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Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Stupéfaction en Tunisie après la condamnation à la peine de mort d'un internaute qui avait critiqué le président Kaïs Saïed sur Facebook. Même si la peine de mort n'est plus appliquée depuis 1991, la sévérité du jugement pose question. Son avocat a annoncé faire appel.
Ce week-end, découvrez La Traque, le podcast de Bababam qui vous emmène au coeur des enquêtes policières, où flics et voyous jouent au chat et à la souris... Un podcast pour vivre des émotions fortes. Condamnée à tort pour le meurtre de son père, Josette Bauer se retrouve rapidement en prison, très loin de la vie qu'elle a l'habitude de mener. Sous le joug des médias, elle est totalement diabolisée et se retrouve sous le feu de l'opinion publique. Elle décide alors de s'évader pour mener une vie loin de tous ces problèmes. Mais la réalité va vite la rattraper… Plongez dans ce récit et revivez l'une des cavales les plus longues de l'histoire. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la paralysie budgétaire aux États-Unis, la présence d'un pétrolier russe au large des côtes françaises et la création d'une nouvelle force antigang pour Haïti. Joseph Kabila condamné à la peine capitale, quelles sont les preuves ? L'ancien président de la RDC a été condamné à la peine de mort notamment pour «crimes de guerre», «trahison» et «organisation d'un mouvement insurrectionnel» pour ses liens présumés avec le mouvement politico-militaire AFC/M23. Sur quelles preuves la Haute cour militaire s'est-elle basée ? Comment expliquer un tel verdict alors que les parties civiles demandaient la réclusion à perpétuité ? Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. États-Unis : le pays paralysé par un nouveau «shutdown» Faute d'accord entre les Républicains et les Démocrates sur le vote du budget fédéral, les États-Unis sont entrés en situation de «shutdown» depuis mercredi (1er octobre 2025). Qu'est-ce que cela signifie ? Quelles en sont les conséquences ? Pourquoi la première puissance mondiale se retrouve, une nouvelle fois, sans budget fédéral ? Avec Stéphane Geneste, journaliste au service économie de RFI, présente la chronique «Aujourd'hui l'économie». France : que faisait le navire fantôme russe au large de Saint-Nazaire ? Suspecté d'avoir servi de plateforme de lancement aux drones qui ont survolé le Danemark, un pétrolier de la flotte fantôme russe a été intercepté au large de Saint-Nazaire, dans le sud de la Bretagne. Comment expliquer la présence de ce navire si près des côtes françaises ? Quels éléments permettent de penser qu'il est impliqué dans les récents survols de drones au Danemark ? Avec Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors. Haïti : la nouvelle force antigang sera-t-elle plus offensive ? La mission multinationale d'appui à la sécurité en Haïti, menée par le Kenya, va céder la place à une nouvelle force chargée de lutter contre les gangs. Approuvée par le Conseil de sécurité de l'ONU, cette nouvelle mission sera-t-elle si différente de l'ancienne ? De quels moyens disposera-t-elle ? Avec Jean-Marie Theodat, directeur du département de Géographie à l'Université Panthéon-Sorbonne.
« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce mercredi, il s'intéresse à la toute puissance de Jean-Luc Mélenchon à gauche. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
Nadège Desnoix, 17 ans, poignardée et étranglée à Château-Thierry. C'était l'un des plus vieux cold-cases français. Trente et un an après, sa famille peut enfin commencer à faire son deuil. Un homme, Pascal Lafolie a été condamné pour le meurtre. Procès tardif dans une affaire qui aurait dû être élucidée depuis longtemps. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Joseph Kabila a été condamné à mort mardi à Kinshasa. L'ex-président de la République démocratique du Congo (RD Congo) a été condamné par contumace à l'issue d'un procès devant la justice militaire du pays. Il a été jugé coupable de "trahison" et de "crimes de guerre".
durée : 00:35:44 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - L'arrivée de Windows 11 soulève des inquiétudes quant à l'obsolescence programmée et au gaspillage électronique. Quel avenir pour nos ordinateurs et nos smartphones ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Jeremstar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:38 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - L'ancien chef de l'Etat, condamné à cinq ans de prison pour association de malfaiteurs, dénonce un "complot" et s'en prend aux magistrats, sans apporter la moindre preuve.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
L'ancien ministre de l'Education estime que l'ex-président a raison de dire que « c'est de la haine, c'est de la vengeance, ce n'est pas de la justice ». Luc Ferry rappelle les signes d'un manque d'indépendance de la justice selon lui : l'affaire du « mur des cons » et un tweet du Syndicat de la Magistrature ouvertement hostile à Nicolas Sarkozy. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Franck Louvrier, Maire de La Baule et ancien conseiller en communication de Nicolas Sarkozy - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Ophélie Roques, professeure et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:37 - Journal de 12h30 - Sa photo a été publiée sur les réseaux sociaux et elle est la cible de menaces. La présidente du tribunal qui a condamné Nicolas Sarkozy a cinq ans de prison ferme fait l'objet d'un cyberharcèlement violent. Deux enquêtes ont même été ouvertes par le parquet de Paris pour menaces de mort. - invités : Michel Fournier Président de l'association des maires ruraux de France
Ce lundi 22 septembre 2025, l'Association France Palestine Solidarité a déposé plainte auprès du Parquet National Anti-terroriste contre des colons franco-israéliens.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
durée : 00:14:37 - Journal de 12h30 - Sa photo a été publiée sur les réseaux sociaux et elle est la cible de menaces. La présidente du tribunal qui a condamné Nicolas Sarkozy a cinq ans de prison ferme fait l'objet d'un cyberharcèlement violent. Deux enquêtes ont même été ouvertes par le parquet de Paris pour menaces de mort. - invités : Michel Fournier Président de l'association des maires ruraux de France
durée : 00:55:37 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - 1944. Les Français fêtent la liberté enfin retrouvée, mais l'heure est aussi à la traque et à la punition pour ceux qui ont collaboré avec l'occupant. Ceux mais aussi celles. Car si la majorité des collabos jugés à la Libération sont des hommes, des femmes aussi vont payer le prix de leur trahison. - invités : Fabien Lostec - Fabien Lostec : Historien, chargé d'enseignement à l'Université Rennes 2 - réalisé par : Anne WEINFELD Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air l'invité du 25 septembre 2025 avec Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et président délégué du groupe RN à l'AssembléePour la première fois de l'histoire de la République, un ex-président derrière les barreaux : le tribunal de Paris a condamné jeudi Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison avec incarcération prochaine pour avoir "laissé ses proches" démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi, une lourde peine dont l'intéressé a dénoncé la "haine".A la sortie de la salle d'audience aujourd'hui, Nicolas Sarkozy a redit son "innocence" et aussitôt annoncé son intention de faire appel. Cela n'empêchera cependant pas son incarcération au cours des prochaines semaines. "La haine n'a donc décidément aucune limite (...) J'assumerai mes responsabilités, je déférerai aux convocations de justice et s'ils veulent absolument que je dorme en prison, je dormirai en prison. Mais la tête haute", a déclaré Nicolas Sarkozy face aux caméras.La cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, condamnée elle aussi à une peine avec exécution provisoire au procès des assistants européens, a peu après le jugement dénoncé "la généralisation" de l'exécution provisoire, "un grand danger, au regard des grands principes de notre droit" selon elle.Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée, est notre invité. Il réagira à la condamnation de l'ancien président de la République, alors même que Marine Le Pen est condamnée à une peine avec exécution provisoire. Il reviendra aussi sur la situation politique française, alors que Sébastien Lecornu est nommé Premier ministre depuis quinze jours, et que la constitution du gouvernement n'a toujours pas été annoncée.
En France, 5 ans de prison ferme et surtout une exécution provisoire pour Nicolas Sarkozy. L'ancien Président a été jugé coupable d'association de malfaiteurs dans le cadre du financement libyen de sa campagne électorale de 2007. A la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU, Netanyahu persiste et signe : reconnaître l'Etat de Palestine reviendrait à donner un chèque en blanc au Hamas. Trump, lui, a été vindicatif vis-à-vis de l'ONU, virulent à l'égard de l'Europe et climatosceptique.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 26 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 25 septembre 2025, Nicolas Sarkozy a été jugé coupable « d'association de malfaiteurs », dans l'affaire des soupçons de financement lybien de sa campagne présidentielle en 2007. Verdict, cinq ans de prison avec mandat de dépôt différé. C'est le premier ancien président, de toute l'histoire de la République, qui va se retrouver derrière les barreaux. Mais Nicolas Sarkozy n'est pas un cas isolé. A travers le monde, de nombreux anciens chefs d'État ont été rattrapés par la justice. Peu avant Nicolas Sarkozy, en septembre 2025, Jair Bolsonaro, ancien président du Brésil, a lui été condamné à 27 ans et 3 mois de prison pour tentative de coup d'État. Que ce soit dans des affaires de corruption, de blanchiment d'argent, de crime contre l'humanité, ou encore de viols, la liste des accusations est longue ! Est-il le premier ancien président français condamné par la justice ? Et le reste du monde, alors ? La France et le Brésil sont-ils les seuls concernés ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Y a-t-il vraiment plus de prisonniers en France ? Comment le président des États-Unis est-il élu ? Justice restaurative : comment le face à face aide-t-il à surmonter les traumastimes ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Invités : - Pierre Botton, ancien détenu. - Jean-Yves Le Borgne, avocat d'Éric Woerth. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Christian Morin, animateur, acteur et musicien. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Gauthier le Bret, journaliste. - Éric Revel, journaliste. - Dominique Grimault, journaliste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Christian Morin, animateur, acteur et musicien. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Gauthier le Bret, journaliste. - Éric Revel, journaliste. - Dominique Grimault, journaliste. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Vendredi, c'est Charles Consigny et Cécile Duflot qui débattront autour d'un sujet d'actualités.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 26/09/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Isabelle Saporta, essayiste et éditorialiste, Nesrine Slaoui, écrivaine et journaliste, et Philippe Manière, essayiste et Président-confondateur de Vae Solis Communications, ainsi que le dessinateur de presse Pascal Gros. Faut-il priver de droits civiques les grandes fortunes qui fuiraient la France ? Les mesures budgétaires du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, dont le gouvernement n'est pour l'heure pas encore formé, sont très attendues, notamment sur la question de la taxation des ultra-riches. Cette problématique est au cœur du débat fiscal depuis la proposition de l'économiste Gabriel Zucman de mettre en place un impôt plancher de 2 % sur les patrimoines de plus de 100 millions d'euros. Derrière la taxe Zucman, se cache un autre débat : que faire face aux menaces de départ du territoire national des grandes fortunes françaises ? Le député de la Somme, François Ruffin, a évoqué cette semaine sur RMC la possibilité d'une “privation des droits civiques" de ceux qui quitteraient la France. L'économiste Thomas Piketty est, lui aussi, allé dans le sens de mesures coercitives, dans une interview pour l'agence de presse “Bloomberg” : “Si vous ne payez pas, vous vous mettez dans la même situation que toute personne qui décide de ne pas payer ses impôts. Vos avoirs peuvent être gelés, vous pouvez être arrêté à l'aéroport. C'est la vie des gens normaux.”5 ans ferme pour Nicolas Sarkozy : État de droit protecteur ou oppresseur ? Jeudi 25 septembre, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy a été condamné à 5 ans de prison ferme pour “association de malfaiteurs” dans le procès sur le financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Cette condamnation est assortie d'un mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire, impliquant son incarcération prochaine. Nicolas Sarkozy sera donc convoqué le 13 octobre devant le Parquet national financier pour connaître les modalités de son incarcération. À la sortie du tribunal, l'ancien chef de l'État a fustigé cette décision, qu'il qualifie d'“une gravité extrême pour l'État de droit”. “S'ils veulent absolument que je dorme en prison, je dormirai en prison. Mais la tête haute. Je suis innocent”, a-t-il ajouté. Ce serait la première fois dans l'histoire de la Cinquième République qu'un président est emprisonné. Nous recevons l'historien et écrivain Bruno Fuligni qui publie “Voyage en France australe”, aux éditions Allary. Bruno Fuligni embarque le lecteur à la découverte de ces terres lointaines dont la simple évocation fait rêver : les îles Crozet, Kerguelen, Amsterdam, Saint-Paul, ou encore leurs cousines tropicales les îles Éparses. Ce voyage s'opère aussi dans le temps car Bruno Fuligni est le premier à avoir pu consulter les archives historiques de ces territoires. “La plus grande arnaque jamais menée contre le monde.” Voici les mots choisis par Donald Trump pour qualifier le changement climatique, à la tribune des Nations unies. Lors d'un discours prononcé mercredi soir par visioconférence, Xi Jinping, le président chinois a pris le contre-pied du président américain en affirmant, lui, que la Chine réduirait ses émissions nettes de gaz à effet de serre de 7 à 10 % d'ici 2035. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. C'est l'histoire d'une panne d'escalator devenue un incident diplomatique. Avant de prononcer son discours à l'Assemblée générale de l'ONU, l'escalier mécanique emprunté par Donald Trump et son épouse Melania Trump s'est arrêté, déclenchant la colère du président américain. La Maison Blanche a dénoncé un sabotage. C'est le point com de Marjorie Adelson.Enfin, ne manquez pas la Une de l'hebdomadaire italien “L'Espresso” sur Vladimir Poutine, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Le Monde des choses, la nouvelle chronique de David Castello-Lopes !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 septembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
C dans l'air du 25 septembre 2025 - Sarkozy condamné à cinq ans de prisonCinq ans de prison. La peine reçue ce matin par Nicolas Sarkozy est un coup de tonnerre judiciaire. Pour la première fois en France, un ancien président de la République est condamné à de la prison ferme. Si le mandat de dépôt est différé (la date d'incarcération n'est pas encore déterminée), l'exécution est provisoire : l'emprisonnement commencera même en cas d'appel. « Je dormirai en prison, mais la tête haute ! » a réagit Sarkozy.L'ancien président a été reconnu coupable d'association de malfaiteurs dans l'affaire du financement libyen de sa campagne électorale de 2007. Dans cette affaire à tiroirs, Sarkozy est jugé coupable d'avoir noué, via ses proches, un "pacte de corruption" avec Mouammar Kadhafi, l'ancien dictateur libyen, afin qu'il finance son accession à l'Élysée. Il est en revanche relaxé des faits de recel de détournement de fonds publics libyens, de corruption passive et de financement illégal de campagne électorale.Cette condamnation n'a pas manqué de faire réagir Marine Le Pen. La cheffe de file du RN a reçue une peine inéligibilité avec exécution provisoire en mars dernier, l'empêchant de se présenter à toute élection pendant cinq ans. "La généralisation de l'exécution provisoire représente un grand danger", a-t-elle affirmé ce matin, en pointant du doigt une « violation de l'Etat de droit » et une « tyrannie des juges ». Elle espère que son jugement en appel (début 2026) effacera sa peine et lui permettra de candidater en 2027. Pendant ce temps, à Matignon, Sébastien Lecornu planche sur la formation de son gouvernement. Le temps presse car le projet de loi de finances doit être déposé au plus tard le 7 octobre. Pour éviter une censure, le Premier ministre pourrait être tenté de répondre aux volontés de rééquilibrage fiscale que demandent la gauche et les syndicats. Mais la droite fait pression pour qu'aucune mesure n'aille dans ce sens. L'équation est donc périlleuse.Alors, comment analyser la peine reçue aujourd'hui par Nicolas Sarkozy ? La décision des juges est-elle politique ? Sébastien Lecornu a-t-il une chance de faire passer son budget ? LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ – Politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Mathieu DELAHOUSSE - Grand reporter au Nouvel Obs- Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue, Maître de conférences en droit public à l'Université de Rouen et Sciences Po- Carl MEEUS - Rédacteur en chef au Figaro Magazine
C dans l'air du 25 septembre 2025 - Sarkozy condamné à cinq ans de prisonLES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ – Politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Mathieu DELAHOUSSE - Grand reporter au Nouvel Obs- Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue, Maître de conférences en droit public à l'Université de Rouen et Sciences Po- Carl MEEUS - Rédacteur en chef au Figaro Magazine
durée : 00:49:56 - Sarkozy condamné à 5 ans de prison dans le dossier libyen Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:25:24 - Journal de 18h - "Je dormirai en prison la tête haute", lance Nicolas Sarkozy après sa condamnation à cinq ans ferme dans l'affaire du financement libyen. L'ancien président sera incarcéré d'ici quelques semaines. Il a été condamné pour association de malfaiteurs mais relaxé pour les faits de corruption.
"Je dormirai en prison la tête haute". C'est l'une des phrases que l'on retiendra de la déclaration de Nicolas Sarkozy, juste après sa condamnation dans le cadre de son procès sur le financement de sa campagne de 2007. Blanchi de l'accusation de corruption, l'ancien chef de l'Etat a tout de même été jugé coupable et condamné à 5 ans de prison pour "associations de malfaiteurs". C'est la première fois dans l'histoire de la République française qu'un ancien président ira en prison.
durée : 00:25:24 - Journal de 18h - "Je dormirai en prison la tête haute", lance Nicolas Sarkozy après sa condamnation à cinq ans ferme dans l'affaire du financement libyen. L'ancien président sera incarcéré d'ici quelques semaines. Il a été condamné pour association de malfaiteurs mais relaxé pour les faits de corruption.
Invités : - Pascal-Pierre Garbarini, avocat pénaliste français inscrit au barreau de Paris - Elisabeth Assayag - Georges Fenech, ancien magistrat - Gauthier le Bret, journaliste - Eliot Deval, journaliste Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Elisabeth Assayag - Georges Fenech, ancien magistrat - Gauthier le Bret, journaliste - Eliot Deval, journaliste Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Elisabeth Assayag - Georges Fenech, ancien magistrat - Gauthier le Bret, journaliste - Eliot Deval, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Pascal-Pierre Garbarini, avocat pénaliste français inscrit au barreau de Paris - Elisabeth Assayag - Georges Fenech, ancien magistrat - Gauthier le Bret, journaliste - Eliot Deval, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Condamné à 5 ans de prison avec exécution immédiate, Nicolas Sarkozy est désormais convoqué devant un magistrat du Parquet national financier le 13 octobre prochain. Il lui donnera la date du premier jour de son incarcération. L'ancien Président aura le temps ensuite de rentrer chez lui, pour se présenter à cette date à la prison choisie. Et ce sera donc à la prison de la Santé, révèle Plana radenovic pour RTL. De sources concordantes, une cellule est déjà prête dans cet établissement située au cœur de Paris : une cellule qui se trouve dans le quartier des personnes "vulnérables". C'est là que l'on incarcère les personnalités... Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Dans l'Europe du XVIIIᵉ siècle, un nom suscite fascination et crainte : Cagliostro. Derrière ce personnage aux mille visages se cache Giuseppe Balsamo, né à Palerme en 1743. Aventurier, escroc, guérisseur autoproclamé, alchimiste et occultiste, il devient l'une des figures les plus énigmatiques de son temps.Cagliostro se rend célèbre d'abord par son talent à jouer des apparences. Doté d'un charisme certain et d'un verbe flamboyant, il parcourt l'Europe en se présentant comme comte, mage ou médecin. À Londres, à Strasbourg, à Varsovie ou encore à Saint-Pétersbourg, il attire curieux et puissants grâce à ses promesses de guérison miraculeuse, ses séances de magnétisme et ses expériences d'alchimie. Ses remèdes, parfois efficaces, souvent mystérieux, lui donnent une réputation de thaumaturge.Mais ce n'est pas tout. Cagliostro se rapproche des loges maçonniques et fonde son propre rite, la « maçonnerie égyptienne », où il mêle symbolisme, rites initiatiques et pratiques occultes. Dans une Europe avide d'ésotérisme et de secrets, il séduit de nombreux adeptes, renforçant son aura de prophète moderne.Sa célébrité atteint cependant son apogée à Paris, à la fin des années 1780, lors de la fameuse affaire du collier de la reine. Cette escroquerie retentissante, qui éclabousse Marie-Antoinette, alimente les rumeurs et la haine contre la monarchie. Bien que son rôle réel soit resté mineur, le nom de Cagliostro est associé à l'intrigue. Emprisonné à la Bastille puis finalement acquitté, il en sort auréolé d'une réputation sulfureuse. L'opinion publique voit en lui soit un génie des arcanes, soit un charlatan dangereux.Sa fin est moins glorieuse. De retour à Rome, il est arrêté par l'Inquisition en 1789, accusé d'hérésie et de pratiques occultes. Condamné à la prison à vie, il meurt en 1795 dans la forteresse de San Leo.Pourquoi Cagliostro reste-t-il célèbre ? Parce qu'il incarne à lui seul les ambiguïtés de son siècle : entre foi dans les sciences nouvelles et fascination pour l'occultisme, entre rationalité des Lumières et goût pour le mystère. Il symbolise aussi l'Europe d'avant la Révolution française, marquée par la crédulité, la soif de merveilleux et la peur des complots.De Giuseppe Balsamo à Cagliostro, le personnage a inspiré d'innombrables récits, de la littérature romantique aux études historiques. Charmeur, imposteur, guérisseur, mystique… il demeure une énigme vivante, et c'est bien ce qui explique sa célébrité durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Peut-on bâtir un logiciel comptable leader sans lever 1€ et en refusant d'équiper tous les cabinets ? Dans cet épisode des Geeks des Chiffres, je reçois Maxime Digue, cofondateur de Tiime. On parle de : Pourquoi Tiime refuse les levées de fonds malgré la concurrence dopée aux millions Le choix radical de limiter à 100 cabinets partenaires par an. Comment ils ont transformé un outil de précompta bricolé en un logiciel utilisé par 300 000 entrepreneurs et 3 000 cabinets L'impact de l'IA et de la facture électronique sur la profession Leur vision du cabinet de demain : moins de production, plus de conseil Pour découvrir Tiime, rdv sur : https://www.tiime.fr/ec/ Le profil Linkedin de Maxime Digue : https://www.linkedin.com/in/maxdig/--------Bienvenue sur le podcast n°1 de la filière comptable et financière ! + 650 000 écoutes.Je suis Nicolas Piatkowski, cofondateur de l'école en ligne Les Geeks des Chiffres, qui a formé plus de 14 000 étudiants au DCG & DSCG : https://www.lesgeeksdeschiffres.comChaque semaine, des pros du chiffre me partagent leur parcours, leurs réussites (et galères !), leurs conseils, et t'aident à décrypter un secteur en pleine mutation.Que tu sois en DCG, DSCG, alternance, BTS ou un professionnel aguerri… Tu trouveras ici des interviews inspirantes, des retours d'expérience concrets, des insights métier et des clés pour te démarquer dès tes premières expériences.Au programme :Réalité du métier d'expert-comptable ou de financier aujourd'hui.Les compétences techniques et digitales de demain.Outils tech, indicateurs clés, culture business.RH, management, soft skills… tout ce qui compte vraiment !Et bien sûr, des conseils pour réussir tes études, tes stages, ton alternance ou ton premier CDI.Si tu veux prendre une longueur d'avance dans tes études et ta carrière, ce podcast est ton nouveau compagnon de route.Bonne écoute… et c'est partiiiiii ! »Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'automne 2004, le procès d'Émile Louis s'ouvre devant la cour d'assises de l'Yonne. Le sexagénaire est accusé d'avoir tué sept jeunes filles, disparues plus de vingt ans auparavant dans la région. Lors de son arrestation, quatre ans plus tôt, il a avoué les faits avant de se rétracter. Au fil des débats, l'accusé nie encore. Déjà condamné, il connaît les rouages de la justice. Comment faire parler le tueur en série ? La voix du crime de ce second épisode sur l'affaire Émile Louis, c'est toujours le magistrat à la retraite Jean-Pierre Getti. C'est lui qui a présidé la cour d'assises qui a condamné Émile Louis à la prison à perpétuité en 2004. Il raconte le procès du "boucher de l'Yonne" au micro de Marie Zafimehy.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
INÉDIT - Yves Louys, retraité tranquille, a été abattu d'une balle dans la nuque en novembre 2014 à Cambia, en Corse. Sa compagne Clorinde Vanni et son ami Jean-Marie Méi ont été acquittés deux fois par la cour d'assises. La mort d'Yves Louys reste à ce jour un mystère. Maitre Emmanuel Maestrini, avocats de l'un des acquittés, raconte ce long combat judiciaire. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion de la sortie du film 'Regarde', Faustine Bollaert reçoit Benjamin Demarquilly. Atteint de rétinite pigmentaire, il sait qu'un jour, il perdra la vue. Alors il a choisi de ne rien remettre à plus tard : devenir mannequin, traverser l'Atlantique en voilier pour financer la recherche, et créer la Fondation 'Horizon'. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du vendredi 12 septembre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C0ND.A
durée : 00:05:20 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - 1er sujet : 7 ressortissants chinois ont été condamnés à 20 ans de prison en Afrique du Sud pour avoir forcé 91 Malawites, dont 37 enfants, à travailler dans un atelier textile clandestin. 2e sujet : Apple a-t-il adapté son IA générative à la culture de l'ère Trump ? Politico pose la question.