Podcasts about concernant

  • 409PODCASTS
  • 958EPISODES
  • 23mAVG DURATION
  • 5WEEKLY NEW EPISODES
  • Mar 6, 2023LATEST

POPULARITY

20152016201720182019202020212022

Categories



Best podcasts about concernant

Latest podcast episodes about concernant

Les Grandes Gueules
À vous de choisir : Policiers et gendarmes incompétents concernant les féminicides ? - 06/03

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Mar 6, 2023 16:59


Chaque jour, les auditeurs des GG appellent pour débattre sur un sujet d'actualité en présentant leur plaidoyer. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.

Le sept neuf
Aurélien Pradié : "J'assume totalement de payer parfois le prix d'un peu de liberté"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Feb 28, 2023 24:48


durée : 00:24:48 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Aurélien Pradié, député LR du Lot, a été évincé du poste de numéro 2 des Républicains. "Ce qui se passe me pousse à reprendre un peu de ma liberté", déclare-t-il. Concernant la réforme des retraites, il assure que si le gouvernement "bouge sur les carrières longues", il "bougera sur le vote final".

Forum - La 1ere
Grand débat – Les entreprises agro-alimentaires en font-elles assez concernant le sucre?

Forum - La 1ere

Play Episode Listen Later Feb 17, 2023 21:36


Débat entre Sylvie Borloz, diététicienne au CHUV, Laurence Fehlmann Rielle, conseillère national PS genevoise et Josef Meyer, président de l'Association suisse des producteurs de sucre.

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – PAP NDIAYE – 15/02/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 15, 2023 12:20


PAP NDIAYE : UNE AUGMENTATION POUR LES PROFS ? PAP NDIAYE Ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse Cela ne devait plus faire partie de la nouvelle « méthode Pap », mais pour cette fois, le ministère de l'éducation nationale aura devancé les négociations syndicales dans les médias. Jeudi 2 février, le ministre Pap Ndiaye a annoncé que les missions supplémentaires qui doivent permettre aux enseignants d'améliorer leurs rémunérations dans le cadre du « nouveau pacte » voulu par le président de la République, Emmanuel Macron, représenteraient « un volume horaire d'environ soixante-douze heures en plus »par an. Concernant les inégalités scolaires, la France est un des pays de l'OCDE les plus reproducteurs de l'inégalité sociale. Les prestigieuses grandes écoles recrutent prioritairement les enfants des classes aisées (qui représentent 64 % des effectifs) plutôt que ceux des classes modestes (qui ne constituent que 9 % des étudiants). Le ministre de l'Éducation nationale reviendra sur ses 2 gros chantiers : la revalorisation des enseignants et la mixité sociale a l'école.

Si Maman M'avait Dit
Si Maman M'avait Dit - Soum

Si Maman M'avait Dit

Play Episode Listen Later Feb 12, 2023 34:44


Soum est une jeune voyageuse de 29ans, vivant entre Dakar et Paris. Elle travaille dans le Design 3D et est rédactrice pour le journal Diarravegetal. Avec Diane Audrey, elles parlent du rejet, du sentiment de ne pas se sentir aimer et du fait d'aussi d'assumer sa personnalité. Les mots de Diane Audrey : J'ai rencontré pour la premiere fois Soum dans un ascenseur à Douala. Deux jours plus tard, nous nous sommes croisées à un talk qui mettant en avant un peintre américain d'origine camerounaise : Ludovic Nkoth. A la fin, nous avons pris plaisir à échanger et puis elle m'a dit écouter le podcast depuis la saison 3. Je lui ai proposé d'y participer et c'est ainsi qu'une semaine plus tard, nous enregistrions cet épisode. Plus jeune, elle pensait que sa mère ne l'aimait pas. Elle se sentait rejetée car différentes des autres. Entre temps, les choses ont beaucoup évolué ainsi que sa perception des choses. Lorsque durant des années, on peine à trouver sa place, ceci peut avoir un impact dans sa vie sentimentale ou tout simplement dans la société. Trouver sa place dans un groupe en général se fait de manière naturelle. Il faut que chacun d'entre nous communique et s'exprime librement. Il faut savoir venir en aide et demander de l'aide. Il faut respecter chaque membre du groupe, savoir remercier, se fâcher, etc. Quand on est enfant, on peut attendre de nos parents un petit coup de pouce mais comme j'ai souvent le rappeler, nos parents n'ont pas toujours toutes les armes. Le risque quand on se sent rejeté, c'est de perdre en estime de soi. Cela se caractérise par des comportements de retrait et d'isolement sociaux associés à la peur du jugement des autres. Les personnes en déficit d'estime de soi ont tendance à prendre physiquement le moins de place possible, à se taire et à tenir des postures d'humilité. Soum aborde plusieurs pistes dans ce podcast. Concernant le rejet, je vous invite à lire cet article qui me semble être pertinent. Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ce deuxieme épisode de la saison 4 vous a plu. Il a été rendu grace au soutien de Spotify et l'agence OMENKART. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT. Afin d'accompagner la production, vous êtes invités à nous soutenir sur Tipee : https://fr.tipeee.com/si-maman-mavait-dit D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi 23 février 2023.

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – GILLES BABINET – 08/02/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 8, 2023 11:01


LA RÉVOLUTION CHATGPT, LES ROBOTS AU POUVOIR ? GILLES BABINET Coprésident du Conseil national du numérique Un bras de fer médiatique a débuté cette semaine entre Microsoft et Google. En moins de vingt-quatre heures, deux des plus grands groupes tech au monde vont organiser des conférences de presse visant à dévoiler de nouvelles fonctionnalités nourries par les progrès de l'intelligence artificielle (IA). Le succès mondial de ChatGPT, cette intelligence artificielle polyglotte capable de générer du texte semblant écrit par un humain, est venu relancer la rivalité entre ces géants. Après une première conférence qui a lieu mardi matin à Seattle, au siège de Microsoft, c'est aujourd'hui au tour de Google d'organiser depuis Paris sa propre conférence, qui sera retransmise mondialement sur YouTube. "Nous réinventons la façon dont les gens recherchent, explorent et interagissent avec l'information, en rendant plus naturelle et plus intuitive que jamais la recherche de ce dont vous avez besoin", indique le descriptif de l'événement. L'intelligence artificielle suscite des fantasmes. ChatGPT, par exemple, a été créé par OpenAI et mis en ligne fin novembre. Cette application se présente comme un programme de chat avec une intelligence artificielle capable de répondre à vos requêtes et donne l'impression de converser avec un humain. En quelques secondes, le logiciel formule des paragraphes argumentés sur n'importe quel sujet, sans fautes et dans huit langues différentes. Pour autant, l'intelligence artificielle suscite également des inquiétudes. Concernant la médecine, elle pose des questions éthiques. Pour le Professeur Jean-Emmanuel Bibault, chercheur Inserm en intelligence artificielle appliquée à la médecine, les données en médecine étant "très sensibles", il estime qu'il faut trouver un "équilibre entre trop protéger ces données mais freiner l'innovation ou alors de ne pas assez les protéger, libérer l'innovation mais au prix de la vie privée". Aussi, depuis sa mise en service le 30 novembre 2022, le logiciel ChatGPT a ouvert de nouvelles voies de triche pour les étudiants du monde entier. À l'université de Lyon, début janvier, la moitié d'une promotion de quatorze élèves ont rendu des dissertations rédigées par ChatGPT. Gilles Babinet, coprésident du Conseil national du numérique, affirme dans une tribune pour les Échos que ChatGPT est “un défi lancé à l'Europe”. Il reviendra sur les nouvelles fonctionnalités des géants Google et Microsoft nourries par les progrès de l'intelligence artificielle.

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – GÉRALD BRONNER – 06/02/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 6, 2023 11:16


ASCENSION SOCIALE : QUI Y CROIT ENCORE ? GÉRALD BRONNER Sociologue Auteur de « Les origines : pourquoi devient-on qui l'on est ? » Gérald Bronner est sociologue, professeur de sociologie à l'Université Paris Diderot - Paris VII. Il publie “Les origines : pourquoi devient-on qui l'on est ?” aux éditions Autrement. Son livre commence avec cette phrase : “Longtemps, je n'ai pas su de quel milieu je venais”. Gérald Bronner mêle sociologie et parcours personnel et interroge les récits que nous construisons tous pour répondre à la question de nos origines. Dans son livre, il s'interroge particulièrement sur ceux qu'on appelle les “transclasses”, ces personnes qui passent d'une classe sociale à une autre, dont il fait lui-même partie. Il déplore qu'aujourd'hui le récit dominant des transclasses qui se sont élevées socialement est d'entretenir ce qu'il appelle une forme de dolorisme : l'exhibition de la souffrance, de la honte. Selon lui, “quand on lit ces romans, on a l'impression d'un monde infiniment triste. Or dans les catégories populaires il y a aussi de la joie, des rires. Ou est la joie dans leur récit ?”. Dans son livre, le sociologue revient également sur la notion de méritocratie qui selon lui est une fiction qui ne tient pas ses promesses. “La méritocratie, c'est dire que chacun va être récompensé dans une société en fonction de son mérite. Or il y a des gens qui réussissent sans avoir beaucoup de mérite parce que ce sont des héritiers. Et il y en a d'autres qui ont du mérite mais qui ne réussissent pas”. Concernant les inégalités scolaires, la France est un des pays de l'OCDE les plus reproducteurs de l'inégalité sociale. Les prestigieuses grandes écoles recrutent prioritairement les enfants des classes aisées (qui représentent 64 % des effectifs) plutôt que ceux des classes modestes (qui ne constituent que 9 % des étudiants). Pour le sociologue, il faut “réhabiliter la notion de mérite, mais pas dans le sens qu'elle a aujourd'hui - c'est-à-dire qui est seulement centrée sur le diplôme - mais voir que les talents et les virtuosités existent dans un pays de près de 70 millions d'habitants”. Alors que les réseaux sociaux ont pris une place prépondérante dans les sociétés. Gérald Bronner dénonce que “grâce à internet, la richesse devient de plus en plus visible” et que “les murs des différences sociales sont devenus transparents”. Né dans une famille modeste, devenu professeur à la Sorbonne, le sociologue Gérald Bronner reviendra sur la notion de transclasse, son parcours et les inégalités sociales.

Le Nouvel Esprit Public
Retraites : une réforme mal accueillie / La relation franco-allemande

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jan 22, 2023 60:01


N°281 / 22 janvier 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 janvier 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.RETRAITES : UNE RÉFORME MAL ACCUEILLIELe 10 janvier, la Première ministre a présenté les différentes mesures de sa refonte controversée du régime de retraites. Le recul de l'âge légal de départ de 62 ans actuellement, à 64 ans d'ici à 2030 sera couplé à un allongement de la durée de cotisation, qui interviendra plus rapidement que prévu : il faudra avoir cotisé quarante-trois ans dès 2027 au lieu de 2035 pour obtenir une pension de retraite à taux plein. Ce nouveau système actera par ailleurs « l'extinction des principaux régimes spéciaux ». Le minimum de pension sera relevé à 85 % du smic net, « soit près de 1 200 euros par mois dès cette année », pour les futurs retraités ayant une carrière complète, mais aussi pour ceux d'aujourd'hui. Un dispositif « carrières longues » sera préservé. Afin de favoriser le maintien au travail des seniors, le gouvernement veut créer un « index seniors ». Concernant le facteur pénibilité, les trois critères abandonnés en 2017 (port de charges lourdes, postures pénibles et vibrations mécaniques) devraient être réintégrés, sous réserve d'un examen médical. Les périodes de congés parentaux seraient désormais prises en compte. Selon le ministre de l'Économie, la réforme des retraites pourrait rapporter 17,7 milliards d'euros aux caisses des retraites d'ici à 2030 et pourrait créer 100.000 emplois d'ici à 2025. Selon ces calculs, l'exécutif disposera d'une cagnotte de 4,2 milliards d'euros pour financer des mesures d'accompagnement, dont quelque 3,1 milliards d'euros serviront à financer les départs en retraite anticipés pour inaptitude ou invalidité.Plus de deux tiers des Français (68 %) sont défavorables au report de l'âge légal, même à 64 ans, selon un sondage IFOP pour Fiducial. Dès l'annonce du plan, les dirigeants des huit grands syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, Solidaires et FSU) ont appelé avec succès à une première journée de grève et de manifestation le 19 janvier. Les organisations syndicales sont opposées à tout relèvement de l'âge légal, estimant qu'il affecterait surtout les plus modestes, qui ont commencé à travailler tôt et ont déjà leurs trimestres à 62 ans. La droite, qui avait affirmé être prête « à soutenir une réforme » des retraites, à « quelques conditions », s'est dite « satisfaite d'avoir été entendue » par le gouvernement, notamment quant à la chronologie du report de l'âge de départ à la retraite et à la revalorisation des petites pensions. Le syndicat patronal Medef a salué « les décisions pragmatiques et responsables » tout en se disant « opposé au principe d'un index seniors ». Pour le leader de La France insoumise « la réforme Macron-Borne, c'est une grave régression sociale », tandis que le premier secrétaire du Parti communiste français a dénoncé un « projet brutal de recul de l'âge de départ en retraite ». La présidente du Rassemblement national a fait part de sa « détermination pour faire barrage » à la réforme « injuste » des retraites présentée par la Première ministre.***LA RELATION FRANCO-ALLEMANDE Ce dimanche à Paris, on célèbre le 60e anniversaire du Traité de l'Elysée, colonne vertébrale de la relation franco-allemande, signé le 22 janvier 1963 par le Général de Gaulle et le Chancelier Konrad Adenauer pour sceller officiellement la réconciliation entre les deux pays. Cérémonie à la Sorbonne ce matin, suivie d'un Conseil des ministres franco-allemand à l'Élysée. Celui-là même qui avait été reporté fin octobre sur fond de dissensions bilatérales, et de glissement du cœur de l'Europe vers l'Est avec la guerre en Ukraine qui bouleverse l'équilibre du moteur franco-allemand.Les motifs d'incompréhension, voire de discorde, sont apparus depuis qu'Olaf Scholz a succédé à Angela Merkel en décembre 2021, notamment sur le prix du gaz, le nucléaire, le Système de combat aérien futur ou la défense antimissile européenne - pour laquelle Berlin prône une solution concurrente de celle de Paris. Emmanuel Macron n'a pas apprécié d'avoir été écarté de la visite du chancelier allemand à Pékin, le 4 novembre. Il n'a pas non plus été informé à l'avance de la mise en place d'un plan d'aide allemand de 200 milliards d'euros pour compenser la crise énergétique. Olaf Scholz reproche au président français d'avoir tué dans l'œuf le projet de gazoduc MidCat (Midi-Catalogne), soutenu par Berlin. En matière d'énergie, l'Allemagne a choisi une politique de transition vers le tout renouvelable, couplée au gaz, tandis que la stratégie française repose sur le nucléaire qu'Emmanuel Macron veut renforcer avec de nouveaux EPR. En août, à Prague, le chancelier a dessiné sa vision de l'Europe, comprenant de nombreux points de convergence avec celle d'Emmanuel Macron, mais sans mentionner une seule fois l'axe franco-allemand. Derniers incidents en date : Emmanuel Macron a annoncé la livraison de chars de combat légers à l'Ukraine le 4 janvier, sans crier gare, conduisant Berlin et Washington à sortir du bois avec la même annonce le lendemain, puis le 17 janvier, à Davos, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a détaillé la réponse de la Commission européenne à l'Inflation Reduction Act (IRA) américain, avec notamment la création d'un fonds commun pour soutenir les industries vertes et un assouplissement temporaire du cadre des aides d'Etat. Une solution défendue par Paris, mais critiquée par Berlin.Afin de rapprocher les points de vue, après Olaf Scholz, les partenaires de la coalition allemande ont été conviés pour la première fois à l'Élysée et Élisabeth Borne a pris le chemin de Berlin le 25 novembre. Un groupe de quelques Françaises et Français, dont le diplomate Maurice Gourdault-Montagne, et notre ami Matthias Fekl, a pris l'initiative de créer une Académie franco-allemande de Paris, comme il existe une Académie de Berlin depuis 2006.Il se murmure que le travail entamé à Paris en janvier pourrait aboutir à une visite d'État du président français en Allemagne l'été prochain.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Podcasts Rhône FM
La population de Massongex était invitée à poser toutes ses questions concernant le projet MBR3

Podcasts Rhône FM

Play Episode Listen Later Jan 13, 2023


La population de Massongex était invitée à poser toutes ses questions ce jeudi concernant le projet MBR3, du nom du barrage hydroélectrique sur le Rhône. Reportage sur place, dans la salle polyvalente du village : entre enthousiasme et craintes profondes.

Priorité santé
Un médecin répond à toutes vos questions concernant le sport

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jan 9, 2023 48:30


Réduire les risques de développer certaines maladies, lutter contre le stress, tonifier le corps pour éviter certaines douleurs, perdre du poids… Le sport a de nombreuses vertus pour la santé.   Comment reprendre le sport ? Quelle activité choisir en fonction de sa condition physique ? Dr Jean-Marc Sène, médecin du sport à Paris. Auteur du livre Le sport : je me lance ! aux éditions In Press.

Priorité santé
Un médecin répond à toutes vos questions concernant le sport

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jan 9, 2023 48:30


Réduire les risques de développer certaines maladies, lutter contre le stress, tonifier le corps pour éviter certaines douleurs, perdre du poids… Le sport a de nombreuses vertus pour la santé.   Comment reprendre le sport ? Quelle activité choisir en fonction de sa condition physique ? Dr Jean-Marc Sène, médecin du sport à Paris. Auteur du livre Le sport : je me lance ! aux éditions In Press.

Libre antenne week-end
Pierre questionne une astrologue concernant son avenir

Libre antenne week-end

Play Episode Listen Later Jan 8, 2023 2:25


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Yann Moix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.

Les Grandes Gueules du Sport
La Punchline des GG : Faut-il arrêter de rêver concernant Nadal ? - 07/01

Les Grandes Gueules du Sport

Play Episode Listen Later Jan 7, 2023 10:41


Le grand débat sportif du week-end ! Tous les samedis et dimanches de 9h à 12h, « Les Grandes Gueules du Sport » donneront un avant-goût des week-ends sport sur RMC. Christophe Cessieux sera aux côtés des consultants Olivier Girault, David Douillet, Marie Martinod et Stephen Brun. Cette année, le capitaine de l'Équipe de France de basketball Nicolas Batum s'ajoute à la Dream Team Sport dans ce rendez-vous 100% sport, pour échanger et débattre sans tabou sur l'actualité sportive !

Les Héros de la science FB Hérault
Guillaume Bagnolini : des chercheurs Héraultais font des avancées concernant le paludisme

Les Héros de la science FB Hérault

Play Episode Listen Later Jan 7, 2023 3:29


durée : 00:03:29 - Les Héros de la science

Les Grandes Gueules
Les indiscrets politiques : Les annonces à venir du gouvernement concernant la chasse ! - 03/01

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jan 3, 2023 8:49


Avec : Mehdi Ghezzar, chef d'entreprise. Jean-Baptiste Djebbari, président d'Hopium et ex-ministre des Transports. Et Barbara Lefebvre, enseignante en reconversion. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.

Drencher la poire en deux
Lutte contre les inégalités : l'UE en fait-elle assez ?

Drencher la poire en deux

Play Episode Listen Later Jan 2, 2023 52:53


Dans cet épisode, nous nous demanderons s'il l'Europe en fait assez pour résorber les inégalités entre jeunes européens. L'Union Européenne, qui compte 27 pays, comporte des situations économiques très contrastées d'un pays à l'autre. Au travers du continent, les jeunes européens n'ont pas les mêmes chances ni le même niveau de vie. Par exemple, en 2017, le taux de pauvreté en Espagne était de 14,6%, contre 6,8% au Danemark et 6,7% en France. Concernant le marché du travail, 50,6% des jeunes européens âgés de 20 à 24 ans avaient un emploi en 2021, ainsi que 74,3% des jeunes âgés de 25 à 29 ans. La crise de la Covid a contribué à creuser les inégalités dans la plupart des États-membres. Dans l'UE, les principaux enjeux sont les inégalités de résultats (revenus et richesse) et les inégalités des chances. Ces inégalités ont non seulement un impact sur la cohésion sociale, notamment en raison du manque d'équité, mais aussi sur la croissance. Pour pallier les difficultés des jeunes, 2022 était l'année européenne de la jeunesse, avec l'objectif de mettre en lumière l'importance de la jeunesse européenne pour construire un meilleur avenir. De plus, de nombreuses politiques sont mises en œuvre pour réduire les inégalités. Alors, l'Union Européenne peut-elle résorber les inégalités entre les jeunes européens ? On en débat !Invités :Anne Bucher - Non-residential fellow à Bruegel, ancienne Directrice Générale à la Commission européenneMarie Caillaud - Présidente du Conseil d'Orientation des politiques de Jeunesses, ancienne présidente des Jeunes Européens - FranceBonne écoute.

Libre antenne week-end
Maître Derambarsh apporte une aide juridique à Olivia concernant son fils qui est décédé en prison

Libre antenne week-end

Play Episode Listen Later Dec 12, 2022 15:25


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Yann Moix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.

Le Sapping
#EXPERT Traçabilité et mesure d'impact, les mots d'ordre de The Woolmark Company® pour la filière laine

Le Sapping

Play Episode Listen Later Dec 9, 2022 79:31


ON(WARD) FASHION podcast reçoit Damien Pommeret, Regional Manager for Western Europe at The Woolmark Company® pour parler de la feuille de route traçabilité et mesure d'impact de l'industrie mondialisée de la laine, et de son potentiel de substitution, notamment technique, aux matières plastiques. ACV et traçabilité dans la laineThe Woolmark Company® est une entreprise à but non lucratif qui mène des activités de recherche, de développement et de commercialisation tout au long de la chaîne d'approvisionnement mondiale de la laine australienne, pour le compte d'environ 60 000 producteur·ice·s qui contribuent à son financement. La laine est une fibre renouvelable dont les cycles de pousse sont annuels et qui ne perd pas en qualité avec le temps. C'est aussi plus circulaire des matières textiles, recyclable en boucle ouverte ou fermée et de nombreuses fois. Elle a ainsi une durée de vie au moins 50 % plus longue que les autres types de fibres. Mais cela ne l'exempte pas d'un effort pour réduire l'empreinte de sa filière. The Woolmark Company® a réalisé la première étude au monde d'évaluation du cycle de vie complet (ACV) des fibres textiles de la chaîne d'approvisionnement de la laine, qui met en évidence les défis auxquels l'industrie est confrontée pour améliorer son empreinte environnementale. Ont notamment été mesurées : les émissions de GES, la dépendance aux combustibles fossiles, l'acidification et l'utilisation des eaux, et l'utilisation des terres. Mesurer pour agir et réduire, on aborde la feuille de route prévue pour cette industrie mondialisée et son potentiel de substitution, notamment technique, aux matières plastiques. Place à Damien Pommeret, Regional Manager for Western Europe at The Woolmark Company®. Bonne écoute ! Le site The Good Goods https://thegoodgoods.fr/Instagram The Good Goods business https://www.instagram.com/thegoodgoodsbusiness/Trame de l'épisodeIntroduction / Présentation / Parcours The Woolmark Company®Qu'est-ce que la Woolmark ?Historique Scope d'activités actuellesCartographies des laines dans le monde, expliquer les différents types et la représentation en volumes Données sur le marché (tonnage, CA, usages) et les filières Comment est régulé le marché ? Sont fixés les prix ?Quels sont les guidelines en terme de respect animal ?Un mot sur la pratique du mulesingQue certifie le label en termes de qualité ?Comment fonctionne la traçabilité ? Quelles sont les perspectives la concernant ?Où en est-on de la mesure d'impact/des ACV ?Quels sont les leviers/arguments de TWC pour accroître l'usage de laine chez les marques ? Quels sont les outils côté consommateur ?Concernant la laine recyclée, quel est le positionnement de TWC ? Quels sont les grands axes de développement à venir pour TWC ? TWC accompagne les jeunes créateurs notamment dans la R&D pour des produits techniques, pouvez-vous nous en parler ? En tant que marque, comment se passe un projet de R&D lancé avec TWC ? Questions d'ouverture Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – PR BERTRAND GUIDET – 09/12/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 9, 2022 10:59


COVID : SE FAIRE VACCINER AVANT NOËL ? PR BERTRAND GUIDET Chef du service de réanimation - Hôpital Saint-Antoine La circulation du Covid-19 continue de progresser au niveau national. Les indicateurs virologiques (calculés à partir des tests antigéniques seuls et de l'ensemble des tests) étaient en augmentation, tout comme ceux de recours aux soins. Les indicateurs hospitaliers étaient également en hausse. Hier 8 décembre, Santé Publique France a recensé 71 597 nouveaux cas. Pour affronter ce début de 9ème vague, le ministre de la santé et de la prévention, François Braun, a confirmé ce vendredi 9 décembre au micro de BFM-TV que “tout le monde peut se faire vacciner contre la grippe et le Covid”. “La vaccination n'est pas réservée aux personnes à risque”, a-t-il précisé, ajoutant que ces derniers avaient été prioritaires, mais que désormais chacun pouvait effectuer un rappel. La Haute Autorité de santé a d'ailleurs rendu ce jeudi un avis favorable à l'utilisation en rappel de deux nouveaux vaccins chez les adultes, dont le VidPrevtyn, produit par Sanofi, en France. Concernant le port du masque, la Présidente de Covars Brigitte Autran estime que son retour obligatoire est une décision politique mais qu'il “faut aller vers un port du masque le plus possible dans les lieux clos, là où il y a une promiscuité importante”. De son côté, Rémi Salomon, président de la Conférence des présidents de la Commission médicale d'établissement des CHU était sur Franceinfo ce jeudi, estimant que "dans les transports en commun, il faudrait que les gens portent le masque", car c'est "là où on est nombreux, dans les espaces confinés, que le Covid-19 se transmet le plus". Aujourd'hui, à la demande d'Élisabeth Borne, le ministre François Braun tiendra une conférence de presse au ministère pour rappeler l'importance des gestes barrière à la veille des vacances de Noël. Bertrand Guidet reviendra sur l'importance de la vaccination à l'aube d'une 9ème vague et rappellera l'importance des gestes barrières.

L'After Foot
Les infos du jour concernant l'Equipe de France Et Adrien Rabiot a bluffé les journalistes en conférence de presse ! – 07/12

L'After Foot

Play Episode Listen Later Dec 7, 2022 15:17


L'émission qui dit tout haut ce que le monde du foot pense tout bas ! Cette année, l' « After Foot » fête ses 16 ans et propose un choc des générations ! Composée de ceux qui ont grandi avec l'After, la « Génération After » prendra les commandes de l'émission entre 20h et 22h. Avec Nicolas Jamain aux manettes, entouré de Kévin Diaz, Mathieu Bodmer, Walid Acherchour, Simon Dutin, Romain Canuti et Sofiane Zouaoui, cette nouvelle génération débattra avec passion, mais toujours en conservant les convictions et les codes de l'After. De 22h à minuit, place à la version originelle et historique de l'After autour de Gilbert Brisbois, Daniel Riolo, Stéphane Guy, et Florent Gautreau. Les soirs de Ligue des Champions, Jérôme Rothen rejoindra la bande pour les matchs du PSG et Mamadou Niang pour les matchs de l'OM. Nicolas Vilas sera aux commandes pour faire vivre les matchs dans l'After Live. Cette année, Thibaut Giangrande pilotera l' « After Foot » le vendredi et samedi.

Manu dans le 6/9 : Le best-of
Les Sondages du matin du mardi 6 décembre : pour 6% des gens c'est la chose la plus importante concernant le cadeau qu'on leur offre à Noël !

Manu dans le 6/9 : Le best-of

Play Episode Listen Later Dec 6, 2022 8:12


Tous les matins, à 6H10 et 8H40, c'est les Sondages du matin !

Le journal des sports
Le journal de la Coupe du monde : la Fifa rejette la réclamation française concernant le but refusé contre la Tunisie

Le journal des sports

Play Episode Listen Later Dec 6, 2022 4:39


La Croatie et le Brésil se sont qualifiés ce lundi pour les quarts de finale de la Coupe du monde de football. Côté français, la Fifa a rejeté la réclamation des Bleus après le but d'Antoine Griezmann rejeté contre la Tunisie. L'équipe de France qui se prépare à affronter l'Angleterre samedi, une première dans une phase à élimination directe.

Productif au quotidien
#130: Pratiquer le jeûne intermittent pour avoir plus d'énergie (avec Pénélope Villeneuve)

Productif au quotidien

Play Episode Listen Later Dec 5, 2022 37:58


Apprendre à bien gérer son énergie est fondamental pour être productif au quotidien. Car sans énergie, il est impossible de rester concentré sur des tâches complexes ou d'accomplir un quelconque projet. C'est pourquoi il faut prêter une attention particulière à son sommeil, au fait d'avoir un mode de vie saint (et actif), et aussi à ce que l'on mange (la nutrition). Concernant la nutrition, il existe une technique peu connue qui a de nombreux bénéfices sur la santé et qui permet d'avoir plus d'énergie: le jeûne intermittent. Bien plus qu'une simple diète, c'est une pratique qui consiste à limiter les périodes d'alimentation dans une journée et à prendre intentionnellement des moments de jeûne pour laisser le temps à son organisme de bien digérer les aliments. Dans cet épisode de podcast, je reçois Pénélope Villeneuve, une naturopathe spécialisée sur le sujet. Et elle nous explique :C'est quoi le jeûne intermittent (définition)?Quels sont les bénéfices de cette pratique sur la santé, la productivité et le niveau d'énergiePourquoi devrait-on pratiquer le jeûne intermittent au quotidien Comment intégrer le jeûne intermittent à notre mode de vieDécouvrez cette stratégie inédite pour avoir plus d'énergie! Bonne écoute. --LIENS ET RESSOURCES MENTIONNÉES :► Le site web de Pénélope Villeneuve► Ma formation gratuite « Gestion du temps 101 »► Épisode 18 sur la nutrition avec Jeff Lawson ► Épisode 29 sur le sommeil avec Jérémy Coron ► Article sur les bénéfices du jeûne intermittent► Article sur les impacts du jeûne intermittent sur la productivité ► L'application FASTING - Tracker de jeûne (Android)► L'application FASTING - Tracker de jeûne (Apple) Des questions ou commentaires en lien avec cet épisode?

Podcast Torah-Box.com
Les 3 clichés qu'on attribue à la Torah concernant la femme

Podcast Torah-Box.com

Play Episode Listen Later Dec 3, 2022 20:33


Quels sont les malentendus au sujet des femmes malheureusement véhiculés par une mauvaise compréhension de la Torah ? En quoi la Torah, au contraire, encense, respecte et protège la femme ? Comment comprendre l'essence même de la femme et celle de l'homme, notamment par rapport au Guèt ? A-t-on bien saisi à quel point la Tsni'out rend avant tout service à la femme en lui permettant d'être perçue par la gente masculine au delà de son corps exclusivement ? En l'habillant de dignité et d'élégance, la pudeur met en valeur la femme, son esprit, ses vertus, son âme etc.

Le Média
Instant Porcher : Inflation, salaires, chômage, Thomas Porcher débunke les nouveaux mensonges du pouvoir

Le Média

Play Episode Listen Later Dec 1, 2022 24:33


Les caisses sont elles si vides ? Pourquoi ? On va décrypter tout ça avec Thomas. C'est l'instant Porcher. Bonjour tout le monde et bienvenue pour ce nouvel Instant Porcher ! On le sait, le discours est politique et les comprendre est un véritable enjeu démocratique. Au programme aujourd'hui, L'inflation n'en finit pas et on le ressent tous les jours. Les prix à la consommation augmenteraient de 6,2 % sur un an en novembre 2022, selon l'estimation provisoire de l'INSEE ; même chiffre qu'en octobre. Sur un mois, les prix à la consommation augmenteraient de 0,4 %, après +1,0 % déjà en octobre. Selon Christine Lagarde, présidente de la banque centrale européenne, le pic de l'inflation n'est pas encore atteint, lit-on dans La Tribune. Le journal rapporte que l'incertitude concerne en particulier la « répercussion du coût élevé de l'énergie sur les prix de détail ». Elle ajoute : « Dans l'immédiat « mes meilleurs économistes (au sein de la BCE) » voient encore le risque d'une inflation « en hausse ». Dans ce contexte les taux d'intérêt (pour les crédits) pour la présidente de la BCE je cite « sont et resteront le principal outil de lutte contre l'inflation ». La Tribune écrit : « La BCE a ainsi relevé ses taux de deux points de pourcentage depuis juillet, ce qu'elle n'a jamais fait aussi brusquement de toute son histoire. La prochaine hausse est programmée en décembre lors de la dernière réunion de l'année, mais selon une ampleur probablement moindre que les augmentations de 0,75% en septembre et octobre, selon les observateurs. » Le gouvernement partait sur une baisse d'inflation pour l'année prochaine cet été avant de se raviser un peu mais beaucoup pensent ou espèrent un retour plutôt à la normale courant 2023. Il va retirer petit à petit les boucliers et remises, décryptage de Thomas Porcher. Concernant l'inflation et la fameuse question des salaires car tout augmente, sauf eux ; on a vu ceci ces derniers jours : Un nouveau papier du FMI (fonds monétaire internationale) défend que 1) les spirales prix-salaires sont historiquement anecdotiques, même en phase d'inflation et 2) qu'aujourd'hui une hausse des salaires nominaux (qui n'est toujours pas le cas) n'impliquait pas nécessairement une spirale prix-salaires, résume Camille Souffron, économiste. Ca y est, la réforme de l'assurance chômage a définitivement été adoptée le 17 novembre dernier. On a pu aborder cette réforme dans d'autres épisodes de l'instant Porcher qu'on vous invite à regarder également. Aujourd'hui on va aller un peu plus loin surtout que ça y est, on sait définitivement à quelle sauce on va être mangé, quoique. ▶ Soutenez Le Média :

Choses à Savoir TECH
Alexa coûte 10 milliards de dollars à Amazon ?

Choses à Savoir TECH

Play Episode Listen Later Nov 27, 2022 2:58


Parmi tous les assistants vocaux, Alexa d'Amazon est sans doute celui qui a le plus attiré l'attention ces dernières années, que ce soit pour sa technologie ou ses différents scandales. Ceci dit, cet épisode pourrait bien être l'un des derniers qui y est consacré, tout simplement parce qu'Alexa pourrait disparaître prochainement. Il n'y a pas encore si longtemps, en 2014, Amazon présentait Alexa, son assistant vocal. Huit ans plus tard, c'est avec une certaine surprise que l'on apprend qu'Alexa n'a jamais vraiment rapporté d'argent à Amazon. D'après le média spécialisé Business Insider, lors du premier trimestre de 2022, la branche « Worldwide Digital » dont font partie les divisions Alexa et Amazon Prime Video, aurait perdu 3 milliards de dollars, et cela je cite « en grande partie à cause d'Alexa ». Une perte deux fois plus importante que n'importe quel autre département du GAFAM, et qui au total, devrait atteindre les 10 milliards de dollars d'ici la fin de l'année 2022. D'après les informations de Business Insider qui a pu discuter avec une douzaine d'employés, la crise causée par Alexa serait profonde. L'un d'eux estime que l'assistant vocal a été je cite « une opportunité gâchée » fin de citation. Pour lui, c'est le manque d'imagination autour de son écosystème qui aurait enterré Alexa avant l'heure. Ce même employé explique que depuis fin 2019, la division « Wordwide Digital » aurait cessé d'embaucher et que le patron Jeff Bezos n'aurait plus aucun intérêt pour Alexa depuis bientôt trois ans. Depuis son départ, son successeur, Andy Jassy, n'y porterait pas plus d'attention non plus. En clair, le principal problème d'Alexa serait la difficulté à monétiser ces services. Concernant les enceintes sur lesquelles est proposée Alexa, plus précisément les modèles Echo qui sont les plus vendus, Amazon les proposerait à prix coûtant d'après un document interne pour je cite « faire de l'argent quand les gens utilisent nos appareils, pas quand ils les achètent » fin de citation. Ainsi, Amazon n'a visiblement pas trouvé la bonne formule pour monétiser Alexa… ce qui s'en ressent sur la santé financière de l'entreprise. Depuis le début de l'année, le cours de l'action a chuté de plus de 47 %, ce qui a poussé les dirigeants à licencier prochainement près de 10 000 employés. À noter qu'Alexa compterait 71,6 millions d'utilisateurs, contre 77,6 millions pour Siri d'Apple et 81,5 millions pour l'Assistant Google, d'après Business Insider. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

On refait le match avec Denis Balbir
L'ENTRETIEN - Giroud, Mbappé, Benzema, Rabiot, Deschamps... Les confidences de Le Graët

On refait le match avec Denis Balbir

Play Episode Listen Later Nov 24, 2022 28:01


Le président de la Fédération française de football Noël Le Graët a accordé un long entretien à RTL après la victoire de l'équipe de France face à l'Australie (4-1) pour son entrée dans la Coupe du monde au Qatar. "Vraiment heureux" pour Olivier Giroud, l'homme de 80 ans espère que l'attaquant de 36 ans "va en mettre un ou deux autres" et deviendra "le meilleur buteur de tout les temps" en équipe de France devant Thierry Henry. À propos de Kylian Mbappé, "NLG" relève que "dès qu'il a la balle, il se passe quelque chose. On sent un frisson dans les tribunes. C'est un surdoué (...) Il a vraiment envie de faire une grande coupe du monde". Concernant le forfait de Karim Benzema, "c'est une énorme déception parce qu'il avait dans la tête préparé cette compétition (...) Il sait que la Coupe du monde pour lui ça va être extrêmement difficile". Le Graët dresse aussi des éloges à Didier Deschamps, un "énorme entraîneur", "rassurant, régulier, loyal, honnête".

Ça peut vous arriver
INÉDIT - Athina Juge et Céline Collonge sont "perplexes" concernant l'affaire du canapé

Ça peut vous arriver

Play Episode Listen Later Nov 23, 2022 7:28


Dans ce podcast, découvrez les coulisses de l'émission "Ça peut vous arriver" que vous venez d'entendre sur RTL. Ce 23 novembre, Athina Juge et Céline Collonge dévoilent leur enquête sur l'affaire de Gilles, cet auditeur qui a acheté un canapé dans un magasin éphémère et qui n'a jamais reçu sa commande. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.

Libre antenne week-end
Marie a besoin d'être conseillée concernant sa fille qui est dysphasique

Libre antenne week-end

Play Episode Listen Later Nov 19, 2022 22:22


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Yann Moix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.

Invité Afrique
Moussa Faki Mahamat (UA): «Il y a manifestement une violation de l'engagement» pris par le président tchadien

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 19, 2022 12:23


C'est un homme qui a une parole médiatique rare. En marge du XVIIIe sommet de la Francophonie, à Djerba, le président de la Commission de l'Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a cependant accepté d'accorder une interview conjointe à RFI et France 24. Il revient notamment sur les débats qui ont eu lieu au sein du Conseil paix et sécurité de l'UA sur une éventuelle suspension du Tchad. Il conteste que son point de vue sur le fonctionnement de la transition tchadienne soit dicté par un agenda personnel. « Les contreparties de l'attitude clémente de l'UA, explique-t-il, n'ont pas été respectées. »  Marc Perelman: On va commencer par la situation dans l'est de la RDC. Les combats se poursuivent. Les pays de l'Afrique de l'Est sont en train de déployer une force régionale. Les efforts diplomatiques se multiplient. Alors une question simple, mais grave: est-ce que vous pensez qu'une solution diplomatique est encore possible ou est-ce que vous craignez un embrasement régional ? Moussa Faki Mahamat: Cette situation n'est malheureusement pas nouvelle. Depuis pratiquement plus de deux décennies, l'est du Congo est en troubles. C'est éprouvant pour le peuple congolais. C'est éprouvant pour son voisinage, c'est éprouvant pour l'ensemble du continent. Mais dans ce genre de conflit, nécessairement, il faut trouver une solution politique. Donc, le processus qui est engagé à Nairobi avec la communauté est-africaine, les efforts du président d'Angola [João Lourenço], qui a été désigné par l'Union africaine comme facilitateur, je crois que ces efforts combinés doivent nous amener à trouver une solution politique, en tout cas c'est ce qu'on préfère. Laurent Correau: Alors justement, les autorités congolaises refusent de discuter avec le M23 qu'elles considèrent comme un groupe terroriste. Est-ce que cela ne fragilise pas la recherche d'une solution négociée ? M.F.M.: À écouter l'envoyé spécial, l'ancien président du Kenya Uhuru Kenyatta, les discussions de Nairobi doivent continuer. C'est aux Congolais bien entendu de déterminer quels sont ceux qui vont prendre part. Mais, il est souhaitable dans le cadre de la recherche de la paix que le processus soit le plus inclusif possible. C'est notre souhait. De toutes les façons, ce sont les parties elles-mêmes qui savent de quoi il s'agit. M.P.: La situation au Tchad, les autorités ont décidé de prolonger la transition, d'ouvrir la possibilité au chef de la junte, Mahamat Idriss Déby, d'être candidat aux élections à venir. Il y a eu les événements tragiques du 20 octobre où une manifestation a été réprimée dans le sang. Dans un rapport que vous avez remis au Conseil paix et sécurité de l'Union africaine, vous avez demandé la suspension du Tchad en affirmant que c'est nécessaire pour « sauvegarder un minimum de crédibilité et être cohérent avec les situations dans d'autres pays, à savoir le Mali, le Burkina Faso, la Guinée et le Soudan ». Cela pose la question: est-ce que la crédibilité de l'Union africaine a été mise à mal dans cette affaire ? M.F.M.: Je crois qu'il est nécessaire de situer les choses dans leur contexte. En avril 2021, le président de la République du Tchad, le maréchal Idriss Déby, a trouvé la mort de manière violente, paix à son âme. Et à ce moment, contrairement à la pratique de l'Union africaine qui, en cas de changement non-constitutionnel, suspend presque automatiquement l'État, l'Union africaine, notamment le Conseil paix et sécurité, a envoyé une mission sur place pour pouvoir examiner les circonstances particulières qui ont conduit à la mort du président. Et l'Union africaine, à travers son organe compétent qui est le CPS [Conseil de paix et de sécurité], a décidé de ne pas suspendre le Tchad, mais sa décision comporte pratiquement les dispositions ou les décisions qui sont généralement prises en cas de changements non-constitutionnels, notamment en insistant sur un délai de 18 mois non renouvelable et l'inéligibilité des militaires qui sont à la tête du Conseil militaire de transition. Dix-huit mois après, il y a eu le dialogue qui a été organisé. Et donc, ces deux conditions qui sont la contrepartie de l'attitude clémente de l'Union africaine n'ont pas été respectées. Et naturellement, donc en tant que président de la Commission en charge de mettre en œuvre les décisions de ces organes, j'ai présenté un rapport que certains ont trouvé accablant ou qualifié de réquisitoire, mais moi, je le trouve plutôt exigeant. Exigeant et clair, d'autant plus qu'il y a manifestement une violation des décisions et des principes [de l'Union Africaine] et de l'engagement pris par le président du Conseil militaire de transition. J'ai donc soumis ce rapport au Conseil paix et sécurité. En plus, il y a eu ces événements que vous citez, qui marquent pratiquement la fin de ces 18 mois. Ils ont été réprimés violemment. Et naturellement, tout cela, je devais le porter à l'attention de l'organe qui est en charge. Le CPS a discuté de la question, il n'a pas encore vidé le sujet. Il a suspendu ses travaux. Et je crois qu'il va les reprendre avant la fin de ce mois. M.P.: Il ne vous a pas suivi. Est-ce que ce n'est pas quand même un problème de crédibilité ? M.F.M.: De toutes les façons, la décision n'est pas encore prise. Il y a un certain nombre d'États qui ont estimé qu'il faut suspendre le Tchad, à l'exemple des autres pays. D'autres ont estimé qu'il ne faut pas le faire. Et puisque c'est une décision de fond, pour que la décision soit prise dans un sens ou dans un autre, il faut recueillir les deux tiers. C'est la raison pour laquelle je crois qu'ils ne sont pas arrivés à ça. Et la séance a été reportée pour reprendre. Quelle que soit la décision, nous allons la mettre en œuvre bien entendu. L.C.: Justement, comment expliquez-vous que, pour certains pays comme le Mali, la Guinée, le Burkina Faso, l‘Union africaine parvient à rappeler les principes, à les poser alors que pour le Tchad, elle a plus de difficultés. Est-ce qu'il y a une exception tchadienne ? Est-ce qu'il y a eu des pressions à ce sujet sur le Conseil paix et sécurité ? M.F.M. : Je ne sais pas. Le Conseil paix et sécurité est composé de 15 États qui représentent l'ensemble du continent. Cet organe permanent est en charge des questions de paix et de sécurité. Et donc, c'est aux États membres de pouvoir discuter et de prendre une décision. Manifestement, dans ce cas, il y a une violation parce qu'un répit a été donné aux autorités de la transition. Mais finalement, elles n'ont pas appliqué les décisions qui ont été prises par le Conseil paix et sécurité. C'est ça la réalité. L.C. : Mais je vous repose ma question : pourquoi le Conseil paix et sécurité ne parvient-il pas à se prononcer sur le Tchad alors qu'il y est arrivé sur d'autres pays ? M.F.M. : Ce sont des États pris individuellement et qui expriment leur point de vue sur la question. M.P. : Vous avez mentionné évidemment les événements du 20 octobre. Les autorités tchadiennes affirment que ce n'était pas un mouvement de protestation, mais que c'était une insurrection qui était planifiée. Est-ce que cet argument vous convainc ? M.F.M. : De toutes les façons, quel que soit le cas de figure, dénombrer officiellement plus de 50 morts et 300 blessés pour une manifestation de civils me semble une utilisation abusive des armes. Et donc, bien entendu, il y aura, je l'espère, des enquêtes indépendantes, mais le fait lui-même d'une manifestation dans des villes et qu'il y ait autant de victimes me semble quelque chose d'extrêmement grave. L.C. : Le gouvernement tchadien vous accuse de vouloir sanctionner le Tchad coûte que coûte. Il affirme que vous faites tout cela parce que vous souhaitez être candidat à la présidentielle tchadienne à la fin de la transition. Comment réagissez-vous à ces accusations ? M.F.M. : Sur cette question de candidature ou pas… je suis un citoyen tchadien. Et tout citoyen tchadien qui remplit les conditions peut à un moment ou à un autre avoir des ambitions, ou un projet pour son pays. Je crois qu'il y a un amalgame entretenu sciemment. Au départ, on m'a accusé de vouloir faire la part belle à mon pays qui a échappé à la suspension, maintenant c'est le contraire. Donc, je crois que c'est une querelle politicienne sur laquelle on veut m'entraîner. En tout cas, je ne tomberai pas dans ce piège. Ce qui est évident, en tant que président de la Commission de l'Union africaine, c'est que je suis assermenté et que je dois vraiment situer les choses dans leur contexte. J'ai soumis un rapport et personne ne conteste aujourd'hui que les conditions qui ont été mises par le Conseil paix et sécurité ont été allègrement négligées, voire violées. C'est là la réalité. M.P.: Mais vous venez de dire que tout citoyen tchadien qualifié peut être candidat. Donc, cela pose quand même la question : est-ce que vous excluez ou pas toute candidature à la prochaine élection présidentielle ? M.F.M. : Est-ce que c'est le sujet ? M.P.: C'est le sujet d'après le gouvernement tchadien… M.F.M. : Il y a 18 ans et demi,en 2004, votre confrère Christophe Boisbouvier me posait la question quand j'étais encore Premier ministre, si j'étais le dauphin du président Déby. Donc, cette question pour moi, elle revient très souvent. Je ne sais pas si je représente le portrait-robot (rires) de ce fameux candidat, mais je ne pense pas que le problème soit à ce niveau. M.P.: Mais vous n'excluez pas une candidature quand même dans l'avenir ? M.F.M. : Je ne suis candidat à rien. Je suis président de la Commission de l'Union africaine. Il me reste encore deux ans et plus pour remplir mon mandat. Moi, je me concentre sur le travail que je fais actuellement. M.P. : Mais d'un point de vue personnel, est-ce que le fait que vous n'ayez pas été suivi par le Conseil de paix et de sécurité, cela vous a affecté ? Personnellement, est-ce que vous vous dites : à quoi bon continuer finalement, peut-être dois-je démissionner, aller faire autre chose, parce que je ne suis pas écouté ? M.F.M. : Pas du tout. J'aurais réagi de la même façon qu'il s'agisse du Tchad ou de tout autre État membre. Le travail du président de la Commission est de mettre en œuvre les décisions de ses organes. Ça, c'est ma responsabilité, j'ai prêté serment. Ça peut être le Tchad, ça peut être un tout autre pays. Je crois que je suis totalement… et je l'ai dit : si demain le Conseil paix et sécurité décide de ne pas suspendre le Tchad, j'appliquerai totalement les décisions de cet organe. M.P.: Vous n'allez pas démissionner… M.F.M. : Je n'ai pas à démissionner. Pourquoi dois-je démissionner ? J'ai été élu par l'ensemble du continent. J'ai un mandat, je fais mon travail. L.C.: Pour parler du Mali maintenant, la France s'est retirée de ce pays. Les Européens s'en vont. Les Ivoiriens également. Est-ce que vous êtes inquiets de voir une situation dans laquelle les Forces armées maliennes, les Fama, et le groupe Wagner seraient seuls face aux jihadistes ? M.F.M.: Les troupes dont vous parlez, notamment celles qui sont dans la Minusma, sont venues dans le cadre d'une mission des Nations unies. C'est vrai, la plupart des effectifs sont des effectifs africains. J'espère que cette mission pourra continuer, quand bien même nous, à l'Union africaine, dans le continent de façon générale, nous constatons que les missions de maintien de la paix n'ont pas montré une efficacité dans un contexte comme celui du Mali. Il s'agit de trouver la paix avant de la maintenir donc, avec la question des mandats, etc. Donc, j'espère que cette mission va continuer. Du reste, ce sont des accords entre les autorités maliennes et les pays comme la France. Naturellement, c'est aux Maliens de décider. L.C.: Concernant l'Éthiopie, un accord parrainé par l'Union africaine vient donc d'être signé entre le gouvernement éthiopien et les rebelles du Tigré. Il prévoit le retrait de toutes les forces étrangères de la région. Or, l'armée érythréenne est toujours présente. Est-ce que le comportement de l'armée érythréenne ne va pas être essentiel à la réussite de cet accord ? M.F.M.: Ce qui est positif, c'est que les parties se soient assises autour d'une table. C'était à la fin du mois passé en Afrique du Sud. Elles ont signé cet accord important sur la cessation des hostilités. De toutes les façons, il y a des acteurs… les parties elles-mêmes savent de quoi il s'agit. Notre souci, c'est de les accompagner puisqu'ils se sont engagés. Il faut bien que ces forces-là, à un certain moment, partent parce que c'est convenu entre les parties.

Invité Afrique
Richard Marcoux (chercheur): «On naît de moins en moins francophone, mais on le devient de plus en plus»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 16, 2022 4:59


L'avenir de la francophonie se joue en Afrique, et se joue dans la complémentarité entre le français et les langues africaines... C'est le constat que font des chercheurs alors que l'Organisation internationale de la francophonie se réunit en sommet à la fin de cette semaine à Djerba en Tunisie. Comment l'Afrique en est-elle venue à occuper cette position centrale dans la francophonie ? Quelles sont les fragilités et les défis auxquels fait face la transmission du français sur le continent ? Pour en parler notre invité ce matin est le chercheur canadien Richard Marcoux, qui dirige l'observatoire démographique et statistique de l'espace francophone. Il répond aux questions de Laurent Correau.   RFI : Dans le dernier rapport la Langue française dans le monde, vous indiquez que c'est sur le continent africain que se joue l'avenir de la langue française, qu'est-ce qui vous amène à ce constat ? Richard Marcoux : En fait, ce sont vraiment les estimations démographiques. On estimait qu'il y avait à peu près 60 millions de francophones sur la planète au début des années 60, au moment des indépendances en Afrique. Ces 60 millions de personnes se répartissaient à 50 – 55 millions sur le continent européen et 5 millions de Canadiens français, donc plus de 90% de la population francophone était au nord de l'hémisphère. Cela a été transformé complètement à partir des années 60-70, porté d'abord par la croissance démographique assez importante qu'on a pu observer sur le continent africain, mais également par des investissements importants dans le domaine de l'éducation en langue française. Voilà les éléments qui font en sorte qu'on estime en 2022, à peu près, à la présence de 50% des 321 millions de personnes francophones sur le continent africain. Et donc cette progression, elle se poursuit en Afrique à l'heure actuelle ? Elle se poursuit en Afrique et elle y est vraiment portée par la croissance démographique. Dans plusieurs pays, on a réussi à maintenir les taux de scolarisation, il y a eu des augmentations considérables des taux de scolarisation primaire et secondaire dans les années 90, dans les années 2000, et évidemment dans d'autres pays on assiste à une stagnation, voire même à une régression. Je ne vous étonnerai pas en vous disant qu'au Mali, au Burkina Faso, la scolarisation stagne, voire diminue alors qu'ailleurs, en Côte d'Ivoire par exemple, depuis je dirais une dizaine d'années, on assiste à une augmentation assez importante, c'est également le cas au Bénin et au Togo. Vous avez une expression intéressante pour qualifier la place du français dans le monde contemporain, vous dites : « On naît de moins en moins francophone, mais on le devient de plus en plus », qu'est ce que vous voulez dire ? Tout ce que ça signifie c'est que le français, comme langue maternelle, est peut-être de moins en moins important... Les gens ont l'arabe comme langue maternelle, le wolof, le bambara, et bien d'autres langues, mais ils vont se franciser en quelque sorte à travers l'institution scolaire. En fait, il y a des contextes plurilingues extrêmement complexes dans la plupart des pays africains d'Afrique francophone, qui font en sorte qu'il est difficile qu'émerge une seule langue, une langue qui serait partagée par l'ensemble des populations. Depuis les années 80-90, le Français occupe cet espace-là. Le français cohabite donc avec les langues africaines et les usages ne sont pas les mêmes, on ne parle donc pas les mêmes langues au bureau, à la maison, au marché ? Dans des pays comme le Mali, ou encore le Sénégal, on voit bien qu'il y a une dichotomie : la langue à la maison est plutôt le bambara au Mali -ou d'autres langues maliennes- le wolof au Sénégal, mais ailleurs c'est assez étonnant, nos études montrent de plus en plus que le français est partagé à la maison. Je vous donnais l'exemple tout à l'heure de la Côte d'Ivoire, on le voit bien il y a une socialisation à des âges très jeunes parfois à deux même trois langues. Cette cohabitation du français avec les langues africaines et cette répartition des usages suivant les lieux et les situations, est-ce que ça oblige à d'autres stratégies d'enseignement du français ? Assurément, et je vous dirais que le programme ÉLAN [École et langue nationale en Afrique, NDLR] qui forme les élèves, qui les alphabétise dans leur langue maternelle d'abord et avant tout, en intégrant tranquillement la langue française, de façon progressive, donne des résultats extrêmement importants et ce depuis plusieurs années. Concernant la transmission du français, il y a aussi des fragilités importantes, une étude, qui s'appelle l'étude PASEC [Programme d'analyse des systèmes éducatifs, NDLR], qui a porté sur 14 pays de la francophonie, a montré qu'à la fin de leur scolarité plus de la moitié des élèves étaient en-dessous du seuil “suffisant” en lecture du français, est-ce que ça veut dire que la protection, le renforcement des systèmes éducatifs c'est l'un des grands défis actuels de la francophonie ? Assurément, dans les années 80-90, on a beaucoup tablé sur ce qu'on a appelé la massification de l'éducation sans se préoccuper de la qualité. Il faut maintenant mettre de l'avant un certain nombre de mesures pour s'assurer que les élèves qui passent à travers le système scolaire puissent en sortir avec des compétences vraiment assurées.   Est-ce que vous constatez, Richard Marcoux, un ralentissement de la progression de la langue française avec les courants anti-français que l'on voit se développer dans plusieurs pays ou est-ce que la langue française vit sa propre vie avec les populations africaines ? Je vous dirais que les enjeux qu'on observe pour l'instant sont liés en quelque sorte à des problèmes structurels, économiques, à des problèmes de crise politique. Est-ce que c'est lié à un sentiment anti-français ? Je ne crois pas. J'ai l'impression que le français est devenu une langue africaine, je ne sens pas qu'il y ait un lien entre ce courant anti-français et l'essor de la langue française.  

L'After Foot
Les dernières incertitudes concernant la liste.Deschamps prendrait-il un risque à appeler des joueurs blessés ? – 09/11

L'After Foot

Play Episode Listen Later Nov 9, 2022 12:07


L'émission qui dit tout haut ce que le monde du foot pense tout bas ! Cette année, l' « After Foot » fête ses 16 ans et propose un choc des générations ! Composée de ceux qui ont grandi avec l'After, la « Génération After » prendra les commandes de l'émission entre 20h et 22h. Avec Nicolas Jamain aux manettes, entouré de Kévin Diaz, Mathieu Bodmer, Walid Acherchour, Simon Dutin, Romain Canuti et Sofiane Zouaoui, cette nouvelle génération débattra avec passion, mais toujours en conservant les convictions et les codes de l'After. De 22h à minuit, place à la version originelle et historique de l'After autour de Gilbert Brisbois, Daniel Riolo, Stéphane Guy, et Florent Gautreau. Les soirs de Ligue des Champions, Jérôme Rothen rejoindra la bande pour les matchs du PSG et Mamadou Niang pour les matchs de l'OM. Nicolas Vilas sera aux commandes pour faire vivre les matchs dans l'After Live. Cette année, Thibaut Giangrande pilotera l' « After Foot » le vendredi et samedi.

Les Grandes Gueules du Sport
La Punchline des GG : Êtes-vous d'accord avec l'analyse de Zlatan Ibrahimovic concernant Kylian Mbappé ? - 06/11

Les Grandes Gueules du Sport

Play Episode Listen Later Nov 6, 2022 11:29


Le grand débat sportif du week-end ! Tous les samedis et dimanches de 9h à 12h, « Les Grandes Gueules du Sport » donneront un avant-goût des week-ends sport sur RMC. Christophe Cessieux sera aux côtés des consultants Olivier Girault, David Douillet, Marie Martinod et Stephen Brun. Cette année, le capitaine de l'Équipe de France de basketball Nicolas Batum s'ajoute à la Dream Team Sport dans ce rendez-vous 100% sport, pour échanger et débattre sans tabou sur l'actualité sportive !

Radio Maria France
2022-10-26 Interview concernant "Merci Marie", projets du 8 décembre

Radio Maria France

Play Episode Listen Later Oct 28, 2022 16:00


Avec Marie-Eve et Nicolas www.mercimarie.com www.100etoiles.com www.ciergeriedesfosses.fr

Trump 2020
Pourquoi les midterm risquent de compliquer la vie de Joe Biden

Trump 2020

Play Episode Listen Later Oct 19, 2022 15:49


Dans trois semaines les États-Unis vont voter pour les élections de mi-mandat, les midterms.  Lors de ces élections seront désignés tous les élus de la Chambre des représentants (34 sénateurs sur 100) ainsi que de très nombreux postes électifs dans les états comme les postes de gouverneurs ou encore des fonctions comme shérif.  La campagne est lancée, autour de sujets phares de cette campagne sont l'inflation, l'avortement, les problèmes judiciaires de Donald Trump et puis, plus largement, les craintes pour la démocratie américaine. Concernant les élections, nous avions déjà évoqué dans ce podcast le fait les perspectives s'étaient légèrement améliorées pour les Démocrates. Aujourd'hui, où en sommes nous? Quels sont les derniers pronostics des sondeurs? Tous les mercredis, New Deal décortique l'actualité politique américaine. New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate.fr en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI), sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours. Prise de son, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues Musique: «Cutting It Close», DJ Freedem Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.

Invité Afrique
Saleh Kebzabo: le gouvernement de transition va «amener le Tchad à des élections libres et sincères»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 13, 2022 9:53


Saleh Kebzabo a été nommé Premier ministre du Tchad ce mercredi 12 octobre. Ancien adversaire farouche d'Idriss Déby, il devient donc le chef du gouvernement de son fils. Alors que le pays entre dans une seconde phase de transition de 24 mois devant déboucher sur des élections, celui qui a beaucoup œuvré lors des derniers 18 mois explique pourquoi il a accepté cette mission.  RFI: Pourquoi avez-vous accepté de devenir le Premier ministre de la transition ? Saleh Kebzabo : J'ai accepté cette lourde charge parce que je suis dans la transition, dans la pré-transition d'abord qui est en train de prendre fin, et puis dans la transition ensuite, depuis la mise en place du nouveau système. J'ai apporté ma contribution à tous les niveaux. J'ai participé à la préparation du dialogue lui-même en tant que vice-président du Codni [Comité d'organisation du dialogue national inclusif]. J'ai fait trois pays africains de l'Ouest pour le pré-dialogue et puis ensuite, j'ai participé au pré-dialogue de Doha avec les politico-militaires pendant cinq mois. Et j'ai participé à tous les dialogues à Ndjamena. Je pense que tout cela est assez motivant pour accepter tout ce qui va s'en suivre. Est-ce une récompense pour les services rendus pendant les derniers 18 mois ? Le récompense, je l'ai déjà eue. Après Doha, on m'a décoré de la plus haute fonction honorifique du Tchad, je crois que c'est suffisant. Cette implication, c'est parce que vous croyez vraiment que cette transition peut changer le système tchadien ? Je ne fais jamais ce en quoi je ne crois pas et je m'implique toujours quand j'y crois. C'est ce que j'ai fait, je me suis donné corps et âme, et tous les Tchadiens le savent. Tout ce processus que je viens de décrire qui est parti depuis l'année dernière jusqu'à aujourd'hui, je me suis impliqué à fond parce que j'y crois profondément. Et je pense que les Tchadiens ont là la seule opportunité de mon point de vue de se réconcilier, de faire en sorte que vraiment la page douloureuse du passé, on la tourne définitivement -et c'est possible-, et qu'on envisage l'avenir. Je crois que le dialogue nous en a offert toutes les perspectives. Nous devons saisir toutes les opportunités et faire en sorte que ça change. Et c'est possible que ça change. Vous avez passé plusieurs décennies à vous opposer à Déby père. Pourquoi aujourd'hui travailler pour Déby fils ? Est-ce qu'il est différent de son père ? Je n'ai pas de problème de patronyme. Je n'ai pas de problème de Déby-famille, Déby Itno et autres. J'avais une opposition politique farouche contre le président Déby [Idriss Déby Itno] qui est décédé, paix a son âme. Je ne veux pas transporter ce combat-là de père en fils ou de fils en père. Certains vont vous accuser d'être la caution de la transmission dynastique du pouvoir ? Mais quand on est dans la vie politique active, il faut être prêt à recevoir tous les mots, voire toutes les accusations pourvu que vous soyez quitte avec vous-même, avec votre conscience, avec votre pays, dans ce que vous faites. Et vous êtes quitte avec la possibilité de participer aux élections en ce qui concerne Mahamat Idriss Déby à la fin de la transition ? L'éligibilité, ça vous va ? Les élections sont ouvertes à tous les Tchadiens, sauf ceux qui sont frappés par la loi. Je n'en suis pas. Il y a eu des manœuvres pour m'éliminer avec la règle des 70 ans. Et finalement, on l'a fait sauter. Donc, tous les Tchadiens, qui sont en accord avec la loi, avec leur conscience, avec eux-mêmes et qui ont la capacité physique et morale, sont libres d'être candidats. Y compris le président de la transition ? Cela a déjà été dit, vous-mêmes vous en avez parlé ces derniers jours. Mais est-ce que vous ne risquez pas de vous couper de vos partenaires internationaux, notamment de l'Union africaine qui s'oppose à cette éligibilité des dirigeants de la transition ? Je pense que les premiers moments passés, je crois que les partenaires du Tchad devront sans doute revenir à de meilleurs sentiments, parce que l'année dernière, on était dans les mêmes circonstances, ils ont trouvé que le Tchad était une exception. Cela n'a pas changé, le Tchad est toujours une exception. On ne change pas en un an et demi. Et je crois qu'on va revenir sur cette question pour permettre aux Tchadiens, qui se sont réunis dans un dialogue national inclusif et souverain [de décider]. Ce sont vraiment des représentants de la nation qui ont parlé et qui ont pris une décision. Il ne faudrait pas que les organisations extérieures viennent contredire les vœux exprimés par les populations tchadiennes. Votre priorité, c'est d'organiser des élections crédibles dans 24 mois ? L'une des priorités en effet. Pour arriver à des élections crédibles dans 24 mois, il faut passer par plusieurs cases, par la case sécurité, par la case réconciliation, par la case réforme de l'armée et différentes autres cases qui sont tout aussi importantes. C'est l'ensemble de tout cela qui va nous amener à de bonnes élections. Et croyez-moi, j'en suis vraiment fier parce que je me suis battu pendant 25 ans pour avoir des élections transparentes. J'en ai l'opportunité aujourd'hui et croyez-moi, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir et tout ce que dieu va me donner comme capacités pour faire en sorte que le Tchad ait enfin des élections transparentes et que le Tchad soit un pays exemplaire, sinon en Afrique centrale, du moins dans toute l'Afrique du point de vue de la démocratie ouverte. Justement, vous vous en êtes plaint pendant des années du fait que le Tchad n'avait jamais eu d'élections transparentes. Est-ce que vous avez obtenu des garanties pour que ce soit différent la prochaine fois ? Je crois que le dialogue a dessiné toute l'architecture qu'il faut pour aller à des élections transparentes. Nous allons nous y atteler dès maintenant. C'est donc l'ensemble des Tchadiens qui sont interpelés. Il n'y en a pas qui vont rester sur la touche ou qui vont rester aux fenêtres pour parler. Il faut que tout le monde mette la main à la pâte. Et c'est ainsi qu'on aura des élections transparentes. C'est l'affaire de tous. C'est l'affaire de toutes les couches de population de notre pays. Ce n'est pas la faute d'une catégorie ou d'une infime minorité. Vous avez 75 ans. Est-ce qu'organiser ces bonnes élections serait votre héritage politique ? Ça peut, si vous voyez les choses de cette façon-là, c'est bien. Mais ce qui est certain, c'est que tant que Dieu m'en donnera la force, les capacités et les moyens, je donnerai tout ce que j'ai pour servir ce pays pour l'amener vraiment à sortir des ornières, pour être un pays libre et démocratique. Je le ferai, c'est ça mon souhait. Justement le président de la transition a dressé une liste de priorités, une liste étoffée. Est-ce que vous vous sentez d'attaque pour mener de front tous ces chantiers qui sont nombreux ? C'est un défi. C'est un défi commun, et ce n'est pas un défi personnel, ni pour lui ni pour moi. Il n'a fait que relever ce que le dialogue a dit. Nous sommes à l'écoute du dialogue qui a duré 45 jours pour lequel les Tchadiens se sont exprimés en toute liberté. Et ce qu'ils ont dit, il ne faut pas l'oublier. Je crois que c'est ainsi que je commence ma charge, je me remets à l'écoute du dialogue et je suis ouvert au dialogue. Hors des élections, quelles sont les priorités : c'est la lutte contre la corruption, contre les délestages, l'accès à l'eau potable, les conflits intercommunautaires ? Vous avez cité les principaux [problèmes] sur lesquels on peut axer notre action. Mais je dis, attention, un gouvernement de transition n'est pas un gouvernement normal. Nous ne sommes pas un gouvernement ordinaire qui va tout prendre en charge et qui va vouloir tout faire pour le pays. Non. Nous avons une mission spécifique qui est d'amener ce pays à des élections transparentes, libres, sincères. Et pour y arriver, il faut baliser la route par la paix -La paix d'abord est le facteur numéro 1-, par les soucis des conflits intercommunautaires qui est un problème de sécurité, par les conflits entre les éleveurs et les cultivateurs, par d'autres soucis liés à des pratiques comme celles que vous avez citées, la corruption et tout ce que ça peut entraîner comme corollaire, et aussi le nationalisme, le patriotisme, remettre les Tchadiens au travail parce que ce pays ne travaille pas. Les Tchadiens ne travaillent pas depuis près de 40 ans. Il faut qu'ils réapprennent à travailler. Il faudra construire un État de droit dans lequel il fait bon vivre, avec le respect de toutes les libertés : liberté d'association, liberté de manifestation, liberté de participation au parti de son choix, et ainsi de suite. Concernant votre gouvernement, quand aura-t-on sa composition ? Dans les jours qui viennent. Il n'y a pas de précipitation pour ça. On va le faire tranquillement avec le maximum de précautions pour ne pas se tromper. Il faut avoir un bon gouvernement qui va durer deux ans. Est-ce que vous allez proposer à des membres des Transformateurs et de Wakit Tama de vous rejoindre ? Le gouvernement sera ouvert à tous les Tchadiens. Je ferai effectivement appel à tous les Tchadiens. Là -dessus, je suis de concert avec le président, nous sommes d'accord qu'il faut faire appel à tous les Tchadiens pourvu qu'ils acceptent de venir dans ce gouvernement. Ils auront leur place. À Doha, au Qatar, en août 2022, après plusieurs mois de tractations, vous n'avez pas pu rallier tous les groupes rebelles à l'accord, pas le Fact en premier lieu. Pensez-vous pouvoir les ramener à la table des négociations ? Depuis notre départ de Doha, nous avons toujours dit que l'accord était ouvert. Nous n'allons pas les laisser comme ça, on va travailler à ce que le Fact, le CCMSR [Conseil de commandement militaire pour le salut de la République] et ainsi de suite, ceux qui sont vraiment des mouvements importants sur le terrain, tout comme ceux qui le sont moins, ou ceux qui sont encore en exil, puissent revenir avec nous dans la case commune qui est le Tchad. C'est ça le plus important. Je crois qu'il faut balayer toutes les forces dissidentes qui nous minent inutilement et qui créent des conflits qui perdurent pour rien. Je crois que chacun de ces mouvements a sa place au Tchad. On va essayer de faire en sorte que dans les discussions parallèles ou par pays interposés ou autres, pendant les jours, les semaines ou les mois qui viennent, que les Tchadiens se retrouvent vraiment dans leur intégralité. Ne craignez-vous pas que ces groupes non-signataires tentent à nouveau de déstabiliser le pays ? Ils auraient tort de le faire, parce que déstabiliser le pays voudrait dire tenter encore la rébellion armée pour s'emparer du pouvoir par les armes. Voilà quelque chose dont les Tchadiens ne veulent plus. S'il y a un point important sur lequel nous sommes tous d'accord, c'est bien celui-là. Et je crois qu'il faut qu'il y ait des discussions. Tout est à mettre sur la table. Ceux qui étaient à Doha l'ont fait. Si on pense que l'accord n'est pas suffisant, qu'il y a des points d'ombre, des zones d'ombre ou s'il y a encore des points sur lesquels il faut revenir, je pense que c'est tout à fait possible et c'est tout à fait normal. L'accord est ouvert. ► À lire aussi : Tchad: Saleh Kebzabo nommé Premier ministre

Les journaux de France Culture
Le conflit des carburants fait tache d'huile

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Oct 13, 2022 15:18


durée : 00:15:18 - Journal de 22h - A l'initiative de la CGT, quatre confédérations syndicales appellent à une journée de mobilisation interprofessionnelle le 18 octobre. Ce jour-là, une grève reconductible débutera à la SNCF. Concernant les raffineries, des négociations ont débuté ce soir entre TotalEnergies et les syndicats.

Les informés de France Info
Éric Dupond-Moretti renvoyé devant la Cour de Justice de la République, le débat sur l'Ukraine à l'Assemblée nationale et Sandrine Rousseau qui ne "regrette rien" concernant l'affaire Bayou... Les informés de franceinfo du lundi 3 octobre 202

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Oct 3, 2022 55:32


durée : 00:55:32 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour de Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité du lundi 3 octobre.

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Il y a beaucoup de mythes à déconstruire concernant le cholestérol, dit Dre Sylvie I. Demers

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Sep 28, 2022 7:43


Entrevue avec Dre Sylvie I. Demers, médecin de famille, biologiste et docteure en médecine expérimentale (génétique moléculaire humaine) : on discute de son nouveau roman « Hormones féminines et cholestérol ». Il s'agit de la suite de son best-seller « Hormones au féminin »Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Tout un monde - La 1ere
Pékin lance sa contre-offensive concernant le Xinjiang au Conseil des droits de l'Homme

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Sep 23, 2022 4:41


Tout un monde - La 1ere
Tout un monde - Présenté par Patrick Chaboudez

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Sep 22, 2022 23:12


Au sommaire: la situation à Moscou et l'interview de Zoia Svetova; Concernant les stocks d'armes en Occident, la guerre en Ukraine pose le problème des armes que les pays livrent mais également d'armements importants qui vont devoir être remplacés; Au Pakistan, l'armée et les membres d'ONG interviennent chaque jour en bateau pour secourir les habitants encore piégés par les eaux.

Radio Maria France
2022-09-16 Interview concernant l'association FIDE

Radio Maria France

Play Episode Listen Later Sep 20, 2022 30:16


Avec Janvier Hongla, président de l'association, et Linda, adhérente.

Radio Maria France
2022-09-19 Interview concernant les 40 ans de Mère de Miséricorde

Radio Maria France

Play Episode Listen Later Sep 20, 2022 20:37


Avec Cécile Champion

Le Cours de l'histoire
Comment réglait-on les conflits concernant l'usage de l'eau au Moyen-Âge ?

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Sep 13, 2022 3:24


durée : 00:03:24 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Savez-vous que dans le passé, les conflits sur les usages de l'eau étaient déjà fréquents ?

Forum - La 1ere
Les leçons du passé concernant les pénuries d'énergie: interview de Serge Paquier

Forum - La 1ere

Play Episode Listen Later Aug 27, 2022 6:12


Interview de Serge Paquier, historien, auteur d'une "Histoire de l'électricité en Suisse, la dynamique d'un petit pays européen, 1875-1939".

L'After Foot
LDC : les supporters monégasques dans l'inconnu concernant le niveau réel de leur équipe – 18/07

L'After Foot

Play Episode Listen Later Jul 18, 2022 14:30


L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).

L'After Foot
Le Top de l'After Foot : Daniel pense qu'il ne faut pas s'inquiéter concernant le dégraissage au PSG – 11/07

L'After Foot

Play Episode Listen Later Jul 11, 2022 22:44


Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport ! L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).

L'After Foot
Daniel pense qu'il ne faut pas s'inquiéter concernant le dégraissage au PSG – 11/07

L'After Foot

Play Episode Listen Later Jul 11, 2022 25:09


L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).

L'After Foot
Simone en colère contre Nantes après l'annulation du challenge Emiliano Sala + Mercato Show + Retour sur les déclarations de Noël Le Graët concernant le Qatar et l'avenir de Deschamps – 07/07

L'After Foot

Play Episode Listen Later Jul 7, 2022 17:52


L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).