Commune in Hauts-de-France, France
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Il y a un paradoxe de l'entreprise: beaucoup de ceux qui sont censés la diriger avouent parfois leur impuissance à faire avancer leurs projets d'innovation ou de transformation. Et cela ne concerne pas que les managers intermédiaires. Il m'arrive souvent d'entendre « à mon niveau je ne peux rien faire. » Venant de hauts dirigeants, l'aveu est étonnant. La raison est souvent que ces dirigeants n'ont pas pris conscience de la dimension politique de leur fonction. Par dimension politique, il faut entendre la capacité à peser sur le collectif pour le faire aller dans une direction donnée, ici pour faire avancer des projets bloqués. Cette capacité repose rarement sur une autorité formelle; elle doit se construire. Un exemple historique dont on peut utilement s'inspirer est la façon dont Lyndon Johnson a réussi à dominer le Sénat américain avant de devenir Président des États-Unis.
Diana Filippova venant présenter le livre « Mon vrai nom est Elisabeth » d'Adèle Yon. Un livre, Un lecteur. Emission présentée par Florence Berthout Elle reçoit Diana Filippova qui viendra présenter le livre « Mon vrai nom est Elisabeth » d'Adèle Yon. À propos du livre : « Mon vrai nom est Elisabeth » paru aux éditions Du Sous-Sol Une chercheuse craignant de devenir folle mène une enquête pour tenter de rompre le silence qui entoure la maladie de son arrière-grand-mère Elisabeth, dite Betsy, diagnostiquée schizophrène dans les années 1950. La narratrice ne dispose, sur cette femme morte avant sa naissance, que de quelques légendes familiales dont les récits fluctuent. Une vieille dame coquette qui aimait nager, bonnet de bain en caoutchouc et saut façon grenouille, dans la piscine de la propriété de vacances. Une grand-mère avec une cavité de chaque côté du front qui accusait son petit-fils de la regarder nue à travers les murs. Une maison qui prend feu. Des grossesses non désirées. C'est à peu près tout. Les enfants d'Elisabeth ne parlent jamais de leur mère entre eux et ils n'en parlent pas à leurs enfants qui n'en parlent pas à leurs petits-enfants. "C'était un nom qu'on ne prononçait pas. Maman, c'était un non-sujet. Tu peux enregistrer ça. Maman, c'était un non-sujet.' Mon vrai nom est Elisabeth est un premier livre poignant à la lisière de différents genres : l'enquête familiale, le récit de soi, le road-trip, l'essai. À travers la voix de la narratrice, les archives et les entretiens, se déploient différentes histoires, celles du poids de l'hérédité, des violences faites aux femmes, de la psychiatrie du XXe siècle, d'une famille nombreuse et bourgeoise renfermant son lot de secrets. Née en 1994 à Paris, Adèle Yon enquête, écrit et cuisine. Normalienne, chercheuse en études cinématographiques, c'est à l'occasion de sa thèse au sein du laboratoire de recherche-création SACRe qu'elle se lance dans l'écriture. Parallèlement, elle travaille à Paris et dans la Sarthe comme cheffe de cuisine.
Le chef libéral et premier ministre sortant Mark Carney a lancé sa campagne électorale dimanche en promettant des baisses d'impôt pour la classe moyenne, l'élimination de la TPS sur l'achat de maison et l'annulation de la hausse de l'impôt sur les gains en capital. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Florence Berthout reçoit Laurent Matheron venant présenter « Tristesse de la terre. Une vie de Buffalo Bill Cody » d'Éric Vuillard À propos du livre : « Tristesse de la terre. Une vie de Buffalo Bill Cody » paru aux éditions Actes Sud On pense que le reality show est l'ultime avatar du spectacle de masse. Qu'on se détrompe. Il en est l'origine. Son créateur fut Buffalo Bill, le metteur en scène du fameux Wild West Show. Tristesse de la terre, d'une écriture acérée et rigoureusement inventive, raconte cette histoire.
Première diffusion le 19 février 2019.Et si un jour de super lune comme aujourd'hui, on parlait d'astrologie ? Pas de n'importe quelle astrologie, ici nous allons parler d'astrologie védique, celle qui nous vient des textes sacrés hindous et revêt une grande dimension spirituelle. Et pas avec n'importe quel astrologue puisque Jean-Pierre Neveu, qui exerce cette discipline depuis bientôt 30 ans, en a fait sa philosophie de vie. Vous comprendrez vite, en écoutant cet épisode, pourquoi Jean-Pierre mérite d'être écouté, et surtout entendu.Un épisode lumineux et plein de sagesse. Un épisode qui fait du bien.Avec Jean-Pierre, nous allons parler du deuil du père, du karma qui n'est pas si punitif que ça, de maitres spirituels et de notre libre-arbitre, cette formidable liberté qui nous donne aussi de grandes responsabilités.Notes sur l'épisode :- Le rituel quotidien de Jean-Pierre : se lever à 4h30 pour prendre le temps de méditer et d'écrire avant de démarrer sa journée- Son conseil lecture : Dialogue avec l'ange de Gitta Mallasz RETRANSCRIPTION DE L'EPISODE AVEC JEAN-PIERRE NEVEUComment vous présenter mon invité du jour, Jean-Pierre Neveu ? Comment vous présenter mon invité du jour, Jean-Pierre Neveu ? J'ai pas mal côtoyé Jean-Pierre ces derniers mois, vous comprendrez pourquoi dès le début de l'entretien. C'est quelqu'un que j'apprécie et que j'estime beaucoup.00:01:37Ensuite, bonne nouvelle, ou pas, c'est selon les goûts, j'aborde aujourd'hui ici un sujet ésotérique. Parce que Jean-Pierre est astrologue et il pratique une astrologie peu classique en France, l'astrologie védique. Venant de la tradition hindoue, son nom sanscrit, jyotish, signifie lumière. Et c'est bien là toute sa vocation. Nous-mêmes, pour illuminer notre dharma, notre chemin de vie. Alors justement, je vous invite dans cette conversation lumineuse et pleine de sagesse. Avec Jean-Pierre, nous allons parler du deuil du Père, du karma, qui n'est pas si punitif que ça, de maître spirituel et de notre libre arbitre, cette formidable liberté qui nous donne aussi de grandes responsabilités. Bonjour Jean-Pierre. Bonjour Hervéline. Quel plaisir de t'avoir avec nous aujourd'hui dans La Petite Voix. Moi, j'ai la chance de te côtoyer depuis quelques mois, puisque j'apprends à tes côtés les bases de l'astrologie védique.00:02:33Tout à fait, et tu es une élève douée. Oh, au moins ça ! Et voilà, aujourd'hui, tu vas nous parler évidemment de cette astrologie très spirituelle, mais tu nous en parleras bien mieux que moi. D'accord, avec plaisir. Mais on va d'abord commencer par faire connaissance avec toi. Très brièvement, peux-tu te présenter en quelques mots ? Bien sûr. Eh bien donc, je m'appelle Jean-Pierre Neveu. J'ai 74 ans, je suis marié, j'ai deux enfants, et donc je vis dans le département de l'Ain, dans un petit village qui s'appelle Saint-André-sur-Vieux-Jean, qui est à une dizaine de kilomètres de Bourg-en-Bresse. Jean-Pierre, donc tu es astrologue védique. Tout à fait. Tu vas nous parler un peu de ton parcours, parce que je ne peux pas imaginer que lorsque tu avais, je ne sais pas, 18-20 ans, à la sortie de tes études, tu aies eu l'idée de devenir astrologue.00:03:23Non, bien sûr. Non, totalement. S'il te plaît. Voilà, eh bien, moi je suis né dans une famille, donc qui était plutôt des gens qui étaient dans les affaires, qui étaient attachés à produire, voilà. Et j'ai lutté beaucoup dans ma vie parce que moi j'avais un besoin d'apprendre, j'avais un besoin de connaissance, et mes parents, surtout mon père, lui, il a été lancé que je devais être productif le plus rapidement possible. Donc, ce qui veut dire que j'ai eu toute une première partie où j'ai fait des métiers. Et j'ai fait essentiellement un métier de chef d'entreprise, d'artisan. Et c'est vrai que, bon, ça m'a beaucoup plu d'ailleurs. C'était une activité qui m'a passionné. On construisait, j'étais donc dans le bâtiment. Donc, il y avait un côté créatif qui était intéressant.00:04:10Ce qui m'intéressait aussi, il y avait la gestion des hommes parce qu'il fallait une entreprise. Oui, tu avais une entreprise d'une certaine taille quand même. Tout à fait, oui, on avait une dizaine de personnes. Quand même. Voilà, et puis donc, il y avait le côté commercial, le côté financier. J'ai beaucoup appris d'ailleurs pendant cette époque-là. Donc, c'était une époque très intéressante. Alors là, bien sûr, Hervéline, à aucun moment, l'idée de l'astrologie n'était pas là. Néanmoins, j'avais toujours quand même une quête. Alors, je faisais beaucoup de formations, de séminaires. De quel ordre ? Je m'étais intéressé par exemple à la PNL. J'avais pris un petit peu des élans sur des sujets un peu ésotériques comme les tarots. Mais l'astrologie, non, j'avais une amie qui pratiquait l'astrologie.00:04:59Mais bon, sans plus, ça ne me touchait pas plus que ça. Disons que dans cette première partie de vie, puisque c'est un petit peu comme ça que tu le présentes. Dans cette première partie de vie, tu as plus répondu aux attentes de tes parents en étant dans cette évolution sociale et économique. Oui, voilà, mais qui m'intéressait d'ailleurs. Oui, tu trouvais aussi ton compte. Oui, ça m'intéressait parce que ça comblait en moi. Une quête de réalisation, de créativité, une certaine forme de pouvoir, il faut le dire aussi. Ça m'a fait connaître aussi beaucoup de domaines. Et c'est vrai que j'ai côtoyé dans ce travail un petit peu plein de types de personnes. Et ça me sert encore maintenant dans mes activités professionnelles d'astrologue. Et ça donne des clés d'ailleurs pour les comprendre.00:05:49Donc tu étais heureux dans cette vie-là, mais il y avait quand même quelque part une frustration, peut-être pas aussi clairement. Si vous voulez. Si tu veux, bien sûr, il y avait une frustration, certainement un manque, voilà. Mais comme la vie est toujours bien faite, en 1990, il y a eu un événement fondateur qui a été très déstabilisant. Ça a été la perte de mon père. Et puis donc cet événement a créé un tsunami dans la famille parce que nous avions un père très centralisateur, qui avait quelque chose de très dirigiste. Un peu autoritaire, oui. Autoritaire et qui tenait beaucoup aux rêves. Une reine de la famille, de tout, du travail, de tout. Et donc sa disparition a créé une sorte de volet qui s'est enlevé, un verrou qui est parti quelque part.00:06:36Et en quelques semaines, quelques mois, la famille a éclaté. Et ça a dérivé à une vitesse. En quelques mois, l'année qui a suivi le décès de mon père, ça a été très, très, très, très violent quelque part. Tu avais quel âge à l'époque ? J'avais 40. J'avais 40-45. 40-45. D'accord. Et puis face à ça, étant d'un tempérament un petit peu cartésien, j'étais dans l'incompréhension totale face à ça. Et ça m'a posé beaucoup de questions. Et puis là, donc, cette amie qui est astrologue, mais qui pratiquait une astrologie classique, elle m'a donné quelques réponses. Mais quelque part, je ne sais pas, il y avait quelque chose qui manquait. C'était un peu superficiel. Alors, je ne dis pas qu'elle était mauvaise, attention, mais ça ne me comblait pas dans ma demande.00:07:23Tu restais un peu sur ta tête. Voilà, je restais totalement même sur ma faim. Alors, donc, cette amie d'astrologue, elle me dit : Écoute, Jean-Pierre, je sais qu'il y a une personne qui est à Lyon, qui s'appelle madame Huguette Jaquet, qui pratique l'astrologie. Je ne sais pas ce qu'elle fait, mais c'est très spécial. Et j'ai pris rendez-vous chez cette dame et elle pratiquait l'astrologie védique. C'était donc ça, l'astrologie un peu spéciale. Voilà. Et alors, donc, j'y suis allé. Et puis, elle m'a expliqué, effectivement, que j'arrivais profondément à un carrefour, un grand carrefour de ma vie, que ma vie comportait deux grands axes et que j'étais à la fin du premier axe. Que maintenant, quoi que je fasse, eh bien, allait s'ouvrir une autre étape et que j'aurais d'autres choses à faire, d'autres missions à faire.00:08:15Et que plus j'irai rapidement vers ce nouveau choix, vers ces nouvelles orientations, plus ma vie reprendrait rapidement. Et par contre, que plus j'allais essayer de tenir encore l'ancienne vie, plus ça serait difficile. Donc, en fait, elle, elle me demandait à accepter un changement, mais est-ce que tu savais déjà où elle est emmenée, ce changement ? Non, pas du tout. Non, non. Et d'ailleurs, elle ne m'a pas donné, bon, elle m'a parlé de spiritualité, ce qui était un petit peu aussi un mot un petit peu obscur un peu pour moi. Bon, c'est vrai que j'avais quand même eu une éducation catholique. D'ailleurs, elle m'aimait une époque où j'avais un peu, enfin, je n'avais pas seulement la foi suffisamment, mais ça m'intéressait la prêtrise quelque part. J'avais une certaine vibration qui me touchait.00:09:05En fait, cette rencontre que tu as eue la première fois avec cet astrologue védique, tu as, pour ainsi dire, apaisé en te donnant quelques clés de compréhension ? Elle m'a d'abord, oui, expliqué ce que je ne comprenais pas. Bon, ce qui me choquait profondément, j'étais dans un parcours plutôt linéaire. Oui. Et tout d'un seul coup, ce parcours, il était complètement saboté, quoi. Voilà. Alors, ça me heurtait dans la compréhension, quoi. Voilà. Qu'est-ce que tu n'as pas bien fait ? Quelle responsabilité tu as là-dedans ? Donc, c'est vrai que ça m'a beaucoup aidé de ce côté-là. Ça m'a permis très rapidement de développer, avec les outils PNL et autres, psychos, etc., de recréer le contact avec ma famille, de remettre dans l'ordre dans ma famille. Et ça t'a vraiment aidé ?00:09:51De manière très concrète, ça a renouvelé la paix ? Tout à fait, tout à fait. Moi, j'ai fait des courriers à ma sœur, à ma mère. Je leur ai lu. Donc, je les ai amenés à les rencontrer, à reprendre le fil de contact. Et bon, en quelques semaines, on a renoué, quoi. Alors, cette dame, donc, Mme Huguette Jaquet, donc, je l'ai vue. Puis, c'est vrai que ça m'a intéressé aussi. Donc, au cours de cette année, je suis allée, j'y suis retournée, la voir, un mois ou deux après. Bon, mes enfants, ils sont allés aussi. Mon épouse, elle est allée aussi. Donc, j'ai fait un peu circuler un peu tout le monde. Et oui, tout le monde s'est intéressé, branché à ça. Et puis, cette dame, elle faisait de la formation.00:10:39Et en septembre de cette même année, elle me dit, j'ai un cours qui va commencer. Voilà, je vois que ça vous intéresse. Essayez, peut-être qu'il y a quelque chose pour vous qui est en train de se faire. Je vous invite à aller voir. En bonne résonance, en bonne vibration, avec vos recherches. Eh bien, allez, en avant. Donc, elle me dit, il y en a pour trois ans. Donc, ma foi, j'ai mis le doigt dans l'engrenage. Et il faut te dire, Hervéline, qu'à partir de ce moment-là, j'ai été profondément harponné. T'as senti très bien. Parce que quand t'as commencé la formation, t'avais pas l'idée de devenir un astrologue. Non, c'était un petit peu comme un centre d'intérêt intellectuel. Voilà, parce que c'est un sujet qui m'intéressait.00:11:19Il y avait des nouveaux, des, des, des connaissances nouvelles que j'ignorais. Puis ça me, ça m'intéressait d'y, d'y mettre en relation avec, avec un petit peu ce que je connaissais, avec le monde extérieur, avec mon monde. Oui, mais donc, tout au long de cette formation, tu nous dis qu'elle a duré trois ans, mais évidemment pas en continu. Non. Tu continuais tes activités ? Bien sûr, la formation, donc, on montait à Lyon un samedi après-midi, tous les quinze jours. D'accord. Donc, quand même assez, assez régulier. Oui, assez suivi. Oui, oui, tout à fait. Et cette dame, elle avait reçu l'enseignement d'un, d'un maître hindou qui s'appelle Jaya Sekhar, qui l'avait enseignée. Et donc, ces trois ans, ben, c'est vrai, je les ai fait assidûment. Et puis, plus j'avançais, plus j'en voulais en savoir, plus, plus ça me passionnait.00:12:07Je étais un peu embêtant. D'ailleurs, toute ma famille, les amis, pour moi, c'était des sujets. Il n'y avait plus que ça ? C'était des sujets de test. Et puis, c'est vrai, j'avais une gourmandise d'aller vite, quoi, voilà. Oui. Donc, je faisais, je faisais beaucoup de thèmes, je faisais beaucoup de cas, bon, avec ce que je savais, bien sûr. Et donc, au bout des trois années, bien, il y avait un examen. Donc, on a passé un examen qui a été envoyé en Inde, donc, souple acheté, etc. Ah oui, donc, quelque chose d'assez officiel, quoi. Ah oui, tout à fait. D'accord. Qui était traduit. Donc, en anglais ? Ben, ça a été traduit en anglais. D'accord. Et corrigé par des astrologues dont le maître Jaya Sekhar. Le fameux maître.00:12:47Est-ce que tu l'avais rencontré, ce maître ? Ben, donc, jusque-là, je ne l'avais pas rencontré. Mais après, donc, moi, j'étais dedans, donc, je voulais continuer. Ben, il m'a dit, ben, maintenant, il faut que tu continues avec Jaya. Et donc, Jaya, donc, cet astrologue hindou venait à l'époque en Europe pendant 4-5 mois par an. Et donc, on bénéficiait de séminaires plusieurs fois par année, peut-être, et c'était des séminaires qui duraient à peu près une semaine. D'accord. Sur un sujet bien défini. Alors, les, la spiritualité, la santé, les rapports humains, et donc, avec des cas, bien sûr, et puis, aussi, avec toute la spiritualité et toute la philosophie hindoue. Oui, oui. Et donc, c'est vrai que là, j'ai appris. À partir de là, ben, oui, je faisais pas mal de thèmes, mais, bon, j'étais encore, je travaillais encore, Tu continuais à avoir ton entreprise ?00:13:38J'avais encore mon entreprise, ce qui avait été une erreur, parce que ce qu'elle avait bien détecté, que plus je garderais, plus ça serait difficile. Le fait de retenir m'empêchait de passer à autre chose. Et, en fait, j'ai tout mal fait. Donc, ça veut dire que ce qui devait arriver, arriva. Mes sociétés ont eu de grandes difficultés. D'accord. Donc, il a fallu arrêter en catastrophe. C'était en quelle année, ça ? Combien de temps après ? C'était 98, 91, 99. Là, on est bien 8, 9 ans après le décembre. Tout à fait. Et ce moment charnière de ta vie. Parce que, en fin 1997, avec cette amie qui était astrologue, on se dit : ben, tiens, maintenant que toi, tu es astrologue védique, ça serait peut-être pas mal qu'on s'associe, qu'on monte un cabinet ensemble.00:14:23Moi, je ferais ma partie d'astrologie tropicale, classique, et toi, tu feras la partie d'astrologie védique. Et donc, c'est ce qu'on a fait. On a loué un local à la Croix-Rousse. D'accord. Donc, c'est là où tu as cessé toutes tes activités et tu fronces des choses un petit peu. Oui, voilà. Mais j'étais les trois quarts du temps à la Croix-Rousse. Et puis, donc, c'était vraiment la mort de l'autre côté. C'était la fin, quoi. Et donc, là, on a commencé à travailler comme ça. Bon, j'ai la conscience que je ne savais pas grand-chose. Voilà. Donc, je suis resté six ans à la Croix-Rousse. C'est là, vraiment, que j'ai appris les bases, la clientèle, le rapport humain. Oui, parce qu'au-delà de savoir faire un thème astral, il y avait toute la dimension humaine de l'accompagnement.00:15:06Il y avait toute la dimension humaine. Il y avait aussi cette dimension aussi un petit peu compassionnelle, il faut le dire, aussi. Parce que j'avais des gens qui étaient beaucoup en demande et qui étaient beaucoup en souffrance. Et il y avait plus un rôle de soutien qu'un rôle d'astrologue ou mélangé, quelque part. Par contre, tu n'as pas eu de mal à te faire connaître et à avoir un certain nombre. Bien sûr que si, parce qu'au début, ça a été très difficile, effectivement. Il t'a fallu un petit peu de temps. Il a fallu attacher des gens. Bon, après, bien sûr, il y avait le côté financier. Donc, c'est vrai que pendant cette époque, je me suis plutôt endetté qu'autre chose. Mais il fallait investir. C'est ça, il fallait accepter pendant quelques années.00:15:48Il fallait investir. C'était un investissement de tant d'argent que je ne regrette pas, d'ailleurs, au jour d'aujourd'hui. Et comment, en revanche, ta femme, tes enfants, ton entourage, comment ils ont-ils vécu ce changement assez radical ? Pas toujours facilement parce que je les ai mis involontairement, mais je les ai mis quand même dans des difficultés économiques. Oui, oui. Parce que d'un seul coup, il n'y avait plus le courant financier qui tournait, etc. Et puis, du jour au lendemain, c'est devenu très chaotique. En plus, moi, je générais des dettes parce que je ne couvrais pas, bien sûr, mes frais, mes allocations, tout ça. C'est vrai que ça a été une étape un petit peu charnière qui a laissé un peu des traces dans la vie relationnelle, mais qui a été aussi le marquage d'un changement.00:16:37Donc ça, c'est la dimension financière, mais après, il y a la dimension spirituelle, c'est-à-dire que l'homme d'affaires que tu étais devient astrologue et ça peut être disons qu'il y a toute une, au départ, c'est vrai qu'il faut d'abord accepter soi-même qu'on ait quelqu'un d'autre. Disons que ma vie était un peu coupée en deux. Il y avait les personnes de mon ancienne activité qui ne savaient pas et comme ceux dans mon monde d'astrologue, dans le monde de la Croix-Rousse, ne savaient pas non plus que j'avais une autre vie professionnelle. Donc tu as eu vraiment ces deux ? Oui, j'ai vécu pendant un certain temps un peu fractionné. Et donc, le travail, ça a été un peu de se réunir. Et tout ça, ça s'est fait quoi depuis le début des années 2000 ?00:17:18Bien, si tu veux. Et en 2004, il y a eu un élément dans ma vie professionnelle, je suis arrivé à la retraite. Oui. J'avais 60 ans. Ok. Donc d'un seul coup, je n'avais plus à courir après une quête économique. Voilà. Donc j'avais arrêté à la Croix-Rousse et puis je suis rentré dans une maison dans l'Ain et je me suis fait un bureau. Et à partir de là, il y a eu quelque chose qui a démarré avec un certain dynamisme. C'est là où ça a pris véritablement. Bien sûr, puis je n'avais plus le souci de mes anciennes activités et j'étais libéré de ça. Est-ce que ce n'est pas ce que tu avais dit à l'astrologue que tu avais rencontré et que ça a libéré ? Elle avait totalement raison. Ça allait se lancer.00:17:56Et depuis ? Depuis, je continue et je pratique plusieurs activités. La base, bien sûr, de l'activité d'astrologue, ce sont les consultations. Oui. Donc, répondre à des personnes qui veulent un petit peu se reconnaître, connaître leur fonctionnement ou alors qui ont des questions très précises. Je fais aussi des consultations et des formations dont tu en bénéficies. Absolument. Voilà. Et c'est toujours très intéressant parce qu'il y a une sorte d'énergie collective. Ils m'apprennent autant que je leur apprends et ça m'aide beaucoup également dans mes consultations, parce que le fait de revoir les règles, eh bien, ça te les ancre. C'est aussi un des grands intérêts que je trouve dans ce métier. C'est le rapport humain, bien sûr, la nourriture humaine. Oui, on sent que tu es beaucoup dans la transmission et que tu y trouves beaucoup de satisfaction.00:18:49Oui, parce que je me sens une mission de renvoyer ce qu'on m'a donné. Tu as reçu de cette fameuse Huguette. De cette Huguette, de mon amie, de ce maître. Comme j'ai rencontré les bonnes personnes qui m'ont nourri et qui ont nourri ce deuxième plan de vie, j'ai aussi, moi, à renvoyer la balle pour nourrir un petit peu un troisième plan de vie de restitution quelque part. Et puis aussi, j'interviens dans des associations de thérapeutes, de bien-être. Et il y a très peu d'astrologues dans ces associations. Donc, je vais intervenir. Et bien, justement, j'aimerais bien qu'on parle maintenant d'astrologie védique. Qu'est-ce que tu peux nous redire ce que c'est et en quoi elle est différente ? Alors, l'astrologie védique, c'est une astrologie qui, donc originaire de l'Inde, ne peut pas se dissocier de mon appartenance spirituelle.00:19:41Donc, ça veut dire que nous sommes obligés de comprendre que nous sommes des êtres qui venons d'un monde divin et que nous venons faire des expériences terrestres. Et cette expérience terrestre n'est là que pour enrichir notre homme et l'astrologie n'est rien d'autre que pour montrer quelles sont les modalités que nous pouvons avoir pour nous élever dans ce changement, aussi bien avec des modalités spirituelles ou aussi bien matérielles. Parce que dans l'astrologie védique, on va pouvoir analyser aussi bien la vie relationnelle et la vie, la santé, la vie sociale, la vie professionnelle ; c'est un champ très très étendu. Donc, on va répondre à des questions très pratiques, celles qu'on peut imaginer poser un astrologue classique entre guillemets, ma vie amoureuse, mon travail et ma chambre.00:20:33Par exemple, hier, j'ai eu une personne elle a plusieurs projets donc d'un côté financier de l'autre côté qui était plutôt dans le bien-être, dans le fitness ; c'est une personne qui avait des capacités à travers ce travail à travers ces planètes qui étaient multiples mais néanmoins l'étape qui se présente préfigurait une activité à connotation sociale et financière. Ok, d'accord. Donc, à la fois en consultant un astrologue védique comme toi on peut avoir des réponses très pratiques très pratiques très pragmatiques mais aussi des choix de vie. Moi, en ce moment je suis très très surpris du nombre de personnes qui arrivent à la cinquantaine enfin entre 50 et 60 ans puis qui ressentent au fond d'eux un besoin profond de s'occuper des autres d'avoir une démarche d'échange d'aide de relation d'aide c'est vrai aussi il y a une pour beaucoup de personnes une profonde approche spirituelle qui est exprimée ou sous-jacente souvent.00:21:35Et ça est-ce que c'est plus propre à l'astrologie védique que l'astrologie classique ? Comme cette astrologie védique est quand même à cette appartenance spirituelle, elle est très liée à deux notions qui sont le karma et le dharma. On ne peut pas lier ce rapport que nous avons eu dans des vies antérieures. D'où ce que tu nous expliquais tout à l'heure sur notre âme qui s'incarne plusieurs fois, qui s'incarne plusieurs fois pour s'améliorer, pour s'étoffer à travers plusieurs incarnations, qui chacune va nous faire faire des bonnes choses, des moins bonnes et aussi c'est quelque chose que je lutte beaucoup dans l'astrologie. La vie n'est pas là pour nous blesser, on n'a pas des mauvais destins, c'est nous qui devons nous transformer.00:22:19Nous avons tous les outils en nous, mais il faut être créatif, il faut être inventif et là aussi l'astrologie védique est très intéressante parce qu'elle va aller dire : tiens, tu as telle planète qui est formidable, tu as Jupiter qui est très très beau et bien, tu as intérêt de travailler avec Jupiter. Une autre personne, ça va être le Soleil, il va falloir qu'il rayonne, il va falloir qu'il brille. Est-ce qu'on peut dire que, à travers une consultation, on ressort en ayant les clés pour se mettre sur les bons rails en fait ? On a des clés, bien sûr, parce que l'on a les clés non seulement qui nous ont été données à la naissance. C'est pour ça que l'on fait la carte natale au moment le plus précis où nous sommes nés, mais donc qui va nous donner effectivement des potentialités, parce que nous allons pouvoir rentrer dans le détail du devenir.00:23:05Oui, alors parlons-en, je trouve un élément passionnant de l'astrologie védique : c'est notre carte du dharma, donc la carte de notre chemin de vie qui va pouvoir extraire donc les choix principaux qui seront les plus favorables pour nous pour nous orienter vers ce choix de vie que mon âme a décidé avant de venir sur Terre. Et dans un thème, on va voir quels vont être les souffrances, quels vont être les marquages nous allons voir également. Qu'est-ce que je ramène aussi des vies antérieures, parce qu'il y a des planètes qui vont être situées suivant des endroits qui vont nous montrer que j'ai quelque chose à finir, j'ai quelque chose à terminer là et donc, et puis chaque fois que je fais quelque chose, il y a ce phénomène de l'action et de la réaction.00:23:51Alors, parlons-en, parce que toi tu te bats souvent contre l'expression qu'on connaît ici communément de mauvais karma, oui mais c'est une très mauvaise interprétation, parce qu'elle est coupabilisante, elle est punitive. Bon, c'est vrai qu'elle est beaucoup liée à cette notion un peu judéo-chrétienne de la souffrance. Mais l'être humain, nous ne sommes pas faits pour souffrir. C'est nous qui construisons nos propres souffrances. C'est aussi la souffrance. L'astrologie védique a un rôle très intéressant aussi pour aller voir quelles vont être les planètes qui vont m'aider pour dissoudre ces souffrances et les transformer par quelque chose de positif. Et on a toujours à apprendre, parce que en astrologie védique on va construire tout un outil de période qui va dérouler toute l'existence et qui vont pouvoir affiner les énergies présentes, donc sur quoi je peux m'appuyer, et puis je peux si je suis dans une étape comme pluviose par Exemple, lorsque est-ce que s'arrête cette période délicate ?00:24:53Voilà, dans la semaine, j'avais une personne partir de mars. Elle termine une grande étape qui a duré 18 ans, qui a été un peu chaotique et puis maintenant elle rentre dans une autre époque qui va être beaucoup plus facile. Donc, voilà, un peu des qualités très très importantes de cette astrologie, d'ailleurs est-ce que c'est une science ? Est-ce que c'est un art ? Alors donc, ce maître, le maître Jaya Sekhar, nous disait : C'est à la fois une science et un art. Donc, c'est une science parce qu'il y a quand même tout un environnement mathématique de la position. astronomique des planètes mais en même temps, c'est un art parce que on doit à travers cette rigueur en extraire la vie des personnes. Oui, donc il y a à la fois cette rigueur mathématique à avoir et aussi beaucoup d'intuition.00:25:45Oui, tout à fait, c'est intéressant parce que quand j'étais étudiant, j'avais suivi la filière scientifique mais je me passionnais pour la philosophie. Ah, génial ! Et donc j'ai trouvé dans l'astrologie védique l'alliage parfait entre ces deux aspirations qui sont au fond de moi, c'est l'alliage parfait pour toi, mais les détracteurs qui te disent que non, vraiment Jean-Pierre, c'est impossible, qu'avec une heure de naissance un jour tu puisses savoir leur vie voilà voilà, Je leur réponds, c'est votre choix. Moi, je ne me considère pas une mission de prosélytisme, d'accord ? Je ne veux pas vous convertir, je ne veux pas vous faire de l'intégrisme. Bon, moi j'ai des gens effectivement qui au départ étaient là, puis ma foi un peu sceptiques, oui, un peu sceptiques, puis sont revenus.00:26:34Mais j'accepte totalement qu'il y a des gens qui pensent que c'est de la bêtise, qu'il n'y a aucun fondement scientifique. Bon, la science en ce moment a beaucoup, beaucoup rapproché avec la physique quantique, il faut le dire aussi, oui. Donc je pense que ces gens auront de moins en moins de grains à moudre et d'informations pour étayer leur jugement. Il y a un autre sujet qui me tient à cœur et c'est le libre arbitre parce que quand je t'écoute, on pourrait penser que tout est écrit et qu'après tout, on est un peu condamné à subir ou à vivre ce qu'on a bien voulu nous donner au départ. Et bien pas du tout ! Je lis contre cette vision que le destin est gravé dans le marbre. C'est pas vrai.00:27:15Nous avons un libre arbitre phénoménal. Nous sommes venus avec une feuille de route effectivement, mais cette feuille de route, je suis totalement libre de la remplir ou de ne pas la remplir, d'en abîmer. Ou de l'enrichir, j'en suis mais totalement libre. Bon, j'en aurai les conséquences on est bien d'accord, mais je suis totally libre et l'astrologie - enfin, du moins dans ma vision - c'est de libérer les personnes, dans un thème, les planètes elles ont plein de sens et, dans un thème donc, elles peuvent nous donner plein de façons d'exister. On parlait tout à l'heure du soleil ; est-ce que ce soleil ? Je vais en faire un soleil égoïste ? Est-ce que je vais en soleil rayonnant partageur ?00:27:57Il y a plein de possibilités et donc, tout ça, c'est des choix que je prends en fonction de mes besoins, de mes attentes, de mon libre arbitre. Jean-Pierre. Pour terminer, j'aimeerais te poser quelques questions avec plaisir que j'aime poser à mes invités. La première question, c'est quel livre t'as le plus inspiré sur ton chemin de vie ? C'est le dialogue avec l'ange de Guita Malache et c'est très passionnant dans cette compréhension de cette notion du divin mais qui vient aussi se colliner au terrestre. Je vais te demander aussi si tu as un rituel bien-être quotidien, disons que oui. Je me lève très tôt le matin alors à quelle heure te lèves-tu ? Quand je suis très tôt, disons entre 4h30 et 5h. Bon, les start-upers n'ont rien inventé, le miracle morning existait avant, c'est ça donc.00:28:44Je me lève très très tôt, je me fais une méditation pendant une heure, puis après, je peux commencer donc à déjeuner et là tout s'en ferait. Tu es prêt à commencer ta journée à déjeuner, puis voilà, OK. Est-ce que tu peux me citer trois mots qui sont pour toi synonymes de bonheur ? Si je veux des mots, je mets beaucoup gratitude je mets allégresse aussi. Le mot allégresse, c'est un mot qui me met en joie et le mot joie, aussi bien sûr. Et oui, c'est joli comme sélection. Voilà, et pour finir cette dernière question et toi, Jean-Pierre, est-ce que tu es heureux ? Je suis extraordinairement heureux parce que je fais ce qui me plaît, j'ai une activité passionnante, je rencontre des gens passionnants.00:29:27Je sais que j'apporte quelque chose donc j'ai un sentiment de réalisation, bien sûr, voilà, et c'est vrai que le matin je n'ai aucune difficulté pour me lever comme je disais même à 4h30. Bon, je ne veux pas dire que je n'ai jamais été au sens proprement malheureux, voilà, bon, il y a eu des difficultés mais j'ai profondément un sentiment d'existence rempli et donc je remercie sans arrêt sans arrêt que la vie m'a mis sur ce chemin-là magnifique. Et bien, écoute là c'est à mon tour de te remercier Jean-Pierre parce que vraiment tu as partagé avec passion et de manière. Très pédagogue ton parcours et ce qu'est l'astrologie védique. Vraiment, merci beaucoup Jean-Pierreastrologie • astrologue • astrologie védique • karma • destin • chemin de vie • connaissance de soiVous aimerez cet épisode si vous aimez : l'art de l'astrologie • astrotruc • Z comme Zodiaque • C'est quoi ton signe ? • Métamorphose, éveille ta conscience ! (Anne Ghesquière) • ................................................
REDIFFUSION - Oser la Reconversion est en vacances de noël et revient le lundi 6 janvier avec de nouveaux invités. En attendant, retrouvez chaque lundi les meilleurs épisodes d'Oser la Reconversion.- Episode diffusé initialement le 6 décembre 2021 (épisode #41) -Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #41Oser La Reconversion est le podcast dédié aux reconversions professionnelles à quelque stade qu'elles en soient.Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Florence Hinckel. Après avoir été informaticienne, puis professeure des écoles, Florence est devenue romancière à temps plein.Florence écrit depuis l'âge de 11 ans. Elle a toujours eu le besoin d'écrire en elle. Après un bac scientifique, Florence fait des études d'informatique. Il n'y a pas beaucoup de femmes dans ce domaine et lors de ses premiers jobs, elle est victime de sexisme. Très intéressée par le monde de l'enfance, Florence décide alors de devenir professeure des écoles. Venant d'un milieu défavorisé, elle souhaite exercer un métier socialement reconnu et surtout qui lui offrira une stabilité financière. Elle aime par-dessus tout la liberté offerte aux enseignants d'être le « maître » dans leurs classes et de proposer des activités adaptées aux enfants. Elle devient professeure des écoles à Marseille dans un quartier défavorisé. Elle décide alors de parler de son quotidien et d'écrire des livres jeunesses à destination des enfants de classes sociales défavorisées. Ses livres ont alors un tel engouement que Florence décide de réaliser son rêve et de devenir romancière à temps plein.Florence est aujourd'hui romancière jeunesse depuis 20 ans. Elle a publié une cinquantaine de roman à ce jour et a reçu 42 prix littéraires.Alors avec Florence, on a évoqué la difficulté d'enseigner dans des milieux défavorisés, le combat féministe qu'elle mène contre le sexisme dans les milieux professionnels, de la nécessité du lâcher prise sur son besoin de stabilité financière pour se reconvertir, comment vivre du métier de romancier et de sa passion pour l'écriture.Notes & Références :- Instagram de Florence @florencehinckel : https://www.instagram.com/florencehinckel/- Retrouvez tous ses livres sur son site internet : https://florencehinckel.com/tous-les-romans/- Trilogie « Le grand saut », Florence Hinckel : https://rstyle.me/+DaqBYUoEXNAMmBUd8fZsug- Livre « U4 : Yannis », Florence Hinckel : https://rstyle.me/+HuBqhxuZm4TitFnQUnj0Qg- Son dernier livre « L'énigme Edna » : https://rstyle.me/+hq668TrnDt6cUwPi9w-IKg- Film Rose, Aurélie Saada : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=287657.htmlContactez-moi !Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feed-backs (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici : - Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose / et https://www.instagram.com/oserlareconversion - Sur Youtube : @clervierose : https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA - Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
En venant au studio de RTL, Darie Boutboul s'est faite arrêter par la Gendarmerie. Heureusement, les motards ont reconnu l'ancienne Jokey. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
A la Une de la presse, ce mardi 10 décembre, la décision de plusieurs pays européens de suspendre les demandes de réfugiés syriens, après la chute de Bachar el-Assad, alors que l'incertitude plane sur l'avenir de la Syrie et de toute la région. Les tractations pour un nouveau gouvernement en France. Et la question délicate des fêtes de fin d'année au travail.
durée : 00:04:45 - La Revue de presse internationale - par : Mathilde Ansquer - L'Indonésie rejette une proposition d'investissement de 100 millions de dollars venant d'Apple. Cet investissement devait permettre de lever l'interdiction de la vente de l'iPhone 16 dans le pays. - invités : Delphine Allès Professeure de science politique, chercheuse au Centre sur l'Asie du Sud-Est et vice-présidente de l'INALCO
Permettre aux pêcheurs dans des régions reculées du Kenya de garder leurs poissons frais et les connecter aux acheteurs dans la capitale, c'est le pari de Keep IT Cool, une start-up kényane spécialisée dans la vente et la livraison de poissons et de poulets. Sa plateforme, Markiti – « marché » en swahili – connecte l'offre et la demande. Avec un objectif : limiter les pertes pour les pêcheurs et producteurs. De notre correspondante à Nairobi,Keep IT Cool a son entrepôt en bordure de Nairobi. Ce matin-là, des caisses de poissons sont en train d'être déchargées d'un camion. Ce sont des tilapias, en provenance de la rive ougandaise du lac Victoria. Une fois réceptionnés, les poissons suivent un parcours bien précis, sous la supervision de Brenda Abucheli, responsable du contrôle qualité. « Une fois que les poissons sont déchargés, on les pèse, puis on s'occupe de leur préparation, décrit-elle. On commence par l'écaillage, puis on les vide et enfin, on les lave. Une fois que tout ça a été fait, on les trie par taille puis ils sont empaquetés et partent dans notre entrepôt de stockage où ils sont gardés au frais avant la vente. »En plus des tilapias, Keep IT Cool reçoit aussi des perches du Nil du lac Turkana, au nord-ouest du Kenya. La start-up réceptionne en moyenne entre 15 et 20 tonnes de poissons par semaine, et une à deux tonnes de poulets. Ils partent ensuite vers des hôtels, restaurants ou même chez des particuliers de Nairobi. À travers sa plateforme en ligne, Markiti, l'entreprise souhaite mieux connecter l'offre avec la demande. « On commence par analyser la demande, principalement dans les zones urbaines, puis on va voir les pêcheurs et on leur commande exactement ce dont nous avons besoin. Ça permet d'éviter la surpêche et les pertes », explique Francis Nderitu, son directeur. À lire aussi Nutrition : comment conserver les aliments correctement à la maison ?Connecter les petits producteurs aux marchésUne fois que c'est fait, des camions partent récupérer les commandes auprès des pêcheurs organisés en coopératives. « Nous les avons équipées de machines à fabriquer de la glace et de glacières, ce qui permet aux pêcheurs de respecter la chaîne du froid. Ensuite, nous récupérons le poisson et le vendons », poursuit-il.Keep IT Cool est née en 2020. Cette année-là, la pandémie de Covid-19 a perturbé les chaînes logistiques. Venant d'une famille d'agriculteurs, Francis Nderitu dit en avoir vu les conséquences. Les producteurs peinaient à vendre leurs produits : « Dans les régions rurales du Kenya, c'est un véritable problème. Même les “bons jours” les producteurs peuvent perdre jusqu'à 40 % de leurs récoltes, ce qui engendre par conséquence une perte de 40 % de leurs revenus. C'est ce problème que nous tentons de résoudre. En introduisant non seulement un système de réfrigération abordable pour les producteurs, mais aussi en leur donnant accès à des marchés. »La start-up vient de remporter un des prix Earthshot qui récompense chaque année des lauréats pour leurs initiatives dans le secteur de l'environnement. Keep IT Cool a été récompensée pour sa lutte contre le gaspillage et recevra un million de livres sterling. La start-up compte aujourd'hui une centaine d'employés. Elle ambitionne de voir l'offre s'agrandir à d'autres produits et de toucher d'autres marchés de la région.À lire aussi Environnement : deux lauréats africains figurent au palmarès 2024 des prix Earthshot du prince William
Merci Louis ! Pour écouter son épisode pour Histoire de MecsÀ découvrir :
Send Us A Question You Want ON AIR!Episode 201:In this week's episode, I talk to Mental Health Counselor and Editor-in-Chief of Chasing Clarity Magazine, Jojo Venant. We talk about Understanding and embracing the grief of self and Ambiguous grief, grieving a loved one who is still "alive". She also shares stories of people who have had major grief or loss in their lives and what helps and what doesn't. Jojo employs a relational and holistic approach in counseling. With over a decade of bilingual counseling experience, she cultivates a space for clients to feel known, seen and understood. She specializes in diverse areas including meaning and shame, life transitions, relationships, dating and breakups, grief, body image, pre/post bariatric, ACOA, caregivers, Alzheimer's and dementia, depression, anxiety, and healthy coping.Connect with Jojo: https://theclarityhour.net/https://www.instagram.com/theclarityhour/Read Chasing Clarityhttps://issuu.com/youxbespoke/docs/chasing_clarity_-_winter_editionhttps://issuu.com/chasingclaritymagazine/docs/summer2024Episodes and Links mentioned:Forgiveness https://podcasts.apple.com/us/podcast/beauty-marks/id1518278906?i=1000656101499Loss of loved onehttps://podcasts.apple.com/us/podcast/beauty-marks/id1518278906?i=1000586993707Heartbreak do's and don'tshttps://podcasts.apple.com/us/podcast/beauty-marks/id1518278906?i=1000583734092TikTok Link:https://www.tiktok.com/t/ZP88Gf3vr/Thank you BetterHelp for sponsoring today's episode.Get started today with BetterHelp online therapy and enjoy 10% off your first month. Discount code “beautymarkspodcast" will be automatically applied.www.betterhelp.com/beautymarkspodcast She Cultivates Orlando Buy Your Tickets Herewww.shecultivatesorl.comhttps://www.instagram.com/shecultivatesorl/Follow me on social mediahttps://www.instagram.com/elizabethsabby/Send a question or topic to show:https://beautymarkspodcast.com/participateSupport the podcasthttps://www.buzzsprout.com/1132322/supportThis video and audio are created at Hi Hello Labs in Downtown Orlando https://www.hihellolabs.comSupport the showSupport the podcasthttps://www.buzzsprout.com/1132322/supportSubscribe to Beauty Marks podcast and leave a review. Follow me on Instagram https://www.instagram.com/elizabethsabby/For questions, comments or collaborations please email: beautymarkspodcast@gmail.com Our website visit www.beautymarkspodcast.com
Il a toujours existé des imitations des produits de luxe. Mais une nouvelle version de ce type de produits rencontre un succès grandissant. Ces articles, qui nous viennent de Chine, ne sont pas à proprement parler des contrefaçons. En effet, s'ils imitent parfaitement certains produits, ils n'en affichent pas les logos.Venant d'Asie, ces produits portent un nom chinois, "pingti", qui, dans cette langue, veut dire "leurre". Ces produits ont pénétré tous les secteurs, qu'il s'agisse de la maroquinerie, des vêtements ou encore de la parfumerie.Ils sont fabriqués avec beaucoup plus de soin que les contrefaçons bon marché, les matériaux utilisés venant parfois des mêmes fournisseurs que ceux auxquels s'adressent les grandes enseignes du luxe.Aussi ces "pingti" sont-ils beaucoup plus chers que les habituelles contrefaçons, tout en restant moins onéreux que des produits arborant des logos célèbres. Les consommateurs chinois semblent de plus en plus séduits par ces imitations qui paraissent aussi vrais que les originaux. Les réseaux sociaux sont d'ailleurs remplis de témoignages à cet égard.Quant aux plateformes de commerce en ligne, elles proposent de plus en plus ce type d'articles. L'engouement est tel que les grandes marques de luxe commencent à souffrir de cette concurrence.Elle se fait sentir d'ores et déjà sur le marché chinois, où leurs affaires commencent à en pâtir. Les Chinois, et notamment les jeunes, se détournent en effet de produits de luxe longtemps associés à un certain standing social. Touchés par un certain ralentissement économique de leur pays, ils préfèrent acheter, à un prix plus abordable, des produits de très bonne qualité, qui se présentent comme de parfaites reproductions des articles de luxe les plus connus. Ces consommateurs, dont le comportement est donc différent de celui de leurs aînés, se soucient beaucoup moins de l'absence de logos.Il reste à savoir si cette tendance restera cantonnée à la Chine ou s'étendra dans le reste du monde, à commencer par l'Europe. Dans ce dernier cas, les grandes enseignes du luxe, qui, pour l'instant, connaissent une croissance continue, pourraient voir leur chiffre d'affaires baisser. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La music story du jour c'est celle d'Alex Gopher…Alex Gopher dont le nom de scène est évident. La croisière s'amuse en début d'histoire. PuisDavid Bowie, les Stones, New Order… les premiers amours musicaux d'Alex Gopher puisait clairement dans le rock, ou les années new wave. Mais ce natif de Versailles ne pouvait échapper au génie de la lampe qui a décidé de faire de la ville, le QG de la French Touch. Ainsi donc Alex Gopher finira par tomber nez à nez avec les machines et les samplers, par se faire potes avec Air ou avec Etienne de Crécy et très tôt sortiront les premières productions « You, My Baby and I » par exemple ou mieux encore, le mythique « Party People »
La music story du jour c'est celle de Air…Si tous les chemins mènent à Rome, les routes de la French Touch ont leur rond-point, la ville de Versailles ! De groupes de potes en lycées communs, les pionniers du son français ont évolué dans la cité du roi soleil. Ainsi du duo sinon royal du moins mythique Air - incarné par Jean-Benoît Dunckel et Nicolas Godin qui ont très vite bougé de Versailles pour se nourrir du monde, et le bercer de sons iconiques comme « Kelly Watch the stars »
Marceau refait l'info, c'est du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès
Marceau refait l'info, c'est du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès
La music story du jour c'est celle de Michel Gondry…La musique c'est beaucoup de petites et grandes histoires, parfois construits sur des récits un peu inventés. On croit ainsi que le festival de Woodstock s'est tenu à Woodstock mais non c'était à Béthel. On croit que la French Touch est née à Paris mais non, c'est à Versailles qu'elle a surtout émergé. Des talents nombreux, producteurs mais pas que.
Salut, c'est Rudy et je vous souhaite la bienvenue pour ce nouvel épisode des Secrets du sport.Le but de ce podcast est de vous partager ma passion du sport et notamment de découvrir les secrets d'entraînement des champions.Qui sont-ils et que font-ils pour performer au plus haut niveau ?Si vous ne me connaissez pas, je suis Rudy Coia, fondateur du site SuperPhysique.org destiné aux pratiquants de musculation sans dopage que j'ai fondé en septembre 2009.Sur ce site, j'ai écrit des milliers d'articles, des milliers de vidéos et je fais des podcasts depuis plus de 10 ans avec toujours la même ligne de conduite : Trouver des réponses à mes questions.Sur ce site, vous retrouverez une partie de ce que je propose que ce soit en terme de compléments alimentaires destinés à améliorer votre santé, notamment bio, mais aussi une application, SP Training, des livres, des formations ainsi que du coaching à distance.Aujourd'hui, j'ai le plaisir de vous partager ma conversation avec Greg Gothelf alias Greggot.Avec Greg, on se connait depuis plus d'une décennie d'où nos familiarités.Venant de se faire poser une prothèse de hanche à 45 ans, j'avais de nombreuses à lui poser sur la longévité et sur sa manière de voir l'entrainement aujourd'hui.Cela devrait vous fournir des pistes de réflexions,Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La music story du jour c'est celle d'Etienne de Crecy…Imaginez le château de Versailles blindé de monde, la galerie des Glaces frissonne car le concert va commencer. Le Roi vient de s'installer, la cour aussi et les premières notes de musique arrivent. Point de musique classique mais ça.
La music story du jour c'est celle de Phoenix…Rassurez-vous, une seule music story ne parviendra jamais à éponger l'énorme cascade que fut la French Touch, ses artistes, ses talents. Mais si on veut se concentrer sur l'essentiel, alors prenons le chemin d'une bourgade appelée Versailles, qui fut autrefois témoin de 1000 et une fêtes, celles organisées en son château par le Roi Soleil. Versailles ville royale mais l'histoire avec un grand H c'est aussi celle de la French Touch et là où c'est drôle c'est que beaucoup d'artistes sont nés ou venus de Versailles, Air, Alex Gopher ou encore le duo qui nous intéresse aujourd'hui : Phoenix
Salut, c'est Rudy et je vous souhaite la bienvenue pour ce nouvel épisode des Secrets du sport.Le but de ce podcast est de vous partager ma passion du sport et notamment de découvrir les secrets d'entraînement des champions.Qui sont-ils et que font-ils pour performer au plus haut niveau ?Si vous ne me connaissez pas, je suis Rudy Coia, fondateur du site SuperPhysique.org destiné aux pratiquants de musculation sans dopage que j'ai fondé en septembre 2009.Sur ce site, j'ai écrit des milliers d'articles, des milliers de vidéos et je fais des podcasts depuis plus de 10 ans avec toujours la même ligne de conduite : Trouver des réponses à mes questions.Sur ce site, vous retrouverez une partie de ce que je propose que ce soit en terme de compléments alimentaires destinés à améliorer votre santé, notamment bio, mais aussi une application, SP Training, des livres, des formations ainsi que du coaching à distance.Aujourd'hui, j'ai le plaisir de vous partager ma conversation avec Albert Pernet, ancien athlète de haut niveau en canoe et surtout entraineur national pendant de nombreuses années.Après un rapide descriptif de son parcours d'athlète, nous rentrons dans le vif du sujet avec l'arrivée de Kersten Neueman en 1996 et de ses méthodes.Venant de finir le livre "Génération Mund" consacré à l'aviron, les parallèles sont nombreux et très intéressants.Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Trait a rencontré Charlotte Tarbouriech dans son atelier du 11e arrondissement de Paris parmi ses créations et ses outils. C'est une jeune femme de trente ans, blonde et gracile qui nous reçoit. On comprend très vite que derrière ce physique se cache une personnalité très affirmée, un goût certain de l'aventure et de l'intrépidité, une revendication de liberté qui rend compte de son parcours. Fille de « trader » scolarisée un temps (jusqu'à ce qu'on lui demande de partir) chez les jésuites à l'école Franklin (Paris 16e), elle entame un chemin de traverse (au regard des exigences familiales), et rejoint, après avoir effectué un an à l'école Penninghen, le studio Berçot qui a formé beaucoup de designers mais a fermé depuis. Personnalité solaire, très peu adaptée, dit-elle à l'école, elle s'y épanouit totalement (tout en profitant aussi de la vie parisienne...). Elle commence une carrière de consultante en mode (notamment dans le secteur des souliers). Il y a trois ans en plein Covid, elle décide en 2021 avec une amie de longue date, Pauline Leyravaud, de créer la marque POLCHA. Le studio POLCHA explore tous les champs du design : création de mobilier, aménagement intérieur, scénographies, décors, installations. Les créations se veulent à la croisée de l'art et du design avec des œuvres très audacieuses et personnelles, colorées et pop avec un parti pris d'upcycling. On a pu retrouver POLCHA à la Bibliothèque historique de la ville de Paris lors de la dernière Design week, à Art Basel (Miami), la marque est également rentrée au Mobilier national.Trois ans après, nous lui avons demandé d'évoquer avec nous l'expérience de création d'une marque, et s'il est difficile de maintenir ses convictions de départ avec la réalité d'une entreprise.Bonne écoute ! VERBATIM« Je me définis comme un électron libre. Ce qui me caractérise c'est ma liberté mais aussi mon angoisse. Je suis partie à Londres assez vite pour travailler avec Nicolas Kerkwood. Il y avait aussi d'autres noms qui me fascinaient : Peter Pilotto par exemple.- j'adore les usines cela a toujours été ma passion...- POLCHA : Avec Pauline, on s'est dit qu'on devait faire quelque chose dans l'upcycling. J'adore la couleur et les univers graphiques, Pauline, elle, c'est le trompe l'œil, les fresques. On s'est associé.- On travaille sur des meubles qu'on chine. Ce sont des pièces uniques. Le problème que cela nous a posé : il faut remettre chaque meuble en état puis les meubles sont signés et donc on peut se poser la question : à partir de quel moment en transformant un meuble, il peut nous être attribué ...- Nous réfléchissons maintenant au développement. Il nous faut trouver une solution plus viable. On est beaucoup dans l'auto-financement. Venant du milieu de la mode, je n'avais pas forcément les contacts dans le monde du design.- On est très fort sur notre proposition visuelle mais cela peut faire peur...- Polcha : c'est assez intuitif, c'est assez lâché, une démarche axée sur nos envies écologiques mais il faut que ce soit fun, il y a une dynamique et une puissance dans la couleur qui donne envie de faire ...- D'un point de vue esthétique : nous ne sommes pas très français. Notre proposition est peut-être plus adaptée à l'Italie, aux États-Unis. Nous sommes également intéressées par les scènes mexicaine et brésilienne qui font une entrée forte dans le monde du design.https://letraitpodcast.paris/
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui nous sommes le mardi 6 août et nous fêtons la Transfiguration du Seigneur.Debout, à quelques pas du lieu de la prière, après une longue respiration pour me détendre et couper avec ce qui précède, je m'offre au Seigneur tel que je suis. Que son Esprit ouvre mes oreilles et mon cœur pour recevoir cette Parole pour moi... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Louange à toi Jésus transfiguré de André Gouzes interprété par Chœur Saint-Ambroise - Carême - Eveille-toi ! © ADF-Bayard Musique ; L''''Infidèle suite (sarabande) de Sylvius Leopold Weiss interprété par Paul Berget - SL Weiss on 11 Strings © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Charles Consigny et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Send Us A Question You Want ON AIR!Episode 187:In this week's episode, I sit down to talk to Mental Health Counselor and Editor-in-Chief of Chasing Clarity Magazine, Jojo Venant. We talk about signs that are within us that may be toxic traits and how to be more self-aware.She employs a relational and holistic approach in counseling. With over a decade of bilingual counseling experience, she cultivates a space for clients to feel known, seen and understood. She specializes in diverse areas including meaning and shame, life transitions, relationships, dating and breakups, grief, body image, pre/post bariatric, ACOA, caregivers, Alzheimer's and dementia, depression, anxiety, and healthy coping. A graduate of Palm Beach Atlantic University with a master's degree in counseling psychology, JoJo has firsthand experience navigating the complexities of prioritizing emotional well-being. Acknowledging the courage it takes to share vulnerabilities, she offers empathetic support. Beyond her professional roles, JoJo values her roles as a mother, friend, and family member, actively cherishing moments of happiness. Connect with Jojo: https://theclarityhour.net/https://www.instagram.com/theclarityhour/Read Toxic Edition: Chasing Clarityhttps://issuu.com/chasingclaritymagazine/docs/summer2024Thank you BetterHelp for sponsoring today's episode.Get started today with BetterHelp online therapy and enjoy 10% off your first month. Discount code “beautymarkspodcast" will be automatically applied.www.betterhelp.com/beautymarkspodcast She Cultivates Orlando Buy Your Tickets Herewww.shecultivatesorl.comhttps://www.instagram.com/shecultivatesorl/Follow me on social mediahttps://www.instagram.com/elizabethsabby/Send a question or topic to show:https://beautymarkspodcast.com/participateSupport the podcasthttps://www.buzzsprout.com/1132322/supportThis video and audio are created at Hi Hello Labs in Downtown Orlando https://www.hihellolabs.comSupport the Show.Support the podcasthttps://www.buzzsprout.com/1132322/supportSubscribe to Beauty Marks podcast and leave a review. Follow me on Instagram https://www.instagram.com/elizabethsabby/For questions, comments or collaborations please email: beautymarkspodcast@gmail.com Our website visit www.beautymarkspodcast.com
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.
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Quatre jours après le résultat des élections législatives, qui n'a pas permis de dégager la moindre majorité, la situation politique du pays est toujours bloquée. Mercredi 10 juillet, le président de la République a publié une Lettre aux français. Il estime que « personne ne l'a emporté dans les urnes » et appelle à bâtir « des compromis » et un « large rassemblement ». « Il en appelle à tous les républicains pour bâtir un projet pour la France et répondre aux préoccupations des Français. Le résultat de ces élections nous oblige », commente Rachida Dati, sur le plateau des 4 Vérités, jeudi 11 juillet, sur France 2. La ministre de la culture assure que « les Français ne veulent pas qu'on livre la France aux extrêmes », écartant ainsi un gouvernement avec le Rassemblement national et La France insoumise. Venant tout juste de prendre la tête du parti Les Républicains, Laurent Wauquiez a néanmoins exclu toute possibilité de coalition avec le camp présidentiel, mais évoquant toutefois un « pacte législatif ». « Il est nécessaire d'avoir un pacte législatif car nous ne voulons pas que la France soit dirigée par un gouvernement dont les idées sont minoritaires en France », assure la ministre. « Ils sont responsables. (…) Aujourd'hui, la responsabilité c'est qu'il doit les orienter. Les Français ont appelé à un message clair avec cette participation historique. Le président de la République tend la main ». Coalition : comment convaincre les sociaux-démocrates ? A gauche, jusqu'où cette coalition peut-elle aller ? « C'est une dynamique politique, pas une dynamique arithmétique. C'est de la responsabilité. Nous sommes dans un grand moment de gravité. Les uns et les autres souhaitent-ils que la France continue à se réformer et ne soit pas livrée au KO », affirme Rachida Dati. De son côté, Olivier Faure ne souhaite parler qu'avec les forces de gauche. « J'ai fait le choix du rassemblement de la gauche et je n'en bougerai pas », a déclaré, mercredi 10 juillet, le chef de file des socialistes dans l'émission l'Événement sur France 2. « Ca c'est leur responsabilité. Ils se sont alliés avec des extrêmes dangereux pour le pays », répond Rachida Dati. « La majorité des Français ne veut pas de ce programme là. Olivier Faure veut appliquer le programme imaginé par Jean Luc Mélenchon ». A l'issue de ces élections législatives, l'ancienne candidate à la mairie de Paris est claire : « C'est une victoire pour personne. La gauche est à peine à 27%. C'est un bloc minoritaire. Ils ne sont pas homogènes, ils ne sont d'accord sur rien ».
Église réformée baptiste de la Capitale Pasteur Jacques Pelletier
Cent personnalités qui ont dénoncé des violences sexuelles dans une photo-manifeste du mouvement #MeToo, ainsi qu'une tribune demandant une « loi intégrale » : c'est ce qu'ont pu découvrir les lecteurs du Monde dans leur journal daté du 14 mai alors qu'à Cannes était lancé le 77e festival de Cannes, placé sous le signe de la lutte contre ces violences, tant les révélations sur ce milieu se sont succédées.Une initiative de l'actrice Anna Mouglalis, qui s'est associée à Muriel Reus, vice-présidente de #MeTooMedias, et Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes. Toutes trois ont réunis d'anciennes victimes de violences sexuelles et lanceuses d'alerte qui ont contribué à la libération de la parole en France.Venant de tous les horizons et travaillant dans plusieurs secteurs de métiers, ces personnalités, connues et anonymes, incarnent aujourd'hui le mouvement #MeToo et réclament au gouvernement une « loi intégrale » pour lutter contre le phénomène.Jérôme Lefilliâtre est l'un des journalistes qui a participé à la mise en œuvre de cette opération éditoriale. Il nous la raconte dans cet épisode de « L'Heure du Monde ».Un épisode écrit et présenté par Cyrielle Bedu. Réalisation : Amandine Robillard. Suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d'interviews du chef du service photo du Monde Nicolas Jimenez, de la photographe Sonia Sieff et de la journaliste Giulia Foïs.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
Episode 174:In this week's episode, I sit down to talk to Mental Health Counselor and Editor-in-Chief of Chasing Clarity Magazine, Jojo Venant. She employs a relational and holistic approach in counseling. With over a decade of bilingual counseling experience, she cultivates a space for clients to feel known, seen and understood. She specializes in diverse areas including meaning and shame, life transitions, relationships, dating and breakups, grief, body image, pre/post bariatric, ACOA, caregivers, Alzheimer's and dementia, depression, anxiety, and healthy coping. A graduate of Palm Beach Atlantic University with a master's degree in counseling psychology, JoJo has firsthand experience navigating the complexities of prioritizing emotional well-being. Acknowledging the courage it takes to share vulnerabilities, she offers empathetic support. Beyond her professional roles, JoJo values her roles as a mother, friend, and family member, actively cherishing moments of happiness. Connect with Jojo: https://theclarityhour.net/https://www.instagram.com/theclarityhour/https://issuu.com/youxbespoke/docs/chasing_clarity_-_winter_editionThank you BetterHelp for sponsoring today's episode.Get started today with BetterHelp online therapy and enjoy 10% off your first month. Discount code “beautymarkspodcast" will be automatically applied.www.betterhelp.com/beautymarkspodcast She Cultivates Orlando Buy Your Tickets Herewww.shecultivatesorl.comhttps://www.instagram.com/shecultivatesorl/Follow me on social mediahttps://www.instagram.com/elizabethsabby/Send a question or topic to show:https://beautymarkspodcast.com/participateSupport the podcasthttps://www.buzzsprout.com/1132322/supportThis video and audio are created at Hi Hello Labs in Downtown Orlando https://www.hihellolabs.comSupport the showSupport the podcasthttps://www.buzzsprout.com/1132322/supportSubscribe to Beauty Marks podcast and leave a review. Follow me on Instagram https://www.instagram.com/elizabethsabby/For questions, comments or collaborations please email: beautymarkspodcast@gmail.com Our website visit www.beautymarkspodcast.com
Episode 170:In this week's episode, I sit down to talk to Mental Health Counselor and Editor-in-Chief of Chasing Clarity Magazine, Jojo Venant. She employs a relational and holistic approach in counseling. With over a decade of bilingual counseling experience, she cultivates a space for clients to feel known, seen and understood. She specializes in diverse areas including meaning and shame, life transitions, relationships, dating and breakups, grief, body image, pre/post bariatric, ACOA, caregivers, Alzheimer's and dementia, depression, anxiety, and healthy coping. A graduate of Palm Beach Atlantic University with a master's degree in counseling psychology, JoJo has firsthand experience navigating the complexities of prioritizing emotional well-being. Acknowledging the courage it takes to share vulnerabilities, she offers empathetic support. Beyond her professional roles, JoJo values her roles as a mother, friend, and family member, actively cherishing moments of happiness. Connect with Jojo: https://theclarityhour.net/https://www.instagram.com/theclarityhour/https://issuu.com/youxbespoke/docs/chasing_clarity_-_winter_editionThank you BetterHelp for sponsoring today's episode.Get started today with BetterHelp online therapy and enjoy 10% off your first month. Discount code “beautymarkspodcast" will be automatically applied.www.betterhelp.com/beautymarkspodcast She Cultivates Orlando Buy Your Tickets Herewww.shecultivatesorl.comhttps://www.instagram.com/shecultivatesorl/Follow me on social mediahttps://www.instagram.com/elizabethsabby/Send a question or topic to show:https://beautymarkspodcast.com/participateSupport the podcasthttps://www.buzzsprout.com/1132322/supportThis video and audio are created at Hi Hello Labs in Downtown Orlando https://www.hihellolabs.comSupport the showSupport the podcasthttps://www.buzzsprout.com/1132322/supportSubscribe to Beauty Marks podcast and leave a review. Follow me on Instagram https://www.instagram.com/elizabethsabby/For questions, comments or collaborations please email: beautymarkspodcast@gmail.com Our website visit www.beautymarkspodcast.com
Rien ne laisse la science indifférente, pas même nos relations sentimentales. En effet, des chercheurs britanniques ont voulu savoir si les hommes et les femmes tombaient plusieurs fois amoureux au cours de leur vie. Pour le savoir, ils ont réuni 3.000 volontaires et leur ont soumis des questionnaires. Après les avoir examinés, ils ont rendu leur verdict. Et la réponse de la science est étonnamment précise. D'après elle, un être humain se mettrait en couple avec un autre partenaire cinq fois dans sa vie. Mais la relation avec l'être aimé ne serait pas la même à chaque fois. En effet, il ne tomberait vraiment amoureux que trois fois. Mais la capacité de la science à s'immiscer dans les replis du cœur humain n'a pas fini de nous surprendre. Elle n'est pas seulement capable d'indiquer le nombre de fois où, à l'en croire, chacun de nous trombe amoureux. Elle peut également préciser le caractère spécifique de chacun de ces coups de foudre. Car ils n'auraient pas la même signification. Chacun d'eux serait comme une étape nécessaire de notre cheminement sentimental. Cupidon frapperait une première fois au moment de l'adolescence. Ce serait alors le grand amour, pur et idéaliste, un peu comme celui qui, dans les contes de fées, unit le prince charmant à la belle princesse. Un amour qui se fracasserait au dur contact de la réalité. Le second épisode amoureux serait moins romantique. Venant après une déception sentimentale, il permettrait surtout de meubler un vide existentiel. Il s'agirait d'une relation moins idyllique, dans la mesure où les partenaires se rendraient compte assez vite qu'ils se sont dupés sur la réalité de leurs sentiments. Des histoires qui, malgré l'échec final, ne seraient pas vaines. Elles permettraient d'acquérir l'expérience nécessaire à l'apparition d'un véritable équilibre sentimental. Dès lors, le dernier épisode amoureux pourrait se mettre en place, plus durable celui-là. Mûris par les expériences précédentes, les amoureux seraient alors capables de nouer un pacte, sinon pour la vie, du moins pour une longue période. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Rien ne laisse la science indifférente, pas même nos relations sentimentales. En effet, des chercheurs britanniques ont voulu savoir si les hommes et les femmes tombaient plusieurs fois amoureux au cours de leur vie.Pour le savoir, ils ont réuni 3.000 volontaires et leur ont soumis des questionnaires. Après les avoir examinés, ils ont rendu leur verdict. Et la réponse de la science est étonnamment précise.D'après elle, un être humain se mettrait en couple avec un autre partenaire cinq fois dans sa vie. Mais la relation avec l'être aimé ne serait pas la même à chaque fois. En effet, il ne tomberait vraiment amoureux que trois fois.Mais la capacité de la science à s'immiscer dans les replis du cœur humain n'a pas fini de nous surprendre. Elle n'est pas seulement capable d'indiquer le nombre de fois où, à l'en croire, chacun de nous trombe amoureux.Elle peut également préciser le caractère spécifique de chacun de ces coups de foudre. Car ils n'auraient pas la même signification. Chacun d'eux serait comme une étape nécessaire de notre cheminement sentimental.Cupidon frapperait une première fois au moment de l'adolescence. Ce serait alors le grand amour, pur et idéaliste, un peu comme celui qui, dans les contes de fées, unit le prince charmant à la belle princesse. Un amour qui se fracasserait au dur contact de la réalité.Le second épisode amoureux serait moins romantique. Venant après une déception sentimentale, il permettrait surtout de meubler un vide existentiel. Il s'agirait d'une relation moins idyllique, dans la mesure où les partenaires se rendraient compte assez vite qu'ils se sont dupés sur la réalité de leurs sentiments.Des histoires qui, malgré l'échec final, ne seraient pas vaines. Elles permettraient d'acquérir l'expérience nécessaire à l'apparition d'un véritable équilibre sentimental. Dès lors, le dernier épisode amoureux pourrait se mettre en place, plus durable celui-là. Mûris par les expériences précédentes, les amoureux seraient alors capables de nouer un pacte, sinon pour la vie, du moins pour une longue période. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La mort est le résultat d'un processus complexe. Il est difficile, aujourd'hui encore, de préciser à quel instant précis elle survient. L'arrêt de l'activité cérébrale paraissait, à cet égard, un indice sûr de cette interruption définitive de la vie.Or, les scientifiques viennent de faire une découverte qui remet en cause cette notion de mort cérébrale. En étudiant le cerveau privé d'oxygénation d'un patient déclaré, de ce fait, en mort cérébrale, ils ont décelé la présence d'une onde de grande ampleur.Elle se manifeste peu après le très net ralentissement de l'activité électrique du cerveau, qui correspond à ce que les médecins nomment un "encéphalogramme plat". Venant des profondeurs du cortex, cette onde mystérieuse a été baptisée l'"onde de la mort".Cette découverte est d'importance, car elle montre qu'un patient en mort cérébrale n'est pas perdu pour autant. Si la réanimation est pratiquée assez rapidement, une onde "miroir" succéderait à l'"onde de la mort".Appelée l'"onde de réanimation" par les médecins, elle marquerait le retour de l'activité électrique dans le cerveau et la récupération progressive des fonctions vitales.Ainsi, le repérage de cette onde de réanimation permettrait d'anticiper, chez des patients en mort cérébrale apparente, la restauration rapide de certaines fonctions cérébrales.Une découverte qui ouvre en tous ces des perspectives, aussi bien pour l'amélioration des techniques de réanimation que pour la mise au point de traitements visant à préserver les fonctions cérébrales essentielles.Pour autant, la mise en évidence de cette "onde de la mort" ne permet toujours pas de repérer l'instant précis où le patient entre dans la mort sans pouvoir en revenir. Le processus qui conduit un homme de la vie à la mort s'en trouve donc encore complexifié.Par ailleurs, l'irruption de cette onde, dans un cerveau à l'arrêt, pourrait permettre de mieux comprendre ces expériences de mort imminente vécues par des personnes en état de mort cérébrale qu'on a réussi à réanimer. Surtout si on y ajoute la recrudescence de l'activité électrique qui marque les instants précédant la mort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La mort est le résultat d'un processus complexe. Il est difficile, aujourd'hui encore, de préciser à quel instant précis elle survient. L'arrêt de l'activité cérébrale paraissait, à cet égard, un indice sûr de cette interruption définitive de la vie. Or, les scientifiques viennent de faire une découverte qui remet en cause cette notion de mort cérébrale. En étudiant le cerveau privé d'oxygénation d'un patient déclaré, de ce fait, en mort cérébrale, ils ont décelé la présence d'une onde de grande ampleur. Elle se manifeste peu après le très net ralentissement de l'activité électrique du cerveau, qui correspond à ce que les médecins nomment un "encéphalogramme plat". Venant des profondeurs du cortex, cette onde mystérieuse a été baptisée l'"onde de la mort". Cette découverte est d'importance, car elle montre qu'un patient en mort cérébrale n'est pas perdu pour autant. Si la réanimation est pratiquée assez rapidement, une onde "miroir" succéderait à l'"onde de la mort". Appelée l'"onde de réanimation" par les médecins, elle marquerait le retour de l'activité électrique dans le cerveau et la récupération progressive des fonctions vitales. Ainsi, le repérage de cette onde de réanimation permettrait d'anticiper, chez des patients en mort cérébrale apparente, la restauration rapide de certaines fonctions cérébrales. Une découverte qui ouvre en tous ces des perspectives, aussi bien pour l'amélioration des techniques de réanimation que pour la mise au point de traitements visant à préserver les fonctions cérébrales essentielles. Pour autant, la mise en évidence de cette "onde de la mort" ne permet toujours pas de repérer l'instant précis où le patient entre dans la mort sans pouvoir en revenir. Le processus qui conduit un homme de la vie à la mort s'en trouve donc encore complexifié. Par ailleurs, l'irruption de cette onde, dans un cerveau à l'arrêt, pourrait permettre de mieux comprendre ces expériences de mort imminente vécues par des personnes en état de mort cérébrale qu'on a réussi à réanimer. Surtout si on y ajoute la recrudescence de l'activité électrique qui marque les instants précédant la mort. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les Juifs ne forment pas un peuple monolithique. Ils sont en effet divisés en deux groupes principaux, les Ashkénazes et les Séfarades.Ce qui distingue d'abord ces deux familles, ce sont leurs origines géographiques. Venant du nom de celui d'un patriarche biblique, Ashkenaz, le terme "Ashkénaze" se réfère à l'Allemagne dans la littérature rabbinique.Par extension, il en est venu à désigner non seulement les Juifs vivant en Allemagne, mais aussi tous ceux qui se sont installés en Europe du Nord et de l'Est.De son côté, le terme "Séfarade", tiré d'un verset de la Bible, s'applique d'abord aux Juifs installés en Espagne, au Ier siècle de notre ère, puis, après leur expulsion de la péninsule ibérique, à la fin du XVe siècle, à ceux qui émigrent notamment vers le continent américain et l'Afrique du Nord.Ashkénazes et Séfarades diffèrent encore dans d'autres domaines. À commencer par celui de la langue. En effet, les Juifs Ashkénazes parlaient plutôt le yiddish, un mélange d'allemand et de langues slaves.L'idiome des Séfarades était plutôt le judéo-arabe, une forme de dialecte arabe adopté par cette famille de Juifs. Ces langues n'étant presque plus parlées aujourd'hui, ces différences linguistiques se sont estompées.D'autres différences tiennent aux pratiques cultuelles. Si les grands principes de la religion hébraïque sont communs aux deux groupes, Ashkénazes et Séfarades n'ont pas fait les mêmes choix en matière de littérature sacrée.En effet, les premiers étudient plutôt le Talmud de Jérusalem, alors que les seconds préfèrent le Talmud de Babylone. Rappelons que ces livres religieux contiennent les enseignements et les préceptes des rabbins les plus éminents.Des nuances existent également en matière de culture. En effet, les traditions musicales des Séfarades s'inspirent surtout de l'Espagne, alors que la musique ashkénaze, avec notamment le "klezmer", un style instrumental caractéristique, dérive plutôt des rythmes du Moyen-Orient.Enfin, la cuisine séfarade privilégie les produits de la mer, comme le poisson frit, alors que les Ashkénazes aiment déguster des mets plus consistants, comme le ragoût de bœuf ou la carpe farcie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Juifs ne forment pas un peuple monolithique. Ils sont en effet divisés en deux groupes principaux, les Ashkénazes et les Séfarades. Ce qui distingue d'abord ces deux familles, ce sont leurs origines géographiques. Venant du nom de celui d'un patriarche biblique, Ashkenaz, le terme "Ashkénaze" se réfère à l'Allemagne dans la littérature rabbinique. Par extension, il en est venu à désigner non seulement les Juifs vivant en Allemagne, mais aussi tous ceux qui se sont installés en Europe du Nord et de l'Est. De son côté, le terme "Séfarade", tiré d'un verset de la Bible, s'applique d'abord aux Juifs installés en Espagne, au Ier siècle de notre ère, puis, après leur expulsion de la péninsule ibérique, à la fin du XVe siècle, à ceux qui émigrent notamment vers le continent américain et l'Afrique du Nord. Ashkénazes et Séfarades diffèrent encore dans d'autres domaines. À commencer par celui de la langue. En effet, les Juifs Ashkénazes parlaient plutôt le yiddish, un mélange d'allemand et de langues slaves. L'idiome des Séfarades était plutôt le judéo-arabe, une forme de dialecte arabe adopté par cette famille de Juifs. Ces langues n'étant presque plus parlées aujourd'hui, ces différences linguistiques se sont estompées. D'autres différences tiennent aux pratiques cultuelles. Si les grands principes de la religion hébraïque sont communs aux deux groupes, Ashkénazes et Séfarades n'ont pas fait les mêmes choix en matière de littérature sacrée. En effet, les premiers étudient plutôt le Talmud de Jérusalem, alors que les seconds préfèrent le Talmud de Babylone. Rappelons que ces livres religieux contiennent les enseignements et les préceptes des rabbins les plus éminents. Des nuances existent également en matière de culture. En effet, les traditions musicales des Séfarades s'inspirent surtout de l'Espagne, alors que la musique ashkénaze, avec notamment le "klezmer", un style instrumental caractéristique, dérive plutôt des rythmes du Moyen-Orient. Enfin, la cuisine séfarade privilégie les produits de la mer, comme le poisson frit, alors que les Ashkénazes aiment déguster des mets plus consistants, comme le ragoût de bœuf ou la carpe farcie. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Téléchargez la fiche du cours : https://www.anglaiscours.fr/les-mots-anglais-venant-du-francais-landing-page?utm_source=podcast&utm_medium=social&utm_campaign=les_mots_anglais_venant_du_fran%C3%A7ais Hello everyone. On considère généralement que la langue anglaise est issue des langues germaniques, mais plus de la moitié de ses mots proviennent de la langue française. Dans cette leçon, Sandra nous présente quelques exemples de mots anglais qui viennent en fait de la langue française. AnglaisCours Club est une méthode en ligne, animée par une petite équipe de professeurs enthousiastes, qui vous propose des formations en ligne conviviales et simples d'accès. Si vous souhaitez apprendre l'anglais cette année, rejoignez-nous sur l'Espace Membres AnglaisCours Club et accédez à toutes nos formations : https://www.anglaiscours.fr/commencer Accédez à un test de niveau : https://www.anglaiscours.fr/test-de-niveau-anglais.html Téléchargez 150 phrases utiles pour bien communiquer en anglais : https://www.anglaiscours.fr/150phrases Accédez à notre site de cours d'anglais : https://www.anglaiscours.fr/ Accédez à notre catalogue formations en ligne : https://www.anglaiscours.fr/formations #apprendrelanglais #anglais #coursdanglais #learnenglish #english #speakenglish
Salut, c'est Rudy et je vous souhaite la bienvenue pour ce nouvel épisode des Secrets du sport.Le but de ce podcast est de vous partager ma passion du sport et notamment de découvrir les secrets d'entraînement des champions.Qui sont-ils et que font-ils pour performer au plus haut niveau ?Si vous ne me connaissez pas, je suis Rudy Coia, fondateur du site SuperPhysique.org destiné aux pratiquants de musculation sans dopage que j'ai fondé en septembre 2009.Sur ce site, j'ai écrit des milliers d'articles, des milliers de vidéos et je fais des podcasts depuis plus de 10 ans avec toujours la même ligne de conduite : Trouver des réponses à mes questions.Sur ce site, vous retrouverez une partie de ce que je propose que ce soit en terme de compléments alimentaires destinés à améliorer votre santé, notamment bio, mais aussi une application, SP Training, des livres, des formations ainsi que du coaching à distance.Aujourd'hui, j'ai le plaisir de vous partager ma conversation avec Quilian Koch, membre de l'équipe de France de Kayak de course en ligne.Venant de rater de peu sa qualification en équipage pour les Jeux Olympique de Paris, on est revenu sur son parcours, sa planification d'entrainement aussi bien sur l'eau qu'en dehors, ce qu'il met en place pour performer au plus haut niveau ainsi que les difficultés à vivre d'un sport non-professionnel.Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Olivier Bas est une de mes belles rencontres du podcast. Olivier est pour moi un mentor. Venant du monde de la communication je l'ai découvert lors de la parution de son premier livre "L'envie, une stratégie", ouvrage pour lequel j'ai eu un gros coup de coeur : tellement d'intelligence, d'humour et de bons mots réunis. J'ai eu la chance de le rencontrer et l'interviewer pour le podcast une 1ère fois à l'occasion de la parution de son 2ème livre : Like ton job. Puis une 2ème fois à l'occasion de la sortie de son 3ème livre "Connard malgré nous. Comment rester intelligents face à la manipulation de nos émotions ?". Un titre génial, un livre d'utilité publique que j'ai adoré et beaucoup offert, m'attirant au départ des regards noirs... Son analyse de la société et de ce qui se joue en entreprise m'a toujours bluffée. Et pourtant je suis inspirée au quotidien par nombre de pionniers. Cet automne il me révélait autour d'un café le titre de son prochain ouvrage "La has been compagnie". En attendant de la découvrir et de le retrouver ici, je vous propose donc de réécouter nos deux échanges et de me dire ce que vous en pensez. ______________________________________________________________________________________________________________________________ A l'occasion des 5 ans du podcast j'ai choisi de re diffuser les épisodes qui m'ont le plus marquée, émue, touchée... Je les rediffuse le jeudi et le mercredi je vous dévoile un peu des coulisses de chacune de ces rencontres. Je vous propose également une mise en bouche avec les phrases clés. Celles qui entendues parfois il y a 5 ans résonnent encore aujourd'hui. Pour ne rien manquer des évènements à venir et en apprendre plus encore sur les coulisses du podcast : mes réflexions, mes questionnements, mes meilleurs pratiques, mes sources d'inspirations... Inscrivez-vous à la newsletter "Les coulisses de l'Entreprise de demain" : https://lentreprisededemain.fr/la-newsletter/
Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #87 Oser La Reconversion est le podcast dédié aux reconversions professionnelles à quelque stade qu'elles en soient. ***Pour la rentrée de Septembre 2023, envoyez votre candidature dès maintenant et ce jusqu'à fin avril pour devenir aide-soignant dans la région Grand-Est https://bit.ly/3mWiUMq *** Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Alexandre. Après avoir travaillé en tant que prof d'anglais dans un collège pendant 6 ans, Alexandre a ouvert deux friperies à Paris, Tucked and Untucked. Doué en anglais, Alexandre se dirige vers le métier de prof d'anglais. Venant d'un milieu peu favorisé, il recherche la stabilité et l'ascension sociale que le métier de professeur représente. Il donne cours aux élèves de 3ème. Mais Alexandre se rend rapidement compte que ce métier finalement mal payé pour l'investissement demandé ne lui apporte pas la sécurité financière qu'il recherchait. Après 6 ans, c'est finalement au moment du covid et cette pause forcée qu'il a le déclic pour se reconvertir. C'est également la rencontre avec son conjoint Geoffrey, fashion designer, qui lui donne le courage de se diriger vers sa passion depuis toujours, la seconde-main. Passionné de vintage et de mode, Alexandre aime chercher des trésors depuis tout petit. D'abord par nécessité financière puis par passion. Aujourd'hui, Alexandre a ouvert deux fripperies Untucked et Tucked à Paris, au 94 boulevard Poniatowski et 80 rue Claude Decaen dans le 12eme arrondissement, avec une sélection à 5 et 18 euros et également des pièces de luxe entre 45 euros et 120 euros, et des créations upcycling créées par son fiancé Geoffrey. Avec Alexandre, on a évoqué sa carrière de prof d'anglais, son passage par la case stand-up, sa passion pour la seconde-main, comment il a réussi à ouvrir deux friperies après avoir fait des showrooms, son investissement pour la cause LGBTQIA+, comment il travaille avec son fiancé et sa volonté de proposer du luxe à prix très accessible. Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/ Rejoignez le groupe privé Facebook du podcast pour prolonger la discussion : https://www.facebook.com/groups/1080461892356152/?ref=share Notes & Références : - Instagram de Untucked @untucked.friperie: https://www.instagram.com/untucked.friperie/ - Instagram de Tucked @tucked.friperie : https://www.instagram.com/tucked.friperie/ - Instagram perso de Alexandre @alexflurr : https://www.instagram.com/alexflurr/ Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feed-backs (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas. Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici : - Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose / et https://www.instagram.com/oserlareconversion - Sur Youtube : @clervierose : https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA - Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
L'Australie a décidé de rétablir les tests de Covid 19 pour les voyageurs en provenance de Chine. La mesure, qui inclut aussi les régions administratives de Hong Kong et Macau, entre en vigueur dès ce jeudi 5 janvier. En cause, selon les autorités australiennes, un «manque d'informations complètes» de la part de Pékin sur la vague de contaminations dans le pays.
durée : 00:20:59 - Journal de 12h30 - L'abandon soudain de la politique du "zéro Covid" en Chine, dans un contexte de flambée des cas de contamination, suscite déjà l'inquiétude à l'étranger. - invités : Christophe Pébarthe Maître de conférences en histoire ancienne à l'Université de Bordeaux 3.
Nous sommes le Ier mai 1851, à Londres. Jour de l'ouverture officielle de la « Great Exhibition of the Works of Industry of all Nations (littéralement « La grande exposition universelle des travaux de l'industrie de toutes les nations »). Il s'agit, en fait, de la première des Expositions universelles. L'événement a lieu à Hyde Park, au sein du Crystal Palace, cette immense bâtisse formée de 400 tonnes de verre et 4 000 tonnes de métal. Une prouesse technique que l'on doit à l'audacieux Joseph Paxton, architecte et jardinier-paysagiste, spécialiste des serres. L'idée de cette gigantesque expo, on la doit au fonctionnaire Henry Cole, très actif dans le domaine des innovations en matière de commerce et d'éducation. Il s'agit donc de réunir, dans un lieu unique, les productions artisanales et industrielles du monde entier mais, surtout, de faire la démonstration éclatante de la puissance britannique à l'époque victorienne. Le succès est au rendez-vous avec ses six millions de visiteurs. Visiteurs pouvant se permettre de débourser un shilling pour le billet d'entrée. En 1851, William Morris a 17 ans, un caractère bien trempé et curieux de tout. Venant d'un milieu plutôt aisé, il pourrait se permettre la dépense, et pourtant, alors qu'il est en visite dans la capitale, il refuse de se rendre au Crystal Palace : the place to be ! Notre jeune homme, en effet, estime qu'il n'y trouvera que des horreurs : des produits manufacturés industriellement, des copies médiocres fabriqués avec la sueur des ouvriers au plus grand profit des bourgeois se vautrant dans le mauvais goût… Mais qui est ce jeune blanc bec si sûr de lui ? Il s'appelle William Morris et il s'apprête à marquer, de son empreinte, rien moins que l'Arts and Crafts, l'Art nouveau et le design du XXe siècle. C'est un visionnaire qui va brasser les différentes expressions artistiques : peinture, architecture, déco, littérature, le tout dans un souci constant, et politique, de mettre la beauté à portée de tous. Ça fait envie ! Allons donc coller aux basques de William Morris… Invitée : Anne Hustache, historienne de l'Art.
Depuis 2020, à Marseille, l'organisation Médecins sans frontières (MSF) a installé une maison dont le but est d'aider celles et ceux qu'on appelle les "mineur·es non accompagné·es". Venant principalement d'Afrique de l'Ouest, iels sont perdu·es face à un système juridique et administratif français complexe.À cela s'ajoute la dureté des voyages, la précarité, le rejet, et la politique de non accueil qu'iels subissent. Résultat, bien souvent leur santé mentale s'en trouve dégradée. Grâce à MSF, et à d'autres acteurs associatifs de terrain, se mettent en place des relais qui les aident peu à peu à vivre mieux.Un reportage d'Anne-Sophie Le Bon à Marseille, réalisé par Quentin Bresson, en partenariat avec MSF.CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en mai 2022. Réalisation : Quentin Bresson. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Depuis 2020, à Marseille, l'organisation Médecins sans frontières (MSF) a installé une maison dont le but est d'aider celles et ceux qu'on appelle les "mineur·es non accompagné·es". Venant principalement d'Afrique de l'Ouest, iels sont perdu·es face à un système juridique et administratif français complexe.À cela s'ajoute la dureté des voyages, la précarité, le rejet, et la politique de non accueil qu'iels subissent. Résultat, bien souvent leur santé mentale s'en trouve dégradée. Grâce à MSF, et à d'autres acteurs associatifs de terrain, se mettent en place des relais qui les aident peu à peu à vivre mieux.Un reportage d'Anne-Sophie Le Bon à Marseille, réalisé par Quentin Bresson, en partenariat avec MSF.CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en mai 2022. Réalisation : Quentin Bresson. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Depuis 2020, à Marseille, l'organisation Médecins sans frontières (MSF) a installé une maison dont le but est d'aider celles et ceux qu'on appelle les "mineur·es non accompagné·es". Venant principalement d'Afrique de l'Ouest, iels sont perdu·es face à un système juridique et administratif français complexe.À cela s'ajoute la dureté des voyages, la précarité, le rejet, et la politique de non accueil qu'iels subissent. Résultat, bien souvent leur santé mentale s'en trouve dégradée. Grâce à MSF, et à d'autres acteurs associatifs de terrain, se mettent en place des relais qui les aident peu à peu à vivre mieux.Un reportage d'Anne-Sophie Le Bon à Marseille, réalisé par Quentin Bresson, en partenariat avec MSF.CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en mai 2022. Réalisation : Quentin Bresson. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).