"Drencher la Poire en deux" est le podcast du journal Le Drenche, partenaire du Mur des Podcasts d'Ouest-France et qui fait partie de la troisième promotion d'OFF7, l'accélérateur de startup d'Ouest-France. Ce podcast vous aide à vous faire VOTRE opinion, ou a minima vous permettre de découvrir clai…
Dans cet épisode, nous nous demanderons s' il faut accepter de déroger aux règles environnementales de la PAC en cas de crise alimentaire. La guerre en Ukraine et l'inflation qui a suivi nous ont durement rappelé notre dépendance aux importations de matières premières alimentaires (blé, huile, soja…). Pour assurer notre sécurité alimentaire, plusieurs dérogations sur les règles environnementales de la PAC ont été autorisées en Europe : il n'y a plus d'obligation de rotation des cultures pour l'année 2023, et la mise en culture des jachères sera tolérée. Ces règles sont destinées à préserver la qualité et l'enrichissement des sols et favoriser la biodiversité.Cette mobilisation des jachères (qui représentent 1% de la surface agricole utile en France) permettra, en théorie, de renforcer la production céréalière et ainsi sécuriser les approvisionnements français et européens, mais également d'autres pays du monde dépendants des importations ukrainiennes ou russes. Grâce à ces dérogations, les exportations européennes de protéagineux devraient augmenter de 19 % en 2022. Cela sera sans conséquence sur le calcul des critères d'éligibilité au paiement vert pour les agriculteurs français. Certains estiment que ces dérogations sont nécessaires pour assurer la sécurité alimentaire de l'Europe, tandis que d'autres y voient un retour en arrière et une chute des ambitions environnementales de l'Europe et un risque pour le rendement à moyen terme. Alors, faut-il déroger aux exigences environnementales de la PAC en cas de crise alimentaire ? On en débat !Bonne écoute.
Dans cet épisode, nous nous demanderons si les écrans ont leur place dans nos écoles. L'usage des écrans est désormais ancré dans notre quotidien et nos interactions sociales. Être à l'aise avec différents outils numériques est indispensable pour évoluer dans le monde du travail. Néanmoins, la question se pose de savoir si l'usage des écrans dans les écoles est réellement nécessaire, voire ne serait pas contre productif. S'il ne semble pas exister de consensus scientifique concernant l'impact des écrans sur notre santé (les usages sont variés et n'auraient pas tous le même impact), l'ANSES met en garde contre les dangers liés à la surexposition aux écrans et à la sédentarité des adolescents. Rajouter du temps d'écran dans les écoles soulève donc la question de la surexposition, même s'il s'agirait d'un usage éducatif afin de former les jeunes aux usages du numérique. Cela met également en lumière les inégalités de ressources entre les régions et les académies. Dans une étude, le Conseil national d'évaluation du système scolaire (Cnesco) a par exemple montré que 15% seulement des élèves dans les Outre-mer ont accès à la fibre quand 85% des Parisiens en bénéficient. Alors, l'école a-t-elle besoin de plus d'écrans ? On en débat !Invité :Isabelle FRENAY - Journaliste santé, sophrologue, auteure, spécialisée dans les troubles de surexpositions aux écrans et la prévention santé.Yasmine BUONO - Spécialiste Education Numérique / Prévention cyberharcèlement et dangers en ligne
Dans ce premier épisode consacré à la Convention Citoyenne sur la fin de vie organisée par le CESE (le Conseil économique social et environnemental), nous sommes allés à la rencontre de Claire Thoury, présidente du comité de gouvernance de la convention et Thierry Baudet, président du CESE. Qu'est-ce qu'une convention citoyenne ? Comment cela fonctionne-t-il ? Pourquoi une convention dédiée à la fin de vie ? Quel est l'objectif fixé aux 185 citoyens et citoyennes qui ont été tirés au sort ? Nos deux invités ont répondu à toutes les questions que vous vous posiez à ce sujet. Invités :Claire Thoury, Présidente du Comité de Gouvernance de la convention citoyenne sur la fin de vieThierry Baudet, Président du CESE
Dans cet épisode, nous nous demanderons s'il l'Europe en fait assez pour résorber les inégalités entre jeunes européens. L'Union Européenne, qui compte 27 pays, comporte des situations économiques très contrastées d'un pays à l'autre. Au travers du continent, les jeunes européens n'ont pas les mêmes chances ni le même niveau de vie. Par exemple, en 2017, le taux de pauvreté en Espagne était de 14,6%, contre 6,8% au Danemark et 6,7% en France. Concernant le marché du travail, 50,6% des jeunes européens âgés de 20 à 24 ans avaient un emploi en 2021, ainsi que 74,3% des jeunes âgés de 25 à 29 ans. La crise de la Covid a contribué à creuser les inégalités dans la plupart des États-membres. Dans l'UE, les principaux enjeux sont les inégalités de résultats (revenus et richesse) et les inégalités des chances. Ces inégalités ont non seulement un impact sur la cohésion sociale, notamment en raison du manque d'équité, mais aussi sur la croissance. Pour pallier les difficultés des jeunes, 2022 était l'année européenne de la jeunesse, avec l'objectif de mettre en lumière l'importance de la jeunesse européenne pour construire un meilleur avenir. De plus, de nombreuses politiques sont mises en œuvre pour réduire les inégalités. Alors, l'Union Européenne peut-elle résorber les inégalités entre les jeunes européens ? On en débat !Invités :Anne Bucher - Non-residential fellow à Bruegel, ancienne Directrice Générale à la Commission européenneMarie Caillaud - Présidente du Conseil d'Orientation des politiques de Jeunesses, ancienne présidente des Jeunes Européens - FranceBonne écoute.
Dans cet épisode, nous nous demanderons s'il l'Europe en fait assez pour résorber les inégalités entre jeunes européens. L'Union Européenne, qui compte 27 pays, comporte des situations économiques très contrastées d'un pays à l'autre. Au travers du continent, les jeunes européens n'ont pas les mêmes chances ni le même niveau de vie. Par exemple, en 2017, le taux de pauvreté en Espagne était de 14,6%, contre 6,8% au Danemark et 6,7% en France. Concernant le marché du travail, 50,6% des jeunes européens âgés de 20 à 24 ans avaient un emploi en 2021, ainsi que 74,3% des jeunes âgés de 25 à 29 ans. La crise de la Covid a contribué à creuser les inégalités dans la plupart des États-membres. Dans l'UE, les principaux enjeux sont les inégalités de résultats (revenus et richesse) et les inégalités des chances. Ces inégalités ont non seulement un impact sur la cohésion sociale, notamment en raison du manque d'équité, mais aussi sur la croissance. Pour pallier les difficultés des jeunes, 2022 était l'année européenne de la jeunesse, avec l'objectif de mettre en lumière l'importance de la jeunesse européenne pour construire un meilleur avenir. De plus, de nombreuses politiques sont mises en œuvre pour réduire les inégalités. Alors, l'Union Européenne peut-elle résorber les inégalités entre les jeunes européens ? On en débat !Invités :Anne Bucher - Non-residential fellow à Bruegel, ancienne Directrice Générale à la Commission européenneMarie Caillaud - Présidente du Conseil d'Orientation des politiques de Jeunesses, ancienne présidente des Jeunes Européens - FranceBonne écoute.
Dans cet épisode, nous nous demanderons s'il est possible d'avoir une agriculture 100% bio. L'agriculture biologique représente un nouvel enjeu de taille pour lutter contre le réchauffement climatique. En effet, d'après l'INSEE, en 2021, le secteur agricole était responsable de l'émission d'environ 81,2 millions de tonnes de CO2 en France (sur un total de 418,2 tonnes, soit 19.41% des émissions), ce qui classe ce secteur parmi les plus polluants. Face aux enjeux climatiques, certains estiment que passer à une agriculture bio, plus respectueuse de l'environnement, représenterait une partie de la solution. Les champs bio abriteraient des niveaux de biodiversité 30% plus élevés que dans l'agriculture conventionnelle. Néanmoins, des débats persistent quant aux rendements de l'agriculture biologique en comparaison avec l'agriculture conventionnelle. De plus, en 2022, la consommation de bio a diminué en France, notamment en raison de l'inflation et du pouvoir d'achat des ménages. Cela pose donc la question de l'écoulement de la production à l'heure où le bio reste en moyenne 40% à 50% plus cher que les aliments issus de l'agriculture conventionnelle. Enfin, certains agriculteurs et militants écologistes estiment que les aides de la PAC pour passer au bio ne sont pas suffisantes pour mener une réelle transition.Alors, pourrait-on vraiment avoir une agriculture 100% bio ? On en débat !Bonne écoute.Invité :Eric Andrieu - Député européenPhilippe Stoop - Directeur Recherche & Innovation d'ITK, Membre Correspondant de l'Académie d'Agriculture de France
Dans cet épisode, nous nous demanderons s'il est possible d'avoir une agriculture 100% bio. L'agriculture biologique représente un nouvel enjeu de taille pour lutter contre le réchauffement climatique. En effet, d'après l'INSEE, en 2021, le secteur agricole était responsable de l'émission d'environ 81,2 millions de tonnes de CO2 en France (sur un total de 418,2 tonnes, soit 19.41% des émissions), ce qui classe ce secteur parmi les plus polluants. Face aux enjeux climatiques, certains estiment que passer à une agriculture bio, plus respectueuse de l'environnement, représenterait une partie de la solution. Les champs bio abriteraient des niveaux de biodiversité 30% plus élevés que dans l'agriculture conventionnelle. Néanmoins, des débats persistent quant aux rendements de l'agriculture biologique en comparaison avec l'agriculture conventionnelle. De plus, en 2022, la consommation de bio a diminué en France, notamment en raison de l'inflation et du pouvoir d'achat des ménages. Cela pose donc la question de l'écoulement de la production à l'heure où le bio reste en moyenne 40% à 50% plus cher que les aliments issus de l'agriculture conventionnelle. Enfin, certains agriculteurs et militants écologistes estiment que les aides de la PAC pour passer au bio ne sont pas suffisantes pour mener une réelle transition.Alors, pourrait-on vraiment avoir une agriculture 100% bio ? On en débat !Bonne écoute.Invité :Eric Andrieu - Député européenPhilippe Stoop - Directeur Recherche & Innovation d'ITK, Membre Correspondant de l'Académie d'Agriculture de France
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'alimentation des enfants et des adolescents. Peuvent-ils être végétariens ? En 2019, le gouvernement met en place la loi Egalim qui rend un menu végétarien hebdomadaire obligatoire dans les cantines scolaires. Après deux ans, les résultats montrent que 30% des élèves trouvent cette expérience positive ou très positive. Pourtant, quand la mairie de Lyon a mis en place en 2021 une option végétarienne dans ses cantines, de nombreuses oppositions se sont fait entendre. Pour le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin, cette initiative était une “insulte inacceptable aux agriculteurs et aux bouchers français” et venait d'une « idéologie scandaleuse”. Si certains pensent qu'une alimentation végétale encadrée n'est pas dangereuse, d'autres trouvent cette alternative inacceptable. En effet, des chercheurs de l'université de Toronto ont publié des recherches démontrant qu'il n'existait pas de preuve de différence de croissance ou de carences entre les enfants végétariens et les autres. D'autres professionnels mettent néanmoins en doute ces résultats et alertent sur des risques potentiels pour la santé des plus jeunes.Et vous qu'en pensez-vous ? Les enfants peuvent-ils avoir un régime végétarien ? On en débat ! Bonne écoute.Contributeurs : Marie Gabrielle DOMIZI - Diététicienne. Membre du conseil scientifique de l'ONAVPatrick TOUNIAN - Chef du service de nutrition pédiatrique, Hôpital Trousseau, Professeur de Pédiatrie, Sorbonne Université, Paris
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'alimentation des enfants et des adolescents. Peuvent-ils être végétariens ? En 2019, le gouvernement met en place la loi Egalim qui rend un menu végétarien hebdomadaire obligatoire dans les cantines scolaires. Après deux ans, les résultats montrent que 30% des élèves trouvent cette expérience positive ou très positive. Pourtant, quand la mairie de Lyon a mis en place en 2021 une option végétarienne dans ses cantines, de nombreuses oppositions se sont fait entendre. Pour le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin, cette initiative était une “insulte inacceptable aux agriculteurs et aux bouchers français” et venait d'une « idéologie scandaleuse”. Si certains pensent qu'une alimentation végétale encadrée n'est pas dangereuse, d'autres trouvent cette alternative inacceptable. En effet, des chercheurs de l'université de Toronto ont publié des recherches démontrant qu'il n'existait pas de preuve de différence de croissance ou de carences entre les enfants végétariens et les autres. D'autres professionnels mettent néanmoins en doute ces résultats et alertent sur des risques potentiels pour la santé des plus jeunes.Et vous qu'en pensez-vous ? Les enfants peuvent-ils avoir un régime végétarien ? On en débat ! Bonne écoute.Contributeurs : Marie Gabrielle DOMIZI - Diététicienne. Membre du conseil scientifique de l'ONAVPatrick TOUNIAN - Chef du service de nutrition pédiatrique, Hôpital Trousseau, Professeur de Pédiatrie, Sorbonne Université, Paris
Dans cet épisode, nous nous demanderons s'il faut digitaliser l'agriculture. Le ministère de l'Agriculture parle d'une troisième révolution agricole, dont le numérique est un pilier, notamment avec la robotique, la sélection variétale et le biocontrôle. L'usage du numérique doit permettre aux agriculteurs de mieux gérer leurs exploitations, de réduire la pénibilité de leur travail, de réduire l'usage de pesticides ou encore de mieux partager leurs connaissances. Cette connectivité pourrait également apporter une meilleure information aux consommateurs sur la provenance de leur nourriture. Enfin, les outils numériques sont censés aider les agriculteurs à gérer leurs ressources et leurs stocks. La nouvelle politique agricole commune (PAC) laisse une place importante à la digitalisation. La PAC soutient les agriculteurs dans la modernisation des zones rurales en stimulant et en diffusant la transition numérique. Mais certains estiment que le numérique apporte un danger supplémentaire à notre modèle agricole. Des inquiétudes persistent quant au manque de remise en question de notre modèle agricole productiviste. En effet, cette nouvelle révolution agricole s'appuie toujours sur la maximisation des rendements et l'agriculture intensive, ce que les partisans d'une agriculture raisonnée dénoncent. La France est particulièrement engagée dans le processus de transition numérique : l'initiative French AgriTech rassemble des start-ups qui lèvent des millions d'euros et sont soutenues par l'État. Des agriculteurs dénoncent le risque de dépendance aux fournisseurs de ces solutions numériques et craignent de devenir encore plus dépendants d'entreprises de l'agrochimie et du numérique. Notre alimentation serait alors tributaire de ces multinationales. L'utilisation des données agricoles pose également la question de la cybersécurité.Alors, l'agriculture européenne a-t-elle besoin de plus d'innovation numérique ? On en débat !Invité :Irène Tolleret - déput...
Dans cet épisode, nous nous demanderons s'il faut digitaliser l'agriculture. Le ministère de l'Agriculture parle d'une troisième révolution agricole, dont le numérique est un pilier, notamment avec la robotique, la sélection variétale et le biocontrôle. L'usage du numérique doit permettre aux agriculteurs de mieux gérer leurs exploitations, de réduire la pénibilité de leur travail, de réduire l'usage de pesticides ou encore de mieux partager leurs connaissances. Cette connectivité pourrait également apporter une meilleure information aux consommateurs sur la provenance de leur nourriture. Enfin, les outils numériques sont censés aider les agriculteurs à gérer leurs ressources et leurs stocks. La nouvelle politique agricole commune (PAC) laisse une place importante à la digitalisation. La PAC soutient les agriculteurs dans la modernisation des zones rurales en stimulant et en diffusant la transition numérique. Mais certains estiment que le numérique apporte un danger supplémentaire à notre modèle agricole. Des inquiétudes persistent quant au manque de remise en question de notre modèle agricole productiviste. En effet, cette nouvelle révolution agricole s'appuie toujours sur la maximisation des rendements et l'agriculture intensive, ce que les partisans d'une agriculture raisonnée dénoncent. La France est particulièrement engagée dans le processus de transition numérique : l'initiative French AgriTech rassemble des start-ups qui lèvent des millions d'euros et sont soutenues par l'État. Des agriculteurs dénoncent le risque de dépendance aux fournisseurs de ces solutions numériques et craignent de devenir encore plus dépendants d'entreprises de l'agrochimie et du numérique. Notre alimentation serait alors tributaire de ces multinationales. L'utilisation des données agricoles pose également la question de la cybersécurité.Alors, l'agriculture européenne a-t-elle besoin de plus d'innovation numérique ? On en débat !Invité :Irène Tolleret - déput...
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de la croissance verte. Aujourd'hui, ce qu'on appelle la « croissance économique » est mesurée par le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB). Autrement dit, c'est l'accroissement de la richesse produite dans un pays. D'après certains économistes, nos sociétés ne peuvent plus sortir du capitalisme, dont la croissance est une part intégrante. Cela signifie que nous devons adapter notre économie actuelle au changement climatique : la croissance verte serait la solution. L'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) explique que cette dernière favorise la croissance économique tout en veillant sur les « ressources et les services environnementaux sur lesquels repose notre bien-être ». Les experts en faveur de la croissance verte estiment qu'elle prend en compte les limites planétaires et l'environnement, et qu'elle sera source d'innovations et d'opportunités d'emplois nouvelles. Les dirigeants des pays industrialisés, comme Emmanuel Macron ou Joe Biden, défendent la croissance verte comme étant le futur de nos économies développées. La Commission européenne a par ailleurs adopté plusieurs mesures pour accompagner l'Europe vers une économie plus verte et circulaire.Mais certains économistes estiment que la croissance verte est un mythe. Même si les investissements européens contribuent à concevoir de nouvelles technologies soutenables pour l'avenir, d'aucuns pensent que cela ne sera pas suffisant pour nous sortir de la crise climatique. Dans le paradigme capitaliste, la croissance économique semble être infinie. Or, les ressources naturelles ne le sont pas. De plus, le PIB ne prend pas en compte les inégalités et le coût des externalités négatives que la production de richesse entraîne. Par ailleurs, sur les neuf limites planétaires, six sont déjà dépassées. Ensuite, de nombreuses entreprises se servent du prétexte de la croissance verte pour vendre plus de produits « verts » qui ne sont pas en réa...
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de la croissance verte. Aujourd'hui, ce qu'on appelle la « croissance économique » est mesurée par le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB). Autrement dit, c'est l'accroissement de la richesse produite dans un pays. D'après certains économistes, nos sociétés ne peuvent plus sortir du capitalisme, dont la croissance est une part intégrante. Cela signifie que nous devons adapter notre économie actuelle au changement climatique : la croissance verte serait la solution. L'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) explique que cette dernière favorise la croissance économique tout en veillant sur les « ressources et les services environnementaux sur lesquels repose notre bien-être ». Les experts en faveur de la croissance verte estiment qu'elle prend en compte les limites planétaires et l'environnement, et qu'elle sera source d'innovations et d'opportunités d'emplois nouvelles. Les dirigeants des pays industrialisés, comme Emmanuel Macron ou Joe Biden, défendent la croissance verte comme étant le futur de nos économies développées. La Commission européenne a par ailleurs adopté plusieurs mesures pour accompagner l'Europe vers une économie plus verte et circulaire.Mais certains économistes estiment que la croissance verte est un mythe. Même si les investissements européens contribuent à concevoir de nouvelles technologies soutenables pour l'avenir, d'aucuns pensent que cela ne sera pas suffisant pour nous sortir de la crise climatique. Dans le paradigme capitaliste, la croissance économique semble être infinie. Or, les ressources naturelles ne le sont pas. De plus, le PIB ne prend pas en compte les inégalités et le coût des externalités négatives que la production de richesse entraîne. Par ailleurs, sur les neuf limites planétaires, six sont déjà dépassées. Ensuite, de nombreuses entreprises se servent du prétexte de la croissance verte pour vendre plus de produits « verts » qui ne sont pas en réa...
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question du chômage des jeunes et des politiques européennes visant à le réduire. On s'intéressera plus particulièrement au dispositif français : le Contrat Engagement Jeune ou CEJ. La nouvelle politique agricole commune (PAC) pour la période 2023-2027 incorpore des objectifs environnementaux plus ambitieux en suivant les recommandations du Pacte Vert Européen. Cela comprend des mesures sur les pesticides, avec l'objectif de réduire par 50% leur utilisation d'ici à 2030. Cependant, la majorité des agriculteurs sont dépendants des pesticides. La PAC accompagne donc les Etats au travers de solutions fondées sur la nature, comme la lutte intégrée ou le biocontrôle. Mais ces mesures sont-elles suffisantes pour révolutionner notre agriculture ? Pouvons-nous réellement nous passer des pesticides? On en débat!Invité :Béatrice Robrolle-Mary - Présidente de l'association TERRE D'ABEILLESAndré Fougeroux - Membre de l'académie d'Agriculture de FranceBonne écoute.
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question du chômage des jeunes et des politiques européennes visant à le réduire. On s'intéressera plus particulièrement au dispositif français : le Contrat Engagement Jeune ou CEJ. La nouvelle politique agricole commune (PAC) pour la période 2023-2027 incorpore des objectifs environnementaux plus ambitieux en suivant les recommandations du Pacte Vert Européen. Cela comprend des mesures sur les pesticides, avec l'objectif de réduire par 50% leur utilisation d'ici à 2030. Cependant, la majorité des agriculteurs sont dépendants des pesticides. La PAC accompagne donc les Etats au travers de solutions fondées sur la nature, comme la lutte intégrée ou le biocontrôle. Mais ces mesures sont-elles suffisantes pour révolutionner notre agriculture ? Pouvons-nous réellement nous passer des pesticides? On en débat!Invité :Béatrice Robrolle-Mary - Présidente de l'association TERRE D'ABEILLESAndré Fougeroux - Membre de l'académie d'Agriculture de FranceBonne écoute.
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question du chômage des jeunes et des politiques européennes visant à le réduire. On s'intéressera plus particulièrement au dispositif français : le Contrat Engagement Jeune ou CEJ. Dans l'Union européenne, le taux de chômage des 15 – 24 ans (sur la population active) est de 14%. Mais ce chiffre varie grandement d'un pays à l'autre : en Allemagne, on compte 6% de chômeurs chez les jeunes, tandis que l'Espagne se situe plutôt autour des 27%. En France, 16,5% des jeunes actifs sont au chômage. Dans l'hexagone, la crise sanitaire et les confinements ont eu un impact important sur le chômage des jeunes en 2020.Face à la détresse des jeunes, l'Union européenne a débloqué des fonds pour empêcher une crise économique de grande ampleur. Ainsi, la baisse du chômage des jeunes a partiellement été boostée par le plan France Relance et le programme 1 Jeune 1 Solution, financés par le plan européen NextGenerationEU. Le programme 1 jeune, 1 solution qui avait débuté en juillet 2020 pour permettre aux jeunes de trouver un emploi, une formation ou un parcours d'insertion. À partir du 1 mars 2022, le Contrat Engagement Jeune (CEJ) s'inscrit dans la lignée de ce programme et remplace le dispositif Garanties jeunes, qui avait été instauré en 2017. La CEJ prévoit un accompagnement individuel personnalisé mis en place par les Missions Locales et Pôle Emploi sur 6 à 12 mois selon les profils. La personne accompagnée pourra bénéficier d'une allocation allant jusqu'à 500€ par mois, ainsi que d'un programme intensif de 15 à 20 heures par semaine composé de différents types d'activités. Concrètement, le CEJ s'adresse aux jeunes de 18 à 25 ans qui ne sont pas étudiants, ne suivent pas une formation et présentent des difficultés d'accès à l'emploi durable. Cela concerne au moins 400 000 jeunes en 2022.Alors, le CEJ sera-t-il un programme efficace pour lutter contre le chômage des jeunes ? On en débat !Invité : Alexi...
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question du chômage des jeunes et des politiques européennes visant à le réduire. On s'intéressera plus particulièrement au dispositif français : le Contrat Engagement Jeune ou CEJ. Dans l'Union européenne, le taux de chômage des 15 – 24 ans (sur la population active) est de 14%. Mais ce chiffre varie grandement d'un pays à l'autre : en Allemagne, on compte 6% de chômeurs chez les jeunes, tandis que l'Espagne se situe plutôt autour des 27%. En France, 16,5% des jeunes actifs sont au chômage. Dans l'hexagone, la crise sanitaire et les confinements ont eu un impact important sur le chômage des jeunes en 2020.Face à la détresse des jeunes, l'Union européenne a débloqué des fonds pour empêcher une crise économique de grande ampleur. Ainsi, la baisse du chômage des jeunes a partiellement été boostée par le plan France Relance et le programme 1 Jeune 1 Solution, financés par le plan européen NextGenerationEU. Le programme 1 jeune, 1 solution qui avait débuté en juillet 2020 pour permettre aux jeunes de trouver un emploi, une formation ou un parcours d'insertion. À partir du 1 mars 2022, le Contrat Engagement Jeune (CEJ) s'inscrit dans la lignée de ce programme et remplace le dispositif Garanties jeunes, qui avait été instauré en 2017. La CEJ prévoit un accompagnement individuel personnalisé mis en place par les Missions Locales et Pôle Emploi sur 6 à 12 mois selon les profils. La personne accompagnée pourra bénéficier d'une allocation allant jusqu'à 500€ par mois, ainsi que d'un programme intensif de 15 à 20 heures par semaine composé de différents types d'activités. Concrètement, le CEJ s'adresse aux jeunes de 18 à 25 ans qui ne sont pas étudiants, ne suivent pas une formation et présentent des difficultés d'accès à l'emploi durable. Cela concerne au moins 400 000 jeunes en 2022.Alors, le CEJ sera-t-il un programme efficace pour lutter contre le chômage des jeunes ? On en débat !Invité : Alexi...
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'immigration et plus précisément sur le principe du regroupement familialLa procédure du regroupement familial permet à un étranger qui a un titre de séjour en France d'être rejoint par son époux et ses enfants. Bien que le regroupement familial soit considéré comme un droit, il obéit tout de même à certaines conditions.Tout d'abord, le demandeur doit avoir une résidence régulière de 18 mois en France et des conditions d'accueil stables et suffisantes (seuil minimum de ressources propres et logement adéquat). Il doit aussi respecter les principes essentiels qui régissent la vie familiale en France : monogamie, égalité de l'homme et de la femme, respect de l'intégrité physique des enfants et adolescents, de la liberté du mariage, des différences ethniques et religieuses, assiduité scolaire, etc. Enfin, pour être acceptés en France, les enfants du demandeur doivent être mineurs et le conjoint doit avoir plus de 18 ans.De manière générale, les Français se montrent assez divisés concernant le maintien, ou non, du regroupement familial. En janvier 2020, selon un sondage IFOP, 55% des Français souhaitaient sa suppression.Et vous qu'en pensez-vous ? Faut-il supprimer ou limiter le regroupement familial ? On en débat ! Contributeurs : Gilles Lebreton - Député européen RNChristophe Daadouch - Juriste, membre du Gisti
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'immigration et plus précisément sur le principe du regroupement familialLa procédure du regroupement familial permet à un étranger qui a un titre de séjour en France d'être rejoint par son époux et ses enfants. Bien que le regroupement familial soit considéré comme un droit, il obéit tout de même à certaines conditions.Tout d'abord, le demandeur doit avoir une résidence régulière de 18 mois en France et des conditions d'accueil stables et suffisantes (seuil minimum de ressources propres et logement adéquat). Il doit aussi respecter les principes essentiels qui régissent la vie familiale en France : monogamie, égalité de l'homme et de la femme, respect de l'intégrité physique des enfants et adolescents, de la liberté du mariage, des différences ethniques et religieuses, assiduité scolaire, etc. Enfin, pour être acceptés en France, les enfants du demandeur doivent être mineurs et le conjoint doit avoir plus de 18 ans.De manière générale, les Français se montrent assez divisés concernant le maintien, ou non, du regroupement familial. En janvier 2020, selon un sondage IFOP, 55% des Français souhaitaient sa suppression.Et vous qu'en pensez-vous ? Faut-il supprimer ou limiter le regroupement familial ? On en débat ! Contributeurs : Gilles Lebreton - Député européen RNChristophe Daadouch - Juriste, membre du Gisti
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'utilisation de la finance "verte" par l''Europe. En juillet 2020, le plan de relance européen NextGenEU a été adopté par les 27 États membres pour financer une reprise économique durable. Cet outil temporaire de relance de 750 milliards d'euros a pour objectif de financer la transition numérique, la résilience économique et l'action pour le climat. Or, dans le cadre du plan de relance, la Commission européenne émet des obligations vertes dont le produit finance des investissements liés à la lutte contre le réchauffement climatique. Une obligation est un actif financier. Plus précisément, c'est un morceau de dette qui peut être émis sur les marchés financiers par un État ou une entreprise. Contrairement à une obligation classique, l'obligation verte implique un objectif lié à la protection de l'environnement.La finance verte est l'objet de nombreuses critiques et les obligations vertes ne font pas exception puisqu'elles sont souvent accusées de greenwashing. C'est malgré tout pour éviter ce phénomène que l'UE a souhaité mettre en place des critères stricts pour faire en sorte que ces entreprises qui émettent des obligations vertes respectent leurs engagements. Sans contrôle et encadrement, il est en effet difficile d'assurer l'efficacité des obligations vertes pour sauvegarder l'environnement, puisque n'importe quelle entreprise pourrait alors émettre des obligations « vertes » sans contrepartie.Par ailleurs, certains considèrent que les exigences de l'UE ne sont pas assez élevées. Par exemple, l'UE considère que le gaz et le nucléaire sont des énergies de transition et peuvent, à ce titre, être financés par des obligations vertes européennes. Or, tous les États membres ne s'accordent pas sur l'impact environnemental de ces énergies. Des partis de gauche et écologiques s'opposent également à leur utilisation. Alors, les obligations vertes européennes permettent-elles réellement de financer la transition écolog...
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'utilisation de la finance "verte" par l''Europe. En juillet 2020, le plan de relance européen NextGenEU a été adopté par les 27 États membres pour financer une reprise économique durable. Cet outil temporaire de relance de 750 milliards d'euros a pour objectif de financer la transition numérique, la résilience économique et l'action pour le climat. Or, dans le cadre du plan de relance, la Commission européenne émet des obligations vertes dont le produit finance des investissements liés à la lutte contre le réchauffement climatique. Une obligation est un actif financier. Plus précisément, c'est un morceau de dette qui peut être émis sur les marchés financiers par un État ou une entreprise. Contrairement à une obligation classique, l'obligation verte implique un objectif lié à la protection de l'environnement.La finance verte est l'objet de nombreuses critiques et les obligations vertes ne font pas exception puisqu'elles sont souvent accusées de greenwashing. C'est malgré tout pour éviter ce phénomène que l'UE a souhaité mettre en place des critères stricts pour faire en sorte que ces entreprises qui émettent des obligations vertes respectent leurs engagements. Sans contrôle et encadrement, il est en effet difficile d'assurer l'efficacité des obligations vertes pour sauvegarder l'environnement, puisque n'importe quelle entreprise pourrait alors émettre des obligations « vertes » sans contrepartie.Par ailleurs, certains considèrent que les exigences de l'UE ne sont pas assez élevées. Par exemple, l'UE considère que le gaz et le nucléaire sont des énergies de transition et peuvent, à ce titre, être financés par des obligations vertes européennes. Or, tous les États membres ne s'accordent pas sur l'impact environnemental de ces énergies. Des partis de gauche et écologiques s'opposent également à leur utilisation. Alors, les obligations vertes européennes permettent-elles réellement de financer la transition écolog...
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'alimentation des enfants, et notamment leur consommation de lait. Le programme européen “Lait, fruits et légumes dans les écoles” permet de distribuer du lait, de fruits et de légumes (ainsi que d'autres produits laitiers) dans des établissements de la maternelle au lycée à des millions d'enfants en Europe. En France, ce programme est financé par l'UE à hauteur de 35 millions d'euros par an et vise donc à permettre aux enfants de consommer des produits laitiers.Par ailleurs, en France, l'État met à jour régulièrement le Programme national nutrition santé (PNNS) qui a pour objectif général l'amélioration de l'état de santé de l'ensemble de la population en agissant sur l'un de ses déterminants majeurs : la nutrition. Ce programme invite notamment les enfants à consommer 3 ou 4 produits laitiers par jour.Pourtant, de plus en plus de voix s'élèvent pour critiquer la consommation de lait de vache, notamment car elle serait néfaste au bien-être animal et à l'environnement. Les scientifiques émettent des avis différents sur les bénéfices de la consommation de lait pour les humains : certains estiment qu'elle est indispensable, tandis que d'autres pensent qu'elle est inutile voire mauvaise. Alors, le lait est-il vraiment “notre ami pour la vie” et est-il bon d'en donner aux enfants? On en discute avec Anissa Putois de PETA France !Invitée :Anissa Putois - Chargée de communication pour PETA France
Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'alimentation des enfants, et notamment leur consommation de lait. Le programme européen “Lait, fruits et légumes dans les écoles” permet de distribuer du lait, de fruits et de légumes (ainsi que d'autres produits laitiers) dans des établissements de la maternelle au lycée à des millions d'enfants en Europe. En France, ce programme est financé par l'UE à hauteur de 35 millions d'euros par an et vise donc à permettre aux enfants de consommer des produits laitiers.Par ailleurs, en France, l'État met à jour régulièrement le Programme national nutrition santé (PNNS) qui a pour objectif général l'amélioration de l'état de santé de l'ensemble de la population en agissant sur l'un de ses déterminants majeurs : la nutrition. Ce programme invite notamment les enfants à consommer 3 ou 4 produits laitiers par jour.Pourtant, de plus en plus de voix s'élèvent pour critiquer la consommation de lait de vache, notamment car elle serait néfaste au bien-être animal et à l'environnement. Les scientifiques émettent des avis différents sur les bénéfices de la consommation de lait pour les humains : certains estiment qu'elle est indispensable, tandis que d'autres pensent qu'elle est inutile voire mauvaise. Alors, le lait est-il vraiment “notre ami pour la vie” et est-il bon d'en donner aux enfants? On en discute avec Anissa Putois de PETA France !Invitée :Anissa Putois - Chargée de communication pour PETA France
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question épineuse du nucléaire.Contre le nucléaire, l'argument le plus avancé est celui de la sécurité des centrales. Les accidents de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011) alimentent l'inquiétude sur les risques encourus pour les populations, la faune, la flore et l'environnement aux alentours. Toujours sur les questions de sécurité, ses détracteurs pointent du doigt le vieillissement du parc nucléaire et des risques qui accompagnent leur prolongation de durée de vie sans compter le prix de ces remises à niveau. L'ombre de l'EPR de Flamanville, dont la construction à démarré en 2007 avec une estimation à 3 milliards d'euros pour de nombreux retards accumulés et un coût total à plus de 12 milliards, plane sur la construction des nouveaux EPR.Le problème se pose aussi pour les déchets provenant de l'exploitation des centrales ou de leurs démantèlements. Enfin, l'argument moral est parfois mis en avant, sur la prolifération croisée du nucléaire civil et militaire.De l'autre côté, les défenseurs du nucléaire mettent en avant son aspect écologique, puisqu'elle utilise moins de matière, moins de surface et émet beaucoup moins de CO2 que les fossiles. En ce sens, elle serait la meilleure alliée dans la transition écologique avec des énergies renouvelables. L'urgence serait plutôt la fin des énergies fossiles. Par ailleurs, la crise ukrainienne et l'explosion du prix du gaz repose la question de la souveraineté énergétique du pays. Alors faut-il sortir du nucléaire ? Peut-on au moins se le permettre ? Ou plutôt le développer ? On en débat avec deux experts.Contributeurs : Sophia Majnoni d'Intignano - Militante environnementale, Déléguée générale de la Fédération nationale d' agriculture biologique (FNAB)Greg De Temmerman - Directeur du think tank Zenon Research, Chercheur associé à l'École nationale s...
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question épineuse du nucléaire.Contre le nucléaire, l'argument le plus avancé est celui de la sécurité des centrales. Les accidents de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011) alimentent l'inquiétude sur les risques encourus pour les populations, la faune, la flore et l'environnement aux alentours. Toujours sur les questions de sécurité, ses détracteurs pointent du doigt le vieillissement du parc nucléaire et des risques qui accompagnent leur prolongation de durée de vie sans compter le prix de ces remises à niveau. L'ombre de l'EPR de Flamanville, dont la construction à démarré en 2007 avec une estimation à 3 milliards d'euros pour de nombreux retards accumulés et un coût total à plus de 12 milliards, plane sur la construction des nouveaux EPR.Le problème se pose aussi pour les déchets provenant de l'exploitation des centrales ou de leurs démantèlements. Enfin, l'argument moral est parfois mis en avant, sur la prolifération croisée du nucléaire civil et militaire.De l'autre côté, les défenseurs du nucléaire mettent en avant son aspect écologique, puisqu'elle utilise moins de matière, moins de surface et émet beaucoup moins de CO2 que les fossiles. En ce sens, elle serait la meilleure alliée dans la transition écologique avec des énergies renouvelables. L'urgence serait plutôt la fin des énergies fossiles. Par ailleurs, la crise ukrainienne et l'explosion du prix du gaz repose la question de la souveraineté énergétique du pays. Alors faut-il sortir du nucléaire ? Peut-on au moins se le permettre ? Ou plutôt le développer ? On en débat avec deux experts.Contributeurs : Sophia Majnoni d'Intignano - Militante environnementale, Déléguée générale de la Fédération nationale d' agriculture biologique (FNAB)Greg De Temmerman - Directeur du think tank Zenon Research, Chercheur associé à l'École nationale s...
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes.Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'autonomie de la Corse La Corse est dotée d'une organisation institutionnelle originale, unique en France métropolitaine. Une succession de lois, entre 1982 et 2018, vont fixer le cadre et le statut de la collectivité.Bénéficiant de compétences élargies, la collectivité de Corse peut intervenir dans le domaine de l'éducation, de la culture, de l'environnement, des transports ou encore dans l'entretien et la gestion des infrastructures.Mais pour certains, cela ne rend pas la Corse autonome et il faudrait aller plus loin. Et vous, qu'en pensez-vous ? La Corse doit-elle être autonome ? On en débat !Contributeurs : Véronique Bertile - Maître de conférences en droit publicBenjamin Morel - Maître de conférences en droit publicIl a été réalisé sur la base de cet article : https://ledrenche.ouest-france.fr/la-corse-doit-elle-etre-autonome/Bonne écoute.
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes.Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question de l'autonomie de la Corse La Corse est dotée d'une organisation institutionnelle originale, unique en France métropolitaine. Une succession de lois, entre 1982 et 2018, vont fixer le cadre et le statut de la collectivité.Bénéficiant de compétences élargies, la collectivité de Corse peut intervenir dans le domaine de l'éducation, de la culture, de l'environnement, des transports ou encore dans l'entretien et la gestion des infrastructures.Mais pour certains, cela ne rend pas la Corse autonome et il faudrait aller plus loin. Et vous, qu'en pensez-vous ? La Corse doit-elle être autonome ? On en débat !Contributeurs : Véronique Bertile - Maître de conférences en droit publicBenjamin Morel - Maître de conférences en droit publicIl a été réalisé sur la base de cet article : https://ledrenche.ouest-france.fr/la-corse-doit-elle-etre-autonome/Bonne écoute.
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question des actions individuels visant à préserver la planète L'idée selon laquelle une des façons de lutter pour la planète est de faire chacun un peu à son échelle fait l'objet d'un réel débat : on la retrouve de plus en plus dans de nombreux blogs, magazines ou documentaires qui expliquent en quoi le choix de la “sobriété heureuse” (c'est-à-dire moins consommer et moins posséder) est une solution.Pourtant d'autres critiquent fortement ce mouvement qu'ils et elles accusent d'être contre productif et culpabilisant puisqu'il est dépolitisé et individualiste : il n'évoque pas le problème de la production des multinationales ou de l'agriculture qui sont majoritairement responsables de la crise écologique. Et vous, qu'en pensez-vous ? Est-ce utile d'agir à son échelle ? On en débat !Contributeurs : Laetitia Delahaies - Coordinatrice stratégique du Mouvement des ColibrisDésobéissance Écolo Paris - Collectif auteur de l'ouvrage Ecologie sans transition aux éditions DivergencesBonne écoute.
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question des actions individuels visant à préserver la planète L'idée selon laquelle une des façons de lutter pour la planète est de faire chacun un peu à son échelle fait l'objet d'un réel débat : on la retrouve de plus en plus dans de nombreux blogs, magazines ou documentaires qui expliquent en quoi le choix de la “sobriété heureuse” (c'est-à-dire moins consommer et moins posséder) est une solution.Pourtant d'autres critiquent fortement ce mouvement qu'ils et elles accusent d'être contre productif et culpabilisant puisqu'il est dépolitisé et individualiste : il n'évoque pas le problème de la production des multinationales ou de l'agriculture qui sont majoritairement responsables de la crise écologique. Et vous, qu'en pensez-vous ? Est-ce utile d'agir à son échelle ? On en débat !Contributeurs : Laetitia Delahaies - Coordinatrice stratégique du Mouvement des ColibrisDésobéissance Écolo Paris - Collectif auteur de l'ouvrage Ecologie sans transition aux éditions DivergencesBonne écoute.
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question du bien-être animal. En 2016, l'association de défense des animaux L214 diffusait des vidéos chocs filmées dans des abattoirs. Sur celles-ci, des bêtes étaient mal étourdies ou accrochées vivantes. Venant s'empiler sur un nombre déjà conséquent de vidéos de ce type, les réactions politiques ont été nombreuses. Le député PS Olivier Falorni lançait une proposition de loi « relative au respect de l'animal en abattoir ». Dans celle-ci, une des principales mesures était donc d'installer des caméras dans les abattoirsComme l'explique Reta Hutin, présidente de la Fondation 30 millions d'amis, le fait que L214 doive utiliser des vidéos tournées clandestinement pour faire pression « prouve bien qu'on veut cacher ce qu'il se passe dans les abattoirs, que l'omerta dure depuis toujours ». Pour les partisans de cette mesure, il faudrait donc légaliser cette pratique afin de constater et reconnaître les délits.Pourtant, cette loi n'est pas acceptée par ses opposants, car elle serait contradictoire avec le code du travail. En effet, les employés travaillant dans les lieux d'abattage seraient constamment surveillés, et c'est pour cette raison que Brigitte Gothière, directrice de l'association L214, confiait pour Libération ses réserves concernant cette mesure. La Commission nationale de l'informatique et des libertés alertait également sur les risques de « flicages ». Critiquée pour son intrusivité pour les travailleurs des abattoirs, la loi avait été partiellement adoptée par l'Assemblée nationale, puis finalement abandonnée par Emmanuel MacronEn 2019, une expérimentation de cette mesure a été lancée sur deux ans. À ce jour en France, une soixantaine d'abattoirs agréés et volontaires (sur 886) ont testé les dispositifs de caméra dans leurs locaux. Aujourd'hui, plusieurs associations telles que l'OABA ou...
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question du bien-être animal. En 2016, l'association de défense des animaux L214 diffusait des vidéos chocs filmées dans des abattoirs. Sur celles-ci, des bêtes étaient mal étourdies ou accrochées vivantes. Venant s'empiler sur un nombre déjà conséquent de vidéos de ce type, les réactions politiques ont été nombreuses. Le député PS Olivier Falorni lançait une proposition de loi « relative au respect de l'animal en abattoir ». Dans celle-ci, une des principales mesures était donc d'installer des caméras dans les abattoirsComme l'explique Reta Hutin, présidente de la Fondation 30 millions d'amis, le fait que L214 doive utiliser des vidéos tournées clandestinement pour faire pression « prouve bien qu'on veut cacher ce qu'il se passe dans les abattoirs, que l'omerta dure depuis toujours ». Pour les partisans de cette mesure, il faudrait donc légaliser cette pratique afin de constater et reconnaître les délits.Pourtant, cette loi n'est pas acceptée par ses opposants, car elle serait contradictoire avec le code du travail. En effet, les employés travaillant dans les lieux d'abattage seraient constamment surveillés, et c'est pour cette raison que Brigitte Gothière, directrice de l'association L214, confiait pour Libération ses réserves concernant cette mesure. La Commission nationale de l'informatique et des libertés alertait également sur les risques de « flicages ». Critiquée pour son intrusivité pour les travailleurs des abattoirs, la loi avait été partiellement adoptée par l'Assemblée nationale, puis finalement abandonnée par Emmanuel MacronEn 2019, une expérimentation de cette mesure a été lancée sur deux ans. À ce jour en France, une soixantaine d'abattoirs agréés et volontaires (sur 886) ont testé les dispositifs de caméra dans leurs locaux. Aujourd'hui, plusieurs associations telles que l'OABA ou...
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question des congés menstruels. Le congé menstruel permet aux personnes menstruées de poser des jours de congés en cas de dysménorrhée, donc de règles douloureuses. Le Conseil des ministres espagnol vient de valider l'avant-projet de la loi instaurant un congé menstruel. Ce texte, proposé par la ministre des Égalités Irene Moreno, autorise les personnes menstruées à prendre ce congé sans limite de temps. Pour cela, il faudra un certificat médical afin que cet arrêt maladie temporaire soit pris en charge par l'Etat à 100 %. Si le Parlement espagnol approuve cette loi, l'Espagne deviendra le premier pays d'Europe à l'instaurer. D'après un sondage IFOP de 2021, 68 % des personnes interrogées sont favorables à l'instauration d'un congé menstruel en France. Pourtant ce type de congé fait débat. Alors, avancée sociale ou mesure contre-productive ? On en débat avec 2 expertes !Contributeurs : Rita Sekkat - Présidente et Fondatrice de l'ONG internationale HAPPIHGaëlle Baldassari - fondatrice du Mouvement Kiffe ton Cycle !Il a été réalisé sur la base de cet article : https://ledrenche.ouest-france.fr/faut-il-instaurer-un-conge-menstruel-en-france/
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur la question des congés menstruels. Le congé menstruel permet aux personnes menstruées de poser des jours de congés en cas de dysménorrhée, donc de règles douloureuses. Le Conseil des ministres espagnol vient de valider l'avant-projet de la loi instaurant un congé menstruel. Ce texte, proposé par la ministre des Égalités Irene Moreno, autorise les personnes menstruées à prendre ce congé sans limite de temps. Pour cela, il faudra un certificat médical afin que cet arrêt maladie temporaire soit pris en charge par l'Etat à 100 %. Si le Parlement espagnol approuve cette loi, l'Espagne deviendra le premier pays d'Europe à l'instaurer. D'après un sondage IFOP de 2021, 68 % des personnes interrogées sont favorables à l'instauration d'un congé menstruel en France. Pourtant ce type de congé fait débat. Alors, avancée sociale ou mesure contre-productive ? On en débat avec 2 expertes !Contributeurs : Rita Sekkat - Présidente et Fondatrice de l'ONG internationale HAPPIHGaëlle Baldassari - fondatrice du Mouvement Kiffe ton Cycle !Il a été réalisé sur la base de cet article : https://ledrenche.ouest-france.fr/faut-il-instaurer-un-conge-menstruel-en-france/
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur une proposition qui revient à chaque grande échéance électorale : Les candidats devraient-ils avoir un casier judiciaire vierge ?Aujourd'hui, seule une peine d'inéligibilité (prononcée parfois en cas de corruption, d'agressions sexuelles, d'escroquerie, d'abus de confiance ou de terrorisme) peut donc empêcher les candidats, qui sont des citoyens, d'être élus. Ainsi, aucun casier judiciaire vierge n'est requis pour voter ou se présenter à une élection !En 2017, Emmanuel Macron avait lancé un projet de loi visant à imposer un casier judiciaire B2 vierge pour tous les candidats aux élections. Mais les députés n'ont pas pris le risque d'appliquer une mesure qui pourrait être jugée comme « inconstitutionnelle ». Le casier judiciaire vierge a donc été abandonné et l'Assemblée a opté pour “une peine complémentaire obligatoire d'inéligibilité » : tous les crimes et un grand nombre de délits (sauf ceux commis avant 2017) sont obligatoirement assortis de cette peine complémentaire, sauf indication contraire. Le juge peut en effet moduler la durée de la peine, prendre en compte les circonstances de l'infraction et la personnalité de l'auteur pour la prononcer. Parmi les crimes concernées, on peut citer les faits de discrimination, d'injure, de diffamation publique, de provocation à la haine raciale, sexiste ou à raison de l'orientation sexuelle.Alors, faut-il aller plus loin que les lois pour la moralisation de la vie publique de septembre 2017 et exiger un casier vierge pour tous les candidats ? On en débat !Contributeurs : Élise Van Beneden - Présidente d'AnticorJean-Philippe Derosier - Professeur agrégé de droit public, Membre de l'Institut Universitaire de France, Université de LilleIl a été réalisé sur la base de cet article : https://ledrenche.ouest-france.fr/les-candidats-doiv...
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous nous pencherons sur une proposition qui revient à chaque grande échéance électorale : Les candidats devraient-ils avoir un casier judiciaire vierge ?Aujourd'hui, seule une peine d'inéligibilité (prononcée parfois en cas de corruption, d'agressions sexuelles, d'escroquerie, d'abus de confiance ou de terrorisme) peut donc empêcher les candidats, qui sont des citoyens, d'être élus. Ainsi, aucun casier judiciaire vierge n'est requis pour voter ou se présenter à une élection !En 2017, Emmanuel Macron avait lancé un projet de loi visant à imposer un casier judiciaire B2 vierge pour tous les candidats aux élections. Mais les députés n'ont pas pris le risque d'appliquer une mesure qui pourrait être jugée comme « inconstitutionnelle ». Le casier judiciaire vierge a donc été abandonné et l'Assemblée a opté pour “une peine complémentaire obligatoire d'inéligibilité » : tous les crimes et un grand nombre de délits (sauf ceux commis avant 2017) sont obligatoirement assortis de cette peine complémentaire, sauf indication contraire. Le juge peut en effet moduler la durée de la peine, prendre en compte les circonstances de l'infraction et la personnalité de l'auteur pour la prononcer. Parmi les crimes concernées, on peut citer les faits de discrimination, d'injure, de diffamation publique, de provocation à la haine raciale, sexiste ou à raison de l'orientation sexuelle.Alors, faut-il aller plus loin que les lois pour la moralisation de la vie publique de septembre 2017 et exiger un casier vierge pour tous les candidats ? On en débat !Contributeurs : Élise Van Beneden - Présidente d'AnticorJean-Philippe Derosier - Professeur agrégé de droit public, Membre de l'Institut Universitaire de France, Université de LilleIl a été réalisé sur la base de cet article : https://ledrenche.ouest-france.fr/les-candidats-doiv...
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous re-définirons la notion de wokisme et tenterons de répondre à cette question : représente-t-il un danger ou une opportunité pour notre société ? Contributeurs : Sophie Janinet - Journaliste spécialisée en féminisme et woke cultureJoëlle Fiss - Députée au Parlement de Genève (Suisse) et analyste des droits de l'hommeIl a été réalisé sur la base de cet article : https://ledrenche.ouest-france.fr/le-wokisme-danger-ou-opportunite/
Versus, le podcast du Drenche qui vous propose de former votre opinion en un peu plus de 5 minutes. Dans cet épisode, nous re-définirons la notion de wokisme et tenterons de répondre à cette question : représente-t-il un danger ou une opportunité pour notre société ? Contributeurs : Sophie Janinet - Journaliste spécialisée en féminisme et woke cultureJoëlle Fiss - Députée au Parlement de Genève (Suisse) et analyste des droits de l'hommeIl a été réalisé sur la base de cet article : https://ledrenche.ouest-france.fr/le-wokisme-danger-ou-opportunite/
Les jeunes générations ne sont ni moins engagées ni moins intéressées par la politique que leurs aînées. Cet engagement se manifeste de différentes manières, mais moins dans les urnes, ce qui questionne la santé de notre système démocratique et sa capacité à s'adapter aux évolutions générationnelles. Partant de ce constat, le Premier ministre Jean Castex a saisi le CESE pour qu'il analyse ce phénomène et formule des propositions. Retour sur cette institution et son rôle dans la société.Ce contenu a été réalisé en partenariat avec le CESE. L'occasion pour nous de vous présenter cette institution citoyenne et pour eux de diffuser plus largement le résultat de leurs travaux.Animateur : Florent GuignardParticipants : Manon Pisani, Kenza Occansey, Léa et Emmanuel
Les jeunes générations ne sont ni moins engagées ni moins intéressées par la politique que leurs aînées. Cet engagement se manifeste de différentes manières, mais moins dans les urnes, ce qui questionne la santé de notre système démocratique et sa capacité à s'adapter aux évolutions générationnelles. Partant de ce constat, le Premier ministre Jean Castex a saisi le CESE pour qu'il analyse ce phénomène et formule des propositions. Retour sur cette institution et son rôle dans la société.Ce contenu a été réalisé en partenariat avec le CESE. L'occasion pour nous de vous présenter cette institution citoyenne et pour eux de diffuser plus largement le résultat de leurs travaux.Animateur : Florent GuignardParticipants : Manon Pisani, Kenza Occansey, Léa et Emmanuel
Les jeunes générations ne sont ni moins engagées ni moins intéressées par la politique que leurs aînées. Cet engagement se manifeste de différentes manières, mais moins dans les urnes, ce qui questionne la santé de notre système démocratique et sa capacité à s'adapter aux évolutions générationnelles. Partant de ce constat, le Premier ministre Jean Castex a saisi le CESE pour qu'il analyse ce phénomène et formule des propositions. Retour sur cette institution et son rôle dans la société. Ce contenu a été réalisé en partenariat avec le CESE. L'occasion pour nous de vous présenter cette institution citoyenne et pour eux de diffuser plus largement le résultat de leurs travaux. Animateur : Florent Guignard Participants : Manon Pisani, Kenza Occansey, Léa et Emmanuel
Pour vous aider à faire votre choix, quel qu'il soit, pour l'élection présidentielle, nous vous proposons d'interroger tous les candidats à cette élection. Semaine après semaine, vous découvrirez qui ils sont, leur programme et leurs ambitions. A découvrir en direct sur la chaîne Twitch du Drenche : https://twitch.tv/ledrenche, et en replay sur toutes les plateformes de podcast. Ce podcast vous est offert par Le Drenche.Dans cet épisode, nous avons organisé un débat entre 3 candidats qui n'ont pas eu leurs parrainages: Clara Egger, Fabrice Grimal et Georges Kuzmanovic, pour parler de deux thèmes : la démocratie, et le pouvoir d'achat.En ce moment, précommandez votre exemplaire du hors-série du Drenche pour faire son choix à l'élection présidentielle sur https://ulule.com/qui-drencheCrédits musique : Vexento
Pour vous aider à faire votre choix, quel qu'il soit, pour l'élection présidentielle, nous vous proposons d'interroger tous les candidats à cette élection. Semaine après semaine, vous découvrirez qui ils sont, leur programme et leurs ambitions. A découvrir en direct sur la chaîne Twitch du Drenche : https://twitch.tv/ledrenche, et en replay sur toutes les plateformes de podcast. Ce podcast vous est offert par Le Drenche. Dans cet épisode, nous avons organisé un débat entre 3 candidats qui n'ont pas eu leurs parrainages: Clara Egger, Fabrice Grimal et Georges Kuzmanovic, pour parler de deux thèmes : la démocratie, et le pouvoir d'achat. En ce moment, précommandez votre exemplaire du hors-série du Drenche pour faire son choix à l'élection présidentielle sur https://ulule.com/qui-drenche Crédits musique : Vexento