Podcasts about Abdelaziz Bouteflika

Algerian politician, former President of Algeria

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Abdelaziz Bouteflika

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CRIMES • Histoires Vraies

[SPONSORISÉ] Si l'on connaît peu de choses sur les espions, on en sait encore moins sur ceux qui les dirigent. Le général Mohamed Médiène, plus connu sous le nom de Toufik, appartient à cette catégorie d'hommes qu'on devine plus qu'on ne voit. Le 13 septembre 2015, le président en poste, Abdelaziz Bouteflika, met fin à la carrière de celui qui fut longtemps l'un des piliers invisibles de l'État algérien. Mais comment est-il devenu l'architecte secret du pays du jour au lendemain ? C'est le fruit d'un long parcours qui démarre en 1954.

ESPIONS - Histoires Vraies
[INÉDIT] “Toufik” et le DRS : l'Algérie de l'ombre • L'Intégrale

ESPIONS - Histoires Vraies

Play Episode Listen Later May 23, 2025 22:40


Si l'on connaît peu de choses sur les espions, on en sait encore moins sur ceux qui les dirigent. Le général Mohamed Médiène, plus connu sous le nom de Toufik, appartient à cette catégorie d'hommes qu'on devine plus qu'on ne voit. Le 13 septembre 2015, le président en poste, Abdelaziz Bouteflika, met fin à la carrière de celui qui fut longtemps l'un des piliers invisibles de l'État algérien. Mais comment est-il devenu l'architecte secret du pays du jour au lendemain ? C'est le fruit d'un long parcours qui démarre en 1954.

ESPIONS - Histoires Vraies
[INÉDIT] “Toufik” et le DRS : l'Algérie de l'ombre • 2/2

ESPIONS - Histoires Vraies

Play Episode Listen Later May 22, 2025 13:59


Si l'on connaît peu de choses sur les espions, on en sait encore moins sur ceux qui les dirigent. Le général Mohamed Médiène, plus connu sous le nom de Toufik, appartient à cette catégorie d'hommes qu'on devine plus qu'on ne voit. Le 13 septembre 2015, le président en poste, Abdelaziz Bouteflika, met fin à la carrière de celui qui fut longtemps l'un des piliers invisibles de l'État algérien. Mais comment est-il devenu l'architecte secret du pays du jour au lendemain ? C'est le fruit d'un long parcours qui démarre en 1954.Entre la fin des années 80 et le début des années 90, l'Algérie assiste à une recrudescence de mouvements islamistes radicaux. Émergent des groupes extrémistes dont le seul but est de renverser l'ordre établi pour instaurer un régime religieux. Un mouvement qui prend racine auprès de la jeunesse algérienne partie combattre en Afghanistan contre l'URSS, souvent en passant par des réseaux pakistanais. À leur départ, les autorités algériennes ne s'en inquiètent pas. Au contraire, tant que les services de renseignement suivent leurs déplacements et leurs communications, elles laissent faire.

ESPIONS - Histoires Vraies
[INÉDIT] “Toufik” et le DRS : l'Algérie de l'ombre • 1/2

ESPIONS - Histoires Vraies

Play Episode Listen Later May 21, 2025 10:34


Si l'on connaît peu de choses sur les espions, on en sait encore moins sur ceux qui les dirigent. Le général Mohamed Médiène, plus connu sous le nom de Toufik, appartient à cette catégorie d'hommes qu'on devine plus qu'on ne voit. Le 13 septembre 2015, le président en poste, Abdelaziz Bouteflika, met fin à la carrière de celui qui fut longtemps l'un des piliers invisibles de l'État algérien. Mais comment est-il devenu l'architecte secret du pays du jour au lendemain ? C'est le fruit d'un long parcours qui démarre en 1954.Pendant que son pays est en proie à la guerre d'indépendance, Mohamed Médiène est encore un jeune homme, à peine sorti de l'adolescence. Jeune matelot sur un navire de la marine marchande française, il découvre ce que c'est que d'être un algérien au milieu de colons. Jusqu'alors, il avait toujours baissé la tête. Que pouvait-il bien valoir, lui, modeste fils d'une famille Kabyle résidant dans les montagnes de Boumerdès ?

Invité Afrique
Yasmina Khadra, soutien du journaliste algérien Ihsane El Kadi: «Arrêter quelqu'un pour ses idées, c'est horrible»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jan 19, 2024 7:03


En Algérie, voilà plus d'un an que le journaliste Ihsane El Kadi est en prison. Le patron du journal Maghreb Emergent a été condamné en juin dernier à cinq ans de prison ferme officiellement pour « réception de fonds de l'étranger (...) susceptibles de porter atteinte à la sécurité de l'État ». Pour sa libération, de nombreuses personnalités se mobilisent, comme Annie Ernaux, prix Nobel de littérature. Aujourd'hui, trente personnalités algériennes signent un appel. Parmi elles, le célèbre écrivain Yasmina Khadra. RFI : Pourquoi avez-vous signé ce dernier appel en faveur d'Ihsane El Kadi ?Yasmina Khadra : C'est la moindre des choses. Il faut essayer, de temps en temps, de soutenir les gens qui sont dans le désarroi le plus complet. Je ne sais pas ce qu'on lui reproche exactement, mais s'il a été arrêté pour ses idées, ce serait vraiment horrible, parce que quelqu'un qui n'est pas d'accord avec vous n'est pas forcément votre ennemi. Il a seulement une conception du monde qui est différente de la vôtre et c'est tout.À la tête du média Maghreb émergent, Ihsane El Kadi est l'une des grandes figures de la presse indépendante algérienne. On se souvient qu'il a couvert de très près le mouvement Hirak, qui a fait tomber Abdelaziz Bouteflika en 2019. Pourquoi cet acharnement contre lui, à votre avis ?Je n'en sais rien, moi. Je ne l'ai pas rencontré, je ne le connaissais pas personnellement, mais je savais ce qu'il faisait et j'avais beaucoup de respect pour son charisme et pour sa droiture en tant que journaliste. Mais vous savez, en Algérie, maintenant, n'importe qui peut être arrêté pour n'importe quoi, c'est ça qui me chagrine, c'est que je ne comprends pas comment un pays qui a traversé tant de déconvenues, tant de misère, tant de guerres, tant d'horreur puisse encore, aujourd'hui, ne pas comprendre où est son salut. Et le salut, c'est dans l'agir et dans la pensée, le salut est dans les idées, il n'est pas dans la répression, il n'est pas dans la tyrannie. Il y a des façons de travailler avec un peuple : ou on l'élève, ou on le dresse. On élève les grandes races et on dresse les espèces. J'espère qu'un jour, on essaiera d'élever ce peuple.Vous avez cru, d'ailleurs, à une vraie libération en 2019, au moment du mouvement Hirak. Vous avez dit vous-même : « En Algérie, l'heure de vérité a sonné. »Oui, mais quelle vérité malheureusement ? La vérité, elle est là, aujourd'hui. Ce peuple qui s'est réveillé, je le dis depuis le début, il lui fallait un groupe de personnes ou une personne assez charismatique pour incarner les revendications légitimes d'un peuple, mais c'était juste des marches qui n'étaient pas vraiment bien entourées. Et puis, quand il n'y a pas de discipline dans une marche, il y a des infiltrations, c'est comme ça que le Hirak a été torpillé. Au lieu de chercher à aller vers l'essentiel, c'est-à-dire de libérer l'Algérie de toutes les tyrannies, on a commencé à revendiquer des choses alors que ce n'était pas le moment de les revendiquer – par exemple, le séparatisme, l'islamisme, ou je ne sais quoi. Il fallait d'abord se réapproprier l'Algérie et, après, construire une véritable démocratie capable de faire avancer les choses pour le peuple algérien.Alors la mise en prison d'Ihsane El Kadi suscite une émotion internationale, des appels à sa libération ont été lancés par de nombreuses personnalités – aux États-Unis, Noam Chomsky, en Grande-Bretagne, Ken Loach, en France…Il ne faut pas qu'ils interviennent, ces gens-là. Ce n'est pas comme ça qu'ils vont essayer d'intimider l'Algérie. Il faut que les Algériens se prennent en charge, parce qu'il y a des gens qui ne sont pas en odeur de sainteté en Algérie, donc il faut faire très attention. Ce qu'on voudrait, c'est que le président Tebboune puisse nous écouter nous, les Algériens, parce que les hautes sphères algériennes sont tellement susceptibles que, lorsqu'il y a des interventions de certaines personnes ou de certains mouvements ou associations qui ne sont pas tellement appréciés en Algérie, ça peut se retourner contre la personne qu'on essaie de libérer. Donc il faut rester algérien.Et c'est pour ça, Yasmina Khadra, que vous signez cet appel aux côtés de 29 autres personnalités algériennes…Parce que c'était dans l'urgence, autrement, il y aurait eu beaucoup d'autres Algériens qui voudraient se joindre à cette liste, mais je crois que c'est suffisant.Dont, parmi ces personnalités, la grande combattante pour l'indépendance, Louisette Ighilahriz ?Oui, c'est la référence historique, cette dame. Elle n'est pas seulement la grande combattante, c'est la référence historique. C'est l'une des dernières bannières de la guerre de libération en vie. Sa voix doit compter, elle doit compter par respect pour son charisme, pour son engagement, pour son combat de tous les jours, et c'est comme ça, peut-être, qu'il faudrait assagir les hautes sphères algériennes. Il faut qu'elles reprennent conscience des responsabilités face à l'Histoire et face au peuple algérien.Et cette année, Yasmina Khadra, c'est l'année de l'élection présidentielle, c'est au mois de décembre prochain, élection à laquelle sera sans doute candidat Abdelmadjid Tebboune. Est-ce que vous espérez un geste de clémence cette année 2024 ?Moi, je n'aime pas le mot « clémence ». Moi, j'aime plutôt la raison, un geste de raison. La clémence, personne n'est Dieu, on n'est pas là pour attendre, pour quémander la pitié, ou je ne sais quoi. Moi, je veux que les hautes sphères, et surtout le président Tebboune, redeviennent raisonnables. Il a vécu lui aussi tant d'injustice, il a été moqué, il a été écarté, il a été viré, il a été houspillé. À lui, aujourd'hui, de se souvenir de tout ça et de ne pas tomber dans ses propres travers. Il faut qu'il essaie de se libérer lui-même de tout ce qu'il a subi et être président, être dans la raison, être constamment dans la raison. Ce qu'il faut, c'est la raison, la sagesse.

Invité Afrique
Chine: «La visite du président algérien arrive dans un moment où Alger cherche à redynamiser son économie»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 20, 2023 4:03


Xi Jinping a plaidé mardi 18 juillet pour un renforcement du partenariat stratégique avec l'Algérie alors que le président algérien Abdelmadjid Tebboune est en visite en Chine jusqu'à vendredi, accompagné d'une dizaine de ministres et de dirigeants d'entreprises. Économie, candidature aux BRICS, diplomatie… Quels sont les enjeux de ce déplacement ? Brahim Oumansour, directeur de l'Observatoire du Maghreb à l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris) est l'invité de RFI.  RFI : Brahim Oumansour, cela faisait 15 ans qu'un président algérien ne s'était pas rendu en Chine. Qu'est allé chercher Abdelmadjid Tebboune à Pékin ?Brahim Oumansour : La visite du président algérien à Pékin s'inscrit dans le retour d'Alger sur la scène régionale et internationale depuis la chute de l'ancien président Abdelaziz Bouteflika. Elle s'inscrit également dans la volonté de renforcer la coopération bilatérale entre les deux pays qui ne cesse de s'intensifier, notamment depuis les dix dernières années.La Chine est depuis une petite dizaine d'années le premier partenaire commercial de l'Algérie. Des mémorandums d'entente et des accords ont été signés dans plusieurs domaines, dont les télécommunications, le commerce et le transport ferroviaire. Le but de cette visite est-il d'étendre ce partenariat à de nouveaux domaines ?En effet, aujourd'hui, le partenariat économique entre les deux pays est très important. C'est la Chine par exemple qui a construit une partie de l'autoroute est-ouest, environ 1 200 kilomètres, puis l'élargissement de l'aéroport d'Alger, la grande mosquée d'Alger. Et il y a eu, récemment aussi, la signature d'un partenariat visant l'exploitation du phosphate algérien avec la création d'une entreprise conjointe entre les deux États. Aujourd'hui, cette visite arrive dans un moment où Alger cherche à redynamiser son économie après une longue période de récession et de crise aggravée notamment par la pandémie du Covid-19, puis la guerre en Ukraine et l'inflation qui en découle.La Chine peut-elle aider l'Algérie à diversifier son économie ?Malgré la proximité entre les deux pays, les entreprises chinoises sont très peu représentées en Algérie par rapport par exemple à des entreprises françaises. La coopération est très déficitaire en termes d'échanges, il y a très peu d'importations chinoises de produits algériens en dehors des produits pétroliers, gaziers et des minerais.On comprend bien donc que le but aussi de ce voyage, c'est de permettre aux sociétés algériennes de trouver de nouveaux débouchés pour leurs produits.Exactement, la présence de chefs d'entreprise algériens traduit cette volonté de créer un partenariat qui serait aussi favorable à la production algérienne et à l'exportation de produits algériens.L'Algérie a fait acte de candidature pour intégrer les Brics (groupe de cinq pays qui se réunissent depuis 2011 en sommets annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Abdelmadjid Tebboune est venu solliciter à nouveau l'appui de Pékin dans ce dossier à un mois du sommet des Brics. La Chine a renouvelé son soutien à cette candidature. Celle-ci, selon vous, a-t-elle une chance d'aboutir ?L'Algérie détient plusieurs atouts bien évidemment, géostratégiques, aussi comme pays énergétiques. Mais il y a quand même des points qui pourraient entraver son adhésion sur le plan structurel. Les Brics exigent quand même des critères auxquels l'Algérie va devoir répondre, notamment la dévaluation du dinar qui est très handicapante pour le moment, des réformes importantes sur le plan financier. L'Algérie, je le rappelle, est très en retard dans l'intégration du marché mondial et cela va demander peut-être à l'Algérie beaucoup d'efforts en termes de réformes structurelles.Le président algérien était en Russie le mois dernier. Comment interpréter ce voyage à Moscou en pleine guerre en Ukraine et alors qu'on attendait plutôt Abdelmadjid Tebboune à Paris ?Cela s'explique par le contexte mondial bien sûr. La pression exercée sur Alger par les Occidentaux qui exigent d'Alger de prendre ses distances avec Moscou. Aujourd'hui, Alger tient en tout cas à affirmer ce lien stratégique avec Moscou tout en gardant une certaine neutralité et distance par rapport à la guerre en Ukraine. Je rappelle que l'Algérie s'est abstenue lors du vote à l'ONU visant à sanctionner l'intervention russe en Ukraine.

Les Nuits de France Culture
"Algérie, naissance d'une nation : Le traumatisme de la décennie noire"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jan 30, 2023 55:00


durée : 00:55:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - La fabrique de l'histoire - "Algérie, naissance d'une nation, 2ème partie : Le traumatisme de la décennie noire", avec les sociologues et historiens Laetitia Bucaille et Tristan Leperlier, (1ère diffusion : 02/04/2019). Près de trente ans après le début de l'horreur dans laquelle le terrorisme islamiste plongea l'Algérie durant une décennie, comment raconter et comprendre ce qu'ont traversé ce pays et son peuple dans les années 90 ? Quels mots Peut et Doit écrire l'historien sur ces pages les plus noires de l'histoire algérienne, entre lesquelles reposent 150.000 ou 200.000 victimes ? * Au début du mois d'avril 2019, alors qu'en Algérie, face aux manifestations monstres qui se multipliaient dans tout le pays depuis des mois, le pouvoir se voyait contraint de sacrifier l'ombre qu'était devenue à sa tête le président Abdelaziz Bouteflika, La fabrique de l'histoire consacrait **une série de quatre émissions à l'histoire de l'Algérie depuis le XIXe siècle. ** Dans le deuxième volet de cette série, Emmanuel Laurentin et son équipe revenaient sur la "décennie noire" des années 90, en tentant de comprendre ce qu'étaient, dans l'Algérie de 2019, les enjeux politiques sous-jacents aux divergences des différents récits et analyses de cette guerre civile.  Avec Laetitia Bucaille (sociologue, professeur à l'INALCO) et Tristan Leperlier (chercheur associé au Centre européen de sociologie et de science politique : EHESS/CNRS). Par Emmanuel Laurentin et Séverine Liatard Réalisation : Séverine Cassar La fabrique de l'histoire - Algérie, naissance d'une nation, 2ème partie : Le traumatisme de la décennie noire (1ère diffusion : 02/04/2019)

Soft Power
Médias, influence, culture, jeunesse : où va l'Algérie ?

Soft Power

Play Episode Listen Later Nov 27, 2022 94:57


durée : 01:34:57 - Soft Power - par : Frédéric Martel - En 2019, l'Algérie connait un soulèvement populaire de contestation en réaction à la perspective d'un cinquième mandat du président sortant Abdelaziz Bouteflika. Des milliers d'Algériens descendent dans la rue et ce mouvement prend le nom de Hirak. Trois années ont passé : où en est l'Algérie ? - invités : Xavier Driencourt Ancien ambassadeur de France en Algérie; Charlotte Lalanne Journaliste à L'Express; Ladan Boroumand Historienne et co-fondatrice du Centre Abdorrahman Boroumand; Azadeh Kian Professeure de sociologie, directrice du département de sciences sociales et du CEDREF à l'Université de Paris

Le Nouvel Esprit Public
G7 et OTAN face à la guerre en Ukraine / Algérie : 60 ans après l'indépendance / n°252 / 3 juillet 2022

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jul 3, 2022 61:12


Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 1er juillet 2022.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.G7 ET OTAN FACE À LA GUERRE EN UKRAINEQuatre mois après le début de la guerre en Ukraine, au G7, de dimanche à mardi en Allemagne, puis lors du sommet de l'OTAN, de mardi soir à jeudi à Madrid, les Occidentaux ont tenté de surmonter les tensions et divergences que le prolongement de la guerre risque de creuser. A Elmau, en Bavière, les sept dirigeants des pays les plus riches ont décidé de frapper l'économie russe en « travaillant » sur un plafonnement du prix du pétrole russe et en imposant des restrictions à l'importation de l'or russe. Les dirigeants du G7 ont promis de soutenir l'Ukraine « tant qu'il le faudra » sur le plan militaire, financier, humanitaire ou diplomatique. Ils sont prêts à injecter cette année jusqu'à 28 Mds€ dans le budget de l'Etat ukrainien. Depuis le début de la guerre, le 24 février, les pays du G7 ont déjà promis l'équivalent de plus de 2,6 Mds€ d'aide humanitaire. Bien que le G7 joue un rôle central dans la coordination des sanctions engagées contre la Russie et dans l'aide apportée à l'Ukraine, il est tenu de composer avec les nombreux pays asiatiques, africains et latino-américains qui refusent de choisir leur camp et s'inquiètent des conséquences du retour de la guerre en Europe. Raison pour laquelle cinq dirigeants du Sud ont été invités lundi au sommet du G7.Le sommet de l'OTAN à Madrid, du 28 au 30 juin, s'est ouvert par la levée du veto turc sur l'adhésion de la Suède et de la Finlande à l'OTAN. Puis, les Etats-Unis ont annoncé l'envoi de nouveaux renforts militaires terrestres, maritimes et aériens américains en Europe afin de muscler les capacités de défense de l'OTAN face à la Russie, même si certaines de ces annonces viennent parachever des projets amorcés depuis plusieurs années. L'OTAN veut pouvoir mobiliser plus de 300 000 soldats en Europe. Dans une interview à l'ARD, le chancelier Olaf Scholz a assuré que la Bundeswehr allait devenir « la plus grande armée conventionnelle » d'Europe. Désormais, la stratégie de « défense avancée » de l'Otan consiste à déployer à l'Est une puissance de feu suffisante pour empêcher les chars russes de percer en premier. L'Alliance retrouve ainsi sa mission première : la défense du territoire de ses pays membres contre la menace russe. Le Secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg a déclaré que la Russie représente « la menace la plus importante et la plus directe » pour la sécurité de la coalition militaire occidentale. Invité par visio-conférence aux deux sommets, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exhorté chaque fois les Occidentaux à intensifier les livraisons d'armements lourds à l'Ukraine et les sanctions contre Moscou afin que la guerre menée par la Russie dans son pays prenne fin avant l'hiver. Cependant, l'OTAN prévoit une guerre longue.Outre les chefs d'Etat et de gouvernement des 30 pays membres de l'OTAN, ainsi que ceux des deux nouveaux candidats, Finlande et Suède, pour la première fois, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud et le Japon ont été invités à participer au sommet de l'Alliance sous l'impulsion des Etats-Unis.***ALGÉRIE : 60 ANS APRÈS L'INDÉPENDANCE Le 5 juillet 1962, la France quittait l'Algérie après plus d'un siècle de domination coloniale. La célébration de cet anniversaire intervient dans un climat social morose. Les espoirs de libéralisation nés en 2019 lors du départ du président Abdelaziz Bouteflika, poussé par le Hirak un mouvement de protestation populaire, à renoncer à briguer un cinquième mandat après vingt ans de pouvoir, ont fait long feu. Depuis, le régime a embastillé journalistes et défenseurs des droits humains. Au cours des six premiers mois de 2022, près de 300 Algériens ont été placés derrière les barreaux pour délit d'opinion, selon l'organisme Algerian Detainees. Depuis 2019, plus de 600 citoyens ont été arrêtés pour avoir manifesté ou même simplement soutenu l'opposition au régime en place. Après les militants du Hirak, les manifestants, les leaders des partis d'opposition et les journalistes, premiers dans la ligne de mire du pouvoir en place, ce sont désormais les avocats des accusés qui se retrouvent inculpés. Le divorce entre le peuple et ses dirigeants a été illustré par la participation indigente au référendum constitutionnel de novembre 2020. Moins du quart du corps électoral s'est déplacé. La pandémie a aggravé les vulnérabilités de l'économie, qui s'est contractée de près de 5 % en 2020. Les déficits des comptes publics se creusent, l'inflation galope, le chômage affecte un jeune sur quatre et la dépendance absolue au pétrole et au gaz (qui fournissent plus de 90 % des recettes d'exportation) rend nécessaire une reconversion profonde de l'économie que le pouvoir semble incapable d'engager. Dans ce pays de 45 millions d'habitants où les moins de 30 ans représentent plus de la moitié de la population, la jeunesse vote avec ses pieds : au moins 10 000 Algériens ont rejoint l'Espagne clandestinement depuis le début de 2021. Sur cet arrière-plan de crise politique, économique et sociale, le pouvoir cherche son salut dans le durcissement extérieur. Avec Paris, il a engagé un bras de fer sur l'épineuse question mémorielle. Il a coupé les liens avec le Maroc, avec qui la relation était déjà déplorable. La rupture a été matérialisée par la fermeture, depuis le 31 octobre 2021, du gazoduc qui alimentait le royaume chérifien et, au-delà, l'Espagne.Le quotidien algérien El Watan observe que « l'idéal post-indépendance tant imaginé par les pères fondateurs de la nation algérienne n'est pas encore atteint […] La question sociale, celle du patriarcat, la condition des femmes, la place du religieux dans l'ordre social et politique ou la question de la diversité linguistique et culturelle sont autant d'interrogations qui conditionnent le devenir du pays ».Toutefois, la hausse des cours des hydrocarbures provoquée par la guerre en Ukraine offre au pouvoir une marge de manœuvre en matière de redistribution. Selon les prévisions du Fonds monétaire international, les recettes de l'Algérie devraient atteindre 58 milliards de dollars en 2022, contre 34 milliards en 2021 et 20 milliards en 2020. Même si les prix du blé et des autres produits alimentaires importés explosent, la situation financière s'améliore nettement permettant d'acheter la paix sociale.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Global Dispatches -- World News That Matters
Algeria's Uncertain Political Future

Global Dispatches -- World News That Matters

Play Episode Listen Later Mar 31, 2022 37:42


This February marked the third anniversary of the Algerian street protests and movement that lead to the ouster of president Abdelaziz Bouteflika. Bouteflika was a fixture of Algerian politics and served as President since 1999. This was a huge turning point in modern Algerian history.  The movement that lead to his ouster is called The Hirak. Joining me to discuss the impact of the impact and legacy of this movement three years on are two scholars of Algeria's politics and economy. Andrew Ferrand is a senior fellow with The Atlantic Council and author of the book The Algerian Dream.  Tinhinane El Kadi is the cofounder of the Institute for Social Science Research in Algeria and a doctoral student at the London School of Economics. We kick off discussing the circumstances that lead to the ouster of Bouteflika three years ago before having a broader conversation about Algeria's politics and economy today.  

Le Média
Campagne de Macron : de l'argent liquide venu d'Algérie ? | Yanis Mhamdi & Jean-Baptiste Rivoire (Off Investigation)

Le Média

Play Episode Listen Later Mar 22, 2022 33:27


Le président français Emmanuel Macron a-t-il bénéficié, lors de son accession au pouvoir, du soutien discret d'un certain nombre d'oligarques algériens historiquement liés au régime du défunt Abdelaziz Bouteflika ou aux gros bonnets de l'armée ? C'est cette piste qu'explorent Yanis Mhamdi et Jean-Baptiste Rivoire, du tout média vidéo spécialisé dans l'enquête, Off Investigation. Ils viennent de publier sur la chaîne YouTube et le site Internet de Off un documentaire passionnant que nous vous invitons à prendre le temps de regarder. Vous pouvez retrouver la Contre-matinale en direct audio sur Mixlr : https://mixlr.com/le-media ▶ Soutenez Le Média :

How My Country Works
Bonus - Algeria Revisited

How My Country Works

Play Episode Listen Later Mar 14, 2022 16:36


On 17th September 2021 the former leader of Algeria, Abdelaziz Bouteflika, died. Only a couple of years ago the aging leader had tried to run for a fifth term, sparking huge protests in his country. To mark the occasion we're revisiting the episode with Muriam Davis, of which Bouteflika was a key focus See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Le 12h30 - La 1ere
Début des élections locales en Algérie après la chute d'Abdelaziz Bouteflika

Le 12h30 - La 1ere

Play Episode Listen Later Nov 27, 2021 1:44


Last Word
Antony Hewish (pictured), Roger Michell, Abdelaziz Bouteflika, Jane Powell

Last Word

Play Episode Listen Later Oct 8, 2021 28:09


Matthew Bannister on Antony Hewish, the radio astronomer who won the Nobel Prize for his work on discovering pulsars. Roger Michell, the film, theatre and TV director who brought us Notting Hill, The Buddha of Suburbia and Persuasion. Abdelaziz Bouteflika, the President of Algeria for more than twenty years, who was ousted from power after trying to secure a fifth term in office. And Jane Powell, the American actor, singer and dancer who starred in many classic film musicals in the 1940s and 50s. Producer: Neil George Interviewed guest: Astronomer Royal Lord Rees Interviewed guest: Michael Rowan-Robinson Interviewed guest: Jeremy Sams Interviewed guest: David Benedict Interviewed guest: Maher Mezahi Archive clips used: Web of Stories, Antony Hewish interview 01/08/2017; New York Times, Almost Famous - The Silent Pulse of the Universe 27/07/2021; Polygram Filmed Entertainment, Notting Hill (film) 1999; BBC Radio 3, The Essay – Roger Michell 06/05/2016; BBC 2, Downtown Lagos 07/10/1992; Paramount/Scott Rudin, Changing Lanes (film) 2002; BBC/Millésime Productions/WGBH, Jane Austen's Persuasion (tv series) 1995; YouTube, From Our Mountains – revolution song; BBC Newsnight, Algerian Elections 15/04/1999; BBC World Service, This Week and Africa – Algeria Referendum 18/09/1999; BBC Radio 4, Today – Algerian Elections 09/04/2009; HBO/VICE News, The Youth-Led Protests That Forced Algeria's President To Not Run Again 13/03/2019; SAG-AFTRA Foundation, Conversation with Jane Powell 02/12/1997; Charles R. Rogers Productions, Song of the Open Road (trailer) 1944; NBC RADIO, The Big Show 12/11/1950.

SBS French - SBS en français
Personnages: Abdelaziz Bouteflika

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Sep 19, 2021 8:47


Focus sur Abdelaziz Bouteflika, l'ancien Président algérien, décédé vendredi dernier.

C l'Hebdo
Invités : Marc Fiorentino et Titou Lecoq - C L'Hebdo - 18/09/2021

C l'Hebdo

Play Episode Listen Later Sep 18, 2021 53:48


L'économie est en surchauffe et ça se voit. Une situation unique et paradoxale : la surconsommation en même temps qu'une hausse brutale des prix. L'immobilier qui flambe et pourtant l'épargne des Français bat tous les records. Explications de ce que nous vivons avec l'un d'un des meilleurs connaisseurs des marchés et de la finance, Marc Fiorentino. La mort d'Abdelaziz Bouteflika Une page qui se tourne en Algérie. On apprenait cette nuit la mort de l'ancien président algérien Abdelaziz Bouteflika. Un homme qui a marqué profondément l'histoire de l'Algérie depuis l'indépendance. Retour sur un parcours politique exceptionnel. Le dossier de la semaine. La journaliste et autrice Titiou Lecoq redonne vie aux grandes oubliées dans un livre qui vient de paraître. Remonter le temps pour comprendre les enjeux les plus contemporains. La lutte pour l'égalité, le féminisme. On en parle avec elle.

Langsam gesprochene Nachrichten | Deutsch lernen | Deutsche Welle
18.09.2021 – Langsam gesprochene Nachrichten

Langsam gesprochene Nachrichten | Deutsch lernen | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Sep 18, 2021 6:42


Trainiere dein Hörverstehen mit den Nachrichten der Deutschen Welle von Samstag – als Text und als verständlich gesprochene Audio-Datei.Baerbock und Laschet nehmen Mali-Einsatz ins Visier Grünen-Kanzlerkandidatin Annalena Baerbock hat der Bundesregierung vorgeworfen, die Lage in Mali jahrelang "schöngeredet" zu haben. Sollte die Militärjunta tatsächlich mit russischen Söldnern zusammenarbeiten, müsse die Bundeswehr-Ausbildungsmission in Mali sofort gestoppt werden, forderte Baerbock in der "Augsburger Allgemeinen". Auch Unions-Kanzlerkandidat Armin Laschet erklärte, eine Verwicklung russischer Söldner stelle den deutschen Einsatz in Frage. Die Bundeswehr ist in dem durch islamistische Rebellen bedrohten Staat mit bis zu 1700 Soldaten an internationalen Einsätzen beteiligt. USA räumen Tötung von Zivilisten in Afghanistan ein Das US-amerikanische Militär hat zugegeben, dass bei einem Drohnenangriff Ende August in der afghanischen Hauptstadt Kabul bis zu zehn unschuldige Zivilisten ums Leben gekommen sind. Darunter seien auch bis zu sieben Kinder gewesen, teilte der verantwortliche US-General Kenneth McKenzie mit. Der Kommandeur sprach von einem tragischen Fehler. Die USA hatten mit Luftangriffen auf den Anschlag eines Ablegers der Terrormiliz "Islamischer Staat" am Flughafen von Kabul reagiert. Bei der Attacke der Gruppierung IS-K waren zahlreiche Menschen getötet worden, darunter 13 US-Soldaten. Frankreich ruft Botschafter zurück Wegen eines Streits um U-Boot-Geschäfte hat Frankreich seine Botschafter aus Australien und den USA zu Beratungen nach Hause zurückbeordert. Das teilte Außenminister Jean-Yves Le Drian in Paris mit. Der Schritt erfolge auf Wunsch von Präsident Emmanuel Macron. Hintergrund ist ein geplatzter U-Boot-Deal mit Australien. Der Vertrag im Umfang von etwa 56 Milliarden Euro ist hinfällig, nachdem die Regierung in Canberra bekannt gegeben hatte, sich im Rahmen einer neuen Sicherheitsallianz mit den USA und Großbritannien U-Boote mit Atomantrieb beschaffen zu wollen. Algeriens Ex-Präsident Bouteflika gestorben Der ehemalige algerische Präsident Abdelaziz Bouteflika ist tot. Wie das Staatsfernsehen mitteilte, starb er im Alter von 84 Jahren nach langer schwerer Krankheit. Bouteflika war von 1999 an 20 Jahre lang Staatsoberhaupt Algeriens. Im April 2019 erklärte er unter dem Druck des Militärs und wochenlanger Massenproteste seinen Rücktritt. Nach einem Schlaganfall im Jahr 2013 hatte er sich nur noch selten in der Öffentlichkeit gezeigt. Zu Beginn seiner Amtszeit war es Bouteflika gelungen, nach einem jahrelangen Bürgerkrieg den Frieden im Land wiederherzustellen. US-Experten gegen generelle Auffrischungsimpfung Ein Expertengremium der US-Arzneimittelbehörde FDA empfiehlt Corona-Auffrischungsimpfungen mit dem Vakzin von Biontech/Pfizer nur für ältere Menschen und Risikogruppen. Die einflussreichen Wissenschaftler kommen zu dem Schluss, dass die vorliegenden Daten eine dritte Impfung aller Menschen über 16 Jahre nicht rechtfertigten. US-Präsident Joe Biden hatte sich angesichts einer abnehmenden Immunität gegen das Coronavirus dafür ausgesprochen, dass diejenigen, deren Zweitimpfung schon mehr als acht Monate zurückliegt, eine weitere Dosis erhalten sollen. Berlin gewinnt gegen Fürth Im Freitagsspiel der Fußball-Bundesliga hat Hertha BSC Berlin Aufsteiger Greuther Fürth besiegt. Die Berliner setzten sich nach einem 0:1-Rückstand zu Hause mit 2:1 durch und kletterten zunächst auf Rang neun der Tabelle. Fürth bleibt mit weiterhin nur einem Punkt Tabellenletzter.

Le journal de 8H00
L'ancien président algérien Abdelaziz Bouteflika décède à 84 ans

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Sep 18, 2021 14:55


durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Resté vingt ans à la tête de l'Algérie, Abdelaziz Bouteflika est décédé à 84 ans. L'épilogue d'une vie et d'une carrière entière passée dans les arcanes du pouvoir, elle s'était achevée il y a deux ans après avoir été chassé par l'armée et par la rue, pour avoir voulu un cinquième mandat de trop. - invités : Frédéric Dabi directeur général adjoint et directeur du département opinion et stratégies d'entreprises de l'Ifop

Les journaux de France Culture
L'ancien président algérien Abdelaziz Bouteflika décède à 84 ans

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 18, 2021 14:55


durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Resté vingt ans à la tête de l'Algérie, Abdelaziz Bouteflika est décédé à 84 ans. L'épilogue d'une vie et d'une carrière entière passée dans les arcanes du pouvoir, elle s'était achevée il y a deux ans après avoir été chassé par l'armée et par la rue, pour avoir voulu un cinquième mandat de trop. - invités : Frédéric Dabi directeur général adjoint et directeur du département opinion et stratégies d'entreprises de l'Ifop

Le Journal Inattendu
Mort de Bouteflika : comment les Algériens vivent-ils cette disparition ?

Le Journal Inattendu

Play Episode Listen Later Sep 18, 2021 1:25


À Alger, Abdelaziz Bouteflika laisse un souvenir mitigé, certains se rappelant de son rôle jouer comme ministre et pour sortir le pays de la guerre civile, d'autres de sa fin de règne controversée.

Um pulo em Paris
Um pulo em Paris - Macron sai de férias apesar da aceleração da pandemia de Covid-19

Um pulo em Paris

Play Episode Listen Later Jul 30, 2021 6:52


O presidente francês, Emmanuel Macron, está no Forte de Bregançon, residência de veraneio oficial no sul da França, desde a noite desta quinta-feira (29). O chefe de Estado decidiu manter a tradição das férias de verão (no hemisfério norte), apesar do contexto sanitário atual, com uma nova aceleração da pandemia de Covid-19. No entanto, os ministros foram orientados para não deixar o país e as equipes de Macron afirmam que, mesmo a beira mar, o presidente continua trabalhando. Após ter passado pelo Japão, onde assistiu a abertura dos Jogos Olímpicos de Tóquio, e pela Polinésia Francesa, em viagem oficial, Macron desembarcou na fortaleza que acolhe os presidentes durante as férias de verão desde 1968. Situada diante do mar Mediterrâneo, o Forte é sempre vigiado de longe por paparazzi, que esperam surpreender o chefe de Estado durante um mergulho ou em um de seus passeios pela região, inclusive de bicicleta. Ou até mesmo na esperança de captura uma imagem rara, como a de Jacques Chirac nu, fotografado enquanto fumava tranquilamente na sacada de Bregançon, em 2001. A foto finalmente nunca foi publicada. Mas este ano o contexto é diferente, já que pelo segundo verão consecutivo a França entra oficialmente em férias em plena pandemia, desta vez potencializada pela variante Delta. O número de novos casos foi multiplicado por 10 em apenas um mês e o país conta atualmente com cerca de 20 mil novas contaminações diárias, principalmente entre os jovens. Temendo as críticas diante desse recesso estival, a equipe de Macron já avisou que, mesmo em férias, o chefe de Estado continua trabalhando. “É uma pausa, sem ser realmente uma”, informou o porta-voz do governo, Gabriel Attal, no final do Conselho de Ministros de quarta-feira (28), quando começou oficialmente o recesso. Prova disso: uma reunião sobre o avanço da pandemia já está prevista para o início de agosto.  A regra também vale para os ministros, que foram orientados para não deixarem o país. O premiê Jean Castex, por exemplo, vai para sua região natal, quase na fronteira com a Espanha, enquanto o ministro da Saúde, Olivier Véran descansa na região da Provence, também no sul. Mas todos permanecem conectados e disponíveis em caso de urgência. “A regra não muda”, martelou Attal. “Com ou sem crise, somos ministros 365 dias por ano”. Forte já acolheu reuniões de cúpula durante as férias Apesar de ser uma residência de férias, o Forte de Bregançon acabou se tornando, nos últimos anos, palco de discussões políticas internacionais, já que os chefes de Estados quase sempre recebem convidados ilustres durante esse recesso. O ex-presidente François Mitterand acolheu o chanceler alemão Helmut Kohl, enquanto Jacques Chirac recebeu o presidente argelino Abdelaziz Bouteflika. Mas Emmanuel Macron foi um dos que mais usou a residência de veraneio como local de trabalho. Em 2019 ele recebeu a então primeira ministra britânica Theresa May e, no ano passado, organizou uma reunião de trabalho seguida de uma coletiva de imprensa com a chanceler alemã Angela Merkel. Na época, os dois discutiram sobre as tensões com a Rússia de Vladimir Putin, que Macron também acolheu de braços abertos em Bregançon, no ano anterior. 

Décryptage
Décryptage - Algérie: le régime veut-il éteindre le Hirak?

Décryptage

Play Episode Listen Later May 17, 2021 19:30


Dans moins d’un mois, le 12 juin 2021, se tiendront en Algérie des élections législatives anticipées. Ce scrutin a été convoqué par le Président Abdelmadjid Tebboune face au Hirak, ce mouvement de contestation populaire né en 2019 et qui a provoqué la chute de l’ancien chef de l’État Abdelaziz Bouteflika. Deux ans après, le Hirak est toujours là et les revendications profondes restent les mêmes : en finir avec l’ancien régime. Que faut-il attendre de ces élections ? Comment le Hirak peut-il évoluer ? Un dialogue est-il possible avec le pouvoir ? Face à une recrudescence de la répression, faut-il craindre l’affrontement ? Avec notre invitée Laetitia Bucaille, professeure de Sociologie politique à l’INALCO (Institut national des langues et civilisations orientales) et chercheure au Cessma (Centre d’études en Sciences sociales sur les mondes africains, américains et asiatiques).

State of Power
37: Algeria's popular movement - the Hirak: A Conversation with Brahim Rouabah

State of Power

Play Episode Listen Later Apr 6, 2021 62:15


Since February 2019 (2 years ago), the people of Algeria have waged an inspiring and historic revolt. Millions took to the streets united in their rejection of the ruling system, demanding radical democratic change. They chanted ‘They must all go!’ and ‘The country is ours and we’ll do what we wish’ – two slogans that have become emblematic of this new Algerian revolution. The popular movement or Hirak (movement in Arabic) succeeded in overthrowing President Abdelaziz Bouteflika in early April 2019 after six weeks of protests. The weekly protests continued every Friday since and only in March 2020, with the Covid-19 pandemic forcing a lockdown, did this mass movement see a temporary halt of around 10 months. But the Hirak has come back and it resumed its weekly protests against the military dictatorship. To talk about all of this and give some analysis about the motivations, objectives, challenges and the horizons of the uprising in Algeria, our guest Brahim Rouabah agreed to chat to us.

Five Questions
Where Does Algeria Go after the Hirak?

Five Questions

Play Episode Listen Later Mar 30, 2021 20:10


Yousef Munayyer and Dalia Ghanem discuss the Algerian protests that ousted Abdelaziz Bouteflika and the future of democracy in the country. Ghanem is a resident scholar at the Malcolm H. Kerr Carnegie Middle East Center in Beirut, where her work examines political and extremist violence, radicalization, Islamism, and jihadism with an emphasis on Algeria.

Orient hebdo
Orient hebdo - La chute d’Abdelaziz Bouteflika, sur France 5

Orient hebdo

Play Episode Listen Later Mar 26, 2021 19:30


Comment le président algérien est-il tombé en moins de six semaines alors qu’il venait de briguer un cinquième mandat ? Un documentaire passionnant du journaliste et grand reporter Benoît Chaumont le raconte en se basant sur des images d’archives et d’autres inédites extraites des réseaux sociaux, mais aussi sur des témoignages recueillis en France et en Algérie. Ce documentaire est diffusé, ce dimanche 28 mars 2021, à 22h40 heure de Paris, sur la chaîne de télévision publique France 5. ► À lire : 2 avril 2019: il y a un an, Abdelaziz Bouteflika quittait la présidence de l'Algérie ► À écouter : Algérie : «Bouteflika a gouverné avec le consentement et le soutien des militaires»

Across Africa
Algerian protesters mark two-year anniversary of Hirak rallies

Across Africa

Play Episode Listen Later Mar 4, 2021 11:57


Feelings were still running high in Algeria as thousands marched again to mark the two years since the Hirak rallies that ousted longtime leader Abdelaziz Bouteflika from power. Also, Kenyans are giving two wheels a spin as more people hop on their bikes in Nairobi. And Kenyan camel breeders cash in on white gold as demand for the animals' milk booms.

Les enjeux internationaux
En Algérie, plus assez d'argent du pétrole pour... acheter la paix sociale ?

Les enjeux internationaux

Play Episode Listen Later Feb 26, 2021 10:35


durée : 00:10:35 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - En 2011, au début des printemps arabes, Abdelaziz Bouteflika augmentait les salaires des fonctionnaires avec l'argent de la rente pétrolière. Logement social, prix subventionnés, étaient permis par les recettes fiscales du pétrole. Mais la manne se tarit. Entretien avec l'économiste Fatiha Talahite. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Fatiha Talahite Economiste, chercheuse au CNRS

Débat du jour
Débat du jour - Algérie: les 2 ans du Hirak, 2e souffle?

Débat du jour

Play Episode Listen Later Feb 22, 2021 29:30


Les Algériens de retour dans la rue pour le deuxième anniversaire du Hirak.Ce 22 février 2021, il s'agit de la manifestation la plus importante dans la capitale - Alger -  depuis la suspension des rassemblements du Hirak pour cause de la pandémie de Covid. Le Hirak, né il y a 2 ans, est un mouvement de protestation populaire qui avait chassé du pouvoir le président Abdelaziz Bouteflika. Son successeur Abdelmadjid Tebboune, élu avec un très faible taux de participation, a fait ce week-end plusieurs gestes d'apaisement. 35 détenus d’opinion libérés, dissolution de l’Assemblée populaire nationale et remaniement partiel de son gouvernement. Mais les hirakistes en veulent plus, 2 ans après la naissance du Hirak, assiste-t-on a un 2e souffle de la protestation ?   Pour en débattre : Amel Boubekeur,  co-directrice de l'ISSRA (Institut pour les Sciences Sociales et la Recherche sur l'Algérie et chercheure à l'EHESS) Farida Souiah, politiste, chercheuse associée au LAMES ( laboratoire Méditerranéen de sociologie) à l'Université Aix-Marseille Massensen Cherbi, docteur en droit de l'Université Paris II Panthéon-Assas, chargé d'enseignement à Sciences-Po, auteur de «Algérie», aux éditions De Boeck Supérieur (2017).                                                                                            

24H Pujadas - Les partis pris
Les partis pris : Le Pen adopte l'Europe, les épargnants qui paieront la crise et le blocage permanent en Algérie

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Feb 22, 2021 16:15


"L'importance d'une dette publique ne peut se juger que par rapport à la capacité d'une Nation de la rembourser. La référence au PIB n'est pas le bon indicateur de la capacité de remboursement de la sphère publique. Nous devons mettre la France sur un chemin de croissance. Ceci implique des investissements de long terme dans les infrastructures, les technologies, les secteurs de souveraineté industrielle, l'aménagement du territoire, la transition énergétique et environnementale" a déclaré Marine Le Pen dans une tribune libre. Pour Jean-Michel Apathie, la présidente du Rassemblement national adopte définitivement l'Europe. Depuis le début de la crise sanitaire, les Français ont mis de côté 276 euros par mois en moyenne. Dans ses premiers calculs, la Banque de France estime que, en 2020 et 2021, 200 milliards d'euros supplémentaires auront été déposés par les ménages sur leurs comptes en banque. Pendant ces deux années, le flux d'épargne des Français a donc doublé par rapport à l'habitude. Une manne que le gouvernement veut orienter vers la dépense et les investissements. François Lenglet estime probable que cet argent ne dorme pas tranquillement dans les années qui viennent. Il y aura des impôts, c'est évident ! Puis, il y aura très probablement une inflation. On ne sait pas faire disparaître une dette sans faire disparaître l'épargne des Français. Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a dissous dimanche l'Assemblée populaire nationale. Cette décision ouvre la voie à des élections législatives anticipées dans les six mois. Il a également décidé de gracier 70 détenus du Hirak, le soulèvement populaire de 2019 qui avait abouti au départ de l'ex-homme fort Abdelaziz Bouteflika après quatre mandats présidentiels. Mais tant que les militaires continueront à tenir la main, Abnousse Shalmani pense qu'il ne se passera pas grand chose en Algérie. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.

Wealth of Nations Podcast
The Revolution Of Smiles: Can Algeria Go From Stagnation To Progress?

Wealth of Nations Podcast

Play Episode Listen Later Jan 4, 2021 30:17


On February 16th, mass protests, bringing nearly 1 million people onto the streets erupted in Algeria. These protests were in response to Abdelaziz Bouteflika, long serving president and dictator of Algeria, announcing his ambitions to run for a fifth term in office for the presidency. Bouteflika had suffered a massive stroke in 2013, and had … Continue reading "The Revolution Of Smiles: Can Algeria Go From Stagnation To Progress?"

Les enjeux internationaux
Référendum constitutionnel en Algérie : que reste-t-il des revendications du Hirak ?

Les enjeux internationaux

Play Episode Listen Later Oct 26, 2020 11:37


durée : 00:11:37 - Les Enjeux internationaux - par : Antoine Dhulster - Les électeurs algériens sont appelés à adopter une nouvelle constitution le 1er novembre. Que reste--t-il, dans cette nouvelle loi fondamentale, et au-delà dans la société algérienne, des revendications du mouvement qui a réussi à chasser du pouvoir l'inamovible Abdelaziz Bouteflika ? - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Amel Boubekeur Sociologue et chercheuse invitée au programme Moyen-Orient et Afrique du Nord à l'ECFR

On Cause De
Le Bruit qui Court #9- Le drap nuptial et le port du voile

On Cause De

Play Episode Listen Later Jun 1, 2020 59:54


ALGÉRIE – Le drap nuptial et le port du voile  Soraya nous fait découvrir l’Algérie grâce à son témoignage puissant et éclairant.  Par ses yeux d’enfant fuyant la guerre civile avec ses parents, puis de l’adulte qu’elle est devenue, elle nous raconte ce qui l’a marqué en arrivant en France.  Objectification des femmes dans la publicité, faux-débat sur le voile… et tant d’autres choses qui lui ont permis de développer son féminisme dans l’intersectionnalité.  Elle revient pour nous sur les récents événements qui secouent l’Algérie, et les géantes manifestations appelées « Hirak ». Les femmes y sont présentes, elles luttent autant pour la démocratie que pour obtenir l’égalité réelle avec les hommes. La sororité qu’elles mettent en place dans cette période de crise, est un modèle pour nous toutes. Avez-vous entendu parler de la tradition du « drap nuptial » ou drap tâché de sang ? Soraya nous explique comment les femmes de sa famille ont mis fin à ce rituel grâce à leur sagesse et leur bienveillance. En Algérie aussi la gronde des femmes monte. Tu l’entends ?  Références :  ARTICLES Arte, « Le dessous des cartes : Algérie, le grand gâchis ?, 2019,  »https://www.dailymotion.com/video/x7m0c32 Le Point, « Algérie : et si la crise politique datait de plus longtemps qu’on ne le pense », 06/06/2019, https://www.lepoint.fr/afrique/algerie-et-si-la-crise-politique-datait-de-plus-longtemps-qu-on-ne-le-pense-06-06-2019-2317433_3826.php# (https://www.lepoint.fr/afrique/algerie-et-si-la-crise-politique-datait-de-plus-longtemps-qu-on-ne-le-pense-06-06-2019-2317433_3826.php)  France Info, «  Le président Abdelaziz Bouteflika chassé du pouvoir il y a un an », 02/04/202, https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/politique-africaine/algerie-le-president-abdelaziz-bouteflika-chasse-du-pouvoir-par-la-rue-il-y-a-un-an_3893005.html Wikipédia, Algérie, https://fr.wikipedia.org/wiki/Alg%C3%A9rie#Antiquit%C3%A9 Médiapart, « Les droits des femmes algériennes et la Révolution du sourire », Nadia AGSOUS, 15 avril 2019, https://blogs.mediapart.fr/nadia-agsous/blog/150419/les-droits-des-femmes-algeriennes-et-la-revolution-du-sourire LCI, « Algérie : des militantes pour les droits des femmes agressées à Alger », 01/04/2019, https://www.lci.fr/international/algerie-des-militantes-pour-les-droits-des-femmes-agressees-a-alger-bouteflika-contestations-2117158.html FIDH, « Les défenseuses des droits des femmes au cœurs de la transition politiques en Algérie et au Soudan », https://www.fidh.org/fr/regions/maghreb-moyen-orient/algerie/les-defenseures-des-droits-des-femmes-au-coeur-de-la-transition Le Figaro Madame, « En Algérie la chute du régime profiter-t-elle au femmes ? », 03/04/2019, https://madame.lefigaro.fr/societe/en-algerie-la-chute-du-regime-profitera-t-elle-aux-femmes-020419-164542 Ici Radio Canada, « La difficile bataille des femmes pour légalité en Algérie », 27/06/2019, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1200308/algerie-alger-feminisme-manifestation-fatma-oussedik-sociologue Middle East Eye, « Droits des femmes en Algérie : les lois progresses mais pas les mentalités », 31/07/2017, https://www.middleeasteye.net/fr/opinion-fr/droits-des-femmes-en-algerie-les-lois-progressent-mais-pas-les-mentalites OBS Algérie, « Les viols, violences et féminicides explosent pendant le confinement », 13/04/2020, https://www.observalgerie.com/algerie-les-viols-violences-et-feminicides-explosent-pendant-le-confinement/2020/ TV5 Monde, « Algérie : « prévenir et sanctionner » les violences contre les femmes », 03/08/2017, https://information.tv5monde.com/terriennes/algerie-prevenir-et-sanctionner-les-violences-contre-les-femmes-184231  || Femmes algériennes pour un changement vers l'égalité (FACE) https://www.facebook.com/collectif.face/  Création et réalisation : Chloé Air Production : Le Grin Dessin : Frédérique Rodrigues  Graphisme : Quentin Gajdos Musique : Bongoland, Marquesbreizh & Tom ; Dumaya, Luciole & Hicham Chahidi  

LE BRUIT QUI COURT
Le Bruit qui Court #9- Le drap nuptial et le port du voile

LE BRUIT QUI COURT

Play Episode Listen Later Jun 1, 2020 59:54


ALGÉRIE – Le drap nuptial et le port du voile  Soraya nous fait découvrir l’Algérie grâce à son témoignage puissant et éclairant.  Par ses yeux d’enfant fuyant la guerre civile avec ses parents, puis de l’adulte qu’elle est devenue, elle nous raconte ce qui l’a marqué en arrivant en France.  Objectification des femmes dans la publicité, faux-débat sur le voile… et tant d’autres choses qui lui ont permis de développer son féminisme dans l’intersectionnalité.  Elle revient pour nous sur les récents événements qui secouent l’Algérie, et les géantes manifestations appelées « Hirak ». Les femmes y sont présentes, elles luttent autant pour la démocratie que pour obtenir l’égalité réelle avec les hommes. La sororité qu’elles mettent en place dans cette période de crise, est un modèle pour nous toutes. Avez-vous entendu parler de la tradition du « drap nuptial » ou drap tâché de sang ? Soraya nous explique comment les femmes de sa famille ont mis fin à ce rituel grâce à leur sagesse et leur bienveillance. En Algérie aussi la gronde des femmes monte. Tu l’entends ?  Références :  ARTICLES Arte, « Le dessous des cartes : Algérie, le grand gâchis ?, 2019,  »https://www.dailymotion.com/video/x7m0c32 Le Point, « Algérie : et si la crise politique datait de plus longtemps qu’on ne le pense », 06/06/2019, https://www.lepoint.fr/afrique/algerie-et-si-la-crise-politique-datait-de-plus-longtemps-qu-on-ne-le-pense-06-06-2019-2317433_3826.php#  France Info, «  Le président Abdelaziz Bouteflika chassé du pouvoir il y a un an », 02/04/202, https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/politique-africaine/algerie-le-president-abdelaziz-bouteflika-chasse-du-pouvoir-par-la-rue-il-y-a-un-an_3893005.html Wikipédia, Algérie, https://fr.wikipedia.org/wiki/Alg%C3%A9rie#Antiquit%C3%A9 Médiapart, « Les droits des femmes algériennes et la Révolution du sourire », Nadia AGSOUS, 15 avril 2019, https://blogs.mediapart.fr/nadia-agsous/blog/150419/les-droits-des-femmes-algeriennes-et-la-revolution-du-sourire LCI, « Algérie : des militantes pour les droits des femmes agressées à Alger », 01/04/2019, https://www.lci.fr/international/algerie-des-militantes-pour-les-droits-des-femmes-agressees-a-alger-bouteflika-contestations-2117158.html FIDH, « Les défenseuses des droits des femmes au cœurs de la transition politiques en Algérie et au Soudan », https://www.fidh.org/fr/regions/maghreb-moyen-orient/algerie/les-defenseures-des-droits-des-femmes-au-coeur-de-la-transition Le Figaro Madame, « En Algérie la chute du régime profiter-t-elle au femmes ? », 03/04/2019, https://madame.lefigaro.fr/societe/en-algerie-la-chute-du-regime-profitera-t-elle-aux-femmes-020419-164542 Ici Radio Canada, « La difficile bataille des femmes pour légalité en Algérie », 27/06/2019, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1200308/algerie-alger-feminisme-manifestation-fatma-oussedik-sociologue Middle East Eye, « Droits des femmes en Algérie : les lois progresses mais pas les mentalités », 31/07/2017, https://www.middleeasteye.net/fr/opinion-fr/droits-des-femmes-en-algerie-les-lois-progressent-mais-pas-les-mentalites OBS Algérie, « Les viols, violences et féminicides explosent pendant le confinement », 13/04/2020, https://www.observalgerie.com/algerie-les-viols-violences-et-feminicides-explosent-pendant-le-confinement/2020/ TV5 Monde, « Algérie : « prévenir et sanctionner » les violences contre les femmes », 03/08/2017, https://information.tv5monde.com/terriennes/algerie-prevenir-et-sanctionner-les-violences-contre-les-femmes-184231  || Femmes algériennes pour un changement vers l'égalité (FACE) https://www.facebook.com/collectif.face/  Création et réalisation : Chloé Air Production : Le Grin Dessin : Frédérique Rodrigues  Graphisme : Chooete Design Musique : Bongoland, Marquesbreizh & Tom ; Dumaya, Luciole & Hicham Chahidi  

Invité Afrique
Invité Afrique - Algérie: «Rien ne peut arrêter le peuple algérien dans sa marche pour la démocratie»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 20, 2020 4:45


En Algérie, le président du Rassemblement actions jeunesse (RAJ) est sorti de prison lundi. Abdelouahab Fersaoui, un universitaire de 39 ans, est l'une des figures du « Hirak », le mouvement de contestation né en février 2019, qui a conduit à la démission de l'ancien président Abdelaziz Bouteflika. Pour évoquer l'avenir du « Hirak » et la situation politique actuelle en Algérie, Abdelouahab Fersaoui répond aux questions de Magali Lagrange. Vous veniez de passer 7 mois en prison. Comment s’est passée votre détention ? Abdelouahab Fersaoui : La détention, toujours être en prison, c’est dur, parce qu’il n’y a pas plus difficile que de perdre sa liberté, surtout quand on est incarcéré d’une manière injuste et arbitraire. Parce que j’étais incarcéré pour mes idées, pour mes opinions. Je suis un élément du Hirak, et ils m’ont collé des chefs d’inculpation qui n’ont rien à voir avec la réalité. Ils nous accusent d’« atteinte à l’unité nationale » alors que ce n’est ni ma culture, ni mon éducation, ni mes convictions de toucher à l’unité nationale. Ils m’ont aussi accusé d’inciter à la violence alors que tout le temps, on a appelé au respect du caractère pacifique du Hirak. Donc, faire de la prison pour ces raisons, c’est injuste et normalement, c’est l’acquittement. Il y a une peine qui est revue à la baisse, mais c’est toujours une condamnation que nous dénonçons que nous refusons. En raison de l’épidémie actuelle du coronavirus, les marches hebdomadaires du Hirak sont suspendues. Actuellement, quel avenir voyez-vous pour le mouvement de contestation ? Vous pensez au niveau international, effectivement il faut faire attention. Je souhaite et je fais même un appel pour respecter ces mesures de prévention et de confinement. La question du Hirak, c’est le peuple algérien qui s’est révolté et il n’a pas cessé de militer et de revendiquer ses droits bien avant le 22 février. Le 22 février a donné un autre souffle à la revendication pour la liberté et la démocratie. Donc, le peuple algérien va continuer sa lutte pacifique pour reconquérir sa liberté et pour la reconquête de la démocratie. Mais là effectivement, nous vivons une crise sanitaire que l’on doit respecter. Cela n’est pas une abdication, c’est une mesure responsable de la part des militants associatifs, de la part des citoyens parce qu’il y a la santé publique qui est en jeu, et c’est une priorité pour le moment. Mais, est-ce que vous ne craignez pas après cette suspension qu’il y ait une démobilisation des Algériens ? Cela m’étonnerait. Le peuple algérien s’est libéré et s’est exprimé en toute transparence. Ses revendications étaient claires, donc je ne pense pas qu’il y aura quelque chose qui peut l’arrêter dans sa marche vers la démocratie. C’est un processus qui va continuer. Comment voyez-vous la suite de ce processus, parce que le mouvement est né il y a plus d’un an, mais un nouveau président a été élu lors d’une élection contestée. Comment voyez-vous les choses avancer ou comment voulez-vous les faire avancer ? Depuis le 22 février, la mobilisation du Hirak monte et descend, elle n’est pas linéaire. Ce n’est pas évident de garder a même cadence depuis le 22 février. Cela a duré plus d’une année, mais après je pense, les Algériens dans ce qu’ils ont vu, c’est un moment de réflexion et d’échanges sur les réseaux sociaux pour pouvoir discuter de l’avenir et voir comment on peut continuer la mobilisation. Cela fait cinq mois, depuis le 19 décembre 2019, que le nouveau chef de l’État, Abdelmadjid Tebboune, est au pouvoir. Quel regard portez-vous sur les actions qui ont été menées, sur la politique qui a été menée jusqu’ici ? Jusqu’à présent, le peuple algérien est sorti pour revendiquer le changement de système et l’instauration d’un État de droit et démocratique. Mais quand on voit le contexte actuel, sans rentrer dans le détail, le fait qu’il y ait encore des gens dans les prisons, le fait que le champ médiatique est fermé, que le champ politique est fermé, il y a toujours des arrestations, des intimidations policières qui continuent encore. Moi, je suis sorti de la prison, cela me réjouit, mais quand même ma joie, ma liberté n’est pas complète parce que j’ai laissé derrière moi d’autres militants comme moi dans la prison qui ne le méritent pas. Ce sont des militants, ils ont le droit d’exercer le droit constitutionnel qui est la liberté d’expression, de donner leur point de vue sur ce qui se passe. Aujourd’hui, je pense à mes amis camarades tels Soheib Debaghi, d’autres militants comme le journaliste Khaled Drareni, le militant et acteur politique Tarek Djaboub. Ils ont programmé son procès en appel dans des conditions inadmissibles. C’était une tache noire pour la justice algérienne. Donc, quand on voit le contexte actuel, jusqu’à présent, on n’a pas vu des mesures d’apaisement de la part du pouvoir pour amorcer un véritable processus démocratique avec la participation de tous les Algériens et de toutes les forces vives qui aspirent à l’instauration d’un véritable État de droit et démocratique, réel, qui respecte les libertés individuelles, collectives, la justice avec celles des institutions légitimes qui la désignent. Sur le plan économique, l’Algérie est dans une situation difficile, elle l’était déjà avant la crise sanitaire. Elle le sera encore après d’autant plus avec la chute des cours du pétrole. Quelles solutions voyez-vous pour sortir de cette crise économique, que faudrait-il faire ? En deux phrases, on ne peut pas avoir une intégration économique si on n’a pas une intégration politique. Le développement d’une économie productive indépendamment des hydrocarbures dépend de l’instauration d’un État de droit, dépend des institutions qui doivent être démocratiques, souveraines, élues par le peuple et rendre des comptes au peuple.

LSE Middle East Centre Podcasts
Algeria and the Hirak: What Next for the Country?

LSE Middle East Centre Podcasts

Play Episode Listen Later Apr 23, 2020 63:41


Join us online for this public webinar where we will be joined by Amel Boubekeur, Visiting Fellow at the European Council on Foreign Relations. After the first presidential election since the removal of Abdelaziz Bouteflika in December 2019, this event will discuss the origins of the Hirak, it's liabilities and assets, and to what extent Algeria can be looked at as a case study for transition in the region. Amel Boubekeur researches at the Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (School for Advanced Studies in the Social Sciences) and is a visiting fellow at the European Council for Foreign Relations. Her research focuses on the Maghreb countries' politics, democratization in the Arab world, Euro-Arab/US–Arab relations, and Islam in Europe. She has been a research associate at the Doha Institute for Graduate Studies and the Centre Jacques Berque, a non-resident fellow at the German Institute for International and Security Affairs (SWP-Berlin), a visiting fellow at the Brookings Doha Center, a resident scholar at the Carnegie Middle East Center in Beirut and the head of the Islam and Europe Programme at the Centre for European Policy Studies in Brussels. Join the conversation on Twitter using #LSEAlgeria Image: ©Yasmina Allouche

B5 Reportage
Ein Jahr ohne Bouteflika - Algeriens schwieriger Weg zur Demokratie

B5 Reportage

Play Episode Listen Later Apr 9, 2020 22:11


Unter den Maghreb Staaten gilt Algerien als das Land im Norden Afrikas mit der turbulentesten Geschichte. Von der französischen Kolonialzeit tief gezeichnet. Von einem Bürgerkrieg erschüttert. Vom Versuch der Islamisten, das Land zu kapern, verwundet. Von wechselnden Diktatoren - Militärjunta inclusive - usurpiert. Und dazwischen immer wiederkehrende Massenproteste. Wie vor einem Jahr, als große Teile der Bevölkerung gegen die fünfte Amtszeit in Folge, des nicht wirklich demokratisch agierenden Präsidenten Abdelaziz Bouteflika wochenlang demonstrierten. Bouteflika dankte ab. Seitdem hat sich in Algerien einiges verändert. Aber eben immer noch nicht genug, sagen Regimekritiker. Die jüngsten Parlamentswahlen und Verhaftungen von Bouteflika-Vertrauten hätten jedenfalls wenig gebracht, so der Vorwurf. Die dringend notwendigen Reformen ließen weiterhin auf sich warten.

Weltzeit - Deutschlandfunk Kultur
In Algerien weiter Massenproteste - Hirak-Bewegung will Systemwechsel

Weltzeit - Deutschlandfunk Kultur

Play Episode Listen Later Mar 3, 2020 29:58


Seit einem Jahr demonstrieren Menschen in Algerien gegen das repressive Regime. Im Frühjahr 2019 zwangen sie Präsident Abdelaziz Bouteflika zum Rückzug. Im Dezember boykottierten sie die Präsidentschaftswahlen. Bisher ist ein Systemwandel aber ausgeblieben. Von Dunja Sadaqi www.deutschlandfunkkultur.de, Weltzeit Hören bis: 19.01.2038 04:14 Direkter Link zur Audiodatei

Le Nouvel Esprit Public
L’Algérie, un an plus tard / n°130

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Mar 1, 2020 62:34


L’ALGÉRIE, UN AN PLUS TARD… Il y a un an, le vendredi 22 février 2019, les Algériens se soulèvaientpacifiquement contre la perspective d’un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis 20 ans, affaibli par un accident vasculaire-cérébral survenu en 2013. Avec le « Hirak », nom de ce mouvement populaire, l’Algérie entrait en protestation. Des femmes, des familles y participent massivement impulsant un caractère pacifique aux manifestations. Le 11 mars, le Président Bouteflika annonce qu’il ne se représentera pas etfinit par démissionner le 2 avril. Dans les mois qui suivent, un bras de fer oppose les manifestants à l’homme fort du régime, le général Ahmed GaïdSalah, chef d’état-major depuis 2004 d’une armée qui est un acteur social et économique doté d’importantes ressources financières : son budget s’élève à 12 milliards de dollars, soit 25% du budget de l’État. Des élections présidentielles se déroulent le 12 décembre 2019, sur fond d’abstention massives (60%). Elles portent au pouvoir Abdelmadjid Tebboune. Le 23 décembre, son principal soutien, le général Ahmed Gaïd Salah décède brutalement. Durant cette année, des ministres, de hauts responsables, des hommes d’affaires, mais aussi des officiers supérieurs, hier tout-puissants, sont envoyés en prison ou sont écartés. Mais les exigences populaires, qu’il s’agisse de la mise en place d’un gouvernement composé de personnalités indépendantes ou la remise à plat des institutions avec, éventuellement, l’élection d’une Assemblée constituante, demeurent insatisfaites. Aujourd’hui, sur 42 millions d’Algériens, les trois quarts habitent en ville, 30% ont moins de 15 ans et 45% moins de 25 ans. La jeunesse n’a pas connu la décennie noire de la guerre civile des années 90. Dix-sept millions d’Algériens sont connectés chaque jour sur les réseaux sociaux, qui ont joué un rôle essentiel dans la mobilisation. Leurs slogans : « 1962 territoire libéré – 2019 peuple libéré », « qu’ils dégagent tous », « tous des voleurs », « État civil, non militaire ». Actuellement, 1.300 personnes restent visées par des enquêtes judiciaires et 140 sont toujours emprisonnées selon le Comité national pour la libération des détenus. Plusieurs scrutins à venir – référendum sur la Constitution, élections législatives et municipales anticipées – marqueront l’évolution du rapport de force entre la rue et le régime en place à Alger. En attendant, les manifestations se poursuivent.

RCI Tam-tam Canada
Après un an de soulèvements populaires, l’Algérie demeure sous pressions policières

RCI Tam-tam Canada

Play Episode Listen Later Feb 28, 2020 44:41


Nous vous parlons cette semaine de la situation en Algérie. Un an après les soulèvements populaires, les Algériens appellent toujours à un changement démocratique et au respect de leurs droits fondamentaux. Des dizaines de manifestants et d’activistes y sont toujours en prison un an après le début des manifestations en faveur de la démocratie. Après les élections présidentielles de décembre 2019, les autorités ont remis en liberté de nombreux activistes incarcérés, mais des figures emblématiques du mouvement emprisonnées depuis septembre ou octobre derniers se trouvent toujours derrière les barreaux. Nos invités sont Miloud Chennoufi du département d’études de la défense au Collège des Forces canadiennes Toronto et Sara Nacer, Cette Montréalaise d'origine algérienne a réalisé le documentaire engagé «Qu'ils partent tous». Écoutez ou regardez Tam-Tam Canada du vendredi 28 février 2020 - 44:41 ÉcoutezFR_Tam_tam_Canada-20200228-WEF15 Découvrez nos articles les plus récents sur l'Algérie Algérie : « Tout le monde doit partir, pas seulement les têtes d’affiche » Samir Bendjafer, journaliste à la section arabe de Radio Canada International, était de passage à Alger tout de suite après l’annonce de la prochaine présidentielle. Il rend compte, au micro de Maryse Jobin, du climat politique qui règne en Algérie après sept mois de contestation populaire. Décès d’Ahmed Gaïd Salah, homme fort de l’Algérie Le général Ahmed Gaïd Salah, puissant chef de l’armée algérienne, l’« homme fort de l’Algérie », connu également pour avoir poussé l’ex-président Abdelaziz Bouteflika à démissionner, est décédé lundi à l’âge de 79 ans d’une crise cardiaque selon la présidence algérienne. Il aussitôt été remplacé par un autre militaire. Algérie : la rue ne digère pas l’élection d’un ex-fidèle de Bouteflika Tebboune a reçu l’appui de 58,15 % des personnes qui ont voté selon l’Autorité nationale des élections (ANIE), mais le taux de participation n’a été que de 39,83 %. Il s’agit du plus faible taux de l’histoire des élections présidentielles pluralistes de ce pays du Maghreb. L’art pour soutenir la révolution du sourire en Algérie Depuis le 22 février 2019, une révolution populaire pacifique et unique au monde est en marche en Algérie. Le soutien de la diaspora algérienne au Canada à la révolution du sourire qui balaie l’Algérie depuis le 22 février dernier n’est pas que politique. Aussi, il ne se résume pas aux manifestations hebdomadaires qui se tiennent depuis près de neuf mois au centre-ville de Montréal. Le rôle de la diaspora dans la transition en Algérie Une année après le déclenchement du mouvement populaire en Algérie, un regroupement de plusieurs partis et associations de la société civile algérienne, le Pacte de l’alternative démocratique (PAD), appelle à la tenue des « assises nationales pour l’alternative démocratique et la souveraineté populaire ». L’expertise canadienne en aéronautique au service des étudiants en Algérie La coopération dans le domaine aéronautique entre le Canada et l’Algérie est solide. Sur l’initiative de l’Algéro-Canadien, Abdelkader Kherrat, ingénieur chez Bombardier et enseignant à l’École polytechnique de Montréal, s’est tenu récemment en Algérie une compétition en aéronautique. Développer les entreprises émergentes en Algérie avec l’expertise canadienne Des membres de la diaspora algérienne au Canada se réuniront à la mi-février à Montréal pour discuter de la relance du développement économique de leur pays d’origine à partir de leur pays d’adoption. Deux associations d’Algériens du Canada ont uni leurs efforts pour organiser cet événement. Le meilleur de la semaine en images window.jQuery || document.write('

RCI | Français : Tam-Tam Canada
Après un an de soulèvements populaires, l’Algérie demeure sous pressions policières

RCI | Français : Tam-Tam Canada

Play Episode Listen Later Feb 28, 2020 44:41


Nous vous parlons cette semaine de la situation en Algérie. Un an après les soulèvements populaires, les Algériens appellent toujours à un changement démocratique et au respect de leurs droits fondamentaux. Des dizaines de manifestants et d'activistes y sont toujours en prison un an après le début des manifestations en faveur de la démocratie. Après les élections présidentielles de décembre 2019, les autorités ont remis en liberté de nombreux activistes incarcérés, mais des figures emblématiques du mouvement emprisonnées depuis septembre ou octobre derniers se trouvent toujours derrière les barreaux. Nos invités sont Miloud Chennoufi du département d'études de la défense au Collège des Forces canadiennes Toronto et Sara Nacer, Cette Montréalaise d'origine algérienne a réalisé le documentaire engagé «Qu'ils partent tous». Écoutez ou regardez Tam-Tam Canada du vendredi 28 février 2020 - 44:41 ÉcoutezFR_Tam_tam_Canada-20200228-WEF15 Découvrez nos articles les plus récents sur l'Algérie Algérie : « Tout le monde doit partir, pas seulement les têtes d'affiche » Samir Bendjafer, journaliste à la section arabe de Radio Canada International, était de passage à Alger tout de suite après l'annonce de la prochaine présidentielle. Il rend compte, au micro de Maryse Jobin, du climat politique qui règne en Algérie après sept mois de contestation populaire. Décès d'Ahmed Gaïd Salah, homme fort de l'Algérie Le général Ahmed Gaïd Salah, puissant chef de l'armée algérienne, l'« homme fort de l'Algérie », connu également pour avoir poussé l'ex-président Abdelaziz Bouteflika à démissionner, est décédé lundi à l'âge de 79 ans d'une crise cardiaque selon la présidence algérienne. Il aussitôt été remplacé par un autre militaire. Algérie : la rue ne digère pas l'élection d'un ex-fidèle de Bouteflika Tebboune a reçu l'appui de 58,15 % des personnes qui ont voté selon l'Autorité nationale des élections (ANIE), mais le taux de participation n'a été que de 39,83 %. Il s'agit du plus faible taux de l'histoire des élections présidentielles pluralistes de ce pays du Maghreb. L'art pour soutenir la révolution du sourire en Algérie Depuis le 22 février 2019, une révolution populaire pacifique et unique au monde est en marche en Algérie. Le soutien de la diaspora algérienne au Canada à la révolution du sourire qui balaie l'Algérie depuis le 22 février dernier n'est pas que politique. Aussi, il ne se résume pas aux manifestations hebdomadaires qui se tiennent depuis près de neuf mois au centre-ville de Montréal. Le rôle de la diaspora dans la transition en Algérie Une année après le déclenchement du mouvement populaire en Algérie, un regroupement de plusieurs partis et associations de la société civile algérienne, le Pacte de l'alternative démocratique (PAD), appelle à la tenue des « assises nationales pour l'alternative démocratique et la souveraineté populaire ». L'expertise canadienne en aéronautique au service des étudiants en Algérie La coopération dans le domaine aéronautique entre le Canada et l'Algérie est solide. Sur l'initiative de l'Algéro-Canadien, Abdelkader Kherrat, ingénieur chez Bombardier et enseignant à l'École polytechnique de Montréal, s'est tenu récemment en Algérie une compétition en aéronautique. Développer les entreprises émergentes en Algérie avec l'expertise canadienne Des membres de la diaspora algérienne au Canada se réuniront à la mi-février à Montréal pour discuter de la relance du développement économique de leur pays d'origine à partir de leur pays d'adoption. Deux associations d'Algériens du Canada ont uni leurs efforts pour organiser cet événement. Le meilleur de la semaine en images window.jQuery || document.write('

KPFA - Democracy Now
Algerian Protesters Are Still in the Streets, Months After Pushing Out Longtime President Bouteflika

KPFA - Democracy Now

Play Episode Listen Later Nov 7, 2019 59:58


In Algeria, protests against corruption, the jailing of opposition leaders and the army's powerful role in national politics have entered their ninth month. Tens of thousands filled the streets of the capital Algiers last Friday to mark the 65th anniversary of the war of independence from France and to demand a “new revolution” rather than an upcoming election they say will be rigged. Over 100 student protesters were arrested last night as the Algerian government intensified its crackdown on demonstrators ahead of the upcoming polls. Interim President Abdelkader Bensalah announced the country will hold a presidential election on December 12. This comes after longtime President Abdelaziz Bouteflika resigned in April following weeks of protests. We speak with Mehdi Kaci, an Algerian-American activist who organized a protest last weekend in San Francisco in support of Algerians, and Daikha Dridi, a journalist based in Algiers. “There is a political uprising, but there is also a huge sense of pride, of self-love, that the Algerian people are experiencing,” Dridi says. “The Algerians are wanting a much, much deeper change, and they're not going back home.” The post Algerian Protesters Are Still in the Streets, Months After Pushing Out Longtime President Bouteflika appeared first on KPFA.

Sojourner Truth Radio
Sojourner Truth Radio: April 16, 2019 - Africa Watch, US & European Progressivism, Migrant Children

Sojourner Truth Radio

Play Episode Listen Later Apr 16, 2019 57:52


Today on Sojourner Truth: We return to what is happening to migrant asylum seekers. The latest threat to the Flores agreement and The Donald threatening to send undocumented immigrants to sanctuary cities. Our guest is Peter Schey, Executive Director of the Center for Human Rights and Constitutional Law. Also, for our Sojourner Truth Africa Watch, the 30-year leader of Sudan was deposed by the military following a general uprising in the country with protesters demanding an end to austerity measures and for President Omar al-Bashir to step down. A military government is in place and although they have promised to establish civilian rule, Sudans overwhelmingly young population have their doubts. Meanwhile, al-Bashir is wanted by the International Criminal Court for crimes against humanity for atrocities overseen by his government in Darfur. After years of fighting, Sudan was balkanized and divided in two with the formation of South Sudan. A row between the north (ruled by al-Bashir) and the newly-formed South Sudan broke out over oil-rich fields, which got taken over by the South. al-Bashir's Sudan faced U.S. sanctions, which along with the loss of oil revenue, led to an economic crisis in the country. So, who are the protesters who have vowed to stay in the streets until a civilian government is formed? Whats at stake in Sudan? Meanwhile, what some are calling an Arab Spring has spread to Algeria, where long-time President Abdelaziz Bouteflika has been forced to step down. Whats at stake? Also, the U.S.-backed government in Tripoli, Libya put in place after the U.S.-backed overthrow of Muammar Gaddafi is under threat with serious fighting threatening the capital city. Whats going on? Our guest, Dr. Gerald Horne, breaks all of this down for us. Finally, the growing alliance between left-leaning organizations and tendencies in the U.S. and Europe. Our guest is Alan Minsky, Executive Director of the Progressive Democrats of America.

Sojourner Truth Radio
News Headlines: April 16, 2019

Sojourner Truth Radio

Play Episode Listen Later Apr 16, 2019 5:29


Today on Sojourner Truth: We return to what is happening to migrant asylum seekers. The latest threat to the Flores agreement and The Donald threatening to send undocumented immigrants to sanctuary cities. Our guest is Peter Schey, Executive Director of the Center for Human Rights and Constitutional Law. Also, for our Sojourner Truth Africa Watch, the 30-year leader of Sudan was deposed by the military following a general uprising in the country with protesters demanding an end to austerity measures and for President Omar al-Bashir to step down. A military government is in place and although they have promised to establish civilian rule, Sudans overwhelmingly young population have their doubts. Meanwhile, al-Bashir is wanted by the International Criminal Court for crimes against humanity for atrocities overseen by his government in Darfur. After years of fighting, Sudan was balkanized and divided in two with the formation of South Sudan. A row between the north (ruled by al-Bashir) and the newly-formed South Sudan broke out over oil-rich fields, which got taken over by the South. al-Bashir's Sudan faced U.S. sanctions, which along with the loss of oil revenue, led to an economic crisis in the country. So, who are the protesters who have vowed to stay in the streets until a civilian government is formed? Whats at stake in Sudan? Meanwhile, what some are calling an Arab Spring has spread to Algeria, where long-time President Abdelaziz Bouteflika has been forced to step down. Whats at stake? Also, the U.S.-backed government in Tripoli, Libya put in place after the U.S.-backed overthrow of Muammar Gaddafi is under threat with serious fighting threatening the capital city. Whats going on? Our guest, Dr. Gerald Horne, breaks all of this down for us. Finally, the growing alliance between left-leaning organizations and tendencies in the U.S. and Europe. Our guest is Alan Minsky, Executive Director of the Progressive Democrats of America.

Sojourner Truth Radio
Africa Watch: Dr. Gerald Horne On Libya, Sudan & Algeria Protests

Sojourner Truth Radio

Play Episode Listen Later Apr 16, 2019 22:53


Today on Sojourner Truth: We return to what is happening to migrant asylum seekers. The latest threat to the Flores agreement and The Donald threatening to send undocumented immigrants to sanctuary cities. Our guest is Peter Schey, Executive Director of the Center for Human Rights and Constitutional Law. Also, for our Sojourner Truth Africa Watch, the 30-year leader of Sudan was deposed by the military following a general uprising in the country with protesters demanding an end to austerity measures and for President Omar al-Bashir to step down. A military government is in place and although they have promised to establish civilian rule, Sudans overwhelmingly young population have their doubts. Meanwhile, al-Bashir is wanted by the International Criminal Court for crimes against humanity for atrocities overseen by his government in Darfur. After years of fighting, Sudan was balkanized and divided in two with the formation of South Sudan. A row between the north (ruled by al-Bashir) and the newly-formed South Sudan broke out over oil-rich fields, which got taken over by the South. al-Bashir's Sudan faced U.S. sanctions, which along with the loss of oil revenue, led to an economic crisis in the country. So, who are the protesters who have vowed to stay in the streets until a civilian government is formed? Whats at stake in Sudan? Meanwhile, what some are calling an Arab Spring has spread to Algeria, where long-time President Abdelaziz Bouteflika has been forced to step down. Whats at stake? Also, the U.S.-backed government in Tripoli, Libya put in place after the U.S.-backed overthrow of Muammar Gaddafi is under threat with serious fighting threatening the capital city. Whats going on? Our guest, Dr. Gerald Horne, breaks all of this down for us. Finally, the growing alliance between left-leaning organizations and tendencies in the U.S. and Europe. Our guest is Alan Minsky, Executive Director of the Progressive Democrats of America.

Sojourner Truth Radio
Alan Minsky On US & European Progressive Movements Forging Links

Sojourner Truth Radio

Play Episode Listen Later Apr 16, 2019 11:18


Today on Sojourner Truth: We return to what is happening to migrant asylum seekers. The latest threat to the Flores agreement and The Donald threatening to send undocumented immigrants to sanctuary cities. Our guest is Peter Schey, Executive Director of the Center for Human Rights and Constitutional Law. Also, for our Sojourner Truth Africa Watch, the 30-year leader of Sudan was deposed by the military following a general uprising in the country with protesters demanding an end to austerity measures and for President Omar al-Bashir to step down. A military government is in place and although they have promised to establish civilian rule, Sudans overwhelmingly young population have their doubts. Meanwhile, al-Bashir is wanted by the International Criminal Court for crimes against humanity for atrocities overseen by his government in Darfur. After years of fighting, Sudan was balkanized and divided in two with the formation of South Sudan. A row between the north (ruled by al-Bashir) and the newly-formed South Sudan broke out over oil-rich fields, which got taken over by the South. al-Bashir's Sudan faced U.S. sanctions, which along with the loss of oil revenue, led to an economic crisis in the country. So, who are the protesters who have vowed to stay in the streets until a civilian government is formed? Whats at stake in Sudan? Meanwhile, what some are calling an Arab Spring has spread to Algeria, where long-time President Abdelaziz Bouteflika has been forced to step down. Whats at stake? Also, the U.S.-backed government in Tripoli, Libya put in place after the U.S.-backed overthrow of Muammar Gaddafi is under threat with serious fighting threatening the capital city. Whats going on? Our guest, Dr. Gerald Horne, breaks all of this down for us. Finally, the growing alliance between left-leaning organizations and tendencies in the U.S. and Europe. Our guest is Alan Minsky, Executive Director of the Progressive Democrats of America.

Sojourner Truth Radio
Peter Schey On Migrant Children & Sanctuary Cities

Sojourner Truth Radio

Play Episode Listen Later Apr 16, 2019 12:28


Today on Sojourner Truth: We return to what is happening to migrant asylum seekers. The latest threat to the Flores agreement and The Donald threatening to send undocumented immigrants to sanctuary cities. Our guest is Peter Schey, Executive Director of the Center for Human Rights and Constitutional Law. Also, for our Sojourner Truth Africa Watch, the 30-year leader of Sudan was deposed by the military following a general uprising in the country with protesters demanding an end to austerity measures and for President Omar al-Bashir to step down. A military government is in place and although they have promised to establish civilian rule, Sudans overwhelmingly young population have their doubts. Meanwhile, al-Bashir is wanted by the International Criminal Court for crimes against humanity for atrocities overseen by his government in Darfur. After years of fighting, Sudan was balkanized and divided in two with the formation of South Sudan. A row between the north (ruled by al-Bashir) and the newly-formed South Sudan broke out over oil-rich fields, which got taken over by the South. al-Bashir's Sudan faced U.S. sanctions, which along with the loss of oil revenue, led to an economic crisis in the country. So, who are the protesters who have vowed to stay in the streets until a civilian government is formed? Whats at stake in Sudan? Meanwhile, what some are calling an Arab Spring has spread to Algeria, where long-time President Abdelaziz Bouteflika has been forced to step down. Whats at stake? Also, the U.S.-backed government in Tripoli, Libya put in place after the U.S.-backed overthrow of Muammar Gaddafi is under threat with serious fighting threatening the capital city. Whats going on? Our guest, Dr. Gerald Horne, breaks all of this down for us. Finally, the growing alliance between left-leaning organizations and tendencies in the U.S. and Europe. Our guest is Alan Minsky, Executive Director of the Progressive Democrats of America.

KPFA - Voices of the Middle East and North Africa
April 5, 2019: What’s Next for Algeria? Plus; Syrian Artist Reflects on the 2011 Mass Uprising

KPFA - Voices of the Middle East and North Africa

Play Episode Listen Later Apr 5, 2019 59:57


This week, we get an update on the political developments in Algeria after the official resignation of the President Abdelaziz Bouteflika. We speak again with Dr. Thomas Serres from the University of California Santa Cruz. Later in the program, we hear from the Syrian illustrator Dima Nachawi. We talk about the art scene, especially in exile, and the importance of creative work in preserving a nation's collective memory. The post April 5, 2019: What's Next for Algeria? Plus; Syrian Artist Reflects on the 2011 Mass Uprising appeared first on KPFA.

Spegillinn
Spegillinn 1. apríl 2019

Spegillinn

Play Episode Listen Later Apr 1, 2019 30:00


Spegillinn 1. apríl 2019 Umsjón: Kristján Sigurjónsson Tæknimaður: Mark Eldred Samningafundur í kjaradeilu Eflingar, VR og fleiri félaga og Samtaka atvinnulífsins sem hófst snemma í morgun stendur enn hjá ríkissáttasemjara. Fyrir fram var búist við að í dag kæmi ljós hvort aðilar væru að ná samningi eða ekki. Stóra samningnefnd Eflingar kom í hús til sáttasemjara rétt fyrir klukkan sex sem og forseti ASÍ. Arnar Páll Hauksson talar beint frá Ríkissáttasemjara. Ólíklegt er að eitthvað fáist upp í allar kröfur í þrotabú WOW air segir annar skiptastjóra félagsins. Opnað verður fyrir kröfur í búið á miðvikudag. Íslendingar halda fullum foræðum yfir orkuauðlindum sínum með tilkomu þriðja orkupakkans, segir forsætisráðherra. Hún hafnar gagnrýni formanns Miðflokksins sem heldur öðru fram. Abdelaziz Bouteflika, forseti Alsírs, hyggst láta af embætti á næstu dögum, áður en skipunartími hans rennur út. Hann hefur verið við völd frá árinu 1999. Breska þingið kýs í kvöld um leiðbeinandi en ekki lagalega bindandi tillögur sem hafa tekið dagskrárvaldið af forsætisráðherra í baráttu við Brexit og sundrung í eigin flokki. 33 bandarískir foreldrar hafa verið ákærðir fyrir að borga svindlurum stórfé í því skyni að koma börnum sínum í bestu háskóla landsins. Útibú frá Barnahúsi var opnað á Akureyri í dag. Þar verður tekið á móti börnum sem hafa orðið fyrir kynferðisofbeldi eða öðru ofbeldi og þeim veitt áfallameðferð. Vorboðarnir flykkjast til landsins og nú er lundinn kominn en til hans sást í Grímsey um helgina. Lengri Umfjöllun: Í kvöld greiðir breska þingið í annað skiptið atkvæði um leiðbeinandi, ekki lagalega bindandi tillögur um Brexit-leiðir, þar á meðal varanleg aðild að tollabandalagi. Theresa May forsætisráðherra á í mesta basli með framvinduna, er á móti tollabandalagi, vill fresta fjórðu atkvæðagreiðslunnar um sinn útgöngusamning. Atkvæðagreiðslan í dag sýnir að forsætisráðherra hefur misst dagskrárvaldið í þinginu og flokkur hennar á góðri leið með að klofna. Sigrún Davíðsdóttir segir frá. Óhætt er að fullyrða að fá mál á liðnum árum hafi vakið önnur eins viðbrögð og áhuga hjá bandarískum almenningi og háskólaskandallinn svokallaði. Allt bendir til þess að vel efnaðir foreldrar eða forráðamenn hundraða ungmenna hafi mútað eða borgað vel skipulögðum hópi manna með ítök í virtum háskólum vestanhafs stórfé til að koma afkvæmum sínum að í skólunum. Eftir sitja ungmenni sem verðskulduðu miklu frekar skólavist, en taumlaus metnaður og græðgi annarra rændi þau tækifærinu. Fjölmiðlar vestra hafa undanfarna

Spegillinn
Kröfuhafar verða hluthafar í Wow, fjármálaáætlun og loðnubrestur

Spegillinn

Play Episode Listen Later Mar 26, 2019 30:00


Skúli Mogensen, forstjóri Wow air, segir að unnið sé að því með kröfuhöfum og stjórnvöldum að tryggja langtímafjármögnun félagsins. Allir kröfuhafar WOW air, nema Isavia, hafa samþykkt formlega að breyta fimmtán milljarða kröfum sínum í 49 prósenta hlut í félaginu. Óvissa um kjarasamninga og framtið flugrekstrar gætu haft áhrif á fjármálaáætlun ríkisstjórnarinnar að mati Bjarna Benediktssonar fjármálaráðherra. Oddný G. Harðardóttir fyrrverandi fjármálaráðherra telur ríkisstjórnina ekkert hafa gert til að greiða fyrir kjarasamningum. Jóhanna Vigdís Hjaltadóttir segir frá umræðum á Alþingi. Íris Róbertsdóttir ,bæjarstjóri í Vestmannaeyjum segir að beint tekjutap vegna loðnubrests fyrir samfélagið sé um sex milljarðar króna. Hún vonar að á fundi sem haldinn er með þingmönnum, fyrirtækjum og fulltrúum sveitarfélagsins og fleirum verði hægt að leggja drög að áætlun um hvernig megi takast á við áfallið. Ágúst Ólafsson ræddi við Írisi. Matvælastofnun hefur, í samvinnu við Lyfjastofnun, kært vef á íslensku léni til lögreglu og farið fram á að honum verði lokað Herdís M. Guðjónsdóttir, sérfræðingur hjá Matvælastofnun segir að þar hafi verið auglýst ólögleg fæðubótarefni og lyf. Yfirmaður herráðsins í Alsír krafðist þess í dag að úrskurðað yrði að Abdelaziz Bouteflika forseti væri óhæfur til að stýra ríkinu vegna heilsubrests. Hörð mótmæli hafa verið í höfuðborginni Algeirsborg og víðar í Alsír undanfarnar vikur gegn forsetanum. Ásgeir Tómasson sagði frá. ----- Allir kröfuhafar WOW air nema Isavia hafa samþykkt formlega að breyta fimmtán milljarða króna kröfum sínum í 49 prósenta hlut í félaginu. Skúli Mogensen forstjóri félagsins segir að sú ákvörðun styrki félagið verulega. Sigríður Dögg Auðunsdóttir ræddi við Skúla. Talsvert er í að samningar náist milli SA og verkalýðsfélaganna hjá Ríkissáttasemjara. Enn er ósamið um vinnutímabreytingar og launataxta. All útlit er fyrir að tveggja daga verkfall hefjist á fimnmtudaginn. Eftir óvænta framvindu í breska þinginu er óvissan bæði um Brexit og framtíð Theresu May forsætisráðherra nú komin á hærra stig.Sigrún Savíðsdóttir segir frá. Umsjón: Anna Kristín Jónsdóttir. Tæknimaður: Ragnar Gunnarsson

Bureau Buitenland
Algerijnen trotseren het regime

Bureau Buitenland

Play Episode Listen Later Mar 1, 2019 13:10


De Algerijnse hoofdstad Algiers stroomde vandaag vol met mensen die eisen dat president Abdelaziz Bouteflika afziet van deelname aan de verkiezingen volgende maand. Het hoogbejaarde staatshoofd is al sinds 1999 aan de macht, maar wordt vanwege ziekte al jaren niet meer in het openbaar gezien. Afrika-correspondent Saskia Houttuin en de Nederlands- Algerijnse filmmaker Hakim Traïdia over de  historische protesten.