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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les signataires d'une tribune au Mali pour « la sauvegarde des libertés et des droits fondamentaux » et sur le rapport commandé par l'Etat français sur l'influence des Frères musulmans. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. RDC : l'opposant et ex-Premier ministre Matata Ponyo condamné La Cour constitutionnelle a condamné l'opposant et ancien Premier ministre Matata Ponyo à 10 ans de travaux forcés pour détournement de fonds. Sur quoi se basent les avocats de la défense pour dénoncer un procès politique ? Matata Ponyo bénéficie encore de son immunité de député, sa peine sera-t-elle immédiatement appliquée, ou doit-on attendre la fin de son mandat ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI Mali : une tribune « pour la préservation de la République » Près de trente personnalités ont signé une tribune pour « la sauvegarde des libertés et des droits fondamentaux » au Mali. Que sait-on des signataires ? Ont-ils un projet politique ? La junte militaire ayant dissous tous les partis politiques et interdit leurs activités, que risquent ces personnes ? Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI France : ce que dénonce le rapport sur les Frères musulmans Le rapport sur les Frères musulmans en France alerte sur une «menace pour la cohésion nationale». Sur quels éléments s'appuie ce document pour dénoncer l'influence croissante des Frères musulmans ? Le mouvement pourrait-il être classé " «organisation terroriste» sur le sol français comme c'est déjà le cas dans plusieurs pays? Avec Vincent Geisser, chargé de recherche (CNRS) à l'Institut de recherches et d'études sur les mondes arabes et musulmans (IREMAM-AMU) d'Aix-en-Provence Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Aujourd'hui, Jessica revient sur la façon dont, à chacune de ses apparitions publiques, le président camerounais Paul Biya est scruté par les internautes.
Ça n'est pas tous les jours en RDC qu'un homme politique d'un tel rang est condamné à une telle peine… Ce verdict fait la Une de la presse congolaise.« L'ancien Premier ministre Matata Ponyo est condamné à 10 ans de travaux forcés, relève Actualité CD, ses co-prévenus – un ancien gouverneur de la Banque centrale du Congo et le patron Sud-africain de la société Africom - à 5 ans de travaux forcés. Les trois hommes étaient poursuivis depuis 2021 ans dans l'affaire de la débâcle du parc agro-industriel Bukanga Lonzo. Les condamnés ont été reconnus coupables d'avoir détourné plus de 285 millions de dollars liés à ce projet initié sous le régime du président Joseph Kabila. »Matata Ponyo n'était pas présent à l'audience. La Cour constitutionnelle a ordonné son arrestation immédiate et la confiscation de ses biens au prorata des sommes détournées.Irrégularités en pagaille…« C'est l'épilogue spectaculaire d'un feuilleton politico-judiciaire qui dure depuis près de quatre ans », s'exclame Afrik.com.Afrik.com qui revient longuement sur les origines de ce scandale politico-financier. « Lancé entre 2013 et 2016, Bukanga Lonzo devait symboliser la renaissance agricole de la RDC. Ce projet d'envergure nationale visait à transformer un vaste espace en centre agro-industriel moderne, créateur d'emplois, fournisseur de denrées alimentaires locales, et levier contre la pauvreté rurale. Mais les espoirs ont rapidement laissé place aux soupçons, relève Afrik.com. Dès novembre 2020, un rapport accablant de l'Inspection générale des finances, l'IGF, avait mis en lumière de graves irrégularités : choix arbitraire de partenaires, absence de mécanismes de contrôle, surfacturation, détournements massifs et abandon du chantier. L'IGF en a alors attribué la responsabilité principale à Matata Ponyo, alors Premier ministre. »Et s'en est ensuivi une longue bataille judiciaire… « Pour Matata Ponyo, le dossier est avant tout politique, pointe encore le site panafricain. Dans une vidéo publiée en mars dernier, il dénonçait une instrumentalisation du pouvoir judiciaire pour l'écarter de la scène politique. »Une justice sélective ?En tout cas, poursuit Afrik.com, « au-delà du cas Matata, ce dossier cristallise les limites de la gouvernance en RDC. Il illustre la difficulté chronique du pays à concrétiser des projets de développement malgré des ressources importantes, à cause de la corruption, du clientélisme et de l'absence de redevabilité. La condamnation d'un ancien Premier ministre pourrait être perçue comme un signal fort de la part du pouvoir en matière de lutte contre l'impunité. Mais pour beaucoup, relève encore le site, elle soulève surtout la question de la sélectivité de la justice. Pourquoi certains dignitaires de l'ancien régime ou même du régime actuel échappent-ils à toute poursuite ? Pourquoi cette affaire ressurgit-elle à des moments clés de la vie politique congolaise ? »Le site congolais L'Interview CD renchérit : « ce verdict suscite de vives réactions dans un contexte politique déjà tendu en RDC. Matata Ponyo, figure de l'opposition et ancien candidat à la présidentielle de 2023, où il s'était désisté en faveur de Moïse Katumbi, reste une personnalité influente. Ses partisans voient dans ce verdict une tentative du pouvoir en place, sous la présidence de Félix Tshisekedi, d'éliminer un adversaire potentiel en vue des prochaines échéances électorales. »Qui plus est, poursuit L'Interview CD, « cette condamnation pourrait exacerber les tensions entre le pouvoir et l'opposition, dans un pays où la justice est souvent accusée d'être instrumentalisée. »Et le site congolais de conclure : « alors que la RDC fait face à des défis sécuritaires et économiques persistants, cette condamnation risque de raviver les débats sur la transparence et la lutte contre la corruption. Pour l'heure, Matata Ponyo et ses avocats envisagent de faire appel ou de saisir des instances internationales, tandis que ses soutiens appellent à une mobilisation pour dénoncer ce qu'ils qualifient de “justice sélective“. »Au Sénégal aussi…Enfin, un autre ancien ministre sous les feux de la Justice… Cette fois au Sénégal. « Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice sous Macky Sall, a été inculpé, relate Walf Quotidien, puis assigné, hier, en résidence surveillée par les juges de la commission d'instruction de la Haute cour de justice pour “corruption et détournement de deniers publics“ présumés. »Ironie du sort, pointe Walf Quotidien : Ismaïla Madior Fall porte désormais à la cheville le bracelet électronique qu'il avait lui-même instauré quand il était garde des Sceaux…
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Mourad Boudjellal et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La situation budgétaire belge inquiète fortement, à commencer par Bart De Wever qui évoque un "Budget Titanic", image d'un naufrage financier hérité des gouvernements précédents. Malgré des mesures d'austérité annoncées — économies sur les pensions, réforme du chômage, baisse des dépenses publiques — la Commission européenne prévoit un déficit de 5,4 % du PIB en 2025. La Belgique figure ainsi parmi les pires élèves budgétaires de l'UE. La Cour des comptes, elle aussi, exprime des doutes, notamment sur les "effets retours" surestimés par le gouvernement, évalués à 8 milliards. Ces prévisions trop optimistes fragilisent l'équilibre budgétaire et annoncent de futurs ajustements délicats. La Fédération Wallonie-Bruxelles n'échappe pas à la tempête : le déficit y est revu à la hausse, les économies supplémentaires repoussées à 2026. Le ton initial d'optimisme a laissé place à une gestion d'urgence. Plus qu'un Titanic, la chronique évoque même un "radeau de la Méduse". Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La situation budgétaire belge inquiète fortement, à commencer par Bart De Wever qui évoque un "Budget Titanic", image d'un naufrage financier hérité des gouvernements précédents. Malgré des mesures d'austérité annoncées — économies sur les pensions, réforme du chômage, baisse des dépenses publiques — la Commission européenne prévoit un déficit de 5,4 % du PIB en 2025. La Belgique figure ainsi parmi les pires élèves budgétaires de l'UE. La Cour des comptes, elle aussi, exprime des doutes, notamment sur les "effets retours" surestimés par le gouvernement, évalués à 8 milliards. Ces prévisions trop optimistes fragilisent l'équilibre budgétaire et annoncent de futurs ajustements délicats. La Fédération Wallonie-Bruxelles n'échappe pas à la tempête : le déficit y est revu à la hausse, les économies supplémentaires repoussées à 2026. Le ton initial d'optimisme a laissé place à une gestion d'urgence. Plus qu'un Titanic, la chronique évoque même un "radeau de la Méduse". Merci pour votre écoute Les coulisses du Pouvoir c'est également en direct tous les jours de la semaine vers 7h40 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Les coulisses du Pouvoir sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/11443 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrLes couleurs de l'info : https://audmns.com/MYzowgwMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQTransversales : notre collection de reportages infos longue forme : https://audmns.com/WgqwiUpN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de "Entrez dans l'Histoire", direction Versailles avec une femme qui tenait Louis XV et le Royaume de France dans le creux de sa main. Madame de Pompadour, née Jeanne Poisson, est l'une des maitresses royales les plus célèbres de l'histoire de France. Découvrez l'ascension fulgurante de cette femme hors norme, à laquelle le roi est resté fidèle... même après la fin de leur idylle. Crédits : Lorànt Deutsch, Emma Locatelli. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cette nouvelle édition, la programmation du festival offre une myriade de contes, pour les enfants (dès 1 an) pour les jeunes (ados) et mêmes pour les adultes. Une programmation riche pour tous les âges et tous les porte-monnaies, car 5 spectacles gratuits sont à découvrir. La particularité de cette édition est lʹinvitation spéciale dʹun conteur portugais, Luis Correia Carmelo, qui interprétera un spectacle en portugais et un autre en français. Le Festival se tient jusquʹau 25 mai dans différents lieux de la commune de Plan-les-Ouates à Genève. Pascal Mabut programmateur et délégué du développement culturel de la commune de Plan-les-Ouates, est au micro de Layla Shlonsky
durée : 00:15:15 - Journal de 8 h - Les juges ont-ils trop de pouvoir ? C'est ce que pense l'administration Trump. Donald Trump voulait revenir sur le droit du sol, mais des tribunaux ont suspendu son décret. La Cour suprême s'y penche, le point depuis les États-Unis dans cette édition.
durée : 00:15:15 - Journal de 8 h - Les juges ont-ils trop de pouvoir ? C'est ce que pense l'administration Trump. Donald Trump voulait revenir sur le droit du sol, mais des tribunaux ont suspendu son décret. La Cour suprême s'y penche, le point depuis les États-Unis dans cette édition.
durée : 00:15:15 - Journal de 8 h - Les juges ont-ils trop de pouvoir ? C'est ce que pense l'administration Trump. Donald Trump voulait revenir sur le droit du sol, mais des tribunaux ont suspendu son décret. La Cour suprême s'y penche, le point depuis les États-Unis dans cette édition.
En Turquie, les négociations entre la Russie et l'Ukraine vont mal. Les négociations avancent très bien entre les États-Unis et l'Iran. La Cour suprême des États-Unis entend une requête explosive de Trump. Trump arrive aux Émirats arabes unis. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:06:04 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Considérée comme la première armée européenne, la France a augmenté de 40% le budget alloué à sa Défense dans son plan de programmation militaire 2024 2030. Sera t-il à la hauteur de l'urgence ? La Cour des comptes s'inquiète des reports de charges qui ont atteint un record historique en 2024.
La Cour suprême israélienne a annulé le processus de nomination du commissaire de la fonction publique.Avec Maître Philippe Koskas, nous avons interrogé la portée de cette décision, qui révèle bien plus qu’un désaccord administratif :⚖️ Elle cristallise la tension entre exécutif et judiciaire, dans un contexte de réforme institutionnelle contestée. Un moment clé pour comprendre les lignes de fracture de l’État de droit israélien.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Charlie-Maud reçoit Caroline Chaput, travailleuse sociale et fondatrice du Centre d'évaluation psychosocial inc. Elles discutent de la réalité des séparations familiales, de la place des expertises psychosociales et de l'importance de la médiation. Caroline met en lumière les défis de la coparentalité : communication entre ex, besoin de se remettre en question, et danger d'instrumentaliser les enfants. Elle propose des pistes comme le coaching coparental et rappelle que les décisions doivent être prises dans l'intérêt des enfants, même quand c'est pas simple. Une conversation franche, pleine de nuances et de pistes concrètes.-Pour trouver Caroline ChaputSite web : https://centreevaluationpsychosociale.com/Courriel: info@centreevaluationpsychosociale.com---On te rappelle que notre équipe de professionnelles est là pour te soutenir. ✨ Tu peux prendre rendez-vous directement en ligne ou en nous contactant au 418 755-9263.
durée : 00:52:13 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Longtemps resté à l'écart des salles de classe, le jeu est devenu l'une des pierres angulaires de l'enseignement primaire. La naissance de l'école maternelle et l'émergence de pédagogies nouvelles symbolisent ce mouvement vers un apprentissage fondé sur la confiance et l'individualité de l'enfant. - réalisation : Milena Aellig, Emily Vallat - invités : Gilles Brougère Professeur de sciences de l'éducation à l'université Sorbonne Paris Nord, spécialiste du jeu, membre d'EXPERICE, le Centre de Recherche Interuniversitaire Expérience Ressources Culturelles, Éducation; Sylvain Wagnon Historien, professeur en sciences de l'éducation à l'université de Montpellier et spécialiste de l'éducation nouvelle et libertaire
La Cour internationale de justice (CIJ) rejette la plainte du Soudan, qui accusait les Émirats arabes unis de complicité de génocide pour leur soutien militaire aux rebelles des Forces de soutien rapide (FSR). Mais est-ce que cela veut dire qu'il n'y a pas eu, l'an dernier, une tentative de génocide de la part des FSR contre la communauté masalit du Darfour occidental ? Marc Lavergne a été le coordinateur du groupe d'experts du Conseil de sécurité de l'ONU pour le Soudan. Aujourd'hui, il est directeur de recherches émérite au CNRS et a publié en mars 2025, dans le numéro 196 de la revue Hérodote Géopolitique de la Mer Rouge. RFI : Comment réagissez-vous au rejet de la plainte du Soudan contre les Émirats ? Marc Lavergne : Ce rejet était un petit peu attendu. Je pense que la Cour reste dans son champ de compétence en émettant évidemment quelques considérations humanitaires qui ne sont pas directement de son ressort. Mais elle est extrêmement prudente. Elle manque d'éléments très factuels. Mais également, l'enjeu est important puisqu'il s'agit d'incriminer les Émirats arabes unis dans leur soutien, plus ou moins avéré quand même, aux Forces de soutien rapide (FSR) qui affrontent l'armée soudanaise.Est-ce qu'on peut parler d'une victoire diplomatique des rebelles des FSR contre l'armée soudanaise ? Oui, c'est un petit peu un soulagement. Mais enfin, les FSR en question, elles ont sur le terrain, effectivement, des moyens d'affronter l'armée. Elles ne s'avouent pas vaincues, même si elles ont perdu la capitale. Mais elles sont soutenues par la plupart des pays africains qui entourent le Soudan et surtout par les Émirats arabes unis qui sont mus par l'intérêt qu'ils trouvent à exploiter les richesses aurifères du Soudan.Alors la Cour s'est déclarée incompétente pour des raisons juridiques, parce que, lorsque les Émirats ont adhéré en 2005 à la Convention sur le génocide, ils ont précisé qu'ils ne reconnaîtraient pas à la Cour le droit d'arbitrer un différend entre deux États…Oui, c'est-à-dire que finalement, ils ont signé, mais ils ne se sont engagés à rien.Mais malgré cette déclaration d'incompétence, la Cour précise qu'elle est profondément préoccupée par la tragédie humaine qui se déroule notamment dans le Darfour occidental…Oui, nous le sommes tous, j'imagine, mais je ne pense pas que ça ait un effet pratique, ni même des conséquences juridiques. Il faut pour ça qu'il y ait des preuves qui soient amenées par des experts sur place pour qualifier de « génocide » les exactions qui se déroulent au Darfour occidental, la région qu'habitent les Massalits à la frontière du Tchad, et qui provoquent des centaines de milliers de déplacés au Tchad même.Est-ce que cette plainte du Soudan n'a quand même pas eu le mérite de mettre en lumière les massacres de Massalits à el-Geneina, il y a un an, par les FSR ? Oui en effet, c'est une pierre de plus à apporter à l'édifice. Mais je pense que les FSR sont parfaitement identifiées comme étant des prédateurs, des pillards, des gens qui ne cherchent pas à fonder ou à remplacer un gouvernement, mais juste à se payer sur la bête. Parce que ce sont des gens qui sont eux-mêmes victimes de changement climatique, de problèmes de toutes sortes, qui font que, comme dans tout le Sahel, il y a une descente de ces nomades au détriment des sédentaires.Est-ce qu'on peut parler de nettoyage ethnique de la part des FSR contre les Massalits dans l'ouest du Darfour ? Oui, très clairement. C'est un nettoyage ethnique qui a une raison d'être. C'est-à-dire de s'approprier les terres de ces cultivateurs que sont les Massalits pour se sédentariser et trouver des sources finalement de survie autre que l'élevage des chameaux en périphérie du désert.Et est-ce qu'on peut parler du coup de tentative de génocide ? Oui, mais ce n'est pas un génocide, je dirais, sur une base de différences religieuses ou de différences idéologiques. Il s'agit d'un génocide, vraiment pour s'approprier des terres. Il n'y a pas de haine particulière des Rizeigat en particulier, qui sont à la manœuvre avec les FSR, contre les Massalits qui sont installés là en tant que sultanats partagés entre le Tchad et le Soudan.Deux ans après le début du conflit, est-ce que vous en voyez une issue ? Non, par épuisement d'un des deux combattants éventuellement. Mais on voit qu'il y a des soutiens de chaque côté. Le soutien des Émirats arabes unis n'est pas le soutien de tous les pays arabes. L'Égypte soutient l'armée. D'autres pays riverains du Soudan, pour des raisons très diverses, soutiennent les FSR. On pense à l'Éthiopie par son animosité à l'égard de l'Égypte autour du grand barrage de la Renaissance sur le Nil. Et les pays comme le Kenya, l'Ouganda, le Tchad soutiennent également de façon plus ou moins directe les FSR. Ce qui est assez paradoxal puisque ce sont des gens qui n'ont pas de projet d'État. Et quant à la population elle-même, elle a beaucoup de mal à choisir entre la peste et le choléra que sont l'armée et les FSR.Est-ce que vous croyez encore à une solution politique entre les deux belligérants ? Je crois à une solution politique à partir du moment où les robinets qui alimentent ces deux belligérants seraient coupés. Il faudrait que la communauté internationale intervienne de façon vraiment déterminée et efficace là-dessus. Alors le combat s'arrêterait. C'est-à-dire qu'il faudrait que le Soudan revienne à une transition démocratique soutenue effectivement et efficacement par les pays occidentaux. On est loin du compte.
Le sujet :Le marché de l'immobilier neuf ralentit, alors même que la demande reste forte. La Cour des comptes estime qu'il faudrait construire 380 000 logements neufs par an pendant dix ans, un objectif encore loin d'être atteint. Entre hausse des taux, fin des incitations fiscales et contraintes énergétiques sur l'ancien, l'achat dans le neuf soulève des questions concrètes pour les futurs propriétaires comme pour les investisseurs.L'invité du jour :Emeric Eveno est fondateur de Papillon Patrimoine, une structure qui accompagne des particuliers dans l'achat de logements neufs partout en France. Il collabore avec plus de 140 promoteurs et dirige une équipe d'une trentaine de personnes. Cette position lui permet d'avoir une vision d'ensemble sur les projets disponibles, les montages financiers possibles et les évolutions du marché.Au programme :• Le fonctionnement du prêt à taux zéro et son impact sur la capacité d'emprunt• Les écarts de prix entre le neuf et l'ancien : travaux, frais, charges de copropriété• Les éléments à vérifier dans un contrat de réservation• Les critères à analyser pour bien choisir un lot dans un programme immobilier• Les conditions pour équilibrer financement et loyers dans un projet locatif• Les secteurs à surveiller, en région comme en Île-de-France• Les possibilités de personnalisation ou d'aménagement pour du coliving• Les facteurs qui influencent la revente et la valorisation d'un bien neufPrécédents épisodes mentionnés :#Hors-série – Comment acheter dans le neuf en 2025#39 – Comment faire de l'argent aujourd'hui en France sur Airbnb avec une petite mise de départ ?On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Cour supérieure du Québec a rendu un jugement ouvrant la porte à la triparenté Entrevue avec Laurence Godin-Tremblay, doctorante en philosophie et mère de trois enfants. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ces dernières semaines, la Roumanie a été tour à tour évoquée dans les discours de J.D. Vance, Elon Musk, Marine Le Pen ou encore Jordan Bardella. La situation politique dans le pays a attiré l'attention de ces responsables politiques d'extrême droite après l'annulation de l'élection présidentielle, dont le premier tour était organisé le 24 novembre dernier.La Cour constitutionnelle du pays a pris cette décision après avoir constaté des « irrégularités ». L'instance s'est fondée sur de forts soupçons d'ingérence étrangère partagés par les services de renseignement : le candidat arrivé en tête au premier tour avait notamment acquis une popularité spectaculaire sur TikTok, dans les jours précédant l'élection.La Cour électorale a ensuite interdit à ce candidat souverainiste, Calin Georgescu, de se représenter au nouveau scrutin qui se tiendra dimanche 4 mai.Pour quelles raisons les autorités roumaines ont-elles pris ces décisions ? Pourquoi la Roumanie a-t-elle tant intéressé des responsables politiques d'extrême-droite, aux Etats-Unis comme en France ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Jean-Baptiste Chastand, correspondant du Monde en Europe centrale, revient sur cette présidentielle menaçante, pour la démocratie roumaine comme européenne. Damien Leloup, journaliste au service « Pixels », y éclaire également l'opération d'ingérences sur TikTok.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation : Quentin Bresson et Amandine Robillard. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.Dans cet épisode : lectures de posts sur X d'Elon Musk et d'un autre de Marine Le Pen publié le 13 mars 2025, extraits d'une déclaration de J.D. Vance le 20 février 2025 en ouverture de la Conservative Political Action Conference, d'une interview de Jordan Bardella sur C News et Europe 1 le 1er avril 2025 et de la participation de Calin Georgescu au podcast de Tucker Carlson diffusé sur YouTube le 10 avril 2025.Cet épisode a été publié le 2 mai 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frQue pensez-vous des podcasts du « Monde » ? Donnez votre avis en répondant à cette enquête. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.
Entre 1679 et 1682, la cour de Louis XIV est secouée par des affaires d'empoisonnements et de messes noires. L'histoire devient une affaire d'État lorsque des rumeurs disent le roi en danger. Il semblerait que la favorite de Louis XIV, Madame de Montespan, soit impliquée. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:20 - Dans le prétoire - Au procès de Joël le Scouarnec, une centaine de victimes de l'ancien chirurgien ont déjà témoigné devant la cour criminelle du Morbihan. Leurs dépositions, empreintes de beaucoup d'émotion, ont parfois tendance à transformer le prétoire en cabinet de psychothérapie. - invités : Jean-Philippe Deniau - Jean-Philippe Deniau : Journaliste au service police-justice
Note aux auditrices et auditeurs : cet episode a été diffusé pour la première fois le 5 février 2025.Depuis, le Salvador a accueilli et incarcéré dans une méga-prison de haute sécurité 288 migrants expulsés des Etats-Unis, dont 252 Vénézuéliens pour la plupart accusés d'appartenir au gang Tren de Aragua, multinationale du crime, déclaré organisation "terroriste" par Washington. La Cour suprême des Etats-Unis a pour sa part ordonné la suspension des expulsions d'immigrés vénézuéliens. Cet épisode de Sur le Fil vous propose donc une plongée dans le système carcéral au Salvador, et la guerre du président Bukele contre les gangs dans son pays.Ces bandes ou “maras” en espagnol, avaient peu à peu pris le contrôle de quartiers entiers. Leur business : l'extorsion, les enlèvements, le trafic de drogue.Pour les combattre l'État d'exception est en vigueur depuis... 2022 et, selon les organisations de défense des droits humains, l'armée et la police ont multiplié les arrestations arbitraires. Des milliers d'innoçents croupiraient en prison, sans procès. Le symbole de cette guerre, c'est une une mégaprison construite près de la capitale : le centre de confinement du terrorisme, ou Cecot, qui peut accueillir jusqu'à 40.000 détenus – soit la moitié de tous les détenus français en 2024.Sur le terrain : Camilo Freedman, journaliste au bureau de l'AFP à San Salvador.Invités : Oscar Batres, journaliste au bureau de l'AFP à San Salvador, Irene Cuellar, auteure d'un rapport sur les droits humains pour Amnesty International.Réalisation : Emmanuelle Baillon et Michaëla Cancela-Kieffer. Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Originally aired on April 1st, 2025.
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
L'actu culture-médias de ce mardi 22 avril : Le monde de la culture aussi a rendu hommage au Pape François dans les moments qui ont suivi son décès. La Cour suprême américaine se penche sur les livres à destination des élèves du primaire, contenant des sujets LGBT+. 400 auteurs et autrices de bande dessinée menacent de boycotter la prochaine édition du festival d'Angoulême prévue du 29 janvier au 1er février 2026. De nouvelles règles pour les Oscars : les membres de l'Académie désormais obligés de regarder tous les films pour voter. Présenté par Nicolas Bogaerts Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Easter is the cornerstone of our faith—a time to reflect on Jesus' sacrifice and the victory of the empty tomb. As we enter this sacred season, we're bringing back one of our Best of Raising Godly Girls episodes, a powerful conversation with Linda Lacour Hobar, author of The Mystery of History. Originally hosted by Patti Garibay in March of 2024, this episode takes us deep into the historical events of Holy Week, from the fulfillment of Old Testament prophecy to the roles of Pontius Pilate and Herod Antipas. Linda shares eye-opening insights that bring Scripture to life, helping us teach our daughters the historical truth of the Bible and shape their Biblical Worldview. Whether you're listening on your own or with your girl, this is a perfect way to prepare your heart for Resurrection Sunday. Join us for this Raising Godly Girls favorite and discover practical ways to share the profound truths of Christ's resurrection with the next generation. Learn more about Linda and her work, The Mystery of History, at themysteryofhistory.com Find an American Heritage Girls Troop near you, visit americanheritagegirls.org Add even more Biblical wisdom to your parenting quiver, visit raisinggodlygirls.com
Le Journal en français facile du mercredi 16 avril 2025, 18 h 00 à Paris. ► EXERCICEComprendre un extrait du journal | L'OMS signe un accord mondial sur les pandémies | niveau A2 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Badc.A
(00:00:46) Qu'est-ce qu'une femme? Le verdict de la Cour suprême britannique (00:05:42) La famille de Laurent Vinatier, condamné en Russie, sort du silence (00:12:10) 20 ans d'enquête dans les banlieues françaises, interview de Luc Bronner
durée : 00:19:49 - Journal de 12h30 - La Cour des Comptes rendait son rapport ce matin sur le budget de l'Etat 2024. Pas franchement de quoi rassurer quant à l'espoir d'améliorer l'état des finances publics.
Dans le cadre du budget 2026, le gouvernement souhaite faire 40 milliards d'euros d'économie. La Cour des comptes recommande de s'inspirer du bouclier sanitaire allemand qui rembourse les patients en fonction de leurs revenus. Isabelle This Saint-Jean, économiste, professeure à Sorbonne Paris Nord, est l'invitée pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 16 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le cadre du budget 2026, le gouvernement souhaite faire 40 milliards d'euros d'économie. La Cour des comptes recommande de s'inspirer du bouclier sanitaire allemand qui rembourse les patients en fonction de leurs revenus. Isabelle This Saint-Jean, économiste, professeure à Sorbonne Paris Nord, est l'invitée pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 16 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:49 - Journal de 12h30 - La Cour des Comptes rendait son rapport ce matin sur le budget de l'Etat 2024. Pas franchement de quoi rassurer quant à l'espoir d'améliorer l'état des finances publics.
durée : 01:27:36 - En pistes ! du mardi 15 avril 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Le ténor Nicky Spence s'empare des mélodies de Fauré, la Weimar Staatskapelle part à la découverte de la musique orchestrale de Paul Ben-Haim, les Contes de fée de Schumann et les trois quatuors opus 59 de Beethoven...
durée : 01:27:36 - En pistes ! du mardi 15 avril 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Le ténor Nicky Spence s'empare des mélodies de Fauré, la Weimar Staatskapelle part à la découverte de la musique orchestrale de Paul Ben-Haim, les Contes de fée de Schumann et les trois quatuors opus 59 de Beethoven...
Frédéric Taddeï discute avec Marc Schwartz, PDG de la Monnaie de Paris, et co-auteur du livre "La nouvelle guerre des monnaies". Ils explorent les enjeux d'une bataille monétaire mondiale moderne, marquée par la domination des grandes devises et l'essor des monnaies numériques. Schwartz explique que cette nouvelle guerre dépasse les simples taux de change, impliquant aussi une lutte pour la suprématie des devises internationales, avec le dollar en tête. Ils abordent également l'importance croissante des monnaies numériques et les défis qu'elles posent, ainsi que la résilience de l'argent liquide face à la dématérialisation des paiements.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Soudan accuse les Emirats arabes unis d'être le moteur d'un génocide au Darfour. Les Emirats Arabes unis sont soupçonnés de financer les Forces de soutien rapide (FSR), accusées de cibler, puis de massacrer les populations non arabes dans la région.
durée : 00:15:40 - Journal de 8 h - La fin de 4 mois de chaos politique en Corée du Sud : la Cour constitutionnelle confirme la destitution du président Yoon Suk Yeol.
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Dans cette édition :Des parents d'élèves de l'école Émile Zola à Saint-Ouen votent pour déplacer temporairement les classes de maternelle en raison de la présence de trafic de drogue dans la cour de récréation.La Commission européenne réagit aux nouvelles taxes douanières américaines de 10% minimum et jusqu'à 34% pour certains produits, qualifiées de "regrettables et totalement déraisonnables" par les partenaires commerciaux des États-Unis.La Cour d'appel de Paris annonce que le procès en appel de Marine Le Pen aura lieu avant l'été 2026, afin qu'il ne coïncide pas avec la campagne présidentielle.Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barraud se rend à Alger pour tenter d'apaiser les tensions diplomatiques avec l'Algérie, notamment concernant le cas de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal.Une exposition au Musée du Luxembourg à Paris met en lumière l'influence de l'artiste français Fernand Léger, pionnier de l'art moderne, sur des artistes contemporains comme Niki de Saint-Phalle ou Keith Haring.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
How does persistence and engagement drive podcasting success in the oil and gas industry?In this episode of The Hard Corps Marketing Show, I sat down with Mark LaCour, Editor In Chief at Oil and Gas Global Network. Mark shares his journey into podcasting, explaining how persistence led him to launch the show and how he secured early sponsorships and supportMark critiques the industry's overemphasis on vanity metrics like downloads and clicks, arguing that revenue-driven metrics are much more valuable. He highlights the importance of engagement, using examples like Buc-ee's gas stations, which excel at customer and employee satisfaction through quality interactions and strong engagement.In this episode, we cover:Why vanity metrics like downloads and clicks are less important than revenue-driven metricsThe importance of building strong engagement with your audienceHow evolving trends like AI and video formats are shaping podcastingInsights from Mark's diverse career, from the Marine Corps to thought leader in oil and gas podcastingThe need for alignment between sales and marketing strategiesIf you're looking to understand how engagement, persistence, and the right metrics can transform your podcasting strategy, this episode is packed with valuable takeaways you don't want to miss!
Marine Le Pen combative, prépare sa contre- attaque. Écoutez Remy Heitz, procureur général de la Cour de Cassation. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 01 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la Cour de Récré, c'est le grand chambardement.
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur le procès de Jair Bolsonaro, la peine de prison de Boualem Sansal et la Grèce condamnée par la CEDH. Financement libyen : sept ans de prison requis contre Nicolas Sarkozy Dans son procès sur les soupçons de financement libyen de sa campagne électorale de 2007, Nicolas Sarkozy est menacé d'une peine de sept ans de prison. Pourtant, l'ancien président français affirme qu'aucune trace de cet argent n'a été retrouvée. Sur quels éléments s'appuie la justice ? Quelles sont les prochaines étapes après cette réquisition ?Avec Baptiste Coulon, journaliste au service France de RFI. Brésil : Jair Bolsonaro bientôt face à la justice Pour la premère fois dans l'histoire du Brésil, un ancien président sera jugé pour tentative de coup d'Etat. Jair Bolsonaro est accusé d'avoir mis en place "une organisation criminelle" visant à assassiner l'actuel président Lula da Silva pour se maintenir au pouvoir. De quels éléments dispose la Cour suprême pour ouvrir ce procès ? Que risque Jair Bolsonaro ? Comment se défend-il face à ces accusations ?Avec Elcio Ramalho, chef du service en langue brésilienne de RFI. Algérie : que reproche-t-on à Boualem Sansal ? Arrêté le 16 novembre en Algérie, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été condamné à cinq ans de prison pour atteinte à la sécurité intérieure. La justice lui reproche notamment des déclarations dans la presse française. De quels propos s'agit-il ? Au régard de son état de santé et face à la pression de la France, sa peine pourrait-elle être allégée ?Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI. Migrants : la Grèce condamnée après la mort d'un mineur irakien La Cour européenne des droits de l'homme a condamné la Grèce après la mort d'un mineur irakien, tué par balle par un garde-côte en mer Égée il y a 10 ans. Que s'est-il passé ce jour-là ? Les sanctions prises contre la Grèce seront-elles dissuasives ? Avec Tania Racho, chercheuse associée au laboratoire IEDP (Université Paris-Saclay), membre du collectif Désinfox Migrations.
Dans la Cour de Récré, c'est le grand chambardement.
Brett Talley and Alice LaCour of The Prosecutors join Julia Cowley of The Consult and me to discuss ethics in true crime and more.Fill out our Listener Survey at:https://bit.ly/slhwinter25surveyCheck out the Silver Linings Handbook website at:https://silverliningshandbook.com/Check out our Patreon to support the show at:https://www.patreon.com/thesilverliningshandbookJoin our Facebook Group at:https://www.facebook.com/groups/1361159947820623Visit the Silver Linings Handbook store to support the podcast at:https://www.bonfire.com/store/the-silver-linings-handbook-podcast-storeVisit The True Crime Times Substack at:https://truecrimemessenger.substack.comThe Silver Linings Handbook podcast is a part of the ART19 network. ART19 is a subsidiary of Wondery and Amazon Music.See the Privacy Policy at https://art19.com/privacy and the California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.