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Le Journal en français facile du mardi 16 décembre 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CH3n.A
Oui, cette histoire est vraie : l'affaire Lawrence Russell Brewer a bien entraîné la fin officielle de la tradition du last meal personnalisé pour les condamnés à mort au Texas en 2011.Voici les faits établis : 1. La tradition existait réellement au TexasAvant 2011, les condamnés à mort texans pouvaient demander un dernier repas spécial, dans des limites raisonnables, comme dans de nombreux États américains. Cette pratique symbolique remonte au XIXᵉ siècle. 2. Le dernier repas extravagant de BrewerLawrence Russell Brewer, condamné pour un meurtre raciste particulièrement violent, a effectivement demandé un repas énorme, comprenant notamment : un triple cheeseburger, un cheeseburger supplémentaire, trois fajitas, une portion d'okra frit, un steak de poulet, une omelette complète, une pizza, des brownies, une glace, du beurre de cacahuète, et même du meatloaf.En tout, un repas correspondant à plusieurs milliers de calories. 3. Il n'en a rien mangéQuand le plateau lui fut présenté, Brewer refusa d'y toucher, affirmant qu'il “n'avait pas faim”. Ce geste fut perçu comme un manque de respect, notamment par les représentants politiques et les familles de victimes. 4. Décision du Sénat du TexasLe sénateur John Whitmire, outré par l'abus, écrivit immédiatement au directeur des prisons pour demander la fin de cette tradition. Celui-ci accepta le jour même.Depuis septembre 2011, au Texas, les condamnés à mort reçoivent le repas du jour, comme tous les autres détenus. 5. Le Texas est le seul État à l'avoir officiellement abolieD'autres États continuent la tradition, mais avec des budgets limités (généralement 20 à 40 dollars).L'affaire Brewer est l'un des rares cas où un geste provocateur d'un condamné à mort a entraîné une modification immédiate de la politique pénitentiaire d'un État américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hello tout le monde!Aujourd'hui, on reçoit Alain Olivier, un Québécois qui a survécu à l'un des pires cauchemars possibles : une condamnation à mort en Thaïlande, suite à une fausse accusation de narcotrafic impliquant une opération policière truquée avec la GRC.Pendant 9 ans, il a vécu l'enfer : torture, corruption, 40 livres de chaînes aux pieds, etc.Son histoire a inspiré le film « Target Number One » et le livre « Good Luck Frenchie ».Dans cet épisode, il raconte son histoire en grand détail, sans aucun filtre.
durée : 00:46:27 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, Philippe Maurice, le dernier condamné Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:17 - Gérard Trémège condamné à ne plus être maire de Tarbes Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Un homme de 88 ans assassiné devant son épouse. Condamné pour meurtre en Europe, il pourra continuer de vivre au Québec. Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque samedi dans CLAP !, Laurie Cholewa revient sur l'actualité du Septième art, en compagnie d'invités.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur des contradictions sur un accord entre Israël et l'Égypte et l'ingérence américaines dans la présidentielle hondurienne. Nigeria : quelles sont les vraies raisons de la démission du ministre de la Défense ? Au Nigeria, le ministre de la Défense Mohammed Badaru Abubakar a démissionné de son poste invoquant des raisons de santé. Ne s'agit-il pas d'un prétexte alors que le pays est confronté à une recrudescence des kidnappings de masse ? Pourquoi le président Tinubu a-t-il décidé de le remplacer par le général Christopher Musa, ancien chef d'état-major des armées limogé, il y a deux mois, pour des rumeurs de tentative de coup d'État ? Avec Liza Fabbian, journaliste au service Afrique de RFI. Gaza : pourquoi Israël a-t-il annoncé que les habitants pourraient quitter le territoire par l'Égypte ? Alors qu'Israël avait annoncé la sortie prochaine des Gazaouis par le point de passage de Rafah, situé entre l'enclave palestinienne et l'Égypte, Le Caire a immédiatement démenti avoir accepté un tel compromis. Comment expliquer ces contradictions ? Quelle était la stratégie des autorités israéliennes en annonçant l'ouverture de ce poste-frontière sachant que l'Égypte allait démentir ? Avec Frédérique Misslin, correspondante permanente de RFI à Jérusalem. Honduras : pourquoi Trump libère un ancien président narcotrafiquant ? Condamné à 45 ans de prison par la justice américaine pour avoir importé aux États-Unis des centaines de tonnes de cocaïne, l'ancien président hondurien Juan Orlando Hernández a bénéficié d'une grâce de Donald Trump. Comment expliquer cette décision ? Alors que le Honduras est en pleine période électorale, quelles peuvent être les conséquences politiques de cette libération ? Avec Daniel Vasquez, doctorant au CNRS, affilié au Centre d'Études Mexicaines et Centraméricaines (CEMCA) et spécialiste du Honduras. Et en fin d'émission, la chronique «Un oeil sur les réseaux de Jessica Taieb». Au programme, le témoignage TikTok d'un mannequin guinéen qui rencontre des difficultés à voyager à cause de son passeport.
Ce qui fait la Une de l'actualité avec la condamnation de Christophe Gleizes à une peine de 7 ans de prison pour «apologie du terrorisme» en Algérie. Ce journaliste français avait été arrêté l'année dernière (2024). Avec - Catarina Falcao de la rédaction lusophone - Ana Maria Ospina pour la rédaction en espagnol - Vassilé Damian de la rédaction roumaine.
Condamné à quatre ans de prison ferme le 1er décembre dans une affaire de chantage à la sextape, l'ex-maire de Saint-Étienne explique vouloir "laver son honneur et celui de sa famille".Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce qui fait la Une de l'actualité avec la condamnation de Christophe Gleizes à une peine de 7 ans de prison pour «apologie du terrorisme» en Algérie. Ce journaliste français avait été arrêté l'année dernière (2024). Avec - Catarina Falcao de la rédaction lusophone - Ana Maria Ospina pour la rédaction en espagnol - Vassilé Damian de la rédaction roumaine.
C'est une vidéo qui est au cœur des débats et dont se fait l'écho la presse américaine. Elle a été visionnée hier par des parlementaires, notamment démocrates, qui ont fait part de leur trouble. Sur cette vidéo, raconte le New York Times, « on voit la première frappe américaine dans les Caraïbes, le 2 septembre dernier ». Ce jour-là, « une explosion spectaculaire détruit la majeure partie d'un bateau. Une trentaine de minutes plus tard, lorsque la fumée est dissipée (poursuit le quotidien américain) la proue du bateau est retournée, mais flotte encore (…) Deux survivants torse nu, s'accrochent à la coque, (…) grimpent dessus et retombent à l'eau à plusieurs reprises ». Frappe meurtrière C'est alors que survient une deuxième frappe, explique le Wall Street Journal, deuxième frappe « qui tue les deux survivants ». L'amiral Frank Mitch Bradley, « qui a supervisé cette attaque », a affirmé hier devant les parlementaires, « que les deux hommes qui avaient survécu à une première frappe contre le bateau, avaient tenté de poursuivre leur trafic de drogue ». Ce qui, a ajouté l'amiral, en faisait « des cibles légales ». Une version que ne partagent pas les parlementaires démocrates. Deux d'entre eux ont ainsi déclaré : « La vidéo que nous avons vue aujourd'hui, montrait deux naufragés qui n'avaient aucun moyen de se déplacer, et encore moins de représenter une menace immédiate et pourtant ils ont été tués par l'armée américaine ». Les élus démocrates ont l'intention d'enquêter sur cette affaire. L'Eurovision ébranlée Israël a reçu le feu vert pour participer au concours de l'Eurovision dont la prochaine édition aura lieu en Autriche, en 2026. Feu vert qui a déclenché l'annulation de la présence de plusieurs pays. « L'Irlande et l'Espagne boycottent l'Eurovision après qu'Israël a été autorisé à y participer », titre le Times, à Londres, qui ajoute « les Pays-Bas et la Slovénie se retirent également. D'autres devraient suivre, en signe de protestation contre la guerre à Gaza ». Le pays le plus en vue, dans ceux qui ont pris la décision de boycotter l'Eurovision, est l'Espagne, estime die Welt. Or, nous explique le quotidien allemand, « c'est un pays clé de l'Eurovision et c'est aussi un fervent critique de la politique d'Israël dans la Bande de Gaza. L'Espagne, poursuit le quotidien allemand, fait partie des "Big Five" les cinq plus importants contributeurs financiers au concours de l'Eurovision. De plus, le public espagnol compte parmi les plus passionnés de la compétition ». À Madrid, El Païs remarque d'ailleurs que « c'est la première fois depuis 1961, que l'Espagne ne participera pas à l'Eurovision ». Enfin, en Suisse, le journal le Temps estime que « le plus grand concours musical du monde risque de voler en éclats ». Détresse et émotion Christophe Gleizes, le journaliste français emprisonné en Algérie, espérait retrouver la liberté, à l'occasion de son procès en appel. Il n'en a rien été, comme le raconte le Monde. « Condamné en première instance à sept ans de prison pour apologie du terrorisme, il a vu sa peine confirmée devant la cour d'appel de Tizi Ouzou ». « La détresse est à la hauteur de l'espoir qu'entretenaient depuis quelques semaines Christophe Gleizes, ses proches et ses soutiens », explique le quotidien français qui ajoute : « À la lecture de l'arrêt de la cour d'appel de Tizi Ouzou, le journaliste français de 36 ans, arrivé souriant en début de matinée au tribunal, a peiné à masquer son émotion ». « Le sort de Christophe Gleizes ravive les tensions avec Alger », titre de son côté le Figaro, qui « espère que le monde du football va enfin se lever pour Christophe Gleizes », journaliste sportif et amoureux du ballon rond ». Le Figaro estime ainsi que « Killian Mbappé, dont la mère est algérienne, et qui sait prendre la parole quand il le faut, serait d'un soutien fort et précieux ».
durée : 00:03:49 - Le douloureux procès de l'accident mortel d'Arbus - L'automobiliste qui est entré en collision avec un motard de 18 ans à Arbus en avril 2024 a été reconnu coupable d'homicide involontaire. Ce jeudi 4 décembre, le tribunal correctionnel de Pau le condamne à trois ans de prison avec sursis. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:16:41 - Journal de 7 h - La peine de prison du journaliste a été confirmée ce mercredi 3 décembre par la justice algérienne, malgré la consternation de ses soutiens et de sa famille. Un autre Français affronte aujourd'hui la justice d'un autre pays autoritaire : Tom Felix, en prison depuis deux ans en Malaisie.
Une loi pionnière en Colombie permet, depuis 2023, à des femmes cheffes de famille condamnées pour des délits mineurs de purger leur peine hors de prison, à travers des travaux d'utilité publique. Près de 200 détenues ont déjà bénéficié de ce dispositif, qui leur permet de rester auprès de leurs enfants. Reportage à Fusagasugá, près de Bogotá de notre correspondante Camille Bouju. Patricia Cortés, 23 ans, est l'un des visages de ce dispositif unique au monde : Incarcérée alors qu'elle était enceinte, elle a passé onze mois en prison avant d'être libérée grâce à cette réforme. Sa mère, Luisa Fernanda Ladina, raconte une vie marquée par la pauvreté et les violences domestiques, qui l'a poussée vers le trafic de drogue pour nourrir ses enfants. Un profil type pour les associations qui sont à l'origine de la loi. La réforme repose sur la double reconnaissance : les femmes commettent souvent ces délits pour subvenir aux besoins de leur famille. Et pour la première fois, le travail de soin est reconnu comme un critère juridique et ouvre la voie à une forme de justice plus réparatrice, susceptible d'inspirer d'autres pays, souligne notre correspondante Camille Bouju dans son reportage. Haïti : le bas Artibonite vit une situation de «chaos généralisé» C'est ce qu'estime en tout cas le Protecteur du citoyen, Jean Wilner Morin, qui a alerté le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé sur une violence armée accrue dans cette région. Dans une lettre datée du 2 décembre 2025, il décrit des communes comme Saint-Marc, Montrouis et Pont-Sondé sous la coupe de gangs, avec prises d'otages, assassinats, agressions sexuelles et actes criminels divers, le tout dans une impunité totale. Avec Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, nous revenons sur ce sujet, tout comme sur les tensions au sein du CPT, tensions qui se sont «apaisées», selon Frinel Joseph, membre observateur au Conseil présidentiel de transition. Tension Caracas - Washington : Donald Trump à la recherche de la gloire militaire Pour le Washington Post, la posture agressive de Donald Trump envers le Venezuela ne s'explique pas seulement par la lutte antidrogue (c'est en tout cas l'explication officielle), l'accès au pétrole ou l'influence stratégique dans les Caraïbes. Le moteur le plus profond serait ailleurs, d'après l'éditorial : c'est la recherche de la «grandeur présidentielle». Donald Trump considère le dossier vénézuélien comme une occasion d'entrer dans l'Histoire à travers la guerre, un marqueur récurrent des présidents classés parmi les «grands» des États-Unis. Donald Trump, rappelle l'auteur, ne cesse de se comparer à Washington, Lincoln ou Roosevelt. Le problème, c'est que l'Histoire est souvent cruelle avec les présidents belliqueux. Si les guerres peuvent coûter des milliers de vies, elles ne garantissent en rien la gloire politique, tous les sondages le montrent. Et puis, le Washington Post souligne aussi ce paradoxe de Donald Trump, qui se targue d'avoir mis fin à des conflits tout en semblant prêt à en ouvrir un nouveau. Une issue politique du conflit est-il encore possible ? En tout cas, c'est ce que veut croire El Nacional. Le journal vénézuélien décrit le conflit qu'oppose Caracas et Washington comme «un jeu à somme nulle». Si Nicolas Maduro est écarté du pouvoir, Donald Trump pourra clamer victoire. Si, au contraire, le dirigeant chaviste que le journal qualifie d'illégitime parvient à se consolider malgré la pression, eh bien le triomphe sera le sien. À partir de ce panorama, poursuit El Nacional, la véritable nature de l'affrontement apparaît clairement : il ne s'agit pas d'une stratégie pour améliorer le sort des Vénézuéliens, mais d'un «duel» entre deux egos où chaque mouvement vise à empêcher l'autre de l'emporter. Mais le journal estime qu'il est encore temps d'éviter ce type d'intervention. Le journal relève que les deux dirigeants se sont parlé au téléphone. Ce simple échange, confirmé hier (3 décembre 2025) aussi par Nicolas Maduro révèle l'existence d'un canal direct entre Washington et Caracas, souligne le journal. «Et s'il existe un canal, il existe aussi la possibilité d'une issue qui restaure la liberté au Venezuela sans morts ni tragédie». Journal de la 1ère La Martinique bouleversée par un cas d'infanticide : un bébé a été retrouvé mort dans un réfrigérateur.
Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce jeudi, il revient sur la confirmation de la condamnation de Christophe Gleizes en Algérie. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:16:41 - Journal de 7 h - La peine de prison du journaliste a été confirmée ce mercredi 3 décembre par la justice algérienne, malgré la consternation de ses soutiens et de sa famille. Un autre Français affronte aujourd'hui la justice d'un autre pays autoritaire : Tom Felix, en prison depuis deux ans en Malaisie.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Combattant dans l'armée ukrainienne, un jeune Tchéco-Vietnamien condamné à Louhansk - Le célèbre costumier et peintre tchèque Theodor Pištěk est mort à 93 ans
Combattant dans l'armée ukrainienne, un jeune Tchéco-Vietnamien condamné à Louhansk - Le célèbre costumier et peintre tchèque Theodor Pištěk est mort à 93 ans
La cour d'appel de Tizi-Ouzou en Algérie a confirmé mercredi la condamnation à sept ans de prison de Christophe Gleizes, emprisonné depuis juin pour "apologie du terrorisme". Le journaliste français s'est vu reprocher des contacts avec des personnes liées au mouvement séparatiste Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie, classé terroriste en Algérie depuis mai 2021. Reporters sans Frontières condamne vivement cette "décision aberrante".
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
A 10h, ce lundi 1er décembre 2025, les GG : Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de : Condamnée pour avoir délogé ses squatteurs, injuste ?
Au menu de la deuxième heure des GG du lundi 1er décembre 2025 : "Condamnée pour avoir délogé ses squatteurs, injuste ?" et "Louis Aliot face aux GG", avec Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie.
Chroniqueurs : Gauthier Le Bret, journalisteSabrina Medjebeur, auteureChristophe Bordet, rédacteur-en-chefGérard Carreyrou, journalisteHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : Gauthier Le Bret, journalisteSabrina Medjebeur, auteureChristophe Bordet, rédacteur-en-chefGérard Carreyrou, journalisteVous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée : Valérie Mousseeff, directrice du centre pénitentiaire de Baie-Mahault en GuadeloupeChroniqueurs : Gauthier Le Bret, journalisteSabrina Medjebeur, auteureChristophe Bordet, rédacteur-en-chefGérard Carreyrou, journalisteHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée : Valérie Mousseeff, directrice du centre pénitentiaire de Baie-Mahault en GuadeloupeChroniqueurs : Gauthier Le Bret, journalisteSabrina Medjebeur, auteureChristophe Bordet, rédacteur-en-chefGérard Carreyrou, journalisteVous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce week-end, découvrez La Traque, le podcast de Bababam qui vous emmène au coeur des enquêtes policières, où flics et voyous jouent au chat et à la souris... Un podcast pour vivre des émotions fortes. Son ascension dans le milieu criminel a débuté dans sa jeunesse, où Marco Mouly a rapidement été attiré par des choix de vie risqués. Au fil des années, il a acquis une réputation qui lui a permis de se faire un nom dans des cercles peu recommandables. Il est avant tout connu pour avoir mis en place un système de fraude à la taxe carbone, et pour l'un des plus grands détournements financiers de l'histoire. Condamné à 8 ans de prison en 2019, il décide de s'enfuir. Débute alors un véritable jeu avec la police. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Résumé. Marie-Pierre Revel, 64 ans, a commencé à fumer dès son plus jeune âge, avec sa cousine Véro. Mais en 2013, Véro tombe malade : elle a un cancer du poumon. Marie-Pierre, qui est radiologue, prend encore plus conscience à ce moment-là du danger de la cigarette.L'ancienne fumeuse se lance alors dans un projet de recherche pour dépister le cancer. Pendant que Véro se bat contre la maladie, Marie-Pierre se bat pour que son projet puisse voir le jour.Marie-Pierre Revel a publié un ouvrage au mois d'octobre intitulé “En finir avec le cancer du poumon, c'est possible !”. Aujourd'hui, la médecin raconte son histoire dans Code Source, au micro de Barbara Gouy.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clara Grouzis, Thibault Lambert et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCP. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Née en Côte-d'Ivoire en 1966, Véronique Akobé, arrivée en France sans papiers, est embauchée à l'été 1987 comme employée de maison dans la famille d'un industriel de Grasse. Traitée comme une esclave, elle dit avoir été violée en même temps par son employeur et par le fils de son employeur, à plusieurs reprises. À la suite d'une troisième agression, Véronique blesse le père et tue le fils avant de prendre la fuite. Condamnée en janvier 1990 à 20 ans de réclusion par la cour d'Assises de Nice, elle fut incarcérée à la prison pour femmes de Rennes. L'affaire Véronique Akobé a divisé l'opinion publique et suscité une grande controverse entre partisans de sa condamnation et ceux partisans du droit de cette femme violée à se défendre et à s'opposer à ses agresseurs. Le président de la République Jacques Chirac, en 1996, a accordé sa grâce présidentielle à Véronique Akobé, qui avait déjà passé neuf années en détention.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Invités :Véronique Jacquier, journaliste.Olivier Benkemoun, journaliste politique.Alain Madelin, ancien ministre.Éléonore Caroit, ministre déléguée chargée de la francophonie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Le pourvoi de Nicolas Sarkozy dans l'affaire Bygmalion a été rejeté par la Cour de cassation. L'ancien président est définitivement condamné à un an de prison dont six mois ferme pour financement illégal de campagne électorale. La peine ferme est aménageable. Un article de Michel Deléan, publié le 26 novembre 2025 sur Mediapart, lu par Jérémy Zylberberg. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ah oui oui oui ! Bienvenue à condamnation pour un champion !"
Le Journal en français facile du mercredi 26 novembre 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CDa1.A
Ruth Elkrief dénonce le rejet de deux sondages de l'IFOP, sur l'islam et l'antisémitisme à l'université. Dans les deux cas, elle y voit une tentative d'obscurantisme qui revient à casser le thermomètre au lieu de guérir la fièvre. L'institut a porté plainte contre deux députés LFI, jugeant que leurs attaques publiques nuisaient à sa réputation et mettaient ses équipes en danger. La Chine est devenue un actionnaire majeur de Fnac Darty, enseigne emblématique du patrimoine français, via JD.com. Bercy suit de près la situation et impose des conditions strictes, dont l'interdiction d'augmenter sa participation au capital. Pascal Perri appelle à la vigilance, rappelant l'influence croissante de la Chine à travers Shein, l'automobile, le tourisme ou encore les terres rares. Condamné le 11 septembre 2025 à 27 ans et trois mois de prison pour avoir dirigé une organisation criminelle, Jair Bolsonaro a tenté de briser son bracelet électronique avec un fer à souder. Il affirme l'avoir fait par curiosité. Abnousse Shalmani estime qu'il mérite la prison, mais souligne que c'est la manière dont il a été condamné qui pose débat. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:05 - La Revue de presse internationale - par : Mathilde Romagnan - Alice Guo, 35 ans, a été reconnue coupable par un tribunal de Manille d'avoir dirigé un centre de jeux d'argent où des centaines de personnes étaient exploitées.
Une élection présidentielle anticipée se tient ce week-end dans la République serbe de Bosnie, l'entité serbe de ce pays toujours divisé selon des lignes ethniques. Condamné et déclaré inéligible, l'ancien président nationaliste, Milorad Dodik, ne peut pas se présenter après 19 ans de pouvoir sans partage, mais son parti présente un candidat. L'entité serbe de Bosnie pourrait tourner la page du nationalisme lors de cette élection, dont le résultat s'annonce incertain, dans un pays ravagé par la corruption et les difficultés économiques À lire aussiÀ la Une: Bosnie-Herzégovine, quel avenir pour la Republika Srpska?
L'histoire de Gilles Garnier, surnommé le “loup-garou de Dole”, est l'un des procès les plus étranges et terrifiants de la Renaissance. Cet ermite, vivant dans les bois de Saint-Bonnot, près de Dole, dans l'actuelle Franche-Comté, fut accusé en 1573 d'avoir assassiné et dévoré plusieurs enfants. Son procès, mené par le Parlement de Dole, est resté célèbre comme l'un des premiers cas documentés de “lycanthropie judiciaire” — autrement dit, la croyance selon laquelle un homme pouvait réellement se transformer en bête.À l'époque, la région était frappée par la famine. Les habitants vivaient dans la peur des loups et des brigands. Gilles Garnier, un ermite pauvre et marginal, vivait à l'écart avec sa femme, se nourrissant de ce qu'il trouvait dans la forêt. Bientôt, des disparitions d'enfants se multiplièrent : leurs corps, retrouvés mutilés, portaient des marques de morsures. Très vite, la rumeur enfla : un “homme-loup” rôdait.Les villageois organisèrent des battues. Un soir, des témoins affirmèrent avoir vu Garnier sous la forme d'un loup, traînant le corps d'un enfant. Arrêté, il fut torturé — pratique courante à l'époque — et finit par avouer. Selon les procès-verbaux, il raconta qu'un esprit lui serait apparu, lui donnant une pommade magique pour se transformer en loup afin de mieux chasser et nourrir sa femme. Sous l'effet de cette “métamorphose”, il aurait tué plusieurs enfants et consommé leur chair.Le tribunal le déclara coupable de sorcellerie, de lycanthropie et de cannibalisme. Le 18 janvier 1574, Gilles Garnier fut condamné au bûcher. Son exécution publique visait à “purifier” la communauté d'une présence jugée démoniaque. Pour les juges, il n'était pas un simple criminel, mais un homme ayant pactisé avec le diable, symbole vivant du mal.Aujourd'hui, les historiens voient en Gilles Garnier une victime du contexte social et religieux de son époque. Dans une France obsédée par la sorcellerie et les signes du diable, la marginalité suffisait à faire de quelqu'un un monstre. Le “loup-garou de Dole” incarne cette peur collective où la faim, la superstition et la violence judiciaire se mêlaient.Ainsi, ce procès montre comment, au XVIᵉ siècle, la frontière entre l'homme et la bête, le réel et le fantastique, pouvait disparaître — jusqu'à faire condamner un ermite pour avoir, dit-on, porté la peau du loup. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Zhimin Qian, surnommée la « déesse de la richesse », est devenue l'une des fraudeuses les plus recherchées de Chine avant d'être rattrapée par la justice britannique. Son arrestation et sa récente condamnation mettent un terme à une affaire hors norme mêlant escroquerie financière, fuite internationale et opérations de blanchiment utilisant les cryptomonnaies. Voici pourquoi elle vient d'être lourdement condamnée.Pendant des années, Zhimin Qian a cultivé une image de femme d'affaires flamboyante : soirées luxueuses, voitures de prestige, voyages incessants, bijoux hors de prix. Son opulence n'était pourtant pas le fruit d'un empire économique réel, mais d'une fraude pyramidale d'une ampleur exceptionnelle. Elle avait monté en Chine un système Ponzi sophistiqué, promettant à ses victimes des rendements extraordinaires en échange d'investissements présentés comme sûrs. Comme dans tout schéma Ponzi, les premiers investisseurs étaient payés avec l'argent des suivants, créant une illusion de rentabilité… jusqu'à ce que le système s'effondre.Lorsque les autorités chinoises ont commencé à enquêter, Qian a pris la fuite. Pendant plusieurs années, elle a disparu des radars, franchissant les frontières avec de faux papiers et transférant son butin vers des circuits difficiles à tracer. Un élément clé de sa cavale : la conversion d'une partie massive des fonds détournés en bitcoins, afin de compliquer le travail des enquêteurs. Cette stratégie lui a permis de dissimuler des millions et de continuer à financer son train de vie malgré la pression judiciaire qui montait.Sa cavale s'est finalement achevée au Royaume-Uni, où elle a été arrêtée après une opération longue et délicate associant services britanniques et demandes d'entraide internationale. Les enquêteurs ont découvert qu'elle tentait de recycler ses fonds illicites via des sociétés-écrans, des comptes bancaires ouverts sous de multiples identités et des portefeuilles de cryptomonnaies destinés à brouiller l'origine des capitaux.Le tribunal britannique l'a reconnue coupable de blanchiment d'argent à une échelle considérable. Bien que la fraude Ponzi elle-même ait été commise en Chine, le Royaume-Uni a pu la juger pour les opérations de blanchiment réalisées sur son territoire. Le jugement souligne que Qian a manipulé des victimes, caché systématiquement ses actifs et exploité la technologie des cryptomonnaies pour entraver la justice.Sa condamnation, particulièrement lourde, marque l'un des dossiers de fraude financière internationale les plus emblématiques de ces dernières années. Elle envoie aussi un message clair : même derrière les pseudonymes glamour et les promesses de richesse, les criminels financiers ne peuvent indéfiniment échapper à la loi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une conférence sur la souveraineté technologique en Europe se tiendra ce mardi (18 novembre 2025) à Berlin, en présence du chancelier allemand Friedrich Merz et du président français Emmanuel Macron. En matière d'innovation, l'Union européenne est aujourd'hui largement devancée par les États-Unis et la Chine, alors qu'a lieu actuellement le virage de l'intelligence artificielle. L'UE peut-elle rattraper son retard ? Comment innover tout en préservant la spécificité culturelle européenne ? La souveraineté numérique est-elle un objectif ? Pour en débattre - Philippe Latombe, député Modem de Vendée, auteur et rapporteur en 2021 du rapport «Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne» - Julien Pillot, économiste, enseignant-chercheur à l'Inseec Grande École, spécialiste de l'économie et de la régulation du numérique - Nathalie Devillier, experte en droit de l'intelligence artificielle à l'Unesco et à la Commission européenne.
Une conférence sur la souveraineté technologique en Europe se tiendra ce mardi (18 novembre 2025) à Berlin, en présence du chancelier allemand Friedrich Merz et du président français Emmanuel Macron. En matière d'innovation, l'Union européenne est aujourd'hui largement devancée par les États-Unis et la Chine, alors qu'a lieu actuellement le virage de l'intelligence artificielle. L'UE peut-elle rattraper son retard ? Comment innover tout en préservant la spécificité culturelle européenne ? La souveraineté numérique est-elle un objectif ? Pour en débattre - Philippe Latombe, député Modem de Vendée, auteur et rapporteur en 2021 du rapport «Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne» - Julien Pillot, économiste, enseignant-chercheur à l'Inseec Grande École, spécialiste de l'économie et de la régulation du numérique - Nathalie Devillier, experte en droit de l'intelligence artificielle à l'Unesco et à la Commission européenne.
Invités : - Sophie est condamnée pour des faits qu'elle n'a pas commis - Isolé et malade, Pierre arrive pourtant à se rebooster pour garder le moral. - L'enquête de Zoé sur le décès de sa fille Cassandra, policière, morte dans des circonstances floues avance. - La mise en EHPAD de leur mère déchire Philippe et son frère - Mélusine revient d'un voyage en Grèce pas cher et donne ses tuyaux éco ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mon nouveau podcast consacré à l'investissement long terme.Sur Spotify – https://open.spotify.com/show/08MGf5FyVLQqbE2xwfqNtT?si=2d6db748d150450bSur Patreon – https://www.patreon.com/devenezrichelentement-----------------------Mon site / Mes livres
La Cour criminelle spéciale de Libreville n'a pas traîné… Moins de 48 heures après l'ouverture des débats lundi, Sylvia et Noureddin Bongo, épouse et fils du président déchu Ali Bongo, ont été condamnés mardi 11 novembre, au soir, par contumace à vingt ans de prison et à de lourdes amendes. Ils étaient notamment accusés de détournement de fonds publics et d'association de malfaiteurs. La cour a suivi les réquisitions du procureur. « Selon le magistrat, relate le site Gabon Review, Sylvia et Noureddin Bongo ont “travesti le pouvoir présidentiel“ après l'accident vasculaire cérébral du président Ali Bongo Ondimba en 2018. Il a décrit “un duo culturellement éloigné du pays, mais pécuniairement très proche“, estimant que l'ex-première dame aurait perçu 16 milliards de francs CFA du Trésor public pour ses “besoins personnels“. Le procureur a par ailleurs évoqué des preuves présumées de blanchiment d'argent, notamment l'achat de jets privés et de biens immobiliers de prestige à Londres et Marrakech, financés par des fonds publics. » 4 millions d'euros par mois ? Gabon actu, autre site d'information gabonais, met en avant le témoignage de Kim Oum, homme à tout faire de l'ex-Première dame : « “Sylvia Bongo dépensait plus de 4 millions d'euros par mois, soit plus de deux milliards de Francs CFA", a-t-il affirmé. "L'argent venait du Trésor public“. L'homme, d'origine coréenne, précise Gabon actu, arrêté avec des mallettes d'argent estimé à plusieurs milliards de francs CFA le 30 août 2023, le jour de coup d'État, a révélé également que 500 millions de francs CFA avaient été décaissés du Trésor public pour corrompre les membres du Centre gabonais des élections. 80 milliards avaient également été mobilisés pour la campagne du scrutin présidentiel 2023, a-t-il allégué. Autre révélation troublante faite par Kim Oum, lors de l'audience, pointe encore Gabon actu : l'achat de l'actuelle résidence cossue de l'ex-couple présidentiel, dans un des quartiers les plus huppés à Londres, aurait coûté plus de 44 milliards de francs CFA et l'acquisition aurait été faite au nom de Sylvia Bongo. » Une « parodie de justice » ? Sylvia Bongo et son fils étaient donc absents du procès. Ils vivent à Londres depuis le mois de mai, après avoir passé plus de vingt mois en détention. Leurs avocats, qui n'étaient pas présents non plus à l'audience, dénoncent un procès « inéquitable ». « C'est une parodie, affirme l'un d'entre eux cité par Le Monde Afrique, une parodie qui se joue en dehors de tout cadre légal. Le seul but est de les jeter en pâture à l'opinion publique et de permettre au président Brice Oligui Nguema de faire oublier sa trahison. » Le Monde Afrique qui précise aussi que « depuis qu'ils sont à Londres, Sylvia et Noureddin Bongo ont multiplié les opérations médiatiques pour contre-attaquer, dénonçant le sort que le nouveau régime leur a fait subir. Arrêtés dans les heures qui ont suivi le putsch et détenus dans la prison de Libreville puis au sein même du palais présidentiel, ils affirment avoir été torturés par des militaires proches de Brice Oligui Nguema. » Interrogé par Le Point Afrique, Noureddin Bongo affirme : « Je n'ai jamais détourné un centime d'argent public », tout en soutenant qu'il ne « peut pas être tenu responsable des manquements ou de la politique de son père ou de son grand-père », respectivement Ali et Omar Bongo. Ali Bongo épargné ? À noter qu'Ali Bongo ne faisait pas partie des accusés. En raison, vraisemblablement, de son état de santé. Mais au-delà, commente Le Pays au Burkina Faso, « un procès de l'ancien chef de l'État aurait été d'autant plus difficile pour le pouvoir que le Général Brice Clotaire Oligui Nguema est connu pour avoir été un homme de confiance du président déchu, puisqu'il était le commandant de la Garde républicaine. Difficile donc pour l'officier-président de faire le procès de son prédécesseur qu'il a servi pendant des années avant de le renverser dans les conditions que l'on sait, sans paraître se tirer une balle dans le pied. » Vraie rupture ou opération politique ? En tout cas, résume Afrik.com, « pour le régime du général Brice Oligui Nguema, ce procès illustre la volonté de rupture avec l'ère Bongo et la lutte contre la corruption. Les autorités présentent cette procédure comme un acte de justice réparatrice, visant à restituer à l'État les richesses indûment accaparées. Mais pour de nombreux observateurs, cette offensive judiciaire, menée en l'absence des accusés, soulève des doutes sur la sincérité du processus. Certains y voient une opération politique destinée à consolider le nouveau pouvoir tout en discréditant définitivement le clan Bongo. » À lire aussiGabon: Sylvia et Noureddin Bongo condamnés à vingt ans de prison en leur absence pour détournement de fonds publics
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 11 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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