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Si vous êtes une femme célibataire, on vous a très certainement déjà dit : “si tu continues comme ça, tu finiras vieille fille avec des chats.” Il est souvent compliqué d'expliquer à la personne en face qu'au-delà du fait que cette blague n'est pas marrante, elle est aussi remplie de stéréotype. Vous souvenez-vous d'Eleanor Abernathy dans les Simpson ? C'est la "folle au chat" par excellence. Elle est entourée d'une horde de félins, et surtout, elle les balance sur quiconque ose s'approcher d'elle. Concrètement, une "vieille fille à chat", c'est une femme passée trente ans qui n'est pas en couple avec un homme. Dans les standards de notre société, il y a comme qui dirait un couac. Elle ressemble à quoi la "vieille fille à chat" ? Pourtant, c'est quand même assez classique d'avoir un chat ? Et pour les hommes, c'est quoi l'équivalent ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. Les femmes sont-elles vraiment plus émotives que les hommes ? Pourquoi les objets du quotidien ne sont-ils pas pensés pour les femmes ? Pourquoi les femmes vivent-elles plus longtemps que les hommes ? Première diffusion : 1er février 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Mini-série Visibilité – Épisode n°3 :Avoir un podcast de qualité, c'est bien, mais être facilement trouvé par des potentiels auditeurs, c'est encore mieux. Tu vas pas me contredire, si ? Car oui, tu peaufine ton concept, tu bosses ton son, ta ligne éditoriale, ton montage…Mais est-ce que ton podcast remonte dans les résultats de recherche sur Spotify ou Apple Podcasts ? Pas sûr.Dans cette chronique, je t'explique comment fonctionne le PSO (Podcast Search Optimization) : un levier encore trop sous-exploité… alors qu'il peut changer la donne en matière de visibilité.Concrètement, le PSO, c'est l'équivalent du SEO, mais pour les plateformes d'écoute. Et oui, tu peux gagner en visibilité sans publier plus, simplement en optimisant tes métadonnées. Et là si tu te dis "les méta-quoi ?!" , pas de panique, tu sauras tout à la fin de ma chronique (ça rime).Dans cet épisode, on parle de :comment optimiser le titre de ton podcast,pourquoi ta description doit être écrite pour des humains et pour les algorithmes,comment booster chaque épisode avec les bons mots-clés,et en bonus, les outils pour suivre ta position (et l'améliorer !).À écouter si tu veux :apprendre à faire remonter ton podcast dans les recherches,toucher plus d'auditeurs sans t'épuiser à publier plus,transformer tes titres et descriptions en aimants à clics.Et si tu ne sais pas par où commencer, je te donne 3 actions simples à mettre en place dès aujourd'hui pour optimiser ton PSO.Dans les prochains épisodes de la mini-série, tu découvriras :le retour d'expérience de Laurie Giacobi, qui a boosté le PSO de son podcast My Marketing Podcast.mes audits de découvrabilité sur deux podcasts volontaires : Club VG et Single JungleDis-moi si cette chronique t'a donné envie de plonger dans le PSO ? Tu me diras ce que tu as testé en premier ?
Durant l'été 2025 (qui correspond au Congé maternité de Marine
Vous pensez qu'il faut toujours plus de clients pour faire plus de chiffre d'affaires ?Détrompez-vous.Dans cet épisode, on vous partage 6 stratégies concrètes, testées sur le terrain, pour augmenter vos revenus sans démultiplier vos efforts de prospection.Vous repartirez avec des leviers simples, rentables et adaptés à votre activité pour booster votre chiffre d'affaires, même si vous ne pouvez pas accueillir de nouveaux clients.PROGRAMMEPourquoi l'acquisition n'est pas toujours la meilleure optionComment transformer vos prospects non signés en clients sans effortFidélisation : le levier trop souvent oubliéMettre en place une offre récurrente pour stabiliser vos revenusAugmenter votre panier moyen grâce au cross-sell, upsell et offres packagéesDiversifier intelligemment votre offre sans vous éparpillerVendre plus cher, mais avec la bonne stratégie de positionnementUn épisode 100 % pragmatique qui vous aidera à débloquer de nouvelles opportunités de croissance.____
Le flex office, ou bureau flexible, est une organisation du travail dans laquelle les salariés n'ont plus de poste de travail attitré. Concrètement, au lieu d'avoir un bureau fixe, chacun s'installe chaque jour dans l'espace de travail disponible selon ses besoins : open space, salle de réunion, espace calme, zone de coworking, etc. En 2024, 26 % des salariés sont en flex office.Voici les grandes caractéristiques du flex office :1. Suppression du bureau personnelLes salariés n'ont plus de bureau dédié. Ils rangent leurs affaires dans des casiers personnels ou les transportent au quotidien.2. Espaces partagés et modulablesLes bureaux sont organisés par zones d'usage (collaboration, concentration, réunions informelles…), souvent avec des outils numériques pour réserver un poste à l'avance.3. Objectif : optimisation de l'espaceLe flex office permet aux entreprises de réduire leurs coûts immobiliers, en adaptant les surfaces aux besoins réels. En moyenne, un poste de travail n'est occupé que 60 % du temps (télétravail, réunions, déplacements…), ce qui rend possible cette mutualisation.4. Encourager la mobilité et la collaborationEn changeant régulièrement de place, les salariés croisent plus de collègues, ce qui favorise les échanges transversaux et casse les silos hiérarchiques.5. Effets contrastés sur le bien-êtreLe flex office séduit certaines entreprises, mais il suscite aussi des critiques :Perte de repères ou de sentiment d'appartenance,Manque d'intimité ou de confort,Stress logistique (chercher un poste, gérer ses affaires personnelles…).Ces points ont été confirmés par plusieurs études, notamment une étude de 2021 menée par l'Université de Leeds (Royaume-Uni), qui souligne une baisse du sentiment d'appartenance et une augmentation du stress perçu chez les employés en flex office. En France, une enquête menée en 2022 par OpinionWay pour CD&B indique que 61 % des salariés en flex office regrettent de ne plus avoir de poste fixe, et 48 % disent que cela nuit à leur concentration.En résumé, le flex office est une forme d'organisation spatiale du travail pensée pour plus de souplesse, mais qui exige aussi autonomie, discipline et outils numériques adaptés. Il est souvent associé au télétravail et aux nouvelles méthodes de travail agiles, mais son impact dépend fortement de son mode de mise en œuvre et de l'accompagnement des équipes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les bombardements ont cessé en Iran et en Israël. Et la presse internationale s'interroge ce matin, à l'instar du Devoir à Québec : « Ce cessez-le-feu ficelé par les États-Unis a-t-il l'étoffe de ceux qui durent ? Si on doit reconnaître un mérite au coup de théâtre de lundi, c'est qu'il permet aux trois parties impliquées de sortir la tête haute, sans devoir, face à leur peuple, panser les blessures d'un perdant. » Dans le New York Times, c'est la théorie que défend Ali Vaez, le directeur iranien de l'International Crisis Group. « Les États-Unis, affirme-t-il, peuvent dire qu'ils ont réussi à faire reculer les avancées nucléaires iraniennes. Israël peut dire qu'il a affaibli l'Iran, son adversaire dans la région. Et l'Iran peut dire qu'il a survécu aux attaques et même réussi à riposter à des puissances militaires beaucoup plus fortes. » Bref, il n'y aurait ni perdant ni gagnant… Pas plus de sécurité qu'il y a 12 jours Libération à Paris s'interroge également : « pour que cet accord – flou, non signé, non validé par quelque entité juridique ou politique que ce soit – puisse tenir, il faut que les deux parties puissent le présenter comme une victoire. Est-ce possible ? Côté israélien, Benyamin Nétanyahou peut se targuer d'avoir a minima retardé la militarisation du nucléaire iranien. Sans certitude que les mollahs ne recommencent pas leur entreprise hasardeuse (…). Côté iranien, l'honneur peut-il apparaître sauf ? (…) Le régime sait qu'il a eu chaud, et qu'il ne doit sa survie qu'à l'impréparation américaine sur un potentiel changement de régime. Mais, soupire Libération, le savoir engrangé en matière nucléaire et le ressentiment accumulé à Téhéran ne laissent malheureusement pas penser que le Moyen-Orient d'aujourd'hui sera longtemps plus sûr qu'il y a douze jours. » Le problème du nucléaire iranien réglé ou escamoté ? En fait, remarque Le Figaro, « cette négociation de paix annoncée par le président américain ressemble un peu à un tour de magie. (…) Le problème du nucléaire iranien est-il réglé ou seulement escamoté ? Nul ne sait, pas même Trump, ce que donneront ses solutions expéditives sur le long terme. » Concrètement, pointe le Washington Post, « le défi le plus urgent de l'après-guerre sera de trouver - et de détruire - le stock iranien de 400 kilos d'uranium enrichi à 60 %, qui pourrait devenir le combustible d'une “bombe sale“ en quelques semaines. (…) Des sources israéliennes et américaines affirment savoir où se trouvent les 400 kilos. Nous ne pouvons que l'espérer, s'exclame le Post. Ils doivent la trouver - rapidement - et s'en débarrasser en toute sécurité. Sinon, la mèche de la bombe iranienne sera toujours allumée. » Pour le Guardian à Londres, ce « cessez-le-feu est le bienvenu », certes, « mais, en effet, le danger n'est pas écarté. (…) L'approche de Trump reste chaotique. Et à mesure que les intentions et les messages du président américain se multiplient, les risques se multiplient. (…) L'instabilité des événements doit beaucoup à l'imprévisibilité de la rhétorique et des actes de Donald Trump. Et la crise au Moyen-Orient va continuer d'éclipser le sommet de l'OTAN à La Haye, destiné à consolider le soutien à l'Ukraine. » Un sommet de l'OTAN sous haute tension Un sommet qui a lieu ce mercredi. Et « Donald Trump, relève Le Soir à Bruxelles, a débarqué hier soir à La Haye auréolé de son succès (pour l'heure) engrangé au Moyen-Orient. Avec une autre victoire en poche : l'engagement que les Européens et le Canada signeront aujourd'hui dans la capitale administrative des Pays-Bas. Ces Alliés, parfois bousculés par l'impétueux président américain, accepteront, bon gré, mal gré, de porter leurs dépenses en matière de défense et de sécurité à un plafond historique : 5 % de leur PIB d'ici 2035 – une obsession du 47e président des États-Unis, depuis sa campagne électorale. » Pour Trump, il faut que les Européens s'engagent plus en matière de défense… Et il accentue la pression : « lors du dîner d'ouverture du sommet de La Haye, hier soir, la tension était palpable, s'exclame La Repubblica à Rome. Tous ceux assis à table ne savaient pas à quoi s'attendre de la part du magnat. » Sur l'Ukraine, Trump est tout aussi imprévisible, affirme encore le quotidien italien : « malgré un entretien direct prévu avec le président ukrainien Zelenski aujourd'hui, le dirigeant américain a de nouveau émis des doutes sur la nécessité d'inclure une condamnation de l'agression russe dans la déclaration finale du sommet. » Bref, conclut La Repubblica, « jamais autant de nuages d'incertitudes n'ont enveloppé un sommet de l'OTAN. »
Chaque été, la ville de Clisson, près de Nantes, devient l'épicentre mondial du rock et du métal. Le Hellfest, c'est plus de 200 000 fans, 180 groupes, et une atmosphère unique qui fait vibrer la Loire-Atlantique au rythme des guitares saturées. Mais derrière le son, les cris et la fête, le réveil climatique gronde. L'édition 2024 a affiché un bilan carbone de 17 033 tonnes de CO₂, dont 75 % liés aux déplacements des festivaliers. Un chiffre qui fait tache dans un monde en quête de sobriété.Face à ces critiques, le Hellfest 2025 entame une mue verte. Ses organisateurs veulent faire du festival un laboratoire d'écologie appliquée, sans renoncer à l'énergie qui le caractérise. Concrètement, plusieurs initiatives ont été mises en place. D'abord, les festivaliers peuvent désormais estimer leur propre empreinte carbone et la compenser en finançant la plantation d'arbres. Le covoiturage est facilité via une plateforme dédiée, et le train à 5 euros est proposé dans toute la région. Exit le plastique à usage unique, remplacé par des matériaux compostables ou recyclables.Côté énergie, 20 % provient désormais de sources vertes, grâce à des groupes électrogènes à biocarburant et des panneaux solaires. Les déchets ne sont pas en reste : 72 % sont revalorisés, et les 160 tonnes de biodéchets sont transformées en compost pour l'agriculture. Sur le terrain social, le festival soutient des associations engagées, comme Savage Lands, une ONG métal au service de la biodiversité.Le Hellfest veut aller plus loin encore, en devenant un catalyseur de changement, en partenariat avec des experts du climat. Objectif : faire du site un exemple reproductible, et faire rimer musique extrême avec engagement environnemental. Une chose reste cependant hors de portée : la gestion du bilan carbone des artistes internationaux en tournée. Mais à Clisson, l'enfer se transforme peu à peu en un paradis d'innovations vertes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un jardin-forêt est un système de production agroforestier hyper dense inspiré d'une jeune forêt, très résilient et particulièrement favorable à la biodiversité ; en d'autres termes un espace naturel inspiré des principes de la permaculture et des écosystèmes forestiers. C'est là le projet actuel de l'association Graines de Nature sur les hauts de Lausanne. Concrètement, des milliers de plantes seront plantées sur ce terrain de 1 hectare afin de former un écosystème productif, résilient et conçu comme un lieu de déconnexion et de bien-être. Cet espace favorisera le travail collaboratif, la mixité sociale ainsi que la biodiversité et prouvera qu'un autre type de production est possible. Il sera conçu comme un espace productif, mais également didactique puisqu'il permettra dès le printemps 2026 d'organiser des animations et d'accueillir des classes, des familles, des groupes, pour s'immerger et se reconnecter à la nature tout en expérimentant un mode de production alternatif. DEMANDE: - Toute sorte de matériel de jardinage et d'entretien de jardin (outils de jardin, brouettes, bêches, pelles, ramasse-feuilles, fourches à bêcher, pioches, sécateurs, scies, cisailles, tuteurs, arrosoirs, gants de jardinage, etc.) - Une débroussailleuse et une motofaucheuse - Des échelles en bois ou en aluminium - Des longs tuyaux d'arrosage (idéalement haut-débit) - Des tréteaux et des panneaux de bois pour faire des tables de rempotage - Des bénévoles intéressés à venir participer à des journées de plantation et d'entretien
Les Allemands redécouvrent leur Bundeswehr, leur armée nationale. Depuis la guerre en Ukraine, on parle en Allemagne de « changement d'époque ». Les autorités consacrent désormais des sommes faramineuses à la défense. Un fonds de 100 milliards d'euros a été créé. Une augmentation du budget qui devrait être confirmée au sommet de l'Otan. Du jamais vu depuis des décennies dans ce pays où les opinions sur le sujet évoluent. De notre correspondante à Berlin, Il fait une chaleur de plomb en ce dimanche de juin dans la capitale allemande. Au pied du Reichstag, de nombreux stands ont été dressés : armée de l'air, armée de terre, jeunes officiers devant un stand... Le lieutenant Hülya Süzen, cheveux courts et blonds, se réjouit du nouvel intérêt de la population envers la Bundeswehr. Cette femme officier a participé à plusieurs opérations de l'armée allemande en Irak et au Kosovo. « Avant la guerre en Ukraine, la population nous montrait un désintérêt bienveillant. Maintenant, les choses sont différentes et, pour la première fois, comme avec les Américains, les gens viennent nous voir et nous remercient pour notre travail. Cela signifie beaucoup pour moi en tant que soldate », explique-t-elle. L'invasion de l'Ukraine par la Russie a en effet été un tournant dans les mentalités en Allemagne, marquées par un profond pacifisme. Après la chute du rideau de fer, le pays se sentait en sécurité, protégé par l'Otan et par le grand frère américain. Mais cela change, estime le colonel Andre Wüstner qui préside la Fédération de la Bundeswehr, une organisation qui représente les intérêts des soldats et des soldates. « Les gens qui croyaient, depuis 1990 avec la chute du pacte de Varsovie, que la paix était un état permanent, ont désormais malheureusement conscience de la nouvelle réalité. Malheureusement, il ne s'agit pas d'imposer un militarisme ou de dire que nous voulons faire la guerre. Non, il s'agit de défendre notre mode de vie en paix et en liberté », déclare-t-il. Si les esprits ont évolué, c'est aussi parce que la politique allemande a réalisé un virage à 180 degrés en février 2023 après l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe. Avec son fameux « Zeitenwende » (« changement d'époque »), l'ex-chancelier Olaf Scholz a promis de remettre à niveau la Bundeswehr, longtemps négligée. Un fonds spécial de 100 milliards d'euros a été débloqué et son successeur, le chancelier Friedrich Merz, a, lui aussi, desserré les cordons de la bourse. La situation dans les casernes s'est améliorée, mais les défis restent énormes, comme le constate le colonel Wüstner : « Le défi, c'est que nous devons croître énormément pour répondre aux engagements de l'Otan. L'Allemagne devra compter entre 250 000 à 260 000 soldats actifs. En soi, ce n'est pas si difficile si l'on dispose de 20 ans. Or, nous n'avons pas ce temps. Nous devons grandir de cette manière. En quatre ou cinq ans, cela va être un énorme défi. » On parle donc de plus en plus d'un retour du service militaire volontaire sur le modèle suédois. Concrètement, les jeunes hommes de 18 ans pourraient bientôt recevoir un document à remplir et les profils jugés les plus adaptés seraient invités à un service militaire de six mois. À lire aussiL'Allemagne dit avoir besoin de «50 000 à 60 000» soldats supplémentaires pour renforcer son armée
Les Allemands redécouvrent leur Bundeswehr, leur armée nationale. Depuis la guerre en Ukraine, on parle en Allemagne de « changement d'époque ». Les autorités consacrent désormais des sommes faramineuses à la défense. Un fonds de 100 milliards d'euros a été créé. Une augmentation du budget qui devrait être confirmée au sommet de l'Otan. Du jamais vu depuis des décennies dans ce pays où les opinions sur le sujet évoluent. De notre correspondante à Berlin, Il fait une chaleur de plomb en ce dimanche de juin dans la capitale allemande. Au pied du Reichstag, de nombreux stands ont été dressés : armée de l'air, armée de terre, jeunes officiers devant un stand... Le lieutenant Hülya Süzen, cheveux courts et blonds, se réjouit du nouvel intérêt de la population envers la Bundeswehr. Cette femme officier a participé à plusieurs opérations de l'armée allemande en Irak et au Kosovo. « Avant la guerre en Ukraine, la population nous montrait un désintérêt bienveillant. Maintenant, les choses sont différentes et, pour la première fois, comme avec les Américains, les gens viennent nous voir et nous remercient pour notre travail. Cela signifie beaucoup pour moi en tant que soldate », explique-t-elle. L'invasion de l'Ukraine par la Russie a en effet été un tournant dans les mentalités en Allemagne, marquées par un profond pacifisme. Après la chute du rideau de fer, le pays se sentait en sécurité, protégé par l'Otan et par le grand frère américain. Mais cela change, estime le colonel Andre Wüstner qui préside la Fédération de la Bundeswehr, une organisation qui représente les intérêts des soldats et des soldates. « Les gens qui croyaient, depuis 1990 avec la chute du pacte de Varsovie, que la paix était un état permanent, ont désormais malheureusement conscience de la nouvelle réalité. Malheureusement, il ne s'agit pas d'imposer un militarisme ou de dire que nous voulons faire la guerre. Non, il s'agit de défendre notre mode de vie en paix et en liberté », déclare-t-il. Si les esprits ont évolué, c'est aussi parce que la politique allemande a réalisé un virage à 180 degrés en février 2023 après l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe. Avec son fameux « Zeitenwende » (« changement d'époque »), l'ex-chancelier Olaf Scholz a promis de remettre à niveau la Bundeswehr, longtemps négligée. Un fonds spécial de 100 milliards d'euros a été débloqué et son successeur, le chancelier Friedrich Merz, a, lui aussi, desserré les cordons de la bourse. La situation dans les casernes s'est améliorée, mais les défis restent énormes, comme le constate le colonel Wüstner : « Le défi, c'est que nous devons croître énormément pour répondre aux engagements de l'Otan. L'Allemagne devra compter entre 250 000 à 260 000 soldats actifs. En soi, ce n'est pas si difficile si l'on dispose de 20 ans. Or, nous n'avons pas ce temps. Nous devons grandir de cette manière. En quatre ou cinq ans, cela va être un énorme défi. » On parle donc de plus en plus d'un retour du service militaire volontaire sur le modèle suédois. Concrètement, les jeunes hommes de 18 ans pourraient bientôt recevoir un document à remplir et les profils jugés les plus adaptés seraient invités à un service militaire de six mois. À lire aussiL'Allemagne dit avoir besoin de «50 000 à 60 000» soldats supplémentaires pour renforcer son armée
Ce n'est plus un simple objectif, c'est une véritable course à l'efficacité énergétique qu'AMD est en train de gagner. Le géant américain des semi-conducteurs, connu pour ses processeurs et cartes graphiques, vient d'annoncer avoir largement dépassé son propre défi environnemental lancé en 2021 : améliorer par 30 l'efficacité énergétique de ses puces pour l'IA et le calcul haute performance (HPC) entre 2020 et 2025.Résultat ? Objectif atteint… et même pulvérisé. Les dernières générations de puces AMD sont 38 fois plus efficaces que celles de 2020. Un bond technologique colossal qui se traduit par 97 % d'énergie consommée en moins. Concrètement, les émissions de CO₂ liées à l'entraînement d'un modèle d'intelligence artificielle passent de 3 000 à 100 tonnes. Et là où il fallait auparavant 275 racks de serveurs, un seul suffit aujourd'hui. Des chiffres qui font tourner la tête. Pour en arriver là, AMD a mis le paquet : innovations architecturales, optimisation des performances par watt, et une ingénierie de précision sur l'ensemble de ses produits, CPU comme GPU. Une stratégie efficace qui confirme sa volonté de concilier performance informatique et responsabilité environnementale.Mais AMD ne s'arrête pas là. La firme annonce déjà son prochain objectif pour 2030 : multiplier par 20 l'efficacité énergétique à l'échelle du rack, par rapport à 2024, pour l'entraînement et l'inférence en intelligence artificielle. Une ambition trois fois plus élevée que les progrès moyens du secteur sur la période 2018-2025. Et ce n'est pas tout : AMD estime que si ses matériels sont déjà très performants, le travail des développeurs pourrait amplifier les gains jusqu'à un facteur 5. Au total, la formation d'un modèle IA pourrait devenir 100 fois plus économe en énergie d'ici 2030. Pour y parvenir, AMD prévoit de repenser l'ensemble de sa chaîne de production : processeurs, mémoire, réseau, stockage, et surtout une co-conception étroite entre matériel et logiciels. L'objectif est clair : faire de l'IA une technologie à la fois plus puissante et plus respectueuse de la planète. Avec cette stratégie audacieuse, AMD espère entraîner tout le secteur dans son sillage. La société mise sur des normes ouvertes et sur la collaboration avec ses partenaires pour continuer à faire avancer une IA plus verte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Parce que… c'est l'épisode 0x603! Shameless plug 27 et 29 juin 2025 - LeHACK 12 au 17 octobre 2025 - Objective by the sea v8 10 au 12 novembre 2025 - IAQ - Le Rendez-vous IA Québec 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2065 Description Introduction et contexte Ce cinquième épisode de collaboration entre les balados Super Citoyen et Polysécure, animé par Catherine Dupont-Gagnon et Samuel Harper, avec la participation de Nicolas, aborde deux sujets majeurs touchant la cybersécurité et la vie privée des citoyens canadiens. Après une pause d'une semaine, les animateurs se retrouvent pour discuter d'enjeux critiques qui affectent directement les utilisateurs de technologies et les citoyens. Première partie : Les vulnérabilités de Microsoft Copilot La découverte d'une faille majeure L'épisode débute par l'analyse d'une vulnérabilité critique découverte dans Microsoft Copilot, spécifiquement dans sa version M365. Cette faille permet aux attaquants d'injecter des instructions malveillantes dans des documents de manière invisible pour les utilisateurs humains, mais détectable par l'agent d'indexation de Copilot. Le mécanisme d'attaque L'attaque fonctionne selon un principe relativement simple mais efficace : les cybercriminels cachent du texte dans des documents en utilisant des techniques comme l'écriture en blanc sur fond blanc ou des polices de caractères microscopiques. Lorsque Copilot analyse ces documents pour répondre aux requêtes des utilisateurs, il lit ces instructions cachées et les exécute comme s'il s'agissait de commandes légitimes. Samuel Harper explique que cette vulnérabilité est particulièrement dangereuse avec la version M365 de Copilot car cet agent peut indexer l'ensemble du contenu personnel d'un utilisateur : courriels, documents OneDrive, conversations Teams. Les instructions malveillantes peuvent donc ordonner à Copilot d'effectuer des actions non autorisées, comme envoyer des informations sensibles à des adresses externes. Les implications pour les entreprises Cette faille représente un risque considérable pour les organisations, particulièrement celles possédant des secrets industriels ou des informations confidentielles. Un attaquant pourrait théoriquement envoyer un courriel contenant des instructions cachées demandant à Copilot de transmettre tous les secrets industriels à une adresse spécifique. L'agent exécuterait ces commandes sans que l'utilisateur ne s'en aperçoive. Un problème systémique Les animateurs soulignent que bien que Microsoft ait corrigé cette vulnérabilité spécifique, le problème est plus large. Tous les agents d'intelligence artificielle utilisant des modèles RAG (Retrieval-Augmented Generation) - qui puisent leurs réponses dans des bases de données externes - sont potentiellement vulnérables à ce type d'attaque. Google Gemini, Claude et d'autres plateformes similaires pourraient être ciblés par des méthodes comparables. Deuxième partie : Le projet de loi C-4 et la protection des données Une loi aux multiples facettes Samuel Harper présente ensuite une analyse approfondie du projet de loi C-4 du gouvernement Carney, officiellement intitulé “Loi visant à rendre la vie plus abordable pour les Canadiens”. Si les trois premières parties de cette loi concernent effectivement des mesures d'abordabilité (baisses d'impôts, fin de la taxe carbone, remboursement de la TPS pour l'achat d'une première maison neuve), la quatrième partie introduit des modifications controversées à la loi électorale. L'exemption des partis politiques Cette section du projet de loi soustrait les partis politiques fédéraux aux lois de protection des renseignements personnels. Concrètement, cela signifie que les partis politiques, leurs bénévoles et tous ceux qui travaillent en leur nom peuvent exercer toutes les activités avec les renseignements personnels sans aucune restriction légale. Le contexte juridique Cette modification législative fait suite à une décision de 2022 du commissaire à la vie privée de la Colombie-Britannique, qui avait déterminé que les partis fédéraux devaient également respecter la loi provinciale PIPA (Personal Information Protection Act). Les partis politiques ont contesté cette décision jusqu'en Cour suprême de la Colombie-Britannique et ont perdu leur cause. Une stratégie législative discutable Les animateurs dénoncent la tactique consistant à inclure ces modifications controversées dans un projet de loi sur l'abordabilité. Cette approche, rappelant les “omnibus bills” de l'ère Harper, rend difficile l'opposition à des mesures populaires tout en faisant passer des dispositions problématiques. Les risques pour la démocratie Le micro-ciblage politique Catherine et Samuel discutent des dangers du micro-ciblage politique, comparant les stratégies des partis politiques à celles utilisées par Cambridge Analytica. Ils soulignent que les mêmes techniques de marketing qui poussent les consommateurs vers des achats peuvent être utilisées pour manipuler les intentions de vote. L'érosion du choix démocratique Les animateurs expriment leurs préoccupations concernant l'utilisation d'algorithmes pour influencer les électeurs. Ils argumentent que ces pratiques transforment le processus démocratique en exercice de marketing, éloignant les citoyens d'un choix libre et éclairé basé sur leurs valeurs personnelles. La paresse technologique Un thème récurrent de l'épisode est la “paresse technologique” - la tendance des utilisateurs à accepter passivement les solutions automatisées sans exercer leur esprit critique. Cette passivité, selon les animateurs, représente un danger plus immédiat que l'intelligence artificielle générale souvent évoquée dans les scénarios catastrophiques. Réflexions sur l'engagement citoyen La responsabilité démocratique Les animateurs insistent sur l'importance de l'engagement citoyen au-delà du simple vote. Ils encouragent les auditeurs à contacter leurs députés pour exprimer leurs préoccupations concernant des projets de loi comme le C-4, rappelant que la démocratie ne se limite pas aux périodes électorales. L'urgence d'agir Samuel souligne que le projet de loi C-4 pourrait être adopté très rapidement, utilisant une procédure accélérée qui contourne les étapes normales du processus législatif. Cette urgence rend encore plus crucial l'engagement immédiat des citoyens. Conclusion et perspectives L'épisode se termine sur une note qui mélange pessimisme et espoir. Bien que les animateurs identifient des tendances inquiétantes - vulnérabilités technologiques, érosion de la vie privée, manipulation démocratique - ils maintiennent leur foi en la capacité des citoyens canadiens à influencer leur système politique par l'engagement actif. Les deux sujets traités dans cet épisode illustrent les défis interconnectés de notre époque numérique : d'une part, des technologies puissantes mais imparfaites qui créent de nouvelles vulnérabilités ; d'autre part, des institutions politiques qui tentent de s'adapter à ces nouvelles réalités parfois aux dépens des protections démocratiques traditionnelles. L'appel à l'action des animateurs est clair : les citoyens doivent rester vigilants, s'informer activement et s'engager dans le processus démocratique pour préserver leurs droits dans un monde de plus en plus numérisé. La technologie n'est ni bonne ni mauvaise en soi, mais son impact dépend largement de la façon dont la société choisit de l'encadrer et de l'utiliser. Notes À venir Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Catherine Dupont-Gagnon Samuel Harper Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm
Retour sur ce vote historique aux États-Unis. Le Sénat a adopté cette semaine, et pour la première fois, un texte régulant les stablecoins. Les stablecoins, ce sont des cryptomonnaies adossées à une devise ordinaire. Ce vote est considéré comme une étape importante pour le développement de cet actif. Avant tout, un petit point de vocabulaire. Alors une stablecoin c'est quoi ? C'est une cryptomonnaie dont la valeur ne varie presque pas, elle reste stable, d'où cette appellation « stablecoin », « une pièce de monnaie stable » si l'on traduit en français. Mais la particularité de cette monnaie virtuelle, d'où sa stabilité, c'est qu'elle est adossée à une devise traditionnelle, le plus souvent le dollar américain. Concrètement, si vous détenez un jeton de stablecoin, vous détenez un dollar. Chaque jeton étant censé être couvert par un vrai dollar ou un actif très sûr. Quel intérêt d'avoir un stablecoin ? En fait cette cryptomonnaie facilite les échanges. Elle permet d'acheter, de vendre, d'envoyer de l'argent à l'autre bout du monde en quelques secondes, 24h/24h, et c'est important, sans passer par une banque. C'est donc rapide, gratuit, car il n'y a pas de taux de change ni de frais bancaires étant donné qu'on paie et qu'on achète en cryptomonnaie. C'est une valeur sûre, donc pour les entreprises, c'est un outil pour réduire leurs coûts de paiement à l'international. D'ailleurs, Amazon ou Walmart envisagent de lancer leurs propres stablecoins. Et pour les particuliers, c'est plus anecdotique mais c'est une façon de protéger leurs économies contre l'inflation ou les crises bancaires. Un marché stratégique désormais encadré aux États-Unis Aujourd'hui, les stablecoins constituent un marché colossal de 250 milliards de dollars. Et la croissance de ces stablecoins est fulgurante. Il y a à peine cinq ans, cela représentait seulement 20 milliards de dollars. Huit transactions sur dix en cryptomonnaies passent par elles. Et plus impressionnant encore, d'après la Deutsche Bank, leur volume de transaction a dépassé l'année dernière ceux de Visa et de Mastercard réunis. Un intérêt croissant des banques, géants de la tech et États Notamment avec cette régulation aux États-Unis. Puisqu'il faut voir un peu plus loin que la simple transaction. Comme les stablecoins sont généralement basés sur le dollars, et bien ça renforce la domination américaine dans le commerce mondial, domination du dollar même. Et à l'heure où différentes économies entendent s'éloigner du billet vert, cette étape revêt une importance stratégique pour les États-Unis. Mais attention, ce n'est pas sans risque. Les stablecoins sont aussi utilisées pour des activités illégales comme le blanchiment d'argent ou le financement du crime organisé. Et si tout le monde se met à utiliser ces stablecoins au lieu des banques, ça pourrait fragiliser le système financier actuel. C'est précisément pour ces raisons que le Sénat américain a voté cette loi qui impose un cadre clair à cette cryptomonnaie. Avec un double objectif : protéger les consommateurs, et renforcer la place du dollar dans l'économie numérique mondiale. À lire aussiPourquoi les cryptomonnaies attirent-elles la convoitise des criminels?
Pour l'épisode de cette semaine, je reçois Romain Torres, le CEO et cofondateur de Arcads.Arcads, c'est une solution qui permet aux équipes marketing de créer des publicités UGC à grande échelle grâce à l'intelligence artificielle. Concrètement, la plateforme permet de générer des vidéos ultra-réalistes d'acteurs IA en quelques clics, à partir d'un simple script.Dans cet épisode, on revient sur le parcours entrepreneurial de Romain, sa rencontre avec son associé Dylan Fournier, et comment leurs expériences précédentes les ont amenés à créer Arcads suite à un pivot stratégique.On parle également :de la manière dont ils ont financé le lancement en vendant leur précédente application ;de la validation du besoin et de leurs premières ventes ;de leur croissance impressionnante (6M€ d'ARR avec une équipe de seulement 6 personnes !) ;des automatisations mises en place pour scaler avec une équipe réduite ;de leur stack no-code et IA pour automatiser marketing, recrutement, et produit.Un épisode passionnant pour comprendre comment l'IA transforme la production de contenu publicitaire, et comment créer un SaaS ultra-performant avec peu de ressources.Vous pouvez suivre Romain sur LinkedIn.Bonne écoute !Pour soutenir SaaS Connection en 1 minute⏱ (et 2 secondes) :Abonnez-vous à SaaS Connection sur votre plateforme préférée pour ne rater aucun épisode
Pour stimuler l'investissement au sein de l'Union européenne, la Commission européenne souhaite relancer un outil financier longtemps associé à la crise de 2008 : la titrisation. En simplifiant son usage tout en l'encadrant strictement, Bruxelles espère libérer des fonds pour financer l'innovation, la transition écologique, la sécurité ou encore la défense. Soyons honnêtes, le terme peut faire peur. Titrisation. Mais derrière ce mot se cache une technique financière visant à convertir des actifs – le plus souvent des prêts bancaires – en titres négociables sur les marchés. Concrètement, une banque qui a accordé de nombreux prêts peut les regrouper, les transformer en titres financiers, puis les vendre à des investisseurs. Cela lui permet de récupérer immédiatement des liquidités pour accorder de nouveaux crédits. Pour « imager » ce processus, on peut le comparer à un particulier qui aurait prêté de l'argent à plusieurs amis. Au lieu d'attendre que chacun rembourse petit à petit, il revend l'ensemble de ces dettes à un tiers qui encaissera les remboursements à sa place. C'est ce mécanisme que Bruxelles souhaite remettre au goût du jour pour fluidifier le crédit. Un levier pour financer les besoins colossaux de l'UE Si la titrisation est en passe d'être relancée, c'est parce qu'elle permet aux banques de libérer du capital, de prêter davantage, et donc de soutenir la croissance. C'est précisément ce que cherche la Commission européenne, qui estime que l'Union a besoin de plus de 800 milliards d'euros par an pour financer l'innovation et la transition écologique, sans compter les besoins en matière de sécurité et de défense. En facilitant la titrisation, l'objectif est de mieux mobiliser l'épargne européenne – estimée à 35 000 milliards d'euros – et de rediriger cet argent vers des investissements productifs, notamment au bénéfice des PME. Bruxelles envisage ainsi de bâtir un véritable marché européen des capitaux, à l'échelle du continent et non plus cloisonné par pays. Un outil à double tranchant, à encadrer strictement Mais relancer la titrisation, c'est aussi raviver les souvenirs de la crise financière de 2008. À l'époque, des titres adossés à des prêts à haut risque (notamment immobiliers) avaient été massivement vendus à des investisseurs avant que ces derniers ne cessent d'être remboursés, entraînant une crise mondiale. Bruxelles avance donc avec prudence. Le cadre envisagé prévoit une réglementation stricte, afin d'éviter toute dérive. Il s'agit de restaurer la confiance des investisseurs tout en garantissant la stabilité financière. Dans un contexte où certains capitaux se détournent du marché américain, l'Union européenne espère ainsi devenir une alternative crédible pour les investissements, en offrant des titres à la fois sûrs et attractifs.
Imagine une activité qui permet d'intégrer harmonieusement les fonctions du corps et de l'esprit avec des petits sacs de sable et des balles… Aujourd'hui, nous découvrons un autre outil à mettre dans notre répertoire pour aider les enfants à bouger pour grandir. APERÇU DU CONTENU C'est quoi un jeu / un sport / une activité thérapeutique? (reste brève ici…va au plus concret) Pourquoi ça s'appelle « Bal A Vis X »? Les principes / concepts clés qui la distinguent des autres approches? C'est pour qui ? Historique ? Les bienfaits pour le développement sensorimoteur et autres domaines? Concrètement, comment on utilise cette activité avec les enfants ? À quoi ressemblent les routines ? La formation est-elle essentielle ? Et plus Tout ça de la perspective de l'ergothérapie
Trouver plus de clients : la question que tout entrepreneur s'est posée… au moins 100 fois.Dans cette nouvelle leçon du mercredi, j'ai échangé avec Yanis Boukary, cofondateur de Coderly, une plateforme de mentorat ambitieuse en quête de croissance. Ensemble, nous avons décortiqué un sujet aussi essentiel que souvent négligé : la définition du persona client.Pourquoi est-ce si difficile d'identifier les bons prospects ?Comment ne plus se disperser dans sa prospection avec 5 étapes ?Et surtout : comment parler aux bonnes personnes, au bon endroit, avec le bon message ?Je vous embarque dans une conversation ultra concrète, pleine d'astuces et de retours d'expérience, pour vous aider vous aussi à faire décoller votre business.Bonne écoute ! CHAPITRAGE 00:00 – Introduction : comment trouver plus de clients ?02:23 – Présentation de Coderly03:18 – Ce qui a (vraiment) marché pour obtenir les premiers clients04:27 – L'erreur classique : viser trop large05:33 – Étudiants, développeurs, PME : comment affiner sa cible ?08:12 – Pourquoi la niche permet une meilleure conversion09:28 – Les signaux faibles à ne pas négliger10:26 – Le secret : connaître son client comme un ami12:17 – Exemples concrets pour mieux cibler les étudiants14:01 – Parler le langage exact de son client : la méthode15:19 – Ce que vous pouvez faire une fois le persona défini16:27 – Coderly : comment ça marche et pour qui ?17:32 – Les types de mentors proposés17:48 – Conclusion : la précision, clé de la croissance#TrouverDesClients #Entrepreneuriat #PersonaClient #Freelance #StartupFrançaise #MarketingDigital #Prospection #ClientIdéal #PodcastBusiness #PaulineLaigneau #YanisBoukary #Coderly #StratégieMarketing #LeçonDuMercredi #LancerSaBoîte #GrowthTips #CiblerSesClientsNotes et références de l'épisode Pour retrouver Coderly : Sur leur siteSur LinkedInPour aller plus loin :La formation “Trouver efficacement ses clients”Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Épisode 1332 : Youpi, c'est lundi et on vous a préparé une jolie liste d'actualités Social Media pour bien commencer la semaine !Meta dégaine “Restyle” : des vidéos transformées par l'IA dans EditsMeta lance un outil de restylisation vidéo. C'est dans Edits et dans l'app Meta AI. Nom du joujou : “Restyle”. Concrètement, on choisit un prompt. Et hop, l'IA transforme la vidéo. En manga, en scène sous-marine, en ambiance rétro futuriste… Il y a plus de 50 effets différents.Pour l'instant, ça fonctionne sur 10 secondes de vidéo. Et c'est gratuit. Threads lance (enfin) ses DMs. Une brique en plus dans le duel contre XC'est officiel : Threads teste un système de messagerie intégré. Une icône d'enveloppe va bientôt apparaître pour les utilisateurs en Thaïlande, à Hong Kong et en Argentine. Signe que Threads ne se contente plus de copier Twitter côté flux, mais aussi côté DM. Contrairement aux premiers tests qui réutilisaient les DMs d'Instagram, ici on part sur une boîte indépendante.YouTube Premium augmente ses prix de 25 % : les créateurs vont-ils en voir la couleur ?YouTube annonce une hausse de prix. L'abonnement Premium Famille passe à 29,99 € par mois.C'est 25 % de plus qu'aujourd'hui. C'est aussi 60 % de plus qu'en 2022.Et il n'y a aucune nouveauté en échange.Officiellement, YouTube veut “soutenir les créateurs”. Mais la pilule ne passe pas. Instagram lance plusieurs nouveautés de suiteUn paquet de nouveautés chez Instagram avec des choses qui avaient été annoncées et d'autres qui viennent se rajouter au fil de l'eau !Première série de mises à jour qui font partie de la campagne "Anyway", centrée sur l'expression authentique plutôt que la performance — en ligne avec les propos d'Adam Mosseri en janvier.La première : la possibilité de réorganiser manuellement la grille de son profil sera déployée la semaine prochaine pour tous les utilisateurs !!La seconde : l'ajout d'une intégration Spotify dans les Instagram Notes, affichant la chanson en cours avec un bouton "add to Spotify" .La troisième : Instagram étend aussi son outil de "trial reels", qui a déjà été passé sur le banc de test et qui permettra aux créateurs de partager leurs Reels auprès d'un panel test en dehors de leur audience avant une diffusion plus large.TikTok ajoute de nouveaux badges pour la performance des vendeursTikTok Shop déploie un système étendu de badges pour mettre en valeur les vendeurs selon leur performance et fiabilité .CES badges seront visibles directement sur le proFil des vendeurs.Il existe donc plusieurs catégories : Boutique officielle - vendeur autorisé - vendeur OR / ARGENT - top marqueLes badges sont revus périodiquement et peuvent être retirés en cas de performances dégradées .Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #173Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion.** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. ***Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Aurore Abecassis. Après avoir été consultante en stratégie, Aurore a fondé Acmé, une agence événementielle à Paris qui crée des événements sur mesure pour des marques de luxe comme LVMH, Dior ou Chanel ou encore des géants de la tech comme Google et Meta.Après une prépa et une école de commerce, Aurore devient consultante en stratégie chez Bain & Co. Mais après plusieurs années, Aurore sent qu'elle s'ennuie et qu'elle a besoin de plus. C'est après un bilan de compétences, qu'elle a le déclic pour fonder son agence d'événementielle.Aujourd'hui, Aurore dirige l'agence Acmé depuis 2019. Elle est à la tête d'une équipe de 20 personnes et organise environ 3 évènements par semaine. L'agence a généré 5 millions de chiffre d'affaires en 2023 et double ses résultats et ses effectifs chaque année. Aurore a été nommée Femme Forbes par le magazine Forbes France l'année dernière. Avec Aurore, on a évoqué les débuts d'Acmé et comment elle a organisé ses premiers événements sans rien n'y connaître, pourquoi elle perdait de l'argent avec ses premiers évènements, comment trouver ses premiers clients quand on n'a pas d'expérience et comment concilier vie de maman et de chef d'entreprise.Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Linkedin d'Aurore : https://www.linkedin.com/in/aurore-abecassis%F0%9F%8C%B9-08047948/- Site internet de son agence Acmé : https://www.acmeparis.fr/- Instagram de son agence Acmé : https://www.instagram.com/acmeparis/Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA- Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
Pour écouter l'épisode en entier, tapez #173 Aurore disponible le 16 Juin. ** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. ***
Créée en automne 2024 à Savigny, l'association Graines de Nature a pour but principal de reconnecter notre société à la nature. Pour atteindre son objectif d'inspirer, de sensibiliser et d'éduquer autour de la nature, ses responsables ont décidé de mettre en place une micro-pépinière communautaire ainsi qu'un jardin-forêt de 1 hectare sur le site de l'institution La Branche à Savigny. Concrètement, des milliers de plantes sont actuellement plantées sur ce terrain de 1 hectare prêté par La Branche afin de former un écosystème productif, résilient et conçu comme un lieu de déconnexion et de bien-être. Cet espace favorisera le travail collaboratif, la mixité sociale ainsi que la biodiversité et prouvera qu'un autre type de production est possible. Il sera conçu comme un espace productif, mais également didactique puisqu'il permettra, dès le printemps 2026, d'organiser des animations et d'accueillir des classes, des familles et des groupes. Lors de sa création, l'association Graines de Nature avait mis sur pied un crowdfunding qui lui a permis de commencer ce printemps les journées de plantation initiale des premières plantes comestibles et des arbres fruitiers, mais elle cherche actuellement du matériel pour pouvoir mieux s'installer et organiser des animations avec des familles. DEMANDE: - Toute sorte de matériel de jardinage et d'entretien de jardin (outils de jardin, brouettes, bêches, pelles, ramasse-feuilles, fourches à bêcher, pioches, sécateurs, scies, cisailles, tuteurs, arrosoirs, gants de jardinage, etc.) - Une débroussailleuse et une motofaucheuse - Des échelles en bois ou en aluminium - Des longs tuyaux d'arrosage (idéalement haut-débit) - Des tréteaux et des panneaux de bois pour faire des tables de rempotage - Des bénévoles intéressés à venir participer à des journées de plantation et d'entretien
Après l'offensive lancée dans la nuit de jeudi à vendredi 13 juin par Israël sur l'Iran, Téhéran a riposté avec des missiles balistiques sur l'État hébreu. Quelle va être la durée et la suite des événements ? Pour en parler, Joshua L. Zarka, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l'État d'Israël en France, invité international de RFI. RFI : L'armée israélienne annonce dans un communiqué que ses avions de chasse vont reprendre les frappes, que les voix vers l'Iran ont été ouvertes. Concrètement, c'est une nouvelle phase de ce qu'on peut qualifier de guerre ouverte ? Joshua L. Zarka : Non, ce n'est pas une nouvelle phase. Nous avions clarifié d'une façon très claire que notre but n'était pas d'avoir une opération qui durerait un jour seulement. Nous allons nous débarrasser et débarrasser le Moyen-Orient de la capacité nucléaire militaire que l'Iran voulait développer. Et tant que cela n'est pas terminé, nous devons continuer cette opération. Nous allons continuer cette opération. Mais quand le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, déclare que « Téhéran brûlera », si l'Iran tire de nouveaux missiles sur Israël, cela va au-delà justement de cet objectif que vous évoquiez, des installations nucléaires... C'est exactement pour clarifier aux dirigeants iraniens, parce que ce n'est pas avec le peuple iranien que nous avons un problème, bien au contraire. Le peuple iranien en a assez de ses dirigeants, de ces mollahs, de ce régime qui les tue. Alors c'est pour clarifier à ce régime qu'il faudrait mieux de ne pas tirer contre nos civils. Nous n'attaquons ni Téhéran, ni les civils iraniens, bien sûr, mais seulement des militaires et des infrastructures militaires. Pour rebondir sur ce que vous dites, parmi les victimes qui ont été annoncées vendredi en Iran, une grande partie sont des civils, selon l'ambassadeur de l'Iran à l'ONU... Oui, c'est vrai, c'est selon l'ambassadeur de l'Iran, comme vous l'avez dit. Mais donc vous niez la qualité de civils de ces personnes ? Nous faisons en sorte, mais nous ciblons seulement les militaires. Si vous avez vu les frappes, certaines des frappes qui ont été faites, c'est non seulement les militaires et les personnes chargées des opérations militaires, mais c'est aussi la chambre à coucher spécifique de la personne où il dormait. C'est seulement l'appartement, par exemple, de M. Salami qui était responsable du programme nucléaire et d'autres. Ce n'est pas contre des civils. Ce qu'a fait l'Iran hier en quatre différentes occasions, c'est de tirer des missiles contre des gens, contre des civils, contre des endroits qui sont peuplés par des civils. Ils n'ont pas ciblés, par exemple, des bases militaires, ce qui serait, comme on dit, de bonne guerre. Vous dites que vous voulez débarrasser le Moyen-Orient de la menace nucléaire iranienne. Beaucoup d'experts doutent de cette faisabilité. Pensez vraiment que ce soit véritablement un objectif réaliste ? Vous utilisez le terme de ce qui est connu justement. Vous savez, dans le développement de capacités militaires, il y a énormément de choses qui ne sont pas connues par le public. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous savons qu'elle peut aboutir. À lire aussiRiposte iranienne à l'attaque d'Israël: à Tel-Aviv, le quartier du ministère de la Défense lourdement touché Vous estimez avoir les capacités militaires pour atteindre les infrastructures souterraines ? Ce qui est connu par des gens qui sont soi-disant, des experts militaires qui ne savent pas ce qu'il y a exactement, ce qui existe dans les arsenaux israéliens, ne veut rien dire. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous sommes certains de pouvoir y aboutir. De pouvoir éradiquer complètement le programme nucléaire, pas juste de le retarder ? Vous savez, regardez, il y a eu deux différentes occasions. Il y a eu des événements dans lesquels Israël a débarrassé le Moyen-Orient de programmes nucléaires illicites, c'était en Irak et en Syrie. Dans les deux cas, des experts internationaux disaient que c'était impossible et que de toute façon, ça allait repousser le programme de un ou deux ans. Et dans les deux cas, depuis et jusqu'à présent, les deux dictateurs ont disparu, mais quand ils étaient encore en vie, ils n'avaient pas repris leur intention de développer une arme nucléaire. Alors les experts, souvent, sont des experts civils qui ne savent pas exactement de quoi il s'agit. Ou bien c'est des gens qui connaissaient les facteurs dans le passé, mais ils ne savent pas de quoi il s'agit aujourd'hui. Encore une fois, je le je répète d'une façon très claire. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous pensons que nous savons que nous pouvons y aboutir. Monsieur l'ambassadeur, vous parlez d'opération préventive. Dans quel cadre légal notamment, se déroule cette opération ? Il n'y a pas de résolutions de l'ONU et a priori pas de concertation avec les alliés d'Israël ? Mais ce n'est pas une question seulement d'opération préventive. Vous savez, le 7-Octobre est un événement iranien. Sans l'Iran, le Hamas n'aurait pas eu d'armes, n'aurait pas eu le soutien militaire, n'aurait pas eu le soutien économique qu'il a eu. Et non seulement cela, mais en deux différentes occasions, l'Iran a tiré directement sur notre territoire des centaines de missiles. La première fois 350 missiles, missiles de croisière et drones, la seconde fois 180 missiles. Mais il n'y a pas eu d'armes nucléaires utilisées le 7-Octobre ? Madame, j'essaie de vous répondre. Donc, en deux différentes occasions, l'Iran a tiré directement des centaines de missiles contre Israël. Nous sommes déjà en guerre avec l'Iran depuis des années. Depuis très longtemps, l'Iran a tiré des missiles de croisière, des drones, contre Israël à maintes occasions. Alors dire que c'est une opération qui vient « comme ça », comme si on était en paix avec le régime iranien et que d'un seul coup on a décidé d'attaquer, c'est pas du tout le cas. L'Iran nous a attaqué, nous attaque régulièrement. L'Iran a essayé d'assassiner des gens en Israël. L'Iran arme les terroristes, les groupes terroristes qui opèrent en Israël, et l'Iran a attaqué directement le territoire israélien avec des missiles de son territoire directement. Est-ce que c'est une opération qui s'inscrit pour votre pays dans un temps long ? Non, ce n'est pas dans un temps long. Notre intention est de faire ça le plus rapidement possible. Ce n'est pas une opération de plusieurs longues semaines. Ce n'est clairement pas une opération de plusieurs mois. C'est une opération que nous essayons de faire le plus rapidement possible, de raccourcir autant qu'on peut. Le président français a défendu le droit d'Israël à se protéger tout en appelant à la négociation pour régler la question nucléaire iranienne. Est-ce que le Premier ministre Benyamin Netanyahu a parlé à Emmanuel Macron ? Oui, ils se sont parlé. Ils ont eu une très bonne discussion. Les deux dirigeants se parlent assez régulièrement et généralement ont de très bonnes discussions. Est-ce que la France participe aux opérations d'une manière ou d'une autre ? D'abord, la France n'a pas du tout participé à l'attaque. C'était une attaque, une opération qui était une opération israélo-israélienne. La question de la défense d'Israël par rapport aux attaques iraniennes est une question, je pense que le président a parlé qu'il comptait aider Israël à se défendre contre les attaques iraniennes. À lire aussiÀ la Une: l'escalade entre l'Iran et Israël La question de la légalité a été posée par un certain nombre de personnes. Vous estimez que vous étiez dans un état de légitime défense après le 7-Octobre ? C'est ça qui constitue la légalité, le cadre juridique dans lequel vous intervenez ? Ce n'est pas seulement le 7-Octobre. Vous savez, quand un pays comme l'Iran dit d'une façon très claire, et c'est le président, le dirigeant de ce pays qui déclare d'une façon très claire plus d'une fois, il le répète pratiquement chaque semaine, qu'il compte détruire l'État d'Israël, il met même une date, 2035 était la date à laquelle l'Iran devait terminer de détruire Israël. Quand ce pays arme tous les ennemis autour d'Israël, et non seulement cela, mais les encourage, les finance et en plus, quand cet ennemi développe la capacité de détruire mon État, nous sommes en toute légitimité. En plus, si vous voulez ajouter cela, l'Iran a deux fois attaqué, comme je l'ai dit auparavant. L'Iran a attaqué Israël deux fois par des centaines de missiles tirés de son territoire. Au-delà du nucléaire, l'objectif c'est la chute du régime iranien ? C'est l'anéantissement de l'Iran ? Non, clairement non. Je dis ça d'une façon catégorique. D'abord, l'anéantissement de l'Iran, pas du tout. Le peuple iranien est un peuple pacifique, un peuple qui veut et qui a vécu en paix avec nous. Nous n'avons aucune raison de ne pas vivre en paix avec eux. Nous voulons et nous pourrons et nous vivrons en paix avec le peuple palestinien. Alors clairement, ce n'est pas d'anéantir l'Iran. Mais non seulement cela, ce n'est pas non plus d'amener un changement de régime. Nous sommes un petit pays et nous nous défendons. Nous ne sommes pas un nouvel architecte du Moyen-Orient. Même si le Premier ministre Netanyahu disait vendredi dans une vidéo que « le temps est venu pour le peuple iranien de s'unir face au régime pervers et oppressif »... Est-ce que du fait de cette opération contre l'Iran, le front de Gaza devient pour votre pays un théâtre d'opération secondaire ? Je voudrais d'abord répondre à la question dont vous parlez. Le Premier ministre a dit cela en disant que c'était au peuple iranien de choisir leurs dirigeants. Ce n'est pas à Israël de le faire. Et effectivement, je peux vous dire d'une façon très claire que tant que ce régime sera en place, tant que le régime iranien sera en place, il n'y aura pas entièrement de paix au Moyen-Orient, parce que c'est un régime révolutionnaire qui veut changer la façade du Moyen-Orient, qui veut changer le Moyen-Orient en utilisant la force et la violence et le terrorisme. Et sur Gaza, est-ce que ce théâtre est devenu secondaire pour Israël ? De toutes les façons, nous arrivons à la fin de la guerre à Gaza. Le Hamas n'a plus les capacités qu'il avait. Cette guerre à Gaza se terminerait immédiatement si demain ou aujourd'hui le Hamas libérait tous nos otages. Mais ça nous l'avons dit depuis longtemps et ils n'ont qu'à nous tester, qu'ils libèrent nos otages. Cette guerre sera terminée. Nous n'avons rien à faire à Gaza. Nous ne comptons pas rester à Gaza. Nous n'avons jamais voulu annexer ou repeupler Gaza. Gaza est aux Palestiniens, appartient aux Palestiniens et restera aux Palestiniens. Ce que nous voulons, c'est nos otages et qu'ils nous laissent vivre en paix. Vous dites que la guerre arrive à sa fin à Gaza, pourtant le processus politique est un petit peu à l'arrêt. Autour de la bande de Gaza, les négociations peinent à avancer. C'est quoi l'avenir de Gaza ? D'abord, les négociations peinent à avancer. Parce que vous savez que deux fois et à deux occasions, des offres de cessez-le-feu ont été présentées par l'envoyé spécial du président des États-Unis, monsieur Steve Witkoff. Et ces deux occasions, Israël les a acceptées et elles ont été rejetées par le Hamas. Alors, vous savez, le fait que ces organisations, les dirigeants palestiniens rejettent des offres de paix qui sont faites, c'est quelque chose qui se fait régulièrement. Toutes les offres faites par le Hamas ont été rejetées par Israël. C'est le propre des négociations, c'est qu'il faut parvenir à un compromis... C'est pour ça qu'il y a l'envoyé spécial des États-Unis. Mais ce ne sont pas des offres israéliennes. Ce sont des offres américaines avec lesquelles les négociations auxquelles ont participé les Égyptiens et les Qataris. Quel est l'avenir de Gaza dans la vision israélienne ? Notre vision c'est que Gaza appartient aux Gazaouis et doit être géré éventuellement par les Gazaouis et simplement que ce soit démilitarisé, désarmé et qu'ils vivent en paix avec nous. À lire aussi«Israël peut continuer à détruire des sites en Iran mais l'expertise nucléaire va rester»
Le leader des Nouveaux Démocrates s'est exprimé comme citoyen et élu du peuple sur sa page Facebook. Il maintient qu'il a sondé le pouls de la population depuis le budget, surtout concernant la décision sur les critères d'éligibilité à la pension universelle, et il ajoute qu'il apportera son opinion lors des débats au Parlement. Concrètement, il suggère que l'éligibilité soit plus personnalisée, en prenant en compte la situation financière et l'état de santé de la personne. Ainsi, avec cette catégorisation, on verrait une plus grande équité.
Et si traiter la dépression ne nécessitait plus systématiquement des antidépresseurs ou des électrochocs, mais simplement... des ultrasons ? C'est ce que suggère une avancée prometteuse réalisée par une équipe française, réunissant psychiatres du GHU Paris, chercheurs de l'Inserm, du CNRS, de l'ESPCI Paris-PSL et de l'Université Paris Cité. Ces spécialistes ont franchi une étape clé en démontrant l'efficacité des ultrasons ciblés pour moduler l'activité cérébrale chez des patients atteints de dépression résistante.Concrètement, il s'agit d'utiliser des ultrasons focalisés de faible intensité pour stimuler une zone précise du cerveau : le cortex cingulaire antérieur, une région profondément enfouie et impliquée dans la régulation des émotions, de l'humeur et de la douleur. Cette zone est souvent hyperactive chez les personnes souffrant de dépression sévère. Le défi était donc de la "réajuster", sans recourir à des techniques invasives comme la stimulation cérébrale profonde.C'est là que les ultrasons entrent en jeu. En concentrant des ondes acoustiques très précises dans cette région, les chercheurs sont parvenus à modifier temporairement son activité, en la rendant moins active chez les patients concernés. Le tout, sans douleur, sans anesthésie, et sans ouverture du crâne.Lors de la première phase expérimentale menée sur des volontaires sains, les scientifiques ont observé une modification de l'activité cérébrale à l'IRM fonctionnelle, confirmant que les ultrasons atteignaient bien leur cible. Ensuite, chez des patients souffrant de dépression résistante, les premiers résultats cliniques ont été encourageants : certains ont rapporté une amélioration de leur humeur et une diminution de leurs symptômes dès les premières séances, sans effets secondaires majeurs.Cette approche s'inscrit dans une nouvelle génération de thérapies dites de « neuromodulation non invasive », qui cherchent à agir directement sur les circuits neuronaux défaillants, sans médicament ni chirurgie. Elle présente aussi un autre avantage : la grande précision spatiale des ultrasons, qui permet de cibler des structures profondes du cerveau, ce que d'autres méthodes comme la stimulation magnétique transcrânienne (TMS) ne permettent pas aussi facilement.Cependant, cette découverte reste encore au stade de la recherche clinique. Des essais à plus grande échelle sont nécessaires pour confirmer son efficacité à long terme, évaluer la durabilité des effets, affiner les protocoles, et identifier les profils de patients qui pourraient le mieux en bénéficier.Mais une chose est sûre : cette technologie ouvre la voie à une révolution thérapeutique potentielle. Une alternative douce, ciblée et prometteuse pour les millions de personnes qui ne répondent pas aux traitements classiques contre la dépression. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si le ralentissement de la hausse des prix soulage les consommateurs, il inquiète les gouvernements. Derrière une apparente bonne nouvelle, se cache une menace pour les finances publiques. Décryptage. L'inflation, c'est la hausse générale des prix. Et même si elle reste dans toutes les têtes depuis plusieurs mois, elle est aujourd'hui en baisse en Europe. Concrètement, les prix continuent d'augmenter, mais moins vite. Une tendance a priori favorable pour le pouvoir d'achat. Pourtant, cette évolution inquiète paradoxalement les gouvernements. Cela parce qu'une inflation trop basse n'est pas forcément synonyme de bonne santé économique. Une inflation modérée – autour de 2 % par an – permet aux économies de fonctionner de manière fluide. Si l'inflation chute brutalement, cela peut traduire un essoufflement de l'activité économique. Des recettes fiscales directement liées à l'inflation Mais l'impact va plus loin : il touche directement les finances publiques. De nombreuses recettes de l'État, comme la TVA, dépendent des prix. Si les prix stagnent, les recettes fiscales aussi. Un exemple simple : un produit vendu 100 euros génère 20 euros de TVA. Si, avec l'inflation, ce produit passe à 102 euros, la TVA grimpe aussi. Multipliez ce mécanisme à l'échelle de millions d'achats, et chaque dixième de point d'inflation représente des milliards d'euros pour les caisses publiques. Même logique pour les cotisations sociales, qui suivent les salaires, eux-mêmes influencés par l'inflation. Idem pour l'impôt sur le revenu. Lorsque l'inflation ralentit, les hausses de salaires se tassent, et les rentrées fiscales avec. Le piège de l'effet de ciseaux Pendant ce temps, les dépenses publiques, elles, sont souvent indexées sur l'inflation passée. Résultat : les États doivent aujourd'hui dépenser davantage, en se basant sur les hausses de prix de l'année précédente, alors même que leurs recettes progressent moins vite. C'est ce qu'on appelle l'effet de ciseaux : les recettes ralentissent, les dépenses continuent d'augmenter par inertie. Le déficit se creuse, la dette enfle, et la situation devient d'autant plus difficile à gérer que la dette ne se « dilue » plus naturellement dans l'inflation. Les banques centrales tentent d'intervenir via les taux d'intérêt, mais leurs marges de manœuvre sont limitées. Car si une faible inflation peut donner un coup de pouce aux ménages, elle affaiblit, à long terme, les finances des États.
Pourquoi l'Union européenne doit-elle - enfin - se penser comme une puissance ? La nécessité de la puissance ne serait-elle pas une évidence pour les pays européens et leurs institutions communes ? Comment la crise de la Covid-19 et la relance de la guerre russe en Ukraine ont-elles, récemment, changé la relation de l'Union européenne à la puissance ? Concrètement, comment se traduit cette prise de conscience ? L'UE intègre-t-elle la démographie à sa stratégie de puissance ? Pour répondre, nous avons le plaisir et l'honneur de recevoir Joséphine Staron, docteur en philosophie politique, directrice des études et des relations internationales du think tank Synopia.Planisphère est une émission de RND et RCF, produite par Pierre Verluise, reprise sur Diploweb.com avec en bonus une synthèse rédigée https://www.diploweb.com/Planisphere-Pourquoi-l-Union-europeenne-doit-elle-enfin-se-penser-comme-une-puissance-Avec-J-Staron.html Enregistrement le 14/10/2024
Voici l’essentiel de l’épisode du jeudi 13 juin 2025 pour l’émission La commission: Après plus d’un an de consultations, le ministre de l’Environnement rend publique les nouvelles règles pour mieux gérer les inondations au Québec. Ces nouvelles règles permettront de mieux protéger les citoyens et les biens contre les inondations. Concrètement de quoi s’agit-il? Le ministre Benoît Charette est avec nous en studio. La ministre des Transports, Geneviève Guilbault, a confirmé jeudi matin le corridor dans lequel va se déployer le projet de 3e lien. Est-ce le bon choix? Il y a en ce moment un problème d’interprétation entre ce que disent les entrepreneurs qui installent les clôtures et les officiers municipaux responsable de l’application des nouvelles règles de sécurité. La construction massive de logements neufs par le privé ne remédiera pas à la crise de l’abordabilité et peut même nuire aux ménages moins nantis qui souhaitent accéder à un logement qui répond à leurs besoins. C’est la conclusion à laquelle parvient l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Face à la pression des déficits, le gouvernement envisage l'option radicale d'une « année blanche » en 2026. L'idée consiste à geler partiellement ou totalement les dépenses publiques, sans suivre l'évolution de l'inflation. Sur le papier, c'est simple : les dépenses de l'année précédente sont reconduites, mais leur pouvoir d'achat réel diminue.Concrètement, cela toucherait trois grands axes :Les prestations sociales (retraites, allocations familiales, aides au logement...) : elles ne seraient pas revalorisées en fonction de l'inflation, ce qui représenterait une économie de plusieurs milliards d'euros – soit environ 3 milliards sur les retraites et 1,5 milliard pour les autres prestations.Les dotations de l'État aux collectivités locales, mais aussi les budgets des ministères : si tout est gelé, la masse totale reste la même, mais les prix ayant augmenté, les collectivités et ministères disposeraient d'un pouvoir de dépense réduit.Les recettes fiscales : en gelant les barèmes de l'impôt, de la CSG ou de la TVA contrairement à l'inflation, le gouvernement récupérerait mécaniquement plus d'argent. Par exemple, la stagnation du barème de l'impôt sur le revenu pourrait rapporter près de 2,8 milliards d'euros.Sur le plan strictement budgétaire, le calcul est simple : quelques dizaines de milliards d'économies potentielles, ce qui permettrait de s'approcher d'un déficit de 4,6 % du PIB en 2026, contre 5,1 % attendus. D'autres études évoquent jusqu'à 15–25 milliards d'économies.Pour autant, ce dispositif suscite de nombreuses réserves :Impact social : geler les prestations revient à les dévaluer, ce qui pèse davantage sur les ménages modestes. La moindre revalorisation a un impact réel pour les retraités ou allocataires.Effets récessifs : en réduisant le pouvoir d'achat, surtout dans les classes moyennes et populaires, le gouvernement risquerait de freiner la consommation et donc la croissance.Injustice fiscale : l'"année blanche fiscale" fait basculer des contribuables vers une tranche supérieure, sans augmentation de valeur réelle de revenu — une forme de hausse d'impôt déguisée.Critiques institutionnelles : le président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, y voit un palliatif ponctuel qu'il préférerait substituer à des réformes structurelles et durables.Autre limite : le gel budgétaire ne s'appliquera probablement pas uniformément. Certains secteurs prioritaires (ex : Défense, Recherche) ont déjà des budgets programmés pluriannuellement, difficiles à figer.En résumé : l'année blanche, c'est l'option rapide et radicale, utile pour gagner du temps et alléger le déficit à court terme. Mais elle demeure symboliquement lourde : elle compresse le pouvoir d'achat, amplifie les inégalités, ralentit l'activité et retarde des réformes nécessaires. Le gouvernement doit annoncer un plan d'ensemble cohérent avec ces enjeux avant la mi-juillet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #172Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion.** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. ***Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Sarah Zitouni. Sarah est la plus jeune directrice de la stratégie automobile en Europe et elle a en parallèle fondé PowHER ta carrière, une plateforme dédiée à l'empowerment des femmes dans le milieu professionnel. Sarah a été nommée Femme Forbes par le magazine Forbes France l'année dernière. Après une école d'ingénieur, Sarah se dirige vers l'industrie automobile, un milieu qui la passionne depuis toute petite. D'abord chercheuse en France, elle poursuit ensuite sa carrière en Suède. Elle est aujourd'hui la plus jeune directrice de la stratégie automobile en Europe. Venant d'un milieu modeste, avec des parents ouvriers et immigrés, Sarah s'est battue pour en arriver là. Aujourd'hui, elle veut partager avec toutes les femmes les codes qu'on ne vous donne pas et les secrets pour réussir sa carrière. Car non être une bonne élève puis "bien faire son travail" ne suffit pas. Aujourd'hui, Sarah cumule ses deux casquettes, l'une salariée en tant que directrice de la stratégie automobile et l'autre entrepreneure, en tant que fondatrice de PowHER ta carrière depuis 2020. PowHER ta carrière, ce sont des conférences en entreprise, du contenu sur les réseaux sociaux et des coaching pour les femmes. Sarah est aussi l'auteur du livre "PowHER ta carrière - Comment réussir ta vie pro sans y laisser ta peau".Avec Sarah, on a évoqué ses études et sa déception à l'arrivée dans le monde professionnel, son burn-out à 21 ans, comment elle est devenue directrice de la stratégie à 30 ans à peine, sa vie en Suède, comment lancer une entreprise en parallèle de son job, comment se faire un network, sa possible reconversion à venir et ses conseils à destination des jeunes femmes. Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Instagram de Sarah @powher_ta_carriere : https://www.instagram.com/powher_ta_carriere/- Linkedin de Sarah : https://www.linkedin.com/in/sarahzitouni/- PowHER ta carrière : https://www.powhertacarriere.com/- Son livre "PowHER ta carrière - Comment réussir ta vie pro sans y laisser ta peau" : https://amzn.to/3EEJnatContactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://w
Et si un jour vous pouviez contrôler votre musique ou répondre à un appel… simplement en bougeant les lèvres ou en esquissant un sourire ? Ce n'est plus de la science-fiction. Apple vient de décrocher un brevet qui pourrait bien transformer notre manière d'interagir avec ses appareils.La technologie décrite porte un nom un peu barbare : « détecteur de gestes silencieux de la peau ». Derrière cette appellation, une prouesse technologique : l'utilisation de capteurs laser ultra-miniaturisés, semblables à ceux de Face ID, capables de capter des micro-vibrations musculaires. Grâce à un système optique de pointe, l'interférométrie à auto-mélange, ces capteurs détectent les moindres contractions du visage : un mouvement de lèvres, un murmure, une tension de la mâchoire… Concrètement, cela signifie que sans prononcer un mot à haute voix, vous pourriez changer de morceau, valider une action ou envoyer une commande, simplement en murmurant ou en faisant un geste facial subtil. Une technologie pensée pour plus de discrétion et de naturel, dans les transports, au bureau, ou partout où parler devient délicat.Et Apple ne compte pas limiter cette innovation à ses seuls AirPods. Le brevet mentionne également des lunettes connectées, laissant entrevoir un futur où nos objets portables répondraient littéralement à nos expressions faciales. Cerise sur le gâteau : cette technologie pourrait aussi renforcer la sécurité. Les micro-mouvements du visage étant propres à chaque individu, ils pourraient servir de vérification biométrique, empêchant toute commande non autorisée. Reste à savoir si ce brevet verra réellement le jour. Apple en dépose des centaines chaque année. Mais cette idée, à la croisée du confort, de la confidentialité et de l'innovation, donne un bel aperçu de la direction que pourrait prendre l'interface homme-machine de demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le canon électromagnétique, aussi appelé railgun, est une arme qui utilise l'électromagnétisme pour propulser des projectiles à très haute vitesse, sans utiliser de poudre ou d'explosif chimique. C'est un concentré de physique appliquée, et sa présentation récente par le ministère de la Défense du Japon confirme l'intérêt croissant pour cette technologie futuriste.Comment ça fonctionne ?Un canon électromagnétique repose sur deux principes physiques fondamentaux :La loi de Lorentz : lorsqu'un courant électrique traverse un conducteur dans un champ magnétique, une force est générée, qui peut être utilisée pour mettre un objet en mouvement.L'induction magnétique : en générant un champ magnétique intense, on peut créer un mouvement mécanique dans un circuit conducteur.Concrètement, voici les éléments clés :Le projectile (non explosif) est placé entre deux rails conducteurs parallèles, d'où le nom « railgun ».Un courant électrique de très haute intensité (plusieurs millions d'ampères) est envoyé dans l'un des rails, traverse le projectile (conducteur) et repart par l'autre rail.Cette circulation crée un champ magnétique puissant perpendiculaire au courant, ce qui génère une force de Lorentz qui pousse le projectile à des vitesses pouvant atteindre Mach 6 à Mach 7 (environ 7 400 km/h).Pourquoi c'est révolutionnaire ?Pas de poudre, pas d'explosif : le projectile est inertiel, ce qui réduit les risques de stockage et d'explosion à bord des navires ou des bases.Vitesse extrême : la vitesse de sortie du projectile rend inutile l'usage d'explosifs ; l'énergie cinétique seule suffit à détruire la cible.Précision et portée : avec une trajectoire tendue et une vitesse très élevée, un railgun pourrait frapper une cible à plus de 200 km, voire plus à terme.Moins coûteux par tir que des missiles guidés, une fois la technologie maîtrisée.Les défis techniquesAlimentation électrique : il faut générer des courants immenses très rapidement. Cela nécessite des condensateurs géants ou des générateurs spécialisés.Usure des rails : les forces électromagnétiques et les frottements endommagent rapidement les rails. Leur durabilité est encore un point faible.Refroidissement : les décharges électriques chauffent énormément les matériaux. Il faut gérer les contraintes thermiques.Et le Japon dans tout ça ?Le Japon a présenté en mai 2025 un prototype opérationnel capable de tirer à plus de Mach 6, monté sur une base mobile. Il s'agit d'une première mondiale en matière de mobilité pour ce type d'arme. L'objectif affiché est de contrer les missiles hypersoniques et les menaces aériennes avancées, notamment en mer de Chine.ConclusionLe canon électromagnétique est à la croisée de l'ingénierie militaire et de la science pure. Il promet une révolution dans les systèmes d'armement… mais reste freiné par des obstacles techniques majeurs. Le Japon, en le présentant comme arme défensive avancée, rejoint les États-Unis et la Chine dans une nouvelle course à l'innovation militaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour écouter l'épisode en entier, tapez #172 Sarah disponible le 9 Juin. ** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. ***
Au Congo-Brazzaville, le premier congrès des peuples autochtones et des populations locales des bassins forestiers se tient cette semaine du 26 au 30 mai à Brazzaville. Dirigeants autochtones, représentants de communautés et défenseurs de l'environnement sont déterminés à défendre les écosystèmes forestiers les plus vitaux de la planète. L'événement vise à obtenir une déclaration commune en amont de la COP30, prévue à Belém, au Brésil, au mois de novembre. Bonaventure Bondo, chargé de campagne Forêts pour le bassin du Congo à Greenpeace Afrique répond aux questions d'Alexandra Brangeon. RFI : Le premier Congrès des peuples autochtones issus des trois grands bassins forestiers de la planète, c'est-à-dire Amazone, Bornéo, Mékong et Bassin du Congo, s'est ouvert cette semaine à Brazzaville. Alors quand on parle des populations autochtones du Bassin du Congo, de qui s'agit-il exactement ? Bonaventure Bondo : Ces termes renvoient d'emblée aux communautés pygmées - même si le mot pygmées est en train de disparaître - qui vivent dans la forêt ou qui développent le lien étroit avec les forêts tropicales.Dans quels pays ?Ces communautés sont réparties dans presque tous les pays du Bassin du Congo. EnRDC, nous avons les Twa et les Aka. De même pour la République du Congo. Au Cameroun, nous avons les Baka qui s'étendent aussi au niveau du Cameroun et de la Guinée équatoriale.Alors ces populations, qu'elles soient de la RDC, de Centrafrique, partagent les mêmes problématiques, la reconnaissance de leurs terres ancestrales ? Oui, ils font face aux mêmes défis, surtout liés à la reconnaissance de leurs terroirs ancestraux. Parce qu'ils sont les premiers habitants, ils sont les détenteurs de ces forêts sur les plans traditionnels et avec l'expansion du développement, axé sur le néocolonialisme, dans le Bassin du Congo, notamment l'exploitation industrielle du bois, le développement de l'agriculture industrielle aussi avec la plantation de palmiers à huile, ces communautés ont été plusieurs fois exposées à certains abus liés à la violation de leurs droits, à l'accaparement de leurs terres. Et dès lors, ils ont commencé à relever cette nécessité pour eux d'être reconnus, d'avoir une reconnaissance légale sur leurs terres et d'avoir une reconnaissance aussi légale à gérer leurs terres comme ils le font depuis des années.Le premier pays à prendre cette décision a été le Congo-Brazzaville et ensuite la République démocratique du Congo avec sa loi sur la promotion et la protection des peuples autochtones pygmées. Il y a un peu d'avancées, mais il y a encore beaucoup à faire pour que nous puissions arriver à sécuriser légalement les terroirs de communautés locales partout dans le Bassin du Congo.Concrètement, quelles sont leurs revendications ? Ils revendiquent la reconnaissance de leurs terres, leur prise en compte dans le processus de décision, parce qu'ils sont pour la plupart du temps mis de côté lorsqu'il faut décider de l'avenir de leurs terres, que ce soit dans les projets d'exploitation du pétrole, d'exploitation des mines, d'exploitation du bois. Ils sont souvent mis de côté. Ils revendiquent aussi d'être associés, de prendre part aux instances de prise de décisions dans la gouvernance des ressources naturelles sur leurs terres.À lire aussiCongo-B: une ONG publie une enquête inquiétante sur l'exploitation pétrolière et minièreAlors, la ministre congolaise de l'Économie forestière Rosalie Matondo a regretté que moins d'1 % des financements disponibles ne leur parviennent. Et que, malgré leur expertise, ils sont peu impliqués dans les programmes de développement durable. Pourquoi est-ce le cas ? Le fait qu'ils sont toujours mis de côté se justifie par le fait qu'ils n'ont pas de capacités nécessaires, ils n'ont pas de connaissances, ils n'ont pas de compétences. Ce qui est vraiment faux. Ce que les communautés sont en train de revendiquer maintenant, c'est de dire, qu'ils ont aussi dans leur façon de faire les choses grâce aux savoirs traditionnels et connaissances endogènes, des initiatives très prometteuses, des initiatives très louables, qu'ils mettent en œuvre pour protéger les forêts. Et ces initiatives ou ces efforts doivent effectivement être reconnus à leur juste valeur pour qu'ils puissent aussi bénéficier de cette confiance. Il y a d'abord un problème de confiance dans la distribution des fonds. Il faut que les communautés autochtones aujourd'hui puissent être reconnues, capables de bien gérer ces fonds et de bien continuer à développer leurs initiatives. Et c'est vraiment la question qui est au cœur du débat, pour voir comment est-ce que dans tous les mécanismes financiers qui existent, qu'il y ait une part allouée directement aux communautés locales.Alors, justement, votre organisation Greenpeace a mis sur pied un projet Forest Solution pour voir comment rehausser le travail de ces communautés dans la préservation des forêts. L'objectif, effectivement, c'est promouvoir les initiatives locales dans la protection de nos forêts, mais non seulement le promouvoir, mais aussi pousser en sorte que les communautés locales puissent avoir accès aux connaissances, aux informations et à un partage d'expériences entre les autres peuples autochtones des autres bassins tropicaux qui sont, selon les constats, beaucoup plus avancés. Et à travers ces projets, nous voulons vraiment faire en sorte que ces communautés soient connectées, puissent partager l'expérience pour construire des recommandations fortes et communes, pour faire bouger les lignes dans les instances décisionnelles aux niveaux national, régional et international.Quand vous dites, ce sont les premiers gardiens des forêts qu'ils protègent depuis des générations. Est-ce que vous pouvez me donner un exemple concret ? L'expertise aujourd'hui qui est louable, c'est la foresterie communautaire que nous sommes en train de cibler comme l'une des solutions aux forêts. Dans ce processus, les communautés ont droit à avoir des titres, des concessions sur leurs forêts et aussi ont droit de développer des activités à caractère économique dans leur concession.Ils exploitent les concessions à leur manière de façon durable, pour à la fois protéger les forêts, conserver la biodiversité et aussi améliorer leurs conditions de vie socio-économique.À lire aussiCongo-B: premier congrès mondial des peuples autochtones des grands bassins forestiers
D'après un très récent sondage Elabe concernant l'âge de départ à la retraite, 62% des Français disent vouloir revenir à 62 ans au lieu des 64 ans actuels.Alors forcément, la nouvelle dont je vais vous parler aujourd'hui va faire débat ! En effet le Parlement du Danemark a adopté Le 22 mai 2025 une mesure historique : le report progressif de l'âge de départ à la retraite de 67 à 70 ans d'ici à 2040. Une première en Europe.Concrètement, cette réforme s'appliquera aux travailleurs nés à partir du 1er janvier 1971, dans le cadre d'un système basé sur l'espérance de vie et révisé tous les cinq ans. Officiellement, cette évolution vise à maintenir l'équilibre financier du système danois face au vieillissement de la population.À ce jour, l'âge légal est fixé à 67 ans, mais dans les faits, les Danois partent en moyenne à 65 ans, notamment grâce à un système mixte, combinant répartition et capitalisation individuelle, ce qui leur laisse plus de flexibilité.Cette mesure ne fait pas l'unanimité dans le pays : selon un sondage, deux Danois sur trois y sont opposés. Elle suscite aussi des réactions en France, où Ségolène Royal, invitée à réagir le 23 mai, a dénoncé une forme de « propagande » autour du modèle danois. Elle rappelle que ce pays propose une retraite « à la carte », mieux adaptée aux métiers pénibles, contrairement à la situation française.Royal critique également le volet capitalisation du système danois, en mettant en garde contre les risques liés à la gestion privée de la retraite. En cas de crise financière, avertit-elle, les fonds de pension peuvent faire faillite, laissant certains retraités sans ressources.En résumé : le Danemark devient le premier pays européen à fixer l'âge légal de la retraite à 70 ans, une mesure emblématique, mais controversée. Ce choix relance un débat plus large : jusqu'où faut-il reculer l'âge de départ pour garantir la pérennité des retraites ? Et surtout, à quel prix social ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez Lisa, une jeune trentenaire active, qui débute chaque journée avec un bol de céréales chocolatées, déjeune sur le pouce d'un sandwich industriel, et termine sa soirée par une pizza surgelée devant une série. Rien d'anormal dans son quotidien. Et pourtant, sans le savoir, Lisa nourrit aussi quelque chose de plus insidieux : une anxiété diffuse, des troubles du sommeil, une baisse de moral.Une nouvelle étude publiée en mai 2025 dans la revue Nutrients, menée par l'École de santé publique de Shanghai, établit un lien préoccupant entre la consommation d'aliments ultra-transformés et la santé mentale. Les chercheurs ont analysé les habitudes alimentaires de plus de 500 000 Britanniques issus de la base de données de la UK Biobank, l'une des plus vastes cohortes épidémiologiques au monde. Le constat est sans appel : plus la part des aliments ultra-transformés est élevée dans l'alimentation, plus le risque de dépression et d'anxiété augmente.Mais au fond, que sont ces aliments ultra-transformés ?Ce ne sont pas simplement des plats préparés ou des snacks : ce sont des produits industrialisés conçus à partir d'ingrédients qui n'existent pas dans une cuisine ordinaire. Ils résultent souvent de multiples procédés industriels et contiennent des substances extraites ou modifiées comme :des sirops de glucose-fructose,des huiles hydrogénées ou raffinées,des protéines texturées,des additifs (émulsifiants, colorants, arômes artificiels),des agents moussants, épaississants ou de conservation.Concrètement, cela inclut :les céréales de petit déjeuner sucrées,les sodas,les plats cuisinés en barquette,les nuggets de poulet,les chips et biscuits industriels,les desserts lactés aromatisés,et même certains pains de mie longue conservation.Ces produits représentent plus de 50 % de l'apport énergétique quotidien dans plusieurs pays occidentaux.Des chiffres qui interpellentSelon l'étude, chaque augmentation de 10 % de la part de ces aliments dans le régime quotidien est associée à :+14 % de risque de dépression,+12 % de risque d'anxiété,et +6 % de troubles liés aux addictions.Les chercheurs avancent plusieurs mécanismes biologiques : ces produits, pauvres en fibres et micronutriments, altèrent le microbiote intestinal, favorisent l'inflammation chronique, et influencent négativement les circuits neuronaux liés à la récompense et à l'humeur.Face à ces résultats, les auteurs suggèrent de réduire drastiquement la consommation d'aliments ultra-transformés. Privilégier une alimentation naturelle, riche en légumes frais, fruits, légumineuses, poissons gras, noix et céréales complètes, pourrait non seulement préserver le corps, mais aussi l'esprit.Lisa n'est pas une exception. Elle est peut-être l'image de notre époque. Mais une prise de conscience suffit parfois à inverser le cours des choses — une assiette à la fois. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ceci est un "moment", c'est-à-dire un extrait d'un épisode plus long déjà diffusé sur Vlan!Ludovic Leroux est coach, formateur et spécialiste de l'accompagnement humain. À travers son parcours mêlant sport, psychologie et pratique corporelle, il s'est forgé une expertise unique sur l'intégration des savoirs par le corps. Dans cet extrait de notre conversation, j'ai voulu comprendre ce qui fait que, bien souvent, on « sait » quoi faire pour aller mieux... mais on ne le fait pas.Avec Ludovic, on est allé au cœur de cette problématique. Il explique avec simplicité et clarté pourquoi la théorie ne suffit pas, surtout dans le domaine du développement personnel. J'ai aimé sa manière très concrète de ramener les apprentissages au corps, à la physiologie, à l'expérience vécue. Il évoque les quatre portes d'entrée qui permettent de réguler notre système nerveux : le mental (par la visualisation), la physiologie (à travers la respiration), le corps mécanique (grâce au mouvement, au stretching, au yoga), et l'esprit (via la connexion à la nature, la méditation ou encore le lien social).Ce qui m'a marqué, c'est cette idée que nous connaissons souvent les outils – comme la cohérence cardiaque – mais que nous les utilisons seulement en pompier, quand ça va mal, plutôt que comme des entraînements réguliers. Ludovic nous invite à changer ce rapport à la pratique, à transformer des petits gestes simples (soupirs, bâillements, étirements, respiration) en véritables rituels de régulation. Il parle aussi de la fameuse douche froide, non pas comme un défi de guerrier, mais comme un moyen d'apprendre à ne pas fuir l'inconfort et à reprogrammer notre rapport au stress.Dans cet épisode, nous parlons donc de comment « faire descendre » les apprentissages dans le corps, d'observation de soi, de rituels, de reconnexion et de responsabilité personnelle. Une plongée passionnante pour toutes celles et ceux qui veulent incarner ce qu'ils apprennent, plutôt que de juste l'accumuler dans la tête.Un moment puissant, inspirant, et profondément pratico-pratique.Citations marquantes"La différence, c'est : est-ce que je le fais déjà ?""Notre système nerveux ne fait pas la différence entre le réel et l'imaginaire.""Ce n'est pas quand ça ne va pas qu'il faut respirer, c'est tout le temps.""Trois soupirs intentionnels suffisent parfois à calmer notre système nerveux.""La douche froide, c'est un exercice pour reprendre le contrôle de sa survie."10 questions structurées poséesC'est quoi l'entraînement pour intégrer les apprentissages ?Comment passer de la théorie à la pratique ?Quels sont les accès au système nerveux ?Quel est le rôle de la visualisation ?Comment utiliser efficacement la respiration ?Peux-tu donner un exercice simple de cohérence cardiaque ?Quel est le lien entre le corps et le stress mécanique ?Quels rituels quotidiens recommandes-tu pour détendre le corps ?Quel est l'effet du bâillement sur le système nerveux ?Pourquoi prendre des douches froides est bénéfique ? Suggestion d'épisode à écouter : #288 le remède miracle contre le stress avec Ludovic Leroux (https://audmns.com/aHHEdaH)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le monde effervescent de l'intelligence artificielle, une petite révolution silencieuse se prépare. Elle ne vient pas des géants californiens, mais du Japon, avec une start-up encore jeune mais déjà prometteuse : Sakana AI. Son ambition ? Repenser le fonctionnement même des intelligences artificielles, pour les rendre plus naturelles, plus adaptatives… et peut-être un peu plus humaines.Derrière Sakana, on retrouve un ancien de Google, bien décidé à bousculer les codes. Leur idée phare : remplacer les modèles séquentiels traditionnels, comme les Transformers qui dominent aujourd'hui le marché, par une architecture radicalement différente, baptisée CTM, pour Continuously Thinking Machines. Le nom est explicite : il s'agit d'enseigner aux IA non pas à raisonner par blocs, mais à penser en continu, comme le fait notre cerveau.Car les modèles actuels, aussi performants soient-ils, souffrent d'un travers : ils traitent les données étape par étape, souvent en attendant d'avoir l'ensemble d'une séquence pour commencer à réfléchir. Résultat : beaucoup de puissance de calcul mobilisée, parfois pour des tâches simples. A contrario, le cerveau humain capte, intègre, ajuste… instant après instant. Une pensée fluide, non linéaire, qui s'adapte en permanence au contexte. C'est cette capacité que Sakana AI cherche à reproduire. Pour cela, l'entreprise s'inspire d'un domaine encore peu exploré : celui des réseaux de neurones à impulsions (spiking neural networks). Ces neurones artificiels ne transmettent pas des signaux continus, mais des impulsions brèves, appelées « spikes », où le moment de l'émission compte autant que l'émission elle-même. C'est cette dimension temporelle – capitale dans notre propre fonctionnement cognitif – que les CTM tentent d'introduire dans l'IA.Concrètement, cela permettrait aux machines de maintenir un état interne évolutif. Plus besoin de tout réinitialiser à chaque requête : comme dans une vraie conversation, le contexte s'enrichit au fil des échanges. Mieux encore, le modèle pourrait moduler son “temps de réflexion” : répondre rapidement à une question simple, ou prendre plus de “temps mental” sur un problème complexe. Une sorte de budget cognitif dynamique, totalement inédit dans les architectures actuelles. Les bénéfices sont multiples. D'abord en robotique ou dans les systèmes embarqués, où les données arrivent en flux continu : les CTM pourraient suivre le rythme sans surchauffer. Ensuite, en termes d'efficacité énergétique : ces réseaux, inspirés du vivant, sont potentiellement bien moins gourmands que les IA actuelles. Et enfin, dans nos usages quotidiens – assistants virtuels, analyse contextuelle, prise de décision – cette pensée fluide et adaptative ouvrirait la voie à des interactions plus naturelles. Pour l'instant, Sakana AI en est encore au stade de la recherche. Mais les pistes ouvertes par les CTM sont claires : si l'IA veut progresser, elle devra apprendre non seulement à bien répondre, mais surtout… à penser différemment. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu as dû mal à dire non, tu culpabilises ? Voici les clés que j'ai testées et approuvées pour être capable de dire non en restant alignée avec moi-même !.........Notes de l'épisode :
Le sujet que nous allons envisager dans ce podcast est, comme souvent, un sujet qui a été donné à l'occasion de grands oraux des concours auxquels nous préparons au sein de la Prépa ISP. Le recul des libertés publiques en Hongrie, les révisions constitutionnelles en Russie, la violence des contestations sociales en France ou ailleurs, l'émergence de régimes hybrides dans le monde entier : autant d'événements récents qui montrent que la démocratie libérale est de plus en plus souvent remise en question. À travers ces mutations, c'est aussi l'État de droit qui vacille, lui qui devrait normalement garantir nos libertés face aux excès du pouvoir. Mais que recouvrent précisément ces notions aujourd'hui, dans un monde globalisé où les frontières entre démocratie, autoritarisme et populisme semblent de plus en plus brouillées ? Comme nous l'expliquera notre invité du jour – je le cite par anticipation – il est impossible d'avoir un regard figé sur la démocratie et l'État de droit : leur définition évolue en fonction des époques, des sociétés, et parfois même des régimes qui s'en réclament tout en les dénaturant. Concrètement, dans une perspective de culture générale républicaine, la démocratie peut être définie comme un système de gouvernement fondé sur la souveraineté populaire, la pluralité politique, et le respect des droits fondamentaux. Quant à l'État de droit, il désigne un ordre juridique dans lequel le pouvoir lui-même est soumis au droit et où les libertés publiques sont protégées contre l'arbitraire. Cependant, pour certains auteurs contemporains, nous assistons aujourd'hui non seulement à une crise du modèle démocratique libéral, mais aussi à l'émergence de ce que Nicolas Baverez appelle des « démocratures » : des régimes qui conservent les formes de la démocratie pour mieux en trahir l'esprit. En parallèle, l'État de droit, qui semblait un acquis des sociétés modernes, est de plus en plus contesté, aussi bien par des gouvernements illibéraux que par des mouvements révolutionnaires ou religieux. Comment comprendre dès lors cette double crise de la démocratie et de l'État de droit ? Les démocraties libérales sont-elles devenues ingouvernables ? L'État de droit est-il un modèle universel ou une construction occidentale fragile ? Pour répondre à ces interrogations essentielles, je reçois aujourd'hui Grégory Portais, professeur de droit public au sein de la Prépa ISP.
Votre mémoire vous joue-t-elle des tours ? On a tous déjà vécu ce moment où l'on raconte un souvenir avec certitude, avant qu'un proche nous corrige avec un "Non, ça ne s'est pas passé comme ça". Ces distorsions sont appelées "faux souvenirs", et rassurez-vous, ça ne fait pas de vous un menteur. Concrètement, ce sont des souvenirs qui présentent des incohérences et des interprétations par rapport à l'événement vraiment vécu. Il touche la mémoire épisodique, celle qui enregistre nos véritables expériences passées. Mais pourquoi notre mémoire nous trompe-t-elle ? Peut-on vraiment se fier à nos souvenirs ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez" Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter ensuite : Pourquoi les jeunes ont-ils de plus en plus de cancers ? Qu'est-ce que la méthode SMART, pour combattre le stress ? Comment utiliser le brassage cognitif pour s'endormir plus vite ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #169Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion.** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. ***Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Valentine. Après avoir été ingénieur pour les cosmétiques LVMH, Valentine est devenue créatrice de contenu couture et DIY. Elle est suivie par plus de 167 000 abonnés sur les réseaux sous le pseudo @HappyAsaBee.Après une école d'ingénieur, Valentine devient ingénieur cosmétiques chez LVMH. C'est elle qui est en charge d'analyser et d'approuver les statistiques indiquées sur les produits type "70% des femmes se trouvent moins ridées après utilisation". C'est au cours d'un brunch que les amies de Valentine l'encouragent à lancer son blog couture. Le lendemain, c'est chose faite et Valentine se prend au jeu ! Aujourd'hui, Valentine est créatrice de contenu couture et DIY à temps plein sous le pseudo Happy As A Bee. Elle partage à plus de 167 000 abonnés ses DIY, des tuto couture et des activités pour enfants. Avec Valentine, on a évoqué sa carrière d'ingénieur, son quotidien chez LVMH, comment elle a lancé son Blog couture, comment ses réseaux ont explosé au moment du covid, ses sources d'inspiration, les collaborations avec les marques et comment gagner sa vie dans un secteur aussi concurrentiel.Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Instagram de Valentine @happy_as_a_bee_ : https://www.instagram.com/happy_as_a_bee_/- Chaine Youtube de Valentine : https://www.youtube.com/channel/UCNjd67m6jN-2aSGN0U4QIAg- Blog de Valentine : https://happy-as-a-bee.com/Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA- Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
Pour écouter l'épisode en entier, tapez #169 Valentine disponible le 19 Mai. ** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. ***
Les chats tricolores, aussi appelés "écaille de tortue" ou "calico", présentent une combinaison de trois couleurs : noir, roux et blanc. Fait fascinant : ces chats sont presque toujours des femelles. Cette particularité n'est pas liée au hasard, mais à la génétique des chromosomes sexuels, et plus précisément au gène de la couleur du pelage porté par le chromosome X.Chez les mammifères, le sexe est déterminé par deux chromosomes : XX pour les femelles, XY pour les mâles. Or, les gènes responsables des couleurs rousse et noire chez le chat sont situés sur le chromosome X. Le blanc, lui, est déterminé par un autre gène, indépendant, qui agit en masquant certaines zones de couleur.Concrètement, une femelle (XX) peut hériter d'un gène roux sur un chromosome X et d'un gène noir sur l'autre X. Mais les cellules d'un organisme femelle ne peuvent pas exprimer les deux chromosomes X en même temps. Un phénomène appelé inactivation du chromosome X, ou "lyonisation", entre alors en jeu : dans chaque cellule, un des deux chromosomes X est désactivé au hasard. Résultat : certaines zones du corps expriment le gène du pelage noir, d'autres celui du pelage roux. C'est ce mélange aléatoire qui produit l'apparence tricolore. Les taches blanches, elles, sont dues à un gène différent qui bloque la pigmentation à certains endroits.Chez les mâles (XY), les choses sont différentes : ils n'ont qu'un seul chromosome X, donc un seul gène de couleur parmi le noir ou le roux. Ils ne peuvent donc pas naturellement avoir les deux couleurs. Voilà pourquoi les mâles sont en général soit entièrement roux, soit entièrement noirs, parfois avec du blanc, mais rarement tricolores.Cependant, il existe une exception génétique rare : le syndrome de Klinefelter, chez les chats mâles porteurs de deux chromosomes X et un Y (XXY). Ce déséquilibre chromosomique leur donne la capacité d'exprimer à la fois les gènes du noir et du roux, avec une inactivation d'un des X comme chez les femelles. Ces mâles peuvent donc être tricolores, mais ils sont stériles dans l'immense majorité des cas, car ce syndrome perturbe fortement la fonction reproductrice.Ainsi, le mystère du chat tricolore repose sur un phénomène génétique complexe mêlant chromosomes sexuels, inactivation aléatoire de l'ADN, et mutation rare chez les mâles. Une simple promenade dans la rue peut donc croiser une merveille de génétique en train de faire sa sieste au soleil. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #168Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion.** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. ***Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Barbara Boccara. Alors qu'elle était mère au foyer avec 2 enfants, Barbara a fondé la marque de mode Ba&sh avec sa meilleure amie Sharon. Après le Bac, Barbara se lance dans des études d'attaché de presse à l'EFAP. Mais après plusieurs stages dans des agences de mode, elle se rend très vite compte qu'elle préfère les produits, les vêtements, à l'exercice de communication et de mise en avant des marques. Barbara se marie et a deux enfants. Alors qu'elle commence à s'ennuyer à la trentaine, Barbara lance l'idée à sa meilleure amie Sharon, elle-aussi mère au foyer de lancer une marque de mode. C'est la naissance de Ba&sh en 2003 ! La contraction de leurs deux prénoms, Barbara et Sharon.Aujourd'hui, Ba&sh, c'est 320 boutiques dans 35 pays dont l'Asie et les Etats-Unis. Avec Barbara, on a évoqué ses études d'attaché de presse, et son rêve de fonder une famille, comment elle s'est retrouvée entrepreneur sans que ce soit son objectif principal, les début de Ba&sh et comment elles en ont fait la marque qu'on connait aujourd'hui, l'implantation de Bash aux Etats-Unis et en Asie et les adaptations nécessaires des collections, ses retraites à Ibiza pour trouver l'inspiration et surtout comment concilier vie de maman et de chef d'entreprise.J'ai rencontré Barbara au dîner Forbes France 40 et je la remercie encore d'avoir accepté mon invitation. Ce qui m'a le plus inspiré dans son parcours c'est que Barbara a réussi à tout avoir sans tirer un trait sur sa vie de famille.Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Instagram de Ba&sh @bashparis : https://www.instagram.com/bashparis/- Site internet de Ba&sh : https://ba-sh.com/fr/- Programme Wellness de Ba&sh : https://ba-sh.com/fr/fr/wellness.htmlContactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA- Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
Pour écouter l'épisode en entier, tapez #168 Barbara disponible le 12 Mai. ** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. ***
Depuis près d'un siècle, la physique quantique est entourée de mystères aussi fascinants que déroutants. Parmi ses icônes les plus célèbres figure le chat de Schrödinger, une expérience de pensée imaginée par le physicien autrichien Erwin Schrödinger en 1935 pour illustrer la notion de superposition quantique. Dans ce paradoxe, un chat enfermé dans une boîte est à la fois vivant et mort tant qu'on n'ouvre pas la boîte pour l'observer. Bien que purement théorique à l'origine, cette idée incarne l'un des aspects les plus énigmatiques de la mécanique quantique : la coexistence simultanée d'états contradictoires.Jusqu'à présent, recréer une telle superposition dans des conditions expérimentales réelles nécessitait un environnement extrêmement froid, proche du zéro absolu (-273,15 °C). À ces températures, les particules sont moins sujettes à l'agitation thermique, ce qui permet de préserver la cohérence quantique, fragile par nature. Or, une équipe de physiciens de l'université d'Innsbruck, en Autriche, vient tout juste de remettre en cause cette contrainte fondamentale.Une superposition quantique à température élevéeLes chercheurs ont réussi à produire une superposition quantique – l'équivalent d'un chat de Schrödinger – dans un environnement bien plus chaud que ce que l'on croyait possible. Concrètement, ils ont utilisé des ions piégés dans un champ électromagnétique et les ont fait interagir de façon contrôlée dans une situation où la température n'était pas parfaitement cryogénique.Grâce à des techniques de refroidissement localisé et de correction des erreurs, les scientifiques ont réussi à maintenir la superposition malgré la présence significative d'agitation thermique, ce qui était jusque-là considéré comme quasiment incompatible avec l'état quantique pur. Cette démonstration montre qu'il est possible de faire de la physique quantique "chaude", une perspective qui bouleverse des décennies de pratiques expérimentales.Des implications majeures pour les technologies quantiquesCette avancée ouvre des perspectives inédites pour le développement de technologies quantiques plus robustes et plus accessibles. Jusqu'à présent, les ordinateurs quantiques nécessitaient des installations coûteuses pour maintenir leurs composants à très basse température. Si l'on parvient à maîtriser la cohérence quantique dans des environnements plus "chauds", cela pourrait réduire drastiquement les coûts de fabrication et de maintenance, rendant ces technologies bien plus accessibles.De plus, cette découverte pourrait avoir un impact sur des domaines comme la cryptographie quantique, les capteurs de précision et les réseaux de communication quantique.En somme, le chat de Schrödinger sort peut-être enfin de sa boîte – et il n'a plus besoin d'avoir froid pour exister. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un peu avant le gala, j'ai décidé d'organiser une retraite à Paris. Il s'agit d'une retraite pour vivre une expérience unique : ✨ 3 jours et demi d'immersion totale en français✨ Dans un petit groupe exclusif de seulement 8 participants✨ Avec un accompagnement ultra-personnaliséSi tu avais besoin d'une excuse pour venir à Paris cet été, cette retraite en est une ! Imagine-toi le matin marchant dans les rues de Paris pour aller à ta retraite avec un café ou un croissant à la main, ou les deux. Au programme : Des ateliers pour démystifier les examens du DELF B2 et du DALF C1Des ateliers de prise de parole en public et en français Des sorties théâtre et stand-ups en françaisDes dîners animés avec des conversations passionnantes et inspirantes, en riant, discutant, vivant ton rêve d'être à Paris pour parler le français dans la vraie vieDes activités dont tu ne soupçonnais même pas l'existence. Je ne peux pas te donner le détail mais je te promets que j'ai concocté des activités de FOLIE ! Ce n'est pas juste un cours. Ce n'est pas juste un voyage. C'est une transformation.Concrètement, ça ressemble à quoi ?
L'intelligence artificielle n'est plus un sujet d'avenir, mais un outil du présent — à condition de savoir s'en emparer. Marjolaine Grondin, entrepreneuse, cofondatrice de Jam et créatrice du Bootcamp IA, partage une vision concrète, pragmatique et inspirante de l'IA générative dans le monde de l'entreprise.En partenariat avec le salon Ready for IT : https://www.ready-for-it.com/fr-FRUtilisée comme un assistant, un chef de projet ou même un cofondateur personnel, l'IA devient selon elle « l'électricité du XXIe siècle » : omniprésente, invisible et indispensable. Marjolaine raconte comment elle forme des entreprises de toutes tailles à intégrer efficacement ces outils dans leurs processus, en insistant sur l'importance d'itérer, d'expérimenter, et surtout de poser les bonnes questions.Loin des discours anxiogènes ou trop théoriques, cet échange met en lumière des cas d'usage très concrets : traitement des emails, préparation de réunions, création de présentations, automatisation des recherches… Le tout avec une posture lucide sur les limites et les enjeux (coût, protection des données, impact cognitif). Une plongée passionnante dans l'ère post-exploratoire de l'IA.Site Web du Bootcamp IAhttps://www.lebootcampia.com/Sites mentionnés dans l'interviewhttps://www.fyxer.com/https://gamma.work/https://happygeranium.notion.site/Mes-agents-IA-1da9d1ca276c80a8a0e7d9ff208013e9-----------
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 11 avril 2025.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.L'ÉTAT DU COMMERCE INTERNATIONALDonald Trump a lancé le 2 avril une charge commerciale massive sous la forme d'une augmentation des droits de douane si lourde qu'elle sonne comme une déclaration de guerre commerciale contre des concurrents, mais aussi contre des alliés traditionnels de Washington. Le président américain a annoncé 46% de hausse pour le Vietnam, 34% pour la Chine, 24% pour le Japon, 20% pour l'Union européenne, mais aussi 50% pour le Lesotho, 47% pour Madagascar, 37% pour le Botswana et rien pour la Russie, la Corée du Nord, la Biélorussie … Tandis que l'Union européenne se préparait à négocier, Pékin a riposté vite et fort, les tarifs douaniers sur les importations américaines passantde 34% à 84%. Bloomberg décrivait alors l'escalade en cours entre la Chine et les Etats-Unis - qui représentent 40% de l'économie mondiale à eux deux - comme une « guerre nucléaire commerciale"».Coup de théâtre mercredi soir : Donald Trump a annoncé la suspension des droits de douane pour 90 jours, laissant cependant un taux minimum uniforme de 10%. Une pause qui ne s'applique pas à la Chine taxée à 125%, ennemie principale des Etats-Unis qui a osé répliquer à Washington. Donald Trump justifie la pause « par la volonté de plus de 75 pays de négocier. »Concrètement, durant cette période, qui a pris effet « immédiatement » après son annonce, l'ensemble des pays du globe sont désormais soumis à des droits de douane ajustés à 10%.Selon l'Insee, le commerce mondial devrait reculer de 4 points. En Europe, l'Allemagne ou l'Italie, dont 10% des exportations vont vers les États-Unis (respectivement 3,3 et 4,2% de leur PIB), devraient être plus touchées que la France et l'Espagne (moins de 7,5% de leurs exportations et moins de 2% du PIB). Mais, rappelle l'ancien commissaire européen au Commerce et ex-directeur général de l'Organisation mondiale du commerce - OMC, Pascal Lamy « les Etats-Unis représentent 13% des importations mondiales, donc 87% du commerce international n'a aucune raison de se laisser contaminer par cette folie »Visée depuis mi-mars par des droits de douane américains de 25% sur l'acier et l'aluminium, l'Union européenne, après que le président américain a fait machine arrière, a suspendu pour 90 jours les mesures de rétorsion approuvées par les États membre et qui prévoient une hausse de 25% sur l'acier et l'aluminium, les amandes, le jus d'orange, la volaille, le soja, le tabac et les yachts… Le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau asalué un « début de retour à la raison économique », alors que la Bourse de New York s'est envolée à l'annonce de cette pause. Toutefois, l'incertitude et la confusion se répandent dans les cercles industriels et chez les distributeurs américains comme européens, tandis que les marchés ne savent plus à quel saint se vouer.LA TURQUIE À L'HEURE DES RÉGIMES AUTORITAIRESAu pouvoir depuis 22 ans, le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, a fait incarcérer le 23 mars, une des rares personnes qui étaient en mesure de le battre dans les urnes : le social-démocrate et atatürkiste revendiqué Ekrem Imamoglu, maire d'Istanbul depuis 2019, qui devait être, le même jour, désigné comme candidat à la prochaine présidentielle du Parti républicain du peuple. En l'attaquant avec l'arme la plus redoutable dont il dispose − la justice −, sous couvert de multiples accusations, dont celle de « corruption », et en réprimant les imposantes manifestations de protestation organisées dans tout le pays, l'homme fort de la Turquie achève ce qu'il a commencé il y a une bonne dizaine d'années : le détricotage systématique de l'État de droit et des contre-pouvoirs. Cette régression de la démocratie a été marquée dès 2013 par la répression des manifestations anti-Erdoğan du parc de Gezi à Taksim, suivie d'une dérive autoritaire. Puis, deux ans plus tard, par la fin brutale et sanglante des négociations de paix avec les Kurdes et l'incarcération d'élus et de figures politiques comme le populaire Selahattin Demirtaş. S'y sont ajoutées aussi les répercussions du coup d'Etat raté de 2016 et les purges gigantesques au sein des institutions publiques des membres de la confrérie du prédicateur Fethullah Gülen ; avec qui le président s'était pourtant allié pendant des décennies. Il y a eu ensuite l'adoption de lois liberticides, la destitution de maires et les arrestations de plus en plus nombreuses d'intellectuels, d'artistes, de journalistes de gauche ou proches de l'opposition libérale. De tout temps, le chef de l'État est apparu prêt à faire un pas de plus pour garder le pouvoir. Jamais, toutefois, il n'était allé aussi loin qu'aujourd'hui.Dans la foulée de l'arrestation du maire d'Istanbul, la livre turque a plongé à son niveau le plus bas face au billet vert et l'indice de la Bourse d'Istanbul a chuté de près de 7%, déclenchant une suspension temporaire. Le Quai d'Orsay a fait part de sa « profonde préoccupation » tandis que Berlin a dénoncé « un grave revers pour la démocratie ». L'autoritarisme croissant d'Erdoğan embarrasse particulièrement les Européens au moment où la Turquie, de par sa puissance militaire, se pose en alliée incontournable pour renforcer le pilier européen de l'OTAN, face au rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Située à la croisée de l'Europe, de l'Asie et du Moyen-Orient, et point de passage stratégique vers la mer Noire (via le détroit du Bosphore), elle se sait indispensable sur de nombreux dossiers : la guerre en Ukraine, où Ankara a su dès le début ménager à la fois Kyiv, en lui livrant des drones, et Moscou, en contournant les sanctions ; la Syrie de l'après-Bachar, où elle entend user de son influence auprès des nouvelles autorités. Sans oublier son industrie d'armement en plein boom, à laquelle s'intéressent déjà certaines capitales européennes pour contrer l'expansionnisme de Poutine. De quoi faire dire au secrétaire général de l'OTAN qu'il serait temps que Bruxelles et Ankara coopèrent plus étroitement sur la question sécuritaire.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.