis sûr que ça marcherait. Et avec les revenus, on pourrait faire venir de nouveaux talents et combler notre déficit de compétences. » Pionniers dans le jeu sur mobile Face au manque d'infrastructures, d'ordinateurs et de consoles de jeu sur le continent, les studios misent principalement sur le mobile. Un marché en pleine croissance sur lequel les développeurs africains ont de l'avance. « Nous avons un coup à jouer parce que l'Afrique est très développée au niveau des technologies mobile, du mobile money..., souligne Abdoulaye Kandji. Par exemple, dans le jeu Door Dan, nous avons développé un véritable modèle économique avec les technologies autour du mobile money. Je pense que là-dessus, nous avons de l'avance. Il y a vraiment une mine d'or autour du jeu mobile avec toutes ses possibilités en termes de monétisation. » Ne reste plus qu'à convaincre institutions et investisseurs, localement ou à l'étranger. À lire aussiLa Gamescom: des participants africains au plus grand salon du jeu vidéo d'Europe

The Life and Times of a Cornish Funeral Director
Podcast from Playa de las Americas and more from Janet De La Cour

The Life and Times of a Cornish Funeral Director

Play Episode Listen Later Aug 23, 2025 29:16


A slight variation on Alistair Cooke's ‘Letter from America' and the final part of my interview with Janet.Joybringer - played by Federation (1981)Graham Hawke, David Bray, Al Nance, Jon Hooper, Steve Treadwell, Sally Rowe.

Invité Afrique
Me Drissa Traoré (FIDH): «Les sanctions américaines» peuvent freiner «le financement de la CPI»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 22, 2025 7:17


La Cour pénale internationale encore visée par les États-Unis. Le département d'État américain a adopté mercredi 22 août de nouvelles sanctions contre la CPI, accusant quatre juges d'avoir lancé des poursuites contre des ressortissants des États-Unis et d'Israël. Parmi lesquelles le mandat d'arrêt contre le Premier ministre Benyamin Netanyahu pour la guerre contre la population de Gaza. La CPI qualifie la décision américaine d'« attaque flagrante contre l'indépendance d'une institution judiciaire impartiale ». La réaction du secrétaire général de la Fédération internationale de droits de l'Homme (FIDH) Maître Drissa Traoré, au micro de Sidy Yansané. À lire aussiWashington sanctionne de nouveau la CPI pour ses enquêtes impliquant États-Unis et Israël À lire aussiLe Sénégal demande aux États-Unis un retrait des sanctions contre quatre magistrats de la CPI

Reportage France
Diasporas africaines en France: Moussa Baldé, un bijoutier dans la cour des grands [5/5]

Reportage France

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 3:46


D'origine malienne, cet expert au savoir-faire très recherché a travaillé pour de grands noms de la mode. Il s'appelle Moussa Baldé, mais on l'appelle Baldé, tout simplement. À 67 ans, ce bijoutier malien exerce ce métier depuis 37 ans. Autodidacte, il a fait toute sa carrière dans le milieu très fermé du luxe et de la mode. Un univers où derrière des grands noms se cachent des petites mains. Dans son atelier situé à Pantin, dans le nord de Paris, il revient sur son parcours. « Je suis un forgeron de naissance, et un bijoutier ensuite. Ce métier, je l'ai appris avec mon papa », c'est avec ces mots que Baldé s'exprime, heureux de revenir sur ses débuts. De la forge à la bijouterie, il n'y a qu'un pas Dans les années 1980, le voilà parti à la conquête de la Côte d'Ivoire. Dans ce pays où il se lance dans la création de bijoux, il découvre qu'il a un don : « C'est Dieu qui me l'a donné. Je le remercie beaucoup. » Et en effet, il lui suffit d'observer un modèle pour qu'il sache le reproduire. Sa première clientèle d'expatriés – des Français, des Américains, des Libanais, des Marocains –  il les fidélise et lorsqu'il part en France, son savoir-faire va lui ouvrir des portes. Il va travailler pour de grands noms : Givenchy, Balenciaga, et surtout Christian Lacroix, avec qui il va collaborer neuf ans en tant que maquettiste. Maquettiste, bijoutier et joaillier… Baldé navigue entre différents métiers Baldé sait tout faire ou presque. Ses souvenirs se bousculent : « C'est Naomi Campbell qui a porté ces bracelets, ces broches... Ah oui, c'était magnifique  ». Ses yeux pétillent lorsqu'il évoque les 40 ans de la Maison Dior. « Votre don, ce sont vos mains ? », l'interroge-t-on. «  Écoutez, c'est aussi la tête, parce que ça ne suffit pas d'avoir uniquement les mains. Parfois la nuit, je ne dors pas, je réfléchis. Par exemple, lorsqu'on a un projet à construire, avec des maquettes à réaliser, je me dis parfois, mais comment je vais faire ? C'est un véritable casse-tête Alors, je cherche, je cherche même en marchant et finalement quand je trouve la solution, je suis soulagé et fier de moi. »  Une fierté qui l'accompagne aux défilés : « Je me dis "tiens, voilà ce que j'ai fait". Je suis le seul à le savoir, mais ça fait vraiment plaisir. »  Pas de regrets Un homme de l'ombre ? « Ah, vous savez, ça reste vraiment un monde à part. Même si les gens ne savent pas, nous, on ne doit rien dévoiler. Même si on voit des choses, tout doit rester confidentiel », précise-t-il, comparant la bijouterie au secret médical, puisqu'il y a des secrets qu'on ne divulgue pas. Baldé a tout de même un seul regret : « Je ne suis jamais allé à l'école, c'est un handicap. Je sais de quoi je parle, et aujourd'hui, je n'ai pas honte de le dire. Ce savoir-faire, Dieu me l'a donné, mais quand vous n'avez pas fait d'études, et que vous devez remplir un dossier, c'est compliqué, il faut chercher quelqu'un qui t'aide et c'est gênant. Moi, le seul regret que j'ai, c'est celui-là ». Dans son atelier à Pantin où il réalise ses créations, il se prépare à transmettre son savoir-faire à la nouvelle génération. À lire aussiDiasporas africaines en France: Chantal Pichon, chercheuse et pionnière dans l'ARN messager [4/5]

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti: la fin de l'aide américaine menace la lutte contre le VIH

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 30:00


En Haïti, plusieurs associations pointent du doigt les effets dévastateurs de la suspension de l'USAID décidée par Donald Trump. Après six mois passés sans cette aide américaine au développement, des associations ont dû réduire leurs activités et, par conséquent, mettre un terme à leurs missions de prévention contre le VIH. Johnny Lafleur, coordinateur d'une ONG locale, alerte : les médicaments ne sont financés que jusqu'à décembre 2025. La coupure de l'USAID touche aussi les associations LGBTQ+, comme le collectif CHAAPES, contraint d'arrêter ses actions de prévention faute de moyens. Haïti, déjà le pays le plus touché par le VIH dans les Caraïbes avec plus de 150 000 personnes infectées, risque de voir l'épidémie s'aggraver. Les militants dénoncent également une homophobie croissante depuis l'arrêt des financements et appellent à trouver de nouvelles ressources pour poursuivre la lutte. Toujours en Haïti, la nouvelle Constitution prend du retard… Son texte final devrait être soumis rapidement au Conseil présidentiel de transition pour être présenté lors d'un référendum ; 67,5 milliards de dollars y sont consacrés. Une élection devrait aussi être organisée. Dans un contexte d'insécurité très forte, la population a beaucoup d'attentes... C'est le quotidien haïtien Le Nouvelliste qui s'en plaint aujourd'hui. Il note que les promesses n'ont pas été tenues. Le texte final de la nouvelle Constitution du pays devait être soumis à la fin du mois de juillet, on approche de la fin du mois d'août, et toujours rien. Alors le journal a demandé des comptes. Selon certaines sources internes au comité de pilotage, tout ne serait qu'une histoire de jours et de petits ajustements entre toutes les entités qui participent à la rédaction de la nouvelle Constitution. Selon d'autres sources, rien n'a bougé au comité de pilotage depuis un certain temps... Alors, qui faut-il croire ? C'est la question posée par Le Nouvelliste : la fin du mandat du conseil présidentiel de transition approche, et tant que la sécurité n'est pas rétablie dans le pays, il n'y aura ni nouvelle Constitution, ni nouvelles élections... Le Nouvelliste dénonce « l'incapacité et l'impuissance » des dirigeants ces dernières années. En attendant, ces mêmes dirigeants ont annoncé un nouveau projet pour les élections à venir, il s'agit d'un programme de « renforcement des partis politiques », alors même que l'écriture de la Constitution n'est pas terminée... Gazette Haïti revient sur ce projet ambitieux. Il s'agit d'un programme complet, qui vise à former en profondeur les partis : développement de leurs sites web, gestion financière plus rigoureuse, entre autres... Gazette Haïti est plus optimiste sur la capacité du gouvernement de transition à honorer ses promesses. Le quotidien affirme, lui, que le référendum pour la nouvelle Constitution devrait avoir lieu dans les mois à venir... En Équateur, l'exploitation pétrolière dans le Parc national du Yasuni continue… Il y a deux ans, le 20 août 2023, 9% des Équatoriens décidaient, lors d'un référendum, de mettre fin à l'exploitation pétrolière dans le « bloc 43 », au sein du Parc national du Yasuni, une réserve à la biodiversité exceptionnelle. L'envoyé spécial de RFI, Eric Samson, s'y est rendu deux ans plus tard et a constaté que l'exploitation continue toujours. Pour les défenseurs de l'environnement : ce n'est pas croyable. Mais l'arrêt de l'activité pétrolière a bouleversé l'économie locale. Si les activités d'exploitation de pétrole continuent, celles d'explorations ont elles, pris fin. Cette opposition, entre la défense de l'environnement et les besoins des populations locales, est aux cœurs des enjeux de la région. À Washington, ceux qui portent des armes ne sont plus inculpés de crime... Vous connaissez la règle : aux États-Unis, on peut posséder une arme, mais en fonction des États, on peut la porter sur soi... ou pas. Washington est l'une des villes les plus restrictives sur la question. Le « open carry », le port d'armes libres, y est formellement interdit. Enfin ça, c'était avant que les procureurs fédéraux de la ville reçoivent l'ordre de ne pas inculper de crime les personnes qui portent des carabines ou des fusils de chasse sans permis dans la capitale nationale. C'est une révélation du Washington Post. Selon la procureure fédérale en chef de la ville, Jeanine Pirro, l'ordre vient du ministère de la Justice. Selon elle, de toute façon, les armes de poing sont les plus préoccupantes... Comment expliquer cette mesure alors que Trump militarise la ville sous prétexte d'une « urgence criminelle » ? Le Washington Post ne l'explique pas mais souligne que cette révélation complique les fanfaronnades de la Maison Blanche... qui a annoncé, il y a tout juste 24h, la saisie de 68 armes à feu. En attendant, les habitants de la capitale s'inquiètent. Sur le site du Washington Post, certains d'entre eux ont commenté l'article... La plupart sont dans l'incompréhension et dans la peur d'une augmentation de la violence armée. Au Pérou, une mesure vient elle aussi surprendre la population… Elle a été prise par la Cour constitutionnelle, qui a accordé l'immunité présidentielle à la présidente en exercice, Dina Boluarte. La cheffe de l'État est accusée d'être impliquée dans plusieurs affaires, notamment dans la mort de cinquante personnes dans la répression des manifestations sociales pendant son mandat. Selon le journal progressiste La República, cette décision est un « coup dur », pour le ministère public, qui enquêtait sur la présidente depuis des mois. Mais surtout, selon le quotidien péruvien, cette nouvelle va créer un dangereux précédent. Ce qui pourrait profiter à de futurs chefs de l'État dans des situations similaires. Réaction sur le site Peru 21 de l'ancienne présidente de la Cour constitutionnelle : « La Cour protège l'impunité, selon elle, cette décision affecte la lutte contre la corruption. » En Colombie, l'ancien président Álvaro Uribe a été libéré... Il avait été condamné il y a quelques semaines, le 1er août, à douze ans de résidence surveillée pour subornation de témoins et entrave à la justice. C'était le premier président colombien à être condamné... Mais il a fait appel et le verdict est tombé : Álvaro Uribe a été libéré en attendant son procès, qui a été repoussé au mois d'octobre. Le quotidien colombien de gauche El Espectador le rappelle : cette liberté est conditionnelle, l'ancien président a été reconnu coupable. Le journal revient sur la réaction du parti au pouvoir. Hier, mardi, il a demandé à Álvaro Uribe de ne pas se réjouir trop vite et de ne pas confondre « liberté et acquittement ». Sur les réseaux sociaux, les partisans d'Uribe exultent. La nouvelle secoue fortement l'échiquier politique colombien, s'inquiète El Espectador... L'ancien président participait déjà à la vie politique depuis sa résidence surveillée, très offensif contre le parti au pouvoir. Journal de la 1ère Selon Météo France, deux dépressions tropicales pourraient se transformer en ouragan en se dirigeant vers les Antilles. 

Maintenant, vous savez
Comment mieux réguler la haine sur les réseaux sociaux ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Aug 17, 2025 5:30


La Cour de Cassation a rendu son verdict le 23 mars 2023. Elle confirme la décision de la Cour d'Appel de Paris rendue en juillet 2021. Twitter a désormais l'obligation de détailler ses méthodes de modération concernant les contenus haineux sur sa plateforme. Selon une étude Ifop, en 2022, plus d'1 français sur 10 assurent avoir été victimes d'insultes ou de contenus haineux sur les réseaux sociaux. En ce qui concerne Twitter, en Europe, seuls 36% des contenus signalés sont retirés selon la Commission européenne. Cette décision est un soulagement pour les associations de lutte contre le racisme, l'antisémitisme et l'homophobie qui mène un bras de fer avec l'application depuis l'assignation déposée en 2020 par SOS Racisme. Quel est le cadre législatif concernant la haine en ligne ? Comment faire respecter la loi Avia ? Quelles sont les autres solutions pour mieux réguler la haine sur les réseaux sociaux ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : ⁠Pourquoi les trends considérées comme dangereuses ne sont-elles pas mieux modérées par TikTok ?⁠ ⁠Qu'est-ce que le "sadfishing", cette nouvelle tendance sur les réseaux sociaux ?⁠ ⁠Qu'est-ce que le Labello challenge ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

The Life and Times of a Cornish Funeral Director

In this episode, we have part two of my interview with Janet, plus a little bit about my last week, and Direct Funerals.Joybringer - played by Federation (1981)Graham Hawke, David Bray, Al Nance, Jon Hooper, Steve Treadwell, Sally Rowe.

Les matins
Au Pérou, une loi d'amnistie qui enterrerait des centaines de procédures pour les crimes commis pendant le conflit armé

Les matins

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 6:06


durée : 00:06:06 - La Revue de presse internationale - par : Juliette Micheneau - La présidente du Pérou a promulgué une loi d'amnistie pour abandonner toute poursuite contre les policiers, militaires ou membres de milices accusés de crimes commis entre 1980 et 2000, lors du conflit armé contre les guérillas de gauche. La Cour interaméricaine des droits de l'homme s'y oppose.

The Life and Times of a Cornish Funeral Director
Chattin' with Janet De La Cour

The Life and Times of a Cornish Funeral Director

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 33:54


The first part of my interview with Janet, plus Cornish choughs and the Gaia TrustJoybringer - played by Federation (1981)Graham Hawke, David Bray, Al Nance, Jon Hooper, Steve Treadwell, Sally Rowe.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Tchad : que sait-on de la mort d'un haut fonctionnaire de l'État ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les largages d'aide humanitaires à Gaza, un accord sur les migrants annulé et une rémunération colossale de Tesla à son PDG. Tchad : que sait-on de la mort d'un haut fonctionnaire de l'État ?  Au Tchad, le corps d'un haut fonctionnaire, Fulbert Mouanodji, a été découvert samedi dernier. Que sait-on des circonstances de sa mort ? Pourquoi sa famille ne croit-elle pas à la thèse du suicide ? Pourrait-il y avoir une enquête indépendante concernant sa mort ? Avec Nadia Ben Mahfoudh, correspondante de RFI à N'Djamena.     Gaza : les largages d'aide humanitaire jugées dangereuses  Plusieurs pays dont la France ont commencé à larger de l'aide humanitaire par voie aérienne à Gaza. Pourquoi ces opérations sont-elles jugées dangereuses par de nombreuses ONG ? Quelles alternatives pourraient être envisagées ? Avec Adéa Guillot, porte-parole de CARE France.      Italie/Albanie : un accord controversé sur les demandes d'asile annulé   La Cour de justice de l'Union européenne a invalidé un accord controversé entre l'Italie et l'Albanie, concernant l'externalisation de demandes d'asile. En quoi consistait cet accord entre Rome et Tirana ? Quelles sont les failles juridiques relevées par la CJUE ? Avec Tania Racho, chercheuse associée au laboratoire IEDP (Université Paris-Saclay), membre du collectif Désinfox Migrations.      Elon Musk : une rémunération colossale de Tesla en pleine bataille juridique  Tesla a accordé 29 milliards de dollars d'actions à Elon Musk pour le garder à la tête de l'entreprise. Est-ce que Elon Musk menace vraiment de quitter Tesla ? Pourquoi voudrait-il partir ? Musk est-il vraiment indispensable à la survie ou au succès de Tesla ?  Avec Emmanuel Botta, rédacteur en chef en charge de la stratégie numérique à Challenges. Co-auteur de l'ouvrage « Elon Musk : l'enquête inédite » (éditions Robert Laffont).

Journal de l'Afrique
RD Congo : Constant Mutamba devant la Cour de cassation

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 24, 2025 12:47


En République démocratique du Congo, un procès très médiatisé de l'ancien ministre de la Justice s'est ouvert dans la capitale Kinshasa. Constant Mutamba, l'ancien ministre, est accusé d'avoir détourné près de 20 millions de dollars, mais il clame son innocence. 

Reportage International
Thaïlande: une jeunesse lasse des troubles politiques incessants

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 24, 2025 2:37


La suspension de la Première ministre Paetongtarn Shinawatra, le 1er juillet, a plongé le royaume dans une nouvelle zone de turbulences. Face à l'instabilité chronique et à un système verrouillé par les élites conservatrices et le pouvoir militaire, de jeunes Thaïlandais expriment leur désarroi, et parfois une fragile lueur d'espoir. De notre correspondant à Bangkok, Valentin Cebron Angelo n'avait que trois ans quand l'armée a renversé Thaksin Shinawatra en 2006. Cet étudiant de 22 ans se souvient en revanche du chaos qui a précédé le coup d'État de 2014 et des années de junte militaire qui ont suivi. Alors aujourd'hui, la suspension par la Cour constitutionnelle de la Première ministre Paetongtarn Shinawatra, fille de Thaksin, ne le rassure pas. « Ce qui se passe actuellement ressemble beaucoup aux évènements qu'on a connus ces vingt dernières années. J'ai le sentiment que la Thaïlande peut replonger dans une nouvelle phase d'instabilité. Tout cela s'inscrit dans le prolongement du déclin démocratique amorcé en 2006. » Il en veut à la Cour constitutionnelle, qui, en moins de deux ans, a dissous le parti progressiste vainqueur des élections de 2023, et destitué un Premier ministre l'année suivante. « La Cour constitutionnelle est une institution politiquement corrompue, utilisée par la classe dirigeante pour servir ses intérêts et se débarrasser de ses opposants. Ça reste le mécanisme le plus attrayant pour les tenants du pouvoir, car elle est moins bruyante qu'un coup d'État militaire. » « Ce changement, l'État ne pourra pas l'ignorer » Selon un sondage, 83% des Thaïlandais de 18-24 ans sont inquiets de l'instabilité politique de leur pays. Ice, 21 ans, est dépitée : « Je ne suis pas surprise. C'est toujours le même schéma. En tant que jeune thaïlandaise, honnêtement, je me sens triste et sans espoir… » Manifestation ultra-nationaliste, appels au putsch : la crise actuelle fait redouter le pire à certains jeunes, comme Tong, 29 ans : « J'ai peur que l'armée profite de cette situation pour organiser un nouveau coup d'État, en prétextant des troubles et en invoquant la nécessité de reprendre le contrôle. Ça serait le pire des scénarios ». Pour Malinee Khumsupa, vice-doyenne de la faculté de sciences politiques à l'université de Chiang Mai, les aspirations de la jeunesse ne se réaliseront pas de sitôt : « La structure politique thaïlandaise est depuis longtemps enfermée dans un cercle vicieux. Elle ne changera pas du jour au lendemain. Mais la jeunesse me donne de l'espoir. Autrefois, les politiciens étaient plus âgés, et les partis ne recrutaient que dans les milieux d'affaires ou l'élite. Aujourd'hui, des jeunes et des gens ordinaires peuvent devenir candidats. Chaque année, je vois de plus en plus de mes étudiants rejoindre un parti. Ce changement culturel, porté par une génération qui défend la démocratie, l'État ne pourra pas éternellement l'ignorer ». Itim, 22 ans, fait partie de ces jeunes, qui veulent rester confiants : « C'est frustrant de voir ces crises se répéter sans arrêt. On n'arrête pas de réclamer des réformes, alors que la structure elle-même, les règles du jeu, n'ont pas changé. Mais les jeunes se font entendre depuis 2019, et la foi qui s'est éveillée à cette époque reste vivace chez beaucoup d'entre nous. C'est ce qui me donne l'espoir qu'un jour, nous pourrons briser ce cycle ». Si Paetongtarn Shinawatra est destituée dans les semaines à venir, la Thaïlande pourrait se retrouver avec un septième Premier ministre en moins de quatre ans. À lire aussiDes affrontements frontaliers entre le Cambodge et la Thaïlande font une dizaine de victimes civiles

ONU Info

Au menu de l'actualité :La Cour internationale de justice a rendu un avis historique sur le climatLe PAM s'apprête à suspendre ses opérations dans le nord-est du NigériaLa cheffe de la MiINUSCA vient d'effectuer une visite en Chine  Présentation : Jérôme Bernard

La Revue de Presse
La Cour internationale de justice se prononce sur les obligations légales des Etats en faveur du climat

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later Jul 24, 2025 6:20


La Cour internationale de justice (CIJ), plus haute juridiction de l'ONU, a rendu un avis inédit sur les obligations des Etats en matière de lutte contre le changement climatique. Une décision symbolique et potentiellement décisive, pouvant peser sur les politiques environnementales et les tribunaux du monde entier. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal de 18h00
Vers une justice climatique internationale ?

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Jul 23, 2025 15:01


durée : 00:15:01 - Journal de 18h - La Cour internationale de justice se mobilise contre le dérèglement climatique. Elle accuse les Etats qui ne respectent pas leurs obligations de commettre un acte illicite qui pourrait les obliger à verser des réparations aux pays les plus touchés.

Les journaux de France Culture
Vers une justice climatique internationale ?

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 23, 2025 15:01


durée : 00:15:01 - Journal de 18h - La Cour internationale de justice se mobilise contre le dérèglement climatique. Elle accuse les Etats qui ne respectent pas leurs obligations de commettre un acte illicite qui pourrait les obliger à verser des réparations aux pays les plus touchés.

Les Grandes Gueules
Vallaud-Belkacem à la Cour des comptes : nomination polémique - 18/07

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 12:32


Pour débuter l'émission de ce vendredi 18 juillet 2025, les GG : Bruno Poncet, cheminot, Charles Consigny, avocat, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent du sujet du jour : Vallaud-Belkacem à la Cour des comptes, nomination polémique.

Journal d'Haïti et des Amériques
Saisie record de drogue en Haïti

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 30:00


Plus d'une tonne de cocaïne, répartie dans 49 sacs, a été trouvée ce dimanche, par des agents de la police nationale. C'est l'une des saisies les plus importantes de ces 30 dernières années, précise le correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Haïti est une plaque tournante du trafic de drogue dans la région, complète Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Cette situation est due à l'expansion des gangs armés, mais pas seulement. Un réseau international «structuré composé d'anciens militaires, de membres de la police, de parlementaires et de chefs d'entreprises, actif en Haïti et aux États-Unis, s'est formé, depuis les années 1980», explique Gotson Pierre. Ces trafiquants utilisent notamment le commerce de l'anguille pour blanchir leurs revenus. «Les multiples saisies de drogue sur les côtes nord et sud d'Haïti montrent que c'est une organisation bien rodée», ajoute le journaliste d'Alterpresse.   Le Premier ministre haïtien est aux États-Unis La situation en Haïti est au cœur du voyage d'Alix Didier Fils-Aimé aux États-Unis. Le Premier ministre, qui n'a rencontré aucun responsable américain de premier plan, sera de retour le 17 juillet. Les États-Unis tirent la sonnette d'alarme. Ils estiment que la crise sécuritaire haïtienne constitue une menace directe pour la sécurité régionale et nationale du pays. Ce déplacement suscite, par ailleurs, des tensions internes. L'agenda d'Alix Didier Fils-Aimé n'a pas été communiqué à tous les membres du gouvernement, précise Gotson Pierre. À trois semaines de la fin de la présidence de Fritz Alphonse Jean, «échéance hautement symbolique dans le calendrier de la transition» selon le directeur d'Alterpresse, le CPT est à nouveau dans la tourmente.   Donald Trump peut poursuivre le démantèlement du ministère de l'Éducation La Cour suprême a validé les licenciements ordonnés par le président américain et comme il s'agit d'une procédure d'urgence, elle n'a pas motivé sa décision, précise le Washington Post. On ne sait pas non plus qui a voté pour ou contre. Mais les trois juges progressistes de la Cour (sur un total de 9) ont fait savoir leur opposition, raconte le journal. Dans un communiqué, ils ont dénoncé une «décision indéfendable». «Quand le pouvoir exécutif annonce son intention de violer la loi, puis met cette promesse à exécution, le devoir du pouvoir judiciaire est de faire barrage à cette illégalité, pas de la faciliter», peut-on lire. Ces trois juges estiment que la Cour suprême a accru les prérogatives du président. Comme le rapporte le New York Times, selon eux, seul le Congrès, qui a créé ce ministère il y a environ un demi-siècle, a le pouvoir de le supprimer. La décision de Donald Trump n'a jamais été soumise à l'approbation des parlementaires, précise le quotidien. Le pouvoir de l'exécutif se trouve ainsi renforcé, et le ministère de l'Éducation est lui affaibli, juge le New York Times. Comme le raconte le quotidien, en marge de cette bataille judiciaire, des employés ont déjà été renvoyés : ceux qui avaient un contrat précaire. L'administration a également offert à certains de partir en retraite anticipée. Enfin, en mars, Donald Trump a ordonné des licenciements massifs et bien que la justice ait suspendu cette décision, très peu de fonctionnaires ont été réintégrés. Résultat, le ministère de l'Éducation qui comptait 4.000 employés au début de l'année, ne fonctionne aujourd'hui qu'avec la moitié de ces effectifs, explique le New York Times.   À quoi sert le ministère de l'Éducation américain ? Si l'éducation est surtout gérée par les autorités locales aux États-Unis, le ministère de l'Éducation joue quand même un rôle important dans certains domaines. «Il est responsable de la gestion du programme fédéral de prêts aux étudiants qui s'élève à 1,6 milliard de dollars, des subventions aux écoles primaires et secondaires, des tests de réussite et des réglementations sur les droits civiques dans les écoles», détaille le Washington Post. Autant de missions que le ministère n'a plus vraiment les moyens d'accomplir, juge le New York Times pour qui «ces efforts pour abolir ce ministère font partie d'un agenda plus large des conservateurs qui veulent que plus d'argent aille aux écoles privées et à l'enseignement à la maison.» La grande loi budgétaire voulue par Donald Trump et approuvée récemment prévoit d'ailleurs d'importants crédits d'impôt pour l'enseignement privé, souligne le quotidien. Le ministère de l'Éducation continue de jouer un rôle en ce qui concerne les droits civiques. Là encore, Donald Trump s'en sert pour son agenda politique, raconte le New York Times. Le président l'utilise pour obliger les établissements scolaires à faire machine arrière en matière de lutte contre les discriminations. Finies par exemple, les équipes de sport composées d'étudiants transgenres ou les toilettes ouvertes à tous les élèves. En revanche, pour ce qui est de l'accès à l'école des enfants handicapés, cela n'intéresse pas Donald Trump, pointe le quotidien qui relève qu'il s'agit pourtant d'un droit civique.   Le Mexique voit rouge au sujet des tomates Les droits de douane de 17% sur les tomates importées de ce pays, décidés hier par Donald Trump, provoque des remous. «Aucun pays ne peut nous remplacer», mettent en garde les producteurs mexicains de tomates, dans les colonnes du quotidien argentin Infobae. 90% des tomates mangées aux États-Unis, viennent du Mexique, précise El Financiero. Un fruit difficile à transporter car il contient beaucoup d'eau, précise un expert au journal Milenio. Les États-Unis ne peuvent donc pas se passer du Mexique, se rassurent les fermiers mexicains, indique Infobae. Ils rappellent qu'en 2019, les États-Unis avaient déjà suspendu l'accord de libre-échange qui lie les deux voisins, avant de faire marche arrière 4 mois plus tard. «La raison va prévaloir» cette fois, encore estiment-ils.   L'Argentine déclassifie des archives nazies Le président Javier Milei a décidé de rendre public des archives liées à l'accueil de nazis après la Seconde Guerre mondiale. Alors que l'Europe peinait à se relever, l'Argentine, elle, était en plein boom économique. Pour soutenir cette croissance, le président Juan Perón a fait venir des milliers d'Européens. Les conditions d'accueil étaient généreuses, et les contrôles d'identité quasiment inexistants. Environ 12.000 nazis ont ainsi trouvé refuge en Argentine sous la présidence de Perón. «Ils menaient une vie discrète, sous un faux nom, parce qu'ils savaient qu'ils étaient recherchés», raconte l'historien Julio Mutti interrogé par Achim Lippold. «Plus tard, un décret d'amnistie du gouvernement péroniste leur a permis de reprendre leur vrai nom sans trop d'explications. Ils n'avaient pas de rôle social notable. Leur impact sur la société argentine de l'époque était très limité.» Il faut attendre le retour de la démocratie pour que la vérité émerge et que les archives soient déclassifiées sur décision du président Carlos Menem, en 1992. Grâce à ces documents, «nous savons désormais clairement qui est venu, où ils ont vécu, comment ils sont arrivés, sous quel nom, comment ils se sont cachés — tout cela est connu et a déjà été publié. Ce qui, en revanche, reste obscur, c'est l'origine des ressources financières ayant permis leur fuite. Pour une opération de cette ampleur, il a fallu de l'argent. Ce n'était ni simple, ni bon marché», explique Ariel Gelblung, directeur du Centre Simon Wiesenthal à Buenos Aires. Pour approfondir les recherches sur ces financements, le Centre Wiesenthal s'est tourné directement vers Javier Milei, en février 2025. Le président a accepté de leur faciliter l'accès à toutes les archives et «depuis, chaque fois que nous avons une requête, les services nous transmettent les documents. Il y a une directive en ce sens», poursuit Ariel Gelblung. Le gouvernement argentin a également commencé à mettre les documents en ligne. Mais les experts ne s'attendent pas à faire des découvertes majeures. Comme l'explique Julio Mutti, «90% de ce qu'il y avait à découvrir l'a déjà été (...) Le seul élément vraiment nouveau, ce sont des procès-verbaux de l'entreprise publique « Fabricaciones Militares ». Il y avait un projet de faire venir des techniciens étrangers, qui a bien eu lieu. On estime qu'environ 300 techniciens sont venus, dont des Polonais et d'autres pays qui étaient en guerre avec l'Allemagne nazie. Mais il y avait aussi des Allemands. Le problème, c'est qu'on ne sait pas encore si certains d'entre eux étaient des criminels de guerre ou des membres du parti nazi.» Selon le directeur du Centre Wiesenthal, Ariel Gelblung, les résultats des recherches menées par son équipe seront publiés au printemps 2026, le temps d'examiner tous les nouveaux documents disponibles, soit environ 38 kilomètres d'archives.   Le journal de la 1ère En Martinique, la gendarmerie reçoit des renforts.

Tout un monde - La 1ere
Pourquoi n'y a-t-il que 2 partis politiques aux Etats-Unis ?

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 20:24


(00:00:32) Elon Musk et l'impossible 3e parti politique américain (00:07:07) La Cour suprême américaine est-elle encore un contre-pouvoir ? - interview Anne Deysine (00:15:22) Copenhague récompense les bons touristes

C dans l'air
Pierre Moscovici - Dette: la France à l'heure des choix

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 13:22


C dans l'air l'invité du 9 juillet 2025 : Pierre Moscovici, Premier président de la Cour des comptes. À une semaine de la présentation par le Premier ministre des grandes orientations budgétaires pour 2026, la Cour des comptes tire la sonnette d'alarme. Dans son rapport publié mardi 2 juillet, elle dénonce une "forte dérive" des finances publiques. Elle pointe l'incapacité à contenir la dépense publique en 2024, qui conduit la France à afficher le déficit le plus élevé de la zone euro.La Cour des comptes estime que l'objectif de ramener le déficit à 3 % d'ici 2029 est hors d'atteinte et met en garde contre un possible effet "boule de neige" de la dette publique. Endettement record, dépenses incontrôlées : Pierre Moscovici appelle à “une reprise de contrôle".Pierre Moscovici, Premier président de la Cour des comptes décryptera avec nous les grandes lignes de ce rapport et les alertes adressées au gouvernement dirigé par François Bayrou.

La Matinale - La 1ere
L'invité de La Matinale - Patrice Spinosi, avocat à la Cour de cassation et auteur de "Menace sur l'État de droit"

La Matinale - La 1ere

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 13:14


Politique
Dérapage des finances publiques : à l'approche du budget, l'alerte de la Cour des comptes

Politique

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 40:27


François Bayrou échappe à la censure. Les députés Rassemblement national disent se réserver sur le budget à l'automne. Dans un rapport, la Cour des comptes alerte : le report des efforts n'est plus possible. Dans l'actualité de la semaine, il y a aussi cette rencontre entre Nicolas Sarkozy et Jordan Bardella qui a irrité une partie de la droite, tandis que la gauche se réunissait en vue de la présidentielle de 2027 – sans Jean-Luc Mélenchon ni Raphaël Glucksmann.

Les Experts
Vers un risque d'incident de crédit? La Cour des comptes s'inquiète: la Doze bonus de la semaine

Les Experts

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 9:10


Dans son dernier rapport, la Cour des comptes alerte sur l'urgence de redresser les comptes publics en 2026. L'institution commence à prendre très au sérieux la piste d'un incident de crédit, notamment lié à la soutenabilité de la dette. Cela pourrait avoir des effets très concrets sur la vie des Français. Les explications de Nicolas Doze dans votre Doze Bonus.

Journal d'Haïti et des Amériques
Pour beaucoup d'Haïtiens, la MMS est un échec

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 30:00


En Haïti, un an après son déploiement, la Mission multinationale d'appui à la sécurité est loin de faire l'unanimité. À Port-au-Prince, de nombreux citoyens expriment leur frustration face à une force qu'ils jugent inefficace, déconnectée des réalités du terrain et incapable d'assurer la sécurité espérée. Pour eux, les résultats concrets peinent à se faire sentir. Johnny, un habitant de Pétion-Ville que notre correspondant Peterson Luxama a interrogé, souligne que les gangs ont même étendu leur influence et conquis de nouveaux territoires au cours des derniers mois. «La situation ne fait que s'aggraver», renchérit Timothé qui pointe du doigt la communauté internationale qui a échoué à ramener le calme dans le pays. D'autres Haïtiens, plus nuancés, estiment en revanche que la mission n'a pas eu les moyens nécessaires pour réussir, entre manque de financement, logistique insuffisante et absence de stratégie claire. Steeve Pierre Luc, étudiant en droit, estime que les policiers kényans ne sont pas à blâmer : «Je salue leur courage car ce sont les seuls à avoir accepté de prendre la tête de cette mission.» Ils font ce qu'ils peuvent avec ce qu'ils ont à leur disposition, résume le jeune homme. Certaines structures internationales, comme le Bureau intégré des Nations unies, parlent de progrès, aussi modestes soient-ils, et refusent de qualifier cette mission d'échec.   Les Haïtiens pourront bénéficier du TPS jusqu'en février Un juge américain a statué en faveur des Haïtiens bénéficiant du TPS, ce statut de protection temporaire, nous apprend le Miami Herald. Un juge new-yorkais a estimé que «l'administration Trump avait eu tort de raccourcir la durée du TPS de 6 mois». Pour les Haïtiens, il restera donc en vigueur jusqu'en février 2026, comme prévu initialement, ce qui «laisse à plus d'un demi-million de ressortissants haïtiens (...) plus de temps pour se protéger contre la perte de leur permis de travail et de leur protection contre l'expulsion des États-Unis», écrit le quotidien. Des personnes qui, comme le raconte Me Frandley Denis Julien, avocat spécialisé en immigration dans les colonnes du Nouvelliste, possèdent des maisons, ont «des enfants dont certains sont nés aux États-Unis, ont grandi dans ce pays et ne peuvent pas retourner en Haïti parce qu'ils n'y ont aucun attachement, ne le connaissent pas.» Il ne s'agit toutefois que d'un sursis temporaire puisque, comme le précise le Miami Herald, l'administration Trump peut faire appel de cette décision. Et puis de toute façon, le TPS ne devrait pas survivre au-delà de février 2026 car, comme le fait remarquer Me Frandley Denis Julien, toujours dans le Nouvelliste, «l'administration Trump veut expulser le plus de personnes possible». Seule solution selon lui, et encore sans garantie : mettre en avant «les impacts économiques négatifs pour les États-Unis» du départ de tous ces Haïtiens. Il appelle donc à «mobiliser les chambres de commerce».   Le «projet Esther» aux États-Unis Aux États-Unis, la guerre à Gaza a provoqué, depuis son début, en octobre 2023, un mouvement de protestation notamment sur les campus universitaires, avec des manifestations pro-palestiniennes. Donald Trump a d'ailleurs engagé un bras de fer avec certaines universités, comme Harvard. L'administration fédérale l'a encore accusée, ces derniers jours, de violer les droits des étudiants juifs et menace l'établissement de mettre fin aux subventions qu'il reçoit. Tout cela fait partie d'une politique inspirée par une feuille de route : le «Projet Esther», élaboré par la très conservatrice Heritage Foundation, «l'un des groupes de réflexion les plus influents du pays» et qui a des liens avec l'équipe de Donald Trump, explique Quentin Peuron, doctorant à l'Université Lumière Lyon 2 dont la thèse porte sur «le remodelage du Parti républicain sous l'effet de l'infrastructure trumpiste». «La Heritage Fundation considère que tout mouvement pro-palestinien est en réalité une façade pour un réseau de soutien au Hamas», décrypte le chercheur. Face à la répression qui s'abat sur certains campus, des universitaires et des étudiants crient à la censure, et s'attirent les foudres du gouvernement. Plusieurs étudiants étrangers qui avaient participé à des manifestations pro-palestiniennes, ont ainsi vu leur visa annulé. La justice est intervenue plusieurs fois pour défendre la liberté d'expression, chère aux Américains. D'après Quentin Peuron, peu importe pour Donald Trump qui «ne cherchait pas vraiment à obtenir des résultats concrets, mais plutôt à instaurer un climat de peur».   La Cour suprême du Costa Rica demande au Parlement la levée de l'immunité du président C'est du jamais vu dans le pays, écrit La Teja qui souligne que la nouvelle fait la Une de plusieurs médias internationaux. Et il n'y a pas de quoi s'en réjouir, se désole le journal. Rodrigo Chaves est accusé de corruption. Comme l'explique La Republica, il aurait obligé une entreprise qui avait obtenu un contrat avec la présidence, à reverser 32.000 dollars à l'un de ses amis. C'est désormais à l'Assemblée législative de se prononcer. Certains députés interrogés par le journal La Nacion ont d'ores et déjà fait savoir qu'ils espéraient que Rodrigo Chaves démissionnerait avant. Et ce serait assez bien joué de sa part, analyse La Teja. Rodrigo Chaves a déjà dit qu'il envisageait de renoncer à son poste pour se lancer dans la campagne des législatives de 2026. Lui qui ne peut pas se présenter à la prochaine présidentielle, comptait à la place se faire élire député. S'il démissionnait, il redeviendrait un citoyen comme les autres, explique La Teja, et ce serait donc à la justice ordinaire de le juger. Ce qui prendrait des années. Et s'il est élu député en février 2026, il récupèrera son immunité. Il serait ainsi tranquille pendant au moins quatre ans, poursuit le journal, alors que s'il reste président, son procès aura lieu dans quelques moins tout au plus.   Le journal de la 1ère Les deux leaders du mouvement Trop Violans en Guyane, sont menacés d'interdiction de manifester.

Les matins
Festival d'Avignon 2025 : la cour des miracles

Les matins

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 4:32


durée : 00:04:32 - Le Son d'Avignon - par : Marie Sorbier - J-4 avant le début de la 79e édition du Festival d'Avignon. Avant l'arrivée des festivalières et festivaliers, immersion dans les spectacles qui, déjà, rencontrent le public. Aujourd'hui, "Les Incrédules" de Samuel Achache. - invités : Thibault Perriard Musicien

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Caroline Loyer : Trump conforté par la Cour suprême - 30/06

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 3:36


Ce lundi 30 juin, Donald Trump qui a crié victoire après la décision de la Cour suprême américaine limitant le pouvoir des juges fédéraux et bloquant leurs décisions a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Franck Ferrand raconte...
Kepler à la cour de Prague

Franck Ferrand raconte...

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 21:50


Toute sa vie, dans une époque vouée à la compréhension du monde, Johannes Kepler s'est ingénié à mettre en équation les réalités environnantes. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chronique de Mamane
Missiles balistiques et Dôme de fer dans la Cour de Récré

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 3:00


Dans la Cour de Récré, ce mois de juin n'est pas de tout repos.

One Thing In A French Day
Qui a le meilleur français ? La cour, le palais ou la ville ? 2521 — Mercredi 11 juin 2025

One Thing In A French Day

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 9:38


La semaine dernière, j'ai passé les portes de la Sorbonne, la célèbre université, la plus ancienne de France qui existe depuis le XIIIe siècle. J'y allais pour rencontrer le linguiste Gilles Siouffi qui vient d'écrire un livre sur l'histoire linguistique de Paris. Son livre s'intitule « Paris Babel ». J'ai adoré ce livre qui se lit comme un roman et qui permet de s'approprier l'histoire du français comme on ne nous l'a jamais racontée. Un siècle très important dans l'histoire du français, c'est le XVIIe siècle. On se bat pour savoir qui a le meilleur français. C'est ce que Gilles Siouffi va nous expliquer dans l'épisode d'aujourd'hui. Il va aussi nous parler des modes de prononciations.    www.onethinginafrenchday.com #frenchcourtlanguage #versaillesfrench #17thcenturyfrench #frenchpronunciationhistory #sociallanguagetrendsfrance #frenchclassdistinctions #parisvsversailles #frenchlanguagefashions #historicalfrenchspeech #frenchlinguisticsorbonne