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Culture médias - Philippe Vandel
Le casting de la nouvelle saison de «Danse avec les stars» se précise et deux animateurs nommés dans un sondage concernant l'élection présidentielle de 2027

Culture médias - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 7:15


Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, deux nouveaux noms viennent de s'ajouter à la liste du castin de "Danse avec les stars" et deux animateurs nommés dans un sondage concernant l'élection présidentielle de 2027. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le casting de la nouvelle saison de «Danse avec les stars» se précise et deux animateurs nommés dans un sondage concernant l'élection présidentielle de 2027

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 7:15


Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, deux nouveaux noms viennent de s'ajouter à la liste du castin de "Danse avec les stars" et deux animateurs nommés dans un sondage concernant l'élection présidentielle de 2027. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal des médias
Le casting de la nouvelle saison de «Danse avec les stars» se précise et deux animateurs nommés dans un sondage concernant l'élection présidentielle de 2027

Le journal des médias

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 7:15


Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, deux nouveaux noms viennent de s'ajouter à la liste du castin de "Danse avec les stars" et deux animateurs nommés dans un sondage concernant l'élection présidentielle de 2027. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invité Afrique
Madagascar : «Il y aura des procédures contre toutes les personnes qui ont commis des infractions»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 19:51


« Avant la fin de l'année, Madagascar va lancer des poursuites judiciaires contre le président déchu Andry Rajoelina », a annoncé ce lundi 1er décembre sur RFI la nouvelle ministre de la Justice de Madagascar, Fanirisoa Ernaivo. Depuis son exfiltration par la France, le 12 octobre dernier, Andry Rajoelina vit sans doute à Dubaï, où il a placé une partie de sa fortune. Mais il est soupçonné par les nouvelles autorités malgaches de graves faits de corruption. En ligne d'Antananarivo, la ministre de la Justice fait le point, au micro de Christophe Boisbouvier, sur les procédures contre les dignitaires de l'ancien régime de Madagascar. RFI : Fanirisoa Ernaivo, le régime d'Andry Rajoelina est accusé de multiples actes de corruption. Est-ce que vous n'êtes pas submergée par le nombre de dossiers ? Fanirisoa Ernaivo : Effectivement, nous sommes submergées par un grand nombre de dossiers qui n'ont pas pu être instruits au moment où j'étais encore au pouvoir. À lire aussiMadagascar: la société civile critique la trajectoire prise par la transition L'une des causes de l'insurrection du mois d'octobre, c'est le manque d'eau et d'électricité à Antananarivo, est-ce que la société étatique Jirama, qui produit et distribue l'eau et l'électricité, a été l'objet de graves détournements ? Je ne pourrais vous dire oui ou non, parce qu'il y a des détournements et la mauvaise gouvernance dans la Jirama. Mais ça, je ne pourrais en parler dans l'affirmatif sans avoir un dossier devant moi. Et nous sommes en train de faire un audit des contrats de la Jirama au niveau du gouvernement. Et c'est là, après cet audit, après la révision de ces contrats, qu'on pourra parler de quel est vraiment le détournement de pouvoir dont on pourrait accuser quelques personnes et quelques entités dans cette histoire de défaillance de la Jirama. Est-ce que parmi les personnes soupçonnées d'être impliquées dans ces détournements à la Jirama, il y a le milliardaire en fuite, Mame Ravatomanga ? Pour l'instant, on est en train de commencer. Je n'ai même pas encore eu le dossier devant mes yeux. Et donc, sans vouloir tout de suite spoiler le contenu de cet audit, je vais dire qu'il y a des personnes dont, éventuellement, l'opérateur économique, Mame Ravatomanga, plusieurs sociétés, dont il a des branches, pourraient être mises en cause dans les résultats de cet audit. Des sociétés qu'il contrôle de façon indirecte ? Voilà. Dans la filière du litchi, il y avait une société écran qui s'appelait Litchi Trading Company, LTC, et par laquelle transitaient les fonds entre importateurs et exportateurs. Et du coup, tous les exportateurs malgaches viennent d'être approchés par les enquêteurs du Bianco, le bureau indépendant anticorruption. Est-ce à dire que ce sont tous les exportateurs malgaches de Litchi qui ont trempé dans de graves détournements d'argent ? On ne va pas parler de détournement, on va parler d'évasion fiscale. Concernant le dossier Litchi, du groupement des exportateurs de litchi, en effet, il y a eu la création de cette entité qui s'appelle GEL, Groupement des Exportateurs de Litchi. Normalement, ce groupement devait être institué pour pouvoir acheter à des prix avantageux pour les producteurs et pour revendre à l'exportation à des prix avantageux pour l'État et les exportateurs, en termes de retour de rapatriement de devises. Mais ces exportateurs-là, donc, ils vont collecter la production des produits, des producteurs locaux, et ils vont revendre toute la production à une société qui s'appelle LTC, qui est basée à Maurice, et donc qui devient le principal débouché de toute la production malgache. Alors que ce LTC, il s'avère que ça appartient à quelques têtes des membres du GEL. Et cela, donc, s'apparente à plafonner les devises issues de cette exportation au niveau de la vente effectuée entre le GEL et les exportateurs. Après, la LTC, la LitchiTrading Company, va revendre toute la production à d'autres distributeurs qui sont vraiment les vrais distributeurs de l'litchi dans le monde. Mais leur chiffre d'affaires va s'arrêter au niveau de la LTC, qui reste à Maurice. La fameuse société écran ? Voilà, la fameuse société écran. Et donc, du coup, l'État malgache va pouvoir rapatrier juste les devises qui ont été payées au niveau du GEL vers LTC. Et ça s'arrête là. Ça permet de cacher une grande partie des bénéfices ? Ça permet de soustraire une grande partie des bénéfices issus de cette exportation de litchis. Et comme la société est mauricienne, même s'il y a quelques membres du GEL qui sont derrière cette société, Madagascar pense qu'il y a quand même une lésion envers l'État malgache et le fisc malgache, parce que nous, nous ne savons pas donc quel est le vrai chiffre d'affaires du GEL. Parce que ça s'arrête à Maurice. Et combien d'opérateurs économiques sont visés par cette enquête ? Je ne suis pas encore en mesure de vous donner des noms ni des chiffres. Parce que l'enquête est en cours. Ce dossier de GEL LTC est actuellement en instruction parallèle entre Bianco Madagascar, PNF en France. Le parquet national financier et la FCC à Maurice  La commission d'enquête financière de l'île Maurice ? Voilà. Et pour cette enquête-là, le dossier a été déposé en 2021 par Transparency International.  Et il a été réouvert ici à Madagascar à notre arrivée au mois d'octobre dernier. D'accord. Donc l'enquête redémarre depuis le mois d'octobre ? On va dire qu'elle a débuté à Madagascar depuis fin octobre. Donc l'enquête redémarre depuis le mois d'octobre ? Depuis le changement de régime ? Voilà. Ça je voulais le préciser. Donc là actuellement, je n'ai pas encore tous les éléments d'information parce qu'il y a des enquêtes là-dessus. Mais ce qui est sûr, c'est que Mame Ravatomanga est parmi les personnes qui sont directement ou indirectement dans le LTC. Mais ce sera les résultats de l'enquête qui vont le confirmer s'il dirige directement ou indirectement cette société. LTC, Litchi Trading Company, la fameuse société écran ? Dans tous les cas, il dirige cette société. Cette société lui appartient et c'est là que je dis directement ou indirectement. Et il y a d'autres personnes également, je pense. Mais on le saura plus tard. Et donc l'infraction qui est constituée dans ce dossier est donc une évasion fiscale au détriment de l'État malgache. Et l'Ile Maurice est donc coopérative pour identifier le montant et la gravité de l'évasion fiscale. Autre dossier emblématique, Madame la Ministre, celui de 5 avions Boeing 777 qui ont été livrés clandestinement à une compagnie iranienne, Mahan Air. Malgré les sanctions américaines contre l'Iran, les certificats d'immatriculation de ces 5 avions ont été décernés à Madagascar. Alors où en est l'enquête ? Actuellement, nous sommes également sur ce dossier conjointement avec Maurice, le FBI et Madagascar. Nous avons repris les enquêtes au fond sur les principales personnes auteurs ou co-auteurs ou témoins. Et nous avons convoqué l'ancien ministre des Transports, pour être entendu au niveau du pôle anticorruption. Mais son avocat a répondu que le pôle anticorruption n'était pas compétent pour entendre l'ancien ministre. Sur lequel nous avons répondu que selon l'article 134 de la Constitution, pour les infractions de crimes ou délits qui sont extérieures à la fonction de ministre, même les ministres et les personnes assujetties à la haute cour de justice sont justiciables devant les tribunaux de droit commun, donc le pôle anticorruption, sans passer par la haute cour de justice. D'accord. Donc on attend s'il va s'exécuter ou pas selon cet article 134. Il y a plusieurs autres personnes qui ont été indiquées. Et qui ont été réentendues dans le cadre de cette enquête. Elles sont passées en enquête au fond, devant le pôle anticorruption, dans le cadre de cette enquête. Je n'ai pas le nombre de personnes qui sont citées dans le dossier Alors on retrouve aussi dans ce dossier apparemment le nom de Mame Ravatomanga, le milliardaire qui s'est enfui à l'île Maurice. Puisque selon nos confrères du site d'information scoop.mu, c'est ce milliardaire qui aurait usé de ses bonnes relations, avec les autorités malgaches et l'aviation civile malgache, pour faire homologuer ces 5 Boeings à destination de l'Iran. Et pour cela il aurait touché une commission de 5 millions d'euros ? Oui en effet c'est ressorti dans le dossier qu'il a perçu ce montant de 5 millions d'euros ou de dollars, pour permettre la délivrance de la première immatriculation de ces 5 avions. Immatriculation provisoire. D'accord. ll y a 1, 2, 3, je pense qu'il y a plusieurs personnes qui ont soutenu ce fait. Mais surtout il y a 2 personnes qui sont les témoins clés, témoins mais mis en cause aussi, dans cette remise de somme d'argent. Notamment les personnes qui lui ont remis la somme, et la personne qui a servi d'intermédiaire à cette remise. Je ne peux pas vous dire les noms pour protéger leur témoignage, si elles sont également mises en cause. Mais donc il y a 2 personnes. Et c'est 2 personnes qui devaient confirmer ce fait Alors vous parlez du FBI, le bureau d'investigation fédéral des Etats-Unis. Est-ce qu'il y a actuellement sur le sol de Madagascar des inspecteurs du FBI ? Actuellement non, mais on a demandé leur collaboration sur ce dossier. Je pense qu'ils sont encore sur ce dossier, mais aux Etats-Unis, mais pas encore à Madagascar. Alors quand le milliardaire Mame Ravatomanga a quitté Madagascar pour l'île Maurice, vous avez été mandatée, vous n'étiez pas encore ministre à l'époque, vous avez été mandatée par les nouvelles autorités malgaches pour aller à Port-Louis et pour obtenir l'extradition de monsieur Ravatomanga. Où en est la procédure ? Je vais rectifier. Ma mission sur Maurice, c'était de représenter le nouveau gouvernement, les nouveaux dirigeants de l'Etat malgache pour suivre le dossier et faire toutes les diligences concernant ce dossier. Et donc rapporter à Maurice toutes les infractions, toutes les actions commises sur Madagascar par Ravatomanga et consorts, faire un état de toutes les procédures qui existent à Madagascar contre Mame Ravatomanga et consorts, appuyer la plainte qui a été déposée par un Malgache à Maurice contre Mame Ravatomanga et consorts, et dans le cadre de tout cela, faire écho d'un mandat d'arrêt international décerné à Madagascar contre Mame Ravatomanga, et ce mandat d'arrêt doit être soldé par une extradition. Une extradition à la fin de toutes ces procédures, en sachant qu'une extradition ne peut être effectuée qu'à la fin d'une procédure. Quelle est la situation judiciaire de Mame Ravatomanga aujourd'hui à l'île Maurice ? Il est en état d'arrestation et comme son état de santé s'est dégradé depuis son arrivée à Maurice jusqu'à ce jour, il est en état d'arrestation mais il passe donc sa détention dans une clinique privée ou dans un hôpital. Son statut juridique est un état d'arrestation. Et que souhaitez-vous maintenant à son sujet ? Nous souhaitons poursuivre l'enquête sur les plusieurs dossiers dans lesquels il est impliqué à Madagascar et nous avons demandé des commissions rogatoires internationales à Maurice pour pouvoir faire ses auditions et les enquêtes sur sa personne, sur les personnes qui pourraient être impliquées avec lui et qui sont actuellement sur Maurice, notamment toute sa famille et ses collaborateurs et également faire des enquêtes financières sur ses sociétés à Maurice, conjointement avec la FCC. La commission d'enquête financière mauricienne. Et si au bout de cette enquête il y a procès, est-ce que vous souhaitez qu'il ait lieu à Maurice ou à Madagascar ? Je pense que pour l'instant il est plus judicieux qu'il reste à Maurice car à partir du moment où il sort de Maurice, on n'est plus sûr de rien. On n'est pas sûr qu'il va arriver à Madagascar, on n'est pas sûr qu'il va atterrir à Madagascar ou dans un autre pays. Sauf s'il y a extradition. L'extradition, je vous le dis, c'est après une condamnation. Nous pouvons le condamner ici à Madagascar et le faire condamner également à Maurice et ce ne serait qu'après cette condamnation qu'il va devoir rejoindre les prisons malgaches parce qu'en fait l'extradition c'est, on va dire, la réalisation d'un emprisonnement sur le territoire d'origine. C'est-à-dire ? C'est-à-dire malgache, là où s'est perpétrée l'infraction. Donc si je comprends bien, au bout de l'enquête actuelle, il pourrait y avoir un procès à Madagascar en l'absence de M. Ravatomanga. Et en cas de condamnation, il pourrait être ensuite extradé de Maurice à Madagascar, c'est ça ? Oui, et il pourrait également être jugé à Maurice par les autorités mauriciennes et peut-être soldé par une condamnation si les faits sont avérés. Il pourrait donc y avoir deux procès en parallèle ? Un à Maurice et un à Madagascar ? Exactement. Mais sur des faits différents alors ? Sur des faits différents. Au moment de l'insurrection du mois d'octobre, beaucoup d'autres dignitaires de l'ancien régime se sont enfuis, à commencer par le président, Andry Radjoelina, le Premier ministre, le président du Sénat. Alors du coup, beaucoup de Malgaches se demandent pourquoi vous n'avez pas lancé contre eux des mandats d'arrêt internationaux alors que vous l'avez fait contre M. Ravatomanga ? Si, on en a fait contre l'ancien maire de Tana. Il est impliqué dans un dossier où il y a plusieurs personnes qui sont placées sous mandat de dépôt et où lui-même est inculpé. Mais il a pu se soustraire à l'arrestation. On a lancé un mandat d'arrêt à Madagascar et internationaux contre lui au cas où il arriverait à sortir de Madagascar. Mais pour les autres, les mandats d'arrêt internationaux ne peuvent être faits que sur la base d'une procédure déjà ouverte. Or, aucune procédure n'a été ouverte, ni contre le président Andry Rajoelina, ni contre l'ancien Premier ministre, ni contre l'ancien président du Sénat ? Pas encore. Et justement, quelles sont les personnes contre qui vont être ouvertes des procédures ? Je ne dirais pas les noms parce qu'il y en a qui sont encore à Madagascar et qui risquent de s'enfuir si je vais dire les noms. Il y a des procédures qui ont déjà été ouvertes. Par exemple, pour Mame Ravatomanga, il y a eu ls Boeing 777. Il y a le dossier GEL-LTC. Avec ces deux procédures-là, qui étaient au PNF et au Bianco, il y a eu un mandat d'arrêt pour pouvoir permettre aux juridictions compétentes de procéder à une enquête envers Mame Ravatomanga. Il y a eu une procédure ouverte au niveau du Bianco et du pôle anticorruption contre Le Maire de Tana et Consort. Et comme il n'a pas pu se présenter à cette enquête, un mandat d'arrêt international a été décerné à son encontre également pour pouvoir le présenter devant la justice. On parle du maire d'Antananarivo ? On parle de l'ancien maire, oui. Pour Andry Rajoelina, en tant qu'ancien président, il faut qu'il soit présent. Il faut qu'il y ait une procédure ouverte et nous sommes en train de voir quelles sont les possibilités, ainsi que les autres membres du gouvernement. On est en train également de voir quelles sont les possibilités. Et une fois que ces possibilités de poursuites sont ouvertes, des convocations vont être envoyées. Convocations d'abord et puis mandat d'arrêt après. Et s'ils ne sont pas à Madagascar, donc des mandats d'arrêt internationaux. C'est comme ça en fait les procédures. On ne peut pas lancer tout de suite un mandat d'arrêt. Il faut d'abord qu'on ouvre l'enquête. Qu'on fasse les convocations. Et s'il est avéré que la personne n'est pas à Madagascar, on lance le mandat d'arrêt. Donc vous envisagez une procédure contre l'ancien président Andry Rajoelina ? Bien sûr. Pour toutes les personnes qui ont commis des infractions dans ce pays, il y aura des procédures qui seront ouvertes contre elles, y compris Andry Rajoelina. Et contre Andry Rajoelina, cette procédure pourrait-elle être ouverte d'ici la fin de l'année ? Bien sûr, avant la fin de l'année. Donc dans les semaines qui viennent ? Je ne pourrais pas vous dire dans combien de temps. Avant la fin de l'année. Et sur quelle base ? Sur quels faits précis ? Quand la procédure sera ouverte, vous aurez la communication là-dessus. Plus les avocats de la défense savent moins longtemps à l'avance, moins ils peuvent se défendre. Et préparer leurs alibis. Donc je ne peux pas vous dire sur quelle base on va les inculper avant d'entamer la procédure. C'est sûr qu'ils vont être poursuivis. Mais on ne peut pas vous dire là tout de suite sur quelle base. Sinon ils vont anticiper les preuves, ils vont préparer leur défense, leurs alibis, etc. Et ça rentre dans le cadre du secret de l'instruction. C'est sûr que l'ancien président Andry Rajoelina va être poursuivi ? Voilà. Donc ça c'est une certitude. Alors on sait que beaucoup d'avoirs...Et je pense que lui-même, il n'ignore pas qu'il a commis des infractions dans ce pays. À lire aussiMadagascar: Emmanuel Macron propose au nouveau dirigeant malgache «l'appui de la France» pour la transition

Journal d'Haïti et des Amériques
États-Unis: focus sur Marco Rubio, au centre des tractations concernant l'Ukraine et le Venezuela

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 30:00


Les journaux reviennent sur le rôle central que Marco Rubio, le secrétaire d'État américain, joue dans les négociations autour d'un possible accord de paix entre l'Ukraine et la Russie. Le New York Times note que la présentation du plan, vendredi 21 novembre, a été plus que maladroite, certains parlant même de « chaos ». Marco Rubio a d'abord minimisé le texte en le décrivant comme « une liste d'idées », alors que Donald Trump et son vice-président JD Vance l'approuvaient pleinement. Les contradictions se sont poursuivies : dimanche 23 novembre, Trump attaquait Kiev sur les réseaux sociaux pendant que Marco Rubio, lui, tentait de sauver le projet à Genève. Pour le New York Times, il a réussi au moins une chose : reprendre la main sur un plan dont l'issue reste très incertaine. La presse insiste aussi sur cette cacophonie, conséquence de la stratégie de Donald Trump qui contourne de plus en plus la diplomatie traditionnelle. Selon Politico, la coordination a été abandonnée au profit de négociateurs officieux — JD Vance et son allié Dan Driscoll notamment — avant que Rubio ne reprenne le dossier à Genève. Politico souligne toutefois une inconnue : le rôle que pourraient jouer dans ces discussions des figures proches de Trump comme Steve Witkoff ou Jared Kushner, décrits comme « assez indépendants ». En Europe, on doute d'ailleurs que toute l'équipe soit réellement alignée derrière Marco Rubio. Marco Rubio est également en première ligne sur un autre front : le bras de fer entre Washington et Caracas. Artisan de la ligne dure contre le Venezuela, il soutient une stratégie américaine qui pourrait, selon certains observateurs, aller jusqu'à des opérations ciblées au sol. Mais là encore, Donald Trump souffle le chaud et le froid : lundi 24 novembre, son administration a classé le nébuleux « cartel de los soles » comme organisation terroriste, avant que le site Axios ne révèle que le président serait prêt à discuter directement avec Nicolás Maduro. À écouter aussi :Venezuela : «le Cartel de los Soles n'existe pas» À Porto Rico, le renforcement de la présence militaire américaine réveille de très douloureux souvenirs El País rappelle que la petite île de Vieques a été un immense champ de tirs de la Navy pendant plus d'un demi-siècle, avec expulsions massives des habitants, bombardements et exposition à des substances toxiques dont les habitants subissent encore les conséquences. Vingt ans après le départ de l'armée, la réouverture de la base de Roosevelt Roads et la possibilité d'un retour d'exercices à Vieques provoquent une vive inquiétude, alors que le nettoyage des munitions non explosées est loin d'être terminé et que les taux de cancers restent alarmants. Élus et citoyens tirent la sonnette d'alarme face à cette remilitarisation liée aux tensions avec le Venezuela. Une migrante haïtienne hospitalisée en République dominicaine meurt après son expulsion C'est à la Une d'Alterpresse, dont nous évoquons les gros titres avec son directeur Gotson Pierre. La Plateforme genre du Nord-Est (PGNE) dénonce la mort de Jésula Florvil, une migrante haïtienne de 31 ans, illégalement déportée de République dominicaine alors qu'elle était hospitalisée et sous oxygène, un mois et demi après son accouchement. Arrachée à ses soins, remise aux autorités migratoires et transférée en Haïti dans un état de grande faiblesse, elle est décédée le 21 novembre 2025. Pour la PGNE, cette tragédie illustre les pratiques inhumaines, cruelles et dégradantes subies par les femmes haïtiennes – y compris enceintes, en travail ou en post-partum – lors de leur arrestation, détention et déportation. À lire aussiLa République dominicaine durcit encore le ton face à l'immigration illégale en provenance d'Haïti Violences faites contre les femmes : la situation en Haïti En cette journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, nous nous penchons sur le cas haïtien. Nous en parlons avec l'ancienne ministre de la condition féminine, Ginette Chérubin. Journal de la 1ère En Guadeloupe, les financements du syndicat mixte de gestion de l'eau et de l'assainissement sont dans le collimateur de la Chambre régionale des comptes.  

Podcast Libre à vous !
Quoi de Libre ? Actualités et annonces concernant l'April et le monde du libre

Podcast Libre à vous !

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 2:42


Les références : Campagne de soutien financier à l'April Le Lama déchaîné Portail Adieu Windows, bonjour le libre ! Soirée radio ouverte vendredi 5 décembre à partir de 19 h 30, au studio de Cause Commune (Paris, 18e) Changer pour un mél éthique samedi 6 décembre 2025 de 14h00 à 18h00 à Rouen PSL XXL samedi 6 et dimanche 7 décembre 2025 à la Cité des Sciences et de l'Industrie (Paris) Consulter l'Agenda du Libre pour les autres événements en lien avec le logiciel libre S'inscrire aux lettres d'actus de l'émission et de l'AprilVous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.

Le condensé des Amateurs de sports
Défaite contre Washington : «J'ai vu un club qui jouait comme dans une ligue de garage!» -Tony Marinaro

Le condensé des Amateurs de sports

Play Episode Listen Later Nov 22, 2025 40:39


Le Premier Trio revient sur une actualité bouillante chez les Canadiens de Montréal : le rappel de Florian Xhekaj et les performances chancelantes des gardiens. Stéphane Waite affirme que la venue de Florian dans la LNH n’était qu’« une question de temps ». Selon lui, son style énergique peut véritablement créer une étincelle. Waite s’inquiète surtout d’un point : les deux gardiens du CH traversent une mauvaise passe. Il déplore les commentaires haineux dirigés vers Samuel Montembeault — « le gars a une famille, une vie ». Pour Waite, plusieurs ajustements s’imposent : l’équipe actuelle n’est plus celle du début de saison, et si les gardiens arrêtaient tout… « on n’aurait pas de show ce soir! » Tony Marinaro insiste : Il aurait voulu une réponse plus musclée du Tricolore après la violente mise-en-échec de Tom Wilson sur Jake Evans, et estime qu’Arber n’a pas encore perfectionné « son art de goon ». Concernant le gardien partant face aux Leafs, Tony est catégorique : « il n’y a pas de bonne réponse ». Pour lui, l’équipe joue « comme dans une ligue de garage », sans structure, Jean-François Baril, invité du jour, savoure le premier rappel de Florian Xhekaj et n’hésiterait pas à donner une chance à Kaapo Kähkönen, en renvoyant Jakub Dobeš à Laval. Il s’attarde également au discours récent de Samuel Montembeault, qui laisse entrevoir le désir d’obtenir plus de prévisibilité quant au choix du gardien partant. Pour Baril, c’est aussi à Martin St-Louis de s’ajuster. Quand le CH fait parler, personne ne reste de glace — surtout pas le Premier Trio! Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Newbeat.fr
New New Hit - Episode S - Epitaph (Rancid/NOFX/Pennywise)

Newbeat.fr

Play Episode Listen Later Nov 19, 2025 53:30


Le titre parle de lui même : on va parler du plus gros label punk rock ever ! Suite à la masse de blé qu'a ramené Offspring (épisode précédent) et grâce à la qualité des groupes de cette époque, le label va laisser son empreinte. Concernant les groupes, pas d'embrouille, ça sera la sainte trinité d'Epitaph 90's : Rancid, NOFX, Pennywise. Du lourd donc avec des groupes qui vont parler à beaucoup .... beaucoup ... beaucoup de ... boomers ! :) Rancid - Time Bomb (Album : ... And Out Comes The Wolves - 1995) NOFX - Linoleum (Album : Punk in Drublic - 1994) Offspring - Bro Hymn Tribute (Album : Full Circle - 1997)

Podcast Libre à vous !
Quoi de Libre ? Actualités et annonces concernant l'April et le monde du libre

Podcast Libre à vous !

Play Episode Listen Later Nov 18, 2025 2:59


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C dans l'air
Valérie Freiche - "Suicides", harcèlement: l'école vétérinaire dans la tourmente

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 11:03


C dans l'air l'invitée du 14 novembre 2025 Valérie Freiche, docteure en médecine vétérinaire, spécialiste en médecine interne et membre de l'Académie vétérinaire de France. Elle est spécialisée en gastroentérologie et toujours en poste à l'école vétérinaire d'Alfortville.Cette semaine, une enquête de la cellule investigation de Radio France est parue, sur des soupçons de harcèlement moral et de discrimination sexiste contre l'École nationale vétérinaire d'Alfort. Une enquête judiciaire pour harcèlement moral et discrimination sexiste a été ouverte. L'enquête menée par la cellule investigation de Radio France fait état de nombreuses alertes qui remontent depuis plusieurs années sur des dysfonctionnements internes liés au stress, à la surcharge de travail, aux pratiques managériales et à des situations de harcèlement. Valérie Freiche, vétérinaire spécialisée en gastroentérologie à l'Enva et toujours en poste, a déposé une plainte en juillet. Elle affirme avoir subi pendant des années "brimades, propos humiliants et vexations". Elle décrit aussi des conditions de travail extrêmes.Suite à ces révélations, le directeur de l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort (Enva) a réuni lundi "de manière exceptionnelle" son comité social d'administration (CSA), a indiqué le ministère de l'Agriculture qui en a la tutelle. Une cellule de signalement, indépendante du ministère, a reçu "quatre signalements concernant l'école nationale vétérinaire d'Alfort" ces dernières années, selon le ministère. "Dans trois cas, la cellule n'a pas constaté d'éléments systémiques caractérisant des cas de violence, de discrimination, de harcèlement moral ou sexuel ou d'agissements sexistes" ajoute-t-il. "Concernant un des cas, au regard de la complexité de la situation, le ministère a confié une enquête administrative aux inspections générales."La célèbre institution avait été brutalement endeuillée il y a quelques semaines : la veille de la rentrée, une jeune femme de 24 ans, qui devait débuter son internat avait mis fin à ses jours. Beaucoup estiment que ce drame doit être entendu comme une alerte, dans un contexte où le surrisque de suicide au sein de la population vétérinaire est effectivement largement documenté.Valérie Freiche, docteure en médecine vétérinaire, spécialiste en médecine interne et membre de l'Académie vétérinaire de France est notre invitée. Spécialisée en gastroentérologie et toujours en poste à l'école vétérinaire d'Alfort, elle reviendra avec nous sur le contenu de sa plainte, et sur les accusations de harcèlement qui planent sur l'école vétérinaire d'Alfort. Elle nous parlera aussi du mal-être dans la profession vétérinaire.

Happy Work
REPLAY- Comment mettre fin à l'hypocrisie concernant l'emploi des seniors ?

Happy Work

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 7:18


Il y a quelques jours, j'ai eu l'opportunité de conclure une table ronde sur l'employabilité des seniors. Après trois heures d'échanges passionnés, j'ai pris la parole pour poser LA question que personne n'avait encore soulevée : le salaire des seniors.

ACTUALITES - AZUR FM
Colmar : Emmanuel Aubry, le préfet du Haut-Rhin, précise les mesures de sécurité concernant le Marché de Noël

ACTUALITES - AZUR FM

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 3:04


La Ville de Colmar s'apprête à accueillir des centaines de milliers de visiteurs pour son édition 2025, qui s'annonce particulièrement festive malgré quelques changements et nouveautés liés au contexte climatique et sécuritaire. Ce mercredi 12 novembre, le maire, Eric Straumann était en présence de Gérard Morena, directeur départemental de la sécurité publique, Emmanuel Aubry, préfet du Haut-Rhin, Eric Loesch, président de l'Office de Tourisme et Johny Royer, directeur de l'Office de Tourisme, lors d'une conférence de presse dédiée aux festivités de Noël de cette année. Emmanuel Aubry, préfet du Haut-Rhin, a insisté sur l'importance des mesures de sécurité : "On n'accueille pas un nombre conséquent de visiteurs de manière anodine. C'est un sujet de préoccupation pour l'ensemble des services opérationnels." Dans le contexte national actuel et face à la menace terroriste, plusieurs centaines de milliers d'euros seront investis pour assurer la sécurité de l'événement. Des drones seront notamment déployés pour surveiller les espaces. L'année dernière, les infractions constatées concernaient principalement des vols et des problèmes de circulation et de stationnement. Le préfet apporte des précisions.Lien vers l'article complet : https://azur-fm.com/news/colmar-les-nouveautes-du-marche-de-noel-2025-2582 Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

TOPFM MAURITIUS
MTPA - Claire Le Lay et Avinash Teelock révoqués : « Sé enn désizyon ki mo ti bizin pran depi bien lontan », dit Richard Duval

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 0:48


C'est un tournant à la Mauritius Tourism Promotion Authority (MTPA). La présidente du conseil d'administration, Claire Le Lay, et le directeur, Avinash Teelock, ont été révoqués hier, avec effet immédiat. Interrogé à ce sujet, le ministre du Tourisme, Richard Duval, a confirmé la décision en précisant qu'elle n'a pas été prise à la légère. «C'est une décision que j'aurais dû prendre depuis bien longtemps », a-t-il confié, ajoutant qu'il a « attendu près d'un an » avant de franchir ce pas. Une attente qualifiée de longue haleine par le ministre, qui estime aujourd'hui que le moment était venu d'agir. Richard Duval a tenu à rappeler que, malgré ces changements à la tête de la MTPA, le ministère du Tourisme se porte bien. « Nous connaissons une croissance extraordinaire, c'est une année record pour le secteur », a-t-il souligné. Concernant la transition à la MTPA, le ministre a expliqué que la réunion spéciale du conseil d'administration, tenue hier, a été présidée par le Permanent Secretary du ministère. Un Officer in Charge sera désigné pour assurer l'intérim en attendant la reconstitution d'un nouveau board, avec la nomination d'un nouveau président et directeur. « Don nou enn tigit létan », a conclu Richard Duval.

ACTUALITES - AZUR FM
Colmar : Les précisions d'Eric Straumann, le maire, concernant le Marché de Noël 2025

ACTUALITES - AZUR FM

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 1:29


La Ville de Colmar s'apprête à accueillir des centaines de milliers de visiteurs pour son édition 2025, qui s'annonce particulièrement festive malgré quelques changements et nouveautés liés au contexte climatique et sécuritaire. Ce mercredi 12 novembre, le maire, Eric Straumann était en présence de Gérard Morena, directeur départemental de la sécurité publique, Emmanuel Aubry, préfet du Haut-Rhin, Eric Loesch, président de l'Office de Tourisme et Johny Royer, directeur de l'Office de Tourisme, lors d'une conférence de presse dédiée aux festivités de Noël de cette année.  Le marché de Noël colmarien ouvrira ses portes le mardi 25 novembre et se prolongera jusqu'au 29 décembre. Le marché gourmand, installé à côté de la cathédrale près de la grande roue, restera quant à lui ouvert jusqu'au 4 janvier. Pour accompagner l'affluence, les commerces du centre-ville ouvriront exceptionnellement les dimanches 30 novembre, 7, 14 et 21 décembre. Le maire, Eric Straumann, apporte des précisions sur cette nouvelle édition. Lien vers l'article complet : https://azur-fm.com/news/colmar-les-nouveautes-du-marche-de-noel-2025-2582 Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Rothen s'enflamme
Arabie Saoudite, PSG... Les dernières infos Fabrice Hawkins concernant l'avenir de Didier Deschamps ! – 11/11

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 3:08


Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.

Le rendez-vous de la médiatrice
Le traitement éditorial de l'actualité concernant Shein

Le rendez-vous de la médiatrice

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 5:13


durée : 00:05:13 - Le rendez-vous de la médiatrice - par : Bruno DENAES - Après les récentes controverses concernant la marque Shein, des auditeurs se sont interrogés sur le traitement éditorial du sujet par Franceinfo. Pour leur répondre, Florent Guyotat, directeur adjoint de la rédaction, est au micro d'Emmanuelle Daviet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

TOPFM MAURITIUS
Affaire Mamy Ravatomanga : Me Golamaully dénonce la “mauvaise foi” des enquêteurs de la FCC concernant son absence en cour

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 0:47


Affaire Mamy Ravatomanga : Me Golamaully dénonce la “mauvaise foi” des enquêteurs de la FCC concernant son absence en cour by TOPFM MAURITIUS

Papatriarcat
REPONSE #101 - Concernant le handicap ? - Julie et André

Papatriarcat

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 10:07


Merci Julie pour ton message et André pour la réponse !Pour participer, donner votre avis, soutenir ou exprimer votre désaccord, vous pouvez laisser 1 (ou plusieurs !) audio de 5 min sur ce lien :https://www.speakpipe.com/papatriarcat N'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme de podcast, à commenter et mettre 5⭐️ partout où c'est possible

Julien Cazarre
Le mot de la fin sur l'exclu mondiale concernant l'émission de demain avec Gilbert Brisbois et Daniel Riolo – 30/10

Julien Cazarre

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 0:21


Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !

Le Top de L'After foot
Le Top de l'After Foot : Daniel s'interroge sur le manque de réaction collective concernant la gestion du début de championnat par le PSG – 30/10

Le Top de L'After foot

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 5:56


Parlons-Nous
Secret de famille : Karine souhaite révéler à sa sœur un secret concernant ses origines biologiques

Parlons-Nous

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 41:33


Karine est préoccupée par un secret de famille concernant les origines de sa sœur, qu'elle souhaite lui révéler. Elle craint que ce secret ait influencé la vie difficile de sa sœur et cherche un moyen approprié de le lui dire. Karine envisage de le faire en face-à-face, tout en réfléchissant aux conséquences possibles. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Parlons-nous avec Caroline Dublanche du 28 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Podcast Libre à vous !
Quoi de Libre ? Actualités et annonces concernant l'April et le monde du libre

Podcast Libre à vous !

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 4:36


Les références : Campagne de soutien financier à l'April Le Lama déchaîné Portail Adieu Windows, bonjour le libre ! Soirée radio ouverte vendredi 7 novembre à partir de 19 h 30, au studio de Cause Commune (Paris, 18e) Consulter l'Agenda du Libre pour les autres événements en lien avec le logiciel libreVous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.

Rothen s'enflamme
Christophe Dugarry : "Concernant De Zerbi, moi je suis inquiet. Je ne comprends pas ses choix, ses changements." – 27/10

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 7:48


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

Culture médias - Philippe Vandel
Brigitte Bardot dément sa propre mort et une pétition lancée concernant le live de la Star Academy

Culture médias - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 7:11


Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la rumeur de la mort de Brigitte Bardot a circulé hier soir avant d'être démentie par Brigitte Bardot elle-même, Fabien Lecoeuvre a remporté son procès en appel contre le chanteur Grand Corps Malade, Bernard Montiel débarque sur France 3, TF1 s'apprête à diffuser une série en intégralité dans la même soirée et une pétition concernant la Star Academy a été lancée hier. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Brigitte Bardot dément sa propre mort et une pétition lancée concernant le live de la Star Academy

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 7:11


Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la rumeur de la mort de Brigitte Bardot a circulé hier soir avant d'être démentie par Brigitte Bardot elle-même, Fabien Lecoeuvre a remporté son procès en appel contre le chanteur Grand Corps Malade, Bernard Montiel débarque sur France 3, TF1 s'apprête à diffuser une série en intégralité dans la même soirée et une pétition concernant la Star Academy a été lancée hier. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal des médias
Brigitte Bardot dément sa propre mort et une pétition lancée concernant le live de la Star Academy

Le journal des médias

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 7:11


Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la rumeur de la mort de Brigitte Bardot a circulé hier soir avant d'être démentie par Brigitte Bardot elle-même, Fabien Lecoeuvre a remporté son procès en appel contre le chanteur Grand Corps Malade, Bernard Montiel débarque sur France 3, TF1 s'apprête à diffuser une série en intégralité dans la même soirée et une pétition concernant la Star Academy a été lancée hier. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Podcast Libre à vous !
Quoi de Libre ? Actualités et annonces concernant l'April et le monde du libre

Podcast Libre à vous !

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 3:05


Les références : PJL de finances 2026 : la commission des finances doit rétablir l'« auto-attestation » pour les logiciels de caisse Projet de loi de finances 2026 : Un cataclysme budgétaire menace les radios associatives françaises Campagne 2025 de l'April Adieu Windows, bonjour le libre !Vous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.

FormaRadio
INEX se lance

FormaRadio

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 37:57


AFFEN&Co 372, la Collégiale de l'AFFEN avec Yannig RAFFENEL, Trésorier d'INEX NEX : Le Mouvement Expérientiel au Cœur de l'Innovation en Formation INEX est un mouvement et un collectif, structuré sous forme d'association, visant à structurer et développer l'apprentissage par l'expérience en France. Fondé sur l'ADN du learning by doing ou de l'expérientiel, il rassemble des professionnels issus de divers champs de l'éducation et de l'enseignement supérieur. L'objectif principal d'INEX est de combler le retard de la France par rapport à d'autres pays, notamment anglo-saxons, où cette approche est largement reconnue et valorisée Missions Clés pour la Pédagogie Expérientielle L'association, bien que récente dans sa formalisation après trois ans de travail, s'articule autour de plusieurs axes stratégiques majeurs. Elle cherche à fédérer, identifier et certifier tous les professionnels de l'apprentissage par l'expérience, offrant ainsi une lisibilité essentielle à ceux qui font appel à cette expertise. INEX aspire à devenir un tiers de confiance, garantissant aux organismes de formation et aux entreprises (corporate learning) que leurs interlocuteurs maîtrisent les standards internationaux de la pédagogie par projet et de l'expérientiel Cette démarche est cruciale car la formation expérientielle est jugée indispensable aujourd'hui, notamment pour développer les compétences transversales (soft skills ou smart skills) qui ne peuvent être acquises uniquement par des méthodes théoriques en salle de classe. Bien que l'expérientiel ait des racines françaises (comme chez Célestin Freinet), l'enjeu actuel est de sortir du "charlatanisme" passé et de fournir un véritable référentiel de qualité Déploiement et Certification Pour amorcer son développement national, INEX se lance concrètement en Bretagne. Un laboratoire y est en cours de construction via un consortium regroupant des acteurs bretons, le MEDEF Bretagne et le Syntec. Ce projet régional, financé dans le cadre "compétence métier d'avenir," servira de "maison témoin" (ou proof of concept) pour modéliser et capitaliser les pratiques avant une extension rapide au niveau national. Un événement de lancement pour ce consortium se tiendra à Rennes le 5 décembre .Concernant la reconnaissance des acquis, INEX s'efforce de définir une certification alignée sur les standards internationaux. L'association explore activement la mise en place d'open badges pour permettre une micro-certification progressive reconnaissant l'engagement des participants et le développement de leurs compétences Le mouvement insiste sur l'importance du collectif, favorisant la proximité apprenante et l'intelligence collective, et luttant contre l'attrition en garantissant l'engagement total de l'individu. L'apprentissage par l'expérience ne s'arrête pas à la simple action; il inclut toujours une posture réflexive pour conscientiser, formaliser et permettre le transfert des apprentissages, transformant la capacité en compétence L'événement de lancement du consortium INEX en Bretagne, visant à construire un laboratoire pour l'apprentissage par l'expérience, le 5 décembre à Rennes, en Bretagne.

Les histoires de 28 Minutes
Patrick Modiano et Christian Mazzalai / Les retraités, grands perdants du budget 2026 ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 46:11


L'émission 28 minutes du 16/10/2025 70 bis, entrée des artistes : une plongée au cœur du quartier MontparnasseMais que se cache-t-il derrière l'entrée du 70 bis rue Notre-Dame-des-Champs, à Paris, quand on franchit le portail vert ? Alors que rien ne distingue ce numéro des autres dans cette rue en plein quartier Montparnasse, Christian Mazzalai, guitariste du groupe Phoenix, et Patrick Modiano, écrivain, font revivre ce lieu de passage célèbre dans “70 bis, entrée des artistes” (éditions Gallimard). L'adresse a vu défiler des artistes comme Picasso ou Apollinaire. Ainsi reprennent vie, sous la plume du prix Nobel de littérature, des Américaines venues apprendre la peinture à Paris qui devaient avoir des autorisations spéciales pour suivre des cours interdits aux femmes et s'habiller en homme pour y assister, mais aussi des couples mixtes qui venaient vivre à Paris un amour interdit aux États-Unis. D'autres personnages font leur apparition dans ces pages comme Camille Claudel ou Robert Louis Stevenson. Nous recevons les deux artistes qui nous content ce lieu empli d'histoire. Les retraités, grands perdants du budget 2026 ?Après l'annonce par Sébastien Lecornu de la suspension de la réforme des retraites, la perspective d'une censure immédiate s'éloigne. Les motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national ont toutes deux été rejetées aujourd'hui. L'heure est maintenant à la discussion sur le budget de l'État et celui de la sécurité sociale. Les députés vont devoir l'étudier en commission avant d'en débattre dans l'hémicycle. Quelques pistes donnent déjà le ton. 30 milliards d'économies doivent être trouvées en augmentant les recettes de 14 milliards et en baissant les dépenses de 17 milliards. Concernant le budget de la Sécurité sociale, le gouvernement souhaite ramener le déficit des régimes obligatoires de base à 17,4 milliards d'euros en 2026, contre 23 milliards cette année. Les retraités doivent participer “au rétablissement de l'équilibre des comptes publics, dans un contexte où la réforme des retraites de 2023 a fait peser l'ensemble des efforts sur les seuls actifs”, peut-on lire dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, présenté en Conseil des ministres. Il prévoit notamment de geler l'ensemble des retraites de base en 2026. À partir de 2027, les pensions devraient être sous-indexées par rapport à l'inflation de 0,4 point. La mesure fiscale la plus emblématique est le remplacement de l'abattement forfaitaire de 10 % par un forfait de 2 000 euros. Alors, les retraités, et lesquels, sont-ils vraiment les plus ciblés pour faire des efforts dans le budget 2026 et dans le budget de la sécurité sociale ? On en débat Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction chez "Challenges", Erwann Tison, économiste, chargé d'enseignement à l'université de Strasbourg et Agathe Le Berder, secrétaire générale adjointe de la CGT Ingé Cadre Tech.Enfin, Xavier Mauduit se penche sur les médias américains qui refusent de céder aux restrictions du Pentagone qui souhaite contrôler, au préalable, les informations diffusées par les journalistes accrédités. Marie Bonnisseau s'intéresse à un projet de thalasso de luxe à Saint-Malo qui suscite l'opposition des riverains et d'associations écologistes, qui pourraient avoir gain de cause grâce à des… hirondelles. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[DÉBAT] Les retraités, grands perdants du budget 2026 ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 22:24


L'émission 28 minutes du 16/10/2025 Les retraités, grands perdants du budget 2026 ?Après l'annonce par Sébastien Lecornu de la suspension de la réforme des retraites, la perspective d'une censure immédiate s'éloigne. Les motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national ont toutes deux été rejetées aujourd'hui. L'heure est maintenant à la discussion sur le budget de l'État et celui de la sécurité sociale. Les députés vont devoir l'étudier en commission avant d'en débattre dans l'hémicycle. Quelques pistes donnent déjà le ton. 30 milliards d'économies doivent être trouvées en augmentant les recettes de 14 milliards et en baissant les dépenses de 17 milliards. Concernant le budget de la Sécurité sociale, le gouvernement souhaite ramener le déficit des régimes obligatoires de base à 17,4 milliards d'euros en 2026, contre 23 milliards cette année. Les retraités doivent participer “au rétablissement de l'équilibre des comptes publics, dans un contexte où la réforme des retraites de 2023 a fait peser l'ensemble des efforts sur les seuls actifs”, peut-on lire dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, présenté en Conseil des ministres. Il prévoit notamment de geler l'ensemble des retraites de base en 2026. À partir de 2027, les pensions devraient être sous-indexées par rapport à l'inflation de 0,4 point. La mesure fiscale la plus emblématique est le remplacement de l'abattement forfaitaire de 10 % par un forfait de 2 000 euros. Alors, les retraités, et lesquels, sont-ils vraiment les plus ciblés pour faire des efforts dans le budget 2026 et dans le budget de la sécurité sociale ? On en débat Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction chez "Challenges", Erwann Tison, économiste, chargé d'enseignement à l'université de Strasbourg et Agathe Le Berder, secrétaire générale adjointe de la CGT Ingé Cadre Tech.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Le Conseil Santé
Dengue : comment évolue le nombre de contaminations ?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 1:48


Lors de la seconde émission enregistrée à Marseille, à l'occasion des « Actualités du Pharo », nous abordons l'actualité de la médecine tropicale :  les flambées qui, ces derniers mois, ont mobilisé infectiologues, virologues, parasitologues et épidémiologiste. Concernant plus précisément la dengue, que sait-on sur l'évolution du nombre de cas recensés chaque année ? Comment se transmet le virus ? Émission délocalisée à Marseille, à l'occasion des « Actualités du Pharo », les rencontres francophones de médecine et de santé publique tropicales, à l'Hôpital de la Timone.   Pr Marie-Lise Gougeon, immunologiste et Professeur à l'Institut Pasteur « 4 milliards de personnes sont exposées à ce virus, soit la moitié de la population mondiale (...) L'OMS a récemment recensé 400 millions de cas de dengue par an, dont un million de cas symptomatiques... »

Radio Maria France
2025-10-07 Interview concernant les fruits du Festival Christ Consolateur

Radio Maria France

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 23:48


Avec Laurence Cornille et Marie-Laurence de Rochefort

Le Super Daily
Comment is the new post ? Quand les CM des marques s'incrustent dans les conversations

Le Super Daily

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 15:10


Épisode 1371 : Ces dernières années , ces dernières semaines, le dark social a pris de plus en plus d'ampleur, il a étendu ses bras tentaculaires jusqu'à absorber toute forme de vie dans vos commentaires in feed. Le chiffre à côté de la petite bulle de parole reste désespérément bas. Ce signe de mauvaise augure annonce t'il la fin des commentaires ou se sont ils déplacés vers d'autres horizons ? C'est quoi les Outbound engagements ?L'outbound engagement, ce sont les actions menées par des Community managers sur le terrain de jeu des créateurs ou d'autres marques, concrètement, en allant commenter directement sous leur contenus. La tendance est en forte hausse et devient une tactique structurée pour gagner visibilité, affinité et trafic qualifié, surtout sur TikTok et Instagram en 2025.Ça n'est pas juste une tendance isolée, Hoostuite y a même consacré un chapitre de ses dernières trends social media. A quoi ça sert ?Mais les marques les plus avisées commentent stratégiquement le contenu des créateurs, ce qui leur permet de cultiver leur communauté tout en faisant connaître leur marque à de nouveaux publics.Une trend Twitter sur le retour.Tiktok, le terrain de jeu parfait pour les engagements sortants« TikTok est la seule plateforme qui a instauré une culture du commentaire, où les commentaires commencent à faire partie intégrante du récit », a-t-elle déclaré. « C'est l'occasion de faire émerger un nouveau type de créateurs et de créatifs. »Une stratégie adoptée par de nombreuses marques :Aujourd'hui si vous faites défiler n'importe quelle publication de créateur sur Tiktok ou Instagram vous êtes quasiment sûr d'y trouver le commentaire d'une marqueSelon Hootsuite, 41% des entreprises a déjà testé ce format d'engagements proactifsL'engagement est multiplié par 1,6 quand le créateur répond sous le commentaire de la marque.On peut carrément mettre en place des stratégies Cadrer la cible: lister 50–100 créateurs affinitaires par vertical et hiérarchiser par mix portée/qualité des commentaires de leur communauté.L'engagement diminue considérablement si vous commentez une publication dans les 24h max après sa sortie.Concernant la longueur des commentaires, privilégiez la concision, mais pas trop . Les commentaires de 10 à 99 caractères génèrent le plus d'engagement ; tout commentaire supérieur ou inférieur, y compris les commentaires contenant uniquement des emojis, est voué à l'échec.Limites et risquesSélectivité des créateurs: avec la généralisation de la tactique, certains créateurs filtrent davantage les marques pour préserver authenticité et crédibilité perçues.Saturation/Spam: les réponses génériques, opportunistes ou promotionnelles sont mal perçues et peuvent être masquées, surtout sur X; l'authenticité et la valeur contextuelle sont cruciales.. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Trump et Xi Jinping trouvent un accord concernant TikTok, explications

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 10:02


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

Radio Maria France
2025-09-23 Interview concernant le pèlerinage de l'Alliance

Radio Maria France

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 20:27


Avec Emmanuel Houssin et Béatrice Der Gazerian, responsable de la pastorale familiale du diocèse de Marseille Pèlerinage du 10 au 12 octobre 2025 au sanctuaire Notre Dame de Laghet Renseignements au 07 83 05 00 61 ou sur le site www.laghet-maries-separes.fr/

Marceau refait l'info
Football - retour de l'Olympique de Marseille en ligue des champions - Enquête ouverte concernant Rachida Dati - disparition d'une légende du cinéma américain Robert Redford

Marceau refait l'info

Play Episode Listen Later Sep 17, 2025 4:46


On commence avec du football et le retour de l'Olympique de Marseille en ligue des champions qui affrontait hier le Réal Madrid défaite 2 à 1 à cause d'un doublé de Kylian Mbappé

Les Grandes Gueules
La maladie du jour - Charles Consigny : "Il y a une névrose obsessionnelle de la gauche concernant la fiscalité. Sans la taxe Zucman, ils ne surmonteront pas leur névrose. Comme les gens qui ont des TOC." - 15/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 15, 2025 1:40


Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Rothen s'enflamme
Jérôme Rothen : "C'est trop facile de tomber sur Didier Deschamps concernant la blessure de Dembélé" – 08/09

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 9:19


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

Libre antenne week-end
La libre antenne - Joï tente de trouver une solution concernant son fils, qui est bipolaire

Libre antenne week-end

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 27:57


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invité Afrique
L'écrivain libyen Mohammed Alnaas «cherche ce que la spécificité libyenne a de commun avec les sociétés arabes»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Sep 6, 2025 6:26


« Un goût du thé amer », le second roman de l'écrivain Mohammed Alnaas, récemment traduit en français et édité chez « Le bruit du monde », revient à l'époque du slogan : « le pouvoir aux mains du peuple » et décrit une situation ubuesque et des querelles permanentes entre les habitants d'un village, Géhenne, dans la Libye des années 1990, du temps de la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste de Mouammar Kadhafi. Quant au narrateur, dans cette fable moderne et audacieuse, il s'adresse à son lecteur tout en prenant un plaisir à se jouer de lui. Mohammed Alnaas joint par Houda Ibrahim.    Vos romans s'attaquent à des sujets qui décrivent les spécificités de la société libyenne, une société restée longtemps fermée aux autres. L'écriture est-elle pour vous est un acte d'auscultation de cette société afin de la raconter, de l'exposer ? La société libyenne est restée méconnue des étrangers pendant un certain temps, et peut-être même est-elle restée méconnue d'elle-même. En dehors du sujet politique, il existe un manque de connaissances sur la Libye et le peuple libyen lui-même, que ce soit sous le régime de Mouammar Kadhafi ou même pendant la guerre civile qui a suivi la révolution de février 2011. L'enjeu ici, est que moi, en tant qu'individu, je me comprends mieux que je ne comprends la société libyenne, mais mon histoire personnelle est aussi l'histoire de la société, et en comprenant la société, je me comprends moi-même. Il est vrai que la société libyenne a ses spécificités, comme toutes les sociétés, mais l'idée est de toujours chercher, ce que cette spécificité a de commun avec les sociétés arabes, voire des sociétés de plus grande ampleur. Afin d'écrire sur l'être humain et son histoire, tout en écrivant sur le Libyen et en essayant de le comprendre. Dans votre second roman, Un goût de thé amer, à travers l'histoire d'un village, Géhenne, symbolisez-vous la guerre sans fin qui se déroule en Libye ainsi que le déchirement social ? Personnellement, je n'aime pas que le texte lui-même soit le reflet de la réalité. Le lecteur a certes le droit de percevoir ces intersections entre la réalité et le roman. Or, elles sont nombreuses. L'auteur pose les règles du jeu dès le début, indiquant que l'histoire n'est pas symbolique, mais vraie. Ce qui incite le lecteur à y croire. Il existe bel et bien des intersections entre les combats qui se déroulent dans le village de Géhenne et la guerre civile libyenne. Il semble que le point commun entre l'imaginaire et le réel réside dans une certaine absurdité de la scène elle-même. À lire aussiLa Libye lance le premier appel d'offres pétrolier depuis 17 ans La satire est-elle pour vous le meilleur moyen de raconter cette société ? J'ai débuté dans l'écriture par la satire. Il y a toujours une touche d'humour noir dans mes écrits, que ce soit dans mon précédant roman « Du pain sur la table de l'oncle Milad », ou dans ce roman même. Et auparavant aussi dans le recueil de nouvelles que j'avais écrit sur la guerre civile, la plupart de ces nouvelles avaient un ton dramatique ou sombre. Concernant ce projet, parfois, il n'y a pas de meilleure façon de décrire ce qui se passe, que la satire. Vous dédiez votre roman au fameux écrivain et penseur libyen Sadek alyhoum, quelle valeur représente-t-il pour vous ? Le roman est bien sûr dédié à El-Sadek, je le dédie également à d'autres auteurs et artistes satiriques qui m'ont personnellement influencé, comme Mohammed Al-Zawawi, le plus grand illustrateur de caricature libyen. Le roman lui-même a été initialement écrit dans le style de Mohammed Al-Zawawi, ainsi que celui de Mohammed Tamliya, l'écrivain satirique jordanien, et d'Ibrahim Hmaydan, l'écrivain satirique libyen. Tous ont influencé ma compréhension du rôle de la satire, de la comédie. Contrairement à beaucoup de Libyens qui admiraient les idées et les écrits critiques d'El-Sadek Al-Nayhoum, j'admirais moi sa satire, en particulier son recueil Histoires pour enfants. Il m'a profondément influencé par son style satirique et par sa façon de dessiner certains personnages libyens considérés comme stéréotypés. Ce stéréotype est déjà présent dans les dessins de Mohammed Al-Zawawi. Dans mon roman, un personnage comme Hajja Mabrouka, ressemble à ceux de Mohammed Al-Zawawi, d'El-Sadek Al-Nayhoum et même d'Ibrahim Hmaydan. Ces personnages ne sont pas nés de nulle part ; ils sont une sorte d'accumulation résultant de mes lectures et de mes observations sur la manière dont les Libyens qui m'ont précédé ont abordé la comédie. À lire aussiAu pays des hommes, un chef-d'œuvre de la littérature contemporaine Dans Un goût de thé amer, vous dénoncez également, un système économique installé par le régime Kadhafi et qui réduit en quelque sorte l'être humain à un être dépendant, sans aucune initiative, vous dénoncez cette volonté du pouvoir d'écraser l'être libyen ? Les politiques du régime Kadhafi ont transformé la Libye depuis la proclamation de l'Autorité populaire. Car le colonel souhaitait créer une nouvelle société. L'ironie est que l'objectif de cette nouvelle société était de susciter un esprit d'initiative en toutes choses. Dans toutes ses idées, par exemple, il affirme dans le Livre vert : « L'école est servie par ses élèves », ce qui signifie que l'école n'a pas besoin de personnel d'entretien ni d'employés, mais que ce sont les élèves qui s'en chargent… D'où le concept « des partenaires, et non pas d'employés ». Le régime repose fondamentalement sur l'initiative populaire pour prendre le pouvoir. Soit le peuple ne voulait pas prendre le pouvoir, soit Kadhafi n'a utilisé ces idées que pour accroître son emprise sur le peuple. L'ironie est que le peuple libyen a refusé de prendre l'initiative ou n'a pas trouvé le moyen de le faire. Le régime a véritablement influencé la formation de l'homme libyen. Toutes les politiques adoptées par le colonel Kadhafi et les fonctionnaires travaillant sous ses ordres ont conduit à la création d'une société déformée qui ne se connaît pas elle-même et qui est incapable de trouver des solutions aux problèmes auxquels elle est confrontée. La liberté d'expression en Libye est toujours entravée, même au niveau de la littérature, comment relevez-vous ce défi ? Aujourd'hui, les restrictions imposées aux écrivains libyens se multiplient. Elles sont sociales, religieuses, politiques et sécuritaires. Les restrictions se multiplient et sont pour la plupart inconnues. L'écrivain se retrouve à nager dans un puits dont il ignore le fond. Ceux qui aiment nager explorent eux-mêmes à ce moment-là les dangers, et je suis de ceux qui aiment nager. Nous explorons des idées en cours de route et je relis toujours la scène, mais c'est surtout pour des raisons de sécurité personnelle. Lorsque j'écris, je ne reconnais pas ces restrictions et je les ignore également lorsque je publie. Je ne les regarde pas.

Marceau refait l'info
Xi Jinping, Vladimir Poutine et Kim Jong Un réunis à Pékin - nouvelles règles concernant le dispositif ma prime Renov' - Querelle d'héritage chez les enfants d'Alain Delon

Marceau refait l'info

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 4:42


Xi Jinping, Vladimir Poutine et Kim Jong Un réunis à Pékin - nouvelles règles concernant le dispositif ma prime Renov' - Querelle d'héritage chez les enfants d'Alain Delon

Parlons-Nous
Réaction fin de vie : Infirmière, Marie aborde les inquiétudes concernant la sécurité et l'efficacité des soins palliatifs à domicile

Parlons-Nous

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 16:26


Marie, infirmière en soins palliatifs à domicile depuis dix ans, partage son expérience et insiste sur l'importance de l'accompagnement à domicile pour offrir une fin de vie digne et sécurisée. Elle souligne la nécessité de la collaboration avec les aidants familiaux et rassure sur la sécurité des dispositifs médicaux utilisés. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Rothen s'enflamme
La Dream Team et Zack Nani débattent autour des attentes concernant l'OL cette saison – 03/09

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 10:58


La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des

Priorité santé
Appendicite et péritonite

Priorité santé

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 48:30


Douleurs abdominales vives et persistantes, fièvre... Ces symptômes assez vagues peuvent recouvrir une multitude de pathologies, parmi lesquelles la crise d'appendicite. La péritonite aiguë est une inflammation locale ou diffuse de la membrane péritonéale. L'appendicite aiguë et la péritonite sont deux urgences médicales qui requièrent une intervention chirurgicale. Souvent confondues, ces deux affections qui concernent l'abdomen sont bien différentes, quoiqu'elles puissent être liées. (Rediffusion) Quels sont les signes ? Concernant l'appendicite, de quel côté a-t-on mal au ventre ? Quels sont les traitements ? Doit-on systématiquement opérer ?  Pr Richard Douard, chirurgien viscéral à la Clinique Bizet, Paris Pr Boyodi Tchangai, chef du service de Chirurgie viscérale au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo.  ► En fin d'émission, nous parlerons de la prise en charge du pied bot en République du Congo et plus particulièrement du travail réalisé par l'association ADRBE (Association pour le Développement et la Réadaptation du Bien-Être) avec son responsable, Thomas Robert Mbemba, kinésithérapeute et coordinateur du Programme Pied Bot CONGO au sein de l'association.  Programmation musicale : ► Roseaux, Ghetto boy – My people ► Ÿuma – Elli fet.

Priorité santé
Appendicite et péritonite

Priorité santé

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 48:30


Douleurs abdominales vives et persistantes, fièvre... Ces symptômes assez vagues peuvent recouvrir une multitude de pathologies, parmi lesquelles la crise d'appendicite. La péritonite aiguë est une inflammation locale ou diffuse de la membrane péritonéale. L'appendicite aiguë et la péritonite sont deux urgences médicales qui requièrent une intervention chirurgicale. Souvent confondues, ces deux affections qui concernent l'abdomen sont bien différentes, quoiqu'elles puissent être liées. (Rediffusion) Quels sont les signes ? Concernant l'appendicite, de quel côté a-t-on mal au ventre ? Quels sont les traitements ? Doit-on systématiquement opérer ?  Pr Richard Douard, chirurgien viscéral à la Clinique Bizet, Paris Pr Boyodi Tchangai, chef du service de Chirurgie viscérale au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo.  ► En fin d'émission, nous parlerons de la prise en charge du pied bot en République du Congo et plus particulièrement du travail réalisé par l'association ADRBE (Association pour le Développement et la Réadaptation du Bien-Être) avec son responsable, Thomas Robert Mbemba, kinésithérapeute et coordinateur du Programme Pied Bot CONGO au sein de l'association.  Programmation musicale : ► Roseaux, Ghetto boy – My people ► Ÿuma – Elli fet.

Invité Afrique
Cameroun: «L'élection présidentielle d'octobre sera sans doute un scrutin historique»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 15, 2025 4:37


Le 12 octobre prochain, les Camerounais sont appelés aux urnes pour l'élection présidentielle dans un climat toujours marqué par une insécurité persistante et les incertitudes entourant la succession du président Paul Biya, au pouvoir depuis plus de quatre décennies. Dans ce contexte, l'International Crisis Group (ICG) vient de publier un rapport qui alerte sur les risques de violences avant et après le vote. Enrica Picco, la directrice Afrique centrale du centre de recherche international et qui anime le podcast Afrique 360° pour ICG, est l'invitée de Liza Fabbian.   RFI : Comment qualifier l'élection qui aura lieu le 12 octobre prochain au Cameroun ? Enrica Picco : L'élection présidentielle d'octobre sera sans doute un scrutin historique pour deux raisons principales : l'exclusion du candidat de l'opposition Maurice Kamto, par décision du Conseil constitutionnel au début du mois d'août. Mais aussi les appels à ce que le président Paul Biya passe finalement la main après 42 ans au pouvoir et avec son âge déjà très avancé. Pour la première fois, ces appels ne viennent pas seulement de l'opposition ou de la société civile, mais viennent aussi de personnalités très importantes du parti au pouvoir, le RDPC, et aussi d'une partie de l'Église catholique. Donc, ça, ce sont les deux éléments qui nous font parler d'une élection différente du scrutin de 2018.  Il y a un certain tabou autour de la succession de Paul Biya. Pourquoi est-ce problématique ?  Le président Paul Biya n'a jamais voulu toucher au sujet de sa succession. Il y a eu l'hypothèse que son fils Franck Biya puisse le remplacer, hypothèse qui a été mise de côté. Le président a toujours, avec un système de répression ou de cooptation, calmé toutes les velléités d'autres membres du parti au pouvoir de prendre sa place. Donc, le sujet, évidemment, est resté très important, surtout parce que durant les derniers mandats, il a délégué de plus en plus à son cercle restreint au gouvernement et à la présidence. Donc, ça a aussi créé des tensions très fortes qui créent des luttes de pouvoir en interne, qui, finalement, empêchent la gestion des affaires de l'État et, en général, le développement économique, les réformes dont le pays aurait besoin.  Vous évoquez aussi dans votre rapport les nombreux remaniements au sein de l'armée camerounaise ces derniers temps. Dans quel objectif cela a été fait, selon l'International Crisis Group ?  Le coup d'État au Gabon en août 2023 était sans doute un signal que le président Biya a pris en considération de manière très évidente parce que tout de suite après, il a commencé à faire des remaniements au sein de l'armée pour casser tout type de réseaux de connexions qui pourraient mettre des officiers, des hauts gradés de l'armée, dans des conditions d'organiser quelque forme de résistance au pouvoir. Et ça montre que le président Biya est bien déterminé à empêcher que tout type de mécontentement au sein de l'armée puisse se transformer en quelque chose de plus dangereux pour le pays.  Concernant les élections à venir elles-mêmes et l'organisation du scrutin, quelles sont les principales failles, les principaux risques identifiés par l'ICG ?  Le premier point, c'est sans doute l'indépendance des institutions électorales : je me réfère surtout à Elecam, Elections Cameroon, mais aussi au Conseil constitutionnel, dont les membres sont, dans la plupart des cas, nommés par le président et sont ou ont été membres du parti présidentiel ou très proches de l'entourage présidentiel. L'autre sujet, c'est le bulletin électoral. Maintenant, chaque candidat a un bulletin séparé et une réforme vers un bulletin unique où tous les candidats sont listés sur le même papier, n'a pas été mise en place depuis les scrutins de 2018. Cela aurait évité des fraudes et aurait aussi évité les problèmes de ne pas trouver le bulletin du candidat qu'on cherche dans les centres de vote le jour des élections. Après, il y a aussi évidemment les problèmes de dépouillements qui donnent également lieu a tout type de recours dans un temps très, très limité : 72 heures, ce temps, n'est pas suffisant pour vérifier la situation et pour récolter des preuves sur le dépouillement des votes en province et dans les autres régions du pays.  Le scrutin a lieu dans seulement deux mois au Cameroun. Quelle est la priorité ?  Évidemment, le temps d'ici au scrutin n'est plus suffisant pour réformer le système électoral. Mais il y a encore assez de temps pour des gestes politiques qui pourraient montrer une volonté de transparence et de crédibilité. Une mesure, ce serait la libération des prisonniers politiques de l'opposition qui sont en prison à Yaoundé depuis le scrutin de 2018 et l'adoption d'un code de bonne conduite pour essayer de mettre un frein aux discours haineux et ne pas faire monter des tensions autour des élections qui pourraient amener à des protestations violentes et des manifestations avant ou après les scrutins. Les séparatistes anglophones ont annoncé déjà qu'ils feront des opérations de ville-morte qui feront tout ce qui est dans leur pouvoir pour empêcher les votes dans les zones qu'ils contrôlent. Donc, pour nous, la priorité, c'est vraiment la protection des civils : empêcher que la population anglophone, mais aussi les fonctionnaires qui travaillent pour les institutions électorales dans ces zones, ne soient pas exposés aux violences d'un côté ou de l'autre. Dans ces régions, pour la cessation des hostilités, c'est la seule manière de protéger les civils et de leur permettre d'aller voter s'ils veulent, mais surtout de ne pas avoir de victimes civiles pendant la semaine électorale. 

Invité Afrique
Bokar Ture: «Pour mon père Stokely Carmichael, la Guinée était le coin le plus révolutionnaire d'Afrique»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 18:12


De Stokely Carmichael, figure des luttes noires du XXème siècle, on connaît surtout le combat aux États-Unis, comme dirigeant des Black Panther. On sait moins qu'en 1968, Carmichael a rejoint la Guinée avec son épouse, la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba. Il est alors devenu un proche collaborateur du président ghanéen en exil Kwame Nkrumah et s'est engagé aux côtés de la révolution guinéenne. Bokar Ture, fils de Stokely Carmichael, a accordé un entretien à RFI : il raconte les années africaines de la vie de son père. RFI : Votre père a été un acteur important des luttes noires du XXème siècle. Aux États-Unis, où il a été l'un des responsables des Black Panther… mais aussi dans son parcours transatlantique puisqu'il vient s'installer en 1968 en Guinée. Parlez-nous d'abord de lui. D'où vient-il ? Comment est née cette conscience militante noire ?  Bokar Ture : Kwame Ture est né Stokely Carmichael à Trinidad et Tobago, connu aussi en français comme Trinité-et-Tobago, en 1941. Il immigre plus tard aux États-Unis pour retrouver sa mère -donc ma grand-mère- qui y était déjà installée quelques années plus tôt. Elle avait pu avoir sa nationalité américaine parce qu'elle était née à Panama. Comment a commencé cette conscience ? Déjà, il avait un penchant politique très tôt. Il y a une de ses tantes qui racontait une anecdote : quand il était jeune, il la poussait à aller voter pour un syndicaliste à l'île de Trinidad. Et au lycée, aux États-Unis, il fréquentait déjà des groupes gauchistes. Un de ses amis de classe était le fils du président du Parti communiste américain dans les années 1952. Et donc, très tôt, il a pu découvrir les discours marxistes. Et bien sûr, il vivait au sud du Bronx, à côté de Harlem. Et la 125e rue de Harlem est une rue reconnue pour des discours politiques de tout genre, de différents groupes.  Il a été l'un de ceux qui ont travaillé l'idée de Black Power. Il a même coécrit, en 1967 avec Charles Hamilton, un ouvrage qui le théorise, intitulé Black Power, the politics of Liberation in America.  Effectivement, le concept de Black Power existait avant. Il y avait un livre qui s'appelait Black Power par Richard Wright, qui a été écrit pendant les années 1950 et qui était un ouvrage dédié à Kwame Nkrumah. Mais personne n'a rendu l'idée de Black Power aussi populaire que Kwame Ture - Stokely Carmichael à l'époque. Notamment durant une marche contre la peur au sud des États-Unis, aux côtés de Martin Luther King, où il disait, plus ou moins : « On est fatigué de mendier notre liberté, comme on l'a fait ces dernières années dans les droits civiques. Maintenant, ce qu'on va faire, c'est de demander le Black Power », le pouvoir noir, qui était un appel à une autodétermination en termes de structures politiques et économiques pour les personnes noires descendantes d'africains aux États-Unis.  En 1968, votre père épouse une première femme, la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba. Au-delà de la relation amoureuse qui s'est nouée entre eux, cette union reflète-t-elle aussi une pensée de votre père, de plus en plus tournée vers l'Afrique et vers le panafricanisme à cette époque ?  Ce n'est pas un tournant, c'est une continuité. Kwame Ture a toujours été Africain dans l'âme. Il vient d'un milieu où l'Afrique est centrale dans l'identité noire. Bien avant qu'il ne se marie avec Miriam Makeba. On le voit dans des photos au début des années 1960 avec ses camarades où il est en tenue africaine. Il se sentait toujours africain. Pour lui, être noir et africain, il ne voyait pas de distinction et toute sa vie était ainsi. Quand il a marié Tantie Miriam, comme je l'appelle, c'était juste une continuité. Après aussi, ma mère, Marlyatou Barry, qui était aussi une Guinéenne. C'était juste une continuité de sa façon de vivre.  Comment se fait concrètement la connexion entre votre père et le premier responsable guinéen, Ahmed Sékou Touré ? Stokely Carmichael, à l'époque, faisait une tournée mondiale et il a rencontré Shirley Graham Du Bois, qui était la veuve de W.E.B Du Bois, qui est aussi une légende de l'histoire de la lutte antiraciste et du développement du panafricanisme. Elle a invité Stokely Carmichael à venir en Guinée pour une conférence du Parti démocratique de Guinée pour rencontrer Kwame Nkrumah et Sékou Touré. Quand il est venu, il a rencontré les deux présidents. Il avait déjà beaucoup entendu parler de Kwame Nkrumah, parce que mon grand-père a travaillé dans un bateau un moment. Il est parti au Ghana et quand il est revenu à New York, il expliquait que c'était la première fois qu'il avait vu une nation noire, indépendante, avec sa propre armée, un président, etc. et il expliquait ceci à un jeune Stokely Carmichael. Cela a vraiment marqué sa pensée. Quelques années plus tard, ils se voient face à face avec Kwame Nkrumah. Après la conférence, en quittant la Guinée, il part dire au revoir à Sékou Touré, qui lui dit : « Écoute, mon fils. Ici, c'est chez toi, tu peux revenir quand tu veux. C'est ta maison. »  Il part voir Kwame Nkrumah qui lui dit « Écoute, moi, je cherche un secrétaire politique, donc si ça t'intéresse, tu es toujours le bienvenu. » Un an et demi plus tard, deux ans pratiquement, il était de retour avec sa nouvelle épouse, Miriam Makeba.  Qu'est ce qui fait qu'il vient s'installer à Conakry à cette époque ?  Pour lui, c'était le coin le plus révolutionnaire en Afrique. Lumumba a été assassiné très tôt donc il n'y avait plus le Congo. Après, il y a eu le coup d'État contre Kwame Nkrumah en 1966. Modibo Keïta en 1968. Quand lui est arrivé, le seul autre pays, c'était la Tanzanie, mais qui était beaucoup moins radicale. Donc il a choisi la Guinée. C'était le pays qui s'alignait le plus avec sa pensée du pouvoir noir à l'échelle mondiale.  Il est aussi menacé aux États-Unis. C'est aussi pour cela qu'il quitte les États-Unis ? De toute façon, mon père était prêt à se martyriser. Il a vu Malcolm X tué, il a vu Martin Luther King tué et les agences voulaient sa tête. Il a échappé à pas mal d'attentats. Mais ce n'était pas la raison centrale. Déjà, il y avait l'invitation. Ensuite, il ne voyait pas les États-Unis comme le centre de cette lutte à laquelle il a dédié sa vie. Il voyait l'Afrique comme étant une partie essentielle. Pour lui, en venant en Guinée, il rejoignait l'Afrique, il rejoignait la révolution africaine qui pouvait donner la dignité à tout le peuple noir à travers le monde.  Diriez-vous qu'il y a un vrai projet politique international derrière cette volonté de s'installer en Guinée ?  Il a toujours eu ce projet. Quand il parlait de Black Power, déjà, dans le livre dont vous avez parlé, il parlait aussi des colonies en Afrique. Dans Black Power, lui et Charles Hamilton faisaient le parallèle entre la situation que vivaient les Afro-Américains aux États-Unis et la situation que vivaient les Africains en Afrique et aux Caraïbes aussi. Il faisait ce parallèle. Dans sa tête, c'était quelque chose qui était un combat international dès le début.  Quelles sont les idées sur lesquelles votre père, Stokely Carmichael – Kwame Ture, une fois qu'il change de nom – et Ahmed Sékou Touré se retrouvaient ?  On parle de personnes qui avaient la même vision d'une Afrique unie, une Afrique libre où il n'y a pas d'inégalités. Ils étaient tous deux penchés vers des idées socialistes. Ils étaient totalement alignés idéologiquement. Sékou Touré était un de ses mentors, une de ces personnes qui l'ont formé dans cette idéologie.  Ils se retrouvent dans l'idée, qui est défendue par Ahmed Sékou Touré à l'époque, d'authenticité africaine ? À 100 %. Et il s'intègre à 100 %. Je peux vous dire que moi, par exemple, j'ai très peu de souvenirs de mon père en habit occidental. Il s'habillait en tenue africaine, cousue en Afrique. Il s'est enraciné dans la population africaine. Ce qui était quand même unique parce que tout le monde était tourné vers une façon de vivre occidentale. Et lui non, il voulait se réapproprier son héritage culturel.  Et la volonté de promouvoir les cultures africaines, de leur donner leur vraie place ? C'est exactement cela, revaloriser la culture africaine, la culture noire, se réapproprier celle-ci. Et ne pas avoir de complexes vis-à-vis des cultures européennes, dominantes et autres.  Depuis le début de cet entretien, on joue avec deux noms pour parler de votre père, Stokely Carmichael, Kwame Ture. À un moment donné de sa vie, il décide de passer du nom de Stokely Carmichael à celui de Kwame Ture. C'est une démarche qui dit aussi beaucoup de choses sur le lien qu'il a avec Kwame Nkrumah et Ahmed Sékou Touré.  Effectivement. Il y avait un précédent aux États-Unis. Il y avait pas mal d'Afro-Américains, notamment dans son milieu révolutionnaire, qui changeaient de nom. Notamment Malcolm X, Mohamed Ali. Bien sûr, le nom est inspiré de Kwame Nkrumah et de Sékou Touré. L'anecdote, c'est qu'il était en Tanzanie lors d'un entretien radio. Après l'entretien, apparemment, un vieil homme venu à pied d'un village lointain est venu le voir et lui a dit : « Écoute mon fils, j'ai vraiment aimé ton entretien. Mais il y a une chose : ton nom sonne un peu bizarre, un peu féminin, il faut le changer ». Il a alors pris le nom de Kwame Nkrumah et de Sékou Touré. Lorsqu'il venait l'annoncer à Sékou Touré et lui dire : « J'ai pris le prénom de Kwame », Sékou Touré lui a répondu : « C'est bien, parce qu'à chaque fois que nous avons des débats, tu prends toujours son parti. » Il lui a répondu : « Mais j'ai pris le nom Touré comme nom de famille. ». Ce qui était approprié, car c'étaient ses deux mentors. À lire aussiKwame Ture, le destin hors du commun d'un Black Panther parti s'installer en Guinée [1/2] Comment est-ce que vous décririez les liens qu'il entretenait avec Kwame Nkrumah et Ahmed Sékou Touré ? En Kwame Nkrumah, il voyait un symbole de cette lutte. Il était prêt à le suivre. Il a mené quelques opérations au Ghana pour essayer de voir s'il pouvait réinstaurer Kwame Nkrumah au pouvoir. Il était très proche de lui. Et Sékou Touré était comme un père pour lui. En 1970, votre père vit l'un des moments charnières de l'histoire de la Première République guinéenne, à savoir l'attaque contre Conakry du 22 novembre 1970. Savez-vous comment il a vécu ces journées ?  Je sais qu'il était un participant dans l'action de repousser les troupes portugaises. Il était armé ce jour et a dû utiliser son arme. Selon ce que j'ai appris, il était un des premiers à alerter les autorités, y compris le président, du fait qu'il y avait une attaque qui venait. Ca tirait sur sa case, donc il devait quitter sa maison. Lui et Miriam Makeba ont dû se réfugier quelque part d'autre où il l'a laissée et lui est ressorti pour aider à défendre la ville.  Cette opération conjointe de militaires portugais et de rebelles guinéens a conduit à la plus grande vague d'arrestations en Guinée de toute la Première République. La vie du pays va être rythmée pendant de longs mois par des confessions publiques de personnes présentées comme les complices d'un « complot impérialiste » aux ramifications tentaculaires. Comment est-ce que votre père se positionnait par rapport à cette thèse du complot permanent contre la Guinée ? Et plus généralement, quel regard portait-il sur l'État policier qu'était aussi devenu la Guinée de cette époque ?  C'est quelque chose de très complexe et malheureusement, la Guinée ne s'est toujours pas réconciliée avec ce passé et les positions sont assez ancrées. Maintenant, si on parle de Kwame Ture précisément, pour lui, c'était un régime panafricaniste, le seul régime panafricaniste radical. Et malgré toutes ses erreurs, c'était celui qui pouvait tenir jusqu'au bout cette conviction qu'il avait lui-même. Il était totalement d'accord avec le fait qu'il fallait conserver ce régime pour qu'il ne bascule pas dans un régime néocolonialiste.  À tout prix ? À tout prix.  En 1974, il y a un autre évènement important pour l'Afrique et plus généralement pour le monde noir, c'est le combat en Afrique, à Kinshasa, entre Mohamed Ali et George Foreman. Dans un livre de mémoires, votre père indique qu'il a été invité par Mohamed Ali lui-même à venir à Kinshasa pour le combat. Est-ce que vous savez ce que représentait cet affrontement pour votre père ?  Mohamed Ali était son ami. Il y avait ce symbole de Mohamed Ali qui représentait l'Africain fier et George Foreman qui était un peu l'opposé de cela. Mais après, il a rencontré George Foreman et il disait que George Foreman l'avait séduit avec son charme, l'a embrassé et tout. Je pense qu'au-delà du symbolique, mon père était beaucoup plus intéressé par ce qui se passait au Congo démocratique, c'est-à-dire le Zaïre à l'époque, et le fait que c'était sous le régime de Mobutu Sese Seko, auquel il était farouchement opposé par ce qu'il représentait en termes de corruption et d'alignement avec les puissances coloniales. Qui sont de manière générale les acteurs politiques qui fréquentaient le salon de votre père dans ces années 1970 et au début des années 1980, pendant la Première République en Guinée ? On parle d'un melting pot qui ne dit pas son nom. Que ce soit des artistes - Miriam Makeba et Nina Simone, qui était une de ses amies très proches - ou des activistes de partout dans le monde. Qui venaient à Conakry et qui venaient le rencontrer ? Qui venaient à Conakry ou qui y vivaient. Parce que vous savez qu'à une époque, Conakry était un centre du monde noir où on conciliait l'art, les mouvements de libération, etc. Il y avait un grand nombre de personnes qui y vivaient, comme Amilcar Cabral, comme Kwame Nkrumahn, avant même il y avait Félix-Roland Moumié du Cameroun, pour ce qui est de la politique. Concernant les arts et la littérature, il y avait Ousmane Sembène qui y vivait, il y avait Maryse Condé qui y vivait. C'était vraiment un centre… et il se retrouve chez lui avec toutes ces personnes, plus ou moins de différentes sphères. Moi, je peux raconter avoir vu des activistes exilés sud-africains, Tsietsi Mashinini, qui a commencé la révolte estudiantine de Soweto, qui était parmi d'autres exilés sud-africains. Il y avait beaucoup d'Afro-Américains, bien sûr, des Black Panthers exilés. Il y avait la diplomatie guinéenne, des diplomates de pays gauchistes et souverainistes, il y avait tout un monde. Mais aussi, il faut savoir que Kwame Ture était vraiment penché vers la masse, la masse populaire. Donc autour de tout ça, on voit un chef villageois qui est assis ou on voit la personne déshéritée du quartier qui est là, assise, qui peut recevoir un repas. Parce que notre maison était comme un centre communautaire pour la jeunesse du quartier. Il amenait tous les enfants du quartier à la plage chaque dimanche. Puis se retrouvait peut-être un mardi à saluer un chef d'État. Puis avait une conférence avec un groupe communautaire. Moi, j'ai vu tout cela dans cette maison. C'était quelque chose de magique. Il recevait où, justement ? Dans son salon, dans son bureau ? Y avait-il un rituel autour de la réception de ses amis politiques ? Déjà, il avait une véranda où il était assis… parce que c'était un bibliophile. Il lisait beaucoup, il écrivait beaucoup. Il ne lisait pas pour le plaisir, mais il lisait pour ses conférences. Après, il y a des gens qui venaient pour le rencontrer. Je sais qu'il y a eu Charles Taylor qui était venu de nulle part pour le rencontrer. C'était vraiment un melting pot.    À cette époque, votre père continue aussi ses voyages et ses tournées, il n'est pas tout le temps à Conakry ? Il était très organisé. Sur toutes ses photos, il écrivait les dates et les lieux. On se demande comment il pouvait parcourir toutes ces distances en si peu de temps. Un jour, on le voit au Connecticut. Le lendemain, on le voit à Paris, banni, chassé. En Angleterre, peut-être, d'où il est banni et chassé. Parce que c'était très compliqué pour lui d'avoir accès a beaucoup de pays. Après, on le voit en Californie... Il était partout. Sékou Touré disparaît en 1984. Mais votre père continue, lui, son engagement pour ses idées au sein du Parti démocratique de Guinée. Qu'est-ce qui a marqué ces années de militantisme politique sous Lansana Conté ? Le contexte a vraiment changé !  Et c'est là que l'on voit vraiment les convictions de l'homme. Parce que, du jour au lendemain, tout a changé. Il a été arrêté par le régime de Lansana Conté. Donc, il a perdu les privilèges qu'il avait, bien sûr, où il connaissait le président et était sous sa tutelle. Mais malgré cela, il a décidé de rester en Guinée. La moitié de sa vie guinéenne, quinze ans, s'est passée ainsi. Il a décidé malgré tout de rester en Guinée, d'être actif dans la vie politique guinéenne et la vie sociale de la Guinée.  … Et de rester fidèle à ses convictions.  Exactement. Vous êtes à l'époque enfant. Quel souvenir est-ce que vous gardez de ces années, de votre maison à Conakry, de ceux qui y passaient ? Quelle était l'ambiance ? Vous disiez tout à l'heure que tout le quartier se retrouvait chez vous…  C'est cela. Mon père était d'une gentillesse rare, d'un altruisme qu'on ne retrouve pas très souvent. Donc effectivement, c'était pour moi quelque chose de très formateur. Comment quelqu'un peut traiter un chef d'État avec le même respect qu'il traite la personne la plus déshéritée du quartier. Et toutes ces personnes pouvaient se retrouver chez lui, devant lui, avec le même respect, ou peut-être même le déshérité avec un peu plus d'amour.  Vous appelez régulièrement les Guinéens à se souvenir de votre père, Stokely Carmichael / Kwame Ture. Avez-vous le sentiment que son histoire a été oubliée en Guinée ?  Je parle de manière générale. Il y a une politique de mémoire en Guinée qui doit être améliorée. Stokely Carmichael est un pont unique entre l'Afrique et l'Amérique. On parle d'un personnage qui a passé la moitié de sa vie en Guinée. À ce stade, l'État guinéen n'a pas fait une seule initiative pour se réapproprier de l'héritage de cette personnalité.  Donc il y a un vrai chantier ? Il y a un chantier.  Une dernière question plus personnelle. Quel père a été Stokely Carmichael ? Quelle image retenez-vous de lui ?  Un père adorable, d'une gentillesse rarissime, qui m'a beaucoup appris, que j'ai profondément aimé. Quelqu'un qui était attaché à tout ce qui est beau dans le monde, à commencer par les enfants. ►A lire pour aller plus loin : BERTHO Elara, Un couple panafricain, Editions Rot-Bo-Krik, 2025 À (ré)écouterElara Bertho: «Replacer Conakry au centre des imaginaires, c'était un peu l'idée de cet ouvrage»

Invité Afrique
Élections en Côte d'Ivoire: «La préservation de la paix» doit primer face au droit, pour Mgr Jacques Ahiwa

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 7:42


« Il faut aller à la palabre africaine », disent les évêques de Côte d'Ivoire, après l'exclusion de plusieurs personnalités de l'opposition de la présidentielle du 25 octobre prochain. Dans une lettre pastorale publiée il y a une semaine, la Conférence des évêques de Côte d'Ivoire appelle à une élection « juste et inclusive », à laquelle, outre le président sortant Alassane Ouattara, qui a déclaré sa candidature ce 29 juillet, ses principaux opposants pourraient, eux aussi, se présenter. Mgr Jacques Ahiwa répond aux questions de Christophe Boisbouvier depuis son archevêché de Bouaké. RFI : À trois mois de l'élection présidentielle, vous venez de publier une lettre pastorale dans laquelle vous ne cachez pas votre inquiétude. Pourquoi ? Mgr Jacques Ahiwa : Parce que nous sommes des pasteurs. Nous avons les quinze diocèses de Côte d'Ivoire. Nous sommes au contact des populations. Et ce sont un peu les craintes de ces populations que nous avons essayé d'analyser, de prendre en compte non seulement dans nos prières, mais aussi dans nos analyses pour apporter quelques éléments de réponse et surtout de propositions pour apaiser, aider à apaiser ces craintes-là. Et quelles sont ces craintes ? Les craintes, c'est la peur d'une élection émaillée de violence. Nous savons depuis un certain temps que chaque fois que, les élections sont annoncées, les populations ont la peur au ventre. Et donc ça nous remonte. Tout le monde nous dit "priez, priez pour nous, faites quelque chose". Et ce que nous pouvons faire, effectivement, en tant que pasteur, c'est de prier et puis d'apporter notre contribution à la construction, à la préservation de la paix. Monseigneur Jacques Ahiwa, dans votre lettre pastorale, il y a une semaine, vous appelez à une élection « juste et inclusive », est-ce à dire que pour l'instant ces deux conditions ne vous paraissent pas réunies ? De ce qui revient des différents états-majors, je parle des groupements politiques de la société ivoirienne, nous constatons que, jusqu'à présent, il y a des dinosaures, comme on dit, de la politique ivoirienne qui ne figurent pas sur la liste électorale. Et cela crée beaucoup de tensions. Chacun fait valoir ses arguments et cela crée beaucoup de crispations dans la population. Donc en termes d'inclusion, pour l'instant, je pense que nous n'y sommes pas encore arrivés. Il y a encore du travail à faire pour que cette élection soit la plus large possible. Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Charles Blé Goudé… Plusieurs dinosaures, comme vous dites, n'ont pas le droit de se présenter, car les autorités affirment qu'elles ne sont pas éligibles au regard de la loi ivoirienne. Quelle est la position de la conférence épiscopale à ce sujet ? La position de la conférence, elle porte sur la loi, sur la loi fondamentale. Nous avons fait notre analyse sur la base de la loi, mais aussi de l'environnement. Ceux qui estiment qu'ils ne sont pas éligibles ont les éléments pour argumenter. Mais nous, en tant qu'acteur aussi de la vie sociale, en regardant ce qui se passe, en analysant les crispations, parce que chacun fait valoir ses arguments, on aurait souhaité que les discussions se poursuivent pour voir dans quelle mesure cette exclusion ou bien ce manque qui pourrait permettre à ces candidats de compétir puisse trouver des solutions. Concernant l'éligibilité de ces opposants, et c'est toujours dans votre lettre épiscopale, vous appelez à concilier le respect du droit et le bon sens politique. Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Nous voulons dire que, quand les lois ne permettent pas de préserver la cohésion, il faut peut-être aller à la palabre africaine. La palabre africaine, c'est quand il y a un problème presque insoluble, on active des leviers, des mécanismes pour entendre tout le monde et résoudre la question. D'autant plus que, depuis un certain temps, depuis 2010, la Côte d'Ivoire a quelques fois eu recours à ce genre de procédé. Et nous le disons très bien dans notre lettre que ce n'est pas nouveau que les acteurs de la vie politique puissent s'asseoir autour de la même table au niveau de l'élection présidentielle pour trouver des solutions. On parle même d'arrangements politiques. C'est ce que nous appelons le bon sens politique au regard des crispations, au regard de toutes les plaintes et de tout ce qui est susceptible de créer des désordres jusqu'à mort d'homme. Vous le savez très bien, les dernières élections étaient émaillées de pas mal de violence. Pour éviter tout cela, nous en appelons au bon sens politique qui consiste à s'asseoir autour de la même table et à trouver les solutions pour résoudre définitivement cette question de l'éligibilité. Est-ce que vous faites référence à l'accord politique conclu sous l'égide du président sud-africain, Thabo Mbeki, afin que Monsieur Alassane Ouattara puisse être candidat en 2010 ? Oui, nous l'avons dit dans la lettre aussi, c'est très clairement signifié. Nous parlons des accords issus des négociations de la crise de 2002, qui ont permis à tous les candidats de se présenter, au point qu'en 2010, les élections ont connu quand même un engouement assez fort. Quand il y a contradiction entre le respect du droit et le bon sens politique, qu'est-ce qui doit primer à vos yeux ? C'est la sagesse africaine, la préservation de la paix. Il n'y a pas de sacrifice de trop pour préserver la paix. Si vraiment il faut mettre entre parenthèses, dans un premier temps, le droit pour sauver les vies humaines, je pense que le choix est clair. Il faut sauver d'abord les vies humaines et après trouver vraiment les meilleurs mécanismes pour écrire des lois consensuelles qui pourront être acceptées par tous. Alors ce que disent les autorités ivoiriennes, c'est que, si elles n'appliquent pas le droit de façon stricte et rigoureuse, elles risqueront ensuite d'être accusées d'autoriser les passe-droits. Oui, ça, c'est vrai. C'est ce qu'on a toujours dit. Mais vous le savez très bien, depuis toujours, la loi, elle a été la loi et c'est face à la rigueur de la loi qu'on a toujours sollicité des médiations hors loi pour régler des crises. Il se trouve que nous sommes pratiquement dans les mêmes situations de crise qu'auparavant. Alors, je pense qu'il vaut mieux, pour sauver des vies. Nous, notre objectif, c'est cela : comment préserver la paix ? Comment faire en sorte que chaque ivoirien, chaque habitant de ce pays puisse aller et venir sans crainte en temps d'élection comme en temps de non élection. Que chacun puisse vaquer normalement à ses occupations et que les élections ne soient pas sources de crainte, de peur et surtout de violence en Côte d'Ivoire. La vie de l'homme est plus que tout. La vie est sacrée et nous, évêques de Côte d'Ivoire, nous sommes au service de la vie. Et nous sommes les veilleurs pour que tout soit mis en œuvre, même s'il faut mettre entre parenthèses pour un moment la loi pour que la vie soit sauvée, il faut le faire. Ce ne sera pas la première fois et ce ne sera pas le premier cas de figure dans le monde entier. Et puis, dans votre lettre pastorale, Mgr Jacques Ahiwa, vous dénoncez, je cite, l'amateurisme de l'administration électorale. Faut-il à vos yeux remplacer la CEI, la Commission électorale indépendante, par autre chose ? La CEI dans sa configuration actuelle est assez critiquée par les différents acteurs de la vie politique et sociale en Côte d'Ivoire. Il y a donc un travail à faire pour avoir une CEI, d'autant plus qu'elle est permanente, une CEI qui puisse être acceptée par tous pour que les règles qu'elle dicte soient reçues et bien mises en œuvre. Je pense qu'on va y arriver, mais pour l'instant, telles que les choses se présentent, la CEI, quand on la regarde, elle est un peu déséquilibrée. Et donc, il y a ce travail d'équilibrage pour qu'elle soit la plus consensuelle possible.

Journal en français facile
Cambodge-Thaïlande: un cessez-le-feu trouvé / Gaza: l'aide humanitaire au compte-gouttes / France: Zaho de Sagazan interpelle Emmanuel Macron concernant Gaza...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 10:00


Le Journal en français facile du lundi 28 juillet 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BsdO.A

C dans l'air
Patricia Allémonière - France/Algérie: une crise sans issue?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 11:22


C dans l'air l'invitée du 2 juillet 2025 avec Patricia Allémonière, grand reporter, auteure de "Au coeur du chaos", publié aux éditions Arthaud.Hier, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été condamné en appel à 5 ans de prison en Algérie. La veille, on apprenait qu'un journaliste français spécialisé dans le football, Christophe Gleizes, était, lui, condamné à 7 ans de prison pour "apologie du terrorisme", et "possession de publications dans un but de propagande nuisant à l'intérêt national". Concernant Boualem Sansal, la France a appelé à une "grâce humanitaire", à travers la voix de la porte-parole du gouvernement Sophie Primas. Concernant la peine infligée à Christophe Gleizes, le ministère français des Affaires étrangères a indiqué regretter "vivement la lourde condamnation à une peine de sept ans de prison ferme du journaliste ".Ces condamnations interviennent dans une séquence diplomatique tendue entre Paris et Alger, notamment depuis que le président Macron a acté la "reconnaissance" par la France de "la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental". Patricia Allémonière, grand reporter, reviendra avec nous sur le contexte dans lequel ont lieu ces condamnations, et sur la relation entre Paris et Alger.